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durée : 00:15:37 - L'Iliade épisode 3 : Achille retourne au combat - Nous sommes au cour de la bataille entre les Troyens et les Grecs. Ménélas sur son char fait face à Pâris. Le Troyen lui a chipé son Hélène préférée. Les soldats cognent, les casques, les épées, et les lances se préparent à s'entrechoquer. Dans les yeux des guerriers, on ne lit que la haine... L'équipe : texte et narration : Laure Grandbesançon, réalisation : Anne-Sophie Ladonne, mixage : Basile Beaucaire, illustration : Julien Mougnon. Distribution : Hector : Guillaume Meurice, Andromaque : Hélène Filly, Paris : Eric Metzger, Priam : Jean Lebrun, Agamemnon : Augustin Trapenard, Ménélas : Antoine de Caunes, Achille : Frederick Sigrist, Ulysse : Aldebert, Patrocle : Quentin Margot.
durée : 00:13:50 - L'Iliade épisode 2 : Achille dépose les armes - Depuis que Pâris est parti avec Hélène l'épouse du roi de Sparte, la guerre fait rage entre les Grecs et les Troyens. La colère et la soif de vengeance grondent de toutes part.... L'équipe : Texte et narration : Laure Grandbesancon, réalisation : Anne-Sophie Ladonne, mixage : Basile Beaucaire, illustration Julien Mougnon. Voix : Achille : Frédérick Sigrist, Agamemnon : Augustin Trapenard, poète : Fréderic Fromet, Athéna : Aline Afanoukoé, Ulysse : Aldebert, Orneiros : Loïc Frapsauce.
durée : 00:16:17 - L'Iliade episode 1 - Les origines de la Guerre de Troie - Cette aventure commence il y a très longtemps dans un pays magnifique : la Grèce. Elle est racontée par une mystérieuse personne : Homère, l'auteur de l'Iliade et de l'Odyssée. On y croise des héros, des rois et des dieux... On se déchire, on se bagarre, on trahit... Dans cet épisode on voit Pâris arriver à Troie et être subjugué par Hélène. Or elle est l'épouse de Ménélas... L'équipe : Texte et narration : Laure Granbbesancon, réalisation : Anne-Sophie Ladonne, mixage : Vincent Godard et Basile Beaucaire, illustration : Julien Mougnon Distribution : Priam : Jean Lebrun, Ménélas : Antoine de Caunes, oracle : Laure Adler, Eris : Laetitia Gayet, Zeus : Laurent Delmas.
Cette semaine dans STEROIDS, les deux Grecs de la rédaction, Stéphane Moïssakis et Arnaud Bordas (si si, l’arrière-arrière-arrière grand-mère de Bordas avait une cousine germaine dont le père avait épousé en secondes noces une athénienne par alliance) ont chaussé leurs sandales et se sont mis en route pour 2007, avec l’un des plus gros blockbusters de l’année 2004 ressorti trois ans plus tard dans sa version « director’s cut » de 196 minutes : TROIE de Wolfgang Petersen. Une version rallongée meilleure que la version sortie en salle pour une fois, pour cette adaptation réaliste de L’Iliade de Homère par un excellent scénariste en pleine possession de ses moyens : David Benioff. La guerre mythique entre les Troyens et les armées grecques est ici ramassée et ramenée à l’essentiel à travers les deux figures héroïques d’Achille et de Hector, campés respectivement par Brad Pitt et Eric Bana, et le récit prend place dans un univers solaire et spectaculaire qui exploite parfaitement la cinégénie des paysages méditerranéens. Bref, du grand spectacle hollywoodien qui fait plaisir à voir, surtout à l’heure actuelle.Pour nous soutenir, une seule adresse : https://fr.tipeee.com/capture-mag/En MP3 sur Acast : bit.ly/3uaVjWdSur SPOTIFY : spoti.fi/3caW88GSur DEEZER : bit.ly/2wtDauUSur APPLE podcasts : apple.co/2UW3AyOSur Google Podcasts :
Daf Yummy Épisode 194. Shekalim 16-17 : La folle histoire du monde/ L'Iliade. by Myriam Ackermann Sommer
L'Iliade è il primo dei due poemi omerici (l'altro, naturalmente, è l'Odissea). A differenza di ciò che si riporta spesso, il poema non è incentrato sull'ira di Achille, ma sulla guerra in sé. In questa pillola analizzeremo la trama, gli eventi, i personaggi e i temi principali trattati nel poema, cercando di capire perché sia ancora oggi così importante.Se vuoi approfondire, intanto, puoi farlo qui: https://www.studenti.it/iliade-di-omero-trama-analisi.htmlColonna sonoraBlippy trance / Poppers and prosecco - Kevin Mac Leod https://incompetech.com/Effetti sonori: https://www.zapsplat.com
L’Iliade come mai l’avreste immaginata. È in questa veste che si presenta agli amanti della letteratura, e non solo, Troiade, l’irriverente e suggestiva parodia del capolavoro di Omero scritta da Andrea Barricelli che, il 14 novembre, figura all’interno della rassegna letteraria #6SenzaBarcodeOnline. Il libro, edito da Rupe Mutevole e parte integrante della collana editoriale SenzaBarcode, si apre proprio con l’incipit del celebre poema epico, così originalmente declinato.
Trascorsero dieci anni di battaglie sanguinose e gli Achei erano ancora sotto le mura di Troia; la città sembrava imprendibile. Nessuno poteva dichiarasi vincitore. Un giorno, dopo una battaglia, un vecchio sacerdote di Apollo giunse al campo acheo: recava dei doni preziosi. Era Crise, il padre di una fanciulla che il generale supremo acheo, Agamennone, aveva fatto prigioniera. Il sacerdote di Apollo implorò la restituzione della figlia Criseide in cambio dei ricchi doni che aveva portato con se. Ma Agamennone respinse con violenza il vecchio Crise minacciandolo di morte. Crise, una volta fuori dal campo Acheo, si recò in riva al mare ad implorare vendetta al dio Apollo. Il dio accolse la supplica del suo sacerdote, e per nove giorni scagliò le sue frecce infuocate contro il campo acheo: ogni dardo portò la morte nera in quasi tutto campo degli Achei. […] Continue reading
Trascorsero dieci anni di battaglie sanguinose e gli Achei erano ancora sotto le mura di Troia; la città sembrava imprendibile. Nessuno poteva dichiarasi vincitore. Un giorno, dopo una battaglia, un vecchio sacerdote di Apollo giunse al campo acheo: recava dei doni preziosi. Era Crise, il padre di una fanciulla che il generale supremo acheo, Agamennone, aveva fatto prigioniera. Il sacerdote di Apollo implorò la restituzione della figlia Criseide in cambio dei ricchi doni che aveva portato con se. Ma Agamennone respinse con violenza il vecchio Crise minacciandolo di morte. Crise, una volta fuori dal campo Acheo, si recò in riva al mare ad implorare vendetta al dio Apollo. Il dio accolse la supplica del suo sacerdote, e per nove giorni scagliò le sue frecce infuocate contro il campo acheo: ogni dardo portò la morte nera in quasi tutto campo degli Achei. […] Continue reading
durée : 00:31:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Plaisir de la lecture - L'Iliade, d’Homère : Lecture Jean Gillibert (1ère diffusion : 28/03/1961 France III Nationale) - réalisation : Virginie Mourthé
Rubrique:feuilletons Auteur: homere Lecture: Christiane-JehanneDurée: 40min Fichier: 36 Mo Résumé du livre audio: HOMERE, L'ILIADE, Poème d'Ilion. CHANT 09 Traduction : Charles Marie René Leconte de Lisle , 1818-1894. 1866 La guerre de Troie, les Achéens et les Troyens. Troie ou Ilion. Les Dieux et la guerre des hommes . TEXTES : https://fr.m.wikisource.org/wiki/Iliade_(trad._Leconte_de_Lisle) https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k208054t.texteImage Informations : https://fr.wikipedia.org/wiki/Iliade Tête d'Homère, type d'Épiménide. Copie romaine d'après un original grec du Ve siècle av. J.-C. Cet enregistrement est mis à disposition sous un contrat Creative Commons.
Rubrique:feuilletons Auteur: homere Lecture: Christiane-JehanneDurée: 31min Fichier: 28 Mo Résumé du livre audio: HOMERE, L'ILIADE, Poème d'Ilion. CHANT 08 Traduction : Charles Marie René Leconte de Lisle , 1818-1894. 1866 La guerre de Troie, les Achéens et les Troyens. Troie ou Ilion. Les Dieux et la guerre des hommes . TEXTES : https://fr.m.wikisource.org/wiki/Iliade_(trad._Leconte_de_Lisle) https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k208054t.texteImage Informations : https://fr.wikipedia.org/wiki/Iliade Tête d'Homère, type d'Épiménide. Copie romaine d'après un original grec du Ve siècle av. J.-C. https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Homeros_MFA_Munich_272.jpg#/media/File:Homeros_Glyptothek_Munich_273.jpg Suite très prochainement. Cet enregistrement est mis à disposition sous un contrat Creative Commons.
Rubrique:feuilletons Auteur: homere Lecture: Christiane-JehanneDurée: 27min Fichier: 25 Mo Résumé du livre audio: HOMERE, L'ILIADE, Poème d'Ilion. CHANT 07 Traduction : Charles Marie René Leconte de Lisle , 1818-1894. 1866 La guerre de Troie, les Achéens et les Troyens. Troie ou Ilion. Les Dieux et la guerre des hommes . TEXTES : https://fr.m.wikisource.org/wiki/Iliade_(trad._Leconte_de_Lisle) https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k208054t.texteImage Informations : https://fr.wikipedia.org/wiki/Iliade Tête d'Homère, type d'Épiménide. Copie romaine d'après un original grec du Ve siècle av. J.-C. https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Homeros_MFA_Munich_272.jpg#/media/File:Homeros_Glyptothek_Munich_273.jpg Suite très prochainement. Cet enregistrement est mis à disposition sous un contrat Creative Commons.
Rubrique:feuilletons Auteur: homere Lecture: Christiane-JehanneDurée: 30min Fichier: 27,25 Mo Résumé du livre audio: HOMERE, L'ILIADE, Poème d'Ilion. CHANT 06 Avec Hector, Hécube , Andromaque et Anstyanax. Traduction : Charles Marie René Leconte de Lisle , 1818-1894. 1866 La guerre de Troie, les Achéens et les Troyens. Troie ou Ilion. Les Dieux et la guerre des hommes . Suite, très prochainement. Cet enregistrement est mis à disposition sous un contrat Creative Commons.
Immortalisée par les vers d'Homère, la guerre de Troie est un conflit légendaire qui occupe une grande place dans la mythologie grecque et, plus largement, dans la culture occidentale. Précisément décrite dans "l'Iliade", cette guerre a, par ailleurs, un élément déclencheur qu'il convient de rappeler... See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
Napoleon really loved the Iliad. … Napoléon aimait vraiment l'Iliade. https://www.thetanster.com/blog/2019/2/11/napoleon-memoirs-links
durée : 00:50:07 - Un été avec Homère - par : Sylvain Tesson - Ainsi s'achève l'évocation de l'Iliade et l'Odyssée d'Homère par Sylvain Tesson
durée : 00:46:15 - Un été avec Homère - par : Sylvain Tesson - L'exploration de l'Iliade et l'Odyssée par Sylvain Tesson
durée : 00:47:40 - Un été avec Homère - par : Sylvain Tesson - Tel le lait dans la casserole. Il est blanc, il est calme, il est stable et soudain il déborde. Ainsi pourrait-on résumer le chapitre de l'Iliade sur lequel s'arrête Sylvain Tesson dans cet épisode
L’Iliade racconta di un evento reale, la guerra di Troia, che si concluderà con la distruzione della città per opera di una confederazione di popoli greci, forse l’ultima grande impresa prima della fine dei regni micenei, databile intorno al 1100 a.C. Sicuramente, in quegli anni non esistevano un alfabeto o dei materiali scrittori adeguati per registrare un testo poetico così lungo e complesso: per molto tempo, perciò, i fatti che diventeranno il nucleo del poema – tra i quali dovette avere un posto importante l’episodio cruciale dello scontro tra i ‘campioni’ dei due eserciti nemici, Achille ed Ettore – vennero raccontati e tramandati oralmente. Nel corso di questo processo di elaborazione, durato almeno tre secoli, si deve collocare l’attività di quel grande aedo di nome Omero che fu, secondo gli antichi, l’autore dei due grandi poemi.
L’Iliade racconta di un evento reale, la guerra di Troia, che si concluderà con la distruzione della città per opera di una confederazione di popoli greci, forse l’ultima grande impresa prima della fine dei regni micenei, databile intorno al 1100 a.C. Sicuramente, in quegli anni non esistevano un alfabeto o dei materiali scrittori adeguati per registrare un testo poetico così lungo e complesso: per molto tempo, perciò, i fatti che diventeranno il nucleo del poema – tra i quali dovette avere un posto importante l’episodio cruciale dello scontro tra i ‘campioni’ dei due eserciti nemici, Achille ed Ettore – vennero raccontati e tramandati oralmente. Nel corso di questo processo di elaborazione, durato almeno tre secoli, si deve collocare l’attività di quel grande aedo di nome Omero che fu, secondo gli antichi, l’autore dei due grandi poemi.
durée : 00:47:30 - Un été avec Homère - par : Sylvain Tesson - L'iliade nous cueille au saut du lit. Quand on ouvre les poèmes d'Homère, c'est pour recevoir la gifle des tempêtes et des batailles. Et le sujet de l'Iliade, c'est Achille
durée : 00:47:30 - Un été avec Homère - par : Sylvain Tesson - L'iliade nous cueille au saut du lit. Quand on ouvre les poèmes d'Homère, c'est pour recevoir la gifle des tempêtes et des batailles. Et le sujet de l'Iliade, c'est Achille
durée : 00:02:17 - Les mots d'Oc de France Bleu Occitanie - Un bon plan pour vous qui nous écoutez dans le Lot. Du théâtre et du chant à l'Astrolabe, 2 rue Pasteur à Figeac, c'est ce vendredi à 20h30 avec le spectacle l'Iliade. Le Lot où nous sommes ce matin dans les Mots d'Oc, on est à l'Est de Figeac. On vous souhaite la bienvenue à Lunan …
durée : 00:58:48 - Les Cours du Collège de France - par : Merryl Moneghetti - Peut-on comparer l'Iliade & l'Odyssée, le tramway & l'autobus? Qui compare et dans quel but? demande Philippe Descola. L'anthropologue analyse la différence entre la comparaison, comme opération rhétorique, héritée de l'Antiquité et le comparatisme moderne, comme exercice systématisé de comparaison. - réalisation : Emily Vallat - invités : Philippe Descola Anthropologue, professeur au Collège de France (titulaire de la chaire d’Anthropologie de la nature) et ancien directeur du Laboratoire d’anthropologie sociale (LAS)
L’Iliade racconta di un evento reale, la guerra di Troia, che si concluderà con la distruzione della città per opera di una confederazione di popoli greci, forse l’ultima grande impresa prima della fine dei regni micenei, databile intorno al 1100 a.C. Sicuramente, in quegli anni non esistevano un alfabeto o dei materiali scrittori adeguati per registrare un testo poetico così lungo e complesso: per molto tempo, perciò, i fatti che diventeranno il nucleo del poema – tra i quali dovette avere un posto importante l’episodio cruciale dello scontro tra i ‘campioni’ dei due eserciti nemici, Achille ed Ettore – vennero raccontati e tramandati oralmente. Nel corso di questo processo di elaborazione, durato almeno tre secoli, si deve collocare l’attività di quel grande aedo di nome Omero che fu, secondo gli antichi, l’autore dei due grandi poemi. Radici tanto oscure e remote nel tempo spiegano perché il mondo che essi raccontano (e lo stesso modo di raccontarlo) ci può apparire estraneo, misterioso, duro. Ma proprio in questa diversità risiede gran parte del fascino di queste opere straordinarie, che hanno finito per rappresentare il principio ed il fondamento di tutta la nostra storia letteraria. Continue reading
Depuis 1919, les éditions Les Belles Lettres s'emploient à éditer le patrimoine littéraire des civilisations anciennes : les civilisations grecques et latines mais aussi chinoise ou encore indienne avec le sanskrit. Un patrimoine accessible grâce à un immense travail de traduction et d’édition tant et si bien, qu'à ce jour, le catalogue des Belles Lettres recense plus de 1000 ouvrages recouvrant de nombreuses disciplines: la philosophie et les religions, la philologie et les sciences, la poésie et le théâtre mais aussi l’histoire de l’Orient à l’Occident. Pour saluer ce travail et surtout ce centenaire, Storiavoce vous propose quatre émissions, une par trimestre, afin de mieux découvrir ses collections et ses travaux. A tout seigneur, tout honneur, nous commençons cette série avec Homère, au centre d’un événement littéraire puisque l’ensemble de son œuvre est désormais disponible en un seul volume. Hélène Monsacré, qui a dirigé ce travail d'édition, est notre invitée. Elle est interrogée par Christophe Dickès. Notre invitée: Hélène Monsacré est helléniste. Elle est notamment l’auteur du livre Les larmes d’Achille (Editions du Félin, 2011). Elle est en charge de la collection Classique poche des éditions des Belles Lettres et travaille également comme éditrice chez Albin-Michel. Elle vient de diriger Tout Homère, un co-édition des Belles Lettres et d'Albin Michel. Cette édition a été réalisée avec les contributions de Victor Bérard, Manon Brouillet, Eva Cantarella, Michel Casevitz, Adrian Faure, Xavier Gheerbrant, Giulio Guidorizzi, Jean Humbert et Christine Hunzinger.
Andrea Barricelli è il primo autore nella collana SenzaBarcode edita da Rupe Mutevole
durée : 00:54:29 - Blockbusters - par : Frédérick Sigrist - Retour sur la création des Chevaliers du Zodiaque, la carrière de Masami Kurumada et en quoi ces œuvres précédentes étaient la matrice des Chevaliers ! Et nous tenterons de comprendre ce qui a fait de Saint Seiya un animé si singulier ! - invités : Elsa Gambin, Matthieu Pinon - Elsa GAMBIN Matthieu PINON
durée : 00:54:29 - Blockbusters - par : Frédérick Sigrist - Retour sur la création des Chevaliers du Zodiaque, la carrière de Masami Kurumada et en quoi ces œuvres précédentes étaient la matrice des Chevaliers ! Et nous tenterons de comprendre ce qui a fait de Saint Seiya un animé si singulier ! - invités : Elsa Gambin, Matthieu Pinon - Elsa GAMBIN Matthieu PINON
Vinciane Pirenne-Delforge Collège de France Religion, histoire et société dans le monde grec antique Année 2018-2019 Les deux œuvres intégralement conservées et attribuées à Hésiode poursuivent des objectifs différents. La Théogonie raconte sur le mode généalogique la naissance du monde et des dieux, jusqu’à l’installation ferme de la souveraineté de Zeus. Le point de vue adopté est un regard panoramique et surplombant sur l’ordre de Zeus et la stabilisation du cosmos. Les Travaux et les Jours déploient un point de vue davantage humain qui s’applique à une petite communauté paysanne devant assurer sa survie par un labeur informé de la qualité divine des « Jours » pour que ses « Travaux » soient efficaces. Un tel succès est subordonné à l’exercice de la justice, qui permet de profiter de ce labeur. Parmi les trois récits qui soutiennent le propos initial sur la condition humaine, le « mythe des races » que l’on appellera plus volontiers « récit des cinq espèces humaines » offre une représentation des daimones en tant que « gardiens des humains mortels ». En effet, les humains de l’âge d’or ne se distinguent des dieux que par leur mortalité qui les mène au statut post-mortem d’immortels sous la forme de daimones « gardiens » par la volonté de Zeus. L’Iliade offre, avec le daimôn,l’image d’une puissance divine en action, tandis que l’Odyssée atteste aussi la cristallisation potentielle d’agents divins envoyés par les dieux. En comparaison de ces œuvres, Les Travaux et les Jours n’offrent pas d’intrigue, mais une leçon de justice et une exhortation au travail qui placent l’une et l’autre Zeus en position dominante : il est maître de justice et pourvoyeur de prospérité, et c’est à son action dans le monde que se rapportent les daimones de l’âge d’or. D’Homère à Hésiode, on voit se dessiner une notion de daimôn qui sert à exprimer le « ressenti » subjectif d’une action divine tout en assumant potentiellement le profil d’une entité objectivée qui participe de la divinité qui l’envoie.
Vinciane Pirenne-Delforge Collège de France Religion, histoire et société dans le monde grec antique Année 2018-2019 Les deux œuvres intégralement conservées et attribuées à Hésiode poursuivent des objectifs différents. La Théogonie raconte sur le mode généalogique la naissance du monde et des dieux, jusqu’à l’installation ferme de la souveraineté de Zeus. Le point de vue adopté est un regard panoramique et surplombant sur l’ordre de Zeus et la stabilisation du cosmos. Les Travaux et les Jours déploient un point de vue davantage humain qui s’applique à une petite communauté paysanne devant assurer sa survie par un labeur informé de la qualité divine des « Jours » pour que ses « Travaux » soient efficaces. Un tel succès est subordonné à l’exercice de la justice, qui permet de profiter de ce labeur. Parmi les trois récits qui soutiennent le propos initial sur la condition humaine, le « mythe des races » que l’on appellera plus volontiers « récit des cinq espèces humaines » offre une représentation des daimones en tant que « gardiens des humains mortels ». En effet, les humains de l’âge d’or ne se distinguent des dieux que par leur mortalité qui les mène au statut post-mortem d’immortels sous la forme de daimones « gardiens » par la volonté de Zeus. L’Iliade offre, avec le daimôn,l’image d’une puissance divine en action, tandis que l’Odyssée atteste aussi la cristallisation potentielle d’agents divins envoyés par les dieux. En comparaison de ces œuvres, Les Travaux et les Jours n’offrent pas d’intrigue, mais une leçon de justice et une exhortation au travail qui placent l’une et l’autre Zeus en position dominante : il est maître de justice et pourvoyeur de prospérité, et c’est à son action dans le monde que se rapportent les daimones de l’âge d’or. D’Homère à Hésiode, on voit se dessiner une notion de daimôn qui sert à exprimer le « ressenti » subjectif d’une action divine tout en assumant potentiellement le profil d’une entité objectivée qui participe de la divinité qui l’envoie.
Vinciane Pirenne-Delforge Collège de France Religion, histoire et société dans le monde grec antique Année 2018-2019 Les deux œuvres intégralement conservées et attribuées à Hésiode poursuivent des objectifs différents. La Théogonie raconte sur le mode généalogique la naissance du monde et des dieux, jusqu’à l’installation ferme de la souveraineté de Zeus. Le point de vue adopté est un regard panoramique et surplombant sur l’ordre de Zeus et la stabilisation du cosmos. Les Travaux et les Jours déploient un point de vue davantage humain qui s’applique à une petite communauté paysanne devant assurer sa survie par un labeur informé de la qualité divine des « Jours » pour que ses « Travaux » soient efficaces. Un tel succès est subordonné à l’exercice de la justice, qui permet de profiter de ce labeur. Parmi les trois récits qui soutiennent le propos initial sur la condition humaine, le « mythe des races » que l’on appellera plus volontiers « récit des cinq espèces humaines » offre une représentation des daimones en tant que « gardiens des humains mortels ». En effet, les humains de l’âge d’or ne se distinguent des dieux que par leur mortalité qui les mène au statut post-mortem d’immortels sous la forme de daimones « gardiens » par la volonté de Zeus. L’Iliade offre, avec le daimôn,l’image d’une puissance divine en action, tandis que l’Odyssée atteste aussi la cristallisation potentielle d’agents divins envoyés par les dieux. En comparaison de ces œuvres, Les Travaux et les Jours n’offrent pas d’intrigue, mais une leçon de justice et une exhortation au travail qui placent l’une et l’autre Zeus en position dominante : il est maître de justice et pourvoyeur de prospérité, et c’est à son action dans le monde que se rapportent les daimones de l’âge d’or. D’Homère à Hésiode, on voit se dessiner une notion de daimôn qui sert à exprimer le « ressenti » subjectif d’une action divine tout en assumant potentiellement le profil d’une entité objectivée qui participe de la divinité qui l’envoie.
Vinciane Pirenne-Delforge Collège de France Religion, histoire et société dans le monde grec antique Année 2018-2019 Les deux œuvres intégralement conservées et attribuées à Hésiode poursuivent des objectifs différents. La Théogonie raconte sur le mode généalogique la naissance du monde et des dieux, jusqu’à l’installation ferme de la souveraineté de Zeus. Le point de vue adopté est un regard panoramique et surplombant sur l’ordre de Zeus et la stabilisation du cosmos. Les Travaux et les Jours déploient un point de vue davantage humain qui s’applique à une petite communauté paysanne devant assurer sa survie par un labeur informé de la qualité divine des « Jours » pour que ses « Travaux » soient efficaces. Un tel succès est subordonné à l’exercice de la justice, qui permet de profiter de ce labeur. Parmi les trois récits qui soutiennent le propos initial sur la condition humaine, le « mythe des races » que l’on appellera plus volontiers « récit des cinq espèces humaines » offre une représentation des daimones en tant que « gardiens des humains mortels ». En effet, les humains de l’âge d’or ne se distinguent des dieux que par leur mortalité qui les mène au statut post-mortem d’immortels sous la forme de daimones « gardiens » par la volonté de Zeus. L’Iliade offre, avec le daimôn,l’image d’une puissance divine en action, tandis que l’Odyssée atteste aussi la cristallisation potentielle d’agents divins envoyés par les dieux. En comparaison de ces œuvres, Les Travaux et les Jours n’offrent pas d’intrigue, mais une leçon de justice et une exhortation au travail qui placent l’une et l’autre Zeus en position dominante : il est maître de justice et pourvoyeur de prospérité, et c’est à son action dans le monde que se rapportent les daimones de l’âge d’or. D’Homère à Hésiode, on voit se dessiner une notion de daimôn qui sert à exprimer le « ressenti » subjectif d’une action divine tout en assumant potentiellement le profil d’une entité objectivée qui participe de la divinité qui l’envoie.
Vinciane Pirenne-Delforge Collège de France Religion, histoire et société dans le monde grec antique Année 2018-2019 Les deux œuvres intégralement conservées et attribuées à Hésiode poursuivent des objectifs différents. La Théogonie raconte sur le mode généalogique la naissance du monde et des dieux, jusqu’à l’installation ferme de la souveraineté de Zeus. Le point de vue adopté est un regard panoramique et surplombant sur l’ordre de Zeus et la stabilisation du cosmos. Les Travaux et les Jours déploient un point de vue davantage humain qui s’applique à une petite communauté paysanne devant assurer sa survie par un labeur informé de la qualité divine des « Jours » pour que ses « Travaux » soient efficaces. Un tel succès est subordonné à l’exercice de la justice, qui permet de profiter de ce labeur. Parmi les trois récits qui soutiennent le propos initial sur la condition humaine, le « mythe des races » que l’on appellera plus volontiers « récit des cinq espèces humaines » offre une représentation des daimones en tant que « gardiens des humains mortels ». En effet, les humains de l’âge d’or ne se distinguent des dieux que par leur mortalité qui les mène au statut post-mortem d’immortels sous la forme de daimones « gardiens » par la volonté de Zeus. L’Iliade offre, avec le daimôn,l’image d’une puissance divine en action, tandis que l’Odyssée atteste aussi la cristallisation potentielle d’agents divins envoyés par les dieux. En comparaison de ces œuvres, Les Travaux et les Jours n’offrent pas d’intrigue, mais une leçon de justice et une exhortation au travail qui placent l’une et l’autre Zeus en position dominante : il est maître de justice et pourvoyeur de prospérité, et c’est à son action dans le monde que se rapportent les daimones de l’âge d’or. D’Homère à Hésiode, on voit se dessiner une notion de daimôn qui sert à exprimer le « ressenti » subjectif d’une action divine tout en assumant potentiellement le profil d’une entité objectivée qui participe de la divinité qui l’envoie.
Vinciane Pirenne-Delforge Collège de France Religion, histoire et société dans le monde grec antique Année 2018-2019 Les deux œuvres intégralement conservées et attribuées à Hésiode poursuivent des objectifs différents. La Théogonie raconte sur le mode généalogique la naissance du monde et des dieux, jusqu’à l’installation ferme de la souveraineté de Zeus. Le point de vue adopté est un regard panoramique et surplombant sur l’ordre de Zeus et la stabilisation du cosmos. Les Travaux et les Jours déploient un point de vue davantage humain qui s’applique à une petite communauté paysanne devant assurer sa survie par un labeur informé de la qualité divine des « Jours » pour que ses « Travaux » soient efficaces. Un tel succès est subordonné à l’exercice de la justice, qui permet de profiter de ce labeur. Parmi les trois récits qui soutiennent le propos initial sur la condition humaine, le « mythe des races » que l’on appellera plus volontiers « récit des cinq espèces humaines » offre une représentation des daimones en tant que « gardiens des humains mortels ». En effet, les humains de l’âge d’or ne se distinguent des dieux que par leur mortalité qui les mène au statut post-mortem d’immortels sous la forme de daimones « gardiens » par la volonté de Zeus. L’Iliade offre, avec le daimôn,l’image d’une puissance divine en action, tandis que l’Odyssée atteste aussi la cristallisation potentielle d’agents divins envoyés par les dieux. En comparaison de ces œuvres, Les Travaux et les Jours n’offrent pas d’intrigue, mais une leçon de justice et une exhortation au travail qui placent l’une et l’autre Zeus en position dominante : il est maître de justice et pourvoyeur de prospérité, et c’est à son action dans le monde que se rapportent les daimones de l’âge d’or. D’Homère à Hésiode, on voit se dessiner une notion de daimôn qui sert à exprimer le « ressenti » subjectif d’une action divine tout en assumant potentiellement le profil d’une entité objectivée qui participe de la divinité qui l’envoie.
Vinciane Pirenne-Delforge Collège de France Religion, histoire et société dans le monde grec antique Année 2018-2019 Les deux œuvres intégralement conservées et attribuées à Hésiode poursuivent des objectifs différents. La Théogonie raconte sur le mode généalogique la naissance du monde et des dieux, jusqu’à l’installation ferme de la souveraineté de Zeus. Le point de vue adopté est un regard panoramique et surplombant sur l’ordre de Zeus et la stabilisation du cosmos. Les Travaux et les Jours déploient un point de vue davantage humain qui s’applique à une petite communauté paysanne devant assurer sa survie par un labeur informé de la qualité divine des « Jours » pour que ses « Travaux » soient efficaces. Un tel succès est subordonné à l’exercice de la justice, qui permet de profiter de ce labeur. Parmi les trois récits qui soutiennent le propos initial sur la condition humaine, le « mythe des races » que l’on appellera plus volontiers « récit des cinq espèces humaines » offre une représentation des daimones en tant que « gardiens des humains mortels ». En effet, les humains de l’âge d’or ne se distinguent des dieux que par leur mortalité qui les mène au statut post-mortem d’immortels sous la forme de daimones « gardiens » par la volonté de Zeus. L’Iliade offre, avec le daimôn,l’image d’une puissance divine en action, tandis que l’Odyssée atteste aussi la cristallisation potentielle d’agents divins envoyés par les dieux. En comparaison de ces œuvres, Les Travaux et les Jours n’offrent pas d’intrigue, mais une leçon de justice et une exhortation au travail qui placent l’une et l’autre Zeus en position dominante : il est maître de justice et pourvoyeur de prospérité, et c’est à son action dans le monde que se rapportent les daimones de l’âge d’or. D’Homère à Hésiode, on voit se dessiner une notion de daimôn qui sert à exprimer le « ressenti » subjectif d’une action divine tout en assumant potentiellement le profil d’une entité objectivée qui participe de la divinité qui l’envoie.
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Vinciane Pirenne-Delforge Collège de France Religion, histoire et société dans le monde grec antique Année 2018-2019 Les deux œuvres intégralement conservées et attribuées à Hésiode poursuivent des objectifs différents. La Théogonie raconte sur le mode généalogique la naissance du monde et des dieux, jusqu’à l’installation ferme de la souveraineté de Zeus. Le point de vue adopté est un regard panoramique et surplombant sur l’ordre de Zeus et la stabilisation du cosmos. Les Travaux et les Jours déploient un point de vue davantage humain qui s’applique à une petite communauté paysanne devant assurer sa survie par un labeur informé de la qualité divine des « Jours » pour que ses « Travaux » soient efficaces. Un tel succès est subordonné à l’exercice de la justice, qui permet de profiter de ce labeur. Parmi les trois récits qui soutiennent le propos initial sur la condition humaine, le « mythe des races » que l’on appellera plus volontiers « récit des cinq espèces humaines » offre une représentation des daimones en tant que « gardiens des humains mortels ». En effet, les humains de l’âge d’or ne se distinguent des dieux que par leur mortalité qui les mène au statut post-mortem d’immortels sous la forme de daimones « gardiens » par la volonté de Zeus. L’Iliade offre, avec le daimôn,l’image d’une puissance divine en action, tandis que l’Odyssée atteste aussi la cristallisation potentielle d’agents divins envoyés par les dieux. En comparaison de ces œuvres, Les Travaux et les Jours n’offrent pas d’intrigue, mais une leçon de justice et une exhortation au travail qui placent l’une et l’autre Zeus en position dominante : il est maître de justice et pourvoyeur de prospérité, et c’est à son action dans le monde que se rapportent les daimones de l’âge d’or. D’Homère à Hésiode, on voit se dessiner une notion de daimôn qui sert à exprimer le « ressenti » subjectif d’une action divine tout en assumant potentiellement le profil d’une entité objectivée qui participe de la divinité qui l’envoie.
Vinciane Pirenne-Delforge Collège de France Religion, histoire et société dans le monde grec antique Année 2018-2019 Les deux œuvres intégralement conservées et attribuées à Hésiode poursuivent des objectifs différents. La Théogonie raconte sur le mode généalogique la naissance du monde et des dieux, jusqu’à l’installation ferme de la souveraineté de Zeus. Le point de vue adopté est un regard panoramique et surplombant sur l’ordre de Zeus et la stabilisation du cosmos. Les Travaux et les Jours déploient un point de vue davantage humain qui s’applique à une petite communauté paysanne devant assurer sa survie par un labeur informé de la qualité divine des « Jours » pour que ses « Travaux » soient efficaces. Un tel succès est subordonné à l’exercice de la justice, qui permet de profiter de ce labeur. Parmi les trois récits qui soutiennent le propos initial sur la condition humaine, le « mythe des races » que l’on appellera plus volontiers « récit des cinq espèces humaines » offre une représentation des daimones en tant que « gardiens des humains mortels ». En effet, les humains de l’âge d’or ne se distinguent des dieux que par leur mortalité qui les mène au statut post-mortem d’immortels sous la forme de daimones « gardiens » par la volonté de Zeus. L’Iliade offre, avec le daimôn,l’image d’une puissance divine en action, tandis que l’Odyssée atteste aussi la cristallisation potentielle d’agents divins envoyés par les dieux. En comparaison de ces œuvres, Les Travaux et les Jours n’offrent pas d’intrigue, mais une leçon de justice et une exhortation au travail qui placent l’une et l’autre Zeus en position dominante : il est maître de justice et pourvoyeur de prospérité, et c’est à son action dans le monde que se rapportent les daimones de l’âge d’or. D’Homère à Hésiode, on voit se dessiner une notion de daimôn qui sert à exprimer le « ressenti » subjectif d’une action divine tout en assumant potentiellement le profil d’une entité objectivée qui participe de la divinité qui l’envoie.
Vinciane Pirenne-Delforge Collège de France Religion, histoire et société dans le monde grec antique Année 2018-2019 Les deux œuvres intégralement conservées et attribuées à Hésiode poursuivent des objectifs différents. La Théogonie raconte sur le mode généalogique la naissance du monde et des dieux, jusqu’à l’installation ferme de la souveraineté de Zeus. Le point de vue adopté est un regard panoramique et surplombant sur l’ordre de Zeus et la stabilisation du cosmos. Les Travaux et les Jours déploient un point de vue davantage humain qui s’applique à une petite communauté paysanne devant assurer sa survie par un labeur informé de la qualité divine des « Jours » pour que ses « Travaux » soient efficaces. Un tel succès est subordonné à l’exercice de la justice, qui permet de profiter de ce labeur. Parmi les trois récits qui soutiennent le propos initial sur la condition humaine, le « mythe des races » que l’on appellera plus volontiers « récit des cinq espèces humaines » offre une représentation des daimones en tant que « gardiens des humains mortels ». En effet, les humains de l’âge d’or ne se distinguent des dieux que par leur mortalité qui les mène au statut post-mortem d’immortels sous la forme de daimones « gardiens » par la volonté de Zeus. L’Iliade offre, avec le daimôn,l’image d’une puissance divine en action, tandis que l’Odyssée atteste aussi la cristallisation potentielle d’agents divins envoyés par les dieux. En comparaison de ces œuvres, Les Travaux et les Jours n’offrent pas d’intrigue, mais une leçon de justice et une exhortation au travail qui placent l’une et l’autre Zeus en position dominante : il est maître de justice et pourvoyeur de prospérité, et c’est à son action dans le monde que se rapportent les daimones de l’âge d’or. D’Homère à Hésiode, on voit se dessiner une notion de daimôn qui sert à exprimer le « ressenti » subjectif d’une action divine tout en assumant potentiellement le profil d’une entité objectivée qui participe de la divinité qui l’envoie.
Vinciane Pirenne-Delforge Collège de France Religion, histoire et société dans le monde grec antique Année 2018-2019 Les deux œuvres intégralement conservées et attribuées à Hésiode poursuivent des objectifs différents. La Théogonie raconte sur le mode généalogique la naissance du monde et des dieux, jusqu’à l’installation ferme de la souveraineté de Zeus. Le point de vue adopté est un regard panoramique et surplombant sur l’ordre de Zeus et la stabilisation du cosmos. Les Travaux et les Jours déploient un point de vue davantage humain qui s’applique à une petite communauté paysanne devant assurer sa survie par un labeur informé de la qualité divine des « Jours » pour que ses « Travaux » soient efficaces. Un tel succès est subordonné à l’exercice de la justice, qui permet de profiter de ce labeur. Parmi les trois récits qui soutiennent le propos initial sur la condition humaine, le « mythe des races » que l’on appellera plus volontiers « récit des cinq espèces humaines » offre une représentation des daimones en tant que « gardiens des humains mortels ». En effet, les humains de l’âge d’or ne se distinguent des dieux que par leur mortalité qui les mène au statut post-mortem d’immortels sous la forme de daimones « gardiens » par la volonté de Zeus. L’Iliade offre, avec le daimôn,l’image d’une puissance divine en action, tandis que l’Odyssée atteste aussi la cristallisation potentielle d’agents divins envoyés par les dieux. En comparaison de ces œuvres, Les Travaux et les Jours n’offrent pas d’intrigue, mais une leçon de justice et une exhortation au travail qui placent l’une et l’autre Zeus en position dominante : il est maître de justice et pourvoyeur de prospérité, et c’est à son action dans le monde que se rapportent les daimones de l’âge d’or. D’Homère à Hésiode, on voit se dessiner une notion de daimôn qui sert à exprimer le « ressenti » subjectif d’une action divine tout en assumant potentiellement le profil d’une entité objectivée qui participe de la divinité qui l’envoie.
Vinciane Pirenne-Delforge Collège de France Religion, histoire et société dans le monde grec antique Année 2018-2019 Les deux œuvres intégralement conservées et attribuées à Hésiode poursuivent des objectifs différents. La Théogonie raconte sur le mode généalogique la naissance du monde et des dieux, jusqu’à l’installation ferme de la souveraineté de Zeus. Le point de vue adopté est un regard panoramique et surplombant sur l’ordre de Zeus et la stabilisation du cosmos. Les Travaux et les Jours déploient un point de vue davantage humain qui s’applique à une petite communauté paysanne devant assurer sa survie par un labeur informé de la qualité divine des « Jours » pour que ses « Travaux » soient efficaces. Un tel succès est subordonné à l’exercice de la justice, qui permet de profiter de ce labeur. Parmi les trois récits qui soutiennent le propos initial sur la condition humaine, le « mythe des races » que l’on appellera plus volontiers « récit des cinq espèces humaines » offre une représentation des daimones en tant que « gardiens des humains mortels ». En effet, les humains de l’âge d’or ne se distinguent des dieux que par leur mortalité qui les mène au statut post-mortem d’immortels sous la forme de daimones « gardiens » par la volonté de Zeus. L’Iliade offre, avec le daimôn,l’image d’une puissance divine en action, tandis que l’Odyssée atteste aussi la cristallisation potentielle d’agents divins envoyés par les dieux. En comparaison de ces œuvres, Les Travaux et les Jours n’offrent pas d’intrigue, mais une leçon de justice et une exhortation au travail qui placent l’une et l’autre Zeus en position dominante : il est maître de justice et pourvoyeur de prospérité, et c’est à son action dans le monde que se rapportent les daimones de l’âge d’or. D’Homère à Hésiode, on voit se dessiner une notion de daimôn qui sert à exprimer le « ressenti » subjectif d’une action divine tout en assumant potentiellement le profil d’une entité objectivée qui participe de la divinité qui l’envoie.
Vinciane Pirenne-Delforge Collège de France Religion, histoire et société dans le monde grec antique Année 2018-2019 Les deux œuvres intégralement conservées et attribuées à Hésiode poursuivent des objectifs différents. La Théogonie raconte sur le mode généalogique la naissance du monde et des dieux, jusqu’à l’installation ferme de la souveraineté de Zeus. Le point de vue adopté est un regard panoramique et surplombant sur l’ordre de Zeus et la stabilisation du cosmos. Les Travaux et les Jours déploient un point de vue davantage humain qui s’applique à une petite communauté paysanne devant assurer sa survie par un labeur informé de la qualité divine des « Jours » pour que ses « Travaux » soient efficaces. Un tel succès est subordonné à l’exercice de la justice, qui permet de profiter de ce labeur. Parmi les trois récits qui soutiennent le propos initial sur la condition humaine, le « mythe des races » que l’on appellera plus volontiers « récit des cinq espèces humaines » offre une représentation des daimones en tant que « gardiens des humains mortels ». En effet, les humains de l’âge d’or ne se distinguent des dieux que par leur mortalité qui les mène au statut post-mortem d’immortels sous la forme de daimones « gardiens » par la volonté de Zeus. L’Iliade offre, avec le daimôn,l’image d’une puissance divine en action, tandis que l’Odyssée atteste aussi la cristallisation potentielle d’agents divins envoyés par les dieux. En comparaison de ces œuvres, Les Travaux et les Jours n’offrent pas d’intrigue, mais une leçon de justice et une exhortation au travail qui placent l’une et l’autre Zeus en position dominante : il est maître de justice et pourvoyeur de prospérité, et c’est à son action dans le monde que se rapportent les daimones de l’âge d’or. D’Homère à Hésiode, on voit se dessiner une notion de daimôn qui sert à exprimer le « ressenti » subjectif d’une action divine tout en assumant potentiellement le profil d’une entité objectivée qui participe de la divinité qui l’envoie.
Vinciane Pirenne-Delforge Collège de France Religion, histoire et société dans le monde grec antique Année 2018-2019 Les deux œuvres intégralement conservées et attribuées à Hésiode poursuivent des objectifs différents. La Théogonie raconte sur le mode généalogique la naissance du monde et des dieux, jusqu’à l’installation ferme de la souveraineté de Zeus. Le point de vue adopté est un regard panoramique et surplombant sur l’ordre de Zeus et la stabilisation du cosmos. Les Travaux et les Jours déploient un point de vue davantage humain qui s’applique à une petite communauté paysanne devant assurer sa survie par un labeur informé de la qualité divine des « Jours » pour que ses « Travaux » soient efficaces. Un tel succès est subordonné à l’exercice de la justice, qui permet de profiter de ce labeur. Parmi les trois récits qui soutiennent le propos initial sur la condition humaine, le « mythe des races » que l’on appellera plus volontiers « récit des cinq espèces humaines » offre une représentation des daimones en tant que « gardiens des humains mortels ». En effet, les humains de l’âge d’or ne se distinguent des dieux que par leur mortalité qui les mène au statut post-mortem d’immortels sous la forme de daimones « gardiens » par la volonté de Zeus. L’Iliade offre, avec le daimôn,l’image d’une puissance divine en action, tandis que l’Odyssée atteste aussi la cristallisation potentielle d’agents divins envoyés par les dieux. En comparaison de ces œuvres, Les Travaux et les Jours n’offrent pas d’intrigue, mais une leçon de justice et une exhortation au travail qui placent l’une et l’autre Zeus en position dominante : il est maître de justice et pourvoyeur de prospérité, et c’est à son action dans le monde que se rapportent les daimones de l’âge d’or. D’Homère à Hésiode, on voit se dessiner une notion de daimôn qui sert à exprimer le « ressenti » subjectif d’une action divine tout en assumant potentiellement le profil d’une entité objectivée qui participe de la divinité qui l’envoie.
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Vinciane Pirenne-Delforge Collège de France Religion, histoire et société dans le monde grec antique Année 2018-2019 Les deux œuvres intégralement conservées et attribuées à Hésiode poursuivent des objectifs différents. La Théogonie raconte sur le mode généalogique la naissance du monde et des dieux, jusqu’à l’installation ferme de la souveraineté de Zeus. Le point de vue adopté est un regard panoramique et surplombant sur l’ordre de Zeus et la stabilisation du cosmos. Les Travaux et les Jours déploient un point de vue davantage humain qui s’applique à une petite communauté paysanne devant assurer sa survie par un labeur informé de la qualité divine des « Jours » pour que ses « Travaux » soient efficaces. Un tel succès est subordonné à l’exercice de la justice, qui permet de profiter de ce labeur. Parmi les trois récits qui soutiennent le propos initial sur la condition humaine, le « mythe des races » que l’on appellera plus volontiers « récit des cinq espèces humaines » offre une représentation des daimones en tant que « gardiens des humains mortels ». En effet, les humains de l’âge d’or ne se distinguent des dieux que par leur mortalité qui les mène au statut post-mortem d’immortels sous la forme de daimones « gardiens » par la volonté de Zeus. L’Iliade offre, avec le daimôn,l’image d’une puissance divine en action, tandis que l’Odyssée atteste aussi la cristallisation potentielle d’agents divins envoyés par les dieux. En comparaison de ces œuvres, Les Travaux et les Jours n’offrent pas d’intrigue, mais une leçon de justice et une exhortation au travail qui placent l’une et l’autre Zeus en position dominante : il est maître de justice et pourvoyeur de prospérité, et c’est à son action dans le monde que se rapportent les daimones de l’âge d’or. D’Homère à Hésiode, on voit se dessiner une notion de daimôn qui sert à exprimer le « ressenti » subjectif d’une action divine tout en assumant potentiellement le profil d’une entité objectivée qui participe de la divinité qui l’envoie.
En librairie le 12 avril 2019. Chante, déesse, la colère d’Achille, le fils de Pélée ; détestable colère, qui aux Achéens valut des souffrances sans nombre et jeta en pâture à Hadès tant d’âmes fières de héros [...] (Chant I, 1-4)
Après L’Iliade des femmes, Daniel Mesguich, ls aimé de la Muse française, et Emmanuel Lascoux, helléniste rêveur à haute voix de grec ancien, renouent avec l’ épopée d’Homère, qui a donné naissance à la littérature.
épisode 81 : L'Iliade Sauvage : Les récits d'Homère sur musique Krautrock, part 2 - Notre collaborateur DJ XL5 (Marc Lamothe) nous propose d'explorer la trame sonore de "L'Iliade Sauvage", le prequel de "L'Odyssée Sauvage" qu'il était venu nous faire entendre en novembre 2017. Une autre partie des récits d'Homère suivant Ulysse qui est adapté dans une production cinématographique allemande des années 70, un space-opera, et dont la trame sonore est composé par des groupes majeurs du mouvement musical Krautrock. Neu! - Agitation Free - Amon Duul 2 - Cluster - Moroder - Faust... et beaucoup plus.
Perrine Simon-Nahum reçoit Pierre Judet de la Combe, helléniste, enseignent à l'École des hautes études en sciences sociales. À propos du livre : "Homère" paru aux éditions Gallimard. "Puissant Alcinoos, très remarquable parmi tous les hommes, Oui, cela est beau, écouter un chanteur Comme celui-ci, pareil aux dieux par la voix". Qui est Homère ? A-t-il seulement existé ? Il y a ses poèmes, l'Iliade et l'Odyssée, composés sous une première forme en Grèce d'Asie Mineure au VIIIe siècle avant J.-C. Mais lui ? Les Anciens, qui croyaient en son existence, ont multiplié les récits sur sa vie, sa naissance (de père inconnu, ou est-ce un fleuve, ou Apollon ?), son apprentissage, sa cécité, ses voyages, sa gloire et aussi ses faiblesses : il meurt de ne pas avoir su résoudre une énigme enfantine qui portait sur des poux. Un mythe s'est créé, très tôt, étonnant, enjoué et magnifique. Le livre en suit les lignes en partant de l'idée que ce mythe qui parle d'un artiste sans patrie, mutilé mais créateur de merveilles, comme le dieu Héphaïstos, nous en apprend beaucoup sur le choc poétique et religieux qu'a provoqué l'apparition des poèmes homériques. Non pas un auteur, mais un événement révolutionnaire
Les funérailles de Patrocle et d'Hector.
La mort de Patrocle, l'ami d'Achille.
Achille se prépare au combat et se réconcilie avec Agamemnon.
Deniere partie, Patrocle prend les armes pour combattre les troyens, Hector le tue avant d'être tuer à son tour par Achille.
Les grecs sont dans une situation très difficile. Héra imagine une ruse pour les sauver...
J'ai adapté le texte de l'Iliade pour pouvoir le partagé avec tous les amoureux de la mythologie.
Ulysse et Dioméde vont espionner les troyens. Les succès militaires d'Hector se poursuivent...
Hector conduit les armées troyennes vers la victoire. Les Achéens sont obligés de s'abriter derrière leur fossé. Certains souhaitent fuir et rentrer chez eux. Agamemnon veut qu'Achille revienne combattre. Ce dernier refuse.
Hector et Paris combattent ensemble pendant que les habitants de Troie font les sacrifices nécessaires pour obtenir le soutien des dieux.
Récit des chants 1 à 5 de l'Iliade.
Les grecs et les troyens se combattent sous les murailles de Troie. Les dieux participent à la bataille.
Zeus, las des disputes entre les dieux, autorise Héra à faire détruire Troie. Par une ruse, Athèna, provoque alors la reprise des combats.
Mélénas et Paris s'affrontent en combat singulier pour gagner Helene.
Zeus envoie un songe à Agamemnon pour le pousser à lancer les armées grecques à l'attaque de Troie.
Récit de l'Iliade. Chant 1.
Présentation de la guerre de Troie, l'Iliade et les sources archéologiques.
Une fiche consacrée à l'"'Iliade", récit de la guerre de Troie Plus qu'un récit de la guerre de Troie, l'"Iliad" est l'histoire de la colère d'Achille, de sa rancune qui le maintient hors du combat jusqu'à ce que la mort de son compagnon Patrocle le jette à nouveau dans la guerre, par vengeance.Homère prend la guerre dans sa dixième et dernière année, sans l'amener à son terme, la chute de Troie.L'intervention incessante des dieux dans le cours du combat, les relations étroites entre les Immortels et les héros imprègnent le récit homérique. La fiche explore la colère d'Achille, la guerre au delà du récit épique et les relations entre les hommes et les dieux.
Le point sur ce qu'ont appris les 6e5 d'Homère, le plus célèbre des aèdes grecs. Qui était Homère, et que racontent les épopées homériques? La réponse à ces questions, et la lecture des premiers vers de l'Iliade (la colère d'Achille), dans cet épisode...Musique: John Pazdan.Illustrations: Photographie de Bibi Saint-Pol, Tête d'Homère, original conservé à la Glyptothek (Munich); Ilias, seu potius omnia eius quae extant opera (graece & latine), Studio & cura Ob. Giphanii, Edition of Obertus (Hubert) Griphanius (domaine public).