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Tous les matins, Arnaud Demanche pirate le Face à Face. L'humoriste anticipe et détourne l'interview à venir de l'invité politique d'Apolline de Malherbe.
Tous les matins, Arnaud Demanche pirate le Face à Face. L'humoriste anticipe et détourne l'interview à venir de l'invité politique d'Apolline de Malherbe.
Une heure d'entretien incontournable en partenariat avec CNEWS et Les Echos. Une personnalité politique, un dirigeant économique ou un intellectuel revient sur les grands thèmes de l'actualité et répond aux questions sans détours de Pierre de Vilno pour apporter des réponses concrètes aux Français.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vendredi, samedi et dimanche dans Europe 1 Soir Week-end, Pascale de La Tour du Pin reçoit un invité au cœur de l'actualité politique. Aujourd'hui, Axel Ronde, porte-parole du syndicat CFTC-Police, pour évoquer les chiffres de la délinquance dévoilés par Laurent Nuñez.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec : Laurent Nuñez, préfet de police de Paris. - Tous les matins à 7h40, l'invité qui fait l'actualité. Un acteur incontournable, un expert renseigné... 10 minutes d'interview sans concession avec Apolline de Malherbe et les témoignages des auditeurs de RMC au 3216.
durée : 00:12:08 - L'INVITE franceinfo soir - Le préfet de police révèle qu'à Paris et dans l'agglomération parisienne, "88% des actes antireligieux sont des actes antisémites", contre 62% à l'échelle nationale.
Céline Géraud, accompagnée de la rédaction d'Europe 1, propose chaque midi un point complet sur l'actualité suivi de débats entre invités et auditeurs.
Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière du 27 janvier 2025.
À l'approche du réveillon, la fête se prépare. La préfecture de police de Paris met en place un « dispositif de sécurisation renforcée » et mobilise « 10 000 policiers et gendarmes (...) à Paris et en petite couronne » afin d'assurer la sécurité du public. L'avenue des Champs-Élysées, qui comme chaque année recevra de nombreux spectateurs à l'occasion du feu d'artifice, sera "interdite à la circulation motorisée à compter de 15h le mardi 31 décembre". Les sacs seront contrôlés. Chaque personne sera palpée. Seront proscrits les armes à feu, les engins pyrotechniques ou « tout objet susceptible de constituer une arme ou un projectile », fait savoir la préfecture de police. Ecoutez L'invité de RTL Matin avec Stéphane Carpentier du 31 décembre 2024.
À l'approche du réveillon, la fête se prépare. La préfecture de police de Paris met en place un « dispositif de sécurisation renforcée » et mobilise « 10 000 policiers et gendarmes (...) à Paris et en petite couronne » afin d'assurer la sécurité du public. L'avenue des Champs-Élysées, qui comme chaque année recevra de nombreux spectateurs à l'occasion du feu d'artifice, sera "interdite à la circulation motorisée à compter de 15h le mardi 31 décembre". Les sacs seront contrôlés. Chaque personne sera palpée. Seront proscrits les armes à feu, les engins pyrotechniques ou « tout objet susceptible de constituer une arme ou un projectile », fait savoir la préfecture de police. Ecoutez L'invité de RTL Matin avec Stéphane Carpentier du 31 décembre 2024.
"BFM STORY" du lundi au jeudi de 17h à 19h avec Olivier Truchot & Alain Marshall. Deux heures pour faire un tour complet de l'actualité en présence d'invités pour expliquer et débattre sur les grands sujets qui ont marqué la journée.
Après 5 ans de travaux, Notre-Dame rouvrira ses portes le 7 et 8 décembre. Près 6000 policiers et militaires seront mobilisés à l'occasion de la réouverture de la cathédrale au public, afin de veiller sur le public à proximité de la Cathédrale et dans les transports en commun, tenir les points de circulation ainsi qu'assurer la protection d'une cinquantaine de chefs d'État et de gouvernement. Laurent Nuñez, préfet de police de Paris est l'invité pour tout comprendre dans RTL Soir. Ecoutez L'invité pour tout comprendre avec Yves Calvi du 05 décembre 2024.
durée : 00:25:14 - 8h30 franceinfo - Le préfet de police de Paris était l'invité du "8h30 franceinfo", le jeudi 14 novembre 2024.
Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière avec Philippe Caverivière du 13 novembre 2024.
Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière avec Philippe Caverivière du 13 novembre 2024.
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Neïla Latrous reçoit Laurent Nuñez, préfet de police de Paris, dans BFM Politique sur BFMTV, ce dimanche 10 novembre 2024. « BFM POLITIQUE » est LE rendez-vous média incontournable rythmant la vie politique française. Chaque dimanche, en direct et en public, l'émission présentée par Benjamin Duhamel donne la parole aux personnalités de tous bords. Durant deux heures, un représentant politique au cœur de l'actualité répond aux questions de la journaliste de BFMTV, puis débat dans le « face à face » avec un contradicteur sur un sujet qui les oppose. BFMTV, 1ère chaine d'information en continu de France, vous propose toute l'info en temps réel avec 18h d'antenne live par jour et des directs partout à travers le monde où l'actualité le nécessite. BFMTV, c'est aussi les débats et les grands reportages d'actualité. Retrouvez BFMTV sur le canal 15 de la TNT et sur BFMTV.com.
Tous les matins, Arnaud Demanche pirate le Face à Face. L'humoriste anticipe et détourne l'interview à venir de l'invité politique d'Apolline de Malherbe.
Tous les matins, Arnaud Demanche pirate le Face à Face. L'humoriste anticipe et détourne l'interview à venir de l'invité politique d'Apolline de Malherbe.
durée : 00:13:28 - L'INVITE franceinfo soir - Laurent Nuñez était l'invité de "franceinfo soir", lundi 14 octobre.
durée : 00:23:15 - 8h30 franceinfo - Le préfet de police de Paris était l'invité du "8h30 franceinfo", vendredi 26 juillet 2024.
durée : 00:10:38 - L'invité de 7h50 - par : Céline Asselot - Laurent Nuñez, préfet de police de Paris, est l'invité du 7h50, à quelques jours de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024, alors que fleurissent les barrières au bord des trottoirs et un important dispositif policier dans les rues. - invités : Laurent Nuñez - Laurent Nuñez : Haut-fonctionnaire et homme politique français
À 8 jours de la cérémonie d'ouverture, les premiers athlètes sont arrivés et c'est devenu très concret pour les habitants de la région parisienne soumis à des restrictions de circulation. Pour en parler, Laurent Nuñez, le préfet de police de Paris. Ecoutez L'invité de RTL Soir avec Olivier Boy du 18 juillet 2024.
À 8 jours de la cérémonie d'ouverture, les premiers athlètes sont arrivés et c'est devenu très concret pour les habitants de la région parisienne soumis à des restrictions de circulation. Pour en parler, Laurent Nuñez, le préfet de police de Paris. Ecoutez L'invité de RTL Soir avec Olivier Boy du 18 juillet 2024.
durée : 00:10:38 - L'invité de 7h50 - par : Céline Asselot - Laurent Nuñez, préfet de police de Paris, est l'invité du 7h50, à quelques jours de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024, alors que fleurissent les barrières au bord des trottoirs et un important dispositif policier dans les rues. - invités : Laurent Nuñez - Laurent Nuñez : Haut-fonctionnaire et homme politique français
durée : 00:08:50 - L'invité de 7h50 - par : Sonia Devillers - A un mois de la cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques de Paris, Laurent Nuñez, préfet de police de Paris, est l'invité de Sonia Devillers à 7h50 sur France Inter. - invités : Laurent Nuñez - Laurent Nuñez : Haut-fonctionnaire et homme politique français
durée : 02:58:53 - Le 7/10 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé, Sonia Devillers, Anne-Laure Sugier - Ce mercredi 26 juin 2024, les invités de la Matinale de France Inter sont : Laurent Nuñez / Edouard Philippe / Camille Etienne x Jean-Yves Dormagen / Laurence Arné / Adèle
durée : 00:08:50 - L'invité de 7h50 - par : Sonia Devillers - A un mois de la cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques de Paris, Laurent Nuñez, préfet de police de Paris, est l'invité de Sonia Devillers à 7h50 sur France Inter. - invités : Laurent Nuñez - Laurent Nuñez : Haut-fonctionnaire et homme politique français
Pour sa deuxième saison, Arnaud Demanche vient tous les matins à 8h20 pour poser son oeil sur l'actualité du jour. Cinq minutes de rire, pour se réveiller avec le sourire !
durée : 00:23:42 - 8h30 franceinfo - Le préfet de police de Paris était l'invité du "8h30 franceinfo", vendredi 10 mai 2024.
durée : 00:23:14 - L'invité de 8h20 - par : Marion L'hour, Ali Baddou - Laurent Nuñez, préfet de police de Paris, s'exprime sur la lutte contre la violence des mineurs, la lutte contre la drogue, et la sécurisation des Jeux olympiques. - invités : Laurent Nuñez - Laurent Nuñez : Haut-fonctionnaire et homme politique français
Au programme : Il y a 25 ans, l'OTAN bombardait la Serbie. / A-t-on laissé tomber les agriculteurs ? / Laurent Nuñez veut protéger le commissariat de La Courneuve. / Faut-il rationner Internet ? / Olivier Véran remet la blouse ! / "Le temps des producteurs" : explications avec la vidéaste politique Tatiana Ventôse.
Au programme : Il y a 25 ans, l'OTAN bombardait la Serbie. / A-t-on laissé tomber les agriculteurs ? / Laurent Nuñez veut protéger le commissariat de La Courneuve. / Faut-il rationner Internet ? / Olivier Véran remet la blouse ! / "Le temps des producteurs" : explications avec la vidéaste politique Tatiana Ventôse.
durée : 00:23:47 - 8h30 franceinfo - Le Préfet de police de Paris était l'invité du "8h30 franceinfo", mercredi 6 mars 2024.
C dans l'air l'invité du 3 janvier 2024 - Laurent Nuñez, préfet de police de Paris Ces dernières semaines, plusieurs personnalités ont été agressées chez elles, brutalisées et dévalisées parfois sous les yeux de leurs enfants. L'animateur Bruno Guillon a été braqué et séquestré chez lui, fin septembre, la chanteuse Vitaa a été victime d'un braquage et d'une séquestration avec sa famille à Rueil-Malmaison fin décembre, le gardien de but du PSG Alexandre Letellier a lui été victime d'une tentative d'extorsion sous la menace d'une arme en réunion à la mi-décembre. Ces home-jackings se multiplient. L'Île-de-France a été le théâtre de 46 520 cambriolages en 2022, soit 7,9 pour 1 000 logements, un taux supérieur de deux points à la moyenne nationale. Pour l'Insee, ce chiffre est peut-être lié à la forte urbanisation de la région, une donnée qui favorise de façon générale les cambriolages. Paris est plus particulièrement touchée. Le nombre d'infractions a augmenté en 2022, sans pour autant atteindre le niveau de 2019, avant la crise sanitaire. L'impact des réseaux sociaux est un des facteurs de ces cambriolages. Pour Philippe Franchet, commissaire de police, chef de la brigade de répression du banditisme à la direction régionale de la police judiciaire de Versailles, ils "sont des réseaux de renseignement très importants pour la criminalité et le home-jacking". Laurent Nuñez est le préfet de la police de Paris. Il dressera le bilan de l'année 2023 sur la délinquance, les vols et les violences à Paris et reviendra sur le dispositif de sécurité des JO de Paris 2024.
Un dispositif est déployé pour la soirée de réveillon du Nouvel An 2024 dans la capitale. Pour en parler, Laurent Nuñez, préfet de police de Paris. Ecoutez L'invité de RTL Soir du 29 décembre 2023 avec Isabelle Choquet et Stéphane Boudsocq.
Tous les matins, Arnaud Demanche pirate le Face à Face. L'humoriste détourne l'interview à venir de l'invité politique d'Apolline de Malherbe.
durée : 00:02:33 - Grand angle - Paris se prépare à accueillir 16 millions de touristes à l'occasion des JO, et les opérations de police se multiplient pour améliorer l'image de la ville. Laurent Nuñez promet "d'éradiquer" la délinquance : pour le préfet de police, cela passe notamment par… la fin des ventes à la sauvette.
durée : 00:25:41 - 8h30 franceinfo - Laurent Nuñez, le préfet de police de Paris était l'invité du “8h30 franceinfo”, jeudi 26 octobre 2023
Laurent Nuñez, préfet de police de la ville de Paris, répond aux questions de Sonia Mabrouk au sujet de la sécurité autour des visites de Charles III et du Pape, d'une manifestation ce samedi contre les violences policières et le racisme systémique, de la préparation sécuritaire pour les Jeux olympiques de Paris 2024 et du problème du crack à Paris.
Des manifestations contre les violences policières sont prévues dans une cinquantaine de villes en France ce samedi 23 septembre à l'appel d'une centaine d'organisations. Invité de la Grande interview d'Europe 1-CNews ce mercredi, Laurent Nuñez, préfet de police de Paris, a déclaré ne pas 'souscrire' à la thèse de l'existence de violences policières et de racisme systémique au sein de la police.
C dans l'air du 9 août - Justice, violences : le grand malaise des policiers LES EXPERTS : - DAMIEN DELSENY - Rédacteur en chef adjoint en charge du service police-justice - « Le Parisien » - JÉRÔME FOURQUET - Directeur département Opinion - Institut de sondages IFOP - Auteur de « La France sous nos yeux » - JULIE MARIE-LECONTE - Cheffe du service politique - France Info - FRÉDÉRIC PLOQUIN - Journaliste spécialisé dans le banditisme et la police Trois policiers du RAID sont toujours en garde à vue suite à la mort de Mohamed Bendriss, un livreur de 27 ans, dans la nuit du 1er au 2 juillet. Son décès est advenu en marge des émeutes et des pillages qui ont suivi la mort à Nanterre de Nahel Merzouk. L'adolescent de 17 ans avait été tué par un policier. Retrouvé inanimé devant le domicile de sa mère, en plein centre de Marseille, après avoir fait un malaise au guidon de son scooter, Mohamed Bendriss avait été transportée à l'hôpital. C'est là que son décès a été constaté. Un médecin a alors observé un impact au niveau du thorax. Cet impact, à l'origine de la mort du jeune homme, pourrait être la conséquence d'un tir de lanceur de balles de défense (LBD). Ce n'est pas la seule affaire qui secoue actuellement la police à Marseille. Dans la même nuit du 1er au 2 juillet, Hedi, un employé de restauration de 21 ans, a été hospitalisé après avoir reçu un tir de LBD dans la tempe. L'exploitation de caméras de surveillance a prouvé que la victime avait été également été rouée de coups. Une partie de son crâne a dû être amputée. Quatre policiers de la brigade anticriminalité ont été mis en examen pour violences volontaires aggravées. L'un d'eux, placé en détention provisoire, a finalement reconnu le 4 août devant la justice avoir fait "usage de LBD". Il niait ce fait jusque-là. Le maintien en détention de ce policier a entraîné un mouvement de soutien de la part de ses collègues et des syndicats. L'institution, au plus haut niveau, a, elle aussi, apporté son soutien au policier mis en cause. Le directeur général de la police nationale, Frédéric Veaux, a en effet affirmé dans une interview au journal Le Parisien le 23 juillet dernier qu'un policier n'a pas sa place en prison dans l'attente d'un procès. Sur Twitter, Laurent Nuñez, préfet de police, avait assuré partager les propos de Frédéric Veaux. Une vision qui a suscité l'indignation d'une partie de la classe politique et a soulevé des craintes sur l'indépendance de la justice. Un des acteurs majeurs de ces événements est évidemment Gérald Darmanin. Le ministre de l'Intérieur affiche un soutien sans faille aux policiers, alors même que le sentiment de défiance vis-à-vis de la police grandit. Les récentes bavures de policiers ont en effet entamé le crédit de ces derniers, comme de l'institution qu'ils représentent, auprès d'une partie de la population. Peu importe pour Gérald Darmanin. L'ancien maire de Tourcoing aime endosser le costume de "premier flic de France". Son parcours fait déjà de lui l'un des ministres les lus en vue du gouvernement. Près de trois ans après sa nomination à Beauvau, il a fait de son poste un marchepied pour la suite de sa carrière. Difficile de ne pas faire le parallèle avec son mentor en politique, Nicolas Sarkozy, qui en 2005 et 2006 s'était aussi servi de ce portefeuille comme d'un tremplin vers l'Elysée. L'actuel ministre de l'Intérieur ne semble pas moins ambitieux que son aîné. Il ne faisait déjà pas mystère, avant le dernier remaniement, de sa volonté de devenir Premier ministre. Sur le terrain, les nuits d'émeutes qui ont suivi la mort du jeune Nahel ont laissé des traces. Une équipe de C dans l'air s'est rendue à la rencontre du maire de Neuilly-sur-Marne, en Seine-Saint-Denis. Zartoshte Bakhtiari revient sur ces nuits agitées et sur les importantes dégradations causées à sa commune. Plusieurs semaines après, il ne comprend toujours pas comment certains de ses administrés ont pu basculer dans une telle violence. L'institution considère-t-elle que les policiers ne sont pas des justiciables comme les autres ? Gérald Darmanin pourra-t-il maintenir son soutien sans faille aux policiers ? Comment reconstruire après les émeutes ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Maya Lauqué - Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe Thiéfine RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
C dans l'air du 28 juillet - Police : Darmanin fâche la justice LES EXPERTS : - CARL MEEUS - Rédacteur en chef - Le Figaro Magazine - ALEXANDRA SCHWARTZBROD - Directrice adjointe de la rédaction - Libération - CYRIL GRAZIANI - Chef du service politique - France Télévisions - FRÉDÉRIC MICHEAU - Directeur général adjoint - Opinion Way De retour de Nouvelle-Calédonie, où il accompagnait le président de la République, Gérald Darmanin pris la parole hier pour la première fois depuis le mouvement de grogne d'une partie des policiers. "Je comprends cette émotion, cette colère, cette tristesse", a déclaré le ministre de l'Intérieur, en déplacement dans un commissariat du 19e arrondissement de Paris. "Les policiers ne doivent pas être les seules personnes en France pour qui la présomption d'innocence n'existe pas" et serait remplacée par une "présomption de culpabilité", a-t-il souligné, rappelant toutefois que "quand l'un d'entre eux commet une erreur, il doit être sanctionné". Interrogé par ailleurs par un journaliste sur les propos du directeur général de la police nationale (DGPN), Frédéric Veaux, qui affirmait dimanche 23 juillet qu'un policier n'avait pas sa place en détention provisoire, le ministre de l'Intérieur l'a pleinement conforté : "Il a parlé comme parle un chef vis-à-vis de ses policiers, je le soutiens totalement et je suis très fier que ce soit mon collaborateur." Peu après, le ministre de l'Intérieur a reçu en compagnie de ce dernier et du préfet de police de Paris, Laurent Nuñez, les organisations syndicales de la profession au ministère. A la sortie, les syndicats se sont montrés "satisfaits". "On a le sentiment que notre ministre est en soutien des forces de l'ordre", a déclaré devant la presse Olivier Varlet, secrétaire général du syndicat Unsa Police. Détention provisoire, protection fonctionnelle, anonymisation... Plusieurs revendications des policiers ont été abordées lors de cette réunion et d'après les représentants syndicaux, Gérald Darmanin se serait engagé à «étudier la loi pour revenir sur la détention provisoire d'un policier agissant en mission». Autre acquis revendiqué par Unité-SGP : le "maintien des primes en plus du traitement lors d'une suspension". Il s'agit des principales revendications des syndicats, au cœur du mouvement des policiers déclenché après l'incarcération d'un collègue marseillais, soupçonné d'avoir roué de coups un jeune homme nommé Hedi, avec trois autres collègues, dans la nuit du 1er au 2 juillet, en marge des émeutes qui ont suivi la mort de Nahel à Nanterre. Gérald Darmanin a également fait savoir aux syndicats qu'il gagnerait la cité phocéenne sous peu pour y rencontrer les policiers en colère et qu'une réunion commune avec le garde des Sceaux aura lieu à la rentrée. Depuis le début de la crise, Eric Dupond-Moretti n'est sorti qu'une fois de son silence, avec un tweet citant Emmanuel Macron de son allocution du début de semaine : "nul n'est au-dessus de la loi de la République". Dans un communiqué, les conférences nationales des chefs de cours d'appel ont fait part de leur "inquiétude". "Nous sommes soucieux de maintenir des relations apaisées avec les forces de sécurité intérieure, mais nous ne pouvons que craindre qu'une forme de radicalisation des positions s'installe parmi les fonctionnaires de police, facilitée par les atteintes publiques de leurs plus hautes autorités aux principes de la séparation des pouvoirs et de l'indépendance de l'autorité judiciaire" écrivent-ils. Alors que va décider l'exécutif ? Après l'horizon qu'Emmanuel Macron a voulu tracer lundi à la télévision, la Première ministre est revenue mardi sur le choix de sa nouvelle équipe gouvernementale plus politique et moins issue de la société civile. Face à "une situation politique qui est dure à l'Assemblée, des débats qui peuvent être parfois très violents", il "est important", a-t-elle expliqué que "des ministres dirigent leur administration, puissent porter les positions du gouvernement dans le débat public et puissent aussi aller à la rencontre de nos parlementaires de la majorité et des oppositions, travailler avec eux." A la veille de la pause estivale du gouvernement, Élisabeth Borne a rappelé qu'elle attend d'eux à la rentrée des « résultats très rapides et tangibles." De son côté le chef de l'Etat poursuit son voyage en Nouvelle-Calédonie. Depuis Nouméa, il a loué mardi l'action de son ancien Premier ministre Édouard Philippe et évoqué la possibilité qu'il puisse "prendre le relais" à l'Élysée en 2027, en se disant soucieux "qu'il y ait vraiment une suite" à sa propre action. L'intéressé, de son côté, a annoncé la sortie de son prochain livre, intitulé Des lieux qui disent, le 13 septembre prochain. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
C dans l'air du 25 juillet - Policiers en grève : la tache d'huile avant la crise ? LES EXPERTS : - DRISS AÏT YOUSSEF - Docteur en droit public - Spécialiste des questions de sécurité globale - AUDREY GOUTARD - Cheffe de service enquête et reportage à France Télévisions - VINCENT BRENGARTH - Avocat pénaliste - JEFF WITTENBERG - Journaliste politique à France télévisions Pensait-il pouvoir esquiver le sujet ? Lors de son intervention télévisée hier, Emmanuel Macron s'est prêté à un jeu d'équilibriste, interrogé sur le placement en détention d'un des quatre policiers mis en examen pour violences volontaires sur un jeune homme à Marseille. Dans cette intervention, le président de la République affirmera "Nul n'est au-dessus des lois", tout en comprenant l'émotion des policiers suscitée par cette décision de justice. Depuis, la colère gronde dans la cité phocéenne où 600 fonctionnaires se sont mis en arrêt maladie ce lundi, contre 400 vendredi. Une grève du zèle qui pourrait encore s'intensifier, avec partout en France des agents de la paix qui ont décidé de rejoindre le mouvement, comme à Nice ou encore Versailles, soutenus par le directeur général de la police nationale Frédéric Veaux. Ce week-end, sa prise de position dans la presse a fait l'effet d'une bombe. Pour lui, les policiers en attente de procès n'ont rien à faire en prison. Le préfet de Police de Paris, Laurent Nuñez, a adopté dans la foulée exactement la même ligne, suivie par l'ensemble des syndicats de forces de l'ordre, d'Alliance à l'UNSA. Le syndicat de la magistrature, lui, n'a pas tardé à réagir, regrettant l'absence de prise de position tranchée d'Emmanuel Macron. "En ne dénonçant pas expressément cette attaque inédite contre l'indépendance de la justice, il ne remplit pas son rôle constitutionnel", a déclaré le syndicat sur Twitter. Même le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, traditionnellement enclin à soutenir les forces de l'ordre, fait preuve d'un étonnant mutisme depuis quelques jours. Un mois après les émeutes qui ont embrasé banlieues et centres villes à la suite de la mort de Nahel à Nanterre, une nouvelle crise menace le gouvernement, taxé de ne pas se saisir de la question du mal-être policier tout comme de celle du racisme dans la police, pourtant maintes fois évoqué par le Défenseur des droits ces dernières années. Si les émeutes n'ont duré que 4 jours, elles ont été d'une extrême violence. A Marseille, un homme de 27 ans a succombé à un tir de LBD dans le cœur dans la nuit du 1er au 2 juillet, tandis que son cousin de 21 ans a été éborgné par un tir de projectile. Deux enquêtes ont été ouvertes par le parquet de Marseille. Les forces de l'ordre ont également été pris pour cible. D'après le ministère de l'Intérieur, 700 policiers et gendarmes ont été blessés à la suite des émeutes. Un mois plus tard, les forces de l'ordre semblent usées physiquement et psychologiquement, et regrettent le manque de soutien politique. La profession accuse 46 suicides sur l'année 2022, signe d'un profond mal-être, et les 15 milliards d'euros promis par Emmanuel Macron lors de sa campagne électorale de 2022, ne semblent pas suffisants à redresser une institution coupée de la population. Dans les quartiers populaires comme Vaulx-en-Velin (Rhône), ce problème ne date pourtant pas d'hier. Déjà en octobre 1990, la commune la plus pauvre de l'agglomération lyonnaise s'était embrasée pendant 3 jours après la mort d'un jeune à scooter, percuté par une voiture de police. "Nous n'avons jamais apporté une réponse de fond pour réinstaurer de la confiance entre les jeunes et la police", estime la maire socialiste de la ville, Hélène Geoffroy, qui plaide pour la création d'un parquet spécialisé sur ce type d'affaires. A l'époque, les émeutes de Vaulx-en-Velin avaient été à l'origine de la création du ministère de la ville, puis de plusieurs plans banlieues, jusqu'à ce fameux plan Borloo, écarté en 2018 par… Emmanuel Macron. Sommes-nous à l'aube d'une nouvelle crise entre l'institution judiciaire et la police ? Comment expliquer le mutisme du gouvernement sur cette question ? Quelles pistes le gouvernement veut-il entreprendre pour renouer le lien entre les Français et leur police ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 00:27:17 - 8h30 franceinfo - Le préfet de police de Paris était l'invité du "8h30 franceinfo", vendredi 7 juillet 2023.
durée : 02:29:51 - Le 7/9.30 - Laurent Nuñez, préfet de police de Paris, Laurent Berger, secrétaire général de la CFDT, et Pinar Selek, sociologue, elle se dit victime d'un harcèlement judiciaire par la Turquie, sont les invités de la matinale.
durée : 00:10:50 - L'invité de 7h50 - par : Léa Salamé - Laurent Nuñez, préfet de police de Paris, assure que les policiers de la Brav-M enregistrés en train de menacer des manifestants ne seront pas dans la rue "jusqu'à nouvel ordre". Il dénonce "une montée en volume des 'black blocs'" et "une montée en radicalité".
Le 6 mars, les éboueurs de la ville de Paris se mettent en grève pour protester contre la réforme des retraites. Très vite, les ordures s'amoncellent dans les rues et les parisiens doivent slalomer entre les bacs et les sacs poubelles éventrés. La mairie de Paris soutient cette grève mais le 16 mars, le préfet de police Laurent Nuñez annonce qu'il va réquisitionner plusieurs milliers d'agents municipaux afin de nettoyer les rues qui débordent. Les réquisitions n'ont pas tout à fait l'effet attendu, et la situation se tend encore un peu plus avec l'annonce du recours à l'article 49.3 pour faire adopter la réforme sans vote du Parlement.Pour Code source, Estelle Dautry et Paul Abran, journalistes à l'édition de Paris du Parisien, racontent trois semaines de bras de fer. Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Ambre Rosala - Production : Thibault Lambert, Raphaël Pueyo et Clara Garnier-Amouroux - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network - Identité graphique : Upian - Archives : Cnews, CNN, Ville de Paris. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
LUDOVIC, UN ÉBOUEUR DANS LA CRISE LUDOVIC FRANCESCHET Éboueur, auteur de "Plus tard, tu seras éboueur" Les tonnes de déchets continuent de s'entasser dans Paris et dans certaines autres villes de France, tandis que les éboueurs entament leur 11e jour de grève contre la réforme des retraites. Un mouvement social auquel la maire de Paris, Anne Hidalgo, a apporté son “soutien total, entier”, tout en pointant la responsabilité de l'exécutif. Dans la capitale, le gouvernement décide alors de passer en force. Sans surprise, le préfet de police de Paris, Laurent Nuñez, sur ordre du ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin, a informé mercredi dans la soirée Anne Hidalgo de sa décision de réquisitionner des éboueurs. La maire de Paris a donc transmis aujourd'hui à la préfecture de police la liste des 4000 noms des agents de la propreté des services de la ville ainsi que leur adresse, sur demande du préfet de police. "Dès ce matin, cette réquisition fonctionne et permet de ramasser ces poubelles", a annoncé Gérald Darmanin. Selon le ministre, les poubelles, en plus de poser un problème d'insalubrité, sont des "armes qu'il faut retirer de l'espace public". Jeudi soir, des piles de déchets ont été incendiés par des manifestants après l'évacuation de la place de la Concorde à Paris, où près de 6000 personnes se sont rassemblées à la suite de l'utilisation du 49.3 par le gouvernement pour faire passer en force la réforme des retraites. "L'opposition est légitime, les manifestations sont légitimes, le bordel ou la bordélisation non", a affirmé le ministre de l'Intérieur en dénonçant notamment "des effigies brûlées" à Dijon et des "préfectures prises pour cible". Au total, 310 personnes ont été interpellées jeudi en France dont 258 à Paris. "Ça me fait mal au coeur, mais ne pas ramasser les déchets, c'est notre seul moyen de pression", affirme Ludovic Franceschet, éboueur à la ville de Paris, auteur de "Plus tard, tu seras éboueur", publié chez City éditions. Il reviendra sur son parcours et les raisons qui l'ont poussé à exercer le métier d'éboueur et sur ce mouvement de grève, déjà reconduit jusqu'au 20 mars.