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Ahmed Sule and Cisco Bradley join Rosie Bultman to discuss their documentaries that celebrate African culture. The Kukus of Ijebu-Ode tells the story of the Kuku dynasty in Nigeria. Sule describes the family as "a symbol of strength and leadership in Ijebu-Ode", and discusses the personal importance of uplifting prideful African stories. Take me to Fendika is a documentary about a now demolished musical and cultural center in Addis Ababa, Ethiopia. Cisco Bradley, an American Jazz enthusiast, was blown away by the beautiful music and cultural unity that the Fendika Cultural Center fostered. Hear more from both filmmakers in this week's episode of The People's Program Support Ahmed Sule's documentary here: https://kukudocumentary.com/ Support Cisco Bradley's documentary here: https://takemetofendika.com/ Donate to the Fendika Cultural Center here: https://fendika.org/support
Addis-Abeba, la capitale éthiopienne, est en pleine transformation. Cheval de bataille du Premier ministre Abiy Ahmed, le projet de ré-urbanisation comprend l'élargissement des rues et la modernisation de l'espace public. Des lieux et des quartiers historiques emblématiques disparaissent, comme l'ancien quartier touristique de Piazza, construit au début du XXe siècle et rayé de la carte. Aujourd'hui, c'est le cas du Fendika, centre cosmopolite, multiculturel, de renommée internationale, qui a disparu sous les bulldozers. De notre correspondante à Addis-Abeba,Le Fendika est bondé pour le dernier concert, la dernière soirée avant la destruction. Dans la salle bas de plafond à la lumière chaleureuse, les murs sont recouverts d'objets d'arts et d'instruments de musique provenant du monde entier. Comme une caverne pleine de trésors. L'atmosphère est joyeuse, mais au fond, les cœurs sont tristes, comme Méki, un habitué du lieu :« J'imagine que tout a une fin, mais là, j'ai vraiment l'impression que c'est la fin d'une époque. Le Fendika a été le centre de la culture d'Addis-Abeba, une grande partie de la culture urbaine que nous voyons à Addis a commencé ici. Je pense que cette ambiance et cette culture spécifiques, cette diversité et cette convivialité prendront du temps à se reconstruire. »Le Fendika, situé dans le quartier de Kazanchis, en grande partie détruit, va faire place à de grands boulevards bordés d'immeubles modernes. Pour Gelane, la réurbanisation est trop brutale : « Je comprends la nécessité d'innover. Mais il y a de meilleures façons de le faire. C'est la même chose pour Piazza. Je comprends que certaines parties devaient disparaître, mais en démolissant sans stratégie, sans plan, nous avons perdu toute une partie de notre histoire que nous ne pourrons jamais récupérer. Et lorsque cette génération mourra, il ne restera plus que des contes à raconter. »Plus qu'un tas de gravatsDeux jours plus tard, Melaku Belay, fondateur du Fendika et danseur célèbre, se tient entouré de quelques employés sur un tas de gravats. C'est tout ce qui reste du lieu historique. « Je n'y croyais pas jusqu'à hier. Le camion est venu pour détruire Fendika. Ils m'ont même demandé si je voulais le détruire moi-même. Je leur ai dit qu'ils pouvaient faire ce qu'ils voulaient, mais que je n'y toucherais pas. C'est comme mon enfant, alors j'ai juste regardé. »Sur les 43 employés, 17 vivaient dans le centre culturel. Comme de nombreux habitants de la zone, ils se retrouvent sans toit. Melaku cherche un endroit pour les loger en attendant. Et préfère penser à l'avenir :« Le Fendika me rend fier. Ce que j'ai fait, c'était visionnaire. Pour les gens, les étrangers, pour la liberté de l'art, pour la créativité, je l'ai fait et j'en suis fier. Je suis aussi très heureux que le gouvernement a accepté de me donner le même emplacement. J'espère qu'il me prêtera de l'argent et qu'on travaillera ensemble. Sinon, je cherche des investisseurs et collecte de l'argent. »Pour rentrer dans les nouveaux standards, il faut construire un immeuble d'au moins 20 étages. Pour un tel projet, Melaku a d'abord besoin de 1,15 millions d'euros pour obtenir un permis de construire. L'idée : reconstruire le centre multi-culturel du Fendika sur plusieurs niveaux, avec d'autres activités commerciales pour financer la partie artistique et rembourser les investisseurs.
Bouřlivý rozvoj mívá i svou odvrácenou stránku. Nové infrastruktuře, silnicím i moderním budovám musí ustoupit to, co na jejich místě bylo dřív. Své o tom vědí obyvatelé čtvrti Kazanchis v etiopském hlavním městě Addis Abebě. Přízemní stavby s hliněnými stěnami a střechami z vlnitého plechu tam mizí před výškovými kancelářskými budovami a novými hotely. Kulturní centrum Fendika betonu odolává. Alespoň zatím…
Bouřlivý rozvoj mívá i svou odvrácenou stránku. Nové infrastruktuře, silnicím i moderním budovám musí ustoupit to, co na jejich místě bylo dřív. Své o tom vědí obyvatelé čtvrti Kazanchis v etiopském hlavním městě Addis Abebě. Přízemní stavby s hliněnými stěnami a střechami z vlnitého plechu tam mizí před výškovými kancelářskými budovami a novými hotely. Kulturní centrum Fendika betonu odolává. Alespoň zatím…Všechny díly podcastu Zápisník zahraničních zpravodajů můžete pohodlně poslouchat v mobilní aplikaci mujRozhlas pro Android a iOS nebo na webu mujRozhlas.cz.
Fendika je jednou z ikon moderní kultury etiopské metropole Addis Abeby. Propojuje tradiční a moderní hudební styly a v průběhu let se vyvinula ze scény pro potulné pěvce v respektované kulturní centrum, které najdete v doporučení turistických průvodců. Za úspěchem kulturního klubu Fendika stojí životní příběh čtyřicátníka, který se nenechal semlít životem na ulici a svůj elán napřel do projektu, který pomáhá ostatním.
Fendika je jednou z ikon moderní kultury etiopské metropole Addis Abeby. Propojuje tradiční a moderní hudební styly a v průběhu let se vyvinula ze scény pro potulné pěvce v respektované kulturní centrum, které najdete v doporučení turistických průvodců. Za úspěchem kulturního klubu Fendika stojí životní příběh čtyřicátníka, který se nenechal semlít životem na ulici a svůj elán napřel do projektu, který pomáhá ostatním.Všechny díly podcastu Zápisník zahraničních zpravodajů můžete pohodlně poslouchat v mobilní aplikaci mujRozhlas pro Android a iOS nebo na webu mujRozhlas.cz.
The story of the Fendika Cultural Center in Addis Ababa, Ethiopia is the story of Melaku Belay and his journey from homelessness to international acclaim as a community leader.READ MORE IN THE ATLAS:https://www.atlasobscura.com/places/fendika-azmari-bet
2 sessions live au menu de l'émission, la 1ère avec l'artiste franco-japonaise Maïa Barouh, à l'occasion de la sortie des clips Tokyo Ondo et Sushi. L'album Aïda (Entre 2 en japonais) est attendu en 2022. Chanteuse, flûtiste, auteure, compositrice et arrangeuse franco-japonaise. Maïa est une artiste unique mélangeant les chants ancestraux japonais avec du rap franco-Japonais, groove, electro, chanson avec une grande liberté. L'une de ses particularités est sa grande technique vocale – largement inconnue provenant d'une île au sud du Japon qu'elle associe à sa flûte traversière, percussive et insolente. La presse allemande la nomme "la Shaman punk!" Maïa a cette capacité exceptionnelle à réaliser des mélanges improbables. C'est de là que naît son style inimitable et reconnaissable. Bercée par la musique dans le sillage de son père Pierre Barouh, Maïa se met très tôt aux instruments comme le piano, la guitare et la percussion. Mais, la flûte a été sa première arme pour affronter le métier. Elle débute sa carrière à 16 ans dans l'underground tokyoïte en jouant de la flûte dans des groupes de rock, saxophone dans une fanfare de rue japonaise, accompagnant drag-queens, danseurs strip-teaseurs, des musiciens griots guinéens, brésiliens…. Avant de monter son propre groupe fondé de basse électrique et percussions, où son chant deviendra central avec lequel elle enchaînera des concerts et tournées dans toutes l'archipel. Après 11 ans de carrière au Japon la rencontre et collaboration avec le célèbre producteur Martin Meissonnier (Fela Kuti, Robert Plant & Jimmy Page, Khaled, Don cherry, Manu Dibango..) la fera venir à Paris pour réaliser l'album Kodama qui la fera tourner dans toute l'Europe, pendant 5 ans, avant de préparer son tout nouveau projet "AIDA". AIDA veut dire entre deux en japonais. C'est un album évoquant son identité franco-japonaise, le racisme asiatique, l'exode et le féminisme. Produit par Maïa sur plusieurs années, réalisé par MAJiKer (producteur anglais connu par son travail avec Camille ou Berywam). Le coeur de sa recherche a été de composer à partir de sa base qui est le chant et la flûte et trouver une manière naturelle de mélanger ses deux langues en travaillant avec la rappeuse Elea Braaz, pour trouver la justesse des mots français sur des mélodies ancestrales japonaises, ou faire sonner du français comme du japonais sur un rap. En même temps que la sortie de son nouveau single et clip stupéfiant de TOKYO ONDO qui a fait plus de 50 000 vues en 1 semaine, Maïa se challenge à nouveau pour la scène. Contrairement à son album produit avec des sonorités electro, elle décide de se lancer seule en guitare voix car oui, personne le sait mais Maïa joue aussi de la guitare et a un sacré style rock, groove avec des sonorités des fois brésiliennes ! Vous pouvez la voir se produire à Paris et dans ses régions. Vous pouvez aussi voir Maïa sur scène avec le projet "L'Ultrabal" orchestré par Fixi ainsi que sur le spectacle de danse “Vestige” de la danseuse chorégraphe franco-japonaise Satchie Noro. Avec sa grande expérience de la scène, sa folie, son énergie volcanique et sa musicalité sans frontières, Maïa Barouh nous emmène au cœur de ses racines où mélancolie et transe, groove et musique électronique, rap et chant ancestraux se côtoient, et saisit le public par sa voix qui vous prend aux tripes ! Titres interprétés par Maïa Barouh (guitare-voix) à RFI - Tokyo Ondo voir le clip - Sushi. Mini playlist de Maïa Barouh - La Chica Ratas voir le clip - Iara Renno Mama-Me voir le clip. Puis nous recevons Badume's Band & Selamnesh Zéméné pour la sortie de l'album Yaho Bele / Say Yeah et Bertrand Dupont du label Innacor. Le son Badume's Band et le nouvel album Yaho Bele / Say Yeah (Innacor). Révélé par la grande voix d'Éthiopie Mahmoud Ahmed, le Badume's backing band breton de la légendaire voix d'Éthiopie arrange aussi depuis près de 10 ans les chansons de la jeune diva Selamnesh Zéméné. Révélation du WOMAD UK 2018. Selamnesh Zéméné & Badume's Band présentent aujourd'hui un nouveau répertoire issu des pépites du patrimoine ancien de la communauté Azmari de la Région de Gondar d'où vient la jeune chanteuse. Selamnesh Zéméné appartient à la communauté nomade Azmari de la région de Gondar dans les Hauts Plateaux à 750 kms d'Addis Abeba. Chanteurs et musiciens éthiopiens comparables à nos bardes, les Azmaris se produisent souvent dans des bars que l'on appelle azmaribet. Ces artistes sédentarisés sont réputés pour leurs talents d'improvisation des paroles et leur humour persifleur. Les azmaris sont des véritables colporteurs de la mémoire collective et jouent un rôle primordial dans la transmission des musiques populaires éthiopiennes. C'est au Fendika, azmaribet dirigé sous la direction artistique du génial danseur Melaku Belay que Selamnesh fait chanter et danser le tout Addis. Elle participe au collectif artistique du célèbre azmaribet et collabore à de nombreux projets internationaux. "Dans les années 60, Morvan Lebesque, journaliste au Canard enchaîné, se demandait dans un retentissant essai : Comment peut-on être breton ? (Seuil). Aujourd'hui on pourrait répondre à cette question en évoquant le BADUME'S BAND, un groupe de musiciens bretons formés au répertoire traditionnel, qui se sont intéressés à la musique éthiopienne avant d'accompagner les grands maîtres du groove éthiopien sur les scènes internationales », Patrick Labesse, Le Monde août 2011. BADUME'S BAND est un véritable passeur de cette culture musicale éthiopienne en Occident. Pris d'amour pour ce genre musical original mais un peu oublié qu'est l'éthio-groove, ce groupe atypique originaire de Bretagne, s'est mis en tête de recréer l'atmosphère de l'Addis-Abeba des année 60 et 70, lorsque la capitale africaine tourbillonnait au son du twist, de la soul et du rythm'n'blues. Amené par la voix du chanteur Eric Menneteau, qui a appris l'amharique de lui-même, le Badume's Band revisite depuis 2005 l'âge d'or de la musique éthiopienne avec une maestria jubilatoire. Aklilu Zewdié clarinettiste et directeur du Conservatoire d'Addis Abeba rencontré lors d'une toute première résidence en France, présente très vite le Badume's Band à la star éthiopienne Mahmoud Ahmed. Ce dernier n'est pas moins que l'inventeur de ce genre musical propre à l'Éthiopie des 70' : une mélopée lancinante et hypnotisante entre groove, jazz et tradition, appuyée de cuivres langoureux et vigoureux, et d'une langue aux intonations saccadées. Bref, il est à l'Éthiopie ce que Fela Kuti est au Nigeria : un mythe. Pour le Badume's Band, c'est le début d'une longue amitié et collaboration. Titres interprétés : - Yé'Ambassel Mare Live RFI - Laliye Laliye extrait de l'album Yaho Bele - Bati Ketemawu Live RFI. Musiciens - Sélamnesh Zéméné, chant - Rudy Blas, guitare - Antonin Volson, batterie. Son : Benoît Letirant et Fabien Mugneret. (Rediffusion)
2 sessions live au menu de l'émission, la 1ère avec l'artiste franco-japonaise Maïa Barouh, à l'occasion de la sortie des clips Tokyo Ondo et Sushi. L'album Aïda (Entre 2 en japonais) est attendu en 2022. Chanteuse, flûtiste, auteure, compositrice et arrangeuse franco-japonaise. Maïa est une artiste unique mélangeant les chants ancestraux japonais avec du rap franco-Japonais, groove, electro, chanson avec une grande liberté. L'une de ses particularités est sa grande technique vocale – largement inconnue provenant d'une île au sud du Japon qu'elle associe à sa flûte traversière, percussive et insolente. La presse allemande la nomme "la Shaman punk!" Maïa a cette capacité exceptionnelle à réaliser des mélanges improbables. C'est de là que naît son style inimitable et reconnaissable. Bercée par la musique dans le sillage de son père Pierre Barouh, Maïa se met très tôt aux instruments comme le piano, la guitare et la percussion. Mais, la flûte a été sa première arme pour affronter le métier. Elle débute sa carrière à 16 ans dans l'underground tokyoïte en jouant de la flûte dans des groupes de rock, saxophone dans une fanfare de rue japonaise, accompagnant drag-queens, danseurs strip-teaseurs, des musiciens griots guinéens, brésiliens…. Avant de monter son propre groupe fondé de basse électrique et percussions, où son chant deviendra central avec lequel elle enchaînera des concerts et tournées dans toutes l'archipel. Après 11 ans de carrière au Japon la rencontre et collaboration avec le célèbre producteur Martin Meissonnier (Fela Kuti, Robert Plant & Jimmy Page, Khaled, Don cherry, Manu Dibango..) la fera venir à Paris pour réaliser l'album Kodama qui la fera tourner dans toute l'Europe, pendant 5 ans, avant de préparer son tout nouveau projet "AIDA". AIDA veut dire entre deux en japonais. C'est un album évoquant son identité franco-japonaise, le racisme asiatique, l'exode et le féminisme. Produit par Maïa sur plusieurs années, réalisé par MAJiKer (producteur anglais connu par son travail avec Camille ou Berywam). Le coeur de sa recherche a été de composer à partir de sa base qui est le chant et la flûte et trouver une manière naturelle de mélanger ses deux langues en travaillant avec la rappeuse Elea Braaz, pour trouver la justesse des mots français sur des mélodies ancestrales japonaises, ou faire sonner du français comme du japonais sur un rap. En même temps que la sortie de son nouveau single et clip stupéfiant de TOKYO ONDO qui a fait plus de 50 000 vues en 1 semaine, Maïa se challenge à nouveau pour la scène. Contrairement à son album produit avec des sonorités electro, elle décide de se lancer seule en guitare voix car oui, personne le sait mais Maïa joue aussi de la guitare et a un sacré style rock, groove avec des sonorités des fois brésiliennes ! Vous pouvez la voir se produire à Paris et dans ses régions. Vous pouvez aussi voir Maïa sur scène avec le projet "L'Ultrabal" orchestré par Fixi ainsi que sur le spectacle de danse “Vestige” de la danseuse chorégraphe franco-japonaise Satchie Noro. Avec sa grande expérience de la scène, sa folie, son énergie volcanique et sa musicalité sans frontières, Maïa Barouh nous emmène au cœur de ses racines où mélancolie et transe, groove et musique électronique, rap et chant ancestraux se côtoient, et saisit le public par sa voix qui vous prend aux tripes ! Titres interprétés par Maïa Barouh (guitare-voix) à RFI - Tokyo Ondo voir le clip - Sushi. Mini playlist de Maïa Barouh - La Chica Ratas voir le clip - Iara Renno Mama-Me voir le clip. Puis nous recevons Badume's Band & Selamnesh Zéméné pour la sortie de l'album Yaho Bele / Say Yeah et Bertrand Dupont du label Innacor. Le son Badume's Band et le nouvel album Yaho Bele / Say Yeah (Innacor). Révélé par la grande voix d'Éthiopie Mahmoud Ahmed, le Badume's backing band breton de la légendaire voix d'Éthiopie arrange aussi depuis près de 10 ans les chansons de la jeune diva Selamnesh Zéméné. Révélation du WOMAD UK 2018. Selamnesh Zéméné & Badume's Band présentent aujourd'hui un nouveau répertoire issu des pépites du patrimoine ancien de la communauté Azmari de la Région de Gondar d'où vient la jeune chanteuse. Selamnesh Zéméné appartient à la communauté nomade Azmari de la région de Gondar dans les Hauts Plateaux à 750 kms d'Addis Abeba. Chanteurs et musiciens éthiopiens comparables à nos bardes, les Azmaris se produisent souvent dans des bars que l'on appelle azmaribet. Ces artistes sédentarisés sont réputés pour leurs talents d'improvisation des paroles et leur humour persifleur. Les azmaris sont des véritables colporteurs de la mémoire collective et jouent un rôle primordial dans la transmission des musiques populaires éthiopiennes. C'est au Fendika, azmaribet dirigé sous la direction artistique du génial danseur Melaku Belay que Selamnesh fait chanter et danser le tout Addis. Elle participe au collectif artistique du célèbre azmaribet et collabore à de nombreux projets internationaux. "Dans les années 60, Morvan Lebesque, journaliste au Canard enchaîné, se demandait dans un retentissant essai : Comment peut-on être breton ? (Seuil). Aujourd'hui on pourrait répondre à cette question en évoquant le BADUME'S BAND, un groupe de musiciens bretons formés au répertoire traditionnel, qui se sont intéressés à la musique éthiopienne avant d'accompagner les grands maîtres du groove éthiopien sur les scènes internationales », Patrick Labesse, Le Monde août 2011. BADUME'S BAND est un véritable passeur de cette culture musicale éthiopienne en Occident. Pris d'amour pour ce genre musical original mais un peu oublié qu'est l'éthio-groove, ce groupe atypique originaire de Bretagne, s'est mis en tête de recréer l'atmosphère de l'Addis-Abeba des année 60 et 70, lorsque la capitale africaine tourbillonnait au son du twist, de la soul et du rythm'n'blues. Amené par la voix du chanteur Eric Menneteau, qui a appris l'amharique de lui-même, le Badume's Band revisite depuis 2005 l'âge d'or de la musique éthiopienne avec une maestria jubilatoire. Aklilu Zewdié clarinettiste et directeur du Conservatoire d'Addis Abeba rencontré lors d'une toute première résidence en France, présente très vite le Badume's Band à la star éthiopienne Mahmoud Ahmed. Ce dernier n'est pas moins que l'inventeur de ce genre musical propre à l'Éthiopie des 70' : une mélopée lancinante et hypnotisante entre groove, jazz et tradition, appuyée de cuivres langoureux et vigoureux, et d'une langue aux intonations saccadées. Bref, il est à l'Éthiopie ce que Fela Kuti est au Nigeria : un mythe. Pour le Badume's Band, c'est le début d'une longue amitié et collaboration. Titres interprétés : - Yé'Ambassel Mare Live RFI - Laliye Laliye extrait de l'album Yaho Bele - Bati Ketemawu Live RFI. Musiciens - Sélamnesh Zéméné, chant - Rudy Blas, guitare - Antonin Volson, batterie. Son : Benoît Letirant et Fabien Mugneret.
Lee Michaels - Stormy Monday - Lee Michaels (One Way)Sepalot Quartet - News For You - Nownext (Eskaton)Adriran Younge & Ali Shaheed Muhammad - Synchronized Vibration (feat. Roy Ayers) (Jazz Is Dead)Stevie Wonder - Have A Talk With God - Songs In The Key Of Life (Motown)Shuggie Otis - Freedom Flight - Freedom Flight (Epic/Legacy)Vast Voyage - Passing Jupiter - Music Inspired By Space Tourism EP1 (self)Kognitiv - Moonchild - Monometric (Kognitiv)Victortrey Funklove With The Souljinx'd Mackhammers - Ms. Blackbook - Blackovision Volume Two (We Coast)Johnnie Taylor - Cheaper To Keep Her - Taylored In Silk (Fantasy)The Awakening - Slinky - Mirage (Black Jazz)The Markese-Fumo Express - Monk's Run - File Under Kool (self)J&B Kings - Congo Conga (7 Arts Entertainment)Kaÿn Lab - 654 Addis Way - Live at Fendika (586234 Records DK)Malcom Strachan - Uncle Bobby's Last Orders - About Time (Haggis)Takahiro Izumikawa - No Satisfaction - Life Is Your Thoughts (Ropeadope)Rupierrre Le Funk - Release That Inner Funky Child - Bad Pistachio (self)Soul Quality Quartet - Aphotic Marauder (Stockholm Cyclo Vocal Remix) - Exploring Breakbeat Jazz (Irma)Vito Lalinga (Vi Mode Inc. Project) - Keep Movin - Afrodisiac, Pt. V (Timewarp)Makaya McCraven - Black Lion - Live In Paris 2020Gary Bartz & Maisha - Let's Dance - Night Dreamer Direct-To-Disc Sessions (NIght Dreamer)Thievery Corporation - The Forgotten People - Symphonik (ESL)Prince - Pop Life - Live At The Aladdin Las Vegas Sampler (Legacy)Manu Carré Electric 5 - Luniwaz - City Traffic (feat. Nicolas Folmer) (Azur/Sarl Jazz Cote D'azur)
Por Pachi Tapiz. "Anbessa" Large Unit Fendika: Ethiobraz (PNL Records) Large Unit Fendika: Nardos Tesfaye Melaku Belay ,Zinash Tsegaye ,Julie Kjær ,Kristoffer Berre Alberts ,Klaus Ellerhusen Holm ,Thomas Johansson ,Mats A?leklint ,Per A?ke Holmlander ,Kalle Moberg ,Tommi Kera?nen ,Habetamu Yeshambel ,Fasika Hailu ,Terrie Ex ,Ketil Gutvik ,Jon Rune Strøm ,Christian Meaas Svendsen ,Mesay Abebaye ,Paulinho Bicolor ,Celio de Carvalho ,Andreas Wildhagen ,Paal Nilssen-Love © Pachi Tapiz, 2020 JazzX5 es un minipodcast de HDO de la Factoría Tomajazz presentado, editado y producido por Pachi Tapiz. JazzX5 comenzó su andadura el 24 de junio de 2019. Todas las entregas de JazzX5 están disponibles en https://www.tomajazz.com/web/?cat=23120 / https://www.ivoox.com/jazzx5_bk_list_642835_1.html.
L’été, il y a le ciel, le soleil et la mer, chantait François Deguelt... Mais pour la plupart, c’est une angoisse qui se profile à cet horizon, celle… du rattrapage. Point d’angoisse avec nous, ni tant de travail avouons-le, avec cette émission consacrée à la révision de chacune des thématiques abordée depuis le début de la saison dernière.. Graeme Allwright (Nouvelle-Zélande/ France)Joue, Joue, Joue (Graeme Allwright, 1966). The Staple Singers (Etats-Unis)Let That Liar Alone (What The World Needs Now Is Love, 1968). Joe Cocker (Grande-Bretagne)Sticks And Stones (Mad Dogs And Englishmen, 1970). Fendika (Ethiopie)Yewolaya Weyo (Birabiro, 2017). Iggy Pop (Etats-Unis)James Bond (Free, 2019). Shirley Bassey (Etats-Unis)Morning In Your Eyes (Nobody Does It Like Me, 1974). Mina (Italie)Conversazione (Sabato Sera Studio Uno 1967, 1967). Debo Band (Ethiopie)Musicawi Silt (Flamingoh "Pink Bird Dawn", 2010). Ornella Vanoni - Vinicius De Moraes - Toquinho (Italie/ Brésil)La Rosa Spogliata "A Rosa Des Folhada" (La Voglia La Pazzia L'Incoscienza L'Allegria, 1976). Milton Nascimento & Lô Borges (Brésil)Um Girassol Da Cor De Seu Cabelo (Clube Da Esquina, 1972). Martin Circus (France)Façon De Parler(Acte II, 1971). Exile One (Dominique)Tout’Jeu Cé Jeu (Beaucoup D'Gaz A Bo, 1975). David Byrne (Etats-Unis)Carnival Eyes (Rei Momo, 1989). Sharon Jones & The Dap-Kings (Etats-Unis)Goldfinger (B.O. du film « Le Loup De Wall Street », 2013). Aretha Franklin (Etats-Unis)Think (Aretha Now, 1968)
Mitt i Etiopiens huvudstad Addis Abeba ligger Fendika. Det är ett azmari bet, en folkmusikklubb, och en av de sista i sitt slag. Nu försöker dess ägare rädda det undan rivning. Lyssna på alla avsnitt i Sveriges Radio Play. Vi följer Melaku Belay som växte upp på gatan och som senare köpte Fendika och utvecklade det till ett nav i Addis Abebas musikliv. Nu tvingas han använda all sin uppfinningsrikedom för att försöka rädda det, där det ligger mellan rivningstomter och nya skyskrapor. Vi träffar också sångerskan Nardos Tesfau, musikläraren Alemayehu Fanta, och musikerna Girum Mezmur och Daniel Lemma. En P2 Dokumentär av Lars Lovén.
Mitt i Etiopiens huvudstad Addis Abeba ligger Fendika. Det är ett azmari bet, en folkmusikklubb, och en av de sista i sitt slag. Nu försöker dess ägare rädda det undan rivning. Vi följer Melaku Belay som växte upp på gatan och som senare köpte Fendika och utvecklade det till ett nav i Addis Abebas musikliv. Nu tvingas han använda all sin uppfinningsrikedom för att försöka rädda det, där det ligger mellan rivningstomter och nya skyskrapor. Vi träffar också sångerskan Nardos Tesfau, musikläraren Alemayehu Fanta, och musikerna Girum Mezmur och Daniel Lemma. En P2 Dokumentär av Lars Lovén.
Un programma di viaggi a cura di Eleonora Viganò
One of the most memorable and beautiful collective experiences of last year's Roskilde Festival was the performance by Ethiopian group Fendika of the legendary club Fendika Azmari Bet in Addis Ababa. Meet group leader Melaku Belay, learn about the many aspects of Ethiopian dance and listen to recordings of their concert.
El grupo holandés The Ex, uno de los favoritos de Pachi Tapiz, presentador, editor y productor de HDO, acaba de publicar el doble CD The Ex at Bimhuis (1991-2015) (Ex REcords - Bimhuis, 2015) en el que se recoge una selección de temas grabados en el mítico local holandés. Una de las características de este doble CD es que a lo largo de todos los temas (24 en total), aparecen acompañados por músicos de la escena jazzística e improvisadora tanto holandesa como internacional. Algunos nombres bien conocidos y reconocidos que suenan en la selección de nueve temas son los de Mats Gustafsson, Ken Vandermark, Han Bennink, John Butcher, Xavier Charles, Wolter Wierbos, Michael Vatcher, Steve Beresford, Claude Deppa, Phil Minton o Roy Paci. Abriendo y cerrando la entrega, las caras A y A del single Lale Guma / Addis Hum (Ex Records) que en 2014 grabaron junto al grupo acústico etíope Fendika, ya que como es bien sabido, la música de la zona de Etiopía, está bien presente en la música de The Ex. HDO (Hablando de oídas) es un audioblog presentado, editado y producido por Pachi Tapiz. Toda la información disponible en http://www.tomajazz.com/web/
Listen[audio:http://media.rvanews.com/wp-content/uploads/2012/09/The-Bopst-Show-Motor-Away-Episode-214.mp3|titles=The Bopst Show -- Motor Away -- Episode 214]SubscribeiTunes: The Bopst show podcastEverything else: The Bopst show podcastDownloadThe Bopst Show -- Motor Away -- Episode 214— ∮∮∮ —Title: The Bopst Show: "Motor Away (Episode 214)"Rating: PG-13 (Adult Situations & Language)Intent: Never give in, never give in…Random Richmond Diversion: Is this what a slut wears?Random USA Diversion: YOU LIERandom World Diversion: Mr. Boroujerdi did not say when or how Iran had obtained Siemens equipmentRandom Image: Iris FineRandom Music Blog: Avenge The VirginsRandom Bopst Show: The Bopst Show: "Drank & Drank & Drank (Episode 131)"Mainstream Bopst Fluff: That I didn't step on anyone's neck to get ahead in lifeHey Black People:http://www.youtube.com/watch?v=ypRW5qoraTwConstruction Date: Friday & Saturday September 21st & 22nd, 2012Equipment: Mac G5, Free Audio Editor & Recorder Software from Audacity, Frontier US-122 USB Audio/MIDI Interface, Shure SM57 MicrophonePosted: September 24th, 2012Artists and Groups in order of appearance: Savage Sisters, Guided By Voices, Yamasuki Sisters, Horace Silver, Country Teasers, Bill Haley & The Comets, Desi Arnaz, Gus Gus, Paul McCartney, King Tubby & The Aggrovators, Richard "Rabbit" Brown, Calexico, Penny & The Quarters, AC/DC, Peret, Mfalme, FendikaLiner Notes The party of Lincoln and Liberty was transmogrified into the party of hairy-backed swamp developers and corporate shills, faith-based economists, fundamentalist bullies with Bibles, Christians of convenience, freelance racists, misanthropic frat boys, shrieking midgets of AM radio, tax cheats, nihilists in golf pants, brownshirts in pinstripes, sweatshop tycoons, hacks, fakirs, aggressive dorks, Lamborghini libertarians, people who believe Neil Armstrong's moonwalk was filmed in Roswell, New Mexico, little honkers out to diminish the rest of us, Newt's evil spawn and their Etch-A-Sketch president, a dull and rigid man suspicious of the free flow of information and of secular institutions, whose philosophy is a jumble of badly sutured body parts trying to walk...Garrison KeillorHere are some shows I’m hustling at Balliceaux this week...NEXT NEW SHOW: 10/01/12 New show times. The Bopst Show airs Sundays, 11PM and Tuesdays, 6PM (EST-USA) on KAOS Radio Austin.Until Next Time:Stay clean,BOPSTHo there, reader of RSS feeds! Do you ever want to support RVANews in a real and tangible way? Or at least pay a small penance for reading ad-free content? If so, support us on Patreon for a couple bucks a month!