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Aujourd'hui, Joëlle Dago-Serry, Antoine Diers et Etienne Liebig débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Écoutez la chroniqueuse économique Michèle Boisvert faire le point sur les discussions concernant les minéraux critiques au G7.Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
À l'occasion de sa revue de presse, mardi matin, Paul Arcand aborde la disparition d'une fillette de trois ans qui manque à l'appel depuis dimanche, dans le secteur de LaSalle. Il explique que la disparition de l'enfant plonge tout le monde dans le mystère, alors que la mère ne se souvient plus où elle l'a laissée avant de la perdre. Aucune alerte AMBER n'a été déclenchée, car rien ne porte à croire que l'enfant a été enlevée, bien que ce soit difficile de ne pas penser au pire. «Si elle n'a pas été enlevée, on présume qu'elle était avec sa mère toute la journée. Sa mère dit l'avoir perdue. Mais comment elle l'a perdue? [...] C'est assez difficile de ne pas penser au pire.» Paul Arcand précise aussi qu'aucune arrestation ou accusation n'est survenue pour le moment dans ce dossier nébuleux, bien que la mère ait été rencontrée par les autorités. Autres sujets traités: Sommet du G7: Donald Trump lève les feutres et rentre à Washington en raison du conflit israélo-iranien; SAAQClic: le nouveau PDG voulait étouffer le scandale; Dernière journée de grève dans le transport en commun à Montréal, du moins pour l’instant. Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Et si le sable devenait l'une des clés de la transition énergétique ? Ce n'est plus un rêve de laboratoire : en Finlande, c'est désormais une réalité bien concrète. Il y a deux ans, Polar Night Energy testait alors une batterie thermique à base de sable dans une petite ville du pays. L'unité était modeste, un simple démonstrateur de 8 MWh. Mais aujourd'hui, le projet a changé d'échelle. La ville de Pornainen, au nord d'Helsinki, vient de mettre en service une version douze fois plus puissante. Et ce n'est plus un prototype : c'est un outil industriel.La structure, haute d'une dizaine de mètres et large de quatre, contient 100 tonnes de sable chauffées à plus de 600 degrés grâce à des résistances électriques alimentées par du solaire, de l'éolien, ou le réseau. L'énergie ainsi stockée est restituée sous forme de chaleur, injectée dans le réseau de chauffage urbain au moment où la demande grimpe. Pas de combustion, pas de gaz, pas de fioul : que de la chaleur propre et locale.Le système peut fournir jusqu'à 1 MW en puissance de décharge, pour un total de 100 MWh de stockage thermique. Assez pour chauffer tous les bâtiments publics, logements collectifs et infrastructures de Pornainen pendant plusieurs jours en hiver. Le maire, Kimmo Kainulainen, est clair : « La combustion n'est pas une option ». Depuis l'arrêt des importations de gaz russe, la ville cherchait une solution durable et indépendante. Ce système l'est à tous les niveaux : pas de matériaux rares, pas de pièces fragiles, pas de consommables. Le sable ne s'use pas. L'entretien se limite à surveiller l'isolation et les capteurs. Et surtout : la production reste publique, gérée par le fournisseur local LämpöYkkönen. Une fois l'installation amortie, les surplus d'électricité stockés couvrent les pics de consommation sans surcoût pour les habitants. Et Polar Night Energy ne compte pas s'arrêter là. Prochaine étape : améliorer encore l'efficacité du système, mieux piloter la charge, et peut-être un jour… déployer ces batteries de sable dans des villes beaucoup plus grandes. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
En Tunisie, la marche pour Gaza initiée par un collectif de Tunisiens depuis lundi 9 juin est bloquée en Libye suite à la décision des autorités libyennes de l'Est. Alors que beaucoup ne souhaitent pas faire marche arrière, cette initiative a montré la force d'une mobilisation maghrébine en faveur des Palestiniens. Retour sur cette odyssée avec notre correspondante à Tunis. Samedi 14 juin, alors que la caravane Soumoud était encore bloquée à Syrte dans l'Est libyen, des centaines de Tunisiens se sont réunis au centre-ville de Tunis pour soutenir le convoi. Haykel Mahfoudhi, un journaliste indépendant, a fait la route avec la caravane jusqu'à Ras Jedir, le poste frontalier tuniso-libyen. « C'était vraiment incroyable le soutien que nous avons eu, la solidarité, tout au long des villes tunisiennes que nous avons parcourues. On sent que le mouvement de la marche pour Gaza a beaucoup fédéré. » Après les refoulements et expulsions au Caire de participants à la marche internationale, Raouf Farrah chercheur algérien basé en Tunisie, a dû renoncer à rejoindre la marche par voie aérienne. Présent lundi au lancement du convoi, il relève son importance sur le plan maghrébin, près de 700 Algériens se sont joints à l'initiative tunisienne : « Je pense qu'en tant que Maghrébin, nous sentons cette responsabilité à la fois morale et politique de dire "Assez au génocide, assez aux violences génocidaires contre les Palestiniens, au silence et à la complicité des autorités et des gouvernements, des institutions internationales face à un crime qui devrait être arrêté" ». À lire aussiLa caravane et la marche en solidarité avec Gaza stoppées en Libye et en Égypte Après avoir été accueilli à bras ouverts à Zawiya et Misrata en Libye, la caravane, dont la page Facebook cumule plus de 200 000 abonnés, s'est retrouvée bloquée à Syrte, côté Est libyen, depuis jeudi. Sans réseau et avec très peu de connexion, les participants n'ont pu poster que de rares informations et mises à jour sporadiques, disant être en négociations avec les autorités libyennes, selon Haykel Mahfoudhi : « On a eu vent de plusieurs personnes du convoi qui ont été arrêtées. On est encore en train de mettre à jour les informations que nous avons eues au fur et à mesure. C'est très difficile de joindre la caravane actuellement et on ne sait pas trop ce qu'ils vont pouvoir faire. » Dimanche 15 juin, les porte-paroles du convoi insistaient encore dans une vidéo pour rester en Libye et ne pas faire marche arrière. L'objectif final : passer en Égypte pour ensuite rejoindre la marche et aller à Rafah, mais avec les restrictions égyptiennes imposées aux autres participants, l'espoir d'arriver à bon port, reste fragile. À lire aussiMarche de solidarité avec Gaza: de nombreux militants pro-palestiniens interpellés au Caire en Égypte
durée : 00:02:54 - Est-ce que les bâtiments de Toulouse sont assez bien entretenus ?
Jérôme Rothen se chauffe contre un autre consultant, un éditorialiste ou un acteur du foot.
Tous les dimanches à minuit, Daniel Riolo propose une heure de show en direct avec Moundir Zoughari pour les passionnés de poker. Conseils d'un joueur professionnel, actualité, tournois... Votre rendez-vous poker, sur RMC !
Dans cet épisode, je discute avec Teferi, 39 ans, célibataire depuis deux ans. On parle sans filtre de relations, de coups de cœur qui ne viennent pas, de situations "pas en couple mais presque", et de ce que ça veut dire d'être exigeant… Teferi partage ses galères, ses réflexions (et ses standards en matière de films en VO
Éric Ciotti, président de l'Union des droites pour la République et député des Alpes-Maritimes, répond aux questions de Sonia Mabrouk au sujet des peines prononcées pour de nombreux interpellés suite aux violences de samedi soir, de l'affaire Nahel avec le policier auteur du tir mortel qui sera jugé pour meurtre devant une cour d'assise, de son choix de former une alliance avec le RN et de l'union des droites. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:09 - Pourquoi certains rhododendrons fleurissent assez peu ? - Les rhododendrons, très gourmands, ont besoin de soins particuliers pour une floraison prolongée. Notre jardinier conseille de leur fournir de la vraie terre de bruyère, d'éviter l'exposition au soleil et de les arroser régulièrement.
Est-ce qu'on peut vouloir “prendre soin de soin” à un niveau pathologique?Dans cet épisode, la docteur Émilie Steinbach revient sur les liens complexes entre alimentation, santé mentale, émotions et image de soi.Elle nous explique pourquoi certaines pratiques, encouragées par la société (comme le contrôle absolu de son alimentation, le décompte des calories ou la recherche du corps le plus fin possible) peuvent, à terme, provoquer des troubles invisibles, mais réels.À travers son expertise scientifique et son propre vécu Émilie met en lumière les dérives de la culture du contrôle : celle du corps parfait, de la culpabilité alimentaire, de l'hyper-discipline valorisée surtout chez les femmes.On parle aussi :de grossophobie systémiquede l'impact délétère des algorithmes sur l'image que l'on a de nos corpsde l'importance d'éduquer plutôt que de restreindreet de la nécessité de consulter, même si “ce n'est pas si grave”.Un épisode précieux, pour mieux comprendre son propre rapport à l'alimentation, et surtout, pour apprendre à prendre soin de soi de façon saine et sans danger !______Livre recommandé : La horde du contrevent d'Alain Damasio____Pour découvrir les coulisses du podcast :https://www.instagram.com/inpowerpodcast/Pour retrouver Emilie Steinbach sur les réseaux :https://www.instagram.com/thebraingutscientist/?hl=frSon livre “Ma santé optimisée” aux éditions Marabout : https://www.marabout.com/livre/votre-sante-optimisee-9782501189859/Et pour suivre mes aventures au quotidien :https://www.instagram.com/louiseaubery/Si cet épisode t'as plu, celui-ci te plaira surement :https://shows.acast.com/inpower/episodes/ce-que-vous-ignoriez-sur-la-nutrition-et-comment-ca-peut-cha Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Avec : Yael Mellul, ancienne avocate. Jean-Philippe Doux, journaliste et libraire. Et Benjamin Amar, prof d'histoire-géographie. - Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs, sexo… En simultané sur RMC Story.
durée : 00:03:28 - Est-ce qu'il y a assez de pharmacies près de chez vous ? Notamment en milieu rural ?
Explosion du nombre de glissements de terrain au Québec. Rencontre des PM. Nouvelles règles d’affichage pour les commerçants. C’est la fin pour les magasins La Baie d’Hudson! Rencontre Ukraine-Russie. Attaque au Colorado. C’était les Prix écrans canadiens en fin de semaine à Toronto! Tout savoir en quelques minutes avec Audrey Gagnon, Isabelle Perron et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Regardez BFM Story Week-end tous les week-ends sur BFMTV
Elle se fait menacer par un homme drogué et ensanglanté. Une tragédie qui a lieu en plein milieu de la 132. Entrevue avec Raph, une des deux victimes de l’homme happé mortellement sur la 132 hier soir & discussion faits divers avec Maxime Deland, journaliste à l’Agence QMI. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne Youtube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Chaque jour, écoutez le Best-of de l'Afterfoot, sur RMC la radio du Sport !
Ereintés par les horaires, la traversée des crises du Covid ou budgétaire, la flambée des prix de l'énergie et la colère des citoyens, certains maires tirent la sonnette d'alarme et font craindre une crise des vocations pour les prochaines municipales de 2026. Dans « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et son invité Laurent Thévenin font le point.Retrouvez l'essentiel de l'actualité économique grâce à notre offre d'abonnement Access : abonnement.lesechos.fr/lastory« La Story » est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en mai 2025. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invité : Laurent Thévenin (journaliste spécialiste des collectivités locales aux « Echos »). Réalisation : Nicolas Jean. Chargée de production et d'édition : Michèle Warnet. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : Gile Michel/SIPA. Sons : franceinfo, France 24, Ville de Jouy-en-Josas, « Les Bronzés » (1978). Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Avril 2004, le corps d'un gendarme à la retraite, Marius Lac est retrouvé dans un appentis près de sa maison, le crâne fracassé… Assez vite, le juge d'instruction se demande si ce meurtre n'est pas lié à une affaire d'empoisonnement de chiens qui a secoué la région 6 ans plus tôt. Car en tant que gendarme, il avait joué un rôle déterminant dans cette affaire. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les footballeurs parlent aux footballeurs ! « Rothen s'enflamme », le rendez-vous des passionnés du ballon rond revient pour une deuxième saison !
Deux traders vous donne leur vision des marchés et les niveaux techniques à surveiller.
Abonnez-vous à ma newsletter mensuelle pour rester informé de mes prochains ateliers Journaling & Vision Board : ça se passe ICI ! ---C'est quoi, pour vous, “assez” ?Assez de travail, assez de temps pour soi, assez de projets, une vie assez remplie, assez calme, assez de temps avec vos amis, assez de sommeil, assez de sport … Dans cet épisode, on explore ensemble cette notion floue mais centrale de “suffisance”. Pourquoi est-ce si difficile de définir ce qui est assez pour ? Comment créér ses propres repères, poser des limites saines, et trouver un équilibre ?
Vous souvenez-vous de Maïté et Micheline, duo emblématique de la cuisine à la télé française dans les années 80. Maïté, cuisinière hors norme, à la gouaille inoubliable, aux gestes larges mais précis, à l'accent assumé, les pieds dans sa Gascogne – son terroir, et Micheline qui joue la sotte, l'ingénue, pose mille questions à sa comparse pour l'inviter à raconter, dire, expliquer, toutes deux impératrices de l'autodérision. À l'écran, elles fascinaient, médusaient, à tel point que l'image absorbait les mots. L'artiste Gala Colette a couché leurs mots sur le papier, créant ainsi un autre texte, mettant en exergue la personnalité de ce binôme coincé entre une forme de tradition et une liberté farouche, éclatante. Ces 12 épisodes sont devenus un livre à part, une création artistique et littéraire, dissimulée sous une belle et sobre couverture au titre savoureux : « Ça ne gâche rien » Mieux, c'est encore meilleur ! Avec- Gala Colette, artiste et autrice de « Ça ne gâche rien », de Gala Colette, aux éditions de l'Epure. Le livre a été lu au festival « Les mots et les mets » à Villers-Cotterêts, à la Cité internationale de la langue française, à la Maison de la poésie- Lauren Malka – hôte du podcast «Assez parlé et Livres Hebdo», autrice de Mangeuses, Maïté, quel héritage ? L'enquête de Lauren Malka pour Mouais, le journal dubitatif.- Les extraits lus dans l'émission sont : Tout est bon, La main légère, Un gros soupçon, un peu moderne.- La cuisine des mousquetaires sur France 3 hier et sur l'INA aujourd'hui. Deux extraits sont diffusés : la truite à la rose, et l'anguille.- Manon Fleury est la cheffe du restaurant Datil, avec Laurène Barijou- Bérangère Fagard, la cheffe de Sélune à Paris- Alessandra Pierini – autrice passionnée d'histoire et de gastronomie, et épicière.- La vie mode d'emploi, de Georges Perec.« Je retranscris la télé d'aujourd'hui pour voir comment on peut donner à lire le ton de la télé, comment on s'adresse les uns aux autres. J'ai retranscrit des débats politiques et ça permet de constater comment se construit un rapport de force dans un dialogue. Cela peut être très utile, après j'ai systématiquement été déçue. Je n'en ai rien fait. Je préfère transcrire la pensée d'un politologue ou d'un historien plutôt que des personnes qui travaillent dans la politique. » Gala Colette.Programmation musicaleSweet danger, de Obonjayar.
Aujourd'hui, Joëlle Dago-Serry, Emmanuel de Villiers et Antoine Diers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:06:26 - L'invité de 6h20 - Le politologue Bruno Cautrès était l'invité de France Inter ce mercredi, après l'interview d'Emmanuel Macron sur TF1. Le président de la République a répondu aux questions du journaliste Gilles Bouleau et de plusieurs personnalités. Il "a été régulièrement mis en difficulté", relève le politologue. - invités : Amine BENYAMINA - Amine Benyamina : Psychiatre addictologue
durée : 00:02:15 - L'Humeur du matin par Guillaume Erner - par : Guillaume Erner - C'est une affirmation contre-intuitive. Mais pourtant, je l'affirme : il faut en parler davantage — comme le fait d'ailleurs la presse aujourd'hui. - réalisation : Félicie Faugère
durée : 00:04:33 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - Au festival de Cannes, la politique a-t-elle sa place ? Et si oui, quelle place ? Cette année encore, la question reviendra. Un vrai-faux débat.
Mes chers camarades, bien le bonjour !Il faut qu'on parle des Kurdes. J'en ai déjà un peu parlé en format court mais ça mérite un épisode plus étoffé. Assez régulièrement, les actualités font les gros titres sur les conflits dans lesquels ils sont présents. Par exemple, le 27 février 2025, Abdullah Öcalan, le fondateur du Parti des travailleurs du Kurdistan, a appelé à déposer les armes et dissoudre son parti. Alors ok, très bien, mais ça veut dire quoi ? Je suis pas sûr que vous connaissiez l'histoire des Kurdes, ni ses enjeux géopolitiques actuels…et c'est normal, vu comme c'est complexe ! Alors aujourd'hui, je vous propose de revenir ensemble sur l'histoire des Kurdes afin de décrypter tout ça : qui sont-ils, que veulent-ils, quels sont leurs réseaux et pourquoi on en entend parler aussi souvent à la télé ?Bonne écoute !
durée : 00:11:19 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Les critiques discutent de "Bleu d'août", le nouveau livre de la romancière britannique Deborah Levy qui suit une pianiste trentenaire en pleine quête d'identité et d'émancipation. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Marie Sorbier Productrice du "Point Culture" sur France Culture, et rédactrice en chef de I/O; François Angelier Producteur de l'émission "Mauvais Genres" sur France Culture, spécialiste de littérature populaire
Tous les matins, l'oeil malicieux de Charles Magnien se pose sur un sujet tabou ou gênant. Le rendez-vous pour débattre autour de la machine à café.
Aujourd'hui, Etienne Liebig, Joëlle Dago-Serry et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Olivier Truchot.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui 01/05/2025, il débat autour de cette question, alors que des magasins, boulangeries, restaurant restent fermés les ponts du mois de mai. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'éditorialiste déplore un changement du rapport au travail depuis la loi sur les 35 heures Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Fatima Aït-Bounoua, Antoine Diers et Didier Giraud débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Combien faut-il gagner pour vivre dignement au Québec en 2025 ? Entrevue avec Eve-Lyne Couturier, chercheuse à l’IRIS et autrice de l’étude sur le Revenu viable 2025. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Les temps sont durs pour bon nombre d'entreprises et nos marques créatives ne font pas exception. J'ai donc eu envie de partager avec vous un max de conseils concrets pour (re)mettre à plat votre stratégie marketing et mettre toutes les chances de votre côté pour développer vos ventes. Au programme :00:00 Intro03:08 Poser les chiffres et définir ses objectifs clairement11:34 Prendre un peu de recul sur son activité22:58 Bien définir sa stratégie marketing38:12 Bichonner ses canaux de vente Sur Copilot', mon espace cocon pour les entrepreneurs créatifs, vous pourrez retrouver le pdf de cette présentation pour avoir tout facilement sous la main : https://copilot.teachizy.fr Copilot', c'est :
L'émission Back Issues du podcast First Print est un programme de chroniques/reviews/analyse autour de comics sortis en VO ou en VF. Les chroniqueurs Arno et Corentin essaient à la fois de coller à l'actualité, de faire le tour des comics qui montrent toute la diversité de la proposition de la bande dessinée américaine. De préférence, avec des ouvrages à recommander, mais parfois pas ! L'essentiel, c'est surtout de discuter !Pour cette émission spéciale, on a le plaisir d'avoir avec nous Pierre-Antoine alias PA !Alors, quels comics VF allez-vous lire prochainement ?Le ProgrammeLes liens vous renvoient chez notre partenaire Comics Zone (et parfois Pulp's ou Bubble). Une commande chez eux marquera votre soutien à un libraire indépendant, et nous filera aussi un petit coup de pouce !Aucune Tombe Assez Profonde - 06:45Spectregraph - 28:30Worldtr33 Tome 1 - Tome 2 - 52:31Batman Nocturne Tome 1 - 2 - 3 - 4 - 5 - 1:20:22Soutenez First Print - Podcast Comics de Référence sur TipeeeHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Cyril Hanouna et ses invités débattent de la une du prochain numéro de Valeurs actuelles qui paraitra demain. Et cette question principale : Cyril Hanouna sera-t-il candidat à la prochaine présidentielle en 2027 ?Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est la fin du Millennium Challenge Corporation. Deux tiers de cette aide américaine bénéficiaient à des pays africains, finançant routes, électricité et irrigation. Le retrait de Washington laisse des chantiers inachevés et des économies locales fragilisées. Les ouvriers s'activent encore sur le grand échangeur de Koumassi à Abidjan. Une infrastructure financée par le MCC dans le cadre du programme pour la Côte d'Ivoire : 537 millions de dollars au total. Notamment pour la réhabilitation du boulevard du Port. Des années qu'elle était en projet, ce sont les financements américains qui ont permis cela, explique Marie-Viviane Ado Gossan-Coulibaly, directrice du MCA Côte d'Ivoire, l'entité responsable de la mise en œuvre du programme. « C'est une voie qui est clé dans l'économie ivoirienne parce que tous les produits passent donc par cette voie-là pour être exportés ou même importés. Aussi, beaucoup d'industries y sont installées, dans la cimenterie, dans le café, dans le cacao. Et la réhabilitation d'un tel boulevard a un impact important dans les performances de toutes ces industries-là. »Le Malawi privé de financements pour ses routesAu Malawi, c'est un financement de 350 millions de dollars qui disparaît. Il devait servir à la construction de routes à travers tout le pays. Jacob Hara, le ministre des Transports, l'a confirmé : projet reporté après, dit-il, « le brusque changement de politique américain. » La nouvelle doctrine de rationalisation des dépenses publiques à l'international a encore frappé. Pour Ibrahim Amadou Louché, économiste nigérien, les conséquences vont au-delà des frontières africaines : « Le risque, c'est que ça accentue des désordres qui sont déjà très présents dans ces zones qui, par ricochet, finissent par atteindre les pays développés sous divers canaux, notamment par la migration ou par tout un tas de vecteurs. Il serait souhaitable que les autorités américaines reconsidèrent leur position pour essayer de reprendre ces aides. »« Des perspectives sombres »Les États-Unis ont mis fin à l'USAID, l'Agence américaine pour le développement : 16 milliards de dollars d'aide par an pour l'Afrique subsaharienne. Dans une moindre mesure, la France et le Royaume-Uni ont aussi raboté leurs aides au développement. Cela commence à faire beaucoup de financements qui manqueront aux États africains. « Il y a du ressentiment. Les organismes internationaux emploient aussi de la main-d'œuvre locale. Il y a des emplois directs et indirects, témoigne Ibrahim Amadou Louché. Moi, personnellement, pour ma part, j'ai des connaissances qui s'apprêtent maintenant à rentrer au pays, et c'est beaucoup d'interrogations effectivement, par rapport à leur avenir. Les perspectives deviennent de plus en plus sombres. »L'alternative pour ces pays serait de se tourner davantage vers la Chine pour trouver des financements. Mais Pékin est sur un modèle différent, misant sur des investissements avec contrepartie. Ce qui participe à l'endettement des pays. Assez loin des dons sans remboursement du MCC.
Dans un beau et passionnant livre intitulé, « Les musiciens et le pouvoir en France », (Gallimard), Maryvonne de Saint-Pulgent nous raconte ces liens, de Lully à Boulez. « Le rapport de Lully et Boulez au pouvoir et ses conséquences sur notre paysage musical ne sont pas des singularités, mais le fruit d'une exception française, due à la préférence nationale pour le mécénat d'État et les régimes politiques à exécutif fort », écrit l'auteure. Elle en parle avec passion dans IDÉES ce dimanche. Ancienne directrice de patrimoine au ministère de la Culture entre 1993 et 1997, professeure associée de musicologie à Paris IV, Maryvonne de Saint-Pulgent commence son histoire au temps de Louis XIV, par la place occupée par Lully « à qui la surintendance de la musique du roi avait permis d'exercer une forme de « dictature musicale » déplorée par Colbert ».L'auteure parcourt les siècles et note, avec de nombreux exemples, que ce soutien du pouvoir dépassait le mécénat classique qui se pratiquait « habituellement dans les cours européennes prédémocratiques ». Avec elle, nous avançons dans le temps ; la Révolution qui avait aussi ses musiciens et les régimes suivants, y compris la République qui « instrumentalisent l'art au service de leur propagande et favorisent une esthétique officielle ».Puis l'influence étatique passe du pouvoir aux Académies et naît la politique culturelle. Premiers jalons, ceux posés par Léon Blum, lors du Front populaire, « qui nourrit celle que mène ensuite un compagnon de route, l'écrivain André Malraux, lorsqu'il crée en 1959 le ministère des Affaires culturelles voulu par le général de Gaulle », écrit Maryvonne de Saint-Pulgent.Dernière étape, la seconde partie du XXè siècle et l'omnipotence de Pierre Boulez (dont on célèbre le centenaire en 2025) à qui plusieurs présidents de la République n'ont rien refusé.« Les musiciens et le pouvoir en France, de Lully à Boulez », Bibliothèque illustrée des histoires, Gallimard. Programmation musicale : Jean-Baptiste Lully (1632-1687) – « Atys – Ouverture », interprétée par l'ensemble musical Les Arts Florissants (direction : William Christie) « Ah ! Ça ira », interprété par Matthieu Lussier/ Les Jacobins Marie-Joseph Chénier (paroles) / Étienne-Nicolas Méhul (musique) – « Le chant du départ », interprété par l'orchestre de la Garde républicaine et le chœur de l'Armée française Hector Berlioz (1803-1869) – « La symphonie fantastique – Un bal », interprété par l'orchestre national de Lille (direction : Jean-Claude Casadesus) Gabriel Fauré (1845-1924) – « Requiem – Libera me », interprété par Simon Estes, l'orchestre de la Staatskapelle de Dresde et le Rundfunkchor de Leipzig (direction : Colin Davis) Pierre Boulez (1925-2016) – « Le marteau sans maître – Bel édifice et les pressentiments », interprété par l'ensemble InterContemporain (direction : Pierre Boulez) Maurice Ravel (1875-1937) – « Valses nobles et sentimentales – Assez animé », interprété par Ivo Pogorelich (piano).
Dans un beau et passionnant livre intitulé, « Les musiciens et le pouvoir en France », (Gallimard), Maryvonne de Saint-Pulgent nous raconte ces liens, de Lully à Boulez. « Le rapport de Lully et Boulez au pouvoir et ses conséquences sur notre paysage musical ne sont pas des singularités, mais le fruit d'une exception française, due à la préférence nationale pour le mécénat d'État et les régimes politiques à exécutif fort », écrit l'auteure. Elle en parle avec passion dans IDÉES ce dimanche. Ancienne directrice de patrimoine au ministère de la Culture entre 1993 et 1997, professeure associée de musicologie à Paris IV, Maryvonne de Saint-Pulgent commence son histoire au temps de Louis XIV, par la place occupée par Lully « à qui la surintendance de la musique du roi avait permis d'exercer une forme de « dictature musicale » déplorée par Colbert ».L'auteure parcourt les siècles et note, avec de nombreux exemples, que ce soutien du pouvoir dépassait le mécénat classique qui se pratiquait « habituellement dans les cours européennes prédémocratiques ». Avec elle, nous avançons dans le temps ; la Révolution qui avait aussi ses musiciens et les régimes suivants, y compris la République qui « instrumentalisent l'art au service de leur propagande et favorisent une esthétique officielle ».Puis l'influence étatique passe du pouvoir aux Académies et naît la politique culturelle. Premiers jalons, ceux posés par Léon Blum, lors du Front populaire, « qui nourrit celle que mène ensuite un compagnon de route, l'écrivain André Malraux, lorsqu'il crée en 1959 le ministère des Affaires culturelles voulu par le général de Gaulle », écrit Maryvonne de Saint-Pulgent.Dernière étape, la seconde partie du XXè siècle et l'omnipotence de Pierre Boulez (dont on célèbre le centenaire en 2025) à qui plusieurs présidents de la République n'ont rien refusé.« Les musiciens et le pouvoir en France, de Lully à Boulez », Bibliothèque illustrée des histoires, Gallimard. Programmation musicale : Jean-Baptiste Lully (1632-1687) – « Atys – Ouverture », interprétée par l'ensemble musical Les Arts Florissants (direction : William Christie) « Ah ! Ça ira », interprété par Matthieu Lussier/ Les Jacobins Marie-Joseph Chénier (paroles) / Étienne-Nicolas Méhul (musique) – « Le chant du départ », interprété par l'orchestre de la Garde républicaine et le chœur de l'Armée française Hector Berlioz (1803-1869) – « La symphonie fantastique – Un bal », interprété par l'orchestre national de Lille (direction : Jean-Claude Casadesus) Gabriel Fauré (1845-1924) – « Requiem – Libera me », interprété par Simon Estes, l'orchestre de la Staatskapelle de Dresde et le Rundfunkchor de Leipzig (direction : Colin Davis) Pierre Boulez (1925-2016) – « Le marteau sans maître – Bel édifice et les pressentiments », interprété par l'ensemble InterContemporain (direction : Pierre Boulez) Maurice Ravel (1875-1937) – « Valses nobles et sentimentales – Assez animé », interprété par Ivo Pogorelich (piano).
Mélanie, Antoine Gouy et Ginger vous accueillent au CRA CRA pour ce nouvel épisode ! Au menu du jour ? La Cérémonie des Molières, un peu de "Coudétrou", un soupçon de confiture d'orange, un bout de pti dej d'hôtel, un chouia de festival de Cannes et de jazz et plein d'autres trucs… Drôle de recette hein ? Allez, bon app les Paillettes ;-p Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:06:30 - L'invité de 6h20 - L'historien Jean-Benoit Poulle, analyste de l'actualité religieuse pour la revue le Grand Continent, était l'invité de France Inter ce mardi, au lendemain de la mort du pape François.
A 10h, ce mercredi 16 avril 2025, les GG : Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, Mourad Boudjellal, éditeur de BD, et Charles Consigny, avocat, débattent de : Les Français travaillent-ils assez ?
Au menu de la troisième heure des GG du mardi 15 avril 2025 : "'La France ne produit pas assez', vraiment ?" avec Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Bruno Poncet, cheminot, et Emmanuel de Villiers, chef d'entreprise.
La guerre au Soudan a fait « 13 millions de déplacés et réfugiés » en deux ans. Alors que le Soudan, troisième plus grand pays d'Afrique en superficie, est déchiré depuis avril 2023 par un sanglant conflit entre l'armée du général Abdel Fattah al-Burhan, dirigeant de facto du pays depuis un coup d'État en 2021, et les forces de son ex-adjoint, le général Mohamed Hamdane Daglo. Le Haut Commissariat aux réfugiés s'alarme des conséquences régionales de cette guerre civile, avec chaque jour plus de déplacés. Abdouraouf Gnon-Konde, directeur régional du HCR pour l'Afrique de l'Ouest et du Centre répond aux questions de Léa-Lisa Westerhoff. RFI : Deux ans après le début du conflit au Soudan, la violence a encore franchi un cap ce week-end au Darfour avec l'attaque et la prise du camp de déplacés de Zamzam. 13 millions de personnes déplacées de force à l'intérieur du pays comme au-delà des frontières. En tant que directeur régional du Haut-Commissariat aux réfugiés pour l'Afrique de l'Ouest et du Centre, comment est-ce que vous qualifiez cette crise ? Abdouraouf Gnon-Konde : D'abord, c'est de dire que c'est une crise humanitaire aiguë. C'est la pire crise humanitaire au monde après Gaza. Mais malheureusement, on n'en parle pas assez. Et je pense que justement, à deux ans du rappel du début de cette crise, c'est important que vous puissiez nous donner cette opportunité de souligner les conséquences de cette crise et d'appeler les uns les autres à réellement trouver une solution politique à l'intérieur du Soudan.Vous rentrez du Tchad où vous vous êtes rendu la semaine dernière. Ce pays frontalier joue un rôle particulier dans la guerre civile. Quelles répercussions la guerre civile a-t-elle sur le Tchad ? Une des conséquences immédiates, c'est que les populations, elles vont chercher un lieu de refuge. Et le lieu de refuge le plus près, pour certaines d'entre elles, c'est le Tchad. Et on a pu voir des populations arriver, qui continuent d'arriver et certaines viennent même depuis Khartoum et qui ont traversé donc des conditions vraiment difficiles. Et depuis avril 2023, le Tchad a déjà reçu près de 800 000 nouveaux réfugiés soudanais. Et cette année, le Tchad a déjà reçu 50 000 nouveaux réfugiés soudanais depuis le début d'année. Et malheureusement, nous nous attendons avec ces attaques auxquelles vous faites allusion, à davantage d'arrivées. Donc vous voyez, pour un pays fragile comme le Tchad, avec une population de 17 millions d'habitants, sans oublier d'autres réfugiés présents sur le territoire, les réfugiés nigérians qui sont là dans la région du lac Tchad et les réfugiés centrafricains et des déplacés internes. C'est extrêmement lourd.Tous les regards sont tournés vers le Darfour. Est-ce que vous craignez que la chute de Khartoum conduise à une aggravation des violences contre les civils dans cette partie ouest du Soudan ? C'est une source de préoccupation dans cette partie ouest du Soudan. Une préoccupation parce que si les combats se rapprochent de la frontière du Tchad, la crainte immédiate, c'est de voir ce que nous appelons en anglais le « spillover », donc un débordement de la crise sur le territoire du Tchad.D'un point de vue régional, quelles conséquences cette crise, ces deux années de guerre civile du Soudan ont-elles sur les pays frontaliers, sur la région ? On a observé des mouvements de populations vers le Tchad. Nous en avons déjà parlé, mais aussi des mouvements de populations vers la Centrafrique. La Centrafrique a déjà accueilli à ce jour à peu près 40 000 Soudanais dans une partie frontalière assez difficile : Birao, Korsi. Mais il n'y a pas que la Centrafrique, il y a aussi l'Égypte, il y a l'Éthiopie, il y a le Sud-Soudan et nous connaissons tous la situation dans laquelle se trouve donc le Sud-Soudan. Et la conséquence, elle va bien au-delà de la région parce que, à la frontière entre le Tchad et le Soudan, nous voyons des populations arriver qui transitent par le Tchad et qui continuent jusqu'en Libye, voire la Tunisie, et qui ont vocation à continuer en Europe. Donc pour nous, ça montre que la conséquence va bien au-delà des pays voisins. Elle va bien au-delà de la région et malheureusement, on voit davantage donc de Soudanais qui essaient d'arriver aux portes européennes.Il y a aussi la question du financement des activités humanitaires. Quel impact la coupure des financements américains a-t-elle sur cette crise au Soudan ? Elle nous contraint à faire des choix extrêmement difficiles. Au Tchad, déjà depuis 2003, nous avions déjà des Soudanais qui étaient là et nous étions en train de travailler à trouver des solutions d'intégration de ces populations. Mais malheureusement, aujourd'hui, avec cette baisse de ressources, nous sommes obligés de nous concentrer sur la réponse d'urgence dans les zones les plus fragiles.Quelle est votre crainte ? Qu'est-ce que vous craignez que ça puisse susciter sur une crise comme celle du Soudan ? La crainte immédiate, c'est de ne pas être en capacité d'apporter la plénitude de réponse. Au niveau global, pour le HCR, les États-Unis contribuent à hauteur de 40% de nos financements, dans la région ils nous accompagnent pour 60%. Mais il n'y a pas que les États-Unis qui ont baissé (leurs contributions). Déjà, pour les besoins immédiats, dans la région Afrique de l'Ouest, Afrique centrale, on parle de 14 millions de déplacés de force. Aujourd'hui dans cette région, 61 % des enfants en âge d'aller à l'école, âgés de 6 à 17 ans sont hors des circuits d'éducation. Donc, comment continuer à prendre en charge ces questions de besoins qui vont bien au-delà de la simple question humanitaire si on n'a pas les ressources adéquates ?
Chaque jour, en quelques minutes, un résumé de l'actualité culturelle. Rapide, facile, accessible.Notre compte InstagramDES LIENS POUR EN SAVOIR PLUSRAPPORT SUR LES VSS DANS LA CULTURE : Mediapart, France Info, Liste des recommandations du rapport (Mediapart)LIBRAIRIE PHILIPPE POUTOU : Nouvel Obs, HuffpostROBERT PATTINSON DANS DUNE : Deadline, Le Parisien, Le FigaroS3 THE LAST OF US : Le Parisien, NumeramaFESTIVAL D'IA NICE : Le Parisien, NicepresseEMISSION SPECIALE 35 ANS FORT BOYARD : 20minutes, IciÉcriture : Morgan ProtIncarnation : Morgan Prot Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Cette phrase résume assez bien ma vie, et bien heureusement pour nous elle concerne aussi Contre Soirée ! Il y a 2 ans on a fait le premier épisode live du podcast à l'Olympia, depuis je cherche constamment à retourner sur scène avec vous. C'est pour ça qu'on à fait la tournée, et c'est aussi pour ça que ce mercredi à 12h sort la billetterie de ma RÉSIDENCE à la Nouvelle Ève, cabaret de Pigalle. Le lien de la billetterie est juste ici : https://www.ticketmaster.fr/fr/manifestation/contre-soiree-billet/idmanif/619687/idtier/39534873 !!!!Un mercredi par mois dans la vraie vie, je vous propose de passer 1h30 de folie, de rires, de pleurs, d'échange, dans une salle mythique, et finalement c'est un rdv de copains mais version EXTRA. C'est fou !!!! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C'était une information RTL du 7 avril 2025, une attaque terroriste kamikaze qu'envisageaient de mener 3 jeunes Nordistes a été déjouée par la police. « Kamikaze », un mot japonais désormais synonyme d'attaque-suicide, mais qui a une origine très étonnante. Dans "Ah Ouais ?", Florian Gazan répond en une minute chrono à toutes les questions essentielles, existentielles, parfois complètement absurdes, qui vous traversent la tête.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.