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durée : 00:00:21 - Un gaveur recherché pour Montignac - Deux offres dans le secteur agricole pour Montignac en Dordogne concernant un ouvrier polyvalent et chauffeur poids-lourd ainsi qu'un gaveur. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:04:31 - Le Grand reportage de France Inter - Il y a 3 mois, le gouvernement suspendait le guichet Ma Prime Renov, pointant un afflux de dossiers, entachés de soupçons de fraude. À la veille de sa réouverture, France Inter s'est intéressé aux profils des escrocs spécialistes du démarchage abusif, qui sévissent sur ce secteur. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:20:51 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Julie Gacon - En Namibie, le pétrole ne fait pas encore loi. Mais de nouveaux gisements jugés prometteurs sur ses côtes attirent les convoitises. D'un côté, les pionniers qui croient depuis longtemps dans ce territoire, de l'autre, les géants du secteur arrivés récemment. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Clotilde Ravel Journaliste à Africa Intelligence et co-responsable du pôle enquête
Depuis maintenant plus d'un an, Cuba connaît des problèmes d'électricité récurrents, avec des coupures qui durent parfois plus de 15 heures par jour. Ces derniers mois, des provinces entières n'ont plus eu de courant pendant des semaines, la faute à des infrastructures vieillissantes, pour ne pas dire totalement défaillantes. L'embargo américain, mis en place depuis 1962, y est pour beaucoup, mais pas seulement. Exaspérés, des Cubains descendent dans les rues régulièrement pour dénoncer cette situation. Pour l'historien cubain Manuel Cueta Morua, ancien fonctionnaire et opposant depuis des décennies, c'est un signe du délabrement du régime de La Havane. C'est ce qu'il a raconté à Romain Lemaresquier qui l'a joint dans la capitale cubaine qu'il n'a jamais quittée malgré plusieurs passages en prison. Donald Trump bafoue l'indépendance de la justice Aux États-Unis, James Comey, l'ancien patron du FBI, a été mis en examen pour fausses déclarations et entrave à la justice. Cela faisait des mois que Donald Trump voulait sa tête car il avait enquêté sur des soupçons d'ingérence russe lors de sa campagne en 2016. Le président américain n'a pas hésité à faire pression sur la justice pour parvenir à ses fins, relève la presse américaine. Ainsi, Donald Trump «a bafoué la longue tradition qui veut que le ministère de la Justice se tienne à l'écart de la Maison Blanche (...) et résiste aux pressions politiques», écrit le New York Times. Une tradition qui remonte à l'après-Watergate. La sacro-sainte indépendance de la justice est «une règle démocratique fondamentale», insiste le quotidien new-yorkais. «Ce pare-feu, aussi imparfait soit-il, a été établi pour préserver l'idéal démocratique d'un pays où la justice est impartiale et où personne n'est au-dessus des lois», renchérit le Washington Post. Cette première qui marque une «extension du pouvoir présidentiel», «fait craindre de nouvelles poursuites judiciaires arbitraires lancées par Donald Trump contre ses ennemis», s'inquiète le New York Times. D'autant que le président est en train de remodeler le ministère de la Justice en nommant des gens sans expérience qui placent leur loyauté envers lui au-dessus du respect de l'indépendance de la justice, explique le Washington Post. «Huit mois après le début de son second mandat, Donald Trump a tenu sa promesse de faire de la vengeance un élément central de sa présidence», se désole le journal. «Haïti a droit à la paix !» Laurent Saint-Cyr, le président du CPT, a alerté sur la situation en Haïti, hier (25 septembre 2025) à la tribune des Nations unies. Il a comparé son pays à un «Guernica contemporain (...) à 4 heures de vol de New York». Un «discours passionné», selon le Miami Herald. «Dans un contexte de crises mondiales qui font rage, d'apathie et de changements dans les priorités de l'aide étrangère américaine», Laurent Saint-Cyr «a appelé le monde à l'aide», écrit encore le journal, alors que le mandat de la Mission multinationale de sécurité expire jeudi 2 octobre 2025. Cette allocution était «totalement creuse», «indigne» même, estime, pour sa part, Radio Télé Métronome. «Laurent Saint-Cyr n'a mentionné aucune réalisation, si ce n'est l'augmentation du budget consacré à la sécurité», développe le média. Mais à quoi cela a-t-il servi ? Puisque «les gangs ont étendu leur emprise sur de nouveaux territoires». «18 mois après son arrivée à la tête du pays, à la tribune des Nations unies, le CPT a confessé son échec», juge Radio Télé Métronome. L'inflation fait rage en Haïti Les prix ont augmenté de 31% en un an, nous apprend Le Nouvelliste, avec des hausses de prix particulièrement importantes en ce qui concerne les loyers, le gaz, l'essence et la nourriture. Pour une majorité de foyers, près de la moitié du budget sert à se nourrir, explique le journal. Et pour acheter à manger, beaucoup d'Haïtiens dépendent de leurs proches qui vivent à l'étranger. D'octobre à juin, 3,3 milliards de dollars ont été transférés. Des devises qui servent avant tout à financer les importations et qui quittent, donc, le pays. Ce flux pourrait se tarir, fait remarquer Le Nouvelliste, compte tenu des menaces qui pèsent sur la diaspora installée aux États-Unis, comme par exemple, l'idée de Donald Trump de faire payer un visa aux diplômés. Autre inquiétude : «L'incertitude entourant la migration et les choix politiques aux États-Unis (...) pourraient conduire à un ralentissement outre-Atlantique», analyse le journal. «Les enfants musiciens de Ste Suzanne» Dans ce documentaire, le réalisateur Arnold Antonin raconte l'histoire des orphelins de Sainte-Suzanne, petite commune du nord-est d'Haïti. Cette quarantaine d'enfants recueillis dans un premier temps à Port-au-Prince par Kai Didi, ont été forcés de quitter la capitale à cause des violences, et se sont installés à Sainte-Suzanne où ils ont monté un orchestre. Lila Olkinuora s'est entretenue avec Arnold Antonin. Le journal de la 1ère Au lendemain d'une nouvelle fusillade mortelle en Martinique, les médiateurs sociaux plaident pour leur retour rapide sur le terrain.
L'émission 28 minutes du 25/09/2025 Usine Stellantis à l'arrêt : est-ce le symbole d'un secteur automobile en crise ? Le groupe Stellantis a confirmé, mardi 23 septembre, la mise au chômage partiel de 2000 salariés de son usine de Poissy (Yvelines) pendant 3 semaines au mois d'octobre. Cinq autres usines, en Europe, du constructeur automobile devraient connaître le même sort selon le journal “les Échos”. Le quatrième constructeur automobile mondial justifie son choix par une adaptation à un rythme de production dû “à un marché difficile en Europe”. Le groupe multinational a notamment vu ses chiffres chuter de 8,1 % en Europe dans cette première partie d'année 2025. Mais Stellantis n'est pas le seul groupe en difficulté. Avec des ventes à la baisse et une concurrence mondiale accrue, les constructeurs européens se sentent sous pression. La fin de la commercialisation des voitures thermiques initialement prévue à 2035, mais qui pourrait être réexaminée, approche à grands pas alors que le marché des véhicules électriques à batteries stagne. Les constructeurs se plaignent également d'un manque d'aménagement des stations de recharge. Alors cette mise à l'arrêt des usines Stellantis est-elle le symbole d'une industrie automobile européenne en crise ?On en débat avec Yves Carra, porte-parole de Mobilité Club France, Danielle Attias, économiste, spécialiste du marché de l'électromobilité et Diane Strauss, directrice du bureau français de l'ONG Transport & Environnement.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 25 septembre 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
En Belgique, nous adorons boire des bulles, et quand je parle de bulles, je ne parle pas de la bière – qu'on aime évidemment d'amour – mais de vins avec des bulles dedans. Nous sommes, si on compte les bouteilles qui voyagent dans le coffre des voitures entre notre pays et la Champagne, les plus gros consommateurs de Champagne par tête de pipe, même si nous buvons deux fois plus de Cava espagnol que de Champagne. Nos bulles belges sont le plus souvent de très bonne qualité, au point qu'elles sont relativement chères, et souvent rares. ---Fanny Gillard et Carlo de Pascale voyagent dans l'univers culinaire de notre style de vie rock n' roll. Et si cela vous met l'eau à la bouche, alors vous retrouverez également toutes les recettes de Carlo sur notre site Classic21.be dans la rubrique Cook As You Are. Merci pour votre écoute Plus de contenus de Classic 21 sur www.rtbf.be/classic21 Ecoutez-nous en live ici: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer BelgiqueRetrouvez l'ensemble des contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez les autres podcasts de Classic 21 : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock'n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSkAinsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock'n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLpEt découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankxEt retrouvez également Carlo De Pascale dans cet autre podcast de la RTBF: Bientôt à Table : https://audmns.com/mVwVCerHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pascal Boulanger, Président de la Fédération des Promoteurs Immobiliers (FPI), était l'invité de l'émission Ecorama du 25 septembre 2025, présentée par David Jacquot sur Boursorama.com. Parmi les sujets abordés : la chute persistante des ventes de logements neufs, la frilosité des acheteurs malgré des taux de crédit plus bas, l'effondrement des investissements locatifs, l'allongement inquiétant des délais de vente, et les perspectives incertaines pour une reprise du secteur avant 2026. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Secteur de l'emploi : 45 824 étrangers travaillent à Maurice avec un permis en règle by TOPFM MAURITIUS
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Été 2025 : Le CEB et le secteur privé unissent leurs forces pour une meilleure gestion énergétique by TOPFM MAURITIUS
Chaque semaine dans l'émission, Olivier Dauvers répond aux questions des auditeurs ! Romain aimerait savoir si la Shrinkflation touche uniquement les produits alimentaires. Pour lui répondre, Olivier Dauvers prend l'exemple de la PlayStation 5. Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La santé est un bien universel… mais aussi une question de gros moyens. Depuis plusieurs années, le financement des systèmes de santé en Afrique se fragilise : baisse des financements publics, crises budgétaires, conséquences durables du Covid-19. Début 2025, le retour au pouvoir de Donald Trump a marqué un tournant brutal avec une réduction des subventions américaines notamment à travers l'USAID. Un coup dur pour de nombreux pays dans leur lutte contre le VIH, le paludisme ou encore financer le planning familial. Mais face à ce contexte défavorable, d'autres acteurs notamment privés inventent de nouveaux leviers de financement. Nos invités Erick Maville – président de Santé en Entreprise, président de la Commission Santé du CIAN (conseil français des investisseurs en Afrique) Amina Abou Khalil – administratrice générale de la Fondation Orange Guinée Ingrid Etoke – experte en financement de la santé, actuellement employée par la fondation Bill & Melinda Gates Ali Attié – directeur général du groupe de courtage en assurances santé GGA Groupe en Côte d'Ivoire. Thématiques de l'émission 1. L'impact des coupes budgétaires Retrait partiel de l'USAID et diminution de l'aide européenne. Conséquences directes sur la lutte contre le VIH, le paludisme et le système hospitalier. 2. Nouvelles sources de financement Partage des financements entre public et privé. Rôle croissant des assurances, partenariats public-privé et mécanismes communautaires. Mobilisation de la diaspora et fiscalité locale. 3. Accès aux soins et inégalités Quels modèles de couverture universelle en Afrique ? Développement des assurances santé en Côte d'Ivoire. Projet Caravane Santé 3è âge de la Fondation Orange en Guinée : dépistage et prévention du diabète et de l'hypertension. Reportage signé du correspondant de RFI Tangi Bihan : 4. Investissements stratégiques Recherche médicale et production locale de médicaments (réduction des importations). Formation et maintien du personnel de santé pour limiter l'exode des cerveaux médicaux. Place de la digitalisation : télémédecine, e-santé, optimisation des coûts. 5. Vers une souveraineté sanitaire africaine ? Moins de dépendance à l'aide extérieure ? Nécessité d'un équilibre entre financements publics, privés et philanthropiques. Défis d'équité sociale face à la privatisation progressive du secteur.
durée : 00:36:54 - Une semaine en France - Ce vendredi dans Une Semaine en France, gros plan sur le secteur associatif, pour lequel la vie est de plus en plus complexe face aux réductions ou même à la suppression pure et simple des aides dont les acteurs de la vie associative dépendent étroitement. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
La santé est un bien universel… mais aussi une question de gros moyens. Depuis plusieurs années, le financement des systèmes de santé en Afrique se fragilise : baisse des financements publics, crises budgétaires, conséquences durables du Covid-19. Début 2025, le retour au pouvoir de Donald Trump a marqué un tournant brutal avec une réduction des subventions américaines notamment à travers l'USAID. Un coup dur pour de nombreux pays dans leur lutte contre le VIH, le paludisme ou encore financer le planning familial. Mais face à ce contexte défavorable, d'autres acteurs notamment privés inventent de nouveaux leviers de financement. Nos invités Erick Maville – président de Santé en Entreprise, président de la Commission Santé du CIAN (conseil français des investisseurs en Afrique) Amina Abou Khalil – administratrice générale de la Fondation Orange Guinée Ingrid Etoke – experte en financement de la santé, actuellement employée par la fondation Bill & Melinda Gates Ali Attié – directeur général du groupe de courtage en assurances santé GGA Groupe en Côte d'Ivoire. Thématiques de l'émission 1. L'impact des coupes budgétaires Retrait partiel de l'USAID et diminution de l'aide européenne. Conséquences directes sur la lutte contre le VIH, le paludisme et le système hospitalier. 2. Nouvelles sources de financement Partage des financements entre public et privé. Rôle croissant des assurances, partenariats public-privé et mécanismes communautaires. Mobilisation de la diaspora et fiscalité locale. 3. Accès aux soins et inégalités Quels modèles de couverture universelle en Afrique ? Développement des assurances santé en Côte d'Ivoire. Projet Caravane Santé 3è âge de la Fondation Orange en Guinée : dépistage et prévention du diabète et de l'hypertension. Reportage signé du correspondant de RFI Tangi Bihan : 4. Investissements stratégiques Recherche médicale et production locale de médicaments (réduction des importations). Formation et maintien du personnel de santé pour limiter l'exode des cerveaux médicaux. Place de la digitalisation : télémédecine, e-santé, optimisation des coûts. 5. Vers une souveraineté sanitaire africaine ? Moins de dépendance à l'aide extérieure ? Nécessité d'un équilibre entre financements publics, privés et philanthropiques. Défis d'équité sociale face à la privatisation progressive du secteur.
Tensions à la BOM : « des éléments qui peuvent avoir de répercussions sur notre secteur financier, et des notations négatives pour l'économie de Maurice » souligne Manisha Dookhony by TOPFM MAURITIUS
Didier Truchot, fondateur et président du conseil d'administration d'Ipsos, était l'invité de l'émission Ecorama du 18 septembre 2025, présentée par David Jacquot sur Boursorama.com. Parmi les sujets abordés : la montée des tensions fiscales entre État et entreprises, la polémique autour de la taxe Zucman, les inquiétudes des chefs d'entreprise face au manque de visibilité économique, ainsi que le virage stratégique d'Ipsos. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
durée : 00:02:14 - Le brief éco - Le conglomérat indien Jindal Steel souhaite racheter la branche acier de l'allemand ThyssenKrupp, premier sidérurgiste européen, en difficulté face à la concurrence chinoise et au coût de l'énergie. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Secteur automobile : chute de 50 % des ventes depuis juillet 2025 by TOPFM MAURITIUS
durée : 00:02:47 - Le festival des jeux de société à Vichy - Marché en plein essor depuis quelques années, le jeu de société a son festival à Vichy. Avant le grand public le week-end du 20-21 septembre, trois jours sont dédiés uniquement aux professionnels pour qui Vichy est devenue incontournable pour découvrir les nouveautés qui se vendront à Noël. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Secteur agricole : « La politique du gouvernement est de produire ce que nous consommons, car nous importons pour plus de Rs 65 millions de produits alimentaires », souligne le ministre de l'Agro-Industrie, Arvin Boolell by TOPFM MAURITIUS
Le 25 septembre, Pit Baccardi célébrera ses 25 ans de carrière sur la scène de l'Olympia, à Paris. Pit Baccardi est une figure importante du rap francophone. Cet anniversaire est l'occasion de retracer son parcours et son engagement de ses débuts au sein du Secteur Ä à son rôle de producteur au Cameroun. Accompagné de son invité Finn Joli, il répond aux questions de Claudy Siar, Warra Charlotte Gomis et Laura Mbakop. Pour visionner les clips, cliquez sur les titres des chansons : Live Pit Biccardi - Si loin de toi Pit Baccardi - Ambition Finn Joli - Je pense à moi Pit Baccardi feat Magasco - One by one Pit Baccardi - Feu Retrouvez la playlist officielle de RFI Musique.
Le 25 septembre, Pit Baccardi célébrera ses 25 ans de carrière sur la scène de l'Olympia, à Paris. Pit Baccardi est une figure importante du rap francophone. Cet anniversaire est l'occasion de retracer son parcours et son engagement de ses débuts au sein du Secteur Ä à son rôle de producteur au Cameroun. Accompagné de son invité Finn Joli, il répond aux questions de Claudy Siar, Warra Charlotte Gomis et Laura Mbakop. Pour visionner les clips, cliquez sur les titres des chansons : Live Pit Biccardi - Si loin de toi Pit Baccardi - Ambition Finn Joli - Je pense à moi Pit Baccardi feat Magasco - One by one Pit Baccardi - Feu Retrouvez la playlist officielle de RFI Musique.
Avec Sandrine de l'Adil 70 - 90
Sites internet : https://www.fnaim.fr/ https://paris.rent.immo/fr https://www.ca-immobilier.fr/
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Secteur agricole : « Aujourd'hui, nous ne produisons que 60 % de notre consommation nationale. Notre objectif est d'atteindre au moins 90 % d'ici cinq ans », déclare le Dr Arvin Boolell, ministre de l'Agro-industrie by TOPFM MAURITIUS
ACTIV SAINTE NIGHT CLUB | AFTER MATCHS | EMISSION DES SUPPORTERS DES VERTS
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce podcast, avec Julie Bader (De Gaulle Fleurance) et Alexandre Roubaud (Bitstack), nous discutons de ce que change la régulation pour Bitstack, leurs utilisateurs et l'écosystème crypto dont les sociétés et startups.Nous abordons les défis réglementaires auxquels font face les startups dans le secteur des cryptomonnaies, notamment en ce qui concerne l'agrément MiCA ou la Traval Rule ainsi que l'importance de la sécurité et de la conformité dans le secteur et leurs coûts associés. Mais aussi les opportunités liées à la réglementation comme une expansion à l'international.Enfin nous discuter de l'importance du Bitcoin comme moyen de protéger le pouvoir d'achat face à l'inflation et aux politiques monétaires ainsi que de l'évolution du marché des stablecoins.Nos podcasts sont aussi sur :
durée : 00:41:04 - Le dossier du jour - Tout savoir sur la randonnée avec le Club Vosgien Schirmeck-Donon Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Monde du travail : Atma Shanto dénonce les abus dans le secteur hôtelier ainsi que l'absence de conseil pour le Tourism Employees Welfare Fund by TOPFM MAURITIUS
La grande distribution lance ce week-end les fameuses foires aux vins, un évènement important pour la filière viticole, peut-être davantage pour l'image que pour le chiffre d'affaires, même si l'apport de trésorerie est crucial pour le secteurMention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque soir, Julie Hammett vous accompagne de 22h à 00h dans BFM Grand Soir.
Alors que le secteur productif est à la peine aux Comores, comment faire en sorte de développer « l'État investisseur » dans l'archipel ? Face à ce problème, acteurs publics, banques et régulateurs s'accordent sur un même constat : sans financements adaptés ni infrastructures de base, le secteur privé restera fragile. Pour tenter de le renforcer, un certain nombres d'initiatives commencent donc à voir le jour. Objectif : créer dans le pays un climat d'affaires plus favorable. Avec notre correspondant à Moroni, Alors que de nombreux entrepreneurs comoriens déplorent la fuite de capitaux hors de l'archipel en raison de l'obtention de marchés publics nationaux par des entreprises étrangères, Saadi Maoulida, qui est membre de l'Autorité de régulation des marchés publics, affirme être à la recherche de solutions : « Nous avons entrepris des échanges avec la chambre de commerce ainsi qu'avec le gouvernement pour intégrer de nouvelles directives qui vont encourager les petites et moyennes entreprises à se regrouper. Objectif : concurrencer les expertises étrangères pour que la gestion des contrats publics soit effective au niveau national ». « Beaucoup d'entrepreneurs n'ont pas connaissance des règlements en matière de passation des marchés publics. C'est pour cette raison qu'aujourd'hui, ils n'arrivent pas à être compétitifs sur le créneau », ajoute-t-il. Lors du dernier dialogue en date entre le secteur public et le secteur privé, « le gouvernement a appelé au respect des règlementations nationales […]. Nous avons lancé des mesures de sensibilisation aux acteurs de la commande publique pour qu'ils s'y conforment. » À lire aussiComores : « Investir aujourd'hui, transformer demain », le salon des entreprises BIK 2025 s'ouvre à Moroni « Là où on rencontre le plus d'obstacles, c'est au niveau de l'acheminement de nos matériaux » À ce problème s'ajoute celui de l'insularité des Comores ainsi que toute une série d'autres difficultés comme le manque d'infrastructures de transports dans le pays. « Là où on a le plus d'obstacles, c'est au niveau de l'acheminement de nos matériaux, comme quand on a passé une commande et qu'on nous dit que le bateau arrivera à telle date mais que finalement, il n'arrive pas... », illustre ainsi Moinahadidja Hachim, le responsable de Locakom qui s'apprête à ouvrir une société familiale de location d'outils de bricolage et de jardinage. Face à ces défis, de nouvelles initiatives sont mises en place pour tenter de soutenir les jeunes entrepreneurs. « Actuellement, nous avons par exemple le réseau Komsae dont la mise en place va permettre à ces derniers de se rapprocher de différentes structures en fonction de leurs besoins », explique ainsi Nadjwa Saïd Mohamed Djalim, assistante de direction chez Innov'Lab, le premier incubateur comorien qui est à l'origine de Komsae. « Ces initiatives doivent permettre de promouvoir une culture entrepreneuriale et l'entrepreneuriat collectif » aux Comores, poursuit celle-ci. Objectif : « Faire travailler ensemble ces jeunes entrepreneurs, créer entre eux un esprit d'équipe et de collaboration ». En dépit du tarif des stands jugé trop cher, le dernier Salon des entreprises comoriennes a toutefois permis des rencontres pour tenter de rapprocher les acteurs du secteur public et du secteur privé. À lire aussiComores : la diaspora, un pilier vital de l'économie nationale pendant le ramadan
Secteur du transport : un protocole d'accord Maurice-Russie pour moderniser le réseau public by TOPFM MAURITIUS
CHCL : cap sur l'innovation numérique pour dynamiser l'attractivité du secteur portuaire mauricien by TOPFM MAURITIUS
Aujourd'hui, Abel Boyi, Antoine Diers et Barbara Lefebvre débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall.
Auditeurs : - Nicolas, propose des solutions aux soins psy en dehors du secteur privé - Liliana, reviens sur la perte de son logement, qui l'a conduite à vivre dans la rue - Conductrice de bus agressée à Marseille, Dany, revient sur son traumatisme qui a suivi Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Maroc est le plus important producteur de cannabis au monde. Problème : une grande partie de cette filière échappe aujourd'hui à tout contrôle. En 2021, une loi a permis la légalisation de la production à des fins industrielles et médicales. Agriculteurs, coopératives de transformation, exportateurs... Un nouveau secteur se déploie autour du cannabis licite. Avec notre envoyé spécial dans les montagnes du Rif, À flanc de montagnes, dans le nord du Maroc, dans le Rif, les champs de marijuana s'étendent à perte de vue. « La plante que vous voyez ici, elle va servir à fabriquer des médicaments. On ne va plus la vendre aux trafiquants. Elle sera vendue à une coopérative, de manière officielle, sous la supervision de l'État », se réjouit Najib, 38 ans. Il cultive du cannabis légal depuis 2022. « Tu sais ce que tu vas gagner désormais. C'est un travail officiel, sûr. Ce n'est pas comme avant. On avait affaire à des gens qu'on ne connaissait pas, explique-t-il. On était à leur merci, ils pouvaient nous voler la récolte, le fruit d'une année de travail, et à qui pouvait-on se plaindre ? » La filière légale profite d'un réel engouement. En 2024, plus de 3 000 autorisations ont été délivrées par l'Anrac aux agriculteurs marocains, contre seulement 430 l'année précédente. L'Anrac, pour Agence nationale de réglementation des activités relatives au cannabis, est le garde-fou du secteur. « Les prix sont fixés par contrat au départ. Donc l'agriculteur sait très bien ce qu'il va toucher. Il y a des avantages économiques, des subventions, des aides, un accompagnement de l'État. Être un agriculteur avec des documents, avec une carte, avec la possibilité d'aller chez le médecin... Tout change ! L'agriculteur, il existe. Alors qu'avant, il n'existait pas », détaille Jaber El Hababi, cofondateur de la coopérative de transformation Biocannat. Selon le ministère de l'Intérieur, le cannabis illégal fait vivre 400 000 personnes au Maroc. Les cultivateurs sont loin d'être tous passés au légal : « Il y a ce qu'il y a depuis des décennies. On ne peut pas non plus venir et changer tout d'un seul coup. Cela ne changera jamais d'un seul coup. Il faut du temps. Ce qui est difficile dans ce secteur, c'est la logistique. Comment pénétrer un marché ? Comment arriver à un marché ? Mais le Maroc a un avantage indéniable, c'est le produit roi dans le monde. » Quatre ans après la légalisation de la culture du cannabis au Maroc, le secteur en est encore à ses débuts. Les autorités voient en lui la base d'un nouveau modèle de développement pour cette région marquée par un sentiment persistant de marginalisation. À lire aussiMaroc: des températures qui dépassent les 40 degrés, le pays frappé par une vague de chaleur
« Le secteur informel est une composante essentielle de la plupart des économies subsahariennes », décrit le FMI. S'il contribue de 25 à 65% du PIB des pays, une partie des bénéfices de ces activités économiques échappent cependant aux caisses des États. Afrique économie vous emmène cette semaine dans une plongée de l'informel sur le continent. Au Tchad, l'extraction d'or est une activité encore artisanale et souvent informelle. Mais les autorités de Ndjamena souhaitent que le secteur se professionnalise. L'objectif est de multiplier par cinq la contribution du secteur minier à la richesse nationale d'ici quelques années. Et si le Tchad devenait le nouvel Eldorado ? Si pour l'instant, la production d'or du Tchad reste largement informelle, les autorités s'autorisent à rêver en grand. L'extraction d'or est en effet considérée par ce pays du Sahel comme l'un des vecteurs majeurs de croissance dans son nouveau Plan national de développement. Actuellement, le Tchad exporte déjà « dix tonnes au moins par an » d'or, et ce uniquement par le biais de l'orpaillage artisanal, rappelle le ministre tchadien des Finances, Tahir Hamid Nguilin. Mais pour passer à la vitesse supérieure, le pays devra attirer les investisseurs. « En donnant des permis, en suivant les règles de l'art, à des multinationales et à des sociétés qui répondent à un certain nombre de critères et de standards, nous pensons que nous pouvons au moins faire passer le poids du secteur minier dans notre PIB de 1% – ce qui est encore très bas aujourd'hui – à 5% à horizon 2030 », explique Tahir Hamid Nguilin. Les revenus de l'or sont en hausse au Tchad, confirme Charles Bouessel, analyste Afrique centrale pour International Crisis Group (ICG), même s'ils restent compliqués à estimer. « La plupart de l'or est exporté vers les Émirats », affirme l'expert, qui note néanmoins « un delta important entre ce qui est déclaré à la sortie du Tchad et ce qui est déclaré à l'entrée des Émirats ». Faire contribuer l'or aux finances publiques Le secteur de l'or au Tchad « gagnerait à être formalisé pour qu'il apparaisse davantage – et de manière plus fidèle – dans les finances publiques », poursuit Charles Bouessel. De son côté, la Société financière internationale, partenaire de la Chambre de commerce et du patronat tchadiens, souligne l'importance de formaliser toutes les activités économiques, y compris les activités minières. « L'inclusion des orpailleurs pour leur accès au financement » est centrale pour y parvenir. Selon cette antenne de la Banque mondiale chargée des entreprises privées, il est crucial de « préparer les PME et PMI tchadiennes à explorer les possibilités d'affaires » dans le secteur aurifère, de sorte que les entreprises locales puissent « participer à cette chaîne de valeur », souligne Sylvain Kakou, représentant au Sahel de l'organisation. Pour plus de clarté et mieux accompagner le secteur privé, la Société financière internationale encourage notamment les autorités tchadiennes à rendre effective la loi sur le Code minier. À lire aussiTchad: un séminaire national sur la décentralisation pour réfléchir à un nouveau projet de société
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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En Tunisie, la hausse des tarifs douaniers imposée par les États-Unis va entrer en vigueur jeudi 7 août. Ce serrage de vis tarifaire s'inscrit dans le cadre d'une vague de surtaxes douanières qui touchent près d'une soixantaine de pays. Une augmentation de 25 % qui va surtout affecter l'artisanat tunisien dont les États-Unis sont les premiers importateurs. Avec notre correspondante à Tunis, À l'Office national de l'artisanat, dans le quartier de La Manouba à Tunis, Karim Bairam supervise la découpe des pierres pour ses mosaïques. 80% de la production de cet artiste mosaïste et sculpteur part à l'export, une grande partie vers les États-Unis. « Je travaille avec des particuliers, des clients qui ont des maisons et qui veulent acheter une pièce souvenir d'ici comme une grande table ou un tableau », détaille-t-il. Il prend l'exemple de sa dernière pièce d'une valeur d'environ 3 000 dinars. Les taxes et les frais d'envois appliqués s'élèvent actuellement à environ 1 200 dinars, peut-être 1 600 environ après l'application des nouvelles taxes, explique l'artisan. Des coûts de douane et de livraison qui sont aux frais du client. Pour l'instant, la différence n'est pas trop importante pour les commandes à l'unité des particuliers, mais Karim redoute les conséquences sur le long terme : « Avec une grande commande, ils vont calculer tout ça, tu vois, c'est sûr. » Mesures pour une baisse des coûts d'envoi, diversification des marchés Karim explore déjà de nouveaux marchés comme la Chine. Aux États-Unis, Kenza Fourati co-fondatrice de la marque Osay the Label, qui vend des babouches traditionnelles en cuir importées de Tunisie, craint de devoir augmenter ses prix pour ne pas diminuer sa marge déjà petite. « L'impact sur les artisans avec lesquels on travaille sera forcément qu'il y aura moins de production, le volume de production va forcément diminuer un peu si les prix changent », anticipe-t-elle. « C'est ça qui nous inquiète un peu, car notre travail est à échelle très humaine. Il y a des compagnies plus grandes qui peuvent absorber ces coûts et sont donc moins impactées. Mais des compagnies à petite taille comme les nôtres, ce sont elles qui en souffrent le plus. Les gens vont souffrir sur toute la ligne de production de ces tarifs », poursuit l'entrepreneuse. À Tunis, à l'office de l'artisanat, Leila Maslati, la directrice, veut rassurer les 350 000 artisans qui travaillent dans le pays. Elle prévoit la relance d'un projet avec le ministère du Commerce pour faire baisser le coup d'envoi et de livraison vers les États-Unis, mais aussi une diversification des marchés. « L'Afrique, c'est important pour nous, cette année, on a eu deux participations qui étaient bénéfiques pour le secteur de l'artisanat, au Cameroun et aussi au Nigeria. Et on aura en 2026 une participation importante en Côte d'Ivoire », précise-t-elle. En 2024, le volume des exportations de l'artisanat représentait 160 millions de dinars tunisiens – environ 55 millions de dollars – plus d'un tiers destiné au marché américain.
durée : 00:02:16 - Le vrai ou faux - Alors que le gouvernement cherche à réduire les dépenses de l'Assurance maladie dans le cadre du budget 2026, la CFTC pointe du doigt la radiothérapie. Le syndicat dénonce "des marges énormes". Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Tous les matins à 7h20, les petits secrets de l'actualité, les infos que vous n'avez pas vues ailleurs. Les journalistes des rédactions de RMC et RMC Sports se mobilisent pour vous raconter les coulisses de l'actualité.
"J'ai une vision du marché que je n'avais pas du tout avant." - Maxime ✒️Le thème de ce nouvel épisode : construire un réseau utile à son activité, entretenir une excellente réputation … et nourrir sa vision du business ✨Mon invité pour en parler : Maxime, directeur de production événementiel indépendant depuis 12 ans. Il est aussi président d'honneur de l'asso Les freelances de l'événementiel, formateur en écoles pro et hyperactif du networking. Quand il ne bosse pas sur un événement, Maxime passe son temps à rencontrer des gens : dirigeants d'agence, prestataires, pairs, étudiants, jeunes freelances… Ce n'est pas (que) pour faire du business. C'est surtout pour se rendre visible dans sa niche, rester en veille et tisser des liens utiles à long terme. Maxime assure “ne pas faire d'effort” quand il s'agit de réseauter. Et pourtant, à force de multiplier les rencontres, il a fini par construire une stratégie solide, presque sans le vouloir.
Ecoutez L'angle éco de Martial You du 08 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Au menu de la deuxième heure des GG du lundi 30 juin 2025 : "Faut-il privatiser l'audiovisuel public ?", "Une plaque commémorative pour Nahel, mérité ou aberrant ?" et "Secteur touristique recherche saisonniers désespérément !", avec Flora Ghebali, militante dans la transition écologique, Charles Consigny, avocat, et Emmanuel de Villiers, entrepreneur.
A 10h45, ce lundi 30 juin 2025, les GG : Flora Ghebali, militante dans la transition écologique, Charles Consigny, avocat, et Emmanuel de Villiers, entrepreneur, débattent de : Secteur touristique recherche saisonniers désespérément !
durée : 00:06:03 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - Le secteur maritime est responsable de 3% des émission de gaz à effet de serre. Sa décarbonation est un enjeu gigantesque pour le climat. C'est aussi un défi économique et financier pour le secteur.