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25 ans, le travail et moi. RFI est allé aux quatre coins de la planète pour sonder des jeunes nés en l'an 2000 sur leur rapport au travail, leurs espoirs et l'avenir de leur métier. Direction Abidjan, en Côte d'Ivoire : RFI a rencontré un jeune passionné de technologies, qui entend concilier écologie et économie. Et si les déchets avaient de la valeur ? C'est le pari qu'a fait Emmanuel Korekou, jeune développeur ivoirien de 25 ans, en imaginant Ecobin+, une poubelle connectée capable de faire du tri sélectif tout en récompensant les personnes qui participent à la collecte. Le concept est simple : grâce à des capteurs intégrés, la poubelle reconnaît automatiquement la nature des déchets – plastique, matière organique… – et ouvre le bac adapté au contenu. Connectée à une application mobile, Ecobin+, qui est doté d'un panneau solaire, permet aux utilisateurs de vendre les déchets collectés et ainsi de participer activement à l'économie circulaire. « L'idée, c'est de sensibiliser la population à la collecte et au recyclage, mais aussi de montrer que les ordures peuvent être une ressource », explique Emmanuel Korekou. De l'électronique à l'internet des objets Avant de se lancer dans ce projet, Emmanuel Korekou, qui « a grandi à Abidjan », évoluait dans le domaine de l'électronique. Désireux d'élargir ses compétences, il décide de se reconvertir et s'inscrit au Techlab d'Eranove Academy, un centre de formation spécialisé dans les technologies du futur basé dans le quartier du Plateau. C'est là qu'il se passionne pour l'internet des objets et le génie climatique, deux secteurs porteurs à l'heure de la transition écologique. Dans un espace de travail partagé flambant neuf, Emmanuel Korekou travaille aux côtés de jeunes développeurs et geeks ivoiriens. Ensemble, ils inventent, testent et rêvent de solutions technologiques adaptées aux réalités locales. Imaginer le numérique de demain Pour ce jeune entrepreneur, le futur du numérique s'écrit déjà. Interrogé sur ce que pourrait être son métier dans 25 ans, Emmanuel imagine un monde dans lequel l'ordinateur de bureau ne sera plus nécessaire. « L'ordinateur, on l'aura littéralement à portée de main. En se promenant en ville, on sera déjà en contact avec des machines intégrées partout autour de nous, un peu comme les smartphones aujourd'hui », confie-t-il. Et il n'est pas inquiet du développement de l'intelligence artificielle (IA). Au contraire : « Il ne faut pas en avoir peur. Les métiers ne vont pas disparaître, ils vont simplement évoluer. Un secrétaire, par exemple, pourra ajouter de nouvelles fonctions à son poste. On aura des développeurs spécialisés en intelligence artificielle, en scripts pour coder des IA, et bien d'autres. C'est une opportunité pour celles et ceux qui sauront s'adapter. » Croire en la créativité de la jeunesse ivoirienne Pour Emmanuel Korekou, l'entrepreneuriat technologique est l'un des moyens de répondre à la crise de l'emploi qui touche de nombreux jeunes en Côte d'Ivoire. « L'État ne peut pas tout faire. Il faut que chacun prenne les choses en main et crée son activité en fonction de ses compétences, estime-t-il le concepteur d'Ecobin+, en constatant que de plus en plus de jeunes se lancent dans l'univers des start-up et du numérique. Les choses bougent, et financièrement, des méthodes existent pour nous accompagner. Tout est réuni pour avancer. » Toujours avide de savoir, Emmanuel Korekou poursuit sa formation dans les domaines de la transition énergétique, du suivi et de l'évaluation de projets de développement et de machine learning (apprentissage automatique). À lire aussiCôte d'Ivoire: les acteurs de l'économie numérique mis en avant à l'Ivoire Tech Forum
Renaud Blanchet est avec nous à La vie sociale cette semaine! Dans cet épisode, Renaud Blanchet se livre avec une authenticité touchante, où il nous parle de sa vision de l'amour, de son côté romantique assumé, et de ce qu'il cherche vraiment dans une relation. Il se confie aussi sur d'autres facettes de lui : sa relation avec ses parents, puis la connexion importante qu'il partage avec sa maman, et la manière dont il apprend à mieux comprendre — et exprimer — ses émotions. Renaud revient sans détour sur une période plus difficile de sa vie, sur les outils qui l'ont aidé à aller mieux, et sur ce qu'il a dû déconstruire pour devenir l'homme qu'il est aujourd'hui. C'est une discussion vraie qui nous fait redécouvrir cet homme qu'on adore! @restaurantszibo Les canettes de prêt-à-boire sans alcool CHIN CHIN sont disponible dans tous les établissements ZIBO! pour une durée limitée seulement. Dépêchez-vous et réservez dès maintenant : https://restaurantszibo.com/reservation/ @icitoutv
Mi-Juillet, le monde NFL est au repos total, avant de recommencer sur les chapeaux de roues d'ici la fin du mois avec le retour du training camp et les matchs de pré-saison en aout.Plax et Thiergow profitent de cette période creuse pour commencer à préparer la saison suivante : cinq raisons d'être inquiet et cinq raisons de croise à une (belle) amélioration ! Merci aux auditeurs qui ont déjà contribué au Patreon. Si vous souhaitez également nous soutenir, vous trouverez notre page Patreon à l'adresse suivante https://www.patreon.com/OnlyAGiantPodcast N'oubliez pas de vous abonner au podcast sur votre plateforme préférée (Spotify, Apple Podcast, Google Podcast ou Youtube) et de nous suivre sur Twitter !
Arrêtons le mensonge social : “ça va et toi ?” dans nos amitiésEt si ce simple “ça va et toi ?” était devenu un masque dans nos relations ?Dans cet épisode, on parle vrai. On explore pourquoi on se cache derrière cette question vide de sens, comment cette habitude entretient des relations superficielles, et surtout : comment oser être vrai sans devenir lourd.Tu mérites des amitiés où tu peux dire “non, ça ne va pas trop aujourd'hui” sans gêne ni peur d'être jugé.Tu mérites d'être écouté pour de vrai et d'écouter l'autre vraiment aussi.
Où en sommes-nous sur le plan de l'unité de l'Église après de plusieurs siècles d'existence et de nombreux accord oecuménique? Et si nos différences étaient une forme de complémentarité pour un même message. Dans ce dernier épisode de la troisième saison, Joan et Stéphane expliquent la différence entre des communautés rigides et robustes et reconnaissent que tous et toutes appartiennent à la même Église de Dieu et sont unis dans le Christ. Site internet: https://questiondecroire.podbean.com/ ApplePodcast: https://podcasts.apple.com/us/podcast/question-de-croire/id1646685250 Spotify: https://open.spotify.com/show/4Xurt2du9A576owf0mIFSj Contactez-nous: questiondecroire@gmail.com Notre commanditaire: L'Église Unie du Canada Moncredo.org * Musique de Lesfm, pixabay.com. Utilisée avec permission. * Photo de Helena Lopes, unsplash.com. Utilisée avec permission. Bonjour, bienvenue à Question de croire, un podcast qui aborde la foi et la spiritualité, une question à la fois. Cette semaine, quelle est la place de l'unité dans l'Église? Bonjour Stéphane! Bonjour Joan! Bonjour à toutes les personnes qui nous écoutent. D'abord, merci Stéphane d'avoir accepté qu'on prenne ce thème pour le dernier épisode de notre troisième saison Question de Croire. Déjà trois ans! C'est fou! L'unité de qui? La première semaine du mois de mai, j'ai pu bénéficier d'une retraite qui est aussi une formation au monastère de Bose qui se trouve en Italie, tout ou proche de la frontière avec la Suisse; c'est un monastère mixte femmes-hommes et aussi œcuménique. Bon, il y a majoritairement des catholiques, mais il y a quelques représentants et représentantes d'autres confessions. On a reçu des enseignements par Frère Luciano sur le thème de l'Esprit-Saint. Alors moi j'aime bien titiller un petit peu, on a vu l'Esprit-Saint dans la vie de foi, la Bible, l'Église… À un moment donné on avait le droit de poser des questions sur tout ce qu'on voulait. Alors je lui ai posé la question, oui, et l'unité de l'Église alors? Parce que finalement, est-ce que l'Esprit-Saint permet l'unité de l'Église? Qu'est-ce qu'on fait à propos des conceptions sur l'Esprit-Saint dans l'unité de l'Église? Je lui ai dit, « quid » de l'unité de l'Église? Il m'a répondu comme ça, avec son style italien un petit peu direct, il parle un peu fort aussi. Il a dit « l'unité de qui? L'unité de quoi? L'unité pourquoi? » Ça m'a vraiment fait rire parce que je suis vraiment d'accord avec frère Luciano. Quand on nous dit de façon un peu rapide Il faut œuvrer pour l'unité de l'Église. Ça ne se fait pas parce qu'il y a l'unité de l'Église. On parle de l'unité de qui, de quoi et l'unité pourquoi? Le rêve de l'unité de l'Église Eh oui, pourquoi? Très bonne question. Pourquoi devrait-on être absolument unis et qu'est-ce que ça veut dire être unis? Je crois qu'il y a un fantasme qu'au début tout le monde était uni et que c'est au cours des siècles que les chrétiens se sont divisés en différentes Églises, en différents mouvements. Mais lorsqu'on lit le livre des Actes des Apôtres, J'ai l'impression que la division s'est installée 30 secondes après que Jésus est parti. Il y a les affrontements Pierre et Paul. On entend parler de super apôtre. On entend Paul dire moi je vous ai baptisé dans le Christ, un tel vous a baptisé au nom d'Apollo. Je crois qu'il y a une espèce de rêve, un fantasme, un peu irréaliste, qu'il faut absolument être un, être ensemble, sinon on ne suit pas le message du Christ. Et ce qui sous-tend souvent ça, c'est « il faut être ensemble de ma façon ». Je me souviens lorsque je recevais l'enseignement religieux dans ma jeunesse catholique romaine, on avait cette image d'un arbre qui partait d'un tronc commun et il y avait plusieurs branches. Mais le tronc commun c'était la bonne Église, c'était l'Église catholique romaine et les branches c'était les protestants. J'ai remarqué le sous-texte là-dedans est « il faut qu'ils reviennent au bercail pour cette unité ». Ce n'est pas « nous avons à créer une nouvelle association, une nouvelle Église ». C'est « il faut recréer cette Église… qui est en parenthèse la nôtre ». Les menaces à l'unité Pour ma part, j'ai souvent entendu « Si on fait ceci ou cela, ça œuvrera contre l'unité de l'Église. » Par exemple, pendant longtemps, c'est ce qu'on a pensé des couples mixtes catholiques protestants. Dans la région dont je suis originaire, en Alsace, j'ai déjà pu entendre des personnes me raconter ce genre de témoignages. « Oui, on est un couple mixte. Au début, on ne voulait pas nous marier, c'était interdit. Le curé a dit que j'allais être excommuniée parce que je me mariais avec un protestant. Et puis en plus, on nous a dit que ça allait détruire l'Église. » Et j'ai beaucoup entendu ça aussi, il y a une dizaine d'années, concernant les bénédictions de couples de même genre. Cela allait détruire l'Église. Cela allait apporter le péché dans l'Église. Mais, le pire, cela allait œuvrer contre l'unité de l'Église. Par exemple, les accords œcuméniques qu'on a catholiques-protestants, les accords qu'on a avec des évangéliques, voilà. Le fait qu'il y ait une ouverture aux réalités de vie des gens, par exemple le fait de tomber amoureux de quelqu'un qui ne soit pas directement de ton réseau social confessionnel, qui ne soit pas du même genre que toi, ce soit forcément une menace contre l'unité de l'Église. Et pourtant, ce que j'ai appris pendant mes études de théologie, c'est que si la caractéristique de l'unité de l'Église, c'est de la rendre rigide, une Église forte comme ça, rigide, hermétique en quelque sorte, imperméable, elle ne pourra pas résister au séisme. Alors moi, je ne suis pas une grande spécialiste en urbanisme, en architecture, mais si j'ai bien compris, le principe même des immeubles qui résistent au séisme, comme au Japon, c'est qu'ils ne sont pas rigides, ils sont robustes. Pas pareil en fait. Donc ça nous amène à réfléchir à une façon d'avoir des Églises, des communautés qui soient robustes, mais finalement pas rigides. Reconnaître que nous appartenons tous et toutes à la même Église de Dieu Je t'écoute. J'ai l'impression que ceux et celles qui défendent ces positions-là se sentent peut-être un peu fragiles. Je vais te donner un exemple. Lorsque j'ai changé d'Église, ma mère en a parlé à des amis autour d'elle. Et une de ses amies a dit, mais c'est donc bien dommage, c'était l'un de nos meilleurs, il était pour devenir un prêtre. La réaction, ça n'a pas été, ah, quelle bonne nouvelle. Stéphane a trouvé une place où il se sent confortable, où il va pouvoir trouver sa place pour être dans la grande Église de Dieu. Si on a l'impression qu'on n'est pas assez solide, on a l'impression que tout ce qui est différent, tout ce qui n'est pas dans mon cercle que je peux contrôler, c'est une attaque, c'est une menace. L'Église de Dieu n'est pas la mienne et toutes les possibilités peuvent rejoindre plus de personnes. Alors pourquoi ne peut-on pas célébrer une personne qui trouve sa place, qui aime peut-être plus tel aspect de la foi ou tel autre aspect de la foi, au lieu de dire ben faut que je la garde dans mon Église, il faut que je la garde dans ma petite paroisse. Je pense qu'il faut quelque part faire confiance que ce qui existe correspond probablement au plan de Dieu, jusqu'à une certaine limite naturellement. Une Église complémentaire et plurielle C'est beau ce que tu dis de considérer l'Église comme un grand ensemble qui serait complémentaire, pluriel, divers. On en a fait l'expérience ici, dans la communauté méthodiste dans laquelle je vis depuis presque un an, puisque pour le Mercredi des cendres, on a proposé une célébration sur le temps du midi. La ministre Erika Stalkup, qui s'occupe ici de beaucoup des célébrations, était dehors, en habit pastoral. Elle avait une coupelle avec dedans une sorte de cendre, mais plutôt une cendre sous forme un peu de... Comment est-ce qu'on pourrait dire? De crème, voilà. Quelque chose qu'on puisse appliquer tout doucement. Et puis j'ai pris sa place parce qu'elle est allée préparer l'église. Et on a eu la grande surprise de voir arriver beaucoup plus de monde que ce qu'on croyait. On croyait qu'on serait deux ou trois, et figure-toi qu'on a presque été dix. Je ne sais pas si tu imagines. On a triplé les effectifs. Tout ça parce que le mercredi des cendres de cette année a été extrêmement populaire dans l'Église catholique, qu'un office a été déplacé ou annulé, je ne sais pas, mais en tout cas les gens ont remarqué qu'il n'y avait pas l'office de midi qui était annoncé et ils ont cherché sur Internet et l'Église la plus proche, c'était la nôtre. Et je me suis trouvée toute contente de me dire qu'on se rend service entre Églises, on ne se vole pas les gens, on se rend service. Quand les uns ou les autres doivent renoncer à faire ce qu'ils ou elles avaient prévu pour des raisons sûrement matérielles, humaines, qui s'expliquent, on est là, on est fidèles à notre appel et on peut se suppléer les uns les autres. On ne vole rien, on fait partie de la même Église, l'Église du Christ. La différence entre unité et uniformité Je trouve que nos institutions et beaucoup de personnes à l'intérieur de ces institutions ont de la difficulté à faire la différence entre unité et uniformité. On peut être uni et différent. On n'a pas besoin d'être exactement pareil. Même dans nos paroisses, on a des gens qui ont des opinions différentes, qui ont des philosophies différentes, mais qui se retrouvent et qui sont capables de travailler ensemble. Ça, c'est l'unité. On n'a pas besoin d'être pareil. La même chose s'applique entre différentes Églises, entre différents courants religieux. On peut reconnaître qu'on a des objectifs communs, qu'on a des aspirations qui se rejoignent et qu'on peut apprendre à vivre avec nos différences et même les célébrer. C'est difficile parfois de faire passer ce message-là parce que j'ai l'impression que pendant trop longtemps, comme l'exemple que tu as donné avec les couples mixtes, on a voulu donner ce message de « J'ai raison, donc tout le monde a tort. Nous avons le bon message, nous avons la voie. » Je me souviens, je devais prêcher sur : Jésus dit « Je suis la voie vers Dieu ». Et j'avais apporté un point de vue disant que pour les chrétiens, Jésus est la voie vers Dieu. Mais peut-être que pour un autre groupe, c'est autre chose. Pour moi, ça ne m'enlève rien si quelqu'un passe d'une autre façon vers Dieu, moi, je peux toujours passer par Jésus. Et les gens n'en revenaient pas. Ils m'ont dit, « je n'ai jamais entendu ça. Ça ouvre des possibilités. » Je leur ai dit, « mais on n'y perd rien. Moi, je n'y perds rien que quelqu'un fasse un culte différemment, qu'il y ait sept ou deux sacrements. » Pas que je m'en fous, mais ça ne change rien à ma foi, ça ne change rien à ma vie. Moi, j'ai trouvé ma place. J'espère que les gens trouvent leur place. Et c'est ça que je trouve triste. L'unité dans la diversité réconciliée Il y a eu beaucoup de travaux théologiques, parfois de haut vol et parfois entre des pères qui ne faisaient pas beaucoup de place à la diversité et à la jeunesse. Ces travaux ont permis d'avoir la Concorde de Leyenberg, un document qui date déjà de 1973 et qui vise à établir une unité dans la diversité réconciliée. C'est entre les Églises luthériennes, réformées, unies, valdésiennes (vaudoises d'Italie), et puis même les frères Morave en Europe. Ce qui est intéressant à lire là-dedans, c'est que c'est surtout basé sur les notions de prédication fidèle de l'Évangile et administration des sacrements. En se disant qu'il y a une compréhension commune de l'Évangile, le fait que l'Évangile doit être prêché et que c'est important pour la vie des croyants et des croyantes, et sur le fait qu'il est important d'administrer les sacrements. Elle ne nie pas les différences confessionnelles, notamment liturgiques, il faut le dire, notamment sur la gouvernance, notamment sur la reconnaissance des ministères, les différentes modalités. Mais en tout cas, elle reconnaît que ces différences ne sont pas séparatrices. Et c'est ça qu'on appelle l'unité dans la diversité réconciliée. Mais c'est vrai qu'en même temps, comme le dit le théologien Elio Jaillet, il y aurait sans doute un pas de plus à faire en dessinant l'histoire et la dynamique d'une unité qui se vit aussi par la différence. Parce que quand on dit qu'on croit à l'unité dans la diversité réconciliée, on ne dit pas pour autant qu'on reconnaît les différents aspects de cette diversité. On dit qu'il y a une diversité et que comme on veut être dans l'unité, on est réconcilié. Mais ça ne va finalement pas très loin dans la reconnaissance de l'altérité de chacun et chacune. Et c'est intéressant de se poser un peu ces questions : qu'est-ce qui nous empêche d'aller un peu plus loin, de s'intéresser véritablement aux différences? Par exemple, je dois dire qu'il y a encore 10 ou 20 ans, tous les rituels catholiques, je les ai trouvés un petit peu pénible. Et puis finalement, je ne sais pas si c'est en vieillissant ou si c'est en prenant de la maturité ou si c'est tout simplement parce que je vois que ça porte du fruit dans la vie des gens, ces rituels commencent même parfois à me toucher. Et c'est parce que j'ai toujours continué à m'y intéresser. Finalement, plus on s'intéresse à la vie des gens et à ce qui les porte et à ce qui les fait grandir spirituellement, plus on met en avance ce que le théologien Elie Jaillet appelle la convivence. Finalement, la convivence est une dimension centrale pour le consensus. Le fait de célébrer ensemble, de vivre des rites et des actes liturgiques ensemble, de s'intéresser à la façon dont les autres vivent leur foi, ça crée un sentiment de convivencia, de convivence, de vivre ensemble, et il nourrit beaucoup aussi ce sentiment-là. Il peut faire aussi vraiment beaucoup de bien à notre foi. Quand l'unité répond à des besoins du terrain Peut-être que l'une des raisons pour laquelle cette idée d'unité n'est pas plus explorée, comme tu l'as présenté, c'est que c'est rarement abordé d'un point de vue peut être théologique ou ecclésial. Je m'explique, l'Église Unie du Canada, donc unie dans le titre, dans le nom, est un projet qui a vu le jour au début du XXe siècle. Dans l'histoire canadienne, c'était une période d'immigration massive dans l'Ouest canadien. L'idée de cette union était qu'on ne pourra pas ouvrir des paroisses presbytériennes, méthodistes, congrégationalistes, un peu partout. Donc, il faut systématiser un peu tout ça parce que ça va coûter trop cher, ça va demander trop de ressources. Cette idée d'union, ce qu'on appelle dans le jargon organique, est né d'un côté très pratico-pratique. Il faut trouver des moyens pour évangéliser ces gens-là. Ce n'était pas, on part d'un principe, d'un appel de l'Esprit-Saint ou de lecture de l'Évangile, puis on dit, ah oui, il faut retourner sur le terrain avec ça. Non, c'est le terrain qui nous disait, ça ne fonctionne pas. Si on travaille tout seul de notre côté, on va se planter. Donc, il faut s'unir. Je pense qu'il y a quelque chose là-dedans. Souvent, cette union est le résultat de quelque chose de très pratique et on le voit encore au Canada de nos jours. Beaucoup de paroisses protestantes ferment. Puis là, on dit, bon, on a un pasteur à un quart temps de l'Église Unie, et puis un mi-temps anglican. Bon, si on fusionne les deux paroisses, on va avoir une charge qui a à peu près de l'allure. C'est ça qui conduit à cette fusion-là, à cette union entre ces deux paroisses-là, et non pas une réflexion plus ecclésiale, plus théologique. Être garant du ministère de l'unité En tant que pasteur, en tout cas moi c'est quelque chose que j'ai souvent entendu, déjà en tant que théologienne d'abord et puis ensuite dans mes différents ministères, j'ai entendu dire que j'ai des convictions très nettes concernant l'inclusivité dans l'Église, le féminisme et le multiculturalisme. Ce sont trois domaines sur lesquels j'aime bien de temps à autre laisser transparaître mon avis lors de la prédication, lors des discussions; ils me tiennent à cœur, ils sont constitutifs de qui je suis et je trouve que ce sont des sujets de prédication importants. Souvent on m'a dit, « écoute, il faudrait quand même que tu ralentisses un peu, que tu ailles un peu mollo, parce que rappelle-toi que tu es garante du ministère d'unité. » C'est intéressant parce que, est-ce que lorsqu'on dit ça à des gens un peu engagés, qui ont des convictions, qui peuvent du reste les défendre et en discuter, donc qui ont des ressources et qui ont aussi des compétences au dialogue, ce qui est mon cas j'espère. J'arrive quand même un peu à dialoguer, est-ce que c'est une injonction à se taire finalement, ou être dans une ligne jugée plus consensuelle ou moins clivante? Ou est-ce que c'est une occasion manquée de créer du lien, quand on dit ça? Dans les deux cas, moi, je ne me sens pas très à l'aise. Parce que lorsque quelqu'un a des propos un petit peu excessifs contre les étrangers, ou bien contre celles et ceux qui ne viennent pas à l'Église, ou bien contre l'autorité ecclésiale qui ne serait pas la bonne, on lui dit rarement, « fais attention, tu es garant du ministère d'unité, On va lui dire, oh là là, t'exprimes ton opinion. » « Merci beaucoup, M. Tartampion, le donateur, d'avoir dit ce que vous avez dit. » Mais en fait, on est tous et toutes garants de cette unité. Et comme nous le dit la concorde de Lillienberg, qui n'est pourtant pas le plus woke possible, mais c'est une unité dans la diversité réconciliée. Donc avoir des opinions pourvu qu'elles restent en dialogue et qu'elles ne soient pas des opinions qui aillent contre l'unité, c'est des opinions qui font partie de la diversité réconciliée et qui ne devraient pas être des menaces pour quiconque ou quoi que ce soit. L'unité qui se limite à l'apparence Dans tout mouvement, il y a les militants, les militantes qui essaient de repousser les frontières. Il y a les gens qui sont au milieu et il y a les gens qui traînent un peu derrière. Et ça, c'est partout. C'est vrai lorsque, comme tu l'as dit, on est responsable du ministère de l'unité, ce qu'on sous-tend, c'est qu'il faut que les gens qui traînent la patte soient d'accord. C'est toujours de ceux qui sont derrière la parade qu'il faut prendre soin. Oui, ces personnes-là sont importantes, mais c'est, comme tu as dit, jamais l'inverse. Ce qui donne parfois l'image de ce que j'appelle l'unité de façade ou le faux consensus. Parfois, les déclarations publiques, c'est « nous sommes à tel endroit », mais ce n'est pas vrai. Certaines personnes sont à cet endroit, mais il y en a d'autres qui sont complètement ailleurs et qui n'osent pas s'exprimer. Je vais te donner un exemple. Pour devenir une paroisse inclusive, une paroisse qui accueille et valorise la diversité d'orientation sexuelle et de genre, dans l'Église Unie du Canada, il y a un processus qui dure à peu près 12-18 mois. Ensuite, il y a une assemblée générale et les gens votent. Je connais une pasteure qui a passé à travers le processus, qui a eu l'assemblée, 100% des gens ont voté en faveur de devenir une paroisse inclusive. Tout va bien. Arrive le mois de la Fierté et les gens du conseil ont dit : on pourrait hisser le drapeau de la Fierté devant l'Église. « On a un mat. C'est le mois de la Fierté… » Le tollé! La réaction! «Ah non! Pourquoi notre Église devrait devenir politique et tout ça?» Ce n'est pas vrai que 100% des gens étaient d'accord. Il faut faire attention justement à cette unité de façade, ce discours que tout le monde est d'accord. Nous sommes de telle façon ou de telle autre façon. C'est toujours plus complexe lorsqu'on a un groupe, et pour des sujets peut-être un peu plus sensibles, ben là, ça peut exploser. Je reviens à la question, l'unité de qui, l'unité de quoi, l'unité de pourquoi? L'unité avec le Christ Parfois, on est d'accord de vivre quelque chose de fort tous et toutes ensemble, parce qu'on aime ça. Les chrétiens, les chrétiennes, la plupart des croyants aiment les actes de foi partagés. Mais on n'est pas tellement conscient ou consciente, voire d'accord, que ça entraîne des conséquences dans notre vie qui nous engagent, qui nous exposent, potentiellement nous fassent du mal. Faire du mal, c'est peut-être un grand mot, mais on peut en avoir le sentiment. C'est là que c'est important de se rappeler, en tout cas moi ça m'aide, que mon unité se fait d'abord avec le Christ, en fait. Je ne suis pas vraiment d'accord avec plein de choses qu'ont dit les patriarches russes, par exemple, mais néanmoins, on peut dire ensemble la confession de foi. Ça va, j'y arriverai. Il y a toujours un degré minimum d'unité, et c'est ce qui me rassure parfois. Même quand il y a beaucoup d'hostilité entre chrétiens, chrétiennes, on a un degré minimum d'unité. Et cet espace sécuritaire, ce petit espace, c'est Jésus lui-même qui l'assure et qui en est au centre. C'est comme ça que j'ai réussi à traverser jusqu'à maintenant les différentes tempêtes confessionnelles. Conclusion Je crois que ces mots, Joan, pourraient conclure merveilleusement notre troisième saison. Merci beaucoup aux gens. Merci Joan de continuer ce parcours d'exploration de foi, de spiritualité, d'oser poser des questions, de ne pas toujours respecter la foi orthodoxe, d'aller parfois à contre-courant. C'est du bonheur, déjà trois ans, et puis c'est aussi du bonheur parce qu'on a des petits clins d'yeux. On a découvert que le groupe de jeunes de l'Église réformée vaudoise Région Lavaux nous a cités dans leurs ressources numériques qu'ils distribuent à la centaine de jeunes qui fréquentent un peu ce réseau de groupes. Alors voilà, ce sont des petites joies comme ça, des petites récompenses qui nous permettent d'avancer et d'envisager la quatrième saison avec beaucoup, beaucoup de joie. Nous n'avons pas la date du début des épisodes pour la quatrième saison. Nous tenterons de vous en faire part. Je sais que je vais vous faire au moins un petit coucou durant l'été. Je ne sais pas, Joan, si tu auras le temps, parce que tu as un été très chargé, je crois. Ah, comme je déménage, je ferais peut-être un petit coucou du processus de déménagement. Ça peut être rigolo, ça. Je veux vous dire qu'on cherche toujours des suggestions, vos commentaires, on apprécie lorsque vous nous contactez, entre autres par courriel questiondecroire@gmail.com. Merci à l'Église Unie du Canada, notre commanditaire qui relaie nos épisodes, qui offre des vidéos et des blogues sur son site moncredo.org. Alors, prends soin de toi, Joan au cours des prochaines semaines. Merci, Stéphane. De même pour toi. Et pour vous tous et toutes aussi, on veut tous vous revoir. On ne vous voit pas, mais on veut vous savoir à l'écoute pour la prochaine saison. À tout bientôt !
L'équipe de France arrive en Suisse pour l'Euro, dans une poule compliquée composée, notamment, de l'Angleterre et des Pays-Bas, les deux derniers vainqueurs de la compétition. Sans Renard, Dali ou encore Le Sommer, l'équipe de France, emmenée par Laurent Bonadei, n'a jamais été aussi outsider au début d'une compétition depuis longtemps. Et si c'était un mal pour un bien, pour un groupe qui attend son premier trophée majeur. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Didier Giraud, Barbara Lefebvre et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
aaaaaah la politique, vaste sujet.bon, quand on voit tout ce qui se passe dans le monde, on a un peu envie de se foutre en l'air, c'est clair.MAIS faut-il pour autant baisser les bras ? faut-il se désintéresser du monde qui nous entoure ? faut-il lâcher l'affaire et ne plus s'intéresser à la politique qui nous entoure ? ou alors s'y intéresser, débattre, comprendre, s'informer ? et si s'informer, comment ?tant de questions me direz-vous. mais c'est tout ce que je pose depuis des années, je suis végétarienne, écolo comme je peux, féministe, engagée pour la cause animale, bénévole dans des assos, bref je me considère comme engagée MAIS parfois, c'est lourd, c'est angoissant, toutes ces vidéos, ces articles, ces notifs, tout le monde qui brûle autour de nous, bref.la réalité du monde me révolte mais m'angoisse.et je pense que je suis pas la seule.mais la politique est au centre de tout, tout est politique : notre société, nos relations au autres, nos études, les entreprises dans lesquelles on bosse, …dans un monde remplit de fake news et d'angoisses, comment s'informer ? comment ne pas répéter l'Histoire ?on en parle avec Yann Soulier, professeur d'Histoire Géographie, que j'ai rencontré dans mes années lycées et qui a marqué ma scolarité, par ses cours ou par le voyage organisé sur la Shoah par balles.N'hésitez pas à me retrouver sur Instagram pour pouvoir me faire vos retours ou savoir en exclu les prochains sujets !(ou checker mes illustrations que je me casse le fiak à faire, ce serait cool)bisou Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Tu te sens épuisée avant même d'avoir ouvert les yeux ? Tu rêves de respirer, mais ton quotidien déborde ? Dans cet épisode, je t'invite à déposer ce poids invisible qui alourdit tes journées.On plonge ensemble dans les racines inconscientes du surmenage : l'héritage de nos mères, pères, et grands-pères, grands-mères, les croyances collectives qui glorifient la performance, les loyautés invisibles qui nous maintiennent sous pression.Je t'explique comment identifier ces schémas cachés et je te guide pas à pas vers une reprogrammation plus douce, grâce au ThetaHealing™.Respire, pose tes bagages, et découvre que tu peux t'alléger sans tout plaquer.
Entre souvenirs tendres et coups pendables, les animateurs partagent leurs histoires de guerre fraternelle. Ingrid et Tatiana dénoncent une situation troublante au parc Jarry : des hommes observent et filment les femmes et les jeunes filles à la piscine municipale, et ce, depuis des années. Ingrid partage un dilemme parental : laisser son fils de 13 ans aller seul voir les feux d'artifice au centre-ville en soirée. Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
durée : 00:24:49 - Le Feuilleton - "Olivia avait une façon bien à elle de raconter. Elle m'épargnait les mots trop crus. Elle me protégeait des brutalités. Elle s'assurait seulement que j'avais bien compris. "
Tous les matins dans Europe 1 Bonjour, Laurent Tessier revient sur le meilleur de l'émission de Pascal Praud et vous de la veille et vous livre en avant-première les sujets sur lesquels vous pourrez réagir en direct entre 11h et 13h, au 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou sur nos réseaux sociaux. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Demoiselles en détresse, princes charmants, marâtres jalouses, sorcières effrayantes... Ces personnages qui peuplent nos histoires d'enfance ne sont pas si innocents. Ils tracent des frontières dans les têtes des enfants et dessinent un monde où les filles doivent être belles et passives, où les garçons ne peuvent exprimer que la colère.Dans cet épisode, je reçois Julie Gielen Michel, créatrice du compte Instagram Petite Lecture Inclusive et autrice de "Croire aux fées, pas aux clichés". Ensemble, on décortique ces stéréotypes de genre qui se cachent dans la littérature jeunesse : pourquoi Raiponce n'essaie-t-elle jamais de s'échapper seule ? Que révèle la figure de la marâtre sur notre rapport au pouvoir féminin ? Comment les "panthères" racisées sont-elles réduites à leur supposée animalité ?Nous explorons aussi l'impact de ces récits sur la construction identitaire des enfants et les alternatives qui existent pour raconter d'autres histoires.Pour aller plus loin
Ça y est. Le moment tant espéré est enfin arrivé. Après des jours, des semaines, des mois de marche, les pèlerins débouchent sur la place que surplombe l'imposante cathédrale de Saint-Jacques-de-Compostelle.La joie se mêle aux larmes. On se prend dans les bras, on crie, on chante, on pleure. Certains, silencieux, s'asseyent à même le sol pour prendre la mesure de l'instant, pour goûter le chemin parcouru.Puis ils pénètrent dans la cathédrale pour accomplir le rituel de salutation à l'apôtre saint Jacques. Avant de se rendre au bureau des pèlerins pour retirer leur Compostela, ce document qui atteste que vous avez parcouru le chemin de Compostelle.Le chemin est maintenant terminé, c'est un autre chemin qui commence.► Découvrez les deux premières saisons du podcast Croire : Les voies de la prière ; et Vies de moines► Dans Place des religions, des séries sur les grands rendez-vous spirituels autour du pape François : sa visite à Marseille et les JMJ 2023 de Lisbonne ; et des réflexions de fond : Écologie, où sont les religions ?, Ainsi soient-elles, sur la place des femmes dans les religions.► Vous avez une question ou une remarque ? Écrivez-nous à cette adresse : podcast.lacroix@groupebayard.comCRÉDITS – Rédaction en chef : Arnaud Alibert et Paul de Coustin. Cheffe du service Religion : Céline Hoyeau. Reportage, montage et réalisation : Gilles Donada, journaliste au service Religion. Mixage : Sarah Lefèvre. Chargée de production : Célestine Albert-Steward. Visuel : Isaline Moulin. Directrice du marketing, audience et développement : Laurence Szabason. Musiques extraites de l'album Spiritual guitar, de Diego Baëza, Bayard Musique.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Opération « midnight Hammer »: les États-Unis frappent finalement l’Iran, qui promet des représailles. Dernière journée d’école : des établissements ouverts malgré la chaleur accablante. Écrasement d’hélicoptère : Airmedic suspend temporairement ses opérations. Drame d’Amqui : Steeve Gagnon coupable sur toute la ligne. L’hôpital d’Amos fait pitié pas à peu près. Survol des célébrations pour la Fête nationale. Lugentz Dort et le Thunder sont champions de la NBA! Tout savoir en quelques minutes avec Alexandre Dubé, Marianne Bessette et Alexandre Moranville-Ouellet. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Anne Liesse alias Madame Bricola a de l'or dans les mains, et une bonne dose d'audace. Cette Bruxelloise passionnée de bricolage depuis l'enfance a lancé son activité de rénovation légère et de réparation… à vélo cargo ! Mais au-delà du geste pratique, Anne manie aussi le marteau pour déconstruire les clichés : oui, une femme peut manier la disqueuse, le marteau-piqueur ou la scie sauteuse – et en faire un métier porteur de sens.Elle nous parle de son parcours, de son envie de contribuer à une société plus juste, et de son projet d'économie circulaire autour des objets chargés d'histoire. Une voix inspirante qui rappelle que croire en ses rêves, c'est parfois aussi réparer un peu le monde.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be.
La deuxième heure en intégralité de l'émission « Rothen s'enflamme », le rendez-vous qui vous plonge dans un vestiaire de foot. Tous les soirs, des anciens joueurs professionnels analysent et débattent autour de l'actualité du foot. Jérôme Rothen anime des
Budget 2025/2026 et les artistes : « Rien ne bouge, à croire qu'il n'y a que la retraite à 65 ans dans ce budget », s'indigne Jimmy Gassel by TOPFM MAURITIUS
Tu connais Trinity dans Matrix ? Hermione dans Harry Potter ? Padmé dans Star Wars ? Ces personnages ont un point commun : elles sont brillantes, compétentes, badass... mais restent dans l'ombre du héros masculin. Le syndrome de Trinity, c'est un schéma narratif inventé par la journaliste Tasha Robinson. Il décrit ces personnages féminins super compétents qui finissent par ne servir qu'à mettre en valeur le héros masculin, souvent moins qualifié qu'elles.Dans cet épisode, Julie Gielen Michel (@petitelectureinclusive) décortique cette mécanique narrative frustrante où les femmes les plus douées deviennent des faire-valoir. Pourquoi Trinity, qui maîtrise tout, n'est-elle pas l'Élue ? Comment ces représentations conditionnent-elles nos enfants ? Et surtout, comment reconnaître et déconstruire ce syndrome pour offrir de meilleurs modèles ?Chroniques du sexisme ordinaire, c'est un podcast de Marine-Pétroline Soichot qui débusque le sexisme avec pédagogie, humour et zéro culpabilité.Pour aller plus loin
⚠️ Mon micro pro a décidé de prendre une pause syndicale ce jour-là. Le logiciel en a choisi un autre… moins qualifié. Désolée pour le son, mais le fond reste lumineux ✨
durée : 00:24:49 - Le Feuilleton - "Olivia avait une façon bien à elle de raconter. Elle m'épargnait les mots trop crus. Elle me protégeait des brutalités. Elle s'assurait seulement que j'avais bien compris. "
durée : 00:05:28 - Déjà debout - Ce matin, Chloé Célérien, auteure d'une BD consacrée à la joueuse de foot Grace Geyoro, qui paraît chez Marabout, et maman parisienne est l'invitée Déjà debout.
durée : 00:05:28 - Déjà debout - Ce matin, Chloé Célérien, auteure d'une BD consacrée à la joueuse de foot Grace Geyoro, qui paraît chez Marabout, et maman parisienne est l'invitée Déjà debout. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Chaque jour, écoutez le Best-of de l'Afterfoot, sur RMC la radio du Sport !
Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.
« Les entreprises françaises sont trop frileuses en Afrique, elles doivent se réengager sur le continent », déclare Étienne Giros, le patron des opérateurs français en Afrique, qui publie 54 nuances d'Afrique aux éditions Télémaque. Étienne Giros a travaillé 23 ans dans le groupe Bolloré. Depuis onze ans, il préside le CIAN, l'association professionnelle qui regroupe les entreprises françaises opérant en Afrique. Il salue la résilience des quelque 5 000 opérateurs français qui travaillent toujours en Afrique et qui emploient 700 000 personnes. Mais il les invite à plus d'audace. Étienne Giros est le Grand invité Afrique de Christophe Boisbouvier. RFI : Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon ne sont pas d'accord sur tout, comme chacun le sait, mais ils sont d'accord pour dire que les entreprises françaises en Afrique profitent trop d'une situation de rente et qu'elles n'innovent pas assez. Pourquoi cela vous met-il en colère ?Étienne Giros : Cela m'agace parce que cela ne correspond pas à la réalité. Qu'est-ce que c'est qu'une rente ? Une rente, c'est bénéficier d'une situation de monopole qu'on va créer soi-même pour obtenir des tarifs élevés et ne pas développer des progrès techniques, etc. Les grands groupes français et les entreprises de taille moyenne, qui sont en France, ont peut-être eu des situations de rente en Afrique il y a cinquante ou soixante ans. Maintenant, rien n'est plus faux que cela. Les entreprises françaises sont soumises à la concurrence. Je prends un exemple d'un groupe que je connais bien : l'ancien groupe Bolloré qui maintenant s'appelle en Afrique AGL. Il est en concurrence avec des opérateurs chinois, dubaïotes et originaires d'autres régions du monde sur les ports. Le groupe Orange, qui est très important en Afrique dans la téléphonie, est en concurrence avec sept ou huit opérateurs mondiaux. S'il ne performe pas en qualité et s'il n'a pas les bons prix, je peux vous dire qu'il sera battu. C'est donc une erreur de croire que nous sommes en position de monopole.Est-ce que la compagnie Air France ne profite pas de sa position de monopole sur certaines lignes pour imposer des billets d'avion très très chers ?J'avoue que cela peut arriver et que les billets sont chers. C'est une question souvent de permis et d'autorisation de slots [les créneaux horaires donnés à une compagnie aérienne, NDLR] qui doivent être donnés par les autorités africaines. On appelle de nos vœux l'ouverture de ces marchés, car la communication entre les pays africains est très importante et effectivement c'est trop cher.Vous dites que les entreprises françaises restent très présentes en Afrique. Elles sont plus de 5 000, elles emploient 700 000 Africains pour un chiffre d'affaires de combien ?Cent milliards d'euros, ce qui est beaucoup plus que tout le volume d'affaires que nous faisons avec les États-Unis ou la Chine.Mais vous dites aussi, que depuis le Covid-19 de 2020, vous voyez des chefs d'entreprise français qui préfèrent renoncer à leurs projets en Afrique. Pourquoi ?Ils renoncent ou ralentissent parce qu'ils sont confrontés à un ressenti du risque africain qui est élevé. Le départ de la France dans des conditions compliquées, on va dire cela comme ça, du Sahel, les affaires de conformité avec le risque réputationnel ou le risque d'être traîné devant les tribunaux, les questions de la corruption qui perdurent et la petitesse des marchés…Tout cela fait que les entreprises françaises y réfléchissent à deux fois avant d'aller sur place. Notre travail, c'est de faire baisser le ressenti du risque en disant : « Non, l'Afrique n'est pas plus risquée qu'ailleurs ». Deuxièmement, en disant « Petit marché deviendra grand, une classe moyenne en Afrique arrive, la croissance démographique est là et ce continent est ouvert sur le monde ».Vous racontez dans votre livre l'histoire d'une entreprise française implantée en Afrique qui réclamait son argent. Le ministre des Finances de l'État concerné lui a répondu : « Je vous paye si vous me donnez 10% en dessous de la table ». C'est ce qu'on appelle du chantage. Comment cette entreprise française s'en est-elle tirée ?Elle s'en est tirée parce que c'était un grand groupe qui avait les reins solides. Elle a attendu. Elle a discuté avec les bailleurs de fonds. Elle a rendu public, non pas dans la presse mais à certaines personnalités, cet état de fait. Finalement au bout d'un an, un an et demi, ça a été réglé. Mais une entreprise de taille moyenne qui ne peut pas tenir un an, un an et demi et qui a les emplois en cause, va quelquefois, soit être obligée de partir, soit être obligée de céder. Tout ça pour dire que je sais que peut-être certains ne vont pas être d'accord avec ce que je vais dire. Et je pense que les entreprises dans les affaires de corruption sont davantage victimes qu'opératrices.Un groupe français bien connu, le groupe Bolloré, pour lequel vous avez travaillé, est visé par la justice française qui le soupçonne d'avoir acquis frauduleusement la gestion des ports de Lomé et de Conakry. Est-ce que le groupe est plutôt victime ou plutôt coupable ?Je ne vais pas prendre parti sur ce dossier d'autant que la justice n'a pas encore rendu ses conclusions. Je ne peux pas répondre à votre question.Cette affaire judiciaire n'est-elle pas la raison pour laquelle Vincent Bolloré a vendu toutes ses activités africaines en 2022 à l'armateur italo-suisse MSC ?Je ne suis pas mandaté pour expliquer les motivations du groupe pour son départ d'Afrique dans les domaines du transport. Je ne crois pas que cela soit la raison. Je crois que c'est simplement un arbitrage d'actifs. Et ce groupe, qui est un groupe puissant, qui évolue beaucoup, a décidé d'orienter sa stratégie de manière différente et de quitter les transports, puisqu'il a vendu, certes, ses activités de transport en Afrique à MSC, mais il a aussi vendu ses activités de transport monde à CMA CGM. Ce n'est pas l'Afrique qui était visée. Je pense que c'était simplement une réorientation stratégique. D'ailleurs, ce groupe conserve sa présence en Afrique dans le domaine des médias. Canal+, qui appartient à ce groupe, est en cours d'acquisition du grand opérateur de télévision payant sud-africain qui s'appelle Multichoice, une énorme acquisition sur toute l'Afrique australe. Deuxièmement, il déploie la fibre dans une dizaine de pays. Je pense donc que ce n'est pas un signe de désintérêt de l'Afrique, c'est plutôt une réorientation stratégique.
“Que le faible dise : je suis fort.”Un verset puissant mais souvent mal compris.Dans cet épisode, on parle vrai. Tu peux aimer Dieu, avoir la foi, et pourtant ne pas aller bien.Et si dire “je suis fort” ne voulait pas dire faire semblant d'aller bien ?Et si ta vulnérabilité n'était pas une faiblesse, mais un chemin vers la vraie force, celle qui vient de Dieu ?Un épisode pour te libérer de la pression, pour oser t'écouter, et pour réconcilier ta foi avec ton humanité.
Pas de répis pour nos Grandes Gueules du Sport, ils passent la seconde ! L'une des grosses actus sportives décryptée par nos GG.
Ecoutez Le débat du jour avec Céline Landreau et Olivier Boy du 30 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez Le débat du jour avec Céline Landreau et Olivier Boy du 30 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La foi, la morale et le Vatican. Le sommaire de L'Esprit des Lettres de mai 2025 vous semble-t-il austère ? Pas du tout ! Jean-Marie Guénois reçoit Marion Muller-Colard, pour « Croire qu'est-ce que ça change ? » chez Labor et Fides. Dans une réponse à son fils qui l'interroge sur sa foi, la théologienne protestante nous entraîne dans une réflexion sur la place qu'occupent les croyances dans nos vies et l'usage que nous en faisons. Peut-être croit-on plus qu'on ne le croit ! Un petit livre essentiel pour développer le savoir-croire et éviter de confondre connaissance et croyance. Le philosophe orthodoxe Bertrand Vergely publie « La vraie morale se moque de la morale » aux éditions Guy Trédaniel. La morale est dans l'impasse. Alors que dans certains pays, les dévots modernes conduisent une politique morale avec un ministère du vice et de la vertu, les libertins modernes appellent à toujours plus de permissivité. D'où le chaos moral qui mine les démocraties. Toutefois, ce conflit déchirant n'est pas une fatalité. La vraie morale existe. Loup Besmond de Senneville a exploré « Vatican secret : Quatre années au coeur du plus petit État du monde » et le raconte chez Stock. Envoyé spécial de La Croix au Vatican, il a plongé dans les entrailles du Saint-Siège, qui tient à la fois d'une petite ONG et d'une grande institution internationale à l'histoire millénaire et où convergent ces jours-ci les regards du monde entier. Une émission coproduite par KTO, La Procure et Le Jour du Seigneur.
Croire en un dieu et être scientifique peut devenir un combat institutionnel avec les églises et le pouvoir politique mais c'est également un débat de l'ordre de l'intime. Les historiennes et les historiens s'intéressent à comprendre comment la religion et la science se sont séparés. Trois exemples pour comprendre : Galilée, Lemaître et Darwin. Avec Jean-François Bert, sociologue et historien des sciences à l'université de Lausanne.
Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Cyril Hanouna et ses invités débattent de l'émission sur TF1 ce mardi soir dans laquelle le président de la République, Emmanuel Macron, répondra aux questions des Français. Pour Loïc, auditeur de l'émission, les sujets qui seront abordés ne correspondent pas aux besoins de la population. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:15:36 - Journal de 8 h - C'est la question qui anime les diplomaties ukrainiennes et européennes depuis hier. Le président russe à proposé des pourparlers directs jeudi en Turquie, Kiev accepte mais les conditionne à un cessez-le-feu immédiat qui met le Kremlin dans l'embarras.
durée : 00:15:36 - Journal de 8 h - C'est la question qui anime les diplomaties ukrainiennes et européennes depuis hier. Le président russe à proposé des pourparlers directs jeudi en Turquie, Kiev accepte mais les conditionne à un cessez-le-feu immédiat qui met le Kremlin dans l'embarras.
durée : 00:15:36 - Journal de 8 h - C'est la question qui anime les diplomaties ukrainiennes et européennes depuis hier. Le président russe à proposé des pourparlers directs jeudi en Turquie, Kiev accepte mais les conditionne à un cessez-le-feu immédiat qui met le Kremlin dans l'embarras.
Ce matin, amis des mots, on se penche sur des outils "petits, mais costauds"- comme disait une pub qui ne nous rajeunit pas - puisque ce sont eux qui articulent les mots entre eux : les prépositions. Sans elles, c'est simple, nos phrases ne tiennent pas debout.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La narration, et non la prédication ou la moralisation
Podcast Méditer l'Évangile, le Psaume ou la Lecture du jour en audio ¦ Prie en chemin
Aujourd'hui nous sommes le samedi 10 mai de la troisième semaine du temps pascal.L'évangile d'aujourd'hui se situe à la toute fin du long entretien de Jésus sur le Pain de vie. C'est maintenant l'heure du choix. Le moment où il faut se décider. Croire ou ne pas croire, voilà la question! En cette fin de semaine, me voici Seigneur en ta présence, pour écouter ta Parole. Donne-moi de laisser là tous mes soucis, et d'ouvrir mon cœur... Chaque jour, retrouvez 12 minutes une méditation guidée pour prier avec un texte de la messe ! A retrouver sur l'application et le site www.prieenchemin.org. Musiques : Seigneur, à qui irions nous de Keur Moussa interprété par Keur Moussa - Psaumes et rythmes pour tous les temps - lundi à mercredi © Editions Art et Musique ; Pavana 'Bray' de William Byrd interprété par Alex McCartney - Elizabeth's Lutes © Creative Commons by-nc-sa license from Magnatunes.
La deuxième heure en intégralité de l'émission « Rothen s'enflamme », le rendez-vous qui vous plonge dans un vestiaire de foot. Tous les soirs, des anciens joueurs professionnels analysent et débattent autour de l'actualité du foot. Jérôme Rothen anime des
Si tu vis dans cette tension entre “je sais que je suis faite pour plus” et “je ne me sens pas prête”...Cet épisode est pour toi.Pas pour te pousser.Mais pour t'aider à changer de regard.Et t'autoriser à commencer… comme tu es.Tu peux déjà rejoindre la liste d'attente de l'académie : https://lacademiedesmulti.com/inscription-attHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Etienne Liebig, Joëlle Dago-Serry et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Olivier Truchot.
Dans cet épisode, on explore en profondeur la philosophie du festival Les Chatons d'Or, avec son président Nicolas Cerisola. Bien plus qu'un simple concours créatif, Les Chatons d'Or se positionnent comme un véritable tremplin professionnel pour les jeunes talents. On y parle d'accompagnement post-concours, d'ouverture aux projets personnels, d'intégration des nouvelles pratiques (comme l'IA), et surtout d'une jeunesse plurielle aux aspirations et parcours multiples.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Flora Ghebali, Charles Consigny et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:03:20 - Le Pourquoi du comment : philo - par : Frédéric Worms - Le printemps symbolise le renouveau. Mais y croire semble naïf face au dérèglement climatique et au retour des tyrannies. Comment alors le préparer ? Tel un jardinier, cette chronique interroge notre responsabilité : en toute saison, comment ensemencer les printemps du monde ? - réalisation : Riyad Cairat
Tenu en échec par Manchester United (2-2), l'OL entretient le rêve d'une qualification pour la 1/2 d'Europa League. Résumé tactique, et analyse.
Hello les besties, on en pense quoi de cette question ? Crises, conflits, égoïsmes… et pourtant, des élans de solidarité, d'amour et d'espoir.Dans un monde souvent marqué par la violence, l'injustice ou l'indifférence, une question revient : peut-on encore croire en l'humanité ? Est-ce naïf d'y croire, ou est-ce justement un acte de résistance ? Dans cet épisode, on s'interroge sur ce qu'il reste de beau, de bon, de profondément humain… et sur ce qui mérite encore qu'on y croit.On espère qu'il vous plaira, bisous les besties Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Éléonore Lemaire, Charles Consigny et Didier Giraud débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Osez, expérimentez, réinventez-vous !Dans ce bonus, Stéphanie Smadja, fondatrice de Challenge Ton Job, partage un message puissant : arrêtons de nous auto-saboter et osons croire en nous. Entre syndrome de l'imposteur, peur de l'échec et doutes sur notre légitimité, on se met souvent nous-mêmes des barrières.Et si on changeait notre discours intérieur ?