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Bee's new bird tattoo. Chic runs one out. Bee's got beef with Italian extras. Other stuff
We are full of Malaise but not actually because maybe that is too strong of a word. We complain about instagram, ICE and polyamory but are staying "positive" with good queer rep in comics and weighted clothing. It's a give and take for sure. Enjoy and see you next month. Probably. Follow #NotYourDemoPod! Website Patreon Instagram Mailing List Discord
Aujourd'hui dans le podcast, on parle de la réunion du G7 qui a eu lieu à Kananaskis, en Alberta, au Canada, et de ses péripéties : les rituels canadiens, Donald Trump qui échappe des documents officiels, Keir Starmer qui les ramassent, Giorgia Meloni et Emmanuel Macron qui se lance une mauvaise blague, etc.On aborde également les derniers développements entourant le conflit entre Israël et l'Iran. Frank a d'ailleurs consulté certains médias iraniens pour savoir ce qui s'y dit médiatiquement en ce moment.DANS LA PARTIE PATREON, on poursuit la discussion sur les derniers développements du conflit entre Israël et l'Iran. Dans ce contexte, Joey nous présente une vidéo du streamer américain Asmongold qui parle des répercussions de la présence de nombreux activistes occidentaux sur le territoire égyptien en vue de la marche vers Gaza. On termine en commençant l'écoute d'un long montage préparé par Joey, regroupant les meilleurs moments de Paul Saint-Pierre Plamondon au podcast Frenchcast de Pantelis ainsi qu'à Contact, celui de Stéphane Bureau.0:00 Intro1:33 Le G7 au Canada10:01 Trump et les rituels canadiens11:46 Keir Starmer ramasse les papiers15:29 Giorgia Meloni roule les yeux19:19 Nos commanditaires20:57 Le PCQ en avance dans Arthabaska22:32 Beaux messages d'auditeurs26:04 Trump quitte le G7 d'avance29:22 Réaction de Trump et des Iraniens34:40 Pilulerouge.ca et le nouveau lien Linktree37:18 À venir dans le Patreon
durée : 00:02:30 - L'Humeur du matin par Guillaume Erner - par : Guillaume Erner - Brian Wilson était un génie musical, icône d'une culture californienne triomphante, mais aussi figure du désenchantement et des troubles psychiques. - réalisation : Félicie Faugère
durée : 00:03:51 - L'info d'ici de 07h30
durée : 00:02:30 - L'Humeur du matin par Guillaume Erner - par : Guillaume Erner - Brian Wilson était un génie musical, icône d'une culture californienne triomphante, mais aussi figure du désenchantement et des troubles psychiques. - réalisation : Félicie Faugère
Attention aux termes que l'on peut employer lorsqu'on parle d'un chef de l'État. Il faut éviter l'injure qui tombe souvent sous le coup de la loi. C'est le cas au Sénégal. Et ce matin, le vocable qui est à la Une de la presse dakaroise, c'est « gougnafier »… « Gougnafier, le mot de trop », s'exclame Walf Quotidien en première page. L'ex-chef de cabinet du président Macky Sall, Moustapha Diakhaté, a été placé en garde à vue hier après-midi et poursuivi pour offense au chef de l'État. Tout est parti d'une photo, où l'on voit les trois plus hauts personnages de l'État, à savoir le président Bassirou Diomaye Faye, le Premier ministre Ousmane Sonko et le président de l'Assemblée nationale Malik N'Diaye, marchant côte à côte, au Centre international de conférences Abdou Diouf à Dakar. Moustapha Diakhaté a critiqué publiquement cette photo, en affirmant que le président de la République ne devait pas marcher au même niveau que le Premier ministre et le président de l'Assemblée nationale. D'après son avocat, cité par Walf Quotidien, « c'est une violation du protocole de la République. Car ce protocole voudrait que le président soit devant, suivi du président de l'Assemblée nationale, lui-même suivi du Premier ministre. » Ce qui explique pourquoi l'opposant a qualifié les trois hommes de « gougnafiers », dans le sens d'« ignorants » du protocole. Et « d'après lui, pointe le journal, le mot gougnafier n'est pas offensant. » Glissement de sens… Seulement voilà, si l'on consulte un dictionnaire, gougnafier veut dire rustre, goujat, ou encore bon à rien… Résultat, pointe Walf : « À moins que l'Autorité judiciaire ne mette de l'eau dans son vin, l'ancien président du groupe parlementaire Benno Bokk Yakaar fonce droit vers la prison. Auditionné hier par les enquêteurs de la Division des investigations criminelles, Moustapha Diakhaté a été placé en garde à vue en attente de son face-à-face avec le maître des poursuites. Il est poursuivi pour offense au chef de l'État et à des personnes ayant les prérogatives du chef de l'État. » Il encourt, précise encore le journal, « une peine de 3 mois à 1 an et de 20 000 à 100 000 francs d'amende. » Prisonnier politique ? Alors l'opposition a aussitôt réagi… Dans les colonnes du quotidien 24 Heures, Thierno Alassane Sall du parti La République des valeurs, s'insurge : « L'insécurité est la hantise des populations, les braquages se multiplient, mais le pouvoir s'illustre dans la traque de celles et ceux qui ne pensent pas comme lui. (…) Avec le Pastef (le parti présidentiel), qui avait promis de supprimer le délit d'offense au chef de l'État, on n'en est pas à un reniement près. (…) Moustapha Diakhaté rejoint le lot des prisonniers politiques. » « Libérez Moustapha Diakhaté, lance pour sa partThierno Bocoum, président de Agir-Les leaders, et cessez de vous ridiculiser. Vous êtes censés diriger un pays, pas fuir la critique. (…) Dans une République digne de ce nom, rien ne justifie qu'un citoyen soit convoqué pour avoir exprimé des opinions, même dures, dès lors qu'elles n'incitent ni à la haine ni à la violence. » Malaise démocratique ? Alioune Tine, fondateur de l'ONG Afrikajom Center, réclame aussi la libération immédiate de Moustapha Diakhaté. Ses propos sont rapportés notamment par le site d'information Seneweb : « À force de convoquer des opposants politiques, des activistes ou des journalistes à la division des investigations criminelles ou à la Cybercriminalité pour poser ce genre de question, on finira par créer un vrai malaise démocratique. (…) Ça ne nous change guère du passé. (…) La prison finira par fabriquer des héros politiques, poursuit Alioune Tine. Le passage obligé pour gagner plus de valeur, de considération et de reconnaissance sociale. La fonction d'un opposant est précisément de critiquer, de déprécier ceux qui gouvernent avec le lexique qui lui convient. » Jusqu'où peut aller la critique politique dans un État de droit ? Enfin, La Nouvelle Tribune à Cotonou élargit le problème : « L'affaire relance un débat ancien, mais toujours sensible : jusqu'où peut aller la critique politique dans un État de droit ? À l'heure où les réseaux sociaux amplifient les voix discordantes et où les figures publiques expriment leurs opinions en dehors des canaux classiques, les institutions sont confrontées à un dilemme. Faut-il laisser libre cours à toutes les opinions, au risque de fragiliser la stabilité ? Ou faut-il poser des balises, au risque de restreindre la liberté d'expression ? La convocation de Diakhaté intervient dans un moment où plusieurs voix critiques, issues du monde politique ou de la société civile, dénoncent un climat d'intimidation croissante. (…) Cette situation illustre un paysage démocratique où la parole publique devient un champ de bataille, et où les institutions judiciaires sont perçues, à tort ou à raison, comme des instruments politiques. »
Attention aux termes que l'on peut employer lorsqu'on parle d'un chef de l'État. Il faut éviter l'injure qui tombe souvent sous le coup de la loi. C'est le cas au Sénégal. Et ce matin, le vocable qui est à la Une de la presse dakaroise, c'est « gougnafier »… « Gougnafier, le mot de trop », s'exclame Walf Quotidien en première page. L'ex-chef de cabinet du président Macky Sall, Moustapha Diakhaté, a été placé en garde à vue hier après-midi et poursuivi pour offense au chef de l'État. Tout est parti d'une photo, où l'on voit les trois plus hauts personnages de l'État, à savoir le président Bassirou Diomaye Faye, le Premier ministre Ousmane Sonko et le président de l'Assemblée nationale Malik N'Diaye, marchant côte à côte, au Centre international de conférences Abdou Diouf à Dakar. Moustapha Diakhaté a critiqué publiquement cette photo, en affirmant que le président de la République ne devait pas marcher au même niveau que le Premier ministre et le président de l'Assemblée nationale. D'après son avocat, cité par Walf Quotidien, « c'est une violation du protocole de la République. Car ce protocole voudrait que le président soit devant, suivi du président de l'Assemblée nationale, lui-même suivi du Premier ministre. » Ce qui explique pourquoi l'opposant a qualifié les trois hommes de « gougnafiers », dans le sens d'« ignorants » du protocole. Et « d'après lui, pointe le journal, le mot gougnafier n'est pas offensant. » Glissement de sens… Seulement voilà, si l'on consulte un dictionnaire, gougnafier veut dire rustre, goujat, ou encore bon à rien… Résultat, pointe Walf : « À moins que l'Autorité judiciaire ne mette de l'eau dans son vin, l'ancien président du groupe parlementaire Benno Bokk Yakaar fonce droit vers la prison. Auditionné hier par les enquêteurs de la Division des investigations criminelles, Moustapha Diakhaté a été placé en garde à vue en attente de son face-à-face avec le maître des poursuites. Il est poursuivi pour offense au chef de l'État et à des personnes ayant les prérogatives du chef de l'État. » Il encourt, précise encore le journal, « une peine de 3 mois à 1 an et de 20 000 à 100 000 francs d'amende. » Prisonnier politique ? Alors l'opposition a aussitôt réagi… Dans les colonnes du quotidien 24 Heures, Thierno Alassane Sall du parti La République des valeurs, s'insurge : « L'insécurité est la hantise des populations, les braquages se multiplient, mais le pouvoir s'illustre dans la traque de celles et ceux qui ne pensent pas comme lui. (…) Avec le Pastef (le parti présidentiel), qui avait promis de supprimer le délit d'offense au chef de l'État, on n'en est pas à un reniement près. (…) Moustapha Diakhaté rejoint le lot des prisonniers politiques. » « Libérez Moustapha Diakhaté, lance pour sa partThierno Bocoum, président de Agir-Les leaders, et cessez de vous ridiculiser. Vous êtes censés diriger un pays, pas fuir la critique. (…) Dans une République digne de ce nom, rien ne justifie qu'un citoyen soit convoqué pour avoir exprimé des opinions, même dures, dès lors qu'elles n'incitent ni à la haine ni à la violence. » Malaise démocratique ? Alioune Tine, fondateur de l'ONG Afrikajom Center, réclame aussi la libération immédiate de Moustapha Diakhaté. Ses propos sont rapportés notamment par le site d'information Seneweb : « À force de convoquer des opposants politiques, des activistes ou des journalistes à la division des investigations criminelles ou à la Cybercriminalité pour poser ce genre de question, on finira par créer un vrai malaise démocratique. (…) Ça ne nous change guère du passé. (…) La prison finira par fabriquer des héros politiques, poursuit Alioune Tine. Le passage obligé pour gagner plus de valeur, de considération et de reconnaissance sociale. La fonction d'un opposant est précisément de critiquer, de déprécier ceux qui gouvernent avec le lexique qui lui convient. » Jusqu'où peut aller la critique politique dans un État de droit ? Enfin, La Nouvelle Tribune à Cotonou élargit le problème : « L'affaire relance un débat ancien, mais toujours sensible : jusqu'où peut aller la critique politique dans un État de droit ? À l'heure où les réseaux sociaux amplifient les voix discordantes et où les figures publiques expriment leurs opinions en dehors des canaux classiques, les institutions sont confrontées à un dilemme. Faut-il laisser libre cours à toutes les opinions, au risque de fragiliser la stabilité ? Ou faut-il poser des balises, au risque de restreindre la liberté d'expression ? La convocation de Diakhaté intervient dans un moment où plusieurs voix critiques, issues du monde politique ou de la société civile, dénoncent un climat d'intimidation croissante. (…) Cette situation illustre un paysage démocratique où la parole publique devient un champ de bataille, et où les institutions judiciaires sont perçues, à tort ou à raison, comme des instruments politiques. »
Tous les jours de la semaine, invités et chroniqueurs sont autour du micro de Pierre de Vilno pour débattre des actualités du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Paul and Gerard take a look at NOAH Monday Magic and the controversial three-way match for the GHC Heavyweight Title. Then it's on to All Japan for the big Saito vs. Saito Triple Crown match. Plus an analysis of what's ailing in All Japan and NOAH, the King of DDT finals, and discussion of Voices of Wrestling's 30 Under 30 list.Advertising Inquiries: https://redcircle.com/brandsPrivacy & Opt-Out: https://redcircle.com/privacy
Paul and Gerard take a look at NOAH Monday Magic and the controversial three-way match for the GHC Heavyweight Title. Then it's on to All Japan for the big Saito vs. Saito Triple Crown match. Plus an analysis of what's ailing in All Japan and NOAH, the King of DDT finals, and discussion of Voices of Wrestling's 30 Under 30 list.Support this podcast at — https://redcircle.com/the-emerald-flowshow/donations
Send us a textDe voetbaljaargang 2024-2025 zit erop. En voor Anderlecht is het nog maar eens een seizoen om snel te vergeten. Zowel op als naast het veld blijft paars-wit ondermaats presteren. Dat ziet ook journalist Jan Hauspie. Net als in februari 2023 pakt hij deze week in HUMO opnieuw uit met een achtergrondverhaal over de angstcultuur die er heerst op de club. En da's volgens hem het gevolg van het beleid van één man: voorzitter Wouter Vandenhaute. “Maar ook eigenaar en meerderheidsaandeelhouder Marc Coucke is dat nu beu. Op de laatste raad van bestuur heeft hij gezegd dat ook hij Vandenhaute weg wil,” klinkt Hauspie gedecideerd in de laatste Radio Radzinski van dit seizoen. Begin 2023 onthult journalist Jan Hauspie hoe ‘niet-uitvoerend' voorzitter Wouter Vandenhaute en toenmalig CEO Peter Verbeke een angstcultuur hebben geïnstalleerd in de bestuurskamer van Anderlecht. Uit anonieme getuigenissen blijkt hoe heel wat werknemers worden vernederd en uitgescholden door de twee heren aan de top van de paars-witte voetbalpiramide. Twee jaar later is er nog maar weinig veranderd, zo blijkt uit een nieuw artikel van Hauspie in weekblad HUMO. In maar liefst 12 pagina's maakt hij wederom brandhout van de manier waarop de club geleid wordt. Het recente vertrek van CEO Non-Sports Kenneth Bornauw is daar volgens Hauspie weer een mooi voorbeeld van. “Die gaat niet weg omdat zijn werk bij de club af is. Neen, hij is het gewoon kotsbeu om voortdurend robbertjes uit te vechten met Wouter Vandenhaute. Da's de waarheid. Alleen lees je daar nergens iets van omdat er heel wat journalisten bang zijn om zoiets neer te pennen.” “Toen mijn vorig stuk werd gepubliceerd, hebben een aantal collega's mij opgebeld en gesmeekt om er een paar passages uit te laten. En dat allemaal omdat ze bang waren dat Vandenhaute zou denken dat ze mij iets zouden hebben verteld. Mensen zijn als de dood om Vandenhaute aan te pakken uit angst voor represailles,” opent Hauspie stevig in de laatste Radio Radzinski van dit seizoen. Paniekvoetbal van CouckeAnderlecht en Wouter Vandenhaute slepen Hauspie naar aanleiding van zijn artikel uit 2023 voor de rechtbank. De club eist een schadevergoeding van 50.000 euro, maar die eis wordt door de rechter van tafel geveegd. In het vonnis worden de argumenten van paars-wit omschreven als ‘hersenschimmige banaliteiten'. Ook eigenaar en meerderheidsaandeelhouder Marc Coucke heeft volgens Hauspie eindelijk door dat Vandenhaute niet deugt. “Na vijf jaar is ook zijn frank gevallen, maar contractueel is het zo goed als onmogelijk om hem voor 2026 en misschien zelfs 2031 weg te krijgen. Maar dat hij hem weg wil, da's 100 procent zeker. Dat heeft hij zo op de laatste raad van bestuur ook gezegd. Nu ja, het is ergens zijn eigen fout dat hij in deze situatie is beland. Coucke heeft in 2020 paniekvoetbal gespeeld op een moment dat hij in het oog van een paars-witte storm stond. Hij heeft toen Vandenhaute zelf mee het bad ingetrokken en een bijzonder slechte deal gesloten.” … legt bal in het kamp van Mauvavie Wil dat dan zeggen dat Vandenhaute gebeiteld zit en de paars-witte fans die roepen om een vertrek hun stembanden beter sparen? “Hij zal zeker niet uit zichzelf vertrekken. De grote vraag is hoelang zijn vennoten bij Mauvavie (het investeringsvehikel van Wouter Vandenhaute, Steven Buyse, Geert Duyck en Michael Lavrysen dat samen 24 miljoen euro in de club heeft gepompt, red.) deze bijzonder slechte publiciteit nog zullen aanvaarden. Zij hebben de sleutel in handen om een eventueel vertrek van Vandenhaute mogelijk te maken. In ieder geval zal Marc Coucke ondertussen de druk blijven opvoeren.”
durée : 00:43:47 - Signes des temps - par : Marc Weitzmann - La sociologue Eva Illouz interroge les angoisses contemporaines à l'aune de la modernité. Au croisement de la littérature et de la philosophie, son nouvel essai "Explosive modernité", relie ce malaise aux émotions collectives qui s'emparent du débat public depuis la mutation de l'information. - réalisation : Luc-Jean Reynaud - invités : Eva Illouz Sociologue
Dans les années quatre-vingt, les francophones riaient sans complexe aux sketchs de Michel Leeb imitant l'accent "africain". Une époque que le comédien regarde aujourd'hui avec une certaine nostalgie. Alors que cet humour n'est plus au goût du jour, comment les humoristes jouent-ils avec les langues pour camper des personnages et les rendre comiques? [Rediffusion du 28 janvier 2024. Reportage: Laurence Difélix, réalisation: Jean-Daniel Mottet, production: Raphaële Bouchet]
As rampage killings are on the rise both here and abroad, we ask if the long-term effects of drugs are impacting on our societal norms and encouraging a violent recklessness not seen before? As charges for cannabis possession are fast becoming a thing of the past and modern culture embraces increasingly strong strands of weed, is there a case to be made for really doubling down on those who break drug laws or as cannabis legalisation creeps across the globe, we ask, is it already too late?On our reading and watch list this week: * Attacker Smoked Cannabis: Suicide and psychopathic violence in the UK and Ireland – Ross Grainger * The War We Never Fought – Peter Hitchens * Tell Your Children: The Truth About Marijuana, Mental Illness, and Violence – Alex BerensonTo get in touch, email: alas@mailonline.co.uk, you can leave a comment on Spotify or even send us a voice note on Whatsapp – on 07796 657512, start your message with the word ‘alas'. Take our show survey at:https://ex-plorsurvey.com/survey/selfserve/550/g517/250305?list=9 Presenters: Sarah Vine & Peter HitchensProducer: Philip WildingEditor: Chelsey MooreProduction Manager: Vittoria CecchiniExecutive Producer: Jamie East A Daily Mail production. Seriously Popular Learn more about your ad choices. Visit podcastchoices.com/adchoices Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
D'Wort-Chefredaktesch justifiéiert sech fir de vill kritiséierten Artikel iwwert e Pedokriminellen an entschëllegt sech awer fir de Malaise, deen deen Artikel ausgeléist huet
Ce matin, on vous demande votre dernier moment de malaise au travail. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
If the Orioles need to rebuild a last-place team devoid of pitching again, then it's pretty clear that the future of Mike Elias in Baltimore is in deep debate amongst ownership. Luke Jones and Nestor discuss how the potential of the Orioles' youngest and brightest players got Brandon Hyde fired last week. The post Luke Jones and Nestor discuss how Orioles' young players malaise got Brandon Hyde fired first appeared on Baltimore Positive WNST.
Mi entrevistado en este episodio es Ernest Cañada. Es coordinador de Alba Sud y docente de la Universidad de Barcelona. Investiga en torno al trabajo, los conflictos socioecológicos y las alternativas en el desarrollo turístico. Ha publicado: Viajar a todo tren. Turismo, desarrollo y sostenibilidad (Icaria, 2005, con Jordi Gascón); Turismo en Centroamérica: un nuevo escenario de conflictividad social (Enlace Editorial, 2010); Turismo placebo. Nueva colonización turística: del Mediterráneo a Mesoamérica y El Caribe. Lógicas espaciales del capital turístico (Enlace Editorial, 2011, con Macià Blàzquez); El turismo en el inicio del milenio: una lectura crítica a tres voces (FTR, 2012, con Jordi Gascón y Joan Buades); Turismos en Centroamérica. Un diagnóstico para el debate (Enlace Editorial, 2013); Turismo comunitario en Centroamérica. Experiencias y aprendizajes (Enlace Editorial, 2014).Notas del Episodio* Alba Sud y su historia* El despojo en Nicaragua* El surgimiento de turismo en Costa Rica como una herramienta neoliberal* El Malestar en la Turistificación: Pensamiento Crítico Para Una Transformación de Turismo* El fin de turismo barato y el policrisis de hoy* Postcapitalismo y terminos complementarios* Monstruos peores* Aprender poner limites* La pluralidad de posibilidades de turismos postcapitalistasTarea* El malestar en la turistificación. Pensamiento crítico para una transformación del turismo - Icaria Editorial* Alba Sud - Facebook - Instagram - Twitter* #TourismPostCOVID19. Turistificación confinada* Ernest Cañada - Facebook - Instagram - TwitterTranscripcion en espanol (English Below)Chris: [00:00:00] Bienvenido Ernest, al podcast del fin de turismo. Ernest: Muchas gracias. Muy encantado estar aquí. Chris: igual es un gran honor poder hablar finalmente contigo. Mi pregunto si, pues, para empezar, si podrías decirnos de este, dónde hablas hoy y cómo es el mundo allá por ti? Ernest: Yo habitualmente resido en Barcelona, entre Barcelona y Mallorca, porque estoy entre la universidad de las Islas Baleares y Alba Sud, y en estos momentos estoy en Buenos Aires que estoy trabajando en una investigación sobre experiencias de gestión distinta, fuera de las lógicas del capitalismo. Y esto nos llevo a identificar distintas experiencias. Y ahora estoy empezando una investigación con el Hotel Bauen, a lo que fue el Hotel Bauen y a cerrado y la cooperativa que lo gestionó durante 20 años, Es parte el proceso que estamos haciendo, identificación [00:01:00] de experiencias diversas plurales que tienen que ver con como pensar la posibilidad de organizar el turismo bajo otros modos y esto nos elevado por caminos distintos de América Latina, de España. Y ahora estoy aquí.Chris: Pues gracias Ernest. Y si vamos a estar hablando de ese tema pero más allá de las vision que que hay, que existe, que podemos imaginar sobre un turismo post-capitalista o algo alrededor, algo así. Pero antes de meternos en eso, pues tú y yo hemos estado en contacto durante los últimos dos años, en parte debido a tu trabajo en el ámbito de los estudios críticos de turismo y a tu proyecto Alba Sud que en algunos de nuestros invitados anteriores incluidos de Ivan Murray, Robert Fletcher y Macia Blasquez ha participado.Me encantaría que pudieras contarme un poco [00:02:00] sobre Alba Sud, Ernest, su misión, su historia y su situación actual Ernest: Con mucho gusto. Ah, mira, Alba Sud nace en 2008. Legalmente lo habíamos legalizado antes por si algún grupo de compañeros por si algún día nos hacía falta, pero formalmente empieza a funcionar el año 2008 y empieza a funcionar en Managua, Nicaragua, que era donde yo residía en ese momento.Y fundamentalmente fue un acuerdo de personas que nos dedicábamos a la investigación y a la comunicación para trabajar con análisis críticos y al mismo tiempo propositivos en torno al turismo. Esto fue algo que fue original desde el principio, esta doble preocupación, por cómo pensar los impactos, los efectos que tenía el desarrollo turístico bajo el capitalismo y que tipo de dinámicas de violencia estructural y directa generaban y al mismo tiempo, cómo pensar posibilidades de salir de ese [00:03:00] marco de esas lógicas. Y eso fue un sello que desde el principio empezamos. Con los años Alba Sud fue creciendo, integrándose como una red de investigadoras e investigadores en turismo. Ahora tenemos presencia en 10 países en España, en Francia, en Europa, y luego en América latina, en la República Dominicana, en México, en El Salvador, Nicaragua, Costa Rica, Brasil, Uruguay y Argentina.Entonces es una red que conformamos gentes que nos dedicamos a distintos ámbitos de la análisis turístico y que compartimos espacios de trabajo y análisis e intervención política. Para nosotros, Alba Sud es un centro de investigación, pero no es un centro académico si nos preocupa menos las dinámicas académicas, aunque hay una parte de nuestro equipo de personas que colaboran que están en la universidad, distintas universidades. Lo que nos preocupa es cómo generar [00:04:00] conocimiento que sea útil para las comunidades, para las organizaciones comunitarias, para las asociaciones civiles, para sindicatos, para cuando es posible la administración pública. Es decir, intentamos generar conocimiento, análisis sistematización, propuestas que de alguna manera contribuyen a hacer visible las cosas que funcionan mal, que son un desastre que generan dolor en este mundo en relación con el turismo y al mismo tiempo, a pensar horizontes de esperanza.Este es un poco el propósito. Para ello, nos dotamos de eso de un equipo amplio de personas que colaboran unas más estrechamente con el día a día, otras que puntualmente colaboran y montamos básicamente nuestros trabajos se articula en torno a una web, la www.AlbaSud.Org, y lo estructuramos en trabajos de investigación que salen después en un formato [00:05:00] escrito por distintas formas, que luego te cuento un trabajo, además de la forma de la investigación, vinculado a la formación a poner a generar procesos de diálogo que nos permitan escuchar, reflexionar conjuntamente, poniendo en el mismo nivel personas que vienen de la academia con personas que tienen experiencias concretas de trabajo. Y finalmente, un ámbito más de incidencia política, más de acompañamiento organizaciones y de acompañarles para incidir políticamente. En el ámbito de la investigación, luego lo expresamos, básicamente a través de unos artículos cortos que hacemos, publicamos alrededor de 100, 110, 120 al año, que son artículos cortos de 2000-2500 palabras, que sabemos que son muy usados en las universidades, como material de discusión. Y un poco del propósito es este que se hiervan como pequeñas artículos bien escritos o intentamos que estén bien [00:06:00] escritos, que estén en un lenguaje simple, que la complejidad no tiene que ver con las palabrotas académicas que usamos, sino la profundidad del pensamiento que incorporan, pero que tienen que estar poder ser leídas por mucha gente.Tenemos esto. Luego, pusimos en marcha un sello editorial propio que es Alba Sud Editorial, en el cual tenemos una colección de libros, una de informes y recientemente una de policy brief más dirigidos a recomendaciones de política. Y básicamente Alba Sud eso. Es un espacio de encuentro entre personas que no nos resignamos a pensar que el desarrollo turístico necesariamente tenga que comportar esto, que estamos acompañando las resistencias, las luchas de los muchos males y violencias que genera este desarrollo capitalista a través del turismo y que al mismo tiempo, intentamos construir lo que decía antes "horizontes de esperanza" que nos permitan estimular la lucha y la resistencia, [00:07:00] pensando en en futuros más deseables que es creo que en estos momentos también necesitamos.Chris: Gracias, Ernest. Sí. Pues por lo que he visto, lo que he leído, lo que he encontrado ahi en el sitio de Alba Sud. Pues es, es una organización y sitio único en el mundo. Y pues yo tengo mucho honor de estar contigo hoy hablando de estas cosas y especialmente contigo como el fundador, Y entonces, para agregar, para profundizar un poco más de la historia, de tu historia, la próxima pregunta viene de nuestro amigo mutuo compañero Macía Blasquez a quien entrevisté en la temporada cuatro. Europa. Y el pregunta, "afirma que tú has sido entre muchas otras cosas activista en Centroamérica, como nos dijiste, y entonces él quiere saber cómo han cambiado tus opiniones y tu carrera de este [00:08:00] entonces?" Ernest: Buena pregunta.Ah, yo empecé a trabajar en Centroamérica acompañando. Bueno, primero pasé seis años que iba y venía. Estaba medio año en Centroamérica más o menos a otro medio en España. Y finalmente me quedé a trabajar en Nicaragua con una organización que se le llamaba "Luciérnaga" ahora "Ilegalizada," dedicada a la comunicación.Y desde ahí empezamos a organizar campañas de comunicación en distintos temas que tenían que ver con las necesidades y los derechos de la mayoría de la gente y de como estaban sufriendo procesos de despojo de posesión. Y trabajamos en torno a temas que tenían que ver con la salud y los derechos sexuales o reproductivos o la soberanía alimentaria. Y en una de estas, organizamos una campaña que duró cuatro años de investigación y comunicación sobre turismo. En un contexto, estoy hablando del año [00:09:00] 2004-2008, en el cual Nicaragua se estaba abriendo al turismo en esos momentos. Y entonces identificábamos claramente los altos niveles de violencia que eso podía comportar con procesos de desplazamiento.Y había que acompañar a las comunidades en esas dinámicas, y que además eran compartidas en El Salvador, en Guatemala, en Honduras, en Costa Rica y al mismo tiempo, empezar a pensar posibilidades de "si era posible utilizar el turismo bajo el control de las propias comunidades." Esa fue mi mi inserción en el mundo fundamentalmente del turismo.Y a partir de ahí, después de trabajar unos cuatro años en Luciérnaga y pusimos en marcha Alba Sud y en parte recuperamos en Alba Sud esa especialización vinculado con el turismo. Pensábamos, y es algo que hemos reflectado muchas veces con Ivan Murray que también le entrevistaste que no nos estábamos dando cuenta desde el mundo de las [00:10:00] izquierdas de la importancia que tenía el turismo para el funcionamiento al capitalismo.Y a veces cuando decíamos que nos necesitábamos al turismo, la gente lo tomaba como algo como irrelevante, como algo superficial, incluso casi jocoso como te gusta viajar, verdad? Y entonces era como, como no darse cuenta de, por un lado, como sobre todo desde la aplicación de los programas neoliberales, cómo el el turismo estaba ayudando a expandir los procesos de desarrollo capitalista, pero al mismo tiempo, como tenía una segunda función muy importante que era, cómo ayudaba a a estabilizar los desórdenes que provocaba ese mismo programa neoliberal? Recuerdo que me impresionó mucho trabajando en Costa Rica cuando me di cuenta que el año 1985, cuando se aplican los programas de ajuste estructural, [00:11:00] una de las cosas que se hace es desmontar el CNP, que era el consejo nacional de producción, que era lo que permitía durante bastantes años, que el campesinado costarricense tuviera la seguridad de que los granos básicos, frijoles, arroz, maíz tenía donde venderlos con precios estables. Y esto le daba seguridad al campesinado. Esto el año en el marco de la aplicación de esas políticas neoliberales que eran de hecho un chantaje, decir bueno, en un contexto de crisis de la deuda o aplicas determinadas programas políticos para liberalizar el comercio o no tienes apoyo en ese contexto, la contrapartida de achicar el estado y reducirlo.Y uno de los ejes de disminución del gasto público fue, por ejemplo, desmontar el CNP, este consejo nacional de producción. Y a cambio, lo que se pedía al campesinado estimularlo en la producción [00:12:00] de cultivos que tuvieran supuestamente mejor inserción en el mercado internacional para atraer la llegada de divisas.Y ahí se promovía la vainilla, la curcuma, la pimienta, productos que al final no acabaron de funcionar. Pero al mismo tiempo se promovió el turismo rural como un mecanismo para que el campesinado, por una parte, aportara con esa desarrollo de servicios turísticos divisas, al mismo tiempo le permitiera estabilizarse y no comprometerse en una dinámica que tenía que ver con el sufrimiento que estaban viviendo, que estaban generando procesos migratorios muy grandes.Entonces, con Iván, una de las cosas que reflexionábamos es, esto del turismo empieza a ser muy importante para el capitalismo. Y después de la crisis de 2008 creo que tuvimos bastante conciencia de que la dinámica de solución que encuentre el capitalismo para su [00:13:00] reproducción en parte tiene que ver con la expansión del turismo.Y esto lo hemos visto después de la crisis de la COVID con la pandemia que tuvimos en la cual... recuerdo perfectamente una llamada que nos hicimos con Iván, decíamos no nos puede pasar en 2020 lo mismo que nos pasó en 2008, que no nos dimos cuenta hasta mucho después de lo que estaba ocurriendo. Y por tanto, dijimos "paremos todas las publicaciones que tenemos pendientes y pidamos a todo el equipo amplio que está en torno de Alba Sud, pongámonos a reflexionar y analizaron que nos equivoquemos, pero pongámonos a analizar que cambios supone esto." Y en ese memento, alguna gente se reía de nosotros. Decía que seamos futurologia, que si habíamos convertido Alba Sud en una bola de cristal y que pretendíamos invocar el futuro. Y de hecho, lo que intentábamos hacer era el análisis desde la economía política para entender qué es lo que nos venía encima y de alguna manera, respondiendo a la pregunta que nos hacía [00:14:00] Macia, yo creo que lo que ha cambiado mi pensamiento es la intuición.O sea lo que antes era una intuición de que debíamos trabajar, generando conocimiento fuera de las lógicas de la reproducción académica y teníamos que generar conocimiento vinculado a los problemas sentidos por la gente más desfavorecida, que esa institución estaba en lo cierto y que había un espacio para hacer eso y que era necesario hacerlo.Y que este era un espacio que debíamos construir en relación con el mundo de las universidades de la academia, pero independiente de él, pero también independiente de las empresas, que es lo que vimos que también les había ocurrido algunas ONGs que durante años trabajaron tratando de generar algún tipo de pensamiento en torno de turismo, pero que rápidamente habían caído en una cierta trampa de pensar que era posible incidir en las empresas, generar dinámicas de responsabilidad, etcétera. Y nosotros pensamos que la cosa no iba por ahí, que la cosa tenía que ver con cómo [00:15:00] fortalecíamos otros actores para que pudieran combatir, resistir y construir cosas fuera de los marcos del capitalismo. Entonces, yo creo que, no sé si cambiaron muchas las cosas en términos de pensamiento, pero si se consolidó una convicción de lo que empezamos a hacer de una forma un poco intuitiva, se acabó convirtiendo en un espacio de investigación, de colaboración, de acompañamiento, de formación, de ciencia política para para un montón de gente que está vinculado con el turismo.Chris: Yeah. Gracias, Ernest. Pues yo siento que esa intuicion ha abierto un montón en los últimos años. Y hay un montón de gente en muchos lados, normalmente los lugares turisteados o sobreturisteados dando cuenta y dando cuenta no solo de [00:16:00] las consecuencias, pero de los patrones y pues, a dónde vamos con los patrones o canales de turismo convencional, pero también, como dijiste, en el turismo, como un gran factor dentro de la expansión y destrucción del capitalismo en nuestro tiempo. Entonces, a través de Alba Sud y Icaria Editorial en España, ustedes han publicado recientemente una antología titulada El Malestar en la Turistificación: Pensamiento Crítico Para Una Transformación de Turismo. Hay toneladas de capítulos fascinantes, tengo que decir, de excelentes autores y investigadores, incluidos trabajos que hacen referencia Silvia Federici y David Harvey, Pierre Biourdeau, Donna Haraway, Foucault, Graeber, y Ursula Le Guin, entre otros. [00:17:00] Estoy curioso, Ernest, cuál fue el impulso detrás de la creación de este antología? Ernest: Muchas veces, buena parte de las cosas que hacemos o que impulsamos de que son más grandes, vienen de una llamada telefónica con Ivan Murray y nos llamamos decimos, "tenemos que hacer esto, tenemos que hacerlo otro."Y de estas llamadas, lo que acabamos, y luego es algunos elevándolas a cabo. En este caso concreto, recurrentemente, teníamos una reflexión que cada vez era menos interesante leer sobre el turismo o que nos interesaba menos leer sobre turismo y que para entender el turismo, necesitábamos leer otras cosas. Y incluso la gente que nos dedicamos a los análisis críticos del turismo, nos dábamos cuenta de que estábamos leyendo mucho solamente entre nosotros.Y que de alguna manera estábamos reproduciendo lo mismo que le pasaba la academia vinculada al turismo. Es una academia muy endogámica, [00:18:00] muy auto concentrada que discute los mismos temas que se cita unos a otros y nos dábamos cuenta que de alguna manera, los que nos dictábamos a la crítica y a la propuesta fuera de esos marcos, teníamos el riesgo de no estar captando parte de la complejidad que tenía el desarrollo turístico en la medida que este se estaba haciendo cada vez más grande y que estaba penetrando en más esferas de la vida. Y ahí la idea fue, necesitamos hacer cuando compartíamos con Iván y luego se sumó Clément Marie dit Chirot, que es un profesor de la Universidad de Angers, que colabora también con con Alba Sud.De ahí surgió la idea de decir bueno, nos compartíamos tú que estás leyendo, que te está interesando. Y ahí empezamos a compartir autores y autoras. Y nació la idea deberíamos hacer algo con esto. Hicimos un primer seminario en Barcelona sobre la obra de David Harvey y en Lefevbre de qué nos pueden aportar estos dos autores a la comprensión [00:19:00] actual del desarrollo turístico.Y fue un seminario por eso el libro en parte, a veces la gente dice, por qué tanto Harvey y tanto Lefevbre, porque el origen del libro tenía que ver con este primer seminario que fue una prueba, un ensayo, de cómo podemos hacer que autores que no necesariamente han hablado sobre turismo, cómo podemos hacer que dialogan con nuestro objeto de de análisis?Y ahí hicimos un poco el mismo llamado que habíamos hecho en 2020 en cuando empezamos a trabajar en torno de la pandemia, que eso se convirtió en dos libros. Uno que fue Turistificación Confinada y otro Turismos de Proximidad, que fue el mismo proceso de empezar a preguntar a nuestros colegas, amigos, compañeros y compañeras, en qué estaban trabajando, que estaban viendo que estaban...Pues hicimos lo mismo, empezar a preguntar en nuestro entorno del equipo de Alba Sud, personas que colaboran, qué autores estaban leyendo que les interesaba y que no hubieran hablado antes de turismo? Y como [00:20:00] podíamos hacer el ejercicio de llevarlos a los análisis turísticos con el fin de robustecerlos, de hacerlos más sólidos, de incorporar dimensiones que si solamente nos fijábamos en lo que veníamos leyendo y escribiendo sobre el turismo, a lo mejor se nos estaban escapando. Por supuesto, nos quedaron un montón de trabajos de referencias fuera de este marco, es decir nos salía un volumen con 25 capítulos y nos podía haber salido perfectamente un segundo volumen, que es algo que no descartamos, pero no en términos inmediatos por el cantidad de trabajo que también supone.Pero si logramos poner en diálogo una serie de personas que nos permitían, de alguna manera, enriquecer el análisis turístico y brindar a gente que se estaban metiendo en determinados temas desde el ámbito de la comprensión, de lo como funciona el turismo, encontrar referencias teóricas, críticas con el capitalismo que le pudieran ayudar a [00:21:00] como mínimo, abrir caminos, entender qué lecturas podríamos hacer a partir de ellas.Seguro que hay autoras o autores que podrían haber tenido otro tipo de lectura, pero es la que hicieron las personas que colaboran con nosotros y de alguna manera era una de las posibles lecturas. Y bueno, ese es el origen del libro y la motivación. Chris: Ajá. Y me gustaría preguntarte sobre, pues, tu capítulo sobre Eric Ollin Wright, pero antes de eso, me gustaría preguntarte qué tipo de reflexiones te sorprendiste más fuera de tus propios investigaciones? Ernest: Sí, Ivan, Clemente y yo no solo lemos, sino que editamos y discutimos todos los capítulos.Tuvimos que rechazar lamentablemente también algunos. En algunos casos, había gente que nos mandó escritos que eran más complejos que el propio autor. Elegimos necesitamos que se entienda o en otros casos, la lectura no nos interesaba mucho. [00:22:00] No fue que aceptáramos todo, en este proceso.Y para mí, uno de los descubrimientos fue Jason Moore y el trabajo que hizo Iván con él para pensar o plantear la hipótesis del fin del turismo barato. Esto ha dado lugar un proyecto de investigación en el que estamos en la Universidad de Las Islas Baleares, con el grupo CRIGUST en el que estoy trabajando, pensando decir, bueno, qué significa este escenario de emergencias crónicas, esta dinámica, la cual el capitalismo ha funcionado a partir de la lógica de disponer de naturalezas baratas... qué significa si esto empieza a acabarse? Y hasta qué punto este modelo de desarrollo turístico que hemos tenido las últimas décadas en realidad no está objeto a demasiadas tensiones? Está demasiado en crisis y habría que tal vez plantear la hipótesis del fin del turismo barato, pero la [00:23:00] apertura de nuevos escenarios y sobre esta hipótesis estamos estamos desarrollando un proyecto de investigación y de alguna manera también ha servido para nosotros desde Alba Sud para pensar los escenarios de esta dinámica de reactivación. Decir no, no todo es igual a lo que venía siendo antes. Yo creo que para entender el memento actual del desarrollo turístico a nivel global, hay que situarnos en dos crisis:ya antes mencionamos el programa neoliberal y como el neoliberalismo incorpora el turismo con un mecanismo de expansión por al mismo tiempo de estabilización. Pero las dos últimas crisis la de 2008 y 2020 generan un salto de escala en términos de turistificación, un proceso turistificación global como nunca habíamos vivido, siendo un salto exponencial, en parte porque después de la crisis de 2008 se produce una situación en la cual las vías que habían optado a través de los préstamos [00:24:00] bancarios, la construcción, hipotecas, etcétera, colapsa y no es posible seguir reproduciendo el capital a través de esas vías. Y esto necesita encontrar otros mecanismos a traves de los cuales el capital se puede reproducir. Ahí, david Harvey ha hablado muchas veces de la importancia que tiene la urbanización de China en este proceso de salida de la crisis de 2008. Nosotros entendemos que, además de esto, el papel del turismo es clave. No es casualidad que una empresa como Airbnb nazca en 2008, que se produzca esta expansión del turismo urbano. Es decir, tiene que ver con esta lógica. Y la pandemia de alguna manera lo que hace es detener, pero al mismo tiempo, una salida, una reacción de los capitales muy agresiva por recuperar lo que no han ganado en los años anteriores.Y por tanto, se produce como una vuelta de tuerca más en esta dinámica. En este punto, para eso no es útil el pensamiento de Jason Moore, que yo lo leo fundamentalmente [00:25:00] como aportación de Iván Murray en esta obra que hacemos, en el malestar de la turistificación. Esta hipótesis del fin del turismo barato que planteamos a partir de la relectura de Jason Moore, lo que nos permite pensar es, o interpretar más bien , la dinámica de redituación es igual que la anterior a la crisis o hay algo cualitativamente distinto? Y hay algo cualitativamente distinto, porque estamos ante un escenario de riesgo para este desarrollo capitalista vinculado a las naturalezas baratas.Y ahí es donde nos damos cuenta que, en parte hay un efecto champagne, que cerca las reactuaciones no has podido viajar durante dos años y cuando hay la apertura, la gente sale. Pero más allá de esto y que nos expresa en estos últimos años de una forma desmesurada de tenemos turismo en los destinos más purificados, turismo de todo tipo, desde lujo a despedidas de [00:26:00] soltero o de soltero, que no alquilan ni una habitación, que sencillamente pasan de noche el viernes y el sábado de fiesta y se va en el domingo y ya está. O sea, tenemos de todo.Y ahí es donde recupero a Jason Moore y la ideas del fin de las del turismo barato, este riesgo de fin de turismo barato, lo que nos empezamos a dar cuenta es que empieza a ver una mayor competencia entre territorios, entre ciudades, por atraer un turismo de mayor poder adquisitivo. Se dan cuenta que hemos salido de la crisis y hay una serie de emergencias crónicas o lo que algunos le llaman policrisis que siguen estando presentes, que tienen que ver con el cambio climático, con la crisis de combustibles o la crisis energética y la crisis de materiales con las interrupciones a las cadenas globales de suministros, con las tensiones geopolíticas. Y todo esto nos ponen alerta de los riesgos que tiene el [00:27:00] desarrollo turístico. Si estamos en un escenario muy vulnerable. Además, después de la salida, empezamos a ver que hay un nivel de destrucción de los ecosistemas enorme, que no decir, esta lógica de crecimiento constante es inviable, porque hemos superado con mucho la capacidad del planeta y en ese contexto también vemos otro naturaleza barata que empieza a ser cuestionada, que es el trabajo, es decir la idea de la renuncia, de la dimisión, y uno de los grandes problemas que tienen las empresas en estos momentos es la falta de personal, gente que no quiere trabajar ahí y que busca trabajo en otros sitios.Entonces, en ese contexto que llamamos de emergencias crónicas que además se retroalimentan unas con otras, lo que empezamos a ver es que los capitales, a través de las autoridades públicas en distintos territorios, empiezan a competir por atraer un turista de mayor poder adquisitivo. Buscan cómo concentrar esa franja de segmento [00:28:00] turístico que va a ser menos sensibles a situaciones de crisis, que va a seguir viajando y cómo traerlo.Y implica un programa de gasto público enorme en términos de infraestructuras para traerlos en términos de promoción internacional, términos de macro-eventos para consolidar esa atracción. El problema es que, por definición, los turistas de mayor poder adquisitivo son mucho menos que la clase media o las clases trabajadoras en las que se ha sentado el turismo en las últimas décadas.Y por tanto, esa competencia entre territorios, por atraer ese segmento turístico de mayor poder adquisitivo, se incrementan. Es una competencia feroz por atraer a ese tipo de turistas y yo creo que estamos en este en este contexto. Y yo creo que no nos hubiéramos dado cuenta si una de las hipótesis posibles que formulamos a partir del libro en Malestar en la Turistificación no fuera precisamente esta [00:29:00] idea que extraemos de Jason Moore sobre el fin de las naturalezas baratas.La otra hipótesis tiene que ver con el trabajo que desarrolla a partir de Erik Ollin Wright sobre las posibilidades y cómo de transformar el sistema capitalista, hablando también desde el turismo, que es algo que Erik Ollin Wright nunca hizo, pero no sé si querías que habláramos ahora de él o o como quieres que lo planteemos.Chris: Pues sí, sí, me encantaría si podrías platicar un poco sobre Erik Ollin Wright, porque escogiste el específicamente, pero también para empezar, porque el capítulo que escribiste está titulado como un Turismo Postcapitalista: Siguiendo Los Pasos de Erik Ollin Wright.Entonces, antes de meternos en sus obras y su trabajo me gustaría preguntarte, pues, cómo defines Postcapitalismo?Ernest: Yo parto un posicionamiento anticapitalista. Y no tengo ninguna duda. Si me [00:30:00] opongo a a este modelo de producción, creo que nos lleva el desastre tanto en términos humanos como planetarios. Desde esa posición de esa convicción anticapitalista, lo que plantea es la necesidad de encontrar salidas que nos lleven a otro escenario.Podríamos llamarle socialismo. Podríamos llamarle ecosocialismo. No lo sé. Me interesa más pensar la posibilidad de pensar horizontes que escapen del capitalismo. Este es el posicionamiento. A veces hay gente que duda, porque una cosa o la otra. No una cosa o la otra. Si partimos del anticapitalismo para intentar construir algo fuera del capitalismo, pero no es algo tampoco mecánico, es algo que construimos. No es una fase superior del capitalismo. Después del capitalismo podría ser formas de violencia y de explotación mucho mayores. Es algo que tenemos que construir. Entonces, la idea es no resistimos, confrontamos con las lógicas capitalistas y desde [00:31:00] intentamos construir algo distinto, algo que podemos llamarle metafóricamente del momento postcapitalismo, pero no es contradictorio una posición con la otra. A partir de ahí, yo, sinceramente, estoy en este camino de buscar como pensar las posibilidades de transformación. Esto lo tenía claro. Y cuando me acerco a distintos autores, Erik Ollin Wright no era un autor que me resultaba especialmente simpático. Venía de una tradición socialdemócrata. Venía del marxismo analítico, que era algo que no especialmente me seducía.Si me interesaba una cosa especialmente de su obra, que era el rigor metodológico en las formas de analizar la sociedad. Esto me a atrevía especialmente. Es decir, salir fuera de las metáforas y del lenguaje a veces tan obtuso del marxismo y empezar a construir utilizando las mejores herramientas de las que disponemos en un determinado memento desde las ciencias [00:32:00] sociales.Esto reconozco que era algo que sí que me atraía, pero no es necesariamente todo el pensamiento de Erik Ollin Wright y Erik Ollin Wright me interesa partir de leer Utopía Reales y después Como Ser Anticapitalista en el Siglo XXI, por la visión que tiene. El lo que hace es un intento de recuperar distintas tradiciones de la izquierda para pensar un programa de acción complementario.Y a mi, esta idea me seduce especialmente, cómo pensamos en términos complementarios. Es decir cómo la acción de uno es la que uno puede hacer, la que uno desea hacer o la que las condiciones le han marcado, pero no son mejores ni peores que las que hace el otro compañero que está desde otra trinchera y como dejamos de competir por cuál es la mejor idea y empezamos a reconocernos que unos están intentando transformaciones desde el ámbito, de la lucha política parlamentaria, otros lo hacen desde del mundo sindical, otros desde del mundo [00:33:00] ecologistas y otros de cooperativismo. Reintegrar, repensar conjuntamente esas distintas tradiciones de acción de la izquierda.Me parecía que era algo necesario. Discrepo en una posición de Erik Ollin Wright que no acabo compartir, que es esta idea de negar la posibilidad de la revolución. Y me explico, Erik Ollin Wright dice en parte como buen social demócrata, lo que viene a decir es, después de las experiencias históricas, es fácilmente reconocible que cuando hemos tomado el poder después de un proceso revolucionario, las dinámicas que hemos generado después casi han sido peores que contra lo que combatíamos. Y probablemente tenga razón.Y yo he vivido 11 años en Nicaragua y sé de lo que estoy hablando. Se de qué significa los supuestos nuestros cuando están en el poder. Entonces, cuidado con esta idea, la simple toma del poder en [00:34:00] nombre de una bandera, de una determinada cristalización ideológica es ya un futuro deseable y mejor. Cuidado porque efectivamente generamos monstruos peores.Pero lo que discrepo con Erik Ollin Wright es que, si bien, en sí misma la toma del poder no te garantiza una sociedad ni mucho más justa, ni mucho más equitativa, sino que al final, muchas veces lo que te encuentras son dinámicas de estabilización de nuevos grupos que ascienden al poder y desde ahí ejercen el control.Pero lo que sí, quiero que no podemos renunciar a la idea de la movilización social, incluso de la toma del poder político como un mecanismo defensivo, como un mecanismo de respuesta ante el desorden que genera el capitalismo. En estos contextos, aunque fuera para salvaguardar dinámicas democráticas, aunque fuera para salvaguardar, creo que no podemos renunciar a la herramienta [00:35:00] revolución, pensado probablemente en términos defensivos no ofensivos, si no pensando que vamos a cambiar y vamos a generar un mundo mejor a partir de la toma del poder inmediata. Pero sí, salvaguardarlo como un mecanismo defensivo ante la lógica del avance del desorden que genera el capitalismo, la posibilidad de restaurar ciertos equilibrios a través de procesos revolucionarios.Creo que esta es la idea que recuperamos de Walter Benjamin cuando dicen que a veces se marca como la revolución, como la locomotora de la historia y el dice más bien, es el freno de mano. Es decir, es ante el despeñadero pensar en esto. Bueno, esto mi distancia de esta posición tan categórica de Erik Ollin Wright, pero en cambio, me parece interesante cómo construir una posibilidad de un mundo post capitalista a partir de cuatro grandes estrategias o vías de lo que ella denomina erosión del [00:36:00] capitalismo. O sea si no es posible darle la vuelta de inmediato, probablemente habrá que pensar en un tránsito a largo plazo en el cual este orden capitalista he agujereado desde distintos ámbitos de intervención y fundamentalmente desde el estado y desde fuera del estado.Y él plantea esta idea del desmantelar, domesticar, huir y resistir como formas de intervención. Y yo lo que hago en el capítulo es subir, bueno, si el turismo es tan importante en el capitalismo, cómo podríamos pensar estas categorías, estas dinámicas de ejes de intervención que contribuyen a erosionar el capitalismo de ir agujereándolo, de ir creando nuevas lógicas, aunque sean frágiles, aunque sean temporales, pero como mostrar, y como de algún modo ir asentando y que iba creciendo áreas de funcionamiento social que no reproducen las lógicas del capitalismo, sino que [00:37:00] avancen en otras direcciones. Y esto en un largo proceso que nos vaya avanzando, que nos permite avanzar.Y yo lo que intento hacer es cómo podría ser esto desde el turismo? Y ahí implica, por una parte, la intervención desde el estado, es decir por un lado, desde el estado, entendiendo al estado cómo la cristalización de una determinada correlación de fuerzas en un determinado memento. Podríamos pensarlo en términos de, bueno, es la reproducción de, es el mecanismo que tienen las clases dominantes para reproducir bien. Yo quiero más bien siguiendo otros autores de la tradicion marxista, como Poblanzas y otros más bien entendiendo como una cristalización de una determinada correlación de fuerzas. Y esto puede cambiar. Bien, desde esa perspectiva, pensar como desde el estado, podemos intervenir abriendo dinámicas que funcionen fuera de las lógicas del capitalismo. Una de ellas que no significa que sean necesariamente anticapitalistas, que a veces ayudan a [00:38:00] estabilizar el mismo capitalismo, pero pueden ser leídas de múltiples maneras.Una de ellas tiene que ver con esta idea de ponerle límites al capital, introduciendo mecanismos de control, de regulación, de fiscalidad. Es decir desde la inspección del trabajo hasta la fiscalidad hasta las tonificaciones en determinadas ciudades de qué se puede hacer, si podemos permitir más hoteles o no podemos permitirlos, cierto?Todo esta dimensión de "desde el estado," cómo ponemos mecanismos de limitación y contención al desarrollo de capital turístico? Otra vía, otra estrategias, como desde el mismo estado, generamos igual que por ejemplo, hemos hecho en algunos países en el ámbito de la salud o en el ámbito de la educación, cómo establecemos programas públicos que garanticen el acceso a las vacaciones, al descanso, etc. de una parte de la población, con programas de turismo social, [00:39:00] con creación de infraestructuras, desde parques urbanos a mejora transporte público, acompañamiento los programas de la economía social y solidaria, el cooperativismo. Es decir cómo desde el estado generamos dinámicas que contribuían a garantizar el acceso de los sectores más desfavorecidos a vacaciones. La tercer eje de intervención de que plantea Erik Ollin Wright tiene que ver con la idea de resistir resistir fuera del estado, es decir, resistir en el combate a este desorden que genera el capitalismo, el capital turístico.Y esto implica resistir desde dentro de las empresas con las organizaciones sindicales, pero tremendas de fuera desde los movimientos comunitarios, ecologistas, vecinales, es decir, ponerle límites al capital, no solamente esperando lo que va a hacer el estado con políticas públicas, sino que hacemos de forma organizada colectivamente dentro y fuera de las empresas.[00:40:00] Y la cuarta dimensión de esta proceso de entender mecanismos de erosión del capitalismo y en este caso, del capitalismo de base turística, sería la idea de huir. Hay que salir ya hoy y aquí de este mundo capitalista. Y esto implica crear cooperativas, ensayar formas de organización distinta que nos permitan garantizar vacaciones, descanso, formas diversas de construir el ocio que pueden incluir el desplazamiento.Y esto podemos hacerlo fundamentalmente desde las organizaciones comunitarias, desde el ámbito de las cooperativas, pero también desde fuera del mercado. Es decir, si la tutela del estado y si la tutela del mercado. Es decir, reorganización del ocio popular sin pasar por el mercado. Esto que en algunos países llamamos domingueros, dominguiar, hacer uso del día del señor para [00:41:00] descansar o tocarnos las narices o leer debajo un árbol. Es esta idea de hacer lo que queramos de forma autoorganizada, en colectivo o individualmente. Es decir, abrir estos espacios. Entonces yo creo que estas cuatro dimensiones es lo que nos permite pensar la posibilidad de una transformación del turismo bajo otras lógicas. Y aquí creo que hay que introducir un matiz porque a veces siento que hay una cierta confusión, como si todo fuera un problema de palabras. Es decir que nos negamos a utilizar la palabra turismo porque es una palabra que es capital.Bueno, nosotros, lo que reivindicamos fundamentalmente es el tiempo libre, el tiempo liberado del trabajo. Esto es lo que nosotros reivindicamos. Y creo que eso es lo que tenemos derecho a el tiempo que liberamos del trabajo para poder hacer lo que necesitemos en términos de descanso, de alimento de nuestro pensamiento, de goce, de desarrollo, de posibilidades.[00:42:00] Esto es lo que nos interesa. Y esto se puede organizar en el propio lugar de residencia en tu espacio próximo de residencia en términos de ocio, de entretenimiento, de recreación. Pero si implica desplazamiento, es cuando empezamos a hablar de turismo y este turismo, podemos organizarlo que implica ocio más desplazamiento.Esto podemos organizarlo, que es como hemos hecho hasta ahora, bajo las lógicas del capitalismo para reproducir el capital o podemos organizar este ocio con desplazamiento para satisfacer necesidades humanas. Y ahí es donde creo que tenemos el centro de la propuesta. Es decir, cómo pensar que una práctica humana, una práctica social no pueda ser solamente definida por las lógicas de reproducción del capital, sino que tenemos que poder desarrollarla bajo otras lógicas. Y esta es la reivindicación. Es decir, no resignarnos a que solamente el [00:43:00] capital organice nuestras vidas. Hay una frase de David Harvey que tiene toda la razón cuando dice no hay ninguna idea moralmente buena que el capitalismo no pueda compartir en algo horroroso.Y tiene toda la razón. El capitalismo tiene la capacidad para hacer esto, pero nosotros también pensamos que al mismo tiempo, no hay ninguna práctica social que no podamos organizar bajo otras lógicas distintas a las del capitalismo, que un mundo socialista, un mundo ecosocialista, podría ser organizado bajo otras lógicas y eso tiene que empezar ya ahora y aquí. No esperar a que venga una revolución y no sabemos cómo saldremos de ésa, sino que tenemos que empezar a organizarlo ya ahora y aquí. Yo creo que esta es la segunda hipótesis con la que construimos a partir de este libro del Malestar en la Turistificacion, que creo que, como mínimo a mí, hay muchísimas más lecturas del libro.Pero a [00:44:00] mí esta idea que extraemos de Jason Moore en torno al fin del turismo barato y la disyuntiva entre elitizacion o empezamos a pensar propuestas de transformación que den respuesta a las necesidades de la mayoría social, esta segunda hipótesis es lo que creo que sale con más fuerza de este libro. O como mínimo es mi lectura.Estoy seguro que otras compañeras y otros compañeros han hecho otras lecturas del del libro y les está estimulando para hacer otras cosas. Y creo que esa es la potencia que tiene el libro, que es empezar a robustecer el pensamiento crítico en turismo con abriendo nosotros posibilidades. Chris: Mm-hmm. Wow,Gracias, Ernest. Este yo creo que para mucho de nosotros, más ustedes que tiene mucho más tiempo en las investigaciones, los límites o el límite es la palabra, es el concepto [00:45:00] central de cómo podemos pensar, distintamente cuando estabas hablando de esas cosas, yo pensé, casi no hay límites a los instituciones que tenemos en el mundo capitalista moderna, solo los límites que los instituciones ponen en uno mismo. Pero luego tenemos que invertir lo que está pasando en el sentido de poner límites en las instituciones y luego poner en pausa las límites que son impuestos a nuestras lógicas, nuestras capacidades o maneras de pensar el mundo, de entender al mundo, pero también de pensar de otros mundos.Y entonces, poner un límite en cuántas vuelos puede llegar en un lugar en un día o cuántos hoteles podemos construir, etcétera. Cuántos turistas podemos tener? Pero al final cuando yo pienso en eso, a veces pienso como los pueblos en México y Oaxaca en donde vivo que algunos son pueblos ecoturísticos y tienen economías relativamente cerradas o relativamente mucho más [00:46:00] cerradas que las ciudades y eso y que tienen la capacidad, que si se hacen, se ponen los límites y se dice vamos a aceptar toda x cantidad de gente en este año porque entendemos que Los recursos o la naturaleza alrededor va a sufrir sino. Pero también se este. Hay otras preguntas, eh, como de la influencia social, el intercambio de capital entre gente de culturas distintas que viene con expectativas.Pero entonces quizás empezamos con la la cuestión de resistencia, porque a México, como muchos otros países que dependen en gran medida de las economías turísticas, las formas de resistencia política, no todas, pero algunas sí, que se emprenden contra esas economías a menudo apuntan a los turistas como los principales beneficiarios o cupables. Parece haber una fuerte resistencia a nombrar a la población local como dependiente y defensora de estas [00:47:00] economías. Si vamos a construir una resistencia política que abarque las necesidades económicas de todas las personas dentro de un lugar, cómo podemos ir más allá de esta crítica, yo digo superficial, que tiene la capacidad de esencializar a los extranjeros y infantalizar a los locales. Ernest: Yo creo que, bueno, has dicho un montón de cosas que me sugieren en reacción. Ah, pero para empezar por el final, yo diría que muchas veces nos encontramos con formas des legitimación de las protestas diciendo bueno, todos somos turistas, como si tuviéramos que tener un comportamiento virtuoso, decir apelando una cierta coherencia individual en todos nuestros comportamientos.De hecho, lo que están haciendo con este tipo de críticas, es sencillamente negar la legitimidad de las reivindicaciones, decir, señalando la contradicción como si todo fuera un problema individual [00:48:00] de comportamientos individuales. Y cuando lo que nos estamos diciendo es esto es un problema político, no de una persona en concreto, sea turista o sea población local que resiste y luego hace turismo, si el problema dejémonos ya de moralismo y de buscar ciudadanos virtuosos moralmente. Y empecemos a plantear que ambas son las estructuras políticas que pongan límites a este capital turístico. Yo creo que el grueso de la pelea es salir de esta idea de la responsabilidad individual de quedar atrapados en estas ideas de responsabilidad que tampoco sin desmerecerla, es decir es otro campo de intervención, pero el centro no puede ser la decisión individual y la coherencia individual en relación a nuestros comportamientos. Tiene que ver con dinámicas estructurales y lo que hay que cambiar son dinámicas de conjunto y para eso se falta hacer política con mayúsculas, ,implica movilización, pero para [00:49:00] cambiar estructuras. Cuál es el problema que a veces en esta maraña de capitales, que haces más difícil de identificar quién es el responsable de estas políticas o de estas violencias? Si quienes al final del último, que toma decisiones detrás de estos fondos de inversión. En cambio, el turista lo tenemos cerca y puede ser efectivamente blanco del malestar, porque es el que tienes más cerca. Entonces, y yo creo que desde los medios de comunicación, se nos intenta situar en ese terreno, a cuando se pone en circulación la idea de turismofobia, que empieza sobre todo en Barcelona y que luego circula a nivel internacional.Es una campaña dirigida a quitar la legitimación al movimiento vecinal que está protestando. No hay turismofobia. Puede haber alguien que de un día te caiga mal a alguien, pero no es un problema contra una persona. Lo que pasa es que a veces al que tienes cerca, el que te molesta es el turista, [00:50:00] es la parte final de ese proceso y es mucho más difícil señalar a las autoridades públicas, locales, nacionales, internacionales que han diseñado esos marcos de representación, a las empresas escondidas en esas dinámicas financieras.Entonces yo creo que es un proceso contradictorio, pero que, al mismo tiempo, no debemos renunciar a él. Es decir, aquí la cuestión no tiene que ver con como eres más o menos coherente, más o menos responsable, siendo población local, receptora o siendo turista o siendo muchas cosas a la vez. No tiene tanto que ver con eso, sino como reorganizamos el sistema de organizar el sistema turístico.Esta es la clave. Aquí está el problema. Y esto implica ponerle límites. Y como bien decías en tu primera parte, la intervención, si yo creo que la palabra límites adquirido, una connotación política fundamental. Las últimas manifestaciones que se están organizando [00:51:00] en España, en la que tuvimos hace dos, dos fines de semana en Barcelona, o la que va a ver este domingo en Palma, especialmente pongámosle límites al turismo.Pero esta demanda de ponerle límites y al mismo tiempo que le ponemos límites, tenemos que saber que hay una parte de la población que en España es de un 30 porciento, pero que la Union Europea gira en torno también otro 30% con niveles también muy desiguales, pero que cuando lo miramos desde América Latina, es mucho más, más de la mitad de la población que no puede hacer vacaciones. Es decir que estamos en esa discusión pero por otra parte, tenemos una parte de la población que no tiene infraestructuras que le permiten hacer vacaciones, sea desde que legalmente, no le permiten tener esas vacaciones en buenas condiciones, que no hay infraestructuras para que puedan pagárselas, que faltan programas públicos de calidad de turismo social que le [00:52:00] permitan disponer de esas infraestructuras.Entonces, yo creo que la dinámica es doble, es por uno de que ponerle límites al capital. Y hay que hacerlo como parte de una reflexión y de una intervención política no individual en términos morales, pero que al mismo tiempo, hay que plantear un horizonte de deseo. Queremos algo, queremos disfrutar del tiempo libre.Queremos disfrutar de un tiempo libre de calidad. Una de las formas posibles, no la única puede ser el turismo, que implicar este ocio más desplazamiento. Y para hacer esto y poder gozar de conocer otros espacios, otros lugares fuera de mi realidad cotidiana. Para hacer esto, necesitamos infraestructuras sociales que nos permiten hacerlo.Y yo creo que ahí está la batalla, por un lado, ponerle límites al capital y por otro lado, expandirnos. Ofreciendo un mundo deseable. Queremos disponer de tiempo libre. [00:53:00] Queremos desarrollarnos en nuestro tiempo libre. Queremos que nuestro tiempo libre lo podamos organizar en la proximidad en nuestra casa, en nuestros alrededores, pero puntualmente también viajando.Y eso significa disponer de infraestructuras públicas y también de mecanismos porque el dinero y el mercado va a ser la única forma de decidir quien vuela y quien no vuela. Si tenemos que ir un mundo con muchos menos vuelos, serán los que puedan pagarlos o podemos organizarlo de otro modo. Cuántas veces puedes volar al año? Cuántas veces puedes hacer por cuánto tiempo? Como podemos, si le imp, implica un un ejercicio que a veces, cuando lo planteas, parece que esta gente no vive en el mundo, que la realidad es otra efectivamente. Ocurre esto, pero para avanzar en esta dirección, necesitamos horizontes de esperanza, horizontes que nos digan debemos ir para allá, no solamente como pérdida de privilegios, no [00:54:00] solamente por restringirnos porque el planeta se desmonta, sino porque queremos vivir mejor y queremos vivir mejor todos.Entonces, yo creo que esta conjunción, porque si no tenemos otro problema que tiene que ver con el crecimiento de la extrema derecha en un mundo de inseguridades en un mundo de amenazas, quién está ofreciendo seguridades, aunque sea con discursos racistas xenófobos de culpar al penúltimo, culpando al último. Es decir en este contexto, cómo podemos organizar dinámicas que a la vez que le ponemos límites a este desarrollo turístico capitalista, estemos ofreciendo seguridades, seguridades en términos de el control implica también mejores de condiciones de trabajo. Y el control sobre esto es también para poder organizar el turismo de otra manera que tú no pierdas tu trabajo, sino que podamos organizarlo de otra manera y que podamos satisfacer las necesidades [00:55:00] que tiene mucha más gente.Yo creo que la cosa va por ahí entre la resistencia y la propuesta de un mundo deseable también en el turismo. Chris: Ya ya igual subió mi mente como esa noción de el ocio, el tiempo de ocio son momentos también fuera de trabajo que en un análisis puede decir que el trabajo es un tipo de esclavitud moderna, a veces no, pero a veces sí, muchas veces creo y que tiempo de ocio o descanso es un tiempo también para organizarse.Organizar la comunidad. Organizar por otros mundos o contra lo que tienes, eh? Pero el turismo parece que también ha sido como un herramienta contra eso. O sea, ya tienes tu tiempo descanso. Pero mira, mira, mira las playas de Cuba... Ernest: No es exclusivo del turismo. Es decir, cuando hablamos de turismo, estamos hablando de ocio, más desplazamiento. [00:56:00] Si no nos desplazamos, resulta que este ocio que hacemos desde nuestra casa es el mas emancipatorio del mundo. Es decir, estar en casa viendo Netflix es lo mejor, estar yendo al centro comercial a pasear porque hubiese en un mundo de inseguridades de mierda.Es decir, en este contexto, esto no es algo exclusivo del turismo. También desde el ocio, tenemos estas dinámicas de alineación y de mercantilizacion. Entonces, necesitamos salir de las palabras para construir escenarios que nos permitan satisfacer necesidades y expandir posibilidades, capacidades de la gente de explorar y vivir mejor.Pero hay muchos ejemplos que te permiten de manera diversa y es parte de lo que decíamos al principio de la conversación de en lo que estamos trabajando en Alba Sud de intentarse sistematizar un montón de estas experiencias que han [00:57:00] probado aspectos distintos de transformación, de salir de estas lógicas y avanzar en otras direcciones.Y quiero que el problema es que muchas veces la academia no ha puesto atención en estas posibilidades. Y en cambio, en la vida, en la vida cotidiana, hay muchas más cosas que se están haciendo que no hace falta que nos pongamos a inventar que también, pero empecemos también por reconocer y recuperar muchas de las cosas que están en nuestra propia historia y también en nuestro alrededor, en en estos otros contextos que podemos encontrar experiencias ricas en estas otras formas y las encontraremos en el ocio y las encontraremos en el turismo. Pero a veces tengo la sensación de que cuando solamente identificábamos el turismo como un proceso de mercantilizacion, nos estamos pegando un tiro al pie. El turismo, igual que muchas otras cosas, puede ser eso y efectivamente es una dinámica de reproducción del capital que [00:58:00] genera violencia, violencia estructural y directa. Nos tenemos que resignar a que solamente pueda ser eso. Podríamos imaginar cómo construimos eso de otra manera y para imaginar, empecemos por reconocer lo que está en otro alrededor que ya está funcionando de otras maneras y que a lo mejor algunas de estas experiencias son frágiles, son limitadas, tienen contradicciones, fracasan, pero muestran que durante un tiempo ha sido posible organizar esto.La próxima fracasaremos mejor. Y a la siguiente, lo haremos perfecto. Es decir, es un proceso constante de tensión, de organización, de intento de generar cambios que nos permitan construir una vida digna, que también pasa por recuperar ese tiempo libre que lo podremos organizar de maneras distintas. Y ahí podríamos o no incluir el turismo en función de nuestras necesidades y posibilidades.Chris: Gracias, Ernest. Gracias por ofrecer eso y [00:59:00] clarificar. Entonces, si podemos imaginar otros mundos, otras formas de caminar y caminar juntos, podemos comenzar a dar pasos hacia esos caminos. Si pudieras imaginar un otro mundo de esa manera, libre de las limitaciones contemporáneas de las fronteras estatales, la hospitalidad industrial y las expectativas extractivas cómo sería para ti, Ernest?Ese viaje que tanto deseas hacer sería una peregrinación? Sería posible solo una vez en tu vida? Cómo sería ese viaje para ti? Ernest: Claro, yo diferenciaría y pensaría en que necesariamente sea plural. Es decir, que las opciones sean múltiples. No hay una respuesta, no hay una forma de organizar otro turismo. Hay o deben haber muchas formas. En función de las muchas necesidades que tenga la gente. El otro día, en una entrevista, a preguntar cómo hacías vacaciones tú cuando eras adolescente? Como pensando en [01:00:00] cómo encontrar ese anexo en lo que ahora me preocupa y yo digo, lo que hacía era pasarme en los veranos en la biblioteca. Y lo que deseaba era tener infraestructuras públicas de calidad en la que pudieras leer sin ruido, constantemente. Y quería infraestructuras públicas que me permitieran hacer eso. Y creo que una forma de organizar tu tiempo libre tiene que ver con que dispongamos de infraestructuras públicas que nos permitan organizarlo.Y ahí, no hay una sola forma, ni una sola necesidad. La mía tiene que ver con esto o ha tenido que ver con esto en un determinado momento de mi vida y para otros es otra y para otros es una distinta. Entonces yo me imagino no un camino, sino me imagino unos muchos caminos que pueden responder a formas y necesidades distintas.Si me imagino programas robustos potentes de calidad de turismo social en el que [01:01:00] la gente pueda acceder al mar, puede acceder a la montaña, puede acceder a espacios que en la cercanía y tomando en cuenta a los límites del planeta, podamos movilizarnos masivamente para dormir fuera de nuestra casa, viendo las experiencias, pero que no solamente en infraestructuras o espacios natural, sino que también implique un programa pedagógico pensado para cómo desarrollar potencialidades, como ver esas distintas apuestas.Pero veo esto y también veo con deseo, las apropiaciones que hace a la gente los parques públicos, como la gente se toma al parque y celebra fiestas y organiza actividades. Creo que necesitamos pensar en términos plurales. Es decir no hay unas vacaciones. A lo mejor en la vida, necesitaremos tener disponer de la posibilidad de organizar nuestros tiempos de trabajo de manera distinta, que nos permitan viajar más tiempo que en lugar de hacer lo que no tendría [01:02:00] sentido es pensar que podemos universalizar viajes de Alemania al Caribe por cuatro días.Eso no tiene ningún sentido, pero estamos seguros de que ya no podremos conocer otros territorios. A lo mejor será menos veces en la vida. Será por más tiempo. Será combinando trabajo con espacios de ocio con espacios. Es decir, creo que lo que debemos abrirnos es a la pluralidad de posibilidades de organizar esta parte de nuestro tiempo libre que hemos asociado con el desplazamiento.De alguna manera, yo creo que lo que necesitamos son horizontes por los que merezca la pena, no solamente resistir, sino movilizarse para avanzar hacia ellos. Queremos vivir mejor y tenemos derecho a vivir mejor. Tenemos que resistir todas las mierdas y todas las cabronadas que nos hace el capital. Pero al mismo tiempo, tenemos que poder aspirar a una [01:03:00] vida organizada bajo otras lógicas. Ahí es donde creo que que está la clave algo por lo que merezca la pena luchar.Chris: Gracias, Ernest por esas palabras muy importantes y tus reflexiones en el día dehoy, desde mí, mi parte y mi corazón y la parte de los oyentes también. Entonces, por último, Ernest, cómo podrían nuestros oyentes saber más sobre tu trabajo y Alba Sud y donde se pueden comprar el Malestar en la Turistificacion? Ernest: Al bas sud?Tenemos nuestra página web AlbaSud.Org. Ahí, todas nuestras publicaciones son de descarga gratuita. Tenemos una sección de formación en la que vamos recuperando todos los videos de los debates actividades que organizamos. Si la página web, la herramienta. Disponemos de un boletín que mandamos mensualmente.Estamos en redes [01:04:00] sociales varias, en Facebook, en Twitter, en Linkedin, disponemos de un canal en Telegram. Por ahí se pueden informar de lo que hacemos, de las actividades de las convocatorias y con Icaria que tenemos varios libros publicados, dependiendo del lugar en España, es posible en cualquier librería.Si no lo tienen, pedirlo y lo llevan. Y en muchos otros lugares, creo que hay que pedirlo directamente por la editorial. Es decir, en algunos países de América Latina, Icaria tiene distribución comercial normal. En otros es más difícil, pero en la página web de Icaria Editorial se pueden conseguir estos trabajos. Y si no lo encuentran, que nos escriban que algo resolveremos.Chris: Muy bien, pues voy a asegurar que todos esos enlaces están ya en el sitio de Fin de Turismo cuando lanza el episodio y una vez más Ernest, desee que tendríamos más tiempo para [01:05:00] platicar, pero seguramente en otra ocasión. Fue un gran honor, oportunidad de hablar contigo y espero que podemos hacerlo de nuevo en algún momento. Ernest: Con mucho gusto. Encantado de poder conversar contigo. Y estoy realmente seguro de que vamos a continuar caminando juntos. Muchas gracias. English Transcription Chris: [00:00:00] Welcome Ernest, to the end of tourism podcast.Ernest: Thank you very much. It's a pleasure to be here.Chris: It's a great honor to finally be able to talk to you. I wonder if, to start with, you could tell us about this, where you speak today and what the world is like there for you?Ernest: I usually live in Barcelona, between Barcelona and Mallorca, because I am between the University of the Balearic Islands and Alba Sud, and at the moment I am in Buenos Aires working on research into different management experiences, outside the logic of capitalism. And this led us to identify different experiences. And now I am starting a research with the Hotel Bauen, what was the now closed Hotel Bauen and the cooperative that managed it for 20 years,It is part of the process that we are doing, identifying [00:01:00] diverse plural experiences that have to do with how to think about the possibility of organizing tourism under other modes and this has taken us along different paths from Latin America, from Spain. And now I am here.Chris: Well, thank you Ernest. And yes, we are going to talk about this topic, but beyond the visions that exist, that we can imagine about post - capitalist tourism or something around it, something like that. But before we get into that, you and I have been in contact for the last two years, partly due to your work in the field of critical tourism studies and your Alba Sud project, in which some of our previous guests, including Ivan Murray, Robert Fletcher and Macia Blasquez, have participated.I would love for you to tell me a little bit [00:02:00] about Alba Sud, Ernest, its mission, its history and its current situation.Ernest: With pleasure. Oh, look, Alba Sud was founded in 2008. We had legalized it before in case some group of colleagues needed it one day, but it formally began to operate in 2008 and it began to operate in Managua, Nicaragua, which was where I lived at the time.And it was basically an agreement between people who were dedicated to research and communication to work with critical and at the same time propositional analysis around tourism. This was something that was original from the beginning, this double concern, about how to think about the impacts, the effects that tourism development had under capitalism and what kind of dynamics of structural and direct violence they generated and at the same time, how to think about possibilities of getting out of that [00:03:00] framework of those logics. And that was a hallmark that we started with from the beginning.Over the years, Alba Sud has grown, becoming a network of tourism researchers. We now have a presence in 10 countries in Spain, France, Europe, and then in Latin America, in the Dominican Republic, Mexico, El Salvador, Nicaragua, Costa Rica, Brazil, Uruguay and Argentina.So it is a network made up of people who are dedicated to different areas of tourism analysis and who share work spaces and analysis and political intervention. For us, Alba Sud is a research centre, but it is not an academic centre and we are less concerned about academic dynamics, although there is a part of our team of people who collaborate who are at the university, different universities.What we are concerned about is how to generate [00:04:00] knowledge that is useful for communities, for community organizations, for civil associations, for unions, and for public administration when possible. That is, we try to generate knowledge, analysis, systematization, proposals that in some way contribute to making visible the things that do not work well, that are a disaster that generate pain in this world in relation to tourism and at the same time, to think of horizons of hope.This is the purpose. To do this, we have a large team of people who collaborate more closely on a day-to-day basis, others who collaborate occasionally, and we basically put together our work, which is organized around a website, www.AlbaSud.Org, and we structure it into research papers that are later published in a format [00:05:00] written in different ways, which I will then tell you about. In addition to the form of research, work is linked to training to generate dialogue processes that allow us to listen, to reflect together, putting people who come from the academy on the same level as people who have specific work experiences. And finally, a more political influence area, more of accompanying organizations and accompanying them to influence politically.In the field of research, we then express it, basically through short articles that we write, we publish around 100, 110, 120 a year, which are short articles of 2000-2500 words, which we know are widely used in universities, as discussion material.And a bit of the purpose is this, that they are boiled down as small, well-written articles, or we try to make them well [00:06:00] written, that they are in simple language, that the complexity has nothing to do with the academic swear words that we use, but the depth of t
L’Université féministe d’été à l’Université Laval. Discussion avec Rémi Villemure, chroniqueur Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:54:57 - Le Grand Face-à-face - par : Thomas Snégaroff - En quoi la modernité modifie-t-elle nos émotions ? Débat avec Eva Illouz, directrice d'études à l'Ecole des hautes études en sciences sociales, auteure “Explosive modernité. Malaise dans la vie intérieure” (Gallimard). - réalisé par : Marie MéRIER
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Une étape importante a été franchie dans la transposition des trois accords nationaux interprofessionnels du 14 novembre 2024 sur l'emploi des seniors, le dialogue social et l'assurance chômage, avec la présentation d'un projet de loi dédié en Conseil des ministres du 7 mai dernier. Dans l'actualité, la publication le 13 mai des résultats du baromètre « Opinions et attentes des techniciens et professions intermédiaires », réalisé par ViaVoice pour le compte du cabinet Secafi et de l'Ugict-CGT, révèle que ces professionnels souffrent d'un manque de reconnaissance. De son côté, le think tank Terra Nova estime que pour financer son modèle social français, la France aura besoin d'accueillir entre 250 000 et 310 000 travailleurs immigrés chaque année jusqu'en 2040-2050, selon une étude publiée le 12 mai. Autre sondage intéressant, celui réalisé par Occurence pour France Travail et l'association Diversidays sur l'égalité des chances.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:06 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - A Gaza, sous les frappes et le blocage israéliens, la situation continue à empirer. La France le déplore mais agit peu. Pourquoi ?
The Baltimore Orioles are a terrible baseball team right now. On a 100-loss pace after striking out 17 times and getting just three hits in another 9-1 loss to the Minnesota Twins. Stink. Stank. Stunk. Luke Jones and Nestor are getting fatigued by the awfulness of it all... The post Luke Jones and Nestor discuss Orioles total malaise in Minnesota first appeared on Baltimore Positive WNST.
Nog niet zo lang geleden was Nigeria de grootste economie van Afrika en de economische motor van het continent. Maar het land verkeert in crisis: voedsel en brandstof zijn vertwee- of drievoudigd, en de waarde van de nationale munt naira is gekelderd. Ondertussen wordt Nigeria geteisterd door een ontvoeringsgolf waarvan vooral kinderen het slachtoffer worden. Afrika-correspondent Saskia Houttuin bezocht de stad Kano, waar een groot deel van de problematiek samenkomt. Lees ook: Nigeria is in de greep van ontvoering als verdienmodel: ‘Deze nachtmerrie moet stoppen’ Onze journalistiek steunen? Dat kan het beste met een (digitaal) abonnement op de Volkskrant, daarvoor ga je naar www.volkskrant.nl/podcastactie Presentatie: Sheila SitalsingRedactie: Corinne van Duin, Lotte Grimbergen, Julia van Alem en Jasper VeenstraMontage: Rinkie BartelsSee omnystudio.com/listener for privacy information.
durée : 00:06:33 - Le Masque et la Plume - Dans "Grand Amour", Eva Ionesco poursuit son œuvre autobiographique en explorant les thèmes de l'amour, de la liberté de la quête d'innocence. Un récit marqué par la beauté et la réminiscence qui a divisé les critiques du Masque.
Art Interface - "Wardance" - b/w Raygun Assassins Gary Wright - "Impulse" - University of Melbourne Electronic Music Franco Bonfanti & Giancarlo Barigozzi - "Alpa" - Vele Sul Mare Beatriz Ferreyra - "Siesta Blanca (excerpt)" - Fylkingen Electronic Music competition 1975 Winners Nuno Canavarro - "untitled 3" - Plux Quba (Musica Para 70 Serpentes) David Jaffe - "Terra Non Firma (excerpt)" - CDCM Computer Music vol.15 Tara Cross & Stefan Tischler - "Porto Rico" - Searchlight & Torch La Propiedad Es Un Robo - "Cunit Directe" - La Ciudad Secreta: The Experimental Sounds of Barcelona 1971-1991 (V/A) S.Y.P.H. - "I Want You" - Rare & Lost Into The Future Thomas Dimuzio - "Of Vast and Barren Rotting Wastelands part II (excerpt)" - Delineation Of Perspective White Hospital - "Robotomy Operation" - Holocaust Dancing Cigarettes - "Puppies In A Sack" - The Gulcher Recordings 1980-1981 Cheiron - "Land After Life" - Pas de Deux (V/A) His Name Is Alive - "Home Is In Your Head" - Home Is In Your Head Rick Ulfik - "Paulie Melt" - Street Trash OST The Gerogerigegege - "--------" - Hell Driver https://www.wfmu.org/playlists/shows/151669
The Orioles are taking beatings this month that no one in MLB could've predicted. Luke Jones and Nestor continue a chat about the exasperation and disappointment at the Birdland malaise and lack of fight – and starting pitching – on this beleaguered club as the Yankees crush the return of Kyle Gibson to Baltimore. The post Luke Jones and Nestor continue a spring of exasperation and disappointment at Orioles malaise and lack of fight first appeared on Baltimore Positive WNST.
Ce matin, on vous demande votre dernier moment de malaise. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:21 - Le Zoom de France Inter - En 2020, un anesthésiste du prestigieux hôpital s'est suicidé. Cinq ans plus tard, sa famille met en cause le management de l'établissement et réclame justice. Enquête sur une institution aussi réputée que discrète, fréquentée par les stars et les grandes fortunes.
durée : 00:23:57 - L'invité de 8h20 - Bernard Cazeneuve, ancien Premier ministre et auteur de "Un chien parmi les loups" aux éditions de L'observatoire, était l'invité de France Inter ce vendredi. Après l'attaque au couteau dans un lycée de Nantes, il appelle à apporter des réponses au "très profond malaise de la jeunesse" française. - invités : Bernard CAZENEUVE - Bernard Cazeneuve : Ancien Premier ministre
The first triple header of the season is done, some tired faces have headed back from the Gulf for a short Easter break before attacking the standalone Miami GP next week, then another triple header: Imola, Monaco and Spain. We get into why Max Verstappen is heaping praise on Oscar Piastri, despite their Turn 1 incident, Piastri's many father figures, Williams' best start for a decade. And with Lewis Hamilton describing his Jeddah race as “horrible” and doubting his fortunes will change this year, we look in depth at what's going on at Ferrari in the company of Motorsport editor in chief Ben Hunt and our top F1 writer from Italy, Roberto Chinchero. Don't miss the chance to compete against our expert writers on Motorsport's hugely popular F1 Fantasy League. https://www.motorsport.com/f1/news/race-our-writers-motorsport-launches-its-first-ever-featured-league-on-f1-fantasy/10702182/ Join our new Race Center Live watchalong on Motorsport at the upcoming Miami GP where Matt and Tommy from P1 will be joining the feed. Check out the Saudi GP edition here: https://www.motorsport.com/f1/live-text/f1-saudi-arabian-gp-race-center-live-show/1124449/ Send your comments or questions to: @jamesallenonf1 on X/Twitter or jamesallenonf1@autosport.com. Producer: Dre Harrison A Motorsport Studios production for Autosport
Aujourd'hui, Antoine Diers, Barbara Lefebvre et Frédéric Farah débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall.
It's hard sometmes to keep our emotions in check with all that's going on and I talk about that as well as offer some personel anecdotes, tools for coping; balance, discernment, divine guidance and resilience
Dan, Billie and Vass are back to discuss yet another diappointing league defeat with more calamitous defending at its core as Spurs lose 4-2 to Wolves. We discuss Ange, the players, and ask if they have checked out of the league and whether the players no longer believe in the manager and much more. Are the player errors on Ange or should the players take some responsibility?We also look back at the Europa League game against Frankfurt and assess our chances for the tournament after a 1-1 home draw.We talk about Ange's press conferences, club leaks, appointing a new CEO and also touch on the fan protests. COYS
Il n'a rien bu depuis 4 ans. Avec Maxime Musqua, on aborde la pression sociale qui pousse à consommer, la capacité à ne nouer du lien social que dans l'ivresse, ou encore l'enjeu de la consommation à outrance. À l'occasion de la sortie de son livre « Je n'aurai plus besoin d'alcool pour danser » (Robert Laffont), il nous raconte son parcours vers la sobriété et le goût de la vie sans alcool.Pour retrouver cet échange en vidéo : https://youtu.be/TKzOWuk8pC0
The Scuffed Soccer Podcast | USMNT, Yanks Abroad, MLS, futbol in America
Vince and Belz wrestle with the implications of that last window, weigh whether USL's pro/rel gambit will move the needle, recap the weekend action and answer voicemails from listeners in Forth Worth and Chicago.Here's where you can send us a voice message for future episodes: https://www.speakpipe.com/ScuffedPodcastVince and Belz and George Quraishi are definitely taking a group to Rome from May 10-18, here's some detail, including a rough itinerary: https://earthlydelights.notion.site/Italia-25-with-Scuffed-1a3f3f1e0145804793e8e83e982168fdAnd here's where you can still sign up: https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSfp2O1bIr5KNSymt3ayP3ctERCooDo3ADM5Kf_kSHpmr6ITMg/viewform Subscribe to Scuffed on Patreon! Patrons get a private ad-free feed for all episodes that go out on the public feed, plus the Monday Review every week with Watke and Vince. Patrons also get access to some video of clips we discuss on the show, our private Discord server, live call-in shows, and the full catalog of historic recaps we've made: https://www.patreon.com/scuffedAlso, check out Boots on the Ground, our USWNT-focused spinoff podcast headed up by Tara and Vince. They are cooking over there, you can listen here: https://boots-on-the-ground.simplecast.com
durée : 00:37:36 - Secrets d'info - par : Benoît COLLOMBAT, Cellule investigation de Radio France - Près d'une centaine de pompiers sont en souffrance dans 35 départements, selon le syndicat des sapeurs-pompiers volontaires de France : harcèlement moral et sexuel, discriminations, suicides... Certains vont même jusqu'à porter plainte contre une hiérarchie qu'ils ont pourtant toujours respectée. - réalisé par : Christophe IMBERT
(00:00:36) Marine Le Pen inéligible: le droit face au populisme dans la presse internationale (00:04:26) Marine Le Pen inéligible: ça parlait hier soir dans le RER - reportage Radio France (00:06:26) Marine Le Pen inéligible: la solidarité des extrêmes-droites internationales face aux juges - interview de Benjamin Biard (00 :15 :08) Malaise en Inde à l'accueil des expulsés par les Etats-Unis
Send us a textIn this episode of Ginger Biz, we tackle a common challenge that every founder and small business owner faces, meeting malaise. If you're tired of disorganized, energy-draining meetings that don't lead to real progress, this episode is for you. We explore how business owners can reclaim their time and energy by building a culture of positive, productive meetings.During the conversation, we discuss the importance of meetings, why they often go off track, and how you can ensure every meeting serves a clear purpose. You'll hear practical tips on how to politely deflect unnecessary meeting invites, improve facilitation techniques, and even create joyful, energizing meetings that leave your team inspired.In this episode, you'll learn:How to create a culture where every meeting is positive, useful, and productiveThe true purpose of meetings and why they're essential for business growthSimple techniques to keep meetings focused and on trackWhy meetings often devolve into trivial arguments and how to avoid thatSteps you can take to fix common behavioral issues that make meetings drainingHow to make meetings not only productive but joyfulWhether you're managing your first hires or leading teams across the globe, this episode will help you take control of your calendar and ensure your meetings work for you, not against you.Call to Action:Implement these etiquette principles in your daily interactions and meetings to see the difference they make! Share this episode with a fellow entrepreneur, and don't forget to subscribe for more business insights and strategies.You can find Chris here:Website: https://www.noimpediments.com/Instagram: @noimpedimentsEmail: chris@noimpediments.com______________________________You can find me here:Instagram: @gingerbizWebsite: https://www.katymurrayphotography.com/Facebook: https://www.facebook.com/groups/TipsandTricksforyourbusinessX: https://twitter.com/GingerBizKMLinkedIn: https://www.linkedin.com/in/katy-murray-ginger-biz/
Bankole and Lolade are nursing full moon-sized hangovers this week as they discuss the sixth episode of 'The White Lotus' Season 3. They start with a quick death pool check-in (7:40) before examining the many problems in the Ratfliff family (10:30). Before wrapping up their discussion, they stop by our favourite friends finally hashing it out (50:55).You can support us here.Subscribe to our Newsletter.Also available on YouTube.Hosts: Bankole ImoukhuedeGuest: LoladeProduction by: Bankole Imoukhuede
Utah State Aggies radio analyst Spencer Nelson joined DJ to talk about the matchup for USU against the UCLA Bruins in the NCAA Men's Basketball Tourmament.
Au programme du FC Stream Team ce vendredi, Maxime Dupuis et Maxime Dupuis se concentrent sur le choc à venir entre le Paris Saint-Germain et l'Olympique de Marseille, dimanche. Ils reviennent également sur Luis Enrique et Antoine Griezmann. (05:09) Le PSG, en pleine bourre, reçoit un Olympique de Marseille nettement moins dominant ces dernières semaines. Le choc entre le 1er et le 2e de Ligue 1 pourrait bien accoucher d'un match à sens unique alors que l'écart entre les deux grosses machines du championnat ne cessent de se creuser depuis le début de la saison. C'est en tout cas l'avis de nos deux journalistes. (13:54) La victoire du Paris Saint-Germain à Liverpool et la qualification pour les quarts de finale de la Ligue des champions valident la méthode Luis Enrique. Nos journalistes, qui ont pu critiquer le coach parisien par le passé, font leur mea culpa. (25:10) Alors que la FFF a prévu, jeudi, de rendre hommage aux retraités Olivier Giroud et Antoine Griezmann, le Madrilène sera absent. Une décision qui, forcément, nourrit le malaise autour de sa retraite international prématurée que personne n'avait anticipée et dessine le fossé qui le sépare de Didier Deschamps aujourd'hui. Bonne écoute et n'oubliez pas de profiter du quiz en find'émission. Présentation : Maxime Dupuis et Martin MosnierGraphisme et animation du quiz : Quentin Guichard (extraits en vidéo)Réalisation : Hadrien Hiault Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Pascale de la Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualité. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme.
Ecoutez RTL Petit Matin avec Jérôme Florin du 14 mars 2025.
Karen begs the question what's that feeling going around? Malaise is it? Or are we numb? And what exactly is kakistocracy?
Nick Kypreos, Justin Bourne and Sam McKee look back on the Leafs' 3-1 loss to the Minnesota Wild, their third defeat in a row. They discuss the team's recent lack of offensive production, whether it could be blamed on personnel or Craig Berube's coaching style, and whether the team needs to look outside the organization for answers. Then, they suggest possible solutions for the struggling Morgan Rielly and Max Domi. Later, Gord Stellick (33:01) discusses the Leafs' stretch into the international break, Berube's patience and how a good 4 Nations Face-Off performance could energize Team USA captain Auston Matthews and other participating Leafs.The views and opinions expressed in this podcast are those of the hosts and guests and do not necessarily reflect the position of Rogers Sports & Media or any affiliates.
1-23: Dirty Work Hour 2: Could Brandon Staley be in play for 49ers? Plus Marc Spears on just what GS can do to emerge from their current malaiseSee omnystudio.com/listener for privacy information.
As president, Jimmy Carter promised always to tell the American people the truth about what was happening in the country. We'll look at how that affected his presidency as we remember Carter's life and legacy.Learn more about sponsor message choices: podcastchoices.com/adchoicesNPR Privacy Policy