POPULARITY
Categories
Avril 2004, le corps d'un gendarme à la retraite, Marius Lac est retrouvé dans un appentis près de sa maison, le crâne fracassé… Assez vite, le juge d'instruction se demande si ce meurtre n'est pas lié à une affaire d'empoisonnement de chiens qui a secoué la région 6 ans plus tôt. Car en tant que gendarme, il avait joué un rôle déterminant dans cette affaire. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les footballeurs parlent aux footballeurs ! « Rothen s'enflamme », le rendez-vous des passionnés du ballon rond revient pour une deuxième saison !
durée : 00:28:24 - Lorraine Campet, contrebassiste - Sacrée Révélation instrumentale aux dernières Victoires, la contrebassiste Lorraine Campet, super soliste à l'Opéra de Paris, consacre un premier album solo à des transcriptions de musique romantique et à des lieder méconnus de Josephine Lang. Portrait d'une musicienne éprise de son instrument.
Vous souvenez-vous de Maïté et Micheline, duo emblématique de la cuisine à la télé française dans les années 80. Maïté, cuisinière hors norme, à la gouaille inoubliable, aux gestes larges mais précis, à l'accent assumé, les pieds dans sa Gascogne – son terroir, et Micheline qui joue la sotte, l'ingénue, pose mille questions à sa comparse pour l'inviter à raconter, dire, expliquer, toutes deux impératrices de l'autodérision. À l'écran, elles fascinaient, médusaient, à tel point que l'image absorbait les mots. L'artiste Gala Colette a couché leurs mots sur le papier, créant ainsi un autre texte, mettant en exergue la personnalité de ce binôme coincé entre une forme de tradition et une liberté farouche, éclatante. Ces 12 épisodes sont devenus un livre à part, une création artistique et littéraire, dissimulée sous une belle et sobre couverture au titre savoureux : « Ça ne gâche rien » Mieux, c'est encore meilleur ! Avec- Gala Colette, artiste et autrice de « Ça ne gâche rien », de Gala Colette, aux éditions de l'Epure. Le livre a été lu au festival « Les mots et les mets » à Villers-Cotterêts, à la Cité internationale de la langue française, à la Maison de la poésie- Lauren Malka – hôte du podcast «Assez parlé et Livres Hebdo», autrice de Mangeuses, Maïté, quel héritage ? L'enquête de Lauren Malka pour Mouais, le journal dubitatif.- Les extraits lus dans l'émission sont : Tout est bon, La main légère, Un gros soupçon, un peu moderne.- La cuisine des mousquetaires sur France 3 hier et sur l'INA aujourd'hui. Deux extraits sont diffusés : la truite à la rose, et l'anguille.- Manon Fleury est la cheffe du restaurant Datil, avec Laurène Barijou- Bérangère Fagard, la cheffe de Sélune à Paris- Alessandra Pierini – autrice passionnée d'histoire et de gastronomie, et épicière.- La vie mode d'emploi, de Georges Perec.« Je retranscris la télé d'aujourd'hui pour voir comment on peut donner à lire le ton de la télé, comment on s'adresse les uns aux autres. J'ai retranscrit des débats politiques et ça permet de constater comment se construit un rapport de force dans un dialogue. Cela peut être très utile, après j'ai systématiquement été déçue. Je n'en ai rien fait. Je préfère transcrire la pensée d'un politologue ou d'un historien plutôt que des personnes qui travaillent dans la politique. » Gala Colette.Programmation musicaleSweet danger, de Obonjayar.
Vous souvenez-vous de Maïté et Micheline, duo emblématique de la cuisine à la télé française dans les années 80. Maïté, cuisinière hors norme, à la gouaille inoubliable, aux gestes larges mais précis, à l'accent assumé, les pieds dans sa Gascogne – son terroir, et Micheline qui joue la sotte, l'ingénue, pose mille questions à sa comparse pour l'inviter à raconter, dire, expliquer, toutes deux impératrices de l'autodérision. À l'écran, elles fascinaient, médusaient, à tel point que l'image absorbait les mots. L'artiste Gala Colette a couché leurs mots sur le papier, créant ainsi un autre texte, mettant en exergue la personnalité de ce binôme coincé entre une forme de tradition et une liberté farouche, éclatante. Ces 12 épisodes sont devenus un livre à part, une création artistique et littéraire, dissimulée sous une belle et sobre couverture au titre savoureux : « Ça ne gâche rien » Mieux, c'est encore meilleur ! Avec- Gala Colette, artiste et autrice de « Ça ne gâche rien », de Gala Colette, aux éditions de l'Epure. Le livre a été lu au festival « Les mots et les mets » à Villers-Cotterêts, à la Cité internationale de la langue française, à la Maison de la poésie- Lauren Malka – hôte du podcast «Assez parlé et Livres Hebdo», autrice de Mangeuses, Maïté, quel héritage ? L'enquête de Lauren Malka pour Mouais, le journal dubitatif.- Les extraits lus dans l'émission sont : Tout est bon, La main légère, Un gros soupçon, un peu moderne.- La cuisine des mousquetaires sur France 3 hier et sur l'INA aujourd'hui. Deux extraits sont diffusés : la truite à la rose, et l'anguille.- Manon Fleury est la cheffe du restaurant Datil, avec Laurène Barijou- Bérangère Fagard, la cheffe de Sélune à Paris- Alessandra Pierini – autrice passionnée d'histoire et de gastronomie, et épicière.- La vie mode d'emploi, de Georges Perec.« Je retranscris la télé d'aujourd'hui pour voir comment on peut donner à lire le ton de la télé, comment on s'adresse les uns aux autres. J'ai retranscrit des débats politiques et ça permet de constater comment se construit un rapport de force dans un dialogue. Cela peut être très utile, après j'ai systématiquement été déçue. Je n'en ai rien fait. Je préfère transcrire la pensée d'un politologue ou d'un historien plutôt que des personnes qui travaillent dans la politique. » Gala Colette.Programmation musicaleSweet danger, de Obonjayar.
Aujourd'hui, Joëlle Dago-Serry, Emmanuel de Villiers et Antoine Diers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:06:26 - L'invité de 6h20 - Le politologue Bruno Cautrès était l'invité de France Inter ce mercredi, après l'interview d'Emmanuel Macron sur TF1. Le président de la République a répondu aux questions du journaliste Gilles Bouleau et de plusieurs personnalités. Il "a été régulièrement mis en difficulté", relève le politologue. - invités : Amine BENYAMINA - Amine Benyamina : Psychiatre addictologue
durée : 00:02:15 - L'Humeur du matin par Guillaume Erner - par : Guillaume Erner - C'est une affirmation contre-intuitive. Mais pourtant, je l'affirme : il faut en parler davantage — comme le fait d'ailleurs la presse aujourd'hui. - réalisation : Félicie Faugère
durée : 00:04:33 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - Au festival de Cannes, la politique a-t-elle sa place ? Et si oui, quelle place ? Cette année encore, la question reviendra. Un vrai-faux débat.
durée : 00:02:15 - L'Humeur du matin par Guillaume Erner - par : Guillaume Erner - C'est une affirmation contre-intuitive. Mais pourtant, je l'affirme : il faut en parler davantage — comme le fait d'ailleurs la presse aujourd'hui. - réalisation : Félicie Faugère
À rattraper ce 12 mai 2025: Mylène fraichement édentée Des lonnnnnngs match de hockey Assez les pancartes
Le débat trop poli des candidats à la chefferie du Parti libéral du Québec. Les positions consensuelles soulèvent des questions : exploitation des ressources, rejet de la constitution québécoise, critiques des lois linguistiques, tensions sur l’immigration. On commente aussi la sortie de Standard & Poor’s sur les baisses d’impôt, et la perte du Bloc dans Terrebonne, un signal d’alarme pour le PQ. La rencontre Robitaille-Dutrizac avec Antoine Robitaille. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne Youtube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Tous les jours de la semaine, invités et chroniqueurs sont autour du micro de Pierre de Vilno pour débattre des actualités du jour. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Claude Debussy (1862 - 1918) - Quartetto per archi in sol minore, op. 10, L 911. Animé et très décidé (0:00)2. Assez vif et très rythmé (6:04)3. Andantino, doucement expressif (9:51)4. Très modéré (16:23) Alban Berg Quartet Gerhard Schulz, violinoGünter Pichler, violinoThomas Kakuska, violaValentin Erben, violoncello
durée : 00:11:19 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Les critiques discutent de "Bleu d'août", le nouveau livre de la romancière britannique Deborah Levy qui suit une pianiste trentenaire en pleine quête d'identité et d'émancipation. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Marie Sorbier Productrice du "Point Culture" sur France Culture, et rédactrice en chef de I/O; François Angelier Producteur de l'émission "Mauvais Genres" sur France Culture, spécialiste de littérature populaire
Tous les matins, l'oeil malicieux de Charles Magnien se pose sur un sujet tabou ou gênant. Le rendez-vous pour débattre autour de la machine à café.
La FED ne compte rien faire. L'inflation n'est pas sous contrôle. Et Trump s'impatiente sévèrement. Pendant ce temps, Ford panique, Mattel déménage, Palantir brûle, et tout le monde retient son souffle.
Tous les matins, l'oeil malicieux de Charles Magnien se pose sur un sujet tabou ou gênant. Le rendez-vous pour débattre autour de la machine à café.
Aujourd'hui, Etienne Liebig, Joëlle Dago-Serry et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Olivier Truchot.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui 01/05/2025, il débat autour de cette question, alors que des magasins, boulangeries, restaurant restent fermés les ponts du mois de mai. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'éditorialiste déplore un changement du rapport au travail depuis la loi sur les 35 heures Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Fatima Aït-Bounoua, Antoine Diers et Didier Giraud débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Les temps sont durs pour bon nombre d'entreprises et nos marques créatives ne font pas exception. J'ai donc eu envie de partager avec vous un max de conseils concrets pour (re)mettre à plat votre stratégie marketing et mettre toutes les chances de votre côté pour développer vos ventes. Au programme :00:00 Intro03:08 Poser les chiffres et définir ses objectifs clairement11:34 Prendre un peu de recul sur son activité22:58 Bien définir sa stratégie marketing38:12 Bichonner ses canaux de vente Sur Copilot', mon espace cocon pour les entrepreneurs créatifs, vous pourrez retrouver le pdf de cette présentation pour avoir tout facilement sous la main : https://copilot.teachizy.fr Copilot', c'est :
Combien faut-il gagner pour vivre dignement au Québec en 2025 ? Entrevue avec Eve-Lyne Couturier, chercheuse à l’IRIS et autrice de l’étude sur le Revenu viable 2025. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:02:00 - Pourquoi nos dipladénias peuvent avoir les feuilles qui jaunissent ? - Jean-Paul Imbault rassure Vincent : le jaunissement des feuilles des dipladénias est généralement dû à un excès d'humidité. Il lui conseille de corriger l'arrosage, de les exposer à une température modérée et de leur fournir suffisamment de lumière pour qu'ils retrouvent leur vitalité.
L'émission Back Issues du podcast First Print est un programme de chroniques/reviews/analyse autour de comics sortis en VO ou en VF. Les chroniqueurs Arno et Corentin essaient à la fois de coller à l'actualité, de faire le tour des comics qui montrent toute la diversité de la proposition de la bande dessinée américaine. De préférence, avec des ouvrages à recommander, mais parfois pas ! L'essentiel, c'est surtout de discuter !Pour cette émission spéciale, on a le plaisir d'avoir avec nous Pierre-Antoine alias PA !Alors, quels comics VF allez-vous lire prochainement ?Le ProgrammeLes liens vous renvoient chez notre partenaire Comics Zone (et parfois Pulp's ou Bubble). Une commande chez eux marquera votre soutien à un libraire indépendant, et nous filera aussi un petit coup de pouce !Aucune Tombe Assez Profonde - 06:45Spectregraph - 28:30Worldtr33 Tome 1 - Tome 2 - 52:31Batman Nocturne Tome 1 - 2 - 3 - 4 - 5 - 1:20:22Soutenez First Print - Podcast Comics de Référence sur TipeeeHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Cyril Hanouna et ses invités débattent de la une du prochain numéro de Valeurs actuelles qui paraitra demain. Et cette question principale : Cyril Hanouna sera-t-il candidat à la prochaine présidentielle en 2027 ?Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est la fin du Millennium Challenge Corporation. Deux tiers de cette aide américaine bénéficiaient à des pays africains, finançant routes, électricité et irrigation. Le retrait de Washington laisse des chantiers inachevés et des économies locales fragilisées. Les ouvriers s'activent encore sur le grand échangeur de Koumassi à Abidjan. Une infrastructure financée par le MCC dans le cadre du programme pour la Côte d'Ivoire : 537 millions de dollars au total. Notamment pour la réhabilitation du boulevard du Port. Des années qu'elle était en projet, ce sont les financements américains qui ont permis cela, explique Marie-Viviane Ado Gossan-Coulibaly, directrice du MCA Côte d'Ivoire, l'entité responsable de la mise en œuvre du programme. « C'est une voie qui est clé dans l'économie ivoirienne parce que tous les produits passent donc par cette voie-là pour être exportés ou même importés. Aussi, beaucoup d'industries y sont installées, dans la cimenterie, dans le café, dans le cacao. Et la réhabilitation d'un tel boulevard a un impact important dans les performances de toutes ces industries-là. »Le Malawi privé de financements pour ses routesAu Malawi, c'est un financement de 350 millions de dollars qui disparaît. Il devait servir à la construction de routes à travers tout le pays. Jacob Hara, le ministre des Transports, l'a confirmé : projet reporté après, dit-il, « le brusque changement de politique américain. » La nouvelle doctrine de rationalisation des dépenses publiques à l'international a encore frappé. Pour Ibrahim Amadou Louché, économiste nigérien, les conséquences vont au-delà des frontières africaines : « Le risque, c'est que ça accentue des désordres qui sont déjà très présents dans ces zones qui, par ricochet, finissent par atteindre les pays développés sous divers canaux, notamment par la migration ou par tout un tas de vecteurs. Il serait souhaitable que les autorités américaines reconsidèrent leur position pour essayer de reprendre ces aides. »« Des perspectives sombres »Les États-Unis ont mis fin à l'USAID, l'Agence américaine pour le développement : 16 milliards de dollars d'aide par an pour l'Afrique subsaharienne. Dans une moindre mesure, la France et le Royaume-Uni ont aussi raboté leurs aides au développement. Cela commence à faire beaucoup de financements qui manqueront aux États africains. « Il y a du ressentiment. Les organismes internationaux emploient aussi de la main-d'œuvre locale. Il y a des emplois directs et indirects, témoigne Ibrahim Amadou Louché. Moi, personnellement, pour ma part, j'ai des connaissances qui s'apprêtent maintenant à rentrer au pays, et c'est beaucoup d'interrogations effectivement, par rapport à leur avenir. Les perspectives deviennent de plus en plus sombres. »L'alternative pour ces pays serait de se tourner davantage vers la Chine pour trouver des financements. Mais Pékin est sur un modèle différent, misant sur des investissements avec contrepartie. Ce qui participe à l'endettement des pays. Assez loin des dons sans remboursement du MCC.
Dans un beau et passionnant livre intitulé, « Les musiciens et le pouvoir en France », (Gallimard), Maryvonne de Saint-Pulgent nous raconte ces liens, de Lully à Boulez. « Le rapport de Lully et Boulez au pouvoir et ses conséquences sur notre paysage musical ne sont pas des singularités, mais le fruit d'une exception française, due à la préférence nationale pour le mécénat d'État et les régimes politiques à exécutif fort », écrit l'auteure. Elle en parle avec passion dans IDÉES ce dimanche. Ancienne directrice de patrimoine au ministère de la Culture entre 1993 et 1997, professeure associée de musicologie à Paris IV, Maryvonne de Saint-Pulgent commence son histoire au temps de Louis XIV, par la place occupée par Lully « à qui la surintendance de la musique du roi avait permis d'exercer une forme de « dictature musicale » déplorée par Colbert ».L'auteure parcourt les siècles et note, avec de nombreux exemples, que ce soutien du pouvoir dépassait le mécénat classique qui se pratiquait « habituellement dans les cours européennes prédémocratiques ». Avec elle, nous avançons dans le temps ; la Révolution qui avait aussi ses musiciens et les régimes suivants, y compris la République qui « instrumentalisent l'art au service de leur propagande et favorisent une esthétique officielle ».Puis l'influence étatique passe du pouvoir aux Académies et naît la politique culturelle. Premiers jalons, ceux posés par Léon Blum, lors du Front populaire, « qui nourrit celle que mène ensuite un compagnon de route, l'écrivain André Malraux, lorsqu'il crée en 1959 le ministère des Affaires culturelles voulu par le général de Gaulle », écrit Maryvonne de Saint-Pulgent.Dernière étape, la seconde partie du XXè siècle et l'omnipotence de Pierre Boulez (dont on célèbre le centenaire en 2025) à qui plusieurs présidents de la République n'ont rien refusé.« Les musiciens et le pouvoir en France, de Lully à Boulez », Bibliothèque illustrée des histoires, Gallimard. Programmation musicale : Jean-Baptiste Lully (1632-1687) – « Atys – Ouverture », interprétée par l'ensemble musical Les Arts Florissants (direction : William Christie) « Ah ! Ça ira », interprété par Matthieu Lussier/ Les Jacobins Marie-Joseph Chénier (paroles) / Étienne-Nicolas Méhul (musique) – « Le chant du départ », interprété par l'orchestre de la Garde républicaine et le chœur de l'Armée française Hector Berlioz (1803-1869) – « La symphonie fantastique – Un bal », interprété par l'orchestre national de Lille (direction : Jean-Claude Casadesus) Gabriel Fauré (1845-1924) – « Requiem – Libera me », interprété par Simon Estes, l'orchestre de la Staatskapelle de Dresde et le Rundfunkchor de Leipzig (direction : Colin Davis) Pierre Boulez (1925-2016) – « Le marteau sans maître – Bel édifice et les pressentiments », interprété par l'ensemble InterContemporain (direction : Pierre Boulez) Maurice Ravel (1875-1937) – « Valses nobles et sentimentales – Assez animé », interprété par Ivo Pogorelich (piano).
Dans un beau et passionnant livre intitulé, « Les musiciens et le pouvoir en France », (Gallimard), Maryvonne de Saint-Pulgent nous raconte ces liens, de Lully à Boulez. « Le rapport de Lully et Boulez au pouvoir et ses conséquences sur notre paysage musical ne sont pas des singularités, mais le fruit d'une exception française, due à la préférence nationale pour le mécénat d'État et les régimes politiques à exécutif fort », écrit l'auteure. Elle en parle avec passion dans IDÉES ce dimanche. Ancienne directrice de patrimoine au ministère de la Culture entre 1993 et 1997, professeure associée de musicologie à Paris IV, Maryvonne de Saint-Pulgent commence son histoire au temps de Louis XIV, par la place occupée par Lully « à qui la surintendance de la musique du roi avait permis d'exercer une forme de « dictature musicale » déplorée par Colbert ».L'auteure parcourt les siècles et note, avec de nombreux exemples, que ce soutien du pouvoir dépassait le mécénat classique qui se pratiquait « habituellement dans les cours européennes prédémocratiques ». Avec elle, nous avançons dans le temps ; la Révolution qui avait aussi ses musiciens et les régimes suivants, y compris la République qui « instrumentalisent l'art au service de leur propagande et favorisent une esthétique officielle ».Puis l'influence étatique passe du pouvoir aux Académies et naît la politique culturelle. Premiers jalons, ceux posés par Léon Blum, lors du Front populaire, « qui nourrit celle que mène ensuite un compagnon de route, l'écrivain André Malraux, lorsqu'il crée en 1959 le ministère des Affaires culturelles voulu par le général de Gaulle », écrit Maryvonne de Saint-Pulgent.Dernière étape, la seconde partie du XXè siècle et l'omnipotence de Pierre Boulez (dont on célèbre le centenaire en 2025) à qui plusieurs présidents de la République n'ont rien refusé.« Les musiciens et le pouvoir en France, de Lully à Boulez », Bibliothèque illustrée des histoires, Gallimard. Programmation musicale : Jean-Baptiste Lully (1632-1687) – « Atys – Ouverture », interprétée par l'ensemble musical Les Arts Florissants (direction : William Christie) « Ah ! Ça ira », interprété par Matthieu Lussier/ Les Jacobins Marie-Joseph Chénier (paroles) / Étienne-Nicolas Méhul (musique) – « Le chant du départ », interprété par l'orchestre de la Garde républicaine et le chœur de l'Armée française Hector Berlioz (1803-1869) – « La symphonie fantastique – Un bal », interprété par l'orchestre national de Lille (direction : Jean-Claude Casadesus) Gabriel Fauré (1845-1924) – « Requiem – Libera me », interprété par Simon Estes, l'orchestre de la Staatskapelle de Dresde et le Rundfunkchor de Leipzig (direction : Colin Davis) Pierre Boulez (1925-2016) – « Le marteau sans maître – Bel édifice et les pressentiments », interprété par l'ensemble InterContemporain (direction : Pierre Boulez) Maurice Ravel (1875-1937) – « Valses nobles et sentimentales – Assez animé », interprété par Ivo Pogorelich (piano).
Mélanie, Antoine Gouy et Ginger vous accueillent au CRA CRA pour ce nouvel épisode ! Au menu du jour ? La Cérémonie des Molières, un peu de "Coudétrou", un soupçon de confiture d'orange, un bout de pti dej d'hôtel, un chouia de festival de Cannes et de jazz et plein d'autres trucs… Drôle de recette hein ? Allez, bon app les Paillettes ;-p Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:06:30 - L'invité de 6h20 - L'historien Jean-Benoit Poulle, analyste de l'actualité religieuse pour la revue le Grand Continent, était l'invité de France Inter ce mardi, au lendemain de la mort du pape François.
A 10h, ce mercredi 16 avril 2025, les GG : Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, Mourad Boudjellal, éditeur de BD, et Charles Consigny, avocat, débattent de : Les Français travaillent-ils assez ?
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui 16/04/2025, il revient sur le mauvais état des finances publiques qui d'après le Premier ministre, est dû à un manque de productivité et un manque de travail des Français. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au menu de la troisième heure des GG du mardi 15 avril 2025 : "'La France ne produit pas assez', vraiment ?" avec Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Bruno Poncet, cheminot, et Emmanuel de Villiers, chef d'entreprise.
La guerre au Soudan a fait « 13 millions de déplacés et réfugiés » en deux ans. Alors que le Soudan, troisième plus grand pays d'Afrique en superficie, est déchiré depuis avril 2023 par un sanglant conflit entre l'armée du général Abdel Fattah al-Burhan, dirigeant de facto du pays depuis un coup d'État en 2021, et les forces de son ex-adjoint, le général Mohamed Hamdane Daglo. Le Haut Commissariat aux réfugiés s'alarme des conséquences régionales de cette guerre civile, avec chaque jour plus de déplacés. Abdouraouf Gnon-Konde, directeur régional du HCR pour l'Afrique de l'Ouest et du Centre répond aux questions de Léa-Lisa Westerhoff. RFI : Deux ans après le début du conflit au Soudan, la violence a encore franchi un cap ce week-end au Darfour avec l'attaque et la prise du camp de déplacés de Zamzam. 13 millions de personnes déplacées de force à l'intérieur du pays comme au-delà des frontières. En tant que directeur régional du Haut-Commissariat aux réfugiés pour l'Afrique de l'Ouest et du Centre, comment est-ce que vous qualifiez cette crise ? Abdouraouf Gnon-Konde : D'abord, c'est de dire que c'est une crise humanitaire aiguë. C'est la pire crise humanitaire au monde après Gaza. Mais malheureusement, on n'en parle pas assez. Et je pense que justement, à deux ans du rappel du début de cette crise, c'est important que vous puissiez nous donner cette opportunité de souligner les conséquences de cette crise et d'appeler les uns les autres à réellement trouver une solution politique à l'intérieur du Soudan.Vous rentrez du Tchad où vous vous êtes rendu la semaine dernière. Ce pays frontalier joue un rôle particulier dans la guerre civile. Quelles répercussions la guerre civile a-t-elle sur le Tchad ? Une des conséquences immédiates, c'est que les populations, elles vont chercher un lieu de refuge. Et le lieu de refuge le plus près, pour certaines d'entre elles, c'est le Tchad. Et on a pu voir des populations arriver, qui continuent d'arriver et certaines viennent même depuis Khartoum et qui ont traversé donc des conditions vraiment difficiles. Et depuis avril 2023, le Tchad a déjà reçu près de 800 000 nouveaux réfugiés soudanais. Et cette année, le Tchad a déjà reçu 50 000 nouveaux réfugiés soudanais depuis le début d'année. Et malheureusement, nous nous attendons avec ces attaques auxquelles vous faites allusion, à davantage d'arrivées. Donc vous voyez, pour un pays fragile comme le Tchad, avec une population de 17 millions d'habitants, sans oublier d'autres réfugiés présents sur le territoire, les réfugiés nigérians qui sont là dans la région du lac Tchad et les réfugiés centrafricains et des déplacés internes. C'est extrêmement lourd.Tous les regards sont tournés vers le Darfour. Est-ce que vous craignez que la chute de Khartoum conduise à une aggravation des violences contre les civils dans cette partie ouest du Soudan ? C'est une source de préoccupation dans cette partie ouest du Soudan. Une préoccupation parce que si les combats se rapprochent de la frontière du Tchad, la crainte immédiate, c'est de voir ce que nous appelons en anglais le « spillover », donc un débordement de la crise sur le territoire du Tchad.D'un point de vue régional, quelles conséquences cette crise, ces deux années de guerre civile du Soudan ont-elles sur les pays frontaliers, sur la région ? On a observé des mouvements de populations vers le Tchad. Nous en avons déjà parlé, mais aussi des mouvements de populations vers la Centrafrique. La Centrafrique a déjà accueilli à ce jour à peu près 40 000 Soudanais dans une partie frontalière assez difficile : Birao, Korsi. Mais il n'y a pas que la Centrafrique, il y a aussi l'Égypte, il y a l'Éthiopie, il y a le Sud-Soudan et nous connaissons tous la situation dans laquelle se trouve donc le Sud-Soudan. Et la conséquence, elle va bien au-delà de la région parce que, à la frontière entre le Tchad et le Soudan, nous voyons des populations arriver qui transitent par le Tchad et qui continuent jusqu'en Libye, voire la Tunisie, et qui ont vocation à continuer en Europe. Donc pour nous, ça montre que la conséquence va bien au-delà des pays voisins. Elle va bien au-delà de la région et malheureusement, on voit davantage donc de Soudanais qui essaient d'arriver aux portes européennes.Il y a aussi la question du financement des activités humanitaires. Quel impact la coupure des financements américains a-t-elle sur cette crise au Soudan ? Elle nous contraint à faire des choix extrêmement difficiles. Au Tchad, déjà depuis 2003, nous avions déjà des Soudanais qui étaient là et nous étions en train de travailler à trouver des solutions d'intégration de ces populations. Mais malheureusement, aujourd'hui, avec cette baisse de ressources, nous sommes obligés de nous concentrer sur la réponse d'urgence dans les zones les plus fragiles.Quelle est votre crainte ? Qu'est-ce que vous craignez que ça puisse susciter sur une crise comme celle du Soudan ? La crainte immédiate, c'est de ne pas être en capacité d'apporter la plénitude de réponse. Au niveau global, pour le HCR, les États-Unis contribuent à hauteur de 40% de nos financements, dans la région ils nous accompagnent pour 60%. Mais il n'y a pas que les États-Unis qui ont baissé (leurs contributions). Déjà, pour les besoins immédiats, dans la région Afrique de l'Ouest, Afrique centrale, on parle de 14 millions de déplacés de force. Aujourd'hui dans cette région, 61 % des enfants en âge d'aller à l'école, âgés de 6 à 17 ans sont hors des circuits d'éducation. Donc, comment continuer à prendre en charge ces questions de besoins qui vont bien au-delà de la simple question humanitaire si on n'a pas les ressources adéquates ?
Avec : Jérôme Lavrilleux, propriétaire de gîtes en Dordogne. Yaël Mellul, ancienne avocate. Et Frédéric Hermel, journaliste RMC. - Après le succès d'audience rencontré cette année, Estelle Denis repart pour une nouvelle saison. Toujours accompagnée de Paul Lahcene et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Chaque jour, en quelques minutes, un résumé de l'actualité culturelle. Rapide, facile, accessible.Notre compte InstagramDES LIENS POUR EN SAVOIR PLUSRAPPORT SUR LES VSS DANS LA CULTURE : Mediapart, France Info, Liste des recommandations du rapport (Mediapart)LIBRAIRIE PHILIPPE POUTOU : Nouvel Obs, HuffpostROBERT PATTINSON DANS DUNE : Deadline, Le Parisien, Le FigaroS3 THE LAST OF US : Le Parisien, NumeramaFESTIVAL D'IA NICE : Le Parisien, NicepresseEMISSION SPECIALE 35 ANS FORT BOYARD : 20minutes, IciÉcriture : Morgan ProtIncarnation : Morgan Prot Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Cette phrase résume assez bien ma vie, et bien heureusement pour nous elle concerne aussi Contre Soirée ! Il y a 2 ans on a fait le premier épisode live du podcast à l'Olympia, depuis je cherche constamment à retourner sur scène avec vous. C'est pour ça qu'on à fait la tournée, et c'est aussi pour ça que ce mercredi à 12h sort la billetterie de ma RÉSIDENCE à la Nouvelle Ève, cabaret de Pigalle. Le lien de la billetterie est juste ici : https://www.ticketmaster.fr/fr/manifestation/contre-soiree-billet/idmanif/619687/idtier/39534873 !!!!Un mercredi par mois dans la vraie vie, je vous propose de passer 1h30 de folie, de rires, de pleurs, d'échange, dans une salle mythique, et finalement c'est un rdv de copains mais version EXTRA. C'est fou !!!! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans une première juridique en Europe, 11 citoyens français et trois ONG, dont Greenpeace, ont déposé une plainte contre l'État pour son manque d'action face aux conséquences du changement climatique. Cette démarche vise à pousser le gouvernement à adopter des mesures concrètes pour protéger les populations vulnérables. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans une première juridique en Europe, 11 citoyens français et trois ONG, dont Greenpeace, ont déposé une plainte contre l'État pour son manque d'action face aux conséquences du changement climatique. Cette démarche vise à pousser le gouvernement à adopter des mesures concrètes pour protéger les populations vulnérables. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'émission 28 minutes du 09/04/2025 Environnement : l'État en fait-il trop ou pas assez ? Mardi 8 avril, trois ONG ont attaqué l'État en justice pour son manque d'adaptation face au changement climatique. Le même jour, le projet de loi de simplification de la vie économique était débattu à l'Assemblée nationale. Ce texte ambitionnait de faciliter la vie des entrepreneurs, mais il est devenu un véritable champ de bataille politique, notamment en matière d'écologie. La droite et l'extrême droite souhaitent notamment la suppression des ZFE (Zones à faibles émissions, où les véhicules les plus polluants n'on pas le droit de circuler) et d'agences telles que l'Office français de la biodiversité ou l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie, au grand dam de la gauche et des écologistes. Ce passage dans l'hémicycle réactive le débat sur la place donnée à l'écologie en France, ainsi que des moyens dont se dote l'État pour répondre au changement climatique. On en débat avec Guislain Cambier, sénateur du Nord (Union centriste), Lucile Schmid, vice-présidente du think tank la Fabrique écologique et Cécile Duflot, directrice générale d'Oxfam France.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 9 avril 2025 Présentation Renaud Dély Production KM, ARTE Radio
C'était une information RTL du 7 avril 2025, une attaque terroriste kamikaze qu'envisageaient de mener 3 jeunes Nordistes a été déjouée par la police. « Kamikaze », un mot japonais désormais synonyme d'attaque-suicide, mais qui a une origine très étonnante. Dans "Ah Ouais ?", Florian Gazan répond en une minute chrono à toutes les questions essentielles, existentielles, parfois complètement absurdes, qui vous traversent la tête.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les matins à 7h20, les petits secrets de l'actualité, les infos que vous n'avez pas vues ailleurs. Les journalistes des rédactions de RMC et RMC Sports se mobilisent pour vous raconter les coulisses de l'actualité.
durée : 00:36:20 - Le 18/20 · Le téléphone sonne - Alors que l'édition 2025 du Sidaction se déroulera du vendredi 21 au dimanche 23 mars, les idées reçues et la méconnaissance du VIH progressent, tandis que le recours au dépistage reste faible.
Où l'on parle de Noémie Delattre, de son amoureux, mais aussi de missiles balistiques.Participez au Fab & Mymy Show : envoyez-nous un vocal !Abonnez-vous au podcast • Rejoignez le DiscordL'épisode en entier et en avance + une rubrique exclusive : sur Patreon !Envoyez-nous un mail : coucou@lefabetmymyshow.com
Où l'on parle de Noémie Delattre, de son amoureux, mais aussi de missiles balistiques.Participez au Fab & Mymy Show : envoyez-nous un vocal !Abonnez-vous au podcast • Rejoignez le DiscordL'épisode en entier et en avance + une rubrique exclusive : sur Patreon !Envoyez-nous un mail : coucou@lefabetmymyshow.com
Trop gros, trop petits, trop écartés, pas assez symétriques… Joanna et sa BFF se posent des questions sur leurs seins. Dans cet épisode, tu vas découvrir le « Normal/Pas normal des nénés » de Juju pour te rassurer sur ta poitrine, apprendre que tous les seins ont une forme, une couleur et une taille différentes, mais aussi qu'ils changent tout au long de la vie. Ah oui, Leyla va aussi t'apprendre quelques répliques pour clasher les rageux qui donnent leur avis – que personne n'a demandé – sur les seins des autres.CréditsDirection éditoriale : Aurélya Guerrero. Scénario : Sarah Barthère. Réalisation : Qude avec Milia Legasa. Avec les voix de Candice Sansano, Augustine Pouplin et Alexia Neveu. Création visuelle : Emma Tissier. Responsable marketing : Jean-Luc Monchy.Un podcast de Milan presse 2025. Droits réservés.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'or est censé être la valeur refuge ultime, un actif intemporel qui protège de l'inflation, des crises et des secousses boursières. Pourtant, alors que les marchés actions sont en train de dévisser, l'or n'a pas explosé à la hausse, comme beaucoup l'attendaient. Pourquoi le métal jaune ne bondit-il pas alors que tout le reste s'effondre ? Pour comprendre cette "stagnation", il faut regarder du côté d'un phénomène bien connu des investisseurs, mais rarement évoqué dans les médias : les appels de marge. Quand un investisseur achète des actions ou des matières premières à crédit, il doit déposer un certain montant en garantie, appelé la marge. Mais si les marchés chutent brutalement, son courtier lui demande de remettre du cash immédiatement, faute de quoi sa position sera liquidée de force. C'est ça l'appel de marge. Et là, c'est le coup de stress. Il faut trouver du cash rapidement. Et quoi de plus facile à vendre que de l'or ? Résultat, plutôt que de monter, l'or est vendu en urgence pour couvrir les pertes ailleurs. La moralité c'est que, quand tout s'écroule, l'or peut être vendu dans la panique à court terme. Mais l'or a toujours su rebondir et reprendre sa place de valeur refuge une fois la tempête passée. Au-delà des jeux de marché, l'or s'apprête aussi à vivre un moment hautement médiatique. Donald Trump et Elon Musk prévoient une visite très commentée à Fort Knox, là où les États-Unis stockent leur or. L'objectif affiché est de rassurer le public sur la présence effective de l'or américain. Cette opération peut-elle influencer les cours de l'or ? C'est vrai que rétablir la confiance dans les réserves américaines pourrait en tout cas, à court terme, rassurer les investisseurs et stabiliser le marché. Mais l'enjeu est ailleurs. Aujourd'hui, ce sont les banques centrales des pays émergents qui dictent réellement la tendance en achetant massivement du métal jaune pour justement se protéger du dollar. Pour comprendre le calme relatif de l'or, il faut évoquer le piège caché des appels de marge. un phénomène connu des investisseurs mais peu commenté par les médias ! Amid nous en dit plus --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock'n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSkAinsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock'n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLpEt découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankx
En écho à la Journée internationale des droits des femmes, L'atelier des médias reçoit la journaliste Mathilde Saliou, spécialisée dans les enjeux sociétaux du numérique. Avec l'accélération du développement des intelligences artificielles génératives, elle livre son analyse sur la place des femmes et des minorités dans la génération de contenus par les IA. En mars 2023, Mathilde Saliou était venue présenter son livre Technoféminisme dans L'atelier des médias. Elle expliquait comment le numérique aggrave les inégalités. Cétait il y a deux ans : le grand public n'avait alors pour ainsi dire jamais entendu parler d'intelligences artificielles génératives ; les bots conversationnels boostés à l'IA comme ChatGPT n'avaient pas encore déferlé sur le monde.De retour à notre micro en 2025, Mathilde Saliou explique : « L'intelligence artificielle a été mise dans les mains de tout le monde pour des usages assez spécifiques de production de textes, d'images, etc. Et très vite, on s'est rendu compte que ces productions de contenus reproduisaient toutes sortes de biais qu'on connaissait qui existaient ailleurs dans la société, mais de manière très forte et pas forcément très conscientisée par les constructeurs puisque au moment où ils ont lancé des ChatGPT et Stable Diffusion, ils n'ont pas tellement mis de garde-fous pour éviter ça. »Ses premiers constats furent sans appel : « Assez vite, si on demandait par exemple à des modèles de génération d'images de fabriquer des images de PDG d'entreprise, ça allait être que des hommes, que des Blancs. Si on demandait de produire des images de personnel de ménage, ça n'allait être que femmes, que des Noirs. Et en fait ces clichés qui existent dans le monde occidental étaient produits en masse [...] Et donc assez vite, toutes les personnes spécialisées dans ces thématiques ont souligné le problème et demandé des améliorations. Cela a ensuite provoqué toutes sortes de débats parce que certains considèrent que demander une représentation plus proche de la réalité du monde, ça peut être une forme de censure pour des technologies de ce type. »Quelques liens : - L'extractivisme technologique, nouvelle force néocoloniale ? (Synthmedia.fr)- la newsletter Technoculture de Mathilde Saliou- Algorithmique, le podcast de Next