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AKAA, Also Known As Africa, la grande foire d'art contemporain, fête ses dix ans à Paris, au Carreau du Temple. En une décennie, AKAA a contribué à changer le regard des Français et des Afrodescendants sur l'art africain, mais aussi celui du marché de l'art qui a fait du segment africain un incontournable. D'avoir créé un rendez-vous pour les artistes africains ou issus de la diaspora, c'est intéressant parce que cela permet de voir à quel point cette créativité est riche. AKAA, ce sont encore les artistes qui en parlent le mieux. Kuka Ntadi est artiste visuel franco-congolais : « Maintenant que le marché de l'art commence à s'y intéresser, on voit que les artistes commencent à s'épanouir dans leur créativité, à faire des choses de plus en plus incroyables. On assiste tout simplement au fait que l'on est dans l'art contemporain avant tout. » La foire AKAA a donc libéré les artistes en même temps qu'elle les mettait en lumière. En dix ans, le galeriste Christophe Person a vu la qualité générale augmenter : « C'est qu'il y a dix ans, quand AKAA s'est lancée et quand beaucoup se sont lancés dans l'art africain, il y avait un vrai engouement qu'aujourd'hui, on pourrait qualifier de spéculatif. Tout le monde voulait acheter des artistes africains et donc on achetait juste des images qui étaient séduisantes à l'œil. Aujourd'hui, on est arrivé à une période où il faut quand même fouiller davantage, parce qu'il faut essayer de représenter des artistes qui vont s'inscrire dans l'histoire de l'art. Avec des sources d'inspiration qui soient plus que des images tirées d'Instagram. » À lire aussiAKAA 2025 : Serge Mouangue révolutionne l'esthétique entre l'Afrique et le Japon Le regard occidental, influence ou dialogue ? Si AKAA a fait évoluer les artistes, est-ce que le regard du public occidental a lui aussi pesé sur les processus créatifs ? Le Kényan Evans Mbugua et le Bissau-Guinéen Nu Barreto, tous deux plasticiens, vivent et travaillent en France : « – Le regardeur peut nous renvoyer un ressenti, répond Evans Mbugua, surtout pour moi qui travaille sur les émotions, et cela m'informe, cela m'aide à creuser plus. Je pense que l'art est un dialogue. Et ce dialogue est un aller-retour entre l'atelier et l'œil de celui qui regarde. – Nu Barreto, est-ce que le regard du public européen ou vivant en France a changé votre façon de travailler ? – Forcément, ces regards-là finissent par apporter quelque chose indirectement, mais tout en laissant à l'artiste la liberté dans sa création de pouvoir proposer des choses à la société. » L'écueil auquel la foire AKAA et ses artistes tentent d'échapper, serait donc de succomber au public. Sitor Senghor est le directeur artistique d'AKAA : « Ils font beaucoup moins ce qui est à la mode. Même si, vous avez énormément d'artistes en résidence en Occident et donc ils vont produire ce qui plait en Occident, donc en perdant un peu de leur identité. C'est pour cela que je voudrais vraiment que l'on puisse donner toute leur chance aux artistes du continent qui sont en train de changer. » Qualité, authenticité, deux mots d'ordres indispensables alors que le marché de l'art contemporain africain cherche un nouveau souffle. Heureusement pour lui, s'il souffre d'un problème de demande conjoncturelle, l'offre, elle, est structurellement toujours plus riche. À écouter aussiLa foire d'art contemporain africain parisienne AKAA fête ses 10 ans
Sur le pont des arts vous embarque au Carreau du Temple, à l'occasion de la 10ème édition d'AKAA, Also Known as Africa. C'est la grande foire d'art et de design africain contemporain qui rassemble les professionnels, les collectionneurs et les passionnés à Paris. Depuis la première édition, en 2015, ce rendez-vous s'impose comme la vitrine française de la production artistique foisonnante du continent à côté, évidemment, de Londres et de sa grande foire «1-54» lancée en 2013. Sitor Senghor, directeur artistique, Ernest Dükü, Atsoupé et Bouvy Enkobo, tous les trois artistes, étaient les invités de Nathalie Amar. ► Playlist du jour - Cheikh Lô - Maame. - Star Feminine Band - Mom'lo si waju. - Serge Beynaud - Créatair. À lire aussiAKAA 2025: Serge Mouangue révolutionne l'esthétique entre l'Afrique et le Japon
Sur le pont des arts vous embarque au Carreau du Temple, à l'occasion de la 10ème édition d'AKAA, Also Known as Africa. C'est la grande foire d'art et de design africain contemporain qui rassemble les professionnels, les collectionneurs et les passionnés à Paris. Depuis la première édition, en 2015, ce rendez-vous s'impose comme la vitrine française de la production artistique foisonnante du continent à côté, évidemment, de Londres et de sa grande foire «1-54» lancée en 2013. Sitor Senghor, directeur artistique, Ernest Dükü, Atsoupé et Bouvy Enkobo, tous les trois artistes, étaient les invités de Nathalie Amar. ► Playlist du jour - Cheikh Lô - Maame. - Star Feminine Band - Mom'lo si waju. - Serge Beynaud - Créatair. À lire aussiAKAA 2025: Serge Mouangue révolutionne l'esthétique entre l'Afrique et le Japon
AKAA, Also Known As Africa, la grande foire d'art contemporain, fête ses dix ans à Paris, au Carreau du Temple. En une décennie, AKAA a contribué à changer le regard des Français et des Afrodescendants sur l'art africain, mais aussi celui du marché de l'art qui a fait du segment africain un incontournable. D'avoir créé un rendez-vous pour les artistes africains ou issus de la diaspora, c'est intéressant parce que cela permet de voir à quel point cette créativité est riche. AKAA, ce sont encore les artistes qui en parlent le mieux. Kuka Ntadi est artiste visuel franco-congolais : « Maintenant que le marché de l'art commence à s'y intéresser, on voit que les artistes commencent à s'épanouir dans leur créativité, à faire des choses de plus en plus incroyables. On assiste tout simplement au fait que l'on est dans l'art contemporain avant tout. » La foire AKAA a donc libéré les artistes en même temps qu'elle les mettait en lumière. En dix ans, le galeriste Christophe Person a vu la qualité générale augmenter : « C'est qu'il y a dix ans, quand AKAA s'est lancée et quand beaucoup se sont lancés dans l'art africain, il y avait un vrai engouement qu'aujourd'hui, on pourrait qualifier de spéculatif. Tout le monde voulait acheter des artistes africains et donc on achetait juste des images qui étaient séduisantes à l'œil. Aujourd'hui, on est arrivé à une période où il faut quand même fouiller davantage, parce qu'il faut essayer de représenter des artistes qui vont s'inscrire dans l'histoire de l'art. Avec des sources d'inspiration qui soient plus que des images tirées d'Instagram. » À lire aussiAKAA 2025 : Serge Mouangue révolutionne l'esthétique entre l'Afrique et le Japon Le regard occidental, influence ou dialogue ? Si AKAA a fait évoluer les artistes, est-ce que le regard du public occidental a lui aussi pesé sur les processus créatifs ? Le Kényan Evans Mbugua et le Bissau-Guinéen Nu Barreto, tous deux plasticiens, vivent et travaillent en France : « – Le regardeur peut nous renvoyer un ressenti, répond Evans Mbugua, surtout pour moi qui travaille sur les émotions, et cela m'informe, cela m'aide à creuser plus. Je pense que l'art est un dialogue. Et ce dialogue est un aller-retour entre l'atelier et l'œil de celui qui regarde. – Nu Barreto, est-ce que le regard du public européen ou vivant en France a changé votre façon de travailler ? – Forcément, ces regards-là finissent par apporter quelque chose indirectement, mais tout en laissant à l'artiste la liberté dans sa création de pouvoir proposer des choses à la société. » L'écueil auquel la foire AKAA et ses artistes tentent d'échapper, serait donc de succomber au public. Sitor Senghor est le directeur artistique d'AKAA : « Ils font beaucoup moins ce qui est à la mode. Même si, vous avez énormément d'artistes en résidence en Occident et donc ils vont produire ce qui plait en Occident, donc en perdant un peu de leur identité. C'est pour cela que je voudrais vraiment que l'on puisse donner toute leur chance aux artistes du continent qui sont en train de changer. » Qualité, authenticité, deux mots d'ordres indispensables alors que le marché de l'art contemporain africain cherche un nouveau souffle. Heureusement pour lui, s'il souffre d'un problème de demande conjoncturelle, l'offre, elle, est structurellement toujours plus riche. À écouter aussiLa foire d'art contemporain africain parisienne AKAA fête ses 10 ans
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs Sur le papier, les indicateurs macroéconomiques sont flatteurs pour le président Alassane Ouattara, qui brigue un quatrième mandat le 25 octobre. Mais l'expérience des Ivoiriens, qui subissent une précarité et des inégalités massives, contredit le discours d'autosatisfaction du pouvoir. Un article de Théodore Laurent, publié le 19 octobre 2025, lu par Jérémy Zylberberg. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:59:58 - Concert A l'Improviste avec Nainy Biabaté & Eve Risser - par : Anne Montaron - Dans "A l'Improviste" ce soir, la musique solaire et engagée de la griote malienne Naïny Biabaté et de la pianiste Eve Risser, superbe démonstration de sororité musicale. - réalisé par : Céline Parfenoff Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 01:28:48 - Cabaret 42e rue : 3 avant-premières exclusives de comédies musicales - par : Laurent Valière - En avant première et en direct du Carreau du Temple, Laurent Valière reçoit les troupes et orchestres au complet de « Cher Evan Hansen », « La Petite Boutique des horreurs » et d'une nouvelle adaptation de « Le Fantôme de l'Opéra ». - réalisé par : Céline Parfenoff Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Retrouvez l'échange complet entre Benjamin Abittan et Arnaud Naudan sur toutes les plateformes d'écoute !Coulisses de CEO est un podcast de BDO France Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Mes chers camarades, bien le bonjour ! Aujourd'hui on continue à s'amuser autour d'expressions qui datent du passé, et qu'on utilise encore aujourd'hui, même si on ne sait toujours pas pourquoi ! Par exemple, il y a les expressions qui mentionnent des objets du quotidien, comme “rester sur le carreau” ou encore “devoir une fière chandelle” à quelqu'un. Alors, pour parler d'une situation difficile, ou d'un service qu'on a reçu, pourquoi on cause carrelage et bougie ? On le découvre tout de suite !Bonne écoute !
durée : 01:28:32 - Une saison exceptionnelle de Cabarets 42e rue - par : Laurent Valière - Company, Les Misérables, Starmania, Gypsy ou Sweeney Todd : retour sur une saison exceptionnelle de Cabarets 42e rue au Carreau du Temple cette saison. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:40:17 - 100% Rugby spécial demi-finale depuis le carreau des Halles à Bayonne Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:59:58 - A l'Improviste : avec Violaine Gestalder et Loris Binot, puis le trio Carol Robinson, Charlotte Testu et Serge Teyssot-Gay - par : Anne Montaron - Dans A l'Improviste ce soir un condensé de la session d'improvisation publique du 12 mai au Carreau du Temple à Pais : invitation au voyage et au rêve avec Violaine Gestalder, Loris Binot, Carol Robinson, Charlotte Testu et Serge Teyssot-Gay - réalisé par : Céline Parfenoff
Aujourd'hui, je reçois Candice Martel, danseuse de Tap Dance, chorégraphe et musicienne.Elle présente Électro Tap les 11 et 12 juin au Carreau du Temple - dans le cadre de JUNE EVENTS de l'Atelier de Paris - un concert dansé qui mêle claquettes sur les bpm de la musique live électro et guitare acoustique.Musique à voir, danse à écouter. A cette occasion, Candice propose dans cet épisode un voyage sonore dans l'histoire des claquettes.On l'écoute avec joie,
durée : 01:28:43 - Cabaret 42e rue : Sweeney Todd / Rebecca / Stephen Sondheim. À l'ombre de Broadway /Tout le monde il est...Jean Yanne - par : Laurent Valière - En direct du Carreau du Temple, avec les troupes de "Sweeney Todd" à l'Opéra National du Rhin, "Rebecca" au festival Bruxellons !, "Stephen Sondheim. À l'ombre de Broadway" par Sarah Lazerge et Vincent Vittoz et "Tout le monde il est ... Jean Yanne" programmés à Avignon cet été. - réalisé par : Olivier Guérin
Aujourd'hui, Jean-Loup Bonnamy, Charles Consigny et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Physicien, ingénieur hydraulicien, artiste de cirque et champion de France de pole sport : Jemi Van Dijk est un homme aux trajectoires multiples.Né à Saint-Martin, il grandit entre les vagues et les saltos autodidactes sur la plage. Brillant élève, il décroche l'agrégation de physique, devient professeur en classes préparatoires, et poursuit un doctorat.Mais un jour, la danse entre dans son corps — et tout bascule.Dans cet épisode, il revient sur ce chemin inattendu : du monde scientifique à la scène, de la rigueur mentale à la liberté du mouvement. Il raconte ses débuts en salsa, ses formations en yoga, pilates et pole dance, discipline dans laquelle il excelle aujourd'hui au niveau international.Entre force et vulnérabilité, Jemi interroge les normes, les stéréotypes, et le regard posé sur les corps masculins dansants.Avec sincérité, il nous parle du pouvoir de la danse : celui de se réconcilier avec soi et de reprendre possession de son corps.Il sera le 24 mai 2025 dans le spectacle Les Cœurs Rouges d'Alexandre Blondel au Carreau du templehttps://www.lecarreaudutemple.eu/evenements/festival-jogging-2025-les-coeurs-rouges-alexandre-blondel/
Dans vos oreilles , un épisode pour accompagner le festival Jogging du Carreau du Temple, un événement festif qui mêle sports et danse contemporaine du 22 au 25 mai. Aujourd'hui, je reçois Akène Lenoir, danseur, CrossFiteur et jeune chorégraphe de Lundy Grandpré.Tout comme le fait Le Carreau du Temple, Akène aime aborder les questions du genre et mêler avec humour les pratiques sportives et artistiques.Au Festival Jogging, avec Marco Mary, Akène présente Wod - qui signifie Workout of the Day en jargon CrossFit - un duo qui s'amuse dans le mouvement tout en interrogeant notre rapport au corps et à la performance.On l'écoute avec joie,Cet épisode a été réalisé en partenariat avec les équipes du Carreau du Temple.
Dans vos oreilles , un épisode pour accompagner le festival Jogging du Carreau du Temple, un événement festif qui mêle sports et danse contemporaine du 22 au 25 mai. Aujourd'hui, je reçois Pierre Rigal, danseur, chorégraphe et athlète.Pierre clôture le 25 mai le festival Jogging avec son Ballet Jogging interprété par plus de 80 coureurs dans La Halle du Carreau du Temple.Il y célèbre par ce dispositif gigantesque le goût du dépassement, le collectif, la poésie du mouvement. On l'écoute avec joie, Cet épisode a été réalisé en partenariat avec les équipes du Carreau du Temple.
On s'arrête sur un secteur en difficulté : on est passé symboliquement l'an dernier sous la barre des 10 millions de fenêtres posées dans le pays, selon l'enquête TBC Innovations. Le marché a perdu 9% en 2024, mais si on dézoome un peu on s'aperçoit que le secteur de la menuiserie extérieure est en chute depuis 2021...Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On s'arrête sur un secteur en difficulté : on est passé symboliquement l'an dernier sous la barre des 10 millions de fenêtres posées dans le pays, selon l'enquête TBC Innovations. Le marché a perdu 9% en 2024, mais si on dézoome un peu on s'aperçoit que le secteur de la menuiserie extérieure est en chute depuis 2021...Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 01:00:11 - Concert A l'Improviste avec le Trio Gésir - par : Anne Montaron - Dans "A l'Improviste" ce soir la musique entêtante du trio Gésir, invité lors d'une session live au Carreau du Temple en mars dernier. - réalisé par : Céline Parfenoff
durée : 01:00:53 - Concert Planète Ocora : Souffles de printemps (2/2) - par : Aliette de Laleu - Depuis plus de 20 ans, l'ensemble polyphonique La Mal Coiffée porte la langue et la culture occitane en chansons. Les musiciennes étaient sur la scène du Carreau du temple le 7 avril pour interpréter leur répertoire. - réalisé par : Max James
durée : 01:00:10 - Concert Planète Ocora : Souffles de printemps (1/2) - par : Aliette de Laleu - Pour cette première partie d'émission en public au Carreau du temple, la bandéoniste et flûtiste Ninon Valder nous transporte sur un air argentin tandis que l'ensemble Marani offre les plus beaux chants traditionnels polyphoniques de Géorgie. - réalisé par : Max James
durée : 01:27:48 - Cabaret 42e rue : "Broadway Rhapsody", "Pub Royal" et "Orgueil et Préjugés… ou presque" - par : Laurent Valière - Trois spectacles à découvrir ce printemps ! "Broadway Rhapsody", "Pub Royal" et "Orgueil et Préjugés… ou presque" sont au programme de 42e rue dans une émission en direct et en public du Carreau du Temple à Paris. - réalisé par : Olivier Guérin
Ep. 305 Our True Self Blossoms - Johanne Carreau, RScP From the Sunday Service at the Center for Spiritual Living in Redding on 3-30-25
Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Gauthier le Bret et ses invités débattent de la décision de l'Arcom sur la fermeture de C8.
durée : 01:00:51 - Concert Planète Ocora (2/2) : Les Mécanos - par : Aliette de Laleu - Pour cette seconde partie, l'ensemble Les Mécanos, venus de Saint Etienne, nous interprètent des chants traditionnels de cette région et des textes et compositions originales. - réalisé par : Max James
durée : 01:00:51 - Concert Planète Ocora (1/2) : CRAZE, Aàgut et Les Mécanos - par : Aliette de Laleu - Pour cette première partie, on entre dans la danse et la transe avec le musicien CRAZE et on danse au son des polyphonies d'Aàgut. - réalisé par : Max James
durée : 00:11:11 - L'Avant-scène - par : Aurélie Charon - Figure de proue de la culture ballroom en France, Lasseindra a contribué, en quelques années, à faire de Paris la capitale européenne du voguing. Elle prépare un "ball" au Carreau du Temple à Paris pour le Festival Everybody. - réalisation : Alexandre Fougeron - invités : Lasseindra Ninja Danseuse
Aujourd'hui, je reçois Lenio Kaklea, danseuse et chorégraphe. Par l'art de la danse, elle aime proposer des réflexions critiques sur la société. Avec 5 interprètes de la compagnie Bodhi Project, Lenio présente les 17 et 18 février, Chemical Joy, une pièce sur la jeunesse et ses contradictions, le tout sur une musique pop des années 2000. On l'écoute avec joie, Du 14 au 18 février, au Carreau du Temple, c'est le festival Everybody, le festival de tous les corps.
Aujourd'hui, je reçois Alice Davazoglou. Alice est trisomique, normale mais ordinaire. Elle est surtout danseuse, chorégraphe, dessinatrice et écrivaine. Les 17 et 18 février, au Carreau du Temple, Alice expose une sélection de dessins et présente avec 10 chorégraphes - ici interprètes pour elle - « Danser Ensemble », sa pièce qui célèbre l'inclusion par la danse. On l'écoute avec joie, Du 14 au 18 février, au Carreau du Temple, c'est le festival Everybody, le festival de tous les corps.
Aujourd'hui je reçois Nicolas Bellenchombre, fondateur du Cabaret de Dieppe : La Sirène à Barbe ! Quoi de mieux qu'un cabaret ouvert à tous pour traiter avec humour, magie et poésie, les questions du genre, des corps et des discriminations ? La Sirène à Barbe ! débarque à Paris les 14 et 15 février. On écoute Nicolas avec joie, Du 14 au 18 février, au Carreau du Temple, c'est le festival Everybody, le festival de tous les corps.
Aujourd'hui je reçois Josette Baïz, danseuse et chorégraphe de la compagnie et du groupe La Grenade. Pour Faits d'hiver, Josette adapte Ulysse de Jean-Claude Gallotta avec 17 interprètes âgés d'une dizaine d'années. Cette nouvelle lecture de la pièce de 1981 permet de redécouvrir la gestuelle inventive et espiègle du chorégraphe. Josette, qui a fait le choix d'installer sa compagnie dans les quartiers Nord de Marseille, et qui collabore quotidiennement avec des chorégraphes de renom, n'imaginait pas accomplir un tel chemin avec les enfants par la danse. On l'écoute avec joie,
durée : 01:28:59 - Cabaret 42e rue : Lambert Wilson chante Kurt Weill ; Colorature ; Les Mystères de Paris - par : Laurent Valière - En direct et en public du Carreau du Temple - réalisé par : Claire Lagarde
durée : 00:19:56 - Journal de 18h - La Fonderie de Bretagne en grand danger. Le seul repreneur potentiel de l'usine, qui emploie 310 salariés, vient de retirer son offre ce vendredi 20 décembre. - réalisation : Jean-François Braun, Brice Garcia
durée : 00:19:56 - Journal de 18h - La Fonderie de Bretagne en grand danger. Le seul repreneur potentiel de l'usine, qui emploie 310 salariés, vient de retirer son offre ce vendredi 20 décembre. - réalisation : Jean-François Braun, Brice Garcia
In today's episode, we're talking industrial automation with Kyle Ka - roo, who is an Enablement Manager for the Kepware team at PTC. Kyle is the “go-to” technical and commercial resource For Kepware's technology partners, international distributors, and North American resellers, Kyle Carreau is a go-to technical and commerical resource. In this episode of Talking Industrial Automation, you'll hear how he uses his decades of experience in Industrial automation -- a heavy focus on Industrial Networking and communications, SCADA/HMI software, and PLCs -- to excel in his role as enablement manager. P.S. The show is always looking for guests! You do need to be part of a company that is a CSIA member with a Gold profile or higher on the CSIA Industrial Exchange but other than that, you are welcome to join ths show. Contact Lisa Richter if you are interested. (You can find her on LinkedIn.)
Cela fait plusieurs années que nous souhaitions faire cet épisode avec Emilie Capman, fondatrice de Klin d'Oeil avec sa soeur Virginie. Enfin nous voilà ! Avec Klin d'oeil, depuis 2010, elles soutiennent, défendent et valorisent les petits créateurs. Dans leur boutique on retrouve de l'artisanat, du fait main, de la petite série, que ce soit de la déco, de la céramique, de la papeterie, des illustrations ou des accessoires… Et plus qu'un lieu, c'est un univers – coloré, joyeux -, une philosophe de vie, une grande famille même, des ateliers, pour apprendre, pour rencontrer, il y a même un café, et aussi plein d'évènements, des expos, des popup et bien sûr le marché de Noël Klin d'œil qui arrive bientôt : durant tout un WE (celui du 14 et 15 décembre) elles rassemblent 80 créateurs au Carreau du Temple. Et c'est de tout cela dont on va justement parler !Très bonne écouteSi ce podcast vous plait n'hésitez pas > à vous abonner pour ne pas rater les prochains épisodes> à mettre un commentaire ou 5 étoiles (sous la liste des épisodes, rubrique "Laissez un avis")> à suivre @decodeur__ sur Instagram et à partager l'épisode en Story par exemple > à découvrir plus de 150 épisodes déjà en ligne et les différents formats de l'émission> à parler de DECODEUR autour de vous, tout simplement...!Merci beaucoup
[PARTENAIRE] Et si, pour Noël, vous souffliez une idée lumineuse à vos proches
durée : 01:29:04 - Cabaret 42ème rue : Avant première ! les artistes des "Misérables" en concert - par : Laurent Valière - "Les Misérables" est de retour en France, au Théâtre du Châtelet : ses comédiens en dévoilent quelques airs en public et en direct du Carreau du Temple, avec les auteurs Claude-Michel Schönberg et Alain Boublil. A 13h, l'étoile de la comédie musicale : "A little night music" de Stephen Sondheim. - réalisé par : Olivier Guérin
durée : 01:29:04 - Cabaret 42ème rue : Avant première ! les artistes des "Misérables" en concert - par : Laurent Valière - "Les Misérables" est de retour en France, au Théâtre du Châtelet : ses comédiens en dévoilent quelques airs en public et en direct du Carreau du Temple, avec les auteurs Claude-Michel Schönberg et Alain Boublil. A 13h, l'étoile de la comédie musicale : "A little night music" de Stephen Sondheim. - réalisé par : Olivier Guérin
durée : 01:00:53 - " Fêtons les morts " (2/2) - par : Aliette de Laleu - Pour cette deuxième partie d'émission en public au Carreau du Temple autour de la mort, La Chica et Flèche Love nous emmènent dans leurs univers mystiques, à la frontière entre sorcellerie et rite de guérison. - réalisé par : Max James
durée : 01:00:08 - " Fêtons les morts " - par : Aliette de Laleu - L'artiste occitan Ernest Bergez, alias Sourdure, vient présenter en public au Carreau du temple son univers musical, entre traditions musicales du Massif Central, musiques électroniques, dotâr iranien et poésies contemporaines. - réalisé par : Max James
durée : 01:29:40 - Cabaret 42e rue : avec la troupe de Starmania - par : Laurent Valière - Les artistes du nouveau Starmania chantent les plus grandes comédies musicales en direct et en public du Carreau du Temple à Paris - réalisé par : Olivier Guérin
David Stevens visits a historic part of Paris that has been a celebrated example of a mixed-use space for centuries.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Aujourd'hui, je reçois Eric Lamoureux, chorégraphe. Avec Hela Fattoumi, il forme un duo d'artistes poétiques depuis plus de 35 ans, qui ne cesse de montrer par la danse la richesse de l'autre, la puissance de la dissemblance. Ensemble, ils dirigent Via Danse, le Centre Chorégraphique national de Bourgogne et de Franche Comté.
Aujourd'hui, je reçois Michaël Phelippeau, artiste chorégraphique. Il a choisi la danse comme espace de création pour rencontrer les autres et dresser des portraits chorégraphiques. Mickaël présente Majorettes avec le club historique des Major's girls de Montpellier les 28 et 29 juin au Carreau du Temple pour le festival Jogging. On l'écoute avec joie, Cette épisode a été réalisé en partenariat avec les équipes du Carreau. Le festival Jogging, c'est au Carreau du Temple, du 26 au 30 juin.
Aujourd'hui, je reçois Saido Lehlouh, chorégraphe, membre du collectif FAIR-E et de Bad Trip Crew, artiste associé au Théâtre de la Ville. Dans sa dernière pièce "Témoin", un ballet avec 20 danseurs interprètes emblématiques de la scène hip-hop, il clôture un cycle de créations initié avec "Apaches" et affirme pleinement les marqueurs de son écriture. Tour à tour curateur, performeur, breaker, danseur ou créateur, il raconte ses vies de danse en construction permanente et indissociables du hip-hop et du collectif. On l'écoute avec joie,
Aujourd'hui, je reçois Sandrina Martins, directrice générale du Carreau du Temple. Cet espace fête ses 10 ans le 18 mai. Pour cet anniversaire, les équipes ont imaginé une journée de rendez-vous joyeux et ouverts à tous. Sandrina revient pour l'occasion sur l'ADN de ce lieu, les enjeux d'une telle structure, ce qui guide sa programmation et la nécessité de mettre les corps, les identités, au cœur des réflexions. On l'écoute avec joie,
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