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Send us a textIn a world that often tunes out the quiet and broken, Jesus hears what others ignore. We continue our Lent series, “Hearing Voices,” by listening to the silent but powerful faith of a woman in Luke 8. She doesn't have a name, a voice in the crowd, or a place in society—but she does have faith.As Jesus is on His way to heal a prominent leader's daughter, He stops everything to acknowledge a woman who simply touched His cloak. Her silent cry of faith is enough for Jesus to listen, respond, and heal.This message is for anyone who's ever felt overlooked, unclean, or worn out from suffering in silence. It's a reminder that Jesus still sees, still hears, and still heals.If you or someone you know needs prayer, encouragement, or just a reminder that your voice matters—this episode is for you.Linkoln shares his story on why he started coming to Ravenna Church of the Nazarene and shares why you should consider doing the same.Ravenna Church of the Nazarene530 Main Street, Ravenna, KY 40472Enjoy this message? Consider visiting Ravenna Church of the Nazarene where Pastor Jason is the Senior Pastor. Have a prayer need? Want to share something with Pastor Jason? Help spread the gospel through this podcast by subscribing, leaving a review, and sharing this episode.
durée : 00:10:03 - Journal de 9h - Volodymyr Zelenky et ses alliés comptent faire pression sur la Russie pour qu'elle accepte un cessez le feu. Une trentaine de dirigeants de pays européens dont la France et le Royaume-Uni se sont réunis lors d'un sommet a distance à Londres samedi.
durée : 00:10:03 - Journal de 9h - Volodymyr Zelenky et ses alliés comptent faire pression sur la Russie pour qu'elle accepte un cessez le feu. Une trentaine de dirigeants de pays européens dont la France et le Royaume-Uni se sont réunis lors d'un sommet a distance à Londres samedi.
15ème épisode : Originaire de Casablanca, Sanaa Moussaïd se destine à l'expertise comptable dès le lycée. Encouragée par ses enseignants, elle change de filière pour suivre une formation en comptabilité-gestion.
Encouragé par le prix Nobel de la Paix Denis Mukwege, Thierry Michel décide de reprendre sa caméra pour documenter les deux guerres du Congo dont il a déjà croisé de nombreuses victimes. Dans son dernier film « L'Empire du silence », il relaie le plaidoyer du Docteur Mukwege et donne la parole aux témoins des massacres en RDC. Des preuves par l'image, suite au rapport Mapping, publié par les Nations unies en 2010, où sont répertoriés 617 cas graves de crimes contre l'humanité et de crimes de guerre entre 1993 et 2003.Sources sonores :- Discours du prix Nobel de la Paix Denis Mukwege, Oslo, 10 décembre 2018- Entretien avec Thierry Michel et extraits de son film « L'Empire du silence ». Découvrez le site.Émission initialement diffusée en 2023. À lire :- Le rapport mapping des Nations unies- Congo. Une histoire de David Van Reybrouck aux éditions Actes Sud. Les dossiers d'Amnesty International :- RDC : la justice et les libertés en état de siège au Nord Kivu et en Ituri.- Lien vers les pages consacrées à la RDC sur le site d'Amnesty.
Témoignage consommateur de Maryse F., interviewée par Eric lors d'une Visio le 18 Novembre 2024 (version longue enregistrée spécialement pour le podcast).---- Maryse, 66 ans, résidant en Haute-Saône, nous raconte son incroyable expérience avec les produits Kriss-Laure.Il y a 28 ans, alors qu'elle pesait 90 kg pour 1,69 m, Maryse vivait un quotidien difficile, rythmé par des douleurs d'arthrose, des nuits sans sommeil et un inconfort général. Encouragée par une amie de confiance elle-même consommatrice, Maryse décide d'essayer les produits Kriss-Laure, sans hésitation.En seulement un an, elle perd 27 kg, retrouve son énergie, redécouvre le plaisir de danser et transforme radicalement sa qualité de vie. Après une interruption due à des changements personnels, Maryse décide de reprendre en août 2024, et les résultats sont à nouveau au rendez-vous, aussi impressionnants qu'à ses débuts.Aujourd'hui, c'est une femme pétillante que l'on retrouve, pleine de vitalité, et qui se fixe l'objectif d'atteindre une taille 40 tout en s'engageant à maintenir son poids. Pour elle, Kriss-Laure est bien plus qu'une solution : c'est un véritable allié au quotidien.----Gammes consommées : Entremets, Potage, Barres gourmandes---- Inscrivez-vous pour suivre notre prochain webinaire "Enfin dire stop à la reprise de poids", le lundi 03/02/2025 à 20h : https://streamyard.com/watch/xSWa8B4YttwfHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pauline est passionnée et elle est devenue l'une des leader dans son domaine.Elle dirige aujourd'hui un business en pleine ascension qui génère 70 000 € de chiffre d'affaires par mois.Mais au-delà des chiffres, c'est une femme profondément passionnée, authentique et connectée à sa mission.Petite, Pauline était déjà connue de ses proches pour ses fameuses “tambouilles” maison qu'elle concoctait pour ses beaux cheveux. Elle découvre le monde de la coiffure et décide d'en faire son métier.Après cinq ans comme salariée, le COVID bouleverse tout. Encouragée par son compagnon, Pauline se lance dans une formation.Animée par une envie de transmission, elle décide de partager ses astuces et conseils capillaires sur les réseaux sociaux pour aider les femmes à prendre soin de leurs cheveux, à se sentir belles et à regagner confiance en elles.Au début, Pauline jongle entre son CDI et sa nouvelle activité.Elle finit par démissionner pour se consacrer pleinement à son business, qui explose en quelques mois.Aujourd'hui, elle reste fidèle à elle-même : humble, alignée avec ses valeurs et proche de sa communauté.Pauline incarne la simplicité, la bienveillance et la détermination. Et on adore !!!
Tristan Coustès, vétérinaire ostéopathe et marin (ENVA, 2015) au
Laure Lagarde, fondatrice et PDG d'Émilie's Pillow, nous raconte son incroyable parcours entrepreneurial. Après avoir travaillé pendant 8 ans dans l'aéronautique, elle décide de se lancer dans l'aventure de l'entrepreneuriat en 2020, avec un produit innovant : la taie d'oreiller en soie.Malgré son manque d'expérience initiale, Laure connaît un succès fulgurant en France, réalisant 1,5 million d'euros de chiffre d'affaires en moins d'un an. Encouragée par l'un de ses collaborateurs, elle se tourne alors vers le marché américain, un défi de taille mais également une opportunité unique.Grâce à l'aide de la Bpifrance, Laure Lagarde et son équipe se lancent dans une aventure aux États-Unis. Ils effectuent une semaine de repérage à New York, rencontrant de nombreux entrepreneurs locaux et découvrant un état d'esprit entrepreneurial inspirant. Fort de cette expérience, Émilie's Pillow organise un premier pop-up store dans la ville, permettant de nouer des contacts précieux avec la clientèle cible.Installée depuis peu au Canada pour des raisons familiales, Laure Lagarde continue de développer son entreprise sur le marché américain, tirant parti de sa position stratégique. Écoutez ce passionnant récit d'une entrepreneureuse française qui a su saisir sa chance et conquérir de nouveaux horizons.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Laure Lagarde, fondatrice et PDG d'Émilie's Pillow, nous raconte son incroyable parcours entrepreneurial. Après avoir travaillé pendant 8 ans dans l'aéronautique, elle décide de se lancer dans l'aventure de l'entrepreneuriat en 2020, avec un produit innovant : la taie d'oreiller en soie.Malgré son manque d'expérience initiale, Laure connaît un succès fulgurant en France, réalisant 1,5 million d'euros de chiffre d'affaires en moins d'un an. Encouragée par l'un de ses collaborateurs, elle se tourne alors vers le marché américain, un défi de taille mais également une opportunité unique.Grâce à l'aide de la Bpifrance, Laure Lagarde et son équipe se lancent dans une aventure aux États-Unis. Ils effectuent une semaine de repérage à New York, rencontrant de nombreux entrepreneurs locaux et découvrant un état d'esprit entrepreneurial inspirant. Fort de cette expérience, Émilie's Pillow organise un premier pop-up store dans la ville, permettant de nouer des contacts précieux avec la clientèle cible.Installée depuis peu au Canada pour des raisons familiales, Laure Lagarde continue de développer son entreprise sur le marché américain, tirant parti de sa position stratégique. Écoutez ce passionnant récit d'une entrepreneureuse française qui a su saisir sa chance et conquérir de nouveaux horizons.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Découvrez l'histoire de Sacha Distel, un artiste aux multiples facettes. Né dans une famille de musiciens, Sacha Distel a d'abord découvert sa passion pour le jazz, guidé par son oncle, le compositeur Réventura. Après ses débuts dans les clubs parisiens de Saint-Germain-des-Prés, il est consacré meilleur guitariste de jazz français.Mais c'est en tant que chanteur que Sacha Distel connaîtra une renommée bien au-delà du jazz. Encouragé à se lancer dans la chanson, il compose "La Belle Vie", qui deviendra un véritable succès mondial interprété notamment par Frank Sinatra.
A la Paris Games Week qui se tient à Paris Expo, Porte de Versailles, au Sud de la capitale, du 23 au 27 octobre 2024, les fédérations sportives côtoient les références de l'e-sport, comme League of Legends ou Call of Duty. Encouragées par le Comité National Olympique Français (CNOSF), elles exposent les versions numériques ou virtuelles de leurs disciplines. Avec Sylvie Le Maux, vice présidente du Comité National Olympique et Sportif Français, Victor Bertin, Responsable de la transformation numérique au CNOSF, Stéphane Le Long, Directeur du développement de la Fédération Française de Tennis de Table, et Clémence Del Valle, Directrice communication, marketing et commercial de la Fédération Française de Sport Auto. (Enregistrement à la Paris Games Week : mardi 22 octobre 2024. Mise en ligne : vendredi 25 octobre 2024). Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les manifestants qui ont bloqué le pont Jacques-Cartier ont finalement été arrêtés. Un cas de violence conjugale extrême en Estrie. Faits divers avec Maxime Deland, journaliste à l'agence QMI.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Dans les films japonais des années 1950 et 1960, il n'était pas rare de voir des amis ou des collègues de travail entrer dans des bars. Assis en tailleur, autour d'une table basse, ils versaient généreusement, dans de petits bols, le saké contenu dans des bouteilles de céramique. Il s'agissait là d'un véritable rituel.Mais les temps ont changé. En effet, les jeunes ne voient plus les choses de la même manière. Si près du tiers des Japonais de 40 à 60 ans boivent régulièrement, cette proportion descend à 8 % chez les jeunes générations.D'où l'inquiétude du gouvernement. En effet, les taxes sur les boissons alcoolisées n'ont cessé de baisser, représentant 1,7 % des recettes fiscales en 2020, contre 5 % en 1980. Une désaffection pour l'alcool que les habitudes prises durant l'épidémie de Covid ont encore accentuée. Or, la baisse de la consommation d'alcool a entraîné, en 2022, une perte de 48 milliards de yens, soit environ 350 millions d'euros.Face à cette situation, les autorités nipponnes agissent à rebours des autres gouvernements. Au lieu d'inciter sa population à boire moins d'alcool, elles l'encouragent, au contraire, à renouer avec le saké, la bière ou le whisky.Pour relancer la consommation d'alcool, le gouvernement et le fisc n'ont pas hésité à lancer des concours, dont l'un porte le titre évocateur de "saké viva". Surtout destinés à la tranche d'âge des 20-39 ans, ils consistent à susciter des idées sur la manière de rendre les boissons alcoolisées plus attractives.Ainsi, les participants doivent imaginer de nouvelles présentations pour les bouteilles d'alcool, ainsi que de nouvelles stratégies de vente. On leur demande même de réfléchir à la façon dont on pourrait vendre de l'alcool dans les "métavers", ces mondes numériques très appréciés des jeunes Japonais.Les gagnants se verront remettre des prix et ont déjà reçu l'assurance que leurs idées seront mises en pratique.Une politique qui ne choque pas grand monde, dans un pays où la promotion de l'alcool a droit de cité. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La violence politique est-elle une affaire essentiellement américaine? Doit-on accepter que des enseignants soient actifs sur les réseaux sociaux? La rencontre Santarossa-Moranville avec David Santarossa.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Elhousine Elazzaoui est né il y a 32 ans à Zagora, une ville de nomades située dans le désert du sud du Maroc. Issu d'une famille berbère, il a travaillé pour l'agence de voyages de son frère, tout en développant une passion pour la course à pied dès son enfance, en courant dans le désert avec d'autres enfants.Elhousine a commencé à courir dès son plus jeune âge, que ce soit pour aller à l'école, pour s'amuser en courant derrière la caravane scolaire ou pour aider sa famille en parcourant de longues distances pour chercher de l'eau. Sa première participation à une course compétitive remonte à ses 14 ans, lorsqu'il s'est aligné sur une course régionale lors du marché de Zagora. Il a couru sans dossard et en pantalon, remportant la victoire à sa grande surprise.En 2016, il rencontre sa future compagne, une Suissesse, lors de son travail de guide. Encouragé par elle, il décide de se concentrer sur sa carrière sportive et la rejoint en Suisse.Depuis, il vit dans le canton du Tessin, à 2200 mètres d'altitude, et a transformé le trail running en son mode de vie. Cette passion lui a permis de découvrir des endroits incroyables et de rencontrer des personnes qui l'ont beaucoup enrichi.Elhousine s'est rapidement imposé dans le monde du trail, remportant des compétitions prestigieuses comme la Finale des Golden Trail Series, la Dolomyths Run et la StraLugano 10 Km City Run en 2023. Cette même année, il a terminé deuxième à Zegama-Aizkorri et en 2022, il a manqué de peu le podium du Marathon du Mont-Blanc. Cependant, il lui arrive d'éprouver des difficultés avec les conditions météorologiques à Chamonix et l'alimentation pour les courses de plus de 20 km.Initialement autodidacte, il a depuis engagé un coach pour optimiser ses performances. Il excelle aussi bien sur les sentiers que sur le béton, capable de courir 10 km en moins de 30 minutes.Elhousine a rejoint le team Nnormal et s'inspire de son idole, Kilian Jornet, dont il apprécie les conseils et le soutien, ainsi que son engagement envers la planète.Il revient plus particulièrement dans cet épisode sur sa participation aux 42km du Mont-Blanc, qui s'est soldée par une brillante victoire aux dépends de Rémi Bonnet.Elhousine c'est le mélange rêvé de gentillesse, d'humilité, d'attention et de performance au plus haut niveau. Courez le découvrir.Bonne écoute !***Course Épique, c'est le podcast running et trail qui vous fait vivre dans chaque épisode une histoire de course à pied hors du commun.Pour ne rien manquer de notre actualité et vivre les coulisses du podcast, suivez-nous sur Instagram : https://www.instagram.com/courseepique.podcast/Retrouvez également Course Epique en vidéo sur YouTube : https://bit.ly/courseepique_youtubeCourse Épique, un podcast imaginé et animé par Guillaume Lalu et produit par Sportcast Studios Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:03:10 - Géopolitique - Encouragé par le succès du RN en France, le premier ministre hongrois rêve de voir ceux qu'il appelle « les patriotes » majoritaires dans « tout le monde occidental », de Paris ou Washington. Un projet politique qu'il faut prendre au sérieux alors qu'il tente de fédérer les extrêmes-droites.
durée : 00:03:10 - Géopolitique - Encouragé par le succès du RN en France, le premier ministre hongrois rêve de voir ceux qu'il appelle « les patriotes » majoritaires dans « tout le monde occidental », de Paris ou Washington. Un projet politique qu'il faut prendre au sérieux alors qu'il tente de fédérer les extrêmes-droites.
Anthony Morel vous fait découvrir toutes les nouveautés technos.
Anthony Morel vous fait découvrir toutes les nouveautés technos.
Spéciale Meryl Streep, à l'occasion du docu. "Meryl Streep : Mystères et métamorphoses" de Charles-Antoine de Rouvre, à voir sur arte.tv jusqu'au 16/09/2024. "Le choix de Sophie", "Out of Africa", "Sur la route de Madison"... : en près d'un demi-siècle de carrière, Meryl Streep est devenue, grâce à des prestations inoubliables, l'une des actrices américaines les plus récompensées. Le portrait sensible d'une star à la trajectoire hors norme. Pour elle, tout commence dans une coquette banlieue du New Jersey. Encouragée par une mère artiste à développer son joli timbre de soprano, Meryl Streep s'imagine devenir cantatrice. En parallèle, elle n'hésite pas à se teindre les cheveux pour gagner sa place dans le club de pom-pom girls du lycée, dont elle est élue "reine" au bal de fin d'année. Mais sa découverte des classiques du théâtre lui fait prendre une autre voie. Diplômée de l'école d'art dramatique de l'université Yale, elle fait ses premiers pas sur les planches à New York. Elle se produit aussi bien à Broadway que sur des scènes plus confidentielles et se fait remarquer par son incroyable capacité à se métamorphoser d'un rôle à l'autre. Puis le cinéma lui ouvre ses portes. De Voyage au bout de l'enfer, dont elle rejoint le casting pour veiller sur John Cazale, son compagnon atteint d'un cancer, à Mamma Mia !, dans lequel, à 59 ans, elle se déhanche sur les tubes d'Abba, en passant par Le choix de Sophie, Out of Africa, Sur la route de Madison ou Le diable s'habille en Prada, Meryl Streep a su faire les bons choix pour suivre une trajectoire hors norme. On en parle avec Dick Tomasovic, chargé de cours en histoire et esthétique du cinéma et des arts du spectacle à l'ULg. Le talk-show culturel de Jérôme Colin. Avec, dès 11h30, La Bagarre dans la Discothèque, un jeu musical complétement décalé où la créativité et la mauvaise foi font loi. À partir de midi, avec une belle bande de chroniqueurs, ils explorent ensemble tous les pans de la culture belge et internationale sans sacralisation, pour découvrir avec simplicité, passion et humour. Merci pour votre écoute Entrez sans Frapper c'est également en direct tous les jours de la semaine de 11h30 à 13h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Entrez sans Frapper sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/8521 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Les sorties BD de Xavier Vanbuggenhout : - « Ernestine » de Salomé Lahoche (Éditions Même Pas Mal) - « Autreville » de David De Thuin (Sarbacane) Spéciale Meryl Streep, à l'occasion du docu. "Meryl Streep : Mystères et métamorphoses" de Charles-Antoine de Rouvre, à voir sur arte.tv jusqu'au 16/09/2024. "Le choix de Sophie", "Out of Africa", "Sur la route de Madison"... : en près d'un demi-siècle de carrière, Meryl Streep est devenue, grâce à des prestations inoubliables, l'une des actrices américaines les plus récompensées. Le portrait sensible d'une star à la trajectoire hors norme. Pour elle, tout commence dans une coquette banlieue du New Jersey. Encouragée par une mère artiste à développer son joli timbre de soprano, Meryl Streep s'imagine devenir cantatrice. En parallèle, elle n'hésite pas à se teindre les cheveux pour gagner sa place dans le club de pom-pom girls du lycée, dont elle est élue "reine" au bal de fin d'année. Mais sa découverte des classiques du théâtre lui fait prendre une autre voie. Diplômée de l'école d'art dramatique de l'université Yale, elle fait ses premiers pas sur les planches à New York. Elle se produit aussi bien à Broadway que sur des scènes plus confidentielles et se fait remarquer par son incroyable capacité à se métamorphoser d'un rôle à l'autre. Puis le cinéma lui ouvre ses portes. De Voyage au bout de l'enfer, dont elle rejoint le casting pour veiller sur John Cazale, son compagnon atteint d'un cancer, à Mamma Mia !, dans lequel, à 59 ans, elle se déhanche sur les tubes d'Abba, en passant par Le choix de Sophie, Out of Africa, Sur la route de Madison ou Le diable s'habille en Prada, Meryl Streep a su faire les bons choix pour suivre une trajectoire hors norme. On en parle avec Dick Tomasovic, chargé de cours en histoire et esthétique du cinéma et des arts du spectacle à l'ULg. "Machins Machines" d'Hélène Maquet : 4 personnes sur 10 évitent parfois ou souvent de regarder/écouter les infos. Le talk-show culturel de Jérôme Colin. Avec, dès 11h30, La Bagarre dans la Discothèque, un jeu musical complétement décalé où la créativité et la mauvaise foi font loi. À partir de midi, avec une belle bande de chroniqueurs, ils explorent ensemble tous les pans de la culture belge et internationale sans sacralisation, pour découvrir avec simplicité, passion et humour. Merci pour votre écoute Entrez sans Frapper c'est également en direct tous les jours de la semaine de 11h30 à 13h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Entrez sans Frapper sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/8521 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Selon une enquête de Reuters, le Pentagone aurait mis sur pied une campagne anti-vaccination contre la COVID-19. En France, la gauche parvient à s'entendre en vue des législatives. G7: la Chine au centre des discussions. On surveille ce week-end les négociations de paix en Suisse sur l'Ukraine. Chronique internationale avec Loïc Tassé, spécialiste en politique internationale Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Dans tout ce qu'elle vit, Jeanne Pierson marche sous le regard de Dieu. Cela se traduit de mille façons, y compris par un pèlerinage de Genève à Jérusalem. A pied, bien entendu...Jeanne Pierson est une jeune femme en marche, dans tous les sens du terme ! Au point de s'être lancée, à fin 2021, dans l'aventure d'un pélerinage pour relier Genève à Jérusalem. Traductrice de profession, la jeune femme souhaitait vivre une expérience en dehors d'une vie normale, remplie de toutes sortes d'activités. Elle a voyagé léger, désirant expérimenter la Providence divine : "Ce qui m'a vraiment marquée dans ce périple, ce sont les rencontres. A travers les gens que je rencontrais, j'ai eu l'impression d'avoir pu avancer un peu plus profondément dans la connaissance de Dieu. J'avais conscience que ce n'était pas un hasard, de croiser chacune de ces personnes. Aucune des rencontres de nos vies n'arrive par hasard, en fait…" A son retour, ne sachant pas toujours comment répondre à celles et ceux qui lui demandaient de raconter son pèlerinage, Jeanne décide d'organiser des soirées avec ses proches et amis pour faire lecture des quelques histoires écrites en chemin. Encouragée à en raconter d'autres encore, Jeanne finit par envisager l'écriture d'un livre, dont le titre s'est comme imposé à elle, A la rencontre de Ta face; récits de voyage.Ce périple a laissé une empreinte très profonde dans la vie de la jeune marcheuse : "Je suis encore dans le processus de découverte de tout ce que ce voyage m'a apporté. Et ça durera jusqu'à la fin de ma vie ! Maintenant, j'ai une énorme confiance dans le fait que Dieu est toujours là pour nous, qu'il sait ce dont on a besoin et qu'il pourvoit. Et parfois, ce dont on a besoin n'est pas ce que l'on pense", ajoute-elle en citant des anecdotes amusantes.Jeanne poursuit donc l'aventure avec Dieu dans ses nombreuses activités, dont du coaching (www.cime-coaching.com) et la pratique du chant. Avec des amis, elle a d'ailleurs co-fondé Helvetia Cantic, une association qui rassemble des jeunes entre 18 et 35 ans désirant se former en chant litugique et glorifier Dieu par leur voix.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au bord de la mer, dans le quartier de la Vieille-Chapelle à Marseille, Marion Mailaender nous ouvre les portes de sa maison au jardin lumineux et à la salle de bain spacieuse – « [s]a pièce préférée ». Après vingt-trois ans à Paris, la designer et architecte d'intérieur a vendu tous ses meubles et quitté son appartement pour un retour aux sources.Dans le 8e arrondissement de la cité phocéenne, elle a grandi dans une famille où « personne n'est artiste ». Son père comptable et sa mère dermatologue lui transmettent toutefois un goût pour le design et les objets. De son enfance, elle garde des souvenirs d'espaces qui l'entourent : l'architecture singulière de la Cité radieuse, les tomettes au sol de sa maison d'enfance, la salle de bain kitsch aux robinets vert pomme de sa tante…Ado, sa passion pour le dessin, la peinture et la fabrication d'objets la mène en stage au Musée d'art contemporain de Marseille. Elle y découvre une exposition consacrée au mouvement Fluxus qui la marque « à tout jamais ». Encouragée par un professeur, elle réussit le concours de l'école Boulle à 18 ans et s'installe à Paris, un monde fantastique et cosmopolite où elle étudie auprès « d'esprits libres et créatifs ».A l'origine du Tuba Club, restaurant de plage niché au-dessus des calanques marseillaises, et de l'ancienne boutique de chaussures parisienne d'Amélie Pichard, Marion Mailaender aménage également des logements de particuliers, un travail au cœur de l'intime où l'architecte observe comment vivent les gens.Depuis cinq saisons, la journaliste et productrice Géraldine Sarratia interroge la construction et les méandres du goût d'une personnalité. Qu'ils ou elles soient créateurs, artistes, cuisiniers ou intellectuels, tous convoquent leurs souvenirs d'enfance, tous évoquent la dimension sociale et culturelle de la construction d'un corpus de goûts, d'un ensemble de valeurs.Un podcast produit et présenté par Géraldine Sarratia (Genre idéal) préparé avec l'aide de Diane Lisarelli et Johanna SebanRéalisation : Guillaume GiraultMusique : Gotan Project
Éclipsé par la crise en Nouvelle-Calédonie et l'attaque d'un fourgon pénitentiaire de l'Eure, le sujet de l'assurance-chômage pourrait bien revenir sur le devant de la scène cette semaine. Encouragé par la stabilité des chiffres du chômage, le gouvernement va procéder à un nouveau tour de vis.
Éclipsé par la crise en Nouvelle-Calédonie et l'attaque d'un fourgon pénitentiaire de l'Eure, le sujet de l'assurance-chômage pourrait bien revenir sur le devant de la scène cette semaine. Encouragé par la stabilité des chiffres du chômage, le gouvernement va procéder à un nouveau tour de vis.
Have you ever wondered why some people view God as hateful and angry rather than compassionate and loving? However, the Bible and history attest to God's unwavering faithfulness to those who look to Him. Connect with us: YouTube: YouTube.com/@soul02-oxygen Facebook: @LP.Oxygen https://www.facebook.com/LP.Oxygen Instagram: LP.Oxygen Twitter: @Soul025 Buzzsprout: Soul02-Buzzsprout Spotify: Soul02 - Spotify Apple: Soul02-Itunes Stitcher: Soul02-Stitcher
This Sunday, co-lead pastor Alex Leyva walked us through Colossians 1:24-2:5. In these verses, the main takeaway is that we would labor for God to be known in our lives and in the lives of others. Paul writes to the church at Colossae, rejoicing in his suffering and labor for the hope of glory, the Gospel of Jesus Christ. He also labors for wisdom and knowledge, for the church to be mature in Christ. Therefore, love and encouragement come from a deep-rooted understanding of the Gospel of Christ. Maturing in Christ matters because we are able to distinguish from seemingly reasonable false teachings. How do we grow in our maturity? Through spiritual disciples! We labor to spend time with God and grow with him.
Ce mercredi 3 avril, la réclamation de différents États d'Amérique du Sud pour un aménagement de la législation européenne anti-déforestation lié à la culture de la coca a été abordée par Benaouda Abdeddaïm dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier et Christophe Jakubyszyn, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
A dramatic reading by Jason Louv of the 1819 poem "The Fall of Hyperion—A Dream" by John Keats, set to music by Jason. Not uncommon for the 19th century, it is awash in occult and Hermetic symbolism. Show Links Magick.Me Magick.Me's Fast-Growing YouTube Channel: Like and Subscribe!!! The full text of the poem follows: "The Fall of Hyperion—A Dream" John Keats CANTO I Fanatics have their dreams, wherewith they weave A paradise for a sect; the savage too From forth the loftiest fashion of his sleep Guesses at Heaven; pity these have not Trac'd upon vellum or wild Indian leaf The shadows of melodious utterance. But bare of laurel they live, dream, and die; For Poesy alone can tell her dreams, With the fine spell of words alone can save Imagination from the sable charm And dumb enchantment. Who alive can say, 'Thou art no Poet may'st not tell thy dreams?' Since every man whose soul is not a clod Hath visions, and would speak, if he had loved And been well nurtured in his mother tongue. Whether the dream now purpos'd to rehearse Be poet's or fanatic's will be known When this warm scribe my hand is in the grave. Methought I stood where trees of every clime, Palm, myrtle, oak, and sycamore, and beech, With plantain, and spice blossoms, made a screen; In neighbourhood of fountains, by the noise Soft showering in my ears, and, by the touch Of scent, not far from roses. Turning round I saw an arbour with a drooping roof Of trellis vines, and bells, and larger blooms, Like floral censers swinging light in air; Before its wreathed doorway, on a mound Of moss, was spread a feast of summer fruits, Which, nearer seen, seem'd refuse of a meal By angel tasted or our Mother Eve; For empty shells were scattered on the grass, And grape stalks but half bare, and remnants more, Sweet smelling, whose pure kinds I could not know. Still was more plenty than the fabled horn Thrice emptied could pour forth, at banqueting For Proserpine return'd to her own fields, Where the white heifers low. And appetite More yearning than on earth I ever felt Growing within, I ate deliciously; And, after not long, thirsted, for thereby Stood a cool vessel of transparent juice Sipp'd by the wander'd bee, the which I took, And, pledging all the mortals of the world, And all the dead whose names are in our lips, Drank. That full draught is parent of my theme. No Asian poppy nor elixir fine Of the soon fading jealous Caliphat, No poison gender'd in close monkish cell To thin the scarlet conclave of old men, Could so have rapt unwilling life away. Among the fragrant husks and berries crush'd, Upon the grass I struggled hard against The domineering potion; but in vain: The cloudy swoon came on, and down I sunk Like a Silenus on an antique vase. How long I slumber'd 'tis a chance to guess. When sense of life return'd, I started up As if with wings; but the fair trees were gone, The mossy mound and arbour were no more: I look'd around upon the carved sides Of an old sanctuary with roof august, Builded so high, it seem'd that filmed clouds Might spread beneath, as o'er the stars of heaven; So old the place was, I remember'd none The like upon the earth: what I had seen Of grey cathedrals, buttress'd walls, rent towers, The superannuations of sunk realms, Or Nature's rocks toil'd hard in waves and winds, Seem'd but the faulture of decrepit things To that eternal domed monument. Upon the marble at my feet there lay Store of strange vessels and large draperies, Which needs had been of dyed asbestos wove, Or in that place the moth could not corrupt, So white the linen, so, in some, distinct Ran imageries from a sombre loom. All in a mingled heap confus'd there lay Robes, golden tongs, censer and chafing dish, Girdles, and chains, and holy jewelries. Turning from these with awe, once more I rais'd My eyes to fathom the space every way; The embossed roof, the silent massy range Of columns north and south, ending in mist Of nothing, then to eastward, where black gates Were shut against the sunrise evermore. Then to the west I look'd, and saw far off An image, huge of feature as a cloud, At level of whose feet an altar slept, To be approach'd on either side by steps, And marble balustrade, and patient travail To count with toil the innumerable degrees. Towards the altar sober paced I went, Repressing haste, as too unholy there; And, coming nearer, saw beside the shrine One minist'ring; and there arose a flame. When in mid May the sickening East wind Shifts sudden to the south, the small warm rain Melts out the frozen incense from all flowers, And fills the air with so much pleasant health That even the dying man forgets his shroud; Even so that lofty sacrificial fire, Sending forth Maian incense, spread around Forgetfulness of everything but bliss, And clouded all the altar with soft smoke, From whose white fragrant curtains thus I heard Language pronounc'd: 'If thou canst not ascend 'These steps, die on that marble where thou art. 'Thy flesh, near cousin to the common dust, 'Will parch for lack of nutriment thy bones 'Will wither in few years, and vanish so 'That not the quickest eye could find a grain 'Of what thou now art on that pavement cold. 'The sands of thy short life are spent this hour, 'And no hand in the universe can turn 'Thy hourglass, if these gummed leaves be burnt 'Ere thou canst mount up these immortal steps.' I heard, I look'd: two senses both at once, So fine, so subtle, felt the tyranny Of that fierce threat and the hard task proposed. Prodigious seem'd the toil, the leaves were yet Burning when suddenly a palsied chill Struck from the paved level up my limbs, And was ascending quick to put cold grasp Upon those streams that pulse beside the throat: I shriek'd; and the sharp anguish of my shriek Stung my own ears I strove hard to escape The numbness; strove to gain the lowest step. Slow, heavy, deadly was my pace: the cold Grew stifling, suffocating, at the heart; And when I clasp'd my hands I felt them not. One minute before death, my iced foot touch'd The lowest stair; and as it touch'd, life seem'd To pour in at the toes: I mounted up, As once fair angels on a ladder flew From the green turf to Heaven. 'Holy Power,' Cried I, approaching near the horned shrine, 'What am I that should so be saved from death? 'What am I that another death come not 'To choke my utterance sacrilegious here?' Then said the veiled shadow 'Thou hast felt 'What 'tis to die and live again before 'Thy fated hour. That thou hadst power to do so 'Is thy own safety; thou hast dated on 'Thy doom.' 'High Prophetess,' said I, 'purge off, 'Benign, if so it please thee, my mind's film.' 'None can usurp this height,' return'd that shade, 'But those to whom the miseries of the world 'Are misery, and will not let them rest. 'All else who find a haven in the world, 'Where they may thoughtless sleep away their days, 'If by a chance into this fane they come, 'Rot on the pavement where thou rottedst half.' 'Are there not thousands in the world,' said I, Encourag'd by the sooth voice of the shade, 'Who love their fellows even to the death; 'Who feel the giant agony of the world; 'And more, like slaves to poor humanity, 'Labour for mortal good? I sure should see 'Other men here; but I am here alone.' 'Those whom thou spak'st of are no vision'ries,' Rejoin'd that voice; 'they are no dreamers weak; 'They seek no wonder but the human face, 'No music but a happy noted voice; 'They come not here, they have no thought to come; 'And thou art here, for thou art less than they: 'What benefit canst thou do, or all thy tribe, 'To the great world? Thou art a dreaming thing, 'A fever of thyself think of the Earth; 'What bliss even in hope is there for thee? 'What haven? every creature hath its home; 'Every sole man hath days of joy and pain, 'Whether his labours be sublime or low 'The pain alone; the joy alone; distinct: 'Only the dreamer venoms all his days, 'Bearing more woe than all his sins deserve. 'Therefore, that happiness be somewhat shar'd, 'Such things as thou art are admitted oft 'Into like gardens thou didst pass erewhile, 'And suffer'd in these temples: for that cause 'Thou standest safe beneath this statue's knees.' 'That I am favour'd for unworthiness, 'By such propitious parley medicin'd 'In sickness not ignoble, I rejoice, 'Aye, and could weep for love of such award.' So answer'd I, continuing, 'If it please, 'Majestic shadow, tell me: sure not all 'Those melodies sung into the world's ear 'Are useless: sure a poet is a sage; 'A humanist, physician to all men. 'That I am none I feel, as vultures feel 'They are no birds when eagles are abroad. 'What am I then? Thou spakest of my tribe: 'What tribe?' The tall shade veil'd in drooping white Then spake, so much more earnest, that the breath Moved the thin linen folds that drooping hung About a golden censer from the hand Pendent. 'Art thou not of the dreamer tribe? 'The poet and the dreamer are distinct, 'Diverse, sheer opposite, antipodes. 'The one pours out a balm upon the world, 'The other vexes it.' Then shouted I Spite of myself, and with a Pythia's spleen, 'Apollo! faded! O far flown Apollo! 'Where is thy misty pestilence to creep 'Into the dwellings, through the door crannies 'Of all mock lyrists, large self worshipers, 'And careless Hectorers in proud bad verse. 'Though I breathe death with them it will be life 'To see them sprawl before me into graves. 'Majestic shadow, tell me where I am, 'Whose altar this; for whom this incense curls; 'What image this whose face I cannot see, 'For the broad marble knees; and who thou art, 'Of accent feminine so courteous?' Then the tall shade, in drooping linens veil'd, Spoke out, so much more earnest, that her breath Stirr'd the thin folds of gauze that drooping hung About a golden censer from her hand Pendent; and by her voice I knew she shed Long treasured tears. 'This temple, sad and lone, 'Is all spar'd from the thunder of a war 'Foughten long since by giant hierarchy 'Against rebellion: this old image here, 'Whose carved features wrinkled as he fell, 'Is Saturn's; I Moneta, left supreme 'Sole priestess of this desolation.' I had no words to answer, for my tongue, Useless, could find about its roofed home No syllable of a fit majesty To make rejoinder to Moneta's mourn. There was a silence, while the altar's blaze Was fainting for sweet food: I look'd thereon, And on the paved floor, where nigh were piled Faggots of cinnamon, and many heaps Of other crisped spice wood then again I look'd upon the altar, and its horns Whiten'd with ashes, and its lang'rous flame, And then upon the offerings again; And so by turns till sad Moneta cried, 'The sacrifice is done, but not the less 'Will I be kind to thee for thy good will. 'My power, which to me is still a curse, 'Shall be to thee a wonder; for the scenes 'Still swooning vivid through my globed brain 'With an electral changing misery 'Thou shalt with those dull mortal eyes behold, 'Free from all pain, if wonder pain thee not.' As near as an immortal's sphered words Could to a mother's soften, were these last: And yet I had a terror of her robes, And chiefly of the veils, that from her brow Hung pale, and curtain'd her in mysteries That made my heart too small to hold its blood. This saw that Goddess, and with sacred hand Parted the veils. Then saw I a wan face, Not pin'd by human sorrows, but bright blanch'd By an immortal sickness which kills not; It works a constant change, which happy death Can put no end to; deathwards progressing To no death was that visage; it had pass'd The lily and the snow; and beyond these I must not think now, though I saw that face But for her eyes I should have fled away. They held me back, with a benignant light Soft mitigated by divinest lids Half closed, and visionless entire they seem'd Of all external things; they saw me not, But in blank splendour beam'd like the mild moon, Who comforts those she sees not, who knows not What eyes are upward cast. As I had found A grain of gold upon a mountain side, And twing'd with avarice strain'd out my eyes To search its sullen entrails rich with ore, So at the view of sad Moneta's brow I ach'd to see what things the hollow brain Behind enwombed: what high tragedy In the dark secret chambers of her skull Was acting, that could give so dread a stress To her cold lips, and fill with such a light Her planetary eyes, and touch her voice With such a sorrow 'Shade of Memory!' Cried I, with act adorant at her feet, 'By all the gloom hung round thy fallen house, 'By this last temple, by the golden age, 'By great Apollo, thy dear Foster Child, 'And by thyself, forlorn divinity, 'The pale Omega of a withered race, 'Let me behold, according as thou saidst, 'What in thy brain so ferments to and fro!' No sooner had this conjuration pass'd My devout lips, than side by side we stood (Like a stunt bramble by a solemn pine) Deep in the shady sadness of a vale, Far sunken from the healthy breath of morn, Far from the fiery noon and eve's one star. Onward I look'd beneath the gloomy boughs, And saw, what first I thought an image huge, Like to the image pedestal'd so high In Saturn's temple. Then Moneta's voice Came brief upon mine ear 'So Saturn sat When he had lost his realms ' whereon there grew A power within me of enormous ken To see as a god sees, and take the depth Of things as nimbly as the outward eye Can size and shape pervade. The lofty theme At those few words hung vast before my mind, With half unravel'd web. I set myself Upon an eagle's watch, that I might see, And seeing ne'er forget. No stir of life Was in this shrouded vale, not so much air As in the zoning of a summer's day Robs not one light seed from the feather'd grass, But where the dead leaf fell there did it rest. A stream went voiceless by, still deaden'd more By reason of the fallen divinity Spreading more shade; the Naiad 'mid her reeds Press'd her cold finger closer to her lips. Along the margin sand large footmarks went No farther than to where old Saturn's feet Had rested, and there slept, how long a sleep! Degraded, cold, upon the sodden ground His old right hand lay nerveless, listless, dead, Unsceptred; and his realmless eyes were clos'd, While his bow'd head seem'd listening to the Earth, His ancient mother, for some comfort yet. It seem'd no force could wake him from his place; But there came one who with a kindred hand Touch'd his wide shoulders after bending low With reverence, though to one who knew it not. Then came the griev'd voice of Mnemosyne, And griev'd I hearken'd. 'That divinity 'Whom thou saw'st step from yon forlornest wood, 'And with slow pace approach our fallen King, 'Is Thea, softest natur'd of our brood.' I mark'd the Goddess in fair statuary Surpassing wan Moneta by the head, And in her sorrow nearer woman's tears. There was a listening fear in her regard, As if calamity had but begun; As if the vanward clouds of evil days Had spent their malice, and the sullen rear Was with its stored thunder labouring up. One hand she press'd upon that aching spot Where beats the human heart, as if just there, Though an immortal, she felt cruel pain; The other upon Saturn's bended neck She laid, and to the level of his hollow ear Leaning with parted lips, some words she spake In solemn tenor and deep organ tune; Some mourning words, which in our feeble tongue Would come in this like accenting; how frail To that large utterance of the early Gods! 'Saturn! look up and for what, poor lost King? 'I have no comfort for thee; no not one; 'I cannot cry, Wherefore thus sleepest thou? 'For Heaven is parted from thee, and the Earth 'Knows thee not, so afflicted, for a God; 'And Ocean too, with all its solemn noise, 'Has from thy sceptre pass'd, and all the air 'Is emptied of thine hoary majesty: 'Thy thunder, captious at the new command, 'Rumbles reluctant o'er our fallen house; 'And thy sharp lightning, in unpracticed hands, 'Scorches and burns our once serene domain. 'With such remorseless speed still come new woes, 'That unbelief has not a space to breathe. 'Saturn! sleep on: Me thoughtless, why should I 'Thus violate thy slumbrous solitude? 'Why should I ope thy melancholy eyes? 'Saturn, sleep on, while at thy feet I weep.' As when upon a tranced summer night Forests, branch charmed by the earnest stars, Dream, and so dream all night without a noise, Save from one gradual solitary gust, Swelling upon the silence; dying off; As if the ebbing air had but one wave; So came these words, and went; the while in tears She press'd her fair large forehead to the earth, Just where her fallen hair might spread in curls A soft and silken mat for Saturn's feet. Long, long those two were postured motionless, Like sculpture builded up upon the grave Of their own power. A long awful time I look'd upon them: still they were the same; The frozen God still bending to the earth, And the sad Goddess weeping at his feet, Moneta silent. Without stay or prop But my own weak mortality, I bore The load of this eternal quietude, The unchanging gloom, and the three fixed shapes Ponderous upon my senses, a whole moon. For by my burning brain I measured sure Her silver seasons shedded on the night, And ever day by day methought I grew More gaunt and ghostly. Oftentimes I pray'd Intense, that Death would take me from the vale And all its burthens gasping with despair Of change, hour after hour I curs'd myself; Until old Saturn rais'd his faded eyes, And look'd around and saw his kingdom gone, And all the gloom and sorrow of the place, And that fair kneeling Goddess at his feet. As the moist scent of flowers, and grass, and leaves Fills forest dells with a pervading air, Known to the woodland nostril, so the words Of Saturn fill'd the mossy glooms around, Even to the hollows of time eaten oaks And to the windings of the foxes' hole, With sad low tones, while thus he spake, and sent Strange musings to the solitary Pan. 'Moan, brethren, moan; for we are swallow'd up 'And buried from all Godlike exercise 'Of influence benign on planets pale, 'And peaceful sway above man's harvesting, 'And all those acts which Deity supreme 'Doth ease its heart of love in. Moan and wail, 'Moan, brethren, moan; for lo, the rebel spheres 'Spin round, the stars their ancient courses keep, 'Clouds still with shadowy moisture haunt the earth, 'Still suck their fill of light from sun and moon, 'Still buds the tree, and still the sea shores murmur; 'There is no death in all the Universe, 'No smell of death there shall be death Moan, moan, 'Moan, Cybele, moan; for thy pernicious babes 'Have changed a God into a shaking Palsy. 'Moan, brethren, moan, for I have no strength left, 'Weak as the reed weak feeble as my voice 'O, O, the pain, the pain of feebleness. 'Moan, moan, for still I thaw or give me help; 'Throw down those imps, and give me victory. 'Let me hear other groans, and trumpets blown 'Of triumph calm, and hymns of festival 'From the gold peaks of Heaven's high piled clouds; 'Voices of soft proclaim, and silver stir 'Of strings in hollow shells; and let there be 'Beautiful things made new, for the surprise 'Of the sky children.' So he feebly ceas'd, With such a poor and sickly sounding pause, Methought I heard some old man of the earth Bewailing earthly loss; nor could my eyes And ears act with that pleasant unison of sense Which marries sweet sound with the grace of form, And dolorous accent from a tragic harp With large limb'd visions. More I scrutinized: Still fix'd he sat beneath the sable trees, Whose arms spread straggling in wild serpent forms, With leaves all hush'd; his awful presence there (Now all was silent) gave a deadly lie To what I erewhile heard only his lips Trembled amid the white curls of his beard. They told the truth, though, round, the snowy locks Hung nobly, as upon the face of heaven A mid day fleece of clouds. Thea arose, And stretched her white arm through the hollow dark, Pointing some whither: whereat he too rose Like a vast giant, seen by men at sea To grow pale from the waves at dull midnight. They melted from my sight into the woods; Ere I could turn, Moneta cried, 'These twain 'Are speeding to the families of grief, 'Where roof'd in by black rocks they waste, in pain 'And darkness, for no hope.' And she spake on, As ye may read who can unwearied pass Onward from the antechamber of this dream, Where even at the open doors awhile I must delay, and glean my memory Of her high phrase: perhaps no further dare. CANTO II 'Mortal, that thou may'st understand aright, 'I humanize my sayings to thine ear, 'Making comparisons of earthly things; 'Or thou might'st better listen to the wind, 'Whose language is to thee a barren noise, 'Though it blows legend laden through the trees. 'In melancholy realms big tears are shed, 'More sorrow like to this, and such like woe, 'Too huge for mortal tongue, or pen of scribe. 'The Titans fierce, self hid or prison bound, 'Groan for the old allegiance once more, 'Listening in their doom for Saturn's voice. 'But one of our whole eagle brood still keeps 'His sov'reignty, and rule, and majesty; 'Blazing Hyperion on his orbed fire 'Still sits, still snuffs the incense teeming up 'From man to the sun's God: yet unsecure, 'For as upon the earth dire prodigies 'Fright and perplex, so also shudders he: 'Nor at dog's howl or gloom bird's Even screech, 'Or the familiar visitings of one 'Upon the first toll of his passing bell: 'But horrors, portioned to a giant nerve, 'Make great Hyperion ache. His palace bright, 'Bastion'd with pyramids of glowing gold, 'And touch'd with shade of bronzed obelisks, 'Glares a blood red through all the thousand courts, 'Arches, and domes, and fiery galleries: 'And all its curtains of Aurorian clouds 'Flush angerly; when he would taste the wreaths 'Of incense breath'd aloft from sacred hills, 'Instead of sweets his ample palate takes 'Savour of poisonous brass and metals sick. 'Wherefore when harbour'd in the sleepy West, 'After the full completion of fair day, 'For rest divine upon exalted couch 'And slumber in the arms of melody, 'He paces through the pleasant hours of ease 'With strides colossal, on from hall to hall; 'While far within each aisle and deep recess 'His winged minions in close clusters stand 'Amaz'd, and full of fear; like anxious men, 'Who on a wide plain gather in sad troops, 'When earthquakes jar their battlements and towers. 'Even now, while Saturn, roused from icy trance, 'Goes step for step with Thea from yon woods, 'Hyperion, leaving twilight in the rear, 'Is sloping to the threshold of the West. 'Thither we tend.' Now in clear light I stood, Reliev'd from the dusk vale. Mnemosyne Was sitting on a square edg'd polish'd stone, That in its lucid depth reflected pure Her priestess garments. My quick eyes ran on From stately nave to nave, from vault to vault, Through bow'rs of fragrant and enwreathed light And diamond paved lustrous long arcades. Anon rush'd by the bright Hyperion; His flaming robes stream'd out beyond his heels, And gave a roar, as if of earthly fire, That scared away the meek ethereal hours And made their dove wings tremble. On he flared. THE END 1819
Aujourd'hui, Hervé vous emmène à la rencontre de Thibaud Vouge, menuisier parisien, créateur de l'Atelier du Renard. Encouragé par ses parents à suivre des études tant qu'il n'avait pas trouvé sa voie, Thibaud termine son cursus dans une école de commerce qui lui permet de travailler dans le marketing et la communication mais sans conviction ni plaisir. À la faveur d'une rupture conventionnelle, Thibaud s'oriente vers la menuiserie qui représente à ses yeux un compromis intéressant entre technique et créativité. Il suit une formation courte qu'il complète sur le terrain en travaillant pour un artisan puis en partageant l'atelier de menuisiers expérimentés. Assez vite s'impose l'idée d'avoir sa propre entreprise qu'il installe dans le 13e arrondissement de Paris puis à Antony en banlieue sud. Il n'y a qu'à voir Thibaud évoluer dans son atelier pour deviner qu'on est sur son terrain de jeu favori. Thibaud aime les bons et beaux outils, qui au-delà de la qualité d'exécution, donnent envie de s'en servir et du cœur à l'ouvrage mais il apprécie toutes les facettes de son métier, de la relation avec ses clients au perfectionnement du geste. REPÈRES Visite de l'atelier (2:00). La nécessité de créer son entreprise (5:25). L'accueil des apprentis et la transmission (7:35). Un métier aux tâches variées (10:15). Un travail bien fait (12:40). Les sources de satisfaction de Thibaud (15:20). Faire la part des choses entre passion et travail (18:35). Production : Stereolab – Musique : Blue Dot Sessions. Retrouvez l'actualité de Travail soigné via les comptes Stereolab.fr sur Instagram, Twitter et Facebook et n'hésitez pas à envoyer vos suggestions pour de prochains épisodes à hello@stereolab.fr Merci de votre soutien sur votre plateforme d'écoute préférée (un abonnement, 5 étoiles, des petits cœurs, un commentaire sympa) ainsi que sur Podmust.com
#SessionLive au féminin pluriel avec deux artistes caribéennes avec la trinidadienne Queen Omega, véritable icône du reggae-dancehall et la prêtresse vaudou haïtienne Moonlight Benjamin. (Rediffusion) Notre 1ère invitée est Queen Omega, à l'occasion de la sortie de Freedom Legacy #trinidadytobago #dancehallQueen Omega, de son vrai nom Jeneile Osborne, est née à San Fernando, à Trinité et Tobago, une île des Caraïbes, au nord du Venezuela.Encouragée par sa mère, Queen a commencé dans des spectacles de talents dès l'âge de 9 ans en écrivant ses propres sons de Calypso, et en rappant sur des chaînes nationales de télévision.Quelques années plus tard, elle chante dans les chœurs pour un producteur local du nom de Kenny Phillips, ce qui lui permet d'accompagner plusieurs des meilleurs artistes de Soca de Trinidad, sur scène et en studio.Élevée dans une famille de mélomanes, musiciens, elle grandit en écoutant des artistes soul comme Aretha Franklin, Anita Baker et Whitney Houston, mais aussi du jazz et des musiques traditionnelles de son île natale. Des fondations qui ont une influence primordiale dans sa future carrière de chanteuse, même si en grandissant ses styles préférés deviennent le reggae et le dancehall.Après sa rencontre avec la religion Rastafari, et les enseignements de l'Empereur Haile Selassie I, son talent en tant qu'auteure de chansons s'oriente vers des thèmes plus réalistes sur le monde moderne et ses origines en tant que descendante africaine.Dans la fin des années 2000, lors d'un voyage en Jamaïque durant sa performance avec le groupe Solomon au Caribbean Music Expo festival, elle rencontre le producteur Mickey D. Ce dernier l'invitera à Londres, des années après, dans le but de faire des sessions studio et du live. De ce voyage, naîtra son premier album Queen Omega. Il sera suivi de plusieurs hits, et d'un autre album appelé Pure Love. Au début de l'année 2004, son album Away from Babylon, le troisième et le plus accompli des albums de Queen Omega, sort chez Jet Star. À ce moment-là, elle réside encore au sein de la famille Green House de Mickey D. Avec ses trois albums, et plusieurs très belles performances en live, Queen Omega ouvre la porte aux artistes féminines du roots reggae. Avec l'accompagnement musical de producteurs français très talentueux Bost & Bim & Special Delivery Music, la qualité de sa puissance vocale devient une évidence et surtout incontournable. Elle mélange à la fois le chant et le toast en style deejay. En 2023, Queen Omega revient avec un nouvel album Freedom Legacy. Titres interprétés au grand studio- Goodness Live RFI voir clip RFI Vidéos- Oneness (Feat. Julian Marley + Yaniss Odua), extrait de l'album Freedom Legacy- Lioness Live RFI voir clip RFI Vidéos.Line Up : Queen Omega, voix, Thomas Broussard, guitare, Sandra Oujagir, première choriste, Linda Rey, deuxième choriste & Thomas Join-Lambert, percussions.Son : Benoît Letirant, Jérémie Besset.► Album Freedom Legacy (Baco Music 2023).►Deezer Queen Omega : Freedom Legacy.Puis nous recevons l'artiste haïtienne Moonlight Benjamin pour la sortie de l'album Wayo #haïti #blues #vaudouFavorite de longue date de Martin Gore (Depeche Mode) et d'Iggy Pop, la prêtresse vodou haïtienne Moonlight Benjamin explore dans Wayo les racines du blues et du rock. Porté par un son plus profond et plus sombre et par la voix unique de Moonlight, influencée par Alabama Shakes, Oumou Sangaré, et Dr John, l'album Wayo est un cri primal, un mélange musical mystificateur et mystique, presque chamanique, une incantation libératoire entre guitares rageuses, voix puissante et tambours propulsifs.Le troisième album de Moonlight Benjamin, Wayo, est un « cri de douleur » envoûtant qui met en valeur sa voix tonitruante et ses thèmes lyriques sur la foi, l'énergie et notre connexion à la source. Les onze titres de la prêtresse du vodou d'Haïti immergent ses messages philosophiques dans un blues lourd et ravageur, des riffs assassins et des percussions qui claquent, mêlant des influences aussi lointaines que Dr John, Oumou Sangaré et Alabama Shakes. Après son exaltant premier album, Siltane, suivi en 2020 de l'explosif Simido, Moonlight Benjamin revient avec Wayo, un disque imprégné de blues et un véritable tourbillon aux accents rock. Aux côtés de son collaborateur de longue date Matthis Pascaud, Wayo marie la voix électrisante de Moonlight aux riffs de guitare saturés de Pascaud. Cette fois, le producteur et percussionniste Raphaël Chassin (connu pour son travail avec Joon Moon, Hugh Coltman, Vanessa Paradis et Salif Keita) apporte une touche nouvelle à la présence rythmique de l'album. Wayo se traduit en créole haïtien par « cri de douleur », tout comme le blues, né de la résilience face à l'adversité, les chansons de cet album sont puissantes, cathartiques et intenses. « Il faut demander de l'aide à un guide spirituel lorsque la vie se trouve dans une impasse et que l'on ne plus y faire face ». Son mélange musical, souvent comparé au travail des Alabama Shakes, The Black Keys ou Angélique Kidjo - lui vaut une reconnaissance internationale. En tournée mondiale, Moonlight a été récemment repérée par les fameux Tiny desk qui lui ont proposé d'interpréter le titre Wayo. Jusqu'à présent, la muse de Moonlight Benjamin fut sa terre natale, l'île d'Haïti dans les Caraïbes ; mais sur Wayo, la prêtresse du vodou change d'air : « Il y a toujours quelques chansons sur Haïti, bien sûr, mais l'écriture, l'histoire, le fil conducteur de cet album est plus universel. Il traite davantage du côté philosophique des choses... Notre ancrage à la terre, notre connexion à la source. » Née de parents vodou à Port-au-Prince en Haïti, Moonlight a passé son enfance dans un orphelinat catholique romain où elle a été adoptée par le révérend Doucet Alvarez après que sa propre mère soit morte en couches. Élevée au gospel, ce n'est qu'à la fin de son adolescence qu'elle commence à explorer ses racines vodou, avant de quitter Haïti en 2002 pour entamer une formation en jazz en France. C'est en 2017 que Moonlight rencontre le directeur artistique et guitariste, Matthis Pascaud, la collaboration d'où est né ce son unique et volcanique.Le style musical né de cette collaboration a beaucoup évolué au fil du temps. Siltane, composé en français et en créole, alternait la mise en place d'un groupe de rock classique avec des tambours traditionnels et des chants dépouillés d'inspiration vodou ; Simido a supprimé l'assortiment de styles, se concentrant sur la formule gagnante de la voix créole caractéristique de Moonlight sur un rock pur et dur. Avec Wayo, elle explore un son plus profond, en remontant aux racines du rock : le blues.Titres interprétés en studio- Bafon, Live RFI- Freedom Fire, extrait de l'album Wayo- Haut le haut, Live RFI.Line Up : Moonlight Benjamin, chant, Matthis Pascaud, guitare, Matthieu Vial Collet, guitare, Quentin Rochas, basse et Simon Lemonnier, batterie.Son : Benoît Letirant, Mathias Taylor.► Album Wayo (Ma Case Prod 2023).- À lire sur RFI Musique - voir le clip Tiny Desk x Global Fest 2023 - Moonlight facebook.► Deezer Moonlight Benjamin : Wayo.
#SessionLive au féminin pluriel avec deux artistes caribéennes avec la trinidadienne Queen Omega, véritable icône du reggae-dancehall et la prêtresse vaudou haïtienne Moonlight Benjamin. (Rediffusion) Notre 1ère invitée est Queen Omega, à l'occasion de la sortie de Freedom Legacy #trinidadytobago #dancehallQueen Omega, de son vrai nom Jeneile Osborne, est née à San Fernando, à Trinité et Tobago, une île des Caraïbes, au nord du Venezuela.Encouragée par sa mère, Queen a commencé dans des spectacles de talents dès l'âge de 9 ans en écrivant ses propres sons de Calypso, et en rappant sur des chaînes nationales de télévision.Quelques années plus tard, elle chante dans les chœurs pour un producteur local du nom de Kenny Phillips, ce qui lui permet d'accompagner plusieurs des meilleurs artistes de Soca de Trinidad, sur scène et en studio.Élevée dans une famille de mélomanes, musiciens, elle grandit en écoutant des artistes soul comme Aretha Franklin, Anita Baker et Whitney Houston, mais aussi du jazz et des musiques traditionnelles de son île natale. Des fondations qui ont une influence primordiale dans sa future carrière de chanteuse, même si en grandissant ses styles préférés deviennent le reggae et le dancehall.Après sa rencontre avec la religion Rastafari, et les enseignements de l'Empereur Haile Selassie I, son talent en tant qu'auteure de chansons s'oriente vers des thèmes plus réalistes sur le monde moderne et ses origines en tant que descendante africaine.Dans la fin des années 2000, lors d'un voyage en Jamaïque durant sa performance avec le groupe Solomon au Caribbean Music Expo festival, elle rencontre le producteur Mickey D. Ce dernier l'invitera à Londres, des années après, dans le but de faire des sessions studio et du live. De ce voyage, naîtra son premier album Queen Omega. Il sera suivi de plusieurs hits, et d'un autre album appelé Pure Love. Au début de l'année 2004, son album Away from Babylon, le troisième et le plus accompli des albums de Queen Omega, sort chez Jet Star. À ce moment-là, elle réside encore au sein de la famille Green House de Mickey D. Avec ses trois albums, et plusieurs très belles performances en live, Queen Omega ouvre la porte aux artistes féminines du roots reggae. Avec l'accompagnement musical de producteurs français très talentueux Bost & Bim & Special Delivery Music, la qualité de sa puissance vocale devient une évidence et surtout incontournable. Elle mélange à la fois le chant et le toast en style deejay. En 2023, Queen Omega revient avec un nouvel album Freedom Legacy. Titres interprétés au grand studio- Goodness Live RFI voir clip RFI Vidéos- Oneness (Feat. Julian Marley + Yaniss Odua), extrait de l'album Freedom Legacy- Lioness Live RFI voir clip RFI Vidéos.Line Up : Queen Omega, voix, Thomas Broussard, guitare, Sandra Oujagir, première choriste, Linda Rey, deuxième choriste & Thomas Join-Lambert, percussions.Son : Benoît Letirant, Jérémie Besset.► Album Freedom Legacy (Baco Music 2023).►Deezer Queen Omega : Freedom Legacy.Puis nous recevons l'artiste haïtienne Moonlight Benjamin pour la sortie de l'album Wayo #haïti #blues #vaudouFavorite de longue date de Martin Gore (Depeche Mode) et d'Iggy Pop, la prêtresse vodou haïtienne Moonlight Benjamin explore dans Wayo les racines du blues et du rock. Porté par un son plus profond et plus sombre et par la voix unique de Moonlight, influencée par Alabama Shakes, Oumou Sangaré, et Dr John, l'album Wayo est un cri primal, un mélange musical mystificateur et mystique, presque chamanique, une incantation libératoire entre guitares rageuses, voix puissante et tambours propulsifs.Le troisième album de Moonlight Benjamin, Wayo, est un « cri de douleur » envoûtant qui met en valeur sa voix tonitruante et ses thèmes lyriques sur la foi, l'énergie et notre connexion à la source. Les onze titres de la prêtresse du vodou d'Haïti immergent ses messages philosophiques dans un blues lourd et ravageur, des riffs assassins et des percussions qui claquent, mêlant des influences aussi lointaines que Dr John, Oumou Sangaré et Alabama Shakes. Après son exaltant premier album, Siltane, suivi en 2020 de l'explosif Simido, Moonlight Benjamin revient avec Wayo, un disque imprégné de blues et un véritable tourbillon aux accents rock. Aux côtés de son collaborateur de longue date Matthis Pascaud, Wayo marie la voix électrisante de Moonlight aux riffs de guitare saturés de Pascaud. Cette fois, le producteur et percussionniste Raphaël Chassin (connu pour son travail avec Joon Moon, Hugh Coltman, Vanessa Paradis et Salif Keita) apporte une touche nouvelle à la présence rythmique de l'album. Wayo se traduit en créole haïtien par « cri de douleur », tout comme le blues, né de la résilience face à l'adversité, les chansons de cet album sont puissantes, cathartiques et intenses. « Il faut demander de l'aide à un guide spirituel lorsque la vie se trouve dans une impasse et que l'on ne plus y faire face ». Son mélange musical, souvent comparé au travail des Alabama Shakes, The Black Keys ou Angélique Kidjo - lui vaut une reconnaissance internationale. En tournée mondiale, Moonlight a été récemment repérée par les fameux Tiny desk qui lui ont proposé d'interpréter le titre Wayo. Jusqu'à présent, la muse de Moonlight Benjamin fut sa terre natale, l'île d'Haïti dans les Caraïbes ; mais sur Wayo, la prêtresse du vodou change d'air : « Il y a toujours quelques chansons sur Haïti, bien sûr, mais l'écriture, l'histoire, le fil conducteur de cet album est plus universel. Il traite davantage du côté philosophique des choses... Notre ancrage à la terre, notre connexion à la source. » Née de parents vodou à Port-au-Prince en Haïti, Moonlight a passé son enfance dans un orphelinat catholique romain où elle a été adoptée par le révérend Doucet Alvarez après que sa propre mère soit morte en couches. Élevée au gospel, ce n'est qu'à la fin de son adolescence qu'elle commence à explorer ses racines vodou, avant de quitter Haïti en 2002 pour entamer une formation en jazz en France. C'est en 2017 que Moonlight rencontre le directeur artistique et guitariste, Matthis Pascaud, la collaboration d'où est né ce son unique et volcanique.Le style musical né de cette collaboration a beaucoup évolué au fil du temps. Siltane, composé en français et en créole, alternait la mise en place d'un groupe de rock classique avec des tambours traditionnels et des chants dépouillés d'inspiration vodou ; Simido a supprimé l'assortiment de styles, se concentrant sur la formule gagnante de la voix créole caractéristique de Moonlight sur un rock pur et dur. Avec Wayo, elle explore un son plus profond, en remontant aux racines du rock : le blues.Titres interprétés en studio- Bafon, Live RFI- Freedom Fire, extrait de l'album Wayo- Haut le haut, Live RFI.Line Up : Moonlight Benjamin, chant, Matthis Pascaud, guitare, Matthieu Vial Collet, guitare, Quentin Rochas, basse et Simon Lemonnier, batterie.Son : Benoît Letirant, Mathias Taylor.► Album Wayo (Ma Case Prod 2023).- À lire sur RFI Musique - voir le clip Tiny Desk x Global Fest 2023 - Moonlight facebook.► Deezer Moonlight Benjamin : Wayo.
Encouragés par les émissions télévision mais aussi par la crise économique, de plus en plus de Français font expertiser certains objets de famille., des objets parfois laissés au fond du grenier. Avec nous pour en parler, Maitre Romain Verlomme-Fried, commissaire priseur de la maison de vente aux enchères parisienne Rossini. Ecoutez L'invité de RTL Midi du 20 novembre 2023 avec Agnès Bonfillon et Eric Brunet.
Encouragés par les émissions télévision mais aussi par la crise économique, de plus en plus de Français font expertiser certains objets de famille., des objets parfois laissés au fond du grenier. Avec nous pour en parler, Maitre Romain Verlomme-Fried, commissaire priseur de la maison de vente aux enchères parisienne Rossini. Ecoutez L'invité de RTL Midi du 20 novembre 2023 avec Agnès Bonfillon et Eric Brunet.
This is part 2 of Coach Dave Ruekert and I talking about death and the lessons we can learn from it. This second one is where the questions will be tossed to me from Coach Dave. This concept came from Coach Dave and I really am grateful to him for wanting to include me in this endeavor. This podcast is all about sharing and learning and working through difficult times in our life. Whether it is the death of a loved one or the loss of a job, a relationship, or something else of the utmost importance. We will discuss it and share our experiences, grieve together, share happiness, and figure out how we can make the most out of our situations and continue to live life to the fullest. Just average dudes with average lives sharing powerful and eternal messages, stories, and lessons learned. Reach out to Coach Dave with any questions, ideas, comments, etc., at: davidruekert@gmail.com Thanks for listening. Please take a few moments to subscribe & share this with someone, also leave a 5 Star rating on Apple Podcasts and ITunes or other services where you find this show. Find me on Facebook: https://www.facebook.com/coachtoexpectsuccess/ on Twitter / “X”: @coachtosuccess and on Instagram at: @coachjohndaly - My YouTube Channel is at: Coach John Daly. Email me at: CoachJohnDalyPodcast@gmail.com You can also head on over to https://www.coachtoexpectsuccess.com/ and get in touch with me there on my homepage along with checking out my Top Book list too. Other things there on my site are being worked on too. Please let me know that you are reaching out to me from my podcast.
This is part 1 of Coach Dave Ruekert and I talking about death and the lessons we can learn from it. This first one is me kind of peppering Coach Dave with some questions on some of his experiences. This will be a series with Coach Dave and other guests. Part 2 coming up soon where the questions will be tossed to me from Coach Dave. This concept came from Coach Dave and I really am grateful to him for wanting to include me in this endeavor. Reach out to Coach Dave with any questions, ideas, comments, etc., at: davidruekert@gmail.com Thanks for listening. Please take a few moments to subscribe & share this with someone, also leave a 5 Star rating on Apple Podcasts and ITunes or other services where you find this show. Find me on Facebook: https://www.facebook.com/coachtoexpectsuccess/ on Twitter / “X”: @coachtosuccess and on Instagram at: @coachjohndaly - My YouTube Channel is at: Coach John Daly. Email me at: CoachJohnDalyPodcast@gmail.com You can also head on over to https://www.coachtoexpectsuccess.com/ and get in touch with me there on my homepage along with checking out my Top Book list too. Other things there on my site are being worked on too. Please let me know that you are reaching out to me from my podcast.
Saw another great quote - this one from Jon Gordon and it's all about the importance of having positivity in our lives. Thanks for listening. Please take a few moments to subscribe & share this with someone, also leave a 5 Star rating on Apple Podcasts and ITunes or other services where you find this show. Find me on Facebook: https://www.facebook.com/coachtoexpectsuccess/ on Twitter / “X”: @coachtosuccess and on Instagram at: @coachjohndaly - My YouTube Channel is at: Coach John Daly. Email me at: CoachJohnDalyPodcast@gmail.com You can also head on over to https://www.coachtoexpectsuccess.com/ and get in touch with me there on my homepage along with checking out my Top Book list too. Other things there on my site are being worked on too.
Sandy grandit entourée par l'amour des siens. Elle vit une enfance heureuse, sans aucune ombre au tableau. Petite, elle n'a aucun mal à s'affirmer et à exprimer ses désirs. Très vite, elle devient autonome et porte en elle, une envie d'indépendance. « Je n'aimais pas qu'on m'aide à faire les choses, j'aimais faire mes devoirs toute seule. Je n'aimais pas trop qu'on me conseille. » En classe de CM1, elle fait la rencontre du basket, une passion qui ne la quittera plus… jamais. Encouragée par sa famille, elle se rêve sportive de haut niveau. Toute sa vie en est régie. Des cours aux entraînements, de son cercle d'amis à ses sujets de conversation. Mais si le niveau d'exigence augmente en centre de formation, Sandy reste persuadée qu'un jour, elle y arrivera, elle deviendra professionnelle. En attendant, elle encaisse, qu'importe si sa santé en est le prix. Or, ses blessures augmentent, en même temps que le rythme de ses entraînements. Sandy s'entête, jusqu'au jour où… « Je me retrouve à jouer avec des doubles entorses aux deux chevilles. » Petit à petit, son rêve s'étiole. Et la conviction laisse place au doute…*Cet épisode a été réalisé en partenariat avec Chance.**Rendez-vous la semaine prochaine pour découvrir le deuxième épisode.Soutenez ce podcast http://supporter.acast.com/les-deviations. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet épisode, je reçois Najat Vallaud Belkacem Najat est la seconde d'une fratrie de 7 enfants, née dans une région rurale du Nord du Maroc. Elle rejoint la France a 4 ans, en apprend la langue, a le gout de l'école et une passion pour la lecture au point de se rêver écrivain. Najat démarre ses études en droit à Amiens et les poursuit à Paris en intégrant Sciences-Po. Encouragée à l'indépendance financière par sa maman, Najat travaille a côté de ses études notamment en tant que petite main d'une députée. Elle découvre alors un environnement exigeant, complexe mais également mesure l'impact du combat politique sur les enjeux sociétaux. Elle travaillera par la suite à Lyon aux côtés de Gérard Colomb qui lui permettra d'appréhender un écosystème politique local. L'engagement de Najat se renforcera suite au 21 Avril 2002 face au choc du Front National au second tour qui sonne comme un déclic pour elle. Suite à l'élection de François Hollande, Najat devient Ministre du droit des femmes et porte parole du gouvernement à 35 à peine. Nous avons bien entendu parlé de ces années en politique, d'autant qu'elle est par la suite devenue Ministre de l'Education Nationale. Au delà de son parcours professionnel, nous avons parlé avec Najat de l'importance de la parole et de la nécessité d'apprendre à écouter sa voix intérieure pour rester authentique. Elle confie également la manière dont elle a appris à vivre avec le fameux syndrome de l'imposteur, qui disparait finalement rapidement face à l'urgence d'agir et de s'engager. Najat passera par l'entreprise privée, en intégrant l'institut de sondage international, IPSOS aux affaires publiques. Aujourd'hui elle dirige l'ONG One, fondée par Bono, le chanteur de U2 qui lutte contre les maladies évitables. Elle est également Présidente de Terre d'Asile une association de soutien aux demandeurs d'asile en France. Nous avons également parler de l'inévitable question entre la conciliation entre parcours professionnel prenant et maternité pour Najat qui est notamment maman de jumeaux ! 12MN 20MN 23MN ONE qui lutte contre les maladies évitables
Encouragée et désirée, elle finissait par s'arrêter au centre. La bouche bien au-dessus de la verge, à quelque centimètres seulement. Son souffle caressait tendrement la peau fine. S'il avait pu, le gland aurait attrapé la chair de poule. A vrai dire, elle aimait sucer, longuement, sans but. D'abord, pour son plaisir à elle. Parfois, elle ressentait la fierté de faire grandir le pénis dans sa bouche.
#SessionLive au féminin pluriel avec deux artistes caribéennes avec la trinidadienne Queen Omega, véritable icône du reggae-dancehall et la prêtresse vaudou haïtienne Moonlight Benjamin. Notre 1ère invitée est Queen Omega, à l'occasion de la sortie de Freedom Legacy #trinidadytobago #dancehallQueen Omega, de son vrai nom Jeneile Osborne, est née à San Fernando, à Trinité et Tobago, une île des Caraïbes, au nord du Venezuela.Encouragée par sa mère, Queen a commencé dans des spectacles de talents dès l'âge de 9 ans en écrivant ses propres sons de Calypso, et en rappant sur des chaînes nationales de télévision.Quelques années plus tard, elle chante dans les chœurs pour un producteur local du nom de Kenny Phillips, ce qui lui permet d'accompagner plusieurs des meilleurs artistes de Soca de Trinidad, sur scène et en studio.Élevée dans une famille de mélomanes, musiciens, elle grandit en écoutant des artistes soul comme Aretha Franklin, Anita Baker et Whitney Houston, mais aussi du jazz et des musiques traditionnelles de son île natale. Des fondations qui ont une influence primordiale dans sa future carrière de chanteuse, même si en grandissant ses styles préférés deviennent le reggae et le dancehall.Après sa rencontre avec la religion Rastafari, et les enseignements de l'Empereur Haile Selassie I, son talent en tant qu'auteure de chansons s'oriente vers des thèmes plus réalistes sur le monde moderne et ses origines en tant que descendante africaine. Dans la fin des années 2000, lors d'un voyage en Jamaïque durant sa performance avec le groupe Solomon au Caribbean Music Expo festival, elle rencontre le producteur Mickey D. Ce dernier l'invitera à Londres, des années après, dans le but de faire des sessions studio et du live. De ce voyage, naîtra son premier album Queen Omega. Il sera suivi de plusieurs hits, et d'un autre album appelé Pure Love. Au début de l'année 2004, son album Away from Babylon, le troisième et le plus accompli des albums de Queen Omega, sort chez Jet Star. À ce moment-là, elle réside encore au sein de la famille Green House de Mickey D. Avec ses trois albums, et plusieurs très belles performances en live, Queen Omega ouvre la porte aux artistes féminines du roots reggae. Avec l'accompagnement musical de producteurs français très talentueux Bost & Bim & Special Delivery Music, la qualité de sa puissance vocale devient une évidence et surtout incontournable. Elle mélange à la fois le chant et le toast en style deejay. En 2023, Queen Omega revient avec un nouvel album Freedom Legacy. Titres interprétés au grand studio- Goodness Live RFI voir clip RFI Vidéos- Oneness (Feat. Julian Marley + Yaniss Odua), extrait de l'album Freedom Legacy- Lioness Live RFI voir clip RFI Vidéos.Line Up : Queen Omega, voix, Thomas Broussard, guitare, Sandra Oujagir, première choriste, Linda Rey, deuxième choriste & Thomas Join-Lambert, percussions.Son : Benoît Letirant, Jérémie Besset.► Album Freedom Legacy (Baco Music 2023).►Deezer Queen Omega : Freedom Legacy.Puis nous recevons l'artiste haïtienne Moonlight Benjamin pour la sortie de l'album Wayo #haïti #blues #vaudouFavorite de longue date de Martin Gore (Depeche Mode) et d'Iggy Pop, la prêtresse vodou haïtienne Moonlight Benjamin explore dans Wayo les racines du blues et du rock. Porté par un son plus profond et plus sombre et par la voix unique de Moonlight, influencée par Alabama Shakes, Oumou Sangaré, et Dr John, l'album Wayo est un cri primal, un mélange musical mystificateur et mystique, presque chamanique, une incantation libératoire entre guitares rageuses, voix puissante et tambours propulsifs.Le troisième album de Moonlight Benjamin, Wayo, est un « cri de douleur » envoûtant qui met en valeur sa voix tonitruante et ses thèmes lyriques sur la foi, l'énergie et notre connexion à la source. Les onze titres de la prêtresse du vodou d'Haïti immergent ses messages philosophiques dans un blues lourd et ravageur, des riffs assassins et des percussions qui claquent, mêlant des influences aussi lointaines que Dr John, Oumou Sangaré et Alabama Shakes. Après son exaltant premier album, Siltane, suivi en 2020 de l'explosif Simido, Moonlight Benjamin revient avec Wayo, un disque imprégné de blues et un véritable tourbillon aux accents rock. Aux côtés de son collaborateur de longue date Matthis Pascaud, Wayo marie la voix électrisante de Moonlight aux riffs de guitare saturés de Pascaud. Cette fois, le producteur et percussionniste Raphaël Chassin (connu pour son travail avec Joon Moon, Hugh Coltman, Vanessa Paradis et Salif Keita) apporte une touche nouvelle à la présence rythmique de l'album. Wayo se traduit en créole haïtien par « cri de douleur », tout comme le blues, né de la résilience face à l'adversité, les chansons de cet album sont puissantes, cathartiques et intenses. « Il faut demander de l'aide à un guide spirituel lorsque la vie se trouve dans une impasse et que l'on ne plus y faire face ». Son mélange musical, souvent comparé au travail des Alabama Shakes, The Black Keys ou Angélique Kidjo - lui vaut une reconnaissance internationale. En tournée mondiale, Moonlight a été récemment repérée par les fameux Tiny desk qui lui ont proposé d'interpréter le titre Wayo. Jusqu'à présent, la muse de Moonlight Benjamin fut sa terre natale, l'île d'Haïti dans les Caraïbes ; mais sur Wayo, la prêtresse du vodou change d'air : « Il y a toujours quelques chansons sur Haïti, bien sûr, mais l'écriture, l'histoire, le fil conducteur de cet album est plus universel. Il traite davantage du côté philosophique des choses... Notre ancrage à la terre, notre connexion à la source. » Née de parents vodou à Port-au-Prince en Haïti, Moonlight a passé son enfance dans un orphelinat catholique romain où elle a été adoptée par le révérend Doucet Alvarez après que sa propre mère soit morte en couches. Élevée au gospel, ce n'est qu'à la fin de son adolescence qu'elle commence à explorer ses racines vodou, avant de quitter Haïti en 2002 pour entamer une formation en jazz en France. C'est en 2017 que Moonlight rencontre le directeur artistique et guitariste, Matthis Pascaud, la collaboration d'où est né ce son unique et volcanique.Le style musical né de cette collaboration a beaucoup évolué au fil du temps. Siltane, composé en français et en créole, alternait la mise en place d'un groupe de rock classique avec des tambours traditionnels et des chants dépouillés d'inspiration vodou ; Simido a supprimé l'assortiment de styles, se concentrant sur la formule gagnante de la voix créole caractéristique de Moonlight sur un rock pur et dur. Avec Wayo, elle explore un son plus profond, en remontant aux racines du rock : le blues.Titres interprétés en studio- Bafon, Live RFI- Freedom Fire, extrait de l'album Wayo- Haut le haut, Live RFI.Line Up : Moonlight Benjamin, chant, Matthis Pascaud, guitare, Matthieu Vial Collet, guitare, Quentin Rochas, basse et Simon Lemonnier, batterie.Son : Benoît Letirant, Mathias Taylor.► Album Wayo (Ma Case Prod 2023).- À lire sur RFI Musique - voir le clip Tiny Desk x Global Fest 2023 - Moonlight facebook.► Deezer Moonlight Benjamin : Wayo.
Cela nous semble évident : les violences conjugales sont inadmissibles. Pourtant, cette condamnation sociale est très récente et depuis le Moyen-Âge, le regard que porte la société française sur ces violences a bien changé. Encouragées au Moyen-Âge, acceptables jusqu'au XXe siècle, elles sont désormais perçues comme intolérables. Dans ce podcast, Anne Chemin, journaliste au service Idées du « Monde », raconte cette révolution du regard.Un épisode de Dorali Mensah. Réalisation : Florentin Baume. Musique du générique : Amandine Robillard. Rédaction en chef : Adèle Ponticelli. Présentation : Jean-Guillaume Santi.
Bienvenue á l'épisode 3 de la quatrième saison du podcast, aujourd'hui je reçois Syra Sylla est une entrepreneure sénégalaise passionnée par la promotion du Made in Africa.Syra Sylla est une activiste sportive franco-sénégalaise de 39 ans et ancienne journaliste sportive. Lorsque sa vie a été fondamentalement changée par le sport, elle a su qu'elle devait partager ses pouvoirs de transformation pour aider les autres."Je dis toujours que si le sport m'a aidé, il peut aiderquelqu'un d'autre", a-t-elle déclaré exclusivement à Olympics.com lorsd'une interview.Aujourd'hui, Syra, également connue sous le nom de "LadyHoop", est la fondatrice de "Ladies & Basketball", uneassociation fondée à Paris, en France. La mission principale de l'organisationest de responsabiliser les jeunes femmes et les filles en utilisant lebasketball comme outil socio-éducatif pour qu'elles puissent comprendre leurplein potentiel.Le succès de l'association est tel que, depuis deux ans,Ladies & Basketball s'est implantée au Sénégal pour étendre son message -et Sylla a été au cœur du mouvement.En tant que l'une des personnes clés derrière Ladies &Basketball, une grande partie de ce que fait le projet est enraciné dans lesexpériences personnelles et les épreuves de Sylla.Son parcours a commencé lorsqu'elle a commencé à jouer aubasketball à l'âge de 17 ans. Une fois qu'elle a commencé à jouer, Sylla arapidement découvert le monde du basketball féminin professionnel. Cela l'asurpris car elle n'en avait jamais entendu parler en raison d'un manque decouverture médiatique. Encouragée par des amis pour combler cette lacune, Syllaa commencé à documenter son parcours de jeu et à couvrir le sport sur son sitepersonnel, "Lady Hoop", et c'est là que son surnom est né.Joignez-nous sur notre compte Instagram pour discuter et nous poser des questions. Cliquez sur ce lien pour avoir accès á toutes nos infos. Inscrivez-vous á notre bulletin d'information pour être les premiers á être au courant de nos news. XOXO
Zineb Bennouna est entrepreneure dans le sport et fondatrice de la SporTech marocaine Meet the Runners, une application mobile au service des communautés de coureurs et adeptes des sports de plein air. La startup a réussi en octobre 2022 une levée de fonds d'amorçage de 1 million de Dhs, un bel encouragement pour une initiative partie de groupes whatsapp, désormais en quête de traction et monétisation à l'échelle nationale. Encouragée par ses parents, Zineb prend goût très tôt à la pratique régulière de différents sports. Elle s'oriente dans un premier temps vers les métiers du Digital après une école de communication à Paris et un troisième cycle en commerce électronique au Canada. Après une expérience professionnelle à Montréal, elle rentre au Maroc sans projet bien défini. Indécise mais soucieuse de rester dans l'action, elle s'autorise à essayer différentes missions touchant à l'évènementiel, l'occasion d'apprendre sur le terrain et développer son réseau, avec l'idée de pouvoir monter à terme son propre projet Un ami d'enfance lui lance une perche en mars 2013 : Tu ne veux pas travailler avec nous sur le Marathon de Casa ? cette aventure permet à Zineb de trouver enfin sa place, mettre un pied dans le milieu de sport et de se mettre à la course avec un premier semi-marathon à la clé. Prise au jeu de la performance, c'est en organisant un déplacement à Berlin en 2014 pour le club marocain des coureurs de fond, qu'elle se lance dans son premier Marathon. Se laissant emporter par l'ambiance, sans entraînement spécifique, elle réussit à terminer cette course fondatrice dans son parcours, devenue son Leitmotiv : Tout est possible, il faut juste s'y mettre ! “ Tout ce qu'on apprend dans la course se répercute dans la vie de tous les jours ! “ Forte de ces nouvelles compétences et valeurs fortes, Zineb lance en 2018 avec Les Amis Du Ruban Rose , Meet the Walkers, une initiative autour de la marche pour redonner espoir et confiance aux femmes atteintes du cancer du sein ou en rémission. Le Groupe de marcheuses accélére et se transforme en coureuses, lorsque Zineb dans un élan de transmission, mobilise ses copines, pour donner naissance à Meet The Runners, une communauté qui prendra vie progressivement sur Facebook et Whatsapp Lorsqu'elle arrête la collaboration sur le Raid de la Sahraouiya, après 8 éditions, Zineb cherche un nouveau challenge et hésite à monter son propre évènement. La communauté MTR est composée alors de plus d'une centaine de personnes passionnées, régulières et actives, qui continue de grandir grâce aux récits des témoignages sur les réseaux sociaux. Zineb se fait interpeller alors et à nouveau par une amie Consultante qui l'aide à structurer sa réflexion et la pousse à l'action, pour pouvoir faire de Meet the Runners une startup. Etude de marchés, focus groups, offres de partenariats, business plan et lancement du développement de l'application mobile suivront. Déterminée à faire grandir son projet, Zineb continue à mobiliser son réseau et réussit le double défi de signer sa levée de fonds et de courir le lendemain le Marathon d'Amsterdam en moins de 4 heures ! Meet the Runners est dans la dernière ligne droite pour lancer son application mobile avec le pari d'y faire migrer sa communauté depuis les groupes whatsapp, sur un modèle d'abonnement freemium donnant accès à une communauté et un large éventail d'avantages : dossards gratuits, programme d'entraînement, évènements promotionnels,.... En tant que vice-présidente de la Fédération Marocaine des Professionnels du Sport, Zineb participe également à inspirer, susciter des vocations et dynamiser l'écosystème SportTech au Maroc (GC Sports, Yofitt, club.ma,...) Zineb s'inspire à son tour des biographies de grands leaders et des documentaires sportifs
Cela nous semble évident : les violences conjugales sont inadmissibles. Pourtant, cette condamnation sociale est très récente et depuis le Moyen-Âge, le regard que porte la société française sur ces violences a bien changé. Encouragées au Moyen-Âge, acceptables jusqu'au XXe siècle, elles sont désormais perçues comme intolérables. Dans ce podcast, Anne Chemin, journaliste au service Idées « Monde », raconte cette révolution du regard.Un épisode de Dorali Mensah. Réalisation : Florentin Baume. Musique du générique : Amandine Robillard. Rédaction en chef : Adèle Ponticelli. Présentation : Jean-Guillaume Santi.
Après avoir fait le tour du monde et des festivals de cinéma avec son film documentaire No simple way home, la réalisatrice sud-soudanaise Akuol de Mabior est finalement venue le présenter à Juba, vendredi 25 novembre. Dans son film, la cinéaste explore son expérience, ses questionnements et ses difficultés à rentrer au pays après avoir vécu principalement à l'étranger. Le film est aussi un portrait de sa mère, Rebecca Nyandeng, devenue veuve en 2005, est aujourd'hui l'une des vice-présidentes du pays. C'est elle qui a inauguré la projection. De notre correspondante à Juba, Les premiers spectateurs arrivent. On fait les derniers réglages. Akuol de Mabior se réjouit de montrer son travail au public de Juba, même si elle a déjà eu l'occasion de le montrer aux Sud-Soudanais de la diaspora. « Nous avons une forte identité sud-soudanaise, même si certains d'entre nous ne sont pas nés ou n'ont pas grandi ici. Les Sud-Soudanais de la diaspora se posent les mêmes questions que celles que je pose dans le film, ils peuvent ainsi voir comment ça se passe au Soudan du Sud pour ceux qui veulent rentrer au pays. » La vice-présidente Rebecca Nyandeng, qui est au centre du documentaire, s'est souvenue du jour où elle a perdu son mari, John Garang : « C'était comme si le soleil avait disparu. Tout est devenu sombre. Mais ce que je n'ai pas perdu de vue, c'est d'œuvrer pour que le Soudan du Sud soit libre. » ► À lire aussi : Akuol de Mabior raconte son Soudan du Sud, une histoire familiale très politique Expérience partagée Beaucoup de Sud-Soudanais vivant à Juba partagent cette expérience du retour, Rachel Abuk, une militante pour les droits des femmes, s'est reconnue dans les questionnements du film : « J'ai personnellement grandi au Kenya et revenir au pays a été un énorme choc culturel, avec toute la souffrance qu'il y a ici. Mais ce que l'on essaie de faire, c'est de rendre le pays meilleur. On ne peut pas rester là à pleurer. On essaie de changer les choses à notre niveau. » Mary Kadi, spécialiste en communication, a, elle aussi, été conquise : « Le film parle de l'économie, des catastrophes naturelles que nous traversons, de la lutte des gens pour gagner leur vie, de la vision que nous avions et que nous essayons d'atteindre. Je suis contente, car cela prépare le terrain pour beaucoup de réalisateurs sud-soudanais qui veulent faire des projets similaires. » Encouragés par cette première projection sud-soudanaise, Akuol de Mabior et son équipe prévoient de faire circuler le film dans le reste du pays.
Annick nous avait appelés le 8 février 2022. Elle a trois enfants : un fils et une fille qui vivent à l'étranger et un fils avec qui elle avait une relation très fusionnelle jusqu'au décès de son mari, en juin 2017. Il a alors radicalement changé de comportement vis-à-vis sa mère. Encouragé par sa compagne, il a réclamé sa part de l'héritage et a coupé les ponts avec sa mère ainsi qu'avec son frère et sa sœur. Cette situation faisait beaucoup souffrir Annick, d'autant qu'elle est également privée de ses deux petits-enfants. Après cet échange en février, est-ce que d'autres pistes de réflexion lui sont venues à l'esprit ? Caroline Dublanche vous accompagne toute l'année dans le podcast "Que sont-ils devenus ?" Rupture amoureuse, échecs professionnels, peur de ne pas être à la hauteur... Chaque week-end, l'animatrice de "Parlons-Nous" prend des nouvelles des personnes qui se sont confiées à elle toute l'année.
durée : 00:26:59 - Les Nuits de France Culture - Entretiens avec Alain Cuny 3/5. Dans ce troisième entretien, le comédien évoque ses rapports avec les psychanalystes René Laforgue et Françoise Dolto, son entrée et ses débuts au théâtre chez Charles Dullin. (1ère diffusion : 07/01/1976), * * Si Alain Cuny a été l'un des considérables comédiens de son siècle, il aurait pu suivre une toute autre voie, comme nous allons l'entendre dans le troisième des cinq entretiens qu'il accordait en 1975 à Fernande Schulmann. Encouragé par René Laforgue, l'un des pionniers de son introduction en France, Alain Cuny aurait pu notamment exercer la psychanalyse. * Il évoquait d'ailleurs dans cette émission son amitié de toute une vie avec Françoise Dolto. Mais pour le plus grand bénéfice du théâtre, et du cinéma, ce fut bien comédien qu'il devint. Par hasard, si l'on peut dire, puisque le hasard avait le visage d'une jeune fille dans les pas de laquelle, comme va magnifiquement le raconter Alain Cuny, il débarqua un jour dans le cours de Dullin, dont le premier coup d'oil mesura sans hésiter la valeur de la pépite tombée du ciel sur son plateau. Et alors que j'allais la quitter, c'était au théâtre de l'Atelier, Dullin est entré. Et Dullin entrant, un silence n'est-ce pas s'est établi, personne n'a plus bougé, et moi-même je n'ai pas pu me lever et m'en aller. Si bien que Dullin a cru que j'étais un nouveau. Il m'a demandé si j'avais déjà travaillé, je lui ai dit non. Alors il m'a conseillé de travailler un passage d'une pièce élisabéthaine de Ford qui est 'Dommage qu'elle soit une Putain'. (.) Je n'avais aucune idée de ce que c'était que de faire du théâtre, je ne savais pas ce que ça signifiait." Pour conclure cet entretien, Alain Cuny disait sa passion pour l'alexandrin : Un beau vers dit dans l'intimité, dans l'intuition, dans le discernement de l'esprit de l'auteur, quand on arrive à cette perception, on peut presque suivre l'exercice déchirant nécessaire à la réalisation, à la naissance d'un beau vers. Et c'est tellement poignant qu'il suffit de l'avoir compris pour devenir poignant à notre tour. Par Fernande Schulmann - Avec Alain Cuny Entretiens avec Alain Cuny 3/5 (1ère diffusion : 07/01/1976) Indexation web : Sandrine England, Documentation sonore de Radio France Archive Ina-Radio France