Podcasts about Au Maroc

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Invité Afrique
Pierre Vermeren: «Le nationalisme au Maroc trouve dans la CAN un moyen consensuel de s'exprimer»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Dec 20, 2025 5:14


Direction le Maroc où s'ouvre dimanche 21 décembre la Coupe d'Afrique des Nations (CAN), avec le match Maroc-Comores à 20 heures. Cette CAN, et l'optique de la Coupe du monde en 2030, sont des enjeux majeurs, sportifs, mais surtout politiques, pour le pays. Lors des récentes manifestations, ces évènements ont été très critiqués par la population qui appelle l'État à développer les secteurs de la santé, du travail, et à engager une meilleure redistribution des richesses. Spécialiste de l'histoire du Maroc, Pierre Vermeren est professeur à l'université de la Sorbonne à Paris. Il répond à Guillaume Thibault. À lire aussiCAN 2025 : le Maroc en favori, des outsiders en embuscade À lire aussiCAN 2025 : dates, stades, villes, horaires, le calendrier complet des matchs

Le débat africain
CAN au Maroc et temps forts de l'année 2025… L'actualité vue par les éditorialistes africains

Le débat africain

Play Episode Listen Later Dec 19, 2025 39:00


Au sommaire : Le Maroc donne le coup d'envoi de la Coupe d'Afrique des nations ce dimanche 21 décembre 2025. Les éditorialistes du débat reviennent sur l'organisation, les équipes en lice et les enjeux de cette édition. Élection présidentielle au Cameroun, réélection de Donald Trump, coup d'État manqué au Bénin... Quels ont été les temps forts de l'actualité en 2025 ? Chaque semaine, des journalistes et éditorialistes africains décryptent l'actualité africaine et internationale. Avec la participation de :  Lanciné Bakayoko, journaliste à la RTI François Hiondi Nkam, grand reporter et chef du service Économie au quotidien camerounais Le jour Nouhou Baldé, fondateur et administrateur du site Guinéematin.

Rothen s'enflamme
L'ambiance monte-t-elle au Maroc avant la CAN ? avec Nicolas Pelletier – 19/12

Rothen s'enflamme

Play Episode Listen Later Dec 19, 2025 4:51


Jérôme Rothen se chauffe contre un autre consultant, un éditorialiste ou un acteur du foot.

Les matins
37 morts dans des inondations au Maroc : le parquet ouvre une enquête pour déterminer des responsabilités

Les matins

Play Episode Listen Later Dec 17, 2025 5:26


durée : 00:05:26 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - 37 personnes sont mortes à Safi, sur la côte atlantique du Maroc, à la suite de crues soudaines et d'inondations, les pires de la décennie. Le parquet national a ouvert une enquête pour déterminer d'éventuelles responsabilités alors que des habitants dénonce le retard des secours pour pomper l'eau.

Grand reportage
GenZ 212 au Maroc : «Ils ont semé la peur en nous»

Grand reportage

Play Episode Listen Later Dec 17, 2025 19:30


Le Maroc a connu en 2025 une nouvelle vague de protestation populaire. Protestation portée par la Gen Z  212. 212 pour l'indicatif téléphonique du Maroc. La mobilisation 2025 s'inscrit après celle du 20 février en 2011, et le mouvement populaire du Rif en 2016-2017.  Ces jeunes de 18 à 25 ans très connectés, inspirés par les manifestations au Népal, à Madagascar ou en Indonésie, ont clamé leur refus de la corruption, et exiger une amélioration des services publics, comme la santé et l'éducation. Sans affiliation politique ou syndicale, ils ont fini par exiger la démission du gouvernement, mais sans succès. Aujourd'hui, ils dénoncent la répression qui s'est abattue sur eux. 1 473 jeunes sont toujours en prison, dont 330 mineurs selon les chiffres officiels.   GenZ  212 au Maroc : « Ils ont semé la peur en nous », un reportage de François Hume-Ferkatadji.

Winamax Football Club - Le podcast
WFC - Les prédictions spécial CAN 2025 au Maroc

Winamax Football Club - Le podcast

Play Episode Listen Later Dec 17, 2025 101:09


La Coupe d'Afrique des Nations 2025 dans le WFC, c'est parti ! Le Winamax FC vous livre ses prédictions sur la CAN 2025 qui va se disputer au Maroc. La Côte d'Ivoire, tenante du titre va-t-elle réaliser le doublé ou le Maroc d'Achraf Hakimi est-il l'immense favori pour s'imposer à domicile ? Quel parcours pour le Sénégal, l'Egypte ou encore l'Algérie ? Verdict dans le WFC Osimhen, Mané, Hakimi, Aubameyang, ou encore Ryad Mahrez : quelle star va briller durant la CAN ou complètement se vautrer ? La RD Congo ou la Tunisie peuvent-ils créer la surprise ?

Reportage Afrique
Maroc, une nation de foot [2/5] : Casablanca, capitale des ultras le temps d'un derby

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later Dec 15, 2025 2:30


Au Maroc, la culture du supportérisme est particulièrement vivace. Totalement dévoués à leur club de cœur, les ultras construisent leur vie autour de l'amour du maillot, entre confection minutieuse des tifos dans le plus grand secret, écriture de nouveaux chants ou accueil des nouveaux joueurs. Dans ce domaine, les ultras des deux grands clubs casablancais, le Wydad Athletic Club et le Raja Club Athletic, sont reconnus dans le monde entier comme parmi les plus dynamiques et fervents. Rencontre avec ces passionnés de l'écusson à l'occasion d'un Wydad-Raja, le derby de Casablanca.  De notre correspondant à Casablanca,  Stade Mohammed V, Casablanca. 29 octobre 2025. C'est l'un des matchs les plus bouillants de la planète. L'ambiance est indescriptible. La marée rouge des ultras Winners 2005, virage Nord, fait face aux deux groupes ultras du Raja, virage Sud. Le stade comprend officiellement 44 000 places, mais pour ce match, plus de 60 000 personnes ont pris place dans les gradins. Les tribunes sont bondées. Par manque d'espace, les supporters sont collés les uns aux autres. Pendant 90 minutes, les ultras se concentrent sur les directives des kapos, chefs d'orchestre de ce spectacle qui se joue en tribune. Avant le coup d'envoi, pas moins de neuf tifos démesurés seront déployés dans le stade. Les images feront le tour du monde. Soudain, à la 56e minute de jeu, des centaines de fumigènes, rouges d'un côté, blancs et verts de l'autre, illuminent le stade, tandis que des feux d'artifice explosent de part et d'autre. Le stade n'est plus qu'un nuage de fumée. Le match est arrêté à trois reprises. « Le match est suspendu, c'est à cause de ce qui se passe dans les gradins. C'est un autre match qui se déroule dans les tribunes : les deux publics sont en train de faire action-réaction, un craquage ici, un craquage de l'autre côté… Et c'est aussi une battle de voix, qui se fait bien entendre dans le stade », explique Badreldin, un ancien ultra. À lire aussiCAN 2025 : la préparation et la ferveur des supporters avant le coup d'envoi « Chacun défend ses couleurs, des joueurs jusqu'au public. » Même si la paternité et son mariage l'ont assagi, il reste un fervent supporter du Wydad. « Nous vivons ça chaque année, et nous aurons cette passion pour toujours, depuis l'enfance et à jamais. [...] C'est un peu fanatique : chacun défend ses couleurs, des joueurs jusqu'au public. », ajoute-t-il. Ballet d'écharpes qui virevoltent dans le ciel, clapping sophistiqué, chants pour moquer les supporters adverses : le spectacle n'est pas sur la pelouse, mais bien dans les tribunes. « C'est hyper sportif, donc ils ne font rien d'autre que chanter, pousser, encourager, décrit le passionné. Ils considèrent ça comme un devoir pendant tout le match. Si les joueurs doivent mouiller le maillot, les supporters aussi doivent mouiller le leur et laisser leur voix dans les gradins ».  Zacharia, 18 ans, longs cheveux bouclés dressés vers le ciel, est membre des Green Boys du Raja : « On est tous une famille, t'as capté ? On est tous une famille dans le virage ». Il rappelle la règle d'or des ultras : ne pas accorder d'interview filmée, ne pas prendre de vidéos dans les tribunes. « Parce que dans les ultras, il faut être inconnu ou mettre des cagoules pour ne pas être reconnu par la police ou par les médias », rappelle-t-il.  Au-delà des clashs avec le camp adverse, la culture ultra est aussi une affaire de prises de position politiques. Les Rajaouis, notamment, ont construit leur identité sur des chants contestataires, évoquant les injustices ou le manque d'espoir. Plus récemment, le chant en hommage au peuple palestinien, « Rajaoui Filistini », a connu un succès au-delà des frontières. Zacharia partage cet engouement : « Rajaoui Filistini, parce qu'ils parlent des Palestiniens, des pauvres, des innocents qui meurent sans cause… Ça m'a beaucoup touché ».  Aujourd'hui, les ultras du Raja sont toujours divisés en deux groupes. Ceux du Wydad, eux, ont décroché à quatre reprises le titre de groupe ultra de l'année. Début novembre, ils attiraient encore l'attention en illuminant les quais de Seine, face à la tour Eiffel, pour célébrer leurs vingt ans d'existence. 

Reportage Afrique
Maroc, une nation de foot [1/5] : témoignage des joueurs de la génération 1976

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later Dec 14, 2025 2:15


Le Maroc se prépare à accueillir la CAN. Le pays est bien décidé à remporter à nouveau le trophée ! Dans l'histoire du football africain, c'est comme une anomalie : le royaume fait partie des grandes nations du continent, et pourtant, il n'a remporté la compétition qu'une seule fois en 1976, en Éthiopie. S'il y a bien des personnes qui savent comment faire pour gagner, ce sont les anciens internationaux marocains de cette époque. Rencontre avec Abdelâali Zahraoui et Abdallah Tazi, deux joueurs de la sélection 1976.  De notre correspondant de retour de Fès,  En 1976, la compétition oppose alors huit sélections. Parmi elles, il y a le Zaïre, le Nigéria, la Guinée, l'Égypte, des cadors du continent. Le Maroc ne fait pas partie des favoris. Abdelâali Zahraoui était milieu de terrain de la sélection marocaine : « Tout le monde a joué avec leur force, avec leur volonté, avec tout ! » L'Éthiopie accueille la CAN cinq mois tout juste après un coup d'État militaire. Abdallah Tazi est également ex-milieu de terrain marocain. « Il y avait deux chars devant l'hôtel. Quand on sortait, on était suivis par des policiers », se remémore-t-il.  Cette CAN se joue sous la forme d'une poule finale. Le dernier match, le 14 mars 1976, oppose le Maroc à la Guinée. Une équipe légendaire avec des grands noms comme Petit Sory, Papa Camara… Les Lions de l'Atlas ont besoin d'un match nul pour finir en tête du classement, les Guinéens doivent absolument l'emporter. « Les Guinéens, dès le début du match, ils ont été supérieurs à nous. Ils avaient une très belle équipe, c'était le Brésil d'Afrique, certainement la meilleure du continent », retrace Abdallah Tazi.  À lire aussiCAN 2025 : Rabat, ville majeure du tournoi et nouveau centre névralgique du football marocain [1/6]   C'est le Syli national qui ouvre le score à la 33ᵉ minute, et pendant près d'une heure, il est champion d'Afrique. Mais à la 86ᵉ minute, venu de la défense marocaine, Ahmed Magrouh, alias « Baba », envoie un boulet de canon pleine lucarne. « Un but exceptionnel, mais Baba, il monte seulement dans le corner. Si tu lui demandes de tirer 50 fois, il ne marquera jamais. Ils avaient de la réussite », commente Abdelâali Zahraoui.  Il ressort les photos de cette époque. Sur l'un des clichés en noir et blanc, on le voit poser amoureusement ses yeux sur une petite coupe de métal brillant, c'est la CAN 76. « On nous demande à chaque fois de parler de notre parcours, s'amuse Abdallah Tazi. Il n'y en a que pour la CAN 76. L'équipe actuelle va remporter la CAN et on sera enfin tranquilles, les journalistes n'auront plus à nous appeler ! » Pour Abdelâali Zahraoui, également, c'est une certitude : « Au Maroc, on va gagner la Coupe d'Afrique. Cette année ! » À lire aussiCAN: ces héros peu connus qui ont illuminé la Coupe d'Afrique

Reportage Afrique
CAN 2025: Fès, une ville liée historiquement à l'Afrique subsaharienne [6/6]

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later Dec 12, 2025 2:29


Au Maroc, Fès est considérée comme la capitale spirituelle du royaume. Mais son aura dépasse largement les frontières marocaines et s'étend jusqu'en Afrique subsaharienne. Fès est le centre spirituel de la confrérie Tijaniyya, dont les adeptes se trouvent principalement à l'ouest et au centre de notre continent. La CAN sera l'occasion de réactiver ces liens puissants. Fès, le hasard fait bien les choses, sera justement le lieu de résidence, durant la compétition, de l'équipe du Nigeria.    À lire aussiCAN 2025: Rabat, ville majeure du tournoi et nouveau centre névralgique du football marocain [1/6] À lire aussiCAN 2025: Casablanca, la capitale du foot dont l'étoile pâlit [2/6] À lire aussiCAN 2025: Marrakech, un refuge pour les artistes de tout le pays et d'ailleurs [3/6] À lire aussiCAN 2025: les transformations de Tanger à l'approche de la Coupe d'Afrique [4/6] À lire aussiCAN 2025: Agadir, mémoire vive de la lutte amazighe au Maroc [5/6]

Reportage Afrique
CAN 2025: Agadir, mémoire vive de la lutte amazighe au Maroc [5/6]

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later Dec 11, 2025 2:24


Au Maroc, 24 ans après la reconnaissance officielle de l'amazighité comme composante fondamentale de l'identité du pays, les militants de la cause saluent les nombreuses avancées, obtenues au prix d'une longue lutte. De la création de l'Institut royal de la culture amazighe en 2001 à la loi d'officialisation de la langue amazighe, constitutionnelle depuis 2011, et adoptée en 2019. Ils demandent désormais que l'enseignement de la langue tamazight soit généralisé, comme prévu par la loi, à toutes les écoles d'enseignement primaire. À Agadir, où le grand musée du Patrimoine Amazighe va bientôt voir le jour. De notre envoyé spécial de retour d'Agadir, Un bâtiment de 3 000 m², actuellement en construction en face de l'hôtel de ville, arbore sur sa façade des lettres en tifinagh, l'alphabet amazigh. Aujourd'hui, certaines pièces — tapis en laine ou bijoux en argent — sont exposées dans le petit musée d'Art d'Agadir. Hanane Bakka y est médiatrice culturelle. Elle observe un bracelet en argent du XIXᵉ siècle : « Le travail de l'artisan est très particulier, avec le ciselage, les cabochons de verre et les pièces de monnaie. » Mais la présence amazighe ne se limite pas au musée. « On est en centre-ville, devant le café Tefernout, qui signifie petit four en amazigh, et devant l'hôtel Afoud, qui signifie petite montagne. Ces appellations reflètent cette identité amazighe, mais également l'attachement de la population à sa culture et à sa langue. » Tijani Elhamzaoui, membre de longue date du Réseau amazigh pour la citoyenneté, a connu les longues années de lutte pour la défense de cette identité : « Moi, je n'avais pas l'occasion d'étudier la langue amazighe à l'école, cependant j'ai appris le tifinagh à l'époque dans l'association : c'était un travail militant… Mais, pour les enfants d'aujourd'hui, il y a le privilège de pouvoir lire les panneaux écrits en tifinagh. » « Se réconcilier avec l'amazighité du Maroc » Dans la région, plus de 70% des habitants déclarent maîtriser le tachelhit, l'une des variantes de la langue amazighe, devenue langue officielle de l'État en 2011 : « Pour nous, il s'agit d'abord de se réconcilier avec soi-même, avec l'amazighité du Maroc. C'est ça, notre objectif. Ce n'est pas seulement d'opérationnaliser la langue, mais d'en faire un levier de développement, un facteur de satisfaction psychique et personnelle pour chaque Marocain. En ce sens, il y a toujours une bataille à mener », ajoute Tijani Elhamzaoui. Priorité donc à l'enseignement de la langue : la loi impose trois heures par semaine de tamazight pour tous les élèves du primaire. Mais toutes les écoles ne disposent pas de professeurs. Hamid enseigne le tamazight dans une école d'Agadir : il ne peut prendre en charge qu'un tiers des élèves. « Dans l'école Bin Anzarane, je suis le seul professeur pour 1 000 élèves. Je ne peux enseigner que dans huit classes, cela ne couvre pas la totalité des élèves. Il y a un manque au niveau de la volonté politique : les choses ne sont pas prises au sérieux. » Malgré l'embauche de 1 000 nouveaux professeurs de tamazight pour la rentrée 2026, il faudra attendre au moins 2030 pour que tous les élèves marocains puissent accéder à cet enseignement, a déjà prévenu le Premier ministre Aziz Akhannouch. À lire aussiCAN 2025: Rabat, ville majeure du tournoi et nouveau centre névralgique du football marocain [1/6] À lire aussiCAN 2025: Casablanca, la capitale du foot dont l'étoile pâlit [2/6] À lire aussiCAN 2025: Marrakech, un refuge pour les artistes de tout le pays et d'ailleurs [3/6] À lire aussiCAN 2025: les transformations de Tanger à l'approche de la Coupe d'Afrique [4/6]

Entreprendre et Vivre au Maroc
Vivre à Fès au Maroc depuis 20 ans : la réalité d'une maison d'hôtes en médina

Entreprendre et Vivre au Maroc

Play Episode Listen Later Dec 5, 2025 62:30


Vivre à Fès depuis 20 ans. Cécile Houizot-Nanot partage son expérience de la médina, son parcours avec une maison d'hôtes atypique et les réalités du quotidien à Fès. Un témoignage sincère pour mieux comprendre cette ville fascinante.

Sans Filtre Podcast
Mini-épisode : Storytime voyage au Maroc

Sans Filtre Podcast

Play Episode Listen Later Dec 2, 2025 44:33


Dans ce mini-épisode, PH et Dom reviennent sur le voyage que Dom a fait au Maroc avec ses parents. Il raconte le déroulement du séjour : le trek dans l'Atlas, l'ascension du Toubkal, les différentes étapes du circuit organisé et les moments plus libres à la fin du voyage. L'épisode aborde aussi la gestion du décalage horaire, la fatigue accumulée avant le départ, la dynamique avec le guide, ainsi que les découvertes culturelles, les hébergements visités et les impressions générales du pays. Au programme : • Marche en montagne et ascension du Toubkal • Hébergements : refuge, riads et camps dans le désert • Organisation du voyage et logistique sur place • Rencontre avec un guide local et dynamique du groupe • Découverte de Marrakech, du désert et d'Essaouira • Réflexions sur les façons de voyager 

Les Frappé.e.s
TDS, CCC, et courses à étape au Maroc, avec Romain & Esther

Les Frappé.e.s

Play Episode Listen Later Dec 2, 2025 63:31 Transcription Available


Romain et Esther revienne au micro du podcast 2 ans plus tard pour nous parler de la manière dont leur pratique du trail, et notamment de l'ultra, a évolué.Et il y en a eu des courses depuis notre premier enregistrement : Diagonale des Fous, Madère, CCC, TDS, GR20 et tour du Beaufortain en off... et cette année, Romain et Esther se sont frottés à un format différent de ce dont ils avaient l'habitude jusqu'alors, à savoir la course à étape.Dans cet épisode, on parle de nuit sous tente, de couscous légendaire, de dromadaires et de paysages d'exception.Excellente écoute à vous !

Estelle Midi
David, chef d'entreprise, avertit : "J'envisage de vendre ma société et de partir au Portugal, en Espagne ou au Maroc. Je prends mes économies et je m'en vais ! C'est plus possible ! Les impôts augmentent et ma qualité de vie baisse !"

Estelle Midi

Play Episode Listen Later Nov 28, 2025 2:04


Avec : Jacques Legros, ancien présentateur emblématique du 13H de TF1. Jean-Philippe Doux, journaliste et libraire. Et Baptiste des Monstiers, journaliste. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.

French Expat Le Podcast
De l'Australie au Maroc : Alexandra Prohaczka, la Française qui a fait du monde sa maison

French Expat Le Podcast

Play Episode Listen Later Nov 24, 2025 83:14


À 17 ans, Alexandra quitte l'Europe pour vivre dans un kibboutz en Israël. Ce qu'elle pensait être une parenthèse deviendra dix ans d'aventures à travers le monde.Des routes enneigées du Canada aux plages d'Hawaï, du désert australien aux montagnes du Rajasthan, de l'immersion dans un village indien sans internet à la création d'une entreprise de tourisme solidaire au Maroc… Alexandra Prohaczka a fait de chaque rencontre un voyage, et de chaque imprévu une leçon.Dans cet épisode, elle raconte ses histoires incroyables : une sortie de route qui devient révélation, un papy routier nu mais bienveillant, une “adoption” spirituelle en Inde et surtout, ce qu'elle a appris du mouvement, du lâcher-prise et du retour à soi.

Priorité santé
Prise en charge des femmes atteintes de VIH au Maroc

Priorité santé

Play Episode Listen Later Nov 20, 2025 48:30


À l'occasion de la huitième reconstitution des ressources du Fonds mondial de lutte contre le VIH, la tuberculose et le paludisme à Johannesburg, en Afrique du Sud, mais aussi de la semaine internationale du dépistage du VIH et des IST, reportage à Agadir dans la région de Souss-Massa, épicentre de l'épidémie VIH au Maroc.     Alors que des inégalités persistantes exposent les femmes au risque de contracter le virus, reportage auprès d'acteurs impliqués dans cette lutte pour comprendre quels sont les obstacles, mais aussi les succès enregistrés contre l'épidémie, dans le Royaume chérifien. Quelles pistes peuvent se révéler efficaces pour lutter contre la discrimination et l'auto-stigmatisation des femmes séropositives ? Comment s'articule la stratégie nationale pour atteindre l'objectif «région sans sida», en particulier dans le contexte de crise du financement mondial, qui affecte la lutte contre le VIH ? Notre reporter Raphaëlle Constant s'est rendue auprès des populations-clés dans les structures de prise en charge pour comprendre comment s'organise l'accès des femmes aux soins, aux outils de prévention et à l'appui psychosocial. ► Un reportage en partenariat avec le Fonds Mondial et Coalition Plus. Programmation musicale :  ► Oum – Shine.

Priorité santé
Prise en charge des femmes atteintes de VIH au Maroc

Priorité santé

Play Episode Listen Later Nov 20, 2025 48:30


À l'occasion de la huitième reconstitution des ressources du Fonds mondial de lutte contre le VIH, la tuberculose et le paludisme à Johannesburg, en Afrique du Sud, mais aussi de la semaine internationale du dépistage du VIH et des IST, reportage à Agadir dans la région de Souss-Massa, épicentre de l'épidémie VIH au Maroc.     Alors que des inégalités persistantes exposent les femmes au risque de contracter le virus, reportage auprès d'acteurs impliqués dans cette lutte pour comprendre quels sont les obstacles, mais aussi les succès enregistrés contre l'épidémie, dans le Royaume chérifien. Quelles pistes peuvent se révéler efficaces pour lutter contre la discrimination et l'auto-stigmatisation des femmes séropositives ? Comment s'articule la stratégie nationale pour atteindre l'objectif «région sans sida», en particulier dans le contexte de crise du financement mondial, qui affecte la lutte contre le VIH ? Notre reporter Raphaëlle Constant s'est rendue auprès des populations-clés dans les structures de prise en charge pour comprendre comment s'organise l'accès des femmes aux soins, aux outils de prévention et à l'appui psychosocial. ► Un reportage en partenariat avec le Fonds Mondial et Coalition Plus. Programmation musicale :  ► Oum – Shine.

Le Conseil Santé
Lutte contre le VIH au Maroc: comment s'organise l'accompagnement des femmes séropositives?

Le Conseil Santé

Play Episode Listen Later Nov 20, 2025 2:02


À l'occasion de la huitième reconstitution des ressources du Fonds mondial de lutte contre le VIH, la tuberculose et le paludisme à Johannesburg, en Afrique du Sud, mais aussi de la semaine internationale du dépistage du VIH et des IST, reportage à Agadir dans la région de Souss-Massa, épicentre de l'épidémie VIH au Maroc. Alors que des inégalités persistantes exposent les femmes au risque de contracter le virus, reportage auprès d'acteurs impliqués dans cette lutte pour comprendre quels sont les obstacles, mais aussi les succès enregistrés contre l'épidémie, dans le Royaume chérifien. Quelles pistes peuvent se révéler efficaces pour lutter contre la discrimination et l'auto-stigmatisation des femmes séropositives ? Comment s'articule la stratégie nationale pour atteindre l'objectif « région sans sida », en particulier dans le contexte de crise du financement mondial, qui affecte la lutte contre le VIH ? Notre reporter Raphaëlle Constant s'est rendue auprès des populations clés dans les structures de prise en charge pour comprendre comment s'organise l'accès des femmes aux soins, aux outils de prévention et à l'appui psychosocial. ► Un reportage en partenariat avec le Fonds Mondial et Coalition Plus. Ecoutez le reportage en entier ici : Prise en charge des femmes atteintes de VIH au Maroc  

Les Interviews PLM
Des marins Eau-Dacieuses au Maroc pour la bonne cause !

Les Interviews PLM

Play Episode Listen Later Nov 17, 2025 5:45


Il y a quelques semaines sur Skyrock PLM, nous avions reçu l'équipe des Eau-Dacieuses composée de 3 marins : le maître Malika, le maître Aurore et l'enseigne de vaisseau Marie-Madeleine ! Leur objectif ? Participer à un trek solidaire au Maroc au profit notamment des marins blessés et de leurs familles ! Retour sur cette belle aventure sportive mais surtout solidaire !

Partir
Partir au Maroc pour étudier… et ne plus voir le monde pareil - Ombeline

Partir

Play Episode Listen Later Nov 10, 2025 39:48 Transcription Available


Faire ses études au Maroc, ça peut vous déstresser ! Ombeline décide de mettre le cap sur le Maroc, plus précisément à Rabat, pour sa dernière année d'étude. Grande stressée de base, elle nous raconte dans cet épisode comment son Erasmus et son stage au Maroc l'ont aidé à lâcher prise et moins se prendre la tête. Dans cet épisode elle nous raconte comment elle crée ses propres opportunités : elle a créé le partenariat avec l'université marocaine à Rabat pour son Erasmus, et le pays lui a tellement plus qu'elle a décidé de troquer son stage de rêve en France contre un stage au Maroc sans savoir ce qui l'attendrait. Ombeline nous raconte aussi son arrivée, les premiers chocs culturels, la chaleur des rencontres, la vie sur le campus marocain, mais aussi les moments de doute et d'adaptation. Elle nous partage avec sincérité son quotidien d'une étudiante étrangère au Maroc, les cours, et son intégration à Rabat. Cerise sur le gateau ? elle rencontre même l'amour !Dans cet épisode on parle notamment de : - Le retour en France après un an à l'étranger- le dépaysement à l'arrivée- les cours et les études au maroc- la mentalité marocaine très à la cool- les rencontres qui changent toutBonne écoute ! Pour soutenir le podcast, abonnes toi et met 5 étoiles ⭐⭐⭐⭐⭐Infos utiles :Pour découvrir les coulisses du podcast : partir_podcastDisponible à l'écoute sur toutes les plateformes : https://smartlink.ausha.co/partirEt sur YoutubeSi cet épisode t'a plu, tu devrais aussi aimer :https://smartlink.ausha.co/partir/du-maroc-a-la-france-des-etudes-a-la-naturalisation-abla Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Invité Afrique
Festival Zamane au Maroc: «On travaille sur la transmission du patrimoine»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Nov 8, 2025 7:40


Notre invité Afrique du jour nous emmène dans le sud du Maroc, aux portes du Sahara. Acteur culturel important, Halim Sbaï est le fondateur et le directeur du festival Zamane. Cet évènement, qui se tiendra du 14 au 16 novembre à M'Hamid El Ghizlane, met en valeur les traditions ancestrales, les cultures du désert et tisse des ponts avec les pays voisins, notamment le Mali en invitant des musiciens importants. Pour cette édition, c'est Vieux Farka Touré, le fils de feu Ali Farka Touré. Halim Sbaï est l'invité Afrique de Guillaume Thibault. À lire aussiMaroc: le festival Zamane a l'ambition de faire revivre les traditions

Entreprendre et Vivre au Maroc
Investir au Maroc en 2026 ? Les conseils d'un notaire pour éviter les erreurs

Entreprendre et Vivre au Maroc

Play Episode Listen Later Nov 7, 2025 63:07


À Marrakech, j'ai échangé avec Souhail Morsli, notaire, sur les questions que vous me posez le plus souvent. Investissement, fiscalité, succession, couples mixtes : un regard clair sur le Maroc d'aujourd'hui.

Les journaux de France Culture
Des milliers de Marocains dans les rues pour célébrer le plan d'autonomie du Maroc pour le Sahara occidental

Les journaux de France Culture

Play Episode Listen Later Nov 1, 2025 15:33


durée : 00:15:33 - Journal de 12h30 - Au Maroc, des milliers de personnes ont célébré le vote du Conseil de sécurité de l'ONU sur le plan d'autonomie du Maroc pour le Sahara occidental. Le territoire était au centre d'un conflit vieux d'un demi-siècle. - invités : Chantal Birman Sage-femme, militante des droits des femmes

Le journal de 12h30
Des milliers de Marocains dans les rues pour célébrer le plan d'autonomie du Maroc pour le Sahara occidental

Le journal de 12h30

Play Episode Listen Later Nov 1, 2025 15:33


durée : 00:15:33 - Journal de 12h30 - Au Maroc, des milliers de personnes ont célébré le vote du Conseil de sécurité de l'ONU sur le plan d'autonomie du Maroc pour le Sahara occidental. Le territoire était au centre d'un conflit vieux d'un demi-siècle. - invités : Chantal Birman Sage-femme, militante des droits des femmes

Les matins
De Madagascar au Maroc, le pouvoir tente de répondre aux aspirations de la Gen-Z

Les matins

Play Episode Listen Later Oct 22, 2025 5:32


durée : 00:05:32 - La Revue de presse internationale - par : Camille Marigaux - Après plusieurs semaines de manifestations et un coup d'état militaire à Madagascar, un nouveau premier ministre a été nommé, suscitant espoirs et méfiance. Au Maroc, le roi Mohammed VI annonce des réformes sociales et politiques d'ampleur face aux contestation contre la classe politique.

Grand reportage
Récolter pour survivre : le quotidien des migrants subsahariens au Maroc

Grand reportage

Play Episode Listen Later Oct 22, 2025 19:30


Au Maroc, la région d'Agadir dans le sud-ouest du pays, concentre une part importante des travailleurs migrants irréguliers. Ils seraient plus de 10 000, selon les ONG, parmi ces subsahariens entre 90 000 et 300 000, qui y font escale. Beaucoup d'autres poursuivent leur migration vers l'Europe. Ils se sont installés dans ce que certains surnomment le « potager de l'Europe » : 20 000 hectares de serres où fruits et légumes poussent toute l'année. (Rediffusion)   Sans papiers, ils sont mal payés, travaillent dur et s'intègrent très difficilement. Même si des associations sont présentes. Récolter pour survivre : le quotidien des migrants subsahariens au Maroc, un Grand reportage de François Hume-Ferkatadji.

Le Cours de l'histoire
Le Maroc et ses sultans, histoires de pouvoir : Qui gouverne ? Être sultan au temps des protectorats au Maroc

Le Cours de l'histoire

Play Episode Listen Later Oct 21, 2025 58:22


durée : 00:58:22 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - En 1912, le Maroc est scindé en deux protectorats, l'un français, l'autre espagnol, tandis que Tanger est une zone internationale depuis la fin du 19ᵉ siècle. Qu'en est-il de la souveraineté marocaine dans les négociations jusqu'à l'indépendance de 1956 ? - réalisation : Thomas Beau, Cassandre Puel - invités : Antoine Perrier Docteur en histoire spécialiste de l'histoire moderne et contemporaine du Maghreb, chargé de recherche au CNRS et enseignant à Sciences Po

Revue de presse Afrique
À la Une: un nouveau Premier ministre à Madagascar

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Oct 21, 2025 4:20


« Un Premier ministre issu du secteur privé », pointe L'Express en première page. Herintsalama Rajaonarivelo a donc été nommé hier à la tête du gouvernement par le Président de la Refondation, Michael Randrianirina. « Son nom est connu dans les milieux économiques, précise le quotidien malgache. Il a présidé à plusieurs reprises le Groupement du patronat malgache. Jusqu'à sa nomination, il dirigeait le conseil d'administration de la BNI Madagascar, l'une des principales institutions financières du pays. (…) Sa nomination répond en partie aux revendications du mouvement GenZ, relève encore L'Express, qui réclamait un Premier ministre technocrate et sans appartenance partisane. Herintsalama Rajaonarivelo n'est affilié à aucun parti politique. Le secteur privé accueille également ce choix avec intérêt. Ses représentants espèrent un retour de la confiance entre l'État et les entreprises, ainsi qu'une relance de l'économie. Les difficultés liées à l'eau et à l'électricité sont parmi les dossiers jugés prioritaires, rappelle le quotidien malgache. (…) Le Parlement ouvre aujourd'hui sa deuxième session ordinaire, consacrée à l'examen du projet de loi de finances initiale. Le nouveau Premier ministre est donc confronté à un calendrier serré et à des attentes immédiates ». Objectif : restaurer la confiance « C'est un tournant important dans la vie politique malgache », commente Afrik.com. « En désignant un profil technocrate comme Herintsalama Rajaonarivelo, le régime semble vouloir calmer les tensions et envoyer un signal fort : celui d'une volonté d'ouverture et d'apaisement. Il s'agit également d'une tentative de restaurer la confiance entre les institutions et la jeunesse malgache, particulièrement active et mobilisée sur les enjeux de gouvernance, de transparence et d'efficacité ». Toutefois, tempère Afrik.com, « le climat politique reste tendu, malgré les signaux d'ouverture. Les mouvements citoyens, portés par une jeunesse de plus en plus vigilante et exigeante, continueront de scruter les actions du gouvernement. La transparence, l'éthique et l'efficacité seront les critères majeurs sur lesquels Rajaonarivelo  sera jugé. De nombreux défis l'attendent : redresser l'économie, améliorer les services publics, lutter contre la corruption, réformer l'administration et relancer la confiance des investisseurs, nationaux comme internationaux ». Maroc : les budgets de l'Éducation et de la Santé en hausse Au Maroc, confronté également à une forte pression de la part de la jeunesse, pas de changement au gouvernement mais des mesures budgétaires… « L'Exécutif a mis le paquet dans les secteurs sociaux, relève L'Opinion à Rabat, en mobilisant 140 milliards de dirhams, (soit 13 milliards d'euros) à l'éducation et la Santé, soit un quart de plus qu'en 2025. 27 344 postes budgétaires sont prévus afin de renforcer les ressources humaines dans les deux secteurs, soit 4500 postes supplémentaires. Le budget de la Santé augmente à lui seul de 30% pour atteindre un peu plus de 42 milliards de dirhams (4 milliards d'euros), un niveau historique jamais atteint ».  Rappelons que la génération Z marocaine, le mouvement de la jeunesse contestataire, réclamait plus de moyens justement dans ces domaines de l'éducation et de la santé. Ouverture au monde politique… Par ailleurs, dans le cadre de la réforme électorale, « le gouvernement ouvre la voie aux jeunes candidats indépendants », note Medias24. Le nouveau projet de loi, précise le site marocain, prévoit « une aide directe couvrant 75% des frais de campagne pour encourager les jeunes de moins de 35 ans à se présenter aux prochaines élections, y compris sans l'aval d'un parti politique ». Commentaire de Media24 : « c'est un tournant dans la relation entre la jeunesse et la politique. Depuis des années, les jeunes entendent les appels à s'impliquer sans que ces appels soient suivis d'effets concrets pour les séduire. (…) En autorisant les jeunes à se présenter indépendamment des partis, la réforme leur offre un nouveau canal d'expression. Mais elle pourrait aussi pousser les partis à revoir leur approche : se rapprocher de cette jeunesse, la comprendre, et lui offrir une place réelle au sein de leurs structures.». En attendant, pointe Le Monde Afrique, si le mouvement de contestation s'essouffle dans les rues, « l'expression du mal-être de la jeunesse (marocaine) n'a pas disparu. Il infuse dans les discussions en ligne, tandis que des visages commencent à se détacher dans un mouvement qui revendique ne pas avoir de leader ».

Un jour dans le monde
Au Maroc, les rappeurs montent au créneau en soutien au mouvement GenZ 212

Un jour dans le monde

Play Episode Listen Later Oct 20, 2025 5:37


durée : 00:05:37 - La BO du monde - Fait marquant du mouvement de contestation de la jeunesse qui agite en ce moment le Maroc : les nombreuses prises de position de la communauté hip hop, très engagée aux côtés des manifestants. Tour d'horizon. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Mon Carnet, l'actu numérique
{ENTREVUE} - L'enseignement de l'IA au Maroc : entre éthique, innovation et espoir

Mon Carnet, l'actu numérique

Play Episode Listen Later Oct 14, 2025 20:10


À l'approche de MTL Connect (28–30 oct.), je discute avec Lamiae Azizi (Professeure à l'Université Mohammed VI Polytechnique, Maroc) de l'évolution fulgurante de l'enseignement de l'IA : des fondamentaux mathématiques aux usages concrets, de l'esprit critique à l'éthique “par la pratique”. On parle aussi opportunités pour les pays du Sud, talents locaux, recherche ouverte et ponts Nord–Sud pour transformer l'IA en véritable accélérateur d'espoir. Une conversation lucide et énergisante qui remet les étudiants, les chercheurs… et les citoyens au centre du jeu.

Afrique Économie
Au Maroc, le collectif GenZ 212 pousse le cri d'une jeunesse pauvre et au chômage

Afrique Économie

Play Episode Listen Later Oct 13, 2025 2:29


Depuis le 27 septembre 2025, le Maroc est le théâtre d'une contestation sociale inédite par son ampleur. À l'appel du collectif GenZ 212, des centaines de jeunes manifestent pour réclamer davantage d'investissements dans la santé, l'éducation, mais aussi des conditions de vie dignes. Alors que le royaume renvoie l'image d'une économie en bonne santé, qui se modernise rapidement, comment expliquer ces revendications ? Une croissance de 4,6% annoncée pour 2025, des investissements directs étrangers en nette hausse cette année, une inflation contenue depuis 2024... Au Maroc, les indicateurs mis en avant par les autorités sont au vert. Pourtant, il suffit de pousser la porte d'une maison d'un quartier populaire pour constater une réalité plus contrastée. « Quand quelqu'un trouve un travail payé 3 000 dirhams (283 euros), on est heureux pour lui, confie Fadil, étudiant sorti manifester plusieurs fois à l'appel de la GenZ 212. Ici, les gens travaillent juste pour ne pas rester à rien faire. » 40 euros la consultation médicale Au Maroc, près de 36 % des 15-24 ans sont au chômage. Ceux qui ont la chance d'avoir un emploi doivent faire face à un coût de la vie élevé, notamment en matière de frais de santé. « Si je veux me soigner, dans le public, je ne vais rien trouver, se plaint Fadil. Si je vais à la clinique, ils vont me demander 40 euros rien que pour une consultation. C'est 10% de mon salaire. » Le royaume renvoie l'image d'un pays émergent, en plein boom, couvert de chantiers. Mais pour Najib Akesbi, économiste, il y a un problème d'affectation des ressources : « Les besoins de la majorité de la population ne sont de toute évidence pas ceux qui sont pris en compte en priorité. Par contre, des dépenses ostentatoires de prestige, de vitrine sont privilégiées. C'est le grand décalage. » À lire aussiMaroc: multiplication des marches spontanées dans les villages isolés pour demander l'accès aux services de base Des investissements qui, trop souvent, ne sont « pas rentabilisés » Les grandes infrastructures sportives, les stades rénovés ou construits pour la CAN et la Coupe du monde de football pour une enveloppe de près de 2 milliards d'euros, en sont l'exemple le plus frappant, selon cet économiste. « Le grand problème au Maroc, c'est qu'on investit massivement, mais dans des investissements qui, trop souvent, ne sont pas rentabilisés, ne génèrent ni assez de croissance ni assez d'emplois », déplore-t-il. Le budget du ministère de la Santé a augmenté de plus de 30% entre 2022 et 2024. Les besoins de base ne sont, pour autant, pas encore satisfaits, explique Najib Akesbi : « Les moyens matériels des gens, les médicaments qui manquent dans les hôpitaux, les outils, les instruments de travail... Aucune réforme sérieuse crédible n'est réalisée. » Si la proportion de Marocains en situation de pauvreté a baissé en 10 ans, s'établissant à 7% en 2024, soit cinq points de moins, les zones rurales et cinq des douze régions du royaume réunissent près de 70% de la population pauvre. À lire aussiLe Maroc au défi de sa jeunesse

Le Nouvel Esprit Public
Le chamboule-tout français / Le mouvement GenZ au Maroc et dans le monde

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later Oct 12, 2025 64:17


Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 10 octobre 2025.Avec cette semaine :François Bujon de l'Estang, ambassadeur de France.Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l'Institut Français de Géopolitique.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.LE CHAMBOULE-TOUT FRANÇAISQuatre gouvernements en treize mois, un président affaibli, une Assemblée fragmentée : la France semble prise dans un tourbillon sans fin. La présentation, dimanche soir, par Sébastien Lecornu d'une équipe « resserrée » de 18 membres, dans laquelle les traces de la rupture annoncée n'étaient pas très apparentes a été vivement critiquée à droite comme à gauche. Lundi, en quelques heures, les Français ont assisté à la démission d'un Premier ministre, Sébastien Lecornu, nommé vingt-sept jours plus tôt, puis, en fin d'après-midi, à la désignation par le président de la République du même Sébastien Lecornu pour une mission de quarante-huit heures ayant pour but de « définir une plateforme d'action et de stabilité »., soit précisément ce que Le Premier ministre démissionnaire n'avait pas réussi à faire. M. Lecornu a accepté tout en faisant savoir qu'il ne redeviendrait pas chef du gouvernement, même dans le cas, très hypothétique, d'une réussite des discussions.Estimant qu'il existe « une majorité absolue » de députés opposés à la dissolution, Sébastien Lecornu a affirmé mercredi sur France 2 que les conditions étaient réunies pour que le président nomme un nouveau premier ministre « dans les 48 heures ». La première option pour le président de la République est donc de nommer un nouveau Premier ministre. En cas d'échec, un deuxième scénario serait une nouvelle dissolution de l'Assemblée nationale et un retour aux urnes. Le troisième scénario est celui d'une démission du président de la République. Une demande exprimée par l'extrême-droite, LFI, mais aussi, après l'adoption d'un budget par l'ancien Premier ministre Edouard Philippe.La situation est inédite, puisque les passations de pouvoir n'ont pas eu lieu entre les deux gouvernements démissionnaires. Dans ces cas-là, le décret publié au Journal officiel fait foi. Il a été publié dimanche soir, les ministres démissionnaires sont donc bien ceux qui ont été nommés le 5 octobre. Cette équipe devra gérer les « affaires courantes ». Aucun texte n'indique ce que peut faire, ou pas, un gouvernement démissionnaire, mais ses prérogatives sont limitées. Il s'agit de faire face aux urgences, d'assurer le fonctionnement minimal de l'État ainsi que sa continuité. Ce gouvernement peut mettre en application des lois déjà votées mais pas déposer de nouveaux projets de loi. Généralement, le Conseil des ministres ne se réunit pas en période démissionnaire.Si l'incertitude politique ne se traduit pas, à ce stade, par une crise économique aiguë, elle a toutefois déjà provoqué deux cassures dont les effets se feront sentir sur le long terme : le déclassement de la France sur les marchés, et la panne des investissements.LE MOUVEMENT GENZ AU MAROC (ET AU MADAGASCAR, AU NÉPAL …)Le Maroc est le théâtre depuis le 27 septembre de rassemblements quotidiens de jeunes protestataires − parfois mineurs − réclamant de meilleurs services d'éducation et de santé. Début octobre, des débordements violents à proximité d'Agadir ont causé la mort de trois manifestants. Face à une fièvre contestataire comme le Maroc n'en avait pas connu depuis la révolte du Rif en 2016-2017, le gouvernement semble pris de court. Parmi les jeunes urbains de 15-24 ans, la moitié est sans emploi et un quart a déserté l'école. Des marches spontanées avaient déjà eu lieu, début juillet, dans le Haut-Atlas pour l'accès à l'eau, poussant le roi Mohammed VI à manifester son refus d'un « Maroc à deux vitesses », lors de son discours du trône le 29 juillet.Le mouvement actuel est spontané, sans tête d'affiche et assez flou sur le plan des revendications. Il n'a pas de plateforme ni de programme politique, mais défend des grands thèmes sociaux. Né d'une indignation générale face à la mort de huit femmes à la mi-septembre dans un hôpital d'Agadir après des accouchements par césarienne, il s'est structuré une dizaine de jours plus tard sur le réseau social Discord sous la bannière d'un collectif GenZ 212. Une déclinaison locale (212 est l'indicatif téléphonique du Maroc) d'une génération Z − née entre 1997 et 2012 − qui a déjà fait vaciller le pouvoir au Sri Lanka, au Bangladesh et au Népal, et enfiévré plus récemment Madagascar. Connexion numérique, aspiration à la dignité et rejet de la vieille politique : la jeunesse marocaine se met au diapason d'un soulèvement transnational. Les jeunes Marocains se gardent toutefois bien de franchir une ligne rouge : la sacralité de l'institution royale. Si nombre d'entre eux réclament la démission du chef de gouvernement Aziz Akhannouch, un homme d'affaires richissime, symbole d'une oligarchie conquérante, nul n'appelle à la fin de la monarchie, malgré l'acuité des doléances sociales.Déjà électrique, le climat social n'a cessé de se tendre, à mesure que les prestigieux projets lancés dans la perspective de la Coupe d'Afrique des nations de football, qui s'ouvre fin décembre, et de la Coupe du monde de 2030 − que le Maroc coorganisera avec l'Espagne et le Portugal −détournaient les financements des priorités sanitaires et éducatives. Le régime espérait désamorcer le ressentiment populaire dans le patriotisme sportif : il s'est trompé. « Des écoles et des hôpitaux, plutôt que des stades ! », clame en substance la jeunesse soulevée. La GenZ 212 braque une lumière crue sur l'envers de la vitrine scintillante d'un Maroc « émergent ». Le coup est rude pour l'image que le royaume aime à projeter de lui-même à l'étranger. Le roi Mohammed VI doit faire un discours d'ouverture de la session parlementaire, ce vendredi.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

On n'arrête pas l'éco
Le roi face à la génération Z : au Maroc, le malaise économique et social de la jeunesse qui manifeste

On n'arrête pas l'éco

Play Episode Listen Later Oct 11, 2025 3:11


durée : 00:03:11 - L'Éco en VO - Le discours annuel du roi Mohamed VI a eu lieu hier en fin d'après-midi à Rabat. Une parole très attendue par les jeunes qui manifestent depuis deux semaines. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Les matins
À Madagascar et au Maroc, la jeunesse continue de crier sa soif de justice sociale

Les matins

Play Episode Listen Later Oct 10, 2025 5:24


durée : 00:05:24 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Des milliers de jeunes malgaches ont manifesté à Antananarivo pour demander des réformes sociales et un changement de pouvoir. Par ailleurs, de jeunes Marocains se sont de nouveau mobilisés pour exiger des réformes dans la santé et l'éducation avant un discours très attendu du roi Mohammed VI.

Les matins
Ehpads / Manifestations au Maroc / Rebâtir le dialogue entre israéliens et palestiniens

Les matins

Play Episode Listen Later Oct 6, 2025 150:48


durée : 02:30:48 - Les Matins - par : Guillaume Erner, Yoann Duval - - réalisation : Félicie Faugère

Journal en français facile
En France, le Premier ministre renonce à utiliser l'article 49.3 / Au Maroc, les jeunes manifestants demandent la démission du gouvernement / Nouvel album de Taylor Swift...

Journal en français facile

Play Episode Listen Later Oct 3, 2025 10:00


Le Journal en français facile du vendredi 3 octobre 2025, 18 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/C4AU.A

Les matins
Appels à manifester au Maroc et en Algérie, nouvelle colère de la jeunesse des pays du Sud contre les élites

Les matins

Play Episode Listen Later Oct 3, 2025 5:21


durée : 00:05:21 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Après le Maroc, l'Algérie pourrait voir la jeunesse descendre dans la rue à l'appel du collectif "GenZ 213", nommé sur le modèle du collectif de jeunes Marocains "GenZ 212". Ils exigent de meilleurs services publics, moins d'inégalités et de corruption. Colère déjà entendue au Népal ou à Madagascar.

Une semaine dans le monde
Le cri d'alarme des jeunes au Maroc, les Européens inquiets, et l'ultimatum à Gaza

Une semaine dans le monde

Play Episode Listen Later Oct 3, 2025 42:06


Au Maroc, la "Génération Z" entre dans son 6e jour de révolte. Une fronde sociale portée par une jeunesse connectée, qui dénonce la corruption des élites politiques et les inégalités sociales. En Europe, les membres de l'Union sont à Copenhague et peinent à s'accorder face aux provocations russes. Enfin, Donald Trump lance un nouvel ultimatum concernant Gaza, tandis que le Hamas examine toujours le plan de paix proposé par la Maison Blanche en début de semaine.

Les informés de France Info
Journaliste français tué en Ukraine, S. Lecornu renonce au 49-3, manifestations au Maroc.... Les informés du vendredi 3 octobre 2025

Les informés de France Info

Play Episode Listen Later Oct 3, 2025 54:12


durée : 00:54:12 - Les informés de franceinfo - Tous les jours, les informés débattent de l'actualité autour de Victor Matet Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Revue de presse Afrique
À la Une: qui se cache derrière la colère de la Gen Z?

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Oct 3, 2025 4:00


Ce « mouvement aussi viral qu'insaisissable », résume Jeune Afrique, en rappelant que la « vague » de contestations a atteint, ces derniers jours, Madagascar puis le Maroc... et menace peut-être l'Algérie, où « un compte Gen Z 213 vient d'être créé, et a lancé un appel à manifester ce vendredi ». Au Maroc, le collectif Gen Z 212 réclame désormais la démission du gouvernement. Avec ses « revendications sociales et économiques », le mouvement est né, rappelle le journal algérien El Watan, « sur Discord, une plateforme de messagerie privilégiée par les gamers ». « Personne ne sait vraiment qui sont ces jeunes, indique un sociologue interrogé par El Watan. Ce qui est sûr, c'est que ce mouvement est né de manière spontanée sur les réseaux sociaux, porté par des personnes qui n'étaient pas forcément militantes ». Cela interroge, d'ailleurs, Le Matin, le quotidien marocain qui se demande pourquoi ces jeunes choisissent « de porter leurs revendications directement dans la rue et sur les réseaux sociaux, plutôt que de s'appuyer sur la société civile, censée être un relais naturel de leurs préoccupations ». Le président du Centre marocain pour la citoyenneté apporte une première réponse : « La Génération Z évolue dans un univers façonné par l'instantanéité et de nouveaux codes d'expression. La majorité des associations, restées ancrées dans des démarches classiques, n'ont pas su adapter leurs méthodes d'intervention à cette réalité. Résultat, un fossé s'est creusé ». Un ras-le-bol au-delà du Maroc et de Madagascar « Des rues de Katmandou (au Népal), aux avenues de Lima (au Pérou), un même souffle de colère semble traverser les jeunesses des pays du Sud », observe Jeune Afrique. « Les situations locales diffèrent, les mots d'ordre ne sont pas identiques » mais « il est impossible de parler d'une simple coïncidence », estime le magazine, qui fait donc la liste des points communs de ce mouvement. L'âge et les réseaux sociaux, certes, mais aussi l'utilisation de « symboles puisés dans la pop culture », comme le drapeau pirate du manga One Piece qui « flotte en tête de cortège » ou bien le salut à trois doigts de la saga Hunger Games qui s'était imposé, en Thaïlande et en Birmanie, comme geste de ralliement et de résistance. Autre point commun relevé par Jeune Afrique : « l'absence de leaders ou de structures politiques visibles ». « Une horizontalité revendiquée au nom de la volonté de tourner la page des "anciens modèles", qui rend ces mouvements difficiles à cerner par les autorités, qui peinent à les comprendre et à les canaliser. La répression s'en fait souvent plus brutale encore ». Le magazine note, d'ailleurs, que « si les manifestations sont au départ le plus souvent pacifistes, elles prennent un tour de plus en plus violent à mesure que la répression s'abat et que les mouvements se radicalisent ». Un constat, cependant, conclut Jeune Afrique : « en quelques mois, la Gen Z a fait tomber plusieurs gouvernements. Qui sera le prochain ? » Voir au-delà des manifestations « Partout en Afrique et au-delà, les soulèvements de jeunes forcent les dirigeants à reculer », confirme le Daily Nation, à Nairobi. Mais « au-delà des manifestations, la génération Z doit se préparer à diriger », prévient le journal kényan. « L'histoire nous rappelle que si renverser le pouvoir peut se faire en quelques jours, construire quelque chose de meilleur exige des années de préparation et de patience ». La révolution égyptienne « a cédé la place au régime militaire, rappelle le Daily Nation, et les militants de Hong Kong ont été contraints à l'exil ou à la prison ». Ces mouvements doivent donc « évoluer s'ils veulent façonner ce qui adviendra après ». « Madagascar illustre, selon le quotidien, la fragilité de la situation actuelle. Le gouvernement a été dissous, mais le président est toujours là. Si les manifestants ne parviennent pas à maintenir la pression en s'organisant et en proposant des alternatives politiques, le risque est de voir le statu quo resurgir. À moins que l'énergie actuelle ne se consolide en institutions civiques et politiques durables, les victoires risquent d'être symboliques plutôt que structurelles ».

Journal de l'Afrique
Plus de 400 interpellations et près de 300 blessés au Maroc

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Oct 1, 2025 13:48


Au Maroc, plus de 400 personnes ont été interpellées et près de 300 autres blessées, après des violences qui ont émaillé mardi soir des manifestations dans plusieurs villes réclamant des réformes des secteurs publics de la santé et de l'éducation, a indiqué mercredi le ministère de l'Intérieur.

Les Grandes Gueules
Le regret du jour - Fred, au 3216 : "Qui a peur de la police aujourd'hui en France ? Au Maroc, il n'y a pas la moitié de ce qui se passe ici. Les gendarmes et policiers n'ont plus d'autorité" - 01/10

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Oct 1, 2025 2:08


Aujourd'hui, Abel Boyi, éducateur, Flora Ghebali, militante écologiste, et Didier Giraud, éleveur de bovin, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Revue de presse Afrique
À la Une : les revendications de la génération Z

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Sep 29, 2025 4:28


La jeunesse donne de la voix sur le continent : la génération Z, qui regroupe ceux qui sont nés entre 1997 et 2012, est majoritaire dans nombre de pays d'Afrique et elle veut se faire entendre, exprimer ses revendications et participer au débat politique. C'est le cas à Madagascar… Après une première journée de mobilisation jeudi dernier, constate Le Monde Afrique, « des centaines de jeunes sont à nouveau descendus samedi dans les rues de la capitale, Antananarivo, à l'appel du collectif Gen Z Madagascar pour réclamer l'accès à l'eau, à l'électricité et le respect de la liberté d'expression. (…) Le cortège a rapidement été stoppé par les forces de police et de gendarmerie, lourdement armées. Des grenades lacrymogènes ont été tirées et plusieurs blessés seraient à déplorer. » Et la semaine qui débute sera « déterminante », s'exclame L'Express de Madagascar. Avec de nouveaux appels à manifester de la part de Gen Z. En effet, malgré les appels au calme et l'intervention du président Andry Rajoelina qui a dit avoir entendu les revendications des jeunes, « la Génération Z a publié hier un communiqué ignorant ostensiblement ces annonces, constate le quotidien malgache. Le mouvement est train de franchir un nouveau cap : de sociales, les revendications prennent une tournure politique. La Génération Z réclame la démission du gouvernement et celle du préfet d'Antananarivo. (…) Le mouvement risque ainsi de s'amplifier, conclut L'Express. (…) Tout laisse donc présager une semaine à haut risque. » La stratégie de la passivité ? « Le courage et la fierté des manifestants avant-hier ont été salués par tout le monde, pointe pour sa part Midi Madagascar. Le message qu'ils ont délivré a été entendu bien au-delà des frontières de la Grande île, mais les événements malheureux qui ont eu lieu par la suite ont quelque peu occulté sa portée, déplore le journal. L'arrivée d'individus malintentionnés et les dégradations matérielles qu'ils ont accomplies ont scandalisé la population. Ils n'avaient absolument rien à voir avec le mouvement de revendication légitime des manifestants. » Et « face à la passivité apparente des forces de l'ordre », relève Midi Madagascar, on peut se demander « s'il ne s'agit pas d'une stratégie délibérée pour occulter totalement le message véhiculé par les manifestants sincères. » « Des dérapages incontrôlés ou téléguidés ? », s'interroge en écho Madagascar Tribune. « On sait depuis la deuxième République de Ratsiraka que l'utilisation de casseurs et de voyous pour discréditer les mouvements de protestation est une pratique des dirigeants malgaches. » Arrogance ? En tout cas, s'agace Madagascar Tribune, « en se comportant avec arrogance depuis des décennies, les dirigeants actuels portent une grande responsabilité dans la colère de la population, en accumulant fraudes électorales, gaspillant les deniers publics dans des projets inutiles, affichant une totale impunité dans la corruption, et n'hésitant jamais à des mensonges cousus de fil blanc et vite rattrapés par la réalité. (…) C'est dans ce contexte, poursuit le journal, qu'à l'inspiration de l'exemple népalais, la Gen Z malgache est apparue. Elle se caractérise par une maitrise des réseaux sociaux pour l'efficacité de la communication et de la mobilisation, et par une absence de véritables leaders pour personnaliser le mouvement et le politiser. Cela lui donne une crédibilité et une légitimité que la classe politique n'a pas. » Au Maroc aussi Et il n'y a pas qu'à Madagascar que la jeunesse donne de la voix… « Au Maroc, la Génération Z descend dans la rue, constate Afrik.com : santé, école, dignité et débat sur les priorités budgétaires. » Ces derniers jours, pointe le site panafricain, « des collectifs de jeunes Marocains qui se sont coordonnés en ligne ont tenté d'organiser des marches dans plusieurs villes pour dénoncer la dégradation des services publics — surtout la santé et l'école. Entre interdictions, dispersions et interpellations, cette séquence met à nu le fossé entre une génération connectée, exigeant dignité et emploi, et des autorités focalisées sur la stabilité. Elle ouvre un bras de fer durable autour des priorités budgétaires et d'un nouveau contrat social. » Et « une réponse essentiellement sécuritaire ne changera pas les revendications, prévient Afrik.com. La fenêtre d'apaisement passe par des gestes tangibles et vérifiables sur la santé et l'éducation, plutôt que par la seule communication gouvernementale. (…) Les prochains week-ends diront si la “Génération Z“ transforme l'essai de la rue en agenda de réformes mesurables. »

Afrique Économie
Au Maroc, le retour des touristes chinois, une aubaine économique?

Afrique Économie

Play Episode Listen Later Sep 24, 2025 2:20


Sur les 150 millions de Chinois à voyager cette année, 140 000 auront visité le Maroc, selon les statistiques du royaume chérifien. C'est quasiment la fréquentation d'avant le Covid. Depuis dix ans, les autorités de Rabat facilitent l'entrée des touristes chinois sur le territoire marocain et elles envisagent de nouvelles dessertes aériennes. Mais les retombées pour les opérateurs locaux du tourisme ne sont pas toujours au rendez-vous. De notre correspondant de retour de Chefchaouen, Une petite médina, nichée dans les montagnes du nord du Maroc. Ici, tout est peint en bleu azur. Bienvenue à Chefchaouen, le décor qui plaît tant aux touristes chinois. Cette petite ville a particulièrement la cote auprès de ces nouveaux touristes qui ont vraiment commencé à venir dans le royaume à partir de 2016, lorsque Rabat les a exemptés de visa. « Le tourisme chinois a été un moment donné une aubaine, je pense pour Chefchaouen, parce qu'il y a eu des arrivées en masse de clients chinois qui consommaient localement aussi bien dans les hôtels, les restaurants ou les cafés », explique Jaber Lahbabi, un opérateur touristique local. Un tourisme peu rentable Les flux ont rapidement augmenté à la veille de la crise du Covid. en 2019, 180 000 Chinois ont visité le royaume. Mais Chefchaouen a commencé à changer. Des restaurants chinois ont fait leur apparition par exemple. « Très vite, ils ont commencé à utiliser leurs réseaux, c'est-à-dire leurs réseaux de transports, leurs réseaux d'agences, leurs réseaux de guides », témoigne Jaber Lahbabi. « Ils ont des besoins bien spécifiques, certes, mais si le touriste vient à Chefchaouen, c'est pour connaître Chefchaouen, pour goûter aux produits du terroir. Si le restaurateur est chinois, si l'hôtelier est chinois, que nous apporte ce tourisme ? », se questionne l'opérateur marocain. Plus de navettes entre Shanghai et Casablanca Cette année marque le retour des touristes chinois dans le royaume. Ils devraient être 140 000 à visiter le pays, d'après l'Office national marocain du tourisme. Pour en attirer davantage, il faut plus de dessertes. À partir d'octobre, un avion reliera directement Shanghai et Casablanca, trois fois par semaine. Shin est venu d'Espagne, où il est étudiant : « Ce voyage, c'est pour célébrer l'obtention de mon diplôme. Chefchaouen est une jolie petite ville. Ici, les maisons sont bleues, j'adore le bleu, j'aime beaucoup cet endroit. » Ce Chinois de 22 ans a choisi de dormir dans une maison d'hôtes marocaine, mais vient de manger dans un restaurant chinois. « C'est vraiment surprenant pour moi, je n'imaginais pas trouver ça ici. Les Chinois, on est vraiment partout ! Le goût, c'est vraiment le même qu'en Chine », s'étonne ce touriste. L'Égypte fait figure de principal concurrent du Maroc sur ce segment. Pour améliorer sa compétitivité, le royaume vise le label « China Ready », un sésame officiel qui certifie les destinations répondant aux exigences et besoins spécifiques de cette clientèle. À lire aussiLa Tunisie et le Maroc connaissent une année touristique 2025 en demi-teinte

Revue de presse Afrique
À la Une: la déchéance de nationalité dans les pays du Sahel

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Sep 19, 2025 4:16


C'est un article de Mali Actu qui parle de la déchéance de nationalité, comme « d'une arme politique en pleine transition militaire ». Le journal en ligne en veut pour preuve, le cas de « trois activistes tchadiens installés en France qui viennent d'être déchus de leur nationalité, accusés d'intelligence avec des puissances étrangères ».  Pour Mali Actu, il s'agit là d'une « pratique étatique de plus en plus utilisée comme un outil politique dans plusieurs états du Sahel ». « Depuis l'arrivée au pouvoir de transitions militaires, des décisions similaires ont été prises contre des opposants et des personnalités publiques. Des voix indépendantes sont ainsi neutralisées », poursuit Mali Actu qui prend pour exemple le cas du Niger. Depuis le coup d'État de 2023, « plusieurs proches de l'ancien président Mohamed Bazoum ont été provisoirement déchus de leur nationalité. Pour les défenseurs des droits humains, remarque le journal, la mesure est surtout symbolique et vise à intimider les opposants ». Mais les conséquences sont lourdes pour les personnes qui se voient imposer cette déchéance, explique encore Mali Actu : « dans certains cas, la mesure peut rendre une personne apatride et la priver d'une protection internationale ». Disparitions et réquisitions La presse africaine revient également ce matin sur la libération, au Burkina Faso, de deux journalistes disparus depuis plus d'un an. Les disparitions forcées, c'est une autre des méthodes utilisées pour faire taire les voix discordantes. Mais pour Adama Bayala et Alain Traoré, alias Alain Alain, une page se tourne : « ils respirent l'air de la liberté recouvrée au Burkina », annonce Aujourd8.net qui se réjouit sans réserve. « Avec ces libérations, nous dit-il, la liste des hommes de médias libérés après quelque temps passé loin de leurs familles s'allonge et on ne peut que se féliciter que nos confrères retrouvent la possibilité d'aller et venir. » Afrik.com de son côté, note que la disparition d'Adama Bayala et Alain Traoré avaient eu lieu « dans un contexte marqué par les réquisitions arbitraires de la junte dirigée par le capitaine Ibrahim Traoré. Officiellement, les autorités justifient des réquisitions par le décret de mobilisation générale contre les groupes armés djihadistes. Mais de plus en plus de Burkinabè y voient un instrument pour faire taire les voix critiques ». Il reste encore un journaliste « vraisemblablement réquisitionné », rappelle Jeune Afrique, il s'agit d'Atiana Serge Oulon, « enlevé à son domicile le 24 juin 2024 ». Problème politique Le Maroc est dans le viseur d'Afrik.com, et plus précisément son roi Mohamed VI. Dans un article au vitriol d'Afrik.com intitulé « Mohamed VI et les voitures de l'État : une monarchie en roue libre », le journaliste Malik Hamid s'exclame ainsi : « Au Maroc, la pauvreté gronde, les inégalités se creusent et la jeunesse désespère. Mais pendant ce temps, les moteurs vrombissent sous les ors d'un régime qui semble davantage préoccupé par le confort de ses élites que par les conditions de vie de ses citoyens ». C'est la ministre de l'Économie et des finances, Nadia Fettah, qui selon Afrik.com, « a révélé les dépenses faramineuses consacrées au parc automobile de l'État. (…) plus de trois milliards de dirhams par an, sont affectés à l'entretien, au carburant et au renouvellement des voitures de fonction de l'administration publique marocaine ». « Alors même que le pays se débat avec une inflation galopante, un chômage endémique et une crise sociale profonde, poursuit Afrik.com, l'État consacre des milliards à l'entretien d'un luxe bureaucratique. » Et ce n'est pas tout : « Le cœur du scandale, ajoute le site d'information, c'est que ces voitures ne servent pas seulement à des missions officielles, mais bien souvent à des trajets personnels, à des déplacements de confort, voire à des abus flagrants d'autorité ».

Grand reportage
Récolter pour survivre : le quotidien des migrants subsahariens au Maroc

Grand reportage

Play Episode Listen Later Sep 9, 2025 19:30


Au Maroc, la région d'Agadir dans le sud-ouest du pays, concentre une part importante des travailleurs migrants irréguliers. Ils seraient plus de 10 000, selon les ONG, parmi ces subsahariens entre 90 000 et 300 000, qui y font escale. Beaucoup d'autres poursuivent leur migration vers l'Europe. Ils se sont installés dans ce que certains surnomment le « potager de l'Europe » : 20 000 hectares de serres où fruits et légumes poussent toute l'année. Sans papiers, ils sont mal payés, travaillent dur et s'intègrent très difficilement. Même si des associations sont présentes. Récolter pour survivre : le quotidien des migrants subsahariens au Maroc, un Grand reportage de François Hume-Ferkatadji.

French with Jeanne
Nouvelles - Une semaine au Maroc !

French with Jeanne

Play Episode Listen Later Sep 1, 2025 12:08


Je reviens sur ma semaine de vacances passée au Maroc, avec Giovanni. Je t'emmène à Rabat, puis à Chefchaouen et à Tanger. Je te livre mes premières impressions, mes observations et mes découvertes. Pour t'abonner à la newsletter, c'est ici : https://frenchwithjeanne.kit.com/infolettre

Reportage Afrique
Les délices du continent au Maroc: le sandwich au thon qui émerveille les papilles des habitants de Casa [10/10]

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later Aug 14, 2025 2:17


Dans ce nouvel épisode de notre série d'été consacrée aux « délices du continent », nous partons pour Casablanca, à la découverte d'un sandwich populaire. Ce dernier convoque, pour des générations de Marocains, l'enfance, la plage, les vacances d'été… Vendu autour d'un euro, il est emblématique de la culture toujours très vivante de la street food à la marocaine. La suite vous est contée par Matthias Raynal. Il s'appelle le « thon o'lahrour », littéralement « le thon et le piment ». Ce sont les deux ingrédients phares de ce sandwich marocain. Mais il y en a d'autres… Sur son comptoir mobile, Imad, 36 ans, prépare des thon o'lahrour depuis treize ans : « Le plus important, c'est le pain ! Le croquant, le croustillant, c'est ça le secret ! ». Il poursuit : « Premièrement, le thon ne va jamais te rendre malade. Deuxièmement, c'est léger, c'est bien quand il fait chaud. Troisièmement, c'est le sandwich de toutes les générations, il convient à la fois aux petits et aux grands. » Voilà la recette du succès, qui ne s'est jamais démentie au fil des années. Kenzi vient de sortir du bureau. Elle prend sa pause déjeuner avec des copines : « Mmmmm, c'est très très bon, c'est mon enfance… Ce sandwich, tu le trouves à la plage, au stade, dans la rue, à côté des écoles… » Hicham, 43 ans, en est déjà à son deuxième thon o'lahrour ce midi : « On oubliera jamais ce sandwich, il fait partie de l'histoire. Le jour de l'Aïd, quand tout est fermé, il y a toujours un gars dans le quartier qui profite de ce moment pour se mettre à vendre des sandwichs, car le jour de la fête, les gosses reçoivent un peu d'argent de poche, quelques dirhams qui sont aussitôt dépensés ». À lire aussi« Cuisines d'Afrique du Nord » : recettes et récits intimes d'une identité retrouvée Parasol et sable fin, voilà le décor que préfère encore le thon o'lahrour. Imad reprend : « Il n'y a pas un Marocain qui est parti à la plage et qui n'a pas mangé ce sandwich. C'est un pan de la culture balnéaire au Maroc. » Ce monument de la street food marocaine a évolué à travers le temps : « Par exemple, il n'y avait pas de pommes de terre avant. Certains en ajoutent désormais, ils mettent aussi de la charcuterie halal, des sauces, du fromage… Son avantage, c'est qu'on n'a jamais marre d'en manger. Tous les jours, du lundi au vendredi, j'en mange deux au déjeuner. » Et si vous voulez goûter à ce fameux sandwich fait avec passion par Imad, sachez que son stand se trouve en centre-ville, sur la place Zellaqa. À lire aussiLes délices du continent en Côte d'Ivoire: l'alloco [9/10]

Journal de l'Afrique
Sahara Occidental : le roi du Maroc appelle au dialogue

Journal de l'Afrique

Play Episode Listen Later Jul 30, 2025 14:11


Au Maroc, Mohamed VI renouvelle son appel au dialogue avec l'Algérie. Dans un contexte de tensions autour du Sahara occidental, le roi plaide pour une solution « sans vainqueur ni vaincu ».

Radio foot internationale
CAN féminine 2025 au Maroc : le coup d'envoi est donné !

Radio foot internationale

Play Episode Listen Later Jul 7, 2025 48:29


Bonjour les amis, nous sommes le lundi 7 juillet, voici le programme de Radio Foot à 16h10 TU & 21h10 TU sur RFI : - Top départ de la CAN féminine 2025, le Maroc commence par un match nul face à la Zambie. Victoires pour le Sénégal, le Nigeria et l'Algérie. ; - Mondial des Clubs : le PSG c'est fort, beaucoup trop fort !  Top départ de la CAN féminine 2025, le Maroc commence par un match nul face à la Zambie. Victoires pour le Sénégal, le Nigeria et l'Algérie. Nous ferons un point sur le début de la compétition avec nos consultants, dès le début de l'émission.   Mondial des Clubs : le PSG c'est fort, beaucoup trop fort ! Les joueurs de la capitale poursuivent leur saison exceptionnelle, après la victoire 2 buts à 0 face au Bayern (à 9 contre 11). Est-ce la meilleure équipe de cette compétition ? Musiala gravement blessé, une mauvaise publicité pour le Mondial des Clubs. Le Real Madrid, prochain adversaire de Paris en demi-finale. Gonzalo Garcia -Kylian Mbappé, le ticket gagnant ? Surplus de motivation pour le capitaine des Bleus face au PSG ? Chelsea-Fluminense: Voie royale pour les Blues ? Présentation : Hugo Moissonnier | Édition : Saliou Diouf | TCR : Laurent Salerno | Consultants : Éric Rabesandratana, David Lortholary, Patrick Juillard.