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Histoires politiques
De l'usage du terme "barbares" par Bruno Retailleau après les heurts sur les Champs-Élysées

Histoires politiques

Play Episode Listen Later Jun 2, 2025 2:49


durée : 00:02:49 - La politique avec - Bruno Retailleau est au cœur des critiques depuis la finale de la Ligue des champions et les violences qui ont suivi le match, 2 morts et plus de 500 interpellations, selon Beauvau.

Politique, le choix de la semaine
Les Républicains réfléchissent déjà à leur sortie du gouvernement

Politique, le choix de la semaine

Play Episode Listen Later Jun 1, 2025 2:33


Les fissures, déjà apparentes, entre Les Républicains et le reste du « socle commun » semblent se renforcer ces derniers jours, sur fond de critiques de l'action de François Bayrou. Les LR commencent à se poser sérieusement la question de leur participation au gouvernement.  La porte a été entrouverte par le nouveau président du parti lui-même. Lors de son premier bureau politique, l'instance réunissant les ténors des Républicains (LR) et convoqué cette semaine, Bruno Retailleau a déclaré : « Notre sortie du gouvernement, comme notre entrée, devra être décidée collégialement ». Rien de très précis, mais le sujet est désormais posé sur la table.Un participant au bureau politique l'a interprété ainsi, et pour lui, ce n'est pas une mauvaise nouvelle : « Ce n'est plus tenable pour LR de soutenir Bayrou ». Déjà peu enthousiastes à l'idée de participer à un gouvernement dirigé par celui qui, par deux fois, a appelé à voter contre Nicolas Sarkozy, les Républicains jugent très sévèrement les six premiers mois de François Bayrou à Matignon. « Il n'y a que des propositions de loi votées, aucun texte du gouvernement », critique un sénateur, un sourire en coin. « Il n'y a aucun cap, il semble tout découvrir ». Une députée, de son côté, déplore : « Son manque de courage me déprime. Il est incapable d'assurer la moindre cohésion ».« Cadenassé »Mais pourtant, cette participation au gouvernement a permis à LR de revenir sur le devant de la scène. Tous au parti en conviennent. Cependant, l'élection du président semble avoir ouvert une nouvelle phase, celle de la préparation à 2027. La liberté de ton accordée aux ministres a surtout permis à Bruno Retailleau de l'emporter triomphalement sur Laurent Wauquiez. « On aurait intérêt à ne pas trop tarder à partir maintenant », souffle un élu à la sortie du Bureau politique de mercredi. « Bruno a crevé l'écran, mais il aura du mal à avoir un bilan à Beauvau. Plus il reste, plus il se fait attaquer par le RN et plus il est cadenassé par Emmanuel Macron, comme sur l'Algérie », assure un LR bien informé.Le parti étudie déjà des motifs de rupture avec le gouvernement Bayrou. Sur la proportionnelle aux législatives, la formation de droite s'oppose fermement. Concernant le futur budget 2026, pour lequel le Premier ministre appelle « tous les Français à faire des efforts », LR refuse toute hausse d'impôts. Certains vont même jusqu'à pronostiquer une censure du gouvernement à l'automne.On perçoit, en tout cas, une forme d'accélération. Une réflexion s'engage sur une raison valable pour rompre avec le macronisme. D'autres questions restent à trancher : faut-il un candidat LR pour 2027 ? Si oui, qui ? Sinon, qui soutenir ?À lire aussiFrance: pour redresser les finances publiques, François Bayrou demande «un effort à tous les Français»

C dans l'air
Retailleau/Villepin : la guerre est déclarée! - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later May 22, 2025 63:29


C dans l'air du 22 mai 2025 : Retailleau/Villepin : la guerre est déclarée !Il est depuis dimanche le nouveau chef de la droite française. Avec près de 74 % des suffrages des adhérents, Bruno Retailleau a été élu à la présidence du parti Les Républicains. Une large victoire pour le ministre de l'Intérieur, face à son rival Laurent Wauquiez (25,7%) saluée ces dernières heures dans son camp. Néanmoins dans le concert de louanges, une voix détonne : celle de Dominique de Villepin. L'ancien Premier ministre de Jacques Chirac a fustigé sur Franceinfo "une dérive tragique dans l'évolution de ce parti politique que l'on appelait la droite républicaine, qui est en fait une droite réactionnaire, ultraconservatrice, identitaire, qui fait la course avec le Rassemblement national. Quand j'entends Bruno Retailleau sur bon nombre de sujets, j'ai du mal à faire la différence avec le RN". Malgré le nom de la formation aujourd'hui présidée par Bruno Retailleau, l'ex-ministre des Affaires étrangères affirme "ne pas voir beaucoup de République" dans les idées défendues. Et d'enfoncer le clou : "J'attends toujours les premiers résultats de Bruno Retailleau au ministère de l'Intérieur. Je vois beaucoup de rodomontades, de déclarations, de 20 heures, mais je ne vois pas de résultats (…) M. le ministre, au boulot ! Au boulot pour les Français ! La politique, ça ne se fait pas dans les antichambres. Ça ne se fait pas avec des doubles casquettes. Ça se fait à plein temps. Pas en amateur. Et là, nous sommes devant des amateurs" a affirmé Dominique de Villepin.Ancien dauphin de Philippe de Villiers, soutien de François Fillon à la présidentielle de 2017, le ministre de l'Intérieur multiplie depuis son arrivée place Beauvau, les sorties médiatiques et les phrases chocs. Sur l'État de droit qu'il juge ni "intangible ni sacré", l'immigration et la lutte contre la drogue, ses thèmes favoris, il ne renie rien de son passé villieriste et souverainiste, dénonçant "l'ensauvagement", un "chaos migratoire" ou un processus de "décivilisation"- concept emprunté au théoricien d'extrême droite Renaud Camus - qui serait, selon lui, à l'œuvre dans la société française. Et ces derniers jours il a fait fuiter un rapport classé secret-défense sur "l'entrisme" des Frères musulmans dans Le Figaro, avant un Conseil de défense. Ce qui lui a valu un rappel à l'ordre du président de la République. Agacé, Emmanuel Macron a retoqué hier ses premières propositions et lui a demandé d'en proposer d'autres, plus efficaces, lors d'un prochain Conseil de défense début juin. Qu'à cela ne tienne, dans une longue interview dans les colonnes du Parisien-Aujourd'hui France, Bruno Retailleau a avancé ses propositions contre l'islamisme et prévenu que les ministres LR quitteront le gouvernement "si leurs convictions ne sont plus respectées".Alors quelles sont les ambitions de Bruno Retailleau ? Inconnu du grand public il n'y a pas si longtemps, que sait-on de lui, de sa pensée, de son projet ? Quelle est son idéologie ? Son élection à la tête des LR marque-t-elle un tournant pour la droite française ? Et que contient le rapport sur l'entrisme des Frères musulmans ? LES EXPERTS :- Jérôme JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- Christophe BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-Tireur - Sylvie PIERRE-BROSSOLETTE - Éditorialiste au Point - Brice TEINTURIER - Directeur général délégué - Institut de sondages IpsosPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

Les histoires de 28 Minutes
Des chiens qui font du bien / Trump précipite-t-il la militarisation de l'espace ?

Les histoires de 28 Minutes

Play Episode Listen Later May 22, 2025 46:10


L'émission 28 minutes du 22/05/2025 Ils détectent le cancer et apaisent les soignants : des chiens qui font du bienIsabelle Fromentin est infirmière à l'unité plaies et cicatrisation de l'Institut Curie et docteure en sciences et ingénierie. Elle est une pionnière de l'inclusion des chiens dans les protocoles de soins : elle est à l'origine du projet KDOG, où leur flair permet de détecter le cancer du sein. Avec ses collègues, elle publie "Snoopy, un chien qui fait du bien" (aux éditions Solar), un récit dans lequel ils racontent l'adoption d'un chien d'assistance dans leur unité de soins. Chaque membre y raconte comment Snoopy "offre sa douceur" aux patients comme aux soignants. "Dôme d'or": Trump va-t-il précipiter le monde dans la militarisation de l'espace ?Mardi 20 mai, Donald Trump a esquissé les contours du projet "Dôme d'or". Calqué sur le "Dôme de fer" israélien, la version américaine ambitionne de protéger les États-Unis grâce à un maillage de satellites capables de détecter et de neutraliser tous types de missiles. Un système qui rappelle l'Initiative de défense stratégique de Ronald Reagan, un projet avorté qui avait participé à l'assèchement économique du rival soviétique dans les années 1980. La Maison Blanche a alloué la modique somme de 175 milliards de dollars au "Dôme d'or",pour une inauguration dès la fin de l'année 2026. L'annonce a fait bondir la Chine, qui dénonce un projet qui "porte atteinte à l'équilibre stratégique et à la stabilité mondiale", et a exhorté les États-Unis à "abandonner au plus vite" leur projet. S'il venait à entrer en service, quel serait l'impact stratégique du "Dôme d'or" ? Assiste-t-on au début de la militarisation de l'espace ? Enfin, Xavier Mauduit revient sur l'origine des Frères musulmans, confrérie au centre d'un rapport publié  mercredi 21 mai par la place Beauvau. Marie Bonnisseau nous emmène au Japon, où le ministre de l'Agriculture a quitté ses fonctions suite à une blague sur le riz que l'opinion publique a particulièrement mal digérée.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 22 mai 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio

RTL Matin
2 MINUTES POUR COMPRENDRE - Pourquoi les voyous s'intéressent à la cryptomonnaie

RTL Matin

Play Episode Listen Later May 16, 2025 2:24


RTL s'intéresse à la série d'enlèvements qui vise les entrepreneurs en cryptomonnaies et parfois même leurs proches. On compte déjà au moins 7 cas depuis l'an dernier, 6 depuis le 1er janvier. Le dernier épisode en date, mardi : une tentative d'enlèvement en plein Paris, de la fille et du petit-fils d'un pionnier du secteur. Des violences que le gouvernement prend très au sérieux. Les acteurs des cryptos sont reçus ce matin à Beauvau par Bruno Reteailleau pour travailleur à leur sécurité. Ecoutez 2 minutes pour comprendre avec Benjamin Hue du 16 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

RTL Matin
2 MINUTES POUR COMPRENDRE - Pourquoi les voyous s'intéressent à la cryptomonnaie

RTL Matin

Play Episode Listen Later May 16, 2025 2:24


RTL s'intéresse à la série d'enlèvements qui vise les entrepreneurs en cryptomonnaies et parfois même leurs proches. On compte déjà au moins 7 cas depuis l'an dernier, 6 depuis le 1er janvier. Le dernier épisode en date, mardi : une tentative d'enlèvement en plein Paris, de la fille et du petit-fils d'un pionnier du secteur. Des violences que le gouvernement prend très au sérieux. Les acteurs des cryptos sont reçus ce matin à Beauvau par Bruno Reteailleau pour travailleur à leur sécurité.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le journal RTL
2 MINUTES POUR COMPRENDRE - Pourquoi les voyous s'intéressent à la cryptomonnaie

Le journal RTL

Play Episode Listen Later May 16, 2025 2:24


RTL s'intéresse à la série d'enlèvements qui vise les entrepreneurs en cryptomonnaies et parfois même leurs proches. On compte déjà au moins 7 cas depuis l'an dernier, 6 depuis le 1er janvier. Le dernier épisode en date, mardi : une tentative d'enlèvement en plein Paris, de la fille et du petit-fils d'un pionnier du secteur. Des violences que le gouvernement prend très au sérieux. Les acteurs des cryptos sont reçus ce matin à Beauvau par Bruno Reteailleau pour travailleur à leur sécurité.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le journal RTL
2 MINUTES POUR COMPRENDRE - Pourquoi les voyous s'intéressent à la cryptomonnaie

Le journal RTL

Play Episode Listen Later May 16, 2025 2:24


RTL s'intéresse à la série d'enlèvements qui vise les entrepreneurs en cryptomonnaies et parfois même leurs proches. On compte déjà au moins 7 cas depuis l'an dernier, 6 depuis le 1er janvier. Le dernier épisode en date, mardi : une tentative d'enlèvement en plein Paris, de la fille et du petit-fils d'un pionnier du secteur. Des violences que le gouvernement prend très au sérieux. Les acteurs des cryptos sont reçus ce matin à Beauvau par Bruno Reteailleau pour travailleur à leur sécurité. Ecoutez 2 minutes pour comprendre avec Benjamin Hue du 16 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

RTL Soir
2 MINUTES POUR COMPRENDRE - Pourquoi les voyous s'intéressent à la cryptomonnaie

RTL Soir

Play Episode Listen Later May 16, 2025 2:24


RTL s'intéresse à la série d'enlèvements qui vise les entrepreneurs en cryptomonnaies et parfois même leurs proches. On compte déjà au moins 7 cas depuis l'an dernier, 6 depuis le 1er janvier. Le dernier épisode en date, mardi : une tentative d'enlèvement en plein Paris, de la fille et du petit-fils d'un pionnier du secteur. Des violences que le gouvernement prend très au sérieux. Les acteurs des cryptos sont reçus ce matin à Beauvau par Bruno Reteailleau pour travailleur à leur sécurité.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

RTL Soir
2 MINUTES POUR COMPRENDRE - Pourquoi les voyous s'intéressent à la cryptomonnaie

RTL Soir

Play Episode Listen Later May 16, 2025 2:24


RTL s'intéresse à la série d'enlèvements qui vise les entrepreneurs en cryptomonnaies et parfois même leurs proches. On compte déjà au moins 7 cas depuis l'an dernier, 6 depuis le 1er janvier. Le dernier épisode en date, mardi : une tentative d'enlèvement en plein Paris, de la fille et du petit-fils d'un pionnier du secteur. Des violences que le gouvernement prend très au sérieux. Les acteurs des cryptos sont reçus ce matin à Beauvau par Bruno Reteailleau pour travailleur à leur sécurité. Ecoutez 2 minutes pour comprendre avec Benjamin Hue du 16 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

RTL Midi
2 MINUTES POUR COMPRENDRE - Pourquoi les voyous s'intéressent à la cryptomonnaie

RTL Midi

Play Episode Listen Later May 16, 2025 2:24


RTL s'intéresse à la série d'enlèvements qui vise les entrepreneurs en cryptomonnaies et parfois même leurs proches. On compte déjà au moins 7 cas depuis l'an dernier, 6 depuis le 1er janvier. Le dernier épisode en date, mardi : une tentative d'enlèvement en plein Paris, de la fille et du petit-fils d'un pionnier du secteur. Des violences que le gouvernement prend très au sérieux. Les acteurs des cryptos sont reçus ce matin à Beauvau par Bruno Reteailleau pour travailleur à leur sécurité. Ecoutez 2 minutes pour comprendre avec Benjamin Hue du 16 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

RTL Midi
2 MINUTES POUR COMPRENDRE - Pourquoi les voyous s'intéressent à la cryptomonnaie

RTL Midi

Play Episode Listen Later May 16, 2025 2:24


RTL s'intéresse à la série d'enlèvements qui vise les entrepreneurs en cryptomonnaies et parfois même leurs proches. On compte déjà au moins 7 cas depuis l'an dernier, 6 depuis le 1er janvier. Le dernier épisode en date, mardi : une tentative d'enlèvement en plein Paris, de la fille et du petit-fils d'un pionnier du secteur. Des violences que le gouvernement prend très au sérieux. Les acteurs des cryptos sont reçus ce matin à Beauvau par Bruno Reteailleau pour travailleur à leur sécurité.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

France 2022 - RTL Matin
2 MINUTES POUR COMPRENDRE - Pourquoi les voyous s'intéressent à la cryptomonnaie

France 2022 - RTL Matin

Play Episode Listen Later May 16, 2025 2:24


RTL s'intéresse à la série d'enlèvements qui vise les entrepreneurs en cryptomonnaies et parfois même leurs proches. On compte déjà au moins 7 cas depuis l'an dernier, 6 depuis le 1er janvier. Le dernier épisode en date, mardi : une tentative d'enlèvement en plein Paris, de la fille et du petit-fils d'un pionnier du secteur. Des violences que le gouvernement prend très au sérieux. Les acteurs des cryptos sont reçus ce matin à Beauvau par Bruno Reteailleau pour travailleur à leur sécurité. Ecoutez 2 minutes pour comprendre avec Benjamin Hue du 16 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L'heure bleue
Mathieu Sapin dans les coulisses du ministère de l'Intérieur en BD : "La police est un service public "

L'heure bleue

Play Episode Listen Later May 6, 2025 46:58


durée : 00:46:58 - La 20e heure - par : Eva Bester - Le bédéiste Mathieu Sapin nous livre, dans sa dernière bande dessinée "À l'intérieur", une plongée dans l'univers de la place Beauvau. Inspiré par le journalisme "gonzo", il narre son expérience en tant qu'observateur embarqué dans les coulisses du ministère de l'Intérieur.

Le journal de la mi-journée - Fabienne Le Moal
«Bruno Retailleau, l'homme de Beauvau» : le ministre de l'Intérieur se dévoile dans un documentaire CNEWS

Le journal de la mi-journée - Fabienne Le Moal

Play Episode Listen Later May 6, 2025 9:00


Céline Géraud, accompagnée de la rédaction d'Europe 1, propose chaque midi un point complet sur l'actualité suivi de débats entre invités et auditeurs.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les vraies voix
Les Vraies Voix - La reconnaissance d'un état palestinien risque t-elle de profiter au Hamas ? / Six mois après son arrivée à Beauvau, le bilan de Retailleau est-il positif ?

Les vraies voix

Play Episode Listen Later Apr 10, 2025


Sujets : La reconnaissance d'un état palestinien risque t-elle de profiter au Hamas ? / Six mois après son arrivée à Beauvau, le bilan de Retailleau est-il positif ?

Politique, le choix de la semaine
Wauquiez vs Retailleau, vers une énième guerre fratricide chez les Républicains?

Politique, le choix de la semaine

Play Episode Listen Later Feb 16, 2025 3:16


Les Républicains vont-ils renouer avec leurs vieux démons ? Une bataille intense pour la présidence du parti se dessine entre Laurent Wauquiez et Bruno Retailleau, tous deux déclarés candidats cette semaine. L'enjeu est important, car le vainqueur sera bien placé pour la présidentielle de 2027. Le duel devrait être rude. Sans que l'on connaisse encore les modalités et la date du vote, la campagne a commencé dès mercredi et l'annonce de la candidature de Bruno Retailleau avec 24 heures d'avance sur son rival. Dans la foulée, l'entourage de Laurent Wauquiez fait savoir que le ministre de l'Intérieur prend « la lourde responsabilité d'ouvrir une guerre des chefs ». La campagne part sur des bases conflictuelles. Comme si cela était nécessaire, la rupture entre les deux hommes vient d'éclater au grand jour et se mue en une guerre des narratifs. Chez Wauquiez, tous assurent que Bruno Retailleau a rompu un pacte selon lequel le Vendéen devait rester au gouvernement et le Ponot prendre la tête du parti pour préparer 2027. Chez Retailleau, tous démentent l'existence d'un tel accord. Personne ne connaît la vérité, mais tout le monde a compris que le chef des députés LR pensait avoir une route dégagée pour prendre le parti, mais que son concurrent lui a coupé l'herbe sous le pied. À lire aussiFrance: Bruno Retailleau annonce sa candidature à la présidence du parti Les RépublicainsDes tergiversations coupablesDepuis l'été dernier et le psychodrame « Eric Ciotti » parti nouer une alliance avec le Rassemblement national, les Républicains n'ont toujours pas de chef. Maintes fois annoncé comme de retour aux affaires, Laurent Wauquiez n'a cependant jamais pris de décisions franches. Outre le lancement d'une opération « refondation de la droite », presque rien n'a été décidé : pas de dates de congrès, pas de grandes lignes politiques et surtout des refus répétés d'entrer au gouvernement. « Laurent est un cérébral, il réfléchit beaucoup, mais parfois trop », résume un ancien cadre du parti.Et pendant ce temps, même sans direction, LR reprend des couleurs. Et cela tient beaucoup à l'incarnation de Retailleau au ministère de l'Intérieur. « Il laisse une empreinte très forte dans la France de droite » se convainc un ministre. Bien que limité dans ses pouvoirs, le locataire de Beauvau est, en tout cas, le plus populaire du gouvernement et entre même dans la catégorie des personnalités politiques préférées des Français. À ces bons sondages s'ajoutent aussi de bons résultats pour LR dans des élections municipales et législatives partielles. Voyant Laurent Wauquiez tarder, Bruno Retailleau perçoit donc un alignement des planètes pour, à court terme, prendre le parti et à long terme, incarner la droite à la présidentielle 2027. Retailleau favori, mais Wauquiez combatifEn l'état, Bruno Retailleau semble favori. Il domine son principal concurrent et a déjà le soutien de poids lourds comme Xavier Bertrand et Gérard Larcher tandis que, « chez Wauquiez, ça se compte sur les doigts d'une main » estime un proche du Vendéen. Toutefois, plier le match d'emblée, ce serait mal connaître Laurent Wauquiez à la réputation « combative, voire teigneuse ». Se sachant dans un vrai match, il a déjà lancé quelques piques dans sa première interview de candidat au Figaro, dans laquelle il met en avant comme un atout « ne pas être lié à la solidarité gouvernementale » et ne rien devoir à François Bayrou. Une façon de dire que Bruno Retailleau ne pourra pas être un vrai patron dans la droite, tant dans l'action, faute de temps, que dans la parole, car il est redevable au gouvernement. Sans oublier que Laurent Wauquiez, président du groupe LR à l'Assemblée, peut aussi entraver l'action gouvernementale. Et puis, le Ponot dispose aussi d'un pouvoir dans l'ombre pour influencer le processus électoral. Son clan a déjà obtenu une victoire en imposant un délai de trois mois de campagne, avec des juristes en renfort. Bref, comme souvent lors des élections internes à droite, tout indique que l'on se dirige vers une guerre fratricide. À lire aussiFrance: Les Républicains cherchent à retrouver pied avant la nomination d'un président du parti

C dans l'air
Retailleau : le coup de force - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Feb 12, 2025 63:11


C dans l'air du 12 février 2025 - Retailleau : le coup de forceCe matin, au micro de France Inter, il avait esquivé la question. Finalement c'est par un courrier adressé aux militants que Bruno Retailleau a officialisé, ce mercredi, sa candidature à la présidence du parti Les Républicains. Porté par les sondages où il a bondi depuis son arrivée à Beauvau en septembre dernier, le ministre de l'Intérieur ne cache plus ses ambitions et donne un coup d'accélérateur à sa campagne avant un bureau politique crucial prévu lundi prochain pour fixer la date du Congrès. Mais cette candidature pourrait relancer une "guerre des chefs" à droite.Lors d'un dîner en tête-à-tête il y a une semaine à Beauvau, le patron des députés LR lui aurait rappelé leur "accord" sur la distribution des rôles. "A toi d'incarner la droite au gouvernement, à moi de reconstruire notre famille politique", l'aurait mis en garde le patron des députés LR qui envisage également de se lancer dans la course pour 2027, avec l'intention lui aussi d'utiliser la présidence du parti LR comme tremplin pour la présidentielle. Et ses proches ce mercredi montent au créneau pour accuser Bruno Retailleau de prendre la "lourde responsabilité d'ouvrir une guerre des chefs"."Voter ce n'est pas diviser", s'était défendu sur France Inter ce matin Bruno Retailleau, estimant que sa candidature à la tête de LR il y a un peu plus de deux ans contre Eric Ciotti n'avait pas provoqué de guerre des chefs. Il avait alors obtenu 46,3 % des voix face au député des Alpes-Maritimes, qui a quitté depuis ses fonctions à la tête du parti après avoir fait alliance en juin avec le Rassemblement national aux législatives, laissant le poste vacant.Ancien dauphin de Philippe de Villiers, soutien de François Fillon à la présidentielle de 2017, Bruno Retailleau multiplie depuis son arrivée place Beauvau, les sorties médiatiques et les phrases chocs. Sur l'Etat de droit qu'il juge ni "intangible ni sacré", l'immigration et la lutte contre la drogue, ses thèmes favoris, il ne renie rien de son passé villieriste et souverainiste, dénonçant "l'ensauvagement", un "chaos migratoire" ou un processus de "décivilisation"- concept emprunté au théoricien d'extrême droite Renaud Camus - qui serait, selon lui, à l'œuvre dans la société française. Tacticien, homme d'appareil et communicant aguerri, l'ancien sénateur de Vendée s'est désormais lancé officiellement dans la bataille et défend l'idée de "refonder un grand parti de droite qui accepte de s'élargir". Mais jusqu'où ? Quel est le projet politique de Bruno Retailleau ? Qui pour succéder à Éric Ciotti à la tête des LR ? Si ces questions agitent les LR, l'idée d'une primaire à droite et au centre pour la prochaine présidentielle a également été relancée cette semaine par Gérald Darmanin alors que Marine Le Pen retrouvait samedi dernier des dizaines de dirigeants des partis d'extrême droite européens à Madrid, pour le premier sommet du nouveau groupe les Patriotes pour l'Europe. Ce mouvement, créé au Parlement européen en juillet 2024 autour du parti du Premier ministre hongrois, Viktor Orban, et du Rassemblement national (RN), réunissant 86 eurodéputés, ce qui en fait la troisième force à Strasbourg, a choisi pour slogan : "Make Europe great again" ("rendons sa grandeur à l'Europe"), en référence au "Make America great again" (MAGA) de Donald Trump. C'est dans ce contexte qu'a été publiée, ce mardi, l'édition 2025 du baromètre de la confiance politique du Cevipof illustrant l'érosion très importante du crédit qu'accordent les Français à leurs responsables politiques. Ainsi 7 Français sur 10 interrogés déclarent ne pas avoir confiance dans la politique. Ils sont tout aussi nombreux à penser le personnel politique corrompu. Conséquence ou pas d'un sentiment de manque de visibilité, 73 % des sondés disent souhaiter avoir "un vrai chef en France pour remettre de l'ordre". Les experts :- Cécile CORNUDET - Éditorialiste politique - Les Echos - Pascal PERRINEAU - Politologue - Professeur associé au Cevipof- Nathalie SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions- Brice TEINTURIER - Directeur général délégué - Institut de sondages Ipsos

Le Média
Retailleau, ballon d'or du mytho : la VAR politique a tranché !

Le Média

Play Episode Listen Later Feb 3, 2025 25:52


Les politiques aiment jurer qu'ils disent toujours la vérité… tout en dénonçant les mensonges des autres. Mais qui, entre Bruno Retailleau et Donald Trump, détient le record de fake news à la seconde ? Dans ce nouvel épisode de La VAR Politique, Nabil Touati passe au crible les déclarations du ministre de l'Intérieur et du leader républicain américain. Retailleau, l'ultra-droitisation assumée Depuis qu'il est place Beauvau, Bruno Retailleau surjoue la fermeté et multiplie les provocations. Dernière en date : sa proposition de statistiques ethniques en France, mais sans politique de discrimination positive. Une manière habile d'alimenter un buzz politique qui profite à son positionnement en vue de 2027. Trump et la post-vérité Aux États-Unis, Donald Trump a franchi un cap dans l'art du mensonge politique, à tel point que le Washington Post a comptabilisé plus de 30 000 déclarations fausses ou trompeuses lors de son premier mandat. En 2025, il persiste et s'attaque même aux journalistes qui le fact-checkent en direct. La politique du “ressenti” contre les faits Retailleau, Trump, mais aussi Sarkozy, Hollande ou Macron… chacun a sa technique pour jouer avec la vérité. Entre sondages d'opinion opposés aux études académiques, et chiffres tronqués pour justifier des politiques publiques, détails sur un festival de la démagogie ! ▶ Soutenez Le Média :

Par Jupiter !
Darmanin et Retailleau bientôt Pacsés

Par Jupiter !

Play Episode Listen Later Jan 30, 2025 3:17


durée : 00:03:17 - Charline explose les faits - par : Charline Vanhoenacker - D'après « Le Point », Gérald Darmanin ne loge pas au ministère de la Justice, il s'est installé dans un logement à Beauvau, au ministère de l'Intérieur. Vous vous rendez compte de la portée cette information ? Darmanin et Retailleau vivent en coloc' !

Le Billet de Charline
Darmanin et Retailleau bientôt Pacsés

Le Billet de Charline

Play Episode Listen Later Jan 30, 2025 3:17


durée : 00:03:17 - Charline explose les faits - par : Charline Vanhoenacker - D'après « Le Point », Gérald Darmanin ne loge pas au ministère de la Justice, il s'est installé dans un logement à Beauvau, au ministère de l'Intérieur. Vous vous rendez compte de la portée cette information ? Darmanin et Retailleau vivent en coloc' !

Crime story
[1/2] Sarkozy, Suzy et « mon gros loup »... L'incroyable chantage du « groupe AZF »

Crime story

Play Episode Listen Later Jan 25, 2025 12:16


(Premier épisode) À partir du mois de décembre 2003, de mystérieux maîtres chanteurs jouent avec les nerfs du ministère de l'Intérieur.Dans des courriers anonymes à la fois inquiétants et déroutants, adressés alors à Nicolas Sarkozy, un groupe baptisé « AZF » menace de poser des bombes sur les voies de la SNCF. Ces terroristes revendiqués réclament plusieurs millions de dollars et de francs sous peine de provoquer un drame ferroviaire. Après la découverte d'un engin explosif à l'endroit indiqué par les malfaiteurs, les policiers se disent qu'ils ont affaire à des personnes déterminées.Alors que l'information n'a pas fuité dans la presse, la place Beauvau tente de négocier en toute discrétion, en communiquant avec le groupe par petites annonces interposées dans le journal Libération.Dans Crime story, la journaliste Clawdia Prolongeau raconte cette enquête avec Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Raphaël Pueyo, Thibault Lambert, Clara-Garnier Amouroux - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : Audio Network - Archives : INA.Documentation. Cet épisode de Crime story a été préparé en puisant dans les archives du Parisien, avec l'aide de nos documentalistes. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Crime story
[2/2] Sarkozy, Suzy et « mon gros loup »... L'incroyable chantage du « groupe AZF »

Crime story

Play Episode Listen Later Jan 25, 2025 20:09


(Deuxième et dernier épisode) À partir du mois de décembre 2003, de mystérieux maîtres chanteurs jouent avec les nerfs du ministère de l'Intérieur.Dans des courriers anonymes à la fois inquiétants et déroutants, adressés alors à Nicolas Sarkozy, un groupe baptisé « AZF » menace de poser des bombes sur les voies de la SNCF. Ces terroristes revendiqués réclament plusieurs millions de dollars et de francs sous peine de provoquer un drame ferroviaire. Après la découverte d'un engin explosif à l'endroit indiqué par les malfaiteurs, les policiers se disent qu'ils ont affaire à des personnes déterminées.Alors que l'information n'a pas fuité dans la presse, la place Beauvau tente de négocier en toute discrétion, en communiquant avec le groupe par petites annonces interposées dans le journal Libération.Dans Crime story, la journaliste Clawdia Prolongeau raconte cette enquête avec Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Raphaël Pueyo, Thibault Lambert, Clara-Garnier Amouroux - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : Audio Network - Archives : INA.Documentation. Cet épisode de Crime story a été préparé en puisant dans les archives du Parisien, avec l'aide de nos documentalistes. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

C dans l'air
Paris/ Alger : les "influenceurs"... et la crise - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Jan 23, 2025 64:59


C dans l'air du 23 janvier 2025 - Paris/ Alger : les "influenceurs"... et la criseEn pleines tensions entre la France et l'Algérie, le ministre de l'Intérieur continue d'occuper le terrain. Monté en première ligne depuis plusieurs semaines sur le dossier, Bruno Retailleau a ainsi annoncé mercredi sur X l'arrestation d'un nouvel influenceur algérien qui "appelait à commettre des actes violents sur le territoire français sur TikTok". Dans la foulée, Beauvau a précisé que cette nouvelle interpellation a eu lieu dans le XIIIe arrondissement de Paris, avant de se faire recadrer par le parquet de Paris. "À ce stade, rien n'est retenu contre la personne concernée, qui doit en outre suivre des soins. Elle n'est à cette heure pas en garde à vue", a expliqué le ministère public qui pris soin de rappeler à Bruno Retailleau que "seule l'autorité judiciaire est légitime à communiquer sur une affaire judiciaire en cours, et qu'une personne qui n'est pas jugée est présumée innocente", dénonçant une "fuite prématurée".Dans son message, Bruno Retailleau avait appelé à "ne rien laisser passer". Une formule qu'il avait déjà employée le 16 janvier dernier, après l'annonce de l'arrestation d'un autre influenceur algérien : Mahdi B. Ce dernier avait été interpellé trois jours plus tôt, après un signalement à la plateforme Pharos. Le ministre disait là aussi que Mahdi B "vantait, en langue arabe, de vouloir commettre des actions violentes sur le sol français". Depuis, l'influenceur a été condamné à huit mois de prison et écroué. Au total, dans un contexte de fortes tensions entre Paris et Alger, notamment autour des dossiers du Sahara occidental et de l'incarcération de l'écrivain Boualem Sansal, au moins sept influenceurs algériens font désormais l'objet de signalements pour des appels à la haine sur TikTok. Parmi eux, le parcours de "Doualemn" - Boualem N. de son vrai nom - a été particulièrement médiatisé. Interpellé le 5 janvier à Montpellier, après que le maire de la ville et le préfet de l'Hérault ont signalé à la justice la publication sur TikTok d'une de ses vidéos, dans laquelle il appelait à la violence contre un manifestant algérien anti-régime, cet agent d'entretien de 59, père de deux enfants, avait été expulsé le 9 janvier en Algérie, où il a été refusé. De retour en France le soir même, placé en centre de rétention administrative (CRA), il doit être jugé le 24 février pour "provocation publique à commettre un crime". Bruno Retailleau avait affirmé qu'en le renvoyant vers Paris, l'Algérie avait cherché à "humilier la France". De son côté, l'Algérie avait rejeté les accusations françaises "d'escalade" et "d'humiliation", en invoquant une "campagne de désinformation" contre Alger. Depuis le ministre de l'Intérieur a multiplié les déclarations dans les médias. Cette semaine il a accordé un long entretien à L'Express dans lequel il plaide pour dépassionner la relation, tout en défendant aussitôt "puisque la manière douce n'a pas suffi", la remise en cause de l'accord franco-algérien de 68, relatif aux conditions d'entrée en France des ressortissants algériens, qu'il estime "datés et déséquilibrés", la fin des facilités de voyage pour les dignitaires et de l'accord pour les soins en France. Dans le même entretien, Bruno Retailleau est revenu sur la question coloniale, estimant que "nous devons retrouver un regard équilibré sur cette période". "La colonisation, c'est bien sûr des pages sombres qu'il faut dénoncer, et nous l'avons fait. Il y a eu aussi, je le dis, des apports et des liens qui se sont créés" a-t-il affirmé. Jugeant inadmissible la façon "de plus en plus agressive" dont l'Algérie traite notre pays, le ministre de l'Intérieur a révélé "n'avoir aucun interlocuteur institutionnel" en Algérie et n'avoir pas consulté les autorités algériennes avant de placer dans l'avion l'influenceur Doualem.Une interview qui a soulevé des interrogations et des critiques de la part des "ex" de la diplomatie française. Gérard Araud, ancien ambassadeur de la France aux Etats-Unis et en Israël, a tancé des "postures de matamore" étriquées : "Qu'il se taise ! Je sais qu'il satisfait ainsi une partie de son électorat mais qu'il pense à l'intérêt national. Ce n'est pas ainsi qu'on fait de la politique étrangère". L'ancien Premier ministre et ancien ministre des Affaires étrangères Dominique de Villepin a critiqué de son côté la "surenchère" du ministre de l'Intérieur sur l'Algérie et l'a invité à ne pas céder à "la tentation du règlement de comptes" car "ce n'est jamais dans l'escalade qu'on règle les crises". "Il y a un malentendu depuis le départ du ministre de l'Intérieur qui veut régler des questions qui ne se règlent que par la diplomatie" a-t-il tranché."Chacun est libre d'exprimer ses opinions ou de formuler des propositions. Mais c'est bien au Quai d'Orsay et sous l'autorité du président de la République que se forge la politique étrangère de la France", a de son côté affirmé lundi sur RMC-BFMTV le ministre des Affaires étrangères. Jean-Noël Barrot s'est également dit prêt à se rendre à Alger, estimant que "ni la France ni l'Algérie n'avaient intérêt à ce que s'installe une tension durable" entre elles. Le ministre des Armées, Sébastien Lecornu, a également appelé mardi sur France Inter à "refonder la relation" actuellement très tendue entre l'Algérie et la France, en regrettant "les dérives actuelles du gouvernement algérien". Il a par ailleurs exprimé "la compassion, l'empathie et le soutien" de la France envers l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal, incarcéré depuis la mi-novembre en Algérie pour atteinte à la sûreté de l'Etat. Ce jeudi le Parlement européen a adopté une résolution exigeant la libération immédiate de l'auteur franco-algérien âgé de 75 ans. Alors quelle relation avec l'Algérie ? Pourquoi cette montée des tensions entre Paris et Alger ? Que sait-on de l'arrestation de Boualem Sansal et de ses conditions de détention ?Les experts :- HASNI ABIDI - Politologue - Directeur du CERMAM, Centre d'Études et de Recherche sur le Monde Arabe et Méditerranéen- ANTHONY BELLANGER - Éditorialiste - France Info TV , spécialiste des questions internationales- AUDREY GOUTARD - Grand reporter - France Télévisions, spécialiste des faits de société- RACHEL BINHAS - Journaliste au service société - Marianne PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

Le brief politique
Le garde des Sceaux Gérald Darmanin réemménage au ministère de l'Intérieur

Le brief politique

Play Episode Listen Later Jan 13, 2025 2:15


durée : 00:02:15 - Le brief politique - L'ancien locataire de la place Beauvau est revenu vivre entre les murs de son ancien ministère avec sa famille. Même si d'autres membres du gouvernement y sont logés fréquemment, le symbole dérange.

Revue de presse Afrique
À la Une: Emmanuel Macron et Nicolas Sarkozy…

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Jan 7, 2025 4:11


Beaucoup de commentaires ce mardi matin dans la presse du continent après les propos tenus hier par le président français lors de la conférence des ambassadeurs. Des commentaires également sur l'ouverture du procès de Nicolas Sarkozy sur le financement supposé par la Libye de sa campagne présidentielle de 2007.On commence par Emmanuel Macron. « Le président français a déploré hier, rapporte WalfQuotidien à Dakar, l'attitude des pays africains qui ont rompu leur coopération militaire avec Paris en la qualifiant d'ingrate. “Je crois qu'on a oublié de nous dire merci“, a affirmé Emmanuel Macron. » Toujours selon lui, poursuit le quotidien sénégalais, « la présence militaire française sur le continent a permis de sécuriser les pays sahéliens et d'empêcher l'avancée du terrorisme dans la région. “Aucun d'entre eux ne serait souverain si l'armée française ne s'était pas déployée dans cette région“, a-t-il déclaré. »« Papa Macron »Réplique cinglante du Premier ministre sénégalais, Ousmane Sonko, rapporte le journal. Pour lui, c'est « la France qui est à l'origine de la déstabilisation de certains pays africains. » Ousmane Sonko cite la Libye : « Paris était au premier plan dans la chute du régime de Kadhafi, qui a conduit à la propagation des groupes djihadistes et de l'insécurité au Sahel. »Et puis, le Premier ministre sénégalais a eu également cette petite phrase : « si les soldats africains, quelquefois mobilisés de force, maltraités et finalement trahis, ne s'étaient pas déployés lors de la Seconde guerre mondiale pour défendre la France, celle-ci serait, peut être aujourd'hui encore allemande. »Le site panafricaniste Afrik.com ne ménage pas non plus ses critiques envers le président français, avec ce titre, « Papa Macron sermonne une Afrique qui dit non » : Afrik.com estime que le président français a adopté hier « un ton paternaliste malvenu » et a fait preuve d'une « mauvaise foi qui a atteint son paroxysme lorsqu'il a affirmé que la France était partie “à cause des coups d'État“. Cette déclaration, estime Afril.com, occulte délibérément les échecs de la politique française dans la région l'inefficacité de la lutte anti-terroriste, et surtout, la volonté populaire de voir partir les troupes françaises. En qualifiant de “panafricanisme de bon aloi“ les revendications légitimes d'indépendance, Macron révèle son mépris pour les aspirations africaines à une véritable souveraineté. »Ce que la France a semé…Certes, reconnait pour sa part Le Pays au Burkina Faso, « n'est-ce pas la France qui, en 2013, avait été appelée à la rescousse lorsque les djihadistes déferlaient sur Bamako ? N'est-ce pas aussi la France qui avait volé au secours du régime de feu Idriss Deby Itno lorsque les rebelles étaient aux portes de Ndjamena ? Oui, on le sait, admet encore le journal, la France, indéniablement a répondu présente là où certains de ses alliés avaient besoin d'elle. C'est, somme toute compréhensible qu'elle se plaigne d'être récompensée en monnaie de singe. Sauf que, tempère Le Pays, faut-il le rappeler, elle n'est pas exempte de tout reproche. Car, pendant longtemps, elle a fait la pluie et le beau temps dans ses colonies, allant parfois, dans le meilleur des cas, jusqu'à dicter leur conduite à certains dirigeants africains, et dans le pire des cas, à fomenter des coups contre ceux qui n'obtempéraient pas. En un mot comme en mille, conclut le quotidien burkinabé, il n'est pas exagéré de dire que la France récolte ce qu'elle a semé. Elle est aujourd'hui victime de ses propres turpitudes. »Sarkozy et le fantôme de Kadhafi…A la Une également, Nicolas Sarkozy face aux juges, dans l'affaire du financement libyen présumé de sa campagne électorale de 2007…Pour Aujourd'hui à Ouagadougou, « la balance penche du côté de ceux qui croient que Sarkozy a trempé le doigt dans la confiture. Le film de sa relation avec Kadhafi depuis la place Beauvau, son déplacement en Libye, les allers-retours de l'intermédiaire Ziad Takieddine, le séjour de Kadhafi à Paris le 10 décembre 2007 à l'occasion d'un Kadhafi Tour… Tout cela milite en défaveur de Sarkozy. »« Le bal des valises : Sarkozy et la valse des millions libyens », titre ironiquement Le Journal du Niger à Niamey. « Cette nouvelle épopée judiciaire risque de résonner comme une cacophonie supplémentaire aux oreilles des Français, estime le quotidien nigérien, dont la confiance en la classe politique est déjà aussi fragile qu'une corde de violon usée. Chaque rebondissement de ce procès, prévu pour durer trois mois, est attendu avec une curiosité mêlée d'exaspération, dans un contexte dans lequel la transparence politique est un refrain souvent chanté, mais rarement entendu. »

Revue de presse Afrique
À la Une: Emmanuel Macron et Nicolas Sarkozy…

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Jan 7, 2025 4:11


Beaucoup de commentaires ce mardi matin dans la presse du continent après les propos tenus hier par le président français lors de la conférence des ambassadeurs. Des commentaires également sur l'ouverture du procès de Nicolas Sarkozy sur le financement supposé par la Libye de sa campagne présidentielle de 2007.On commence par Emmanuel Macron. « Le président français a déploré hier, rapporte WalfQuotidien à Dakar, l'attitude des pays africains qui ont rompu leur coopération militaire avec Paris en la qualifiant d'ingrate. “Je crois qu'on a oublié de nous dire merci“, a affirmé Emmanuel Macron. » Toujours selon lui, poursuit le quotidien sénégalais, « la présence militaire française sur le continent a permis de sécuriser les pays sahéliens et d'empêcher l'avancée du terrorisme dans la région. “Aucun d'entre eux ne serait souverain si l'armée française ne s'était pas déployée dans cette région“, a-t-il déclaré. »« Papa Macron »Réplique cinglante du Premier ministre sénégalais, Ousmane Sonko, rapporte le journal. Pour lui, c'est « la France qui est à l'origine de la déstabilisation de certains pays africains. » Ousmane Sonko cite la Libye : « Paris était au premier plan dans la chute du régime de Kadhafi, qui a conduit à la propagation des groupes djihadistes et de l'insécurité au Sahel. »Et puis, le Premier ministre sénégalais a eu également cette petite phrase : « si les soldats africains, quelquefois mobilisés de force, maltraités et finalement trahis, ne s'étaient pas déployés lors de la Seconde guerre mondiale pour défendre la France, celle-ci serait, peut être aujourd'hui encore allemande. »Le site panafricaniste Afrik.com ne ménage pas non plus ses critiques envers le président français, avec ce titre, « Papa Macron sermonne une Afrique qui dit non » : Afrik.com estime que le président français a adopté hier « un ton paternaliste malvenu » et a fait preuve d'une « mauvaise foi qui a atteint son paroxysme lorsqu'il a affirmé que la France était partie “à cause des coups d'État“. Cette déclaration, estime Afril.com, occulte délibérément les échecs de la politique française dans la région l'inefficacité de la lutte anti-terroriste, et surtout, la volonté populaire de voir partir les troupes françaises. En qualifiant de “panafricanisme de bon aloi“ les revendications légitimes d'indépendance, Macron révèle son mépris pour les aspirations africaines à une véritable souveraineté. »Ce que la France a semé…Certes, reconnait pour sa part Le Pays au Burkina Faso, « n'est-ce pas la France qui, en 2013, avait été appelée à la rescousse lorsque les djihadistes déferlaient sur Bamako ? N'est-ce pas aussi la France qui avait volé au secours du régime de feu Idriss Deby Itno lorsque les rebelles étaient aux portes de Ndjamena ? Oui, on le sait, admet encore le journal, la France, indéniablement a répondu présente là où certains de ses alliés avaient besoin d'elle. C'est, somme toute compréhensible qu'elle se plaigne d'être récompensée en monnaie de singe. Sauf que, tempère Le Pays, faut-il le rappeler, elle n'est pas exempte de tout reproche. Car, pendant longtemps, elle a fait la pluie et le beau temps dans ses colonies, allant parfois, dans le meilleur des cas, jusqu'à dicter leur conduite à certains dirigeants africains, et dans le pire des cas, à fomenter des coups contre ceux qui n'obtempéraient pas. En un mot comme en mille, conclut le quotidien burkinabé, il n'est pas exagéré de dire que la France récolte ce qu'elle a semé. Elle est aujourd'hui victime de ses propres turpitudes. »Sarkozy et le fantôme de Kadhafi…A la Une également, Nicolas Sarkozy face aux juges, dans l'affaire du financement libyen présumé de sa campagne électorale de 2007…Pour Aujourd'hui à Ouagadougou, « la balance penche du côté de ceux qui croient que Sarkozy a trempé le doigt dans la confiture. Le film de sa relation avec Kadhafi depuis la place Beauvau, son déplacement en Libye, les allers-retours de l'intermédiaire Ziad Takieddine, le séjour de Kadhafi à Paris le 10 décembre 2007 à l'occasion d'un Kadhafi Tour… Tout cela milite en défaveur de Sarkozy. »« Le bal des valises : Sarkozy et la valse des millions libyens », titre ironiquement Le Journal du Niger à Niamey. « Cette nouvelle épopée judiciaire risque de résonner comme une cacophonie supplémentaire aux oreilles des Français, estime le quotidien nigérien, dont la confiance en la classe politique est déjà aussi fragile qu'une corde de violon usée. Chaque rebondissement de ce procès, prévu pour durer trois mois, est attendu avec une curiosité mêlée d'exaspération, dans un contexte dans lequel la transparence politique est un refrain souvent chanté, mais rarement entendu. »

Le brief politique
Avant le prochain remaniement, le ministre de l'Intérieur démissionnaire Bruno Retailleau reste omniprésent

Le brief politique

Play Episode Listen Later Dec 16, 2024 2:39


durée : 00:02:39 - Le brief politique - Le nouveau Premier ministre François Bayrou consulte ce lundi et mardi les forces politiques pour tenter de dégager une majorité avant de constituer son gouvernement. Bruno Retailleau en fera-t-il partie ? Actualité oblige, le locataire de Beauvau est sur tous les fronts.

La Question du jour
François Bayrou doit-il garder Bruno Retailleau au ministère de l'Intérieur ?

La Question du jour

Play Episode Listen Later Dec 15, 2024 12:12


À pied d'œuvre après le passage du cyclone Chido, le ministre devrait rester à Beauvau, mais sa loi immigration doit être reportée.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

La Question du jour
François Bayrou doit-il garder Bruno Retailleau au ministère de l'Intérieur ?

La Question du jour

Play Episode Listen Later Dec 15, 2024 12:12


À pied d'œuvre après le passage du cyclone Chido, le ministre devrait rester à Beauvau, mais sa loi immigration doit être reportée.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

C dans l'air
Barnier : le compte à rebours est lancé - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Nov 30, 2024 68:30


C dans l'air du 30 novembre - Barnier : le compte à rebours est lancéLa tension monte à Matignon. Menacé de censure par le Rassemblement national, Michel Barnier multiplie les concessions politiques. Le Premier ministre a annoncé qu'il n'allait pas augmenter les taxes sur l'électricité, comme prévu initialement dans le projet de budget 2025. Selon lui cette concession entraînera une "baisse des prix de l'électricité de 14 %, qui ira donc bien au-delà de la baisse de 9 % prévue initialement". La présidente du RN à l'Assemblée nationale avait fait de ce sujet la ligne rouge à ne pas dépasser. "C'est un début prometteur", a réagi son entourage auprès du journal Les Échos. Mais cela sera-t-il suffisant pour éviter la censure ? Jeudi, à quelques jours du retour du projet de loi de financement de la sécurité sociale à l'Assemblée, le RN a listé ses exigences : le maintien des allégements de charges pour les TPE-PME, l'indexation des pensions sur l'inflation pour tous les retraités au 1er janvier ainsi que la fin du déremboursement des médicaments.À l'opposé de l'hémicycle, les Insoumis se sont fait prendre à leur propre jeu. Lors de leur niche parlementaire ce jeudi, ils avaient prévu de faire voter un texte pour l'abrogation de la réforme des retraites. Mais La droite et les macronistes ont déposé plus de 1000 amendements pour obstruer les débats : "Ils veulent faire vivre le débat, on va faire vivre le débat", avait ironisé le député LR de la Manche Philippe Gosselin. Trois mois après la nomination de Michel Barnier par Emmanuel Macron, l'Assemblée nationale est plus clivée et chaotique que jamais, en témoigne l'altercation qui a éclaté jeudi entre plusieurs députés. Face à ce sentiment de blocage politique, les regards sont de plus en plus tournés vers le chef de l'État : en cas de censure du gouvernement, ils sont plusieurs, de Jean-Luc Mélenchon à Jean-François Copé en passant par Charles de Courcon à suggérer qu'Emmanuel Macron démissionne.Si la panique est palpable à Matignon, à Beauvau, Bruno Retailleau trace son chemin. Le très droitier ministre de l'Intérieur multiplie les déplacements sur les thèmes du narcotrafic et de la lutte contre l'immigration clandestine, comme à Calais ce vendredi. En deux mois, ce catholique conservateur, ancien disciple de Philippe de Villiers, bras droit de François Fillon et proche de Patrick Stefanini, a réussi à imprimer sa marque au ministère de l'Intérieur. Quitte à froisser l'Élysée en choisissant ses propres chefs de la police et de la gendarmerie, au détriment des suggestions de son prédécesseur. L'ancien président du groupe LR au Sénat a aussi multiplié les déclarations chocs en interview, expliquant sur LCI que "l'immigration n'est pas une chance". Malgré les vifs débats et revers (Aide médicale d'État), autour de la dernière loi immigration, Bruno Retailleau envisage déjà un nouveau texte pour 2025, afin d'y remettre les amendements censurés par le Conseil d'État. Il avait d'ailleurs prévenu dans un entretien au JDD : "l'État de droit n'est pas intangible ni sacré".En attendant de voir à quoi ressemblera l'Assemblée dans les prochaines semaines, les députés continuent d'arpenter leurs circonscriptions pour recueillir les impressions de leurs électeurs. Chez LFI et le RN, la plupart souhaite tourner la page Michel Barnier. Selon un sondage Toluna Harris Interactive pour LCI, c'est aussi le cas de plus d'un Français sur deux (53%). Une équipe de C dans l'air a suivi un député RN de l'Eure et une autre LFI en Seine-Saint-Denis pour observer leur travail de terrain.Michel Barnier peut-il encore éviter la censure ? Bruno Retailleau peut-il être un candidat à sa succession ? Et comment les députés d'opposition préparent déjà l'après ?Les experts : - Carl MEEUS - Rédacteur en chef - Le Figaro Magazine- Alix BOUILHAGUET - Éditorialiste politique - France Télévisions- Myriam ENCAOUA - Journaliste-Présentatrice- LCP- Christelle BERTRAND - Journaliste politique Groupe La Dépêche, auteure de "La Macronie"PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

C dans l'air
Narcotrafic, violences... la guerre est déclarée

C dans l'air

Play Episode Listen Later Nov 11, 2024 64:14


C dans l'air du 11 novembre - Narcotrafic, violences... la guerre est déclaréeUn tandem contre le narcotrafic. Les ministres de l'Intérieur et de la Justice, Bruno Retailleau et Didier Migaud, se sont rendus vendredi à Marseille pour dévoiler leur plan de lutte contre le trafic de drogue et rencontrer des familles de victime. Le phénomène prend de l'ampleur dans l'hexagone et a déjà fait 42 morts au premier semestre 2024. Il y a quelques semaines Bruno Retailleau avait mis en garde contre le risque de "mexicanisation" de la France. Le message était le même vendredi à Marseille : "Nous avons atteint un point de bascule", a ainsi lancé le Garde des sceaux, tandis que son collègue de Beauvau évoque une "menace existentielle contre nos institutions". Didier Migaud souhaite renforcer de 40 % les équipes du parquet de Paris travaillant sur la lutte contre la criminalité organisée au niveau national, ou encore étendre le champ des cours d'assises spéciales composées uniquement de magistrats professionnels. De son côté, Bruno Retailleau veut s'appuyer sur la proposition de loi transpartisane déposée cet été, notamment pour appliquer au narcotrafic les mêmes "techniques d'enquête" que celles utilisées en matière de lutte contre le terrorisme.Dans le rapport qu'ils avaient publié en mai dernier, les deux sénateurs à l'origine de la commission d'enquête parlementaire sur le narcotrafic avaient rappelé que le phénomène dépassait largement le cadre des grandes métropoles et s'était étendu aux villes moyennes, voire à la France rurale. En juillet, un vaste réseau de trafiquants a notamment été jugé dans la petite ville de Charleville-Mézières (50 000 habitants), dans les Ardennes. "Il est urgent d'agir contre le trafic de drogue", a déclaré le mois dernier le maire LR Boris Ravignon, qui souhaite des opérations place nette dans sa commune. Les syndicats de police du département dénoncent également le manque d'effectifs accordés aux commissariats de la région.Si la France travaille principalement sur le volet répressif, d'autres pays ont choisi de dépénaliser voire de légaliser la vente de cannabis. En 2023, les Pays-Bas ont lancé une expérimentation dans dix villes où la production et la vente de cannabis sont désormais légales, et encadrées par l'État. Cette décision visait à combler un vide juridique concernant les coffee-shops qui vendaient depuis des décennies du cannabis issu de réseaux criminels, avec la tolérance des autorités. Les experts veulent aussi voir si ce changement législatif peut réduire l'influence du narcotrafic dans un pays où la drogue arrive en quantité astronomique via les grands ports de Rotterdam et Amsterdam, et où la distribution est notamment contrôlée par l'ultra-violente mocro-mafia. Au Canada, cela fait déjà six ans que la production et vente de cannabis est légale, mais certaines provinces ont récemment choisi de tempérer leur politique.Comment le gouvernement veut-il améliorer la lutte contre le narcotrafic ? Pourquoi les villes moyennes sont-elles désormais touchées par le phénomène ? La France peut-elle s'inspirer de ses voisins européens concernant la dépénalisation du cannabis ?Les experts :- Clotilde CHAMPEYRACHE - Économiste-criminologue au CNAM, auteure de "Géopolitique des mafias"- Frédéric PLOQUIN - Journaliste spécialiste du grand banditisme, auteur de "Confessions d'un patriote corse. Des services secrets au FLNC"- Audrey GOUTARD - Grand reporter, spécialiste des faits de société à France Télévisions- Violette LAZARD - Journaliste d'investigation - Le Nouvel ObsPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

C dans l'air
Gouvernement Barnier : 1ère motion de censure - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Oct 8, 2024 64:03


C dans l'air du 8 octobre - M.BARNIER : PREMIERE MOTION DE CENSURE"Je sais que je suis dans la main du Parlement. S'il y a conjonction de la gauche et du Rassemblement national [sur une motion de censure], je quitterai mon poste", a rappelé le Premier ministre dans un entretien à La Tribune Dimanche du 6 octobre. Ce mardi après-midi, une semaine après la déclaration de politique générale de Michel Barnier, les députés vont examiner la première motion de censure contre son gouvernement, déposée par le Nouveau Front Populaire et visant à mettre fin à ce qui représente, selon la coalition de gauche, "une négation du résultat des dernières élections législatives". Il s'agit d'un "gouvernement tournant le dos au Front populaire mais surtout au Front républicain, et au vote des électeurs", a expliqué le socialiste Olivier Faure, qui montera, aux alentours de 16h30, à la tribune du Palais Bourbon pour défendre la motion. Mais le Premier secrétaire du PS le reconnait lui-même. Il est "vraisemblable" que cette motion échoue, "le RN a décidé de soutenir sans participer à ce gouvernement". Ce vote, en tout cas, sera "l'occasion de dire qui est dans l'opposition et qui ne l'est pas" a-t-il estimé.Michel Barnier devrait en effet sans trop de difficultés survivre à cette première motion de censure contre son gouvernement, la 35e du second quinquennat d'Emmanuel Macron. Car même si les 192 députés signataires du NFP votaient pour, avec certains indépendants de Liot, la barre des 289 voix semble inatteignable sans celles des 141 députés de l'alliance RN-Ciotti. Or les élus d'extrême droite n'ont pas l'intention de renverser le gouvernement à ce stade. "On a choisi de ne pas verser dans le chaos, de ne pas censurer immédiatement Michel Barnier pour lui donner la possibilité de développer un projet (...) si ça ne nous convient pas on censurera", a fait valoir lundi sur RMC le président-délégué du groupe Sébastien Chenu.Alors qu'est-ce qu'une motion de censure ? Quels sont les enjeux derrière le texte déposé par la gauche ? Enfin à quoi peut aboutir la réunion de crise organiser ce mardi au ministère de l'Intérieur ? Bruno Retailleau a réuni ce mardi matin, 21 préfets place Beauvau pour une réunion de travail sur l'immigration. Avec l'objectif d'améliorer le nombre d'exécutions d'obligations de quitter le territoire français (OQTF), dont le taux d'exécution demeure très faible (moins de 10 %). Mais dans nombre de cas, Paris peine à obtenir un "laissez-passer consulaire", délivré par le pays d'origine de la personne expulsée. Les experts :- JÉRÔME JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- NATHALIE SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions- NATHALIE MAURET - Journaliste politique - Groupe de presse régionale Ebra- SOAZIG QUÉMÉNER - Rédactrice en chef - La Tribune Dimanche PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

C dans l'air
M.Barnier : "la crise financière est devant nous" - L'intégrale

C dans l'air

Play Episode Listen Later Oct 4, 2024 63:58


C dans l'air du 4 octobre - M.Barnier : l'alerte à la "crise financière""Cela va être très dur" a prévenu hier soir le Premier ministre dans l'émission L'Evènement sur France 2. "Dans l'effort que nous allons faire pour réduire la dette, 60 milliards (d'euros), il y aura deux tiers de réduction des dépenses publiques" et un tiers de recettes fiscales a expliqué Michel Barnier. Mais "il n'y aura pas de choc fiscal" a-t-il affirmé. Seules "les 300 entreprises" qui font plus "d'un milliard d'euros de chiffre d'affaires" et "les 65 000 foyers" fiscaux les plus riches paieront plus temporairement.C'est, en revanche, sur les économies, 40 milliards d'euros, que "ça va être très dur". Avec des services publics en première ligne : "On va fusionner des services publics. On va sans doute ne pas remplacer tous les fonctionnaires quand ils ne sont pas en contact direct avec les citoyens, tous les fonctionnaires qui partent en retraite", a-t-il affirmé.Une pilule amère pour les syndicats qui l'avaient rencontré dans l'après-midi. "C'est de la pure démagogie de penser que seuls les fonctionnaires qui seraient en contact direct avec les usagers seraient utiles" a dénoncé le secrétaire général de la FSU ajoutant : "L'argument qui consiste à dire que la France serait suradministrée est démagogique, il est faux". "Je pense que les prochaines semaines vont être tendues", a assuré, de son côté, Mylène Jacquot de la CFDT fonction publique.Parmi les autres pistes évoquées ces derniers jours par Matignon et Bercy figurent le report de six mois de l'indexation des pensions des retraites sur l'inflation, qui n'interviendrait pas le 1er janvier mais le 1er juillet l'an prochain. Le gouvernement compte également limiter à 2,8 % la progression de l'Ondam (objectif national des dépenses d'assurance maladie), après une hausse de 3,2 % en 2024. L'exécutif prévoit aussi 6 milliards d'euros de coupes budgétaires sur les collectivités locales qui sont épinglées dans leur dernier rapport par la Cour des comptes. Dans ce document, les magistrats proposent notamment de supprimer progressivement 100 000 emplois dans les collectivités locales, sur les deux millions d'agents publics qui y travaillent, pour économiser 4,1 milliards d'euros par an.Pour l'heure, le Premier ministre n'a pas précisé comment celles-ci allaient participer à la réduction du déficit public mais il avait affirmé dans son discours de politique générale vouloir un "nouveau contrat de responsabilité" avec elles. Il avait également indiqué vouloir encourager "les expérimentations telles que les Territoires zéro chômeur de longue durée qui donnent des résultats".Enfin sur l'immigration, "c'est moi qui fixe la ligne" a déclaré hier soir Michel Barnier après les propos de son ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau. "Il y aura des mesures rigoureuses pour (la) maîtriser" a-t-il ajouté se défendant de négocier avec Marine Le Pen. La leader du parti d'extrême droite avait salué ces derniers jours l'"envolées lyriques sur le rétablissement de l'ordre" du nouveau locataire de la place Beauvau et des propositions qui "ne sont pas sans me rappeler un certain programme présidentiel". A la suite du discours de politique générale, la cheffe des députés RN - qui est jugée depuis le 30 septembre et pour deux mois dans l'affaire dite des assistants parlementaires européens du FN - avait confirmé qu'elle n'entendait pas censurer a priori le Premier ministre, tout en conditionnant ce soutien à trois exigences.Alors 40 milliards d'économies, 20 milliards de recettes fiscales, que prévoit le gouvernement Barnier ? Quelles conséquences sur les services publics ? Qu'est-ce que les territoires zéro chômeur de longue durée ? Enfin quels sont les enjeux du procès des assistants parlementaires européens du Front national (devenu le RN) ? Que reproche la justice au parti et à Marine Le Pen ?Les experts :- NICOLAS BOUZOU - Économiste – Directeur fondateur du cabinet de conseil Asterès- CÉCILE CORNUDET - Éditorialiste politique - Les Echos - JEFF WITTENBERG - Journaliste politique - France Télévisions- ANNE DE GUIGNÉ- Grand reporter Le Figaro Economie PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

Le Média
Gouvernement Barnier : révélations sur le grand bordel qui a commencé | Nils Wilcke

Le Média

Play Episode Listen Later Sep 30, 2024 31:24


Nouvel épisode de l'émission “Les Indiscrets” de Nils Wilcke, une plongée dans les coulisses de la politique française telle qu'on la raconte peu, c'est-à-dire sans fards ni éléments de langage. Au sommaire : A peine nommé, le Premier ministre Michel Barnier ne tient plus du tout sa classe… C'est le chaos au sein et en dehors du Conseil des ministres. Pourquoi ne parvient-il pas à imposer à ses ministres ses consignes de modestie, contre la culture de l'esbroufe et de la communication tous azimuts ? Comment expliquer qu'il ait déjà été obligé de procéder à trois recadrages en quelques jours ? Et si Gabriel Attal ou un autre, faisait souffler un vent d'insubordination dans le nouvel attelage gouvernemental ? Dernières nouvelles de la Macronie entre les malheurs de Prisca Thévenot face à la montée en puissance de Maud Bregeon, la rébellion anti-RN surjouée d'Antoine Armand et de Agnès Pannier-Runacher… Qui est vraiment Bruno Retailleau, dont la présence place Beauvau, au ministère de l'Intérieur, inspire à Nils cette expression, tirée d'un vieux film français : “Peur sur la ville”. Et dernier sujet : que se passe-t-il donc entre Macron et son opposante de choix, Marine Le Pen ? Complicité ou jeu de dupes ?

Face à  Duhamel
Face à Duhamel: Julien Aubert - Mort de Philippine : l'État est-il coupable ? – 26/09

Face à Duhamel

Play Episode Listen Later Sep 26, 2024 18:48


Confronté à son premier dossier depuis son arrivée place Beauvau samedi, Bruno Retailleau veut marquer les esprits. Le ministre de l'Intérieur a pris position trois jours après la découverte du corps de Philippine, une jeune femme de 19 ans enterrée dans le bois de Boulogne à Paris. Pourra-t-il changer les choses ? Faut-il blâmer l'État dans cette affaire ? Ce jeudi 26 septembre 2024, Alain Duhamel, éditorialiste à BFMTV, a débattu avec Julien Aubert, vice-président des Républicains, ancien député, dans l'émission BFM Story présentée par Olivier Truchot et Alain Marschall sur BFMTV.

Face à  Duhamel
Face à Duhamel: Julien Aubert - Mort de Philippine : l'État est-il coupable ? – 26/09

Face à Duhamel

Play Episode Listen Later Sep 26, 2024 18:48


Confronté à son premier dossier depuis son arrivée place Beauvau samedi, Bruno Retailleau veut marquer les esprits. Le ministre de l'Intérieur a pris position trois jours après la découverte du corps de Philippine, une jeune femme de 19 ans enterrée dans le bois de Boulogne à Paris. Pourra-t-il changer les choses ? Faut-il blâmer l'État dans cette affaire ? Ce jeudi 26 septembre 2024, Alain Duhamel, éditorialiste à BFMTV, a débattu avec Julien Aubert, vice-président des Républicains, ancien député, dans l'émission BFM Story présentée par Olivier Truchot et Alain Marschall sur BFMTV.

L'info en intégrale - Europe 1
Nouveau gouvernement : «Naturaliser au compte-goutte, mais expulser le maximum», assume Bruno Retailleau

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Sep 24, 2024 1:03


Première visite de terrain ce dimanche soir pour Bruno Retailleau. Le nouveau ministre de l'Intérieur a rendu visite à des policiers récemment blessés en intervention à La Courneuve. Quelques heures après une passation des pouvoirs où il a répété à trois reprises vouloir "rétablir l'ordre", le locataire de la place Beauvau s'est montré à l'offensive.

Le journal - Europe 1
Nouveau gouvernement : «Naturaliser au compte-goutte, mais expulser le maximum», assume Bruno Retailleau

Le journal - Europe 1

Play Episode Listen Later Sep 24, 2024 1:03


Première visite de terrain ce dimanche soir pour Bruno Retailleau. Le nouveau ministre de l'Intérieur a rendu visite à des policiers récemment blessés en intervention à La Courneuve. Quelques heures après une passation des pouvoirs où il a répété à trois reprises vouloir "rétablir l'ordre", le locataire de la place Beauvau s'est montré à l'offensive.

L'info en intégrale - Europe 1
Bras de fer en vue entre Beauvau et Bercy pour le versement des «primes JO» aux policiers avant la fin de l'année

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Sep 12, 2024 1:00


Le gouvernement sera nommé la semaine prochaine. Pour la place Beauvau, plusieurs noms circulent, mais le prochain ministre de l'Intérieur va devoir non seulement être ferme sur la sécurité, c'est ce qu'attendent les policiers, mais aussi d'honorer les engagements pris par Gérald Darmanin, notamment le versement des primes JO aux policiers.

Le journal - Europe 1
Bras de fer en vue entre Beauvau et Bercy pour le versement des «primes JO» aux policiers avant la fin de l'année

Le journal - Europe 1

Play Episode Listen Later Sep 12, 2024 1:00


Le gouvernement sera nommé la semaine prochaine. Pour la place Beauvau, plusieurs noms circulent, mais le prochain ministre de l'Intérieur va devoir non seulement être ferme sur la sécurité, c'est ce qu'attendent les policiers, mais aussi d'honorer les engagements pris par Gérald Darmanin, notamment le versement des primes JO aux policiers.

Les podcasts de l'ISP
Le palais de l'Elysée

Les podcasts de l'ISP

Play Episode Listen Later Aug 21, 2024 35:39


Situé au 55 de la rue du Faubourg Saint-Honoré, dans le 8e arrondissement de Paris, le Palais de l'Elysée est le lieu emblématique du pouvoir politique français, symbolisant aujourd'hui la prééminence institutionnelle du Président de la République. Pourtant, son histoire n'est pas seulement liée à la Cinquième République, mais bien à celle de la République française et de ses régimes politiques antérieurs Comme nombre de palais de la République, l'Elysée a été bâti au XVIIIe siècle et est devenu une demeure princière, avant d'accueillir le premier président de la République, Louis-Napoléon Bonaparte, en 1848. Le Palais de l'Elysée a ouvert ses portes au public pour la première fois le 14 juillet 1977, à l'initiative de Valéry Giscard d'Estaing, puis régulièrement chaque année depuis 1990, dans le cadre des Journées du patrimoine. Nous poursuivons – et achevons – notre tour des lieux de pouvoir en France, après les podcasts consacrés à la place Beauvau, à la place Vendôme et à l'hôtel Matignon. L'architecture de ces lieux s'inscrit en effet pleinement dans l'histoire de France et de ses institutions. J'ai le plaisir une nouvelle fois d'accueillir Benoît Quennedey, professeur de culture général et de droit public à la Prépa ISP pour nous raconter l'histoire du palais de l'Elysée .

Les podcasts de l'ISP
La place Vendôme

Les podcasts de l'ISP

Play Episode Listen Later May 6, 2024 35:29


En 1718, un arrêt du Conseil d'Etat a attribué l'hôtel de Bourvallais, sur la place Vendôme, au chancelier de France. François d'Aguesseau est alors le premier chancelier à s'installer dans l'hôtel particulier qui porte le nom d'un de ses anciens propriétaires. Depuis plus de trois siècles, le ministère de la Justice en France y a ainsi son siège, consacrant pleinement l'usage de l'expression "place Vendôme" pour désigner l'un des plus anciens ministères régaliens. Après la présentation de la place Beauvau dans un précédent podcast, nous poursuivons ainsi notre présentation des lieux de pouvoir, en montrant comment l'hôtel de Bourvallais s'inscrit dans l'histoire du ministère de la justice. Pour en parler aujourd'hui, je reçois aujourd'hui Benoît Quennedey, enseignant de culture générale et de droit public à la Prépa ISP. Bonjour Benoît Quennedey.

RTL Matin
POMPIERS - 3 questions à Éric Brocardi, porte-parole de la Fédération nationale des sapeurs-pompiers

RTL Matin

Play Episode Listen Later Apr 24, 2024 5:33


Le métier de pompier est de plus en plus à risque et a beaucoup évolué : désertification médicale et conséquences du dérèglement climatique seront au cœur du Beauvau de la sécurité civile qui s'est ouvert hier à Paris. Pour en parler, Éric Brocardi, porte-parole de la Fédération nationale des sapeurs-pompiers. Ecoutez Les trois questions de RTL Petit Matin avec Jérôme Florin et Marina Giraudeau du 24 avril 2024

L'invité de RTL
POMPIERS - 3 questions à Éric Brocardi, porte-parole de la Fédération nationale des sapeurs-pompiers

L'invité de RTL

Play Episode Listen Later Apr 24, 2024 5:33


Le métier de pompier est de plus en plus à risque et a beaucoup évolué : désertification médicale et conséquences du dérèglement climatique seront au cœur du Beauvau de la sécurité civile qui s'est ouvert hier à Paris. Pour en parler, Éric Brocardi, porte-parole de la Fédération nationale des sapeurs-pompiers. Ecoutez Les trois questions de RTL Petit Matin avec Jérôme Florin et Marina Giraudeau du 24 avril 2024

L'info en intégrale - Europe 1
Opérations «Place nette» : les doutes des policiers sur la stratégie de Beauvau

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Mar 28, 2024 1:01


Plus d'une semaine après le lancement de l'opération anti-drogue "Place nette XXL" par Emmanuel Macron, celle-ci se poursuit dans plusieurs villes de France. Alors que Gérald Darmanin a annoncé plus de 800 interpellations depuis le début de l'opération, ces chiffres sont en revanche parfois biaisés. Une stratégie qui fait douter un certain nombre de policiers.

Le journal de 18h00
La Réunion se barricade avant le passage du cyclone Belal

Le journal de 18h00

Play Episode Listen Later Jan 14, 2024 10:04


durée : 00:10:04 - Journal de 18h - Avec des vagues pouvant atteindre quinze mètres de haut et des vents de 200 à 250 km/h, le cyclone Belal qui va balayer l'île dans les prochaines heures pourrait s'avérer dévastateur et "historique" d'après le préfet de La Réunion. Le Premier ministre convoque une cellule de crise place Beauvau.

Les journaux de France Culture
La Réunion se barricade avant le passage du cyclone Belal

Les journaux de France Culture

Play Episode Listen Later Jan 14, 2024 10:04


durée : 00:10:04 - Journal de 18h - Avec des vagues pouvant atteindre quinze mètres de haut et des vents de 200 à 250 km/h, le cyclone Belal qui va balayer l'île dans les prochaines heures pourrait s'avérer dévastateur et "historique" d'après le préfet de La Réunion. Le Premier ministre convoque une cellule de crise place Beauvau.

Par Jupiter !
Gérald Darmanin : le parrain de Beauvau

Par Jupiter !

Play Episode Listen Later Dec 17, 2023 3:37


durée : 00:03:37 - La chronique de Djamil le Shlag - par : Djamil le Shlag - Deux mois qu'on n'avait pas revu Djamil dans l'émission ! Il nous parle du premier flic de France, Gérald Darmanin, et du mal qui ronge nos élus. D'ailleurs, il aurait une solution pour soigner ces derniers...

C dans l'air
La 1ère partie - Alertes à la bombe, affaire Benzema...psychose en France - 19/10/23

C dans l'air

Play Episode Listen Later Oct 19, 2023 56:18


C dans l'air du 19 octobre 2023 : Terrorisme : quelle est la menace ? Emotion et recueillement ce matin à Arras où un dernier hommage a été rendu au professeur de français, Dominique Bernard, poignardé à mort vendredi dernier devant son collège-lycée par un ancien élève radicalisé. Les obsèques de cet enseignant de 57 ans, marié et père de trois filles, ont eu lieu dans la cathédrale d'Arras en présence du chef de l'Etat, de son épouse et du ministre de l'Education nationale. A l'extérieur des centaines d'habitants, des parents d'élèves et anciens élèves étaient présents pour suivre la cérémonie retransmise sur la place des Héros de la ville, meurtrie par cette attaque terroriste qui a suscité, trois ans après l'assassinat du professeur d'histoire-géographie Samuel Paty, une nouvelle onde de choc dans tout le pays. Depuis l'attaque, la France est passée en alerte urgence attentat, le niveau le plus élevé du plan Vigipirate, et les évacuations se multiplient dans tout le pays. Au Château de Versailles aujourd'hui pour la quatrième fois en une semaine, c'était une fausse alerte comme dans les établissements scolaires, les gares et la plupart grands aéroports français, temporairement évacués à cause de menaces ou de colis suspects ces dernières quarante-huit heures. "Les auteurs de ces fausses menaces seront retrouvés et punis" a prévenu le ministre de la Justice. Le ministre délégué aux Transports a de son côté annoncé "un renforcement de la sécurité dans les transports publics" et une accélération des embauches initialement prévues pour les Jeux olympiques alors que l'inquiétude grandit dans le pays. Selon un dernier sondage mené par l'institut Elabe pour BFMTV, publié mercredi, 84 % des Français se disent inquiets face à la menace terroriste, dont 33 % très inquiets. Plus de quatre Français sur dix affirment qu'ils vont "changer leurs comportements" face à la menace. Une inquiétude que l'on trouve particulièrement au sein de la communauté juive de France alors que près de 189 actes antisémites ont été recensés sur le territoire français depuis l'attaque d'Israël par le Hamas a affirmé Gérald Darmanin samedi dernier. Hier, lors des questions d'actualité au gouvernement du Sénat, le ministre de l'Intérieur a rappelé "que la menace terroriste, singulièrement la menace islamiste, est extrêmement importante". "Il y a 43 attentats islamistes déjoués, 1 tous les mois et demi. 1 500 personnes interpellées qui ont un lien direct avec de l'apologie du terrorisme, des préparations d'attentats depuis 5 ans. 6 500 personnes par an que nous mettons sous techniques de renseignements", a indiqué Gérald Darmanin. En ce qui concerne, le traitement des étrangers menaçant l'ordre public, 489 sont encore sur le territoire national "dont plus de la moitié est en prison". "L'autre moitié est soit en centre de rétention administratif, soit assignés à résidence, soit en contentieux juridique et j'espère que la loi immigration nous permettra d'aller plus vite, plus fort et plus ferme", a-t-il détaillé. Mais c'est une autre phrase prononcée par le locataire de la place Beauvau qui enflamme depuis lundi les réseaux sociaux. Invité de CNews, Gérald Darmanin a assuré que le joueur de football, Karim Benzema, est "en lien notoire avec les Frères musulmans". Ce que le Ballon d'or a vigoureusement démenti mercredi par la voix de son avocat qui évoque le dépôt éventuel d'une plainte contre M. Darmanin pour diffamation ou injure publique. Où en est l'enquête sur l'attaque d'Arras ? Quel est l'état de la menace terroriste en France ? Et qui sont les Frères musulmans ? LES EXPERTS : - Damien DELSENY - Rédacteur en chef adjoint en charge du service Police-Justice au Parisien. - Alix BOUILHAGUET - Éditorialiste politique à France Télévisions - Eve ROGER - Journaliste, spécialiste des questions de société et d'éducation - DRISS AïT YOUSSEF - Docteur en droit public et spécialiste des questions de sécurité DIFFUSION : du lundi au samedi à 17h45 FORMAT : 65 minutes PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40 PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe Thiéfine RÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît Lemoine PRODUCTION : France Télévisions / Maximal Productions Retrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux : INTERNET : francetv.fr FACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5 TWITTER : https://twitter.com/cdanslair INSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/