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Il confrontera ses points dans "Seul contre tous" le lundi 19 mai à 21h sur Paris Première : Eric Dupond-Moretti, avocat, ancien Garde des Sceaux, est l'invité de RTL. Ecoutez L'invité d'Amandine Bégot du 16 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il confrontera ses points dans "Seul contre tous" le lundi 19 mai à 21h sur Paris Première : Eric Dupond-Moretti, avocat, ancien Garde des Sceaux, est l'invité de RTL. Ecoutez L'invité d'Amandine Bégot du 16 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
1/ Invité exceptionnel : Eric Dupond-Moretti, ancien garde des Sceaux et... comédien. 2/ Théâtre et politique : un mariage de raison ? 3/ Les coups de cœur de nos invités. Retrouvez un nouveau numéro du Club Le Figaro Culture. Jean-Christophe Buisson reçoit Eric Dupond-Moretti, Yves Thréard, Dominique Poncet et Marin de Viry.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:24:07 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - L'ancien garde des Sceaux Eric Dupond-Moretti sera sur la scène du théâtre Marigny pour un seul-en-scène "J'ai dit oui", à partir du 1er février dans lequel il souhaite raconter les coulisses de la vie de ministre. - invités : Eric Dupond-Moretti - Éric Dupond-Moretti : Ex-Garde des Sceaux, ministre de la Justice
durée : 02:58:53 - Le 7/10 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé, Sonia Devillers, Anne-Laure Sugier - Ce mercredi 18 décembre, les invités de France Inter sont la députée RN Laure Lavalette à 7h50, l'ancien garde des Sceaux Eric Dupond-Moretti à 8h20, l'actrice Laure Calamy à 9h20 et le comédien Xavier Guelfi à 9h50. Débat du jour à 9h05 consacré au non-cumul des mandats : stop ou encore ?
durée : 00:24:07 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - L'ancien garde des Sceaux Eric Dupond-Moretti sera sur la scène du théâtre Marigny pour un seul-en-scène "J'ai dit oui", à partir du 1er février dans lequel il souhaite raconter les coulisses de la vie de ministre. - invités : Eric Dupond-Moretti - Éric Dupond-Moretti : Ex-Garde des Sceaux, ministre de la Justice
Après les Législatives, Emmanuel Macron s'adresse pour la première fois aux français via une lettre publiée dans la presse régionale. Il y rappelle que personne n'a remporté le scrutin, que la nomination d'un nouveau Premier ministre n'est pour le moment pas au programme mais il demande aux forces politiques "républicaines" de "bâtir une majorité solide". Eric Dupont-Moretti, garde des Sceaux, ministre de la Justice répond aux questions d'Olivier Bost. Ecoutez L'invité de RTL avec Olivier Bost du 11 juillet 2024.
Après les Législatives, Emmanuel Macron s'adresse pour la première fois aux français via une lettre publiée dans la presse régionale. Il y rappelle que personne n'a remporté le scrutin, que la nomination d'un nouveau Premier ministre n'est pour le moment pas au programme mais il demande aux forces politiques "républicaines" de "bâtir une majorité solide". Eric Dupont-Moretti, garde des Sceaux, ministre de la Justice répond aux questions d'Olivier Bost. Ecoutez L'invité de RTL avec Olivier Bost du 11 juillet 2024.
Ecoutez Le journal RTL avec Brandon Waret du 11 juillet 2024.
Au programme : DDay : 80 ans après, ils débarquent à nouveau ! / Qui sont nos créanciers ? / Eric Dupond-Moretti et les mathématiques... / Les petits arrangements d'Eric Piolle. / Qui était Emile Bouétard, le premier mort français du DDay ? / Les éoliennes sont-elles la face noire de la transition écologique ?
durée : 00:14:45 - Journal de 12h30 - Dans un entretien à La Tribune Dimanche, le garde des Sceaux annonce une série de mesures de lutte contre le crime organisé.
durée : 00:14:45 - Journal de 12h30 - Dans un entretien à La Tribune Dimanche, le garde des Sceaux annonce une série de mesures de lutte contre le crime organisé.
Retrouvez Pierre De Vilno, et ses invités pour revivre ensemble la semaine politique d'Europe 1, en collaboration avec Paris Match et Le JDD.
C'est un fait-divers à la dramaturgie exceptionnelle... qui a même été adapté au cinéma dans le film d'Antoine Raimbaut « Une intime conviction » avec Marina Foïs et Olivier Gourmet en 2018. Pendant 10 ans, Jacques Viguier, professeur de droit à l'université de Toulouse a vécu l'enfer. Suite à la disparition de sa femme Suzanne, une nuit de février 2000, il a été accusé de l'avoir tuée. Comment cet homme est-il devenu le coupable idéal ? Dans le dernier épisode de la saison, Stéphane Durant Souffland, chroniqueur judiciaire au Figaro, sera l'invité de Caroline Nogueras pour nous faire revivre le procès en appel de Jacques Viguier. L'ultime procès Ce 1er mars 2010, c'est un nouveau procès qui s'ouvre pour Jacques Viguier. Cette fois, il va devoir faire face aux jurés de la cour d'assise d'Albi. Désormais pour assurer sa défense, l'accusé a pris le toulousain Jacques Lévy et le redoutable ténor du barreau Eric Dupond-Moretti. La petite ville d'Albi est en effervescence. Quel sort attend l'éminent professeur de droit ? Va t-il être plus combatif qu'à Toulouse ? Sera-t-il condamné ou acquitté du meurtre de son épouse ? Parmi les nombreux journalistes venus couvrir ce procès, il y a Stéphane Durand Souffland, chroniqueur judiciaire au Figaro. Il est l'invité de ce dernier épisode. Découvrez la saison précédente en intégralité : L'affaire Malgouyres, meurtre dans le jardin préféré des Français Un podcast écrit et raconté par Caroline Nogueras Réalisé par Julien Roussel En partenariat avec upday. Date de première diffusion : 16 juin 2022 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Ce sera l'image forte de la journée tout à l'heure : à 12h, place Vendôme à Paris, Emmanuel Macron et Eric Dupond-Moretti viendront apposer le Sceau de la République sur la loi inscrivant la liberté de femmes à avoir recourt à l'IVG dans la Constitution. Une cérémonie pour l'histoire, devant l'entrée du ministère de la Justice. Et d'ailleurs, RTL vous explique pourquoi le ministre de la Justice, précisément, est aussi appelé le Garde des Sceaux. Ecoutez RTL vous explique du 08 mars 2024 avec Thomas Despré.
durée : 00:15:58 - Journal de 8 h - Le Parlement se réunit en Congrès au Château de Versailles. Sénateurs et députés sont appelés à inscrire l'IVG dans la Constitution, ce qui "ne rend absolument pas" caduque la clause de conscience des professionnels de santé, a assuré dimanche le ministre de la Justice, Eric Dupond-Moretti.
durée : 00:15:58 - Journal de 8 h - Le Parlement se réunit en Congrès au Château de Versailles. Sénateurs et députés sont appelés à inscrire l'IVG dans la Constitution, ce qui "ne rend absolument pas" caduque la clause de conscience des professionnels de santé, a assuré dimanche le ministre de la Justice, Eric Dupond-Moretti.
durée : 00:15:58 - Journal de 8 h - Le Parlement se réunit en Congrès au Château de Versailles. Sénateurs et députés sont appelés à inscrire l'IVG dans la Constitution, ce qui "ne rend absolument pas" caduque la clause de conscience des professionnels de santé, a assuré dimanche le ministre de la Justice, Eric Dupond-Moretti.
C dans l'air du 10 février - Judith Godrèche : les terribles accusations Les révélations sordides sur le cinéma français se multiplient cette semaine. Ce jeudi, l'actrice Judith Godrèche, 51 ans, a accusé le cinéaste Benoît Jacquot de viol. Elle a tout révélé lors d'une interview sur France inter, lors de laquelle elle était venue parler de la relation d'emprise qu'elle avait le réalisateur aujourd'hui âgé de 77 ans. L'actrice a déposé plainte mardi auprès de la Brigade de répression des mineurs pour « viols avec violences sur mineur de moins de 15 ans » commis par personne ayant autorité, selon le journal Le Monde. Mais les révélations de Judith Godrèche ne s'arrêtent pas là. Elles éclaboussent aussi Jacques Doillon, 79 ans. Le réalisateur est visé depuis jeudi par une plainte pour viol une nouvelle fois déposée par l'actrice Judith Godrèche qui avait 14 ans aux moments des faits qu'elle dénonce. "Sur le tournage, c'était hallucinant. Il a engagé un acteur (…), il l'a viré et il s'est mis à la place. Tout à coup, il décide qu'il y a une scène d'amour, une scène de sexe entre lui et moi. On fait quarante-cinq prises. J'enlève mon pull, je suis torse nu, il me pelote et il me roule des pelles", a-t-elle raconté sur France inter. L'enquête préliminaire, ouverte mercredi par le parquet de Paris, regroupera donc les accusations de l'actrice contre Benoît Jacquot et Jacques Doillon. Au même moment, Ana Mouglalis et Isild Le Besco, accusent également le second d'agression sexuelle et d'harcèlement. Le mouvement #MeToo, initié en 2017 avec les accusations de viol contre le producteur américain Harvey Weinstein, dont a d'ailleurs été victime Judith Godrèche, continue d'éclabousser les célébrités françaises. Ces derniers jours, c'est au tour du psychanalyste français Gérard Miller, d'être accusé par 41 femmes d'agressions sexuelles et viols commis depuis les années 1990, d'après une enquête du magazine Elle. En France, la vague #MeToo questionne toutes les générations, notamment les plus jeunes. Comment sensibiliser les adolescents à l'éducation sexuelle, dans un pays où l'âge moyen de la première exposition à une image pornographique est de 10 ans ? Pour les enseignants, le sujet est devenu un véritable enjeu de santé publique. Depuis quelques années, des ateliers sont mis en place dans les collèges et lycées pour expliquer aux élèves la question du consentement ou les différences entre viol et agression sexuelle. Du côté des violences faites aux femmes, on note quelques progrès. La France a connu une diminution de de 20 % en 2023, passant de 118 en 2022 à 94 l'année dernière. « Après l'extension des téléphones grave danger et des bracelets antirapprochement, on peut espérer que notre lutte sera encore plus efficace », s'était félicité le garde des Sceaux, Eric Dupond-Moretti, en janvier dernier. Mercredi, une femme a justement été sauvée de justesse grâce à son téléphone grave danger en actionnant le dispositif alors que son ex-mari s'était rendu à sa porte, muni d'une arme à feu. Prévenus à temps, les policiers ont pu se rendre au domicile de la victime en quatre minutes avant de neutraliser l'homme de 26 ans, déjà condamné pour violences conjugales à l'encontre d'une autre femme. Mis en place en 2009 en Seine-Saint-Denis, puis généralisé à l'ensemble de l'hexagone en 2014, le téléphone grave danger a été distribué à 5 500 personnes en 2023. Une nouvelle vague #MeToo va-t-elle balayer le cinéma français ? Comment mieux sensibiliser les nouvelles générations à la question des violences sexuelles ? Les femmes victimes de violences conjugales sont-elles mieux protégées ces dernières années ? LES EXPERTS : - Laurence ROSSIGNOL - Sénatrice PS du Val-de-Marne, ancienne ministre des Familles, de l'Enfance et des Droits des femmes - Ava DJAMSHIDI - Rédactrice en chef - Elle Magazine - Justine ATLAN - Directrice générale - Association e-Enfance - Isabelle STEYER - Avocate au barreau de Paris, spécialiste des violences conjugales
durée : 00:21:20 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - Le ministre de la Justice, Eric Dupond-Moretti se dit "confiant" sur le travail à venir de la Commission mixte paritaire pour "trouver une voie de passage" au texte de loi immigration, rejeté en début de semaine par les députés. - invités : Eric Dupond-Moretti - Éric Dupond-Moretti : Garde des Sceaux, ministre de la Justice
durée : 00:21:20 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - Le ministre de la Justice, Eric Dupond-Moretti se dit "confiant" sur le travail à venir de la Commission mixte paritaire pour "trouver une voie de passage" au texte de loi immigration, rejeté en début de semaine par les députés. - invités : Eric Dupond-Moretti - Éric Dupond-Moretti : Garde des Sceaux, ministre de la Justice
Ce n'est rien de dire que ces lois étaient attendues. Discutées depuis les Etats généraux de la Justice sinon avant, elles ont fait l'objet de nombreux débats, particulièrement la loi Justice, la loi de programmation 2023-2027. Le 3 mai 2023, le projet de loi a été présenté au Conseil des Ministres, par Eric Dupond-Moretti, garde des Sceaux. Il a ensuite été adopté en première lecture, avec des modifications, par le Sénat, le 13 juin 2023, puis par l'Assemblée nationale le 18 juillet 2023. A la suite d'une commission mixte paritaire, l'Assemble nationale a adopté la version définitive le 10 octobre 2023 et le Sénat le 11 octobre 2023. Saisi par 60 députés, le Conseil constitutionnel s'est prononcé le 16 novembre 2023. Inspirée partiellement donc des travaux des États généraux de la justice, la loi du 20 novembre 2023 d'orientation et de programmation du ministère de la Justice 2023-2027 et la loi organique n° 2023-1058 du 20 novembre 2023 relative à l'ouverture, à la modernisation et à la responsabilité du corps judiciaire ont été publiées au Journal officiel du 21 novembre 2023. S'agit-il de changements en profondeur de notre droit et des règles applicables aux magistrats et au corps judiciaire dans son ensemble ? Quelle est la nature et la portée de ces changements ? Si nous ne pouvons pas évidemment revenir sur chaque disposition et chaque point de ces réformes, parce qu'il s'agit bien de réformes présentes ou programmées, nous avons le plaisir de recevoir Franck TOURET, professeur de droit civil au sein de la Prépa ISP, pour nous tracer les grandes lignes de ces lois, l'essentiel à comprendre et à retenir. Franck Touret, bonjour et merci d'être présent dans les podcasts de l'ISP, merci également de vous êtes attelé à la cette tâche de décryptage et d'analyse de ces lois, tel Hercule devant nettoyer les écuries d'Augias.
La Cour de Justice de la République a relaxé Eric Dupond-Moretti. En 30 ans d'existence, l'instance judiciaire a instruit de nombreux dossiers mais a assez peu condamné. Cette dernière décision ravive la colère de l'opposition : faut-il supprimer cette juridiction d'exception réservée aux membres du Gouvernement ? Comment juge-t-on les ministres chez nos voisins ? On vous explique !
Eric Dupond-Moretti, jugé pour prise illégale d'intérêt, a été relaxé par la Cour de justice de la République. Une instance décriée, dont les Insoumis demandent la suppression. La veille, le garde des Sceaux a attaqué le Rassemblement national pour ses prises de position après la mort de Thomas et la démonstration de force des groupuscules d'ultradroite. Il a appelé le parti de Marine Le Pen à "chasser de ses rangs les nazillons".
durée : 00:03:54 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - Le garde des Sceaux a gagné son procès devant la Cour de justice de la République. Il est "non-coupable". Mais le malaise politique a-t-il disparu ?
Le 6 novembre, le procès d'Eric Dupond-Moretti s'est ouvert devant la Cour de justice de la République. Le ministre de la justice est poursuivi pour « prise illégale d'intérêts ». Soupçonné d'avoir réglé ses comptes avec des magistrats avec lesquels il était en conflit quand il était avocat, le garde des Sceaux a finalement été relaxé le mercredi 29 novembre.A la barre, Eric Dupond-Moretti s'est défendu d'avoir voulu se venger, et a affirmé qu'il n'avait fait que suivre les conseils de son administration. Le jeudi 16 novembre, l'accusation a requis un an de prison avec sursis contre le garde des Sceaux. La décision sera rendue le 29 novembre. Code source revient sur ce procès inédit avec Pascale Égré, journaliste spécialiste de la justice au Parisien.Ecoutez Code source sur toutes les plateformes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Google Podcast (Android), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Ambre Rosala - Production : Clara Garnier-Amouroux, Barbara Gouy et Raphaël Pueyo - Réalisation et mixage : Benoît Gillon - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : France 2, France 3. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C dans l'air du 29 novembre 2023 - La relaxe de Dupond-Moretti, le retour de Cahuzac... Le verdict était très attendu. Eric Dupond-Moretti a été relaxé ce mercredi après-midi par la Cour de justice de la République, seule juridiction compétente pour juger des délits et crimes des membres du gouvernement dans l'exercice de leur fonction. Après deux semaines de suspens, la juridiction composée à majorité d'élus politiques de tous horizons a rendu sa décision, à laquelle le garde des Sceaux – qui a toujours contesté les faits reprochés – savait son avenir politique suspendu. Un an de prison avec sursis avait été requis par le ministère public. Il lui était reproché, dans deux affaires distinctes, d'avoir usé de sa fonction de ministre pour régler ses comptes avec quatre magistrats, un ex-juge d'instruction à Monaco et trois membres du Parquet national financier (PNF), avec lesquels il avait eu un contentieux du temps où il portait la robe. "Aucun élément ne permet de dire qu'il est passé outre à la situation de conflit d'intérêt qui n'avait pas été portée à sa connaissance", a expliqué le président de la CJR. "C'est ce que l'on espérait, c'est ce que le droit dictait", a réagi Jacqueline Laffont, l'une des avocates d'Eric Dupond-Moretti. C'était la première fois qu'un ministre de la Justice en exercice était jugé et depuis quinze jours, les pronostics sur le sort du garde des Sceaux allaient bon train. Compte tenu de cette relaxe, l'ancien ténor des assises, chouchou d'Emmanuel Macron, devenu pilier du gouvernement, devrait donc poursuivre son mandat place Vendôme. Il sera reçu dans l'après-midi par le président de la République a indiqué son entourage. Mais quelle trace ce procès du garde des Sceaux laissera-t-il ? Qu'est-ce que la Cour de justice de la République (CJR) ? Comment un ministre est-il jugé ? Enfin une personnalité éclaboussée par un scandale peut-elle revenir en politique ? L'ex-ministre Jérôme Cahuzac, condamné en 2018 pour fraude fiscale, a déclaré ce lundi sur France Inter ne "rien s'interdire" quant à un éventuel retour en politique, via un mandat d'élu. Mais qu'en pensent les Français ? LES EXPERTS : - CHRISTOPHE BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-Tireur - MATHIEU DELAHOUSSE - Grand reporter - L'Obs - AUDREY GOUTARD - Grand reporter spécialisée dans les faits de société - France Télévisions - BRICE TEINTURIER - Directeur général délégué - Institut de sondages Ipsos
durée : 00:19:16 - Journal de 18h - Les juges de la CJR ont estimé que le ministre de la Justice n'avait pas eu l'intention de commettre le délit de prise illégale d'intérêts pour lequel il était jugé. Eric Dupond-Moretti va pouvoir rester au gouvernement, s'est aussitôt réjouie la Première ministre Elisabeth Borne.
Aujourd'hui dans 'Punchline', Laurence Ferrari et ses invités débattent de la décision de justice rendue, concernant la prise illégale d'intérêts, dont Eric Dupond-Moretti a été relaxé aujourd'hui.
durée : 00:19:16 - Journal de 18h - Les juges de la CJR ont estimé que le ministre de la Justice n'avait pas eu l'intention de commettre le délit de prise illégale d'intérêts pour lequel il était jugé. Eric Dupond-Moretti va pouvoir rester au gouvernement, s'est aussitôt réjouie la Première ministre Elisabeth Borne.
Le 6 novembre, le procès d'Eric Dupond-Moretti s'est ouvert devant la Cour de justice de la République. Le ministre de la justice est poursuivi pour « prise illégale d'intérêts ». Il est soupçonné d'avoir réglé ses comptes avec des magistrats avec lesquels il était en conflit quand il était avocat.A la barre, Eric Dupond-Moretti s'est défendu d'avoir voulu se venger, et a affirmé qu'il n'avait fait que suivre les conseils de son administration. Le jeudi 16 novembre, l'accusation a requis un an de prison avec sursis contre le garde des Sceaux. La décision sera rendue le 29 novembre. Code source revient sur ce procès inédit avec Pascale Égré, journaliste spécialiste de la justice au Parisien.Ecoutez Code source sur toutes les plateformes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Google Podcast (Android), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Ambre Rosala - Production : Clara Garnier-Amouroux, Barbara Gouy et Raphaël Pueyo - Réalisation et mixage : Benoît Gillon - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : France 2, France 3. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Tous les matins à 7h50, Nicolas Poincaré prend le temps d'expliquer simplement un phénomène d'actualité complexe. Il utilise toute son expérience de journaliste pour rendre les sujets les plus compliqués accessibles à tous. Un rendez-vous indispensable pour trouver les réponses aux questions soulevées par l'actualité du jour.
durée : 00:07:46 - Un an de prison avec sursis requis contre le ministre de la Justice, Eric Dupond-Moretti. S'il était condamné, pourrait-il rester garde des Sceaux?
Eric Dupond-Moretti avait indiqué réserver ses explications pour la justice. Il est donc sommé de les livrer depuis le lundi 6 novembre, devant la Cour de justice de la République. Poursuivi pour « prises illégales d'intérêts », le garde des sceaux est soupçonné d'avoir profité de sa position pour régler ses comptes en déclenchant des enquêtes administratives contre des magistrats avec lesquels il avait bataillé comme avocat.Outre ces réponses très attendues du ministre, la première semaine d'audience a été le théâtre des témoignages de plusieurs protagonistes-clés du dossier, notamment ceux des magistrats visés par les fameuses enquêtes à l'ancien premier ministre Jean Castex, ainsi que celui de François Molins, ancien président de la formation disciplinaire du Conseil supérieur de magistrature.Que faut-il retenir de ces auditions ? Avant la reprise de l'audience, prévue mardi matin, Franck Johannès, journaliste au Monde, fait dans cet épisode de « L'Heure du Monde » le récit des cinq premiers jours d'un procès sous tension.---Pour tout comprendre à ce qui est reproché à Eric Dupond-Moretti, retrouvez ici notre épisode sur cette affaire Retrouvez ici l'article de Franck Johannès : Devant la Cour de justice de la République, Jean Castex et les conflits d'intérêts d'Eric Dupond-MorettiPour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.frRectificatif le 14 novembre 2023 à 10h05 : suppression d'une erreur dans la date du premier jour du procès
▶ Sixième épisode de “Sans langue Degois”, la chronique politique de François Degois. Depuis la semaine dernière, nous avons changé de formule. Désormais, Françoise est face à un contradicteur, qui peut changer en fonction de l'actualité. Et aujourd'hui, elle est face à Paul Elek, chroniqueur politique pour le compte du Média TV. Au sommaire : Eric Dupond-Moretti devant la Cour de justice de la République. La guerre au Proche-Orient bien entendu. Quel but de guerre pour l'armée israélienne ? Pour quels coûts en termes de victimes civiles, et aussi sur le terrain des opinions publiques ? Quel est le bilan géopolitique de ce premier mois de feu et de sang ? Comment se positionnent les diplomaties mondiales ? On parlera également des répliques en France de ce séisme proche-oriental, notamment de l'avancée (à droite) de la thèse du choc des civilisations, mais aussi de la mini-polémique sur Olivier Faure… Une manifestation contre l'antisémitisme à venir… avec le RN ou pas ? On parlera aussi d'un débat parlementaire à venir : la loi Darmanin sur l'immigration. Rampe de lancement vers l'Elysée avec une stratégie à l'extrême droite toute ? ▶ On est là ! Jamais un média populaire et indépendant, qui n'est détenu ni par de riches oligarques ni par l'Etat, n'avait arraché le droit d'être diffusé à la TV ! Nous si ! RDV sur le canal 350 de la freebox, et toujours sur Youtube et sur notre site internet !
durée : 00:16:39 - Eric Dupond-Moretti, un ministre devant la justice
Der Minister Amichai Elijahu der rechtsreligiösen Regierung in Israel, sieht es als eine Option, eine Atombombe über Gaza abzuwerfen. Nun darf er nicht mehr an Regierungssitzungen teilnehmen. Ist nun eine neue Eskalationsstufe erreicht? Weitere Themen sind: * Kemal Kilicdaroglu, der Vorsitzende der grössten Oppositionspartei CHP, war der Hoffnungsträger für viele Menschen in der Türkei. Er wollte bei den Wahlen im Mai Präsident Recep Tayyep Erdogan schlagen und unterlag. Jetzt wird er nach 13 Jahren auch als Parteichef abgesetzt. Wie konnte es so weit kommen? * In Frankreich muss Eric Dupond-Moretti vor Gericht. Das ist das erste Mal, dass ein amtierender Justizminister in Frankreich vor Gericht muss. Ihm werden Interessenskonflikte vorgeworfen. * Gestern waren in der Schweiz pink violette Polarlichter am Himmel zu beobachten. Ein Phänomen, das man sonst nur aus dem hohen Norden kennt. Was für ein Wetterphänomen steckt dahinter?
C'est un procès inédit depuis la création de la Cour de justice de la République, en 1993 : un ministre en exercice, Eric Dupond-Moretti, comparaît devant cette juridiction d'exception à partir de ce lundi. L'ancien avocat, soupçonné d'avoir réglé ses comptes avec certains juges après sa nomination comme garde des sceaux, est poursuivi pour « prise illégale d'intérêts ». Il risque cinq ans de prison et 500 000 euros d'amende.Mais que lui reproche-t-on exactement ? Dans un épisode de « L'Heure du Monde », diffusé une première fois en octobre 2022, les journalistes du Monde Gérard Davet et Fabrice Lhomme expliquaient dans le détail l'affaire Levrault et celle du Parquet National Financier (PNF ), qui seront au cœur de ce procès. Nous vous proposons de réécouter cet épisode pour comprendre ces deux dossiers complexes. Gardez toutefois à l'esprit que les choses ont évolué : en octobre 2022, Eric Dupond-Moretti s'était pourvu en Cassation et son renvoi devant la justice n'était pas encore une certitude.Un épisode d'Esther Michon. Réalisation : Alexandre Ferreira. Musique du générique : Amandine Robillard. Présentation et rédaction en chef : Jean-Guillaume Santi.---Retrouvez ici notre article : Ce que la commission d'instruction de la Cour de justice de la République reproche à Eric Dupond-MorettiPour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr
Aujourd'hui dans 'Punchline', Laurence Ferrari et ses invités débattent de l'interpélation d'Eric Dupond-Moretti par Nicolas Dupont-Aignan sur les mesures de sécurité.
durée : 00:54:10 - Questions politiques - Deux jours après l'attaque au couteau dans une cité scolaire d'Arras et la mort d'un enseignant, le garde des Sceaux Éric Dupond-Moretti est l'invitée de Questions politiques. Pour le ministre, LFI veut "le vote des barbus" et Jean-Luc Mélenchon "a décidé de détruire la République".
C'est dans un mois qu'Eric Dupond-Moretti comparaîtra devant la Cour de Justice de la République. L'ancienne star du barreau, surnommé Acquittator, devra convaincre cette fois-ci les juges de son innocence de toute « prise illégale d'intérêt ». "Jour J", c'est l'émission des grands entretiens d'actualité. Chaque jour, Flavie Flament explore les coulisses et les détails de l'info d'hier et d'aujourd'hui avec un témoin-expert. Une heure d'analyse et d'archives pour comprendre l'actualité avec recul et nuance.
C dans l'air du 28 juillet - Police : Darmanin fâche la justice LES EXPERTS : - CARL MEEUS - Rédacteur en chef - Le Figaro Magazine - ALEXANDRA SCHWARTZBROD - Directrice adjointe de la rédaction - Libération - CYRIL GRAZIANI - Chef du service politique - France Télévisions - FRÉDÉRIC MICHEAU - Directeur général adjoint - Opinion Way De retour de Nouvelle-Calédonie, où il accompagnait le président de la République, Gérald Darmanin pris la parole hier pour la première fois depuis le mouvement de grogne d'une partie des policiers. "Je comprends cette émotion, cette colère, cette tristesse", a déclaré le ministre de l'Intérieur, en déplacement dans un commissariat du 19e arrondissement de Paris. "Les policiers ne doivent pas être les seules personnes en France pour qui la présomption d'innocence n'existe pas" et serait remplacée par une "présomption de culpabilité", a-t-il souligné, rappelant toutefois que "quand l'un d'entre eux commet une erreur, il doit être sanctionné". Interrogé par ailleurs par un journaliste sur les propos du directeur général de la police nationale (DGPN), Frédéric Veaux, qui affirmait dimanche 23 juillet qu'un policier n'avait pas sa place en détention provisoire, le ministre de l'Intérieur l'a pleinement conforté : "Il a parlé comme parle un chef vis-à-vis de ses policiers, je le soutiens totalement et je suis très fier que ce soit mon collaborateur." Peu après, le ministre de l'Intérieur a reçu en compagnie de ce dernier et du préfet de police de Paris, Laurent Nuñez, les organisations syndicales de la profession au ministère. A la sortie, les syndicats se sont montrés "satisfaits". "On a le sentiment que notre ministre est en soutien des forces de l'ordre", a déclaré devant la presse Olivier Varlet, secrétaire général du syndicat Unsa Police. Détention provisoire, protection fonctionnelle, anonymisation... Plusieurs revendications des policiers ont été abordées lors de cette réunion et d'après les représentants syndicaux, Gérald Darmanin se serait engagé à «étudier la loi pour revenir sur la détention provisoire d'un policier agissant en mission». Autre acquis revendiqué par Unité-SGP : le "maintien des primes en plus du traitement lors d'une suspension". Il s'agit des principales revendications des syndicats, au cœur du mouvement des policiers déclenché après l'incarcération d'un collègue marseillais, soupçonné d'avoir roué de coups un jeune homme nommé Hedi, avec trois autres collègues, dans la nuit du 1er au 2 juillet, en marge des émeutes qui ont suivi la mort de Nahel à Nanterre. Gérald Darmanin a également fait savoir aux syndicats qu'il gagnerait la cité phocéenne sous peu pour y rencontrer les policiers en colère et qu'une réunion commune avec le garde des Sceaux aura lieu à la rentrée. Depuis le début de la crise, Eric Dupond-Moretti n'est sorti qu'une fois de son silence, avec un tweet citant Emmanuel Macron de son allocution du début de semaine : "nul n'est au-dessus de la loi de la République". Dans un communiqué, les conférences nationales des chefs de cours d'appel ont fait part de leur "inquiétude". "Nous sommes soucieux de maintenir des relations apaisées avec les forces de sécurité intérieure, mais nous ne pouvons que craindre qu'une forme de radicalisation des positions s'installe parmi les fonctionnaires de police, facilitée par les atteintes publiques de leurs plus hautes autorités aux principes de la séparation des pouvoirs et de l'indépendance de l'autorité judiciaire" écrivent-ils. Alors que va décider l'exécutif ? Après l'horizon qu'Emmanuel Macron a voulu tracer lundi à la télévision, la Première ministre est revenue mardi sur le choix de sa nouvelle équipe gouvernementale plus politique et moins issue de la société civile. Face à "une situation politique qui est dure à l'Assemblée, des débats qui peuvent être parfois très violents", il "est important", a-t-elle expliqué que "des ministres dirigent leur administration, puissent porter les positions du gouvernement dans le débat public et puissent aussi aller à la rencontre de nos parlementaires de la majorité et des oppositions, travailler avec eux." A la veille de la pause estivale du gouvernement, Élisabeth Borne a rappelé qu'elle attend d'eux à la rentrée des « résultats très rapides et tangibles." De son côté le chef de l'Etat poursuit son voyage en Nouvelle-Calédonie. Depuis Nouméa, il a loué mardi l'action de son ancien Premier ministre Édouard Philippe et évoqué la possibilité qu'il puisse "prendre le relais" à l'Élysée en 2027, en se disant soucieux "qu'il y ait vraiment une suite" à sa propre action. L'intéressé, de son côté, a annoncé la sortie de son prochain livre, intitulé Des lieux qui disent, le 13 septembre prochain. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 00:14:49 - Journal de 12h30 - C'est une audience cruciale qui a eu lieu ce matin pour Eric Dupond-Moretti. Le ministre de la Justice conteste en cassation l'enquête de la Cour de justice de la République qui a abouti par son renvoi en procès sur des soupçons de prise illégale d'intérêt.
C dans l'air du 29 mai - Immigration : le nouveau sujet brûlant du gouvernement LES EXPERTS : - CARL MEEUS - Rédacteur en chef - « Le Figaro Magazine » - NATHALIE MAURET - Journaliste politique - Groupe de presse régionale Ebra - ASTRID DE VILLAINES - Cheffe du service politique - « Huffington Post » - JEAN GARRIGUES - Historien, président du Comité d'histoire parlementaire et politique Un nouveau casse-tête pour le gouvernement. Comment faire adopter son projet de loi immigration sans majorité à l'assemblée ? Et sans passer par un 49.3 ? La seule solution semble être le compromis avec les Républicains. Dans une interview donnée ce week-end au Parisien, le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin a tendu la main aux LR, « travaillons ensemble », leur a-t-il répondu, alors qu'ils l'avaient interpellé il y a quelques jours dans le JDD. Ils y avaient notamment dévoilé leur plan pour limiter le nombre d'immigrés, en spécifiant leur refus de régulariser certains sans-papiers dans les métiers en tension, comme dans le BTP ou la restauration. « Le texte immigration ne peut pas être du 100% LR », indique l'entourage de Darmanin. « Chacun doit faire un pas » estime pour sa part le ministre de l'Intérieur. Le gouvernement n'a donc pas l'intention de laisser entièrement la main aux Républicains sur ce sujet hautement sensible. Éric Ciotti et ses troupes ont notamment suggéré la possibilité d'un référendum sur la politique migratoire, ou encore le rétablissement du délit de séjour clandestin et l'inscription de « l'assimilation » dans la Constitution. Eric Ciotti veut aussi mettre dans la constitution l'impossibilité de s'opposer à une OQTF (obligation de quitter la France). Il dénonce le « manque de volonté » de l'Etat sur ce sujet alors que le garde des Sceaux, Eric Dupond-Moretti, a avoué que les OQTF ne peuvent pas toujours être exécutée. Enfin, la question des retraites est toujours dans les esprits. Dans son discours au festival de Cannes, la lauréate française de la Palme d'or, Justine Triet, a dénoncé la « façon choquante » dont a été « niée et réprimée » la contestation sociale. Alors qu'une nouvelle mobilisation intersyndicale est prévue le 6 juin, et que sera débattu deux jours plus tard un projet de loi LIOT pour revenir sur l'âge de départ à la retraite, cette réforme cristallise toujours le débat public. Alors, le gouvernement peut-il trouver un accord sur la loi immigration avec les Républicains ? Que peut faire l'Etat pour mieux exécuter les OQTF ? Le projet de loi du groupe LIOT sur l'âge de départ à la retraite peut-il être voté ? DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - Bruno Duvic REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 00:06:03 - Eric Dupond-Moretti dévoile sa réforme de la justice avec 7,5 milliards d'euros en plus.
durée : 00:05:13 - La chronique de Christine Gonzalez - par : Christine Gonzalez - Dans cet épisode, Jean-Luc Mélenchon et Eric Dupond-Moretti ont beaucoup à apprendre d'Afida Turner.
EXPERTS YVES THRÉARD Éditorialiste, directeur adjoint de la rédaction – « Le Figaro » JÉRÔME JAFFRÉ Politologue – Chercheur associé au CEVIPOF VANESSA SCHNEIDER Grand reporter – « Le Monde » CHLOÉ MORIN Politologue Auteure de « On aura tout essayé » Que se passe-t-il au Parlement ? Alors que des milliers de Français manifestaient mardi un peu partout en France contre la réforme des retraites, 3,5 millions selon la CGT, 1,28 selon le ministère de l'Intérieur, l'Assemblée nationale a connu une séance particulièrement tumultueuse à l'occasion de débats sur l'exemplarité des élus. Les députés avaient à peine commencé leurs interventions en fin d'après-midi sur la proposition de la présidente du groupe Renaissance Aurore Bergé, que les échanges ont totalement dérapé. Le texte examiné visait à imposer une peine d'inéligibilité automatique aux auteurs de violences aggravées, en particulier sur les mineurs et les conjoint(es). Mais il a très vite été critiqué par les oppositions comme une réaction opportuniste à la condamnation du député insoumis Adrien Quatennens en décembre dernier pour des violences sur sa compagne. A la tribune, le président du groupe LR Olivier Marleix a invité la majorité à "s'offrir une séance d'introspection" et ne s'est pas privé d'énumérer des condamnations, mises en examen ou enquêtes concernant des membres du camp présidentiel, le député Damien Abad, le secrétaire général de l'Elysée Alexis Kohler et, pour terminer, le garde des Sceaux. Eric Dupond-Moretti est mis en examen pour prise illégale d'intérêts, une première pour un ministre de la Justice en exercice. L'association de lutte contre la corruption Anticor et les deux principaux syndicats de magistrats avaient déposé une plainte à l'encontre du garde des Sceaux, l'accusant d'avoir profité de son poste pour régler des comptes avec des magistrats, dans des affaires où il était impliqué en tant qu'avocat. La Cour de justice de la République (CJR), juridiction destinée à juger les ministres ou ex-ministres pour les crimes ou délits commis dans l'exercice de leurs fonctions, a ordonné un procès, mais les avocats d'Éric Dupond-Moretti ont formé un pourvoi en cassation. Piqué au vif, le ministre de la Justice a alors fait deux bras d'honneur. Face au tollé suscité, et après deux suspensions de séance, le garde des Sceaux a finalement reconnu et "regretté" ses gestes qui n'étaient selon lui "pas adressés au député Marleix" mais à l'atteinte "à la présomption d'innocence". "Vous avez fréquenté beaucoup de voyous mais c'est plus qu'inapproprié", l'a corrigé Olivier Marleix. Finalement, le texte a été repoussé par l'hémicycle, à hauteur de 140 voix contre 113. Un revers dur à accepter pour la députée Aurore Bergé, porteuse du projet, qui avait fini la défense de son texte au bord des larmes. Mais l'affaire est loin d'être close pour nombre de députés. Ente indignation et consternation, des élus de toutes les oppositions réclament la démission du ministre de la Justice tandis qu'au Sénat l'application, inédite, de l'article 38 enflamme les débats. En plein examen de l'article 7 de la réforme des retraites, celui qui consacre le recul de l'âge de départ à 64 ans, le sénateur LR Bruno Retailleau a dégainé un point du règlement jamais utilisé pour couper court aux débats dans la nuit de mardi. La gauche dénonce une "censure" et une "attaque contre la démocratie !". Les Sénateurs doivent poursuivre l'examen du projet de réforme des retraites jusqu'à ce dimanche alors que les grèves et les blocages se poursuivent dans le pays, notamment sur plusieurs axes routiers et dans les raffineries, avec des syndicats à la fois agacés du silence de l'exécutif, et galvanisés par le nombre record de manifestants mardi et le soutien d'une majorité de Français dans les sondages. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Ce mardi 10 janvier, Philippe Caverivière est revenu sur le nouveau plan d'action pour la justice présenté jeudi dernier par Eric Dupond-Moretti.
Le meilleur de l'histoire du jour en moins d'une minute.
Avant de devenir ministre de la Justice et garde des Sceaux, Éric Dupond-Moretti a été l'avocat le plus brillant de sa génération. Il raconte son métier dans le livre « Bête noire. Condamné à plaider », coécrit avec le journaliste Stéphane Durand-Souffland (Editions Michel Lafon).