POPULARITY
durée : 01:02:15 - La Conversation littéraire - par : Mathias Énard - "La poésie accompagne la condition humaine", le grand poète Abdellatif Laâbi ouvre les portes de son univers poétique et explore l'imaginaire de la langue. Il interroge la fragilité de l'existence et son sens de la liberté. Puis, l'écrivain évoque son cheminement vers la traduction. - réalisation : Laure-Hélène Planchet, Camille Mati - invités : Abdellatif Laâbi Poète, écrivain et fondateur en 1966 de la revue "Souffles"
Art critic and journalist Kaelen Wilson-Goldie joins us for a sweeping look at the life, writing, and art of singular Lebanese author-artist Etel Adnan (1925-2021). Kaelin Wilson-Goldie's Etel Adnan is available from Lund Humphries.Adnan's Time, translated by Sarah Riggs, is available from Nightboat Books.The Beauty of Light, a collection of interviews with Laure Adler, is available from Nightboat Books in Ethan Mitchell's translation. It was initially published in French, as "La beauté de la lumière, entretiens," by Éditions de seuil, in 2022.An excerpt from Adnan's “Jebu” is available in the single issue of the magazine Tigris, hosted on ArabLit.Sitt Marie Rose is available in Georgina Kleege's English translation from the Post-Apollo Press.Adnan's essay “On Small Magazines,” where she writes of meeting Abdellatif Laâbi, is available on Bidoun.Adnan's “To Write in a Foreign Language” describes her journey with and through languages.All the images used in promotion of this episode are courtesy of the Sfeir-Semler Gallery. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
durée : 00:54:10 - La librairie francophone - par : Emmanuel Kherad - Ce samedi une émission spéciale en solidarité avec le Maroc. Nous avons invité les grands noms de la littérature marocaine, une librairie de Marrakech et l'artiste Abd Al Malik.
Avec douze écrivains de l'Anthologie Avec Anne Le Pape (violon) & Johanne Mathaly (violoncelle) Avec Anna Ayanoglou, Jean d'Amérique, Camille Bloomfield & Maïss Alrim Karfou, Cyril Dion, Pierre Guénard, Lisette Lombé, Antoine Mouton, Arthur Navellou, Suzanne Rault-Balet, Jacques Rebotier, Stéphanie Vovor, Laurence Vielle. Cette anthologie du Printemps des Poètes 2023 proposent 111 poètes contemporains et des textes pour la plupart inédits. La plus jeune a 20 ans à peine, le plus âgé était centenaire. Tous partagent notre quotidien autour de la thématique corrosive des frontières. Leurs écrits sont d'une diversité et d'une richesse stimulantes. Ils offrent un large panorama de la poésie de notre époque. Avec notamment des textes de Dominique Ané, Olivier Barbarant, Rim Battal, Tahar Ben Jelloun, Zéno Bianu, William Cliff, Cécile Coulon, Charlélie Couture, Jean D'amérique, Michel Deguy, Pauline Delabroy-Allard, Guy Goffette, Michelle Grangaud, Simon Johannin, Charles Juliet, Abdellatif Laâbi, Hervé Le Tellier, Jean Portante, Jacques Roubaud, Eugène Savitzkaya, Laura Vazquez, Jean-Pierre Verheggen, Antoine Wauters… Mesure du temps La fenêtre qui donne sur les quais n'arrête pas le cours de l'eau pas plus que la lumière n'arrête la main qui ferme les rideaux Tout juste si parfois du mur un peu de plâtre se détache un pétale touche le guéridon Il arrive aussi qu'un homme laisse tomber son corps sans réveiller personne Guy Goffette – Ces mots traversent les frontières, 111 poètes d'aujourd'hui
Salut à vous, Voici un petit livre important qui vient de paraître chez Points / Poésie : une Anthologie de la poésie palestinienne d'aujourd'hui. Elle regroupe vingt-six poètes et poétesses (à parts égales) qui ont entre 48 et 24 ans. Éparpillés aux quatre coins du monde, on retrouve "un état d'esprit commun à presque tous les intervenants ici représentés" comme le souligne Abdellatif Laâbi (qui a traduit les poèmes de l'arabe) dans sa préface. J'ai choisi de vous lire deux textes, le premier de Maya Abu al-Hayyat, née en 1980 au Liban, elle est poétesse, romancière et traductrice. Elle vit entre Ramallah et Jérusalem-Est. Le second texte est signé Tarik Hamdan, né en 1983, il vit en France depuis une dizaine d'années. Bonne écoute ! Retrouvez tous les épisodes de Mort à La Poésie sur : https://addict-culture.com/mort-a-la-poesie/
Lecture bilingue par Yassin Adnan, Ghada Khalil, Abdellatif Laâbi & Jocelyne Laâbi accompagnée de Lola Malique (violoncelle) & Shao-Wei Chou (flûte) Cette anthologie pose un acte fort : réunir les plumes les plus prometteuses de la nouvelle poésie palestinienne, rompre le silence en redonnant une voix à celles et ceux qui vivent aujourd'hui dans la pénombre de l'impasse, presque invisibles, en tout cas inaudibles. S'y révèle un champ poétique entièrement renouvelé, espace sans limites où tout est encore possible : écrire, aimer, rêver, voyager loin, penser librement. « Jamais auparavant nous n'avions eu, venant de l'aire culturelle à laquelle ces femmes et hommes appartiennent, une poésie s'inscrivant avec autant de naturel dans ce qui se fait de plus pertinent, de plus percutant en matière de poésie contemporaine. » Abdellatif Laâbi À lire – Anthologie de la poésie palestinienne d'aujourd'hui, choisis et traduits de l'arabe par Abdellatif Laâbi, poèmes réunis par Yassin Adnan, Points Poésie, 2022.
The 30th parallel north links several countries represented in the PTC archive, Mexico, Morocco, Israel, Iraq, Iran, Afghanistan Pakistan, India and China even glancing off the far south of the Japanese archipelago, sweeping between Tanega-shima and Sumanose-Jima, while totally avoiding Europe. Just like the PTC. So to close up 2021 this podcast is a poetry collection of the 30th parallel north, featuring poems from the PTC audio archive, including: Entropy in Wiesbaden by David Huerta From Mexico, In Vain I Migrate by Abdellatif Laâbi from Morocco, The Boat That Brought Me by Azita Ghahreman from Iran Kabul by Shakila Azizzada & Stay by Yu Yoyo These poems are literally from around the world, points on a line that encircles the globe but the texts themselves shrug off such simple plotting, we will hear a Mexican reflecting on a German City, an Iranian arriving in Sweden, a Moroccan in lifelong exile, a Chinese poet dreaming of betrayal in Vietnam, and Kabul remembered from afar by a poet living in the Netherlands. This all reminds us that people, and poems for that matter, are not static pin drops on a map. People move about, meanings migrate, homes are lost and found. So to round out the year, a year with less travel and exploration than maybe we would have all liked, 5 poems from the 30th parallel north.
Invités: Felwine Sarr et Stéphane Pétermann - Felwine Sarr pour « La saveur des derniers mètres » aux éditions Philippe Rey - Stéphane Pétermann pour « Lignes de crêtes » aux éditions Noir sur Blanc - Le livre de l'année pour les libraires indépendants de France et du Canada avec David Foenkinos pour « La famille Martin », Abdellatif Laäbi pour « Ce que poète désire » et Coco pour « Dessiner encore ». Présentation : Emmanuel KHERAD
Felwine Sarr pour "La saveur des derniers mètres" aux éditions Philippe Rey Stéphane Pétermann pour "Lignes de crêtes" aux éditions Noir sur Blanc Le livre de lʹannée pour les libraires indépendants de France et du Canada avec David Foenkinos pour "La famille Martin", Abdellatif Laäbi pour "Ce que poète désire" et Coco pour "Dessiner encore".
This week we are looking at the work of Abdellatif Laâbi, who is widely acknowledged to be Morocco's greatest living poet. This week the PTC publishes My Mother's Language featuring a selection of Laâbi's poems originally written in French with translations into English by the noted Poet and translator André Naffis-Sahely, who has just become the editor of Poetry London Magazine. In his introduction to My Mother's Language Naffis-Sahely details Abdellatif Laâbi's biography, living through the end of French rule in Moroccan, then the oppressive 'Years Of Lead' that saw many dissidents and intellectuals imprisoned or disappeared. Laâbi himself was imprisoned for 8 years between 1972 and 1980, during his captivity he was tortured and deprived of medical care. Five years after his release Laabi moved to France, where he continues to live. This week's poems are 'My Mother's Language', which lends its title to the new collection and 'The Earth Opens and Welcomes You' the last poem in the collection. To get your copy of My Mother's Language, with an afterword by Yousif M. Qasmiyeh, directly from the PTC online store, for just £7 + P&P, head to poetrytranslation.org/shop.
durée : 00:54:17 - La Librairie francophone - par : Emmanuel Kherad - Aujourd’hui une émission spéciale à l’occasion de la Journée Internationale de la langue française et de la francophonie en ce week-end du 20mars.Un plateau prestigieux dans la diversité, voici le sommaire de cette édition
Salut à vous, Aujourd'hui je vous parle d'un livre qui m'a énormément bouleversé en 2013 lorsque je l'ai découvert, et qui me file encore aujourd'hui de grands frissons. Il s'agit de La joie n'est pas mon métier de Mohamed al-Maghout, poète syrien né en 1934 et décédé en 2006. Il est considéré comme l'un des plus grands poètes de langue arabe du XXe siècle. Il était également romancier, dramaturge et scénariste pour la télévision et le cinéma. Dans sa préface à l'édition de 2013 (dans la formidable collection "Orphée" de La Différence), le poète Abdellatif Laâbi, qui signe également la traduction, écrit que "la poésie d'al-Maghout s'est révélée prophétique". C'est peu de le dire. Bonne écoute !Retrouvez tous les épisodes de Mort à La Poésie sur : https://addict-culture.com/mort-a-la-poesie/
This week’s poem is by Abdellatif Laabi from Morocco. The poem is read first in English translation by Andre Naffis-Sahely and then in French by Abdellatif. The prize-winning Moroccan poet, Abdellatif Laâbi, is widely acknowledged as being one of the most important poets writing today. Laâbi was born in Fez in 1942. He began writing in the mid-1960s, publishing his first novel in 1969. In 1966 he founded the renowned literary magazine Souffles, a journal of literature and politics that was to earn its editor an eight-year prison sentence (from 1972 to 1981) under the authoritarian reign of Hassan II. Once released from jail, Laâbi left Morocco in 1985 and has lived in Paris ever since. This is part of our rebranded weekly release: the Dual Poetry Podcast, one poem in two languages from the Poetry Translation Centre. As ever we will be releasing a translated poem each week. Please take a moment to rate and review this podcast on iTunes or wherever you download.
Abdellatif Laâbi is a leading Moroccan poet who writes in French. In 1966 he helped found the important artistic journal 'Souffles', in 1972 the journal was banned and in 1974 Laâbi was imprisoned for 8 years for "crimes of opinion" for his political beliefs and his writings. After his release in 1985, he moved to France where he still lives in exile. His work was translated for the PTC by André Naffis-Sahely, who recently edited 'The Heart of a Stranger' an anthology of exile literature for Pushkin Press: www.pushkinpress.com/product/the-he…of-a-stranger/ The dual-language chapbook introducing the poetry of Abdellatif Laâbi, translated by André Naffis-Sahely can be brought from the PTC website: www.poetrytranslation.org/shop/abdella…abi-chapbook This is part of our weekly the Dual Poetry Podcast, one poem in two languages from the Poetry Translation Centre. As ever we will be releasing a translated poem each week. Please take a moment to rate and review this podcast on iTunes or wherever you download.
durée : 00:03:33 - Jacques Bonnaffé lit la poésie - par : Jacques Bonnaffé - Il fallait/il faudra revenir à Abdellatif Laâbi, comment il fut témoin d’évolutions durement acquises, des audaces du combat. Contre l’obscurité des murs et ce qu’il sait de la soif des mots. - réalisé par : Manoushak Fashahi
iTunes: https://itunes.apple.com/fr/podcast/le-journal-401/id1436874011?mt=2 Aujourd’hui je reçois une journaliste, intellectuelle, critique littéraire et fondatrice de la maison d’édition « En toutes lettres » à Casablanca. Après des études à La Sorbonne, elle a obtenu une bourse de 6 mois pour sa thèse au Maroc et n’a finalement pas plié bagages depuis maintenant 15 ans. Amoureuse de littérature et de grands esprits tels qu’Abdellatif Laâbi, Abraham Serfaty ou encore Mostafa Nissabouri, elle fait son doctorat sur la revue marocaine Souffles publiée de 1966 à 1973, intitulé « Espoirs de révolution culturelle au Maroc ». Après avoir travaillé au sein du Journal Hebdomadaire, elle fonde sa maison d’édition en 2012 avec son mari Hicham Houdaïfa. Le but étant de mettre en avant la publication d’essais d’écrivains, de chercheurs et de journalistes avec au palmarès plusieurs livres primés. Notamment « Extrémisme religieux » d’Hicham Houdaïfa prix spécial du jury 2017, « Islam et Femmes : Les questions qui fâchent » d’Asma Lamrabet, ou encore « Le métier d’intellectuel » de Fadma Aït Mouis et Driss Ksikès primé en 2015. Justement, durant cet échange on parle de son parcours de journaliste, de critique littéraire, de son engagement dans la culture, du pouvoir des livres et de la liberté d’expression. Mais on évoque aussi la difficulté de mener son travail efficacement et librement dans une société intellectuellement malade qui ne valorise pas, ni n’investit dans ses cerveaux. Soundtrack credits: The Blaze - Territory Etienne Chaumet - The Cheik Arrives Fadoul - Bslama Habibti
The prize-winning Moroccan poet, Abdellatif Laâbi, is widely acknowledged as being one of the most important poets writing today. Laâbi was born in Fez in 1942. He began writing in the mid-1960s, publishing his first novel in 1969. In 1966 he founded the renowned literary magazine Souffles, a journal of literature and politics that was to earn its editor an eight-year prison sentence (from 1972 to 1981) under the authoritarian reign of Hassan II. Once released from jail, Laâbi left Morocco in 1985 and has lived in Paris ever since. If you enjoy this podcast and would like to support the work of the Poetry Translation Centre then please visit poetrytranslation.org/support-us
Rencontre avec le poète et écrivain marocain.
Conférence de Abdellatif Laâbi, écrivain, poète et traducteur, Prix Goncourt de la poésie en 2009, Prix de la Francophonie de l'Académie Française en 2011. Durant la 33e édition de la fête du livre organisée à Saint-Paul-Trois-Châteaux, Abdellatif Laâbi répond aux questions de Danielle Maurel et Katy Feinstein.
Peut-on encore désirer quand le sein est touché ? Le cancer du sein touche 50 000 femmes en France chaque année. 1 femme sur 8 sera un jour concernée. Cette maladie a cette particularité qu’en plus de poser un diagnostique au risque mortel, elle touche directement à cet organe féminin par excellence. “Couvrez ce sein que ne saurais voir”, disait Tartuffe en flagrant délit de tartufferie. “Par de pareils objets les âmes sont blessées, Et cela fait venir de coupables pensées.” Symbole de féminité, de sensualité, il est aussi nourricier et donc l’expression de notre capacité maternelle. Bref, le sein est certainement ce qui représente le plus la femme. Alors quand il est touché… Quand il devient l’objet de mort… Quand il est enlevé, ôté, découpé. Quand parfois il est reconstruit. Tout au long de ce parcours où il est plus que jamais question de vie et de mort, quelle place pour la sexualité ? Pour la libido – force de vie par définition ? Comment aimer ce corps qui fait tant de mal ? Ce corps qui n’est plus tout à fait le sien ? Et de nouveau, désirer ? Avec : Joe, Cécile MARTIN et Claire ALQUIER (#CCFSuper8). Invitées : Roseline Coridian, psychologue dans un service d’oncologie à Paris et psychanalyste Aurélie : 37 ans, un cancer du sein en 2013 Marie : 41 ans, un cancer du sein en 2012 ECOUTER L’EMISSION Références : Culture Q : La collection Sans Tabou chez Hachette où comment (re)découvrir les classiques de la BD érotique. La lecture qui fait du bien : Abdellatif Laâbi, extraits de “Les Écroulements” et “Les Fruits du corps” Merci à Rachel pour ses dessins. Découvrez ses papiers peints érotiques sur Erosticks ! Pour aller plus loin… Musiques : Imany – The Good, the Bad and the Crazy Bashung, Bruxelles
Dans une déclaration à la MAP, l'écrivain marocain Abdelouahad Zaâri Jabiri a souligné que son ouvrage "L'euphorie du partage, dialogue entre la plume et le pinceau", qu'il a présenté samedi soir à Rabat, est un hommage et une reconnaissance aux auteurs marocains, des figures pionnières de la littérature et de l'art comme Ahmed Sefrioui, Tahar Benjelloun, Abdellatif Laâbi et Mohamed Chokri.