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Ecoutez L'angle éco de François Lenglet du 20 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Focus sur le transport maritime ce matin : les ports tournent à plein régime depuis la semaine passée, particulièrement en Chine et aux États-Unis. La demande en containers explose, les prix aussi. On n'avait plus vu ça depuis la reprise post-covid. En cause cette fois-ci, la pause dans la guerre commerciale États-Unis/Chine. Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:14:32 - L'invité du 13/14 - par : Jérôme CADET - Pour parler de ces entrepreneurs ou clients de ce secteur, pris pour cible depuis plusieurs semaines par des malfaiteurs. Sont-ils plus fortunés que d'autres ? Plus vulnérables ? Et comment mieux les protéger ? Réponses à 13h30.
Bonus et Recap
En tant que leader européen du papier, des emballages et de la communication visuelle, Antalis se positionne au cœur des enjeux environnementaux. De la traçabilité des produits à la réduction de l'impact des transports, en passant par la lutte contre la déforestation importée, elle nous dévoile comment Antalis concilie performance économique et responsabilité écologique. Pauline Darfeuille, responsable ESG France, est l'invitée du grand entretien.-----------------------------------------------------------------------SMART IMPACT - Le magazine de l'économie durable et responsableSMART IMPACT, votre émission dédiée à la RSE et à la transition écologique des entreprises. Découvrez des actions inspirantes, des solutions innovantes et rencontrez les leaders du changement.
durée : 00:15:26 - L'invité du 13/14 - par : Jérôme CADET - Prévention et risques d'accident dans le secteur du BTP avec Yann Danion et Paul Duphil
durée : 00:59:29 - Le 13/14 - par : Bruno Duvic - Hier, trois maçons sont morts sur un chantier en Bourgogne. Si le bilan humain est rarissime, les accidents du travail dans le BTP sont quotidiens : près de 700 000 en 2022 ce qui fait de la France l'un des mauvais élèves de l'Europe en matière de prévention. On en parle à 13h30 avec deux invités.
À Maurice, l'intelligence artificielle fait déjà partie du quotidien dans le secteur privé. Désormais le gouvernement s'attelle à la mise à jour de ses infrastructures technologiques pour mieux intégrer l'IA dans son développement économique et rattraper le retard accumulé dans la numérisation des services publics. De notre correspondant à Port-Louis,À Port-Louis, dans les locaux de Jubilee Allianz, l'intelligence artificielle a déjà changé la donne. Cette filiale du groupe d'assurances international emploie 70 personnes et l'IA est déployée pour automatiser une tâche répétitive et chronophage : la capture des données clients. « C'est une opération intensive en terme de ressources humaines et c'est de plus en plus rare d'avoir des personnes disponibles pour faire ce travail-là, reconnaît Josh Ramnarain, chef des opérations. Nous avons commencé à appliquer l'intelligence artificielle pour faire ce travail de capture. Donc là, un process qui prenait cinq jours se fait maintenant en quelques secondes ! »Ce gain de temps se traduit concrètement par des remboursements plus rapides pour l'entreprise, un avantage compétitif non négligeable sur un marché où la réactivité est devenue cruciale.Projet à la Sécurité socialeDe leur côté, les pouvoirs publics se préparent à consolider le socle numérique de Maurice : modernisation des serveurs, sécurisation des données et sensibilisation des fonctionnaires à la culture de l'IA. « On a déjà la Mauritius Revenue Authority, le fisc à Maurice, qui est utilisée par plus de 95 % des contribuables, expose Avinash Ramtohul, le ministre des Technologies, de la Communication et de l'Innovation. Et on va aussi construire des services en ligne pour la sécurité sociale, pour les services de la santé, et tous les services dédiés aux entreprises. »90 % des emplois menacésL'intégration de l'IA est l'un des chapitres d'un programme baptisé « Un pont vers le futur », un programme qui vise aussi à anticiper les défis sociaux et économiques à venir, selon la ministre des Services financiers et de la Planification économique. « Aujourd'hui on est vraiment à l'aube d'une avancée phénoménale, il faut vraiment être prêt pour ce qui nous attend, reconnaît Jyoti Jeetun. On sait très bien que 90 % des emplois qui sont là aujourd'hui, n'existeront plus demain. On n'a pas d'autres choix que de se réinventer, et de se réinventer vite ! »Maurice a lancé dès 2018 une stratégie sur l'intelligence artificielle, une stratégie marquée notamment par l'introduction de filières universitaires destinées à former les futurs spécialistes en IA et robotique. À lire aussiComment l'Afrique veut performer dans la course à l'intelligence artificielle
En France, l'inquiétude grandit chez les patrons du secteur de la cryptomonnaie. En l'espace de quelques mois, ils sont devenus les cibles de tentatives d'extorsion avec violences et leurs proches sont également pris pour cible. Dernier épisode en date, mardi 13 mai, cette tentative d'enlèvement très violente dans les rues de Paris.
Mercredi 14 mai :Une fonction de plus pour le bourgmestre de Charleroi. Le Parti socialiste désigne Thomas Dermine délégué aux entreprises aux côtés de Déborah Géradon, bourgmestre de Seraing, et de Nicolas Martin, bourgmestre de Mons. Tous les trois sont chargés de retisser du lien entre le PS et le monde économique. La chimie et la pharma tournent au ralenti en Belgique. L'an dernier, moins de 70% des capacités de production ont été utilisées. Le chiffre d'affaires reste à 75 milliards, mais avec l'inflation, c'est en réalité une baisse. Un autre point noir concerne l'emploi. Pour la première fois depuis 10 ans, il est en recul.Aujourd'hui, nous plongeons au cœur d'un sujet qui nous touche tous : pourquoi le monde semble-t-il toujours au bord de l'effondrement ? Et pourquoi cette image est-elle si trompeuse ? Jetons un coup d'œil au négativisme qui semble nous entourer. Et surtout : comment pouvons-nous le briser.
Comment y voir clair sur les marchés mondiaux dans une période de ruptures géopolitiques et de tensions ? C'est le défi auquel ont dû faire face les auteurs du rapport Cyclope, la bible annuelle des matières premières, dont l'édition 2025 vient d'être publiée avec pour sous-titre Le piétinement sourd des légions en marche. Les matières premières restent à l'origine des grandes dynamiques économiques et restent sources de convoitises, que l'on parle des terres rares ukrainiennes, du cobalt congolais, du pétrole russe ou du cacao africain, c'est ce qui ressort du nouveau rapport CyclOpe. En 2024, malgré les conflits, le commerce a finalement continué, comme dans « une année presque normale », résume Philippe Chalmin le président-fondateur de CyclOpe, en revanche le choc provoqué par le retour de Donald Trump au pouvoir, en 2025, a ajouté une dimension imprévisible à une accumulation de situation géopolitiques déjà complexes.Les niveaux de taxation entre la Chine et les États-Unis sont aujourd'hui toujours très élevés. relèvent les auteurs du rapport. Plus que jamais, c'est l'incertitude qui domine et cela se traduit par une grande nervosité sur les marchés des matières premières. Une plus grande place pour les métaux Les métaux sont devenus une quasi-obsession de Donald Trump et ont été directement pris dans la tempête des taxes américaines et des contre-mesures chinoises. Les cours de plusieurs d'entre eux se sont illustrés par une forte volatilité ces dernières semaines. Un facteur important, qui peut avoir un impact sur le choix des miniers à engager de nouveaux investissements.Les tensions politiques ont aussi entraîné une réduction de l'offre et fait flamber le prix de l'étain, du germanium ou encore du gallium. « Ils ne sont pas plus demandés, mais simplement moins disponibles », explique un contributeur.La fin des tabousPlus que jamais, les métaux sont devenus un enjeu majeur de souveraineté et de puissance, un élément de survie autant qu'un outil de domination. Maîtriser les minerais et métaux est essentiel pour aller vers la transition énergétique, mais aussi le rayonnement industriel, les États l'ont intégré mais « on assiste aux États-Unis à un changement de méthode », explique Yves Jegourel, codirecteur de CyclOpe et titulaire de la chaire Économie des matières premières au Conservatoire national des arts et métiers (Cnam).Si la question des mines et des métaux pose pour tous la question de territoires, et de régions à valoriser, elle devient pour le président américain une question de zones à conquérir, voire à annexer. Donald Trump n'a aucune limite, comme l'a encore prouvé son décret destiné à autoriser l'extraction de minerais dans les fonds océaniques, y compris les eaux internationales.
Omniprésente dans nos usages professionnels comme personnels, la visioconférence continue de transformer le paysage numérique. Un secteur ultraconcurrentiel qui pèse lourd et qui a même entraîné la disparition de Skype, pionnier du genre. Décryptage. Elle est aujourd'hui pratiquement omniprésente, aussi bien dans le monde professionnel que dans notre quotidien, la visioconférence.Vous vous souvenez sans doute de la fameuse sonnerie Skype, qui ne retentira plus. Si l'application née en 2003 était une vraie révolution, elle a depuis été reléguée au second plan, que ce soit pour un usage personnel ou professionnel. Son monopole a pris fin avec l'arrivée de FaceTime d'Apple, puis plus récemment avec Zoom, Google Meet ou encore Microsoft Teams. Ironie du sort : Microsoft possédait Skype, mais a préféré miser sur son autre outil, et a fini par l'abandonner. À écouter aussi8 milliards de voisins: Télétravail, fin de partie ?Un marché boosté par la pandémie et le télétravail hybride C'est pendant la pandémie de Covid-19, au printemps 2020, que le marché de la visioconférence a connu un véritable bond. Avant 2019, les logiciels Zoom et Teams étaient encore très peu utilisés par le grand public. Aujourd'hui, ces applications sont entrées dans le vocabulaire courant et le quotidien de centaines de millions de salariés.Le marché de la visioconférence est valorisé à 33 milliards de dollars. D'ici à 2033, ce chiffre pourrait doubler selon plusieurs projections. Chaque année, la croissance du secteur est estimée entre 7 % et 10 %, soutenue par l'essor du télétravail hybride, ce mélange entre présentiel et travail à domicile. Difficile, voire impossible pour les grandes entreprises de passer à côté de cette dynamique. À lire aussiTélétravail: un acquis de plus en plus remis en cause dans les entreprisesDes investissements massifs… mais aussi des limites Au-delà de l'apparente simplicité de la visioconférence, les entreprises investissent massivement, notamment en recherche et développement. L'intelligence artificielle est au cœur de ces efforts. Depuis 2023, Microsoft a investi plus de 2 milliards de dollars dans l'IA collaborative. Zoom, de son côté, rachète des start-ups spécialisées dans le traitement du langage, pour créer des assistants capables de résumer automatiquement les réunions. Certains vont encore plus loin et travaillent sur des solutions holographiques pour remplacer les écrans.La visioconférence devient ainsi un véritable outil de travail, un soutien à la productivité. Mais elle a aussi ses limites. Selon l'agence X2O Media, 9 entreprises sur 10 utilisent cet outil. Mais elle serait aussi responsable de 34 milliards de dollars de pertes par an, en raison de réunions mal gérées. Pour les salariés, cette pratique généralisée peut entraîner une certaine fatigue, voire une forme de dépendance, avec des conséquences négatives sur la productivité. Et ce n'est que le début : selon le cabinet Straits Research, d'ici à 2030 – autrement dit, demain – 60 % des interactions professionnelles pourraient être totalement dématérialisées.
Fiscalité, industrie, construction — le secteur privé mise sur des propositions clés pour relancer l'économie by TOPFM MAURITIUS
durée : 00:05:19 - L'invité de "ici Maine" - Alors que s'ouvre le premier jour du Grand Prix de France Moto au Mans, plusieurs milliers de personnes sont attendues dans le département du 8 au 11 mai 2025. L'occasion pour le secteur de l'hôtellerie restauration de faire le plein, dans un contexte de plus en plus tendu.
durée : 00:02:14 - Le brief éco - Après une baisse, fin 2024, l'emploi salarié dans le privé reste stable au premier trimestre 2025, notamment grâce aux créations d'emplois dans le secteur non lucratif. Des emplois souvent subventionnés, mais qui bénéficient aussi de la finance solidaire qui attire de plus en plus de Français.
Vous écoutez Propriété intellectuelle : regards pratiques et enjeux prospectifs, un podcast préparé par le cercle Lefebvre Dalloz Avocats sous la direction de Stéphanie Le Cam, Maître de conférences à l'Université de Rennes 2 ; de Caroline Le Goffic, Professeur de droit privé à l'Université de Lille, co-directrice de l'équipe de recherches appliquées au droit et de Yann Basire, Maître de conférences à l'Université de Strasbourg et directeur général du Centre d'études internationales de la propriété intellectuelle. Ce podcast donne la parole aux experts - avocats, universitaires, juristes, praticiens et représentants d'institutions - pour pister les grandes tendances et les évolutions qui traversent aujourd'hui la propriété intellectuelle. Dans cet épisode, Angeline Doudoux, journaliste chez Lefebvre Dalloz, reçoit Jean-Sébastien Vaudey, avocat au Barreau de Paris en droit des affaires et propriété intellectuelle, pour évoquer les impacts de l'intelligence artificielle dans le secteur musical et la nécessité de défendre la propriété intellectuelle.Invité : Jean-Sébastien Vaudey, avocat au Barreau de Paris en droit des affaires et propriété intellectuelle.Préparé et animé par : Angeline DOUDOUX, journaliste Lefebvre Dalloz.Réalisé par : Laurent MONTANT, Directeur du Studio Media Lefebvre Dalloz et rédacteur en chef de La Quotidienne ; Jérémy MARTIN, journaliste Lefebvre Dalloz.Illustration : Jérémy MARTIN.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:05:59 - L'invité de la rédaction de "ici Sud Lorraine" - Jean-Luc Géhin, responsable de l'accueil à l'office de tourisme de Gérardmer est l'invité de "ici Sud Lorraine" pour parler des réservations lors des ponts du mois de mai.
Une sélection des actualités du jour qui ont un impact direct ou indirect sur vos finances personnelles. Avec : Christian Fontaine, directeur de la rédaction du Revenu , et Félix Baron, fondateur du club des investisseurs indépendants.
Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs, sexo… En simultané sur RMC Story.
Sophie Boissard, directrice générale du groupe Clariane, spécialisé dans le soin et l'accompagnement des seniors, coté sur le SBF120, était l'invitée de l'émission Ecorama du 6 mai 2025, présentée par David Jacquot sur Boursorama.com. Parmi les sujets abordés : la restauration de l'image du groupe, la feuille de route et les objectifs financiers, le taux d'occupation, le manque de personnel et le cours de Bourse. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Plongez dans les coulisses de Corsair avec son PDG Pascal Deizagir : flotte renouvelée, engagement écolo et ancrage local. Découvrez aussi des innovations aériennes avec Boarding Ring contre le mal des transports, et Eenuee, futur pionnier de l'avion électrique. Un épisode captivant de La France bouge, entre transition écologique et audace entrepreneuriale.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En Guinée, le secteur de l'édition reste fragile. Le pays compte une quinzaine de maisons d'édition mais en réalité, peu d'entre elles publient de manière régulière. La faiblesse du lectorat et le contexte économique constitue des freins. Les coûts de fabrication sont élevés et le livre neuf trop cher pour une grande partie des Guinéens. Les éditeurs réclament une politique publique plus volontariste pour le développement du secteur. Entre deux stands des « 72 heures du livre », le salon littéraire annuel de Conakry, Ousmane Soumaré décrit une fragile économie du livre. « Pour avoir une viabilité économique, nous faisons de l'impression à la demande afin de ne pas investir trop d'argent dans un ouvrage qui ne va pas s'acheter, explique le directeur de la jeune maison d'édition Plumes inspirées. Et nous faisons de l'édition à compte d'auteur, où une certaine quantité d'ouvrages sont achetés par l'auteur à l'avance et nous lui faisons une remise sur ces ouvrages, ce qui permet aux deux parties de s'en sortir financièrement. »Ratifier les accords internationauxAliou Sow dirige Ganndal, une maison d'édition de livres jeunesse, une des mieux installées dans le paysage éditorial guinéen. Également président de l'Association des éditeurs de Guinée, il réclame la ratification de l'Accord de Florence (1950) et du Protocole de Nairobi (1976), pour favoriser la libre circulation des biens culturels et faire baisser le coût de l'encre ou du papier.« Faciliter l'entrée des livres à l'importation et à l'exportation et faciliter la détaxation de l'importation des intrants à la fabrication, ce seraient les deux mesures les plus importantes qu'il faudrait envisager à travers l'adhésion à ces traités internationaux et leur application dans le contexte local, plaide l'éditeur. En attendant qu'une vraie politique nationale du livre et de la lecture puisse être formulée, adoptée et mise en marche dans le pays. »Première édition du prix des LycéensEn attendant, l'État mise sur les prix littéraires. Cette année fut la première édition du prix des Lycéens, organisé par le Celpac, le Centre de lecture publique et d'animation culturelle. L'objectif premier est de vulgariser et de populariser la lecture, en particulier auprès des jeunes. Le second est d'aider les maisons d'édition à vendre.« Vous voyez déjà auprès des lycéens, lorsqu'on dit que le livre de Mabéty [Soumah] Sens interdit est lauréat du prix des Lycéens, non seulement, à travers ce prix, les maisons d'édition ont de la visibilité, mais ça va aussi booster leur vente », prédit Bernard Beavogui, directeur général du Celpac. Et en effet, sur le salon, plusieurs lecteurs réclament le roman de Mabéty Soumah au stand des éditions Ganndal.À lire aussiSalon du livre africain: des auteurs en auto-édition plus nombreux lors de la troisième édition
Voor onze 25e opname kwam Niels Baetens langs, je zal hem misschien niet meteen herkennen maar Niels is de founder en eigenaar van de NB Care fiets poets producten.Volgens onze bescheiden mening een der beste poetsproducten op de markt.Niels verteld het ontstaan van de NB producten en de manier van werken achter de schermen.Maak je klaar voor 45 minuten ondernemers praat met een gravel randje met deze jonge wolf!Wil je kennismaken met de NB Producten ?De eerste 20 mensen die ons mail sturen via contact@gravelgoeroes.be krijgen een dikke kortingscode toegestuurd.
En mai 2024, le gouvernement sénégalais tout juste installé suspendait les chantiers de construction dans le pays, le temps de faire des audits pour assainir le secteur. La mesure devait durer deux mois, mais les chantiers n'ont pas repris. Depuis, ce secteur crucial pour le pays – plus de 4% du PIB et plus de 200 000 emplois directs – a plongé dans la crise. Des dizaines de milliers d'emplois sont perdus et la population s'impatiente. De notre correspondante à Dakar,Chaque matin, au rond-point de Keur Massar en banlieue de Dakar, des centaines d'ouvriers attendent, outils à la main, que des camions viennent les chercher pour aller travailler. Mais depuis un an et la suspension des chantiers par les autorités, le travail se fait rare. « Tu viens à 5h du matin, tu vas rester jusqu'à 10h et puis rentrer, se plaint Ida Faye, maçon. Le lendemain, tu reviens encore, tu avais espoir de gagner quelque chose, mais tu rentres encore bredouille. Ça fait des mois que ça dure ! »15 000 emplois formels perdusAu Sénégal, beaucoup de ces jeunes ont voté pour le nouveau président Bassirou Diomaye Faye avec l'espoir du changement, mais leurs conditions de vie se sont détériorées. « Avant, avec l'ancien régime, on pouvait gagner 10 000 ou 11 000 francs CFA par jour, se souvient Rane Dieng, ouvrier du bâtiment. Mais maintenant, on a du mal à gagner ne serait-ce que 5 000. Ça fait un an qu'ils sont là et ils n'ont rien fait pour le pays. Il faut qu'ils arrêtent de faire, d'auditer, de suspendre tout, il faut qu'ils travaillent ».Insa Coly, ferrailleur et père de famille, est en colère et n'arrive plus à penser à son avenir. « Si tu trouves 300 000 francs aujourd'hui, tu prends la pirogue pour rentrer en Espagne. Tu fais l'Espagne trois mois et tu achètes un terrain ici à Dakar. Mais tu travailles ici pendant 20 ans et tu ne peux même pas acheter un terrain. Nos États doivent penser à cette jeunesse-là, sinon nous tous, on va mourir dans la mer ! »Quinze mille emplois ont été perdus dans le secteur formel suite à la suspension des chantiers, selon les syndicats. Certains ouvriers qui avaient des contrats sont au chômage technique. Dans le secteur informel, c'est impossible à chiffrer, mais bien plus élevé selon les représentants de la profession, qui s'impatientent. « Au début, on disait qu'il y avait des audits à faire, qu'il y avait une situation du secteur dont on voulait vraiment avoir une maîtrise, reconnaît Oumar Gueye, du Syndicat national de la construction et du bâtiment, affilié à la Confédération nationale des travailleurs du Sénégal (CNTS). Mais j'avoue que là, on ne comprend plus. »Absence d'accompagnement de l'ÉtatD'autant que l'État sénégalais a accumulé de nombreux impayés auprès des entreprises de construction, pour 300 milliards de francs CFA, soit plus de 450 millions d'euros. « Dans une République normale, même s'il y a des décisions qui doivent être prises, l'idéal serait au moins qu'on puisse nous appeler autour d'une table, juge Oumar Gueye. Si, par exemple, on nous avait payés à l'avance sur la dette intérieure, on aurait au moins pu préparer ces situations-là. Mais du jour au lendemain, on est confronté à cette situation d'arrêt des travaux, on n'a plus de nouveaux marchés, on n'est pas payés, les chantiers qui étaient gagnés ne sont pas exécutés. Donc ça fait mal. »Au dernier trimestre 2024, le chiffre d'affaires du secteur sénégalais de la construction a reculé de près de 10% par rapport à la même période en 2023. Sollicitées, les autorités n'ont pas donné suite à nos demandes d'interview.
À l'occasion du sommet ChangeNOW, l'exposition universelle des solutions pour la planète qui se tient actuellement jusqu'à samedi au Grand Palais, à Paris. Nous donnons la parole aux femmes entrepreneures engagées dans le changement écologique par et pour les femmes sur le continent africain. Car l'économie sera verte si elle est enfin inclusive. Alors que les femmes et les filles sont les premières victimes de la sécheresse ou de la pollution, elles sont pourtant les actrices clés de la transition climatique dans leur communauté sur le terrain. Comment développer le leadership féminin dans les emplois verts ? Quels sont les progrès à faire dans l'accès équitable aux ressources, à l'éducation et à la formation ? Une émission à l'occasion du sommet ChangeNOW, l'exposition des solutions pour la planète, qui se tient du 24 au 26 avril au Grand Palais à Paris. Avec :• Cathy Latiwa, juriste, conseillère en programmes, experte en inclusion et en genre, fondatrice de l'ONG Latiwa development Foundation et co-fondatrice du projet BuildHerAfutureAfrica. Ambassadrice globale du réseau d'affaires Makutano • Sarah Kayiranga, directrice et fondatrice de JumCare, une société de conseils aux entreprises du secteur industriel• Carole Tankeu, co-fondatrice et directrice générale du Bureau d'études et de conseil Sustainable Solutions-S2 Services basé à Douala au Cameroun et spécialisé en gouvernance environnementale et sociale, genre, énergie et développement durable. Fondatrice et présidente du réseau Women for Sustainable Energy and Climate Action dont l'objectif principal est d'accompagner les femmes d'Afrique Centrale dans les industries de l'énergie et de l'environnement en participant aux activités de développement de carrière.• Clémence Betesuku, fondatrice de The uplift agency, société de conseils qui aide les TPE et PME dans l'adoption de pratiques plus durables et plus éco-responsables. Et co-fondatrice de l'association Break the mold, qui accompagne les entrepreneurs africains à impact dans leur préparation à la levée de fonds, à travers un programme de trois mois. En fin d'émission, la chronique Écouter le monde de Monica Fantini. Premier épisode d'une nouvelle série consacrée au son de la voix humaine. Programmation musicale :► Sankara - Samira Brahmia ► Omorfo Mou – Stella.
À l'occasion du sommet ChangeNOW, l'exposition universelle des solutions pour la planète qui se tient actuellement jusqu'à samedi au Grand Palais, à Paris. Nous donnons la parole aux femmes entrepreneures engagées dans le changement écologique par et pour les femmes sur le continent africain. Car l'économie sera verte si elle est enfin inclusive. Alors que les femmes et les filles sont les premières victimes de la sécheresse ou de la pollution, elles sont pourtant les actrices clés de la transition climatique dans leur communauté sur le terrain. Comment développer le leadership féminin dans les emplois verts ? Quels sont les progrès à faire dans l'accès équitable aux ressources, à l'éducation et à la formation ? Une émission à l'occasion du sommet ChangeNOW, l'exposition des solutions pour la planète, qui se tient du 24 au 26 avril au Grand Palais à Paris. Avec :• Cathy Latiwa, juriste, conseillère en programmes, experte en inclusion et en genre, fondatrice de l'ONG Latiwa development Foundation et co-fondatrice du projet BuildHerAfutureAfrica. Ambassadrice globale du réseau d'affaires Makutano • Sarah Kayiranga, directrice et fondatrice de JumCare, une société de conseils aux entreprises du secteur industriel• Carole Tankeu, co-fondatrice et directrice générale du Bureau d'études et de conseil Sustainable Solutions-S2 Services basé à Douala au Cameroun et spécialisé en gouvernance environnementale et sociale, genre, énergie et développement durable. Fondatrice et présidente du réseau Women for Sustainable Energy and Climate Action dont l'objectif principal est d'accompagner les femmes d'Afrique Centrale dans les industries de l'énergie et de l'environnement en participant aux activités de développement de carrière.• Clémence Betesuku, fondatrice de The uplift agency, société de conseils qui aide les TPE et PME dans l'adoption de pratiques plus durables et plus éco-responsables. Et co-fondatrice de l'association Break the mold, qui accompagne les entrepreneurs africains à impact dans leur préparation à la levée de fonds, à travers un programme de trois mois. En fin d'émission, la chronique Écouter le monde de Monica Fantini. Premier épisode d'une nouvelle série consacrée au son de la voix humaine. Programmation musicale :► Sankara - Samira Brahmia ► Omorfo Mou – Stella.
durée : 00:02:13 - Le brief éco - L'industrie pharmaceutique semble céder aux injonctions de Washington d'investir dans la production sur le sol américain afin d'échapper aux droits de douane. Elle multiplie les annonces d'investissements outre-Atlantique.
Le géant de la sidérurgie ArcelorMittal a annoncé mardi envisager la suppression de 600 postes sur plusieurs sites français. Une décision qui illustre les défis profonds de l'industrie tricolore, confrontée à la concurrence internationale, à la transition écologique et à un recul historique de son poids dans l'économie.
Près d'un milliard d'euros de chiffre d'affaire pour le secteur chips. Du jamais vu pour la star de l'apéritif qui ne connait pas la crise. Changement des modes de consommation, innovation, contexte anxiogène, tout profite aux chips. Ecoutez L'angle éco de Pierre Herbulot du 23 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Près d'un milliard d'euros de chiffre d'affaire pour le secteur chips. Du jamais vu pour la star de l'apéritif qui ne connait pas la crise. Changement des modes de consommation, innovation, contexte anxiogène, tout profite aux chips. Ecoutez L'angle éco de Pierre Herbulot du 23 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans un nouvel épisode de la guerre commerciale avec Washington, Pékin a ordonné à ses compagnies aériennes de suspendre les livraisons de Boeing et d'arrêter les achats de pièces d'avion fabriquées aux États-Unis. Après ce coup de tonnerre venant de Chine, c'est l'ensemble du secteur aérien et aéronautique qui retient son souffle. Car les constructeurs, les sous traitants, et les compagnies aériennes pourraient payer très cher les décisions de Donald Trump. Si c'est un véritable coup dur pour Boeing, dont un quart des exportations s'effectuent en Chine, c'est toute une filière qui pourrait se retrouver en difficulté face aux taxes douanières que veut imposer Donald Trump. Celles-ci sont en pause pour trois mois, mais les 10% en vigueur depuis le 9 avril ont déjà commencé à avoir des effets négatifs sur toute une chaine de production très mondialisée.Le risque porte notamment sur l'approvisionnement en composants aéronautiques. Les américains en importent une grande partie de l'Union européenne, et il faut en moyenne trois millions de pièces pour faire un avion. C'est le patron d'Airbus qui le rappelle et cela illustre bien la complexité de la guerre commerciale lancée par Donald Trump pour ce secteur, qui repose sur des échanges incessants entre l'Amérique du Nord et l'Europe.Les américains en première ligne Depuis 1980, un accord international exonérait de toutes taxes les produits aéronautiques civils. La politique tarifaire de Trump va surtout faire du mal aux américains, à Boeing notamment qui achète beaucoup d'équipements en Europe. Certains équipementiers ont d'ailleurs trouvé des astuces pour modifier leur circuit de livraison. Donald Trump a fait une petite concession : les composants aéronautiques importés du Canada et du Mexique ne sont pas taxés. Quant aux compagnies aériennes nord-américaines, elles pourraient, elles aussi, avoir à payer le prix fort. Certaines comme Delta Airlines ont déjà fait savoir qu'elles préfèreraient repousser leurs prochaines livraisons d'avions.Surcoût des avions La compagnie Airbus dont le marché américain représente 15% du carnet de commande, pourrait lui aussi se retrouver en difficulté. L'avionneur européen est en partie protégé, car l'avionneur assemble une proportion de ses avions aux États-Unis ce qui lui permet de contourner certaines taxes, mais l'entreprise reste vulnérable : la plupart des pièces nécessaires à la fabrication notamment de l'A320, l'appareil le plus vendu au monde, sur sa chaine d'assemblage de l'Alabama sont importées et donc taxées. Selon Goldman Sachs, chaque A320 produit aux États-Unis pourrait subir un surcoût de 5 à 6 millions de dollars.Les gros-porteurs d'Airbus sont eux assemblés en France à Toulouse, mais la taxe s'appliquera sur le prix de vente final de l'appareil et la note pourrait être encore plus salée : de 50 à 70 millions de dollars supplémentaires par appareil. C'est une bataille qui s'engage où chacun va tenter de se faire passer la facture. Pour le directeur d'Airbus, il n'y a qu'une seule voie possible : c'est au client qui importe l'avion de payer la note, a affirmé son patron. Mais avec une surtaxe de 20%, il est peu probable que cette facture soit facile à avaler pour les clients.À lire aussiGuerre commerciale: Pékin suspend toutes les livraisons d'avions Boeing
Le secteur du luxe traverse une période compliquée. Les cours boursiers des géants Kering, Hermès et LVMH ont passé leur journée de mardi dans le rouge. Cela fait suite à la publication des résultats du premier trimestre 2025 de LVMH qui sont dans le négatif, -2% de perte de chiffre d'affaires. Décryptage. Le géant français du luxe dirigé par Bernard Arnault, habitué aux bons résultats, vit un moment pour le moins complexe. En particulier, sa division phare, la mode et la maroquinerie, qui fait d'ailleurs briller Louis Vuitton ou Dior, a vu ses ventes chuter : -5%. Là où c'est d'autant plus dur pour LVMH, c'est que les analystes attendaient une légère hausse sur tout le secteur. Ce n'est visiblement pas le cas. Résultat, l'action du premier groupe mondial du luxe a dévissé en bourse. Cela a entrainé tout le secteur dans sa chute. Il s'agit là d'un vrai coup de froid. À lire aussiL'industrie du luxe à un tournant de son histoireL'explication de cette tendance tient en un prénom et un nom : Donald Trump. Car depuis son retour à la Maison Blanche, il a relancé sa guerre commerciale avec une certaine agressivité. Les droits de douane pleuvent sur les importations, y compris sur le champagne, les cosmétiques, les montres et les sacs. Face à une telle situation, le consommateur américain dépense moins. Et quand on sait que le marché outre-Atlantique est le premier débouché mondial des marques du luxe, on comprend l'impact des mesures de Donald Trump. Deux marchés en souffrance D'après une étude publiée ces derniers jours par la société de recherche Bernstein, 32% des dépenses mondiales du luxe se font aux États-Unis et 24% en Chine. À ces seuls deux pays, cela en représente plus de la moitié. Ce que l'on comprend grâce à ces données, c'est que le luxe est en première ligne dans les mesures commerciales de Donald Trump. Pourtant, un de ses représentants, Bernard Arnault est un proche du président américain. Il tente d'ailleurs en personne de dissuader l'administration Trump d'appliquer jusqu'à 200% de taxes douanières sur les vins et spiritueux français mais à quel prix. Il était justement à Washington fin mars. Le groupe LMVH comme d'autres d'ailleurs comme L'Oréal poursuivent leur stratégie pour produire sur le sol américain, comme le souhaite Donald Trump ! Pas de reprise en vue Les mines sont grises car le secteur attendait une reprise américaine pour compenser l'effondrement de la demande chinoise. On le rappelle, la consommation chinoise s'effondre. Selon le cabinet McKinsey, la demande sur le marché du luxe s'y est contractée de 18 à 20% l'an passé. C'est évidemment beaucoup. Sauf que la situation américaine n'est pas aussi bonne que l'avaient prédit les analystes, au contraire. Tous revoient leurs estimations au niveau mondial à la baisse. Toujours d'après la société Bernstein, le secteur pourrait perdre 2 % cette année, là où on s'attendait à une croissance de 5 % il y a encore quelques mois. Pour continuer d'exister, les marques devront peut-être revoir leurs chaînes d'approvisionnement et repenser leurs prix.
durée : 00:06:32 - L'invité de 6h20 - L'économiste Carine Sebi, spécialiste de l'énergie, était l'invitée de 6h20 de France Inter ce mercredi, à l'occasion de la présentation de la nouvelle stratégie de la France pour l'hydrogène.
Le secteur de la petite enfance est en grève ce mercredi afin de réclamer un meilleur accueil et encadrement des enfants en crèche. Les conditions difficiles du métier combinées à un salaire peu attractif causent en effet une pénurie de personnel dans ce secteur pourtant fondamental. Pour mieux comprendre les enjeux, nous accueillons Natacha VERSTRAETEN, présidente de la FILE, la Fédération des Initiatives locales pour l'Enfance. Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le printemps va-t-il disparaître ? Accord mondial historique pour la lutte contre les pandémies Le secteur de la petite enfance en grève Discours du Ministre-président Adrien Dolimont sur l'état de la Wallonie La Cour suprême britannique a tranché sur la définition légale d'une femme : elle repose sur le sexe biologique et non le genre Real Madrid - Arsenal, quart de finale, retour de la Champions League Climat : inondations et canicules ont marqué l'année 2024 Scènes cocasses dans les rues de Californie : des passages piétons hackés diffusent des voix générées par IA de Mark Zuckerberg et Elon Musk Merci pour votre écoute Entrez sans Frapper c'est également en direct tous les jours de la semaine de 16h à 17h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez l'ensemble des épisodes et les émission en version intégrale (avec la musique donc) de Entrez sans Frapper sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/8521 Abonnez-vous également à la partie "Bagarre dans la discothèque" en suivant ce lien: https://audmns.com/HSfAmLDEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Vous pourriez également apprécier ces autres podcasts issus de notre large catalogue: Le voyage du Stradivarius Feuermann : https://audmns.com/rxPHqEENoir Jaune Rouge - Belgian Crime Story : https://feeds.audiomeans.fr/feed/6e3f3e0e-6d9e-4da7-99d5-f8c0833912c5.xmlLes Petits Papiers : https://audmns.com/tHQpfAm Des rencontres inspirantes avec des artistes de tous horizons. Galaxie BD: https://audmns.com/nyJXESu Notre podcast hebdomadaire autour du 9ème art.Nom: Van Hamme, Profession: Scénariste : https://audmns.com/ZAoAJZF Notre série à propos du créateur de XII et Thorgal. Franquin par Franquin : https://audmns.com/NjMxxMg Ecoutez la voix du créateur de Gaston (et de tant d'autres...) Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs Des compagnies aériennes et des entreprises de sûreté aéroportuaire sont soupçonnées d'avoir recruté en contrat d'alternance des salariés déjà diplômés, qui auraient donc dû être embauchés en CDD ou CDI. Un procès pour escroquerie doit se tenir à la mi-avril à Bordeaux et d'autres enquêtes sont en cours. Un article de Cécile Hautefeuille publié dimanche 13 avril 2025, lu par Jeremy Zylberberg. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mercredi 9 avril, François Sorel a reçu Camille Bouget, cofondatrice et PDG de Scienta Lab, Robin Chaudret, directeur de la technologie chez Pharmaceuticals, et Alban de la Sablière, directeur général de Owkin. Ils se sont penchés sur la place qu'occupe l'intelligence artificielle dans le secteur de la santé, dans l'émission Tech & Co, la quotidienne, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez la en podcast.
Les immatriculations de voitures neuves se sont effondrées au mois de mars en France (-14,5%). Le secteur est en difficulté et les annonces de droits de douanes de Donald TRUMP dans la journée risquent de ne rien arranger. Ecoutez L'angle éco de Martial You du 02 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les immatriculations de voitures neuves se sont effondrées au mois de mars en France (-14,5%). Le secteur est en difficulté et les annonces de droits de douanes de Donald TRUMP dans la journée risquent de ne rien arranger. Ecoutez L'angle éco de Martial You du 02 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le concept n'est plus tabou : présenter les réfugiés aux investisseurs comme des opportunités. Car après la phase d'urgence, l'aide humanitaire est loin de pouvoir répondre à tous les besoins de ces populations. Ce sont maintenant les opérateurs privés qu'on cherche à convaincre d'investir dans les camps. Les camps de réfugiés sont toujours plus grands : plus de 100 000 Maliens à Mbera dans l'Est de la Mauritanie, plus de 600 000 Congolais, Somaliens, Burundais et Soudanais du Sud à Kakuma et Dabaab au Kenya... Des réfugiés souvent laissés en marge des communautés locales et du développement.La Société financière internationale (IFC), membre du Groupe de la Banque mondiale, et l'agence des Nations unies pour les réfugiés ont signé un partenariat il y a deux ans pour attirer des investissements privés. Cheikh Oumar Silla, vice-président de l'IFC, déclare : « Pour pouvoir agir dans ce secteur, il y a plusieurs facteurs. Il faut s'adresser à l'écosystème qui donne l'autorisation de pouvoir travailler avec ou d'employer des réfugiés. Mais il y a aussi une question de perception. Donc, un changement de mentalité est nécessaire. À partir du moment où des institutions comme l'IFC regardent un projet, la perception du risque est fortement réduite. »À lire aussiMauritanie: dans le camp de Mbera, l'investissement des réfugiés pour faire face aux besoinsRenewia étend son réseauCertaines entreprises ont déjà franchi le pas. Douglas Cox est américain. Basé au Rwanda, il est chargé du développement des projets de Renewia Energy en Afrique. Son entreprise vend de l'électricité aux réfugiés du camp de Kakuma, où seulement 8% des habitants sont connectés au réseau national :« Quand tu regardes la taille de certains camps, cela semble évident, explique-t-il. On a ici des centaines de milliers de personnes. Elles développent forcément des activités économiques. Leur fournir les services qui n'émergent pas naturellement ou que les ONG n'apportent pas représente une vraie opportunité. »Un accès à l'électricité qui change, tout insiste l'entrepreneur : ouvertures de cinémas, d'ateliers de couture et même de banques etc. La vie du camp est transformée et Renewia ne cesse d'étendre son réseau : « En 2019, on a d'abord raccordé 500 habitations et commerces à l'électricité. Cela a ensuite été étendu à 3 000. Et en mai prochain, notre objectif est d'atteindre 19 000 connexions, ce qui représente un tiers du camp. »Difficile de recruter dans les campsAprès avoir bénéficié de l'appui des coopérations allemande et américaine, Douglas Cox estime aujourd'hui qu'il n'a plus besoin d'aide. Mais pour beaucoup d'investisseurs, en dépit des efforts des institutions, les obstacles à l'investissement privé demeurent. Il n'est parfois pas toujours possible d'employer des réfugiés. Dans d'autres cas, ceux-ci ne peuvent même détenir un commerce ou une simple puce de téléphone.Pourtant, la Banque mondiale l'assure, étude à l'appui : la présence d'un camp loin de nuire à la croissance de la région qui l'accueille, est plutôt de nature à la booster.
Le secteur de l'ameublement et de la déco ne se porte pas très bien. La semaine dernière, on a appris la faillite de Casa. Cette semaine, c'est Maisons du Monde qui a annoncé des résultats plutôt mitigés. Gilles Quoistiaux, vous êtes journaliste à l'Echo. De quoi souffrent ces enseignes de déco ? Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
L'Espagne, qui occupe la troisième place dans la production d'acier en Europe, après l'Allemagne et l'Italie, s'inquiète des répercussions des frais de douane américains sur l'acier et l'aluminium. Dans le nord de l'Espagne, du Pays basque aux Asturies, où sont implantées les principales usines de fabrication et transformation du métal, le secteur contribue à hauteur de 10% du PIB local. Une économie qui dépend du marché européen, lequel connaît un ralentissement préoccupant. Reportage à Gijon, fief de la métallurgie de la province des Asturies. De notre correspondante à Madrid,Deux hauts-fourneaux crachent jour et nuit leurs flammes et fumées au milieu d'un enchevêtrement de tuyaux et d'usines, digne d'un décor futuriste à la Mad Max. C'est la cité d'ArcelorMittal, le géant mondial de la sidérurgie situé à quelques kilomètres de la ville de Gijon dans les Asturies. Son activité contribue à 12% du PIB local et permet d'employer directement 5 000 personnes et 2 000 sous-traitants. Parmi eux, il y a Oxyplan, une entreprise de 160 salariés, spécialisée dans la transformation du fer et de l'acier. Les clients européens ne manquent pas pour l'instant comme l'assure Jorge Torres, responsable du département marketing :« Nous sommes, nous autres, actuellement dans un processus de croissance. Notre grande force est de disposer d'une gamme de machines très ample, qui nous permet de nous diversifier sur le marché et d'offrir aux clients une sécurité, car nous disposons de stocks, même s'il est vrai que le marché peut varier et qu'il existe une certaine incertitude générale. »Ce sont les répercussions des frais de douane américains sur le marché international de la sidérurgie qui font perdre le sommeil des entrepreneurs locaux. Car les Asturies exportent principalement en Europe, touchée par les hausses de droits de douane américains. Dans le vaste hangar d'Oxyplan, Jorge Torres regarde avec fierté les pièces d'acier finement coupées, dont certaines vont être exportées en Allemagne : « Tout le marché international va être touché évidemment. L'Allemagne est la locomotive de l'acier en Europe. C'est un client direct, mais aussi, l'Allemagne est impliquée dans des projets chez nous ou ailleurs avec nos partenaires. Tout se répercute. Et c'est sûr que les frais de douane ne vont rien arranger à la situation actuelle. »Des sociétés spécialisées dans le secteur de la DéfenseLa nouvelle conjoncture politique apporte toutefois quelques espoirs financiers pour la métallurgie locale, comme le souligne Bruno Lopez, le dirigeant d'Asturex, une entreprise semi-privée chargée de promouvoir les produits des Asturies à l'étranger :« Il y a une industrie, qui ne se voit pas facilement et qui a toujours été là dans les Asturies, qui est celle de l'industrie de la Défense. Ici, il existe un hub, un cluster de 40, 50 entreprises dont la majorité sont liées au métal. Et tout ce qui est en train de se préparer en Europe avec la Défense va réactiver ce secteur. Ici, on fabrique des blindés et toutes sortes de composants. C'est un secteur qui va avoir du poids dans la production en Asturies. »Le gouvernement espagnol de Pedro Sanchez a assuré que l'Espagne allait passer de 1,3% à 2% de son PIB en matière de Défense, ce qui suppose un investissement de 10 milliards d'euros. Dans les Asturies, le secteur du métal se prépare déjà à accueillir de nouveaux projets militaires.À lire aussiDonald Trump annonce 25% de droits de douane sur l'acier et l'aluminium, l'UE promet de réagir
L'Union européenne veut se réarmer face au désengagement américain dans le dossier ukrainien. Ce grand projet présenté par la Commission doit mobiliser près de 800 milliards d'euros pour la défense du continent. Une annonce qui fait les affaires du secteur. Décryptage. La tendance est claire et nette. Depuis le début de l'année, le cours boursier des industriels militaires européens ne cesse d'augmenter. Rheinmetall, le géant allemand de la défense, a vu ses actions bondir de plus de 52%. Dynamique également à la hausse pour l'Italien Leonardo : +38%, ou encore le Français Thales à hauteur de 35%. Voilà pour ne citer qu'eux. Et si les investisseurs ont autant confiance dans ces entreprises, c'est parce qu'elles devraient, selon toute vraisemblance, crouler sous les commandes dans les prochains mois. La Commission européenne entend mobiliser 800 milliards d'euros pour sa défense dont 150 immédiatement sous forme de prêt commun. Sont concernés la défense anti-aérienne, les missiles, les systèmes anti-drones ou encore l'artillerie. Des secteurs auxquels on pense évidemment quand on parle défense militaire, mais il y a aussi tout un tas d'entreprises auxquelles on ne pense pas qui sont essentielles à la fabrication de tels engins. Difficile de ne pas évoquer les sous-traitants, comme ceux qui fabriquent tout simplement des écrous, des boulons ou des composants électroniques. À lire aussiEmmanuel Macron tente de vendre la dissuasion nucléaire aux EuropéensFaire tourner l'industrie européenne Si on prend du recul, on peut sans honte se dire que cette initiative peut relancer l'industrie européenne. Car on l'a souvent démontré, elle est en difficulté. Pourtant, difficile d'être si catégorique. C'est vrai que l'activité du secteur européen est dopée par la hausse des dépenses militaires qui a suivi l'invasion de l'Ukraine par la Russie. Cela devrait d'ailleurs l'être encore plus dans les prochains mois, c'est d'ailleurs ce que précise un rapport publié par le cabinet McKinsey. Mais il faut tout de même préciser que les clients de ces grands industriels, ceux qui vendent des avions, des missiles, des systèmes perfectionnés, ce sont les États. Et que les contrats signés sont des contrats de long terme de plusieurs milliards d'euros. Donc sur cet aspect, c'est de bon augure pour l'industrie militaire européenne.À lire aussiAllemagne: Friedrich Merz veut débloquer des investissements sans précédent pour renforcer son armée Équilibre à trouver Le problème, c'est qu'il va falloir trouver de l'argent. Parce qu'à budget égal, si les dépenses de défense augmentent, il va bien falloir trouver de l'argent ailleurs pour équilibrer les comptes. C'est le principe des vases communicants. L'agence de notation Fitch Ratings met d'ailleurs en garde ce phénomène, car cela va augmenter la dette des pays membres de l'UE. Or, certains comme la France sont déjà concernés par un niveau d'endettement pointé du doigt par la Commission européenne. Autre option que l'exécutif européen compte privilégier : assouplir les règles budgétaires des 27 européens pour permettre des dépenses de défense plus importantes sans toucher aux autres dépenses. Concrètement, la Commission pourrait accepter un déficit plus important. L'Europe semble ainsi changer de doctrine. Il faut à présent que les 27 parlent d'une seule et même voix pour avancer sur ce chemin voulu par Bruxelles ! À lire aussiGrand invité international: Général Christophe Gomart: «J'appelle au réveil de la défense européenne»
durée : 02:29:15 - Les Matins - par : Jean Leymarie, Isabelle de Gaulmyn - . - réalisation : Daphné Leblond
Un secteur de pointe qui nourrit le monde. En effet, si on élargit l'agriculture, AgriTech, à la nourriture, FoodTech, on estime que la France possède plus de 200 start-up, reflétant un véritable dynamisme. Et 40 d'entre elles sont notamment présentes au Salon de l'Agriculture. -----------------------------------------------------------------------SMART TECH - Le magazine quotidien de l'innovationDans SMART TECH, l'actu du numérique et de l'innovation prend tout son sens. Chaque jour, des spécialistes décryptent les actualités, les tendances, et les enjeux soulevés par l'adoption des nouvelles technologies.
Les départs en retraite pour invalidité connaissent une augmentation notable au sein de la fonction publique française. Ce phénomène s'explique par une conjonction de facteurs liés aux conditions de travail, aux évolutions démographiques et aux récentes réformes.Conditions de travail et santé des fonctionnairesLes conditions de travail dans la fonction publique, notamment dans les secteurs de la santé et de l'éducation, se sont dégradées ces dernières années. Les agents sont confrontés à une intensification des tâches, à des effectifs insuffisants et à une pression accrue, ce qui entraîne une augmentation des troubles physiques et psychologiques. Cette détérioration des conditions de travail conduit à une hausse des arrêts maladie de longue durée et, par conséquent, à une augmentation des mises en retraite pour invalidité.Vieillissement de la population activeLa fonction publique est également confrontée au vieillissement de sa population active. Avec l'allongement de la durée de vie et le recul de l'âge de la retraite, les agents restent en poste plus longtemps. Cette situation accroît le risque d'apparition de maladies chroniques ou d'usure professionnelle, rendant certains fonctionnaires inaptes à poursuivre leur activité. Ainsi, le nombre de départs en retraite pour invalidité augmente proportionnellement au vieillissement des effectifs.Réformes et modifications des conditions de départLes récentes réformes des retraites ont modifié les conditions de départ, notamment en repoussant l'âge légal de la retraite. Cette évolution peut inciter certains agents, confrontés à des problèmes de santé, à opter pour une retraite anticipée pour invalidité plutôt que de prolonger leur carrière dans des conditions difficiles. De plus, la revalorisation des pensions d'invalidité, avec une augmentation de 4,6 % au 1er avril 2024, rend cette option financièrement plus attractive pour les fonctionnaires concernés.Impact des politiques de gestion des ressources humainesLes politiques de gestion des ressources humaines au sein de la fonction publique peuvent également jouer un rôle dans cette tendance. Face à des restrictions budgétaires et à une volonté de réduire les effectifs, certaines administrations peuvent encourager les départs anticipés pour invalidité afin de diminuer la masse salariale. Cette approche, bien que contestable, contribue à l'augmentation des mises en retraite pour invalidité.Conséquences pour les finances publiquesCette hausse des départs en retraite pour invalidité a des répercussions sur les finances publiques. Le régime de retraite des fonctionnaires territoriaux et hospitaliers (CNRACL) est particulièrement affecté, avec un déficit croissant qui pourrait atteindre 11,1 milliards d'euros d'ici 2030 si aucune mesure n'est prise. Cette situation nécessite des ajustements structurels pour assurer la pérennité du système de retraite et la prise en charge adéquate des agents invalides.En conclusion, l'augmentation des départs en retraite pour invalidité dans la fonction publique française résulte de la combinaison de conditions de travail éprouvantes, du vieillissement des effectifs, de réformes des retraites et de politiques de gestion des ressources humaines. Ce phénomène pose des défis majeurs en termes de santé au travail et de soutenabilité financière des régimes de retraite. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:06:01 - La Terre au carré - par : Mathieu Vidard - Dans les dix dernières minutes de l'émission, La lutte enchantée de Claire Nouvian, la Une des médias par Olivier Monod de Libération et vos messages laissés sur le répondeur de l'émission. - réalisé par : Jérôme BOULET
Mercredi 5 février, Frédéric Simottel a reçu Cédric Ingrand, directeur général de Heavyweight Studios, Yves Maître, operating partner chez Jolt capital et consultant, ancien PDG de HTC, et Augustin Sayer, cofondateur et directeur général d'Ovni Venture Capital. Ils se sont penchés sur la révolution du secteur de l'IA grâce à DeepSeek, la course aux puces IA entre Nvidia et AMD, et les attentes pour le sommet de l'IA qui se déroulera dans cinq jours, dans l'émission Tech & Co, la quotidienne, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez-la en podcast.