Podcasts about Au Maroc

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Latest podcast episodes about Au Maroc

Le brief éco
Casino s'installe au Maroc avec des supérettes Monoprix et Franprix

Le brief éco

Play Episode Listen Later May 27, 2025 2:02


durée : 00:02:02 - Le brief éco - Alors qu'il connaît des difficultés en France, le groupe Casino s'implante au Maroc avec les enseignes Monoprix et Franprix dont il est la maison-mère. Le groupe a signé lundi un accord prévoyant le déploiement de plus de 200 magasins dans les 10 prochaines années.

Afrique Économie
Le Maroc acteur de poids sur le marché mondial des fruits rouges

Afrique Économie

Play Episode Listen Later May 20, 2025 2:17


Myrtilles, framboises, fraises… les fruits rouges marocains se sont taillé une place de choix sur les étals à travers le monde et en particulier en Europe. Une vraie réussite pour cette filière qui a fait du Maroc ces dernières années l'un des leaders mondiaux dans la production et l'exportation de fruits rouges. De notre correspondant à Casablanca, C'est le résultat de plus de 40 ans d'expérience. Au départ, la production se limite à quelques hectares de fraises en plein champ. Les cultures se sont étendues depuis, diversifiées et les techniques modernisées. « Le grand développement de la fraise, c'est en 1980 avec les zones irriguées, rappelle Abdeslam Acharki, directeur de la Fédération interprofessionnelle des fruits rouges. Il faut savoir que les fruits rouges sont exportés à peu près dans une soixantaine de pays à travers le monde, mais c'est à 90 % pour le marché européen. »MultinationalesAbdeslam Acharki est le directeur de la Fédération interprofessionnelle des fruits rouges. Tout un écosystème s'est mis en place au Maroc avec la construction notamment d'infrastructures agro-industrielles. L'État soutient par ailleurs la filière à travers des subventions. « Le climat et la précocité donnent un avantage au Maroc », vante Younès El Amouri, producteur et conditionneur des fruits rouges. Au Maroc, les fruits rouges sont ainsi récoltés presque toute l'année ! Le royaume présente aussi d'autres atouts comme une main-d'œuvre qualifiée et à bas coût. « La plupart des multinationales sont installées au Maroc, observe Younes El Amouri, parce qu'il y a de la proximité avec l'Union européenne, qui est le client principal. »Extension des surfaces de myrtilleCela n'empêche pas la concurrence, avec l'Égypte, notamment pour la fraise. Dans ce contexte, le Maroc s'est lancé depuis quelques années dans une culture plus rentable : la myrtille. Au Maroc, l'une des principales zones de production de ce petit fruit bleu au goût acidulé se trouve dans le nord du pays, la région Tanger-Tétouan-Al Hoceima. « La myrtille, avec plusieurs variétés, a pris ces dernières années beaucoup de surfaces par rapport aux autres cultures », constate Youssef Bensajjay, ingénieur agro-économiste.R&D insuffisante face à la sécheresseLes perspectives sont bonnes. La filière marocaine des fruits rouges lorgne désormais de nouveaux débouchés comme le Japon. Mais elle fait face à quelques handicaps. « Il y a la rareté de la main-d'œuvre, déplore Youssef Bensajjay. On doit aussi développer la recherche-développement. C'est le maillon faible pour tout ce qui est nouvelles variétés, surtout pour la fraise avec le déficit hydrique. C'est un enjeu majeur et un facteur très limitant. »Le secteur n'échappe pas à la sécheresse qui frappe le pays depuis sept ans. La filière des fruits rouges doit aussi faire face à une augmentation des coûts de production.À lire aussiMaroc/France : la hache de guerre de la tomate est enterrée pour le moment

Les Grandes Gueules
La sanction du jour - Pierre, au 3216 : "Il ne devrait plus jouer. Il doit prendre une amende et être viré. Si ça ne lui va pas, il va jouer au Maroc ou en Arménie. La religion dans les vestiaires est un problème" - 19/05

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later May 19, 2025 2:25


Aujourd'hui, Charles Consigny, Zohra Bitan et Frédéric Farah débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Pas son genre
Nassira El Moaddem propose « Le bled, le train, et moi », un récit sur les origines et les voyages en famille au Maroc

Pas son genre

Play Episode Listen Later May 17, 2025 42:51


durée : 00:42:51 - En marge - Journaliste habituée de l'arène politique, Nassira El Moaddem lève le pied, largue les amarres, et publie « Et si on rentrait au bled en train » : mi-récit, mi-guide de voyage, aussi intime qu'engagé. - invités : Nassira El Moadem - Nassira El Moadem : Directrice du Bondy Blog - réalisé par : Alicia Vullo

Toute l'info du week-end - Bernard Poirette
Fabienne Thibeault revient sur la date du 8 septembre 2023, quand a eu lieu le séisme au Maroc

Toute l'info du week-end - Bernard Poirette

Play Episode Listen Later May 4, 2025 8:04


Fabienne Thibault revient sur le séisme du 8 septembre 2023 au Maroc et raconte comment cet événement l'a poussée à composer une chanson en hommage aux victimes. Un témoignage bouleversant d'art, d'engagement et d'espoir.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

C dans l'air
Panne d'électricité géante : qui est responsable ? - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later May 3, 2025 65:04


C dans l'air du 3 mai 2025 - Panne d'électricité géante : qui est responsable ?Deux pays entièrement plongés dans le noir. Une panne massive d'électricité a touché l'Espagne et le Portugal il y a quelques jours, et l'heure est à la recherche de responsables. Si le gouvernement portugais a écarté l'hypothèse d'une cyberattaque, rien ne permet de conclure sur ce qu'il s'est produit à ce stade. La situation électrique particulière de l'Espagne est toutefois pointée du doigt, avec beaucoup de renouvelables et une faible interconnexion au continent européen.Les répercussions ont elles été internationales. Le trafic aérien a été perturbé, comme les transports publics et les soins dans les hôpitaux. La panne a été telle que d'autres pays en ont subi les conséquences. Au Maroc les services internet d'Orange ont été perturbés ; au Groenland, les moyens de communication (téléphone, SMS, internet) ont été coupés, le secteur étant en partie géré depuis l'Espagne.Selon l'avis des experts, une telle coupure n'aurait pas pu se produire en France, le paysage étant différent, avec des interconnexions importantes avec nos voisins européens. Mais le blackout subi dans la péninsule ibérique rouvre le débat sur les centrales nucléaires alors que Madrid prône leur fermeture. Emmmanuel Macron a lui choisi de relancer le secteur : Flamanville s'apprête à redémarrer (malgré de nombreux retards et le gouffre financier qui va avec) et la filière des petits réacteurs (SMR) est encouragée. La hausse des prix est toutefois le risque, elle ne cesse d'alimenter le débat politique.Pendant ce temps, certains villages se battent en France contre l'installation de nouvelles éoliennes sur leur territoire. À Chenevelle, dans la Vienne, 80% de la population s'est dite contre mais l'entreprise Volkswind porte un recours contre ce résultat. C dans l'air est allé sur place. Alors, quelle est la cause de l 'énorme panne qui a touché l'Espagne et le Portugal ? Où en est-on du nucléaire en France ? Le secteur de l'éolien s'assoit-il sur la volonté des populations locales ? LES EXPERTS : Elie COHEN - Économiste, directeur de recherche au CNRS, auteur de Souveraineté industrielle Sharon WAJSBROT - Cheffe du service industrie aux Echos Emmanuelle GALICHET - Enseignante-Chercheure en sciences et technologies nucléaires au CNAM Nicolas GOLDBERG - Associé au cabinet Colombus Consulting, responsable énergie chez Terra Nova Marti BLANCHO ( en duplex d'Espagne) - Journaliste, correspondant à BarcelonePRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

Riche et Heureux - Le Podcast
#71 : Champagne au Maroc, redressement judiciaire, empire immobilier : l'incroyable parcours de Matthieu Gilette

Riche et Heureux - Le Podcast

Play Episode Listen Later Apr 28, 2025 62:19


2 minutes chrono de Bleu Poitou
Le pilote moto poitevin Charlie Herbst se teste au Maroc

2 minutes chrono de Bleu Poitou

Play Episode Listen Later Apr 23, 2025 2:07


durée : 00:02:07 - Le pilote moto poitevin Charlie Herbst se teste au Maroc

Reportage Afrique
Maroc: le royaume ouvre son premier musée consacré au football marocain

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later Apr 22, 2025 2:29


Alors que le royaume s'apprête à organiser la CAN et que les Lions de l'Atlas sont toujours auréolés de leur demi-finale en Coupe du Monde, un nouveau musée dédié au ballon rond porte le sceau des nouvelles ambitions du foot marocain. Au Maroc, un musée d'un genre particulier a ouvert ses portes début février. Il retrace l'histoire de ce qui constitue sans aucun doute la plus grande passion du pays, le football. Un projet porté par la Fédération royale marocaine, installé au rez-de-chaussée de son siège à Salé. « C'est un projet qui a commencé en 2021. Fouzi Lekjaa, président de la Fédération, a fait appel à un comité scientifique, qui se compose d'éminents journalistes de la scène nationale. Mais aussi des experts, des spécialistes de l'histoire du football marocain », détaille Zayd Ouakrim, conservateur du Musée du Football marocain.Le résultat : 2 100 mètres carrés d'exposition qui raconte plus de 100 ans de football au Maroc. Du premier match disputé dans le pays, à la fin du 19e siècle, à l'épopée qatarienne de 2022.  « Le deuxième espace est intitulé terre des pionniers. C'est un hommage aux joueurs pionniers, aux premiers joueurs qui sont devenus professionnels, mais aussi aux clubs pionniers. Je pense à Larbi Benbarek, notamment », raconte le conservateur. Celui-ci a voyagé un peu partout au Maroc, pendant deux ans, pour réunir tous les objets exposés ici. « On a eu de la chance de récupérer des maillots des équipes adverses que nos joueurs ont pu échanger après chaque match », explique-t-il. Parmi les reliques du musée, le maillot de Romelu Lukaku, porté par l'attaquant belge lors de la victoire du Maroc 2 à 0, au premier tour de la coupe du Monde 2022.Avec ce musée, le Maroc met en scène son soft power. « Depuis toujours, le football au Maroc aura été une sorte de discussion avec les non-Marocains. C'est un musée qui joue un rôle important dans la diplomatie marocaine, on reçoit des personnalités importantes. Avec la Coupe d'Afrique qui débute bientôt au Maroc, en décembre, les gens s'intéressent plus au Maroc », estime Zayd Ouakrim.Dans quelques mois, le Maroc aura une nouvelle occasion de briller et d'ajouter une ligne à l'histoire du football continental, en organisant la CAN à la maison. À lire aussiCAN U17: le Maroc sacré champion d'Afrique pour la première fois après sa victoire face au Mali

Littérature sans frontières
Rim Battal : l'incandescence d'une adolescente au Maroc

Littérature sans frontières

Play Episode Listen Later Apr 11, 2025 29:00


Née en 1987 à Casablanca, vivant aujourd'hui à Paris, Rim Battal est poétesse. Après des études de journalisme, elle se consacre à l'écriture et à la photographie, devenant l'une des figures d'une nouvelle génération de poètes. Elle a notamment publié Vingt poèmes et des poussières (Lanskine), L'eau du bain, Les quatrains de l'all inclusive ou encore X et excès (Le Castor Astral). Je me regarderai dans les yeux est son premier roman. « Au Maroc, à dix-sept ans, à l'âge des romans à l'eau de rose, des serments d'amitié et des poèmes de Rimbaud, une jeune fille fume une cigarette à la fenêtre de sa chambre. Cette transgression déclenche la violente fureur de sa mère – puis, comme un envol effaré, la fugue de la narratrice. Un ultimatum lui est alors posé : elle devra produire un certificat de virginité. L'examen gynécologique forcé sera sa "première fois". Comment sortir de l'enfance quand tous les adultes nous trahissent ? Comment aimer quand ceux qui nous aiment nous détruisent ? Porté par une écriture puissante qui n'oublie ni l'ardeur ni la drôlerie, le récit de Rim Battal dit les premières fois, le désir, la générosité et la force qui président à la naissance d'une femme et d'une écrivaine. » (Présentation des éditions Bayard)

Entreprendre et Vivre au Maroc
De la France au Maroc : 50 ans de parcours, une citoyenne française accueillie et transformée

Entreprendre et Vivre au Maroc

Play Episode Listen Later Apr 5, 2025 88:46


Marion Berthoud, citoyenne française, vit au Maroc depuis 50 ans. Dans cette interview, elle nous partage son parcours, son arrivée à Rabat, les changements culturels qu'elle a vécus et comment le Maroc l'a accueillie. Un échange riche sur l'intégration, l'évolution personnelle et la vie au Maroc à travers les yeux de Marion. ✨ LIENS DE CONTACT :

Vol 1604
Ai-je fait le bon choix? Mon bilan après 25 jours au Maroc.

Vol 1604

Play Episode Listen Later Apr 4, 2025 10:28


Il y a 25 jours je m'envolais avec ma valise de 20kg et mon sac à dos pour m'installer au Maroc.Depuis, je navigue entre émerveillements, doutes et ajustements. Dans cet épisode je me livre avec sincérité sur mes ressentis, les surprises et défis de ce grand changement.Et si tu tombes sur cet épisode par le beau fruit du hasard,rejoins moi sur instagram: @sarah_lpgEmbarque avec moi, et c'est parti!Musique d'introduction et de conclusion:Flight by LiQWYD / liqwyd Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Entreprendre et Vivre au Maroc
De la France au Maroc : Du salariat en entreprises marocaines à l'entrepreneuriat

Entreprendre et Vivre au Maroc

Play Episode Listen Later Mar 21, 2025 78:57


Dans cette interview, nous découvrons le parcours d'Hortance, une Française qui a fait le choix de s'installer au Maroc. Après avoir quitté le salariat et décidé de se lancer dans un projet personnel, elle nous raconte son adaptation à la culture marocaine, les défis qu'elle a rencontrés et la façon dont elle a su s'intégrer à la fois dans le monde professionnel et dans la société marocaine. Hortance nous partage aussi ses projets actuels, dont sa marque de t-shirts "Yallah from the Bled" et son ambition de créer un impact sociétal à travers un collectif qui promeut des actions concrètes pour améliorer la société marocaine, tout en mettant en avant l'artisanat local. Entre le choc culturel, les différences dans la manière de travailler et les rencontres marquantes, Hortance nous livre une expérience riche et inspirante de son aventure marocaine.

Afrique Économie
Au Twin Center de Casablanca, l'essor des salons de beauté ouest-africains

Afrique Économie

Play Episode Listen Later Mar 5, 2025 2:17


Avec ses deux buildings de plus de cent mètres de haut, le Twin Center domine la skyline de Casablanca. Il abrite en son cœur un centre commercial, organisé en un dédale d'instituts de beauté. Des dizaines et des dizaines de petites boutiques où travaillent des Ivoiriennes, des Sénégalaises… Les Africaines de l'Ouest sont plébiscitées par le secteur. De notre correspondant à Casablanca,Ici, on rabote les ongles, on fait des manucures, mais on s'occupe aussi des cheveux. C'est Mme M'chich-Alami qui est la patronne de cet institut de beauté. Elle est marocaine. « Il n'y a plus rien qui marche au Twin à part les salons. Il y en avait avant, mais ils n'étaient pas comme ça. Il y avait aussi des magasins magnifiques, très chers, mais tout a changé. Il n'y a plus que des salons maintenant », constate-t-elle.Au début des années 2000, le Twin Center, c'est le lieu où la jeunesse casablancaise se bouscule pour acheter les dernières marques à la mode. Le centre commercial a perdu de sa superbe au fil des années. Le Covid-19 l'a achevé. « Presque tout le monde a changé d'activité. La première qui a fait un salon ici était Ivoirienne. Une fois que ça a marché, ça a commencé à se multiplier », raconte encore Mme M'chich-Alami.À écouter dans Carrefour du MaghrebMigrations en Afrique du Nord : les défis de l'installation« Au Maroc, quand tu te lances dans l'esthétique, tu ne regrettes pas »Mme M'chich-Alami a suivi le mouvement. La majorité de ses employées sont des femmes originaires d'Afrique subsaharienne, comme Khadija, une jeune Sénégalaise. « J'ai eu mon diplôme ici. J'adore ce métier, c'est pour ça que j'ai fait une formation, pour avoir un diplôme international qui va me permettre de travailler où je veux », témoigne-t-elle.Les Africaines de l'Ouest ont trouvé avec l'esthétique un secteur pourvoyeur d'emplois. Après avoir travaillé pendant six ans dans le domaine au Maroc, Aïcha a décidé de devenir patronne. Ils sont une dizaine d'Africains subsahariens comme elle, mais la majorité de ceux qui dirigent les instituts de beauté au Twin Center sont Marocains. « J'ai ouvert ce salon il y a six mois. Je faisais déjà ça en Côte d'Ivoire, c'est le secteur où l'on s'en sort le plus. Les Marocaines veulent toujours se faire belles, donc au Maroc, quand tu te lances dans l'esthétique, tu ne le regrettes pas », se réjouit l'entrepreneuse.Dans cette galerie commerciale du Twin Center, il y a énormément de concurrence entre les salons. Résultat : les prix sont tirés vers le bas et il y a parfois de la casse. Trois instituts ont fermé l'année dernière, selon Mme M'chich-Alami.À lire aussiLe Maroc devient la première destination touristique d'Afrique

Afrique Économie
Dans les centres d'appels marocains, l'emploi en potentiel danger face à l'IA

Afrique Économie

Play Episode Listen Later Feb 10, 2025 2:35


L'intelligence artificielle (IA) est elle une menace pour l'emploi ? Les entreprises ont déjà commencé à s'en servir pour améliorer leur productivité. C'est particulièrement le cas dans le secteur des centres d'appels. Au Maroc, ce monde, en pleine expansion depuis une vingtaine d'années, emploie environ 110 000 personnes. Les vastes bureaux d'Intelcia ont un petit air de fourmilière. Sur ce site, plus de 1 800 salariés sont à la tâche. Assistance technique, télévente, modération de contenu... Les demandes des clients sont nombreuses et variées. Pour améliorer sa productivité, la multinationale marocaine, rachetée par Altice en 2016 et déjà présente dans 18 pays, compte sur les apports de l'intelligence artificielle. « L'IA est arrivée dans les centres de contact il y a quelques années déjà, explique le directeur général d'Intelcia, Youssef el Aoufir. Ça s'est accéléré avec l'intelligence artificielle générative il y a deux ans. Beaucoup de choses impactent le métier au niveau de la performance et de la productivité. »Analyse d'enregistrements par IAEn plus des chatbot – une IA qui répond aux questions des clients – qui existent déjà depuis plusieurs années, l'entreprise compte également sur l'intelligence artificielle pour scanner les CV et accélérer le recrutement dans un secteur où le turn-over est important, ou encore pour faire de l'analyse détaillée des milliers d'heures d'enregistrements de conversations téléphoniques entre les agents et les clients, afin de pointer les principales défaillances d'un collaborateur. « Ces technologies nous permettent d'aller très rapidement aux causes de cette déficience, qu'elle soit humaine, technologique ou liée à des process, poursuit Youssef el Aoufir. Ça permet d'aller directement à la cause. »Dans son grand bureau du sixième étage, le directeur général d'Intelcia rappelle la croissance de l'entreprise. Le nombre d'employés est passé de 500 en 2006 à 40 000 aujourd'hui. Il assure que le recours à l'intelligence artificielle n'enraye pas la politique de recrutement.À lire aussiLa Région socialiste d'Ile-de-France décide la délocalisation d'un centre d'appels au MarocMoins d'interactions, moins de conseillers ?« Le secteur dans sa globalité ne l'observe pas. Quand vous prenez les chiffres, année après année, depuis l'arrivée de l'intelligence artificielle générative, il y a de la croissance. Et ça n'est pas un phénomène régional », insiste Youssef el Aoufir.La crainte demeure chez les syndicats. « Un bon nombre d'interactions qui étaient traitées par le conseiller sont désormais réalisées via l'IA, explique Ayoub Saaoud, secrétaire général de la Fédération des centres d'appels. Qui dit diminution d'interactions et de flux dit diminution de conseillers. C'est une évidence. »Un rapport récent a montré que la « durée moyenne de traitement », une donnée capitale dans le secteur des centres d'appels, a été diminuée de 14% grâce à l'utilisation d'outils liés à l'IA.À lire aussiMadagascar se lance sur le marché des centres d'appel

Encore une histoire
Bolduc en vacances au Maroc

Encore une histoire

Play Episode Listen Later Jan 24, 2025 7:07


Le retour de Bolduc, qui est en vacances au Maroc---Histoire écrite et interprétée par Céline Kallmann, réalisation et musiques Alexandre Ferreira, production Benjamin Muller.Générique : Vlad Gluschenko - Time.Retrouvez Encore une histoire sur Instagram, Facebook et Twitter. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Leaders On Purpose with Manal Bernoussi
[FR] Episode 50- Nihal Djebli: Briser Les Chaines, le cadeau de la transformation

Leaders On Purpose with Manal Bernoussi

Play Episode Listen Later Jan 19, 2025 61:30


Dans cet épisode en français de Leaders On Purpose Podcast, Manal Bernoussi entame une conversation profonde et inspirante avec Nihal Djebli, auteure du livre "Briser les chaînes, le cadeau de la transformation". Hypnothérapeute, maman, dirigeante et entrepreneure, Nihal partage son parcours et les enseignements clés de son premier roman, écrit avec le langage du cœur. Ce livre explore la nécessité de remettre en question les croyances limitantes et d'entamer un chemin de transformation vers sa vérité intérieure. Ensemble, elles discutent de personnages universels dans lesquels nous pouvons toutes et tous nous retrouver : Salma face au burnout, Laila face à une injustice professionnelle, Kamal qui hérite d'une entreprise familiale mais sacrifie sa passion, Sara passionnée par son travail, Zayn face aux défis et dégâts de l'ego en entreprise, etc.

La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
Le Brésil, la Turquie et le Maroc font la Une de la presse internationale

La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1

Play Episode Listen Later Jan 17, 2025 2:57


La revue de presse internationale aborde trois sujets majeurs. Au Brésil, l'ex-président Jair Bolsonaro se voit interdire par la Cour suprême de se rendre aux États-Unis pour l'investiture de Donald Trump, craignant une fuite pour échapper à la justice dans le cadre d'une enquête sur un coup d'État présumé. Au Maroc, le pays devient la première destination touristique africaine en 2024, avec 17,4 millions de visiteurs en 2023, dépassant l'Égypte, notamment grâce à l'affluence record à Marrakech. En Turquie, l'immobilier connaît une flambée des prix, certaines maisons voyant leur valeur augmenter de 1146% en 5 ans, en raison de l'inflation, de la chute de la livre turque et des coûts de construction post-Covid, aggravés par les séismes de 2023. La stabilisation des prix reste incertaine.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.

L'info en intégrale - Europe 1
Le Brésil, la Turquie et le Maroc font la Une de la presse internationale

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Jan 17, 2025 2:57


La revue de presse internationale aborde trois sujets majeurs. Au Brésil, l'ex-président Jair Bolsonaro se voit interdire par la Cour suprême de se rendre aux États-Unis pour l'investiture de Donald Trump, craignant une fuite pour échapper à la justice dans le cadre d'une enquête sur un coup d'État présumé. Au Maroc, le pays devient la première destination touristique africaine en 2024, avec 17,4 millions de visiteurs en 2023, dépassant l'Égypte, notamment grâce à l'affluence record à Marrakech. En Turquie, l'immobilier connaît une flambée des prix, certaines maisons voyant leur valeur augmenter de 1146% en 5 ans, en raison de l'inflation, de la chute de la livre turque et des coûts de construction post-Covid, aggravés par les séismes de 2023. La stabilisation des prix reste incertaine.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.

Reportage Afrique
Au Maroc, Records Zaman, le premier magasin de disques d'Agadir

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later Jan 17, 2025 2:34


Records Zaman a ouvert en 1967 à Agadir. À l'époque, ce fut le premier magasin de disques de la ville. 58 ans après, le fils du fondateur a repris le flambeau de ce magasin qui compte des milliers de vinyles et de cassettes, principalement de musique arabe, dont certains sont très rares. Amine Aqdim, 30 ans, est aujourd'hui à la tête de ce coffre à trésor musical. En parallèle, il développe une activité de DJ et s'emploie à numériser des enregistrements rares de musique yéménite, soudanaise, égyptienne et bien sûr marocaine. De notre envoyé spécial de retour d'Agadir,Situé au centre du vieil Agadir, le magasin fait à peine 20 m², mais il paraît beaucoup plus grand. Du sol au plafond, des vinyles allant des années 1940 à aujourd'hui décorent les murs et garnissent les étagères. De Billy Ocean à Ray Charles, en passant par AC/DC ou Farid El Atrache, on retrouve tous les styles.« Dans ce magasin, vous pouvez trouver de la musique d'Inde, de la musique classique égyptienne, de la musique du Brésil, du hip-hop marocain, du funk, du disco... », explique Amine Aqdim, qui a repris le magasin de son père en 2017.Assis à son bureau au centre de la petite pièce, ses doigts pianotent sur les rangées de cassettes. Il collecte et classe toute cette musique sur son ordinateur. Il est fier de sa collection unique de musique arabe. « Je veux conserver cette mémoire au Maroc. La plupart des gens ne voient la musique marocaine que comme de la musique traditionnelle. Mais il y a aussi de la musique électronique, du groove, de la disco, s'enthousiasme-t-il. C'est ce que j'essaye de partager avec les gens dans le monde. »Des trésors cachésParmi ses milliers de vinyles et ses centaines de cassettes, il y a quelques perles rares. « Et maintenant, je les garde pour moi. C'est un trésor ; ça coûte très cher, confie-t-il. Il y a vraiment une différence entre les éditions originales et les rééditions, et puis pour moi, ça me rappelle mon père. »D'une valise bien cachée à l'arrière du magasin, il sort un vinyle du groupe de rock engagé des années 1970 - Nass El Ghiwane ou encore un album d'Osibisa, du groupe britannique d'afro-pop des années 1970 formé par des Ghanéens et des Caribéens… Mais ce qui le passionne le plus, c'est la musique enregistrée dans les studios de Casablanca dans les années 1970. « Il y a Izenzaren, c'est un groupe berbère des années 1970 très connu. Ils ont sorti leur album à Casablanca. »En plus de numériser et de classer cette musique, Amine Aqdim est également DJ. Il collabore régulièrement avec le collectif français Radio Flouka pour remettre au goût du jour toute la diversité de la musique marocaine de 1950 à nos jours.À lire aussiHighlife mon amour avec le groupe ghanéen Santrofi

La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
La Grèce, le Maroc et le Japon font la Une de la presse internationale

La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1

Play Episode Listen Later Jan 10, 2025 3:00


En Grèce, deux soldats ukrainiens ont trouvé réconfort sur le mont Athos, haut lieu de l'orthodoxie. Malgré les liens étroits entre l'Église orthodoxe russe et ce lieu sacré, ce sont les monastères grecs qui accueillent ces blessés de guerre, pour leur offrir quelques jours de paix loin des souvenirs obsédants des combats.

L'info en intégrale - Europe 1
La Grèce, le Maroc et le Japon font la Une de la presse internationale

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Jan 10, 2025 3:00


En Grèce, deux soldats ukrainiens ont trouvé réconfort sur le mont Athos, haut lieu de l'orthodoxie. Malgré les liens étroits entre l'Église orthodoxe russe et ce lieu sacré, ce sont les monastères grecs qui accueillent ces blessés de guerre, pour leur offrir quelques jours de paix loin des souvenirs obsédants des combats.

Reportage Afrique
Au Maroc, la percée des reconversions professionnelles

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later Jan 10, 2025 2:22


Dans la société marocaine, la sécurité de l'emploi prime lors de l'orientation professionnelle. C'est le Graal des jeunes actifs, prêts à de nombreux sacrifices pour y parvenir. Pourtant, certains ne s'y retrouvent plus aujourd'hui et ont décidé de privilégier d'autres critères dans le choix de leur activité, quitte à changer totalement de carrière. La reconversion professionnelle fait son chemin au Maroc. De notre correspondant à Casablanca,Il avait des chiffres plein la tête, désormais ce sont des plans de maison, de meubles qui occupent ses pensées. Les mots sortent encore difficilement de sa bouche, Sofiane est décorateur d'intérieur : « J'ai 35 ans et je suis décorateur d'intérieur. C'est drôle de dire ça, confie Sofiane. Je pense que c'est la première fois que je dis ça. C'est la première fois que je me présente comme ça. »Il y a quelques mois, il a abandonné un emploi salarié bien payé et s'est lancé, à son compte, dans une activité qui n'avait rien à voir avec ses diplômes. « Je faisais de la comptabilité, j'ai une formation de comptable et de gestionnaire, témoigne-t-il. J'ai pratiqué durant sept ans. La vérité, c'était que ça devenait de plus en plus pénible de se lever, d'aller vers un travail ou un métier qui ne te définissait vraiment pas. En gros, je n'étais pas heureux dans ce que je faisais. »Ce matin-là, Sofiane est sur un chantier, dans un quartier huppé de Casablanca. « Quand mon client n'a pas trop envie de se casser la tête, il m'appelle et puis voilà, j'interviens. J'interviens à peu près dans tout ce qui est travaux dans la maison, dans tout ce qui est aménagement. On prend à cœur ce qu'on fait. Ça, c'est important. »À lire aussiMaroc: le rebond de la croissance n'empêche pas un chômage des jeunes record« Quand tu as du mal à te lever, quand tu te trouves des excuses pour ne pas faire un certain travail, c'est une sorte de dépression »Au Maroc, il fait figure d'ovni. Lâcher une bonne situation pour tenter une reconversion professionnelle, ce n'est pas encore entré dans les mœurs. « Mes proches ne sont pas au courant de mon changement de carrière. Une famille marocaine, jamais de la vie tu vas venir leur dire que tu as laissé tomber le salariat, affirme Sofiane. Ils ne vont jamais le comprendre. » Sa famille préfèrerait lui voir une vie stable : « Donc, un salaire, une maison à crédit, une femme, une bonne femme, des enfants et puis voilà, énumère-t-il. J'étais vraiment très très loin de tout ça. »Et dans sa vie de salarié, Sofiane avait fini par s'oublier. « Je suis passé par des moments assez difficiles et tu ne t'en rends pas compte sur le moment. Mais quand tu as du mal à te lever, quand tu te trouves des excuses pour ne pas faire un certain travail, c'est une sorte de dépression », juge-t-il.Sofiane a retrouvé le sourire, au contact de ses clients, de 7 à 77 ans. En quête de sens, il est plus épanoui désormais. Il a fondé une marque de meubles, Le Petit Colibri, et veut maintenant créer un showroom et son propre atelier. Ce sera alors le moment d'annoncer son changement de carrière à sa famille.Chaque mois, retrouvez les conseils aux jeunes diplômés dans 8 milliards de voisinsRecherche d'emploi: conseils aux jeunes diplômés

Un jour dans le monde
Moudawana : au Maroc, la réforme du code de la famille enfin révélée

Un jour dans le monde

Play Episode Listen Later Jan 9, 2025 42:54


durée : 00:42:54 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - par : Fabienne Sintes - Le 24 décembre dernier, un premier texte proposant des modifications du code de la famille a été dévoilé, 20 ans après sa première révision. Défenseuses des droits des femmes et opposants restent toutefois peu convaincus par ces changements. - réalisé par : Thomas Lenglain

Un jour dans le monde
Maroc : la révision du code de la famille

Un jour dans le monde

Play Episode Listen Later Jan 9, 2025 13:32


durée : 00:13:32 - L'invité d'un jour dans le monde - Au Maroc, la réforme du code de la famille est au cœur des revendications féministes. Ces dernières dénoncent une révision jugée trop timide, tandis que l'autorité religieuse reste prudente face aux évolutions envisagées de la « Moudawana ».

InterNational
Moudawana : au Maroc, la réforme du code de la famille enfin révélée

InterNational

Play Episode Listen Later Jan 9, 2025 42:54


durée : 00:42:54 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - par : Fabienne Sintes - Le 24 décembre dernier, un premier texte proposant des modifications du code de la famille a été dévoilé, 20 ans après sa première révision. Défenseuses des droits des femmes et opposants restent toutefois peu convaincus par ces changements. - réalisé par : Thomas Lenglain

Afrique Économie
Au Maroc, Moldiag conçoit et produit ses propres kits de diagnostic

Afrique Économie

Play Episode Listen Later Jan 5, 2025 2:16


Il y a cinq ans, la crise du Covid-19 rappelait au monde l'importance de la souveraineté sanitaire. Produire et même créer, concevoir localement des médicaments, mais aussi des dispositifs médicaux pour pouvoir soigner sa population en toute indépendance est devenu un idéal à atteindre. En Afrique, des entreprises et des pôles de recherches commencent à émerger. C'est notamment le cas au Maroc. De notre correspondant à Rabat,C'est dans la banlieue de Rabat que Moldiag a installé son unité de production. Et pour y accéder, il faut montrer patte blanche. « On n'a pas le droit de rentrer sans ça », explique le docteur Abdeladim Moumen, le fondateur et directeur scientifique de Moldiag. Des équipements de protection (blouses, charlottes…) qui répondent à des normes strictes. Ici, la start-up fabrique des kits de diagnostic. « C'est unique en Afrique. Nous sommes les premiers à maîtriser toutes les étapes, depuis le développement qui est 100% marocain, jusqu'à l'industrialisation et la commercialisation », explique-t-il.Quatre salles en enfilade communiquent grâce à des passe-plats pour éviter toute contamination. Le processus de production est précis, le résultat de dix ans d'expérience dans le domaine. « On a mis au point six tests, en comptant celui du Mpox. Ils sont validés cliniquement et autorisés pour la commercialisation. On a déjà commencé à les commercialiser d'ailleurs », détaille le docteur Abdeladim Moumen.Des solutions adaptées aux besoins du continentHépatite C, tuberculose, leucémie, Moldiag produit même, depuis peu, des tests PCR pour détecter le Mpox, qui ont été commandés par la RDC notamment. Un kit de diagnostic qui est parvenu à intégrer la liste des tests recommandés par l'Africa CDC, l'agence sanitaire de l'Union africaine, aux côtés de ceux mis au point par les grands laboratoires américains ou chinois.« Aujourd'hui, grâce à ces kits, on arrive à contribuer à la sécurité sanitaire de notre pays », se réjouit Nawal Chraibi, à la tête de Moldiag. Elle est aussi la directrice générale de la fondation MAScIR, un centre de recherches qui dépend de l'université Mohammed VI Polytechnique et qui a développé tous ces tests, permettant l'émergence de compétences locales.« On s'est rendu compte que les géants du diagnostic ne s'intéressaient pas forcément aux maladies qui touchent le continent africain », souligne la dirigeante. Atteindre la souveraineté sanitaire permettrait de répondre à ses besoins spécifiques, mais elle a un coût. « On ne peut pas faire de la recherche et investir dans les biotechnologies, les vaccins si notre marché est restreint, d'où la nécessité d'avoir un grand marché comme celui de l'Afrique. Le Maroc confirme actuellement sa volonté de devenir une plateforme de recherches sur le continent », analyse le docteur Hamdi Tayeb, chercheur en politiques et systèmes de santé. Aujourd'hui, l'Afrique importe encore 95% de ses médicaments et pratiquement tous ses vaccins.À lire aussiMaroc: le laboratoire Pharma 5, fleuron de l'industrie pharmaceutique africaine

Les matins
Réforme du code de la famille au Maroc / Nouveaux moyens de paiement / Histoire de l'art avec Hector Obalk

Les matins

Play Episode Listen Later Jan 3, 2025 149:44


durée : 02:29:44 - Les Matins - par : Jean Leymarie, Isabelle de Gaulmyn - Les enjeux internationaux - Maroc : ce que va changer la réforme du Code de la famille. La question du jour - Lydia, Apple Pay, Google Pay : à qui profitent les nouveaux moyens de paiement ? L'invité des matins- Histoire de la peinture : apprendre à aimer. - réalisation : Colin Gruel

Reportage Afrique
Au Maroc, une famille se réjouit des révisions possibles du Code de la famille

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later Jan 1, 2025 2:23


Au Maroc, le Code de la famille est en pleine révision. Les premières pistes de réforme ont été dévoilées le 24 décembre et elles doivent encore poursuivre leur processus législatif, avant d'être définitivement adoptées par les deux chambres du Parlement. Vingt ans après la dernière refonte du texte, les attentes sont nombreuses. Parmi les nouvelles propositions : permettre aux femmes divorcées et remariées de conserver la garde de leurs enfants. De notre correspondant à Casablanca,Avec ses deux enfants, Meriem* habite un petit appartement en banlieue de Casablanca, au Maroc. Il y a trois ans, elle a décidé de divorcer. « La cause, c'était la violence parce que j'étais une femme battue. J'étais une femme maltraitée. J'étais une femme, vous pouvez dire, violée par le mari, témoigne-t-elle. Malgré ça, j'ai essayé de garder les choses à l'amiable pour le développement sain des enfants. »Alors qu'elle vient d'épouser un autre homme, sa vie bascule. Son ex-mari décide de se venger en récupérant leur aînée, une fillette de 9 ans, ce que lui permet encore la loi marocaine. « Les enfants étaient battus, [ils subissaient] un harcèlement psychique... Il voulait savoir ce que je faisais à la maison, où je dormais... », se rappelle-t-elle.À lire aussiMaroc: divorce, polygamie... le ministre de la Justice présente sa réforme du Code de la famille« Le droit fondamental de rester avec mon enfant »La première mouture du nouveau Code de la famille, dévoilée il y a une semaine, revient sur cette disposition et accorde aux femmes divorcées et remariées le droit de garder leurs enfants, alors Meriem est… « Très soulagée. Hamdoullah, avec tout ce qui se passe aujourd'hui, je pense que moi et toutes les autres mamans qui sont dans le même cas que moi, on est très chanceuses. » Elle se reprend : « Vous vous imaginez qu'une mère dise, je suis chanceuse, pourquoi, pour un droit qui est fondamental de rester avec mon enfant ! »Et Meriem pointe du doigt la différence de traitement entre hommes et femmes : « Avant, l'homme, il pouvait refaire sa vie. Tu te maries, tu fais ce que tu veux, tu peux même divorcer quatre ou cinq fois. Mais ton ex, elle est toujours soumise à toi, tu la tiens toujours en soumission, pointe-t-elle. Et ça, ce n'est pas quelque chose qui était équitable. »La fille de Meriem partage, elle aussi, son avis, par téléphone. Au bout du fil, Sarah*, 9 ans, est d'une maturité ahurissante pour son âge. En week-end chez sa grand-mère, elle affirme : « Eh bien, j'ai été satisfaite par la nouvelle, j'étais heureuse. »Dans le salon, il y a aussi Mehdi*, silencieux depuis le début de l'interview. Le nouveau conjoint de Meriem esquisse un sourire quand Sarah explique pourquoi elle veut rester avec lui et sa mère. « Parce que c'est vrai que ce n'est pas mon papa, ce n'est pas mon vrai papa, mais je l'aime quand même et c'est comme un papa magique pour moi, confie la petite fille. C'est un papa gentil, un papa magique. »Mehdi, à son tour, s'exprime : « Dieu merci, je n'ai pas eu de problème d'intégration avec les enfants de ma femme. À la maison, nous vivons comme une famille, je les considère comme mes enfants, je n'ai aucun souci par rapport à ça. »Mais concernant la réforme, rien n'est encore définitif, le Parlement doit encore se pencher dessus.* Les prénoms ont été modifiés pour garantir l'anonymat des témoins.À écouter dans l'Invité AfriqueMaroc: le projet de réforme du Code de la famille «oscille entre tradition et modernité»

Revue de presse Afrique
À la Une: en RDC, six drones abattus dans le Nord-Kivu

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Dec 26, 2024 3:55


Six drones rwandais ont été abattus, affirme l'armée de la RDC. Le site Afrik.com détaille qu'ils ont été interceptés « au-dessus de la localité de Mambasa, située dans le territoire de Lubero, dans la province du Nord-Kivu ». Le « Mouvement du 23 mars » (M23), groupe armé soutenu par le Rwanda et son armée, progresse de plusieurs dizaines de kilomètres ces derniers jours à l'est de la RDC, faisant craindre un effondrement du front.Un événement qui agite la presse locale« Parler moins, agir plus », titre le journal Soft International dans un éditorial va-t-en-guerre. Il fustige la simple communication de la RDC face au Rwanda et prône plus d'action : « Trop de communication tue la communication. Face au Rwanda, nous devrions (nous aurions dû) faire mieux : éviter de trop ouvrir la bouche, mais agir avec efficacité. (...) Pourquoi notre pays aime tant ouvrir la bouche ? Alerter son entourage sur un danger qui pointe à sa porte ne manque pas de sens, mais est-ce la première action à engager en l'espèce ou il faut au contraire chercher à neutraliser le danger ? Ceux qui dirigent le monde savent. Ils frappent. Et communiquent après. »D'autres titres sont bien plus mesurés. Le site Actualité.cd donne la parole au prix Nobel de la Paix Denis Mukwege. Dans ce contexte, ce médecin appelle à organiser une conférence internationale sur la Paix en RDC en 2025. « Nous sommes tenus de nous fédérer pour imposer le respect des valeurs fondamentales : le respect de la vie, de la dignité humaine, de la liberté, de la justice, du travail et de la fraternité, qui sont les fondements de notre Nation et le socle sur lequel repose notre cohésion sociale. (...) Dans cette noble initiative, j'ai la conviction que nous ne serons pas seuls », conclut le médecin, ancien candidat à la présidence.Au Maroc, débat public vif autour de la réforme du Code de la famille« Le vrai match commence », titre Maroc Hebdo. Pour rappel, le Code de la famille (la Moudawana) régit de nombreuses mœurs dans le Royaume où l'islam est la religion d'État. Le ministère de la Justice recommande : interdiction du mariage pour les mineurs, réglementation plus stricte de la polygamie et maintien du droit de garde des enfants pour la mère divorcée, même en cas de remariage.Maroc Hebdo résume le paysage politique : « à gauche, (...) un camp (...) progressiste, dont les franges les plus radicales se passeraient bien de tout ce qui s'apparente à des aspérités religieuses. (...) De l'autre côté, on se méfie (...) et on ne rechignerait pas, si cela est possible, à jeter le bébé avec l'eau du bain, et carrément, dans l'idéal, à revenir à un statu quo antérieur à la Moudawana version 2004 ».Au milieu : le roi. Seule position publique pour l'instant citée par Maroc Hebdo : « Ne pas interdire ce qui est autorisé, ni autoriser ce qui est prohibé ». Le journal prédit d'intenses mois de débat à venir.« L'Afrique se prépare au retour de l'ouragan Trump »« L'Afrique se prépare au retour de l'ouragan Trump », titre Jeune Afrique : « le milliardaire américain promet de secouer le continent africain, pour le meilleur comme pour le pire ». Le magazine rappelle les relations tendues entre Donald Trump et le continent. Lui qui a promulgué par exemple le Muslim ban en 2017. Interdisant l'accès du territoire américain aux visiteurs provenant « de Libye, de Somalie ou du Soudan ». Plus tard, « les citoyens du Nigeria, de Tanzanie, d'Égypte, du Tchad, du Mali, du Soudan du Sud et de l'Érythrée ont subi des restrictions d'entrée aux États-Unis ».

Reportage Afrique
Au Maroc, de fortes tensions entre chauffeurs de taxi et de VTC

Reportage Afrique

Play Episode Listen Later Dec 21, 2024 2:27


Alors qu'Uber a jeté l'éponge il y a six ans déjà, d'autres applications de transport à la personne opèrent au Maroc comme Careem, Yango ou InDrive. Le vide juridique concernant cette pratique commerciale provoque toujours de nombreuses situations de conflits entre chauffeurs de taxi et chauffeurs particuliers. De notre correspondant à Casablanca,Moustafa parcourt les artères de Casablanca depuis 5 heures du matin dans son petit taxi rouge aux sièges défraîchis. Il est chauffeur depuis plus de 10 ans. Selon lui, le métier devient de plus en plus pénible, entre les bouchons casaouis qui lui rendent le quotidien difficile et l'essor des applications de transport qui l'inquiète. Pour lui, ces applications devraient être réservées uniquement aux taxis rouges.« Le problème, c'est que des véhicules personnels arrivent sur ce marché et les chauffeurs de taxi sont obligés de partager leur clientèle avec ces nouveaux acteurs, ça va réduire notre pouvoir d'achat, et ça nous fatigue au quotidien, dénonce le chauffeur de taxi. Il faut réguler, réguler le système de transport urbain, et c'est l'État qui doit le faire. »Sur la toile, les vidéos se multiplient montrant des chauffeurs de taxi lancer des attaques verbales ou physiques contre les conducteurs utilisant ces applications avec leur véhicule personnel, qu'ils accusent de ne pas respecter la loi. Le mois dernier, la presse marocaine a largement relayé l'histoire d'un ressortissant russe qui s'est interposé pour séparer un chauffeur de taxi et un chauffeur de VTC. Le chauffeur de taxi a été mis aux arrêts. À Casablanca, Youssef, chauffeur de voiture particulière âgé de 65 ans, a appris à éviter ses collègues taxis. « Ça fait deux ans que je fais ce travail-là — ou ce service-là, témoigne-t-il. Au début, on avait beaucoup de problèmes, maintenant, j'évite les chauffeurs [de taxi], j'évite la police, j'essaye de l'éviter. »À lire aussiAu Kenya, les chauffeurs VTC en grève pour un meilleur salaireUn vide juridiqueLes applications qui opèrent au Maroc sont nombreuses : Yango, inDrive ou encore Careem. Mais ces entreprises n'ont toujours pas réussi à convaincre les autorités de légiférer pour permettre aux chauffeurs privés de travailler légalement. C'est ainsi qu'Hicham, chauffeur InDrive à Marrakech, s'est fait retirer son permis.« J'ai été dénoncé par les taxis. Eux, ils ne voulaient pas que ces applications travaillent ici, au Maroc, explique le chauffeur InDrive. J'ai été arrêté, j'étais choqué. Bien sûr, les clients aussi ont été choqués par ce geste-là, ils m'ont pris mon permis pour trois mois. Ce n'était pas facile pour moi parce que c'est ma seule source pour avoir de la monnaie. Bien sûr, ma voiture a été confisquée et j'ai payé une pénalité ».Pour éviter les problèmes, les clients des applications sont invités à s'assoir à l'avant et régler la course le plus discrètement possible. Situation paradoxale : bien que les chauffeurs de VTC travaillent toujours dans l'illégalité, certaines applications, comme l'américaine InDrive, affichent leurs publicités dans la rue. En avril dernier, le groupe parlementaire du Parti du progrès et du socialisme a adressé une question formelle au ministre de l'Intérieur au sujet de ce vide juridique.À écouter dans Grand reportageLivreurs sans-papiers, chauffeurs mal-payés, quand le modèle Uber vacille

Revue de presse Afrique
À la Une: la libération de quatre Français de la DGSE au Burkina Faso

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Dec 20, 2024 4:07


Ils avaient été arrêtés en décembre 2023, accusés d'espionnage, accusations rejetées par Paris. Ils ont donc été libérés hier, « grâce à la médiation du roi Mohamed VI » précise Wakatsera, au Burkina Faso. Alors qu'Aujourd8.net titre : « Petit dégel Axe-Ouaga-Paris via Rabat » et ajoute : « c'est ce qu'on appelle les fruits immédiats de la coopération, celle portée au pinacle par Emmanuel Macron, entre la France et le Maroc ». « La libération rendue à ces quatre personnes de la DGSE », poursuit le site burkinabé, « ne détendra pas l'atmosphère sibérienne entre l'axe Paris-Ouaga, mais c'est toujours ça de gagné. On ne peut que s'incliner devant la diplomatie de ce 'roi des pauvres', Mohamed VI, qui est incontournable au Sahel, dans le rapport avec la France ».Au Maroc, l'Opinion remarque que « le succès de la médiation du roi du Maroc, intervient alors que Paris et Rabat ont récemment scellé leur réconciliation, incarnée par une visite d'État du président français fin octobre au Maroc, après trois ans de crise aigüe. » APAnews, de son côté, parle d'une « percée diplomatique majeure, qui marque un tournant dans les relations internationales en Afrique de l'Ouest (…) dans un contexte diplomatique tendu entre Paris et Ouagadougou, depuis le coup d'État de septembre 2022, qui a porté le capitaine Ibrahim Traoré, au pouvoir ».Nouveau chef d'état-majorEn RDC, Félix Tshisekedi a procédé hier soir à une série de changements à la tête des forces armées. C'est ainsi, nous explique Objectif-infos, « que le chef de l'État a élevé le général Jules Banza, au grade de chef d'état-major des forces armées de la RDC ». « Sa nomination, ajoute le site d'information, intervient au moment où les rebelles du M 23, soutenus par le Rwanda, poursuivent leurs offensives dans la province du Nord-Kivu ». Le prédécesseur de Jules Banza, Christian Tshiwewe devient lui, « conseiller militaire du président », précise Actualité.cd qui ajoute : « il quitte la tête des forces armées, au moment où l'armée congolaise fait face à d'importantes difficultés sur le terrain, face à la rébellion du M 23, soutenue par le Rwanda. Sous son commandement, plusieurs localités du Nord-Kivu sont tombées sous le contrôle des rebelles ».  « Certains analystes », poursuit Actualité.cd, estiment « qu'en renouvelant le commandement des FARDC, le chef de l'État Félix Tshisekedi, en sa qualité de commandeur suprême des forces armées, cherche à insuffler un nouvel élan au sein de l'armée congolaise. »Abandonnées à leur sortEnfin, le bilan du passage du cyclone Chido au Mozambique s'avère particulièrement lourd. « Le dernier bilan fait état d'au moins 70 morts et plus de 600 blessés », nous dit Afrik.com. « Cependant, les humanitaires estiment que le bilan pourrait être bien plus lourd, avec de nombreux dégâts non encore comptabilisés en raison des difficultés d'accès et de la lenteur des évaluations sur le terrain ». « Les habitants manquent de tout, bien que l'aide alimentaire commence à arriver », explique la responsable d'une ONG. « Les populations locales, commente Afrik.com  « se sentent abandonnées à leur sort, confrontées à une succession de crises qui exacerbent leurs souffrances, entre catastrophes naturelles, insécurité et conflits armés ».De son côté, Africanews précise que « la Province de Cabo Delgado, où vivent environ deux millions de personnes, a été la première région touchée par le cyclone Chido au Mozambique. De nombreuses maisons, écoles et établissements de santé y ont été partiellement ou complètement détruits ». Au-delà du constat sur le terrain, Africanews rappelle que « depuis quelques années, les tempêtes dans la région sont de plus en plus violentes. En 2019, le cyclone Idai a ainsi tué plus de 1300 personnes, principalement au Mozambique, au Malawi et au Zimbabwé ».

Eco d'ici Eco d'ailleurs
«Au Maroc, le secteur privé doit reprendre le flambeau», dit Tarik Senhaji (Bourse de Casablanca)

Eco d'ici Eco d'ailleurs

Play Episode Listen Later Dec 7, 2024 48:30


C'est le patron de la 2ème bourse d'Afrique en termes de capitalisation, la première d'Afrique francophone : Tarik Senhaji, directeur général de la Bourse de Casablanca depuis 2020, est notre grand invité de l'économie RFI - Jeune Afrique. Dans cet entretien accordé à Bruno Faure (RFI) et Aurélie M'Bida (Jeune Afrique), Tarik Senhaji, polytechnicien formé en France avant d'évoluer aux États-Unis et au Royaume-Uni, détaille la stratégie de cette place financière devenue centrale sur le continent : la résilience face aux crises successives, la stratégie pour attirer des investisseurs et des nouvelles entreprises dans les secteurs les plus porteurs, la concurrence internationale et la coopération avec la BRVM (Bourse Régionale des Valeurs Mobilières de l'UEMOA basée à Abidjan) mais aussi le développement global du Maroc, le rôle de sa jeunesse et sa position de pivot entre l'Afrique et l'Europe.En fin d'émission, le natif de Casablanca dévoile son attachement pour la capitale économique du Maroc qui prépare la Coupe du monde de Football 2030 avec la construction du stade Hassan II (115.000 places).Retrouvez tous nos invités de l'économie via ce lien.

Éco d'ici éco d'ailleurs
«Au Maroc, le secteur privé doit reprendre le flambeau», dit Tarik Senhaji (Bourse de Casablanca)

Éco d'ici éco d'ailleurs

Play Episode Listen Later Dec 7, 2024 48:30


C'est le patron de la 2ème bourse d'Afrique en termes de capitalisation, la première d'Afrique francophone : Tarik Senhaji, directeur général de la Bourse de Casablanca depuis 2020, est notre grand invité de l'économie RFI - Jeune Afrique. Dans cet entretien accordé à Bruno Faure (RFI) et Aurélie M'Bida (Jeune Afrique), Tarik Senhaji, polytechnicien formé en France avant d'évoluer aux États-Unis et au Royaume-Uni, détaille la stratégie de cette place financière devenue centrale sur le continent : la résilience face aux crises successives, la stratégie pour attirer des investisseurs et des nouvelles entreprises dans les secteurs les plus porteurs, la concurrence internationale et la coopération avec la BRVM (Bourse Régionale des Valeurs Mobilières de l'UEMOA basée à Abidjan) mais aussi le développement global du Maroc, le rôle de sa jeunesse et sa position de pivot entre l'Afrique et l'Europe.En fin d'émission, le natif de Casablanca dévoile son attachement pour la capitale économique du Maroc qui prépare la Coupe du monde de Football 2030 avec la construction du stade Hassan II (115.000 places).Retrouvez tous nos invités de l'économie via ce lien.

Une semaine dans le monde
J-4 avant la présidentielle américaine, E. Macron au Maroc, des soldats nord-coréens en Ukraine

Une semaine dans le monde

Play Episode Listen Later Nov 1, 2024 42:57


J-4 avant la présidentielle américaine. Le scrutin s'annonce plus serré que jamais. Donald Trump et Kamala Harris sont au coude-à-coude dans les sondages. Egalement au sommaire : en visite au Maroc, Emmanuel Macron reconnaît la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental. Des mots qui ont fait se lever l'ensemble des membres de la Chambre des représentants à Rabat. Enfin, la Corée du Nord promet son soutien militaire à la Russie. Des milliers de soldats nord-coréens sont actuellement déployés près du front.

Deux heures d'info avec Nikos Aliagas
Présence de Yassine Bellatar au Maroc : «Ça montre une fois de plus que le président est déconnecté», estime Pascal Praud

Deux heures d'info avec Nikos Aliagas

Play Episode Listen Later Oct 31, 2024 2:21


De passage dans la matinale de Dimitri Pavlenko pour annoncer le programme de son émission, Pascal Praud estime qu'Emmanuel Macron n'a pas su justifier la présence de Yassine Bellatar au Maroc.

Journal en français facile
Suite de la visite d'Emmanuel Macron au Maroc / Une chute du prix du pétrole attendue / Mort de Manuel Mirabal

Journal en français facile

Play Episode Listen Later Oct 30, 2024 9:54


Le Journal en français facile du mardi 29 octobre 2024, 17 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/B5OX.A

Les informés de France Info
Emmanuel Macron au Maroc : Après trois jours de visite du Président de la République, la France et le Maroc ont noué "un partenariat renforcé" sur l'immigration clandestine. Quel bilan tirer de ce déplacement ?

Les informés de France Info

Play Episode Listen Later Oct 30, 2024 14:15


durée : 00:14:15 - Emmanuel Macron au Maroc : Après trois jours de visite du Président de la République, la France et le Maroc ont noué "un partenariat renforcé" sur l'immigration clandestine. Quel bilan tirer de ce déplacement ?

Les informés de France Info
Budget de la sécurité sociale, élection américaine, Emmanuel Macron au Maroc...Les informés de franceinfo du mardi 29 octobre 2024

Les informés de France Info

Play Episode Listen Later Oct 29, 2024 51:49


durée : 00:51:49 - franceinfo: Les informés - Tous les jours, les informés débattent de l'actualité autour de Jean-Rémi Baudot et d'Agathe Lambret.

Les informés de France Info
Visite d'Emmanuel Macron au Maroc : le début d'un nouveau livre ?

Les informés de France Info

Play Episode Listen Later Oct 29, 2024 12:22


durée : 00:12:22 - Visite d'Emmanuel Macron au Maroc : le début d'un nouveau livre ?

Le grand journal du soir - Matthieu Belliard
Punchline - Visite d'Emmanuel Macron au Maroc : vers une coopération renforcée ?

Le grand journal du soir - Matthieu Belliard

Play Episode Listen Later Oct 29, 2024 14:01


Aujourd'hui, dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent de l'enjeu et des attentes sur la visite d'Emmanuel Macron au Maroc. Il est aussi question de la présence de l'humoriste controversé, Yassine Belattar.

Le grand journal du soir - Matthieu Belliard
Punchline - Emmanuel Macron en visite au Maroc rappel : «un engagement sans faille» contre l'antisémitisme

Le grand journal du soir - Matthieu Belliard

Play Episode Listen Later Oct 29, 2024 8:58


Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent des propos tenus par Emmanuel Macron contre l'antisémitisme.

Journal en français facile
Le président français en visite au Maroc / États-Unis : J-8 avant la présidentielle / Manifestations en Géorgie après les législatives...

Journal en français facile

Play Episode Listen Later Oct 28, 2024 10:00


Le Journal en français facile du mardi 28 octobre 2024, 17 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/B57j.A

Les actus du jour - Hugo Décrypte
Macron au Maroc : La fin des tensions avec la France ?

Les actus du jour - Hugo Décrypte

Play Episode Listen Later Oct 28, 2024 12:11


Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.

Lenglet-Co
L'ECO & YOU - Voyage de Macron au Maroc : la France espère décrocher quelques très gros contrats

Lenglet-Co

Play Episode Listen Later Oct 28, 2024 2:59


Aviation, ferroviaire, énergie. Au delà de la diplomatie, la visite d'Etat d'Emmanuel Macron au Maroc revêt un enjeu économique majeur. La preuve en est, une cinquantaine de chefs d'entreprises partent avec lui dans l'avion, une cinquantaine d'autres sont déjà sur place. Ecoutez L'éco & You avec Pierre Herbulot du 28 octobre 2024.

Les informés de France Info
Jours de carence des fonctionnaires, budget, visite d'Emmanuel Macron au Maroc...Les informés de franceinfo du lundi 28 octobre 2024

Les informés de France Info

Play Episode Listen Later Oct 28, 2024 56:19


durée : 00:56:19 - franceinfo: Les informés - Tous les jours, les informés débattent de l'actualité autour de Jean-Rémi Baudot et d'Agathe Lambret.

Revue de presse Afrique
À la Une: la visite du président français au Maroc

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Oct 28, 2024 4:10


Les journaux du royaume du Maroc soulignent le rapprochement entamé par Paris et Rabat ces derniers mois : « les deux pays avaient besoin d'un nouvel élan », explique le Matin, qui évoque sobrement des « relations diplomatiques denses ». Le quotidien marocain rappelle « les prémices » de ce réchauffement, à savoir la position du président français sur le Sahara occidental. Pour Emmanuel Macron, « le présent et l'avenir » de ce territoire disputé « s'inscrivent dans le cadre de la souveraineté marocaine ».Le journal l'Économiste se réjouit quant à lui d'une « montée en puissance » du partenariat économique entre les deux pays. Cette année, il s'est « non seulement confirmé, mais affermi comme l'un des plus dynamiques en Afrique », explique-t-il, tandis que le journal français le Monde croit savoir que, parmi les accords qui seront signés, « l'un des principaux sera un protocole d'accord bilatéral dans le domaine de l'énergie ». En plus d'une importante délégation ministérielle, Emmanuel Macron sera aussi accompagné d'une quarantaine de dirigeants d'entreprises.Cette visite est « une victoire diplomatique régionale », pour le roi Mohammed VI, estime dans un édito Aujourd'hui au Faso. « Jupiter assume sa marocanité jusqu'au bout », ajoute le quotidien burkinabè, reprenant le surnom du président français. Et le journal lui donne raison de se rapprocher du Maroc, puisque la France est en difficulté dans d'autres régions, notamment au Sahel où « elle est en désamour, souligne l'édito, pour cause de liens historiques et d'accusations de néocolonialisme ».Au Sénégal, le début de la campagne pour les législativesLa campagne pour les législatives anticipées du 17 novembre a débuté dimanche 27 octobre 2024, au Sénégal. Le camp présidentiel, le Pastef, est à « mi-parcours de [son] dessein politique », souligne le quotidien sénégalais 24 Heures, qui rappelle que l'enjeu pour « Ousmane Sonko et ses ouailles » est d'obtenir une « majorité confortable ». Sinon, « ils devront faire face à des situations inédites dans leur gouvernance et la mise en œuvre du Projet Sénégal 2050 », vaste projet économique et social visant à redresser le pays.Dès le premier jour de campagne, « ça clashe déjà », titre le quotidien Walf. Il rapporte les critiques, les passes d'armes entre candidats. Notamment celles de Barthélémy Dias, maire de Dakar. « Barth' descend Ousmane Sonko, écrit Walf. Il a accusé le Premier ministre de menteur », rapporte le quotidien, qui, plus loin dans une chronique, estime que le débat public dans le pays est « devenu un ring à ciel ouvert » et qu'il faut « élever le niveau ».Jeune Afrique déplore un « discrédit général » du journalisme africainL'hebdomadaire Jeune Afrique évoque les récentes convocations de journalistes au Sénégal, il y a quelques semaines. Cet exemple est « déprimant et symbolique », souligne un édito baptisé « sale temps pour le journalisme sur le continent ». Il énumère les raisons qui « détruisent, selon lui, toute la chaîne de l'information », à savoir « l'assimilation de tout journalisme factuel et indépendant à une défiance face au pouvoir en place, la traque et l'incarcération de journaliste » ou encore « la faiblesse chronique des écosystèmes médiatiques ».

Le sept neuf
"La cause du Sahara est une cause sacrée au Maroc", affirme l'écrivain Tahar Ben Jelloun

Le sept neuf

Play Episode Listen Later Oct 28, 2024 9:53


durée : 00:09:53 - L'invité de 7h50 - par : Helene Fily - L'écrivain et poète marocain participera à la visite d'État de trois jours d'Emmanuel Macron au Maroc pour effacer la parenthèse glaciale entre les deux capitales. La dernière venue du président français sur le sol marocain, c'était il y a six ans. - invités : Tahar Ben Jelloun - Tahar Ben Jelloun : Écrivain marocain de langue française

Le débat des grandes voix
Emmanuel Macron en visite d'état au Maroc : une réconciliation avec Rabat en vue ?

Le débat des grandes voix

Play Episode Listen Later Oct 27, 2024 10:11


Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Pascale de La Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualités. Avis tranchés et arguments incisifs sont aux programmes de 19h30 à 20h00.

Journal en français facile
Le Liban sous les bombes / Le pape demande « pardon » / Emmanuel Macron bientôt au Maroc...

Journal en français facile

Play Episode Listen Later Sep 27, 2024 10:00


Le Journal en français facile du vendredi 27 septembre 2024, 18 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/AzqP.A