Commune in Bourgogne-Franche-Comté, France
POPULARITY
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Émission du 15/05/2025 Aujourd'hui, nous avons le plaisir de recevoir deux projets étudiants portés par des étudiants en BUT Techniques de Commercialisation. Plein phare sur Étoiles en scène, un concours de jeunes talents qui met en avant des étudiants artistes : musiciens, danseurs, performeurs, créateurs, cheerleaders. Le concours se déroulera le samedi 24 mai 2025 […] L'article Sortez! – Étoiles en scène / Au Cœur des Maux est apparu en premier sur Radio Campus Tours - 99.5 FM.
Pourquoi les maux de ventre sont si fréquents aujourd'hui ?
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cristina tuvo el placer de conversar con la entrenadora de las estrellas, Diana Maux, quien nos contó cómo comenzó su camino en el mundo del fitness. Su transformación inició al verse estresada y decidir priorizar su salud. El gran impulso de su carrera llegó durante la pandemia, cuando la influencer Lele Pons empezó a entrenar con ella, lo que le abrió las puertas para trabajar con celebridades. Diana comparte su filosofía basada en la constancia: “No days off”, nunca saltarse los lunes y el verdadero secreto: tener una rutina.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Selon une étude réalisée par l'IFOP en 2021, de nombreux Français semblent souffrir régulièrement de troubles digestifs. Maux de ventre, gaz, ballonnements ou encore prise de poids, ces petits désagréments peuvent devenir de plus en plus fréquents et importants. En effet, avec l'âge, la digestion de certains aliments peut s'avérer plus difficile. Ce changement peut s'expliquer notamment par de moins bonnes sécrétions hormonales et digestives entrainant tout un tas de problèmes au niveau de l'appareil digestif. Et contrairement à ce que l'on pourrait penser, certaines combinaisons présentes au quotidien dans nos assiettes ne sont pas du meilleur effet. Mais alors, quelles associations éviter pour se sentir plus léger ? Est-ce dangereux en soi ? Et pourquoi certains mélanges sont-ils particulièrement indigestes ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant Vous Savez ". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Olivia Villamy. Première diffusion : 19 septembre 2023 À écouter aussi : L'huile de palme est-elle vraiment dangereuse pour la santé ? Peut-on manger des œufs tous les jours ? Vivre au bord de la mer est-il meilleur pour la santé ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Pourquoi la Torah s'attarde-t-elle davantage sur la lèpre et ses différentes manifestations que sur sa cause, le Lachon Hara' ? Sommes-nous tous concernés par l'interdit de proférer de la médisance ? Celui qui prononce du Lachon Hara' demeure-t-il impuni ? Quelles sont les solutions les plus fiables pour se protéger du risque du Lachon Hara' ? Pourquoi tant de garde-fous sont-ils indispensables pour se préserver d'une telle faute ?
As-tu déjà entendu parler des émaux cloisonnés ? C'est de cette spécialité dont nous allons papoter aujourd'hui avec Camille Bô. Elle va nous parler de son parcours, de cette technique, de la remise en question qu'elle a vécu et de ses projetsBonne écoute !Pour suivre le Bol :www.le-bol.frwww.le-blog-du-bol.frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
John Wesley Delva, poète petit-goâvien résidant à Montréal, a déjà publié six recueils de poèmes, dont les derniers Je ne maudirai pas la tempête sorti en 2023, chez les Éditions Milot, et Maux et silences éphémères, publié en 2024 chez les éditions Jacques Trouillot. Sa poésie parle aux cœurs, aux âmes et parfois aux sens. Elle nous libère de nos angoisses, de nos peurs et nos douleurs… C'est une poésie qui dit nos faiblesses, mais aussi notre force de réinventer la vie. Delva écrit pour habiter le monde différemment. Programmation musicale :RFI Instrumental – Beautiful soul clarinette, inner reflection, new art Moonlight Benjamin – Le mal du pays Wooly Saint-Louis Jean – Ayiti nan lapli nou kriye (Rediffusion du 31 août 2024)
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:01:57 - Esprit sport - La Fédération Française de golf et son opération "Tous au Golf", à l'honneur, une dernière fois cette semaine dans Esprit sport. Notre cinquième et dernier épisode est consacré à Sylvain Le Maux, pâtissier et golfeur... après son service !
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes de Valérie Darmon. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tarifs: Trump en rajoute une couche et ça doit faire l’affaire de Mark Carney… | Les travaux de l’hôpital Maisonneuve-Rosemont encore retardés | Des établissements touristiques dans les règles se font donner des amendes injustes | De nouvelles révélations inquiétantes sur Mark Carney Dans cet épisode intégral du 27 février, en entrevue : Éric Duhaime, chef du Parti conservateur du Québec. Louise Sigouin, experte en accompagnement relationnel « Si on s’aimait ». Une production QUB Mars 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 02:04:37 - Musique matin du mercredi 19 mars 2025 - par : Jean-Baptiste Urbain - Il y a 130 ans, les frères Lumière inventaient le cinématographe. Pour rendre hommage à ces deux pionniers, Thierry Frémaux, délégué général du Festival de Cannes, signe un documentaire qui réunit 120 films Lumière restaurés, sublimés par les notes de Fauré. Rencontre avec un cinéphile mélomane. - réalisé par : Yassine Bouzar
durée : 00:29:41 - Thierry Frémaux, délégué général du Festival de Cannes, directeur du Festival Lumière à Lyon et réalisateur - Il y a 130 ans, les frères Lumière inventaient le cinématographe. Pour rendre hommage à ces deux pionniers, Thierry Frémaux, délégué général du Festival de Cannes, signe un documentaire qui réunit 120 films Lumière restaurés, sublimés par les notes de Fauré. Rencontre avec un cinéphile mélomane.
Délégué général du Festival de Cannes dont il compose la sélection officielle, Président de l'Institut Lumière à Lyon, Thierry Frémaux est aussi un réalisateur qui nous fait (re)visiter les débuts du cinéma dans des films écrits et commentés par ses soins. Huit ans après « Lumière ! L'Aventure commence », voici « Lumière ! L'Aventure continue », à voir en salles le 19 mars 2025, avec une sélection de 120 films (ou vues) signés Auguste et Louis Lumière, qu'il décrit et replace dans l'Histoire du 7ème Art.Un long métrage sur lequel il revient à notre micro, en évoquant aussi bien son amour pour le travail des frères Lumière, leur influence sur ceux qui ont suivi, ou les parallèles entre le cinéma de 1895 et celui d'aujourd'hui.Crédits :Journaliste : Maximilien PierretteMontage : Arthur Cattin Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Thomas Isle et sa bande vous font vivre toute l'actualité culturelle, entre invités et décryptages, le tout dénué d'à-priori, mais non de bienveillance. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les jours dans Culture Médias, Thomas Isle dresse le portrait sonore de l'invité. Ce mardi, c'est Thierry Frémaux, délégué Général du Festival de Cannes et directeur de l'Institut Lumière pour son film "Lumière l'aventure continue" en salles le mercredi 19 mars. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le 19 mars 1895, vers midi, est tourné le tout premier film de l'histoire du cinéma : Sortie des usines Lumière. Cette vue de 50 secondes sera ensuite projetée quelques mois plus tard devant un public à Paris. C'est ainsi que les frères Louis et Auguste Lumière inventent le cinéma. Au total, eux-mêmes ou leurs opérateurs tourneront quelque 2 000 « vues ». Une centaine de ces vues ont été restaurées et regroupées par l'actuel directeur de l'Institut Lumière à Lyon, Thierry Frémaux, auteur du film documentaire Lumière L'aventure continue !
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le 19 mars 1895, vers midi, est tourné le tout premier film de l'histoire du cinéma : Sortie des usines Lumière. Cette vue de 50 secondes sera ensuite projetée quelques mois plus tard devant un public à Paris. C'est ainsi que les frères Louis et Auguste Lumière inventent le cinéma. Au total, eux-mêmes ou leurs opérateurs tourneront quelque 2 000 « vues ». Une centaine de ces vues ont été restaurées et regroupées par l'actuel directeur de l'Institut Lumière à Lyon, Thierry Frémaux, auteur du film documentaire Lumière L'aventure continue !
Thomas Isle et sa bande vous font vivre toute l'actualité culturelle, entre invités et décryptages, le tout dénué d'à-priori, mais non de bienveillance. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les jours dans Culture Médias, Thomas Isle dresse le portrait sonore de l'invité. Ce mardi, c'est Thierry Frémaux, délégué Général du Festival de Cannes et directeur de l'Institut Lumière pour son film "Lumière l'aventure continue" en salles le mercredi 19 mars. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:56 - Le Reportage de la rédaction - La Turquie, grand pays de football mais où le foot apparaît de plus en plus souvent à la rubrique faits divers. Violence, corruption, arbitres achetés, patron de clubs sur la sellette… la situation ne cesse de se dégrader. Le foot turc serait-il le reflet des maux de la société ?
durée : 00:04:56 - Le Reportage de la rédaction - La Turquie, grand pays de football mais où le foot apparaît de plus en plus souvent à la rubrique faits divers. Violence, corruption, arbitres achetés, patron de clubs sur la sellette… la situation ne cesse de se dégrader. Le foot turc serait-il le reflet des maux de la société ?
Mon podcast t'apporte de l'aide ? -> Tu peux m'aider à ton tour en faisant un don juste ici -> Laisse moi 5 belles étoiles sur Spotify et Apple Podcast afin de me soutenir et me donner le boost pour continuer! Cela permettra aussi à de nouvelles personnes de me découvrir et de profiter de mes outils!
durée : 00:17:12 - L'interview de 9h20 - par : Léa Salamé - "Regarder un film des Frères Lumière, c'est nettoyer ses yeux, effacer les regards saturés et renouer avec une beauté primitive." Thierry Frémaux, délégué général du Festival de Cannes et directeur de l'Institut Lumière à Lyon, pour le film “Lumière, l'aventure continue”, est l'invité de Léa Salamé.
durée : 00:17:12 - L'interview de 9h20 - par : Léa Salamé - "Regarder un film des Frères Lumière, c'est nettoyer ses yeux, effacer les regards saturés et renouer avec une beauté primitive." Thierry Frémaux, délégué général du Festival de Cannes et directeur de l'Institut Lumière à Lyon, pour le film “Lumière, l'aventure continue”, est l'invité de Léa Salamé.
durée : 00:46:39 - Bienvenue chez vous : les spécialistes, ici Sud Lorraine
INÉDIT - Maitre Yannick Le Maux est le fils de l'avocat de la famille de Pascal Vito, Maitre Olivier Le Maux, aujourd'hui décédé. Il a vécu cette affaire aux côtés de son père, alors qu'il était encore jeune étudiant en droit. Dans ce podcast inédit, découvrez un supplément de l'émission de "L'heure du crime". Questions oubliées, ou qui n'ont pas pu être posées à l'antenne, Justine Vignaux reste en studio avec l'invité(e) de Jean-Alphonse Richard, pour en savoir plus sur l'affaire du jour.
durée : 00:04:15 - Le Regard culturel - par : Lucile Commeaux - Le spectacle de Sylvain Creuzevault, adapté d'un texte du résistant allemand Peter Weiss, explore les rapports complexes entre l'art, l'engagement et le fascisme, dans un long spectacle dont la grande intelligence est à la fois la force et la limite.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Interview avec Félix Boucher de l'EPSAN pour parler du projet musical thérapeutique "Maux en Musique".Réalisé en direct sur RBS le 06/03/25 avec Pierre Liermann
Une année de tourbillon. 1 an d'émotions parfois contradictoires mais tellement nécéssaire. Du rire aux larmes, de la joie à l'incertitude, du doute à la ténacité, cette année m'a appris à faire du vide (enfin essayé). J'ai compris que ne rien faire, c'était faire quelque chose et surtout, j'ai essayé de ne pas me précipiter (certainement la chose la plus dure pour moi) J'ai lancé ce Podcast "Mémoire de route", cette expérience m'a appris à prendre des temps longs et quelque part, profiter du moment présent. En écoutant tous ces parcours de vie, j'ai découvert la force de l'écoute et du témoignage. La force de libérer la parole et l'impact que les mots peuvent avoir sur nos vies à tous. Cette nouvelle saison du Podcast "Mémoire de route" sera engagée. Elle mettra en lumière des femmes déterminées et donnera la parole à l'association Mots et Maux de femmes. Cette ONG reconnue d'intérêt général et créée en 2022 vise à dénoncer les violences faites aux femmes. Elle regroupe aujourd'hui des milliers de marraines de renom, prêtes à porter leur voix pour ne plus fermer les yeux sur toutes ces violences. Vous entendrez le partage de leur parcours, leur expérience de vie et les raisons pour lesquelles elles soutiennent ce combat essentiel. S'il y a bien une leçon que je retiens de ce tourbillon que je viens de vivre, c'est que ralentir et donner du sens c'est la clé. Nouveau générique, nouvelle cover... rendez-vous très bientôt pour le premier épisode. Je vous souhaite à tous une belle écoute. Camille Linkedin Camille Bouchet Instagram Camille Instagram Mémoire de route
Dans notre dernier podcast sur Kan en français, nous avons reçu Symine Slimpour, qui nous a fait découvrir l’olfactothérapie : une approche innovante où les senteurs deviennent un véritable outil de soin. ✨ Un espace de guérison au cœur de Tel Aviv ✨Symine propose gratuitement ces séances aux victimes directes du 7 octobre, leur offrant ainsi un moment de réconfort et de reconstruction à travers le pouvoir des odeurs.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Troubles de la digestion, colopathie fonctionnelle… Les douleurs abdominales peuvent être chroniques et perturber fortement la qualité de vie. En termes de troubles digestifs, quels sont les symptômes qui doivent pousser à consulter impérativement ? Pr Christophe Cellier, Chef de service d'hépato-gastroentérologie et endoscopie digestive à l'Hôpital Européen Georges Pompidou et Professeur d'hépatologie et de gastro-entérologie à l'Université Paris Cité Retrouvez l'émission en entier ici : Les maux de ventre
Pour quelles douleurs dorsales l'immobilisation est-elle recommandée ? Combien de temps la phase aigüe dure-t-elle ? Comment éviter de ressentir à nouveau ces douleurs aigües ? Quels sont les médicaments conseillés ? (Rediffusion) Dr Awa Cheikh Ndao, médecin interniste, rhumatologue à l'Hôpital Aristide Le Dantec. Maître de Conférences Agrégée à l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar au Sénégal
La grossesse est souvent loin d'être un long fleuve tranquille et loin des images d'Épinal véhiculées dans la société et sur les réseaux sociaux. Elle amène avec elle son lot de désagréments, d'inconfort physiques et psychiques, voire de difficultés ou de souffrance.Comment faire face à tous ces maux parfois très envahissants ? Que mettre en place pour les traverser au mieux ?Autant de questions que j'aborde avec France qui nous partage les vécus très difficiles de ses grossesses et Camille Dubois, sage-femme.Écoutez Parentalité(s) sur Deezer, Apple Podcast et Spotify.Retrouvez et suivez Parentalité(s) sur instagram Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Depuis près de 10 ans, je me consacre au bien-être au travail et au management. Si les progrès sont réels, le chemin à parcourir reste immense. Mais ce qui m'encourage, c'est que de plus en plus de dirigeant.e.s agissent, ayant compris que le bien-être au travail est une priorité humaine... et économique.Récemment, vous avez été plus de 3 400 à répondre à mon sondage LinkedIn sur les facteurs qui impactent le plus négativement le bien-être au travail. Et vos réponses sont sans appel :➡️ 37 % citent le manque de temps.➡️ 26 % pointent un management inadapté.➡️ 24 % évoquent l'environnement de travail.➡️ 13 % soulignent des objectifs trop ambitieux.Ces chiffres révèlent des leviers d'amélioration clairs, mais surtout, ils nous invitent à repenser nos pratiques pour un mieux-être collectif.
durée : 00:03:50 - 100% PSG - Le billet - Le PSG a concédé le nul face au FC Nantes. Un match qui a prouvé une fois de plus le manque de caractère de l'équipe, que ce soit dans les zones de finition ou dans la fin de match. C'est un des revers de la politique de recrutement anti-star voulue l'été dernier.
durée : 00:04:26 - Le Zoom de France Inter - .
durée : 00:49:01 - La 20e heure - par : Eva Bester - Passionné de cinéma, Thierry Frémaux nous emmène, à travers les pages de son livre "Rue du Premier-Film" (Stock) paru le 11 septembre, passer une nuit dans le berceau même de cette invention à Lyon, là où les frères Lumière ont donné le coup d'envoi d'une industrie qui ferait florès.
Aujourd'hui, j'accueille Jacques Martel dans La petite voix.Peut-être que ce nom ne vous est pas inconnu. Vous avez peut-être déjà consulté Le Grand Dictionnaire des Malaises et des Maladies, ou entendu parler de sa célèbre technique des "bonhommes allumettes" pour couper les liens d'attachement.Ce Québécois, formateur, auteur, conférencier et bien plus encore, vous l'entendrez, a pourtant démarré son parcours comme ingénieur électricien pour s'accomplir dans le développement personnel et la spiritualité.Bienvenue dans un échange riche et passionnant, tellement que j'ai décidé de vous proposer cette conversation en deux parties.Dans cette deuxième partie, avec Jacques, nous allons parler du long travail - bien accompagné - qui l'a mené à écrire ses livres, de la notion d'attachement et de médiumnité… ou pas !Quelques notes sur cet épisode :le site internet de Jacques : https://jacquesmartel.com/la nouvelle et 3ème édition de son livre : Le Grand Dictionnaire des Maux et des MaladiesJacques sera dans le sud de la France pour des conférence fin février / début mars 2025 - A voir sur son site internetson conseil lecture : La vie des maitresRETRANSCRIPTION DE L'EPISODE 2/2 AVEC JACQUES MARTEL00:02:08Il y a quand même un morceau et pas des moindres qu'on a oublié dans ton parcours. Avant les ateliers, il y a eu cet ouvrage, le dictionnaire des maladies et des malaises. Ça a été comme la fondation de tout le travail qui est venu. Après ? Tu vois, quand j'étais en développement personnel, dans les débuts, les gens disaient « Ah, moi, quand j'ai un malaise ou une maladie, je vais dans un livre de Lis Bourbeau. » Ah, OK. Ou un autre disait « Mais moi, je vais plutôt dans le livre de Louise Hay. » Ah, bon, OK. « Je vais plutôt dans tel autre livre et tel autre livre. » Je me suis dit « Bon, moi, je vais sortir un livre. Il n'y aura pas besoin d'acheter quatre-cinq.00:02:46Ils vont en acheter juste un, ça va être le mien. Ils vont avoir leur réponse. » Alors, c'est là qu'en janvier, en janvier 91, j'ai commencé le manuscrit. Et pendant six des sept ans que le travail a duré, il s'appelait « Le dictionnaire de la médecine de l'âme ». Là, on parle de 97. Mes amis en haut m'ont dit « Oui, mais vois-tu un médecin qui aurait entre les mains un livre qui s'appelle « Le dictionnaire de la médecine de l'âme » ? » Ça fait qu'ils m'ont suggéré de mettre « Le grand dictionnaire des malaises et des maladies ». Ça passerait mieux. Plus accessible. Oui. Moins ésotérique. C'était ça le but, oui. OK. 98, donc ça fait 26 ans.00:03:23La conscience a changé à ce niveau-là. Sur YouTube, maintenant, il y a des gens qui font des expériences de mort imminente, des médiums, il y a toutes sortes de trucs. L'information, il y a toutes sortes de trucs qui existent maintenant. Vois-tu, là ? Tu as raison, mais de là à penser qu'un médecin, en tout cas, je te parle en France et de ce que je connais moi, que des médecins aient un livre sur leur table qui s'appellerait « La médecine de l'âme ». Il y a un peu de boulot, hein ? Non, il n'est pas sur la table, mais ils l'ont dans leur bureau. Dans le carbone bien caché. Oui, oui, mais non. Il y en a qui l'ont.00:03:54Et je suis content que les médecins utilisent ça, parce que, comme individu, des fois, la personne qu'on va voir, si on a une maladie, en premier temps, souvent, ça va être un médecin. Mais le médecin, on s'attendrait qu'il sache tout, mais il sait tout. Il risque d'étudier jusqu'à l'âge de 60 ans avant de commencer sa pratique. Ce sera trop tard après pour pratiquer. Voilà. Mais, tu sais, si une femme, par exemple, je ne sais pas moi, qui a une certaine maladie, je ne sais pas si on parle du cancer, du sein, c'est de s'en faire pour ses enfants ou ce qui représente ses enfants. Si la personne a ce type de maladie, mais si le médecin est capable de lui dire : « bien là, est-ce que vous en faites pour vos enfants ?00:04:35», tout ça, il faudrait remédier à ça ; vous pourriez aller voir quelqu'un pour vous aider, tout ça. Sinon, il peut donner les bons soins, les bons médicaments, ou s'il faut une chirurgie, faire la chirurgie, mais moi, ça ne me regarde pas, cela. Mais si le conflit n'est pas réglé, au bout de six mois, on peut vous donner, après une vérification. Ça se peut que le médecin dise, bien, madame, j'ai une mauvaise nouvelle, vous avez une récidive, parce que le conflit est toujours présent. Moi, là, un jour, quand je dis un jour, là, dans mon livre, « Le pouvoir de l'engagement », j'ai mis toutes les fois où j'ai dit un jour, puis c'est arrivé. Et là, je le dis un jour, je ferais des conférences à des médecins.00:05:08Je ne connais pas la médecine, c'est eux autres qui connaissent la médecine. Mais moi, là, chez les individus ou les compagnies, j'aide les gens à faire mieux dans ce qu'ils font déjà très bien. Puis, moi, quand je vais voir un médecin, je me la ferme sur mes trucs, mes trucs métaphysiques, parce que moi, ce n'est pas moi, moi, je n'ai pas appris la médecine. Je prends l'information qu'ils me donnent, merci. Si j'ai des prises de sang, tout ça, ils vont me dire, si, ça, le cholestérol, ça va, le glycémie, bon, c'est un peu haut, bon. Ensuite, oui, bon. Alors, je tiens compte de cela. Et c'est pour ça que moi, j'ai mes prises de sang aux trois mois au lieu des six mois, parce qu'étant donné que le stress, tout changement, même positif, c'est un stress, ça peut jouer sur la santé physique.00:05:50Je veux me rendre compte tout de suite, il y a eu des changements qui se sont faits dans mon corps physique. Ça me ferait très, très, très, très grand plaisir qu'il y ait de plus en plus, de plus en plus de médecins qui utilisent le livre Le Grand Dictionnaire des Malaises et des Maladies, parce qu'ils pourraient aider leurs clients. Ça n'empêche pas que la personne peut avoir besoin de médicaments. Ça n'empêche pas que la personne peut avoir besoin de traitements ou de chirurgie ou de quoi que ce soit. Mais est-ce que ça peut aider ? Pourquoi pas informer des gens ? Il y a un truc que j'ai envie de souligner, et c'est hyper important pour moi, et j'apprécie que tu insistes là-dessus dans ton discours.00:06:22Le dictionnaire, là, il n'est pas là pour remplacer la médecine, et tu n'es pas en train de rejeter l'approche conventionnelle. On est en train de dire que toi, tu ajoutes ce supplément d'âme, pour le coup, tu vois, pour revenir au nom régional. Et dans la nouvelle édition, maintenant, j'ai mis Le Grand Dictionnaire des Malaises et des Maladies en sous-titre Le Dictionnaire de la médecine de l'âme et des émotions. Tu lui as redonné. Oui, mais je ne l'ai pas mis en gros titre, parce que l'autre titre est connu depuis 25 ans. Puis, il y a une nouvelle édition qui vient de sortir, là, il y a quelques mois. Oui, depuis mars 2024. Deux fois plus d'énergie que la deuxième édition, 30 % plus d'informations, tous les textes ont été revisés, et tous les textes ont été revérifiés aussi, ce qui n'était pas le cas de la première à la deuxième édition.00:07:08Revérifiés par ? Par Lucie Bernier, surtout. C'est ta collaboratrice depuis 35 ans ? Disons qu'on se connaît depuis 35 ans. A commencé à travailler sur la première édition plutôt au niveau du français. Sur la deuxième édition, on a travaillé plus que 2 000 heures sur la deuxième édition, en 2007. Et là, on a travaillé pendant environ trois ans et demi à temps plein, presque. Moi, j'ai fait beaucoup de recherches dans la troisième édition. Par exemple, je ne sais pas moi, il y en avait dans la deuxième, mais par exemple, la maladie de Parkinson. Pourquoi c'est Parkinson ? Parkinson était soit médecin ou chimiste, je ne sais pas pourquoi, qui a découvert les symptômes qui ont rapport à la maladie telle ou telle. Je ne sais pas. Donc, ça a donné son nom à la maladie.00:07:53Tous ceux qui ont la maladie de Huntington, la maladie de, la maladie de, la maladie de, je suis tout allé chercher pourquoi on avait mis ce nom-là. Et souvent, merci à ces gens-là qui ont pu identifier la maladie. Parce que dans les cinq étapes pour parvenir à la guérison, qui est la connaissance, l'ouverture, le lâcher-prise, l'acceptation et l'action, la connaissance est importante. Alors, le fait de connaître la maladie, ça a permis par la suite aux médecins de développer soit des traitements, des médicaments, du traitement quelconque, que ce soit opération ou autre, je ne sais pas quoi. Cette connaissance-là a permis de faire avancer la médecine. Et moi, je trouvais ça important que les gens sachent la contribution de tous ces chimistes, biochimistes, médecins, spécialistes qui ont contribué au niveau médical.00:08:49Je t'écoute et je me dis, j'ai l'impression qu'on tisse comme un fil rouge par rapport à ton parcours, par rapport au dictionnaire qui est toujours de ramener le visible et l'invisible ensemble. On les réunit, ça fait du sens ensemble. Non, mais c'est bien que tu l'apportes parce que moi, depuis les premières heures que j'ai travaillé sur le grand dictionnaire des malaises et maladies, janvier 91, fin janvier 91, je savais que les maîtres ont décidé de prendre les malaises et maladies comme prétexte pour montrer à ce qui est invisible, les pensées, les sentiers, les sentiments et les émotions ont des répercussions physiques mesurables donc les malaises et les maladies. Si j'agis sur l'invisible, les pensées, les sentiments et les émotions, ça a des chances d'avoir des répercussions physiques positives, plus positives.00:09:35Donc, à la base, c'est comme si c'était un livre ésotérique. Moi, dans le travail que je faisais, j'avais toujours ça en tête. L'invisible manifeste le physique. Alors, toujours, toujours, toujours, toujours ça en tête. Oui, parce que, revenons-en à ce quels dictionnaire ? Dans le dictionnaire, vraiment, le principe, c'est l'ordre alphabétique, maladie, maladie, malaise, etc. Dans cette nouvelle édition, tu vas ajouter cette couche-là que tu évoques de « Qui est à l'origine de la découverte de ? » Et puis, toi, dans le texte du dictionnaire, tu as ajouté comme une couche énergétique, on peut le dire comme ça ? Ça te fait marrer quand je dis ça ? Pourquoi ? Vas-y. Je ne mets pas toujours le côté ésotérique de l'avant. Pour moi, c'est essentiellement un livre ésotérique. C'est surtout cette troisième édition.00:10:20Parce que tu sais, les gens peuvent le voir et mon but, ça n'a jamais été que ce soit subliminal. Sur chaque page, chacune des pages du Grand Dictionnaire des Malaises et Maladies, il y a un grand H avec un U sur toutes les pages. On en revient à ce son originel que tu évoquais tout à l'heure. Alors, c'est le son « You », c'est un mantra spirituel. Et ce mantra-là, les caractéristiques, c'est la protection, l'ouverture de Conscience et la guérison. Alors, c'est pour ça que c'est là. Donc, les gens qui utilisent cette édition, lorsque ils rouvrent le livre, c'est comme une lumière qui les éclaire davantage et qui permet plus facilement une prise de conscience. Je l'ouvre là. Ces explications par maladie, tu prends une explication très scientifique.00:11:04Enfin, c'est quoi cette maladie et tout. Mais ce qui est intéressant, c'est qu'il y a ce petit texte à la fin que tu nous encourage à lire très lentement, c'est ça ? C'est tout le texte. Et c'est là depuis 1998 et beaucoup de gens ne l'ont pas vu. Pour faire la technique de prononciation monosyllabique qui est une technique de guérison émotionnelle. C'est une technique de guérison émotionnelle qui est très efficace. Donc, on voit bien que le dictionnaire des malaises et des maladies va bien au-delà des mots physiques et puis il nous emmène sur un autre terrain de guérison. Oui, bien sûr. La première édition, tu as mis quasiment sept années à l'écrire. Sept ans, pas à temps plein nécessairement, mais sur une période de sept ans. Et la deuxième édition a commencé en 2001.00:11:48En 2001. Elle est sortie en 2007. Et la troisième édition, on l'a commencé il y a un peu plus que trois ans et demi maintenant. On l'a gardé secret. Il y avait une raison qu'on l'a gardé secret, c'est parce qu'on ne savait pas combien de temps ça prendrait. Non seulement pas créer de fausses attentes, mais pas avoir la pression que, on a dit que c'était au mois de juin, telle année que ça sortirait, il faut le sortir. Pas de pression. Non, on met le temps qu'il faut à tout ça si ça sortit au mois de mars. Est-ce qu'à l'époque où toi, tu fais ce livre, tu nous l'as dit un peu plus tôt, la partie canalisée, est-ce que tu imagines déjà la résonance que ça va avoir ?00:12:25Il est passé entre combien de mains, ce dictionnaire ? Tu as une idée ? On dit que c'est deux millions de lecteurs. À travers le monde, en plus ? Oui. Deux millions de lecteurs. Parce que si toi, tu vis en couple, puis tu as deux enfants, puis c'est des ados, donc tu as un livre, mais tu as quatre personnes. Je veux toujours être honnête envers les gens. Si les gens disent : il y a deux millions de livres vendus, si quelqu'un est autour de moi, je dis non. J'ai dit : il y a deux millions de lecteurs. Je veux être juste là. Je ne veux pas mettre des chiffres juste pour que ça ait l'air de ce que ça a l'air.00:12:59Tu vois, moi, par exemple, je l'ai découvert la première fois avec un ostéopathe qui l'a utilisé dans une séance avec moi. Donc, tu vois, je fais partie de ces lectrices indirectes. Et donc, en fait, c'est le livre qui, après, t'a ouvert les portes de ces ateliers et de ces tournées que tu as faites en Europe et principalement en France. Après, j'en ai écrit d'autres. Après, cela a été les cinq étapes pour parvenir à la guérison. C'est le complément théorique du Grand Dictionnaire des Malaises et Maladies. Les gens, ils devraient toujours acheter les deux livres en même temps. Parce que dans le Grand Dictionnaire des Malaises et Maladies, on parle des pensées, des sentiments, des émotions qui ont fait arriver le conflit qui a pu déclencher la maladie.00:13:35Mais on ne parle pas au niveau du stress, du surstress, comment ça fonctionne, comment le cerveau fonctionne. Ça, on le dit dans les cinq étapes pour parvenir à la guérison. On explique le fonctionnement de tout ça dans ce qui est dans le Dictionnaire, dans les cinq étapes pour parvenir à la guérison. C'est ça. C'est la suite logique, en fait. Oui, oui. Dans les cinq étapes pour parvenir à la guérison, je veux dire, ça prend au moins minimum quatre des cinq étapes pour avoir une guérison. Qu'on aille à Lourdes ou à Medjugorje ou je ne sais pas trop où. J'ai beau avoir Marie qui est à côté de moi, la Vierge Marie, dans son énergie, ou l'archange Gabriel ou quoi. Mais si je ne suis pas dans l'ouverture, si je ne suis pas dans l'acceptation, ça ne guérira pas.00:14:15Il y a des gens, quand ils vont dans ces endroits-là, il y a au moins quatre des cinq étapes qu'il faut qu'ils soient présents à l'intérieur d'eux autres pour que la guérison émotionnelle puisse se faire. Alors, est-ce qu'on peut les citer, ces cinq étapes ? Le connaissant, l'ouverture, le lâcher prise, l'acceptation et l'action. Et le plus important de toutes ces cinq étapes, c'est l'acceptation, parce que je ne peux rien changer que je n'ai pas accepté. Et accepter, ça ne veut pas dire que je suis d'accord. Accepter, ça veut dire que j'accepte que j'ai une prise de conscience à faire. Et c'est ça le but. Et c'est un secret. Ça passe au travers du cœur. C'est pour ça que à chaque fois qu'il y a le mot « acceptation » ou « accepte » dans le grand scénario de Maladie de Maladie ou dans d'autres livres, il y a toujours une flèche vers le bas avec un cœur.00:14:58Parce que j'accepte ma tête vers mon cœur. Et la guérison émotionnelle, ça fait beaucoup au niveau du cœur. Il y a beaucoup de techniques que j'enseigne que c'est des techniques d'acceptation qui se font au niveau du cœur. La boule de lumière, la technique du merci, plein de trucs comme ça. C'est des guérisons émotionnelles au niveau du cœur. Si je reviens sur ton parcours, après le dictionnaire et ses ateliers, toi tu as complété ces papiers juratifs comme ta boîte à outils de thérapeute. Et donc, il y a eu toutes ces approches, toutes ces techniques que tu as amenées, je pense notamment au bonhomme allumette, qui est hyper connu. Est-ce que tout ça est né au fur et à mesure, après le dictionnaire, au fur et à mesure de tes rencontres, comme si ça venait ainsi ?00:15:40Oui, c'est de l'information que je recevais. À un moment donné, je partais de chez moi et j'allais en ville, en auto. « Ah, tu vas faire un livre, un prochain livre, ça va s'appeler « Le pouvoir de l'engagement ». » « Ah bon, voilà, ça va être facile. » Je donne déjà un atelier qui s'appelle « Le pouvoir de l'engagement ». C'est sûr que les notes de cours pour un livre, ce n'est pas la même chose. « Ça va être facile, je vais jusqu'au point de départ. » C'était un des livres les plus difficiles que j'ai eu à écrire. Pour quelles raisons, alors? Ça parlait du mental, du fonctionnement du mental, de cela et de ça. Et quand c'est un livre, il faut toujours s'imaginer que le lecteur, il n'est pas physiquement avec la personne.00:16:21Il faut s'assurer que dans ce qu'il va lire, il va comprendre ce qui est marqué. Ça m'a demandé beaucoup, beaucoup à faire ce livre-là. Tu sais la différence quand tu dis, quand tu es en conférence avec les personnes qui sont là devant toi, tu arrives à capter l'énergie, tu vois potentiellement même les questions qu'elles peuvent se poser, les devancer. Effectivement, quand tu es seul derrière ta page blanche. Je les entends. Non, parce que des fois, je vais mettre des choses dans les livres. À un moment donné, dans les livres, le pouvoir des mots qui me libère. Il m'est venu une information, à savoir qu'à chaque fois que je dis une expression ou un mot qui est négatif, c'est de la magie noire que je fais sur moi.00:16:57Ça m'est venu, je dis, c'est trop fort ça. Là, ils m'ont dit, c'est de la magie noire, t'écris ça comme ça. J'ai dit, ok, ok, ok, ok. Donc, il risquait d'avoir des réactions. Mais bon, la réalité, c'est ça aussi. Est-ce qu'il y en a eu des réactions ? Non, pas nécessairement. Pas sur ça. C'est comme si j'entends les gens, la réaction qu'ils vont avoir, puis des fois, ils ne sont pas d'accord sur un truc que je mets. Je dis, ok, merci de l'info, mais moi, je le fais pour ceux qui sont d'accord ou que ça va les aider. Si vous autres, ça ne vous aide pas, c'est correct aussi. On en a parlé d'ailleurs sur le dictionnaire à la sortie, puis même parfois bien après. Il y a eu parfois quelques polémiques.00:17:37Les gens peuvent dire, c'est de la foutaise, tout ce qui est écrit. C'est correct, c'est de la foutaise. Qu'est-ce que ça veut que je fasse, moi? Il y a des gens qui lisent ça, puis il y a des guérisons émotionnelles. Il y a quand même des guérisons physiques. Qu'est-ce que tu veux? On a beau dire, c'est de la foutaise. Les gens ont le droit de dire ce qu'ils veulent. C'est ça, en fait. C'est ce qu'on se disait en off avant l'enregistrement, que toi, tu n'es pas là pour faire du prosélytisme. Alors, tant mieux si les gens prennent. Moi, je n'ai rien à prouver, puis je n'ai personne à sauver. Donc, à partir de là, Jacques, c'est un fou, c'est un crétin. Merci beaucoup. Jacques est génial, il est extraordinaire. Merci beaucoup.00:18:09C'est pareil. Et de toute façon, les gens, je l'explique dans le pouvoir des mots qui me libèrent, là, les gens, ils parlent toujours d'eux-mêmes même. Si quelqu'un me dit, tu es un crétin, tu es un imbécile, tu es un imposteur, disons que je sais à qui j'ai affaire. Parce qu'on parle toujours de soi-même. On parle toujours de soi-même. Si quelqu'un me dit, tu es génial, tu es extraordinaire, tu es un gars d'un grand cœur, je sais à qui j'ai affaire aussi. On ne peut pas exprimer quelque chose qu'on n'a pas en nous. Parce que si ce n'est pas en nous, c'est comme si ça n'existe pas. Si quelqu'un me traite d'imbécile, bien, c'est sa part d'imbécile en lui qui projette chez moi. Quelque chose que tu veux que je fasse ?00:18:48Les autres sont comme un miroir, quoi. Toujours. Quelqu'un peut me parler d'une partie de hockey qu'il joue, là, et les commentaires qu'il va faire et tout, et tout, et tout, et tout. Je vais savoir des choses de sa vie privée juste par les commentaires qu'il fait sur un sport, un soccer ou quoi que ce soit. Parce que je ne peux pas exprimer quelque chose que je n'ai pas à l'intérieur de moi. Je peux ne pas être d'accord avec quelqu'un comme actuellement aux États-Unis. Au moins, on se parle des élections avec Trump. On peut ne pas être d'accord avec un ou avec l'autre. Je ne suis pas d'accord, mais je ne suis pas d'accord. C'est tout. C'est un jugement, en fait. C'est ça que tu dis.00:19:22Parce qu'il y a des gens, là, au niveau psychologique, il y a des gens que si tu n'es pas contre quelque chose, ça veut dire que tu es pour. Il y en a qui pensent comme ça. Oui, il faut que ce soit blanc ou noir, mais tu ne peux pas être dans cette forme de nuance que tu es en train de souligner. Voilà. Je comprends ce qu'il veut. Le grand scénario de Malades et maladies, troisième édition, c'est la première fois de ma vie que je peux dire que mon degré de satisfaction sur un ouvrage est à 100 %. Ce n'était pas le cas avant ? Non, mais j'étais content. J'étais content, puis c'était merveilleux aussi.00:19:53Mais là, cette fondation-là qui est sur place, les énergies qui ont été mises là-dessus, les maîtres qui ont été mis là-dessus, qui ont aidé, les répercussions qu'il va y avoir par rapport à ça, les guérisons émotionnelles, les commentaires qu'ils vont se faire éventuellement là-dessus, c'est extraordinaire ce qui a pu sortir. C'est comme un aboutissement, tu dirais ? Oui, c'est de ça qu'on m'a informé, mes amis en haut. Tu es dans cette phase-là. Tu peux te retourner sur le chemin parcouru et savourer. Ça ne veut pas dire qu'il n'y a rien après, qu'il n'y a pas encore du boulot, mais juste là, c'est... J'ai un degré de satisfaction à 100 % sur le livre. Mais maintenant, il va faire son chemin. Oui, ça ne t'appartient plus, en fait.00:20:32On dit souvent, dans le livre, c'est comme un bébé, puis tu l'offres au monde, et après, est-ce qu'il vient comme un enfant ? Oui, c'est ça. Ça ne t'appartient plus, mais c'est OK. Oui, je suis surpris des fois que, d'une certaine façon, jusqu'à quel point j'en suis détaché. Là, on est actuellement au mois d'août 2024. En novembre, décembre, je fais trois salons en France en 2024. Biarritz, Bordeaux et Montpellier. Alors, c'est sûr, je vais faire une conférence sur le grand scénario de Malaisie et maladie pour faire connaître. C'est la continuité, en fait. Oui, c'est ça, pour faire connaître. C'est ça, en fait, ton parcours, il a toujours été dans la transmission, en fait. La transmission. La transmission, d'ouverture de conscience. Et c'est quoi la suite et les projets pour toi ?00:21:14Ça dépend comment ça va se présenter. Mes amis m'ont montré, ils m'ont dit que peut-être qu'il y a des choses qui se développeraient beaucoup en Inde, mais je ne cours pas après ça. S'il y a quelque chose qui se présente, je vais rester ouvert parce que j'ai déjà eu l'information que je pouvais faire quelque chose. C'est intéressant ce que tu dis. Tu as reçu une info, celle-ci, l'Inde. Alors, la difficulté, c'est de ne pas le provoquer artificiellement ? Oui, la difficulté, ce n'est pas de difficulté. J'ai l'info. Si ça arrive, je ne serais pas surpris, c'est tout. Ça va être plus facile pour moi d'embarquer dedans. OK. Dans le projet. C'est comme en 1985, j'ai su deux mois avant que mon meilleur ami deviendrait en couple avec mon épouse.00:21:54Quand c'est arrivé, je ne suis pas surpris. Non, mais je ne suis pas surpris. Tu ne leur avais pas dit que tu avais reçu l'info ? Oui, bien, j'ai dit au garçon, qui était un genre donjouant, j'ai dit : 'Je t'interdis d'aller voir mon épouse, mais si elle vient vers toi, tu es libre de faire ce que tu veux.' Un soir, elle l'a appelée ; elle est revenue le lendemain matin. Tu l'avais vue juste. Alors, j'ai été non fonctionnelle pendant deux, trois mois. Moi qui aime bien contrôler ma vie, parce que j'avais de l'attachement et pour l'un et pour l'autre. Alors, on m'avait dit ce qui se passerait, mais on ne m'avait pas dit : 'moi, comment je le vivrais.' Alors, c'est parce que j'avais de l'attachement. Là, on parle de 1985.00:22:29Aujourd'hui, il m'arriverait quelque chose, je le règle entre 5 et 7 minutes. Comment alors ? Les émotions qui vont avec. Une des façons qu'on peut faire toujours, c'est avec la technique des bonhommes à l'humide, mais j'ai une autre technique qui ressemble à ça, qui permet de, on va chercher même des vies passées du début du temps jusqu'à aujourd'hui, et on fait la coupure énergétique avec la personne. J'ai vécu une expérience il y a quelques années, puis je n'avais jamais vécu ça de ma vie. Avec mon thérapeute, j'en ai parlé, j'ai dit, « Se peut-il que j'ai vécu un coup de foudre ? » Il a dit oui, exactement. Mais quand j'en ai parlé à la personne, à ce moment-là, la personne a dit non.00:23:04J'ai exprimé mes sentiments, la personne a dit non, mais son nom, il venait de la tête, il n'a pas du cœur. Je comprends. Est-ce que j'étais pour me battre avec cette personne-là? J'ai laissé aller. Alors, bon, j'ai fait la coupure énergétique, c'est après cinq minutes, c'est fini. C'était comme, bon, parce que la personne, j'avais évalué qu'elle avait 90 % des attentes quand je m'attendais envers quelqu'un. Oh! C'est beaucoup, là. C'est pas mal, hein? Ah oui, non, mais c'était rare, ce qui s'est passé. Puis cette personne-là avait été avertie que dans les mois qui s'en venaient, il y aurait quelqu'un, genre médium, qui se présenterait à elle et tout. Mais qu'importe. La personne est allée dans sa tête. Mais l'avantage, c'est que j'ai pu couper. Ça devenait un événement que j'avais vécu comme ça.00:23:46J'ai pu, oh, j'aurais été quelqu'un. Ça m'aurait bien plu. Non, non, non, on oublie ça. C'est passé. C'est passé, c'est passé, c'est tout. Pourquoi s'en faire ? Je rigole. Je ne sais pas si je rigole ou si je pleure en t'écoutant, parce qu'à la fois, j'entends, mon mental comprend tout, puis mon cœur fait, c'est rude. Et en même temps, j'ai envie, en t'écoutant, de me dire, en vrai, ça doit être accessible. Mais la technique des bonhommes à lumettes, elle vient de mes vies passées comme moi, une bouddhiste. Parce que qu'est-ce qui est important dans le bouddhisme ? Une des facettes les plus importantes, c'est le détachement. Qu'est-ce qui arrive avec la technique des petits bonhommes à lumettes ? Moi, j'enseigne le bouddhisme sans parler du bouddhisme. Détachement. Détachement, on ne coupe pas l'amour.00:24:31On coupe l'attachement qui provient d'une blessure émotionnelle. Donc, on coupe ça. C'est ça qu'on coupe. Alors, après, soit que ça remet plus d'amour dans la situation personnellement, soit que ça nous rapproche de la personne ou la personne s'éloigne normalement, un ou l'autre, mais ça se fait en harmonie. Donc, ça me permet de me recentrer et de ne pas mettre mon attention sur la blessure, parce que je deviens ce sur quoi je porte mon attention. Si je mets mon attention sur la blessure, dans mon énergie, je vais manifester cette énergie de blessure-là. Et on en revient à cette histoire des vibrations, qu'en fait, on vibre enfin, on va emmener ce qu'on vibre. L'attachement, ce n'est pas de l'amour. Quelqu'un, des fois, des parents me disent « Oui, mais c'est normal d'être attaché à nos enfants.00:25:18» Non, c'est normal de les aimer. Et si on a de l'attachement, on risque par rapport à nos enfants d'exercer une forme de contrôle consciemment ou inconsciemment. Et ça, ce n'est pas de l'amour. En tant que parent, il faut que je m'occupe de mes enfants, il faut que je m'occupe de leur donner une certaine éducation, les nourrir, une certaine sécurité. C'est OK, ça. Mais d'être attaché, non. De vouloir ce qu'il y a de mieux pour eux. – Oui, parce que dans l'attachement que tu évoques qu'on peut avoir avec nos enfants, cela signifie par exemple avoir des grandes attentes sur leur vie professionnelle, etc. On voit les dégâts que cela peut faire après.00:25:53– Oui, mais moi, si je suis médecin et que j'ai un garçon, c'est un garçon, je voulais qu'il devienne médecin. Mais lui, il veut être mécanicien. C'est ça qui lui fait plaisir. Mais il y en a qui sont devenus, en fait, la profession de leur père, mais pas parce que c'est ça qu'ils voulaient faire, mais parce que c'est leur père, c'est ça qu'ils voulaient. – Et cela les a rendus malheureux. – Après, ça va mal dans le couple, ensuite ça va mal, ça développe des maladies, ensuite ça va. – C'est simple, en fait, quand je t'écoute, j'ai l'impression que c'est super simple. – Oui, mais il faut être à l'écoute. 90 % de notre fonctionnement est régi par le subconscient.00:26:24Et j'attire ou je deviens ce que j'ai pas accepté en 0 et 12 ans. Des blessures que j'ai eues en 0 et 12 ans. Toute la programmation que j'ai au point de départ, il faut faire le ménage là-dedans. Plus je fais le ménage là-dedans, plus la situation devient claire pour moi. Quand je dis « moi », c'est chacun d'entre nous. Et des fois, c'est pas évident parce que je peux faire un certain travail sur moi et j'ai l'impression que ça n'a pas fonctionné. Je suis bouleversé quand tel événement arrive. Bon, fais que là, je suis un atelier, par exemple, un atelier de développement personnel et tout, et je travaille le souci émotif qui a rapport à ça et tout, je me dégage et tout.00:27:00Puis là, je me dis « ah, c'est un beau travail que j'ai fait ce week-end, voit-tu là ? ». Et puis là, il arrive l'événement, l'événement semblable en question et là, je suis encore bouleversé. Il me semblait que j'avais travaillé ça, il me semblait que c'était fini. Et là, à un moment donné, quand ça m'est arrivé, j'ai demandé à voir l'image. C'est comme un iceberg. Si, supposons que c'était un événement qui avait rapport au rejet, l'iceberg, c'est marqué « rejet », mais il y a juste une pointe qui dépasse. Alors, je fais un travail sur moi, je fais un travail sur moi, j'enlève une partie sur le dessus de l'iceberg, mais il en reste une autre partie, il remonte. Peut-être qu'avant que je fasse l'atelier, quand il arrivait une situation comme ça, de rejet, j'en avais pour quatre jours à Marmette.00:27:39Après l'atelier, j'en ai pour trois jours à Marmette. Et je travaille sur moi, je travaille sur moi, j'en ai pour une journée à Marmette. Je travaille encore sur moi, je travaille encore sur moi, mais j'en ai une heure pour une heure à Marmette. C'est parce que le morceau de l'îceberg est diminué à chaque fois. Mais ce qui est marqué sur l'îceberg, le rejet, je le vis tout le temps comme si c'était la première fois. Vois-tu, là ? Du moment que je fais quelque chose pour moi, j'en ai un bénéfice, mais des fois, c'est pas évident. Je le vois pas, le bénéfice que j'ai. Merci, parce que ça donne confiance. Parce que, tu sais, on a l'impression de tourner en rond, mais en fait pas.00:28:08Il y a une autre image que je mets dans un livre, c'est comme un verre, un verre transparent, mais qui est rempli de glaçons. Les glaçons, c'est peut-être les blessures que j'ai vécues émotivement. Quand je travaille sur moi, les glaçons du dessus, parce que je regarde sur le dessus, c'est plein de glaçons. Quand je travaille encore sur moi, je fais fondre quelques glaçons sur le dessus, je regarde le dessus du verre, c'est encore plein de glaçons sur le dessus du verre. Mais je me dis, mon esprit scientifique, il faut qu'il y ait un changement quelque part. Parce que j'ai fait quelque chose. Le changement, il est où? C'est que là, au fond de mon verre, à mesure que je fais des changements sur moi, il y a de moins en moins de glaçons dans le fond du verre.00:28:44Mais il y en a toujours autant sur le dessus. Ça représente quoi, le fond du verre? Ça représente ma voix intérieure. C'est de plus en plus clair à l'intérieur de moi, à mesure que je travaille sur moi. Même si je regarde en surface, et ça a l'air d'avoir autant de glaçons qu'avant. Il n'y en a pas autant dans le verre au complet, parce que les glaçons, ils flottent. Mais la quantité d'eau, l'eau augmente, et donc ça devient plus clair en moi, ce qui se passe. C'est ça, l'avantage du travail qu'on fait sur soi. Merci, ça fait du bien d'entendre ça, de se dire qu'en fait, on ne travaille jamais à perte, là où parfois, on pourrait avoir l'impression de ramer, ramer. C'est pour montrer aussi que c'est possible.00:29:21C'est possible de faire des changements. Je suis obligée de rebondir sur deux trucs que tu as dit. Le premier, tout à l'heure, tu évoquais une situation personnelle où tu avais eu besoin d'en parler à un thérapeute. Toi, tu continues à te faire accompagner au-delà de tes présences, invités. C'est visible. Pourquoi, mon Dieu? Je fais un très, très grand travail sur moi. Encore maintenant? Constamment, constamment. Quel type de thérapeute tu vas voir? Moi, depuis un an, j'avais un thérapeute qui était un voyant clairvoyant clairaudien. Il était clair de tout. Il y a toujours moyen d'expansionner sa conscience, de devenir plus équilibré. La conscience grandit. On n'a envie qu'à travailler au niveau cosmique, des choses comme ça. Ce n'est pas toujours conscient dans le physique, mais c'est un peu comme ça.00:30:05Dans l'énergie, ça se passe quand même. Ce que tu veux dire, et je trouve ça génial, c'est que le chemin n'est jamais terminé. Il n'y a pas comme une destination. On va toujours continuer à expanser. Les maîtres que j'ai pu rencontrer en Inde, c'est intéressant. Ils font un travail très intéressant sur eux, mais souvent, ça ne va pas plus haut que le mental. C'est déjà bien, très, très bien, le mental. C'est à ce niveau vibratoire- là, mais dans la charte des plans, au-delà du mental, il y a le plan de l'âme, il y a les montres pures de Dieu. Moi, je pense que je suis rendu au bout du bout. Je ne chercherai pas plus loin, parce que je suis rendu au bout.00:30:40Mais quand certains maîtres nous montrent qu'il y a quelque chose de plus loin, de plus grand, parce que mon objectif, c'est la réalisation de soi, la réalisation de Dieu, mais ça passe d'abord et avant tout par la réalisation de soi. Ensuite, la réalisation de Dieu. Ces gens-là, ils ont fait un bon bout de chemin, mais il en reste un bout à faire. Des fois, les gens ne savent pas qu'il y en a un bout à faire. C'est comme des gens qui ont des expériences hors du corps, tout ça, et surtout sur le plan astral, ils sont certains qu'ils sont rendus au ciel. Mais tant mieux, c'est sûr que c'est beaucoup plus lumineux, les couleurs sont beaucoup plus belles, c'est beaucoup plus agréable, tous les paysages et tout, c'est tellement beau sur le plan astral.00:31:20Mais il y a le plan causal, il y a le plan mental, il y a le plan d'Éric, il y a le plan de l'an, mais il y en a qui pensent qu'ils sont rendus au ciel. C'est une partie du cheminement. J'en parle, j'ai fait une vidéo, si tu l'en pensais, qui s'appelle « La réalisation de soi ». Je peux être réalisé dans ma conscience la grandeur d'une boule de golf, je peux être réalisé la grandeur d'un ballon de foot, je peux être réalisé la grandeur d'un édifice. Je suis toujours réalisé, mais je peux être de plus en plus, de plus en plus, de plus en plus réalisé, à un degré de plus en plus grand. C'est l'expansion que tu évoquais tout à l'heure. Voilà, c'est ça. Merci. Oui, c'est l'expansion.00:32:04Moi, je t'écoute, je me dis, mais pour moi, Jacques, en fait, il est médium. Tu nous parles de tes amis de là-haut qui viennent te parler, qui te soufflent pas mal de messages, qui te soufflent des idées de livres et tout ça, mais ce n'est pas comme ça que tu le vois, toi. J'ai appris beaucoup d'être en canalisation. Oui, en canalisation. Le chanling, c'est être en contact avec son moi supérieur ou un guide spirituel de haut niveau. Tandis que la médiumnité, ça peut vouloir dire aussi, être en contact avec une personne décidée ou des choses comme ça. Je ne fais pas ça. Si quelqu'un me demande, Jacques, qu'est-ce que tu vois pour moi dans six mois ? Peut-être que je ne verrai rien.00:32:43Je vais dire, trouve-toi un bon voyant, une bonne voyante, prends une consultation et il va peut-être t'aider plus que moi. Moi, je sais ce que j'ai besoin de savoir quand c'est utile de le savoir. Quand ce n'est pas utile de le savoir, des fois, il y a des gens autour de moi qui voient quelque chose que moi, je ne vois pas. Parce que c'est mieux que je ne le vois pas parce que j'aurais pris une décision qui n'était pas appropriée de le faire. Tu n'as pas besoin de cette info à l'instant T. Voilà. Alors, OK, tu n'es pas médium, mais tu es bien connecté. Oui, si les gens me demandent si je suis médium, je dis non, mais j'ai beaucoup d'intuition.00:33:15Tu sais, je rigole souvent parce que je me rends compte à quel point, et puis tu ne viens que confirmer ça, les thérapeutes que je rencontre grâce à la petite voix, ce que je comprends, c'est qu'au plus ils sont au contact des humains, de leur souffrance, au plus ils aiguisent comme un canal, mais, ils ont souvent beaucoup de mal à mettre ce mot-là de médiumnité, comme si c'était mal compris, tu l'as dit, tu vois, ce n'est pas de la vaillance, etc., mais parfois aussi mal perçu ou difficile à assumer. Moi, je me sens à l'aise de dire que j'ai beaucoup d'intuition. Ça fait des années, c'est comme ça. Mais si on me dit médium, je ne suis pas prêt à caisser et à mettre cette étiquette-là sur moi.00:33:53De toute façon, tu n'aimes pas les étiquettes. Non, ça ne colle pas sur moi. Eh bien, partons avec l'intuition, c'est pas mal. En conférence, à un moment donné, ma première conférence que j'ai faite devant un groupe de 500 personnes, 500 personnes au niveau spirituel en septembre 78, à un moment donné, en plein milieu de la conférence, la voix arrive encore et ça dit « Ce que tu dis, ce n'est pas ça qui est important. C'est ce qui se passe qui est important. Plus que ce que tu dis, tu pourrais rester le restant de la conférence en silence et ce qui est important continuera de passer. » Bon, j'ai arrêté de parler. Je me suis rempli de ma conférence, mais j'ai arrêté de parler.00:34:22Mais là, ça a duré juste quelques secondes. La voix a repris « Oui, mais les gens, ils s'attendent en face de toi à ce que tu leur dises quelque chose. » Là, j'ai continué, mais ça a paru que la salle c'est comme si j'avais eu un moment de réflexion. Alors, par après, j'ai su que ce n'était pas ce que je disais qui était important. Quoi que je ne dis pas n'importe quoi en conférence, mais ce n'est pas ça qui est important. C'était superficiel, en fait. Oui. J'évalue que ce que je dis, c'est 10 % de la conférence. Ce qui se passe dans la conférence, c'est l'autre 90 %.00:34:49Tu ne dirais pas que c'est ce qui se passe dans l'échange qu'on a depuis tout à l'heure, un peu? Bien sûr. Jacques, j'aime bien terminer mes entretiens avec quelques questions rituelles. La première me fait rire parce qu'elle est un peu ridicule, donc je vais te la formuler autrement. D'habitude, je demande à mes invités s'ils écoutent parfois leur petite voix. Là, on a la réponse. Ma question serait du coup plutôt, comment tu l'écoutes ? Comment tu te mets à l'écoute de cette petite voix ? C'est comme si je l'entends ou je la ressens. J'ai fait tellement de ménages sur moi que maintenant, quand une idée me vient, c'est rare que ça peut être pourvoyé par le mental. Ça fait que j'ai beaucoup plus de chances d'être à l'écoute.00:35:25Et tu n'as pas besoin de te mettre dans un état de trance ou quelque chose ? Oui, c'est ça. Tu es en train de faire de la cuisine, ça te vient. La connexion est ouverte tout le temps. Est-ce que tu as un rituel ? Tu vois, tu nous dis que cette connexion est tout le temps présente, mais est-ce que tu as un rituel quotidien qui t'aide à te recentrer ? Non. Il faut que ça arrive que je faisais des contemplations tous les jours, pendant certains jours. J'intégrais le corps énergétique de mon mentor spirituel à l'intérieur de moi. Est-ce qu'il y a un livre, en dehors de ceux que toi tu as écrits, un livre qui t'a profondément inspiré, éclairé sur ton chemin de vie ? Oui, oui. La vie des maîtres.00:36:07Je me suis retrouvé beaucoup là-dedans. La vie des maîtres. Ma toute dernière question, Jacques, très terrestre, mais est-ce que toi, Jacques, tu es heureux ? Je suis toujours à la recherche de ça pour plus de plénitude. J'ai vu le jour, on m'a montré l'image quand j'atteindrais ce point-là. On m'a montré l'image. Alors, à ce moment-là, tout ce que je vais avoir vécu auparavant, ça va être pratiquement effacé, ce ne sera plus important. Ça va être le point où je suis arrivé. OK, c'est ce à quoi tu aspires. C'est ça. Merci beaucoup, Jacques, pour ton temps, ta générosité, ta sagesse, enfin voilà, tout ce qu'on vient de partager. Merci beaucoup. C'est un plaisir. Une bonne continuation. Merci à tous ceux qui écouteront ces paroles. Ils peuvent percevoir aussi que je serai avec eux.00:36:59On était bien avec toi, là. Merci. ___________________________Développement personnel • spiritualité • thérapie alternative • santé mentale • jacques martel • bonhommes allumettes • thérapeute québecois • thérapie québec • thérapie alternative québec • médecine de l'âme • soin énergétique • attachement émotionnel • relations toxiques___________________________Vous aimerez cet épisode si vous aimez : podcast Intuition • Osez by Nico • Les Lueurs • Métamorphose • Sorcellerie blanche • Ces questions que tout le monde se pose................................................La petite voix est un podcast du label Lacmé Production.