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Journal de l'Afrique
Plus de 400 interpellations et près de 300 blessés au Maroc

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Oct 1, 2025 13:48


Au Maroc, plus de 400 personnes ont été interpellées et près de 300 autres blessées, après des violences qui ont émaillé mardi soir des manifestations dans plusieurs villes réclamant des réformes des secteurs publics de la santé et de l'éducation, a indiqué mercredi le ministère de l'Intérieur.

Les Grandes Gueules
Le regret du jour - Fred, au 3216 : "Qui a peur de la police aujourd'hui en France ? Au Maroc, il n'y a pas la moitié de ce qui se passe ici. Les gendarmes et policiers n'ont plus d'autorité" - 01/10

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Oct 1, 2025 2:08


Aujourd'hui, Abel Boyi, éducateur, Flora Ghebali, militante écologiste, et Didier Giraud, éleveur de bovin, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Revue de presse Afrique
À la Une : les revendications de la génération Z

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Sep 29, 2025 4:28


La jeunesse donne de la voix sur le continent : la génération Z, qui regroupe ceux qui sont nés entre 1997 et 2012, est majoritaire dans nombre de pays d'Afrique et elle veut se faire entendre, exprimer ses revendications et participer au débat politique. C'est le cas à Madagascar… Après une première journée de mobilisation jeudi dernier, constate Le Monde Afrique, « des centaines de jeunes sont à nouveau descendus samedi dans les rues de la capitale, Antananarivo, à l'appel du collectif Gen Z Madagascar pour réclamer l'accès à l'eau, à l'électricité et le respect de la liberté d'expression. (…) Le cortège a rapidement été stoppé par les forces de police et de gendarmerie, lourdement armées. Des grenades lacrymogènes ont été tirées et plusieurs blessés seraient à déplorer. » Et la semaine qui débute sera « déterminante », s'exclame L'Express de Madagascar. Avec de nouveaux appels à manifester de la part de Gen Z. En effet, malgré les appels au calme et l'intervention du président Andry Rajoelina qui a dit avoir entendu les revendications des jeunes, « la Génération Z a publié hier un communiqué ignorant ostensiblement ces annonces, constate le quotidien malgache. Le mouvement est train de franchir un nouveau cap : de sociales, les revendications prennent une tournure politique. La Génération Z réclame la démission du gouvernement et celle du préfet d'Antananarivo. (…) Le mouvement risque ainsi de s'amplifier, conclut L'Express. (…) Tout laisse donc présager une semaine à haut risque. » La stratégie de la passivité ? « Le courage et la fierté des manifestants avant-hier ont été salués par tout le monde, pointe pour sa part Midi Madagascar. Le message qu'ils ont délivré a été entendu bien au-delà des frontières de la Grande île, mais les événements malheureux qui ont eu lieu par la suite ont quelque peu occulté sa portée, déplore le journal. L'arrivée d'individus malintentionnés et les dégradations matérielles qu'ils ont accomplies ont scandalisé la population. Ils n'avaient absolument rien à voir avec le mouvement de revendication légitime des manifestants. » Et « face à la passivité apparente des forces de l'ordre », relève Midi Madagascar, on peut se demander « s'il ne s'agit pas d'une stratégie délibérée pour occulter totalement le message véhiculé par les manifestants sincères. » « Des dérapages incontrôlés ou téléguidés ? », s'interroge en écho Madagascar Tribune. « On sait depuis la deuxième République de Ratsiraka que l'utilisation de casseurs et de voyous pour discréditer les mouvements de protestation est une pratique des dirigeants malgaches. » Arrogance ? En tout cas, s'agace Madagascar Tribune, « en se comportant avec arrogance depuis des décennies, les dirigeants actuels portent une grande responsabilité dans la colère de la population, en accumulant fraudes électorales, gaspillant les deniers publics dans des projets inutiles, affichant une totale impunité dans la corruption, et n'hésitant jamais à des mensonges cousus de fil blanc et vite rattrapés par la réalité. (…) C'est dans ce contexte, poursuit le journal, qu'à l'inspiration de l'exemple népalais, la Gen Z malgache est apparue. Elle se caractérise par une maitrise des réseaux sociaux pour l'efficacité de la communication et de la mobilisation, et par une absence de véritables leaders pour personnaliser le mouvement et le politiser. Cela lui donne une crédibilité et une légitimité que la classe politique n'a pas. » Au Maroc aussi Et il n'y a pas qu'à Madagascar que la jeunesse donne de la voix… « Au Maroc, la Génération Z descend dans la rue, constate Afrik.com : santé, école, dignité et débat sur les priorités budgétaires. » Ces derniers jours, pointe le site panafricain, « des collectifs de jeunes Marocains qui se sont coordonnés en ligne ont tenté d'organiser des marches dans plusieurs villes pour dénoncer la dégradation des services publics — surtout la santé et l'école. Entre interdictions, dispersions et interpellations, cette séquence met à nu le fossé entre une génération connectée, exigeant dignité et emploi, et des autorités focalisées sur la stabilité. Elle ouvre un bras de fer durable autour des priorités budgétaires et d'un nouveau contrat social. » Et « une réponse essentiellement sécuritaire ne changera pas les revendications, prévient Afrik.com. La fenêtre d'apaisement passe par des gestes tangibles et vérifiables sur la santé et l'éducation, plutôt que par la seule communication gouvernementale. (…) Les prochains week-ends diront si la “Génération Z“ transforme l'essai de la rue en agenda de réformes mesurables. »

Revue de presse Afrique
À la Une : les revendications de la génération Z

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Sep 29, 2025 4:28


La jeunesse donne de la voix sur le continent : la génération Z, qui regroupe ceux qui sont nés entre 1997 et 2012, est majoritaire dans nombre de pays d'Afrique et elle veut se faire entendre, exprimer ses revendications et participer au débat politique. C'est le cas à Madagascar… Après une première journée de mobilisation jeudi dernier, constate Le Monde Afrique, « des centaines de jeunes sont à nouveau descendus samedi dans les rues de la capitale, Antananarivo, à l'appel du collectif Gen Z Madagascar pour réclamer l'accès à l'eau, à l'électricité et le respect de la liberté d'expression. (…) Le cortège a rapidement été stoppé par les forces de police et de gendarmerie, lourdement armées. Des grenades lacrymogènes ont été tirées et plusieurs blessés seraient à déplorer. » Et la semaine qui débute sera « déterminante », s'exclame L'Express de Madagascar. Avec de nouveaux appels à manifester de la part de Gen Z. En effet, malgré les appels au calme et l'intervention du président Andry Rajoelina qui a dit avoir entendu les revendications des jeunes, « la Génération Z a publié hier un communiqué ignorant ostensiblement ces annonces, constate le quotidien malgache. Le mouvement est train de franchir un nouveau cap : de sociales, les revendications prennent une tournure politique. La Génération Z réclame la démission du gouvernement et celle du préfet d'Antananarivo. (…) Le mouvement risque ainsi de s'amplifier, conclut L'Express. (…) Tout laisse donc présager une semaine à haut risque. » La stratégie de la passivité ? « Le courage et la fierté des manifestants avant-hier ont été salués par tout le monde, pointe pour sa part Midi Madagascar. Le message qu'ils ont délivré a été entendu bien au-delà des frontières de la Grande île, mais les événements malheureux qui ont eu lieu par la suite ont quelque peu occulté sa portée, déplore le journal. L'arrivée d'individus malintentionnés et les dégradations matérielles qu'ils ont accomplies ont scandalisé la population. Ils n'avaient absolument rien à voir avec le mouvement de revendication légitime des manifestants. » Et « face à la passivité apparente des forces de l'ordre », relève Midi Madagascar, on peut se demander « s'il ne s'agit pas d'une stratégie délibérée pour occulter totalement le message véhiculé par les manifestants sincères. » « Des dérapages incontrôlés ou téléguidés ? », s'interroge en écho Madagascar Tribune. « On sait depuis la deuxième République de Ratsiraka que l'utilisation de casseurs et de voyous pour discréditer les mouvements de protestation est une pratique des dirigeants malgaches. » Arrogance ? En tout cas, s'agace Madagascar Tribune, « en se comportant avec arrogance depuis des décennies, les dirigeants actuels portent une grande responsabilité dans la colère de la population, en accumulant fraudes électorales, gaspillant les deniers publics dans des projets inutiles, affichant une totale impunité dans la corruption, et n'hésitant jamais à des mensonges cousus de fil blanc et vite rattrapés par la réalité. (…) C'est dans ce contexte, poursuit le journal, qu'à l'inspiration de l'exemple népalais, la Gen Z malgache est apparue. Elle se caractérise par une maitrise des réseaux sociaux pour l'efficacité de la communication et de la mobilisation, et par une absence de véritables leaders pour personnaliser le mouvement et le politiser. Cela lui donne une crédibilité et une légitimité que la classe politique n'a pas. » Au Maroc aussi Et il n'y a pas qu'à Madagascar que la jeunesse donne de la voix… « Au Maroc, la Génération Z descend dans la rue, constate Afrik.com : santé, école, dignité et débat sur les priorités budgétaires. » Ces derniers jours, pointe le site panafricain, « des collectifs de jeunes Marocains qui se sont coordonnés en ligne ont tenté d'organiser des marches dans plusieurs villes pour dénoncer la dégradation des services publics — surtout la santé et l'école. Entre interdictions, dispersions et interpellations, cette séquence met à nu le fossé entre une génération connectée, exigeant dignité et emploi, et des autorités focalisées sur la stabilité. Elle ouvre un bras de fer durable autour des priorités budgétaires et d'un nouveau contrat social. » Et « une réponse essentiellement sécuritaire ne changera pas les revendications, prévient Afrik.com. La fenêtre d'apaisement passe par des gestes tangibles et vérifiables sur la santé et l'éducation, plutôt que par la seule communication gouvernementale. (…) Les prochains week-ends diront si la “Génération Z“ transforme l'essai de la rue en agenda de réformes mesurables. »

Afrique Économie
Au Maroc, le retour des touristes chinois, une aubaine économique?

Afrique Économie

Play Episode Listen Later Sep 24, 2025 2:20


Sur les 150 millions de Chinois à voyager cette année, 140 000 auront visité le Maroc, selon les statistiques du royaume chérifien. C'est quasiment la fréquentation d'avant le Covid. Depuis dix ans, les autorités de Rabat facilitent l'entrée des touristes chinois sur le territoire marocain et elles envisagent de nouvelles dessertes aériennes. Mais les retombées pour les opérateurs locaux du tourisme ne sont pas toujours au rendez-vous. De notre correspondant de retour de Chefchaouen, Une petite médina, nichée dans les montagnes du nord du Maroc. Ici, tout est peint en bleu azur. Bienvenue à Chefchaouen, le décor qui plaît tant aux touristes chinois. Cette petite ville a particulièrement la cote auprès de ces nouveaux touristes qui ont vraiment commencé à venir dans le royaume à partir de 2016, lorsque Rabat les a exemptés de visa. « Le tourisme chinois a été un moment donné une aubaine, je pense pour Chefchaouen, parce qu'il y a eu des arrivées en masse de clients chinois qui consommaient localement aussi bien dans les hôtels, les restaurants ou les cafés », explique Jaber Lahbabi, un opérateur touristique local. Un tourisme peu rentable Les flux ont rapidement augmenté à la veille de la crise du Covid. en 2019, 180 000 Chinois ont visité le royaume. Mais Chefchaouen a commencé à changer. Des restaurants chinois ont fait leur apparition par exemple. « Très vite, ils ont commencé à utiliser leurs réseaux, c'est-à-dire leurs réseaux de transports, leurs réseaux d'agences, leurs réseaux de guides », témoigne Jaber Lahbabi. « Ils ont des besoins bien spécifiques, certes, mais si le touriste vient à Chefchaouen, c'est pour connaître Chefchaouen, pour goûter aux produits du terroir. Si le restaurateur est chinois, si l'hôtelier est chinois, que nous apporte ce tourisme ? », se questionne l'opérateur marocain. Plus de navettes entre Shanghai et Casablanca Cette année marque le retour des touristes chinois dans le royaume. Ils devraient être 140 000 à visiter le pays, d'après l'Office national marocain du tourisme. Pour en attirer davantage, il faut plus de dessertes. À partir d'octobre, un avion reliera directement Shanghai et Casablanca, trois fois par semaine. Shin est venu d'Espagne, où il est étudiant : « Ce voyage, c'est pour célébrer l'obtention de mon diplôme. Chefchaouen est une jolie petite ville. Ici, les maisons sont bleues, j'adore le bleu, j'aime beaucoup cet endroit. » Ce Chinois de 22 ans a choisi de dormir dans une maison d'hôtes marocaine, mais vient de manger dans un restaurant chinois. « C'est vraiment surprenant pour moi, je n'imaginais pas trouver ça ici. Les Chinois, on est vraiment partout ! Le goût, c'est vraiment le même qu'en Chine », s'étonne ce touriste. L'Égypte fait figure de principal concurrent du Maroc sur ce segment. Pour améliorer sa compétitivité, le royaume vise le label « China Ready », un sésame officiel qui certifie les destinations répondant aux exigences et besoins spécifiques de cette clientèle. À lire aussiLa Tunisie et le Maroc connaissent une année touristique 2025 en demi-teinte

Revue de presse Afrique
À la Une: la déchéance de nationalité dans les pays du Sahel

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Sep 19, 2025 4:16


C'est un article de Mali Actu qui parle de la déchéance de nationalité, comme « d'une arme politique en pleine transition militaire ». Le journal en ligne en veut pour preuve, le cas de « trois activistes tchadiens installés en France qui viennent d'être déchus de leur nationalité, accusés d'intelligence avec des puissances étrangères ».  Pour Mali Actu, il s'agit là d'une « pratique étatique de plus en plus utilisée comme un outil politique dans plusieurs états du Sahel ». « Depuis l'arrivée au pouvoir de transitions militaires, des décisions similaires ont été prises contre des opposants et des personnalités publiques. Des voix indépendantes sont ainsi neutralisées », poursuit Mali Actu qui prend pour exemple le cas du Niger. Depuis le coup d'État de 2023, « plusieurs proches de l'ancien président Mohamed Bazoum ont été provisoirement déchus de leur nationalité. Pour les défenseurs des droits humains, remarque le journal, la mesure est surtout symbolique et vise à intimider les opposants ». Mais les conséquences sont lourdes pour les personnes qui se voient imposer cette déchéance, explique encore Mali Actu : « dans certains cas, la mesure peut rendre une personne apatride et la priver d'une protection internationale ». Disparitions et réquisitions La presse africaine revient également ce matin sur la libération, au Burkina Faso, de deux journalistes disparus depuis plus d'un an. Les disparitions forcées, c'est une autre des méthodes utilisées pour faire taire les voix discordantes. Mais pour Adama Bayala et Alain Traoré, alias Alain Alain, une page se tourne : « ils respirent l'air de la liberté recouvrée au Burkina », annonce Aujourd8.net qui se réjouit sans réserve. « Avec ces libérations, nous dit-il, la liste des hommes de médias libérés après quelque temps passé loin de leurs familles s'allonge et on ne peut que se féliciter que nos confrères retrouvent la possibilité d'aller et venir. » Afrik.com de son côté, note que la disparition d'Adama Bayala et Alain Traoré avaient eu lieu « dans un contexte marqué par les réquisitions arbitraires de la junte dirigée par le capitaine Ibrahim Traoré. Officiellement, les autorités justifient des réquisitions par le décret de mobilisation générale contre les groupes armés djihadistes. Mais de plus en plus de Burkinabè y voient un instrument pour faire taire les voix critiques ». Il reste encore un journaliste « vraisemblablement réquisitionné », rappelle Jeune Afrique, il s'agit d'Atiana Serge Oulon, « enlevé à son domicile le 24 juin 2024 ». Problème politique Le Maroc est dans le viseur d'Afrik.com, et plus précisément son roi Mohamed VI. Dans un article au vitriol d'Afrik.com intitulé « Mohamed VI et les voitures de l'État : une monarchie en roue libre », le journaliste Malik Hamid s'exclame ainsi : « Au Maroc, la pauvreté gronde, les inégalités se creusent et la jeunesse désespère. Mais pendant ce temps, les moteurs vrombissent sous les ors d'un régime qui semble davantage préoccupé par le confort de ses élites que par les conditions de vie de ses citoyens ». C'est la ministre de l'Économie et des finances, Nadia Fettah, qui selon Afrik.com, « a révélé les dépenses faramineuses consacrées au parc automobile de l'État. (…) plus de trois milliards de dirhams par an, sont affectés à l'entretien, au carburant et au renouvellement des voitures de fonction de l'administration publique marocaine ». « Alors même que le pays se débat avec une inflation galopante, un chômage endémique et une crise sociale profonde, poursuit Afrik.com, l'État consacre des milliards à l'entretien d'un luxe bureaucratique. » Et ce n'est pas tout : « Le cœur du scandale, ajoute le site d'information, c'est que ces voitures ne servent pas seulement à des missions officielles, mais bien souvent à des trajets personnels, à des déplacements de confort, voire à des abus flagrants d'autorité ».

Revue de presse Afrique
À la Une: la déchéance de nationalité dans les pays du Sahel

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Sep 19, 2025 4:16


C'est un article de Mali Actu qui parle de la déchéance de nationalité, comme « d'une arme politique en pleine transition militaire ». Le journal en ligne en veut pour preuve, le cas de « trois activistes tchadiens installés en France qui viennent d'être déchus de leur nationalité, accusés d'intelligence avec des puissances étrangères ».  Pour Mali Actu, il s'agit là d'une « pratique étatique de plus en plus utilisée comme un outil politique dans plusieurs états du Sahel ». « Depuis l'arrivée au pouvoir de transitions militaires, des décisions similaires ont été prises contre des opposants et des personnalités publiques. Des voix indépendantes sont ainsi neutralisées », poursuit Mali Actu qui prend pour exemple le cas du Niger. Depuis le coup d'État de 2023, « plusieurs proches de l'ancien président Mohamed Bazoum ont été provisoirement déchus de leur nationalité. Pour les défenseurs des droits humains, remarque le journal, la mesure est surtout symbolique et vise à intimider les opposants ». Mais les conséquences sont lourdes pour les personnes qui se voient imposer cette déchéance, explique encore Mali Actu : « dans certains cas, la mesure peut rendre une personne apatride et la priver d'une protection internationale ». Disparitions et réquisitions La presse africaine revient également ce matin sur la libération, au Burkina Faso, de deux journalistes disparus depuis plus d'un an. Les disparitions forcées, c'est une autre des méthodes utilisées pour faire taire les voix discordantes. Mais pour Adama Bayala et Alain Traoré, alias Alain Alain, une page se tourne : « ils respirent l'air de la liberté recouvrée au Burkina », annonce Aujourd8.net qui se réjouit sans réserve. « Avec ces libérations, nous dit-il, la liste des hommes de médias libérés après quelque temps passé loin de leurs familles s'allonge et on ne peut que se féliciter que nos confrères retrouvent la possibilité d'aller et venir. » Afrik.com de son côté, note que la disparition d'Adama Bayala et Alain Traoré avaient eu lieu « dans un contexte marqué par les réquisitions arbitraires de la junte dirigée par le capitaine Ibrahim Traoré. Officiellement, les autorités justifient des réquisitions par le décret de mobilisation générale contre les groupes armés djihadistes. Mais de plus en plus de Burkinabè y voient un instrument pour faire taire les voix critiques ». Il reste encore un journaliste « vraisemblablement réquisitionné », rappelle Jeune Afrique, il s'agit d'Atiana Serge Oulon, « enlevé à son domicile le 24 juin 2024 ». Problème politique Le Maroc est dans le viseur d'Afrik.com, et plus précisément son roi Mohamed VI. Dans un article au vitriol d'Afrik.com intitulé « Mohamed VI et les voitures de l'État : une monarchie en roue libre », le journaliste Malik Hamid s'exclame ainsi : « Au Maroc, la pauvreté gronde, les inégalités se creusent et la jeunesse désespère. Mais pendant ce temps, les moteurs vrombissent sous les ors d'un régime qui semble davantage préoccupé par le confort de ses élites que par les conditions de vie de ses citoyens ». C'est la ministre de l'Économie et des finances, Nadia Fettah, qui selon Afrik.com, « a révélé les dépenses faramineuses consacrées au parc automobile de l'État. (…) plus de trois milliards de dirhams par an, sont affectés à l'entretien, au carburant et au renouvellement des voitures de fonction de l'administration publique marocaine ». « Alors même que le pays se débat avec une inflation galopante, un chômage endémique et une crise sociale profonde, poursuit Afrik.com, l'État consacre des milliards à l'entretien d'un luxe bureaucratique. » Et ce n'est pas tout : « Le cœur du scandale, ajoute le site d'information, c'est que ces voitures ne servent pas seulement à des missions officielles, mais bien souvent à des trajets personnels, à des déplacements de confort, voire à des abus flagrants d'autorité ».

Grand reportage
Récolter pour survivre : le quotidien des migrants subsahariens au Maroc

Grand reportage

Play Episode Listen Later Sep 9, 2025 19:30


Au Maroc, la région d'Agadir dans le sud-ouest du pays, concentre une part importante des travailleurs migrants irréguliers. Ils seraient plus de 10 000, selon les ONG, parmi ces subsahariens entre 90 000 et 300 000, qui y font escale. Beaucoup d'autres poursuivent leur migration vers l'Europe. Ils se sont installés dans ce que certains surnomment le « potager de l'Europe » : 20 000 hectares de serres où fruits et légumes poussent toute l'année. Sans papiers, ils sont mal payés, travaillent dur et s'intègrent très difficilement. Même si des associations sont présentes. Récolter pour survivre : le quotidien des migrants subsahariens au Maroc, un Grand reportage de François Hume-Ferkatadji.

French with Jeanne
Nouvelles - Une semaine au Maroc !

French with Jeanne

Play Episode Listen Later Sep 1, 2025 12:08


Je reviens sur ma semaine de vacances passée au Maroc, avec Giovanni. Je t'emmène à Rabat, puis à Chefchaouen et à Tanger. Je te livre mes premières impressions, mes observations et mes découvertes. Pour t'abonner à la newsletter, c'est ici : https://frenchwithjeanne.kit.com/infolettre

Entreprendre et Vivre au Maroc
De retour au Maroc, elle lance le meilleur café brunch de Rabat (Boho Café)

Entreprendre et Vivre au Maroc

Play Episode Listen Later Aug 29, 2025 88:51


Sofia est de retour au Maroc où elle a lancé le Boho Café, devenu une référence brunch à Rabat. Dans cette interview, elle partage son parcours, les étapes de création de son café et ses conseils pour entreprendre au Maroc.

Le Double Expresso RTL2
L'INTÉGRALE - Le Double Expresso RTL2 (25/08/25)

Le Double Expresso RTL2

Play Episode Listen Later Aug 25, 2025 116:28


L'info du matin - À Toyoake, une ville japonaise, les autorités veulent limiter l'usage des smartphones à deux heures par jour pour leurs habitants Le winner du jour - Un homme de 75 ans a failli quitter sa femme pour une « petite amie » rencontrée en ligne... qui s'est révélée être une intelligence artificielle - Justine a annoncé en direct qu'elle attendait un bébé ! Le flashback de novembre 2005 - Sortie de l'album "Confessions on a Dance Floor" de Madonna, avec le tube "Hung Up" - Sortie de la comédie américaine "40 ans, toujours puceau" Les savoirs inutiles - Il est possible de fabriquer du fromage avec le lait de nombreux mammifères - Au Maroc : fromage "Ajban Dakhla" à base de lait de chamelle - En Mongolie : fromage "Koumis" à base de lait de jument Chanson du jour - Kim Carnes "Bette Davis Eyes" 3 choses à savoir sur Tim Burton Qu'est-ce qu'on teste ? - Une brosse à dents double face imaginée par Arthur Colpaert, formé à l'École de Design de Nantes. Elle permet de brosser simultanément les deux arcades dentaires et de réduire d'un tiers la durée du brossage Le jeu surprise - Guillaume de Rouen repart avec le vinyle "No Need To Argue" (30e anniversaire) de The Cranberries La banque RTL2 - Alexandre d'Étoile-sur-Rhône près de Valence gagne 300 € - Claire des Vallons-de-l'Erdre près de Nantes gagne un MacBook Air Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Reportage France
Diasporas africaines en France: Khalid Tamer, le nomade culturel [3/5]

Reportage France

Play Episode Listen Later Aug 19, 2025 3:47


Rien n'arrête Khalid Tamer, metteur en scène d'origine marocaine, premier président africain de la commission internationale du théâtre francophone et directeur du théâtre le Lavoir Moderne Parisien. Khalid Tamer est un homme du terroir : « J'ai grandi en Corrèze, puis je suis monté à l'âge de 18 ans à Paris pour faire du théâtre ». Une passion qui ne l'a plus quitté. Il crée au cœur du quartier multiculturel de la Goutte d'Or dans le 18e arrondissement parisien, un lieu unique, la compagnie Graines de Soleil - Lavoir Moderne Parisien. Un espace de création atypique : il s'agit tout simplement d'un ancien lavoir transformé en un lieu unique et expérimental où de jeunes troupes ont carte blanche. « On dit qu'Émile Zola en parle dans son roman l'Assommoir. Voyez, il y a encore là les traces qui sont présentes des bassines où les femmes lavaient leur linge. C'est un lieu qui a une belle histoire, ce sont des murs qui ont une âme. En 1986, cet espace est devenu un théâtre, où artistes, auteurs, et des militantes comme les Femen, un groupe de protestation féministe fondé en Ukraine en 2008, célèbre pour avoir organisé des manifestations seins nus, sont venues. Vous voyez le symbole ! Puis j'ai eu mon propre combat pendant six ans avec un des propriétaires qui voulait détruire ce lieu, donc on s'est battu pour le garder tel qu'il est avec tout son charme. » Et c'est toujours au Lavoir Moderne Parisien qu'il vient d'achever la 4ᵉ édition d'Africapitales, avec le Sénégal comme invité d'honneur. Faire venir l'Afrique et ses cultures à Paris, c'est l'un des défis de cet homme passionné de cultures. « Il y a quelque chose de très africain en moi, j'ai l'impression que je suis un nomade et partout où je suis, je porte ma maison », explique-t-il. Première rencontre Dans ce cocon artistique, Virginie Chevalier, Québécoise, l'a rejoint. Cette scénographe a travaillé sur de nombreux projets et pièces de théâtre montés par la compagnie Graines de Soleil aux côtés de Khalid, fascinée par cet homme qui partage sa vie. « Pour moi, Khalid est vraiment au service de la culture. On lui donne un billet d'avion, il te crée un festival dans le monde. Pour lui, l'art est au-dessus de tout. » Au Maroc où il est né, il a des projets. Et à Tanger, ses rêves deviennent réalité. Il vient d'acquérir l'emblématique librairie des Colonnes, c'est aussi dans cette ville, carrefour des cultures entre l'Europe et l'Afrique, qu'il a organisé la première édition des rencontres méditerranéennes de Tanger. Un événement culturel rendu possible avec Marc Bitton de la Fondation Founoun Al Boughaz - Arts du Détroit.  Ensemble, ils ont imaginé ce projet. Au menu : des concerts, des expositions et des débats au cœur de la kasbah… où le Liban et sa littérature étaient aussi à l'honneur. Funambule artistique « J'avais très envie qu'on soit présent parce que je pense qu'on a ce défaut dans notre partie du monde de vouloir toujours dialoguer à travers la France » souligne l'écrivaine Georgia Makhlouf. « Je dirais que c'est en France qu'on rencontre les écrivains venus du Maroc, d'Algérie ou de Tunisie… Donc, moi, j'aime beaucoup l'idée d'avoir enfin des liens directs afin d'apprendre à se connaître, je pense qu'on a beaucoup à partager, qu'on a beaucoup à apprendre pour arriver à faire des choses ensemble ». Khalid Tamer tisse des liens : « J'aime rencontrer l'autre que je ne connais pas et j'aime prendre des risques, c'est ma manière de vivre, je suis comme un funambule. » Un véritable funambule artistique qui avance d'un pas délicat et sûr, sans jamais s'arrêter de créer. À lire aussiDiasporas africaines en France: Dieudonné Mbeleg, un «Africain» à la tête de la prison de Nantes [2/5]

Reportage Afrique
Les délices du continent au Maroc: le sandwich au thon qui émerveille les papilles des habitants de Casa [10/10]

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later Aug 14, 2025 2:17


Dans ce nouvel épisode de notre série d'été consacrée aux « délices du continent », nous partons pour Casablanca, à la découverte d'un sandwich populaire. Ce dernier convoque, pour des générations de Marocains, l'enfance, la plage, les vacances d'été… Vendu autour d'un euro, il est emblématique de la culture toujours très vivante de la street food à la marocaine. La suite vous est contée par Matthias Raynal. Il s'appelle le « thon o'lahrour », littéralement « le thon et le piment ». Ce sont les deux ingrédients phares de ce sandwich marocain. Mais il y en a d'autres… Sur son comptoir mobile, Imad, 36 ans, prépare des thon o'lahrour depuis treize ans : « Le plus important, c'est le pain ! Le croquant, le croustillant, c'est ça le secret ! ». Il poursuit : « Premièrement, le thon ne va jamais te rendre malade. Deuxièmement, c'est léger, c'est bien quand il fait chaud. Troisièmement, c'est le sandwich de toutes les générations, il convient à la fois aux petits et aux grands. » Voilà la recette du succès, qui ne s'est jamais démentie au fil des années. Kenzi vient de sortir du bureau. Elle prend sa pause déjeuner avec des copines : « Mmmmm, c'est très très bon, c'est mon enfance… Ce sandwich, tu le trouves à la plage, au stade, dans la rue, à côté des écoles… » Hicham, 43 ans, en est déjà à son deuxième thon o'lahrour ce midi : « On oubliera jamais ce sandwich, il fait partie de l'histoire. Le jour de l'Aïd, quand tout est fermé, il y a toujours un gars dans le quartier qui profite de ce moment pour se mettre à vendre des sandwichs, car le jour de la fête, les gosses reçoivent un peu d'argent de poche, quelques dirhams qui sont aussitôt dépensés ». À lire aussi« Cuisines d'Afrique du Nord » : recettes et récits intimes d'une identité retrouvée Parasol et sable fin, voilà le décor que préfère encore le thon o'lahrour. Imad reprend : « Il n'y a pas un Marocain qui est parti à la plage et qui n'a pas mangé ce sandwich. C'est un pan de la culture balnéaire au Maroc. » Ce monument de la street food marocaine a évolué à travers le temps : « Par exemple, il n'y avait pas de pommes de terre avant. Certains en ajoutent désormais, ils mettent aussi de la charcuterie halal, des sauces, du fromage… Son avantage, c'est qu'on n'a jamais marre d'en manger. Tous les jours, du lundi au vendredi, j'en mange deux au déjeuner. » Et si vous voulez goûter à ce fameux sandwich fait avec passion par Imad, sachez que son stand se trouve en centre-ville, sur la place Zellaqa. À lire aussiLes délices du continent en Côte d'Ivoire: l'alloco [9/10]

Afrique Économie
Au Maroc, le pari de la formalisation du secteur du cannabis [5/5]

Afrique Économie

Play Episode Listen Later Aug 7, 2025 2:20


Le Maroc est le plus important producteur de cannabis au monde. Problème : une grande partie de cette filière échappe aujourd'hui à tout contrôle. En 2021, une loi a permis la légalisation de la production à des fins industrielles et médicales. Agriculteurs, coopératives de transformation, exportateurs... Un nouveau secteur se déploie autour du cannabis licite. Avec notre envoyé spécial dans les montagnes du Rif, À flanc de montagnes, dans le nord du Maroc, dans le Rif, les champs de marijuana s'étendent à perte de vue. « La plante que vous voyez ici, elle va servir à fabriquer des médicaments. On ne va plus la vendre aux trafiquants. Elle sera vendue à une coopérative, de manière officielle, sous la supervision de l'État », se réjouit Najib, 38 ans. Il cultive du cannabis légal depuis 2022. « Tu sais ce que tu vas gagner désormais. C'est un travail officiel, sûr. Ce n'est pas comme avant. On avait affaire à des gens qu'on ne connaissait pas, explique-t-il. On était à leur merci, ils pouvaient nous voler la récolte, le fruit d'une année de travail, et à qui pouvait-on se plaindre ? » La filière légale profite d'un réel engouement. En 2024, plus de 3 000 autorisations ont été délivrées par l'Anrac aux agriculteurs marocains, contre seulement 430 l'année précédente. L'Anrac, pour Agence nationale de réglementation des activités relatives au cannabis, est le garde-fou du secteur. « Les prix sont fixés par contrat au départ. Donc l'agriculteur sait très bien ce qu'il va toucher. Il y a des avantages économiques, des subventions, des aides, un accompagnement de l'État. Être un agriculteur avec des documents, avec une carte, avec la possibilité d'aller chez le médecin... Tout change ! L'agriculteur, il existe. Alors qu'avant, il n'existait pas », détaille Jaber El Hababi, cofondateur de la coopérative de transformation Biocannat. Selon le ministère de l'Intérieur, le cannabis illégal fait vivre 400 000 personnes au Maroc. Les cultivateurs sont loin d'être tous passés au légal : « Il y a ce qu'il y a depuis des décennies. On ne peut pas non plus venir et changer tout d'un seul coup. Cela ne changera jamais d'un seul coup. Il faut du temps. Ce qui est difficile dans ce secteur, c'est la logistique. Comment pénétrer un marché ? Comment arriver à un marché ? Mais le Maroc a un avantage indéniable, c'est le produit roi dans le monde. » Quatre ans après la légalisation de la culture du cannabis au Maroc, le secteur en est encore à ses débuts. Les autorités voient en lui la base d'un nouveau modèle de développement pour cette région marquée par un sentiment persistant de marginalisation. À lire aussiMaroc: des températures qui dépassent les 40 degrés, le pays frappé par une vague de chaleur

Journal de l'Afrique
Sahara Occidental : le roi du Maroc appelle au dialogue

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Jul 30, 2025 14:11


Au Maroc, Mohamed VI renouvelle son appel au dialogue avec l'Algérie. Dans un contexte de tensions autour du Sahara occidental, le roi plaide pour une solution « sans vainqueur ni vaincu ».

Le zoom de la rédaction
Au Maroc, une troupe de drag queens bouscule les stéréotypes

Le zoom de la rédaction

Play Episode Listen Later Jul 29, 2025 4:21


durée : 00:04:21 - Le Zoom de France Inter - [REDIFFUSION] Au Maroc, la troupe de transformistes Kabareh Cheikhats transcende les normes de genre dans un pays où l'art du « drag » demeure stigmatisé. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Chronique des Matières Premières
Au Maroc, l'avocat sur le banc des accusés

Chronique des Matières Premières

Play Episode Listen Later Jul 23, 2025 1:58


C'était l'un des paris de l'agriculture marocaine : accélérer la production d'avocats sur son territoire. En 2011, près de 2 700 hectares d'avocatiers ont été plantés d'après les chiffres du gouvernement et, chaque année, les surfaces dédiées s'agrandissent. Par Elie Polselli Une politique qui porte ses fruits : en 2025, la production s'élève à 130 000 tonnes d'avocats, soit près du double de l'année passée, selon les chiffres de l'Association marocaine de l'avocat. Pourtant, le Maroc n'est pas dans le top 5 des pays les plus producteurs d'avocats au monde, mais compte bien se faire une place dans ce marché. Alors pour atteindre les cadences de ses concurrents, comme le Pérou ou le Kenya, le Maroc a redoublé d'efforts dans la région irriguée de Gharb, au nord du pays. Mais dans les localités déjà en tension hydrique, comme Rabat, Khémisset et Benslimane, la culture d'avocats impacte la qualité des sols et des ressources en eau. En 2024, le royaume a dû réduire les irrigations agricoles, et la situation est d'autant plus préoccupante, car le pays entame sa 7ᵉ année de sécheresse. La désalinisation de l'eau de mer comme solution La désalinisation de l'eau de mer est une solution technique pour irriguer les champs artificiellement, mais qui demande en amont beaucoup d'énergie afin d'extraire le sel de l'eau. 17 stations de distillation existent déjà, et 9 doivent voir le jour dans le pays à l'horizon 2030. Le problème de cette solution : le sel retiré de l'eau de mer est ensuite relâché, mélangé à de nombreux produits chimiques, utilisés dans le processus de distillation. Un cocktail qui se retrouve en bout de course dans l'océan. L'eau va poser problème à l'avocat Même si l'Organisation mondiale de l'avocat estime que cette culture est plus raisonnable que celle du café ou du chocolat, il faudrait quand même environ 900 litres par plant d'avocat pour obtenir une production rentable, selon l'Association marocaine de l'avocat. La solution, pour la durabilité de la filière de l'avocat au Maroc, se trouve peut-être dans la réduction de la consommation mondiale, qui s'est emballée ces dernières années. Un constat qui n'est pas partagé par tous les acteurs : l'Organisation mondiale de l'avocat mise sur une croissance de la consommation d'avocats de 10% par an en Europe pour les cinq prochaines années. À lire aussiFrance: boom de la production du sorgho, une céréale adaptée au changement climatique

Entreprendre et Vivre au Maroc
Retraite au Maroc : droits, démarches et pièges à éviter (avec Mustapha Lakhsime)

Entreprendre et Vivre au Maroc

Play Episode Listen Later Jul 18, 2025 90:37


Vous vivez ou souhaitez vivre au Maroc ? Dans cette interview, on parle d'un sujet trop souvent oublié : la retraite. Avec Mustapha Lakhsime, expert en accompagnement des Français à l'étranger, on vous explique comment :

The Book Cast بوك كاست
Mondial 2030 : Investir dans l'Immobilier au Maroc

The Book Cast بوك كاست

Play Episode Listen Later Jul 9, 2025 5:24


Mondial 2030 : Investir dans l'Immobilier au Maroc

The Book Cast بوك كاست
Investir dans les Petites Structures Touristiques au Maroc

The Book Cast بوك كاست

Play Episode Listen Later Jul 8, 2025 8:13


Investir dans les Petites Structures Touristiques au Maroc

Radio foot internationale
CAN féminine 2025 au Maroc : le coup d'envoi est donné !

Radio foot internationale

Play Episode Listen Later Jul 7, 2025 48:29


Bonjour les amis, nous sommes le lundi 7 juillet, voici le programme de Radio Foot à 16h10 TU & 21h10 TU sur RFI : - Top départ de la CAN féminine 2025, le Maroc commence par un match nul face à la Zambie. Victoires pour le Sénégal, le Nigeria et l'Algérie. ; - Mondial des Clubs : le PSG c'est fort, beaucoup trop fort !  Top départ de la CAN féminine 2025, le Maroc commence par un match nul face à la Zambie. Victoires pour le Sénégal, le Nigeria et l'Algérie. Nous ferons un point sur le début de la compétition avec nos consultants, dès le début de l'émission.   Mondial des Clubs : le PSG c'est fort, beaucoup trop fort ! Les joueurs de la capitale poursuivent leur saison exceptionnelle, après la victoire 2 buts à 0 face au Bayern (à 9 contre 11). Est-ce la meilleure équipe de cette compétition ? Musiala gravement blessé, une mauvaise publicité pour le Mondial des Clubs. Le Real Madrid, prochain adversaire de Paris en demi-finale. Gonzalo Garcia -Kylian Mbappé, le ticket gagnant ? Surplus de motivation pour le capitaine des Bleus face au PSG ? Chelsea-Fluminense: Voie royale pour les Blues ? Présentation : Hugo Moissonnier | Édition : Saliou Diouf | TCR : Laurent Salerno | Consultants : Éric Rabesandratana, David Lortholary, Patrick Juillard.

Radio Foot Internationale
CAN féminine 2025 au Maroc : le coup d'envoi est donné !

Radio Foot Internationale

Play Episode Listen Later Jul 7, 2025 48:29


Bonjour les amis, nous sommes le lundi 7 juillet, voici le programme de Radio Foot à 16h10 TU & 21h10 TU sur RFI : - Top départ de la CAN féminine 2025, le Maroc commence par un match nul face à la Zambie. Victoires pour le Sénégal, le Nigeria et l'Algérie. ; - Mondial des Clubs : le PSG c'est fort, beaucoup trop fort !  Top départ de la CAN féminine 2025, le Maroc commence par un match nul face à la Zambie. Victoires pour le Sénégal, le Nigeria et l'Algérie. Nous ferons un point sur le début de la compétition avec nos consultants, dès le début de l'émission.   Mondial des Clubs : le PSG c'est fort, beaucoup trop fort ! Les joueurs de la capitale poursuivent leur saison exceptionnelle, après la victoire 2 buts à 0 face au Bayern (à 9 contre 11). Est-ce la meilleure équipe de cette compétition ? Musiala gravement blessé, une mauvaise publicité pour le Mondial des Clubs. Le Real Madrid, prochain adversaire de Paris en demi-finale. Gonzalo Garcia -Kylian Mbappé, le ticket gagnant ? Surplus de motivation pour le capitaine des Bleus face au PSG ? Chelsea-Fluminense: Voie royale pour les Blues ? Présentation : Hugo Moissonnier | Édition : Saliou Diouf | TCR : Laurent Salerno | Consultants : Éric Rabesandratana, David Lortholary, Patrick Juillard.

Afrique Économie
Maroc: remédier à la crise de l'élevage par les céréales et les races locales

Afrique Économie

Play Episode Listen Later Jun 4, 2025 2:20


Au Maroc, l'élevage fait la une de l'actualité ces derniers mois : annulation du sacrifice de l'Aïd, explosion du prix de la viande rouge. En l'espace de neuf ans, sous l'effet notamment de la sécheresse, le cheptel s'est effondré, perdant un tiers de ses effectifs. Les Marocains s'interrogent sur l'origine de la crise qui frappe la filière et tentent de trouver des solutions. De notre correspondant à Rabat,Ces dernières années, les éleveurs marocains ont dû se rabattre sur les aliments pour bétail importés. Le royaume ne produisait plus suffisamment de fourrage, à cause du stress hydrique, mais aussi des choix de cultures. Ces dernières années, le Maroc s'est orienté vers l'olivier ou d'autres cultures arboricoles qui nécessitaient beaucoup d'eau, au détriment des céréales fourragères qui s'adaptaient aux conditions locales. « Cela pose un vrai problème quant à l'autonomie fourragère de l'élevage marocain », souligne Soufiane El Aayadi, enseignant chercheur au département des productions animales à l'Institut agronomique et vétérinaire Hassan-II.Variété de fourrages plus résistantsPaysans davantage dépendants des importations, explosion des prix due à l'instabilité géopolitique, le système de production a vacillé. « Il faut s'orienter vers des cultures qui s'adaptent à la sécheresse, conseille l'agronome. On ne peut pas abandonner l'élevage intensif, ce n'est pas possible, mais il faut quand même adapter les ressources qui sont essentielles au développement et à la productivité de ces élevages. »Des solutions existent, comme le sorgho, actuellement à l'étude au Maroc. Les solutions sont aussi cherchées dans les élevages eux-mêmes. « Il faut revenir aux races locales, très résistantes aux conditions du Maroc, à la sécheresse, à un contexte où l'impact du changement climatique est très fort », estime Soufiane El Aayadi.Race locale : « comme un accordéon »Pour produire plus, le Maroc est en effet passé à des races venues d'Europe. Il a perdu une partie de ses ressources génétiques locales. C'est particulièrement vrai pour les bovins, souligne le docteur Ahmed Aittaleb, directeur de la fédération marocaine des éleveurs de Oulmès-Zaer. « Malheureusement, [la race Oulmès-Zaer] est la seule race marocaine qui existe encore. Les autres races ont disparu. C'est pour ça que le ministère de l'Agriculture a mis en place un programme pour développer cette race en collaboration avec la fédération. »Objectif de ce programme : faire passer les effectifs de 5 000 à 10 000 têtes d'ici à 2030. « C'est une race très rustique, très résistante, observe l'éleveur. Pendant la sécheresse, elle rétrécit, comme un accordéon. Dès qu'il y a de la pluie, un peu d'herbe, elle gonfle et devient productive. »Le gouvernement vient d'annoncer un vaste programme pour reconstituer le cheptel marocain : près de 600 millions d'euros sur un peu moins de deux ans, principalement sous forme d'aides directes aux éleveurs.À lire aussiLa crise de l'élevage marocain fait monter les prix de la viande et menace l'Aïd

Afrique Économie
Le Maroc acteur de poids sur le marché mondial des fruits rouges

Afrique Économie

Play Episode Listen Later May 20, 2025 2:17


Myrtilles, framboises, fraises… les fruits rouges marocains se sont taillé une place de choix sur les étals à travers le monde et en particulier en Europe. Une vraie réussite pour cette filière qui a fait du Maroc ces dernières années l'un des leaders mondiaux dans la production et l'exportation de fruits rouges. De notre correspondant à Casablanca, C'est le résultat de plus de 40 ans d'expérience. Au départ, la production se limite à quelques hectares de fraises en plein champ. Les cultures se sont étendues depuis, diversifiées et les techniques modernisées. « Le grand développement de la fraise, c'est en 1980 avec les zones irriguées, rappelle Abdeslam Acharki, directeur de la Fédération interprofessionnelle des fruits rouges. Il faut savoir que les fruits rouges sont exportés à peu près dans une soixantaine de pays à travers le monde, mais c'est à 90 % pour le marché européen. »MultinationalesAbdeslam Acharki est le directeur de la Fédération interprofessionnelle des fruits rouges. Tout un écosystème s'est mis en place au Maroc avec la construction notamment d'infrastructures agro-industrielles. L'État soutient par ailleurs la filière à travers des subventions. « Le climat et la précocité donnent un avantage au Maroc », vante Younès El Amouri, producteur et conditionneur des fruits rouges. Au Maroc, les fruits rouges sont ainsi récoltés presque toute l'année ! Le royaume présente aussi d'autres atouts comme une main-d'œuvre qualifiée et à bas coût. « La plupart des multinationales sont installées au Maroc, observe Younes El Amouri, parce qu'il y a de la proximité avec l'Union européenne, qui est le client principal. »Extension des surfaces de myrtilleCela n'empêche pas la concurrence, avec l'Égypte, notamment pour la fraise. Dans ce contexte, le Maroc s'est lancé depuis quelques années dans une culture plus rentable : la myrtille. Au Maroc, l'une des principales zones de production de ce petit fruit bleu au goût acidulé se trouve dans le nord du pays, la région Tanger-Tétouan-Al Hoceima. « La myrtille, avec plusieurs variétés, a pris ces dernières années beaucoup de surfaces par rapport aux autres cultures », constate Youssef Bensajjay, ingénieur agro-économiste.R&D insuffisante face à la sécheresseLes perspectives sont bonnes. La filière marocaine des fruits rouges lorgne désormais de nouveaux débouchés comme le Japon. Mais elle fait face à quelques handicaps. « Il y a la rareté de la main-d'œuvre, déplore Youssef Bensajjay. On doit aussi développer la recherche-développement. C'est le maillon faible pour tout ce qui est nouvelles variétés, surtout pour la fraise avec le déficit hydrique. C'est un enjeu majeur et un facteur très limitant. »Le secteur n'échappe pas à la sécheresse qui frappe le pays depuis sept ans. La filière des fruits rouges doit aussi faire face à une augmentation des coûts de production.À lire aussiMaroc/France : la hache de guerre de la tomate est enterrée pour le moment

Les Grandes Gueules
La sanction du jour - Pierre, au 3216 : "Il ne devrait plus jouer. Il doit prendre une amende et être viré. Si ça ne lui va pas, il va jouer au Maroc ou en Arménie. La religion dans les vestiaires est un problème" - 19/05

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later May 19, 2025 2:25


Aujourd'hui, Charles Consigny, Zohra Bitan et Frédéric Farah débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Pas son genre
Nassira El Moaddem propose « Le bled, le train, et moi », un récit sur les origines et les voyages en famille au Maroc

Pas son genre

Play Episode Listen Later May 17, 2025 42:51


durée : 00:42:51 - En marge - Journaliste habituée de l'arène politique, Nassira El Moaddem lève le pied, largue les amarres, et publie « Et si on rentrait au bled en train » : mi-récit, mi-guide de voyage, aussi intime qu'engagé. - invités : Nassira El Moadem - Nassira El Moadem : Directrice du Bondy Blog - réalisé par : Alicia Vullo

Toute l'info du week-end - Bernard Poirette
Fabienne Thibeault revient sur la date du 8 septembre 2023, quand a eu lieu le séisme au Maroc

Toute l'info du week-end - Bernard Poirette

Play Episode Listen Later May 4, 2025 8:04


Fabienne Thibault revient sur le séisme du 8 septembre 2023 au Maroc et raconte comment cet événement l'a poussée à composer une chanson en hommage aux victimes. Un témoignage bouleversant d'art, d'engagement et d'espoir.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

C dans l'air
Panne d'électricité géante : qui est responsable ? - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later May 3, 2025 65:04


C dans l'air du 3 mai 2025 - Panne d'électricité géante : qui est responsable ?Deux pays entièrement plongés dans le noir. Une panne massive d'électricité a touché l'Espagne et le Portugal il y a quelques jours, et l'heure est à la recherche de responsables. Si le gouvernement portugais a écarté l'hypothèse d'une cyberattaque, rien ne permet de conclure sur ce qu'il s'est produit à ce stade. La situation électrique particulière de l'Espagne est toutefois pointée du doigt, avec beaucoup de renouvelables et une faible interconnexion au continent européen.Les répercussions ont elles été internationales. Le trafic aérien a été perturbé, comme les transports publics et les soins dans les hôpitaux. La panne a été telle que d'autres pays en ont subi les conséquences. Au Maroc les services internet d'Orange ont été perturbés ; au Groenland, les moyens de communication (téléphone, SMS, internet) ont été coupés, le secteur étant en partie géré depuis l'Espagne.Selon l'avis des experts, une telle coupure n'aurait pas pu se produire en France, le paysage étant différent, avec des interconnexions importantes avec nos voisins européens. Mais le blackout subi dans la péninsule ibérique rouvre le débat sur les centrales nucléaires alors que Madrid prône leur fermeture. Emmmanuel Macron a lui choisi de relancer le secteur : Flamanville s'apprête à redémarrer (malgré de nombreux retards et le gouffre financier qui va avec) et la filière des petits réacteurs (SMR) est encouragée. La hausse des prix est toutefois le risque, elle ne cesse d'alimenter le débat politique.Pendant ce temps, certains villages se battent en France contre l'installation de nouvelles éoliennes sur leur territoire. À Chenevelle, dans la Vienne, 80% de la population s'est dite contre mais l'entreprise Volkswind porte un recours contre ce résultat. C dans l'air est allé sur place. Alors, quelle est la cause de l 'énorme panne qui a touché l'Espagne et le Portugal ? Où en est-on du nucléaire en France ? Le secteur de l'éolien s'assoit-il sur la volonté des populations locales ? LES EXPERTS : Elie COHEN - Économiste, directeur de recherche au CNRS, auteur de Souveraineté industrielle Sharon WAJSBROT - Cheffe du service industrie aux Echos Emmanuelle GALICHET - Enseignante-Chercheure en sciences et technologies nucléaires au CNAM Nicolas GOLDBERG - Associé au cabinet Colombus Consulting, responsable énergie chez Terra Nova Marti BLANCHO ( en duplex d'Espagne) - Journaliste, correspondant à BarcelonePRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

Reportage Afrique
Maroc: le royaume ouvre son premier musée consacré au football marocain

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later Apr 22, 2025 2:29


Alors que le royaume s'apprête à organiser la CAN et que les Lions de l'Atlas sont toujours auréolés de leur demi-finale en Coupe du Monde, un nouveau musée dédié au ballon rond porte le sceau des nouvelles ambitions du foot marocain. Au Maroc, un musée d'un genre particulier a ouvert ses portes début février. Il retrace l'histoire de ce qui constitue sans aucun doute la plus grande passion du pays, le football. Un projet porté par la Fédération royale marocaine, installé au rez-de-chaussée de son siège à Salé. « C'est un projet qui a commencé en 2021. Fouzi Lekjaa, président de la Fédération, a fait appel à un comité scientifique, qui se compose d'éminents journalistes de la scène nationale. Mais aussi des experts, des spécialistes de l'histoire du football marocain », détaille Zayd Ouakrim, conservateur du Musée du Football marocain.Le résultat : 2 100 mètres carrés d'exposition qui raconte plus de 100 ans de football au Maroc. Du premier match disputé dans le pays, à la fin du 19e siècle, à l'épopée qatarienne de 2022.  « Le deuxième espace est intitulé terre des pionniers. C'est un hommage aux joueurs pionniers, aux premiers joueurs qui sont devenus professionnels, mais aussi aux clubs pionniers. Je pense à Larbi Benbarek, notamment », raconte le conservateur. Celui-ci a voyagé un peu partout au Maroc, pendant deux ans, pour réunir tous les objets exposés ici. « On a eu de la chance de récupérer des maillots des équipes adverses que nos joueurs ont pu échanger après chaque match », explique-t-il. Parmi les reliques du musée, le maillot de Romelu Lukaku, porté par l'attaquant belge lors de la victoire du Maroc 2 à 0, au premier tour de la coupe du Monde 2022.Avec ce musée, le Maroc met en scène son soft power. « Depuis toujours, le football au Maroc aura été une sorte de discussion avec les non-Marocains. C'est un musée qui joue un rôle important dans la diplomatie marocaine, on reçoit des personnalités importantes. Avec la Coupe d'Afrique qui débute bientôt au Maroc, en décembre, les gens s'intéressent plus au Maroc », estime Zayd Ouakrim.Dans quelques mois, le Maroc aura une nouvelle occasion de briller et d'ajouter une ligne à l'histoire du football continental, en organisant la CAN à la maison. À lire aussiCAN U17: le Maroc sacré champion d'Afrique pour la première fois après sa victoire face au Mali

Littérature sans frontières
Rim Battal : l'incandescence d'une adolescente au Maroc

Littérature sans frontières

Play Episode Listen Later Apr 11, 2025 29:00


Née en 1987 à Casablanca, vivant aujourd'hui à Paris, Rim Battal est poétesse. Après des études de journalisme, elle se consacre à l'écriture et à la photographie, devenant l'une des figures d'une nouvelle génération de poètes. Elle a notamment publié Vingt poèmes et des poussières (Lanskine), L'eau du bain, Les quatrains de l'all inclusive ou encore X et excès (Le Castor Astral). Je me regarderai dans les yeux est son premier roman. « Au Maroc, à dix-sept ans, à l'âge des romans à l'eau de rose, des serments d'amitié et des poèmes de Rimbaud, une jeune fille fume une cigarette à la fenêtre de sa chambre. Cette transgression déclenche la violente fureur de sa mère – puis, comme un envol effaré, la fugue de la narratrice. Un ultimatum lui est alors posé : elle devra produire un certificat de virginité. L'examen gynécologique forcé sera sa "première fois". Comment sortir de l'enfance quand tous les adultes nous trahissent ? Comment aimer quand ceux qui nous aiment nous détruisent ? Porté par une écriture puissante qui n'oublie ni l'ardeur ni la drôlerie, le récit de Rim Battal dit les premières fois, le désir, la générosité et la force qui président à la naissance d'une femme et d'une écrivaine. » (Présentation des éditions Bayard)

Encore une histoire
Bolduc en vacances au Maroc

Encore une histoire

Play Episode Listen Later Jan 24, 2025 7:07


Le retour de Bolduc, qui est en vacances au Maroc---Histoire écrite et interprétée par Céline Kallmann, réalisation et musiques Alexandre Ferreira, production Benjamin Muller.Générique : Vlad Gluschenko - Time.Retrouvez Encore une histoire sur Instagram, Facebook et Twitter. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Leaders On Purpose with Manal Bernoussi
[FR] Episode 50- Nihal Djebli: Briser Les Chaines, le cadeau de la transformation

Leaders On Purpose with Manal Bernoussi

Play Episode Listen Later Jan 19, 2025 61:30


Dans cet épisode en français de Leaders On Purpose Podcast, Manal Bernoussi entame une conversation profonde et inspirante avec Nihal Djebli, auteure du livre "Briser les chaînes, le cadeau de la transformation". Hypnothérapeute, maman, dirigeante et entrepreneure, Nihal partage son parcours et les enseignements clés de son premier roman, écrit avec le langage du cœur. Ce livre explore la nécessité de remettre en question les croyances limitantes et d'entamer un chemin de transformation vers sa vérité intérieure. Ensemble, elles discutent de personnages universels dans lesquels nous pouvons toutes et tous nous retrouver : Salma face au burnout, Laila face à une injustice professionnelle, Kamal qui hérite d'une entreprise familiale mais sacrifie sa passion, Sara passionnée par son travail, Zayn face aux défis et dégâts de l'ego en entreprise, etc.

La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
Le Brésil, la Turquie et le Maroc font la Une de la presse internationale

La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1

Play Episode Listen Later Jan 17, 2025 2:57


La revue de presse internationale aborde trois sujets majeurs. Au Brésil, l'ex-président Jair Bolsonaro se voit interdire par la Cour suprême de se rendre aux États-Unis pour l'investiture de Donald Trump, craignant une fuite pour échapper à la justice dans le cadre d'une enquête sur un coup d'État présumé. Au Maroc, le pays devient la première destination touristique africaine en 2024, avec 17,4 millions de visiteurs en 2023, dépassant l'Égypte, notamment grâce à l'affluence record à Marrakech. En Turquie, l'immobilier connaît une flambée des prix, certaines maisons voyant leur valeur augmenter de 1146% en 5 ans, en raison de l'inflation, de la chute de la livre turque et des coûts de construction post-Covid, aggravés par les séismes de 2023. La stabilisation des prix reste incertaine.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.

L'info en intégrale - Europe 1
Le Brésil, la Turquie et le Maroc font la Une de la presse internationale

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Jan 17, 2025 2:57


La revue de presse internationale aborde trois sujets majeurs. Au Brésil, l'ex-président Jair Bolsonaro se voit interdire par la Cour suprême de se rendre aux États-Unis pour l'investiture de Donald Trump, craignant une fuite pour échapper à la justice dans le cadre d'une enquête sur un coup d'État présumé. Au Maroc, le pays devient la première destination touristique africaine en 2024, avec 17,4 millions de visiteurs en 2023, dépassant l'Égypte, notamment grâce à l'affluence record à Marrakech. En Turquie, l'immobilier connaît une flambée des prix, certaines maisons voyant leur valeur augmenter de 1146% en 5 ans, en raison de l'inflation, de la chute de la livre turque et des coûts de construction post-Covid, aggravés par les séismes de 2023. La stabilisation des prix reste incertaine.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.

Reportage Afrique
Au Maroc, Records Zaman, le premier magasin de disques d'Agadir

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later Jan 17, 2025 2:34


Records Zaman a ouvert en 1967 à Agadir. À l'époque, ce fut le premier magasin de disques de la ville. 58 ans après, le fils du fondateur a repris le flambeau de ce magasin qui compte des milliers de vinyles et de cassettes, principalement de musique arabe, dont certains sont très rares. Amine Aqdim, 30 ans, est aujourd'hui à la tête de ce coffre à trésor musical. En parallèle, il développe une activité de DJ et s'emploie à numériser des enregistrements rares de musique yéménite, soudanaise, égyptienne et bien sûr marocaine. De notre envoyé spécial de retour d'Agadir,Situé au centre du vieil Agadir, le magasin fait à peine 20 m², mais il paraît beaucoup plus grand. Du sol au plafond, des vinyles allant des années 1940 à aujourd'hui décorent les murs et garnissent les étagères. De Billy Ocean à Ray Charles, en passant par AC/DC ou Farid El Atrache, on retrouve tous les styles.« Dans ce magasin, vous pouvez trouver de la musique d'Inde, de la musique classique égyptienne, de la musique du Brésil, du hip-hop marocain, du funk, du disco... », explique Amine Aqdim, qui a repris le magasin de son père en 2017.Assis à son bureau au centre de la petite pièce, ses doigts pianotent sur les rangées de cassettes. Il collecte et classe toute cette musique sur son ordinateur. Il est fier de sa collection unique de musique arabe. « Je veux conserver cette mémoire au Maroc. La plupart des gens ne voient la musique marocaine que comme de la musique traditionnelle. Mais il y a aussi de la musique électronique, du groove, de la disco, s'enthousiasme-t-il. C'est ce que j'essaye de partager avec les gens dans le monde. »Des trésors cachésParmi ses milliers de vinyles et ses centaines de cassettes, il y a quelques perles rares. « Et maintenant, je les garde pour moi. C'est un trésor ; ça coûte très cher, confie-t-il. Il y a vraiment une différence entre les éditions originales et les rééditions, et puis pour moi, ça me rappelle mon père. »D'une valise bien cachée à l'arrière du magasin, il sort un vinyle du groupe de rock engagé des années 1970 - Nass El Ghiwane ou encore un album d'Osibisa, du groupe britannique d'afro-pop des années 1970 formé par des Ghanéens et des Caribéens… Mais ce qui le passionne le plus, c'est la musique enregistrée dans les studios de Casablanca dans les années 1970. « Il y a Izenzaren, c'est un groupe berbère des années 1970 très connu. Ils ont sorti leur album à Casablanca. »En plus de numériser et de classer cette musique, Amine Aqdim est également DJ. Il collabore régulièrement avec le collectif français Radio Flouka pour remettre au goût du jour toute la diversité de la musique marocaine de 1950 à nos jours.À lire aussiHighlife mon amour avec le groupe ghanéen Santrofi

La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
La Grèce, le Maroc et le Japon font la Une de la presse internationale

La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1

Play Episode Listen Later Jan 10, 2025 3:00


En Grèce, deux soldats ukrainiens ont trouvé réconfort sur le mont Athos, haut lieu de l'orthodoxie. Malgré les liens étroits entre l'Église orthodoxe russe et ce lieu sacré, ce sont les monastères grecs qui accueillent ces blessés de guerre, pour leur offrir quelques jours de paix loin des souvenirs obsédants des combats.

L'info en intégrale - Europe 1
La Grèce, le Maroc et le Japon font la Une de la presse internationale

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Jan 10, 2025 3:00


En Grèce, deux soldats ukrainiens ont trouvé réconfort sur le mont Athos, haut lieu de l'orthodoxie. Malgré les liens étroits entre l'Église orthodoxe russe et ce lieu sacré, ce sont les monastères grecs qui accueillent ces blessés de guerre, pour leur offrir quelques jours de paix loin des souvenirs obsédants des combats.

Reportage Afrique
Au Maroc, la percée des reconversions professionnelles

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later Jan 10, 2025 2:22


Dans la société marocaine, la sécurité de l'emploi prime lors de l'orientation professionnelle. C'est le Graal des jeunes actifs, prêts à de nombreux sacrifices pour y parvenir. Pourtant, certains ne s'y retrouvent plus aujourd'hui et ont décidé de privilégier d'autres critères dans le choix de leur activité, quitte à changer totalement de carrière. La reconversion professionnelle fait son chemin au Maroc. De notre correspondant à Casablanca,Il avait des chiffres plein la tête, désormais ce sont des plans de maison, de meubles qui occupent ses pensées. Les mots sortent encore difficilement de sa bouche, Sofiane est décorateur d'intérieur : « J'ai 35 ans et je suis décorateur d'intérieur. C'est drôle de dire ça, confie Sofiane. Je pense que c'est la première fois que je dis ça. C'est la première fois que je me présente comme ça. »Il y a quelques mois, il a abandonné un emploi salarié bien payé et s'est lancé, à son compte, dans une activité qui n'avait rien à voir avec ses diplômes. « Je faisais de la comptabilité, j'ai une formation de comptable et de gestionnaire, témoigne-t-il. J'ai pratiqué durant sept ans. La vérité, c'était que ça devenait de plus en plus pénible de se lever, d'aller vers un travail ou un métier qui ne te définissait vraiment pas. En gros, je n'étais pas heureux dans ce que je faisais. »Ce matin-là, Sofiane est sur un chantier, dans un quartier huppé de Casablanca. « Quand mon client n'a pas trop envie de se casser la tête, il m'appelle et puis voilà, j'interviens. J'interviens à peu près dans tout ce qui est travaux dans la maison, dans tout ce qui est aménagement. On prend à cœur ce qu'on fait. Ça, c'est important. »À lire aussiMaroc: le rebond de la croissance n'empêche pas un chômage des jeunes record« Quand tu as du mal à te lever, quand tu te trouves des excuses pour ne pas faire un certain travail, c'est une sorte de dépression »Au Maroc, il fait figure d'ovni. Lâcher une bonne situation pour tenter une reconversion professionnelle, ce n'est pas encore entré dans les mœurs. « Mes proches ne sont pas au courant de mon changement de carrière. Une famille marocaine, jamais de la vie tu vas venir leur dire que tu as laissé tomber le salariat, affirme Sofiane. Ils ne vont jamais le comprendre. » Sa famille préfèrerait lui voir une vie stable : « Donc, un salaire, une maison à crédit, une femme, une bonne femme, des enfants et puis voilà, énumère-t-il. J'étais vraiment très très loin de tout ça. »Et dans sa vie de salarié, Sofiane avait fini par s'oublier. « Je suis passé par des moments assez difficiles et tu ne t'en rends pas compte sur le moment. Mais quand tu as du mal à te lever, quand tu te trouves des excuses pour ne pas faire un certain travail, c'est une sorte de dépression », juge-t-il.Sofiane a retrouvé le sourire, au contact de ses clients, de 7 à 77 ans. En quête de sens, il est plus épanoui désormais. Il a fondé une marque de meubles, Le Petit Colibri, et veut maintenant créer un showroom et son propre atelier. Ce sera alors le moment d'annoncer son changement de carrière à sa famille.Chaque mois, retrouvez les conseils aux jeunes diplômés dans 8 milliards de voisinsRecherche d'emploi: conseils aux jeunes diplômés

Un jour dans le monde
Moudawana : au Maroc, la réforme du code de la famille enfin révélée

Un jour dans le monde

Play Episode Listen Later Jan 9, 2025 42:54


durée : 00:42:54 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - par : Fabienne Sintes - Le 24 décembre dernier, un premier texte proposant des modifications du code de la famille a été dévoilé, 20 ans après sa première révision. Défenseuses des droits des femmes et opposants restent toutefois peu convaincus par ces changements. - réalisé par : Thomas Lenglain

Un jour dans le monde
Maroc : la révision du code de la famille

Un jour dans le monde

Play Episode Listen Later Jan 9, 2025 13:32


durée : 00:13:32 - L'invité d'un jour dans le monde - Au Maroc, la réforme du code de la famille est au cœur des revendications féministes. Ces dernières dénoncent une révision jugée trop timide, tandis que l'autorité religieuse reste prudente face aux évolutions envisagées de la « Moudawana ».

InterNational
Moudawana : au Maroc, la réforme du code de la famille enfin révélée

InterNational

Play Episode Listen Later Jan 9, 2025 42:54


durée : 00:42:54 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - par : Fabienne Sintes - Le 24 décembre dernier, un premier texte proposant des modifications du code de la famille a été dévoilé, 20 ans après sa première révision. Défenseuses des droits des femmes et opposants restent toutefois peu convaincus par ces changements. - réalisé par : Thomas Lenglain

Les matins
Réforme du code de la famille au Maroc / Nouveaux moyens de paiement / Histoire de l'art avec Hector Obalk

Les matins

Play Episode Listen Later Jan 3, 2025 149:44


durée : 02:29:44 - Les Matins - par : Jean Leymarie, Isabelle de Gaulmyn - Les enjeux internationaux - Maroc : ce que va changer la réforme du Code de la famille. La question du jour - Lydia, Apple Pay, Google Pay : à qui profitent les nouveaux moyens de paiement ? L'invité des matins- Histoire de la peinture : apprendre à aimer. - réalisation : Colin Gruel

Revue de presse Afrique
À la Une: en RDC, six drones abattus dans le Nord-Kivu

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Dec 26, 2024 3:55


Six drones rwandais ont été abattus, affirme l'armée de la RDC. Le site Afrik.com détaille qu'ils ont été interceptés « au-dessus de la localité de Mambasa, située dans le territoire de Lubero, dans la province du Nord-Kivu ». Le « Mouvement du 23 mars » (M23), groupe armé soutenu par le Rwanda et son armée, progresse de plusieurs dizaines de kilomètres ces derniers jours à l'est de la RDC, faisant craindre un effondrement du front.Un événement qui agite la presse locale« Parler moins, agir plus », titre le journal Soft International dans un éditorial va-t-en-guerre. Il fustige la simple communication de la RDC face au Rwanda et prône plus d'action : « Trop de communication tue la communication. Face au Rwanda, nous devrions (nous aurions dû) faire mieux : éviter de trop ouvrir la bouche, mais agir avec efficacité. (...) Pourquoi notre pays aime tant ouvrir la bouche ? Alerter son entourage sur un danger qui pointe à sa porte ne manque pas de sens, mais est-ce la première action à engager en l'espèce ou il faut au contraire chercher à neutraliser le danger ? Ceux qui dirigent le monde savent. Ils frappent. Et communiquent après. »D'autres titres sont bien plus mesurés. Le site Actualité.cd donne la parole au prix Nobel de la Paix Denis Mukwege. Dans ce contexte, ce médecin appelle à organiser une conférence internationale sur la Paix en RDC en 2025. « Nous sommes tenus de nous fédérer pour imposer le respect des valeurs fondamentales : le respect de la vie, de la dignité humaine, de la liberté, de la justice, du travail et de la fraternité, qui sont les fondements de notre Nation et le socle sur lequel repose notre cohésion sociale. (...) Dans cette noble initiative, j'ai la conviction que nous ne serons pas seuls », conclut le médecin, ancien candidat à la présidence.Au Maroc, débat public vif autour de la réforme du Code de la famille« Le vrai match commence », titre Maroc Hebdo. Pour rappel, le Code de la famille (la Moudawana) régit de nombreuses mœurs dans le Royaume où l'islam est la religion d'État. Le ministère de la Justice recommande : interdiction du mariage pour les mineurs, réglementation plus stricte de la polygamie et maintien du droit de garde des enfants pour la mère divorcée, même en cas de remariage.Maroc Hebdo résume le paysage politique : « à gauche, (...) un camp (...) progressiste, dont les franges les plus radicales se passeraient bien de tout ce qui s'apparente à des aspérités religieuses. (...) De l'autre côté, on se méfie (...) et on ne rechignerait pas, si cela est possible, à jeter le bébé avec l'eau du bain, et carrément, dans l'idéal, à revenir à un statu quo antérieur à la Moudawana version 2004 ».Au milieu : le roi. Seule position publique pour l'instant citée par Maroc Hebdo : « Ne pas interdire ce qui est autorisé, ni autoriser ce qui est prohibé ». Le journal prédit d'intenses mois de débat à venir.« L'Afrique se prépare au retour de l'ouragan Trump »« L'Afrique se prépare au retour de l'ouragan Trump », titre Jeune Afrique : « le milliardaire américain promet de secouer le continent africain, pour le meilleur comme pour le pire ». Le magazine rappelle les relations tendues entre Donald Trump et le continent. Lui qui a promulgué par exemple le Muslim ban en 2017. Interdisant l'accès du territoire américain aux visiteurs provenant « de Libye, de Somalie ou du Soudan ». Plus tard, « les citoyens du Nigeria, de Tanzanie, d'Égypte, du Tchad, du Mali, du Soudan du Sud et de l'Érythrée ont subi des restrictions d'entrée aux États-Unis ».

Revue de presse Afrique
À la Une: la libération de quatre Français de la DGSE au Burkina Faso

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Dec 20, 2024 4:07


Ils avaient été arrêtés en décembre 2023, accusés d'espionnage, accusations rejetées par Paris. Ils ont donc été libérés hier, « grâce à la médiation du roi Mohamed VI » précise Wakatsera, au Burkina Faso. Alors qu'Aujourd8.net titre : « Petit dégel Axe-Ouaga-Paris via Rabat » et ajoute : « c'est ce qu'on appelle les fruits immédiats de la coopération, celle portée au pinacle par Emmanuel Macron, entre la France et le Maroc ». « La libération rendue à ces quatre personnes de la DGSE », poursuit le site burkinabé, « ne détendra pas l'atmosphère sibérienne entre l'axe Paris-Ouaga, mais c'est toujours ça de gagné. On ne peut que s'incliner devant la diplomatie de ce 'roi des pauvres', Mohamed VI, qui est incontournable au Sahel, dans le rapport avec la France ».Au Maroc, l'Opinion remarque que « le succès de la médiation du roi du Maroc, intervient alors que Paris et Rabat ont récemment scellé leur réconciliation, incarnée par une visite d'État du président français fin octobre au Maroc, après trois ans de crise aigüe. » APAnews, de son côté, parle d'une « percée diplomatique majeure, qui marque un tournant dans les relations internationales en Afrique de l'Ouest (…) dans un contexte diplomatique tendu entre Paris et Ouagadougou, depuis le coup d'État de septembre 2022, qui a porté le capitaine Ibrahim Traoré, au pouvoir ».Nouveau chef d'état-majorEn RDC, Félix Tshisekedi a procédé hier soir à une série de changements à la tête des forces armées. C'est ainsi, nous explique Objectif-infos, « que le chef de l'État a élevé le général Jules Banza, au grade de chef d'état-major des forces armées de la RDC ». « Sa nomination, ajoute le site d'information, intervient au moment où les rebelles du M 23, soutenus par le Rwanda, poursuivent leurs offensives dans la province du Nord-Kivu ». Le prédécesseur de Jules Banza, Christian Tshiwewe devient lui, « conseiller militaire du président », précise Actualité.cd qui ajoute : « il quitte la tête des forces armées, au moment où l'armée congolaise fait face à d'importantes difficultés sur le terrain, face à la rébellion du M 23, soutenue par le Rwanda. Sous son commandement, plusieurs localités du Nord-Kivu sont tombées sous le contrôle des rebelles ».  « Certains analystes », poursuit Actualité.cd, estiment « qu'en renouvelant le commandement des FARDC, le chef de l'État Félix Tshisekedi, en sa qualité de commandeur suprême des forces armées, cherche à insuffler un nouvel élan au sein de l'armée congolaise. »Abandonnées à leur sortEnfin, le bilan du passage du cyclone Chido au Mozambique s'avère particulièrement lourd. « Le dernier bilan fait état d'au moins 70 morts et plus de 600 blessés », nous dit Afrik.com. « Cependant, les humanitaires estiment que le bilan pourrait être bien plus lourd, avec de nombreux dégâts non encore comptabilisés en raison des difficultés d'accès et de la lenteur des évaluations sur le terrain ». « Les habitants manquent de tout, bien que l'aide alimentaire commence à arriver », explique la responsable d'une ONG. « Les populations locales, commente Afrik.com  « se sentent abandonnées à leur sort, confrontées à une succession de crises qui exacerbent leurs souffrances, entre catastrophes naturelles, insécurité et conflits armés ».De son côté, Africanews précise que « la Province de Cabo Delgado, où vivent environ deux millions de personnes, a été la première région touchée par le cyclone Chido au Mozambique. De nombreuses maisons, écoles et établissements de santé y ont été partiellement ou complètement détruits ». Au-delà du constat sur le terrain, Africanews rappelle que « depuis quelques années, les tempêtes dans la région sont de plus en plus violentes. En 2019, le cyclone Idai a ainsi tué plus de 1300 personnes, principalement au Mozambique, au Malawi et au Zimbabwé ».

Eco d'ici Eco d'ailleurs
«Au Maroc, le secteur privé doit reprendre le flambeau», dit Tarik Senhaji (Bourse de Casablanca)

Eco d'ici Eco d'ailleurs

Play Episode Listen Later Dec 7, 2024 48:30


C'est le patron de la 2ème bourse d'Afrique en termes de capitalisation, la première d'Afrique francophone : Tarik Senhaji, directeur général de la Bourse de Casablanca depuis 2020, est notre grand invité de l'économie RFI - Jeune Afrique. Dans cet entretien accordé à Bruno Faure (RFI) et Aurélie M'Bida (Jeune Afrique), Tarik Senhaji, polytechnicien formé en France avant d'évoluer aux États-Unis et au Royaume-Uni, détaille la stratégie de cette place financière devenue centrale sur le continent : la résilience face aux crises successives, la stratégie pour attirer des investisseurs et des nouvelles entreprises dans les secteurs les plus porteurs, la concurrence internationale et la coopération avec la BRVM (Bourse Régionale des Valeurs Mobilières de l'UEMOA basée à Abidjan) mais aussi le développement global du Maroc, le rôle de sa jeunesse et sa position de pivot entre l'Afrique et l'Europe.En fin d'émission, le natif de Casablanca dévoile son attachement pour la capitale économique du Maroc qui prépare la Coupe du monde de Football 2030 avec la construction du stade Hassan II (115.000 places).Retrouvez tous nos invités de l'économie via ce lien.

Journal en français facile
Suite de la visite d'Emmanuel Macron au Maroc / Une chute du prix du pétrole attendue / Mort de Manuel Mirabal

Journal en français facile

Play Episode Listen Later Oct 30, 2024 9:54


Le Journal en français facile du mardi 29 octobre 2024, 17 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/B5OX.A

Journal en français facile
Le président français en visite au Maroc / États-Unis : J-8 avant la présidentielle / Manifestations en Géorgie après les législatives...

Journal en français facile

Play Episode Listen Later Oct 28, 2024 10:00


Le Journal en français facile du mardi 28 octobre 2024, 17 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/B57j.A

Les actus du jour - Hugo Décrypte
Macron au Maroc : La fin des tensions avec la France ?

Les actus du jour - Hugo Décrypte

Play Episode Listen Later Oct 28, 2024 12:11


Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.

Journal en français facile
Le Liban sous les bombes / Le pape demande « pardon » / Emmanuel Macron bientôt au Maroc...

Journal en français facile

Play Episode Listen Later Sep 27, 2024 10:00


Le Journal en français facile du vendredi 27 septembre 2024, 18 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/AzqP.A