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Après la première journée de cette Coupe d'Afrique des Nations, premier petit bilan avec les grosses nations qui ont toutes répondu présentes. Le niveau global de cette CAN est-il le meilleur ? Est-ce la CAN la plus relevée de l'histoire et la plus difficile à gagner ? Va-t-on avoir une phase finale épique ? Le Maroc joue son deuxième match aujourd'hui face au Mali, sans Romain Saïss, blessé lors du match d'ouverture. Qui doit accompagner Aguerd en défense centrale ? Ce secteur est-il le talon d'Achille des Lions de l'Atlas ? Trouvez-vous Walid Regragui tendu concernant la disponibilité de ses hommes ?
Debrief Maroc - Mali (1-1), deuxième journée de la Coupe d'Afrique des Nations 2025. Le Maroc concède le match nul face aux Maliens et manque l'occasion de se qualifier pour les huitièmes de finale de la Coupe d'Afrique.
Avant de parler de la Coupe d'Afrique des nations, les journaux s'intéressent aussi au renouvellement du mandat de la Monusco. Ce week-end, les Nations unies ont renouvelé, pour un an, le mandat de leur mission en République démocratique du Congo. Et ce alors même que « la mission onusienne avait amorcé un processus de désengagement, notamment au Sud-Kivu, après plus de deux décennies de présence sur le sol congolais », rappelle Le Potentiel en RDC. Mais le contexte sécuritaire aura eu raison de cette volonté : la situation est « particulièrement préoccupant[e] », rappelle actualite.cd, en raison des affrontements dans l'est du pays. « La rébellion de l'AFC/M23, soutenue par le Rwanda, occupe de vastes zones dans les territoires de Rutshuru, Nyiragongo, Masisi, Lubero et Walikale », pointe ainsi le titre. Conclusion : une « aggravation » des crises humanitaire et sécuritaire. Mais après plus de 20 ans de mandats successifs, le média burkinabè Le Pays s'interroge : « Que peut-on encore attendre de cette mission onusienne ? (…) À quoi servira ce renouvellement de mandat ? » Le quotidien est circonspect, même s'il admet que ce n'est pas entièrement la faute de la Monusco. Celle-ci aurait bien besoin, pour agir, « d'un mandat robuste, comme ce fut le cas en 2013 », ce qui lui avait à l'époque permis « de mettre le M23 en déroute », se remémore Le Pays. Tout de même, le journal accorde au moins un mérite à la Monusco : celui de pouvoir être « une force tampon » et d'être « mise à contribution dans le cadre de la sécurisation des populations ». Le Maroc et la CAN en étendard Les journaux marocains ne sont pas peu fiers que leur pays héberge la compétition. Ainsi de L'Opinion, qui s'enorgueillit que « le nom du Maroc [soit] devenu un véritable label d'excellence dans le monde très concurrentiel du football ». Le 360 se gargarise de la même manière de cette « organisation grandiose » et de « la ferveur déjà palpable dans chaque ville, chaque rue, chaque café ». Accueillir la compétition est autant une preuve des mérites du Maroc qu'une occasion d'éblouir encore un peu plus le monde entier, « une opportunité majeure, de doper davantage ce soft power en présentant (…) au monde entier notre meilleur visage », poursuit l'Opinion. H24 Info ne s'y trompe pas non plus : sur le terrain comme ailleurs, le pays « n'a pas le droit à l'erreur » ; le sélectionneur Walid Regragui fait face à « une énorme pression » tandis que le président de la Fédération royale marocaine de football « doit rendre une copie parfaite du point de vue de l'organisation ». Le Royaume a donc mis les petits plats dans les grands. Le Monde Afrique parle même de « moyens hors norme ». Quitte parfois à s'attirer les foudres de la société civile. Car le dispositif impliquant « surveillance avec drones, caméras avec systèmes de reconnaissance faciale, commissariats à l'intérieur des enceintes sportives » est regardé d'un mauvais œil, quelques semaines après le mouvement Gen Z 212 qui a vu des dizaines de milliers de jeunes manifester pour réclamer un meilleur accès aux soins ou au logement. Une vitrine au-delà de la CAN Dans quatre ans, le royaume chérifien remet le couvert avec cette fois la Coupe du monde, co-organisée avec l'Espagne et le Portugal. Ce qui fait du Maroc, rappelle H24 Info, le « deuxième pays africain à accueillir une Coupe du monde, 20 ans après l'Afrique du Sud ». La Coupe d'Afrique des nations a donc des airs de « répétition générale », pour faire du pays « une vitrine internationale », abonde L'Économiste. C'est d'ailleurs pour cela, rappelle Le Monde Afrique, que Rabat a investi l'équivalent de près de deux milliards d'euros dans « ses infrastructures hôtelières, aéroportuaires, routières et sportives » et dans la rénovation de ses stades. Puis il est aussi question, bien sûr, de soft power. Ici, le ballon rond est surtout un prétexte pour « renforcer l'influence économique et diplomatique du royaume sur la scène internationale, et pas seulement en Afrique ». Dans cette perspective, chaque Marocain est rien de moins qu'un « ambassadeur de son pays », estime L'Opinion. Pour reprendre les mots de Walid Regragui : « remporter la CAN n'est pas un choix », c'est « une obligation ».
Le nouveau podcast football du FC Copains
La 35e Coupe d'Afrique des Nations est lancée ! À domicile, le Maroc a réussi son entrée en battant les Comores (2-0) à Rabat. Tout n'a toutefois pas été parfait pour les Lions de l'Atlas, qui ont par ailleurs perdu leur capitaine Romain Saïss, sorti sur blessure en première mi-temps.
Avant de parler de la Coupe d'Afrique des nations, les journaux s'intéressent aussi au renouvellement du mandat de la Monusco. Ce week-end, les Nations unies ont renouvelé, pour un an, le mandat de leur mission en République démocratique du Congo. Et ce alors même que « la mission onusienne avait amorcé un processus de désengagement, notamment au Sud-Kivu, après plus de deux décennies de présence sur le sol congolais », rappelle Le Potentiel en RDC. Mais le contexte sécuritaire aura eu raison de cette volonté : la situation est « particulièrement préoccupant[e] », rappelle actualite.cd, en raison des affrontements dans l'est du pays. « La rébellion de l'AFC/M23, soutenue par le Rwanda, occupe de vastes zones dans les territoires de Rutshuru, Nyiragongo, Masisi, Lubero et Walikale », pointe ainsi le titre. Conclusion : une « aggravation » des crises humanitaire et sécuritaire. Mais après plus de 20 ans de mandats successifs, le média burkinabè Le Pays s'interroge : « Que peut-on encore attendre de cette mission onusienne ? (…) À quoi servira ce renouvellement de mandat ? » Le quotidien est circonspect, même s'il admet que ce n'est pas entièrement la faute de la Monusco. Celle-ci aurait bien besoin, pour agir, « d'un mandat robuste, comme ce fut le cas en 2013 », ce qui lui avait à l'époque permis « de mettre le M23 en déroute », se remémore Le Pays. Tout de même, le journal accorde au moins un mérite à la Monusco : celui de pouvoir être « une force tampon » et d'être « mise à contribution dans le cadre de la sécurisation des populations ». Le Maroc et la CAN en étendard Les journaux marocains ne sont pas peu fiers que leur pays héberge la compétition. Ainsi de L'Opinion, qui s'enorgueillit que « le nom du Maroc [soit] devenu un véritable label d'excellence dans le monde très concurrentiel du football ». Le 360 se gargarise de la même manière de cette « organisation grandiose » et de « la ferveur déjà palpable dans chaque ville, chaque rue, chaque café ». Accueillir la compétition est autant une preuve des mérites du Maroc qu'une occasion d'éblouir encore un peu plus le monde entier, « une opportunité majeure, de doper davantage ce soft power en présentant (…) au monde entier notre meilleur visage », poursuit l'Opinion. H24 Info ne s'y trompe pas non plus : sur le terrain comme ailleurs, le pays « n'a pas le droit à l'erreur » ; le sélectionneur Walid Regragui fait face à « une énorme pression » tandis que le président de la Fédération royale marocaine de football « doit rendre une copie parfaite du point de vue de l'organisation ». Le Royaume a donc mis les petits plats dans les grands. Le Monde Afrique parle même de « moyens hors norme ». Quitte parfois à s'attirer les foudres de la société civile. Car le dispositif impliquant « surveillance avec drones, caméras avec systèmes de reconnaissance faciale, commissariats à l'intérieur des enceintes sportives » est regardé d'un mauvais œil, quelques semaines après le mouvement Gen Z 212 qui a vu des dizaines de milliers de jeunes manifester pour réclamer un meilleur accès aux soins ou au logement. Une vitrine au-delà de la CAN Dans quatre ans, le royaume chérifien remet le couvert avec cette fois la Coupe du monde, co-organisée avec l'Espagne et le Portugal. Ce qui fait du Maroc, rappelle H24 Info, le « deuxième pays africain à accueillir une Coupe du monde, 20 ans après l'Afrique du Sud ». La Coupe d'Afrique des nations a donc des airs de « répétition générale », pour faire du pays « une vitrine internationale », abonde L'Économiste. C'est d'ailleurs pour cela, rappelle Le Monde Afrique, que Rabat a investi l'équivalent de près de deux milliards d'euros dans « ses infrastructures hôtelières, aéroportuaires, routières et sportives » et dans la rénovation de ses stades. Puis il est aussi question, bien sûr, de soft power. Ici, le ballon rond est surtout un prétexte pour « renforcer l'influence économique et diplomatique du royaume sur la scène internationale, et pas seulement en Afrique ». Dans cette perspective, chaque Marocain est rien de moins qu'un « ambassadeur de son pays », estime L'Opinion. Pour reprendre les mots de Walid Regragui : « remporter la CAN n'est pas un choix », c'est « une obligation ».
Sur le buzzer c'est le dernier débat des GG du Sport ! Pile à temps pour s'écharper une dernière fois lors de l'émission…
Le Maroc lance sa Coupe d'Afrique des Nations à Rabat face aux Comores avec un objectif : la victoire finale ! Après une demi-finale perdue à la Coupe du Monde 2022 face à la France et une CAN 2023 frustrante, le Maroc de Walid Regragui et Achraf Hakimi est l'immense favori pour remporter sa première CAN depuis 1976. A domicile, les coéquipiers du Marseillais Nayef Aguerd voudront parfaitement lancer leur aventure face à la modeste équipe des Comores. Le Maroc va-t-il remporter la CAN ? Débats dans le premier MAG de la CAN 2025.
Debrief Maroc - Comores (2-0), première journée de la Coupe d'Afrique des Nations 2025. Le Maroc lance sa CAN 2025 grâce à sa victoire face aux Comores et un but sensationnel de El Kaabi.
Le nouveau show animé par Marion Bartoli prend place chaque dimanche à 19h ! Aux côtés de Jean-Christophe Drouet, elle vient tirer le bilan de toute l'actualité sportive du week-end, sur un ton franc et direct !
À quelques heures du coup d'envoi, Mondial Sports fait grimper la température du côté de Rabat ! Le Maroc et les Comores ouvrent le bal ! En compagnie de nos envoyés spéciaux et de nos consultants, nous vous livrons les clés du match d'ouverture de la nouvelle Coupe d'Afrique des nations. Les Cœlacanthes peuvent-ils gâcher la fête marocaine et jouer un mauvais tour aux Lions de l'Atlas ? À l'inverse, les hommes de Walid Regragui vont-ils être à la hauteur des attentes (immenses) qui pèsent sur leurs épaules ? Rendez-vous dans Mondial Sports, avec notamment Joseph-Antoine Bell dans les travées du Stade Prince Moulay Abdallah, pour lancer la CAN comme il se doit ! L'audio de l'émission sera accessible dans la page à partir de dimanche 18H05.
C'est le grand jour : la Coupe d'Afrique des Nations 2025 s'ouvre au Maroc. Grand favori pour le trophée à domicile, le pays hôte dispute son premier match contre les Comores à Rabat.
Nous mettons le cap au nord-ouest, au Maroc, pour parler social et politique. La jeunesse marocaine a donné de la voix en cette année 2025 qui s'achève. Dans les rues du Royaume, un mouvement Génération Z, comme il y en a eu à Madagascar, au Népal ou en Indonésie... En seconde partie, une zone peu fréquentée de notre planète, le désert, la chaleur, les immensités, nous serons dans le sud du Sahara, dans le nord du Tchad, face à des trésors, les peintures rupestres... GenZ 212 au Maroc : «Ils ont semé la peur en nous» Le Maroc a connu en 2025 une nouvelle vague de protestation populaire. Protestation portée par la Gen Z 212. 212 pour l'indicatif téléphonique du Maroc. La mobilisation 2025 s'inscrit après celle du 20 février en 2011, et le mouvement populaire du Rif en 2016-2017. Ces jeunes de 18 à 25 ans très connectés, inspirés par les manifestations au Népal, à Madagascar ou en Indonésie, ont clamé leur refus de la corruption, et exiger une amélioration des services publics, comme la santé et l'éducation. Sans affiliation politique ou syndicale, ils ont fini par exiger la démission du gouvernement, mais sans succès. Aujourd'hui, ils dénoncent la répression qui s'est abattue sur eux. 1 473 jeunes sont toujours en prison, dont 330 mineurs selon les chiffres officiels. Un Grand reportage de François Hume-Ferkatadji qui s'entretient avec Jacques Allix. Tchad : les derniers secrets du Sahara Le sud du Sahara : il abrite l'un des plus importants potentiels archéologiques d'Afrique. Dans le massif de l'Ennedi tout au nord du Tchad. Le paysage est époustouflant : cathédrales rocheuses, steppes de cailloutis et dunes... Mais au-dessous des cavités, foisonnent des peintures rupestres. Elles racontent l'histoire d'un Sahara Vert et humide, doté d'une belle population animale. C'était il y a entre 5 et 10 000 ans avant notre ère. L'intérêt pour cette époque est ravivé par l'actuel changement climatique et les questions sur la capacité de l'homme à s'adapter. L'ONG African Parks et le gouvernement tchadien tentent de préserver et décrypter ce patrimoine. Un Grand reportage de Carol Valade qui s'entretient avec Jacques Allix. Réalisation : Pauline Leduc. Avec la participation de Joris Bolomey et le soutien logistique d'African Parks.
Le Maroc est un pays de football et, dans le royaume, on aime regarder les matchs avec d'autres supporters. Les cafés et les bars s'attendent aujourd'hui à une affluence record. À quelques heures de l'ouverture de la CAN, c'est le temps des derniers préparatifs. Reportage dans l'un des lieux emblématiques du centre de Casablanca. Au Guérin, une brasserie centenaire, on regarde les matchs de la CAN depuis toujours. De notre correspondant à Casablanca, Un immense comptoir qui fait toute la longueur de la salle et quelques tables. Chez Mme Guérin, ce n'est pas très grand. 79 printemps et 35 CAN, Hamid Sebbar est un fidèle client. Il vient ici depuis 55 ans. « Ce café, il existe depuis les années 1920. Il y avait beaucoup de sportifs qui regardaient des matchs à la télévision, il y avait beaucoup de monde. C'était un endroit agréable pour eux », précise-t-il. Avec son chapeau en tweed et son écharpe bleue, Hamid cultive une élégance surannée. « Il y avait un autre groupe, des gens cultivés : des poètes, des écrivains, etc. Ils fréquentaient ce café. Je voyais des gens regarder des matchs ici avec folie. Ils adoraient tous le football », poursuit-il. Qu'importe la Coupe, qu'importe le championnat, chez Madame Guérin, il y a toujours un match qui est diffusé. « Avant, c'était des télévisions en noir et blanc. Avant, ça n'était que la radio. Après, maintenant, on parle de 4K, des écrans de 75 pouces, trois écrans. Cela veut dire que, où que tu t'installes à Guérin, tu peux voir le match tranquillement. Il y a des télés partout. Il y a une sonorisation adaptée au match », explique Hamid Sebbar. À lire aussiCAN 2025 : le Maroc, nouvel Eldorado du foot ! Et voici Madame Guérin, alias Youssef Abbassi, c'est le nouveau gérant. Il a repris l'endroit, il y a trois ans. « Il y a plusieurs générations qui ont géré cet endroit emblématique. Pour moi, Guérin, c'est une famille », affirme-t-il. Une famille qui va se réunir encore une fois pour assister ensemble à la CAN. Youssef espère que ces retrouvailles seront grandioses. « La vérité, je ne peux pas me prononcer sur le gagnant, mais j'aimerais bien que cela soit le Maroc. C'est le but, que l'on célèbre ici notre trophée à domicile, à Guérin. Ça serait vraiment génial », s'exclame Youssef Abbassi. Le mot de la fin pour Hamid Sebbar : « Tout le monde attend que l'équipe marocaine crée la surprise cette année. Nous avons beaucoup d'espoir de gagner cette Coupe cette année, chez nous. » Et comme à chaque CAN, depuis la première, chez Madame Guérin, on va scruter, analyser, décortiquer le football. Il y aura de la joie ou bien de la déception. De la matière en tout cas pour écrire une nouvelle ligne de l'histoire de ce lieu liée au foot marocain. À lire aussiMaroc: à la médina de Rabat, les supporters s'affichent prêts pour le début de la CAN
Mondial Sports est en direct de Rabat, à la veille du coup d'envoi de la Coupe d'Afrique des nations. Focus sur le pays hôte de la compétition. Le Maroc est réputé pour son hospitalité, mais s'il accueille la CAN, c'est bien pour la gagner ! Il faut dire que sur le terrain comme en dehors, le royaume chérifien ne laisse plus grand-chose à la concurrence. CHAN, finale de CAN féminine, Coupe du monde des moins de 20 ans, Coupe arabe de la FIFA, il y a quelques jours à peine... La liste des récents succès marocains n'est pas exhaustive. Le seul pays africain à avoir atteint le dernier carré d'une Coupe du monde (la vraie) a mis les moyens pour jouer dans la cour des grands. Le Maroc se montre également capable d'être un pays hôte de premier plan : deux Coupes d'Afrique des Nations rien qu'en 2025 (féminine puis masculine) et une Coupe du monde (en compagnie de l'Espagne et du Portugal) dans 5 ans. Rien que ça ! Anatomie d'une ascension spectaculaire, qui devra se confirmer sur le terrain cet hiver, avec Joseph-Antoine Bell, notre consultant de luxe, mais aussi Karim Baldé et Matthias Raynal, correspondant de RFI à Rabat ! L'audio de l'émission sera accessible dans la page à partir de samedi 18H05.
Au sommaire du Café des Sports : - CAN 2025 au Maroc : Yalla ! ; - Joueur de CAN : Arsène Kouassi ; - Real Madrid – FC Séville ; - Et pour finir : les Cartons ! CAN 2025 au Maroc : Yalla ! J-2 avant le coup d'envoi ! Une CAN annoncée comme royale, spectaculaire, historique. Mais jouer à domicile, est-ce un avantage ?… ou une pression maximale pour les Lions de l'Atlas ? Une compétition royale. Le Maroc peut-il assumer son nouveau statut de favori ? Joueur de CAN : Arsène Kouassi Grande première sur la scène continentale pour le jeune Étalon. Peut-il s'imposer et marquer cette CAN de son empreinte ? Interview réalisée par Baptiste Leduc. Real Madrid – FC Séville Soir de Liga au Bernabéu ce samedi (20 décembre 2025) ! Xabi Alonso passera-t-il les fêtes sur le banc madrilène ? Record en jeu pour Kylian Mbappé : le crack français peut-il dépasser Cristiano Ronaldo et ses 59 buts sur une année civile ? Et pour finir : les Cartons ! Vos cartons vidéo, ceux des consultants : ça applaudit ou ça sanctionne ! Qui mérite le rouge ? Qui mérite l'ovation ? Autour d'Annie Gasnier : - Consultants : Xavier Barret, Rémy Ngono et Youssouf Mulumbu, ancien capitaine des Léopards - Chef d'édition : David Fintzel - TCR audio : Laurent Salerno - Réalisation vidéo : Souheil Khedir et Yann Bourdelas.
Au sommaire du Café des Sports : - CAN 2025 au Maroc : Yalla ! ; - Joueur de CAN : Arsène Kouassi ; - Real Madrid – FC Séville ; - Et pour finir : les Cartons ! CAN 2025 au Maroc : Yalla ! J-2 avant le coup d'envoi ! Une CAN annoncée comme royale, spectaculaire, historique. Mais jouer à domicile, est-ce un avantage ?… ou une pression maximale pour les Lions de l'Atlas ? Une compétition royale. Le Maroc peut-il assumer son nouveau statut de favori ? Joueur de CAN : Arsène Kouassi Grande première sur la scène continentale pour le jeune Étalon. Peut-il s'imposer et marquer cette CAN de son empreinte ? Interview réalisée par Baptiste Leduc. Real Madrid – FC Séville Soir de Liga au Bernabéu ce samedi (20 décembre 2025) ! Xabi Alonso passera-t-il les fêtes sur le banc madrilène ? Record en jeu pour Kylian Mbappé : le crack français peut-il dépasser Cristiano Ronaldo et ses 59 buts sur une année civile ? Et pour finir : les Cartons ! Vos cartons vidéo, ceux des consultants : ça applaudit ou ça sanctionne ! Qui mérite le rouge ? Qui mérite l'ovation ? Autour d'Annie Gasnier : - Consultants : Xavier Barret, Rémy Ngono et Youssouf Mulumbu, ancien capitaine des Léopards - Chef d'édition : David Fintzel - TCR audio : Laurent Salerno - Réalisation vidéo : Souheil Khedir et Yann Bourdelas.
Au sommaire : Le Maroc donne le coup d'envoi de la Coupe d'Afrique des nations ce dimanche 21 décembre 2025. Les éditorialistes du débat reviennent sur l'organisation, les équipes en lice et les enjeux de cette édition. Élection présidentielle au Cameroun, réélection de Donald Trump, coup d'État manqué au Bénin... Quels ont été les temps forts de l'actualité en 2025 ? Chaque semaine, des journalistes et éditorialistes africains décryptent l'actualité africaine et internationale. Avec la participation de : Lanciné Bakayoko, journaliste à la RTI François Hiondi Nkam, grand reporter et chef du service Économie au quotidien camerounais Le jour Nouhou Baldé, fondateur et administrateur du site Guinéematin.
Jérôme Rothen se chauffe contre un autre consultant, un éditorialiste ou un acteur du foot.
Le nouveau podcast football du FC Copains
Au sommaire de Radio foot internationale ce jeudi 18 décembre 2025 à (16h10 & 21h10 TU) : - le Royaume chérifien, centre de l'Afrique du foot ; - Invité : Kévin Veyssière. ; Suite de notre série «Joueurs de CAN» : - PSG, vainqueur de la Coupe Intercontinentale. Le Royaume chérifien, centre de l'Afrique du foot Le Maroc s'impose comme une puissance régionale à travers le football : centre de formations, infrastructures, résultats, diplomatie sportive. CAN 2025 à domicile, pression maximale et attentes énormes autour des Lions de l'Atlas. Achraf Hakimi et ses coéquipiers peuvent-ils assumer ce nouveau statut de locomotive du continent ? Invité : Kévin Veyssière Journaliste et fondateur du site FC Geopolitics, fin connaisseur des sélections et des fédérations du continent. Il décrypte pour nous la stratégie marocaine, l'héritage de la Coupe du monde 2022 et les enjeux sportifs et politiques de la CAN à venir, avec le Mondial 2030 en ligne de mire ! Suite de notre série « Joueurs de CAN » Aujourd'hui, le latéral sénégalais de l'AS Monaco Krépin Diatta ! Un portrait signé Victor Missistrano. PSG, vainqueur de la Coupe Intercontinentale Un succès arraché après la séance de tirs au but, dans la nuit de Doha, face à Flamengo. Une première pour un club français. Une saison historique pour Paris : six titres sur un même exercice, un cercle très fermé. Domination totale ou cycle exceptionnel ? Le PSG est-il désormais entré dans une autre dimension, durablement installé au sommet du football mondial ? Autour d'Annie Gasnier, nos consultants du jour :Dominique Sévérac, Bruno Constant et Ludovic Duchesne — Chef d'édition : David Fintzel - Technique/Réalisation : Laurent Salerno.
Au sommaire de Radio foot internationale ce jeudi 18 décembre 2025 à (16h10 & 21h10 TU) : - le Royaume chérifien, centre de l'Afrique du foot ; - Invité : Kévin Veyssière. ; Suite de notre série «Joueurs de CAN» : - PSG, vainqueur de la Coupe Intercontinentale. Le Royaume chérifien, centre de l'Afrique du foot Le Maroc s'impose comme une puissance régionale à travers le football : centre de formations, infrastructures, résultats, diplomatie sportive. CAN 2025 à domicile, pression maximale et attentes énormes autour des Lions de l'Atlas. Achraf Hakimi et ses coéquipiers peuvent-ils assumer ce nouveau statut de locomotive du continent ? Invité : Kévin Veyssière Journaliste et fondateur du site FC Geopolitics, fin connaisseur des sélections et des fédérations du continent. Il décrypte pour nous la stratégie marocaine, l'héritage de la Coupe du monde 2022 et les enjeux sportifs et politiques de la CAN à venir, avec le Mondial 2030 en ligne de mire ! Suite de notre série « Joueurs de CAN » Aujourd'hui, le latéral sénégalais de l'AS Monaco Krépin Diatta ! Un portrait signé Victor Missistrano. PSG, vainqueur de la Coupe Intercontinentale Un succès arraché après la séance de tirs au but, dans la nuit de Doha, face à Flamengo. Une première pour un club français. Une saison historique pour Paris : six titres sur un même exercice, un cercle très fermé. Domination totale ou cycle exceptionnel ? Le PSG est-il désormais entré dans une autre dimension, durablement installé au sommet du football mondial ? Autour d'Annie Gasnier, nos consultants du jour :Dominique Sévérac, Bruno Constant et Ludovic Duchesne — Chef d'édition : David Fintzel - Technique/Réalisation : Laurent Salerno.
Le Maroc a connu en 2025 une nouvelle vague de protestation populaire. Protestation portée par la Gen Z 212. 212 pour l'indicatif téléphonique du Maroc. La mobilisation 2025 s'inscrit après celle du 20 février en 2011, et le mouvement populaire du Rif en 2016-2017. Ces jeunes de 18 à 25 ans très connectés, inspirés par les manifestations au Népal, à Madagascar ou en Indonésie, ont clamé leur refus de la corruption, et exiger une amélioration des services publics, comme la santé et l'éducation. Sans affiliation politique ou syndicale, ils ont fini par exiger la démission du gouvernement, mais sans succès. Aujourd'hui, ils dénoncent la répression qui s'est abattue sur eux. 1 473 jeunes sont toujours en prison, dont 330 mineurs selon les chiffres officiels. GenZ 212 au Maroc : « Ils ont semé la peur en nous », un reportage de François Hume-Ferkatadji.
durée : 00:20:29 - Journal de 18h - Le Maroc fait face à des conditions climatiques extrêmes et les autorités viennent tout juste d'annoncer le déploiement d'une aide d'urgence nationale. Annonce à laquelle ne croient pas les habitants de la ville portuaire de Safi, où des inondations ont coûté la vie à 37 personnes lundi dernier.
durée : 00:20:29 - Journal de 18h - Le Maroc fait face à des conditions climatiques extrêmes et les autorités viennent tout juste d'annoncer le déploiement d'une aide d'urgence nationale. Annonce à laquelle ne croient pas les habitants de la ville portuaire de Safi, où des inondations ont coûté la vie à 37 personnes lundi dernier.
C'est l'un des visages incontournables de la CAN au Maroc : Fouzi Lekjaa est le président de la Fédération royale de football, aussi à la tête du comité local d'organisation et ministre délégué chargé du Budget. Omniprésent dans les médias, il est tout autant influent en coulisse. C'est sous sa gouvernance, débutée en 2014, que le foot marocain s'est modernisé et est devenu ce qui se fait de mieux sur le continent. De notre correspondant à Casablanca, Le cliché le plus ancien de Fouzi Lekjaa sur Internet le montre lunettes de soleil sur le nez, prenant la pose aux côtés des joueurs de Berkane pour la traditionnelle photo d'avant-match. Éternel douzième homme de ce club de foot du nord-est du Maroc, Fouzi Lekjaa est né à Berkane en 1970, dans une famille modeste. « C'est mon équipe, je viens de là-bas. Je ne peux pas la renier, au risque de voir les gens me le reprocher », confiait-il en 2020. Onze ans plus tôt, Fouzi Lekjaa était un jeune fonctionnaire brillant du ministère des Finances qui venait de prendre la tête du club de son enfance. Cette équipe de troisième division est son laboratoire. « On a une équipe, un club, qui est toujours en construction, décrit-il. Ce qui est rassurant au niveau de la renaissance sportive de Berkane, c'est effectivement ce sentiment de patience partagé par tout le monde. Tout le monde sait que le travail stratégique paye et qu'il faut du temps. Il faut mener un travail en profondeur. » À lire aussiCAN 2025 : Rabat, ville majeure du tournoi et nouveau centre névralgique du football marocain [1/6] « On n'est plus le Maroc qui fête les qualifications, on fête des victoires » Sous Fouzi Lekjaa, le club se métamorphose. Quinze ans plus tard, Berkane est l'une des meilleures équipes d'Afrique, triple vainqueur de la Coupe de la CAF. Entre-temps, Fouzi Lekjaa a été élu en 2014 président de la Fédération royale marocaine de football. À l'époque, les Lions de l'Atlas sont sans entraîneur depuis six mois. « Je pars d'une logique de remettre les équipes nationales au pluriel. Notamment remettre l'équipe nationale A au travail, professionnel et sérieux. L'obligation de résultats pour moi, c'est l'obligation de fournir tous les efforts », précise Fouzi Lekjaa. On le décrit comme un bourreau de travail, au caractère bien trempé. Volontiers séducteur, il peut aussi se montrer froid, voire rugueux. Le chantier de la fédération est immense. Fouzi Lekjaa s'attaque à sa modernisation et la dote notamment de nouvelles infrastructures. Et dix ans plus tard, ses efforts ont porté leurs fruits : « On n'est plus le Maroc qui fête les qualifications, on fête des victoires. D'ailleurs, vous devez le remarquer, l'équipe nationale A s'est qualifiée pour la Coupe du monde. Pour les Marocains, c'est tout à fait normal et c'est une évidence.» Les équipes nationales engrangent les succès : une demi-finale de Coupe du monde en 2022, une médaille de bronze aux Jeux olympiques de Paris. Le Maroc vise désormais la CAN. Fouzi Lekjaa sera autant jugé sur l'organisation de la compétition que sur les résultats sportifs des Lions de l'Atlas. À lire aussiCAN-2025: hôte et favori, le Maroc face à la meute
Nouveaux pilotes, un brin déjantés, à bord de la Libre Antenne sur RMC ! Jean-Christophe Drouet et Julien Cazarre prennent le relais. Après les grands matchs, quand la lumière reste allumée pour les vrais passionnés, place à la Libre Antenne : un espace à part, entre passion, humour et dérision, débats enflammés, franc-parler et second degré. Un rendez-vous nocturne à la Cazarre, où l'on parle foot bien sûr, mais aussi mauvaise foi, vannes, imitations et grands moments de radio imprévisibles !
Nouveaux pilotes, un brin déjantés, à bord de la Libre Antenne sur RMC ! Jean-Christophe Drouet et Julien Cazarre prennent le relais. Après les grands matchs, quand la lumière reste allumée pour les vrais passionnés, place à la Libre Antenne : un espace à part, entre passion, humour et dérision, débats enflammés, franc-parler et second degré. Un rendez-vous nocturne à la Cazarre, où l'on parle foot bien sûr, mais aussi mauvaise foi, vannes, imitations et grands moments de radio imprévisibles !
Après l'interruption par l'Algérie de ses exportations de gaz vers le Maroc, le royaume chérifien cherche à sécuriser son approvisionnement avec un projet d'unité flottante de regazéification du GNL, le gaz naturel liquéfié. Il pourrait alors provenir de différents fournisseurs, par bateau, jusqu'à Nador, sur la côte du Rif oriental. Les candidats ont jusqu'à la fin du mois de janvier pour répondre aux appels à concurrence. L'implantation à Nador sur la côte nord-est du Maroc n'a pas été choisie au hasard : l'unité flottante de regazéification sera connectée à la centrale électrique d'Aïn Beni Mathar via le Gazoduc Maghreb Europe, ou GME, que l'Algérie, fâchée avec le Maroc, a cessé d'alimenter depuis 2021. Il est désormais alimenté à rebours mais moins abondamment par l'Espagne. « L'idée, bien sûr, derrière ce projet, c'est de développer un deuxième point d'entrée à travers un terminal GNL, explique Mustapha Warfou, chef de la division des infrastructures gazières au ministère de la Transition énergétique. Et en parallèle de développer l'infrastructure gazière, à savoir le gazoduc qui va relier ce terminal "Nador West Med" au GME, puis le GME à Kenitra puis Mohammedia pour alimenter les différentes zones de consommation, donc les industriels et les centrales électriques. » Le Maroc a aujourd'hui besoin d'importer cinq milliards de mètres cubes de gaz, il en importait trois milliards de mètres cubes d'Algérie. Le terminal GNL de Nador lui permettra d'en regazéifier jusqu'à 10 milliards de mètres cubes. Une solution flexible pour sécuriser ses approvisionnements. « Le Maroc est en train de chercher une solution alternative et il ne veut pas dépendre de l'Algérie, souligne l'expert des marchés gaziers Thierry Bros. Donc, si vous voulez ne pas dépendre de l'Algérie, vous êtes obligé de devenir une plateforme de gaz naturel liquéfié. Ça va lui coûter plus cher, évidemment. On parle bien de millions de dollars et rien n'est gratuit dans ce système. Et vous payez les prix internationaux. Mais, mais si vous en avez besoin, ça viendra. Alors que le gaz algérien, si vous en avez besoin, ça pourrait ne pas venir » Presqu'un milliard de dollars d'investissements au total Le contexte est plutôt favorable au Maroc, avec à court et moyen terme, une offre mondiale excédentaire de GNL. « Entre le Qatar, les États-Unis, voire peut-être des pays d'Afrique, le Sénégal, au sud, va se mettre à exporter du GNL. Des fournisseurs, il y en a, observe Philippe Sébille-Lopez, géopoliticien de l'énergie. Il y a une bulle de GNL au niveau global. Il suffit donc de se mettre sur un projet de développement de liquéfaction aux États-Unis. » Le Maroc prévoit de dépenser 273 millions de dollars pour la plateforme GNL et sa connexion au Gazoduc Maghreb Europe, puis 638 millions de dollars pour prolonger les gazoducs jusqu'à la côte atlantique. À lire aussiMaroc: avec l'investissement de Safran, une nouvelle étape franchie dans l'aéronautique
La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
Chaque jour, les correspondants d'Europe 1 font le tour de l'actualité internationale.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le coup d'envoi de la 35ème édition de la Coupe d'Afrique des nations de football sera donné dimanche prochain (21 décembre) au Maroc. Elle durera jusqu'au 18 janvier. Quels sont les grands favoris ? L'Afrique est-elle enfin reconnue à sa juste place dans le football mondial ? Joseph-Antoine Bell a été un grand international camerounais. Aujourd'hui, il est consultant pour RFI, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier, en ligne depuis Yaoundé. RFI : Joseph-Antoine Bell, le Maroc accueille cette compétition. Son équipe est la première nation africaine au classement Fifa (12ᵉ). Est-ce que du coup ce pays n'est pas le super favori ? Joseph-Antoine Bell : Oui ça arrive très rarement. C'est-à-dire qu'un pays qui est au sommet garde la forme et soit organisateur. Et là, le Maroc, ils ont une chance inouïe, ils sont en forme et ils organisent. Ils ont la chance de jouer chez eux. Souvent, jouer à la maison comporte aussi le revers de la médaille : c'est qu'on a la pression. Mais la pression, on la gère mieux quand on est au sommet de ses capacités. Donc là, le Maroc va jouer à la maison, cette fois en étant au sommet de sa forme, donc en étant capable de gérer la pression seulement. Et derrière le Maroc, qui voyez-vous comme équipes très très bien placées ? Je pense que le Sénégal ne devrait pas être mal placé. L'Afrique du Sud, la Côte d'Ivoire… Et à un degré moindre l'Égypte et la Tunisie. Alors il y a cette CAN qui démarre dans quelques jours et puis il y a la Coupe du monde qui démarre dans six mois et où vont compétir au minimum neuf équipes nationales africaines, ce qui est quasiment le double des éditions précédentes. Est-ce qu'on peut dire que, aujourd'hui, le football africain est de plus en plus présent dans le football mondial ? Oui, le football africain est de plus en plus présent. Il faut se rappeler qu'à l'époque où il y avait seize participants, dans un premier temps, l'Afrique n'en avait aucun. Puis après, l'Afrique a eu un sur seize, ça fait très très peu. Et on a commencé à gagner un peu de positions, notamment grâce à la performance du Cameroun et de l'Égypte en 1990, en quart de finale [Les Camerounais avaient été éliminés aux portes des demi-finales par les Anglais, NDLR]. Et maintenant, le Maroc est allé en demi-finale [du Mondial 2022, NDLR] et on devrait continuer pour bousculer toujours la hiérarchie et se rapprocher du top, le top qui est un jour de gagner la Coupe du monde. Il y a cette nouvelle marque de respect du football mondial à l'égard de l'Afrique. Mais en même temps, les clubs européens qui comptent dans leurs rangs des internationaux africains ne seront forcés de les libérer qu'à partir de ce 15 décembre pour la CAN, alors que la règle habituelle, c'est que les joueurs sont libérés au moins deux semaines avant un grand tournoi international… Oui, mais l'Afrique a un problème particulier, c'est-à-dire, quel est le poids de l'Afrique ? Et là, en l'occurrence, quel est le poids de la Confédération africaine de football (CAF) vis-à-vis de la Fédération internationale (Fifa) ? Parce que l'Afrique est obligée de déplacer sa compétition pour plaire à la Fifa. L'Afrique est obligée d'accepter que les joueurs soient libérés tard pour plaire à la Fifa qui elle-même a subi la pression des clubs sans pouvoir y résister. Donc, les sacrifices sont toujours faits par les Africains et ça ressemble à d'autres domaines où on en demande toujours plus aux plus faibles. Donc, il faut se montrer un petit peu plus costaud. Donc c'est à la CAF de se battre. Ce n'est pas logique que ce qu'on accorde aux autres, on ne puisse pas l'accorder à l'Afrique. Mais pour ça, il faut gagner le respect des autres en tant qu'organisation. Il faudrait commencer en Afrique par décider quand a lieu la CAN, qu'elle ne soit pas un coup en été, un coup en hiver et puis un coup on ne sait pas trop quand. Non, il va falloir que la CAF travaille sérieusement pour avoir une position claire. Et vous n'êtes plus que le continent qui fournit la matière première. Au Cameroun, votre cher pays, le ministre des Sports, Narcisse Mouelle Kombi, ne s'oppose pas au limogeage du sélectionneur belge Marc Brys par le président de la Fédération, Samuel Eto'o. Est-ce que c'est le signe d'un cessez-le-feu entre les deux hommes ? Chez nous, on dit : « Quand vous êtes au marigot et qu'un fou passe par là et vous prend vos vêtements pendant que vous êtes dans l'eau, ne lui courez pas après. » Donc, le ministre s'est dit : « Eh bien, on va laisser la fédération aller et faire comme elle veut », et comme ça il y a une trêve. Mais, je ne crois pas qu'elle soit favorable au football camerounais, parce que on va vite s'apercevoir de la limite des choix qui ont été faits. Il faudrait savoir qu'en Afrique, neuf fois sur dix, vous n'aurez pas de fédération sans l'État. Quand une fédération dit « non, laissez-nous, on va y aller tout seul », vous pouvez être sûr qu'elle va être en difficulté dès la première activité. Et donc, c'est dommage, mais je sais que les joueurs et tout le groupe ne passeront pas un moment tranquille. Parce que le retrait de l'État veut dire forcément le retrait de beaucoup de moyens, le retrait du soutien qui sera limité. À lire aussiTOUT SUR LA CAN 2025
A l'approche de la Coupe d'Afrique des Nations, Paris United passe en mode CAN. Après un Mondial 2022 historique qui a fait vibrer toute l'Afrique, le Maroc aborde la Coupe d'Afrique des Nations 2024 avec le statut de grand favori. Mais les Lions de l'Atlas ont-ils vraiment les épaules pour assumer cette pression et remporter un titre qui leur échappe depuis 1976 ?
Le Maroc se prépare à accueillir la CAN. Le pays est bien décidé à remporter à nouveau le trophée ! Dans l'histoire du football africain, c'est comme une anomalie : le royaume fait partie des grandes nations du continent, et pourtant, il n'a remporté la compétition qu'une seule fois en 1976, en Éthiopie. S'il y a bien des personnes qui savent comment faire pour gagner, ce sont les anciens internationaux marocains de cette époque. Rencontre avec Abdelâali Zahraoui et Abdallah Tazi, deux joueurs de la sélection 1976. De notre correspondant de retour de Fès, En 1976, la compétition oppose alors huit sélections. Parmi elles, il y a le Zaïre, le Nigéria, la Guinée, l'Égypte, des cadors du continent. Le Maroc ne fait pas partie des favoris. Abdelâali Zahraoui était milieu de terrain de la sélection marocaine : « Tout le monde a joué avec leur force, avec leur volonté, avec tout ! » L'Éthiopie accueille la CAN cinq mois tout juste après un coup d'État militaire. Abdallah Tazi est également ex-milieu de terrain marocain. « Il y avait deux chars devant l'hôtel. Quand on sortait, on était suivis par des policiers », se remémore-t-il. Cette CAN se joue sous la forme d'une poule finale. Le dernier match, le 14 mars 1976, oppose le Maroc à la Guinée. Une équipe légendaire avec des grands noms comme Petit Sory, Papa Camara… Les Lions de l'Atlas ont besoin d'un match nul pour finir en tête du classement, les Guinéens doivent absolument l'emporter. « Les Guinéens, dès le début du match, ils ont été supérieurs à nous. Ils avaient une très belle équipe, c'était le Brésil d'Afrique, certainement la meilleure du continent », retrace Abdallah Tazi. À lire aussiCAN 2025 : Rabat, ville majeure du tournoi et nouveau centre névralgique du football marocain [1/6] C'est le Syli national qui ouvre le score à la 33ᵉ minute, et pendant près d'une heure, il est champion d'Afrique. Mais à la 86ᵉ minute, venu de la défense marocaine, Ahmed Magrouh, alias « Baba », envoie un boulet de canon pleine lucarne. « Un but exceptionnel, mais Baba, il monte seulement dans le corner. Si tu lui demandes de tirer 50 fois, il ne marquera jamais. Ils avaient de la réussite », commente Abdelâali Zahraoui. Il ressort les photos de cette époque. Sur l'un des clichés en noir et blanc, on le voit poser amoureusement ses yeux sur une petite coupe de métal brillant, c'est la CAN 76. « On nous demande à chaque fois de parler de notre parcours, s'amuse Abdallah Tazi. Il n'y en a que pour la CAN 76. L'équipe actuelle va remporter la CAN et on sera enfin tranquilles, les journalistes n'auront plus à nous appeler ! » Pour Abdelâali Zahraoui, également, c'est une certitude : « Au Maroc, on va gagner la Coupe d'Afrique. Cette année ! » À lire aussiCAN: ces héros peu connus qui ont illuminé la Coupe d'Afrique
MarrakechOscar et Sacha ont été invités par une amie de Maman Jane à un atelier de poterie traditionnelle dans la médina de Marrakech. Pas évident de modeler l'épaisse terre humide avec leurs petites mains...Un podcast interprété et mis en musique par Xavier Creff© Unique Heritage Media Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le Maroc : favori ou surcoté ? On en parle dans notre nouvelle émission CAN Extra adaptée en podcast avec Reda Mrabit, Brahim Thiam et Hamza Rahmani. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
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En première partie, le changement climatique. Dix ans après la COP de Paris et ses fondamentaux pour changer les choses, c'est à Belèm au Brésil que s'ouvre demain la grande conférence climat. Au coeur des préoccupations, notamment, la forêt. Et la plus vaste, l'Amazonie. Un des 4 reportages que nous lui consacrons porte sur l'archéologie. En cherchant bien, on voit dans cet imbroglio impénétrable de plantes géantes et humides qu'il était pénétré et cultivé il y a des millénaires. Les communautés indigènes avaient des pratiques durables. Leurs terres sont les mieux conservées. ... Le second reportage de notre émission nous emmène au Maroc, pays de culture et d'exportation illégale massive vers l'Europe de cannabis. Par go-fast sur les routes, par camionnettes entières, par bateau, le Maroc approvisionne le Nord. Mais au Maroc, tout en gardant la plante, une alternative est née pour tirer du cannabis des produits normaux, légaux. Amazonie 2/4: une forêt jardinée depuis des millénaires Deuxième épisode de notre série exceptionnelle de Grands Reportages en Amazonie à l'occasion de la COP30 sur le climat au Brésil : nous partons à la rencontre des archéologues brésiliens. Par leur travail, ils nous montrent que l'Amazonie n'est pas une forêt vierge, que les populations autochtones auraient gardée sous cloche. Elle est, au contraire, cultivée depuis des milliers d'années. Quelles sont ces pratiques durables des communautés indigènes ? Pourquoi leurs terres sont les mieux conservées de cette immensité verte ? Un Grand reportage de Lucile Gimberg qui s'entretient avec Jacques Allix. Au royaume du cannabis, la révolution du chanvre légal Le Maroc est réputé à travers le monde entier pour la qualité de sa résine de cannabis. C'est le plus gros producteur de la planète. Problème, jusque-là, seuls les narcotrafiquants en profitaient réellement, exploitant un terroir unique dans le nord du pays. À flanc de montagnes, dans le Rif, les champs de marijuana s'étendent à perte de vue. Il y a quelques années, l'idée a germé dans l'esprit des autorités : extirper cette économie de l'illicite et de l'informel, pour en faire une culture légale. Agriculteurs, coopératives de transformation, exportateurs, une nouvelle filière se déploie. Un Grand reportage de Matthias Raynal qui s'entretient avec Jacques Allix.
durée : 00:03:34 - Le monde à l'endroit - C'est un conflit parmi les plus anciens au monde qui oppose deux frères ennemis, le Maroc et l'Algérie. Un conflit en train de tourner au bénéfice du premier, avec la bénédiction des Etats-Unis. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Le Maroc est réputé à travers le monde entier pour la qualité de sa résine de cannabis. C'est le plus gros producteur de la planète. Problème, jusque-là, seuls les narcotrafiquants en profitaient réellement, exploitant un terroir unique dans le nord du pays. À flanc de montagnes, dans le Rif, les champs de marijuana s'étendent à perte de vue. Il y a quelques années, l'idée a germé dans l'esprit des autorités : extirper cette économie de l'illicite et de l'informel, pour en faire une culture légale. Agriculteurs, coopératives de transformation, exportateurs, une nouvelle filière se déploie. «Au royaume du cannabis, la révolution du chanvre légal», un Grand reportage de Matthias Raynal.
durée : 00:58:13 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - Sidi Mohammed ben Youssef naît en 1909. Il devient sultan en 1927, sous le protectorat français, puis roi du Maroc en 1957, après l'indépendance du pays et jusqu'à sa mort en 1961. Comment le Maroc passe-t-il du modèle du sultanat à celui de la royauté ? Quel rôle joue Mohammed V ? - réalisation : Thomas Beau, Cassandre Puel - invités : Benjamin Badier Docteur en histoire, spécialiste du Maghreb contemporain
durée : 00:58:42 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - À partir de 1912, de nombreuses tribus locales se révoltent contre les protectorats français et espagnols au Maroc. De l'éphémère émirat de Moulay Ahmed el Hiba à la République du Rif d'Abdelkrim, la résistance s'organise sur le territoire marocain pour contester la domination étrangère. - réalisation : Thomas Beau, Cassandre Puel - invités : Rachid Agrour Docteur en histoire contemporaine, spécialiste de l'histoire du Maghreb colonial et du domaine berbère
durée : 00:58:22 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - En 1912, le Maroc est scindé en deux protectorats, l'un français, l'autre espagnol, tandis que Tanger est une zone internationale depuis la fin du 19ᵉ siècle. Qu'en est-il de la souveraineté marocaine dans les négociations jusqu'à l'indépendance de 1956 ? - réalisation : Thomas Beau, Cassandre Puel - invités : Antoine Perrier Docteur en histoire spécialiste de l'histoire moderne et contemporaine du Maghreb, chargé de recherche au CNRS et enseignant à Sciences Po
L'actualité sportive de ces derniers jours, avec la victoire du Maroc dans la coupe du monde des moins de vingt ans.
Radio Foot internationale à 16h10-21h10 T.U. Il est question ce lundi : - Du sacre du Maroc U20 ! 1er titre mondial, et un pays en liesse ! ; - De la mauvaise série qui se poursuit pour les Reds. ; - Du Klassiker. À la fin c'est le Bayern qui gagne ! - Du sacre du Maroc U20 ! 1er titre mondial, et un pays en liesse ! Les Lionceaux de l'Atlas portés par Yassir Zabiri, auteur d'un doublé face à l'Albiceleste, en finale à Santiago du Chili. Sonnée, l'Argentine est apparue sans solutions. Un succès mérité au vu du parcours des Rouge et Vert ? Il intervient dans une période particulière pour le Royaume, qui connait des tensions sociales et des revendications économiques de ses jeunes. - Un onze de joueurs résilients qui se sont battus jusqu'au bout. L'aboutissement d'un long travail ? (Détection, formation locale, infrastructures...) Le prolongement est souhaité par tout un peuple, alors que la CAN s'approche, et que le pays co-organisera le Mondial 2030. - De la mauvaise série qui se poursuit pour les Reds. Battu par Manchester United à Anfield, le rival Liverpool concède une 4è défaite toutes compétitions confondues. Mo Salah toujours muet, Gakpo, un buteur qui a aussi touché les poteaux. Les Scousers désormais à 4 points du leader Arsenal. Harry Maguire à la fête, le défenseur permet aux Red Devils de s'imposer sur la pelouse liverpuldienne pour la 1ère fois depuis janvier 2016. 3 points salutaires pour Ruben Amorim, qui devra confirmer face à Brighton. - Du Klassiker. À la fin c'est le Bayern qui gagne ! Démonstration collective des Rekordmeister face à des Schwarz-Gelb qui avaient pourtant le vent en poupe jusque-là. Julian Brandt a redonné espoir à Dormund, mais un peu tard. Après l'inévitable Harry Kane, Michael Olise avait mis les Rouges à l'abri. La défaite n'arrange pas le BVB qui tombe à la 4è place de la Buli. Munich compte 7 victoires, a inscrit 27 buts et en a encaissé 4. La meilleure équipe européenne du moment ? Avec Hugo Moissonnier : Frank Simon, Jean-Philippe Bouchard, Salim Baungally. Technique/réalisation : Laurent Salerno - Pierre Guérin.
durée : 00:58:26 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - Émir, calife, mahdi, sultan… Comment le pouvoir politique dans l'actuel territoire du Maroc a-t-il évolué au Moyen Âge, de dynastie en dynastie, jusqu'à l'apparition de la figure du sultan, sous les Mérinides, au 13ᵉ siècle ? - réalisation : Thomas Beau, Cassandre Puel - invités : Yassir Benhima Professeur d'histoire du monde arabe et d'islamologie à l'Université Lumière Lyon 2; Jocelyne Dakhlia Historienne, directrice d'études à l'EHESS, spécialiste de la Méditerranée musulmane et du Maghreb; Mehdi Ghouirgate Professeur du monde musulman à l'université Bordeaux-Montaigne et professeur associé à l'Université Mohammed VI de Rabat au Maroc
Radio Foot internationale à 16h10-21h10 T.U. Il est question ce lundi : - Du sacre du Maroc U20 ! 1er titre mondial, et un pays en liesse ! ; - De la mauvaise série qui se poursuit pour les Reds. ; - Du Klassiker. À la fin c'est le Bayern qui gagne ! - Du sacre du Maroc U20 ! 1er titre mondial, et un pays en liesse ! Les Lionceaux de l'Atlas portés par Yassir Zabiri, auteur d'un doublé face à l'Albiceleste, en finale à Santiago du Chili. Sonnée, l'Argentine est apparue sans solutions. Un succès mérité au vu du parcours des Rouge et Vert ? Il intervient dans une période particulière pour le Royaume, qui connait des tensions sociales et des revendications économiques de ses jeunes. - Un onze de joueurs résilients qui se sont battus jusqu'au bout. L'aboutissement d'un long travail ? (Détection, formation locale, infrastructures...) Le prolongement est souhaité par tout un peuple, alors que la CAN s'approche, et que le pays co-organisera le Mondial 2030. - De la mauvaise série qui se poursuit pour les Reds. Battu par Manchester United à Anfield, le rival Liverpool concède une 4è défaite toutes compétitions confondues. Mo Salah toujours muet, Gakpo, un buteur qui a aussi touché les poteaux. Les Scousers désormais à 4 points du leader Arsenal. Harry Maguire à la fête, le défenseur permet aux Red Devils de s'imposer sur la pelouse liverpuldienne pour la 1ère fois depuis janvier 2016. 3 points salutaires pour Ruben Amorim, qui devra confirmer face à Brighton. - Du Klassiker. À la fin c'est le Bayern qui gagne ! Démonstration collective des Rekordmeister face à des Schwarz-Gelb qui avaient pourtant le vent en poupe jusque-là. Julian Brandt a redonné espoir à Dormund, mais un peu tard. Après l'inévitable Harry Kane, Michael Olise avait mis les Rouges à l'abri. La défaite n'arrange pas le BVB qui tombe à la 4è place de la Buli. Munich compte 7 victoires, a inscrit 27 buts et en a encaissé 4. La meilleure équipe européenne du moment ? Avec Hugo Moissonnier : Frank Simon, Jean-Philippe Bouchard, Salim Baungally. Technique/réalisation : Laurent Salerno - Pierre Guérin.
Au sommaire de Radio foot internationale, jeudi 16 octobre 2025, à 16h10 TU et 21h10 TU : - Mondial U20-Maroc/France ; - Monaco ; - L1 | PSG–Strasbourg vendredi ; - Zinédine Zidane. Mondial U20 – Maroc/France Les Bleuets s'arrêtent en demi (1–1, 5 tab à 4) face à un Maroc inventif, qui a utilisé ses trois gardiens ! Le Maroc devient-il la nouvelle nation modèle du foot africain ? Monaco Hütter dehors, Pocognoli arrive de l'Union St Gilles. Et Pogba repousse encore son retour… Le Rocher a-t-il perdu le fil ou prépare-t-il sa renaissance ? L1 | PSG–Strasbourg vendredi Dernier test avant Leverkusen mardi en C1. Luis Enrique doit gérer la fatigue, le retour des blessés. Paris peut-il allier gestion et ambition à trois jours d'un choc européen ? Zinédine Zidane À Trente (Italie), Zizou confirme : « Je reviendrai… et je veux coacher la France. » Zidane, futur patron des Bleus, plus que quelques mois à attendre ? Autour d'Annie Gasnier pour en débattre avec nos consultants du jour : Manu Terradillos, Bruno Constant et Chérif Ghemmour — Edition : David Fintzel — Technique/Réalisation : Guillaume Buffet.
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Depuis le 27 septembre, le Maroc assiste à la naissance d'un mouvement de contestation porté par sa jeunesse sous le nom « GenZ 212 ». Un mouvement horizontal, démocratique, porté par des étudiantes et étudiants principalement issus des classes moyennes qui s'indignent contre les inégalités, la corruption et réclament « une réforme du système éducatif et des services de santé publique ».Fin septembre, l'annonce du décès de huit femmes enceintes dans un hôpital public d'Agadir a mis le feu aux poudres. Les premières manifestations ont eu lieu à l'appel d'organisateurs anonymes réunis sur la plateforme Discord. Elles réunissent des jeunes désabusés, qui ne parviennent plus à s'imaginer un avenir dans un pays où le taux de chômage des 15-24 ans frôle les 40 %. Récit, dans cet épisode de Code Source, avec Vincent Mongaillard, journaliste au Parisien et envoyé spécial à Rabat.Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Barbara Gouy - Production : Thibault Lambert, Pénélope Gualchierotti, Clara Grouzis, Anaïs Godard et Clémentine Spiler - Réalisation et mixage : Etenne Contestabile - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : TV5Monde. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.