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Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, et Jeremstar, influenceur, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Clin d’oeil à la BD de Stéphane Oiry, à CAMERA SILENS… Et à la disparition de JoAnne Chsimard, plus connue sous le nom d’ASSATA SHAKUR, qui nous quittés le 25 septembre 2025. On démarre avec Funkadelic puis Camera Silens forcément… Une petite séquence sur le punk rock à Bordeaux avec Strychnine, Les Corbeaux du Reichstag […] L'article Maggot Brain – Qui Sont Les Héros du Peuple? est apparu en premier sur Radio Campus Tours - 99.5 FM.
Dans ce nouveau numéro de "Et Maintenant !", on se demandera si Donald Trump est le sauveur de l'humanité qu'il prétend être, lui qui se targue d'avoir mis fin à sept guerres en sept mois. On reviendra également sur la reconnaissance de l'Etat de Palestine par Emmanuel Macron et on se demandera si quelqu'un a des nouvelles de Sébastien Lecornu. Mais aussi retour sur un séisme politique, 14 ans que la France vivait au rythme du procès Sarkozy dans l'affaire du financement libyen de sa campagne électorale de 2007, le tribunal correctionnel de Paris a rendu sa décision jeudi : pour la première fois un ancien président va dormir derrère les barreaux, il a été condamné à 5 ans de prison avec exécution provisoire, au sortir de la salle d'audience Nicolas Sarkozy s'est présenté devant les caméras et a dénoncé une décision contraire à l'Etat de droit. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:03:44 - Les punchlines de la philo - par : Thibaut de Saint-Maurice - Ce matin, Thibaut de Saint-Maurice a choisi cette formule de Marx à propos de la religion : « elle est l'opium du peuple ». Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:51 - La Série fiction - Denis Podalydès de la comédie française lit "Au peuple" de Victor Hugo, extrait des Châtiments Equipe de réalisation : Louise Loubrieu et Bastien Varigault
Aujourd'hui, Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous Uniques Tous Unis", Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, et Bruno Poncet, cheminot, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Chaque jour dans l'Heure des pros, Pascal Praud livre son édito sur l'actualité du moment. Aujourd'hui, il revient sur les attaques de certains journalistes et certaines personnalités de gauche sur la pétition lancée par Philippe de Villiers réclamant un referendum sur l'immigration. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Sais tu que le long de nos cours d'eau existe un formidable peuple ? Des papillons, des libellules, des criquets, des nèpes , des notonectes ...mais aussi des guêpes, des moustiques, des mouches, mille-pattes, scorpions, frelons ...tous ont un rôle à jouer ! Nous sommes partis avec Mésange et Libellule, un super club nature en Adèche qui accueille les enfants les mercredis et pendant les vacances.Nos guides s'appellent Lilas, Janick et Alizée...n'oublie pas ta boîte loupe et pars avec nous, direction le petit peuple du minuscule ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Sais tu que le long de nos cours d'eau existe un formidable peuple ? Des papillons, des libellules, des criquets, des nèpes , des notonectes ...mais aussi des guêpes, des moustiques, des mouches, mille-pattes, scorpions, frelons ...tous ont un rôle à jouer ! Nous sommes partis avec Mésange et Libellule, un super club nature en Adèche qui accueille les enfants les mercredis et pendant les vacances.Nos guides s'appellent Lilas, Janick et Alizée...n'oublie pas ta boîte loupe et pars avec nous, direction le petit peuple du minuscule ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:02:35 - 100% PSG - Le billet - La 69e cérémonie du Ballon d'Or 2025, qui s'est déroulée lundi au théâtre du Châtelet à Paris a consacré Ousmane Dembélé Ballon d'Or. Un bonheur pour les supporters de la capitale. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 01:09:08 - Ousmane Dembélé : le vrai ballon d'or du peuple ? 100% PSG, la tribune - Ep.8 - Le PSG s'est incliné à Marseille (1-0) mais dans le même temps a récupéré un ballon d'or. Du classico raté à Ousmane Dembélé on en parle dans le podcast débat de ici Paris Île-de-France, épisode 8. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:05:57 - L'invité de la rédaction de "ici Lorraine" - La France doit reconnaître ce lundi 22 septembre l'Etat de Palestine. C'est Emmanuel Macron qui doit l'annoncer à la tribune de l'assemblée générale des Nations Unies. Une décision trop tardive mais saluée par Alain Desmaret de l'association France Palestine Solidarité Sud Lorraine. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Oui ou non : Emmanuel Macron va-t-il remettre le référendum sur le devant de la scène ? Inutilisé depuis vingt ans, ce mécanisme voulu par Charles de Gaulle prend la poussière. Entre outil de démocratie directe et coup de poker, il a façonné la vie politique de la Vème République. Cette semaine, La Loupe revient sur quatre referendums marquants avec l'historien Nicolas Rousselier et Eric Mandonnet, le rédacteur en chef du service politique de L'Express. Dans cet épisode, on se penche sur le dernier référendum en date, qui a modifié durablement le paysage politique français, celui de 2005. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation : Charlotte BarisEcriture et montage : Solène AlifatRéalisation et montage : Jules Krot Crédits : Le Parisien, France Bleu, INA, Nouvel Obs, France 5 Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy Cambour Pour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Oui ou non : Emmanuel Macron va-t-il remettre le référendum sur le devant de la scène ? Inutilisé depuis vingt ans, ce mécanisme voulu par Charles de Gaulle prend la poussière. Entre outil de démocratie directe et coup de poker, il a façonné la vie politique de la Vème République. Cette semaine, La Loupe revient sur quatre referendums marquants avec l'historien Nicolas Rousselier et Eric Mandonnet, le rédacteur en chef du service politique de L'Express. Dans cet épisode, on analyse l'abstention record lors du référendum de 2000 sur le passage au quinquennat. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation : Charlotte BarisEcriture et montage : Solène AlifatRéalisation et montage : Jules Krot Crédits : INA, LCI Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy Cambour Pour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Oui ou non : Emmanuel Macron va-t-il remettre le référendum sur le devant de la scène ? Inutilisé depuis vingt ans, ce mécanisme voulu par Charles de Gaulle prend la poussière. Entre outil de démocratie directe et coup de poker, il a façonné la vie politique de la Vème République. Cette semaine, La Loupe revient sur quatre referendums marquants avec l'historien Nicolas Rousselier et Eric Mandonnet, le rédacteur en chef du service politique de L'Express. Dans ce deuxième épisode, on part en 1969, quand le référendum a précipité la chute de Charles de Gaulle. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation : Charlotte BarisEcriture et montage : Solène AlifatRéalisation et montage : Jules Krot Crédits : INA Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy Cambour Pour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Oui ou non : Emmanuel Macron va-t-il remettre le référendum sur le devant de la scène ? Inutilisé depuis vingt ans, ce mécanisme voulu par Charles de Gaulle prend la poussière. Entre outil de démocratie directe et coup de poker, il a façonné la vie politique de la Vème République. Cette semaine, La Loupe revient sur quatre referendums marquants avec l'historien Nicolas Rousselier et Eric Mandonnet, le rédacteur en chef du service politique de L'Express. Dans le premier épisode, on vous raconte le scrutin fondateur de 1958 par lequel les Français approuvent la nouvelle Constitution.Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation : Charlotte Baris Ecriture et montage : Solène AlifatRéalisation et montage : Jules Krot Crédits : BFMTV, CNews, INA, TF1 Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy Cambour Pour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 01:25:12 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Chez les Indiens Kunas du Panama, les femmes coupent, dessinent, cousent des pièces de tissus d'une grande beauté : les molas. À travers une variété de motifs colorés, c'est toute la société d'un peuple qui se donne à lire, comme nous l'explique en 2001 Michel Perrin dans "La matinée des autres". - réalisation : Massimo Bellini, Vincent Abouchar - invités : Michel Perrin Ethnologue et anthropologue français
durée : 00:10:29 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Entre le Venezuela et la Colombie, sur le territoire pauvre de la Guajira, vivent depuis des siècles les Indiens Guajiros. En 1976, dans les "Après-midi de France Culture", l'ethnologue Michel Perrin évoque sa rencontre et ses deux années passées avec eux, tentant de percer leurs mystères... - réalisation : Massimo Bellini, Vincent Abouchar - invités : Michel Perrin Ethnologue et anthropologue français
durée : 00:15:03 - Journal de 12h30 - Des dizaines de milliers de personnes sont actuellement assemblées à Londres, à l'appel de Tommy Robinson, activiste d'extrême droite. Un rassemblement pour défendre la liberté d'expression. En parallèle, l'ONG "Debout contre le racisme" organise une marche contre le fascisme. - invités : Julie Delille Comédienne, metteuse en scène, cofondatrice du Théâtre des trois Parques, artiste-directrice du Théâtre du Peuple de Bussang
durée : 00:15:03 - Journal de 12h30 - Des dizaines de milliers de personnes sont actuellement assemblées à Londres, à l'appel de Tommy Robinson, activiste d'extrême droite. Un rassemblement pour défendre la liberté d'expression. En parallèle, l'ONG "Debout contre le racisme" organise une marche contre le fascisme. - invités : Julie Delille Comédienne, metteuse en scène, cofondatrice du Théâtre des trois Parques, artiste-directrice du Théâtre du Peuple de Bussang
Catéchèse du P. Mathieu - 2025-09-12 Un peuple sacerdotal, prophétique et royal by Radio Maria France
Le MMM fête ses 56 ans : « Un parti qui a toujours défendu le petit peuple et prépare une nouvelle génération », affirme Rajesh Bhagwan by TOPFM MAURITIUS
Catéchèse du P. Mathieu - 2025-09-11 L'Eglise, nouveau peuple de Dieu by Radio Maria France
Président-Fondateur trouve que les Gondwanais ne le félicitent pas assez pour son bilan économique extraordinaire.
Président-Fondateur trouve que les Gondwanais ne le félicitent pas assez pour son bilan économique extraordinaire.
L'émission 28 minutes du 10/09/2025 Le mouvement “Bloquons tout”, archétype des révoltes sociales françaises ?Ce 10 septembre, de nombreux blocages ont été recensés dès le début de matinée par le mouvement "Bloquons tout", qui entend représenter un ras-le-bol généralisé du peuple français. Le peuple français, justement, est l'objet du dernier ouvrage de l'historien Gérard Noiriel, spécialiste de l'immigration et de la classe ouvrière. Dans "Le peuple français. Histoire et polémiques" (éditions Tallandier), il aborde notamment la place des femmes, de l'immigration ou de la guerre dans l'histoire de la France et de son peuple. Peuple qui, selon l'auteur, a aussi façonné le pays par ses mobilisations, souvent portées par des questions de justice sociale.Deux ans après son arrivée au pouvoir en Argentine : retour de manivelle pour Javier Milei ?Le président argentin Javier Milei a subi sa première déconvenue électorale depuis son élection en décembre 2023. Son parti, La Libertad Avanza, n'a remporté que 34 % des suffrages aux élections provinciales de Buenos Aires, contre 47 % pour l'opposition de centre-gauche. Une déconvenue dont l'homme à la tronçonneuse se serait volontiers passé alors qu'approchent les élections législatives du 26 octobre, qui vont renouveler un tiers des sénateurs et la moitié des députés. Pourtant, Javier Milei peut se targuer d'avoir tenu l'une de ses promesses : la baisse de l'inflation, qui est passée de 87 % en 2024 à 17,3 % cette année. Ce bilan économique, certes favorable, n'empêche pas le président argentin d'être rattrapé par des scandales : sa sœur, qu'il a nommée secrétaire générale de la présidence, est accusée d'avoir touché des pots-de-vin d'un laboratoire pharmaceutique. Ces déboires électoraux et judiciaires annoncent-ils une seconde partie de mandat tumultueuse pour Javier Milei ?On en débat avec Maricel Rodriguez Blanco, maîtresse de conférences en sociologie à l'Institut Catholique de Paris, Jonathan Marie, professeur d'économie à l'Institut des Hautes Études de l'Amérique Latine (IHEAL) et Daniel Borillo, juriste, professeur à l'université Paris-Nanterre.Enfin, alors que l'Éthiopie inaugure un barrage sur le Nil au grand dam de l'Égypte, Xavier Mauduit revient sur les éternelles guerres de l'eau qui ont miné le cours de ce fleuve. Marie Bonnisseau nous raconte comment un réseau d'articles frauduleux, sous l'entité “Tenu.pro”, essaye d'infiltrer les revues scientifiques.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 10 septembre 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
Invité : Philippe de Villiers, ancien ministre et auteur de l'ouvrage "Populicide" à paraître le 8 octobre aux éditions Fayard Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
In deze aflevering van Plein 33 spreken we met Karen Olesen, oprichtster van Stichting Peuple du Monde.Vanuit Boxmeer runt zij een kindertehuis in Benin, West-Afrika, waar ze zorgt voor ruim 130 weeskinderen. Karen vertelt openhartig over de schrijnende verhalen achter deze kinderen – van verlaten baby's tot kinderen van moeders die hun man vermoordden uit pure wanhoop.We horen over kleine Maurice die uitgroeide tot elektro-ingenieur, over het meisje Nies dat als zesjarige voor haar broertjes zorgde, en over het belang van onderwijs, vakscholing en zelfredzaamheid.Een indrukwekkend gesprek over doorzettingsvermogen, liefde en hoop op de meest kansarme plekken ter wereld.Meer info of doneren? Ga naar www.peupledemonde.nl
durée : 00:04:14 - Comme personne - Des recherches en entomologie ont conduit Damien Charabidzé du laboratoire à l'expertise judiciaire, puis à la faculté de droit de Lille jusqu'à explorer désormais le champ de nouveaux rites funéraires. Portrait d'un enseignant-chercheur, au service des morts et de la vérité.
durée : 00:04:14 - Comme personne - Des recherches en entomologie ont conduit Damien Charabidzé du laboratoire à l'expertise judiciaire, puis à la faculté de droit de Lille jusqu'à explorer désormais le champ de nouveaux rites funéraires. Portrait d'un enseignant-chercheur, au service des morts et de la vérité.
Niché au cœur des Vosges, le Théâtre du peuple de Bussang a été fondé en 1895 par l'écrivain et poète français Maurice Pottecher. Ce théâtre, unique, fête cette année ses 130 ans. Le Théâtre du peuple est né à Bussang dans les Vosges en 1895. Il a été fondé par Maurice Pottecher (1867-1960). Son idée était révolutionnaire pour l'époque : créer un théâtre populaire, humaniste et universel, accessible à tous, loin des élites parisiennes. Sa devise, inscrite au fronton du théâtre, en résume l'esprit :« Par l'art, pour l'humanité. » Il fait construire un bâtiment en bois en pleine nature, en plein air et à flanc de montagne, avec un mur de scène qui s'ouvre sur la forêt, permettant de mêler jeu théâtral et paysage naturel. Faire du théâtre avec le peuple Le théâtre accueille dès l'origine des acteurs amateurs et professionnels. Au début du XXe siècle, il devient un lieu phare du théâtre populaire en France, inspirant plus tard d'autres initiatives (Firmin Gémier, Jean Vilar, etc.). Après la mort de Pottecher, l'activité ralentit, mais le lieu reste un symbole de la démocratisation culturelle. Dans les années 1970-1980, le théâtre connaît un renouveau grâce à de nouvelles équipes artistiques. Le Théâtre du peuple fonctionne toujours, chaque été, à Bussang. Il mêle créations contemporaines, classiques revisités et spectacles ouverts sur la nature. Invité.e.s : Julie Delille, metteuse en scène. Directrice du Théâtre du peuple depuis deux ans et Paul Francesconi, l'un des deux auteurs du feuilleton théâtral qui sera joué pour les 130 ans : « Héritier des brumes : la folle histoire du Théâtre du peuple » dont le texte est édité aux éditions Esse que.
Niché au cœur des Vosges, le Théâtre du peuple de Bussang a été fondé en 1895 par l'écrivain et poète français Maurice Pottecher. Ce théâtre, unique, fête cette année ses 130 ans. Le Théâtre du peuple est né à Bussang dans les Vosges en 1895. Il a été fondé par Maurice Pottecher (1867-1960). Son idée était révolutionnaire pour l'époque : créer un théâtre populaire, humaniste et universel, accessible à tous, loin des élites parisiennes. Sa devise, inscrite au fronton du théâtre, en résume l'esprit :« Par l'art, pour l'humanité. » Il fait construire un bâtiment en bois en pleine nature, en plein air et à flanc de montagne, avec un mur de scène qui s'ouvre sur la forêt, permettant de mêler jeu théâtral et paysage naturel. Faire du théâtre avec le peuple Le théâtre accueille dès l'origine des acteurs amateurs et professionnels. Au début du XXe siècle, il devient un lieu phare du théâtre populaire en France, inspirant plus tard d'autres initiatives (Firmin Gémier, Jean Vilar, etc.). Après la mort de Pottecher, l'activité ralentit, mais le lieu reste un symbole de la démocratisation culturelle. Dans les années 1970-1980, le théâtre connaît un renouveau grâce à de nouvelles équipes artistiques. Le Théâtre du peuple fonctionne toujours, chaque été, à Bussang. Il mêle créations contemporaines, classiques revisités et spectacles ouverts sur la nature. Invité.e.s : Julie Delille, metteuse en scène. Directrice du Théâtre du peuple depuis deux ans et Paul Francesconi, l'un des deux auteurs du feuilleton théâtral qui sera joué pour les 130 ans : « Héritier des brumes : la folle histoire du Théâtre du peuple » dont le texte est édité aux éditions Esse que.
Dans trois semaines, le 21 septembre, très exactement 6 millions 768 mille 458 électeurs, incluant les résidents à l'étranger, seront appelés aux urnes pour se prononcer sur le projet de nouvelle Constitution. Ce chiffre définitif du fichier électoral biométrique permanent a été donné par la Direction générale des Élections, précise le site Guinée 7, « après les opérations de vérification et de correction des listes électorales. » Hier, rapporte le site Guinée News, pour marquer le lancement de la campagne, une marche a été organisée dans les rues de Kaloum (l'une des communes de Conakry), « en soutien total au CNRD » au pouvoir, le Comité National du Rassemblement et du Développement. « Des milliers de participants, vêtus de blanc, se sont rassemblés sur l'esplanade du Palais du Peuple avant de défiler calmement en direction du boulevard Telly Diallo. Cette marche blanche symbolise, pointe Guinée News, la volonté de promouvoir la paix, l'unité, et le développement, en s'inscrivant dans la vision et les réformes engagées par le CNRD. Le choix de la couleur blanche n'est pas anodin ; il représente la pureté des intentions et l'espoir d'un avenir radieux pour la nation guinéenne, loin des clivages politiques du passé. » Parallèlement, certains poids-lourds du gouvernement ont commencé à donner de la voix : « les Ministres Djami Diallo et Bouna Sylla ont appelé à voter largement en faveur du oui », rapporte AfricaGuinée. L'opposition muselée… Reste que « cette campagne pour le référendum constitutionnel du 21 septembre s'ouvre dans un climat tendu. » C'est ce que souligne Afrik.com. « La suspension des principaux partis réduit le pluralisme et renforce les soupçons d'un passage en force du général Doumbouya. L'opposition et la société civile appellent à manifester, malgré les risques de violences. Sous pression, les médias dénoncent des restrictions qui limitent le débat public. » C'est le cas du site d'information guinéen Ledjely : « l'UFDG de Cellou Dalein Diallo et le RPG d'Alpha Condé, suspendus depuis le 22 août, (…) annoncent des manifestations à partir de vendredi prochain (5 septembre, date symbolique, puisque ce sera le 4e anniversaire de la prise de pouvoir de Mamadi Doumbouya). Mais il ne faut guère se faire d'illusions, soupire Ledjely : en l'absence de leurs leaders respectifs, contraints à l'exil depuis des années, il est peu probable que les militants répondent massivement à l'appel. D'autant plus que le ministre de l'Administration du territoire et de la Décentralisation a mis en garde contre toute tentative de semer le trouble, et que les partis suspendus se sont vu interdire toute activité. » Quelle participation ? Alors, « dans les faits, constate Ledjely, les partisans du oui règneront donc en maîtres sur le terrain durant les deux prochaines semaines. Mais, prévient le site guinéen, cela pourrait se traduire par un faible engouement populaire, notamment de la part de ceux dont les opinions n'auront pas eu d'espace pour s'exprimer. (…) Le texte adopté pourrait (donc) symboliquement porter la marque de la fracture qui traverse le pays. (…) Et se traduire par un faible taux de participation au référendum du 21 septembre. (…) Et ce serait une tare congénitale, s'exclame Ledjely, que certains pourraient toujours lui reprocher. Il faut rappeler qu'en la matière, le référendum fondateur de septembre 1958 avait enregistré un taux de participation de plus de 85 %, tandis que celui de décembre 1990 — comparable à celui attendu le 21 septembre prochain — avait mobilisé un peu plus de 97 % des électeurs inscrits. » Doumbouya : « une forme d'exercice solitaire du pouvoir » Jeune Afrique, pour sa part, fait le point sur la garde rapprochée de Mamadi Doumbouya. Jeune Afrique répertorie les proches du général, militaires ou civils, officiels ou dans l'ombre, « politiciens dévoués et conseillers du soir. » Ils sont moins d'une vingtaine. Principalement rassemblés au sein d'une nouvelle institution. En effet, précise le site panafricain, « pour “sécuriser“ le vote référendaire et “répondre avec efficacité à tous les défis sécuritaires“, Mamadi Doumbouya s'est doté d'un Conseil supérieur de défense et de sécurité nationale. Tous ses membres ont posé, le 18 août dernier, pour la photo de famille à l'issue de sa première réunion. En première ligne, quelques figures civiles bien connues devant un parterre d'hommes en tenue, parmi lesquels les indéboulonnables du CNRD. Qu'ils soient ministres ou militaires, plusieurs de ces hommes sont au cœur du dispositif du général pour se maintenir au pouvoir après l'avoir conquis par la force. Mais Mamadi Doumbouya semble plus méfiant que jamais, relève encore Jeune Afrique. “Il est difficile de s'y retrouver, tant le président s'enferme de plus en plus dans une forme d'exercice solitaire du pouvoir“, remarque un observateur à Conakry. “Doumbouya, glisse un ancien ministre, souffre de la complotite aiguë guinéenne, qui explique aussi qu'il s'est refermé sur lui-même. »
Dans trois semaines, le 21 septembre, très exactement 6 millions 768 mille 458 électeurs, incluant les résidents à l'étranger, seront appelés aux urnes pour se prononcer sur le projet de nouvelle Constitution. Ce chiffre définitif du fichier électoral biométrique permanent a été donné par la Direction générale des Élections, précise le site Guinée 7, « après les opérations de vérification et de correction des listes électorales. » Hier, rapporte le site Guinée News, pour marquer le lancement de la campagne, une marche a été organisée dans les rues de Kaloum (l'une des communes de Conakry), « en soutien total au CNRD » au pouvoir, le Comité National du Rassemblement et du Développement. « Des milliers de participants, vêtus de blanc, se sont rassemblés sur l'esplanade du Palais du Peuple avant de défiler calmement en direction du boulevard Telly Diallo. Cette marche blanche symbolise, pointe Guinée News, la volonté de promouvoir la paix, l'unité, et le développement, en s'inscrivant dans la vision et les réformes engagées par le CNRD. Le choix de la couleur blanche n'est pas anodin ; il représente la pureté des intentions et l'espoir d'un avenir radieux pour la nation guinéenne, loin des clivages politiques du passé. » Parallèlement, certains poids-lourds du gouvernement ont commencé à donner de la voix : « les Ministres Djami Diallo et Bouna Sylla ont appelé à voter largement en faveur du oui », rapporte AfricaGuinée. L'opposition muselée… Reste que « cette campagne pour le référendum constitutionnel du 21 septembre s'ouvre dans un climat tendu. » C'est ce que souligne Afrik.com. « La suspension des principaux partis réduit le pluralisme et renforce les soupçons d'un passage en force du général Doumbouya. L'opposition et la société civile appellent à manifester, malgré les risques de violences. Sous pression, les médias dénoncent des restrictions qui limitent le débat public. » C'est le cas du site d'information guinéen Ledjely : « l'UFDG de Cellou Dalein Diallo et le RPG d'Alpha Condé, suspendus depuis le 22 août, (…) annoncent des manifestations à partir de vendredi prochain (5 septembre, date symbolique, puisque ce sera le 4e anniversaire de la prise de pouvoir de Mamadi Doumbouya). Mais il ne faut guère se faire d'illusions, soupire Ledjely : en l'absence de leurs leaders respectifs, contraints à l'exil depuis des années, il est peu probable que les militants répondent massivement à l'appel. D'autant plus que le ministre de l'Administration du territoire et de la Décentralisation a mis en garde contre toute tentative de semer le trouble, et que les partis suspendus se sont vu interdire toute activité. » Quelle participation ? Alors, « dans les faits, constate Ledjely, les partisans du oui règneront donc en maîtres sur le terrain durant les deux prochaines semaines. Mais, prévient le site guinéen, cela pourrait se traduire par un faible engouement populaire, notamment de la part de ceux dont les opinions n'auront pas eu d'espace pour s'exprimer. (…) Le texte adopté pourrait (donc) symboliquement porter la marque de la fracture qui traverse le pays. (…) Et se traduire par un faible taux de participation au référendum du 21 septembre. (…) Et ce serait une tare congénitale, s'exclame Ledjely, que certains pourraient toujours lui reprocher. Il faut rappeler qu'en la matière, le référendum fondateur de septembre 1958 avait enregistré un taux de participation de plus de 85 %, tandis que celui de décembre 1990 — comparable à celui attendu le 21 septembre prochain — avait mobilisé un peu plus de 97 % des électeurs inscrits. » Doumbouya : « une forme d'exercice solitaire du pouvoir » Jeune Afrique, pour sa part, fait le point sur la garde rapprochée de Mamadi Doumbouya. Jeune Afrique répertorie les proches du général, militaires ou civils, officiels ou dans l'ombre, « politiciens dévoués et conseillers du soir. » Ils sont moins d'une vingtaine. Principalement rassemblés au sein d'une nouvelle institution. En effet, précise le site panafricain, « pour “sécuriser“ le vote référendaire et “répondre avec efficacité à tous les défis sécuritaires“, Mamadi Doumbouya s'est doté d'un Conseil supérieur de défense et de sécurité nationale. Tous ses membres ont posé, le 18 août dernier, pour la photo de famille à l'issue de sa première réunion. En première ligne, quelques figures civiles bien connues devant un parterre d'hommes en tenue, parmi lesquels les indéboulonnables du CNRD. Qu'ils soient ministres ou militaires, plusieurs de ces hommes sont au cœur du dispositif du général pour se maintenir au pouvoir après l'avoir conquis par la force. Mais Mamadi Doumbouya semble plus méfiant que jamais, relève encore Jeune Afrique. “Il est difficile de s'y retrouver, tant le président s'enferme de plus en plus dans une forme d'exercice solitaire du pouvoir“, remarque un observateur à Conakry. “Doumbouya, glisse un ancien ministre, souffre de la complotite aiguë guinéenne, qui explique aussi qu'il s'est refermé sur lui-même. »
Description : Une vie de sainteté et de communion fondée sur les promesses de Dieu. #les_promesses_de_Dieu #9 À l'église Le Sentier, nous sommes vivement convaincus de l'impact que nous avons, par la grâce du Seigneur, de rallier les frères et sœurs de l'Église. Nous désirons poursuivre dans notre mission de saturer notre milieu de l'Évangile, non seulement au sein même de notre église et de la ville, mais également en ligne, en faisant rayonner Le Sentier sur l'étendue de la toile. Veuillez considérer souscrire à la chaîne YouTube de l'église https://www.youtube.com/egliselesentier?sub_confirmation=1 Suivez l'église Le Sentier sur : - Facebook (https://www.facebook.com/egliselesentier) - YouTube (https://www.youtube.com/user/egliselesentier) - Site Web (https://www.egliselesentier.com) #gatineau #eglise #egliselesentier #jesus
durée : 00:43:47 - Questions du soir : le débat - par : Marguerite Catton - "Bloquons tout", c'est le mot d'ordre qui circule depuis la mi-juillet sur les réseaux sociaux : un appel à bloquer le pays le 10 septembre au moyen de cortèges ou de boycott. Echauffée par le plan d'austérité du gouvernement Bayrou, une partie des concitoyens veut réactiver un mouvement populaire. - réalisation : Phane Montet - invités : François Boulo Avocat au barreau de Rouen. Il est l'un des principaux porte-parole des gilets jaunes, auteur de " Reprendre le pouvoir " (Les liens qui libèrent, 2021).; Elisabeth Godefroy Doctorante à Sciences Po Bordeaux au Centre Emile Durkheim; Paola Sedda Maîtresse de conférences en sciences de l'information et de la communication à l'Université de Lille
durée : 00:43:47 - Questions du soir : le débat - par : Marguerite Catton - "Bloquons tout", c'est le mot d'ordre qui circule depuis la mi-juillet sur les réseaux sociaux : un appel à bloquer le pays le 10 septembre au moyen de cortèges ou de boycott. Echauffée par le plan d'austérité du gouvernement Bayrou, une partie des concitoyens veut réactiver un mouvement populaire. - réalisation : Phane Montet - invités : François Boulo Avocat au barreau de Rouen. Il est l'un des principaux porte-parole des gilets jaunes, auteur de " Reprendre le pouvoir " (Les liens qui libèrent, 2021).; Elisabeth Godefroy Doctorante à Sciences Po Bordeaux au Centre Emile Durkheim; Paola Sedda Maîtresse de conférences en sciences de l'information et de la communication à l'Université de Lille
A l'occasion de la Journée des travailleurs humanitaires, ce 19 août, nous mettons à l'honneur Etiennette Mukwanga.Psychologue clinicienne congolaise, spécialiste des questions de protection et de violences basées sur le genre, elle s'est forgé une expérience solide à Kinshasa, aussi bien auprès des enfants des rues que comme maître de stage au Centre neuropsychiatrique de l'Université de Kinshasa.Recrutée ensuite par l'agence des Nations Unies pour la santé sexuelle et reproductive (UNFPA), elle a été envoyée à Goma — où elle se trouvait en début d'année lorsque cette ville de l'est de la République démocratique du Congo a été prise par un groupe armé.Dans cet entretien accordé à ONU Info, Etiennette Mukwanga raconte pourquoi elle a choisi de se vouer à l'appui psychologique dans un cadre humanitaire et revient sur l'expérience qu'elle a vécu en début d'année.(Interview : Etiennette Mukwanga, Spécialiste en Santé mentale et Soutien Psychosocial à l'UNFPA Goma; propos recueillis par Cristina Silveiro)
Entre 904 et 913 morts, dont plus de 300 enfants. Plus de quarante ans après le massacre de la secte du Temple du Peuple, en pleine jungle du Guyana, le décompte n'est toujours pas établi avec précision. Ce 18 novembre 1978, le gourou américain Jim Jones, anéantissait dans la terreur, le poison, les cris et les rafales de mitraillettes, la puissante organisation dont il avait posé la première pierre une vingtaine d'années auparavant. Le monde entier, interloqué, découvre alors les images de cette tuerie de masse commanditée par un seul homme.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:28 - Comme personne - Il était une rockstar, la guerre a fait de lui un soldat. Sa version d'un vieil hymne patriotique ukrainien, chanté a cappella aux premiers jours de la guerre est devenue l'hymne fédérateur des ukrainiens emportés dans la guerre.
durée : 00:04:28 - Comme personne - Il était une rockstar, la guerre a fait de lui un soldat. Sa version d'un vieil hymne patriotique ukrainien, chanté a cappella aux premiers jours de la guerre est devenue l'hymne fédérateur des ukrainiens emportés dans la guerre.
durée : 00:41:03 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins d'été) - par : Julie Gacon, Sarah Masson - Cela fait plus d'un an qu'a débuté la Mission Multinationale d'Appui à la Sécurité (MMAS) en Haïti, censée seconder les forces locales dans leur lutte contre les gangs armés qui sévissent dans le pays, où la misère et la violence continuent de faire rage, avec déjà plus de 3000 morts en 2025. - réalisation : Sam Baquiast, Vivian Lecuivre - invités : Jean-Marie Théodat Géographe, maître de conférences à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
durée : 02:00:04 - Les Matins d'été - par : Julie Gacon, Sarah Masson - . - réalisation : Sam Baquiast - invités : Jean-Marie Théodat Géographe, maître de conférences à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne; Tiken Jah Fakoly Artiste; Nathalie Coutinet Economiste à l'université de Sorbonne Paris Nord et chercheuse au Centre d'économie de l'université de Paris-Nord (CEPN)
durée : 00:29:22 - Avoir raison avec... - par : Marie-Lys de Saint Salvy - En 1857, le géographe Élisée Reclus revient en France désargenté. Jusqu'en 1871, il multiplie les voyages, poursuit ses engagements militants et publie ses premiers écrits scientifiques avec pour objectif de rendre la géographie populaire. Pourquoi un peuple devrait-il connaître la géographie ? - réalisation : Chloé Leblond - invités : Béatrice Giblin Géographe, professeure émérite à l'Institut Français de Géopolitique (Université Paris 8), et directrice de la revue Hérodote
Levi Loewen - Jean 6.34–40 ➡️ La mission de Jésus aurait-elle pu échouer ? Qu’en est-il de ceux qui ne croient pas ? Même si la foule manifeste un intérêt pour le pain de vie, son désir est superficiel et fondé sur une faim terrestre, non sur une foi véritable. Le Père a envoyé Jésus avec une mission, qu’il ne pouvait pas échouer : sauver ceux que le Père lui a donnés. Même notre incrédulité ne pouvait l’arrêter. La volonté de Dieu triomphe de tout par Jésus accomplissant réellement le salut pour ceux à qui il était destiné. Il est le Pain descendu du ciel. Plan : 1. La nourriture qui ne peut rassasier (v.34, 36) 2. Le pain qui ne peut échouer (v.35) 3. La mission qui ne peut être arrêtée (v.37–38) 4. Le peuple qui ne peut être perdu (v.39–40) Textes complémentaires: - Avant le culte : Ésaïe 55
« Naam », manger en thaïlandais. Mais « naam » signifie plus encore, c'est un tout : la nourriture est partout, en tout. Elle reflète et exprime tous les piliers de la vie en Thaïlande : la royauté, la famille et la religion. Qui en douterait après avoir assisté à l'offrande aux moines le matin ? Chaque foyer sort sur le pas de sa porte et dépose une partie de son repas dans les grands bols déposés par les moines. L'ouverture, l'accueil, le pays s'est construit aussi au fil des immigrations chinoises, birmanes, khmères, et de voisins plus lointains. La cuisine thaï est une incontournable de l'humanité, elle est le reflet de ces cuisines voisines dont les travailleurs étaient nostalgiques, elle raconte l'histoire de ce royaume de Siam jamais colonisé, de son riz, des saveurs de ses fruits et de ses racines, de la papaye, du galanga, du citron kaffir, du citron vert, du sucre de palme, de l'ail, et de la pâte de curry. On a envie que la découverte s'étire et de tester chaque saveur, si lointaine et pourtant étonnamment familière, qui les unes et les autres s'accordent dans une complexité et un raffinement époustouflants et addictifs. Fascinante et addictive cuisine, parfumée, raffinée : le goût d'un peuple. « La Thaïlande est un pays qui s'étire en longueur, la cuisine du nord n'a rien à voir avec celle du sud. Au nord, c'est une cuisine de montagne assez rustique, très herbacée, avec des influences très fortes de la Birmanie. Dans la région Isan au nord-est, grenier à riz de la Thaïlande, on trouve la som tam, salade de papaye verte. Plus au sud à l'est vers le Cambodge les influences sont khmères avec des aliments fermentés, la cuisine du sud très typée avec des influences musulmanes, cela a été un comptoir avec des influences musulmanes, persanes, malaises vers le XVIIIème une culture de la noix de coco, beaucoup de fruits, et au centre une cuisine assez métissée parce que toutes les communautés du pays y vivent. Sous Rama V le roi a décidé de diffuser des recettes qui viennent de la cour, qui ont apporté beaucoup de raffinement ». Anne Coppin, cuisinière autrice globe trotteuse et cheffe propriétaire des restaurants Naam à Lille et Paris. Retrouvez l'instagram du restaurant ici et la chaîne youtube d'Anne Coppin ici. Bolan Chef Bo et Dylan jones à Bangkok. Cuisine Thaï authentique, les chefs proposent une cuisine thaï authentique, éthique et bio. Chef Jay, Charmkrung chang cook. Des techniques et un très grand respect des recettes : « Chez Naam, je veux les recettes les plus pures et montrer le côté méconnu de cette cuisine. C'est vrai que le compliment le plus beau que l'on me fait c'est : Oh lala je n'ai pas mangé de cuisine aussi thaï depuis que je suis revenu de voyage ! J'essaie de faire une cuisine sans compromis dans laquelle je vais vraiment chercher les saveurs thaï avec la liberté de cuisiner ici, sans pression comparée à celle des cuisiniers thaï ici. Ils vont être tentés d'aller moins vers le piquant, je peux me permettre de montrer cette facette ». Pour aller plus loin Food trotter Thaïlande de Anne Coppin – éditions Umai Happy world food : 80 recettes pour faire voyager d'Anne Coppin éditions Umai ERR Urban Rustic Thaï de Bo Songsisava et Dylan Jones Thaïlande le livre de cuisine de Jean Pierre Gabriel éditions Phaïdon Street Food de Jean-François Mallet Cuisine thaïlandaise maison d'Orathay Souksisavanh - éditions Marabout La cuisine thaï illustrée – éditions Mango Programmation musicale : Sweet danger de Obongjavar
Etienne Fakaba Sissoko est un économiste malien, professeur à l'université de Bamako et voix critique de la Transition. Après avoir publié fin 2023 un livre dans lequel il dénonçait la « propagande » des autorités de transition, Etienne Fakaba Sissoko a été condamné notamment pour « atteinte au crédit de l'État » et a passé un an en prison. Etienne Fakaba Sissoko avait déjà été emprisonné pendant six mois, deux ans plus tôt, sans aucune condamnation.Libéré fin mars, Etienne Fakaba Sissoko est désormais exilé, de passage en France. Tenir, témoigner, lutter : durant sa détention, le chercheur a écrit plusieurs livres dont Le trône des illusions (mai 2025, L'Harmattan). Un roman, une fiction, où le Mali de transition transparaît à chaque page. Les personnages et les situations collent au réel… sauf pour la fin, où l'auteur imagine la chute du régime. Etienne Fakaba Sissoko est l'invité Afrique de RFI, au micro de David Baché. RFI : Votre roman se passe dans le pays imaginaire de Gayma, sous un régime militaire putschiste autoritaire, le protagoniste Sabu est « un professeur devenu résistant », qui comme vous écrit, dénonce, est emprisonné… Je ne fais pas la liste des personnages dont on reconnaît facilement à qui ils correspondent : pourquoi avoir écrit un roman, et pas un essai politique sur le Mali de transition ? Etienne Fakaba Sissoko : Déjà, le fait de me retrouver en prison était dû à un essai politique que j'avais écrit : « Propagande, agitation, harcèlement, la communication gouvernementale sous la transition militaire ». Et donc, puisque la lutte aussi, c'est des phases, j'ai voulu essayer autre chose que d'appeler les choses par leur nom, tout en laissant la possibilité au lecteur de savoir exactement à quoi on fait référence. À lire aussiMali: après un an passé en détention, l'universitaire Étienne Fakaba Sissoko a été libéré Vous décrivez dans votre livre des scènes très touchantes, en prison, qui réunissent d'anciens ministres et des jeunes militants, avec des discussions politiques, des désaccords, mais aussi un amour de la patrie et une forme de fraternité. C'est-ce que vous avez vécu, dans la prison de Kenioroba ? Aujourd'hui effectivement oui, lorsqu'on pense à ces moments douloureux, je pense encore Adama Ben Diarra dit « Ben le cerveau », je pense à Ras Bath, à « Rose la vie chère », Clément Dembélé, Kalilou Doumbia, Adama Sangaré, l'ancien maire de Bamako… tous ces résistants qui se retrouvent aujourd'hui en prison et qui ont été des soutiens mutuels. On vivait les mêmes injustices, les mêmes privations de liberté et donc la seule alternative pour tenir, c'était justement de se nourrir de ces rêves pour le pays et surtout de ces débats que nous avions au quotidien. Donc c'était une fraternité effectivement, comme vous le dites, mais c'était surtout des moments profonds de réflexion pour l'avenir de notre nation. À lire aussiMali: l'économiste Etienne Fakaba Sissoko attend toujours son procès en appel Vous définissez le régime militaire de Gayma, le pays de votre roman, comme « un empire de répression et d'illusion ». C'est ce que vous pensez de la Transition malienne ? Pas que de la transition malienne. De toutes les transitions aujourd'hui au Sahel : que le lecteur soit du Niger, du Burkina ou du Mali, il saura retrouver les traits des pays qui répriment les libertés fondamentales, les libertés individuelles, qui dissolvent les partis politiques. Des régimes autoritaires qui se donnent des mandats à durée indéterminée, qui n'acceptent plus la critique et qui, finalement, se retrouvent dans des pays divisés où les populations se regardent en chiens de faïence. Et tout cela dans un contexte d'insécurité, de pauvreté extrême. Et l'illusion ? L'illusion, c'est le fait de croire que tout cela peut perdurer. Le fait de croire qu'avec la répression, on puisse se maintenir au pouvoir pour 5 ans, pour 10 ans, sans résultat probant. L'illusion, c'est surtout de penser que les populations resteront dans cette situation-là. Et aujourd'hui, nous sommes dans cette illusion-là qui est entretenue par nos autorités militaires, qui ont pris goût aux délices du pouvoir. L'illusion, c'est tout le narratif qui est présenté aujourd'hui aux populations. La question de la lutte contre l'insécurité. Nous avons suivi Kayes qui est tombée… À lire aussiMali: la Cour d'appel confirme la condamnation et la peine de prison d'Étienne Fakaba Sissoko Les attaques jihadistes tout le long de la frontière sénégalaise et mauritanienne, et notamment dans cette ville de Kayes. Exactement, et ces sept attaques qui se sont tenues simultanément dans ces régions-là montrent combien l'insécurité a gagné du terrain. Mais quand vous écoutez les autorités, vous avez l'impression que tout se passe bien. L'illusion, c'est surtout de dire qu'au Mali tout va bien, alors que les populations n'ont pas à manger trois fois par jour. L'illusion, c'est surtout de croire que nous avons un pays qui se développe lorsque que la moindre des choses qui est l'électricité, nous ne l'avons pas. Donc oui, l'illusion, c'est le narratif servi par les autorités maliennes actuellement. Dans votre livre, les habitants ont peur et n'osent pas critiquer le régime. Est-ce que c'est vraiment le cas, selon vous, au Mali ? Est-ce que la Transition n'est pas populaire, malgré les difficultés ? Si la Transition était populaire, elle aurait organisé les élections, comme elle a organisé le référendum il y a quelques années. Lorsqu'on est populaire, on n'a pas peur de se confronter au suffrage universel. Les militaires qui sont au pouvoir ne vont pas aux élections parce qu'ils savent qu'ils n'ont pas le soutien du peuple malien. Le rejet est tel que c'est impossible aujourd'hui pour les autorités actuelles, notamment Assimi Goïta, de se confronter au suffrage universel. Mais les objectifs de la Transition : sécuriser le pays, faire du Mali un pays souverain qui décide pour lui-même, ce ne sont pas des objectifs légitimes ? Des objectifs légitimes oui, mais lorsqu'on a passé cinq ans déjà dans une transition et qu'on n'est pas arrivé à lutter contre l'insécurité et que finalement, on se retrouve dans une situation où c'est l'inverse : l'insécurité qui était d'abord concentrée au nord s'est retrouvée au centre et aujourd'hui, c'est tout le pays, y compris le sud, le sud-ouest, qui sont touchés par l'insécurité. Donc en l'absence de résultats, on ne peut pas confier encore un mandat supplémentaire. C'est pourquoi je dis : quels que soient les objectifs que ces autorités-là vont présenter au peuple malien, ils ont échoué, ils doivent partir. De gré ou de force. À lire aussiMali: la Cour d'appel confirme la condamnation et la peine de prison d'Étienne Fakaba Sissoko Votre livre devient véritablement fiction lorsque le peuple se soulève et finit par renverser le tyran. Vous racontez une insurrection populaire, que vous appelez « la grande convergence », dans les villes et les campagnes, avec des réunions clandestines, et aussi le soutien de militaires désabusés… Ce que vous écrivez, on comprend que c'est peut-être ce que vous souhaitez. Est-ce que vous pensez vraiment que ça peut se passer comme ça ? C'est un vœu pour certains, mais pour moi, c'est un travail. C'est un travail de rassemblement, un travail de discussion, un travail de dialogue avec tous ceux qui aujourd'hui sont des acteurs importants de la stabilité du Mali. Je parle des partis politiques, je parle des groupes armés, qu'ils soient des groupes armés avec des revendications politiques ou des groupes armés avec d'autres types de revendications… Les rebelles et les djihadistes, pour traduire. Absolument. Il faut discuter avec tout le monde, arrêter de faire le faux-fuyant et penser que la guerre à elle seule peut amener la paix dans notre pays. Nous l'avons expérimenté depuis 2012. Jusqu'à maintenant, la situation continue de se détériorer. Il faut trouver autre chose. Vous êtes longtemps resté au Mali, malgré les risques. Vous en avez payé le prix, en séjournant longuement en prison. À présent que vous êtes sorti, vous êtes de passage en France, qu'est-ce que vous allez faire ? Je vais continuer à échanger avec les différents acteurs, tous ceux qui aujourd'hui estiment que le Mali a assez souffert sous cette dictature-là, tous ceux qui adoptent comme principe que la démocratie est la seule voie qui vaille au Mali et qu'il faut se battre pour arracher le pays des griffes de ces militaires actuellement au pouvoir. À lire aussiMali: le procès en appel de l'économiste Étienne Sissoko débute à Bamako
Onze ans après l'adoption de la nouvelle Constitution égyptienne qui prévoyait son retour sur ses terres ancestrales d'où il avait été chassé il y a plus de soixante ans par la construction du haut barrage d'Assouan, le peuple nubien attend toujours. De notre correspondant de retour d'Assouan, Martin Dumas Primbault C'est jour de mariage dans ce village nubien. Les doufoufs, percussions traditionnelles, résonnent dans toutes les rues. « Il n'y a qu'en Nubie qu'on célèbre les mariages avec les doufoufs, et surtout ici, dans ce village », précise un habitant. La commune de Dehmit, à 60 kilomètres au nord d'Assouan, fait partie de celles qui ont été construites dans les années 1960 pour reloger les déplacés après l'édification du barrage. Amer Nour, 62 ans, est né ici : « La Nubie a été totalement sacrifiée. Malheureusement, nous n'avons jamais obtenu justice. Regardez, 62 ans après le déplacement, il n'y a toujours pas de système d'assainissement dans les villages de déplacés. C'est pourtant un des droits humains les plus élémentaires ». À lire aussiBarrage d'Assouan: les populations nubiennes réclament le retour à leurs terres Cette histoire douloureuse remonte à 1960 lorsque le président égyptien Gamal Abdel Nasser lance la construction du haut barrage d'Assouan. Le projet pharaonique, inauguré le 15 janvier 1971, est une promesse de développement pour le pays, autant qu'un drame pour les Nubiens. Le lac de rétention engloutit les rives du Nil sur lesquels ils vivaient. Près de 100 000 d'entre eux sont déplacés, pour beaucoup relogés dans des villages artificiels construits en plein désert aux alentours de la ville d'Assouan. Leur destin est alors oublié. Jusqu'en 2014, où la nouvelle Constitution égyptienne, née après le printemps arabe, promet dans son article 236 un droit au retour de ce peuple, sous dix ans, sur ses terres ancestrales, au bord du lac Nasser. Onze ans plus tard, Amer Nour fait part de son amertume. « Cette décision n'a jamais été appliquée, dénonce-t-il. Au contraire, il y a eu un décret présidentiel qui établit une zone militaire de 110 kilomètres depuis la frontière avec le Soudan. Alors qu'on aurait dû obtenir 17 villages dans cette zone. C'est une injustice flagrante ! » En 2017, à Assouan, la dernière manifestation pacifique en date avait été durement réprimée par la police. « Dieu nous préserve, il n'y a pas de minorité en Égypte, selon le gouvernement. Nous sommes tous des citoyens modèles. C'est en tout cas le narratif que le gouvernement essaye d'imposer à la population », explique un activiste qui préfère rester anonyme par peur des représailles. « Les Nubiens sont une minorité. Mais ils disent qu'ils sont égyptiens-nubiens, pas l'inverse. Ils sont très fiers d'être égyptiens, mais en même temps, ils clament leur identité », constate-t-il. Aujourd'hui, entre promesses constitutionnelles oubliées et silence imposé, les Nubiens continuent de résister, dans leur langue, et en chanson. À lire aussiTerre de rivalités, à quoi ressemblait la Nubie médiévale ?
durée : 00:47:49 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle, Franck COGNARD - Aujourd'hui dans Affaires sensibles, le peuple des Sentinelles ou l'isolement impossible. - réalisé par : Guillaume Girault