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Dans cet épisode 86 de Tisser l'invisible, Karine vous raconte comment l'année 2025 — année 9 en numérologie et année du serpent — vient clore un immense cycle de vie pour elle et sa famille : depuis le retour du Costa Rica il y a un an, suite à une urgence médicale, ses problèmes de santé en 2025 et sa périménopause bien activée, la vente de sa maison centenaire après la manifestation d'un nouveau terrain en bordure de rivière… et la construction d'une nouvelle maison en un temps record! Dans cet épisode, elle vous partage comment l'année 2025 a été pour elle UN RETOUR À LA MÈRE, en passant par un désir viscéral de devenir du beurre mou! :) Un épisode intime, avant la pause des Fêtes et la Renaissance de 2026. Bonne écoute!
Tisser des liens entre la musique d'hier et celle d'aujourd'hui, c'est la vocation de l'ensemble Alkymia fondé par Mariana Delgadillo Espinoza, il y a dix ans. Avec Sucreries : Y se va la segunda ! (« C'est reparti pour un tour ! ») en français, la cheffe franco-bolivienne explore les racines de la musique coloniale de Sucre, la capitale historique de la Bolivie. À travers des chants sacrés et des danses populaires, son ensemble d'instruments anciens célèbre la rencontre entre musiciens espagnols, africains et indigènes qui ont métissé les paysages sonores boliviens depuis le 17e siècle. RFI : Votre parcours est aussi coloré que la musique que vous défendez. Vous êtes né en Bolivie, vous avez été élevée en partie en Allemagne, formée en France. Avant de créer en 2014 un ensemble à votre image, l'ensemble Alkymia. Quelle est sa philosophie ? Mariana Delgadillo Espinoza : Alkymia, c'est la rencontre avec des artistes qui aiment confronter des musiques qui semblent éloignées par des moyens poétiques. On arrive à trouver des liens pour construire des ponts. Tout le répertoire médiéval, renaissance jusqu'au baroque, etc. Notre idée, c'est de montrer qu'en revisitant notre histoire, on comprend des choses de nos jours d'une autre manière. On montre, grâce aux musiques anciennes, les liens que nous avons avec ce que nous sommes aujourd'hui. En compagnie de votre ensemble – composé de flûtes, violes, guitares baroques, tambours renaissance, grelots de chevilles et castagnettes, entre autres –, vous êtes parti sur les traces de la musique bolivienne du 17ᵉ siècle à nos jours, avec un album au titre pour le moins intrigant, Sucreries. Il fait référence à la ville de Sucre, en Bolivie, la première capitale, devenue, depuis les colonies, une ville culturelle. Beaucoup de musiques ont été composées pour cette ville par des compositeurs espagnols, puis métis, puis indigènes. L'aventure a commencé il y a dix ans, en 2015, avec votre premier voyage durant lequel vous vous êtes plongé dans les archives de l'ancienne cathédrale, que vous avez confronté à la réalité de la vie actuelle. Quelles sont les délices musicaux que vous y avez dénichés ? La première chose, c'était le lien de cette musique sacrée avec la danse. J'ai vu qu'il y avait des pièces qui ont été écrites à Sucre. Comme un rythme de danse interdite en Espagne par exemple. Je voulais proposer une relecture, avec les musiques traditionnelles, des colonies espagnoles. Y se va la segunda ! (« C'est reparti pour un tour ! ») est le sous-titre de cet album qui réunit seize titres de la colonisation jusqu'à l'Indépendance. En quoi cette musique était-elle engagée, voire subversive ? On sait qu'il était interdit aux indigènes et aux Noirs de participer à la musique dans la cathédrale et dans les églises, selon les règles des colonies. Dans les manuscrits, on voit que, petit à petit, on sollicite des musiciens d'origine indigène ou africaine pour participer et renforcer les rangs des musiciens. Des orphelins métis, voire d'origine indigène, entrent dans les chœurs d'enfants parce qu'ils ont des belles voix et deviennent compositeurs. C'est pour cela que l'on voit, dans le disque, des pièces anonymes. Des « armes vaillantes » aux cris de joie, en passant par des chants sacrés et des danses populaires, vous traversez toute la palette des expressions musicales. Si cet album avait un message à passer, ici et maintenant, ce serait lequel ? De vivre la spiritualité – ou peut-être juste la croyance que nous avons quelque chose au-dessus de nous – dans un esprit, avant tout, de joie. Sans différence entre les uns et les autres. Et de nous laisser entraîner. Ensemble Alkymia Sucreries : Y Se Va la Segunda ! (Acte 6) 2025 Facebook / Instagram / YouTube À lire aussiPourquoi le chant est essentiel dans toutes les cultures humaines
Tisser des liens entre la musique d'hier et celle d'aujourd'hui, c'est la vocation de l'ensemble Alkymia fondé par Mariana Delgadillo Espinoza, il y a dix ans. Avec Sucreries : Y se va la segunda ! (« C'est reparti pour un tour ! ») en français, la cheffe franco-bolivienne explore les racines de la musique coloniale de Sucre, la capitale historique de la Bolivie. À travers des chants sacrés et des danses populaires, son ensemble d'instruments anciens célèbre la rencontre entre musiciens espagnols, africains et indigènes qui ont métissé les paysages sonores boliviens depuis le 17e siècle. RFI : Votre parcours est aussi coloré que la musique que vous défendez. Vous êtes né en Bolivie, vous avez été élevée en partie en Allemagne, formée en France. Avant de créer en 2014 un ensemble à votre image, l'ensemble Alkymia. Quelle est sa philosophie ? Mariana Delgadillo Espinoza : Alkymia, c'est la rencontre avec des artistes qui aiment confronter des musiques qui semblent éloignées par des moyens poétiques. On arrive à trouver des liens pour construire des ponts. Tout le répertoire médiéval, renaissance jusqu'au baroque, etc. Notre idée, c'est de montrer qu'en revisitant notre histoire, on comprend des choses de nos jours d'une autre manière. On montre, grâce aux musiques anciennes, les liens que nous avons avec ce que nous sommes aujourd'hui. En compagnie de votre ensemble – composé de flûtes, violes, guitares baroques, tambours renaissance, grelots de chevilles et castagnettes, entre autres –, vous êtes parti sur les traces de la musique bolivienne du 17ᵉ siècle à nos jours, avec un album au titre pour le moins intrigant, Sucreries. Il fait référence à la ville de Sucre, en Bolivie, la première capitale, devenue, depuis les colonies, une ville culturelle. Beaucoup de musiques ont été composées pour cette ville par des compositeurs espagnols, puis métis, puis indigènes. L'aventure a commencé il y a dix ans, en 2015, avec votre premier voyage durant lequel vous vous êtes plongé dans les archives de l'ancienne cathédrale, que vous avez confronté à la réalité de la vie actuelle. Quelles sont les délices musicaux que vous y avez dénichés ? La première chose, c'était le lien de cette musique sacrée avec la danse. J'ai vu qu'il y avait des pièces qui ont été écrites à Sucre. Comme un rythme de danse interdite en Espagne par exemple. Je voulais proposer une relecture, avec les musiques traditionnelles, des colonies espagnoles. Y se va la segunda ! (« C'est reparti pour un tour ! ») est le sous-titre de cet album qui réunit seize titres de la colonisation jusqu'à l'Indépendance. En quoi cette musique était-elle engagée, voire subversive ? On sait qu'il était interdit aux indigènes et aux Noirs de participer à la musique dans la cathédrale et dans les églises, selon les règles des colonies. Dans les manuscrits, on voit que, petit à petit, on sollicite des musiciens d'origine indigène ou africaine pour participer et renforcer les rangs des musiciens. Des orphelins métis, voire d'origine indigène, entrent dans les chœurs d'enfants parce qu'ils ont des belles voix et deviennent compositeurs. C'est pour cela que l'on voit, dans le disque, des pièces anonymes. Des « armes vaillantes » aux cris de joie, en passant par des chants sacrés et des danses populaires, vous traversez toute la palette des expressions musicales. Si cet album avait un message à passer, ici et maintenant, ce serait lequel ? De vivre la spiritualité – ou peut-être juste la croyance que nous avons quelque chose au-dessus de nous – dans un esprit, avant tout, de joie. Sans différence entre les uns et les autres. Et de nous laisser entraîner. Ensemble Alkymia Sucreries : Y Se Va la Segunda ! (Acte 6) 2025 Facebook / Instagram / YouTube À lire aussiPourquoi le chant est essentiel dans toutes les cultures humaines
Dans Partition vietnamienne, Olivier Dhénin Hữu tisse un siècle d'histoire du Vietnam à travers quatre générations, entre Saigon et Paris.Cette fresque théâtrale, lyrique, poétique, et ambitieuse, mêle la fiction, les archives, les souvenirs familiaux, pour faire entendre ce qui n'a pas été appris, ni transmis.Dans cet épisode, Olivier nous raconte cette création : comment elle est née, les enjeux de et les formes de la pièces, ce qu'il a voulu dire, comment il a fait cohabiter l'intime et l'histoire avec un grand H.Il partage également ce que cette pièce a permis pour lui : retrouver une parole là où il y avait des silences, redonner une forme à ce qui était flou, réparer une mémoire fragmentée.Un épisode pour celles et ceux qui cherchent à comprendre leur histoire, celle de leur pays, et celle de leur famille. Et à inventer des formes pour faire vivre une mémoire qui semblait perdue.Bonne écoute,Mélanie***Pour découvrir le travail d'Olivier Dhenin Huu :Son compte Instagram : https://www.instagram.com/olivier_dhen/ Les actualités de sa compagnie Winterreise (théâtre et art lyrique)La pièce Les contes lyriques au Théatre Antoine Watteau (16/12/2025)Le pêcheur au fond de la tasse de thé : une légende d'Annam - ed. Les Petites Allées***Pour suivre les actualités de l'association, rendez-vous sur Instagram.Pour rejoindre l'association, rendez-vous sur Hello Asso.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
SÉRIE SPÉCIALE : LE NID ÉVOLUÉComposante : Alloparentalité (Village d'attachement)Dans cet épisode, Élisabeth s'entretient avec mon amie Véronique P., une mère-éducatrice passionnée par l'éducation alternative et les apprentissages en famille. Dans cette deuxième partie, on continue de raconter le parcours de nos expérimentations et on se penche sur les défis qui ont jalonné notre route.____Aide-moi à faire vivre Les ÉmergentsPour faire un don au podcast, c'est par ici !____Me laisser un message vocal pour me poser une question pour l'épisode QUESTIONS ET RÉPONSES Q&A (Dernier épisode avant les Fêtes!!)Par ici !____Pour remplir un formulaire de pré-consultation pour mon accompagnement 1:1, c'est par ici!______Préparez les générations futures à une vie épanouissante, libérées de la nécessité perpétuelle de guérir leur enfance.Rejoignez Élisabeth Dufresne (Éducation Autrement), éducatrice à l'enfance, dans son nouveau podcast qui explore sans détour les fondamentaux de l'éducation des enfants : la théorie de l'attachement et le jeu libre.Depuis sa chambre nichée dans les Cantons-de-l'Est, Élisabeth vous libère du nouveau passage obligé des nombreux livres sur la parentalité bienveillante et vous accompagne à devenir des guides assumés, lucides et instinctifs. _Suivez Élisabeth Dufresne surInstagram : https://www.instagram.com/elisabeth.dufresne/Facebook : https://www.facebook.com/educationautrementbaladoYoutube : https://www.youtube.com/channel/UCxpVH1Wg3BIEdcRnYM_3k7gRéalisation : Élisabeth DufresneThème musical : Les Émergents par Étienne DufresneIllustration: Florence Rivest_Pour commanditer un épisode, contactez-nous!info@elisabethdufresne.com
durée : 00:16:41 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - La Bourse de Commerce présente "Minimal + Lydia Pape : Tisser l'espace", une grande exposition consacrée à l'art minimal. Conçue par Jessica Morgan, elle réunit plus d'une centaine d'œuvres retraçant les multiples facettes de ce mouvement né dans les années 1960. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Sarah Ihler-Meyer Critique d'art et commissaire d'exposition ; Sally Bonn Maître de conférence en esthétique à l'Université Picardie Jules Verne, auteure, critique d'art et commissaire d'exposition.
durée : 00:27:17 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Aujourd'hui, au menu de notre débat critique, des expositions avec Minimal et Lygia Pape pour "Tisser l'espace" & "L'ironie de l'histoire" de Philip Guston - réalisation : Laurence Malonda - invités : Sarah Ihler-Meyer Critique d'art et commissaire d'exposition ; Sally Bonn Maître de conférence en esthétique à l'Université Picardie Jules Verne, auteure, critique d'art et commissaire d'exposition.
« Le triathlon, c'est pas qu'un sport, c'est des rencontres qui te font aller plus loin que la ligne d'arrivée. »
« Le triathlon, c'est pas qu'un sport, c'est des rencontres qui te font aller plus loin que la ligne d'arrivée. »
SÉRIE SPÉCIALE : LE NID ÉVOLUÉ Composante : Alloparentalité Dans cet épisode, Élisabeth s'entretient avec mon amie Véronique P., une mère-éducatrice passionnée par l'éducation alternative et les apprentissages en famille. Dans cette première partie, nous vous faisons découvrir les balbutiements de notre village d'attachement à Waterville, créé pour que nos enfants, présents et à venir, soient entourés d'adultes significatifs.La partie 2 sera disponible dès le dimanche 9 novembre prochain, à 19h !____Aide-moi à faire vivre Les ÉmergentsPour faire un don au podcast, c'est par ici !____Me laisser un message vocal pour me poser une question pour l'épisode QUESTIONS ET RÉPONSES Q&APar ici !____Pour remplir un formulaire de pré-consultation pour mon accompagnement 1:1, c'est par ici!______Préparez les générations futures à une vie épanouissante, libérées de la nécessité perpétuelle de guérir leur enfance.Rejoignez Élisabeth Dufresne (Éducation Autrement), éducatrice à l'enfance, dans son nouveau podcast qui explore sans détour les fondamentaux de l'éducation des enfants : la théorie de l'attachement et le jeu libre.Depuis sa chambre nichée dans les Cantons-de-l'Est, Élisabeth vous libère du nouveau passage obligé des nombreux livres sur la parentalité bienveillante et vous accompagne à devenir des guides assumés, lucides et instinctifs. _Suivez Élisabeth Dufresne surInstagram : https://www.instagram.com/elisabeth.dufresne/Facebook : https://www.facebook.com/educationautrementbaladoYoutube : https://www.youtube.com/channel/UCxpVH1Wg3BIEdcRnYM_3k7gRéalisation : Élisabeth DufresneThème musical : Les Émergents par Étienne DufresneIllustration: Florence Rivest_Pour commanditer un épisode, contactez-nous!info@elisabethdufresne.com
Ce midi, On Jase des Canadiens avec François Gagnon et Karell Émard Pour nous suivre sur nos différentes plateformes
Pablo Servigne s'est fait connaître avec « Comment tout peut s'effondrer » en 2015, un livre devenu un best-seller, fondateur de la collapsologie. Il publie aujourd'hui aux Liens Qui Libèrent, "Le Réseau des tempêtes. Manifeste pour une entraide Populaire". Objectif : braquer les projecteurs sur la participation citoyenne à la gestion de crise, à l'opposé du repli sur soi. Pour lui, le lien social devient dans des moments de crise notre meilleure stratégie et cela peut tout simplement améliorer nos vies. Pablo Servigne nous explique aussi le concept de "supervivalisme" à l'opposé du survivalisme. Bonne écoute avec Impact Positif.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'article complet est en pièce jointe dans cette page ou sur notre site Internet: https://www.love-health-center.org/podcast/sexualite-et-respiration-68/Vous pouvez laisser un message vocal à l'équipe du LHC en lien avec ce podcast ici : https://www.vodio.fr/repondeur/311/Bienvenue dans un podcast atypique. Je te propose un parcours de réflexions, de questions, de propositions. Une balade dans un paysage subtile, la respiration et ta sexualité. Il existe tellement de choses à découvrir et à comprendre à propos de la respiration. Mais surtout je vous l'espère aussi des expériences délicates, belles, puissantes, délicieuses, au fil du temps. La respiration module énormément de fonctions : nerveuses, cardio, émotions, musculaire, circulatoire, présence, état psychique, ondes cérébrales. Elle soutient une santé optimum et invite à une hygiène de vie faite de bon sens. La respiration permet un corps en bonne santé, donc des fonctions vitales efficaces et de là, une santé sexuelle optimale pour jouir de sa sexualité. La respiration de qualité prédispose le corps à bien fonctionner. Dans la sphère de la sexualité, la respiration est intimement liée à l'excitation, la présence, la détente, le ressenti, le plaisir et l'orgasme. A l'inverse, négliger la respiration crée de nombreux effets négatifs pour la santé et surtout pour la sexualité. Intéressez-vous à votre respiration, surtout si vous avez des difficultés sexuelles. Mais au-delà de la résolution de problème, il y a surtout un monde beaucoup plus vaste. La respiration est souvent sous-considérée, sous-estimée voire survolée et encore moins approfondie dans l'expérience assidue. Néanmoins, de plus en plus de livres nous aident à comprendre l'importance et les puissants pouvoirs de la respiration (de la santé à la sexualité, il n'y a qu'un pas). La respiration est sous considérée en sexologie. Pourtant dans certaines pratique la respiration est centrale: yoga, arts martiaux, méditation, pleine conscience, cohérence cardiaque …etc La respiration module les fonctions du corps, active, stimule, apaise, nourrit, calme, ancre, détoxifie, et je dirai même qu'elle relie. Elle pourrait un jour, si ce n'est déjà le cas pour vous, être une voie de jouissance incontournable. A chacun.e de se mettre en chemin et de découvrir pour lui-même.La théorie permet au mental de s'ouvrir et d'appréhender. L'important au final, c'est l'expérience, la découverte par soi-même grâce à un peu de nouvelles habitudes et de discipline. Ce podcast est une invitation à découvrir plus. Il est destiné à celles et ceux qui souhaitent faire un chemin vers l'inconnu. S'informer par lui-même, pratiquer encore et encore, sans attendre de résultats particuliers, jusqu'à ce que des résultats particuliers s'invitent dans son corps. Le champ d'exploration est vaste et multiple. Il n'attend que vous. Je vous souhaite un parcours parsemé de découvertes.Suite de l'article sur le site du LHC (suggestions de questions et des infos scientifiques) : https://www.love-health-center.org/podcast/ Questions :Qui d'entre vous à déjà vécu une expérience particulière dans sa sexualité en lien avec la respiration? On serait ravi d'écouter votre partage. Ecrivez-nous: nfo@love-health-center.orgSéquençage du Podcast :00:19 Fondement essentiel de la santé sexuelle01:30 Le souffle du podcast02:00 Fonction entre conscience et mystère03:16 Silences méditatifs et souffle tantrique03:49 Potentiel révélé par la conscience du corps04:07 La respiration, langage intime de la sexualité05:41 Souffle nasal et messager du gaz vital06:12 Danse entre respiration et plancher pelvien07:16 Nowhere Festival : orgasme et souffle révélé08:08 Nuit, souffle et fragilité sexuelle09:58 Respiration éveillée et calme en Shibari10:52 Diaphragmes unis, souffle et sexualité11:59 Souffle purifiant et danse lymphatique12:44 Conscience du souffle, présence et plaisir13:30 Couleurs du souffle, éveil des sens15:09 Sons vibrants et souffle en harmonie16:48 Mouvement, souffle, sérénité en symbiose18:26 Respirer en duo, fusion et plaisir20:09 Souffle méditatif, sensibilité éveillée21:43 Souffle apaisant, lien au corps sensuel23:23 Tisser ensemble la danse de la sexualité24:27 Explorer la respiration : podcast et écrits
Assurances, conso, nouvelles technologies… "On en parle" vous oriente dans tout ce qui fait votre quotidien. Tisser des liens, c'est aussi prendre soin de sa santé mentale. Faire craquer ses os: phénomène naturel ou mauvaise habitude à éviter? Guichet: Acheter ou vendre un logement, comment bien s'y prendre aujourd'hui en Suisse ?
Dans cet épisode, je reçois Catherine Barba, entrepreneure visionnaire surnommée la « marraine du web ». Cofondatrice, avec Karine et Charlotte, d'Envi, plateforme pensée comme « la bible des indépendants », Catherine accompagne celles et ceux qui souhaitent inventer leur propre chemin professionnel dans un monde où les carrières linéaires se raréfient.Elle est aussi une figure inspirante pour moi depuis de nombreuses années : notre lien se nourrit de cette même curiosité pour l'avenir et de la conviction qu'on peut bâtir des ponts entre les mondes.Avec Catherine, nous revenons sur son parcours atypique, des études littéraires à son rôle de pionnière de l'innovation digitale, et sur le fil conducteur de sa vie professionnelle : l'envie constante de transformer, d'innover, d'anticiper ce qui vient.Nous explorons ensemble des thèmes qui résonnent profondément avec notre époque : – L'avenir du travail : pourquoi il n'y a plus de parcours tout tracé, et comment développer un « mindset de faiseur »– Oser demander de l'aide : un acte souvent vécu comme humiliant, mais qui, selon Catherine, est une marque de courage– Le réseau : loin des clichés de superficialité, Catherine en parle comme d'une somme de liens sincères– L'écologie personnelle : comment elle préserve son énergie et nourrit sa foi – La comparaison et l'inspiration : transformer la jalousie en gratitude – L'espérance comme principe d'action : construire dès aujourd'hui le monde auquel on aspireUn échange dense et lumineux sur la curiosité, le courage de l'inconfort, la qualité des liens, et la manière de faire de nos singularités des leviers d'action.Bonne écoute !Sandra____Le lien vers Envi, l'école des indépendants Le lien vers la “Bible des indépendants”, le livre de Catherine Le lien vers mon livre, dans lequel vous trouverez la préface écrite par Catherine ____Numéros d'Equilibristes est la lettre que j'envoie 2 fois par mois - c'est là que je partage ressources, observations et analyses, dont le point de départ est souvent le quotidien ou mon travail avec mes clients. C'est là aussi que j'annonce en avant-première tous les événements et opportunités de travailler ensemble. Vous pouvez vous abonner ici.Découvrez mon livre, En Équilibre, qui déconstruit le mythe de l'équilibre vie pro vie perso et explore 4 grands besoins derrière celui de préserver son équilibre de vie.Pour découvrir comment travailler ensemble, rendez-vous sur www.conscious-cultures.comPour écouter tous les épisodes, rendez-vous sur www.lesequilibristes.comConnectons-nous sur les réseaux : Linkedin et InstagramHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour écouter l'épisode en entier (disponible le 3 octobre 2025), écrivez "David Foenkinos, écrivain - L'écriture comme refuge" sur votre plateforme d'écoute.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Olfa Zéribi est une universitaire tunisienne chevronnée, spécialiste du management stratégique et de l'innovation. Titulaire d'un doctorat en sciences de gestion de l'IGR‑IAE Rennes (France), elle enseigne depuis 2005 à l'Institut des Hautes Études Commerciales de l'Université de Carthage. Forte de près de 30 ans d'expérience dans l'enseignement supérieur, elle a occupé plusieurs postes de direction, notamment celui de directrice de l'école doctorale et fondatrice du master en management et stratégie. Elle a également été impliquée dans des projets européens tels que le programme Tempus « DICAMP » et, entre 2017 et 2020, a dirigé le programme Horizon 2020 pour le Ministère tunisien de l'Enseignement supérieur, jouant un rôle clé dans l'intégration de la Tunisie dans l'Espace européen de la recherche. En parallèle, elle a été consultante pour des institutions internationales comme le PNUD, la GIZ et l'UNESCO. Depuis septembre 2020, elle est directrice de la Direction Europe de l'Ouest de l'Agence universitaire de la Francophonie (AUF), où elle pilote les relations avec les établissements francophones et les initiatives de diplomatie scientifique. Elle a reçu la Médaille de l'Ordre du Mérite National en 2019 pour son engagement exceptionnel dans le domaine de l'éducation et de la recherche.Site web de l'AUF : https://www.auf.org/Site de la Direction régionale Europe Occidentale de l'AUF : https://www.auf.org/europe-ouest/Stratégie de l'AUF 2021-2025 : https://www.auf.org/wp-content/uploads/2017/03/Strate%CC%81gie-2021-2025.pdfLivre blanc de la francophonie scientifique (synthèse des résultats de la Consultation mondiale de la francophonie scientifique et socle de la Stratégie 2021-2025) : https://www.calameo.com/auf/read/0061183914d084f069e3a?page=1Le Manifeste pour une Diplomatie Scientifique Francophone : https://www.calameo.com/auf/read/006118391da441b2b228d
durée : 00:04:14 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - Arthur, sept ans, s'interroge sur cette étonnante dextérité dont font preuve les araignées pour tisser leur toile dans un équilibre parfait dans le vide sans ne jamais tomber. L'arachnologue au Muséum national d'histoire naturelle de Paris, Christine Rollard, lui répond. - réalisé par : Stéphanie TEXIER Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Pourquoi est-on si attachés à la Bretagne ? Comment peut-elle devenir un lieu de rencontres, de solidarité et de partage ?On vous emmène au cœur du quartier Gumenen à Auray, à la rencontre de Josiane Ndiaye, présidente du Lieu-Dit, une association qui tisse du lien à travers des ateliers intergénérationnels et interculturels.Originaire du Niger, Josiane nous parle de ses racines touarègues et bretonnes, de ses « mille vies », de sa volonté d'aider les autres au quotidien et de ses lieux préférés en Bretagne. Prêts à découvrir la solidarité à la bretonne ? On vous emmène avec nous !Demi-sel est un podcast proposé par la Région Bretagne. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Noen barn er sengevætere selv om de har sluttet med bleie på dagtid. Andre barn er tørre på natta, men har uhell på dagen. Noen har problemer å holde seg døgnet rundt. Når skal man egentlig oppsøke lege? Og hvordan skal man snakke med barna om uhellene? Denne uken har vi også besøk av overlege Anders Kyte.