French cross-country skier
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Ce vendredi 21 novembre, les réformes urgentes à mener dans l'éducation pour remédier à la baisse du niveau scolaire en France, ainsi que le plan de relance économique exemplaire du Japon, ont été abordés par Xavier Jaravel, président délégué du Conseil d'Analyse Économique, Jean-Marc Vittori, éditorialiste aux Echos, et Ludovic Desautez, directeur délégué de la rédaction de La Tribune, dans l'émission Les Experts, présentée par Raphaël Legendre sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Écoutez Michèle Boisvert commenter cette journée folle au micro de Philippe Cantin.Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
À l'occasion de sa revue de presse, vendredi matin, Paul Arcand aborde le silence de Marwah Rizqy et le mystère entourant les fameux «brownies» au Parti libéral du Quévec. L'ex-cheffe parlementaire de la formation politique refuse toujours de s'expliquer sur la place publique sur les motifs qui l'ont amenée à congédier sa directrice de cabinet, Geneviève Hinse, malgré une mise en demeure de la part de cette dernière. Paul Arcand explique que ce dossier commence à peser lourd sur le PLQ et soutient que, Rizqy étant une avocate rigoureuse, elle ne doit pas avoir renvoyé sa cheffe de cabinet sur un coup de tête. Il souligne avec stupéfaction aussi qu'il est possible d'acheter légalement des votes au Québec dans le cadre d'une course à la chefferie. Autres sujets traités: Donald Trump accuse des démocrates de trahison et évoque la peine de mort; Les Hells Angels et la mafia toujours en contrôle; Baisse de la qualité en éducation; Loi 2: fermeture d'un GMF à Louiseville; Les Canadiens s’effondrent encore une fois. Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
A tous ceux qui sont en train de réviser et qui se retrouvent en pleurs à 23h00 : cet épisode est votre piqure de rappel
Dans un monde où l'aide sanitaire internationale a vu ses financements réduits de manière drastique, et où l'âge moyen des populations s'accroît dans de nombreux pays, la question de la prévention est essentielle. Activité physique régulière, alimentation équilibrée, vaccination, dépistage, campagnes de sensibilisation : la prévention s'articule entre plusieurs niveaux (primaire, quand on empêche la survenue de la maladie, secondaire, quand on engage un traitement précoce pour freiner ou bloquer les symptômes, tertiaire, lorsque la prise en charge évite les complications)... Il existe de nombreuses manières de prendre soin de sa santé et de prévenir la survenue de maladies. Pour les populations les plus vulnérables, le diagnostic intervient souvent au stade des complications : comment l'éviter ? Comment favoriser une prévention efficace, à l'heure des restrictions dans le financement de la santé mondiale ? Pr Antoine Flahault, épidémiologiste, professeur émérite de Santé publique à l'Université de Genève et professeur à l'Université Paris Cité. Auteur de l'ouvrage Prévention positive, une meilleure santé sans interdits et sans excès aux éditions Flammarion Retrouvez l'émission en entier ici : La prévention en santé est-elle un luxe ?
Ce mercredi 19 novembre, Antoine Larigaudrie a reçu Antoine Fraysse-Soulier, responsable de l'analyse des marchés chez eToro, dans l'émission Tout pour investir sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:06:23 - L'invité de 6h20 - par : Mathilde MUNOS - Le taux de conformité de l'eau potable a diminué de dix points, en moins de cinq ans, passant de 95% en 2021 à 85% en 2025, révèle l'UFC-Que Choisir. Olivier Andrault est chargé de mission alimentation au sein de l'association. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Ce mardi 18 novembre, Antoine Larigaudrie présente le tableau de bord dans l'émission Tout pour investir sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Le concentré de tomate chinois est toujours le plus exporté de la planète, mais les indicateurs commerciaux ne sont plus aussi bons qu'avant : les ventes chinoises progressent de plus en plus lentement. Le tassement des exportations chinoises est principalement dû à la volonté de plusieurs pays de se démarquer et de moins consommer de concentré de tomates chinois, pour des raisons liées à sa qualité, mais aussi pour des questions plus idéologiques : les trois-quarts de la production viennent de la province du Xinjiang, à l'ouest de la Chine, région souvent pointée du doigt pour sa répression des populations ouïghoures. « Plus personne ne veut de ce concentré-là », résume un observateur de la filière. Au troisième trimestre, les exportations ont baissé de 13% par rapport au deuxième trimestre, et de 9% par rapport à l'année dernière, selon Tomato News, le site d'information de l'Association internationale méditerranéenne de la tomate transformée (AMITOM) et du Conseil mondial de la tomate d'industrie (CMITI). Chute des ventes en Europe de l'Ouest La situation est très contrastée avec des importations en hausse en Amérique centrale, en Extrême-Orient, dans les pays de l'Est de l'Europe tels que la Croatie, la République tchèque et la Pologne, et en parallèle, des régions du monde qui ont mis un coup de frein à leurs importations chinoises. C'est en Europe de l'Ouest que la baisse est la plus notable selon Tomato News, avec une chute de 67% entre le troisième trimestre 2025 et celui de 2024, soit 26 000 tonnes en moins. La tendance à la baisse est portée par l'Italie, mais aussi le Portugal, l'Irlande, la Suède et les Pays-Bas. Les pays d'Europe de l'Ouest n'ont pas moins consommé, mais ils essaient de se fournir plus en Europe, et peuvent aussi acheter davantage aux États-Unis grâce aux bons rendements obtenus en Californie cette année, explique un de nos interlocuteurs. Baisse en Afrique de l'Ouest Les exportations de concentré chinois ont baissé dans plusieurs pays d'Afrique également. Si on compare le troisième trimestre 2025 à celui de 2024, on constate une baisse des achats de près de 9 000 tonnes. Plusieurs pays ont réduit leurs importations : le Nigeria, le Ghana, la RDC et le Niger. Une baisse atténuée, mais pas totalement, par les importations du Togo, du Bénin et de la Sierra Leone, selon Tomato News. Les exportateurs chinois dominent cependant toujours le continent africain. « Très peu d'autres pays parviennent aujourd'hui à exporter vers l'Afrique, un marché qui continue de croître », a rappelé Martin Stilwell, le président de Tomato News, lors des journées de la Tomate (ANUGA) qui se sont tenues le mois dernier à Cologne en Allemagne. Chute des prix du concentré chinois La Chine exporte moins en Europe et a vu ses recettes liées aux exportations mondiales de concentré chuter de 30% sur un an, pour atteindre le niveau bas d'avant Covid-19. Cette chute est liée à la surproduction chinoise d'il y a un an qui avait été suscitée par l'envolée des prix du concentré. La Chine a grosso modo produit cinq millions de tonnes de trop, explique un expert de la filière. Un volume impossible à absorber sur un marché globalement stable où la consommation de tomates d'industrie est plus ou moins de 38 à 40 millions de tonnes chaque année. Les stocks chinois ont grossi et les usines chinoises qui s'étaient lancées ou relancées dans la transformation l'année dernière ont dû réduire, voire geler, leur activité en 2025 en attendant de liquider leurs réserves de concentré. Des réserves vendues à des prix cassés : environ 600 dollars la tonne, soit presque la moitié des prix pratiqués par les exportateurs chinois un an plus tôt. Les prix aux États-Unis ont suivi la même tendance, tout en restant plus élevés. En Italie, l'autre acteur qui compte sur le marché, ils se sont maintenus grâce à un positionnement sur le secteur premium, qui permet aux transformateurs de mieux valoriser leurs produits. À lire aussiConcentré de tomates: boom historique des exportations, hausse des stocks et baisse des prix
À Nouadhibou, deuxième ville de Mauritanie, de nombreux Africains partent en pirogues vers les îles Canaries, en Espagne, au péril de leur vie. Dans cette ville portuaire devenue carrefour migratoire, de plus en plus de familles font le choix de rester sur place et tentent d'envoyer leurs enfants à l'école malgré la précarité. Une école, fondée par des migrants pour des migrants, leur ouvre aujourd'hui une chance d'avenir, dans un contexte où l'Europe renforce ses contrôles, et où la Mauritanie devient un partenaire clé de la gestion des flux migratoires. De notre correspondante en Mauritanie, À l'étage d'une petite maison de Nouadhibou, plusieurs pièces ont été transformées en salles de classe. Particularité : ces classes sont réservées aux enfants de migrants. Yama Fama Ndiaye, Sénégalaise de 12 ans, est à Nouadhibou depuis deux ans avec son père. Elle vient s'inscrire à l'école. « Mon papa travaille dans le poisson. Je veux apprendre le français et l'arabe », explique-t-elle. Les enfants viennent d'une dizaine de pays d'Afrique de l'Ouest et centrale. Les professeurs, eux, sont membres de l'Organisation de soutien aux migrants et aux réfugiés, qui a créé l'école en 2018. « Les enfants apprennent généralement le français. Ici, il y a plusieurs cultures : les Maliens, les Sénégalais... Ils apprennent les mathématiques arabes. Cela leur permet de s'intégrer dans le pays », précise Blanche, Camerounaise. Un enseignement adapté aux enfants en situation de migration Nouadhibou est un lieu de passage prisé des Africains qui cherchent à rejoindre l'Europe : frontalière du Maroc, à quelques jours seulement des Canaries par la mer. L'école adapte son enseignement aux besoins spécifiques de ces enfants venus parfois de très loin. « Ce sont des enfants qui ont traversé des pays et des moments très difficiles. On a aussi des enfants qui sont des réfugiés de guerre. Quand ils arrivent ici, ils ont un traitement quand même à part, surtout dans leur éducation. On a formé nos enseignants de sorte qu'ils puissent détecter ça, et puis améliorer leur éducation », précise Sahid Moluh, directeur de l'école. Baisse du nombre de migrants Sous pression des partenaires européens, la Mauritanie multiplie les contrôles et les rafles contre les migrants sans titre de séjour. Beaucoup de parents n'ont pas obtenu la carte de résidence et ne peuvent donc ni travailler librement ni se déplacer. « On rafle parfois les hommes. On laisse les femmes avec les enfants, raconte Amsatou Vepouyoum, présidente de l'Organisation. Ici, nous sommes en location. Il y a quand même l'apport des parents d'élèves. Ils apportent pour la contribution du loyer et pour donner aux encadreurs, qui sont des bénévoles. » L'école fait payer une petite participation : 600 ouguiyas, soit environ 13 euros par mois. Mais en cette rentrée, le portefeuille des familles est au plus bas, et les inscriptions se font timides. « Ça, c'est un centre qui accueille parfois 250 personnes. Mais depuis lundi, jusqu'à présent, nous n'avons pas encore 80 élèves, cela veut dire que l'impact est visible », poursuit Amsatou Vepouyoum. La tendance aux départs reste forte, même si les chiffres ont reculé. Entre janvier et août 2025, un peu plus de 12 000 migrants ont atteint les îles Canaries, soit une baisse de plus de 50% par rapport à la même période en 2024, selon Frontex et le ministère espagnol de l'Intérieur. À lire aussiGuinée: une nouvelle route dangereuse pour la migration vers les Canaries au départ de Kamsar
Les stocks de pétrole s'accumulent sur les mers et les océans en cette fin d'année 2025. Il y a aujourd'hui 1,3 milliard de barils chargés sur des pétroliers, soit l'équivalent de presque deux semaines de consommation. C'est un record depuis 2020. On peut trouver en mer du pétrole déjà vendu, en cours d'acheminement, et du pétrole en attente d'être acheté, qui est stocké. Sur leurs écrans, les sociétés de suivi maritime savent repérer ces pétroliers qui sont immobiles plusieurs jours et qui constituent des stocks flottants. Depuis le mois de septembre, on est passé de 1,1 à 1,3 milliard de barils en mer, selon les derniers chiffres du cabinet de suivi maritime Kpler, et 30 % de cette hausse représente du pétrole sous sanction. L'augmentation des volumes de pétrole en mer mobilise un nombre plus grand de navires et a fait grimper les taux de fret pour les pétroliers ces dernières semaines. Hausse notable depuis septembre Depuis le mois de septembre, 200 millions de barils sont venus s'ajouter aux volumes déjà chargés et sur l'eau. Certaines raffineries privées chinoises ont épuisé leur quota annuel d'importation et ont dû interrompre temporairement leurs achats? C'est une première explication. Il y a aussi les sanctions américaines prises mi-octobre sur le terminal pétrolier chinois de Rizhao – qui représente 10% des importations de pétrole en Chine. Elles ont augmenté la congestion sur l'eau, explique Homayoun Falakshahi chef analyste pétrole chez Kpler. L'augmentation des volumes en mer illustre aussi le refus de certains importateurs de décharger des cargaisons de pétrole russe suite aux dernières sanctions occidentales, même si les flux vers l'Inde n'ont pour l'instant pas cessé. Autre raison : les pétroles indexés sur les références européennes (brent) et américaines (WTI) affichent, depuis octobre, un prix plus bas que le brut de la région du Golfe (référence Dubaï). Cet avantage de prix a séduit les acheteurs asiatiques, qui ont commandé plus. Les trajets des pays d'origine concernés, vers l'Asie, sont plus longs, ce qui contribue à augmenter le nombre de navires sur l'eau. Baisse sur les prix, mais pas trop Cette quantité de pétrole sur l'eau est susceptible de faire baisser les prix, mais cette hausse est à relativiser : dans ces volumes, il y a une proportion importante de pétrole sous sanction, qui n'est destinée qu'à un nombre limité d'acheteurs. Les prix sur ce marché « parallèle » n'ont que peu d'impact sur les cours mondiaux. « Plus la part de pétrole sous sanction est importante dans ces volumes sur l'eau, moins cela a d'impact sur le marché général », précise l'expert de Kpler.
Le Canadien est présentement au coeur de sa première séquence difficile de la saison, est-ce le temps de profiter du fait qu'ils sont encore favorisés dans leurs rencontres? (03:12)Également au menu: ailleurs dans la LNH (27:40), semaine 11 de la NFL (37:58) et finale de la Coupe Grey. (46:35)
Ce jeudi 13 novembre, Antoine Larigaudrie vous présente le placement à suivre dans l'émission Tout pour investir sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce jeudi 13 novembre, Antoine Larigaudrie a reçu François-Xavier Soeur, gestionnaire de patrimoine chez Terrae Patrimoine, dans l'émission Tout pour investir sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Les ventes des grandes brasseries québécoises sont en déclin, et la raison derrière cette tendance surprenante pourrait se trouver au-delà des simples campagnes de modération ou des préoccupations de santé. Ce serait plutôt la faute... aux écrans. La consommation de bière étant traditionnellement associée à des moments sociaux, la montée de la solitude et du temps passé devant Netflix, Crave ou TikTok pourrait expliquer cette baisse.Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Cette semaine dans Trends Bourse, Vincent Juvyns (ING) décrypte une actualité dense : la fin annoncée du shutdown américain, la correction du secteur technologique — à ne pas confondre avec un éclatement de bulle — et la stratégie de temporisation de la Chine dans la guerre commerciale. Un épisode pour prendre du recul sur des marchés en quête d'équilibre. Le podcast Trends Bourse est un production de Trends-Tendances. Plus d'informations et de conseils pour vos investissements sur www.tendances.be/bourse. Vous désirez recevoir chaque jour des conseils d'investissements dans votre boîte électronique, enregistrez-vous gratuitement sur www.tendances.be/newsletters. Hosted by Simplecast, an AdsWizz company. See https://pcm.adswizz.com for information about our collection and use of personal data for advertising.
Cette semaine dans Trends Bourse, Vincent Juvyns (ING) décrypte une actualité dense : la fin annoncée du shutdown américain, la correction du secteur technologique — à ne pas confondre avec un éclatement de bulle — et la stratégie de temporisation de la Chine dans la guerre commerciale. Un épisode pour prendre du recul sur des marchés en quête d'équilibre. Les Trends-Tendances podcasts rassemblent tous les podcasts de Trends-Tendances et de Trends Z francophone. Les journalistes vous proposent différents podcasts sur les thèmes qui dominent notre monde et notre société. Sous différents angles et avec un accent clair sur l'économie et les entreprises, sur les affaires, les finances personnelles et les investissements. De manière indépendante, pertinente, toujours constructive et tournée vers l'avenir. Hosted by Simplecast, an AdsWizz company. See https://pcm.adswizz.com for information about our collection and use of personal data for advertising.
La vente de voitures à essence est en déclin par rapport aux électriques et la compagnie Menulog vient d'annoncer sa fermeture.
La vente de voitures à essence est en déclin par rapport aux électriques et la compagnie Menulog vient d'annoncer sa fermeture.
Natalité en baisse: un taux de 1,29 enfant par femme en Suisse Les brèves du jour Un nouveau gorille mâle intègre le Zoo de Bâle La domestication des fruits et des légumes 2/2
Pourquoi reellement la foi elle baisse ? Comment corriger cela ? Hello moi c ´est Ndioro je suis Soufi et je vous donne mon point de vue dessus
Avec : Jean-Philippe Doux, journaliste et libraire. Élise Goldfarb, entrepreneure. Et Benjamin Amar, professeur d'histoire-géographie. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Ecoutez RTL Matin avec Thomas Sotto du 10 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
M'écrire ? ➡️ Contactez-moi ici : Morning Mood : morningmood@xavierfenaux.comContact Pro : xavier.fenaux.pro@gmail.com
durée : 00:02:11 - Le brief éco - L'emploi privé a reculé pour le quatrième trimestre consécutif, avec 61 000 postes supprimés entre juillet et septembre 2025, notamment en raison de la baisse des contrats d'apprentissage. La réduction des aides publiques à l'embauche des apprentis freine la dynamique observée ces dernières années et pourrait continuer de décourager entreprises et jeunes. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Ce jeudi 6 novembre, Antoine Larigaudrie présente le tableau de bord dans l'émission Tout pour investir sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce jeudi 6 novembre, Antoine Larigaudrie a reçu Andréa Tueni, sales trader chez Saxo Banque, dans l'émission Tout pour investir sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce mercredi 5 novembre, Antoine Larigaudrie présente le tableau de bord dans l'émission Tout pour investir sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Baisse du prix de l'essence : « Un pas dans la bonne direction, mais ce n'est pas suffisant », estime Jayen Chellum by TOPFM MAURITIUS
“Nous tout ti p atanene baisse au moins Rs 5 » réplique Bhim Sunnassee face à la baisse du prix de l'essence de Rs 2.75 by TOPFM MAURITIUS
Tous les jours à 7H10 et 9H50 , on vous donne les bonnes nouvelles du jour.
Malgré la baisse des cours du brut, les géants du pétrole continuent à enregistrer des bénéfices. La forte augmentation des quotas de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés (Opep+) et l'anticipation d'un excédent d'offre ont pesé sur les cours. Et pourtant, TotalEnergies a vu son bénéfice net bondir de plus de 60 % au troisième trimestre, à 3,7 milliards de dollars. Comment le groupe français y est parvenu ? En augmentant les volumes. La production d'hydrocarbures du géant français a augmenté de plus de 4 %. Mais aussi en améliorant les marges grâce au raffinage en Europe. TotalEnergies est présent sur toute la chaîne de valeur du pétrole et du gaz, de l'extraction aux activités de raffinage. Si les cours mondiaux de l'or noir ont reculé entre juillet et septembre, les marges européennes sur le raffinage des carburants, elles, ont bondi de plus de 300 %. Et pour cause : l'embargo de l'Union européenne sur les importations de carburants issus du pétrole russe avait restreint l'offre au moment où la demande de diesel augmentait pendant la saison des départs en vacances. Les raffineries ont tourné à plein régime. Les dividendes distribués aux actionnaires Les marges ainsi engrangées permettent à TotalEnergies de choyer ses actionnaires. Et ce via le rachat d'actions qui permet d'accroître le bénéfice par action et soutenir le cours de l'entreprise en bourse. Après 2,3 milliards de dollars de rachats d'actions réalisés au troisième trimestre, un nouveau programme de rachat de titres jusqu'à 1,5 milliard de dollars a été annoncé par le groupe français fin septembre. Son concurrent britannique Shell a, lui aussi, annoncé de généreuses distributions à ses actionnaires, d'un montant nettement supérieur au français. C'est la production record au large des côtes brésiliennes qui a permis au groupe britannique d'augmenter ses bénéfices à 5,32 milliards de dollars. Bénéfices supérieurs aux attentes Pour ExxonMobil et Chevron, deux géants du secteur pétrolier aux États-Unis, des bénéfices supérieurs aux attentes grâce, une fois de plus, à une production record. Dans ce contexte, les pétroliers mettent un frein à leurs investissements. Selon le cabinet Wood Mackenzie, les investissements globaux des majors devraient reculer de 4 % en 2025, à un peu plus de 340 milliards de dollars. Moins d'investissements dans les énergies vertes Ce qui n'est pas sans conséquence pour la transition énergétique. C'est l'effet pervers de la baisse des cours du pétrole. Les grands groupes cherchent à préserver la rentabilité et la confiance des investisseurs aux dépens de leurs engagements en faveur des énergies renouvelables. Le groupe britannique BP, notamment, confirme avoir réduit de moitié ses financements bas-carbone. Cela inquiète les défenseurs du climat à une semaine de la COP30 qui s'ouvre au Brésil le 10 novembre prochain. 2024 a été une année la plus chaude jamais enregistrée depuis le début de l'ère industrielle.
Des Ondes Vocast, c'est le podcast qui parle de radio.- Dans cet épisode de Novembre, Olivier Oddou va faire tout d'abord le tour de l'actu radio avec notamment les salons radio à venir.- On parlera aussi de la baisse de 44% du FSER dans le projet de loi de finance du gouvernement, et pour cela Rémy Bertholon recevra Hugues de Vesins, Président de la radio CFM, qui nous rappellera les enjeux de ce financement essentiel pour les radios associatives et le lien qu'elles créent dans leurs territoires- Dans la deuxième partie interview de ce podcast, Rémy recevra Stéphanie Loire. Passée par la matinale de NRJ aux côtés de Manu Lévy et par celle de Chérie FM, avec des petits arrêts chez RTL et Europe 1, l'animatrice touche à tout a aussi visité les cases télé et podcast. Depuis 2 ans, elle a rejoint ses terres d'origines lyonnaises et a repris le drive de Radio Scoop, où elle y interviewe aussi des stars.Animation / réalisation : Olivier OddouIntervenants : Rémy BertholonInvités : Hugues de Vesins (Président de CFM) & Stéphanie Loire (Animatrice Journaliste sur Radio Scoop)Crédits musicaux : Rob - It's a blast (BO du film 'Radiostars'), jingles produits par Pure Jingles [https://purejingles.com/]Voix off : Estelle Hubert [https://estellehubert.com]ContactPar mail : contact@vocast.fr [https://www.vocast.fr/contact.html]X : @DesOndesVocast [https://x.com/DesOndesVocast]
Des Ondes Vocast, c'est le podcast qui parle de radio.- Dans cet épisode de Novembre, Olivier Oddou va faire tout d'abord le tour de l'actu radio avec notamment les salons radio à venir.- On parlera aussi de la baisse de 44% du FSER dans le projet de loi de finance du gouvernement, et pour cela Rémy Bertholon recevra Hugues de Vesins, Président de la radio CFM, qui nous rappellera les enjeux de ce financement essentiel pour les radios associatives et le lien qu'elles créent dans leurs territoires- Dans la deuxième partie interview de ce podcast, Rémy recevra Stéphanie Loire. Passée par la matinale de NRJ aux côtés de Manu Lévy et par celle de Chérie FM, avec des petits arrêts chez RTL et Europe 1, l'animatrice touche à tout a aussi visité les cases télé et podcast. Depuis 2 ans, elle a rejoint ses terres d'origines lyonnaises et a repris le drive de Radio Scoop, où elle y interviewe aussi des stars.Animation / réalisation : Olivier OddouIntervenants : Rémy BertholonInvités : Hugues de Vesins (Président de CFM) & Stéphanie Loire (Animatrice Journaliste sur Radio Scoop)Crédits musicaux : Rob - It's a blast (BO du film 'Radiostars'), jingles produits par Pure Jingles [https://purejingles.com/]Voix off : Estelle Hubert [https://estellehubert.com]ContactPar mail : contact@vocast.fr [https://www.vocast.fr/contact.html]X : @DesOndesVocast [https://x.com/DesOndesVocast]
Tous les jours à 7H10 et 9H50 , on vous donne les bonnes nouvelles du jour.
Écoutez la chroniqueuse économique Michèle Boisvert à ce sujet, au micro de Philippe Cantin.Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Des Ondes Vocast, c'est le podcast qui parle de radio.- Dans cet épisode de Novembre, Olivier Oddou va faire tout d'abord le tour de l'actu radio avec notamment les salons radio à venir.- On parlera aussi de la baisse de 44% du FSER dans le projet de loi de finance du gouvernement, et pour cela Rémy Bertholon recevra Hugues de Vesins, Président de la radio CFM, qui nous rappellera les enjeux de ce financement essentiel pour les radios associatives et le lien qu'elles créent dans leurs territoires- Dans la deuxième partie interview de ce podcast, Rémy recevra Stéphanie Loire. Passée par la matinale de NRJ aux côtés de Manu Lévy et par celle de Chérie FM, avec des petits arrêts chez RTL et Europe 1, l'animatrice touche à tout a aussi visité les cases télé et podcast. Depuis 2 ans, elle a rejoint ses terres d'origines lyonnaises et a repris le drive de Radio Scoop, où elle y interviewe aussi des stars.Animation / réalisation : Olivier OddouIntervenants : Rémy BertholonInvités : Hugues de Vesins (Président de CFM) & Stéphanie Loire (Animatrice Journaliste sur Radio Scoop)Crédits musicaux : Rob - It's a blast (BO du film 'Radiostars'), jingles produits par Pure JinglesVoix off : Estelle HubertContactPar mail : contact@vocast.frX : @DesOndesVocastHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Carburants - 2ème baisse sous l'Alliance du Changement : « Quand nous le pouvons, nous le faisons », affirme Michael Sik Yuen by TOPFM MAURITIUS
Avec : Pierre Rondeau, économiste. Yael Mellul, ancienne avocate. Et Frédéric Hermel, journaliste RMC. - Accompagnée d'Alfred Aurenche et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Dans cette édition :Témoignages glaçants de femmes victimes d'agressions, de menaces et d'attouchements dans les transports en commun, avec une augmentation de 15% des agressions sexuelles signalées en 2023.Perturbations massives du trafic ferroviaire suite à un acte de malveillance, avec l'incendie de câbles à Alixan, un problème récurrent de sabotages qui représentent 5 à 10% des incidents chaque année.Tentative d'intrusion de députés de la France Insoumise dans la prison de la Santé pour vérifier le traitement de faveur présumé de Nicolas Sarkozy, et garde à vue prolongée pour les cambrioleurs du Louvre.Commémoration des 10 ans des attentats de Paris et suivi des djihadistes libérés de prison.Baisse de moral et dépression saisonnière en hiver, avec des solutions comme la luminothérapie et l'activité physique en extérieur recommandées par les spécialistes.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Témoignages glaçants de femmes victimes d'agressions, de menaces et d'attouchements dans les transports en commun, avec une augmentation de 15% des agressions sexuelles signalées en 2023.Perturbations massives du trafic ferroviaire suite à un acte de malveillance, avec l'incendie de câbles à Alixan, un problème récurrent de sabotages qui représentent 5 à 10% des incidents chaque année.Tentative d'intrusion de députés de la France Insoumise dans la prison de la Santé pour vérifier le traitement de faveur présumé de Nicolas Sarkozy, et garde à vue prolongée pour les cambrioleurs du Louvre.Commémoration des 10 ans des attentats de Paris et suivi des djihadistes libérés de prison.Baisse de moral et dépression saisonnière en hiver, avec des solutions comme la luminothérapie et l'activité physique en extérieur recommandées par les spécialistes.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Amulette Podcast, le podcast qui met de la magie dans votre vie
Dans cet épisode, je te parle d'un portail très particulier : celui de mes 36 ans. Un passage initiatique qui m'a confrontée à mes vieux schémas, mes insécurités, et à une vérité que j'avais oubliée :
Ce lundi 20 octobre, Antoine Larigaudrie présente le tableau de bord dans l'émission Tout pour investir sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Volatilität, Verluste, Unsicherheit – in solchen Momenten zeigt sich, wer vorbereitet ist. Gemeinsam mit Clemens Faustenhammer spreche ich im CapTrader-Interview über mentale Stärke, klare Strategien und das Zusammenspiel von Emotion und Struktur. Wir erklären, warum eine Baisse keine Katastrophe sein muss, sondern eine Phase, in der disziplinierte Anleger langfristig profitieren. Ein Beitrag für alle, die Ruhe, Klarheit und Orientierung an der Börse suchen – gerade dann, wenn die Märkte mal wieder beben.
Il y a 4 ans, en 2021, près de 1 Français sur 2 (48%) déclarait avoir "très fortement" ou "assez fortement" envie de consommer. Désormais, à la même question, il y a moins de 1 Français sur 3 qui dit avoir envie de consommer : 31 %. Ecoutez Olivier Dauvers : les secrets de la conso du 07 octobre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Antoine Diers, consultant, Joëlle Dago-Serry, coach de vie, et Emmanuel de Villiers, entrepreneur, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Ce mardi 30 septembre, la question de la diminution de la charge fiscale sur le travail, ainsi que les opportunités offertes par la réduction des impôts, ont été abordées par Patrick Artus, économiste et conseiller économique de la société de gestion Ossiam, Ronan Le Moal, fondateur d'Epopée Gestion, fonds d'investissements régional, et Stéphane Carcillo, responsable de la division revenu/travail de l'OCDE, professeur associé à Sciences Po, dans l'émission Les Experts, présentée par Raphaël Legendre sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Si vous vous vous intéressez un temps soit peu à l'horlogerie, ou êtes plutôt curieux, vous avez surement déjà entendu des phrases comme : « Les listes d'attentes chez Rolex, c'est terminé », « aujourd'hui, les amateurs ne jurent que par les marques indépendantes à prix raisonnables » ou encore, « les grandes maisons de luxe se désintéressent du marché européen » Je ne sais pas à quel point vous vous en rendez compte, mais derrière ces phrases se cache une réalité bien plus forte : l'industrie horlogère traverse un moment de rupture. Baisse soudaine des ventes, explosion des prix, évolution du marketing de la rareté : En clair, c'est la perception même du luxe horloger qui est en train de changer de façon profonde dans l'esprit de beaucoup d'amateurs. Mais alors, peut-on aller jusqu'à dire que l'industrie horlogère telle qu'on la connait est en train de sombrer sous nos yeux ? Est-ce la fin d'un âge d'or post covid ?...ou simplement le début d'une profonde transformation ? Aujourd'hui, nous allons décrypter ensemble ce qui se passe vraiment dans le secteur horloger et que personne ne vous dit. Et n'hésitez pas à commenter et partager votre opinion sur ce qui est dit dans l'épisode. Bonne écoute ! Liens utiles : - Rejoignez Le Cercle, le canal WhatsApp où l'on parle de notre passion pour les montres en toute simplicité : https://chat.whatsapp.com/F96PntzE9C5... Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:05:58 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - Comment le Mexique a réussi à inverser la tendance, et à réduire la pauvreté ? En augmentant le SMIC et en créant de nouvelles protections sociales. Des changements qui ne profitent pas de la même façon à tous les Mexicains, la moitié d'entre eux travaillant dans l'économie informelle.