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durée : 00:02:22 - La politique avec - Les prochaines élections municipales s'annoncent mouvementées.
Cette semaine, on a eu le plaisir de recevoir l'humoriste acadienne Coco Belliveau!
Depuis mars, Israël a complètement bloqué l'aide humanitaire destinée à la bande de Gaza. La raison invoquée : exercer de la pression sur le Hamas pour forcer la libération des otages. Mais pour la population, cette approche est lourde de conséquences. À la crise humanitaire s'ajoute désormais un risque critique de famine. Le 20 mai, cédant aux pressions diplomatiques exercées par des pays alliés, Benjamin Netanyahou a partiellement levé le blocus israélien. François Audet, directeur de l'Observatoire canadien sur les crises et l'action humanitaires, expose la gravité de la situation et les actions à déployer pour y mettre un terme.
Le président syrien par intérim, Ahmed al-Charaa, a été reçu mercredi à Paris par Emmanuel Macron. Il s'agissait de son premier déplacement en Europe depuis son arrivée au pouvoir en décembre dernier. Cette visite a eu lieu alors que la Syrie connait un déchainement de violences depuis quelques semaines, les pires depuis la chute du régime de Bachar al-Assad, et qui font réapparaître toutes les haines qui minent la fragile unité du pays.
À 22h, Alice Darfeuille fait le tour des images marquantes et des déclarations fortes de la journée. Du lundi au jeudi, Alice jusqu'à minuit fait vivre l'info du soir avec chroniqueurs, invités et éditorialistes.
BFM STORY du lundi au jeudi de 17h à 19h avec Olivier Truchot & Alain Marshall. Deux heures pour faire un tour complet de l'actualité en présence d'invités pour expliquer et débattre sur les grands sujets qui ont marqué la journée.
Le 17 mars 2013, le célèbre avocat parisien, Olivier Metzner, est retrouvé mort près de son île privée dans le golfe du Morbihan. L'autopsie conclut à un suicide. Derrière lui, l'avocat ne laisse aucune explication. Pourtant, depuis 20 ans, gravite dans l'entourage d'Olivier Metzner, un dandy gigolo au parcours jonché de morts suspectes... Alexandre Despallières. La voix du crime de cet épisode est Sophie Bonnet. Au micro d'Agnès Bonfillon, la journaliste explique pourquoi elle est convaincue que cet homme à la beauté magnétique est impliqué dans le suicide de ce ponte du barreau de Paris. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:23:05 - L'invité de 8h20 - Aujourd'hui dans le grand entretien, le psychiatre Amine Benyamina, spécialisé en addictologie et titulaire d'un doctorat en neurosciences, auteur de “Addictions. Manuel de premier secours” (Marabout).
Les places financières dégringolent face à l'inflexibilité de Donald Trump qui a une nouvelle fois affirmé qu'il ne reviendrait pas sur sa politique de hausse des droits de douane. Des droits de douane universels de 10% qui sont appliquées depuis samedi, en attendant ceux qui seront mis en place pays par pays cette semaine. Les pays impactés ripostent en ordre dispersé : ils choisissent les représailles ou la négociation. Les représailles de la Chine sont fortes avec la mise en place de taxes de 34% sur les produits américains. L'Union Européenne peaufine sa stratégie alors que les ministres du commerce sont réunis au Luxembourg. Bruxelles veut se donner une chance de négocier, mais en cas d'échec, l'Union Européenne devrait utiliser son arsenal de défense commerciale.
BFM STORY du lundi au jeudi de 17h à 19h avec Olivier Truchot & Alain Marshall. Deux heures pour faire un tour complet de l'actualité en présence d'invités pour expliquer et débattre sur les grands sujets qui ont marqué la journée.
Comment prouver l'existence de fantômes? Le Groupe suisse de recherche en paranormal s'y attelle à l'aide de caméras de surveillance, d'enregistreurs audio ou d'appareils de mesure du champ électromagnétique. Ces amateurs de fantômes enquêtent de nuit dans des châteaux, des forts militaires ou des édifices religieux. Des lieux dits hantés qui pourraient fournir des preuves de l'existence de spectres. Reportages de Matthieu de Dardel Réalisation : Matthieu Ramsauer Production : Raphaële Bouchet
Poilievre offre de payer les frais de débat à Mark Carney ! Un septième budget pour Éric Girard : un troisième avec des perturbations majeures. Québec solidaire à la recherche de son « étoile polaire ». La rencontre Robitaille-Dutrizac avec Antoine Robitaille et Benoit Dutrizac.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Critiques atypiques : sept nouveaux critiques culinaires font leur entrée sur AMI-télé dès aujourd’hui ! Entrevue avec Charles Lafortune, animateur et producteur.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:12:47 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - Mercredi 12 mars, l'IGAD, un bloc d'États d'Afrique de l'Est, s'est réuni en urgence pour évoquer la situation au Soudan du Sud, où des affrontements ont repris au cours du mois de février. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Emmanuelle Veuillet Doctorante en science politique à l'Université Paris 1 - Panthéon Sorbonne
C'est la grande crainte de la communauté internationale, horrifiée par les massacres de ces derniers jours dans l'ouest du pays, qui ont fait près de 1 400 victimes civiles, principalement parmi la communauté alaouite, une minorité musulmane dont était issu l'ex-dictateur Bachar el-Assad. Un déchainement de violences, les pires depuis la chute de l'ancien régime en décembre 2024, qui fait réapparaître toutes les haines qui minent la fragile unité du pays. Après 13 ans de guerre civile et 54 ans de dictature brutale, la Syrie va-t-elle sombrer à nouveau dans un chaos communautaire ? Le président par intérim l'islamiste Ahmed al-Charra aura-t-il l'autorité nécessaire pour mettre fin aux tensions ? Avec : - Marc Pierini, chercheur à Carnegie Europe, ancien ambassadeur de l'Union européenne en Syrie (1998–2002) - David Rigoulet Roze, chercheur à l'Institut Français d'Analyse Stratégique (IFAS) et chercheur associé à l'IRIS. Rédacteur en chef de la revue Orients Stratégiques.
« Ali est alaouite, raconte L'Orient-Le Jour à Beyrouth. Originaire de Masyaf, il vit et travaille au Liban depuis plus de dix ans. Lorsque le régime Assad est tombé, le 8 décembre dernier, il fut pris de panique. Non pas en raison de l'affection qu'il portait à un clan qui ne lui a jamais rien donné, comme à la grande majorité des alaouites. Mais parce que depuis sa naissance, on lui explique que les sunnites veulent sa peau. Et qu'il a peur, à l'instar du reste de sa communauté, à la fois de tout perdre et d'être associé à l'ancien pouvoir. Aux yeux de la majorité sunnite, les alaouites ont participé pendant des décennies, et en particulier durant la dernière, à la répression et aux massacres. Au mieux, ils se sont tus. Alors, ils sont coupables ».Jeudi dernier, alors qu'on commençait à compter les morts dans la région de Lattaquié, dans le nord de la Syrie, Ali a affirmé, rapporte encore L'Orient-Le Jour : « “la guerre civile a commencé !“ Peut-être était-ce exagéré, relève le quotidien libanais. Mais ce qui s'est passé lors de ces derniers jours est beaucoup plus qu'une tâche d'ombre sur le nouveau pouvoir syrien ».Ce qui s'est passé, précise L'Orient-Le Jour, c'est qu'à « la suite d'une insurrection menée par des factions armées pro-Assad, de violents combats ont éclaté et des centaines de civils alaouites ont été massacrés. Et quoique l'on pense des reliquats du assadisme et de ses soutiens étrangers, ce dernier élément devrait prendre le pas sur tout le reste. Si un tel massacre avait été commis sous le règne de Bachar, nous n'aurions pas eu de mots assez durs pour le condamner. Il n'y a aucune raison d'en faire autrement aujourd'hui ».Polarisation confessionnelle…Pour le Franco-Syrien Aghiad Ghanem, enseignant-chercheur à Sciences-Po Paris spécialiste des Alaouites, interrogé par Libération à Paris, « on observe la montée d'une polarisation confessionnelle dans le pays. Une polarisation aussi vive que dans les pires moments de la guerre civile au cours de laquelle le régime d'Assad a instrumentalisé l'identité dans sa répression ultra-violente (…). La confessionnalisation du conflit aujourd'hui est très inquiétante, prévient encore le chercheur franco-syrien. On sort de 14 ans de guerre civile et de 54 ans de dictature, un contexte évidemment très sensible. Mais davantage aurait pu être fait par ce nouveau pouvoir pour assurer plus d'inclusion. On n'a toujours pas de gouvernement, qui doit représenter en principe toute la diversité de la Syrie. La conférence de dialogue national n'a duré qu'une journée, ce qui est très peu au vu des centaines de milliers de morts de la guerre civile. Le nouveau pouvoir a également peiné à ouvrir un dialogue avec les Alaouites ».Le nouveau pouvoir syrien sur la sellettePour La Croix à Paris, « ce déchaînement de violence vient entacher l'action des nouveaux dirigeants syriens, issus du groupe islamiste radical Hayat Tahrir Al-Cham. Après leur prise du pouvoir, ils s'étaient rapidement attachés à donner des gages de modération et de tolérance, promettant de garantir “les droits de tous les peuples et de toutes les confessions en Syrie“. Les faits récents viennent balayer ces déclarations d'intention, relève le quotidien catholique. Le dirigeant Ahmed al-Charaa a appelé hier à “l'unité nationale“. S'il veut réellement diriger la Syrie tout entière et unifier un territoire qui compte de nombreuses minorités ethniques et religieuses, dont des chrétiens, et reconstruire un pays détruit par des années de guerre, c'est à son gouvernement d'y veiller. Si le pouvoir actuel n'arrive pas à mettre fin aux tensions entre communautés ou, pire encore, les encourage, alors, prévient La Croix, son action est vouée à l'échec. La paix ne pourra être atteinte que dans le respect de la diversité ».Vers une « irakisation » de la Syrie ?Attention, prévient pour sa part Haaretz à Tel Aviv, « la Syrie pourrait se retrouver dans la même situation que l'Irak après la chute de Saddam Hussein, où les survivants de son armée ont formé des unités séparatistes qui ont rejoint Al-Qaïda et d'autres forces sunnites. Cette situation a engendré une guerre civile sanglante, au plus fort de laquelle Daesh avait les mains libres pour s'emparer de certaines parties de l'Irak. (…) Il semble que le nouveau régime syrien éprouve des difficultés à contrôler toutes les milices opérant dans le pays, pointe encore Haaretz, y compris ses anciens alliés de la révolution qui a renversé Assad en décembre dernier. Et les Alaouites sont pris au piège dans ce réseau de tensions et de menaces sectaires ».
Réforme éducative : Suppression du PGCE pour élargir le spectre de recrutement des enseignants.
Alors que le Comité international de la Croix-Rouge s'est dit « très préoccupé » mardi d'un risque de fuite du virus d'Ebola du laboratoire de Goma, où les combats font rage, l'Agence sanitaire mondiale de l'ONU rassure sur la situation de l'Institut national de recherche biomédicale de Goma.Dans un entretien avec Alpha Diallo d'ONU Info Genève, le Représentant de l'OMS en RDC, Boureima Hama Sambo, explique que, si ce laboratoire conserve des échantillons, ces germes fortement pathogènes et à potentiel épidémique sont très bien conservés.Plus largement, l'OMS se préoccupe de la détérioration de la situation humanitaire et sanitaire à Goma. L'accentuation des affrontements est venue aggraver une situation qui était déjà très précaire dans une région où sévissent des maladies comme le mpox, le choléra et la rougeole.
Ecoutez L'édito d'Etienne Gernelle du 19 décembre 2024.
Les enfants vont bien: homoparentalité et autres schémas familiaux
Dans cette période à nouveau troublée politiquement, il m'a semblé essentiel de rappeler que les droits de nos familles, s'ils ont progressé, restent constamment menacés. Alors c'est vrai que nous en avons fait du chemin depuis 2013, c'est certain même, mais, il reste à noter malgré tout, que tous les droits n'ont pas avancé à la même vitesse et qu'il existe des minorités dans la minorité, qui restent exclues des réflexions politiques. Dans cet épisode, Marianna nous raconte comment le chemin peut s'inverser et comment un gouvernement d'extreme droite, qui ne faisait, soit disant, pas une priorité de le révision des droits LGBTQIA, a détricoté l'entièreté de ces derniers en à peine 2 ans. Plus largement, ce sont les droits des minorités, les droits des femmes et les droits des individus au sens large qui reculent. Marianna vit en Italie avec sa femme Eleonora et je pense qu'en m'arrêtant la, tout pourrait être dit! Certaines histoires ont réchauffé les réseaux sociaux, mais une plongée dans le quotidien de ces familles les rend bien plus concrètes et inquiétantes. Marianna en a conscience, les enjeux sont fondamentaux! C'est pour cela qu'avec sa compagne, elles se sont engagées dans une association de défense des droits des familles LGBTQIA+. J'ai l'habitude de dire qu'on n'a pas attendu d'avoir des lois pour construire nos familles, en Italie, ce n'est plus vrai aujourd'hui! Je vous laisse découvrir cet épisode qui me semble essentiel et je vous souhaite une bonne écoute. Soutenez ce podcast http://supporter.acast.com/lesenfantsvontbien. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Autour des 7 150 points et en baisse de 5% depuis le début de l'année, les investisseurs semblent réagir à l'hypothèse d'une France sans gouvernement ni budget. Le CAC 40 peut-il aller nettement sous les 7 000 points à court terme ? L'analyse d'Eric Lewin, président d'EL Finances. Ecorama du 28 novembre 2024, présenté par David Jacquot sur Boursorama.com Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Ecoutez L'édito d'Etienne Gernelle avec Etienne Gernelle du 19 novembre 2024.
C dans l'air du 14 novembre - Procès du RN : Marine Le Pen inéligible en 2027 ?À la septième semaine du procès des assistants parlementaires européens du Front national, un moment charnière s'est tenu ce mercredi, avec les réquisitions du parquet. Neuf heures d'un réquisitoire débuté par une mise au point. "Nous ne sommes pas ici en raison d'un acharnement, mais au terme d'une information judiciaire conduite par des magistrats indépendants" a affirmé le procureur. Revenant ensuite une affaire "inédite" par son ampleur, sa durée et son caractère, le parquet a requis cinq ans de prison, dont deux ans de prison ferme aménageables, 300 000 euros d'amende et cinq ans d'inéligibilité contre Marine Le Pen, la jugeant au "centre" d'un "système organisé" visant à faire du Parlement européen la "vache à lait" du FN, devenu depuis le RN. Si le tribunal suit le parquet, la peine d'inéligibilité, assortie d'une exécution provisoire, serait applicable dès la condamnation, y compris en cas d'appel.Le ministère public a également requis 18 mois de prison dont six mois ferme avec trois ans d'inéligibilité contre le numéro deux du parti Louis Aliot, 10 mois avec sursis et un an d'inéligibilité contre le porte-parole du RN Julien Odoul, 18 mois avec sursis et deux ans d'inéligibilité pour la sœur de Marine Le Pen, Yann Le Pen et deux millions d'euros d'amende contre le parti. La cheffe de file du Rassemblement national a immédiatement dénoncé une sanction politique. "La seule chose qui intéressait le parquet, c'était Marine Le Pen, pour pouvoir demander son exclusion de la vie politique (…) et puis le Rassemblement national, pour pouvoir ruiner le parti", a-t-elle affirmé au sortir des réquisitions. "Ses réquisitions scandaleuses visent à priver des millions de Français de leur vote en 2027. C'est une atteinte à la démocratie", a renchéri le président du RN, Jordan Bardella, sur X. Rare voix hors du champ de l'extrême droite à se prononcer, Gérald Darmanin a quant à lui estimé que "combattre Mme Le Pen se fait dans les urnes, pas ailleurs". "Si le tribunal juge qu'elle doit être condamnée, elle ne peut l'être électoralement, sans l'expression du peuple", a-t-il déclaré sur X.Pour rappel, en France l'inéligibilité des élus en cas de condamnation a été votée dès 1994. Par ailleurs depuis la loi du 9 septembre 2016 "pour la confiance dans la vie politique", dite Sapin II, entrée en vigueur le 11 décembre 2016, il est prévu des peines d'inéligibilité obligatoires pour cinq ans en cas de condamnation pour détournement de fonds publics.Ces prises de position allant à l'encontre de l'Etat de droit ont suscité de nombreuses réactions. "La loi s'applique à tout le monde", a affirmé sur Public Sénat la ministre chargée des relations avec le Parlement, Nathalie Delattre, qui a trouvé "profondément choquant de commenter une décision de justice". Le président Les Républicains (LR) de la région Hauts-de-France, Xavier Bertrand, a de son côté critiqué le "grand numéro d'hypocrisie" joué par l'extrême droite. "La démocratie, c'est aussi le respect de la justice", a-t-il lancé, affirmant qu'en 2004, au moment du procès d'Alain Juppé dans le dossier des emplois fictifs du RPR, où le potentiel candidat à la présidentielle avait été touché par une peine d'inéligibilité, Marine Le Pen avait déclaré : "Il y en a marre de ces élus qui détournent de l'argent". De son côté l'avocat du Parlement européen Patrick Maisonneuve a rappelé qu'il y a "une égalité de tout le monde devant la loi (…) Le parquet qui avait anticipé ces arguments a indiqué que ce qui s'est passé pendant ces années-là cela n'est pas la responsabilité des juges, c'est la responsabilité des responsables politiques qui ont mis en place ce système de détournement de fond, 4,5 millions d'euros". La défense doit plaider à partir de lundi et la fin du procès est prévue le 27 novembre. Le tribunal ne rendra pas sa décision avant plusieurs mois. Alors que reproche la justice à Marine Le Pen dans l'affaire des assistants parlementaires européens ? Qu'est-ce que "l'exécution provisoire" requise avec la peine d'inéligibilité ? Menacée par une peine d'inéligibilité qui anéantirait ses ambitions élyséennes pour 2027, Marine Le Pen joue son avenir politique ces prochaines semaines. Son parti vient de lancer une pétition en ligne et son dauphin lui apporte son soutien. Mais il n'oublie pas de jouer sa propre partition. Alors que la cheffe de file des députés RN ne quitte pas le tribunal de Paris, Jordan Bardella, en pleine promotion pour la sortie de son livre, multiplie les déplacements et les interventions dans les médias. Au fil de "Ce que je cherche" - une citation de Napoléon Bonaparte où en épigraphe y répond immédiatement, "la grandeur" - , le leader d'extrême droite étale ses inquiétudes identitaires et appelle à l'union des droites. Une façon pour lui de tracer son sillon politique, qui fait craindre en interne un retour du clivage gauche-droite. Alors quelles sont les ambitions et le projet politique de Jordan Bardella ? Enfin à quelques heures du match France-Israël ce jeudi soir au stade de France nous reviendrons sur l'enjeu et le contexte de cette rencontre.Les experts :- JÉRÔME JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- NATHALIE SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions- NATHALIE MAURET - Reporter politique - Groupe de presse régionale Ebra- Lou FRITEL - Journaliste politique – Paris Match - Violette LAZARD - Journaliste d'investigation - Le Nouvel Obs PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
durée : 00:44:17 - Les Matins - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - Avec Karim Emile Bitar, professeur à l'Ecole normale supérieure de Lyon et à l'Université Saint-Joseph de Beyrouth / William Bourdon, avocat de Paul Watson / Daniel Andler, mathématicien et philosophe, Amélie Cordier, docteure en intelligence artificielle, fondatrice de Graine d'IA - réalisation : Félicie Faugère
durée : 00:11:45 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - Alors qu'une conférence internationale se tient aujourd'hui à Paris, le Liban continue de vivre au rythme des bombes et des drones. Ce lundi, sur LCI, Sébastien Lecornu, le ministre français des Armées, a même dit craindre “une guerre civile imminente au Liban”. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Karim Émile Bitar Professeur de relations internationales à l'Université Saint-Joseph de Beyrouth, professeur à l'ENS de Lyon, chercheur associé à l'IRIS, spécialiste du Moyen-Orient et de la politique étrangère des États-Unis
Le Bitcoin frôle les 100.000 dollars après la démission de Gary Gensler, patron de la SEC. Sous la pression de Donald Trump, ce départ pourrait marquer un tournant pour les cryptos, entre envolée des marchés et craintes d'un retour des "barons voleurs". C'est officiel : Gary Gensler, le patron de la SEC (Securities and Exchange Commission), a démissionné. Ce nom ne vous dit peut-être rien, mais son départ a électrisé le petit monde de la cryptomonnaie. Pour rappel, la SEC est l'autorité qui régule les marchés financiers américains, autrement dit, le gendarme de la Bourse. À son arrivée en avril 2021, le Bitcoin a subi une chute de 50% en trois mois. Une coïncidence ? Pas vraiment. Gensler n'a jamais caché son hostilité envers le secteur des cryptomonnaies, allant jusqu'à déclarer : " Je n'ai jamais vu un secteur aussi peu respectueux de la loi. " Sa démission a été accueillie comme une victoire par les adeptes des cryptos. La réaction des marchés ne s'est pas fait attendre : le Bitcoin a bondi de 3%, flirtant avec la barre symbolique des 100.000 dollars. Mais pourquoi Gensler quitte-t-il ses fonctions alors que son mandat court jusqu'en 2026 ? La réponse tient en deux mots : Donald Trump. Entre revirement stratégique, les affaires en coulisses, la confusion des genres… Mots-Clés : Ironie, sort, défenseur, cryptomonnaies, arnaque, campagne, discours, fervents avocats, résultat, élection, amateurs discrets, fils, Eric, Donald Jr, start-up, secteur, société Trump Media, pourparlers, rachat, courtier, président des États-Unis, intérêt financier, direct, montée, puissance des cryptos, déréglementer, secteur, règles, perspective, observateurs, magazine britannique, The Economist, industriels, XIXe siècle, fortunes colossales, exploiter, failles, système, éditorial, risque, gestion, pays, affaires personnelles, proches, postes clés, enrichissement, spectaculaire, entourage, transparence, nouvel eldorado, investisseurs audacieux, commandes, paysage financier mondial, bouleversements majeurs, révolution, poignée de privilégiés. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock'n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSkAinsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock'n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLpEt découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankx
Cette pratique de l'ablation du clitoris des petites filles a été interdite dans de nombreux pays africains. Mais les traditions ont la peau dure et régulièrement les législations qui interdisent l'excision sont remises en cause, le plus souvent pour des prétextes religieux fallacieux… C'est le cas en Gambie. Depuis mars, le débat faisait rage dans le pays. Un député, Almameh Gibba, avait déposé un projet de loi pour lever l'interdiction de l'excision, en vigueur depuis 2015. Il affirmait qu'il s'agissait une pratique culturelle et religieuse profondément enracinée.Finalement, pointe Le Monde Afrique, « les députés gambiens ont rejeté, hier, cette proposition de loi, après des mois (donc) de controverse et de pressions internationales. Les députés ont rejeté tous les amendements proposés au texte de 2015 et qui auraient dépénalisé la pratique. Les groupes de défense des droits humains et les Nations unies avaient exhorté les députés à rejeter la proposition de loi, affirmant qu'elle menaçait des années de progrès et qu'elle aurait fait de la Gambie le premier pays à annuler l'interdiction des mutilations génitales féminines. »Ouf de soulagement…C'est « un signal fort », s'exclame le site Afrik.com. « Ce 15 juillet 2024 marque un tournant historique en Gambie. L'abrogation de cette loi aurait marqué un recul significatif pour les droits des femmes » dans le pays.L'Observateur Paalga à Ouagadougou renchérit : ce « niet fait pousser un ouf de soulagement aux Gambiennes, aux féministes du monde entier et aux organisations de défense des droits humains qui sont montés au créneau pour dénoncer un projet dont l'adoption aurait fait de la Gambie le premier pays du monde à revenir sur l'interdiction de l'excision. »Toutefois, soupire le journal, « une chose est d'avoir retoqué la proposition de loi rétrograde et une autre est de pouvoir infléchir le taux de prévalence de cette pratique sur les femmes et les jeunes filles dans le pays. Et ça, c'est une autre paire de manches qui relève en premier lieu des pouvoirs publics. Quand on sait que depuis 2015, année de l'adoption de la pénalisation de l'excision, seulement deux cas de transgression ont fait objet de poursuites judiciaires, on imagine aisément le chemin qui reste à parcourir pour sauver les jeunes filles de cette épreuve initiatique que rien ne saurait justifier de nos jours. » Les efforts de l'ONU et des ONG« Il s'en est fallu de peu pour que les Gambiens rament à contre-courant de la lutte titanesque contre les mutilations génitales féminines », insiste WakatSéra au Burkina Faso. « Le drame a été évité de justesse pour le bonheur de nombre de ces jeunes filles gambiennes qui étaient dans le collimateur des bourreaux du clitoris. »Et WakatSéra de saluer les efforts de l'ONU et de nombreuses ONG qui luttent contre cette pratique : « en s'appuyant efficacement sur des chefs traditionnels et religieux, mais aussi des leaders communautaires, des campagnes intenses de sensibilisation ont été menées à travers le continent, et ont conduit de nombreux exciseurs et exciseuses à se débarrasser de leurs couteaux et lames. Toutefois, dans certains pays, le phénomène survit contre vents et marées, continuant de faire des victimes, même dans des familles dites modernes. »Un argument anti-impérialiste ?En effet, précise Jeune Afrique, « les sociétés africaines ont toujours en leur sein des franges conservatrices (…). Les avocats de l'excision brandissent souvent des arguments religieux, malgré l'infirmation des érudits des textes saints (en effet, rien dans le Coran ne prescrit l'excision). Ils s'arc-boutent sur un vague enracinement de la pratique dans les croyances traditionnelles et les us et coutumes. (…) C'est ainsi, pointe le site panafricain, qu'il y a quelques jours, en Sierra Leone, à l'occasion de l'interdiction du mariage des enfants, les défenseurs des droits des filles regrettaient que la mesure ne soit pas accompagnée d'une interdiction des mutilations génitales féminines. »C'est ainsi également que « lorsque les autorités transitoires burkinabè ont récemment décidé la promotion des coutumes et des traditions, a alors commencé à fleurir le débat sur une excision, pourtant officiellement qualifiée d'acte d'oppression depuis l'ère sankariste. » Et Jeune Afrique de s'interroger : « les traditions les plus réactionnaires constitueraient-elles un bon argument anti-impérialiste, pour peu que lesdites pratiques choquent l'Occident ? »
98% de CF Montréal avec un Gabriel Gervais en mode président de foot hors-Amérique du Nord!↕️ Surcoté ou Sous-coté : Visitez les cantons de l'est↕️ Surcoté ou Sous-coté : Les compétitions internationales
durée : 00:58:26 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Le Soudan est en proie à un conflit depuis plus d'un an entre l'armée régulière du général Al Burhane et les forces armés RSF du général "Hemetti". Ils ravivent les clivages géographiques et identitaires qui traversent le pays au risque d'alimenter des cycles de violence difficilement contrôlables. - invités : Clément Deshayes anthropologue, chercheur à l'institut de recherche pour le développement (IRD), laboratoire Prodig; Eliott Brachet Journaliste indépendant pour Le Monde, RFI et Radio France.
Les propos exprimés dans ce podcast relèvent d'expériences et d'opinions personnelles dans un but de divertissement et ne substituent pas les conseils d'un.e sexologue ou autre professionnel de la santé. Cette semaine sur le podcast, on reçoit l'humoriste Louis T. qui est venu nous raconter comment il vit sa sexualité ainsi que sa vie amoureuse en tant que personne sur le spectre de l'autisme.Pour suivre Louis T: https://www.instagram.com/louistofficiel/----- Le podcast est présenté par Éros et Compagnie Utiliser le code promo : SexeOral pour 15% de rabais https://www.erosetcompagnie.com/ Les jouets dont les filles parlent: https://www.erosetcompagnie.com/page/podcast ---- Pour collaborations: info@studiosf.ca Pour toutes questions: sexeoral@studiosf.ca Pour suivre les filles sur Patreon: https://www.patreon.com/sexeoralpodcast Pour contacter les filles directement, écrivez-nous sur Instagram: https://www.instagram.com/sexeoral.podcast/
Cʹest un matricule : 007 et un nom qui claque comme un coup de feu : Bond, James Bond. Un personnage que vous connaissez depuis de plus de 60 ans au cinéma. Il y arbore son smoking, son cocktail préféré et des conquêtes féminines toutes plus belles les unes que les autres. En parallèle, il tue des méchants et sauve le monde. James Bond passe de la plume dʹIan Fleming, il a été créé en 1953, au cinéma dès 1962 sous lʹimpulsion des producteurs Albert R. Broccoli et Harry Saltzman. Si Casino Royal est la première adaptation connue de ses aventures, cʹest James Bond contre Dr No qui lance la franchise de 007, lʹespion le plus connu du grand écran. Après le succès de James Bond contre Dr No, on remet la machine en route. En 1963, dans Bons Baisers de Russie (From Russia with Love), voilà James Bond se baladant entre Istanbul et Venise, à bord de lʹOrient Express, aux prises avec des espions, des tueurs, des gitanes, Le Spectre et Tatiana Romanova. Cʹest Terence Young qui est à nouveau aux commandes de ce 2e long métrage autour du personnage incarné par Sean Connery, absolument parfait dans ce rôle. Le film est un véritable succès en salle à sortie. Tout le monde sʹarrache les produits dérivés de ce qui va devenir une saga cinématographique. On parle déjà de la suite, ce sera Goldfinger. La légende de James Bond se met en place et sera inarrêtable. Aujourdʹhui dans Travelling, nous allons vous parler de Bons Baisers de Russie. Pour les bondiens, cʹest peut-être le meilleur épisode de la saga. Vous vous ferez votre opinion. Nous nʹavons pas les engins sophistiqués de Q pour vous raconter cette histoire mais un lecteur de déchiffrement russe, le Lektor, que le MI6 veut obtenir à tout prix. Voilà James Bond chargé de le récupérer au prix de bien des périls. REFERENCES Interview de Terence Young et Sean Connery à propos du film "Bon baisers de Russie" 08.03.1963 - 01:22 https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/i19023317/interview-de-terence-young-et-sean-connery-a-propos-du-film-bon-baisers-de Les 60 ans du film https://www.youtube.com/watch?v=oXNG57zTpTE Interview du réalisateur Terence YOUNG, de passage à Paris, à propos de son dernier film de James Bond "Bons baisers de Russie". JT 20H - 16.03.1964 https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/caf97506577/james-bond Lee Pfeiffer et Dave Worrall, James Bond, le guide officiel 007, Flammarion, 2005 Guillaume Evin, James Bond est éternel. Un demi-siècle de cinéma, 50 histoires secrètes de lʹagent 007, Le poche du moment, 2015 Claude Monnier, James Bond, Une esthétique du plaisir, LʹHarmattan Cinéma(s), 2015
durée : 00:37:13 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins) - par : Guillaume Erner - La révision constitutionnelle votée cette nuit à l'Assemblée nationale passe mal auprès des indépendantistes, et provoque de vives tensions en Nouvelle-Calédonie. Après deux nuits d'émeutes un couvre-feu a été décrété, tandis que les autorités appellent au calme. - invités : Philippe Gomès Député "UDI Agir et Indépendants" de la Nouvelle Calédonie et fondateur du parti "Calédonie Ensemble"; Benoît Trépied Anthropologue, chargé de recherche au CNRS, spécialiste de la Nouvelle-Calédonie
durée : 00:11:08 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - Des reporters de guerre traversent les États-Unis pour atteindre la ligne de front située à Washington, où les rues sont devenues le terrain d'une guerre civile entre deux armées… Voici le décor du film "Civil War". - invités : Romain Huret Historien des Etats-Unis, président de l'EHESS
La France est la cible de cyberattaques en série : suppression de sites Internet, recel de données personnelles et rançonnage, ou encore multiplication de fausses rumeurs. À ce jour, les infrastructures critiques – comme en Ukraine, où une centrale nucléaire a été visée –, n'ont heureusement pas été compromises. Mais il faut faire attention : "L'arme cyber peut être utilisée en amont d'une intervention terrestre ou pour amplifier son action", rappelle le spécialiste Nicolas Arpagian.
durée : 00:57:58 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon - Vincent Jolly revient de Somaliland, un pays non reconnu depuis 32 ans, qui se distingue par sa sûreté et sa prospérité / L'entourage du président ukrainien Zelensky, à l'écoute des critiques qui se multiplient, observe avec fébrilité la popularité au zénith du commandant en chef Zaloujny. - invités : Annie Daubenton Journaliste, essayiste, ancienne conseillère culturelle à l'ambassade de France à Kiev de 1998 à 2001; Clara Marchaud Journaliste indépendant basée en Ukraine pour L'Express, Le Figaro et Mediapart ; Vincent Jolly Journaliste au Figaro
durée : 00:02:47 - Les histoires du monde - par : Anthony BELLANGER - Les violences augmentent de manière inquiétante au Darfour. L'Union Européenne lance un cri d'alerte terrible et sans ambiguïté. Elle enjoint la communauté internationale de ne pas fermer les yeux sur ce qui s'y déroule. Cela reviendrait à "laisser se produire un nouveau génocide dans la région".
durée : 00:02:47 - Les histoires du monde - par : Anthony BELLANGER - Les violences augmentent de manière inquiétante au Darfour. L'Union Européenne lance un cri d'alerte terrible et sans ambiguïté. Elle enjoint la communauté internationale de ne pas fermer les yeux sur ce qui s'y déroule. Cela reviendrait à "laisser se produire un nouveau génocide dans la région".
durée : 00:03:24 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Le spectre du populisme plane clairement sur l'Argentine. Le scrutin présidentiel de ce weekend reproduit une configuration très contemporaine. D'un côté le candidat de la colère et de l'autre celui des compromis.
durée : 00:03:24 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Le spectre du populisme plane clairement sur l'Argentine. Le scrutin présidentiel de ce weekend reproduit une configuration très contemporaine. D'un côté le candidat de la colère et de l'autre celui des compromis.
"Vivement la VIe République" entend-on depuis le début de la contestation contre la réforme des retraites... Alors que l'on parle régulièrement de la crise que traverse la démocratie française aujourd'hui, l'Histoire a peut-être des choses à nous apprendre. Comment sommes-nous passés d'une République à une autre depuis plus de deux siècles ? Quelles crises ont conduit à la fin de chacun de ces régimes ? Peut-on en tirer des enseignements pour réfléchir à la fin de la Ve ? Réponses dans cette série de podcasts avec Nicolas Roussellier, historien, auteur du livre devenu un classique La force de gouverner. Le pouvoir exécutif en France, XIXe-XXIe siècles (Gallimard). Dans ce deuxième épisode, la IIe République marque la tradition du rejet d'un personnage détenant tout le pouvoir.Cet épisode a été diffusé pour la première fois le 25 juillet 2023.Retrouvez tous les détails de notre série de podcasts ici et inscrivez-vous à notre newsletter.Episode 1 : La Ière République : naissance d'un régime à la françaiseL'équipe :Écriture et présentation : Charlotte BarisMontage : Ambre RosalaRéalisation : Jules KrotRédaction en chef : Xavier YvonAlternante : Marion GalardCrédits : Echoes of France (La marseillaise), Django Reinhardt, Un peuple et son roi, de Pierre Schoeller, télévision Suisse Romande, INA, L'aventure c'est l'aventure, Claude Lelouch, Les Inconnus, Public SénatMusique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio TorrentCrédits image : Keith Lance / Nastasic / iStockphoto / L'ExpressLogo : Anne-Laure Chapelain / Thibaut ZschieschePour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Over the past 14 years Boko Haram has wreaked havoc in Nigeria and neighbouring countries. The group gained international notoriety with the kidnapping of more than 200 schoolgirls in Nigeria in 2014 which sparked the ‘Bring Back Our Girls campaign'. Their attacks also spread to Cameroon, Chad and Niger leaving thousands dead and three million people displaced according to the United Nations. Le Spectre de Boko Haram, an award winning documentary, recently screened in at the London Film Festival. It tells the story of three children living in a village in northern Cameroon, a region regularly attacked by Boko Haram in cross border raids. The film's director Cyrielle Raingou spoke to Africa Daily's Sharon Hemans about why she decided to tell this story and the challenges she faced as a woman film director.
durée : 00:35:06 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins) - par : Guillaume Erner - Ce 28 août, le géant immobilier chinois Evergrande a connu une chute de 87% à la bourse de Hong-Kong, après une suspension de 17 mois. La crise immobilière qui touche aujourd'hui la Chine a des conséquences sur sa croissance et commence à inquiéter les acteurs économiques mondiaux. - invités : Agatha Kratz Rédactrice en chef de China Analysis, spécialiste de l'économie chinoise; Sébastien Jean Professeur d'économie au Conservatoire National des Arts et Métiers (CNAM)
durée : 02:29:34 - Les Matins - par : Guillaume Erner - .
"Vivement la VIe République" entend-on depuis le début de la contestation contre la réforme des retraites... Alors que l'on parle régulièrement de la crise que traverse la démocratie française aujourd'hui, l'Histoire a peut-être des choses à nous apprendre. Comment sommes-nous passés d'une République à une autre depuis plus de deux siècles ? Quelles crises ont conduit à la fin de chacun de ces régimes ? Peut-on en tirer des enseignements pour réfléchir à la fin de la Ve ? Réponses dans cette série de podcasts avec Nicolas Roussellier, historien, auteur du livre devenu un classique La force de gouverner. Le pouvoir exécutif en France, XIXe-XXIe siècles (Gallimard). Dans ce deuxième épisode, la IIe République marque la tradition du rejet d'un personnage détenant tout le pouvoir. Retrouvez tous les détails de notre série de podcasts ici et inscrivez-vous à notre newsletter.Episode 1 : La Ière République : naissance d'un régime à la françaiseL'équipe :Écriture et présentation : Charlotte BarisMontage : Ambre RosalaRéalisation : Jules KrotRédaction en chef : Xavier YvonAlternante : Marion GalardCrédits : Echoes of France (La marseillaise), Django Reinhardt, Un peuple et son roi, de Pierre Schoeller, télévision Suisse Romande, INA, L'aventure c'est l'aventure, Claude Lelouch, Les Inconnus, Public SénatMusique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio TorrentCrédits image : Keith Lance / Nastasic / iStockphoto / L'ExpressLogo : Anne-Laure Chapelain / Thibaut ZschieschePour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 01:58:01 - Les Matins d'été - par : Guillaume Erner - Retour sur les émeutes qui embrassent les villes françaises en première partie. Présentation de la programmation estivale de la chaîne en deuxième partie. - invités : Renaud Epstein Professeur de sociologie à Sciences Po Saint-Germain-en-Laye; Romain Huet Maître de conférence en sciences de la communication à l'université de Rennes-2.; Emelie De Jong Directrice de France Culture; Romain Weber Auteur; Blandine Masson Réalisatrice et directrice de la fiction sur France Culture
C dans l'air du 29 juin : Emeutes : le spectre de 2005 LES EXPERTS : - DAMIEN DELSENY - Rédacteur en chef adjoint en charge du service police-justice Le Parisien - NATHALIE SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique – France Télévisions - VANESSA SCHNEIDER - Grand reporter – Le Monde - FABIEN JOBARD - Sociologue spécialisé sur les questions de police et de justice – CNRS, auteur de "Politiques du désordre" - FLORIAN BERCAULT (en duplex) - Maire de Laval Des tensions ont éclaté en marge de la marche blanche organisée cet après-midi à Nanterre à l'appel de la mère de Nahel, le jeune garçon de 17 ans, tué par le tir d'un policier, au volant d'une voiture avant-hier dans la ville. Une vidéo de la scène, dans laquelle on voit le brigadier tirer sur l'adolescent, a suscité beaucoup de colère. Lors des deux nuits qui ont suivi, et en particulier la nuit dernière, des émeutes ont éclaté dans plusieurs villes de France. Incendies, tirs de mortier, affrontements avec la police… Sur les réseaux sociaux, une surenchère de scènes filmées aux quatre coins de France. La violence est montée d'un cran en banlieue parisienne et bien au-delà. Des bus, tramways et véhicules ont brûlé, des commissariats et des mairies ont été ciblés, des bâtiments ont été incendiés, des commerces pillés, et la prison de Fresnes attaquée. Une cellule interministérielle de crise a été convoquée ce matin place Beauvau par Emmanuel Macron qui a dénoncé "des scènes de violences" contre "les institutions et la République" "injustifiables". La Première ministre qui a annulé un déplacement en Vendée a également insisté sur le fait que "rien ne justifie les violences qui se sont produites cette nuit". "Ce sont des réactions qui attaquent la République. Mais ce n'est pas la République qui est en garde à vue, ce n'est pas la République qui a tué ce jeune homme. C'est un homme qui doit être jugé si la justice l'estime nécessaire" a également déclaré ce matin le porte-parole du gouvernement. Peu après le procureur de la République de Nanterre a annoncé avoir requis le placement en détention provisoire du policier auteur du tir qui a causé la mort de l'adolescent. "En l'état des investigations, le parquet considère que les conditions légales d'usage de l'arme ne sont pas réunies", a précisé Pascal Prache lors d'une conférence de presse. Le fonctionnaire a été déféré devant deux magistrats à l'issue de sa garde à vue ce jeudi. Gérald Darmanin a de son côté demandé "au préfet de police de suspendre administrativement le policier". Parallèlement les réactions politiques se multiplient. "La Justice avance. L'assassin reste sous son contrôle. La politique doit suivre. La loi "permis de tuer" de l'ancien Premier ministre Bernard Cazeneuve doit être abrogée" a écrit Jean-Luc Mélenchon. La France Insoumise a indiqué avoir déposé dans ce sens une proposition de loi à l'Assemblée nationale afin de faire abroger la loi de 2017 encadrant l'utilisation des armes à feu par les policiers. Selon Mathilde Panot, "Depuis 2017, les tirs mortels sur des véhicules en mouvement ont été multipliés par 5. Ces meurtres doivent cesser", écrit-elle. Chez EELV, après la secrétaire nationale Marine Tondelier, Yannick Jadot a dénoncé lui aussi une "américanisation" de la police "au sens où les policiers peuvent se faire justice eux-mêmes". Evoquant une IGPN aujourd'hui "pas indépendante", Il a dit souhaiter "qu'elle ne relève plus du ministère de l'Intérieur". De l'autre côté de l'échiquier politique, la nuit dernière émaillée de nombreux incidents contre des infrastructures publiques, inquiète la droite et l'extrême droite au point de réclamer l'état d'urgence. "Mairies et commissariats attaqués, destruction du mobilier urbain, vol de matériel aux forces de l'ordre, tramway incendié… C'est le bilan d'une nuit d'émeutes et de saccages qui coûteront des millions d'euros", a déploré dans un communiqué le président du parti Les Républicains, Eric Ciotti."Je demande le déclenchement sans délai de l'état d'urgence partout où des incendies ont éclaté", a-t-il ajouté. Eric Zemmour, à l'unisson, a également réclamé "la mise en place de l'état d'urgence dès ce soir", dans un tweet publié ce jeudi matin. L'état d'urgence est un régime d'exception controversé qui doit être déclaré par décret pris en Conseil des ministres. Il résulte d'une loi votée en 1955, au commencement de la guerre d'Algérie. Il possède une durée initiale de douze jours, mais peut être prolongé par une loi votée au Parlement. L'objectif étant de renforcer les pouvoirs des autorités civiles tout en restreignant certaines libertés publiques ou individuelles. Du fait de la nature exceptionnelle de l'état d'urgence, il n'a été déclaré que peu de fois depuis 1955 : trois fois pendant la guerre d'Algérie, une fois en 1984 lors des événements en Nouvelle-Calédonie, lors des révoltes de 2005 après la mort de Zyed et Bouna, et en 2015, après les attentats terroristes à Paris et Saint-Denis. La dernière fois que l'état d'urgence a été déclaré, il était sanitaire, lors de la pandémie de Covid-19. Pour le moment le gouvernement a décidé de ne pas déclencher l'état d'urgence mais il mobilise 40.000 membres des forces de l'ordre cette nuit. Elisabeth Borne a également appelé à "éviter toute escalade" dans les violences. DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
L'invasion russe en Ukraine, le 24 février 2022, a provoqué une onde de choc en Lettonie. Après 50 ans d'occupation soviétique, le pays balte, indépendant depuis 1991, a vu ressurgir les traumatismes du passé. Depuis le début de la guerre, la population se prépare au pire et se mobilise pour défendre le pays en cas d'attaque alors que les autorités accélèrent la désoviétisation de la Lettonie. « Le spectre de la menace russe à l'ombre de la guerre en Ukraine », un Grand reportage d'Anne Verdaguer. Réalisation : Nicolas Benita.
durée : 00:24:34 - Le Feuilleton - Après la disparition inexplicable de la momie de Rascar Capac au cours d'une nuit d'orage, le professeur Bergamotte est frappé à son tour du terrible sommeil… !