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durée : 00:59:55 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Le 24 avril 1945 naissait le chanteur Dick Rivers, pionnier du rock'n'roll français. Le 24 avril 2019, jour de ses 74 ans, il disparaissait. En 2012 dans l'émission "Chanson Boum", il parlait de ses influences musicales et de son dernier album "Mister D" écrit par Jean Fauque et Oli Le Baron. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Dick Rivers Chanteur
durée : 00:02:39 - Le brief politique - Le Premier ministre avait annoncé vouloir lancer le début début février, en plein échange autour du droit du sol. Depuis, rien ne s'est passé ou presque.
durée : 00:26:18 - Le monde d'Elodie - par : Elodie SUIGO - Tous les jours, une personnalité s'invite dans le monde d'Élodie Suigo. Lundi 14 avril 2025 : l'animatrice de télévision Laurence Boccolini. Elle publie son autobiographie "Showtime : Souvenirs du chaos", aux éditions Kero.
Karina vous dévoile les décisions de justice les plus improbables.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A quoi ressemble concrètement un coaching ? A quoi ça sert ? Qu'est ce qui se passe en séance ? Je te raconte tout dans cet épisode !.........☀️ Notes de l'épisode :Quelques témoignages sur la puissance du coaching : ici et ici !Episode 1 "Comment le coaching a changé ma vie" - Lien Spotify - Lien Apple podcasts☀️ Télécharge ma formation gratuite pour t'affranchir du regard des autres et prendre confiance en toi !Tu peux aussi t'abonner à ma newsletter pour recevoir du contenu gratuit et exclusif 2x par mois !.........
➡️ Dans cet épisode, je te raconte ce que j'ai fait vivre à mon mari pendant ma dépression… et ce que j'aurais voulu lui offrir pour l'aider à tenir. Tu découvriras mes 5 conseils pour préserver ton couple sans t'épuiser, même quand l'amour semble gelé.Ton couple tangue à cause de la dépression ?Mission Turbulences t'aide à comprendre ce que vit ton partenaire, poser tes limites et préserver ton lien sans t'épuiser.
Voici l’essentiel de l’épisode du 8 avril 2025 pour l’émission La commission: Dans sa chronique publiée mardi dernier dans La Presse, Patrick Lagacé revient sur l'histoire tragique du petit Jacob, l'une des deux victimes de la tragédie de la garderie éducative Sainte-Rose. Le ministre de la Justice, Simon Jolin-Barrette, se dit prêt à trouver une solution pour la soeur du petit Jacob. Éric Duhaime estime que le Québec devrait imiter le reste du Canada en éliminant son prix sur le carbone. Le chef du Parti conservateur du Québec lance la campagne Prends ton gaz égal afin de faire pression sur le gouvernement Legault. Martin McGuire et Dany Dubé animeront la 1500e description d’un match de hockey des Canadiens de Montréal, ce mardi 8 avril, alors que les Red Wings de Detroit seront les visiteurs au Centre Bell. L’organisme Ma place au travail a mené un sondage qui révèle que les familles en attente d’une place en garderie perdent en moyenne 25 535$ brut par année. Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Le chanteur Ben Mazué sera bientôt l'invité des Petits Papiers. En attendant cette heure inédite en sa compagnie, un mot choisi pour le faire se raconter. Une histoire de chevalier ! Et pour ne pas manquer la diffusion de l'épisode complet, n'hésitez pas à suivre ce podcast ! Merci pour votre écoute Les petits Papiers c'est également en direct tous les dimanches de 17h à 18h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes des petits Papiers sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/2332 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
"Limité à 80" Pascal Atenza revisite l'actualité en 80 secondes ! Découvrez la chronique d'aujourd'hui !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
"Limité à 80" Pascal Atenza revisite l'actualité en 80 secondes ! Découvrez la chronique d'aujourd'hui !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les Canadiens ont gagné un gros match hier. Est-ce qu’on devrait changer la date pour l’obligation des pneus d’hiver? Danick en échappé: C’est sa blonde Salomé qui a décidé de quoi devait parler Danick. Étienne s’est complètement servi de ses enfants pendant une fin de semaine à Toronto. Martin est rendu un octogénaire et ça n’ira pas en s’améliorant. La Minute à Martin: Des immigrants qui doivent trouver des solutions alternatives pour apprendre le français. Debout les Caves - Vos meilleures jokes du jour. Jean-Philippe Wauthier arrête toutes ses activités professionnelles pour épuisement. Débat du Jour: C'est qui le tas de crottes: l'employeur ou les employés qui ont démissionné? Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
durée : 00:28:29 - Les Midis de Culture - par : Marie Sorbier - Guillaume Brac présente deux nouveaux films, "Ce n'est qu'un au revoir" et "Un pincement au cœur", qui forment un diptyque documentaire consacré aux amitiés lycéennes, capturant les instants doux et mélancoliques des fins d'années scolaires. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Guillaume Brac Réalisateur
Il a fallu deux semaines de patience aux enquêteurs pour récupérer les deux paires de boucles d'oreille dérobées.
Il a fallu deux semaines de patience aux enquêteurs pour récupérer les deux paires de boucles d'oreille dérobées.
Aujourd'hui, on se parle plus qu'on ne s'écouteOn se touche plus qu'on ne s'attacheLe s*** est facile. L'amour, beaucoup moinsAvant, on restait même si on souffraitAujourd'hui, on part dès que c'est durÀ force de fuir les schémas d'hier, on a peut-être perdu l'essentiel : le courage de traverser ensembleDans cet épisode, je questionne notre génération, nos façons de nous aimer, de nous fuir, de nous consommerEt si… on s'était juste trompés de combat ?
Coup de théâtre au Qatar, où le Congolais Félix Tshisekedi et le Rwandais Paul Kagame se sont rencontrés secrètement hier. Les deux chefs d'État ont décidé de « poursuivre les discussions entamées hier pour établir les bases solides d'une paix durable », dit le communiqué final. Jusqu'à présent, on croyait que l'Angola faisait médiation entre les deux pays en guerre. Mais après la rencontre d'hier, tout est en train de changer. Trésor Kibangula est analyste politique l'Institut congolais de recherches sur la politique, la gouvernance et la violence. En ligne de Kinshasa, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Est-ce que vous êtes surpris par cette rencontre au Qatar ? Trésor Kibangula : Oui, comme tout le monde. C'était une grande surprise, en tout cas dans la forme, mais pas totalement dans le fond. Parce qu'on sait que Doha a longtemps voulu jouer un rôle dans la médiation entre la RDC et le Rwanda. On se souvient encore d'une tentative en 2023 déjà, mais jusqu'ici, Kinshasa s'y montrait toujours réticent, notamment parce que le Qatar est perçu par les autorités congolaises comme proche de Kigali, notamment avec des investissements au Rwanda et la construction d'un aéroport au Rwanda. Mais au regard des blocages dans les autres formes de médiation, je pense que cette rencontre offre quand même un progrès sur un point essentiel : elle permet aujourd'hui aux deux chefs d'État de se parler directement. Et c'est la première fois depuis des mois que Tshisekedi et Kagame se retrouvent face à face dans un cadre, où ils peuvent discuter sans intermédiaires régionaux.Il y a trois mois, une rencontre entre les deux présidents était déjà prévue, c'était à Luanda, mais à la dernière minute, Paul Kagame avait renoncé à y aller. Pourquoi ça a marché hier ? Plusieurs éléments ont évolué depuis décembre. Les contextes militaires et diplomatiques ont basculé. En décembre, Kinshasa refusait encore totalement l'idée de négocier avec le M23. Kigali, de son côté, a posé comme condition sine qua non des négociations directes entre le gouvernement congolais et les M23, ce que Tshisekedi refusait. Donc beaucoup de choses ont évolué. Les rapports de forces ont changé sur le terrain. Fin janvier, le M23 a pris le contrôle de Goma. Puis en février, Bukavu est tombé aussi. L'armée congolaise n'a pas réussi à reprendre l'initiative et, aujourd'hui, le M23 continue à consolider ses positions. Et sur le plan diplomatique, Kinshasa a finalement accepté l'idée de ce dialogue direct avec le M23. Et de l'autre côté, on voit aussi toutes ces sanctions qui tombent sur le Rwanda. Donc, je pense que, face à cette situation, les deux parties avaient finalement plus d'intérêt à parler aujourd'hui qu'en décembre.Dans le communiqué final d'hier soir, les deux chefs d'État insistent sur le processus conjoint, le processus fusionné, que l'organisation EAC des pays d'Afrique de l'Est et l'organisation SADEC des pays d'Afrique australe ont mis en place le mois dernier à Dar es Salam en faveur de la paix au Congo. Pourquoi cette attention particulière ? Je pense que l'initiative de Luanda n'avait pas vraiment réussi à avoir la confiance de Kigali. Elle était portée par l'Angola de manière plus ou moins isolée. Et aujourd'hui, Doha ne cherche pas à créer un énième format parallèle de médiation. Parce que, lorsqu'on lit les communiqués qataris, on voit très bien effectivement que ce sont les discussions sous l'égide de l'EAC et de la SADEC qui sont encouragées, ce qu'on appelle aujourd'hui les processus fusionnés. Je pense que ces choix peuvent s'expliquer par plusieurs facteurs parce que, un : il correspond aux préférences de Kigali qui a toujours misé sur ces processus fusionnés pour gérer la crise, parce que Kigali a une certaine influence sur l'EAC. Deuxième chose, c'est que ce choix de Doha de préférer les processus fusionnés permettent d'éviter un affrontement entre plusieurs initiatives concurrentes. Parce qu'on était un peu dans une cacophonie d'initiatives de médiation. Avec Doha, maintenant, on essaie de proposer une ligne et c'est le choix des processus fusionnés.Est-ce à dire que les premières négociations directes entre le gouvernement congolais et le M23 n'auront pas lieu à Luanda sous l'égide de l'Angola, mais quelque part ailleurs en Afrique, sous l'égide de ce processus fusionné entre l'EAC et la SADEC ?Ça devient vraiment très difficile d'envisager que la médiation angolaise puisse reprendre la main, à cause de ce déficit de confiance, surtout du côté du M23 et de Kigali. Mais comme les deux parties doivent se parler et qu'il y a eu un progrès avec la rencontre de Paul Kagame et de Félix Tshisekedi à Doha, on pense que le processus pourrait continuer, peut-être en marge des discussions EAC/SADEC qui se tiennent dans le cadre de ces processus fusionnés.À lire aussiTrésor Kibangula: «Doha a longtemps voulu jouer un rôle dans la médiation entre la RDC et le Rwanda»
Thomas Renard revient sur des détails du dossier qui n'ont pas été abordés dans l'émission ! Jean-Christophe ne parvient plus à récupérer son chien guide Sid, qu'il avait confié à l'association d'où il provenait, après une nouvelle chute de ses capacités visuelles. Au micro de Chloé Lacrampe, un membre de l'équipe de "Ça peut vous arriver" revient sur les négociations difficiles et les moments off de ces 2h d'antenne !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:25:35 - Les Grands entretiens - par : Judith Chaine - Connu principalement pour ses tubes "Marguerite", "Il mio refugio" et "Le coup de soleil", Richard Cocciante a marqué de son empreinte la scène française. Retour sur la carrière du compositeur de la comédie musicale "Notre-Dame de Paris" au micro de Laurent Valière.
Bonjour et bienvenue pour ce nouvel épisode ! Aujourd'hui je reçois Safietou Kabengele, Je suis très heureuse de l'accueillir aujourd'hui à la maison, sur mon canapé. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
ESSENTIEL, le rendez-vous culturel de RCJ présenté par Sandrine Sebbane. Elle reçoit Clarisse Serre pour son livre "L'Avocate et le Repenti" paru aux éditions Sonatine et Dominique Versini pour son livre "J'ai rêvé d'un monde plus juste - J'ai voulu réparer le monde" paru aux éditions Flammarion. À propos du livre : « L'Avocate et le Repenti » paru aux éditions Sonatine " Parler, c'est rompre l'omerta. " L'histoire vraie d'un repenti dans la tourmente : menaces de mort, vides juridiques, indiscrétions journalistiques. Un témoignage édifiant qui interroge notre rapport à la justice, par l'une des avocates les plus puissantes de France, conseillère pour les séries Engrenages et 66-5. Lorsqu'elle le rencontre pour la première fois, Clarisse Serre ignore tout de lui. Son nom, son âge, ses origines, son casier judiciaire. Une seule certitude : l'homme est aux abois. Et il a désespérément besoin d'un avocat. Quand elle accepte de l'aider, la pénaliste est loin d'imaginer l'ampleur de la situation à laquelle son client fait face : menaces de mort, relations tendues avec la justice, vides juridiques, indiscrétions journalistiques, méfiance généralisée et fausse identité. Qui est cet individu ? Un homme qui est passé aux aveux. Un homme dont la famille est en danger. Un homme qui a tout perdu, parce qu'il a décidé de collaborer avec la justice. À travers lui, Clarisse Serre va faire l'épreuve d'un statut, celui du repenti. Un statut encore mal identifié en France, et d'autant plus mal protégé, par les lois et la justice. Mais peut-on défendre un client, quand c'est tout le système qui fait défaut ? Clarisse Serre est pénaliste. Sa ténacité, son sens de la plaidoirie et son franc-parler en font une des avocates les plus puissantes de France. Après La Lionne du barreau, qui retraçait son parcours, elle choisit cette fois de raconter une de ses affaires les plus incroyables. Ce faisant, elle retrace la tourmente à laquelle son client et elle ont dû faire face, lorsque celui-ci a défrayé la chronique judiciaire. Un témoignage édifiant. À propos du livre : « J'ai rêvé d'un monde plus juste - J'ai voulu réparer le monde » paru aux éditions Flammarion Descendante d'une lignée de femmes corses soumises à la toute-puissance des hommes, Dominique Versini a grandi au Maroc, élevée dans la précarité par une mère célibataire mise au ban de la "bonne société". Sa vie, elle l'a ensuite consacrée à un engagement passionné auprès des plus démunis. De la création du Samu social à la défense des droits des enfants victimes de maltraitances, elle a mené une existence de convictions. Toujours proche du terrain, Dominique Versini a rencontré des femmes et des hommes anonymes qui ont éclairé son chemin et auxquels elle rend ici leur dignité. Son récit, lumineux malgré l'âpreté de son sujet, révèle ce que l'action politique peut susciter quand elle est guidée par la détermination de changer des vies. Ce livre est aussi l'histoire bouleversante d'une quête d'identité et d'une réconciliation. Un texte porteur d'espoir, d'une intense humanité.
L'histoire d'une femme qui refuse de céder sa place à une femme enceinte, et elle se demande si elle est mauvaise d'agir ainsi ?
En 2012, Yvette Julien, 90 ans, est agressée et assommée à Doué-la-Fontaine dans le Maine-et-Loire. Son agresseur la laisse pour morte mais elle va survivre… Saura-t-elle désigner celui qui a voulu la tuer ?
durée : 00:23:31 - Le monde d'Elodie - par : Elodie SUIGO - Tous les jours, une personnalité s'invite dans le monde d'Élodie Suigo. Vendredi 7 mars 2025 : le chanteur et producteur R&B américano-sénégalais Akon. Avant la sortie d'un nouvel album, il nous offre un premier single "Akon's Beautiful Day".
Répliques. Mayotte en République, c'est le titre de l'ouvrage de Franck Tomps aux éditions Loco. Mayotte, tristement connue pour sa situation économique et sociale tendue, a été sous les feux de l'actualité suite au dernier cyclone qui a ravagé l'île. Le photographe est allé à la rencontre d'une population diversifiée et d'une nature foisonnante. Ses très belles images mettent en avant les richesses de ce territoire sur le plan humain et géographique pour tenter de comprendre la complexité de ce 101ᵉ et plus éloigné département français. Et retrouvez toute l'actualité sur Mayotte sur RFI ici.À écouter dans le Reportage FranceAprès le passage du cyclone Chido, Mayotte montre sa résilience au Salon de l'agriculture
Répliques. Mayotte en République, c'est le titre de l'ouvrage de Franck Tomps aux éditions Loco. Mayotte, tristement connue pour sa situation économique et sociale tendue, a été sous les feux de l'actualité suite au dernier cyclone qui a ravagé l'île. Le photographe est allé à la rencontre d'une population diversifiée et d'une nature foisonnante. Ses très belles images mettent en avant les richesses de ce territoire sur le plan humain et géographique pour tenter de comprendre la complexité de ce 101ᵉ et plus éloigné département français. Et retrouvez toute l'actualité sur Mayotte sur RFI ici.À écouter dans le Reportage FranceAprès le passage du cyclone Chido, Mayotte montre sa résilience au Salon de l'agriculture
Si vous avez cherché de informations sur le tire-allaitement dernièrement il est fort probable que vous soyez tombé sur cette fille qui se nomme « Madame tire-lait » et qui souhaite vous accompagner pour vivre un tire allaitement serein et efficace.C'est elle qu'on reçoit dans Milkshaker aujourd'hui. Ce qui était prévu c'était évidemment de faire un épisode sur tous les tips qu'elle peut vous donner pour améliorer votre utilisation du tire lait. Mais patience, ce sera le suivant.Avant d'aborder les aspects techniques lors d'un épisode expert, j'avais d'abord envie de savoir quelle histoire personnelle se cache derrière ce pseudo-là.Car quand on n'est pas du milieu de et qu'un jour on crée un programme d'accompagnement au tire allaitement, moi je me dis que ce n'est pas pour rien et j'ai envie qu'on me raconte TOUT.Alors tire allaitement exclusif ? Voulu ? Subit ? Allaitement mixte ? Reprise du travail compliquée ? baisses de lactation ? Qu'est ce qui a pu amener Marie Astrid de son vrai prénom à se renseigner comme une professionnelle sur ce sujet si peu souvent mis en avant ?C'est parti pour découvrir le pourquoi du comment de Madame tire lait, que je suis ravie de recevoir dans Milkshaker.Je vous souhaite une belle écoute.Charlotte Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'Union africaine à la croisée des chemins. Alors que s'ouvre le 38e sommet des chefs d'État, l'organisation est de plus en plus critiquée pour son impuissance face aux conflits et crises qui se multiplient sur le continent. Comment expliquer sa faiblesse, et relever ces défis ? Pour en parler, Liesl Louw-Vaudran, chercheuse à l'International Crisis Group (ICG) et spécialiste de l'UA. RFI : Lors de son premier discours d'adieu, mercredi, Moussa Faki Mahamat a invité les chefs d'État de l'Union africaine à se ressaisir. Il s'est montré inquiet pour la survie de l'organisation. Est-ce que le rêve d'une institution panafricaine forte est menacé aujourd'hui ?Liesl Louw-Vaudran : C'est vrai que nous voyons, ces dernières années, des États qui ne voient franchement pas l'intérêt de l'Union africaine pour eux, même pour les processus de paix. Donc, ce sont des organisations régionales qui, pour la plupart, gèrent les conflits dans leur région. Nous avons six États suspendus de l'Union africaine à cause des coups d'État. Il y en a peut-être un ou deux qui vont éventuellement revenir. Mais surtout, les États de l'AES, maintenant, sont isolés et nous voyons que le dialogue entre l'Union africaine et ses États ne sont pas vraiment entamés. Donc, je pense que l'Union africaine de son côté n'a pas montré vraiment son efficacité. Comment expliquer cet affaissement ? On peut critiquer Moussa Faki Mahamat et son staff de ne pas avoir été vraiment en avance, par exemple sur le conflit du Soudan, c'est le conflit avec l'impact humanitaire le plus grave au monde, mais on n'en parle pas. Au minimum, on aurait voulu voir l'Union africaine mettre l'accent sur ces graves conflits dans toutes les réunions, à l'ONU, dans les réunions internationales. Mais aussi, bien sûr, nous sommes dans un contexte international où le multilatéralisme est en crise, donc ce n'est pas totalement la faute de l'Union africaine, mais d'autres facteurs internationaux. À lire aussiUnion africaine : Moussa Faki Mahamat se retire sur un bilan en demi-teinteEst-ce que l'élection de Donald Trump aux États-Unis rend l'Union africaine encore plus seule face à tous ces défis ? C'est vrai que c'est très inquiétant parce que c'est un peu imprévisible. On ne sait pas quel va être l'impact, par exemple, sur la force de l'Union africaine en Somalie qui dépend beaucoup des financements de l'ONU, et les États-Unis sont un grand financement du budget des opérations de paix de l'ONU. Ça peut avoir un impact, mais ça ne va pas vraiment avoir un impact direct sur l'Union africaine en tant qu'organisation. Au cœur de ce sommet, il y a bien sûr le conflit dans l'est de la RDC, avec un risque de déflagration régionale. Le Conseil paix et sécurité a entériné, hier, la fusion des processus de Luanda et Nairobi. Est-ce que c'est une bonne idée ? C'est une bonne idée s'il n'y a pas trop d'initiatives parallèles, trop de médiateurs, et l'inquiétude, c'est un peu que le processus de Luanda ne disparaisse parce que l'EAC, à un moment donné, voulait un peu que le processus de Nairobi soit le seul processus, donc convaincre la RDC de dialogue avec le M23. Mais nous pensons aussi, c'est aussi important, c'est le processus de Luanda, parce que c'est le dialogue entre la RDC et le Rwanda, qui aujourd'hui le Rwanda soutient le M23. À lire aussiEst de la RDC : une réunion du Conseil de paix et de sécurité de l'UA «électrique»Mercredi, le Rwanda a échoué à obtenir le poste au sein du Conseil paix et sécurité que le pays briguait. Le Rwanda est arrivé troisième, derrière l'Éthiopie et la Somalie. Est-ce qu'il faut y voir une forme de sanction de la part des États membres ? C'est possible. C'est vrai que le Congo RDC est toujours membre pour deux ans, donc si le Rwanda s'était joint au Conseil de paix et de sécurité, ça aurait été une opportunité pour le Rwanda d'éventuellement bloquer d'autres initiatives du Conseil de paix et de sécurité. Le Rwanda, depuis beaucoup d'années, est très influent, ici, à l'Union africaine, surtout le président Paul Kagame, qui gérait les réformes de l'Union africaine. Et donc, on peut voir ça, éventuellement, comme un manque de poids et d'influence. Mais il faut aussi se rendre compte que c'est un jeu, parfois, des États, donc les autres membres peuvent par exemple soutenir un candidat pour un commissaire, on échange un vote au CPS. Donc, on ne peut pas toujours déduire que, par exemple, un pays a perdu de l'influence parce qu'il a pu gagner ailleurs, mais quand même, je pense que le Rwanda ne devrait pas être content de ne pas avoir été élu.
Alain de Botton, le fondateur de the School of Life, est l'un des penseurs contemporains les plus brillants au monde sur l'amour et les relations humaines. Autant vous dire que je suis super excité de sortir cet épisode totalement excité de sortir cet épisode pour la Saint Valentin!Son livre "the course of love" ma beaucoup accompagné il y a des années et la suite de ses travaux encore plus.C'est sans doute l'un des penseurs les plus articulés sur le sujet par ailleurs.Il propose une approche lucide et profondément humaine des dynamiques amoureuses.Dans cet épisode, nous avons exploré ensemble les 20 à 30 questions les plus importantes sur l'amour. Pourquoi tombons-nous amoureux ? Comment éviter de répéter les mêmes schémas destructeurs ? Le mythe de l'âme sœur nous empêche-t-il d'être heureux ? Pourquoi la passion s'étiole-t-elle avec le temps ?J'ai interrogé Alain sur les paradoxes de l'amour moderne : l'influence des applications de rencontres, la difficulté d'accepter les imperfections de l'autre, la complexité du pardon après une infidélité, et bien d'autres sujets essentiels.Un échange fascinant qui éclaire nos attentes souvent irréalistes sur l'amour et nous invite à une approche plus consciente et apaisée des relations.Voici 5 choses marquantes dont il parle par exemple : « Nous ne sommes pas attirés par le bonheur, mais par le familier. »« Tout le monde est un peu fou. Ce qui compte, c'est la capacité à reconnaître et gérer cette folie. »« L'amour n'est pas une question d'intuition, mais de lucidité et d'efforts. »« Nous voulons un amour sans friction, mais la friction est ce qui nous fait grandir. »« La pire chose dans une rupture, ce n'est pas la douleur, c'est de ne pas comprendre pourquoi. »Voici 10 questions que l'on traite par exemple :Comment le mythe de l'âme sœur influence-t-il notre vision de l'amour ?Pourquoi sommes-nous attirés par des partenaires qui reproduisent nos schémas familiaux ?Les "papillons dans le ventre" sont-ils un bon indicateur d'une relation saine ?Pourquoi certaines personnes sabotent-elles inconsciemment leurs relations amoureuses ?L'amour peut-il durer ou est-il condamné à s'éteindre avec le temps ?Comment surmonter une rupture amoureuse sans sombrer dans l'idéalisation de l'autre ?Peut-on vraiment pardonner une infidélité ? Et si oui, comment ?Pourquoi tant d'hommes en couple cherchent-ils aujourd'hui des relations ouvertes ?Quel impact les attentes irréalistes ont-elles sur la solidité d'un couple ?Pourquoi certaines personnes restent-elles dans des relations toxiques malgré la souffrance ?Timelaps. :00:00 – Introduction et présentation d'Alain de Botton02:25 – Le mythe de l'âme sœur et ses dangers06:54 – Pourquoi tombe-t-on amoureux ? L'influence du passé10:59 – Les papillons dans le ventre : excitation ou peur déguisée ?17:52 – L'amour dure-t-il vraiment trois ans ?20:08 – Quelles attentes réalistes avoir dans une relation ?29:54 – Les relations modernes et l'impact du digital33:28 – L'amour est-il une compétence ? Comment la développer ?38:50 – Pourquoi les hommes ont-ils plus de mal à exprimer leurs émotions ?46:30 – Peut-on vraiment changer dans une relation ? Suggestion d'autres épisodes à écouter : Vlan #40 Les relations amoureuses à l'ère digitale avec Esther Perel (https://audmns.com/FGuIRnh) #264 Réinventer les relations amoureuses libérées des contraintes sociales avec Franck & Vanessa Lopvet (https://audmns.com/hEsJSqT) #273 Faire durer le sexe dans le couple avec Anne et Jean François Descombe (https://audmns.com/FEKTJuP)
Alain de Botton, le fondateur de the School of Life, est l'un des penseurs contemporains les plus brillants au monde sur l'amour et les relations humaines. Autant vous dire que je suis super excité de sortir cet épisode totalement excité de sortir cet épisode pour la Saint Valentin!Son livre "the course of love" ma beaucoup accompagné il y a des années et la suite de ses travaux encore plus.C'est sans doute l'un des penseurs les plus articulés sur le sujet par ailleurs.Il propose une approche lucide et profondément humaine des dynamiques amoureuses.Dans cet épisode, nous avons exploré ensemble les 20 à 30 questions les plus importantes sur l'amour. Pourquoi tombons-nous amoureux ? Comment éviter de répéter les mêmes schémas destructeurs ? Le mythe de l'âme sœur nous empêche-t-il d'être heureux ? Pourquoi la passion s'étiole-t-elle avec le temps ?J'ai interrogé Alain sur les paradoxes de l'amour moderne : l'influence des applications de rencontres, la difficulté d'accepter les imperfections de l'autre, la complexité du pardon après une infidélité, et bien d'autres sujets essentiels.Un échange fascinant qui éclaire nos attentes souvent irréalistes sur l'amour et nous invite à une approche plus consciente et apaisée des relations.Voici 5 choses marquantes dont il parle par exemple : « Nous ne sommes pas attirés par le bonheur, mais par le familier. »« Tout le monde est un peu fou. Ce qui compte, c'est la capacité à reconnaître et gérer cette folie. »« L'amour n'est pas une question d'intuition, mais de lucidité et d'efforts. »« Nous voulons un amour sans friction, mais la friction est ce qui nous fait grandir. »« La pire chose dans une rupture, ce n'est pas la douleur, c'est de ne pas comprendre pourquoi. »Voici 10 questions que l'on traite par exemple :Comment le mythe de l'âme sœur influence-t-il notre vision de l'amour ?Pourquoi sommes-nous attirés par des partenaires qui reproduisent nos schémas familiaux ?Les "papillons dans le ventre" sont-ils un bon indicateur d'une relation saine ?Pourquoi certaines personnes sabotent-elles inconsciemment leurs relations amoureuses ?L'amour peut-il durer ou est-il condamné à s'éteindre avec le temps ?Comment surmonter une rupture amoureuse sans sombrer dans l'idéalisation de l'autre ?Peut-on vraiment pardonner une infidélité ? Et si oui, comment ?Pourquoi tant d'hommes en couple cherchent-ils aujourd'hui des relations ouvertes ?Quel impact les attentes irréalistes ont-elles sur la solidité d'un couple ?Pourquoi certaines personnes restent-elles dans des relations toxiques malgré la souffrance ?Timelaps. :00:00 – Introduction : Peut-on vraiment comprendre l'amour ?00:12 – Changer la dynamique d'un couple, est-ce possible ?02:30 – Pourquoi la maturité émotionnelle est essentielle en amour05:44 – L'incompréhension dans le couple : quand faut-il partir ?05:52 – Désir et routine : comment raviver la flamme ?08:15 – Relations ouvertes et polyamorie : une illusion dangereuse ?10:57 – Pourquoi les hommes veulent-ils des relations ouvertes ?12:43 – Pourquoi la plupart des histoires d'amour finissent trop tôt15:16 – Passion et amour durable : incompatible ?16:44 – De l'amour à l'indifférence : pourquoi on devient des étrangers17:46 – Rupture et deuil amoureux : pourquoi c'est si douloureux19:00 – Les pires façons de quitter quelqu'un21:16 – Rester ami avec son ex : bonne ou mauvaise idée ?22:47 – Comment arrêter d'aimer quelqu'un ?25:30 – Avoir un enfant : un choc pour le couple28:19 – Faut-il rester ensemble pour les enfants ?30:10 – Comment savoir si c'est vraiment fini ?32:17 – Peut-on vraiment changer pour sauver son couple ?33:52 – Infidélité : faut-il tout avouer ?35:39 – Accepter la "folie" de l'autre dans une relation39:00 – Conclusion : comprendre l'amour pour mieux aimer
durée : 00:29:00 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Ariane Labed a d'abord fait la rencontre des plateaux de cinéma par le jeu, aujourd'hui - et après un premier court-métrage, "Olla" en 2019 - elle passe derrière la caméra avec un long-métrage, "September & July" où se mêlent famille, emprise et étrangeté. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Ariane Labed Actrice
durée : 00:35:01 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En 1986, Nathalie Sarraute explique son projet d'écriture, évoquant les livres "Tropismes" et "Enfance", au micro d'Eliane Contini dans l'émission "Agora". - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Nathalie Sarraute Écrivaine (1900 - 1999)
durée : 01:32:14 - 100% PSG le Mag, épisode 21 - Avec Mevlut Erding : "Quand Nasser est arrivé, il a voulu recruter Ronaldo et Messi" - Chaque semaine, Pia Clemens ouvre grand la porte du studio aux amoureux du PSG pour un moment d'échange unique entre un invité et des supporters. Ce jeudi, c'est l'ancien attaquant Mevlut Erding qui est venu raconter son histoire d'amour avec le club à Manu, Fabrizio et Alban.
Aujourd’hui dans le BOOST ! : Quelle job voulais-tu faire quand t’étais jeune ? Flo jase de toute : Ce que les femmes veulent RÉELLEMENT pour la St-valentin !!! Capitaine Morgan vulgarise des mots et expressions de jeunes ! Bonne écoute :)
durée : 00:24:17 - L'invité de 8h20 - Le philosophe et écrivain Roger-Pol Droit, également normalien et agrégé, a publié “Alice au pays des idées” (Albin Michel), fin janvier 2025. Sur France Inter, ce dimanche, il explique que "son" Alice est "une héroïne de notre temps", qui a "les pieds dans l'actualité" et est "anxieuse".
Au XIXe siècle, la France a envisagé de taxer les célibataires pour plusieurs raisons, à la fois économiques, sociales et démographiques. Ce projet, souvent qualifié d'« impôt sur le célibat », trouve ses origines dans les préoccupations de l'époque concernant le renouvellement de la population et la stabilité sociale du pays. Contexte démographique et social La France du XIXe siècle est marquée par des transformations profondes. Après les guerres napoléoniennes, la population est en déclin relatif par rapport à d'autres grandes puissances européennes, comme l'Allemagne, où les taux de natalité sont plus élevés. Le gouvernement français s'inquiète de cette stagnation démographique qui menace la puissance militaire et économique du pays. La natalité est perçue comme un devoir civique, et le mariage est encouragé pour assurer le renouvellement des générations. À cette époque, les célibataires sont souvent vus d'un mauvais œil, perçus comme égoïstes ou réfractaires aux valeurs familiales. L'idéologie dominante prône une société structurée autour de la famille, considérée comme le fondement de la stabilité sociale et économique. L'État estime que ceux qui ne contribuent pas à l'effort démographique doivent être pénalisés fiscalement. Les motivations économiques et fiscales Le projet de taxer les célibataires a aussi des motivations économiques. Le gouvernement cherche de nouvelles sources de revenus pour financer les dépenses publiques croissantes, notamment après les bouleversements de la Révolution et des guerres du Premier Empire. Les célibataires, n'ayant pas de famille à charge, sont considérés comme disposant de ressources financières plus importantes que les ménages, et donc plus aptes à contribuer à l'impôt. Certains économistes de l'époque soutiennent l'idée que les célibataires consacrent une part disproportionnée de leurs revenus à des dépenses jugées superflues, comme les loisirs et les plaisirs personnels, plutôt qu'à l'éducation et au bien-être des enfants. Taxer les célibataires est donc vu comme une manière de les inciter à se marier et à participer activement à la reproduction de la nation. Héritage et conséquences Bien que plusieurs projets d'imposition sur le célibat aient été débattus au XIXe siècle, ils n'ont jamais été pleinement appliqués de manière systématique en France. Cependant, cette idée influencera des politiques ultérieures, notamment celles du XXe siècle en matière de natalité, où des incitations financières seront mises en place pour encourager les familles nombreuses. Ainsi, l'impôt sur le célibat illustre les préoccupations de la France du XIXe siècle quant à la démographie et à la structuration de la société autour de la famille, perçue comme un pilier de la nation. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Au XIXe siècle, la France a envisagé de taxer les célibataires pour plusieurs raisons, à la fois économiques, sociales et démographiques. Ce projet, souvent qualifié d'« impôt sur le célibat », trouve ses origines dans les préoccupations de l'époque concernant le renouvellement de la population et la stabilité sociale du pays. Contexte démographique et social La France du XIXe siècle est marquée par des transformations profondes. Après les guerres napoléoniennes, la population est en déclin relatif par rapport à d'autres grandes puissances européennes, comme l'Allemagne, où les taux de natalité sont plus élevés. Le gouvernement français s'inquiète de cette stagnation démographique qui menace la puissance militaire et économique du pays. La natalité est perçue comme un devoir civique, et le mariage est encouragé pour assurer le renouvellement des générations. À cette époque, les célibataires sont souvent vus d'un mauvais œil, perçus comme égoïstes ou réfractaires aux valeurs familiales. L'idéologie dominante prône une société structurée autour de la famille, considérée comme le fondement de la stabilité sociale et économique. L'État estime que ceux qui ne contribuent pas à l'effort démographique doivent être pénalisés fiscalement. Les motivations économiques et fiscales Le projet de taxer les célibataires a aussi des motivations économiques. Le gouvernement cherche de nouvelles sources de revenus pour financer les dépenses publiques croissantes, notamment après les bouleversements de la Révolution et des guerres du Premier Empire. Les célibataires, n'ayant pas de famille à charge, sont considérés comme disposant de ressources financières plus importantes que les ménages, et donc plus aptes à contribuer à l'impôt. Certains économistes de l'époque soutiennent l'idée que les célibataires consacrent une part disproportionnée de leurs revenus à des dépenses jugées superflues, comme les loisirs et les plaisirs personnels, plutôt qu'à l'éducation et au bien-être des enfants. Taxer les célibataires est donc vu comme une manière de les inciter à se marier et à participer activement à la reproduction de la nation. Héritage et conséquences Bien que plusieurs projets d'imposition sur le célibat aient été débattus au XIXe siècle, ils n'ont jamais été pleinement appliqués de manière systématique en France. Cependant, cette idée influencera des politiques ultérieures, notamment celles du XXe siècle en matière de natalité, où des incitations financières seront mises en place pour encourager les familles nombreuses. Ainsi, l'impôt sur le célibat illustre les préoccupations de la France du XIXe siècle quant à la démographie et à la structuration de la société autour de la famille, perçue comme un pilier de la nation. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Sylvie a vécu une vie faite de drames familiaux (alcool, abus sur ses enfants, deuil...). Elle ressent le besoin de parler et d'exprimer son vécu. Cette saison, Joseph Agostini accueille les auditeurs le dimanche soir de 23h à 1h sur RTL au 09 69 39 10 11
durée : 00:28:39 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Alice Zeniter signe le texte et la mise en scène d'"Édène", une pièce librement adaptée du roman "Martin Eden" de Jack London, qu'elle a réactualisé et féminisé. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Alice Zeniter Ecrivaine
À demain avec Yannick !
durée : 00:02:11 - Le vrai ou faux - Le député RN du Loiret Thomas Ménagé a affirmé sur franceinfo que son parti avait voulu créer un plan d'urgence de 100 millions d'euros pour l'accès à l'eau dans les Outre-Mer. Mais c'était deux fois moins.
Le parolier Frédéric Zeitoun révèle une anecdote peu connue sur Jean-Jacques Goldman, l'une des personnalités préférées des Français, qui n'avait initialement aucune envie de chanter ! Cette semaine, retrouvez les meilleurs moments de l'émission "Ça va faire des histoires" diffusée l'été 2024 sur RTL. Stéphane Rotenberg avait réuni les meilleurs experts de RTL pour un grand concours d'anecdotes.
durée : 00:07:30 - Info médias - L'animateur publie son 22e livre, "Le carnaval des ambitieux". Il est en tournée avec le spectacle "Hommages et dessert" et prépare "Le plus petit cabaret du monde" dans le Lot.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui 02/12/2024, il revient en compagnie de Franck Allisio, député RN des Bouches-du-Rhône, sur l'Assemblée nationale qui doit se prononcer aujourd'hui sur le budget de la Sécurité sociale et sur la censure du gouvernement qui pourrait suivre.Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour.
Aujourd'hui, je suis en compagnie de Yop pour vous lire des témoignages de rencontres hyper flippantes que des gens ont partagé sur les internets, c'est la rediffusion d'un live qu'on a fait ensemble sur sa chaîne Twitch pour le mois de l'horreur ! Bonne écoute et n'oubliez pas d'aller écouter les podcasts de Yop : Le Rendez-vous de l'Étrange // Avant d'aller dormir !-10% sur LA BOUTIQUE MERCH
La raison est créée. Elle est donnée à chaque personne selon ce qu'Allah a voulu... - Dr. Mouhammad Ahmad LO by XamSaDine
À demain avec Maud ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La conquête de l'Algérie par la France en 1830 s'inscrit dans un contexte de politique expansionniste, de raisons économiques, et d'enjeux politiques. À cette époque, la France sort d'une période de bouleversements avec la fin de l'Empire napoléonien et le début de la Restauration, et elle cherche à réaffirmer sa puissance sur la scène internationale. Plusieurs facteurs ont conduit la France à envahir l'Algérie. Tout d'abord, des raisons économiques et commerciales ont joué un rôle important. La Méditerranée était une route commerciale stratégique, et l'Algérie, sous le contrôle de l'Empire ottoman depuis le XVIe siècle, abritait des pirates connus sous le nom de « corsaires barbaresques ». Ces corsaires attaquaient les navires européens, perturbant les échanges commerciaux et imposant des tributs. Les puissances européennes, dont la France, considéraient ces attaques comme un obstacle à la liberté de commerce. En intervenant en Algérie, la France espérait ainsi mettre fin à ces activités et sécuriser ses échanges dans la région. Ensuite, la France voyait dans la conquête de l'Algérie un moyen de renforcer sa position géopolitique en Méditerranée face à ses rivaux européens, notamment la Grande-Bretagne. À une époque marquée par l'essor des empires coloniaux, les grandes puissances européennes cherchaient à étendre leur influence au-delà de leurs frontières pour accéder à de nouvelles ressources et à des marchés. La conquête de l'Algérie permettait à la France d'établir une base stratégique en Afrique du Nord, renforçant ainsi sa position face à l'Empire britannique, qui contrôlait déjà des territoires clés comme Gibraltar et Malte. De plus, des motivations politiques internes ont joué un rôle dans la décision d'envahir l'Algérie. Le roi Charles X, confronté à des troubles en France et à une popularité déclinante, voyait dans cette expédition une opportunité de détourner l'attention de ses problèmes politiques internes et de regagner le soutien populaire. Une intervention militaire réussie en Algérie permettrait de renforcer son autorité et de restaurer le prestige de la monarchie. Cette expédition était donc aussi un moyen pour Charles X de consolider son pouvoir en France. Enfin, l'incident diplomatique connu sous le nom de « coup d'éventail » a fourni un prétexte immédiat pour l'intervention. En 1827, le dey d'Alger, Hussein Dey, aurait frappé le consul de France avec son éventail lors d'une altercation concernant des dettes non payées par la France pour des livraisons de blé remontant aux guerres napoléoniennes. Cet affront a été perçu comme une atteinte à l'honneur national, donnant à la France un casus belli pour intervenir. Ainsi, la conquête de l'Algérie en 1830 a résulté de plusieurs facteurs : économiques, stratégiques, politiques, et diplomatiques. Cet événement marque le début de près de 130 ans de présence coloniale française en Algérie, avec des conséquences durables pour les deux pays. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
INÉDIT - Le commandant Alain Duvernois, ancien commandant de police à la Sûreté de Montbéliard, était l'invité de "L'heure du crime" ce 27 septembre 2024 pour évoquer six meurtres d'homosexuels commis entre 1983 et 2000 autour de Mulhouse. Une longue série de crime restée impunie. Dans les années 90, Alain Duvernois a tout fait pour résoudre cette affaire. Dans ce podcast inédit, découvrez un supplément de l'émission de "L'heure du crime". Questions oubliées, ou qui n'ont pas pu être posées à l'antenne, Justine Vignaux reste en studio avec l'invité(e) de Jean-Alphonse Richard, pour en savoir plus sur l'affaire du jour.
durée : 00:46:18 - La 20e heure - par : Eva Bester - La plasticienne Clémentine Mélois s'empare d'une phrase prononcée par son sculpteur de père pour titrer le récit autobiographique qui revient sur sa vie à lui. "Alors c'est bien" paraît chez Gallimard, et c'est bien une filiation qui se dessine. Faite de lettres de tendresses et de traits de malice.