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David Armstrong interviewed Golden & Silver Age great, Jim Mooney in 1997 on set at San Diego Comic Con about his entry into pulp magazines like Weird Tales, meeting Julius Schwartz and Mort Weisinger, entering comic books in the early 1940s with Fiction House, Ace Magazines and Timely, meeting Golden Age publishers like Victor Fox, entering DC Comics under Whitney Ellsworth, his friendship with Stan Lee, working on Spider-Man, and independent comics of the 1990s. Armstrong also interviewed Golden Age great, Marv Levy in 1998 on set at Long Island, New York about his entry into comic books in the early 1940s while in high school, working for Harry Chesler, Leon Harvey at Harvey Comics, Lloyd Jacquet, Bernard Baily, analyzing the Lou Fine comics vs the Jack Kirby style, serving in the military and leaving comic books for newspaper comic strips and advertising. Interview conducted, recorded and copyrighted to David Armstrong. Remastered, edited, timestamped and postproduction by Alex Grand.Agency for Change : A Podcast from KidGlovStories of changemakers and how their actions are driving positive impact in the world.Listen on: Apple Podcasts SpotifySupport the Show.
David Armstrong interviewed Nick Cardy for a second round on set in 2005 about his time at the Eisner shop, Fiction House, illustrator influences, Lou Fine, anatomy, reference, army sketch book, his Paris exhibit, Science Fiction stories, design, page rates, Brushwork, advertising, his sense of religion, and a sex comic experience at comic con. Interview conducted, recorded and copyrighted to David Armstrong. Remastered, edited, timestamped and postproduction by Alex Grand.Support the show
David Armstrong interviewed Golden and Silver Age great, Nick Cardy in 1998 on set at San Diego Comic Con about his entry into comic books in 1940, working with the Eisner & Iger shop, his influences like Gary Cooper, Noel Sickles, working at Fiction House, drafted into the Army, Tarzan and Casey Ruggles daily comic strips, entering DC Comics, interacting with Alex Toth, Jack Kirby, Neal Adams and Mike Sekowsky, working with Julius Schwartz and Carmine Infantino, working on animation, illustration and movie posters for New Line Cinema. Interview conducted, recorded and copyrighted to David Armstrong. Remastered, edited, timestamped and postproduction by Alex Grand.Support the show
L'Histoire de la bande dessinée américaine fourmille d'anecdotes plus ou moins inattendues, mais l'histoire que je vais vous raconter compte incontestablement parmi les plus bizarres qu'il m'ait été donné d'entendre. Aujourd'hui, on parle de Fletcher Hanks et de ses créations à la limite du surréalisme… Avec la sortie du premier numéro de Action Comics en 1938, la bande dessinée américaine connaît un véritable cataclysme. Superman, le premier super-héros moderne, est un succès éditorial instantané et le format comic book s'impose définitivement dans les kiosques. Si les créateurs de l'Homme d'Acier, Jerry Siegel et Joe Shuster, auront bien du mal à faire reconnaître leurs droits sur le personnage et la pléthore de produits dérivés qui en seront tirés, ils n'en sont pas moins à l'origine d'une tendance qui va faire des émules. Les gamins veulent des justiciers costumés dotés de super pouvoirs ? Et bien, on va leur en donner ! En l'espace de quelques semaines, tous les éditeurs ou presque se mettent à commander aux artistes qui travaillent pour eux des histoires de super-héros. Et si Batman, Wonder Woman, The Flash, Captain Marvel ou Namor the Sub-Mariner sont parvenus jusqu'à nous, parfois au prix de changements drastiques, vous vous doutez bien qu'une bonne partie des créations de l'époque n'ont pas connu la même longévité. Si Black Cat, Green Lama, Doll Man, Black Terror ou Blue Bolt n'ont pas autant marqué l'histoire des comics que Captain America ou Green Lantern, et ce malgré quelques tentatives isolées de les réanimer, il existe d'autres personnages, bien plus exotiques encore, que le grand public a totalement oublié aujourd'hui. Parmi les proto-super-humains des comic books, la justicière Fantomah est tout à fait remarquable. Apparue dans Jungle Comics #2 en février 1940 sous la plume d'un dénommé Barclay Flagg, chez l'éditeur Fiction House, Fantomah est parfois considérée comme la véritable première super-héroïne, devançant ainsi la célèbre Wonder Woman de William Moulton Marston et Harry G. Peter, apparue dans All-Star Comics #8 en octobre 1941. Cette réputation reste largement sujette à débat, étant donné que Fantomah n'est ni la première protectrice de la jungle ; Rima the Jungle Girl étant apparue bien avant elle ; ni la première à posséder sa propre série, ce titre revenant à Sheena, Queen of the Jungle ; ni le premier personnage féminin à posséder un semblant de super pouvoirs, L'Oiselle du français René d'Anjou ayant pris son envol dès 1909. Si Fantomah peut prétendre à ce statut, c'est parce qu'elle est le premier personnage féminin apparu directement dans une bande dessinée américaine à englober plusieurs caractéristiques super-héroïques, comme des pouvoirs surhumains paranormaux ou une transformation physique comparable à une sorte d'identité secrète. Bien que ses aventures ne soient pas précisément localisées, l'héroïne défend son royaume, très largement fantasmé, de pilleurs occidentaux malintentionnés, abattant son courroux sur ceux qui voudraient profaner son sauvage sanctuaire. À la découverte des surprenantes aventures de Fantomah, on serait en droit de se demander pourquoi son créateur, Barclay Flagg, n'est pas resté dans l'histoire comme Jack Kirby, Stan Lee, ou Will Eisner. Et bien, tout simplement parce que Barclay Flagg n'existe pas. Il s'agit en fait de l'un des nombreux pseudonymes utilisés par l'un des plus mystérieux auteurs de comics du XXe siècle : Fletcher Hanks. Pendant des décennies, Fletcher Hanks est resté l'une des plus grandes énigmes de la bande dessinée américaine, jusqu'à ce que l'auteur Paul Karasik ne se lance dans une incroyable enquête qui l'a mené jusqu'à rencontrer le fils du dessinateur, Fletcher Hanks Jr., au début des années 2000. Ainsi, tout ce que l'on sait, ou presque, de Fletcher Hanks est issu du témoignage de son fils. Né en 1887, Fletcher Hanks grandit à Oxford, dans le Maryland, dans un environnement rude et violent. Gâté par sa mère, qui lui paie des cours de dessin par correspondance, Fletcher gagne sa vie en peignant des fresques chez de riches clients du coin, mais dépense tout son argent dans l'alcool, au détriment de sa famille, allant jusqu'à participer à des beuveries qui s'avérèrent mortelles pour certains de ses camarades de boisson ! Mari violent et père de quatre enfants, Hanks abandonne le domicile conjugal vers 1930, dérobant au passage les économies de son fils de 12 ans... Fletcher ne refait surface qu'en 1939, en tant que dessinateur de comic book et créateur de Stardust, chez Fox Features Syndicate. Stardust the Super Wizard, apparu dans Fantastic Comics #1 en décembre 1939, met à l'amende pratiquement tous les autres super-héros de la bande dessinée américaine. Personnage mesurant au moins deux mètres cinquante de haut, omniscient, omnipotent, invulnérable, et doté d'une interminable liste de super-pouvoirs défiants toutes les lois de la physique, s'allongeant au fil des épisodes selon les envie de Hanks, ce surhomme venu d'une lointaine planète apparaît dans le ciel pour venir faire triompher la justice dans un monde gangréné par la trahison et la corruption. Dès les premiers épisodes de Stardust, on voit en filigrane les différentes obsessions de Fletcher Hanks, à travers des thématiques qui reviendront inlassablement dans pratiquement chacune de ses histoires : sa véritable fixation autour de la figure du traître ; qui porte généralement ce vice jusque dans ses traits physiques, à la limite de la difformité ; mais aussi la punition impitoyable et systématique de ces derniers par un justicier tout-puissant. Les univers développés par Hanks, sous couvert de pas moins d'une dizaine de pseudonymes, sont un mélange d'extravagance régressive et de concepts pseudo-scientifiques paradoxalement en avance sur leur temps. Ainsi, son univers de science-fiction très pulp, ouvertement inspiré du Flash Gordon de Alex Raymond, présente autant d'appareils de télécommunication avant-gardistes que de martiens grotesques, tout droit sortis d'un cartoon. Ceci est particulièrement visible dans son autre création présente au sommaire du premier numéro Fantastic Comics, Space Smith, qu'il signe cette fois-ci sous le nom de Hank Christy. Un aventurier de l'espace, accompagné de son assistante Dianna, qui vit diverses aventures plus ou moins hallucinées dans un cosmos totalement chimérique. Il utilisera une recette très similaire pour son personnage de Whirlwind Carter, dans Daring Mystery #4, en mai 1940 chez Timely Comics, qui bien que n'ayant eu droit qu'à deux aventures, a tout de même la particularité d'être considéré comme un personnage de l'univers Marvel. Parmi les autres héros de Fletcher Hanks, on compte Big Red McLane, apparu dans Fight Comics #1 en janvier 1940, et dont il signe alternativement les épisodes Chris Fletcher ou Charles Netcher, une série mettant en scène des bagarres de bûcherons, sans doute assez proche de l'ambiance de sa vie à Oxford. Ici, il est de nouveau question de traîtrise et de brigandage, mais dans le monde du bûcheronnage qui, convenons-en, est assez inhabituel dans les comic books. Toujours en janvier 1940, Hanks, sous le pseudo de Henry Fletcher, dessine Tabu, Wizard of the Jungle, dans Jungle Comics #1, une sorte de proto-Animal Man, capable d'imiter les animaux. On retrouve plusieurs similitudes entre Tabu et Fantomah, dont la première aventure est publiée le mois suivant. Pinacle de l'exotisme : dans le deuxième numéro de Planet Comics, en février 1940, on découvre l'unique épisode de Tiger Hart, un guerrier vivant sur Saturne, une planète qui se révèle être similaire à la Terre au Moyen-Âge. Là encore, le décor est aussi fantastique que fantasmé, gloubi-boulga de mythes chevaleresques et de fantasy pulp. Parfois comparés à de l'art brut et empreints de surréalisme, sans pour autant pouvoir être rattachés à ce courant, mais aussi influencés par Chester Gould, le créateur de Dick Tracy, les travaux de Fletcher Hanks sont facilement reconnaissables grâce à son style graphique si particulier, ce qui aura justement permis de les regrouper, malgré ses multiples alias. Si son trait peut être jugé naïf et très cru, Hanks a pourtant suivi une formation au cours de laquelle il a démontré son talent pour le dessin. On peut donc supposer que le rendu visuel de ses productions n'a rien d'un hasard. Sans doute pensait-il, en partie à raison, que ces bandes dessinées s'adressaient aux enfants, et donc qu'elles devaient être simplistes pour être comprises par les plus jeunes. Il en va de même pour ses récits, souvent alambiqués, dans lesquels il expose une vision très personnelle des châtiments qui doivent être réservés à des malfaiteurs dont la fourberie n'a souvent d'égal qu'une manifeste débilité. Les méchants sont des traîtres perfides qui n'ont pour seule motivation que la destruction du monde ou l'enrichissement personnel, tandis que les héros sont des êtres supérieurs invincibles, quasi-divins, fléaux implacables anéantissant les scélérats, non sans les avoir humiliés au passage. Il est intéressant de souligner que Fletcher Hanks faisait tout lui-même, du scénario à la colorisation, avec un rythme de travail visiblement soutenu, et rendait ses travaux dans les temps, ce qui plaisait bien évidemment beaucoup aux éditeurs. On aurait pu croire que l'artiste derrière la première super-héroïne de la bande dessinée américaine était un homme conscient des problèmes de son temps, mais, à en croire le témoignage de son fils, Fletcher Hanks était un sale type. Après un dernier épisode de Stardust, dans Big Three Comics #2, paru durant l'hiver 1941, il disparaît du jour au lendemain de l'industrie des comic books, exactement comme quand il avait abandonné sa famille des années auparavant. S'il subsiste quelques traces de ses activités à Oxford à la fin des années 1950, on ne sait pratiquement rien du reste de la vie de Fletcher Hanks, retrouvé mort de froid en 1976 sur un banc public à New-York. Passé de vie à trépas dans la solitude et la misère, Hanks a peut-être finalement été lui-même victime de la fatalité qui s'abattait sur les crapules que combattaient ses héros. Considéré par certains comme le “Ed Wood des comics”, avec seulement une cinquantaine d'histoires à son actif, Fletcher Hanks, ou Barclay Flagg, ou Henry Fletcher, reste un artiste dont les travaux, remplis de colosses surpuissants et de vilains difformes, témoignent d'une époque où il n'existait aucune norme, ni pratiquement aucun code, pour les comics de super-héros. Il en résulte des illustrés primitifs, aussi cruels que candides. Le tardif regain d'intérêt pour ses travaux ; initié notamment par Jerry Moriarty, professeur à la School of Visual Arts de New-York et grand collectionneur, puis par Art Spiegelman, qui a réédité une histoire de Stardust the Super Wizard dans sa revue RAW en 1980 ; a mené l'artiste Paul Karasik à approfondir le parcours de Fletcher Hanks et à compiler son œuvre au cours d'un fastidieux travail de recherche. L'absence de témoins survivants de l'époque et la carrière éclair de Hanks, auxquels il faut ajouter le peu de souvenirs que Fletcher Hanks Jr. avait de son père, n'ont pas facilité sa démarche, mais Karasik est parvenu à publier plusieurs ouvrages chez Fantagraphics, en 2007 et en 2009, puis Turn Loose Our Death Rays and Kill Them All ! The Complete Works of Fletcher Hanks en 2016, disponible en français aux éditions Actes Sud, qui m'a été très précieux pour vous raconter cette histoire. 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A sit down chat between Alex Grand and Bud Plant discussing his early years in 1960s fandom, Rocket Blast Comic Collector, Golden Age Timely, Quality and Fiction House comics, EC Comics, Carl Barks, Julius Schwartz comics, Jules Fei¦er's Great Comic Book Heroes, business in the first comic book shops, Sci-Fi Bay Con 1968, 1960s Fanzines, meeting Steranko at New York Comic Con 1970, starting Bud's Mail order, co-founding Comics and Comix and its various stages, finding the Tom Reilly Collection at 1973 Bay Area Comics Convention, from meeting Phil Seuling, starting the direct market, New Media/Irjax lawsuit, Seuling's death, encountering Gary Groth at Fantagraphics, business with Kirby and Eisner, getting into the comic direct distribution business from 1982-1988, publishing Alfredo Alcala and Jack Katz, encountering Steve Geppi at Diamond which decided the course of comic history, getting the inkpot award in the 1990s, and phasing out of San Diego Comic-Con. Vote Bud Plant for Eisner Hall of Fame here: https://form.jotform.com/230927489799177The Most Unboring Health PodcastThe Most Unboring Health Podcast" is the ultimate podcast for anyone looking to...Listen on: Apple Podcasts SpotifySupport the show
A sit down chat between Alex Grand and Bud Plant discussing his early years in 1960s fandom, Rocket Blast Comic Collector, Golden Age Timely, Quality and Fiction House comics, EC Comics, Carl Barks, Julius Schwartz comics, Jules Fei¦er's Great Comic Book Heroes, business in the first comic book shops, Sci-Fi Bay Con 1968, 1960s Fanzines, meeting Steranko at New York Comic Con 1970, starting Bud's Mail order, co-founding Comics and Comix and its various stages, finding the Tom Reilly Collection at 1973 Bay Area Comics Convention, from meeting Phil Seuling, starting the direct market, New Media/Irjax lawsuit, Seuling's death, encountering Gary Groth at Fantagraphics, business with Kirby and Eisner, getting into the comic direct distribution business from 1982-1988, publishing Alfredo Alcala and Jack Katz, encountering Steve Geppi at Diamond which decided the course of comic history, getting the inkpot award in the 1990s, and phasing out of San Diego Comic-Con. Edited & Produced by Alex Grand. ©2021 Comic Book Historians.Vote Bud Plant for Eisner Hall of Fame here: https://form.jotform.com/230927489799177Support the show
Rob and Michelle discuss a couple of books and the movie they chose for this episode, The King of Staten Island, written and starring Pete Davidson, directed by Judd Apatow. Also, you're invited to attend the Two Librarians Walk Into a Shelf Cheesy Sci Fi Summer Movie Spectacular at the Madison Public Library this summer! The first movie, Plan 9 From Outer Space, will show on June 24 at 8 pm on the screen in the back of the library. BYO Refreshments, and listen to Rob and MIchelle give a quick history of the movie and enjoy a free screening of this Science Fiction classic! Find more information about the media shared in this episode at www.hmcpl.org Ghosts and Girls of Fiction House in branches Museum of the Missing: a history of art theft in branches The Rape of Europa: the fate of Europe's treasures in the Third Reich and the Second World War The Rape of Europa DVD The King of Staten Island Music - Story has Begun (Kielokaz 156)by KieLoKazis licensed under a Creative Commons Attribution-Non Commercial-NoDerivatives 4.0 License.
Tales from the Flipside: Comics, Collectibles and Pop Culture
In this video we discuss and highlight our favorite issues of the Planet Comics runs by Fiction House. This is one of if not the most well know science fictions runs in golden age comics. Find more great book investing and entertainment content at https://comicbookinvest.com/
And the concluding part of this rambling and too brief history of Fiction House, one of the great publishers of comics Golden Age.
And now the first part of this rambling and too brief history of Fiction House, one of the great publishers of the Golden Age of Comic Books.
Herman Louw joins me this episode to sink in the weirdness of GHOST COMICS #2 from Fiction House. Leave a comment on the website at coffeeandcomicspodcast.blogspot.com A podcast covering comics and related media in the span of a coffee break.
Salutations, noble comic book savages! In this episode, our intrepid explorers Chris (@AceComics) and Reggie (@reggiereggie) plumb the depths of the dark interior of the African continent when they read Jungle Comics #2, published by Fiction House in 1940! They go through all nine(!) stories within the issues, providing creator bios and background information where applicable, with a special emphasis on the ninth story--the first appearance of the first female superhero, Fantomah by Fletcher Hanks! Then, after a break, the stalwart adventurers detail the life of Fantomah, and give a brief history of Fiction House, a seminal Golden Age comics publisher. You'll like the jungle so much, you'll never want to go back to Greystoke! weirdcomicshistory@gmail.com facebook.com/cosmictmillhistory cosmictmillhistory.tumblr.com @cosmictmill weirdsciencedccomics.com chrisisoninfiniteearths.com weirdcomicshistory.blogspot.com BREAK: Promo for the JLMay 2018 Podcasting/Blog crossover event, we're going over DC Comics' Silver Age event from 2000!
Time Codes: 00:25 - Introduction 02:39 - Setup of interview 03:45 - Interview with Mitch Maglio 58:47 - Wrap up 59:50 - Contact us On this interview episode, Derek talks with Mitch Maglio about his new book, Fiction House: From Pulps to Panels, from Jungles to Space, just out from IDW/Yoe Books. Mitch is an aficionado on Fiction House (as well as on the jungle girl genre), so he's the perfect writer/collector to discuss this historic publisher. He talks with Derek about the origins of Fiction House, its colorful founder, the publisher's major role in the pulps, its mostly forgotten stature during the Golden Age, the many legends who worked as writers and artists on their many publications, its ironic position concerning female empowerment, and the various titles for which it was known, including Jumbo Comics, Fight Comics, Wings Comics, and of course Sheena: Queen of the Jungle.
It's a brand new year, and for their very first podcast episode of 2016, the guys have as their guest the great Craig Yoe! This may become a tradition on The Comics Alternative, having Craig start off the new year, much as they did in 2015. In fact, this is the fifth interview appearance that Craig has made on the podcast (not counting the brief segment recorded at HeroesCon last year). Usually when the Yoemesiter comes on the show, he has one or two new books to discuss. But this time around there are a whopping six titles recently released from Yoe Books and IDW Publishing! It's all that Gene and Derek can do to keep up with everything that Craig and his production editor/wife, Clizia Gussoni, are putting out. They begin with a discussion of the five year anniversary of Yoe Books, which Craig actually celebrated last year. When he appeared on the show back in January of 2015, Craig discussed the coming year and what he had in store for the anniversary celebration. So Derek and Gene talk with him about the success of the first five years and about plans for the next five. Then they jump into a discussion of the many Yoe Book releases we've experienced over the past couple of months, beginning with Walt Kelly's Fairy Tales. This is a beautiful book, going above and beyond the usual standards we've come to expect from Yoe and IDW, and the guys begin by asking their guest about the production work that went into this volume. Craig also shares his love of Walt Kelly and his experiences collecting the material which originally appeared in Dell's Fairy Tale Parade between 1942 and 1946. Next, the guys ask Craig about his latest additions in his Chilling Archives of Horror Comics series, Ghosts and Girls of Fiction House (curated and introduced by Michael H. Price) and The Complete Voodoo, Vol. 1 (which includes an introduction by Mike Howlett, who has previously appeared on the podcast). They discuss the sheer weirdness that was Voodoo, a pre-code horror title from Farrell Publications, and the fetishism apparent in the Fiction House volume. Craig points out that Jumbo Comics, part of the Fiction House line, was known for its buxom women in compromised positions, and that the selections from its "Ghost Gallery" sections (collected in the Fiction House book) provide plentiful examples of "headlight comics." Gene and Derek also talk with Craig about the latest collected editions of his ongoing series, Haunted Horror, Vol. 3: Pre-code Comics So Good, They're Scary and Weird Love, Vol. 2: That's the Way I Like It!, as well as his upcoming three-issue miniseries, Haunted Love. It just gets weirder and weirder with Craig Yoe...and that's why the guys keep inviting him back on the podcast! Be sure to check out The Yoe Tube on YouTube for fun videos and music...the latter of which is included in this episode!
Kickstarter, B. Clay Moore and Hawaiian Dick, Tom Fowler, Huck #1 by Mark Millar and Rafael Albuquerque from Image, Mark Schultz and Xenozoic Tales + Topps' Comics Cadillacs and Dinosaurs: The Wild Ones by Roy Thomas, Esteban Maroto, and Joseph Michael Linser, Frank Miller, Squadron Sinister #4 by Marc Guggenheim and Carlos Pacheco, Slash & Burn #1 by Si Spencer, Max Dunbar, Ande Parks, and Nick Filardi from Vertigo, more Twilight Children, Jessica Jones from Marvel/Netflix, Airboy #4 from James Robinson and Greg Hinkle from Image, Walking Dead, Gardner Fox and Frank Frazetta's Thund'a by Robert Place Napton, Cliff Richards, Esther Sanz, and Jae Lee from Dynamite, Marvel-O-Rama: All-New Wolverine #1, Ultimates and Illuminati, Mighty Thor #1, Secret Wars: X-Tinction Agenda, and Drax #1, The Chilling Archives of Horror Comics: Girls and Ghosts of Fiction House by Craig Yoe! and IDW, Goddamned, and a whole mess more!
1-nucleare iraniano : ripresa dei colloqui domani a Ginevra...2-le tasse in tempi di crisi: i francesi sconfessano il governo hollande. ..3-Iberia- british : matrimonio non riuscito. ..4-Indice Globale della Fame:rapporto 2013. 5 Fiction: “ House of cards”. 6-dramma in india per il ritiro di un campione di cricket.
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