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L'ancien ministre de l'Éducation nationale et père du service civique nous offre son point de vue sur ce nouveau service volontaire. Selon lui, il n'a rien à voir avec le service militaire de l'époque et n'a pas beaucoup d'intérêt étant donné son caractère facultatif.Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Chroniqueurs :Antonin André, chef du service politique du JDDVictor Eyraud, journaliste politique à Valeurs ActuellesHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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En Suède, la fronde monte contre la politique migratoire du gouvernement. Partout dans le pays, des élus locaux refusent de participer au programme d'aide au retour volontaire des immigrés, voulu par la droite et l'extrême droite au pouvoir. Un mouvement inédit qui prend la coalition gouvernementale de court. Notre correspondante en Suède, Ottilia Férey, s'est entretenue avec plusieurs de ces mairies. « Merci mais non merci ». C'est ainsi que le maire de Jokkmokk, petite ville du nord de la Suède a catégoriquement décliné l'invitation du gouvernement à une rencontre pour discuter du rapatriement volontaire. « Nous n'avons aucune personne que nous voulons envoyer hors de notre commune ou à l'étranger. Au contraire, nous avons besoin de plus de personnes qui viennent s'installer et travailler ici, à Jokkmokk. Dans la commune voisine, appelée Boden, il y a une maison de retraite dans un petit village nommé Harads. En quelques années, vingt employés ont été expulsés. Ils venaient d'un centre d'accueil pour réfugiés situé à Harads, et plusieurs avaient été recrutés pour travailler dans les soins aux personnes âgées. Vingt personnes ! C'est tout un effectif ! Toutes travaillaient, payaient leurs impôts et percevaient des salaires conformes aux conventions collectives ». « On ne peut pas envoyer aux gens le message qu'ils sont indésirables » C'est lui, Roland Boman, qui a, depuis le cercle polaire, pour ainsi dire lancé le mouvement. « Ce que je vois aujourd'hui en Suède, c'est que les personnes qu'on expulse, ce sont des gens qui travaillent. Tout est désormais axé sur les représailles et les punitions. Plus personne ne parle d'humanisme ». Cette révolte s'est rapidement étendue au reste du pays jusqu'à l'extrême sud, à Malmö où le conseiller municipal Sedat Arif est atterré par ce budget de 217,5 millions d'euros alloués aux départs volontaires. « On ne peut pas envoyer aux gens le message qu'ils sont indésirables. Tant de ressources sont consacrées au renvoi des immigrés ; elles auraient été bien mieux utilisées pour investir dans le marché du travail. Ce racisme, accentué par cette politique d'exclusion étatique, amènera beaucoup de personnes à se demander : "Pourquoi devrais-je m'efforcer de contribuer à un pays qui ne veut pas de moi ?" ». « Nous avons un gouvernement incroyablement peu sérieux » À compter du 1er janvier 2026, la contribution au rapatriement va passer de 2300 euros à quasiment 32 000 euros par personne. À Stockholm, le social-démocrate Alexander Ojanne, adjoint au maire, dénonce un dispositif contreproductif. « On va perdre une main-d'œuvre qualifiée dont nous avons besoin. Nous avons un gouvernement incroyablement peu sérieux. Et surtout un gouvernement mal informé. Ils sont aveuglés par leur idéologie. On a l'impression que le gouvernement a largement bricolé ses solutions en coulisses, derrière des portes closes, où seuls les partis de la coalition étaient présents ». Une enquête menée, à la demande du gouvernement, avait pourtant conclu à l'inefficacité d'un tel dispositif et à ses potentiels effets pervers. À ce jour, près d'un tiers des communes suédoises ont, elles aussi, répondu par un « Merci, mais non merci ».
Invités :Véronique Jacquier, journaliste.Olivier Benkemoun, journaliste politique.Alain Madelin, ancien ministre.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:22:26 - 8h30 franceinfo - Le député européen LR, vice-président de la commission défense du Parlement européen et le député EPR, président de la commission défense de l'Assemblée répondaient aux questions de Camille Vigogne Le Coat et Hadrien Bect. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Pour sa troisième saison, Arnaud Demanche vient tous les matins à 8h20 pour poser son oeil sur l'actualité du jour. Cinq minutes de rire, pour se réveiller avec le sourire !
Pour sa troisième saison, Arnaud Demanche vient tous les matins à 8h20 pour poser son oeil sur l'actualité du jour. Cinq minutes de rire, pour se réveiller avec le sourire !
Garde-à-vous ! Repos ! Tu as entre 18 et 25 ans, tu aimes te rouler dans la boue, courir dans les bois au petit matin et tu n'es pas un marcassin, félicitations le bleu b.. tu peux désormais faire ton service militaire.
Garde-à-vous ! Repos ! Tu as entre 18 et 25 ans, tu aimes te rouler dans la boue, courir dans les bois au petit matin et tu n'es pas un marcassin, félicitations le bleu b.. tu peux désormais faire ton service militaire.
Patrick Cohen décrypte sur le plateau de “C à Vous” un point précis de l'actualité pour le replacer dans son contexte, l'analyser et le mettre en perspective, en écartant opinions et approximations.
En Suède, la fronde monte contre la politique migratoire du gouvernement. Partout dans le pays, des élus locaux refusent de participer au programme d'aide au retour volontaire des immigrés, voulu par la droite et l'extrême droite au pouvoir. Un mouvement inédit qui prend la coalition gouvernementale de court. Notre correspondante en Suède, Ottilia Férey, s'est entretenue avec plusieurs de ces mairies. « Merci mais non merci ». C'est ainsi que le maire de Jokkmokk, petite ville du nord de la Suède a catégoriquement décliné l'invitation du gouvernement à une rencontre pour discuter du rapatriement volontaire. « Nous n'avons aucune personne que nous voulons envoyer hors de notre commune ou à l'étranger. Au contraire, nous avons besoin de plus de personnes qui viennent s'installer et travailler ici, à Jokkmokk. Dans la commune voisine, appelée Boden, il y a une maison de retraite dans un petit village nommé Harads. En quelques années, vingt employés ont été expulsés. Ils venaient d'un centre d'accueil pour réfugiés situé à Harads, et plusieurs avaient été recrutés pour travailler dans les soins aux personnes âgées. Vingt personnes ! C'est tout un effectif ! Toutes travaillaient, payaient leurs impôts et percevaient des salaires conformes aux conventions collectives ». « On ne peut pas envoyer aux gens le message qu'ils sont indésirables » C'est lui, Roland Boman, qui a, depuis le cercle polaire, pour ainsi dire lancé le mouvement. « Ce que je vois aujourd'hui en Suède, c'est que les personnes qu'on expulse, ce sont des gens qui travaillent. Tout est désormais axé sur les représailles et les punitions. Plus personne ne parle d'humanisme ». Cette révolte s'est rapidement étendue au reste du pays jusqu'à l'extrême sud, à Malmö où le conseiller municipal Sedat Arif est atterré par ce budget de 217,5 millions d'euros alloués aux départs volontaires. « On ne peut pas envoyer aux gens le message qu'ils sont indésirables. Tant de ressources sont consacrées au renvoi des immigrés ; elles auraient été bien mieux utilisées pour investir dans le marché du travail. Ce racisme, accentué par cette politique d'exclusion étatique, amènera beaucoup de personnes à se demander : "Pourquoi devrais-je m'efforcer de contribuer à un pays qui ne veut pas de moi ?" ». « Nous avons un gouvernement incroyablement peu sérieux » À compter du 1er janvier 2026, la contribution au rapatriement va passer de 2300 euros à quasiment 32 000 euros par personne. À Stockholm, le social-démocrate Alexander Ojanne, adjoint au maire, dénonce un dispositif contreproductif. « On va perdre une main-d'œuvre qualifiée dont nous avons besoin. Nous avons un gouvernement incroyablement peu sérieux. Et surtout un gouvernement mal informé. Ils sont aveuglés par leur idéologie. On a l'impression que le gouvernement a largement bricolé ses solutions en coulisses, derrière des portes closes, où seuls les partis de la coalition étaient présents ». Une enquête menée, à la demande du gouvernement, avait pourtant conclu à l'inefficacité d'un tel dispositif et à ses potentiels effets pervers. À ce jour, près d'un tiers des communes suédoises ont, elles aussi, répondu par un « Merci, mais non merci ».
A 10h, ce jeudi 27 novembre 2025, les GG : Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, et Yves Camdeborde, restaurateur, débattent de : Service militaire volontaire, envie de vous engager ?
Faut-il rétablir le service militaire en France ? Emmanuel Macron a tranché pour un Service national volontaire de dix mois avec l'objectif de mobiliser 50 000 jeunes en 2035. Purement militaire, il sera censé répondre aux besoins des armées face aux menaces russes et aux risques accrus de guerre. Ce service national sera lancé progressivement dès l'été prochain. Depuis quelques années de nombreux pays européens rétablissent ce service. La guerre en Ukraine semble l'accélérer.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Invité : Sylvain Maillard, député Ensemble pour la République de ParisHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:23:12 - 8h30 franceinfo - La présidente du groupe LFI à l'Assemblée était l'invitée du 8.30 franceinfo du jeudi 27 novembre 2025 Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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Avec :Benjamin Amar, professeur d'histoire-géographie. Élise Goldfarb, entrepreneure. Et Frédéric Hermel, journaliste RMC. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Avec : Benjamin Amar, professeur d'histoire-géographie. Élise Goldfarb, entrepreneure. Et Frédéric Hermel, journaliste RMC. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Instauration d'un service militaire volontaire : les jeunes sont-ils encore patriotes ? // Gérald Darmanin peut-il sécuriser enfin nos prisons ?
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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durée : 00:23:19 - 8h30 franceinfo - Le président du parti Les Républicains était l'invité d'Agathe Lambret et Paul Larrouturou. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
C dans l'air du 25 novembre 2025 - Revoilà le service militaire ? À l'heure où l' « on est monté d'un cran dans la conflictualité avec la Russie », Emmanuel Macron a confirmé ce matin sur RTL la transformation du service national universel vers une nouvelle forme, sans plus de précisions. « Il est très clair que nous devons renforcer le pacte armée-Nation », a plaidé ce matin le chef de l'État. « Au moment où la guerre s'hybride, il est très important qu'un maximum de nos compatriotes comprennent ce que sont nos armées, comment ça marche, participent à la réserve que nous avons aussi mise en place et qui est très importante parce qu'elle apporte des compétences à nos armées », a défendu le président de la République.Emmanuel Macron a également voulu désamorcer l'idée que les jeunes volontaires du nouveau service seraient envoyés sur des théâtres d'opérations extérieures, à commencer par l'Ukraine. « Il faut vraiment, en tout cas tout de suite, supprimer toute idée confuse qui consisterait à dire qu'on va envoyer nos jeunes en Ukraine. Ce n'est pas du tout le sens de cette affaire », a précisé le chef de l'État. Les propos du chef d'état-major des armées la semaine dernière ont été « déformés », « sortis » de leur contexte. « La France n'a aucune intention de sacrifier sa jeunesse, il s'agit simplement de la préparer », a-t-il ajouté.Le retour d'un « service national » obligatoire d'une durée d'un mois pour tous les jeunes figurait dans le programme d'Emmanuel Macron en 2017. La proposition du candidat s'était matérialisée par la création du service national universel (SNU). Mais celui-ci, coûteux, a connu une mise en œuvre plus que laborieuse et n'a jamais trouvé sa place. Il a été enterré définitivement par Sébastien Lecornu à son arrivée à Matignon. Parallèlement, depuis des mois, le projet d'un service militaire volontaire est à l'étude.Alors Emmanuel Macron va-t-il annoncer ce jeudi la création prochaine d'un service militaire volontaire ? Depuis plusieurs mois, chefs d'États-majors et responsables politiques invitent les sociétés européennes à s'interroger. Comme la France, de nombreux voisins en Europe sont en train de réintroduire un service national, avait fait remarquer le général Mandon samedi sur France 5. Volontaire en Belgique, obligatoire en Finlande... Où en est-on en Europe sur cette question ? Pourquoi Jacques Chirac a-t-il annoncé la suspension du service militaire obligatoire en 1996 ? Nos journalistes ont rencontré Alain Richard, ministre de la Défense de 1997 à 2002. Il est revenu avec nous sur les raisons de cette décision, sa mise en pratique et l'état de la menace actuelle.Opérations de déstabilisation massives, propagande à grande échelle, attaques et tentatives d'ingérence… Il est très difficile de quantifier les tentatives de déstabilisation russes, mais dans certains États comme les pays baltes, la pression de la Russie fait partie du quotidien. Le pays en appelle au réveil de l'OTAN et à la fin de la naïveté des Vingt-Sept face à la réalité des projets du Kremlin. Parallèlement, les frappes massives russes se poursuivent sur l'Ukraine alors que les États-Unis ont remis sur la table ces derniers jours un plan de paix, réécrit avec les Européens.Nos experts :- Général Dominique TRINQUAND - Ancien chef de la mission militaire française auprès de l'ONU- Christophe BARBIER- Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-Tireur - Marion Van RENTERGHEM - Grand reporter, chroniqueuse à L'Express, et spécialiste des questions européennes- Laura KAYALI- Correspondante Défense - Politico
Chaque jour dans l'Heure des pros, Pascal Praud livre son édito sur l'actualité du moment. Aujourd'hui, il revient sur le service militaire volontaire qu'Emmanuel Macron envisage de relancer. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vers un retour du service militaire en France ? On en parle avec Isabelle Lasserre, grand reporter responsable des questions de diplomatie et de stratégie au Figaro, et Henri Vernet, rédacteur en chef adjoint au Parisien, spécialiste questions politiques et internationalesTous les soirs du lundi au vendredi à partir de 18h57 sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent celles et ceux qui font l'actualité du jour.
Ecoutez Le Cave' réveil avec Philippe Caverivière du 24 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Tous les matins à 7h15, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
La mère de prince Philip d'Edimbourg, grand-mère de Charles III, était peu connue. Quelle en a été la raison ? Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:07 - Un médecin volontaire dans une zone prioritaire du Tarn-et-Garonne - Dans le Tarn et Garonne, le Pays de Serres en Quercy fait partie des 151 zones prioritaires où l'offre de soins est très insuffisante. Un premier médecin généraliste, venu de l'Hérault, s'est porté volontaire trois jours fin octobre à Montaigu-de-Quercy, au nord de Montauban. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Au programme de cette première émission de la deuxième saison de Tremplin, l'émission de l'Afev : « Les aigri·es du mercredi« ,…
Vous avez des règles abondantes ? Ou vous ne voulez pas d'enfant ?Alors cet épisode est fait pour vous.Références citées :Loi L2123-1 (04/07/2001) du Code de la santé publique qui autorise la stérilisation volontaireSite internet Sterilisezmoi et sa liste de médecinsGroupe Facebook “Stérilisation Volontaire” et sa liste des médecins Dr François Leblanc : a opéré Marion Brige à la Polyclinique du Parc de Caen (Calvados)Dr Pierre Panel : a reçu Marie Albert en consultation, puis son équipe l'a opérée à l'hôpital Mignot de Versailles (Yvelines)Mes trompes, mon choix !, un livre de Laurène Lévy (éditions Le passager clandestin, 2023) Lâchez-nous l'utérus, un essai de Fiona Schmidt (éditions Hachette, 2020)Childfree (éditions Spinelle, 2019) et Le temps du choix (éditions Payot, 2024), deux ouvrages de Bettina ZourliLe Ventre des femmes, un essai de Françoise Vergès (éditions Albin Michel, 2017)Recommandations de Marion Brige : Tous les livres de Becky ChambersLe jeu vidéo SpiritfarerPour soutenir le podcast et écouter les prochains épisodes en avant-première : patreon.com/mariealbertfrTexte, voix, réalisation, montage : Marie Albert (mariealbert.info) Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, certains pilotes — notamment soviétiques — ont pratiqué une manœuvre extrême et terrifiante : l'abordage volontaire en vol, ou taran en russe. Cette technique consistait à percuter l'avion ennemi avec son propre appareil, souvent lorsque toutes les autres options étaient épuisées : plus de munitions, moteur en feu, ou situation désespérée. Contrairement au mythe, il ne s'agissait pas toujours d'une attaque suicide.Le taran naît dans les premières années du conflit, à un moment où l'URSS est prise de court par l'attaque allemande de 1941. L'armée de l'air soviétique, alors inférieure technologiquement à la Luftwaffe, manque d'appareils modernes et de pilotes expérimentés. Dans ce contexte, certains aviateurs n'ont qu'un seul moyen de neutraliser un adversaire mieux armé : le frapper de plein fouet.Mais l'abordage volontaire n'était pas un acte aveugle. Il demandait une maîtrise exceptionnelle et un courage presque insensé. Le pilote soviétique visait généralement la queue ou l'aile de l'avion ennemi, cherchant à le détruire sans provoquer l'explosion immédiate de son propre appareil. Certains utilisaient même l'hélice pour sectionner le gouvernail de l'adversaire, espérant conserver assez de contrôle pour s'éjecter ou effectuer un atterrissage forcé.Le premier taran documenté eut lieu le 26 juin 1941, quelques jours après le début de l'invasion allemande. Le lieutenant Viktor Talalikhin devint un héros national après avoir abattu un bombardier Heinkel 111 en percutant son aile, puis réussi à sauter en parachute. Cet exploit, largement relayé par la propagande soviétique, transforma le taran en symbole du courage patriotique absolu. Des centaines de pilotes l'imitèrent ensuite, parfois jusqu'à y laisser la vie.Il faut aussi comprendre la dimension psychologique et idéologique de cette tactique. Dans une guerre où chaque acte héroïque servait à galvaniser le peuple, ces abordages prouvaient que la détermination pouvait l'emporter sur la technologie. Les journaux soviétiques en firent des récits épiques : le corps comme arme ultime, la volonté comme moteur.Au total, on recense plus de 500 abordages volontaires durant la guerre, dont près de la moitié furent survivants. Certains pilotes réussirent même plusieurs tarans.L'abordage volontaire en vol incarne ainsi l'extrême du combat aérien : un mélange d'ingéniosité, de sacrifice et de désespoir. C'était une arme de la dernière chance — mais aussi une démonstration éclatante de la foi absolue de ces pilotes en leur mission. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Elisa est préoccupée par l'emprise mentale qu'une médium exerce sur sa fille, qui a coupé les ponts avec sa famille. Depuis cette influence, sa fille a changé de comportement, s'isolant complètement et refusant tout contact familial. Elisa cherche des solutions pour renouer le lien et alerter sur les dangers de l'emprise sectaire. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:38:11 - CO2 mon amour - par : Denis Cheissoux - L'artiste peintre Jean-Michel Benier et la Réserve de la Massonne en Charente-Maritime - réalisé par : Xavier PESTUGGIA Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Brian et Chris débriefent l'UFC 320 ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le président de la République qui se rêvait en Jupiter n'est maître d'aucune foudre, il est l'homme de la grande liquéfaction. Le propre de ce mandat, c'est que plus rien ne tient et plus rien ne dure.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:06:24 - Le Grand Reportage - par : Aurélie Kieffer - Dans le Haut-Jura, le Grand Tétras, menacé de disparition, pourrait bénéficier d'une "zone de quiétude volontaire" dans la forêt de Champfromier. Lancé en 2017, le projet reste méconnu du grand public. Ce défaut d'information nourrit le mécontentement d'une partie de la population. - réalisation : Annie Brault
durée : 00:14:53 - Journal de 8 h - Le PS, volontaire pour prendre la relève de François Bayrou et gouverner, présente son budget alternatif. Le PS qui ne votera pas la confiance le 8 septembre, tient ses universités d'été à Blois.
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