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durée : 00:06:01 - L'invité de la rédaction d'ICI Lorraine - Alors que les services de police ont frappé un grand coup mardi 18 novembre à Nancy lors d'une opération anti-drogue, 10 personnes interpellées, des stupéfiants saisies, des armes et de l'argent, le préfet de Meurthe-et-Moselle évoque le renforcement des contrôles. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Tous les jours à 12h50, Anthony Morel vous fait découvrir les dernières actus techno, dans Estelle Midi, sur RMC.
Tous les jours à 6h46, Anthony Morel, expert High-Tech vous fait découvrir les dernières actus techno, dans Le Morning, sur RMC.
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Pour débuter l'émission de ce mardi 18 novembre 2025, les GG : Didier Giraud, éleveur de bovins, Bruno Poncet, cheminot, et Barbara Lefebvre, prof d'histoire-géo, débattent du sujet du jour : Une réunion pour lutter contre le narcotrafic, à quoi bon ?
durée : 00:04:22 - Le Grand reportage de France Inter - A quatre mois des municipales et alors que les maires se retrouvent du 18 au 20 novembre pour le congrès de l'association des maires de France, France Inter s'arrête ce matin sur ces élus qui luttent pour que leur commune ne devienne pas une ville dortoir. Grand Reportage à Sommervieu (Calvados). Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Ce mardi, le gouvernement tient une réunion à l'Elysée pour discuter des moyens de lutte contre les cartels en France.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Ce mardi, le gouvernement tient une réunion à l'Elysée pour discuter des moyens de lutte contre les cartels en France.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Ce mardi, le gouvernement tient une réunion à l'Elysée pour discuter des moyens de lutte contre les cartels en France.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine, nous abordons une problématique cruciale qui concerne l’avenir de notre territoire et des jeunes : la lutte contre les conduites addictives et les trafics de stupéfiants impliquant des mineurs. Nous allons mettre l’accent sur les structures et dispositifs ressources qui aident à lutter contre les conduites addictives. Cette émission [...]
En Afrique du Sud, la justice vient d'autoriser le retour sur le marché légal des cornes de rhinocéros avec l'argument que ce serait bon pour lutter contre le braconnage. Écoutez RTL autour du monde du 14 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Un Français sur dix est asthmatique. Contrairement aux idées reçues, cette maladie n'est pas incompatible avec la pratique sportive. Il est même conseillé de faire du sport.Écoutez RTL Matin avec Thomas Sotto du 12 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Pr Steven Le Gouill, directeur de l'Ensemble hospitalier de l'Institut Curie - Sylvain Yon, CEO de Mabqi - Philippe Sauze, investisseur - Florian Baud, l'histoire de l'hôpital Saint-Joseph (1878) Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Pr Steven Le Gouill, directeur de l'Ensemble hospitalier de l'Institut Curie - Sylvain Yon, CEO de Mabqi - Philippe Sauze, investisseur - Florian Baud, l'histoire de l'hôpital Saint-Joseph (1878) Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Comment favoriser une plus grande mixité dans les filières industrielles, scientifiques et technologiques, alors que les stéréotypes de genre et le manque de modèles féminins continuent d'influencer les choix d'orientation des jeunes filles ? Dans cet épisode, découvrez le plan d'action de Carole Valade, proviseure adjointe d'un lycée professionnel du Havre. Pour informer sur les métiers, déconstruire les stéréotypes de genre et proposer des modèles féminins inspirants, elle coordonne deux temps forts chaque année : une journée avec l'association « Elles bougent » et une journée dédiée aux droits des femmes. Un engagement qu'elle partage avec une équipe pédagogique motivée !Extra classe a besoin de vous : renseignez notre enquête utilisateur !Ces épisodes Extra classe peuvent vous intéresser :Filles, maths et informatique - Les Énergies scolaires #160.Créalab : un espace à parité pour vivre les sciences - Les Énergies scolaires #178.La playlist Enseigner en voie professionnelle.Vous pouvez aussi consulter :La vidéo La construction d'un cadre éducatif égalitaire jour après jour, 6 min, Réseau Canopé, 2025. En ligne sur CanoTech.La page Lutter contre les stéréotypes de genre à l'école sur Réseau Canopé.Le parcours e-INSPÉ Contribuer à la diversification des choix d'orientation des filles et des garçons, pour accompagner les élèves dès le collège.Extra classe à écouter et à partager sur toutes vos plateformes d'écoute :https://smartlink.ausha.co/extra-classeExtra classe, des podcasts produits par Réseau Canopé. Émission préparée et réalisée par : Fanny Milhe Poutingon Directrice de publication : Alexandra Wisniewski Coordination et production : Hélène Audard et Magali Devance Mixage : Myriam Naciri Contactez-nous sur : contact@reseau-canope.fr © Réseau Canopé, 2025Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En France, c'est le mois de l'économie sociale et solidaire. La lutte contre le gaspillage alimentaire fait partie des grands champs d'action. C'est un véritable fléau qui représente un cinquième de la nourriture disponible dans le monde. Chaque jour, l'équivalent d'un milliard de repas est perdu sur la planète. Avec des conséquences sanitaires, économiques et climatiques graves. Pourquoi est-il si difficile de lutter contre le gaspillage alimentaire ? Comment améliorer la situation ? Pour en débattre Lauranne Poulain, responsable des affaires publique de l'application mobile Too Good To go. Simon Baldeyrou, directeur général de l'application mobile Phenix. Marie Mourad, sociologue, consultante indépendante spécialisée dans le gaspillage alimentaire. Autrice du livre De la poubelle à l'assiette : contre le gaspillage alimentaire. Dix ans de lutte en France et aux États-Unis, éditions L'Harmattan.
En France, c'est le mois de l'économie sociale et solidaire. La lutte contre le gaspillage alimentaire fait partie des grands champs d'action. C'est un véritable fléau qui représente un cinquième de la nourriture disponible dans le monde. Chaque jour, l'équivalent d'un milliard de repas est perdu sur la planète. Avec des conséquences sanitaires, économiques et climatiques graves. Pourquoi est-il si difficile de lutter contre le gaspillage alimentaire ? Comment améliorer la situation ? Pour en débattre - Lauranne Poulain, responsable des Affaires publiques de l'application mobile Too Good To go - Simon Baldeyrou, directeur général de l'application mobile Phenix - Marie Mourad, sociologue, consultante indépendante spécialisée dans le gaspillage alimentaire. Autrice du livre De la poubelle à l'assiette : contre le gaspillage alimentaire. Dix ans de lutte en France et aux États-Unis, éditions L'Harmattan.
durée : 00:03:35 - Un monde connecté - par : François Saltiel - Le 6 novembre, c'est la Journée nationale de lutte contre le (cyber) harcèlement scolaire, l'occasion de revenir sur ce fléau autour de différentes études.
Afin de lutter contre la désertification des commerces en centre-ville, le gouvernement a commandé en mai dernier un rapport dont les conclusions viennent d'être rendues. Écoutez Frédérique Macarez, maire de Saint-Quentin, dans l'Aisne, qui a été l'une des auteures de ce rapport. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans Le Club Radio Monaco, Guillaume Rose, directeur général exécutif du Monaco Economic Board (MEB), met en lumière un acteur économique discret mais essentiel de la Principauté : BM Software.Créée en 2013 et implantée à Monaco, cette entreprise conçoit, développe et implémente des logiciels de messagerie bancaire et financière destinés aux institutions et aux entreprises.
durée : 00:03:19 - L'info d'ici, ici Pays d'Auvergne - Le CCAS de Bellerive-sur-Allier met à la disposition de la population un nouveau dispositif pour lutter contre les violences faites aux femmes. Il s'agit d'un bouton d'alerte, baptisé "Mon Shérif", qui permet d'alerter des personnes de confiance. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Emmanuel Macron plaide pour un encadrement plus strict des plateformes, mais jusqu'où faut-il aller sans basculer dans la censure ?Extrait de L'Hebdo du 1er novembre 2025Un discours présidentiel sans détourLors du Forum de la Paix à Paris, Emmanuel Macron a livré une violente charge contre les réseaux sociaux. Il a dénoncé un modèle économique fondé sur la manipulation de l'attention, accusant les plateformes américaines – et en particulier X – de favoriser les contenus les plus extrêmes. Selon lui, cette dérive menace directement nos démocraties, car l'émotion y supplante la vérité et l'argumentation.Vers une nouvelle ère de régulation ?Le chef de l'État appelle à “reprendre le contrôle” de notre vie démocratique et informationnelle. Transparence des algorithmes, suppression des faux comptes, fin de l'anonymat total… autant de pistes qui s'inscrivent dans un mouvement européen plus large, initié avec le Digital Services Act.Mais ce discours de fermeté révèle aussi un paradoxe : comment encadrer les géants du numérique sans freiner l'innovation ? Et surtout, comment réguler des entreprises souvent hors de portée du droit européen ?Le risque d'un glissement autoritaireImposer l'identité réelle sur les réseaux pose une question fondamentale : faut-il renoncer à l'anonymat pour plus de sécurité ? Ce serait oublier que le pseudonymat protège aussi la liberté d'expression, notamment celle des lanceurs d'alerte ou des citoyens ordinaires. Lutter contre les dérives en ligne ne peut se faire au prix d'une surveillance généralisée.Les réseaux sociaux, toujours sources d'informationEmmanuel Macron affirme que “les réseaux sociaux ne sont plus des lieux où l'on peut s'informer”. Je ne partage pas ce constat. Entre les médias traditionnels, les médias alternatifs et les témoignages directs, ces plateformes restent des espaces d'expression essentiels. Le vrai enjeu, c'est l'éducation au discernement : apprendre à reconnaître la désinformation, à vérifier les sources, à penser contre soi-même.Réguler, oui — mais sans oublier de former les citoyens à exercer leur esprit critique.-----------♥️ Soutienhttps://donorbox.org/monde-numerique
Les discussions continuent à l'Assemblée pour tenter d'élaborer un budget. Et dans ce grand capharnaüm, un sujet mérite selon vous qu'on s'y arrête, Emmanuelle : celui du crédit d'impôts pour les services à la personne. Depuis la fin de la semaine passée, il y a une nouvelle marotte à gauche : supprimer le crédit d'impôt services à la personne. C'est le dispositif qui permet de réduire l'impôt sur le revenu pour l'emploi déclaré d'une nounou, de quelqu'un qui fait le ménage, à hauteur de 50% de la dépense de son salaire, une dépense plafonnée à 12 000 euros par an. Pour la bonne bouche, rappelons que ce dispositif a été créé par la gauche, en 1992. Et la gauche n'en veut plus. Particulièrement la gauche LFIste qui se déchaîne contre ce dispositif qui profite selon elle aux hypermégasuperturbo riches – On va relativiser très vite les emportements de nos chasseurs de rupins. 4 millions de ménages bénéficient du crédit d'impôts et pour 90% d'entre eux, pour moins de 3000 euros, c'est dire si on gravite dans la stratosphère de l'opulence. Et figurez-vous que ces Crésus assujettis à l'impôt sur le revenu ont l'outrecuidance, comme le dénonce la députée Danièle Obono, de couvrir des besoins artificiels et superficiels. Ils recrutent des majordomes ? Des chauffeurs de maîtres ? Tu parles : le luxe insoutenable consiste en des heures de ménage, des gardes d'enfant ou l'accompagnement de personnes âgée ou handicapées, les trois activités les plus communément financées via le crédit d'impôt. La gauche se trompe de combat, selon vous. Elle espère en finir avec une dépense de quelques 3 milliards et demi... mais elle fait plus que se tromper de combat. Elle tire dans le dos des gens qu'elle se gargarise de défendre. D'abord, les bénéficiaires du crédit d'impôt. Les personnes fragiles, les mères célibataires qui travaillent et qui sans cela ont meilleur compte de rester à la maison. Manifestement, des mégariches, oublions les. Mais la gauche va aussi pénaliser ceux qui travaillent grâce à ce crédit d'impôt. 1.3 millions de personnes travaillent grâce à ce dispositif. Il a eu deux mérites : il a créé des emplois là où les gens galéraient eux même autrefois avec leurs parents âgés ou leurs enfants... Et il a aussi sorti du travail au noir des centaines de milliers de personnes, qui ont maintenant une couverture sociale. Ce crédit d'impôt est une échappatoire à la précarité. C'est un contresens fiscal de s'en prendre à ce crédit d'impôts. C'est la cerise sur le gâteau, ce crédit d'impôt rapporte plus qu'il ne coûte. Pour les fédérations de particuliers employeurs, un euro de crédit d'impôt génère 1,2 à 1,50 de recettes fiscales et sociales qui viennent contribuer à la solidarité nationale. Ce combat stupide de la gauche contre le crédit d'impôt pour les services à la personne en dit long sur son abandon la rationalité. Elle est obnubilée par les riches et dans l'espoir de leur faire rendre gorge, elle est prête à nuire à tous, y compris aux plus modestes. Lutter contre ce crédit d'impôt en espérant pénaliser une poignée de milliardaires, c'est comme utiliser un marteau pour tuer une mouche sur une table en verre, on a rarement fait plus bête Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les discussions continuent à l'Assemblée pour tenter d'élaborer un budget. Et dans ce grand capharnaüm, un sujet mérite selon vous qu'on s'y arrête, Emmanuelle : celui du crédit d'impôts pour les services à la personne. Depuis la fin de la semaine passée, il y a une nouvelle marotte à gauche : supprimer le crédit d'impôt services à la personne. C'est le dispositif qui permet de réduire l'impôt sur le revenu pour l'emploi déclaré d'une nounou, de quelqu'un qui fait le ménage, à hauteur de 50% de la dépense de son salaire, une dépense plafonnée à 12 000 euros par an. Pour la bonne bouche, rappelons que ce dispositif a été créé par la gauche, en 1992. Et la gauche n'en veut plus. Particulièrement la gauche LFIste qui se déchaîne contre ce dispositif qui profite selon elle aux hypermégasuperturbo riches – On va relativiser très vite les emportements de nos chasseurs de rupins. 4 millions de ménages bénéficient du crédit d'impôts et pour 90% d'entre eux, pour moins de 3000 euros, c'est dire si on gravite dans la stratosphère de l'opulence. Et figurez-vous que ces Crésus assujettis à l'impôt sur le revenu ont l'outrecuidance, comme le dénonce la députée Danièle Obono, de couvrir des besoins artificiels et superficiels. Ils recrutent des majordomes ? Des chauffeurs de maîtres ? Tu parles : le luxe insoutenable consiste en des heures de ménage, des gardes d'enfant ou l'accompagnement de personnes âgée ou handicapées, les trois activités les plus communément financées via le crédit d'impôt. La gauche se trompe de combat, selon vous. Elle espère en finir avec une dépense de quelques 3 milliards et demi... mais elle fait plus que se tromper de combat. Elle tire dans le dos des gens qu'elle se gargarise de défendre. D'abord, les bénéficiaires du crédit d'impôt. Les personnes fragiles, les mères célibataires qui travaillent et qui sans cela ont meilleur compte de rester à la maison. Manifestement, des mégariches, oublions les. Mais la gauche va aussi pénaliser ceux qui travaillent grâce à ce crédit d'impôt. 1.3 millions de personnes travaillent grâce à ce dispositif. Il a eu deux mérites : il a créé des emplois là où les gens galéraient eux même autrefois avec leurs parents âgés ou leurs enfants... Et il a aussi sorti du travail au noir des centaines de milliers de personnes, qui ont maintenant une couverture sociale. Ce crédit d'impôt est une échappatoire à la précarité. C'est un contresens fiscal de s'en prendre à ce crédit d'impôts. C'est la cerise sur le gâteau, ce crédit d'impôt rapporte plus qu'il ne coûte. Pour les fédérations de particuliers employeurs, un euro de crédit d'impôt génère 1,2 à 1,50 de recettes fiscales et sociales qui viennent contribuer à la solidarité nationale. Ce combat stupide de la gauche contre le crédit d'impôt pour les services à la personne en dit long sur son abandon la rationalité. Elle est obnubilée par les riches et dans l'espoir de leur faire rendre gorge, elle est prête à nuire à tous, y compris aux plus modestes. Lutter contre ce crédit d'impôt en espérant pénaliser une poignée de milliardaires, c'est comme utiliser un marteau pour tuer une mouche sur une table en verre, on a rarement fait plus bête Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Hélène Roué, journaliste au JDD - Sébastien Lignier, chef du service politique de Valeurs Actuelles Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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En Autriche, une initiative qui entend favoriser le vivre ensemble. Alors que nos sociétés semblent de plus en plus polarisées, l'association « L'Autriche des tables rondes et carrées » organise des dîners dans l'espace public pour faire se rencontrer des gens d'horizons sociaux, culturels et politiques différents. De notre correspondante à Vienne, C'est dans une jolie rue piétonne du VIIe arrondissement que le dîner, organisé par l'association « L'Autriche des tables rondes et carrées », se tient ce soir, mais les lieux varient selon les partenariats noués par l'ONG. Le concept est simple : chaque invité doit amener une personne très différente de lui, qu'il s'agisse d'âge, de confession, d'opinion politique, de classe sociale ou d'orientation sexuelle. Parmi la vingtaine de convives, Edith, 45 ans, venue avec une enseignante allemande plus âgée qu'elle, est ravie de cette expérience qui la sort du quotidien : « Il y a trente ans, quand on allait au café, on y rencontrait toute sorte de personnes, des gens différents. Aujourd'hui, je vais au café quand j'ai rendez-vous avec quelqu'un. Il n'y a plus autant d'espaces publics où l'on peut aller pour simplement passer du temps et engager des conversations. Et depuis le coronavirus, je trouve que les gens ne sortent plus. » Dépasser les clivages politiques et identitaire Sur la table, les plats et les verres se vident, pendant que des musiciens indiens chantent et dansent. Et peu à peu, des conversations se nouent. Daniel a osé faire le premier pas. Ce jeune enseignant de 24 ans habite la rue et a décidé au dernier moment, intrigué, de se joindre à la tablée. Geste qu'il ne regrette pas, car ce genre d'échange est rare, selon lui, dans une Autriche où le débat politique polarise : « Un de mes élèves m'a demandé : "d'où est-ce que je viens, moi, monsieur ? Ma mère vient de Palestine, mon père de Syrie et je vis à Vienne depuis l'âge de deux ans." Je lui ai alors répondu : "Pour moi, tu es Viennois, comme moi", car Vienne n'est pas une mais multiple. Mais c'est quelque chose qu'on oublie très facilement. Je remarque aussi dans la salle des professeurs à quel point les opinions sont polarisées. On a besoin de discuter en mettant l'accent sur des choses positives et ne pas toujours parler de politique. On y vient tôt ou tard. Mais quand on comprend d'abord les gens et leur histoire, on ne peut pas être trop en colère. » Des moments de partage La participation à ces dîners est gratuite. Depuis le lancement de l'initiative, il y a six mois, 39 dîners rassemblant près de 2 000 personnes ont eu lieu, et chaque fois, selon l'organisatrice Katharina Jeschke, l'ambiance est à l'écoute et au partage, loin du ton conflictuel souvent observé sur les réseaux sociaux : « La dernière fois, il y avait une institutrice à notre table. Elle était venue avec son mari et nous avons tous pensé : "Bon, ce n'est pas vraiment quelqu'un de si différent". Mais elle nous a répondu qu'il travaillait dans la police et qu'elle voulait qu'un policier découvre ce projet. Il y avait aussi avec nous un sauveteur originaire de Jordanie et deux personnes seules vivant dans des logements sociaux. C'est exactement ça notre but : créer des zones de rencontres où je peux sortir de ma réalité, car sinon je crois que le monde entier fonctionne comme chez moi. » L'association compte organiser davantage de dîners à l'avenir, y compris dans les autres régions autrichiennes.
En Autriche, une initiative qui entend favoriser le vivre ensemble. Alors que nos sociétés semblent de plus en plus polarisées, l'association « L'Autriche des tables rondes et carrées » organise des dîners dans l'espace public pour faire se rencontrer des gens d'horizons sociaux, culturels et politiques différents. De notre correspondante à Vienne, C'est dans une jolie rue piétonne du VIIe arrondissement que le dîner, organisé par l'association « L'Autriche des tables rondes et carrées », se tient ce soir, mais les lieux varient selon les partenariats noués par l'ONG. Le concept est simple : chaque invité doit amener une personne très différente de lui, qu'il s'agisse d'âge, de confession, d'opinion politique, de classe sociale ou d'orientation sexuelle. Parmi la vingtaine de convives, Edith, 45 ans, venue avec une enseignante allemande plus âgée qu'elle, est ravie de cette expérience qui la sort du quotidien : « Il y a trente ans, quand on allait au café, on y rencontrait toute sorte de personnes, des gens différents. Aujourd'hui, je vais au café quand j'ai rendez-vous avec quelqu'un. Il n'y a plus autant d'espaces publics où l'on peut aller pour simplement passer du temps et engager des conversations. Et depuis le coronavirus, je trouve que les gens ne sortent plus. » Dépasser les clivages politiques et identitaire Sur la table, les plats et les verres se vident, pendant que des musiciens indiens chantent et dansent. Et peu à peu, des conversations se nouent. Daniel a osé faire le premier pas. Ce jeune enseignant de 24 ans habite la rue et a décidé au dernier moment, intrigué, de se joindre à la tablée. Geste qu'il ne regrette pas, car ce genre d'échange est rare, selon lui, dans une Autriche où le débat politique polarise : « Un de mes élèves m'a demandé : "d'où est-ce que je viens, moi, monsieur ? Ma mère vient de Palestine, mon père de Syrie et je vis à Vienne depuis l'âge de deux ans." Je lui ai alors répondu : "Pour moi, tu es Viennois, comme moi", car Vienne n'est pas une mais multiple. Mais c'est quelque chose qu'on oublie très facilement. Je remarque aussi dans la salle des professeurs à quel point les opinions sont polarisées. On a besoin de discuter en mettant l'accent sur des choses positives et ne pas toujours parler de politique. On y vient tôt ou tard. Mais quand on comprend d'abord les gens et leur histoire, on ne peut pas être trop en colère. » Des moments de partage La participation à ces dîners est gratuite. Depuis le lancement de l'initiative, il y a six mois, 39 dîners rassemblant près de 2 000 personnes ont eu lieu, et chaque fois, selon l'organisatrice Katharina Jeschke, l'ambiance est à l'écoute et au partage, loin du ton conflictuel souvent observé sur les réseaux sociaux : « La dernière fois, il y avait une institutrice à notre table. Elle était venue avec son mari et nous avons tous pensé : "Bon, ce n'est pas vraiment quelqu'un de si différent". Mais elle nous a répondu qu'il travaillait dans la police et qu'elle voulait qu'un policier découvre ce projet. Il y avait aussi avec nous un sauveteur originaire de Jordanie et deux personnes seules vivant dans des logements sociaux. C'est exactement ça notre but : créer des zones de rencontres où je peux sortir de ma réalité, car sinon je crois que le monde entier fonctionne comme chez moi. » L'association compte organiser davantage de dîners à l'avenir, y compris dans les autres régions autrichiennes.
Invité : - Tegwen Naveos, Fondateur de Beaucarnea Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
«Retourne faire la vaisselle», «occupe-toi de tes casseroles»… Ces phrases, souvent lancées sur le ton de la plaisanterie, traduisent un sexisme bien réel dans le monde du sport. Elles rappellent que les femmes sont encore trop souvent reléguées à des rôles secondaires, comme si leur présence dérangeait ou n'était pas légitime. Malgré quelques progrès, les femmes continuent de subir des remarques déplacées, des regards insistants et un jugement constant dans un bassin de natation comme sur un terrain de foot. Dans les instances dirigeantes, selon le Haut Conseil à l'Égalité, seules trois femmes président une fédération olympique en France. Alors, pourquoi le monde du sport ne laisse pas de place aux femmes ? Que pourrait apporter une véritable égalité au monde du sport ? Avec : Béatrice Barbusse, sociologue spécialisée dans le sport, maître de conférences à l'Université Paris Est Créteil, vice-présidente de la Fédération française de handball et auteure de Du sexisme dans le sport (Anamosa) Aya Cissoko, championne du monde amateur de boxe anglaise en 2006 et championne du monde amateur de boxe française en 1999 et 2003 Marion Poitevin, alpiniste et autrice de Briser le plafond de glace (Éditions Paulsen). En fin d'émission, la chronique Écoutez le monde, de Monica Fantini. Programmation musicale : ► Beep - M.I.A. ► Tamat - Nusantara Beat.
«Retourne faire la vaisselle», «occupe-toi de tes casseroles»… Ces phrases, souvent lancées sur le ton de la plaisanterie, traduisent un sexisme bien réel dans le monde du sport. Elles rappellent que les femmes sont encore trop souvent reléguées à des rôles secondaires, comme si leur présence dérangeait ou n'était pas légitime. Malgré quelques progrès, les femmes continuent de subir des remarques déplacées, des regards insistants et un jugement constant dans un bassin de natation comme sur un terrain de foot. Dans les instances dirigeantes, selon le Haut Conseil à l'Égalité, seules trois femmes président une fédération olympique en France. Alors, pourquoi le monde du sport ne laisse pas de place aux femmes ? Que pourrait apporter une véritable égalité au monde du sport ? Avec : Béatrice Barbusse, sociologue spécialisée dans le sport, maître de conférences à l'Université Paris Est Créteil, vice-présidente de la Fédération française de handball et auteure de Du sexisme dans le sport (Anamosa) Aya Cissoko, championne du monde amateur de boxe anglaise en 2006 et championne du monde amateur de boxe française en 1999 et 2003 Marion Poitevin, alpiniste et autrice de Briser le plafond de glace (Éditions Paulsen). En fin d'émission, la chronique Écoutez le monde, de Monica Fantini. Programmation musicale : ► Beep - M.I.A. ► Tamat - Nusantara Beat.
Enregistré en juin dernier lors du festival La Claque Podcast Party à Marseille, sort de notre format habituel. Nous y croisons en direct et en public les regards de Noémie Behr, membre de l'équipe du Bureau des Guides du GR2013, et d'Antonin Rhodes, doctorant qui étudie la sociologie des loisirs de plein air chez les urbains. Ensemble, nous explorons une sujet qui nous tient à cœur, à l'heure des guerres, du changement climatique et de la montée du fascisme : face à la multiplication des murs, des frontières et des barrières, l'activité physique, et notamment la marche, peut-elle devenir un acte de réappropriation du monde ? Déambuler, arpenter, randonner… ou simplement marcher. Et si cette mise en mouvement, en apparence si banale, nous permettait de nous réapproprier nos lieux de vie, et osons le dire, les luttes ? Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Fini le temps des sorties en plein air, des rayons de soleil, et de la chaleur, direction le fond de son lit avec un plaid et un chocolat chaud ! En cette période, le quotidien peut avoir un goût plus amer. Tandis que pour certains, c'est temporaire, d'autres laissent doucement s'installer la déprime hivernale. L'origine de ce trouble est encore inconnue, mais les scientifiques s'accordent sur le lien entre le manque de lumière et la dépression saisonnière. Deux hormones seraient responsables de ces symptômes : la mélatonine, l'hormone du sommeil et la sérotonine, l'hormone du bonheur. Pourquoi déprime-t-on à cette période ? Comment combattre la dépression saisonnière ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Joanne Bourdin. Première diffusion : 12 janvier 2024. À écouter aussi : Quel est l'impact de l'automne sur notre productivité au travail ? Pourquoi cuisiner améliore-t-il notre santé mentale ? Pourquoi la santé mentale des étudiants se dégrade-t-elle ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:25:07 - Le Mag de la vie quotidienne - par : Ali Rebeihi - X Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Aujourd'hui, je reçois Paul Klotz, chercheur à la Fondation Jean-Jaurès et expert sur le sujet de la sédentarité.Avec lui, on a parlé d'un sujet qui nous concerne tous, sans exception : le fait de rester trop assis.Ce mal discret, presque invisible, qui s'est glissé dans nos quotidiens – au bureau, en voiture, sur le canapé – et qui, petit à petit, impacte notre santé, notre moral et notre société tout entière.Paul met en lumière les enjeux profonds derrière cette habitude : comment nos modes de vie, notre urbanisme et notre rapport au travail ont peu à peu fabriqué une population sédentaire. Mais surtout, il nous aide à prendre du recul, à comprendre comment bouger davantage sans tout révolutionner, avec des gestes simples, accessibles, et efficaces.Un épisode qui fait réfléchir, bouger… et qui, je l'espère, vous donnera envie de remettre du mouvement dans votre vie.Merci à WOJO, notre partenaire qui nous soutient en nous accueillant dans ses magnifiques locaux parisiens de Saint-Lazare !
durée : 00:35:48 - La Terre au carré - par : Mathieu Vidard - Le burn-out n'est pas réservé au monde du travail. Dans la sphère militante, des activistes s'épuisent en silence. Comment protéger ceux qui s'engagent et créer des collectifs inclusifs et solidaires ? - invités : Hélène Balazard, Simon Cottin- Marx - Hélène Balazard : Chercheuse en sciences politiques à l'ENTPE, Simon Cottin- Marx : Sociologue, maître de conférences au CNAM - réalisé par : Jérôme BOULET Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Aujourd'hui, Abel Boyi, éducateur, Flora Ghebali, militante écologiste, et Didier Giraud, éleveur de bovin, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Ecoutez RTL Matin avec Thomas Sotto du 01 octobre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le mal des transports arrive quand le centre de l'équilibre situé dans l'oreille interne détecte un mouvement que les yeux ne perçoivent pas. Ces signaux contradictoires envoyés au cerveau peuvent provoquer une sensation de malaise, des nausées, des maux de tête, des sueurs froides. Cela peut aller jusqu'à des vomissements. Une personne sur trois est sensible au mal des transports. C'est très désagréable et fréquent en voiture, en train, en bateau, et cela peut même arriver en avion. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les samedis et dimanches, à 7h11, l'avocat Roland Perez fait le point sur une question de droit. Aujourd'hui, il s'intéresse aux nouvelles règles applicables aux crédits à la consommation pour éviter le surendettement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Auditrice : - Pour lutter contre l'isolement des petits villages, Lucie a fondé un bar itinérant. https://www.instagram.com/lulu_bistrotitinerant/ https://www.deezer.com/fr/show/1001131231 Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Près d'un étudiant français sur deux déclare limiter ses achats alimentaires ou y renoncer, selon l'Ifop en 2024. Ce chiffre alarmant révèle une précarité alimentaire qui s'installe durablement dans la vie étudiante. Hausse des loyers, inflation, faiblesse des aides sociales : les jeunes doivent souvent choisir entre se nourrir, se loger ou étudier. Les distributions alimentaires et les repas à 1 euro mis en place dans les Centres Régionaux des Œuvres Universitaires et Scolaires (CROUS) ne suffisent plus à enrayer cette détresse. Comment en est-on arrivé à ce niveau de vulnérabilité dans un pays qui valorise l'égalité des chances ? Quel est le degré de précarité des étudiants dans le reste du monde ? Et quelles solutions concrètes peuvent être mises en œuvre pour garantir à chaque étudiant un accès digne à l'alimentation ? Avec : • Julien Meimon, président de Linkee, association qui propose une solution solidaire au gaspillage alimentaire, et auteur de Faim d'études. En finir avec la précarité étudiante (Éditions du Seuil). • Elisa Mangeolle, porte-parole de la FAGE, Fédération des Associations Générales Etudiantes et des AGORAé, espaces d'échanges et de solidarité qui se composent d'un lieu de vie ouvert à tous et d'une épicerie solidaire accessible sur critères sociaux créés en 2011 par la FAGE En ouverture d'émission L'école autour du monde, l'actualité de l'éducation avec Hoda Jaberian, spécialiste de l'éducation dans les situations d'urgence à l'UNESCO, Afghanistan : toujours 2,2 millions de filles toujours interdites d'école. Chronique Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Il répond à la question de Grégoire à Bobo Dioulasso au Burkina Faso Programmation musicale : ► Sonfo – Amadou & Mariam, Fally Ipupa ► Survivor – Tshegue.
Le perfectionnisme est l'un des plus grands freins à l'écriture. Comment savoir quand s'arrêter ? Comment distinguer exigence et blocage ? Dans cet épisode, je partage des conseils pratiques pour lâcher prise et enfin avancer sur ton projet de roman.⭐ PROCHAINE MASTERCLASS ⭐Comment trouver un éditeur pour son roman en 2026 ?Mercredi 24 septembre à 20h, sur Zoomhttps://licares.fr/masterclass~~ Ton bonus ~~Télécharge notre fiche de personnage ultime :F i c h e P e r s o : https://licares.fr/fichepersoTu seras alors inscrit à notre newsletter et tu recevras nos meilleurs conseils une fois par semaine !~~~~ Retrouve-nous ~~~~W e b : https://licares.fr/I n s ta g r a m : https://instagram.com/licaresfrY o u T u b e : https://youtube.com/c/licares
Près d'un étudiant français sur deux déclare limiter ses achats alimentaires ou y renoncer, selon l'Ifop en 2024. Ce chiffre alarmant révèle une précarité alimentaire qui s'installe durablement dans la vie étudiante. Hausse des loyers, inflation, faiblesse des aides sociales : les jeunes doivent souvent choisir entre se nourrir, se loger ou étudier. Les distributions alimentaires et les repas à 1 euro mis en place dans les Centres Régionaux des Œuvres Universitaires et Scolaires (CROUS) ne suffisent plus à enrayer cette détresse. Comment en est-on arrivé à ce niveau de vulnérabilité dans un pays qui valorise l'égalité des chances ? Quel est le degré de précarité des étudiants dans le reste du monde ? Et quelles solutions concrètes peuvent être mises en œuvre pour garantir à chaque étudiant un accès digne à l'alimentation ? Avec : • Julien Meimon, président de Linkee, association qui propose une solution solidaire au gaspillage alimentaire, et auteur de Faim d'études. En finir avec la précarité étudiante (Éditions du Seuil). • Elisa Mangeolle, porte-parole de la FAGE, Fédération des Associations Générales Etudiantes et des AGORAé, espaces d'échanges et de solidarité qui se composent d'un lieu de vie ouvert à tous et d'une épicerie solidaire accessible sur critères sociaux créés en 2011 par la FAGE En ouverture d'émission L'école autour du monde, l'actualité de l'éducation avec Hoda Jaberian, spécialiste de l'éducation dans les situations d'urgence à l'UNESCO, Afghanistan : toujours 2,2 millions de filles toujours interdites d'école. Chronique Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Il répond à la question de Grégoire à Bobo Dioulasso au Burkina Faso Programmation musicale : ► Sonfo – Amadou & Mariam, Fally Ipupa ► Survivor – Tshegue.
Vous avez peut-être déjà entendu cette affirmation: le venin d'abeille peut tuer les cellules du cancer du sein… en seulement une heure ?Cette croyance circule beaucoup, mais qu'en est-il vraiment ? Mythe, exagération… ou piste scientifique sérieuse ?Les origines de l'idéeTout commence avec une étude australienne publiée en 2020 dans la revue npj Precision Oncology. Des chercheurs de l'Institut Harry Perkins ont testé le venin d'abeille, et plus précisément une molécule qu'il contient : la mélittine. Résultat : en laboratoire, cette substance a effectivement détruit des cellules de cancer du sein, y compris les formes les plus agressives, comme le triple négatif. Et cela, en moins d'une heure. Impressionnant, n'est-ce pas ?Mais attention…Avant de crier victoire, il faut bien comprendre : ces résultats viennent d'expériences in vitro. Autrement dit, les tests ont été réalisés sur des cellules cancéreuses isolées dans une boîte de laboratoire, pas dans le corps humain.Et là, c'est une nuance énorme. Parce que détruire des cellules cancéreuses en conditions contrôlées, c'est une chose. Mais répéter le même effet dans un organisme vivant, avec sa complexité, son système immunitaire, ses organes… c'en est une autre.Les limitesPremière limite : le venin d'abeille, à forte dose, est toxique. Il peut détruire les cellules cancéreuses… mais aussi des cellules saines. Deuxième limite : il serait impossible d'injecter du venin pur directement chez un patient, sans causer de dommages graves.C'est pour cela que les chercheurs se concentrent sur la mélittine, la molécule active. L'idée serait de l'isoler, de la modifier et de l'encapsuler, pour qu'elle cible uniquement les cellules tumorales. Mais nous n'en sommes pas là : il s'agit de recherches préliminaires, pas d'un traitement validé.Le message cléDonc, est-il vrai que le venin d'abeille “élimine 100 % des cellules du cancer du sein en une heure” ?Oui, c'est vrai… mais seulement dans une boîte de Petri, pas dans le corps humain. Présenter cela comme une “cure miracle” est donc trompeur.Ce qu'il faut retenir, c'est que le venin d'abeille ouvre une piste prometteuse. La mélittine pourrait, un jour, devenir la base de nouveaux traitements, peut-être combinés avec d'autres thérapies. Mais ce chemin est long : il faudra encore des années de recherche, d'essais cliniques et de validations avant d'envisager une application réelle.ConclusionAlors non, les abeilles ne détiennent pas aujourd'hui la solution miracle contre le cancer du sein. Mais oui, elles nous rappellent que la nature est une incroyable source d'inspiration pour la médecine de demain. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pour lutter contre les médias privés détenus par des milliardaires, aux intentions plus ou moins louables, les médias indépendants - ceux dont l'objectif principal est de produire de l'information - doivent-ils s'unir ? Faut-il un Avengers des médias indés pour lutter contre Bolloré ? La question, un tantinet provocatrice, est posée par Mathieu Molard, rédacteur en chef de StreetPress, qui a organisé et animé ce débat tourné en direct de la fête de l'Humanité, le vendredi 12 sept ...
durée : 00:25:56 - Le Mag de la vie quotidienne - par : Ali Rebeihi - La phobie scolaire ou refus scolaire anxieux, c'est un trouble qui perturbe la vie de l'élève et de sa famille avec à la clé de l'absentéisme et un décrochage. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:27:10 - Le Mag de la vie quotidienne - par : Ali Rebeihi - Pour cette rentrée du Mag de la vie quotidienne avec Ali Rebeihi, nous allons essayer ce matin de partager des conseils pour vous aider à retrouver les joies d'un sommeil réparateur avec la chercheuse Armelle Rancillac et le Dr Alexandre Aranda, neurologue. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.