Greek warrior during the Trojan War
POPULARITY
Categories
Dans cet épisode, on est de nouveau avec Louis pour parler d'organisation : ce qui marche pour nous, ce qui ne marche pas du tout, et toutes les méthodes qu'on a testées avec plus ou moins de succès. On partage nos routines, nos astuces (comme la méthode Pomodoro ou les to-do lists), nos contradictions, et notre besoin de rester souples. En bonus, on vous raconte la routine (très) matinale d'Amélie Nothomb et le joli projet musical que Louis a mené grâce à sa régularité. Interactive Transcript and Vocab Helper Support Easy French and get interactive transcripts, live vocabulary and bonus content for all our episodes: easyfrench.fm/membership Open the Interactive Transcript (https://play.easyfrench.fm/episodes/s0f1ra5b93po5zk3s1yj0) Download transcript as HTML (https://www.dropbox.com/scl/fi/s0f1ra5b93po5zk3s1yj0/easyfrenchpodcast159_transcript.html?rlkey=3d7rl31ursev1xdiag5gkie1y&st=wufmm5ms&dl=1) Download transcript as PDF (https://www.dropbox.com/scl/fi/occmnsjfhjkgohy96o1hz/easyfrenchpodcast159_transcript.pdf?rlkey=j0yi2z4t0waopxxe8oottp0et&st=avjm00hv&dl=1) Download vocab as text file (https://www.dropbox.com/scl/fi/9mee6vzp7tnnxf5xaetp8/easyfrenchpodcast159_vocab.txt?rlkey=a7fj7fxio0r3c7w3vk74z6e52&st=xtdde15b&dl=1) Download vocab as text file with semicolons (https://www.dropbox.com/scl/fi/eoobsqyzij8yf0i8jwd7t/easyfrenchpodcast159_vocab-semicolon.txt?rlkey=5qa57wwhb5jbywb30xdwwk96u&st=v5ro6xc6&dl=1) (for flashcard apps) Subscribe using your private RSS feed to see the transcript and vocabulary helper right in your podcast app while you listen. Show Notes
Bien le bonjouuuuuur d'une petite dame qui vient aujourd'hui vous parler du fait qu'elle a arrêté de boire de l'alcool ! Mon passé avec l'alcool, pourquoi j'ai arrêté, qu'est-ce que ça m'a apporté...Je vous dis TOUT
L'Afrique a importé l'équivalent de 15 000 mégawatts de panneaux solaires entre juillet 2024 et juin 2025, soit la puissance de dix réacteurs nucléaires. C'est une augmentation de 60 % en un an. Si l'on exclut l'Afrique du Sud, les importations africaines de panneaux photovoltaïques ont même doublé en deux ans. La preuve, selon le groupe d'études Ember, d'un décollage de l'énergie solaire sur tout le continent. L'étude est basée sur les chiffres des douanes chinoises – la Chine étant le principal fournisseur de panneaux solaires à l'Afrique. Et la hausse est spectaculaire. « L'Algérie a multiplié par 33 ses importations de panneaux solaires en un an, observe Dave Jones, analyste en chef chez Ember. C'est le troisième pays à en importer le plus, après l'Afrique du Sud et le Nigeria. Les importations de panneaux solaires de la Zambie ont été multipliées par huit en douze mois, celles du Botswana par sept, celles du Soudan par six et celles du Nigeria, de la RDC et du Bénin ont plus que triplé. » La moitié des besoins en électricité du Tchad Les panneaux solaires importés par exemple au Tchad en un an permettraient, une fois installés, de produire la moitié de l'électricité totale du pays. Une augmentation de l'offre de courant en perspective en Afrique, mais aussi une baisse potentielle des prix. « Maintenant que le prix d'un panneau solaire n'est plus que d'environ 60 dollars au Nigeria, de l'électricité, souligne Dave Jones, les économies réalisées en évitant le diesel peuvent rembourser le coût d'un panneau solaire en six mois, et même moins dans d'autres pays. » La grande majorité des panneaux, 16 000 gigawatts, est jusqu'à présent destinée à des centrales solaires reliées au réseau, d'après les images satellites consultées par Ember. Mais l'usage décentralisé, 6 000 gigawatts pour l'instant, grandit aussi. « Ce sont des entreprises ou des industries, en site isolé ou pas, qui vont être le client unique privé de l'installation, explique Gilles Parmentier, PDG d'Africa REN, un opérateur du secteur. Ça peut être des panneaux solaires installés sur la toiture de supermarchés ou d'usines, ça peut être une centrale solaire installée pour une mine. La dernière catégorie, ce sont des villages isolés sur lesquels certains opérateurs proposent des kits solaires à l'échelle domestique. » Développer le stockage Le solaire se déploie en Afrique, ce qui imposera de relever le défi de l'intermittence de cette énergie. « Le prochain enjeu, estime Gilles Parmentier, c'est d'arriver à développer des projets de stockage, comme celui qu'on a fait au Sénégal, Walo Storage, pour permettre aux sociétés d'électricité de stabiliser leurs réseaux et également de pouvoir différer la production solaire, de la journée vers la soirée. Sinon, on va se retrouver avec des pays qui vont être en surproduction solaire la journée et en déficit le soir, alors que c'est le moment où il y a le plus de consommation. » L'autre défi pour accompagner les besoins en centrales solaires en Afrique, sera le développement des réseaux électriques. À lire aussiBénin: lancement de la construction de quatre centrales photovoltaïques
Dans cet épisode on vous révèle une grosse surprise à venir sur le podcast! Ce qu'on vous a concocté est unique et collector. A ne pas rater :)Sinon, nous voguons sur les flots pour cette sélection entièrement dédiée aux pirates, matelots et équipages. On vous parle de ces 5 livres: La lectrice de Traci CheeTress de la mer Emeraude de Brandon Sanderson Bayuk de Justine Niogret On stranger tides, ou Sur des mers plus ignorées de Tim PowersFils de pirate de François DescraquesBonne écoutePodcast préparé par Veryimportantbook: https://www.instagram.com/veryimportantbook/ et Déjeuner sous la pluie: https://www.instagram.com/dejeuner_sous_la_pluie/
Le cacao camerounais connaît un essor remarquable, porté par une hausse exponentielle des prix. Ils sont passés du simple au quintuple en l'espace de deux saisons. Une envolée principalement due à la diminution des récoltes des grands pays producteurs, la Côte d'Ivoire et le Ghana. Mieux payé au Cameroun que dans ces deux derniers pays, « l'or brun » attire désormais de nombreux jeunes Camerounais, qui se lancent dans cette culture. De notre correspondant à Yaoundé, Une foire dédiée au cacao est organisée dans la cour du Musée national à Yaoundé. Henry est venu se renseigner : motivé par le prix du kilo de fèves, en moyenne 5 000 francs CFA (soit 7,62 euros), au cours de la dernière campagne, ce jeune Camerounais va se lancer dans la culture. « Autour de nous, nous avons vu les prix grimper, observe-t-il. Les prix sont partis de 1 500 à 5 000 et poussière. Désormais, nous pourrons faire une vie avec le cacao, ce qui fait notre source de motivation. Je voudrais développer cinq hectares et voir par la suite comment continuer parce que des espaces, nous en avons assez », explique-t-il. Demande de semences de cacao décuplée Comme lui, des centaines de jeunes acquièrent des terres dans les villages et achètent des plants de cacao par milliers. Dans les pépinières, la demande a grimpé en flèche. « Nous faisons dix fois plus de semences de cacao qu'avant, dix fois plus ! La demande est extrêmement forte, constate Rostand, qui possède une pépinière près de Yaoundé. Est-ce qu'on peut dire que pour les pépiniéristes il y a aussi une embellie ? La demande en plants de cacao a grimpé, il est vrai, mais c'est au détriment aussi d'autres semences. Sinon, on se fait du chiffre, nous sommes contents, mais ça ne suffit pas. » À lire aussiGhana: une hausse du prix du cacao pour les producteurs en trompe-l'œil Une tendance durable, selon la Sodecao Le système libéral pratiqué au Cameroun a favorisé plus qu'ailleurs la flambée des prix du cacao dans le pays et l'opérateur étatique encadrant les producteurs, la Société de développement du cacao, est optimiste pour la suite. « Je ne peux pas prédire l'avenir, mais je pense qu'il s'agit de quelque chose de durable et de sérieux, juge Jean-Claude Eko'o Akouafane, directeur général de la Sodecao. Les prix ne sont pas près de baisser. De toute façon, depuis que ce phénomène s'est déclenché, nous avons observé sa vigueur et que cette embellie ne pourra que s'améliorer par la suite. Le cacao continue à aider le pays à développer ses campagnes de plus en plus. » La nouvelle campagne cacaoyère a débuté au début du mois d'août. Le Cameroun a produit 309 000 tonnes de cacao en 2023-2024, encore loin des 640 000 tonnes visées par l'État. À lire aussiSur les pistes du trafic de cacao
Bien le bonjouuuuuur d'une petite dame voulait vous faire son coming out en tant que misandre... Bon c'est une surprise pour personne : je déteste les hommes. Et je le cris sur tous les toits à qui veut bien l'entendre
Pascale Rossler, ancienne responsable politique déléguée à la biodiversité, est coach, et conférencière. Formée aux Sciences de l'Environnement, elle accompagne aujourd'hui les transitions écologiques, pour des structures collectives comme pour des personnes privées. Pascale Rossler vient de publier un livre, Révélez votre nature !, qu'elle présente comme un « guide de l'écologie intérieure et relationnelle pour monde meilleur ». L'originalité de son approche, c'est la largeur en même temps que la profondeur de son regard : Largeur dans sa prise en considération des immenses défis écologiques qui se dressent devant nous ; profondeur dans sa vision d'une transformation personnelle par « l'écopsychologie » et aussi la spiritualité. C'est ainsi, selon elle, que nous pouvons réellement contribuer à l'avènement d'une meilleure manière d'habiter la Terre ensemble. Face à nos enjeux actuels, ceux de la perte de nos repères, la crise écologique, le délitement de la solidarité, toutes les déstabilisations individuelles et collectives que nous subissons, il est possible de redonner à nos vies des trajectoires personnelles épanouissantes. Avec son talent, son énergie et sa sérénité, Pascale Rossler offre un témoignage puissant et convaincant. Chez elle, l'amour de la nature et la passion du vivant composent une belle symphonie, portée par une joie rayonnante. Grâce à des acteurs engagés comme elle, le monde meilleur que nous espérons pour demain est déjà en marche, dès aujourd'hui. Pour lire Révélez votre nature !, le livre de Pascale Rossler, cliquer ici. Pour découvrir les activités de Pascale Rossler, cliquer ici. LES PREUX ET LES GUEUX ? Chers amis, chers auditeurs de Zeteo, Lorsque j'écrivais ma lettre hebdomadaire, envoyée dimanche dernier, le 24 août, je n'avais pas imaginé qu'elle susciterait tant d'émouvantes réactions… Au moment où j'écris cette nouvelle lettre, je continue de recevoir des messages de soutien et d'encouragements dont certains m'ont bouleversé par leur contenu, leur profondeur et leur délicatesse. Déjà, j'aurais aimé avoir le temps de répondre à chaque message. En attendant, j'ai retranscrit une sélection d'entre eux sur le site de Zeteo. Vous pourrez les lire en cliquant ici. Vous découvrirez des lignes et des mots qui m'ont tous particulièrement touché, et qui devraient vous toucher aussi. Mieux que tout ce que j'aurais pu dire, ils confirment ce qu'est le parcours de Zeteo depuis son lancement jusqu'à ce jour : une belle et fragile aventure, initiée par un homme de bonne volonté qui suit les intuitions de son cœur, et le fil des rencontres qui se nouent les unes après les autres. Zeteo n'est ni adossé ni soutenu par aucune structure ou Église. Ce podcast libre et indépendant est davantage le fruit d'une curiosité, d'un élan intérieur et du désir de partager au plus grand nombre ce qui fait du bien, qui réchauffe, qui console, qui guérit, qui aime et qui est beau. Avec toujours dans les yeux, dans le cœur et dans l'esprit, cette présence si douce, si intime, si aimante du Christ. C'est une belle et fragile aventure, et la fragilité a aussi une beauté. Comme la fragilité de Jésus, comme celle de tous ceux qui le suivaient sur les terres souvent arides et poussiéreuses de Palestine. La semaine passée, j'avais fait part des reproches de certains. Ils regrettaient que Zeteo ne suivait pas ou plus, selon eux, certaines règles de l'Église catholique. Je tiens ici à rassurer certains auditeurs qui se sont inquiétés. De tels reproches, il n'y en a pas eu beaucoup. Depuis le début de l'été, pas même eu de quoi former tous les doigts d'une seule main. Il est normal que Zeteo ne fasse pas l'unanimité. N'y a t-il pas plusieurs demeures dans la maison du Père ? Il est impossible que la bienveillance divine infinie ne vive seulement que dans une ou deux de ses maisons, et qu'elle abandonne toutes les autres. Zeteo n'est pas une de ces grandes maisons du Seigneur. Juste un petit couloir peut-être, ce qui serait déjà tellement bien. Ou encore, mieux qu'un couloir, un petit chemin parmi tous ceux qui, en traversant le coeur d'une immense et merveilleuse forêt, mèneraient vers une montagne où brille toujours le soleil. Sinon, que penser des messages d'auditeurs, reçus cette semaine, comme de tous ceux qui les ont précédés ? Ceux qui témoignent des bienfaits qu'ils ont reçu des invités entendus sur Zeteo, se trompent-ils ? Mentent-ils ? Ou, simplement, sont-ils dans l'illusion ? Ces témoignages valent-ils moins que ceux qui confessent un attachement plus direct à une Église, qu'elle soit catholique, protestante ou orthodoxe, voire à une religion non chrétienne ? Y aurait-it des témoins plus valables que d'autres ? D'un côté les preux, de l'autre les gueux ? Il n'y a pas d'un côté les bons et de l'autre les méchants. Ni les preux à droite et les gueux à gauche. Le bien et le mal, la division, la dualité, la vie et la mort sont en chacun de nous. C'est en chacun de nous que se livre le combat. Et nous ne sommes pas seuls pour le gagner. Il y a celui qui l'a déjà gagné pour nous, pour toujours. Celui qui nous attend tout le temps. Celui qui inspire, guide et accompagne d'innombrables hommes et femmes de bien sur cette terre et qui, à leur tour, libèrent, éveillent, guérissent les uns et les autres. Comme le dit si bien Fadila Semaï au micro de Zeteo, Jésus n'appartient pas aux catholiques. Le Christ appartient à toute l'humanité. N'oublions jamais l'attachement de Jésus, tranchant résolument sur les pratiques religieuses de son temps. Il allait parler à tous et à toutes. Il est celui qui « attire à lui tous les hommes » (Jn 12, 32). L'évangélisation, elle est pour tout le monde. Elle n'est pas conditionnée par des principes, des vérités et parfois des dogmes qui comptent pour certaines populations, selon la géographie, la culture ou la société. La moisson recouvre toute la Terre, et la tâche est immense. D'où peut-être, modestement, cette mission de Zeteo d'essayer d'aller toujours au plus grand nombre. Et de tenter de révéler ce qui nous rapproche tous, pas ce qui nous divise. Comme le révèle justement Philippe Dautais lors d'une de ses participations à Zeteo, il est frappant de voir à quel point toutes les spiritualités se rapprochent, depuis celles des peuples premiers. Il les comparait aux religions. Celles-ci sont des organisations humaines, et même si elles peuvent être inspirées et guidées divinement, elles peuvent tomber dans les pièges des divisions. Philippe Dautais est un religieux lui-même, il est une très belle figure de l'Église orthodoxe. Mais je crois qu'il est avant tout, comme de nombreux mystiques, un spirituel. Il est à l'écoute de l'Esprit qui souffle et qui anime, d'abord dans nos esprits et dans nos coeurs. L'Esprit divin souffle où il veut. Zeteo n'est pas au centre du monde. Ce podcast n'a pas la prétention de détenir une vérité immuable et infaillible. Mais il n'est pas vrai que l'Esprit ne souffle que d'un côté. La meilleure illustration, qui est en même temps notre meilleur soutien, ce sont ces témoignages d'auditeurs que je citais plus haut. N'est-il pas frappant, en lisant les Évangiles, de voir l'attitude du Christ dans presque tous ses échanges directs avec ceux qu'il rencontre ? Jésus est doux et aimant. Parfois, il ne parle pas. Ou il pose une, ou deux questions. En l'interrogeant, il invite toujours son interlocuteur vers son intériorité. Il l'invite à chercher, avec cette confiante certitude que c'est à l'intérieur de soi que l'on trouve le bon, le beau, le vrai et l'amour. C'est tout le sens du va-vers-soi de notre si chère Annick de Souzenelle. Alors que nos institutions et nos sociétés semblent au bord de craquer, que notre modèle civilisationnel est à bout de souffle, il est temps de réinviter l'homme à son intériorité et à sa liberté. Cela n'est pas en s'arc-boutant sur des principes dépassés, en se repliant et en se protégeant des autres que l'on sauvera le monde. C'est en faisant confiance en ce qui est le meilleur en chacun d'entre nous. Infiniment, je remercie ceux qui ont écrit un message d'encouragement cette semaine. Je remercie les auditeurs pour leur écoute et leur fidélité. Je remercie les donateurs, ceux qui ont fait un geste cette semaine, comme ceux qui le feront à leur tour un autre jour, ou dès aujourd'hui ? Beau dimanche, belle semaine à venir, belle rentrée à tous, et à bientôt pour la suite de nos aventures, si telle est la volonté divine, Fraternellement, Guillaume Devoud Pour faire un don, il suffit de cliquer ici pour aller sur notre compte de paiement de dons en ligne sécurisé par HelloAsso. Ou de cliquer ici pour aller sur notre compte Paypal. Vos dons sont défiscalisables à hauteur de 66% : par exemple, un don de 50€ ne coûte en réalité que 17€. Le reçu fiscal est généré automatiquement et immédiatement à tous ceux qui passent par la plateforme de paiement sécurisé en ligne de HelloAsso Nous délivrons directement un reçu fiscal à tous ceux qui effectuent un paiement autrement (Paypal, chèque à l'association Telio, 116 boulevard Suchet, 75016 Paris – virement : nous écrire à info@zeteo.fr ). Pour lire d'autres messages de nos auditeurs : cliquer ici. Pour en savoir plus au sujet de Zeteo, cliquer ici. Pour lire les messages de nos auditeurs, cliquer ici. Nous contacter : contact@zeteo.fr Proposer votre témoignage ou celui d'un proche : temoignage@zeteo.fr
En Thaïlande, près d'un mois après l'entrée en vigueur du cessez-le-feu avec le Cambodge, les affrontements se sont calmés dans les zones frontalières. Fin juillet, après deux mois de tension, un très ancien différent frontalier avait été ravivé durant cinq jours, faisant au moins 36 morts et 300 000 déplacés. Malgré la fin des combats armés, les habitants des provinces frontalières de Sisaket et Ubon Ratchathani, à quelques dizaines de kilomètres du Cambodge, sont encore loin d'être rassurés. De notre correspondante de retour de Sisaket et Ubon Ratchathani, Des étagères calcinées, des gels douches à moitié fondus, des bris de verres qui tapissent le sol… Il ne reste presque rien du 7-Eleven de la station service de Ban Phue, frappé le 24 juillet 2025 par des roquettes attribuées au Cambodge. Bilan : huit morts, dont plusieurs enfants, et 19 blessés. Jeab, femme de ménage dans la station, n'entend plus de l'oreille gauche : « L'explosion a été si forte que mon corps est resté engourdi, je n'entendais plus rien. Et maintenant, même quand j'entends le tonnerre, je pars me cacher. » Des passants viennent déposer des fleurs et des amulettes bouddhistes en hommage aux victimes, et les boutiques restent fermées. Jeab, elle, vient de reprendre son travail ici : « J'ai peur que ça recommence. Mais je dois travailler. Sinon, je ne vois pas de quoi je vais vivre. » Sa patronne, Auan, doute du cessez-le-feu. Elle parle des trois soldats thaïlandais blessés au début du mois d'août, d'après l'armée, par des mines cambodgiennes. Elle est inquiète pour l'avenir du magasin : « L'assurance ? On ne sait même pas si elle nous aidera. Ils disent que ça ne rentre peut-être pas dans les cas couverts. Les pertes dépassent déjà quinze millions de bahts [461 000 euros]. Deux millions [61 000 euros] de marchandises sont parties en fumée et près d'un million [30 000 euros] en liquide. » À lire aussiCambodge-Thaïlande : « Il y a une méfiance très grande entre les deux pays » « La peur est toujours là » Dans la province voisine, à quelques kilomètres de la frontière cambodgienne, le marché de Nam Yuen a rouvert, mais trop peu de clients sont là, d'après cette vendeuse de légumes : « Chez les clients, la peur est toujours là… Certains avaient évacués, sont revenus puis repartent car la situation n'est pas stable. » À côté de son étal, des militaires en treillis font leurs courses. La vendeuse n'en avait jamais vu autant patrouiller dans la zone : « La dernière fois, en 2011, le conflit ne s'était pas rapproché autant. Mais cette fois, c'est tout près. » Plus loin, dans le hameau de Bang Na, des adolescents volontaires réparent les toitures et les façades. Quatre maisons ont été détruites et une vingtaine d'autres touchées par des éclats d'artillerie. Paeng et sa famille sont relogés dans des préfabriqués du gouvernement. « Le gouvernement dit qu'il reconstruira en moins de deux mois. C'est déjà bien qu'ils nous aident, ça redonne un peu de courage », salue Paeng. En regardant son terrain, désormais vide, il retient ses larmes : « Je suis triste… J'ai du mal à trouver les mots… Tout est allé si vite… Ici, c'est correct, mais ce n'est pas notre maison. On vit à plusieurs dans une même pièce : mon père malade, couché au lit, et une mère âgée à m'occuper. On vit dans du provisoire, avec des tuyaux raccordés à la va-vite. » Comme beaucoup, Paeng espère que la trêve va durer. Lors de leurs dernières réunions, la Thaïlande et le Cambodge ont dit tout faire pour, mais les relations entre les deux pays restent dégradées. À lire aussiThaïlande-Cambodge : après les affrontements, l'angoisse des étudiants khmers restés à Bangkok
Text: Proverbs 29:7 (ESV) 7 A righteous man knows the rights of the poor;a wicked man does not understand such knowledge. JUSTICE FOR THE POOR The poor is associated with a lack of money. But the Hebrew word here includes more. It includes the concept of weakness, being low, powerlessness, and many more. This description contrasts them with the enabled, supported, and most especially those in power. Apparently, God shows His care for the weak and poor (see Prov 14:31; 21:13) And, He expects those who follow Him to do similarly (Mat 25:34–40; Prov 22:22; 31:8–9; Psa 41:1). Since being "poor" involves more than lack of money, caring for them extends to more than charity. It includes providing "justice" for them. (Proverbs 18:5) They should not be oppressed but must be dealt with fairness and justice. A lack of concern for the poor and disadvantaged people is a sign of wickedness, is it not? (Prov 12:26; 28:5, 15). When James wrote his epistle, there were believers persecuted and, in many cases, robbed of property and possessions. Cruel landowners cheated and lied to avoid paying the people they hired for work justly. James writes: "Behold, the wages of the laborers who mowed your fields, which you kept back by fraud, are crying out against you, and the cries of the harvesters have reached the ears of the Lord of hosts. You have lived on the earth in luxury and in self-indulgence. You have fattened your hearts in a day of slaughter. You have condemned and murdered the righteous person. He does not resist you" (Jas 5:4–6).Listen and FOLLOW us on our podcast -------------------------Visit and FOLLOW Gospel Light Filipino on YouTube, Facebook and Instagram
En Thaïlande, près d'un mois après l'entrée en vigueur du cessez-le-feu avec le Cambodge, les affrontements se sont calmés dans les zones frontalières. Fin juillet, après deux mois de tension, un très ancien différent frontalier avait été ravivé durant cinq jours, faisant au moins 36 morts et 300 000 déplacés. Malgré la fin des combats armés, les habitants des provinces frontalières de Sisaket et Ubon Ratchathani, à quelques dizaines de kilomètres du Cambodge, sont encore loin d'être rassurés. De notre correspondante de retour de Sisaket et Ubon Ratchathani, Des étagères calcinées, des gels douches à moitié fondus, des bris de verres qui tapissent le sol… Il ne reste presque rien du 7-Eleven de la station service de Ban Phue, frappé le 24 juillet 2025 par des roquettes attribuées au Cambodge. Bilan : huit morts, dont plusieurs enfants, et 19 blessés. Jeab, femme de ménage dans la station, n'entend plus de l'oreille gauche : « L'explosion a été si forte que mon corps est resté engourdi, je n'entendais plus rien. Et maintenant, même quand j'entends le tonnerre, je pars me cacher. » Des passants viennent déposer des fleurs et des amulettes bouddhistes en hommage aux victimes, et les boutiques restent fermées. Jeab, elle, vient de reprendre son travail ici : « J'ai peur que ça recommence. Mais je dois travailler. Sinon, je ne vois pas de quoi je vais vivre. » Sa patronne, Auan, doute du cessez-le-feu. Elle parle des trois soldats thaïlandais blessés au début du mois d'août, d'après l'armée, par des mines cambodgiennes. Elle est inquiète pour l'avenir du magasin : « L'assurance ? On ne sait même pas si elle nous aidera. Ils disent que ça ne rentre peut-être pas dans les cas couverts. Les pertes dépassent déjà quinze millions de bahts [461 000 euros]. Deux millions [61 000 euros] de marchandises sont parties en fumée et près d'un million [30 000 euros] en liquide. » À lire aussiCambodge-Thaïlande : « Il y a une méfiance très grande entre les deux pays » « La peur est toujours là » Dans la province voisine, à quelques kilomètres de la frontière cambodgienne, le marché de Nam Yuen a rouvert, mais trop peu de clients sont là, d'après cette vendeuse de légumes : « Chez les clients, la peur est toujours là… Certains avaient évacués, sont revenus puis repartent car la situation n'est pas stable. » À côté de son étal, des militaires en treillis font leurs courses. La vendeuse n'en avait jamais vu autant patrouiller dans la zone : « La dernière fois, en 2011, le conflit ne s'était pas rapproché autant. Mais cette fois, c'est tout près. » Plus loin, dans le hameau de Bang Na, des adolescents volontaires réparent les toitures et les façades. Quatre maisons ont été détruites et une vingtaine d'autres touchées par des éclats d'artillerie. Paeng et sa famille sont relogés dans des préfabriqués du gouvernement. « Le gouvernement dit qu'il reconstruira en moins de deux mois. C'est déjà bien qu'ils nous aident, ça redonne un peu de courage », salue Paeng. En regardant son terrain, désormais vide, il retient ses larmes : « Je suis triste… J'ai du mal à trouver les mots… Tout est allé si vite… Ici, c'est correct, mais ce n'est pas notre maison. On vit à plusieurs dans une même pièce : mon père malade, couché au lit, et une mère âgée à m'occuper. On vit dans du provisoire, avec des tuyaux raccordés à la va-vite. » Comme beaucoup, Paeng espère que la trêve va durer. Lors de leurs dernières réunions, la Thaïlande et le Cambodge ont dit tout faire pour, mais les relations entre les deux pays restent dégradées. À lire aussiThaïlande-Cambodge : après les affrontements, l'angoisse des étudiants khmers restés à Bangkok
Text: Proverbs 29:6 (ESV) 6 A man who flatters his neighborspreads a net for his feet. THE EVIL OF FLATTERY Undue compliments or excessive praises toward a person are expressions of flatteries. Being flattered is temptation, is it not?. A flatterer is dishonest. He is manipulative by lying (Prov 6:24; 26:28; 6:16–19). Smooth words set a trap for the person believing a flattery. An example of this is the sly, left-handed Ehud, who greeted the King of Moab with favorable words, then gruesomely assassinated the unsuspecting king (Judges 3:15–23). Most interpreters read this as a warning that the one who flatters sets a trap for himself. He set a net for himself, which speaks of being tangled in one's own sins. (Prov 29:6b) Sir Walter Scott, was right to say, "Oh what a tangled web we weave, when first we practice to deceive." Here, the flatterer is spreading out a net that will eventually cause him to trip. Since flattery is lying, the flatterer risks being caught in his dishonesty by others. Liars are inconsistent. They are telling different things to different people, that would trap them someday. Or they may be forced to admit their praise was deceptive. Lies contradict truth, and they eventually contradict each other. What does this mean to us today? We as believers are summoned to recognize that lying is a work of the flesh that contradicts a life led by the Spirit (Gal 5:16). Paul commands the Colossians, "Do not lie to one another, seeing that you have put off the old self with its practices" (Col 3:9). Listen and FOLLOW us on our podcast -------------------------Visit and FOLLOW Gospel Light Filipino on YouTube, Facebook and Instagram
Près de 48 heures après la rencontre entre Donald Trump, Volodymyr Zelensky et des dirigeants européens, la presse continue de décortiquer les résultats des discussions, de scruter à la loupe la moindre déclaration et de gloser sur d'hypothétiques sorties de crise. Le Soir, à Bruxelles, résume le sentiment dominant : « À Washington, on a évité le pire, mais pas éliminé le pire. Loin de là ! (…) En se rendant en délégation à la Maison Blanche, les Européens et l'Otan ont fait office de bouclier pour le président ukrainien, en présentant un front occidental uni au président américain. Macron, Merz, von der Leyen, Rutte et les autres sont en effet rentrés pour la première fois dans les fondements de la discussion sur les conditions d'un accord de paix : à Washington, il a été question au premier plan des garanties de sécurité pour l'Ukraine et pour l'Europe, et d'une possible rencontre entre Poutine et Zelensky. » Toutefois, tout peut basculer, pointe encore Le Soir : « "on est très loin de crier victoire", a reconnu Emmanuel Macron lui-même à la sortie de cette séquence décidément inédite. Le président français est même très en dessous de la vérité : il n'y a plus de cessez-le-feu sur la table, les garanties données par Trump sur la sécurisation par les Américains de l'Ukraine et de l'Europe sont très vagues et l'"échange" de territoires reste une exigence de base de Poutine. » Un apaisement, mais pas la paix En fait, soupire Le Temps à Genève, « les Européens ont ramené de la politesse de Washington, mais pas beaucoup plus. De l'apaisement plutôt qu'un plan de paix à proprement parler. La présence des Européens à Washington aura peut-être au moins permis de pousser Donald Trump à rester poli. Sinon, il faut bien avouer que les lignes ont peu changé. » « Une rencontre indispensable, mais peu fructueuse », renchérit Le Monde à Paris. « Après le fiasco de l'Alaska, le pire a été évité : le front transatlantique, que le président Poutine rêve de voir s'effondrer, est préservé, au moins dans les apparences. Mais un énorme travail reste à faire pour transformer la "convergence" évoquée par Emmanuel Macron en une action conjointe pour sauver l'Ukraine. » Trump maître du jeu Ce qui est sûr, c'est que Trump a les cartes en main. C'est ce qu'affirme Le Figaro : « Les visiteurs de la Maison-Blanche ont échoué à rétablir l'exigence initiale d'un cessez-le-feu. Et Zelensky ne s'est pas appesanti sur les questions territoriales, de crainte de braquer son hôte par un refus catégorique. C'est la preuve que toutes les voies en Ukraine passent par Trump. De toute évidence, les alliés estiment que l'alternative, où le président américain se détournerait du dossier, serait pire que les contorsions et les flatteries qu'impose son maintien dans le jeu. Inversement, Poutine mise sur la complexité de l'affaire pour garantir la lassitude du pacificateur de Washington. Qui va remporter son pari ? Les Européens, sans illusions sur le Russe et sans grands espoirs envers l'Américain, ont une bonne motivation pour monter en puissance, en rêvant du jour où ils pourront tenir tête à l'un et se passer de l'autre. » Poutine, maître de guerre « Quelle est la prochaine étape des pourparlers de paix en Ukraine ? », s'interroge pour sa part le New York Times. Côté américain, on affirme que Poutine est prêt à rencontrer Zelensky, mais côté russe, rien n'est confirmé. Et le quotidien américain de souligner que « le président russe a la réputation de gérer les crises au ralenti, en espérant que les circonstances lui soient plus favorables ». Et Poutine pourrait ainsi encore gagner du temps. Enfin, le Washington Post ne se fait aucune illusion : « Qu'est-ce qui a été réalisé après toutes ces réunions ? Pas grand-chose. Même si Zelensky et Poutine se rencontrent, il n'y a aucune raison de s'attendre à une avancée. (…) Si vous voulez juger des intentions de Poutine, ignorez ses paroles trompeuses et regardez ses actions brutales, s'exclame le Post. Quelques heures avant l'arrivée de Zelensky à la Maison Blanche, des attaques russes ont tué 14 civils en Ukraine. Et quelques heures après, les Russes ont lancé leur plus grande attaque de missiles et de drones de ces quatre dernières semaines. En écartant, du moins pour l'instant, la menace de sanctions américaines plus importantes, l'offensive diplomatique de Poutine ne fait que donner un répit à ses troupes pour qu'elles poursuivent leur guerre d'agression. Ainsi, les derniers pourparlers de paix, loin de mettre fin à la tuerie, n'ont fait que la perpétuer. »
Bien le bonjouuuuuur d'une petite dame qui avait hâte de vous retrouver pour ce sixième épisode des courriers du coeur.Aka les courriers du coeur d'une misandre ❤️
Text: Proverbs 29:1 (ESV) 1 He who is often reproved, yet stiffens his neck,will suddenly be broken beyond healing. BROKEN BEYOND HEALING A thing that becomes useless when it is broken is disposable, is it not? These things generally are cheap and won't last long. Such is the person who is unteachable. Their continual hardening may cause them to become stiff. When crisis comes and they break apart beyond repair. Sad. This is one of the most ominous verses in the Bible. Solomon warns, “When the tempest passes, the wicked is no more, but the righteous is established forever.” (Prov 10:25). Those who stubbornly refuse to be corrected, despite many warnings, put themselves at risk of sudden, catastrophic disaster (Prov 6:15; 8:32–36). The legal or social consequences can't be ignored. It might mean physical injury or death. Who is "stiff neck" or a "hardened neck" people? They are people who refuse to bow in submission, or even to nod in agreement. They are pictured as livestock, an animal refusing to respond to commands. The bible is littered with examples. In Noah's day, the culture was thoroughly wicked and hardened. They refused to accept God's goodness. As a result, everyone except Noah and his family perished in the flood God unleashed on the earth (Gen 6:5–8). The Israelites who wandered the desert for forty years were said to be stiff-necked people (Ex 33; Neh 9:16–18). King Hezekiah, in calling the people who had escaped the Assyrians to celebrate Passover, warned them to return to the Lord and not "be stiff-necked as your fathers were, but yield yourselves to the Lᴏʀᴅ and come to his sanctuary … and serve the Lᴏʀᴅ your God, that his fierce anger may turn away from you" (2 Chronicles 30:8). Hezekiah reminded the people that "God is gracious and merciful and will not turn away his face from you, if you return to him" (2 Chron 30:9). John the Baptist warned the stiff-necked, self-righteous Pharisees and Sadducees, "Even now the axe is laid to the root of the trees. Every tree therefore that does not bear good fruit is cut down and thrown into the fire" (Mat 3:10). Stephen accused his murderers of being "stiff-necked people, uncircumcised in heart and ears, you always resist the Holy Spirit. As your fathers did, so do you" (Acts 7:51). One of those was Paul. Stiffening one's neck against the truth of God is a deplorable state. Yet, God is unchanging and remains merciful to all who turn to Him in faith (Eph 2:1–10; 1 Cor 6:9–11). Even so, the apostle Peter warns, "The Lord is not slow to fulfill his promise as some count slowness, but is patient toward you, not wishing that any should perish, but that all should reach repentance. But the day of the Lord will come like a thief, and then the heavens will pass away with a roar, and the heavenly bodies will be burned up and dissolved, and the earth and the works that are done on it will be exposed" (2 Pet 3:9–10). Foremost example of change is Paul. Paul the persecutor was changed by the grace of God. When it comes to God, some obstinately ignore His many warnings and invitations to be saved (Rom 1:18–20; Micah 7:18–19). While God is merciful and gracious, He does not offer infinite patience, does He? And God takes His hands off an obstinate unbeliever and simply "lets them go" wherever their sin will take them (Rom 1:26–28; 1 Sam 2:25). That means a life without God and an eternity of hopeless doom (Rev 20:15; John 3:36). Eventually, the opportunity to repent would be gone. There comes a time when Jesus will come to judge this world.Listen and FOLLOW us on our podcast -------------------------Visit and FOLLOW Gospel Light Filipino on YouTube, Facebook and Instagram
Text: Proverbs 28:28 (ESV) 28 When the wicked rise, people hide themselves,but when they perish, the righteous increase. WHAT KIND OF LEADERS WE NEED? When evil people come to power, they drive their subjects to hide (Prov 28:2, 4, 12, 15–16). That might not mean literally that people are cowering underground. But, it can include fear of speaking or expressing. The more a culture becomes wicked, the fewer good examples are seen, so decadence into sin accelerates (Prov 14:34; 29:18). These selfish and wicked rulers see their roles as an opportunity to obtain power and wealth (Prov 22:16, 22; 31:9). But, godly leaders seek to honor the Lord and serve their people (Prov 16:12; 20:26; 29:4). This verse presents a vivid contrast. When those wicked oppressors die, righteous people no longer hide; they increase, literally, "become great." They celebrate the demise of the wicked rulers (Proverbs 11:10), and they thrive. They come out of hiding and become prosperous. Take for example the reign of Ahab and Jezebel in 1 Kings 16:30–33; 21:25. They caused God's prophets to go into hiding (1 Kings 18:4). It was a reign of terror. This pattern even is revealed to happen during the end times. The tribulation period will see the rise of two beasts, a political and religious (Rev 13:1–18). Their evil influence would be global, and the beasts would force people to serve them under penalty of death (Rev 13:5–10). But, Jesus would judge them and seize control of earth. He will reign in righteousness for a thousand years, and people will thrive during those peaceful times (Rev 20:1–6). Today's cruel and unjust leaders should remind us to hope. For Jesus is going to fulfil His words. He is our ultimate leader. As Isaiah has prophesied;“6 For to us a child is born,to us a son is given;and the government shall be upon his shoulder,and his name shall be calledWonderful Counselor, Mighty God,Everlasting Father, Prince of Peace.7 Of the increase of his government and of peacethere will be no end,on the throne of David and over his kingdom,to establish it and to uphold itwith justice and with righteousnessfrom this time forth and forevermore.The zeal of the Lord of hosts will do this.”[Isa 9:6,7]Listen and FOLLOW us on our podcast -------------------------Visit and FOLLOW Gospel Light Filipino on YouTube, Facebook and Instagram
Text: Prov 28:27 (ESV) 27 Whoever gives to the poor will not want,but he who hides his eyes will get many a curse. GIVING TO THE POOR Caring for the weak and needy is following God's will. “ Whoever oppresses a poor man insults his Maker, but he who is generous to the needy honors him.” (Prov 14:31). This is one reason that those who are generous are more likely to succeed than those who are entitled and stingy. “One gives freely, yet grows all the richer; another withholds what he should give, and only suffers want.” (Prov 11:24; 28:22,25). This is contrasted with those who claim they didn't know about the needs of others, when they're simply choosing to look the other way (Prov 21:13; 24:11–12). The Lord, even most men, look favorably on those who are generous. But, greedy people are looked down on. (Prov 11:26; 28:3). Generosity reflects a godly spirit. “Whoever despises his neighbor is a sinner, but blessed is he who is generous to the poor.” (Prov 14:21) In the Law God gave to Israel, He told farmers not to harvest fields right up to the edge or strip their vineyards bare. They were to leave some of the wheat and the fallen grapes for the poor and those travelling (Lev 19:9–10). When Naomi returned from Moab to Bethlehem, she was a widow, and was accompanied by her widowed daughter-in-law Ruth. Naomi had a relative of her late husband who was a righteous man. His name was Boaz, and he was a farmer. He was also very generous. Seeing Ruth following the reapers in his field and gleaning after them, Boaz instructed his reapers to let Ruth follow behind them to get the most possible grain. He also provided her with water and food (Ruth 2). Let us not close our eyes to the needy. For “whoever is generous to the poor lends to the Lord, and he will repay him for his deed.” (Prov 19:17)Listen and FOLLOW us on our podcast -------------------------Visit and FOLLOW Gospel Light Filipino on YouTube, Facebook and Instagram
Il y a trois ans, la Thaïlande était le premier pays d'Asie à retirer le cannabis de la liste des stupéfiants. Mais depuis le 1er juillet, le royaume a fait marche arrière. Fini, l'usage récréatif, retour à une consommation strictement médicale. Un coup dur pour une industrie qui a généré 1 milliard de dollars l'an dernier. Entre flou administratif et inquiétude, les producteurs, les vendeurs et les consommateurs tentent de s'adapter. Reportage Juliette Chaignon à Chiang Mai et Bangkok. Il y a trois ans, Aeon était comptable dans le nord de la Thaïlande et n'avait jamais consommé de cannabis. Mais la légalisation et un marché en plein essor l'ont séduite. Aeon a investi alors 150 000 euros dans une plantation et six magasins : « Au début, j'ai pensé pouvoir gagner de l'argent. J'ai fait des prêts à la banque. » Jusqu'ici, les règles étaient simples pour les plus de 10 000 magasins sous licence : des fleurs de cannabis en vente libre, sauf pour les étudiants, les moins de 20 ans et les femmes enceintes, interdiction de fumer dans les lieux publics et tenue d'un registre des achats et ventes du mois. Mais depuis le 1er juillet 2025, un nouveau décret inquiète les vendeurs : les clients doivent présenter une ordonnance médicale pour acheter. « Je suis inquiète, car j'ai déjà trop investi et la vente sera plus difficile. Les clients ont peur d'acheter maintenant, ils ont peur de la police. Et j'ai peur de devoir licencier mes employés », raconte Aeon. Depuis l'entrée en vigueur des nouvelles règles, quelques dizaines de magasins ont été sanctionnés. Certaines boutiques, elles, n'ont rien changé. Elles misent sur le flou des autorités, qui n'ont pas encore détaillé comment concrètement appliquer la loi. À lire aussiThaïlande: intervention de la police lors d'une grande «soirée drogue» Dans ce magasin de Chiang Mai, Jackson et Rayan, deux touristes, viennent d'acheter un sachet d'herbe. Ils roulent leur joint sur la terrasse. « Je n'ai pas eu besoin de prescription pour acheter. C'est un peu confus. Tu viens d'acheter ça... C'était combien ? », demande l'un. « Six euros pour 3 grammes », répond l'autre. « C'est aussi simple que d'acheter de la bière », s'amuse le premier. Dans une autre boutique, Travis, un gérant californien installé en Thaïlande, a lui choisi de s'adapter : « J'ai des contacts de médecins, ce qui permettra aux clients d'avoir une ordonnance et de continuer à profiter du cannabis. » Pour lui, une régulation plus stricte en Thaïlande était nécessaire : « C'est un peu le Far West jusqu'ici. Et la surproduction entraîne une baisse de la qualité. » Officiellement, la Thaïlande a restreint l'accès au cannabis pour protéger la santé des plus jeunes et pour éviter le trafic. L'an dernier, plus de 800 voyageurs ont été arrêtés et accusés de transporter de l'herbe. Des justifications opportunistes d'après Chokwan Kitty Chopaka, militante pro-cannabis : « Ce sont des manœuvres politiques. Tant que nous n'aurons pas une loi spécifique sur le cannabis, n'importe quel gouvernement pourra imposer ce qu'il veut. » Le gouvernement dit aussi vouloir re-criminaliser le cannabis. Une mauvaise solution, d'après Kitty : « En Thaïlande, il y a toujours moyen de contourner la loi. Sinon, notre industrie du sexe n'existerait pas. Est-ce une bonne chose ? Pas vraiment, car le cannabis risque de se retrouver dans une zone grise. » Face à l'incertitude et une forte concurrence, Kitty a déjà fermé son magasin. Elle craint de voir des centaines de vendeurs de cannabis faire de même en Thaïlande. À lire aussiThaïlande: la légalisation du cannabis, une manière de renouer avec la culture locale
Judith et Axel parlent de l'amitié à l'âge adulte
Cette semaine, on parle de Nintendo qui lance une collection pour jeunes enfants, de Battlefield 6 qui a eu une BETA solide, de mes impressions de la démo de Shinobi: Art of Vengeance ainsi que McDonald's au Japon qui découvre à ses dépends l'hommerie face aux Pokémons! En impressions, je vous parle de Ninja Gaiden: Ragebound, une excellente suite digne des jeux NES développée par The Game Kitchen, les créateurs de Blasphemous, et publié par Dotemu en collaboration avec Koei Tecmo. Est-ce que c'est aussi difficile et remplis de corneilles comme au Nintendo? Faut écouter pour savoir! Sinon en question, on continue de parler de Ninja avec mes Ninjas favoris, les meilleurs films de Ninja, ma meilleure arme de Ninja et bien plus encore, notamment les sauvegardes de jeux! Bonne écoute! Diffusion originale: le 11 août 2025► Pour nous supporter et accéder à du contenu exclusif: https://ko-fi.com/fredgemus ► Vous pouvez aussi nous suivre et laisser une note positive: C'est gratuit et le meilleur encouragement! ► Écoutez nous en direct au https://www.twitch.tv/elgemusio ► Pour suivre tous mes projets et m'encourager, visitez le https://fredgemus.com/ ► Rejoignez notre communauté Le HUB sur Discord: https://discord.gg/qPDEaYqzXt ► Musique par Rudy Berhnard. Découvrez le ici: linktr.ee/rudyberhnard► Montage et diffusion en audio: Fanie Grégoire au www.fanie.ca
Text: Proverbs 28:23 (ESV) 23 Whoever rebukes a man will afterward find more favorthan he who flatters with his tongue. A REBUKE MAY GAIN FAVOR If we genuinely "love" a person, we do care for his well-being, don't we? And this may mean speaking uncomfortable truths in direct, loving ways at times. (Eph 4:15). A "reproof" or "rebuke" is a strong, bold or direct confrontation. The wise would listen to correction and advice objectively. (Prov 3:11; 10:17; 15:31) They will appreciate the guidance given by a true friend (Prov 17:10; 27:5, 6, 17). Telling the truth gains one more respect. Flattery is not a proof of true love and concern. (Prov 19:1; 24:26; 26:24, 28). It's giving false assurance. It is wrong and is not loving (Prov 13:24; Jas 5:20). In his letter to the Galatians, the apostle Paul explains how a loving brother should show love to an erring brother. He is going restore a brother who is caught in sin and error in an effective way He writes: "Brothers, if anyone is caught in any transgression, you who are spiritual should restore him in a spirit of gentleness. Keep watch on yourself, lest you too be tempted" (Gal 6:1). One of the major responsibilities of a pastor or elder is to reprove and rebuke as necessary (2 Tim 2:24–26). The church leader whose preaching or counsel is designed simply to make people feel good about themselves is not fulfilling his responsibility. He is not truly "loving" toward others.Listen and FOLLOW us on our podcast -------------------------Visit and FOLLOW Gospel Light Filipino on YouTube, Facebook and Instagram
Bien le bonjouuuur d'une petite dame qui est là pour remettre les pendules à l'heure :)Parce que grâce à eux (oui, ce sont toujours des hommes), aujourd'hui on va pouvoir aborder plein de sujets !Donc au final, merci les haters, coeur sur vous ❤️Et si jamais vous aussi vous avez des haters, en ligne ou dans la vraie vie, gardez bien en tête que ces personnes sont malheureuses donc ayons pitié et souhaitons leur de belles choses (ça dépend qui hein !)RessourcesMa merveilleuse thérapeute que je vous recommande : https://www.instagram.com/manonboissiere_/Vous avez -10% sur TOUTES vos consultations avec mon code GSM10Je vous attend sur Instagram @greenetsoimeme !Sinon, vous pouvez aussi laisser un avis sur Apple Podcast ou Spotify et vous abonnez pour ne louper aucun épisode de Green et Soi-même
Text: Proverbs 28:22 (ESV) 22 A stingy man hastens after wealthand does not know that poverty will come upon him. - BEWARE OF ‘GET-RICH-QUICK' SCHEMES Today, we are overwhelmed with ‘get-rich-quick schemes' offers in the social media. These dishonest business practices often result in disaster. The Ponzi scheme is an example. It is a fraudulent investment operation that pays returns to its investors from new capital paid by new investors, rather than from profit earned through legitimate business activities. The person who "chases" after wealth or cheats others get rich can expect disastrous consequences. (Prov 23:4; 28:20; 13:11; 20:17; 11:4; 22:16). Frauds, con artists, gamblers, and unwise investors have learned this lesson the hard way. Even if wealth is gained legitimately, but not used in a godly way, it's likely to vanish away as well (Prov 11:24). Paul told Timothy that false teachers have unhealthy desires for money that inspire many other sins. The love of money is the root of all evil. (1 Tim 6:10). He noted that "those who desire to be rich fall into temptation, into a snare, into many senseless and harmful desires that plunge people into ruin and destruction" (1 Tim 6:9). Other proverbs caution that accumulation of material wealth is worthless pursuit. On the contrary, we should strive for moral integrity (Prov 8:11; 10:2; 15:27; 16:8, 16; 19:1). Listen and FOLLOW us on our podcast -------------------------Visit and FOLLOW Gospel Light Filipino on YouTube, Facebook and Instagram
Text: Proverbs 28:21 (ESV) 21 To show partiality is not good,but for a piece of bread a man will do wrong. THE EVIL OF PARTIALITY Right judgment is needed in our relationships. It includes distinguishing between persons on a fair and reasoned basis. Otherwise, we will become partial. "Partiality," here, is giving an unfair preference to one person over another. A common example is giving more respect to a rich man over a poor one (Jas 2:1–4). It's a sin to act unfairly. The Book of Proverbs condemns unfairness in judgment explicitly.(Prov 17:26; 18:5; 24:23). Unfortunately, human beings are corrupt by nature so that they are prone to the error of partiality. Sadly, this verse notes that some will act immorally for a trivial reward, represented by a piece of bread. The Lord God shows no partiality (Acts 10:34). He loves the whole world. (John 3:16). Jesus demonstrated His impartiality in John chapter 4. It records a conversation between Jesus and a Samaritan woman, who was surprised that Jesus would speak to her. The Jews looked down the Samaritans and avoided all contact with them (John 4:9). After He arose from death, Jesus commissioned the apostles to proclaim the good news of salvation to all people in all places, regardless of race and ethnicity (Acts 1:8). In his epistle, the apostle James chides his readers for treating the rich well but not the poor. He writes: "If you really fulfill the royal law according to the Scripture, 'You shall love your neighbor as yourself,' you are doing well. But if you show partiality, you are committing sin" (Jas 2:8–9).Listen and FOLLOW us on our podcast -------------------------Visit and FOLLOW Gospel Light Filipino on YouTube, Facebook and Instagram
Avant la guerre, le textile syrien était reconnu à travers le monde pour sa qualité, en particulier pour son coton. Le secteur, pilier de l'économie, pesait 12% du PIB. À Alep, la capitale économique, le textile représente 75% de la production et emploie 300 000 personnes. Mais les entreprises ont été, elles aussi, touchées par la guerre et le racket organisé par le régime Assad. Aujourd'hui, la levée annoncée des sanctions internationales redonne espoir aux acteurs de la filière qui rêvent de redevenir la locomotive du développement de la Syrie. De notre envoyée spéciale à Alep, À Cheikh Najjar, la zone industrielle d'Alep, des entrepôts calcinés côtoient des manufactures reconstruites. Pendant la guerre, la région a été au cœur des combats entre les rebelles et le régime Assad soutenu par son allié russe. À la tête de l'entreprise de textile Al Faisal, Bassam Dawalibi a dû rebâtir son usine en 2017. Celle-ci emploie aujourd'hui 150 personnes et produit 10 tonnes de fil par jour à partir de matières synthétiques importées de Chine, qui ont remplacé le coton syrien. « La matière première que nous utilisons, c'est du polyester qui est fabriqué à partir de pétrole. Malheureusement, la production locale de coton s'est effondrée avec la guerre et on ne pouvait pas s'en procurer facilement. Nous espérons qu'à l'avenir, nous pourrons revenir au coton », explique Bassam Dawalibi, directeur financier de l'entreprise Al Faisal. Avant la guerre, la Syrie était pourtant le troisième producteur de coton au monde. Depuis la chute du régime, les nouvelles autorités libéralisent l'économie à tout va. Les droits de douane ont été réduits et les textiles turcs et chinois inondent le marché, au grand dam de Bassam Dawalibi. Sans de telles mesures, le directeur s'inquiète de devoir plier bagage : « La production nationale fait face à une concurrence injuste et désavantageuse des importations et cela n'a pas été réfléchi. Je souhaite que le gouvernement augmente les droits de douane sur les produits étrangers pour protéger l'industrie locale. » À Alep, les souks pluri-centenaires ont été endommagés ou détruits à 60% d'après l'Unesco. Dans les rues épargnées, la vie reprend, mais les affaires tournent au ralenti. « Actuellement, la situation est en dessous de la moyenne financièrement. Sauf pendant les fêtes ou les saisons où les proches vivant à l'étranger envoient de l'aide. Sinon, il n'y a rien », se désole Ahmad Sawwas, vendeur de vêtements au souk d'Alep. Sur les étals, quelques produits chinois, mais principalement des vêtements assemblés en Syrie à partir de fibres ou de tissus importés. Ici, beaucoup espèrent que la levée des sanctions permettra de relancer la culture du coton syrien et de faire revenir les entrepreneurs en exil. À lire aussiSyrie: «Ils ont déplacé tous les Bédouins» de Soueïda, même ceux qui n'étaient pas impliqués dans les combats
Avant la guerre, le textile syrien était reconnu à travers le monde pour sa qualité, en particulier pour son coton. Le secteur, pilier de l'économie, pesait 12% du PIB. À Alep, la capitale économique, le textile représente 75% de la production et emploie 300 000 personnes. Mais les entreprises ont été, elles aussi, touchées par la guerre et le racket organisé par le régime Assad. Aujourd'hui, la levée annoncée des sanctions internationales redonne espoir aux acteurs de la filière qui rêvent de redevenir la locomotive du développement de la Syrie. De notre envoyée spéciale à Alep, À Cheikh Najjar, la zone industrielle d'Alep, des entrepôts calcinés côtoient des manufactures reconstruites. Pendant la guerre, la région a été au cœur des combats entre les rebelles et le régime Assad soutenu par son allié russe. À la tête de l'entreprise de textile Al Faisal, Bassam Dawalibi a dû rebâtir son usine en 2017. Celle-ci emploie aujourd'hui 150 personnes et produit 10 tonnes de fil par jour à partir de matières synthétiques importées de Chine, qui ont remplacé le coton syrien. « La matière première que nous utilisons, c'est du polyester qui est fabriqué à partir de pétrole. Malheureusement, la production locale de coton s'est effondrée avec la guerre et on ne pouvait pas s'en procurer facilement. Nous espérons qu'à l'avenir, nous pourrons revenir au coton », explique Bassam Dawalibi, directeur financier de l'entreprise Al Faisal. Avant la guerre, la Syrie était pourtant le troisième producteur de coton au monde. Depuis la chute du régime, les nouvelles autorités libéralisent l'économie à tout va. Les droits de douane ont été réduits et les textiles turcs et chinois inondent le marché, au grand dam de Bassam Dawalibi. Sans de telles mesures, le directeur s'inquiète de devoir plier bagage : « La production nationale fait face à une concurrence injuste et désavantageuse des importations et cela n'a pas été réfléchi. Je souhaite que le gouvernement augmente les droits de douane sur les produits étrangers pour protéger l'industrie locale. » À Alep, les souks pluri-centenaires ont été endommagés ou détruits à 60% d'après l'Unesco. Dans les rues épargnées, la vie reprend, mais les affaires tournent au ralenti. « Actuellement, la situation est en dessous de la moyenne financièrement. Sauf pendant les fêtes ou les saisons où les proches vivant à l'étranger envoient de l'aide. Sinon, il n'y a rien », se désole Ahmad Sawwas, vendeur de vêtements au souk d'Alep. Sur les étals, quelques produits chinois, mais principalement des vêtements assemblés en Syrie à partir de fibres ou de tissus importés. Ici, beaucoup espèrent que la levée des sanctions permettra de relancer la culture du coton syrien et de faire revenir les entrepreneurs en exil. À lire aussiSyrie: «Ils ont déplacé tous les Bédouins» de Soueïda, même ceux qui n'étaient pas impliqués dans les combats
Text: Proverbs 28:15,16 (ESV) 15 Like a roaring lion or a charging bearis a wicked ruler over a poor people.16 A ruler who lacks understanding is a cruel oppressor,but he who hates unjust gain will prolong his days. A WICKED RULER OVER A POOR PEOPLE What is the effect an ungodly ruler's oppressive rule has upon his subjects? Through violence, repression, hardship, or other difficult means, the evil tyrant drives people into hiding. The mention of "a poor people" may suggest heavy taxation, theft, and other types of direct abuse. How do people afflicted this way respond? If they are under the leadership of a merciless predator? They will resort to hiding (see v.12). Most notorious dictators do rule by fear and intimidation, don't they? In contrast, godly rulers inspire confidence and security in their people. As a result, the people learn to trust that the leader will do what is right (Prov 28:2; 29:2). In Moses' day, Pharaoh ruled Egypt with a heavy hand. He made life especially miserable for the Jews, enslaving them. He assigned cruel masters "to afflict them with heavy burdens" (Ex 1:11). They "ruthlessly made the Jews work as slaves and made their lives bitter with hard service. He demanded to produce more bricks, when he did not supply the mortar. In all their works, he ruthlessly made them work as slaves" (Ex 1:13–14). Watch on YouTube: https://youtu.be/lPuuvKVODmgListen and FOLLOW us on our podcast Spotify: http://bit.ly/glccfil_spotify Apple Podcast: http://bit.ly/glccfil-applepcast Audible Podcast: http://bit.ly/glccfil-audibleFollow us on various media platforms: https://gospellightfilipino.contactin.bio#gospellightfilipino#godswordfortoday
Bien le bonjouuuuuur d'une petite dame qui découvre après 26 ans qu'elle a de l'anxiété sociale : WHAT A SURPRISE !En réalité pas du tout une surprise avec un peu de recul mais c'est parfois plus simple d'être dans le déni...Aujourd'hui je vous en parle pour me sentir moins seule et en espérant de tout mon coeur que ça pourra faire écho à certaines personnes
Text: Proverbs 28:14 (ESV) 14 Blessed is the one who fears the LORD always,but whoever hardens his heart will fall into calamity. DO FEAR THE LORD ALWAYS The term translated into English as "fear" may refer to both an emotional feeling or respect or reverence (Prov 1:7; Lev 19:32). Both concepts are important, but this verse is more inclined to the idea of alarm or dread. Those who stubbornly ignore the dangers of sin, warnings from others or God's clear commands) set themselves up for a disaster or catastrophe (Prov 8:32–36; 22:5; 12:15; 1:23). This attitude is describing someone who "hardens his heart." It is a common phrase refereing to obstinate disobedience to the Lord (Ex 7:13; Dan 5:20; John 12:40). Some translators interpret this as an appeal to revere God. This is not an unreasonable conclusion, even if the Hebrew text itself does not mention "the LORD." For a person to be properly reverent and seek goodness, obedience to God is implied (Proverbs 2:6–9). This fear is the reason for repentance (v.13). Psalm 1 describes blessedness by loving God's Word and obeying it. This means refusing any influence from the ungodly. While the wicked receive divine judgment and are eternally separated from God, the person who reveres the Lord enjoys a productive life. Jesus in His Sermon on the Mount used a term meaning "blessed" or "happy" to describe "those who hunger and thirst for righteousness" (Mat 5:6). The choice must be clear. Should a person chose to honor the Lord and "fear" evil, he will be blessed. If someone hardens his heart against the Lord, he is going towards disastrous trouble.Listen and FOLLOW us on our podcast -------------------------Visit and FOLLOW Gospel Light Filipino on YouTube, Facebook and Instagram
Text: Proverbs 28:13 (ESV) 13 Whoever conceals his transgressions will not prosper,but he who confesses and forsakes them will obtain mercy. CONCEAL OR CONFESS The first and most foolish human error was the attempt to hide his sins from the Creator (see Gen 3:8–10). God knows everything (1 John 3:20). Nobody can hide from God (Heb 4:13). Those who hide from God don't respect His authority. He is gripped with pride and unbelief. (Psa 10:11–13). The person who pretends to be blameless will be judged, while the one who confesses his sin will be forgiven (1 John 1:9–10; Luke 18:10–14). King David is the classic example. He tried to cover his sin of adultery. He went so far as to have one of his valiant men killed (see 2 Sam 1112). His soul and body suffered immense pain until he confessed to the Lord. His words in Psalm 32 and 51 attest to his guilt when he tried to hide his crimes, as well as his deep relief upon confessing and receiving forgiveness. David exclaims, "Blessed is the one whose transgression is forgiven, whose sin is covered" (Psa 32:1). Today, is not the person who admits wrongdoing before they are caught is usually given more leniency than those who tried to hide their sin and caught? The saying, "the cover-up is often worse than the crime" is true. Listen and FOLLOW us on our podcast Spotify: -------------------------Visit and FOLLOW Gospel Light Filipino on YouTube, Facebook and Instagram
Des missionnaires catholiques numériques ont vécu, les 28 et 29 juillet, le premier jubilé dans l'histoire de l'Église leur étant consacré. Parmi le millier de participants, venus des quatre coins du monde, à l'invitation du pape Léon XIV, des prêtres italiens cartonnent sur les réseaux sociaux. Au point de rassembler plus d'un million de followers, comme don Cosimo Schena. Rencontre avec certaines de ces stars de l'évangélisation en ligne, à l'ombre de la coupole de Saint-Pierre. De notre correspondante à Rome, Revitaliser l'Église et la rendre plus inclusive, cela peut passer par la musique électro, comme celle du curé DJ portugais, Guilherme Peixoto. Lors de la dernière soirée du jubilé des missionnaires digitaux, le célèbre influenceur quinquagénaire, en col romain, a enflammé la foule sur la piazza del Risorgimento, avec un concert dont vous écoutez un extrait. L'évangélisation sur la toile passe aussi par le corps, utilisé comme le temple du Saint-Esprit. Don Giuseppe Fusari, 60 ans, originaire de Brescia, expert en histoire de l'art, est surnommé « le prêtre culturiste ». Et c'est peu dire. Il suffit de voir une photo de lui torse nu, avec ses muscles ultra-bombés. « Je me considère comme un missionnaire digital qui applique la méthode des influenceurs. Aujourd'hui, nous vivons dans une société où la manière dont une personne se montre compte beaucoup pour les plus jeunes qui vivent dans un monde d'images ». « Ho fatto un podcast, "Don cast", il podcast il più santo di tutti ! ». (« J'ai réalisé un podcast Don Cast. Le podcast le plus sacré de tous ! ») Là, vous entendez un autre prêtre, Alberto Ravagnani, 31 ans, du diocèse de Milan, qui présente un de ses podcasts sur un ton illustrant toute sa fougue sur Instagram, YouTube et TikTok. « J'ai toujours été attiré par la scène. Pour moi, la mimique faciale et gestuelle sont essentielles pour communiquer sur les médias sociaux. Je pense que l'Église doit briser les clichés. Sinon, elle risque de sombrer dans ses propres clichés stéréotypes ». Et voici Don Cosimo Schena, 46 ans portés avec l'élégance d'un top-model. En Italie, ce prête de Brindisi est une véritable star sur les réseaux sociaux. « Je réalise des vidéos sur la psychologie spirituelle, car je suis aussi psychothérapeute. Mon élégance m'aide. Je reçois jusqu'à mille messages par jour. La maladie de notre siècle est vraiment la solitude. Si nous étions plus enclins à nous écouter les uns les autres, le monde serait différent. » À l'instar d'autres étudiants catholiques, Anna et Guy voient d'un bon œil cette petite révolution : « C'est un moyen super ! Il y a plein de jeunes qui découvrent la foi grâce aux plateformes comme Instagram ou TikTok. Ça peut toucher tout le monde, tout âge. » « Moi, je trouve que c'est très beau d'évangéliser sur les réseaux sociaux parce que c'est aller chercher les personnes là où elles sont ». Quant au pape Léon XIV qui définit les prêtres influenceurs comme « des agents de communion, capables de rompre la logique de l'individualisme », ils les invitent à « se centrer sur le Christ ».
Bien le bonjouuuuuur d'une petite dame qui avait besoin de partager avec vous... Aujourd'hui je vous emmène dans ma tête et dans mes réflexions notamment sur le génocide en cours à Gaza
C'était il y a tout juste 80 ans. Le 27 janvier 1945, le camp de concentration et d'extermination d'Auschwitz-Birkenau, situé en Pologne, était libéré par l'armée russe. La Shoah fera 6 millions de morts, dont un million dans ce camp, épicentre de la solution finale : l'extermination programmée, à l'échelle industrielle, des Juifs d'Europe par l'Allemagne Nazie. (Rediffusion) 80 ans après, le camp est devenu un musée et un mémorial visité chaque année par de nombreux étudiants, qui ont un rapport parfois distant avec l'histoire de la Shoah. Reportage avec de jeunes lycéens français originaires de Toulouse. De notre envoyé spécial à Auschwitz, C'est un marathon express en Pologne. Un aller-retour dans la journée et une visite de quelques heures pour se plonger dans un pan entier de l'histoire, concrétiser des mots, des récits et des images, étudiés en classe. Ces lycéens étudient au lycée Pierre-Paul Riquet de Saint-Orens-de-Gameville, dans l'agglomération de Toulouse. Parmi eux, Malack, 17 ans. La lycéenne doit bien l'admettre, elle ne connaissait pas l'histoire de la Shoah. « C'est grâce au professeur que j'en ai entendu parler. On m'a parlé des Juifs, de leur extermination, mais ce n'était jamais détaillé, ce n'était pas approfondi comme aujourd'hui », déroule-t-elle. La trentaine d'élèves s'est levée très tôt et a embarqué dans un avion depuis Toulouse, jusqu'à Cracovie, la seconde ville de Pologne, située à 70 kilomètres d'Auschwitz-Birkenau. Avant d'entamer la visite, l'ambiance est plutôt détendue, ponctuée de quelques batailles de boules de neige à la descente du car. Plusieurs élèves, dont Yann, avouent regarder avec un certain éloignement l'histoire de la Shoah. « C'est dans les livres d'histoire, plante le jeune homme. On en entend parler, on voit quelques photos, mais venir ici c'est une vraie opportunité de découvrir l'histoire de l'Europe et de la Seconde Guerre mondiale. » Le mot « guerre » lui évoque davantage celle en Ukraine, à 200 kilomètres à vol d'oiseau. Loann dresse une analyse similaire : « La guerre au Moyen-Orient, la guerre en Ukraine : Je me sens beaucoup plus proche de ces guerres aujourd'hui car on a des images, des vidéos, des reportages, sur ces guerres, et elles sont plus médiatisées qu'avant. Auparavant, on n'avait pas du tout conscience de ce qui se passait dans ces camps. » Bâtiments en ruines En ce mois de janvier 2025, 20 centimètres de neige recouvrent ce qu'il reste de Birkenau, le deuxième des trois camps d'Auschwitz, où débute la visite. Une grande partie des constructions en pierre sont détruites et Loann apparaît quelque peu déboussolé : « Le fait que les bâtiments soient en ruines, on a du mal à imaginer leur fonctionnement. Mais venir ici, ça permet de mettre en forme tout ce que l'on voit en cours. On comprend vraiment l'importance de ce camp dans la Seconde Guerre mondiale », insiste le lycéen. Une première visite permet de matérialiser les faits au-delà des mots de la guide qui accompagne les élèves : la visite d'un baraquement. En silence, les élèves arpentent la construction où s'entassaient et dormaient sur des planches en bois, les prisonniers du camp. « C'est à la fois triste et extrême, c'est angoissant, il y a une atmosphère pesante », commentent Anaïs et Mélanie. Malack, qui n'avait que très peu entendu parler de la Shoah, se plonge peu à peu dans le récit. « Je peux imaginer ces gens-là en train de vivre ces atrocités. J'arrive un peu à ressentir ce qu'ils ont dû ressentir à l'époque. » Le système concentrationnaire de Birkenau se concrétise aussi sous les yeux de Nina, 17 ans. « Déshumanisation », « humiliation » : peu à peu, la jeune lycéenne met des mots sur l'horreur et rapproche l'événement de sa propre histoire : « C'est vrai que ça me paraît un peu loin parce que ça date d'une époque où je n'étais pas née. D'un autre côté, c'est un combat qui me touche aussi car tout ce qui est racisme, antisémitisme, ce sont des choses que je peux encore vivre aujourd'hui. Je suis encore confrontée aux racistes. Et même si cette histoire est loin, ce sont des combats qui sont toujours actuels. » Des noms et des visages, la Shoah à hauteur d'hommes et de femmes La Shoah se raconte aussi à hauteur d'hommes et de femmes. C'est le parti pris d'Auschwitz I, aujourd'hui musée et mémorial, que s'apprêtent à visiter les élèves. Et c'est aussi le choix réalisé par Mary Albagnac, l'enseignante d'histoire. Toute l'année, ces lycéens étudient les récits de déportés originaires de Toulouse et de ses environs et vont tenter de retrouver leurs traces dans les archives du musée. « En passant par la petite histoire, ça leur permet de mieux comprendre, on pense, la grande histoire, et aussi de connaître davantage le patrimoine et l'histoire locale, explique Mary Albagnac. On se rend compte qu'ils habitent pas très loin du camp d'internement sur lequel on a travaillé, mais qu'ils ne savaient pas du tout qu'il existait et qu'il s'était passé de tels événements sur leur territoire qu'ils pratiquent tous les jours. Ce projet permet de s'identifier plus facilement à ces personnes, à ces enfants, à leur destin, leur parcours, qui nous amènent à Auschwitz. » Des prénoms, des noms, des dates de naissance : plus de quatre millions de victimes connues de la Shoah sont répertoriées dans le livre des noms, dans lequel se plongent désormais les élèves. Romane part en quête du nom d'un déporté originaire des environs de Toulouse, un certain «Rosenwasser». La lycéenne interpelle sa professeure, « Je crois que je l'ai trouvé ». La professeure coupe court : « Il serait mort le 15 août 1942. Et bien non, ça ne marche pas, puisqu'il est censé être déporté le 26 août 1942. » Un peu plus loin, Loann et Roman se sont quelque peu écartés de la consigne initiale. « On cherche une personne que l'on a en commun et que l'on connaît, développe Loann. On essaye de voir s'il y a peut-être un de ses descendants qui est ici et s'il y a son nom de famille dans le livre. » Mais la quête se révèle fastidieuse, constate Roman. « Je cherche un nom de famille précis et je trouve quand même dix personnes qui ont ce nom de famille. C'est impressionnant, ça montre vraiment la diversité des personnes qui ont été touchées par le génocide. » Effets personnels Aux images d'archives se superposent désormais, plus seulement des noms, mais des visages et de nombreux effets personnels. La Shoah s'incarne à travers des lunettes, des cheveux, des milliers de paires de chaussures, rassemblées derrière une immense plaque de verre. « Là, on est sans voix, on est bouche bée face à cet amas d'objets, de prothèses. On se rend compte réellement du massacre que ça a été et du nombre de personnes qui ont été tuées. Je suis choqué de l'espace que ça prend et du nombre d'objets et de chaussures qu'il y a », explique Loann. À Auschwitz, ce sont un million de personnes qui ont été amenées en train, afin d'y être triées, gazées et incinérées. Pour les élèves qui le souhaitent, la visite s'achève par un passage devant un four crématoire. « Tout le monde rentre ? », interroge par précaution Mary Albagnac, l'enseignante. Tous les élèves pénètrent et découvrent le summum de l'horreur. « Cela fait peur, réagit immédiatement Yann. Parce que les bâtiments sont en assez bon état et en entrant dedans on s'imagine ce qu'il s'est passé auparavant. » Transmettre la mémoire Face aux preuves parfois crues et brutales de la Shoah, aucun élève ne reste insensible. Reste à savoir ce qu'ils feront de l'exigence de mémoire et de l'importance de la transmettre. Une mission plus difficile à mener aujourd'hui qu'il y a quelques années, à en croire l'enseignante d'histoire, Mary Albagnac : « Les derniers témoins disparaissent ou sont de plus en plus fragiles, donc on a du mal à les faire venir sur les événements. Et l'autre souci que j'identifie, c'est que la jeune génération a accès à tout, dans l'instantané, à tout moment et a parfois du mal à faire le tri. Avec ce projet, on veut les faire travailler sur les sources historiques, leur montrer comment on fait de l'histoire, comment avoir un regard critique. Et la professeure de poursuivre : «On sait que ça ne marchera pas avec tous, mais on se donne les moyens d'y arriver avec ce type de projet. » La mémoire de la Shoah demeure encore une mémoire incarnée, grâce au récit qu'en font encore les rescapés. Mais la force de ce récit est condamnée à s'amenuiser avec la disparition des derniers survivants, estime Alexandre Doulut, guide accompagnateur du mémorial de la Shoah : « Pour avoir vu dans les yeux des jeunes leurs réactions face à quelqu'un qui a été la victime d'Auschwitz, qui raconte quel a été son quotidien, je peux vous assurer que nous, si on passe derrière en tant qu'historien avec nos connaissances brutes, ça a une portée cent fois plus minime, c'est évident. » Cela signifie-t-il pour autant que l'on puisse un jour complètement oublier cette histoire ? « Oui, personne ne peut dire quel sera l'état de la mémoire, dans dix ans, dans vingt ans, c'est très versatile la mémoire, reprend Alexandre Doulut. Mais moi je suis plutôt optimiste. » Transmettre, un poids ou un défi ? Nina, 17 ans, doit bien le reconnaître, avant cette année, « elle n'aurait vraiment pas pensé parler de la Shoah. Cela me touchait, mais je n'étais pas sensibilisée au fait de devoir retranscrire. » À la question de savoir si la lycéenne se sent capable ou non de transmettre cette mémoire, elle hésite d'abord, puis se lance : « Moi, je ne m'en sens pas vraiment capable. Je raconterai à mon entourage proche, car eux, ils me connaîtront personnellement et c'est dans l'intimité que l'on raconte ces choses, puisque ce sont des traumatismes. » Nina ne se sent pas d'en parler car elle a peur, « peur de mal raconter, d'oublier des détails, d'offenser les petits enfants des familles ». Mais l'idée que l'on puisse totalement oublier cette histoire « l'effraie ». À ses côtés, Juliette lui oppose d'autres arguments. « C'est à nous de porter cela. Ce n'est pas un poids, c'est quelque chose que l'on va devoir faire et c'est à nous d'assumer ce rôle. Il ne faut pas se priver d'en parler, ça ne doit pas être tabou, on ne doit pas ne pas en parler parce que ça a été très grave. Il faut justement en parler. Ce n'est pas un défi qui doit faire peur. » Ginette Kolinka, passeuse de mémoire Quelques jours plus tard, au mémorial de la Shoah à Paris, des rires se font entendre dans l'auditorium. Sur scène, Ginette Kolinka houspille la modératrice de la conférence : « Posez-moi une question, mais une vraie ! Sinon je mélange tout, le départ et le retour ! » La mémoire fait parfois défaut, mais à presque 100 ans, Ginette Kolinka n'a rien perdu de sa répartie et de la force de son récit. « Hitler voulait nous humilier et il a su trouver tout ce qu'il y avait pour le faire », rappelle-t-elle. Infatigable passeuse de mémoire, c'est encore à la jeune génération qui l'écoute dans l'auditorium qu'elle s'adresse ce soir-là, avant d'entamer un dialogue plus direct entre deux dédicaces et de répondre à quelques questions de journalistes : « Aux jeunes, je le dis et le redis : qu'ils parlent au plus grand nombre de personnes possibles en leur spécifiant que ce n'est pas une fiction. Ce qui a été écrit, ça a été vécu, on en est les survivants », insiste la rescapée. Puis, Ginette Kolinka s'adresse à une jeune fille qui lui présente son ouvrage à dédicacer : « Toi, tu es une petite fille et j'espère que quand ça sera le moment de parler de ça dans ta classe, tu diras "moi j'ai vu quelqu'un qui l'a vécu, j'ai vu deux dames, tu peux dire âgées, ça ne fait rien, et qui l'ont vécu ! " »Reste une dernière interrogation : a-t-elle confiance dans la jeune génération pour porter cette mémoire ? La réponse fuse : « Qu'est-ce que ça veut dire confiance ou pas confiance ? Je ne suis pas obsédée par ce qu'il va se passer après. Moi, je vis le présent. Quand je vais dans les écoles, je m'aperçois qu'il y a beaucoup d'enfants qui m'écoutent, des plus jeunes et des moins jeunes. On vit le présent. Ils ont écouté. Cette petite fille a écouté. Peut-être que demain elle va le raconter à sa maîtresse. Et bien moi, ça, ça me suffit. »
Bien le bonjouuuuuur d'une petite dame qui aurait préféré ne pas avoir a vous faire cet épisode car aujourd'hui on parle TCA aka troubles du comportement alimentaire.Et si je vous en parle c'est parce qu'ils sont revenus m'attraper par le colback
Aujourd'hui, Fatima Aït Bounoua, Charles Consigny et Antoine Diers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Bien le bonjouuuuuur d'une petite dame qui avait hâte de vous retrouver pour ce cinquième épisode des courriers du coeur.Aka les courriers du coeur d'une misandre ❤️
Les Comores célèbrent ce dimanche 6 juillet le cinquantième anniversaire de leur indépendance. RFI propose à cette occasion une série de reportages et d'entretiens. Dans la capitale Moroni, et a fortiori dans le reste de l'archipel, l'accès à l'eau reste une préoccupation pour les Comoriens. La situation a même empiré entre deux générations. De notre envoyé spécial de retour de Moroni, « Là, on est dans ma cuisine, c'est le robinet. Voilà, tu vois que ça ne donne rien… rien du tout. C'est très gênant même, surtout quand on a eu une famille nombreuse. Si l'eau manque, comment vivre aisément ? C'est impossible. » La famille d'Ibrahim Selemane habite dans le quartier Bacha, au cœur de la capitale. À deux pas, même la borne fontaine publique qui garantissait auparavant de l'eau aux ménages les plus démunis est aujourd'hui à sec. Les Nations unies ont installé quelques citernes en plastique dans la ville, où les ménagères viennent remplir des bidons, qu'il faut ensuite porter. Sinon, une seule solution, pour ceux qui le peuvent : payer. « Tu vois, je suis obligé de remplir de l'eau ici. J'ai une énorme bassine. Une bassine que vous voulez acheter. Il faut remplir de l'eau pour pouvoir laver la vaisselle ». - Et où achetez-vous, l'eau ? « Il y a des voitures qui passent ici. On nous fait vendre à 200 francs le jerrican de 20 litres. » Et pour Ibrahim Selemane, de l'eau, il doit en acheter beaucoup : « Pour la préparation, laver les assiettes à la cuisine, à la douche, laver les vêtements, tout cela nécessite beaucoup d'eau quand même. Ça devrait être un service public. On nous le vend, mais on n'a pas le choix. » À lire aussiGrave pénurie d'eau à Moroni, aux Comores: «l'eau c'est la vie» Nasrat Mohamed Issa préside la Fédération comorienne des consommateurs. Elle-même a rénové la cuve que son père avait installée sur le toit de la maison familiale, qu'il avait cessé d'utiliser, et qui se révèle à nouveau indispensable. Après 50 ans d'indépendance, elle tire un triste bilan : « La situation s'est dégradée et se dégrade. Moi, je suis née avant l'indépendance, il y avait de l'eau dans les robinets. Ma fille, que j'ai eue en 2001, il y a des enfants de cette génération-là qui ne voient pas de l'eau courante. Il y a des infrastructures qui doivent être remises à neuf ou s'adapter à la population qui grandit. Parce que, en 50 ans, la population continue à grandir, les habitations continuent à pulluler. On nous chante plusieurs projets, il y a même des inaugurations, mais au bout, ça n'arrange pas les choses. » Les autorités se veulent pourtant rassurantes : Houmed Msaïdié, ancien ministre et conseiller spécial à la résidence : « Il y a des projets concrets. On voit les travaux qui se font pour régler cette question de l'eau à Moroni et ailleurs d'ici 2027. On travaille pour que 63% de la population comorienne ait accès à l'eau directement chez elle. On est en train d'installer les infrastructures nécessaires pour cela. » Plusieurs projets sont en cours, soutenus par les partenaires internationaux des Comores. À lire aussiComores: 50 ans après, sans Mayotte, une indépendance incomplète [1/4]
Julien : Pff, dès que je regarde la télé en direct, je me rappel à quel point les pubs sont interminables.Louise : Mais grave ! Maintenant, je regarde presque tout en replay ou sur les plateformes. Sinon c'est juste indigeste !Julien : Le pire, c'est quand t'es à fond dans un film et que ça coupe pour trois pubs de dentifrice. Ça casse tout.Louise : C'est clair… Le replay, c'est la paix. Et au moins, on peut faire pause quand on veut pour aller aux toilettes ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les "grands" de ce monde sont réunis en ce moment à La Haye, aux Pays-Bas, pour le sommet de l'Otan, avec Donald Trump notamment. Le Président américain a exigé que les pays augmentent leurs dépenses militaires pour y consacrer au moins 5% de leur PIB. Sinon, il menace de ne pas défendre ceux qu'il considèrera comme des mauvais payeurs. En France, l'industrie de l'armement fonctionne à plein régime, comme en témoigne ce reportage chez KNDS à Roanne.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
LIENS UTILES : Logiciel Immo : ImmoScanLe Cercle des Solopreneurs : https://www.skool.com/cercle-solopreneursSUJETS DE L'ÉPISODEJe quitte Bali et j'arrive chez un pote à Riga, en Lettonie.Un hack ultime de productivité qui a changé ma charge mentale.Mon lieu de vie conditionne ma capacité à deep work.Je découvre un SaaS immobilier qui m'aurait fait économiser 18K€.Comment j'ai tourné mes premiers plans B-roll pour Insta.Mon hack pour demander de l'aide sans gêner personne.Je raconte ma tentative de contacter des top founders pour mes immersions.Choisis tes regrets" : une phrase qui a retourné mon cerveau.Je parle de la paralysie de vouloir tout faire dans sa vie.Fun Fact : mon trajet chaotique de Bali à Riga.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bien le bonjouuuuur d'une petite dame qui voulait partager une réflexion à propos de l'écologie avec vous aujourd'hui. Avec le temps, je me suis rendue compte que j'avais plus envie d'avoir l'étiquette d'écolo. Et je vous explique pourquoi dans l'épisode du jour, en espérant qu'il vous plaise ! Et venez me donner votre avis sur cette réflexion sur Instagram, je suis curieuse de savoir ce que vous en pensez
Aujourd'hui, je vous parle d'un phénomène fascinant : l'effet Hawthorne. Vous ne le connaissez peut-être pas par son nom… mais vous l'avez sûrement déjà vécu !L'effet Hawthorne, c'est cette idée toute simple : le simple fait d'être observé modifie notre comportement.En d'autres termes, introduire un observateur dans une expérience… fausse parfois les résultats.Mais d'où vient ce concept ?Retour dans les années 1920, aux usines Hawthorne de la Western Electric Company, près de Chicago. À l'époque, des chercheurs veulent comprendre comment améliorer la productivité des ouvrières.Ils testent plusieurs changements : augmenter la lumière, réduire les horaires, accorder plus de pauses… Et surprise : à chaque changement, la productivité augmente ! Même quand on revient aux anciennes conditions.Les chercheurs en concluent alors que ce n'est pas l'éclairage ni les horaires qui font la différence… mais le fait même que les ouvrières se sentent observées et considérées.En d'autres termes : le regard de l'expérimentateur influence le comportement.Ce phénomène a été baptisé plus tard "effet Hawthorne", en hommage à ces premières observations.Depuis, cet effet a été documenté dans de nombreux domaines :En psychologie : des élèves performeraient mieux quand ils savent qu'ils sont évalués.En médecine : des patients améliorent leur hygiène quand ils savent qu'un soignant les surveille.En entreprise : les employés respectent davantage les consignes en présence d'un supérieur.Vous voyez où je veux en venir ? Dans toute expérience humaine, il est crucial de tenir compte de cet effet.Sinon, on risque d'attribuer des changements aux mauvaises causes.Mais attention : l'effet Hawthorne n'est pas sans débat.Des recherches récentes ont montré que les résultats des expériences initiales à Hawthorne étaient plus complexes qu'on le pensait.Cependant, le principe général reste valable : la conscience d'être observé influence le comportement.En science expérimentale, cela pose un vrai défi.Comment savoir si un changement observé est dû à l'intervention testée… ou à la simple présence des chercheurs ?C'est pour cela que les expériences rigoureuses prévoient aujourd'hui des groupes témoins, des procédures en double aveugle et d'autres techniques pour limiter cet effet.En résumé, l'effet Hawthorne nous rappelle ceci : en science comme dans la vie, le regard des autres nous influence plus qu'on ne le croit. Et parfois, ce regard suffit à fausser… toute une expérience ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La Sierra Leone est l'un des pays les plus exposés à l'érosion côtière au monde. Près de 2 millions de personnes établies le long des côtes encourent aujourd'hui le risque de perdre leur habitation et leurs moyens de subsistance. De nombreuses familles ont par exemple déjà dû quitter l'île Plantain, située à plusieurs heures de bateau de la capitale, Freetown. L'île, qui comptait autrefois 5 000 habitants, s'est dépeuplée face à la montée rapide du niveau de la mer. Les plus pauvres n'ont de toute façon nulle part où aller. L'histoire de l'île Plantain, en Sierra Leone, semble sur le point d'être effacée. Une partie des vestiges de cet ancien comptoir commercial portugais a déjà été engloutie par l'océan. « Je dirais qu'à peu près deux tiers de l'île ont disparu. Dans les années 1970, les gens cultivaient la terre ici, mais ces champs n'existent plus. À l'époque, ils pouvaient aussi chasser les gros rongeurs, mais ces animaux ont, eux aussi, disparus », se souvient Charles Barlay, officier de la marine sierra-leonaise. Il vit à Shengue, la bourgade qui fait face à l'île de plantain, sur la côte. « Je dirais que presque 200 maisons ont disparu dans la mer. Il y avait trois mosquées ici, mais il n'en reste qu'une seule. La FAO avait fait construire des bandas pour sécher le poisson. Ça aussi, c'est parti », se remémore-t-il. Difficile de dire combien d'habitants vivent encore ici. Quelques milliers, peut-être même seulement quelques centaines. À la pointe de l'île Plantain, une fine langue de sable permet de rejoindre les grandes huttes dans lesquelles le poisson est fumé. Hafsatu dort dans l'un de ces bandas depuis qu'elle a perdu sa maison. « Il était minuit, toute la famille dormait, quinze personnes en tout, quand une grosse vague est entrée d'un coup dans notre maison et a tout emporté. Nous aimerions partir d'ici, car la terre rétrécit et nous avons peur. Si j'avais de l'argent, je le ferais, mais je n'ai aucune économie. Sinon j'aimerais m'installer à Tombo, le gros port de pêche sur le continent », raconte-t-elle. Malgré le déclin de l'île, la plupart des jeunes continuent à devenir pêcheurs comme leurs pères, faute d'alternative. C'est le cas de Mohammed Dangoa : « J'ai étudié jusqu'au lycée, mais maintenant, je vais en mer. Pourtant, il y a moins de poissons, car certains pêcheurs ont raclé les fonds avec leurs filets jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien. Donc, nous sommes obligés d'aller très loin pour trouver du poisson ! Certains de mes amis qui le pouvaient sont partis, pour essayer de trouver un meilleur travail ailleurs dans le pays, parce qu'ici, il n'y a rien. » Et les effets du changement climatique sur la vie quotidienne des pêcheurs ne sont pas toujours visibles à l'œil nu, rappelle Henry David Bayo, qui travaille pour l'Agence de protection de l'environnement. « Avec l'érosion, l'eau salée s'est infiltrée et s'est mélangée à l'eau des nappes phréatiques. Même trouver de l'eau potable sur l'île est devenu difficile. Ce qui a des implications sur la santé des habitants. On observe aussi des changements dans les courants marins, ce qui a des conséquences sur la pêche. Et puis le plancton par exemple ne survit pas à la hausse de la température de l'eau », explique-t-il. Un projet de restauration des mangroves est notamment à l'étude pour tenter de sauver ce qui reste de l'île plantain, avant que l'océan ne l'avale entièrement. À lire aussiSierra Leone: le désarroi des habitants de l'île Plantain, menacée par la montée des eaux [1/2]
Minter Dialogue sur les marques et le marketing digital (minterdial.fr)
Minter Dialogue avec Bertrand Carroy Dans cet épisode, je reçois Bertrand Carroy, auteur de "L'Abécédaire apocalyptique". Nous discutons de l'état actuel de la société, de l'éthique et du leadership dans les entreprises. Bertrand exprime son inquiétude face à la perte de repères culturels et moraux, notamment chez les jeunes générations. Il critique la course effrénée à la performance et au progrès matériel dans le monde professionnel, au détriment du développement spirituel et humain. Les interlocuteurs abordent également la difficulté pour les leaders d'entreprise de rester authentiques et éthiques dans un environnement axé sur la finance. Nous évoquons l'importance de l'humanisation des relations de travail et de la réflexion sur le sens de l'action. La conversation touche aussi à des sujets philosophiques comme la définition du bonheur et la nécessité de retrouver des racines et un sens de l'exclusivité dans un monde qui prône l'inclusivité à outrance. Notre conversation se termine sur une note d'espoir, appelant à un retour à des valeurs humaines fondamentales. Merci de m'envoyer vos questions par email -- en tant que fichier audio si vous le souhaitez -- à nminterdial@gmail.com. Sinon, en dessous, vous trouverez tous les liens pour un suivi du podcast. Vous êtes bien entendu invité à déposer un message ou à le partager. Si vous pouvez, merci d'aller déposer une revue ici: http://itunes.apple.com/podcast/id386479858.
À Cannes hier soir, Jafar Panahi a reçu une Palme d'or « tellement méritée », s'exclame le Parisien-Dimanche, au-dessus de la photo du réalisateur iranien, souriant, derrière ses lunettes noires qu'il n'a pas quittées de la cérémonie. « Plusieurs fois emprisonné sans son pays, Jafar Panahi a été récompensé pour un grand film politique et bourré d'humour », ajoute le Parisien-Dimanche. Ce film, c'est Un simple accident, que le journal résume ainsi : « une comédie noire sur la revanche du petit peuple contre un ancien tortionnaire, tourné avec trois fois rien et qui tient aussi bien du thriller que de la comédie et du grand film politique ». « L'émotion l'a terrassé sur son siège pendant quelques secondes, alors que la salle se levait pour l'applaudir », raconte la Tribune Dimanche, il remporte « la Palme d'or de l'engagement et de la liberté ». Le Journal du Dimanche salut, de son côté, une Palme d'or « symbole de résistance », et rapporte les propos de Jafar Panahi, tenus quelques heures avant la cérémonie : « Dimanche, je reprends l'avion pour Téhéran, je ne sais pas quels ennuis m'y attendent, mais l'Iran est mon pays et je ne saurai pas faire du cinéma ailleurs ».Ça se passe loinGros plan sur la guerre en Ukraine, vue de Russie. « Après trois ans de guerre », raconte le Point, « la population russe navigue entre soutien, désillusion et ressentiment ». « Pour une grande majorité d'habitants », poursuit l'hebdomadaire, « la guerre, pudiquement appelée "opération militaire spéciale", continue d'être une gêne lointaine ». À l'université par exemple, un étudiant grec raconte que ses compagnons russes « sont plus en colère contre l'Union européenne qui les sanctionne que contre leur gouvernement qui a commencé et soutient cette guerre ». À Moscou, un opposant au régime, lui, explique : « Ça se passe loin, là-bas. Le plus important, c'est de ne pas être touché directement ». « Il ne souhaite pas la défaite ». « Sinon », dit-il, « ce sera la guerre civile ». Le Point a aussi rencontré Laura, une couturière à la retraite, qui « ne veut plus rien entendre au sujet de l'opération spéciale ». « Il y a un an, trois mois après avoir été mobilisé, son petit-fils de 18 ans est mort en Ukraine. Il repose « en héros », au cimetière ». « Laura n'en dira pas plus », conclut le Point.Personne ne viendra nous sauverDirection les États-Unis où « la résistance s'organise ». C'est en tout cas ce que croit savoir le Nouvel Obs, il est allé à la rencontre des membres du collectif Indivisibles, qui mènent la révolte contre Donald Trump. Comme Mary Ann, qui, nous dit-on, « a hissé, sur sa pelouse tondue de près, un drapeau américain à l'envers. Un SOS angoissé, signe d'un pays en détresse. Quelques semaines plus tard, elle a planté un petit panneau qui invite à l'action en lettres blanches : march, protest, strike, vote », poursuit le Nouvel Obs, qui est aussi allé à un meeting des Indivisibles. L'un des co-fondateurs du mouvement, Ezra Levin, s'exclame face au public: « La peur est contagieuse, mais le courage aussi ! Personne ne viendra nous sauver. Les luttes historiques contre les autoritarismes nous apprennent que le succès dépend d'une opposition persistante, courageuse, large et unifiée ». Et puis il y a Bernie Sanders, l'ex-candidat à l'élection présidentielle, « l'apport du sénateur de 83 ans à la résistance est capital », estime le Nouvel Obs. « Lui qui n'appartient à aucun parti est devenu l'improbable visage de l'opposition à Trump. Partout le vieux routier de la gauche attire les foules ». « Il faut rallier les classes populaires, Bernie Sanders l'a compris très tôt ». Il va vers « une Amérique populaire, en miroir de celle de Trump, cherchant elle aussi à exprimer sa colère ».De Gaza au sud de la FranceEnfin, M, le supplément du Monde nous emmène à la rencontre d'une famille palestinienne réfugiée en France. Ils sont sortis de l'enfer de Gaza, toute la famille d'Husam Al Najar, les parents et les cinq enfants, « âgés de 4 à 20 ans ». Ils vivent désormais dans le Gard, dans le sud de la France, « dans un hameau à 600 mètres d'altitude ». Un havre de paix, avec « ses paysages verdoyants à perte de vue ». Pour la photo, la famille pose devant une maison aux tuiles roses. Mais Husam Al Najar « a le vertige ». « Il ne s'éternise pas et préfère retourner dans le salon », raconte M. « Je n'arrive pas à rester dehors », dit-il. « J'ai besoin de me sentir entre des murs solides ». S'ils sont tous en France aujourd'hui, précise le magazine, c'est « grâce à une chercheuse du CNRS qui a œuvré sans relâche pour qu'Husam Al-Najar, docteur en ingénierie de l'environnement, puisse bénéficier d'un programme national d'aide aux scientifiques en exil ». Ils sont arrivés fin avril et sont bien décidés à s'intégrer en France. Diana Al-Najar, « la mère de famille, veut apprendre le français au plus vite et passer le permis de conduire. Nour 18 ans et Aya 16 ans, échangent déjà quelques paroles dans un français impeccable », raconte M. Pour cette famille, « arrivée, avec pour tout bagage un téléphone portable », c'est le début d'une nouvelle vie.
durée : 00:04:13 - Chroniques littorales - par : Jose Manuel Lamarque - Les croisières aujourd'hui, c'est en paquebot ou celle des navigateurs, des « yachtmen », la navigation à la voile, mais encore faut-il avoir un voilier. Sinon, l'autre croisière, c'est la solution Catlante, présentée par son directeur général Hervé Bellaïche.
Ecoutez Christophe Hondelatte dévoiler la personnalité de Mathieu Danel. En juin 2018 dans le Gard, Mathieu Danel, 23 ans, massacre sur une auto-stoppeuse de 10 coup de dague. Mathieu Danel a tué Claire Reynier pour voir ce que ça faisait. Et comme cela ne lui a pas plu, il s'est dénoncé. Sinon il aurait recommencé. Mathieu Danel était un potentiel tueur en série. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez Christophe Hondelatte dévoiler la personnalité de Mathieu Danel. En juin 2018 dans le Gard, Mathieu Danel, 23 ans, massacre sur une auto-stoppeuse de 10 coup de dague. Mathieu Danel a tué Claire Reynier pour voir ce que ça faisait. Et comme cela ne lui a pas plu, il s'est dénoncé. Sinon il aurait recommencé. Mathieu Danel était un potentiel tueur en série. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui dans Petit Vulgaire, on parle de LA GUERRE DE TROIEAttention c'est un peu complicado complicado.Sinon, Petit Vulgaire reviendra cet été :)envoyez vos thèmes !Episode écrit par LucioleMonté par romain BaoussonProduit par Studio Bruneillustrations de Juliette Poney Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.