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durée : 00:28:42 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Olivier Minot - La réforme dite du "plein emploi", entrée en vigueur au 1er janvier 2025, prévoit de contraindre les allocataires du RSA à effectuer 15/20 heures d'activités hebdomadaires. Que représente la mesure pour les bénéficiaires du revenu de solidarité ? Enquête subjective autour des RSAistes. - réalisation : Emmanuel Geoffroy
durée : 00:02:25 - C'est mon boulot - Les jeunes d'aujourd'hui sont-ils moins engagés au travail et se comportent-ils en électrons libres ? Alors que beaucoup de stéréotypes circulent sur les moins de 30 ans, l'institut Montaigne a interrogé cet automne plusieurs milliers d'étudiants et de jeunes actifs
durée : 00:07:20 - Info médias - Comique de stand up, révélé dans le film "Neuilly sa mère" de Djamel Bensalah et habitué des plateaux de Arthur et de Cyril Hanouna, réalisateur du "Grand Cirque", Booder devient héros d'un téléfilm qu'il a imaginé et coécrit : "Le Nounou" diffusé lundi soir sur TF1.
durée : 00:58:54 - Entendez-vous l'éco ? - par : Tiphaine de Rocquigny - Est-il plus rentable pour le service public d'employer des fonctionnaires que d'avoir recours au privé ? - invités : François Ecalle Président de l'association FIPECO; Claire Lemercier Directrice de recherche en histoire au CNRS
durée : 00:58:38 - Entendez-vous l'éco ? - par : Tiphaine de Rocquigny - Au cœur de la très controversée réforme des retraites, le temps de travail des Français est quantitativement plus faible que celui de leurs voisins. Une donnée indissociable de l'état actuel du marché du travail en France. - invités : Coralie Perez Économiste, ingénieure de recherche au Centre d'économie de la Sorbonne; Stéphane Carcillo Economiste, professeur affilié au département d'Économie de Sciences Po Paris, directeur de la division Emploi et Revenus de l'OCDE
Seguro las personas que le dicen "Peli" a las películas no va a disfrutar de esta obra de arte cómico, en la que cambiamos la manera de percibir el cine. Rompimos con los esquemas tradicionales de contar historias, y transformamos la narrativa cliché de algunas cintas que caen en estereotipos repetitivos.No es un capítulo para críticos de cine. Tampoco para personas que utilicen decenas de sinónimos a la hora de redactar un párrafo.No. Es para ustedes, nuestra gente linda, que se asustó de que las vacaciones que anunciamos fueran eternas, los mismos que nos propusieron hacer un "Clichés de películas 2", haciendo de este regreso, un trabajo muy fácil y divertido.
¿Por qué nos asustamos con las películas de terror? ¿Por qué nunca pusimos en duda que Rambo pudiera tumbar un helicóptero con una piedra? ¿Y por qué en las comedias románticas siempre la escena final es en un aeropuerto?Sin clichés no habría cine. Y El séptimo arte no sería lo que es, sin el análisis detallado y profundo del Flaco, Germán y Marín, que seguro los hará divertirse como enanos.
Euromaxx takes a look at stereotypes associated with various European nations. This time: Spain. Are Spaniards really always late? Do they constantly take siestas? And why are they so crazy about tapas?
La saison 1 de Hors Je s'achève. Je voulais libérer la parole sur des sujets féminins, tabous, clivants, cachés, et recueillir des témoignages de femmes autour de ces questions dans un espace dédié et le format podcast m'a énormément séduite. Cette expérience incroyable m'a permis de rencontrer des femmes exceptionnelles, avec des parcours souvent extraordinaires. Chacune a eu le courage de s'exprimer publiquement sur un morceau de sa vie, intime, difficile pour nombre d'entre elles. L'exercice n'est pourtant pas simple : se raconter, à quelqu'un qu'elles ne connaissent pas, délivrer publiquement une partie de soi, s'entendre ensuite, et enfin récolter les commentaires de ses proches et d'inconnus. J'ai parfois douté, de mes sujets, de mes questions, de ma légitimité à aborder certains thèmes et à rentrer dans l'intimité de ces femmes. Le bilan de cette saison reste que ce projet a été rempli de richesses insoupçonnables : la rencontre de femmes qui sont toutes à leur manière rentrées dans ma vie, et qui ont soulevé en moi des tonnes de questions, remué des tonnes de choses, m'ont remplie de connaissances, de sagesse, de leçons en tout genre. Je n'aurais jamais pensé que la formule que j'ai imaginée il y a un an aurait pris si naturellement, si vite et si bien. Naturellement, j'ai voulu savoir ce qu'elles sont devenues et ce que leur a apporté le podcast. On y retrouve donc, dans l'ordre chronologique de leur interview : - Kaya (épisode 1 : célibataire recherche personne) : 0min12sec - Lisa (épisode 2 : le jour d'après) : 7min22sec - Bénédicte (épisode 3 : de la fausse couche à la PMA) : 12min40sec - Cécile (épisode 4 : leur combat pour devenir parents) : 15min35sec - Farah (épisode 5 : l'amour à quel poing) : 21min35sec - Camille (épisode 7 : un cancer généralisé et alors?) : 24min24sec - Flavie (épisode 9 : quand tes combats deviennent tes forces) : 27min23 - Anne-Fleur (épisode 10 : expatriée, podcasteuse, devenue maman après un burn-out) : 33min56 - Anne-Lise (épisode 11 : avoir un enfant à 40 ans) : 38min01sec - Jenna (épisode 14 : PMA échec & mat, en parcours d'adoption 1/2) : 41min13 - Kristell (épisode 15 : PMA échec & mat, et adoption heureuse 2/2) : 45min04 - Flax (épisode 16 : se sortir d'un harcèlement moral au travail) : 50min48 - Renata (épisode 17 : la boucle est bouclée) : 56min27 Bonne écoute ! Si le podcast vous plaît, le seul moyen de le soutenir est de mettre 5 étoiles sur @applepodcast avec un commentaire :) Pour me raconter votre histoire, n'hésitez pas à me contacter par mail : horsjepodcast@gmail.com ou sur instagram : horsje_podcast. Je réponds à tous les messages
« Je souffre d’obésité depuis ma plus tendre enfance », raconte Sylvie Tanguy. Pourtant, elle ne prend conscience de sa maladie il n’y a que quelques années, lors d’une formation sur l’alcoolisme. « Je me suis rendu compte que j’avais les mêmes problèmes qu’un alcoolodépendant, sauf que lui c’est avec l’alcool, et moi c’est avec la nourriture ». Elle décide de se faire soigner, puis a recours à une chirurgie bariatrique, une opération visant à réduire l’absorption des aliments. Elle crée ensuite un groupe de parole pour discuter de cette intervention, qui deviendra l’association « Le poids qui tue ». Le collectif, basé à Ploufragran dans les Côtes-d’Armor, vient en aide et accompagne les personnes qui souffrent de troubles du comportement alimentaire. Aujourd’hui, Sylvie Tanguy veut aussi lutter contre la grossophobie, pour en finir avec les clichés sur l’obésité. Bonne écoute. Référence: On ne naît pas grosse, Gabrielle DEYDIER, Editions Goutte d'Or (2017) Crédit Photo : © Antiksu - Fotolia Crédit Musique : Scott Holmes, Driven to Sucess/ Fausto, Benson Taylor & Tristan Eckerson/ What a Day, Benson Taylor & Tristan Eckerson
Dulcie September, Dedan Kemathi, Djibo Bakary, Robert Mugabe, Franz Fanon, Toussaint Louverture etc.... sont des figures considérées, à tort ou à raison, comme des occupants du livre des Héros africains (avec un grand H). Comment ces figures sont-elles entrées dans ce livre ? Par la porte principale ? ou par des chemins plus sinueux, chaotiques, pervers, ou même creusés par une propagande subtile des maitres d’hier et d’aujourd’hui ?
My African cliché of the day is like a fabric. A fabric made of gossips and lies, a fabric that wraps most Africans migrating to the West, into an insulting category of trying to abuse the social benefits system whereever they live. However, like Yasuke did before them, to surpass oneself in a foreign country, to defy isolation, xenophobia, prejudices, discrimination, and so and so , in order to reach their dreams, is a characteristic of the majority of the Africans scattered around the world ! I said majority of course, bacause, obviously, some people have abused the social safety nets in their adoption countries. But in any case, this marginal proportion shouldnt be used as an excuse, to insult the silent majority of migrants who is fighting everyday to make a living with honesty and dignity.
Nombre d’œuvres de la littérature occidentale retrace les exploits de héros militaires magnifiques. En les lisant, eh bien je me suis souvent posé la question de ce qu’il en est des héros militaires africains. Pourquoi y a-t-il si peu d’œuvres littéraires sur l’héroïsme des militaires dans l’Afrique postcoloniale ? Et donc pourquoi y en a-t-il autant sur leur vilenie ?
Many works of Western literature retrace the exploits of magnificent military heroes. Reading them, well, I often questioned myself on the existence of exploits of African military heroes. Although post-independence African literature has paid great attention to the military phenomenon, it has had relatively little interest in the war itself. And speaking of the military, African writers have evoked the wicked more than the heroes. It is as if antagonism has developed between writers and the military, with the exception of liberation fighters in Northern and Southern Africa. Even a liberation poet like Dennis Brutus in South Africa has ambivalent feelings about "boots, bayonets and belts". We can therefore ask ourselves two questions. Why are there so few literary works on military heroism in postcolonial Africa? And so why are there so many about their villainy?
Do you know the "African Brother" syndrome? It often happens when an African, in a minority context, meets another African, (in reality, anyone black-skinned is enough). Very often, these two people at least look at each other a little longer; sometimes they make a discreet sign of recognition, or even outright, begin to call each other, my brother or my sister, just before asking the fateful question, "So where are you from? Welcome to a Sankofa journey to the heart of the provocative question "Who are the Africans?".
Connaissez-vous le syndrome du « Frère Africain » ? Il se produit souvent quand un africain, dans un contexte de minorité, croise un autre africain, (en réalité toute personne noire de peau suffit). Très souvent, ces deux personnes tout au moins, se regardent un peu plus longuement ; parfois se font un signe discret de reconnaissance, ou même carrément, se mettent à s’appeler, mon frère, ma sœur, et cela juste avant de se poser la question fatidique, « Alors tu es d’où toi déjà ? Bienvenue dans ce voyage au cœur de la question d’examen, un brin provocatrice « Qui sont les Africains ?».
Il en aura fallu du temps aux chercheurs occidentaux pour enfin accepter l’évidence de l’origine proprement africaine de ces ruines monumentales qui constituent un témoignage unique sur la civilisation très élaborée des Shona au Moyen Age. Bienvenue dans les ruines du Grand Zimbabwe, et ne touchez surtout à rien sur ce site classé au patrimoine mondial de l’Unesco depuis 1986 ! Mon cliché africain du jour est une exhortation, à l’endroit de tous les touristes africains et de la diaspora, pour qu’ils prennent le même plaisir à visiter et s’émerveiller sur des sites comme celui du Grand Zimbabwe, au même titre qu’au Château de Versailles, devant les merveilles du British Museum, ou sur les ruines aztèques.
Koningsdag is bij uitstek een dag van clichés. Van die mensen die expres géén oranje aantrekken omdat ze dan 'makkelijker herkenbaar' zijn in de menigte. Tot van die mensen die proberen af te dingen bij een kind dat 50 cent voor een boek vraagt. Koningsdag is een dag dat je even lekker recalcitrant mag zijn. Dingen doen die je normaal niet doet. Dat vooral Nederlanders daar goed in zijn blijkt wel uit de reacties die binnenstromen rond Koningsdag op de populaire site 'Van die mensen die'. Een website waar clichés in alle vormen worden verzameld. Bedenker Arjen Kooreman neemt er een aantal door.
Football is often said to be a universal language. If you can play it, you can communicate with anyone around the world. But as the sport has embedded itself into cultures, so too has the way we write about it and talk about it. From match reports and opinion pieces to radio broadcasts and fan discussions, the words and phrases we use continue to evolve, in order to articulate what we see unfolding in front of us. Football has established a vernacular all of its own. This episode is a special collaboration with The Expressionists podcast. Support the show.