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100th Prime Minister of France

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edouard philippe

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Politique, le choix de la semaine
Edouard Philippe - Horizons : friture sur la ligne

Politique, le choix de la semaine

Play Episode Listen Later Oct 26, 2025 2:42


L'ancien Premier ministre Edouard Philippe a les yeux rivés sur la prochaine élection présidentielle et  ses proches s'interrogent sur sa stratégie. D'ailleurs ces dernières semaines il y avait comme un parfum de cacophonie au sein du parti Horizons ? Tout d'abord, les faits. Début octobre en pleine crise politique, le fondateur d'Horizons demandait à Emmanuel Macron d'organiser une « élection présidentielle anticipée », seulement après l'adoption d'un budget, car une « démission immédiate et brutale aurait un impact terrible ». La formation des gouvernements Lecornu 1 et 2 arrive et la ligne du parti est la suivante : un soutien, mais sans participation. Mais quelques jours plus tard, le premier gouvernement Lecornu est annoncé et trois ministres Horizons sont nommées. Scénario identique pour Lecornu 2 : Naïma Moutchou, Charlotte Parmentier-Lecoq et Anne le Hénanff sont bien présentes. Au sein du parti, ça commence à tanguer. L'ancien Premier ministre aurait finalement donné son accord pour leur entrée, mais sans en avertir le Bureau politique. Le parti se défend en expliquant que c'est à titre personnel que les trois ministres Horizons ont accepté. Pour un proche d'Edouard Philippe, « le Premier ministre Sébastien Lecornu aurait offert des portefeuilles que les trois concernées ne pouvaient pas refuser avec des sujets qui leur tenaient à cœur ». Puis vient l'étape de la censure et, cette fois, c'est Christelle Morançais vice-présidente du parti et présidente de la région Pays de La Loire qui, dans une initiative personnelle, se prononce en faveur de la censure d'un gouvernement « qui brade l'avenir des français sur l'autel d'intérêts partisans ». Les députés Horizons quant à eux n'ont pas envisagé un seul instant de voter cette censure et ont très mal accueilli l'idée. Quelle est la stratégie d'Edouard Philippe et de son parti ? Pour le moment, elle est assez illisible. Soldat loyal et « droit dans ses bottes » comme il aime le dire, cette crise politique a marqué un tournant pour l'ancien Premier ministre mais aussi pour son parti. Pour la première fois, des désaccords se sont faits jour au sein même du groupe à l'Assemblée. Il faut ajouter à cela la suspension de la réforme des retraites par Sébastien Lecornu qui a encore plus accentué les tensions au sein du parti d'Edouard Philippe. Il y a un an déjà, en septembre 2024, en pleine instabilité politique alors même que la France n'avait pas de Premier ministre, le maire du Havre faisait preuve d'un sens du timing hors du commun en annonçant sa candidature pour la présidentielle 2027. Le Havrais cultive le credo « loyal mais libre » mais cette fois il largue les amarres et se démarque bien de la Macronie et acte la rupture. À lire aussiÀ quoi joue Édouard Philippe? Est-ce que ça porte ses fruits ? Pour le moment pas vraiment. Dans un sondage publié il y a quelques jours, l'ancien Premier ministre est en recul face au Rassemblement national qui s'impose. Il souffre de la fragilisation du bloc central, mais aussi du manque de clarté de la ligne de son parti. Pour les sondeurs, Edouard Philippe paie aussi sans doute sa stratégie d'être parti très tôt dans la course pour 2027.

Le Nouvel Esprit Public
Qu'attendent les Français des hommes politiques ?

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later Oct 19, 2025 63:11


Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 17 octobre 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste, ancien président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.Antoine Foucher, consultant, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Lucile Schmid, présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.Lionel Zinsou, ancien Premier ministre du Bénin et président de la fondation Terra Nova.QU'ATTENDENT LES FRANÇAIS DES HOMMES POLITIQUES ?Après la nouvelle nomination de Sébastien Lecornu à Matignon le 10 octobre, 56 % Français ne souhaitaient pas que l'une des motions de censure déposées par La France insoumise et le Rassemblement national soit votée, selon une enquête "L'Opinion en direct" menée par Elabe pour BFMTV, publiée mercredi. Ils ont été exaucés, avec le rejet des deux motions de censure jeudi matin. Le Premier ministre Sébastien Lecornu, a annoncé dans sa déclaration de politique générale qu'il proposerait au Parlement la suspension de la réforme de 2023 sur les retraites « jusqu'à l'élection présidentielle ». Selon le sondage Elabe, 67 % des Français sont pour cette suspension et 29 % s'y disent même « très favorables » et 38% « plutôt favorables ». 33 % des Français sont contre cette suspension, dont 13 % de Français qui se disent « très opposés » à cette annonce du chef du gouvernement. Toutefois, 64 % des Français sont mécontents de la composition du gouvernement et 51 % des personnes interrogées sont même favorables à une dissolution et à de nouvelles élections législatives.Dans la perspective de l'élection présidentielle de 2027, Jordan Bardella et Marine Le Pen se maintiennent en tête des personnalités suscitant le plus de satisfaction si elles remportaient l'élection présidentielle (33 % dans les deux cas), selon le baromètre politique Ipsos bva-CESI École d'ingénieurs pour La Tribune Dimanche. Pour la première fois, la troisième place du podium est occupée par une personnalité du même bord : Marion Maréchal, avec 24 % des Français qui seraient satisfaits. Cette progression de Marion Maréchal dans le classement s'explique par une baisse importante pour les autres personnalités, situées à droite et au centre, comme Bruno Retailleau qui enregistre une forte baisse (20 %, -7 points en un mois). Au centre, on observe aussi des baisses importantes pour Edouard Philippe (22 %, -3 points), Gabriel Attal (19 %, -5 points) et Gérald Darmanin (19 %, -5 points). Le pouvoir d'achat demeure la première préoccupation des Français (50 %, -1 point), devant l'avenir du système social, cité par 44 %. La préoccupation pour l'avenir du système social progresse de 3 points en un mois et de 9 points depuis juillet. 88 % des Français sont pessimistes sur la situation économique du pays et 67 % sur leur propre situation économique. Ils ont notamment le sentiment que la situation du pouvoir d'achat va se détériorer (78 %), tout comme celle du niveau de la dette publique (77 %) ou encore du niveau de la fiscalité (70 %).Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Politique, le choix de la semaine
Retraites: la suspension qui fait mal au camp Macron

Politique, le choix de la semaine

Play Episode Listen Later Oct 19, 2025 2:44


Sébastien Lecornu a finalement réussi à échapper à la censure au prix d'une concession majeure, la suspension de la réforme des retraites que le Parti socialiste réclamait pour l'épargner. Cette décision fait mal au bloc central et divise les macronistes. Il y a ceux qui comprennent et ceux qui vivent le choix de céder aux exigences du PS comme le renoncement ultime. La réforme des retraites, c'était, en effet, la seule réforme structurelle dont pouvaient se vanter les macronistes, un totem autour duquel ils montaient la garde. Et puis Sébastien Lecornu a utilisé la « carte blanche » qu'Emmanuel Macron lui avait donné, il a abattu son seul atout pour éviter la censure, la dissolution et le retour aux urnes qui promettait un désastre aux députés du bloc central, sacrifiant sur l'autel de la stabilité politique, le réalisme budgétaire jusque-là invoqué pour justifier les efforts demandés aux Français. De quoi hérisser les pourfendeurs des déficits. Un macroniste historique s'étouffe en en parlant : « Cette suspension évite la dissolution, fait gagner trois mois, mais combien on perd à terme en image de la France et vis-à-vis des prêteurs », sous-entendu ça va coûter cher en point d'intérêt sur la dette. À lire aussiFrance: retraites, fiscalité, censure… ce qu'il faut retenir du discours de politique générale de Lecornu « Une grosse bêtise de renvoyer le débat à 2027 » Et il y a aussi une autre crainte qui s'exprime, que le débat sur les retraites vampirise à nouveau l'élection présidentielle de 2027. Car la réforme des retraites est en effet suspendue jusqu'à janvier 2028. Et si aucun accord n'est possible à l'issue de la conférence avec les partenaires sociaux annoncée par le Premier ministre, la question des retraites sera forcément au cœur de la prochaine campagne présidentielle et de la bataille entre les potentiels candidats du bloc central. Notamment entre Edouard Philippe qui veut repousser l'âge de départ et Gabriel Attal qui défend la retraite à points. Attention danger, s'inquiète un observateur syndical : « C'est une grosse bêtise de renvoyer le débat à 2027, ça dira que le pays est embourbé » et poursuit-il, ça profitera au Rassemblement national. « Le président ne veut à aucun prix de la dissolution » Pourquoi, dans ce contexte, Emmanuel Macron a-t-il laissé Sébastien Lecornu sacrifier cette réforme ? Il n'avait plus le choix. « C'est la preuve que le président ne veut à aucun prix de la dissolution », explique un parlementaire Renaissance qui pense qu'Emmanuel Macron a envisagé le scénario catastrophe, celui d'une nouvelle législative où le RN n'aurait pas la majorité absolue et refuserait d'aller à Matignon, ne lui laissant plus d'autre solution que la démission. Une extrémité à laquelle il ne veut pas arriver. Mieux valait alors lâcher sur les retraites, quitte à fâcher son camp et à devoir faire lui-même le service après-vente auprès des députés lors d'une réunion à l'Élysée. À lire aussiFrance : « La dissolution créerait du chaos sur le chaos », avertit François Patriat, sénateur RDPI

Les Grandes Gueules
"On s'en fout, on s'en fout pas" : Edouard Philippe charge Emmanuel Macron... encore une fois ! - 17/10

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Oct 17, 2025 8:16


Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : Edouard Philippe charge Emmanuel Macron... encore une fois ! Drogue : des brigades cynophiles au lycée. Bonne idée ?

Les coulisses de la politique
Edouard Philippe, un homme devenu omniprésent à la recherche d'un second souffle

Les coulisses de la politique

Play Episode Listen Later Oct 16, 2025 2:49


L'ancien Premier ministre a rarement autant parlé. De RTL à YouTube et aux réseaux sociaux, il s'exprimera également ce soir sur France 2. Des prises de position qui suscitent des remous dans le camp centriste. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le Nouvel Esprit Public
Le chamboule-tout français / Le mouvement GenZ au Maroc et dans le monde

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later Oct 12, 2025 64:17


Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 10 octobre 2025.Avec cette semaine :François Bujon de l'Estang, ambassadeur de France.Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l'Institut Français de Géopolitique.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.LE CHAMBOULE-TOUT FRANÇAISQuatre gouvernements en treize mois, un président affaibli, une Assemblée fragmentée : la France semble prise dans un tourbillon sans fin. La présentation, dimanche soir, par Sébastien Lecornu d'une équipe « resserrée » de 18 membres, dans laquelle les traces de la rupture annoncée n'étaient pas très apparentes a été vivement critiquée à droite comme à gauche. Lundi, en quelques heures, les Français ont assisté à la démission d'un Premier ministre, Sébastien Lecornu, nommé vingt-sept jours plus tôt, puis, en fin d'après-midi, à la désignation par le président de la République du même Sébastien Lecornu pour une mission de quarante-huit heures ayant pour but de « définir une plateforme d'action et de stabilité »., soit précisément ce que Le Premier ministre démissionnaire n'avait pas réussi à faire. M. Lecornu a accepté tout en faisant savoir qu'il ne redeviendrait pas chef du gouvernement, même dans le cas, très hypothétique, d'une réussite des discussions.Estimant qu'il existe « une majorité absolue » de députés opposés à la dissolution, Sébastien Lecornu a affirmé mercredi sur France 2 que les conditions étaient réunies pour que le président nomme un nouveau premier ministre « dans les 48 heures ». La première option pour le président de la République est donc de nommer un nouveau Premier ministre. En cas d'échec, un deuxième scénario serait une nouvelle dissolution de l'Assemblée nationale et un retour aux urnes. Le troisième scénario est celui d'une démission du président de la République. Une demande exprimée par l'extrême-droite, LFI, mais aussi, après l'adoption d'un budget par l'ancien Premier ministre Edouard Philippe.La situation est inédite, puisque les passations de pouvoir n'ont pas eu lieu entre les deux gouvernements démissionnaires. Dans ces cas-là, le décret publié au Journal officiel fait foi. Il a été publié dimanche soir, les ministres démissionnaires sont donc bien ceux qui ont été nommés le 5 octobre. Cette équipe devra gérer les « affaires courantes ». Aucun texte n'indique ce que peut faire, ou pas, un gouvernement démissionnaire, mais ses prérogatives sont limitées. Il s'agit de faire face aux urgences, d'assurer le fonctionnement minimal de l'État ainsi que sa continuité. Ce gouvernement peut mettre en application des lois déjà votées mais pas déposer de nouveaux projets de loi. Généralement, le Conseil des ministres ne se réunit pas en période démissionnaire.Si l'incertitude politique ne se traduit pas, à ce stade, par une crise économique aiguë, elle a toutefois déjà provoqué deux cassures dont les effets se feront sentir sur le long terme : le déclassement de la France sur les marchés, et la panne des investissements.LE MOUVEMENT GENZ AU MAROC (ET AU MADAGASCAR, AU NÉPAL …)Le Maroc est le théâtre depuis le 27 septembre de rassemblements quotidiens de jeunes protestataires − parfois mineurs − réclamant de meilleurs services d'éducation et de santé. Début octobre, des débordements violents à proximité d'Agadir ont causé la mort de trois manifestants. Face à une fièvre contestataire comme le Maroc n'en avait pas connu depuis la révolte du Rif en 2016-2017, le gouvernement semble pris de court. Parmi les jeunes urbains de 15-24 ans, la moitié est sans emploi et un quart a déserté l'école. Des marches spontanées avaient déjà eu lieu, début juillet, dans le Haut-Atlas pour l'accès à l'eau, poussant le roi Mohammed VI à manifester son refus d'un « Maroc à deux vitesses », lors de son discours du trône le 29 juillet.Le mouvement actuel est spontané, sans tête d'affiche et assez flou sur le plan des revendications. Il n'a pas de plateforme ni de programme politique, mais défend des grands thèmes sociaux. Né d'une indignation générale face à la mort de huit femmes à la mi-septembre dans un hôpital d'Agadir après des accouchements par césarienne, il s'est structuré une dizaine de jours plus tard sur le réseau social Discord sous la bannière d'un collectif GenZ 212. Une déclinaison locale (212 est l'indicatif téléphonique du Maroc) d'une génération Z − née entre 1997 et 2012 − qui a déjà fait vaciller le pouvoir au Sri Lanka, au Bangladesh et au Népal, et enfiévré plus récemment Madagascar. Connexion numérique, aspiration à la dignité et rejet de la vieille politique : la jeunesse marocaine se met au diapason d'un soulèvement transnational. Les jeunes Marocains se gardent toutefois bien de franchir une ligne rouge : la sacralité de l'institution royale. Si nombre d'entre eux réclament la démission du chef de gouvernement Aziz Akhannouch, un homme d'affaires richissime, symbole d'une oligarchie conquérante, nul n'appelle à la fin de la monarchie, malgré l'acuité des doléances sociales.Déjà électrique, le climat social n'a cessé de se tendre, à mesure que les prestigieux projets lancés dans la perspective de la Coupe d'Afrique des nations de football, qui s'ouvre fin décembre, et de la Coupe du monde de 2030 − que le Maroc coorganisera avec l'Espagne et le Portugal −détournaient les financements des priorités sanitaires et éducatives. Le régime espérait désamorcer le ressentiment populaire dans le patriotisme sportif : il s'est trompé. « Des écoles et des hôpitaux, plutôt que des stades ! », clame en substance la jeunesse soulevée. La GenZ 212 braque une lumière crue sur l'envers de la vitrine scintillante d'un Maroc « émergent ». Le coup est rude pour l'image que le royaume aime à projeter de lui-même à l'étranger. Le roi Mohammed VI doit faire un discours d'ouverture de la session parlementaire, ce vendredi.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le brief politique
"Il suffit d'appuyer sur le bouton" : Edouard Philippe prêt pour l'élection présidentielle, en 2027 ou avant

Le brief politique

Play Episode Listen Later Oct 11, 2025 2:45


durée : 00:02:45 - Le brief politique - L'ancien Premier ministre d'Emmanuel Macron s'est fait remarquer cette semaine en appelant le chef de l'Etat à organiser une élection présidentielle anticipée. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

C dans l'air
Le prix du compromis: la réforme des retraites - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Oct 8, 2025 63:19


C dans l'air du 8 octobre 2025 - Crise politique : que va faire Macron ?Un Premier ministre de gauche succédera-t-il à Sébastien Lecornu ? C'est le scénario qui monte alors que la réforme des retraites pourrait être suspendue pour convaincre les socialistes et se lier aux macronistes. « On ne doit pas faire de cette réforme un totem », la petite phrase hier d'Elisabeth Borne dans les colonnes du Parisien a ouvert la voie à cette possibilité. Reçu ce matin à Matignon, Olivier Faure a cependant déploré n'avoir reçu « aucune assurance sur la réalité de la suspension » de cette réforme. De son côté, l'écologiste Marine Tondelier affirme toutefois « qu'on a jamais été aussi proches d'avoir un Premier ministre de gauche ». Un peu plus tôt ce matin, le Premier ministre démissionnaire a lui évoquer dans une allocution « une volonté partagée de trouver un budget qui éloigne les perspectives de dissolution ». Il s'exprimera ce soir au 20h de France 2, tandis que le chef de l'Etat reste muet depuis sa démission. De son côté, Marine Le Pen estime que « la blague a assez durée », qu'elle censurerait à présent « tout » jusqu'à une dissolution. Les insoumis aussi réclament des élections anticipées, ils affirment qu'ils censureront un gouvernement où les socialistes seraient mêlés aux macronistes.À droite, une suspension de la réforme des retraites n'est pas souhaitée, et il est fort à parier que LR censure eux aussi un gouvernement de gauche. En cas de duel RN - gauche à des législatives, LR pourrait ne pas suivre le front républicain. Hier, le chef du parti, Bruno Retailleau, a déclaré qu'« aucune voix ne devait aller à la gauche » au second tour de la législative partielle dans la 1ere circonscription du Tarn-et-Garonne qui opposera le PS à l'alliance RN/UDR ce 12 octobre.Pendant ce temps, Emmanuel Macron n'a jamais été aussi isolé et ses alliés historiques le lâchent les uns après les autres : Gabriel Attal a affirmé « ne plus comprendre ses choix », Edouard Philippe l'appelle à partir. C dans l'air est allé à la rencontre de Sibeth Ndiaye, macroniste de la première heure et ancienne porte-parole du gouvernement Philippe. Si elle regrette les lois immigration votées ces dernières années, elle continue de soutenir le président de la République.. Alors, que va faire Macron a l'issue de ces ultimes concertations ? N'y a t-il plus de front républicain à droite ? Quelle est l'analyse de Sibeth Ndiaye sur l'évolution du macronisme ?LES EXPERTS :- Christophe BARBIER - Éditorialiste politique à Franc-Tireur- Mathilde SIRAUD - Rédactrice en chef, service politique du Point- Fanny GUINOCHET - Éditorialiste économique à Franceinfo- Dominique ROUSSEAU - Constitutionnaliste, professeur à l'École de Droit de la Sorbonne

Maintenant, vous savez
Présidentielle anticipée : comment ça se passe ?

Maintenant, vous savez

Play Episode Listen Later Oct 8, 2025 5:04


Le lundi 6 octobre 2025, le Premier ministre Sébastien Lecornu a présenté la démission de son gouvernement au président de la République, Emmanuel Macron. Après seulement vingt-sept jours passés à Matignon, il est devenu  le Premier ministre le plus éphémère de la Ve République.  Et ce n'est pas la première fois qu'un Premier ministre démissionne sous le deuxième quinquennat d'Emmanuel Macron. L'enchaînement des différents gouvernements crée une instabilité politique constante en France, et certaines personnalités politiques, comme Edouard Philippe, appellent le Président de la République à organiser une élection présidentielle anticipée.  Est-ce déjà arrivé dans l'histoire de la Vème République ? Et concrètement, comment ça se passe ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant, vous savez". Un podcast Bababam Originals écrit et réalisé par Magalie Bertet. À écouter ensuite : Qu'est-ce qu'une motion de censure ? Comment le président des États-Unis est-il élu ?Le gouvernement peut-il vraiment limiter l'accès aux écrans pour les enfants ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Revue de presse internationale
À la Une: la France en plein bourbier…

Revue de presse internationale

Play Episode Listen Later Oct 8, 2025 4:13


La France embourbée jusqu'aux genoux sinon jusqu'à la taille : pas de Premier ministre, pas de gouvernement, pas de budget et un président de plus en plus isolé… Alors comment sortir de cet enlisement ? La presse française et au-delà passe au crible les différentes hypothèses. «  Le compte à rebours s'achève aujourd'hui, constate La Repubblica à Rome . Emmanuel Macron avait donné 48 heures au Premier ministre sortant, Sébastien Lecornu, pour trouver une solution au chaos politique qui paralyse la France. Deux jours pour tenter de former un gouvernement responsable et éviter une nouvelle dissolution du Parlement. Ce matin, Lecornu rencontrera à nouveau les chefs des principaux partis pour une dernière série de consultations, une ultime étape avant le retour aux urnes. Hier, pointe en effet La Repubblica, Macron a reçu à l'Élysée les présidents de l'Assemblée nationale et du Sénat, Yaël Braun-Pivet et Gérard Larcher, dans un geste institutionnel qui précède traditionnellement la dissolution du Parlement français.  » De nouvelles législatives ? Alors s'oriente-t-on vers une dissolution de l'Assemblée nationale ? Peut-être bien, s'il faut en croire Le Canard Enchaîné à Paris qui affirme que «  les préfets ont déjà reçu la consigne officieuse de se tenir prêts à organiser les élections législatives les 16 et 23 novembre. Juste après la célébration de l'Armistice  », remarque malicieusement l'hebdomadaire satirique. Car pour l'instant, pas de cessez-le-feu… Les tirs fusent de toute part, et notamment en direction du chef de l'Etat. Comme le souligne Libération à Paris, «  lâché par Gabriel Attal ( son ancien Premier ministre ), invité à la démission par Edouard Philippe ( également ancien Premier ministre ), bousculé par LR… Emmanuel Macron est un homme seul.  » Et «  à la réflexion, poursuit Libé, cet isolement remonte chez Emmanuel Macron à ses débuts. Seul, il le fut lors de sa première campagne. Il est indéniable que ce fut une force. Son erreur aura été de penser qu'il pouvait le rester une fois entré à l'Elysée. Il a présidé seul. Il s'est soucié de son parti, donc de ses soutiens, comme de sa dernière chemise.  »  Porte ouverte au RN ? «  Et maintenant ?  », s'interroge Die Welt à Berlin. En effet, «  à première vue, l'option la plus plausible serait de convoquer de nouvelles élections. Cependant, cela ouvrirait la voie au Rassemblement national pour obtenir une majorité et installer un Premier ministre issue de ses rangs. Macron devrait bien réfléchir, pointe le quotidien allemand, avant de se demander s'il veut vraiment entrer dans l'histoire comme le président qui a fait le lit des héritiers de Jean-Marie Le Pen, le banalisateur d'Auschwitz.  » C'est vrai, renchériter le Guardian à Londres, «  de nouvelles élections législatives, au vu des sondages, risqueraient de transférer le pouvoir au Parlement au Rassemblement national, ou bien de provoquer un nouveau blocage. Mais la paralysie politique et les luttes intestines actuelles représentent un véritable cadeau pour Marine Le Pen à l'approche de l'élection présidentielle de 2027.  » Reste, tempère El Pais à Madrid, que si législatifs il ya, «  il n'est même pas certain que le Rassemblement national obtienne la majorité absolue pour gouverner. Face à cette situation, le président du RN, Jordan Bardella, a appelé Les Républicains à unir leurs forces et à gouverner ensemble s'ils n'atteignaient pas les 289 sièges nécessaires. Une formule qui reproduirait le schéma utilisé dans des pays comme l'Italie ou l'Espagne (du moins dans les régions où Vox et le Parti Populaire ont uni leurs forces).  » Les Français… premiers responsables ? Enfin, cette interrogation formulée par Le Temps à Genève : «  Et si les responsables de la crise étaient les Français eux-mêmes ? (…) Il ya (en effet chez les Français), affirme le quotidien suisse, cette fascination pour l'homme providentiel, le charisme qui donne l'impression d'avoir raison envers et contre tous. Une perception centrale dans l'imaginaire politique français, intimement liée à ce système très présidentiel. Et puis il ya, presque en miroir, l'envie suprême de faire tomber cette figure après l'avoir portée aux nues. C'est ce qui semble motiver le plus les électeurs. (…) Les électeurs qui semblent depuis des années favorisent toujours celui qui n'aura fait aucune concession, celui qui sera resté le plus « pur » dans son idéologie, (…) qui aura promis de renverser le plus de tableaux. (…) La folie totale du débat public est indéniable, conclut Le Temps. Et c'est pour plaire aux électeurs que les politiciens français campent ainsi sur leurs positions, jusqu'à l'absurde, jusqu'à prendre le risque de mener le pays dans le mur.  »

C à vous
Emmanuel Macron lâché jusque dans son camp

C à vous

Play Episode Listen Later Oct 8, 2025 4:35


L'édito de Patrick Cohen : Emmanuel Macron lâché jusque dans son camp ? Son ancien premier ministre Edouard Philippe demande une présidentielle anticipée…Patrick Cohen décrypte sur le plateau de “C à Vous” un point précis de l'actualité pour le replacer dans son contexte, l'analyser et le mettre en perspective, en écartant opinions et approximations.

C dans l'air
Macron lâché par ses fidèles… avant la dissolution ? - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Oct 7, 2025 64:31


C dans l'air du 7 octobre 2025 - Macron lâché par ses fidèles… avant la dissolution ?Comme si la crise politique ne suffisait pas. Emmanuel Macron est désormais lâché par ses anciens fidèles. Ce matin, Edouard Philippe a appelé sur RTL à nommer un Premier ministre technique pour mener les affaires courantes jusqu'à l'organisation d'une présidentielle anticipée. Quant à Gabriel Attal, il ne "comprend plus les décisions du président de la République" et regrette "l'acharnement [du président] à vouloir garder la main". Pendant ce temps à Matignon, les "ultimes négociations" ont commencé. Missionné par Emmanuel Macron pour mener "d'ultimes négociations" malgré sa démission hier, Sébastien Lecornu a reçu ce matin à Matignon les forces du socle commun. Le Premier ministre doit recevoir demain les Républicains et les socialistes, tandis que le Rassemblement national a fait savoir qu'il ne viendrait pas. Marine Le Pen et Jordan Bardella estiment qu'Emmanuel Macron agit désormais dans son intérêt personnel plus que pour celui des Français. À gauche, la situation est toute aussi agitée. La France insoumise, qui appelle à une nouvelle élection présidentielle, a proposé une réunion aux partis de gauche, mais les socialistes s'y sont opposé, tout comme les communistes, signe que la rupture de la Nupes a laissé des traces.C'est dans cette atmosphère de fin de règne, que les anciens proches du président font leur autocritique. Parmi eux, l'économiste Jean Pisani-Ferry, qui s'était engagé lors de la campagne de 2017 d'Emmanuel Macron, dit aujourd'hui sa colère sur les orientations prises par le président. "J'avais cru que le macronisme allait repousser les extrêmes [mais] son style de gouvernement et la nature des mesures qu'il a prises ou qu'il n'a pas prises, a eu pour effet de créer l'inverse et d'augmenter l'attrait du RN", dénonce aujourd'hui ce social-démocrate. Il cite notamment le mythe du ruissellement, le "caractère indécent de l'accumulation des fortunes" ou encore le refus de la taxe Zucman qui serait "une erreur politique".Dans les villes françaises, la colère monte contre le gouvernement. Comment les maires vivent-ils cet épisode, eux qui sont en première ligne face aux administrés ? Maire divers gauche de Barentin, Christophe Bouillon est également président de l'Association des petites villes de France (APVF). Selon lui, "l'exigence est toujours plus forte avec une impatience manifeste et une demande d'immédiateté que ce soit pour l'entretien des espaces verts ou pour un trou à reboucher. Nous sommes passés de l'enfant roi et du client roi à maintenant l'administré roi." Une équipe de C dans l'air est allée à sa rencontre.À quoi ressemblent les dernières négociations menées jusqu'à demain par Sébastien Lecornu ? Pourquoi les anciens proches d'Emmanuel Macron lâchent-ils le président ? Et à quoi ressemble le quotidien d'un maire pendant une crise politique ?LES EXPERTS :- Jérôme JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- Nathalie SCHUCK - Grand reporter au service politique - Le Point- Anne-Charlène BEZZINA - Constitutionnaliste et politologue, maître de conférences en droit public - Université de Rouen et Sciences Po- Anne ROSENCHER - Directrice déléguée de la rédaction - L'Express

Pascal Praud et vous
Crise politique : Gabriel Attal, Edouard Philippe, Olivier Faure... «Ils pensent tous à eux», dénonce Gauthier Le Bret

Pascal Praud et vous

Play Episode Listen Later Oct 7, 2025 9:37


Chroniqueurs : -Sarah Saldmann -Gauthier Le Bret -Georges Fenech   Invité : -Laurent Jacobelli, député RN Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Focus
Emmanuel Macron peut-il tenir jusqu'en 2027 ?

Focus

Play Episode Listen Later Oct 7, 2025 10:16


Après l'échec du gouvernement Lecornu, Emmanuel Macron est lâché jusque dans son propre camp. Son ancien Premier ministre Edouard Philippe l'a invité, ce mardi 7 octobre sur RTL, à laisser la place et organiser une présidentielle anticipée après le vote d'un budget. Dans cet épisode du Choix info, nous vous racontons comment la pression s'accentue sur le chef de l'État.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Esprits Libres
Crise politique : « En demandant la démission d'Emmanuel Macron, Edouard Philippe se tire une balle dans le pied » estime Cécile Cornudet

Esprits Libres

Play Episode Listen Later Oct 7, 2025 12:38


Suite à la démission du gouvernement Lecornu, l'ex-Premier ministre Edouard Philippe a demandé ce matin au président français d'organiser une élection présidentielle anticipée, une fois le budget adopté. Cécile Cornudet, éditorialiste aux Echos et Jean-François Colosimo directeur général des éditions du Cerf reviennent sur les propos de l'actuel maire du Havre et les potentiels intérêts de cette élection anticipé pour ce dernier.Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

La question info
Crise politique : une élection présidentielle anticipée est-elle possible?

La question info

Play Episode Listen Later Oct 7, 2025 3:03


Ce mardi 7 octobre, l'ex-premier ministre Edouard Philippe a appelé à la démission d'Emmanuel Macron. Une demande de longue date d'une partie de l'opposition qui pourrait aboutir à une élection présidentielle anticipé. Un tel scrutin est-il envisageable ? On pose la question à Marie-Pierre Bourgeois, journaliste politique à BFMTV.COM

C dans l'air
Lecornu démissionne....la stupeur et le chaos - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Oct 6, 2025 63:51


C dans l'air du 6 octobre 2025 - Démission de Lecornu : la France s'enfonce dans la criseUne déflagration. Après avoir nommé son gouvernement hier soir, Sébastien Lecornu a remis sa démission ce matin à Emmanuel Macron. Le Premier ministre était sous le feu des critiques, et fragilisé de l'intérieur par la fronde des Républicains. Bruno Retailleau avait en effet remis en cause la participation de son parti à un gouvernement qui « ne reflète pas la rupture promise ». Le ministre de l'Intérieur n'a pas apprécié de voir Bruno Le Maire revenir aux affaires, l'ancien ministre de l'Economie a en effet hérité du poste de ministre des Armées, et cette nomination n'avait pas été dévoilée par Lecornu.La France s'enfonce donc dans la crise, avec cette troisième démission d'un Premier ministre en moins d'un an. Les yeux se tournent dorénavant vers Emmanuel Macron. Les appels a une dissolution se multiplient de toutes parts. Marine Le Pen la juge « absolument nécessaire ». Beaucoup suggèrent aussi une démission du président de la République. Les Insoumis, eux, demandent l'examen « immédiat » d'une motion de destitution.Une ambiance de fin de règne se fait donc sentir pour Emmanuel Macron, qui vit une descente aux enfers depuis sa dissolution ratée de juin 2024. Sa popularité est en chute libre, et ses alliés historiques prennent leur distance avec le macronisme. L'UDI a hier acté son retrait du socle commun, tandis que Gabriel Attal et Edouard Philippe ont refusé les postes ministériels que Lecornu leur avait proposés. Macron, très actif à l'international, paraît donc de plus en plus déphasé avec la politique intérieure.Pendant ce temps, beaucoup de Français ont du mal à boucler leurs fins de mois. C dans l'air est allé dans une épicerie solidaire de Mayenne, à la rencontre de ceux qui aident au quotidien ces ménages précaires. Les uns comme les autres sont atterrés par l'incapacité de l'Etat à contrer la pauvreté en France. Alors, que va faire Macron après la démission de Lecornu ? Le chef de l'Etat choisira-t-il de démissionner ? Que pensent les Français les plus précaires de la situation politique actuelle ?LES EXPERTS :- Christophe BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction de Franc-Tireur- Pascal PERRINEAU - Politologue, professeur des Universités à Sciences Po- Jean GARRIGUES – Historien, président de la commission internationale d'histoire des assemblées- Sylvie PIERRE-BROSSOLETTE - Éditorialiste politique au Point- Hélène KOHL - Journaliste pour Le Podkast

L'Edito Politique
Edouard Philippe se tasse, Raphaël Glucksmann progresse : le paysage de la présidentielle est-il en train de bouger ?

L'Edito Politique

Play Episode Listen Later Oct 1, 2025 3:29


Un sondage Ifop troublant a été publié hier dans l'Opinion. Le paysage de la présidentielle est-il en train de bouger ? Oui, les positions bougent à gauche et dans le bloc central, mais il faut toujours rappeler qu'un sondage est une photographie à un moment donné, pas une prévision de ce qui se passera le jour de la présidentielle Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Europe 1 - L'interview d'actualité
Sondage IFOP : les Français placent Le Pen et Bardella en tête devant Edouard Philippe, Raphaël Glucksmann aux portes du second tour

Europe 1 - L'interview d'actualité

Play Episode Listen Later Sep 30, 2025 10:22


Invités : - Sébastien Lignier, chef du service politique de Valeurs Actuelles - Gilles Boutin, journaliste en politique économique au Figaro Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L'Edito Politique
Emmanuel Macron ciblé par Gabriel Attal, Edouard Philippe et Bruno Le Maire : reste-t-il des macronistes en France ?

L'Edito Politique

Play Episode Listen Later Sep 24, 2025 3:36


C'est en tous cas ceux lui doivent le plus qui prennent le plus leurs distances. Même si Juppé, son mentor, avait été élu en 2017, jamais Philippe ne serait devenu premier ministre. Le Maire avait fait 2% à la primaire LR, Macron lui a offert un septennat complet à Bercy. Quant à Attal, à qui doit-il d'être devenu le plus jeune premier ministre que la France ait connu ? Aujourd'hui tous les trois sont d'une sévérité rare avec l'homme de la dissolution.Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les coulisses de la politique
Edouard Philippe dans le podcast LEGEND sur YouTube, l'ancien Premier ministre sort de sa zone de confort

Les coulisses de la politique

Play Episode Listen Later Sep 23, 2025 2:28


La participation à ce podcast populaire chez les jeunes est sans doute utile pour Edouard Philippe qui a perdu quelques points dans les sondages et doit affronter la concurrence de Bruno Retailleau. Mais c'est aussi une émission sans vraie contradiction. Parfait ! Le maire du Havre a tenté de crever les abcès : les gilets jaunes ou les 80 km/h. Sur cette mesure impopulaire, il confie que si c'était c'était possible, il ne la referait pas comme ca…Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L'info en intégrale - Europe 1
Le journal de 8h du 17/07/2025

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Jul 17, 2025 10:18


Dans cette édition :Un préfet du Val-d'Oise a ordonné l'expulsion d'une famille logée dans un HLM, soupçonnée d'être impliquée dans un trafic de drogue, une décision approuvée par les riverains.Le plan de rigueur budgétaire proposé par le ministre François Bayrou fait débat au sein de la majorité présidentielle, certains alliés comme Edouard Philippe ou Bruno Retailleau critiquant le manque de réformes de fond.Sur le Tour de France, la première étape de haute montagne dans les Pyrénées s'annonce décisive pour les favoris, notamment le tenant du titre Tadej Pogačar, qui devra se remettre de sa chute de la veille.L'INSEE confirme la baisse des naissances et le recul de l'âge moyen du premier enfant chez les femmes.Les parents s'organisent déjà pour anticiper la hausse des prix des fournitures scolaires à la rentrée.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le journal - Europe 1
Le journal de 8h du 17/07/2025

Le journal - Europe 1

Play Episode Listen Later Jul 17, 2025 10:18


Dans cette édition :Un préfet du Val-d'Oise a ordonné l'expulsion d'une famille logée dans un HLM, soupçonnée d'être impliquée dans un trafic de drogue, une décision approuvée par les riverains.Le plan de rigueur budgétaire proposé par le ministre François Bayrou fait débat au sein de la majorité présidentielle, certains alliés comme Edouard Philippe ou Bruno Retailleau critiquant le manque de réformes de fond.Sur le Tour de France, la première étape de haute montagne dans les Pyrénées s'annonce décisive pour les favoris, notamment le tenant du titre Tadej Pogačar, qui devra se remettre de sa chute de la veille.L'INSEE confirme la baisse des naissances et le recul de l'âge moyen du premier enfant chez les femmes.Les parents s'organisent déjà pour anticiper la hausse des prix des fournitures scolaires à la rentrée.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L'info en intégrale - Europe 1
Le journal de 19h - 16/07/2025

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Jul 16, 2025 12:06


Dans cette édition :Le taux du livret A, l'épargne préférée des Français, va baisser de 2,4% à 1,7% à compter du 1er août, en raison de la baisse de l'inflation.Le gouvernement fait face à des critiques sur les grandes orientations budgétaires présentées, notamment de la part de l'ancien Premier ministre Edouard Philippe qui juge que les propositions n'apportent pas de solution.Un adolescent de 17 ans a été tué à Vénissieux par un motard ivre et sans permis, dans un accident qui a conduit à la création du délit de "délit de fuite routier".En Syrie, l'armée israélienne a bombardé le palais présidentiel et l'état-major syrien à Damas, en représailles aux violences contre la communauté druze.Le Tour de France a connu une étape mouvementée avant l'entrée dans les Pyrénées, avec la chute sans conséquence du tenant du titre Tadej Pogačar.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le journal - Europe 1
Le journal de 19h - 16/07/2025

Le journal - Europe 1

Play Episode Listen Later Jul 16, 2025 12:06


Dans cette édition :Le taux du livret A, l'épargne préférée des Français, va baisser de 2,4% à 1,7% à compter du 1er août, en raison de la baisse de l'inflation.Le gouvernement fait face à des critiques sur les grandes orientations budgétaires présentées, notamment de la part de l'ancien Premier ministre Edouard Philippe qui juge que les propositions n'apportent pas de solution.Un adolescent de 17 ans a été tué à Vénissieux par un motard ivre et sans permis, dans un accident qui a conduit à la création du délit de "délit de fuite routier".En Syrie, l'armée israélienne a bombardé le palais présidentiel et l'état-major syrien à Damas, en représailles aux violences contre la communauté druze.Le Tour de France a connu une étape mouvementée avant l'entrée dans les Pyrénées, avec la chute sans conséquence du tenant du titre Tadej Pogačar.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L'invité de RTL
POLITIQUE - Edouard Philippe est l'invité de Thomas Sotto

L'invité de RTL

Play Episode Listen Later Jun 25, 2025 15:32


Il veut conquérir l'Elysée en 2027 : ses vérités, ses ambitions, mais aussi son regard sur l'échec du conclave sur les retraites et la situation au Proche-Orient : Edouard Philippe est l'invité de RTL. Le maire du Havre publie "Le prix de nos mensonges", aux éditions Jean-Claude Lattès. Ecoutez L'invité RTL de 7h40 avec Thomas Sotto du 25 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le Nouvel Esprit Public
Situation des ex-partis dominants français / Guerre Israël-Iran

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later Jun 22, 2025 61:32


Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 20 juin 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste.Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l'Institut Français de Géopolitique.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.SITUATION DES EX-PARTIS DOMINANTS (LR-PS) APRÈS L'ÉLECTION DE LEURS DIRIGEANTSLe 18 mai Bruno Retailleau a été élu à la tête du parti Les Républicains avec une majorité de 74,31% des voix. Dans la foulée, le nouveau dirigeant de LR a pris trois engagements : rendre le parti à tous les militants via des référendums. Remettre le parti « au travail ». Enfin, reconstruire pour « gagner des élections ». « Je veux faire se lever une vague bleue », a-t-il lancé en pensant aux municipales de mars 2026. À droite, la victoire de Bruno Retailleau signe le retour d'un espoir après plus de dix années dans l'opposition et une succession de revers électoraux dont LR ne s'est jamais vraiment remis. Les bons scores obtenus dans différentes élections législatives partielles, à Villeneuve-Saint-Georges, dans le Jura ou les Hauts-de-Seine, sont un signe, veulent croire les cadres du parti, qu'un espace existe entre une Macronie jugée finissante et un Rassemblement national privé de sa « candidate naturelle » si la peine d'inéligibilité de Marine Le Pen se confirme en appel. Si sa large victoire installe Bruno Retailleau comme le nouveau candidat naturel de la droite pour la prochaine présidentielle, il doit toutefois composer avec les ambitions de ses soutiens de campagne. Dans un sondage Toluna Harris Interactive pour LCI, le nouveau patron de LR reste largement distancé par Edouard Philippe au premier tour de l'élection présidentielle.Au Parti Socialiste, si la victoire sur le fil d'Olivier Faure, reconduit le 5 juin avec 50,9% des suffrages au détriment du maire de Rouen, Nicolas Mayer-Rossignol, à 250 voix près, ne fait pas débat, aucune synthèse n'a cependant été possible entre les deux fractions lors du 81ème congrès réuni du 13 au 15 juin, à Nancy. En cause : la place de La France Insoumise au sein de l'union de la gauche. Trois ans après la Nouvelle Union populaire écologique et sociale en 2022, un an après le Nouveau Front Populaire en 2024, la relation des socialistes à Jean-Luc Mélenchon et LFI a empoisonné le congrès du PS. Nicolas Mayer-Rossignol, estimant qu'il ne fallait « plus d'accord national et programmatique aux législatives pour gouverner ensemble avec La France Insoumise », a demandé solennellement à son parti de « dire et écrire et affirmer unanimement qu'il n'y aura pas, sous aucun prétexte, ni au plan national ni local, même en cas de dissolution, d'alliance avec LFI ». Le Premier secrétaire a refusé cet amendement au texte final, estimant qu'il « ne faut pas qu'on sorte de l'ambiguïté stratégique vis-à-vis de LFI ». L'état de division dans lequel se trouve l'ancien parti dominant de la gauche, aujourd'hui réduit à moins de 40.000 militants revendiqués, l'expose à de grandes déconvenues : en désaccord sur la ligne, les socialistes vont avoir le plus grand mal à se doter d'un projet susceptible de renouveler leur identité. Les deux camps visent un accord avant le premier conseil national du PS prévu le 1er juillet.GUERRE ISRAËL-IRAN, SITUATION STRATÉGIQUE, TRANSFORMATIONS INDUITES SUR LA SCÈNE INTERNATIONALELe 12 juin, Israël a déclenché une guerre préventive contre les infrastructures nucléaires de l'Iran et ses cadres. Le lendemain l'Iran ne pouvant plus compter sur ses alliés au Liban, en Irak et au Yémen, affaiblis depuis le 7 octobre, a lancé seul sa riposte contre Israël. Ses alliés au sein de l'« axe de la résistance » à Israël, Hamas, Hezbollah notamment sont restés atones, à l'exception d'un tir isolé de missile par les houthistes yéménites qui a manqué sa cible et s'est abattu sur Hébron, en Cisjordanie occupée. L'Irak, la Jordanie et les monarchies du Golfe, qui accueillent des bases américaines sur leur sol, sont tétanisées à la perspective de représailles de Téhéran contre l'Etat hébreu et son allié américain.En Israël, dans une étude publiée lundi par l'Université hébraïque de Jérusalem, 70% des sondés soutiennent l'opération. Avec une approche très divisée selon les populations : 83% chez les juifs israéliens, contre 12% chez les Palestiniens de citoyenneté israélienne.Même si elle a fait capoter les négociations qu'il avait rouvertes avec Téhéran, et en dépit de la déclaration de la coordinatrice du renseignement américain selon qui l'Iran n'était pas engagé dans la fabrication d'une arme nucléaire, Donald Trump a soutenu publiquement l'opération israélienne contre l'Iran, et ordonné l'envoi de renforts, notamment navals, pour aider à la défense d'Israël. Le porte-avions nucléaire Nimitz a été dépêché depuis la mer de Chine vers le Moyen-Orient. Mais le président américain s'est jusqu'à présent abstenu d'engager directement les forces américaines dans des actions offensives. Il a mis en garde l'Iran contre la tentation d'attaquer les intérêts américains dans la région. Il continue à prétendre qu'une négociation peut reprendre. Rentré précipitamment du sommet du G7 au Canada, le président américain a réuni mardi un conseil de sécurité consacré à la guerre aérienne entre Israël et l'Iran. La perspective d'une participation américaine aux raids contre l'Iran a créé une fracture au sein du mouvement MAGA, où l'aile isolationniste critique dorénavant ouvertement le président.La Russie a été la seule, parmi les puissances qui comptent dans le monde, à condamner très clairement l'attaque israélienne. Moscou ne pouvait pas faire moins à l'égard d'un pays qui lui fournit en grande quantité les drones utilisés contre l'Ukraine. Les critiques de la Chine ont été plus discrètes. L'ensemble des pays Européens a affiché sa solidarité avec Israël, tout en invitant les deux partis à la désescalade. Les guerres préventives occidentales en terre d'islam du début du XXIème siècle, celle d'Irak en 2003, et celle de Libye en 2011, ont abouti à des catastrophes régionales, qui ne sont toujours pas résolues.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Advanced French
Advanced French 444 - World News, Opinion and Analysis in French

Advanced French

Play Episode Listen Later Jun 18, 2025 10:31


L'Arabie saoudite, future puissance mondiale de l'intelligence artificielle ? Le Vietnam, préoccupé par sa croissance économique, met fin à la limite de deux enfants par famille Après des mois de tensions, Macron et Meloni tentent une réconciliation à Rome Présidentielles 2027 : Edouard Philippe inscrit sa candidature dans la durée Église catholique : le nombre d'adultes baptisés atteint un record historique

Les interviews d'Inter
Questions Politiques, avec le ministre de l'Economie Éric Lombard

Les interviews d'Inter

Play Episode Listen Later Jun 8, 2025 54:54


durée : 00:54:54 - Questions politiques - par : Carine BECARD, Fabienne Le Moal - Le ministre de l'Économie, Éric Lombard, a estimé que ce n'était pas "le bon moment" d'introduire une part "obligatoire" de capitalisation dans le système des retraites, comme l'a proposé l'ancien Premier ministre Edouard Philippe. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Questions politiques
Questions Politiques, avec le ministre de l'Economie Éric Lombard

Questions politiques

Play Episode Listen Later Jun 8, 2025 54:54


durée : 00:54:54 - Questions politiques - par : Carine BECARD, Fabienne Le Moal - Le ministre de l'Économie, Éric Lombard, a estimé que ce n'était pas "le bon moment" d'introduire une part "obligatoire" de capitalisation dans le système des retraites, comme l'a proposé l'ancien Premier ministre Edouard Philippe.

Politique
Présidentielle 2027: la droite en ordre de bataille, le PS élit son premier secrétaire

Politique

Play Episode Listen Later Jun 5, 2025 39:37


Les candidats en piste pour 2027 semblent se multiplier et les ouvrages avec : Edouard Philippe ou Michel Barnier ont déjà sorti les leurs. Bruno Retailleau et Gérald Darmanin ne cachent pas leur envie de se lancer. A gauche, le Parti socialiste élit son nouveau premier secrétaire. Les adhérents doivent départager Olivier Faure et Nicolas Mayer-Rossignol, avec comme enjeu l'union et la question brûlante d'une alliance avec les Insoumis pour les prochaines échéances électorales.

Le sept neuf
Edouard Philippe : "On a un pays où il ne se passe pas grand-chose, pas de grand projet, pas de grand souffle"

Le sept neuf

Play Episode Listen Later Jun 4, 2025 27:26


durée : 00:27:26 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Edouard Philippe, ancien Premier ministre, maire du Havre et auteur de "Le prix de nos mensonges" (JC Lattès), dans lequel il partage sa vision pour la France en tant que candidat à l'élection présidentielle de 2027, est l'invité du Grand entretien de la matinale. - invités : Edouard PHILIPPE - Édouard Philippe : Ancien Premier ministre

Le sept neuf
Le 7/10 du mercredi 4 juin 2025 : Elie Barnavi, Edouard Philippe et Tayc

Le sept neuf

Play Episode Listen Later Jun 4, 2025 179:16


durée : 02:59:16 - Le 7/10 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé, Sonia Devillers, Anne-Laure Sugier - Ce matin dans la matinale de France Inter, Eli Barnavi, historien et diplomate, ancien ambassadeur d'Israël en France. L'ex premier ministre et maire du Havre Edouard Philippe sera l'invité du Grand entretien. Et le chanteur Tayc pour son nouveau single "Ma lady".

Les interviews d'Inter
Edouard Philippe : "On a un pays où il ne se passe pas grand-chose, pas de grand projet, pas de grand souffle"

Les interviews d'Inter

Play Episode Listen Later Jun 4, 2025 27:26


durée : 00:27:26 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Edouard Philippe, ancien Premier ministre, maire du Havre et auteur de "Le prix de nos mensonges" (JC Lattès), dans lequel il partage sa vision pour la France en tant que candidat à l'élection présidentielle de 2027, est l'invité du Grand entretien de la matinale. - invités : Edouard PHILIPPE - Édouard Philippe : Ancien Premier ministre Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Revue de presse française
A la Une, le Paris Saint-Germain en rêvait, il l'a fait !

Revue de presse française

Play Episode Listen Later Jun 1, 2025 6:15


On connaissait le fameux « À jamais les premiers » de l'Olympique de Marseille… Le Parisien Dimanche rétorque ce matin d'un « À jamais les meilleurs » après la victoire sans conteste et sans pitié du Paris Saint-Germain hier en finale de la Ligue des Champions. 5-0 face à l'Inter Milan, véritable « démonstration » de force qui, écrit La Tribune Dimanche, « se hisse parmi les moments majeurs de l'histoire du sport tricolore ». Face à une équipe aussi jeune que talentueuse, les Milanais « faisaient leur âge (30 ans de moyenne sur le terrain) » plutôt que de « faire étalage de leur expérience » écrit l'hebdo un brin cruellement. Un club quasi-invisible pendant tout le match, qui a légitimé une bonne fois pour toutes « le nouveau projet » du PSG, sans Messi, sans Neymar, sans Mbappé, bref « plus jeune » et « plus français ». Un joueur a brillé Un joueur particulièrement Doué, vous me passerez le jeu de mots de piètre qualité… Désiré Doué donc, que Le Parisien Dimanche porte aux nues. Le titre, fasciné par ce « phénomène de 19 ans », auteur hier d'un doublé et d'une passe décisive. « Bien avant le coup de sifflet final, se délecte l'hebdo, il ne faisait de doute pour personne au cœur du peuple parisien que Désiré Doué n'a jamais mieux porté, mieux honoré » son patronyme. « À trois jours de son anniversaire, le vingtième, poursuit Le Parisien Dimanche, l'attaquant s'est offert le cadeau dont rêvent tous les footballeurs de la planète (…) : celui de (…) devenir l'idole de tout un club pour l'éternité ». Un exploit qui relègue le reste au second plan Notamment la présidentielle. Il faut dire que pour les votants, c'est encore dans deux ans… alors que pour les politiques, ce n'est que dans deux ans ! Candidats assumés ou présidentiables imaginés, une partie des revues s'y penche cette semaine… Parmi eux, Le Point, dont la une est consacrée à l'ancien Premier ministre Edouard Philippe. À l'occasion de la sortie de son dernier ouvrage, Le Prix de nos mensonges, celui qui fourbit ses armes depuis 2020 développe ses idées. À commencer par ce « déni français » dont souffrirait la population dans son ensemble. « Notre exceptionnelle aptitude à nous raconter des histoires m'agace » maugrée-t-il dans les colonnes du Point, jugeant que « si nous voulons avancer, nous devons arrêter de nous mentir ». Autre thème sur lequel il rejette toute discussion : « le culte de la transparence » à bannir selon lui, et « la verticalité » qu'il appelle de ses vœux car « dans une démocratie, on a besoin de gens qui sont élus, et on a besoin de chefs qui prennent des décisions ». Sur le reste, l'art de la nuance Il faut dire, comme l'analyse un politologue dans les colonnes du Point toujours, que « pour redevenir majoritaire, la droite devra faire le grand écart » c'est-à-dire à la fois « reconquérir les électeurs du Rassemblement national et convaincre les ralliés au macronisme ». Une forme de « en même temps » 2.0 dont Edouard Philippe refuse d'être l'héritier : « mon objectif n'est pas de me positionner par rapport à une étiquette, (...) à un parti, (...) à un créneau » assène-t-il. Malgré tout, Edouard Philippe prend soin de nuancer, notamment sur les questions identitaires et migratoires. « Je ne crois pas, dit-il, que la fermeté se démontre par des postures et des surenchères permanentes sur les chaînes d'info »; « il serait dangereux, affirme-t-il enfin, de créer un droit spécifique - il faut ici comprendre "droit" au sens de "loi" - pour une religion, et je ne crois pas que la laïcité impose la négation totale de la liberté religieuse dans l'espace public ». Une rupture avec les autres cadors de la droite française Et particulièrement avec Bruno Retailleau, le très droitier ministre de l'Intérieur. À son sujet, Edouard Philippe s'accorde une pique : il n'est « pas sûr » ironise-t-il, que Bruno Retailleau y verrait  « une critique » si on le rangeait dans la « droite Trocadéro », une droite embourgeoisée, catholique, et vieille-France.Droite Trocadéro on ne sait pas, droite à gogo c'est certain pour Marianne, qui n'hésite pas à qualifier le ministre de « moine-soldat de la droite » qui a « souvent croisé la route d'élus de l'extrême-droite, sans leur tourner le dos ». Va-t-il pour autant « réaliser l'union en 2027 ? » … Marianne s'interroge. Le titre pointe que « Retailleau bénéficie des faveurs de la presse de droite et d'extrême-droite » à la télé ou sur papier, où il « déroule ses saillies anti-immigration, multiplie les annonces chocs (…), et affiche une grande fermeté à l'encontre de l'Algérie ».   Le ministre de l'Intérieur le dit d'ailleurs lui-même : interrogé sur sa proximité, ou ses différences, avec le Rassemblement national, il le concède : ce qui le « distingue » de Marine le Pen ou Jordan Bardella, c'est « le programme économique » … pas un mot en revanche sur d'éventuelles divergences idéologiques. Un mot aussi de la situation internationale Que ce soit dans L'Express ou dans Le Point, une préoccupation : les liens entre l'Europe et Donald Trump. Dans le second, on parle plutôt défense et armement; dans le premier, c'est surtout de politique qu'il est question. L'Express fait ainsi le constat d'un trumpisme devenu une « franchise » voire un « label » qui « galvanise les politiques » propulsant les Giorgia Meloni et Viktor Orban de ce monde au sommet grâce à une « boîte à outils » dans laquelle « ils peuvent piocher à l'envi des "punchlines" » comme autant de coups gagnants.Le phénomène n'est en réalité pas nouveau, analyse L'Express, le trumpisme n'a fait que donner un coup d'accélérateur à une idéologie « enracin[é]e dans une colère profonde ». Car il ne faut pas sous-estimer le poids des émotions dans le contexte actuel, souligne de son côté L'Obs. Interrogée par le magazine, la sociologue franco-israélienne Eva Illouz estime ainsi que « le désenchantement et la peur sont devenus le spectre permanent de la démocratie » et que l'extrême droite « capte et organise cette émotionnalité excédentaire ». Auparavant, l'espoir était selon elle l'émotion principale, mais voilà : « la modernité tardive (…) [a] écrasé cette espérance dans le futur ». Faut-il pour autant se lamenter de toute cette colère ? Pas forcément nuance L'Obs… « les émotions fortes permettent d'évaluer ce qui est important pour soi » mais elles sont aussi une « brèche » pour peut-être, enfin, sortir de « la sur-socialisation, le fait de s'identifier totalement à un rôle ». De là à rêver au retour de l'espoir, il n'y a qu'un pas. 

Esprits Libres
Présidentielle 2027 : « on peut s'attendre à un duel fratricide entre Edouard Philippe et Bruno Retailleau » selon Franz-Olivier Giesbert

Esprits Libres

Play Episode Listen Later May 29, 2025 11:27


Franz-Olivier Giesbert s'exprime au sujet de l'élection présidentielle, prévue dans deux ans, pour laquelle la campagne est déjà lancée pour certains. La candidature d'Edouard Philippe n'est plus une surprise, tandis que celle de Bruno Retailleau prend davantage de place. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L'opinion de Nicolas Beytout
La peau de chagrin du macronisme

L'opinion de Nicolas Beytout

Play Episode Listen Later May 26, 2025 3:59


Dans cet épisode, Vincent Trémolet de Villers analyse l'évolution du paysage politique français. Il évoque la fin annoncée du macronisme, avec les ambitions présidentielles affichées par des figures comme Edouard Philippe, Gabriel Attal ou Gérald Darmanin. Il s'interroge sur le retour possible du clivage droite-gauche, avec le risque pour le centre d'être la première victime de cette nouvelle configuration. Une analyse approfondie des dynamiques politiques qui agitent la France à l'approche de 2027.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

On marche sur la tête
Gabriel Attal estimé à 15% face à Edouard Philippe estimé quant à lui à 21%

On marche sur la tête

Play Episode Listen Later May 20, 2025 10:53


Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Cyril Hanouna et ses invités débattent de Gabriel Attal face à Edouard PhilippeDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

C dans l'air
Blanche Leridon - vers un candidat hors système?

C dans l'air

Play Episode Listen Later May 8, 2025 10:55


C dans l'air l'invitée du 7 mai 2025 : Blanche Leridon est directrice éditoriale de l'institut Montaigne, spécialiste des questions démocratiques et institutionnelles.Une récente étude Ifop pour l'observatoire Hexagone révélait que les intentions de vote pour la présidentielle 2027 montrent que le Rassemblement national reste puissant malgré la condamnation de sa cheffe de file. Le Rassemblement national confirme son leadership au premier tour quel que soit son représentant. Au second, Marine Le Pen et Jordan Bardella semblent, selon l'étude, très haut, au point d'être en mesure de l'emporter dans de nombreux scénarios. Sauf face à Edouard Philippe, qui ferait jeu égal avec Jordan Bardella, mais l'emporterait de peu face à Marine Le Pen.Un autre sondage, cette fois de l'institut Odoxa-Backbone consulting pour Le Figaro, analyse révèle les attentes à deux ans de l'élection présidentielle. Une majorité de Français (58%) n'ont toujours pas de candidat idéal. Un même pourcentage trouverait "une bonne idée" d'avoir des candidatures de personnalités hors des partis traditionnels. Des personnalités ont récemment émergé dans l'opinion, comme Michel-Edouard Leclerc, ou Cyril Hanouna. De quoi ces hypothèses "hors système" sont-elles le nom ? Notre invitée, Blanche Leridon, directrice éditoriale de l'institut Montaigne, spécialiste des questions démocratiques et institutionnelles, répondra à nos questions.

Le Billet politique
Quel est l'horizon d'Horizons, le parti d'Edouard Philippe ?

Le Billet politique

Play Episode Listen Later Apr 24, 2025 4:44


durée : 00:04:44 - Le Billet politique - par : Astrid de Villaines - Que devient Edouard Philippe ? La question est rituelle... Et pour cause, le candidat déclaré à la présidentielle a lancé son parti, Horizons, il y a trois ans et demi et doit encore gérer deux ans avant la prochaine présidentielle. Il fixe le cap vers les municipales.

On marche sur la tête
«Gabriel Attal et Edouard Philippe vont vouloir jouer la rupture» affirme Gauthier le Bret

On marche sur la tête

Play Episode Listen Later Apr 7, 2025 10:36


Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Cyril Hanouna et ses invités débattent de la possible rupture entre Gabriel Attal et Emmanuel Macron. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

On marche sur la tête
«Je ne crois pas qu'Edouard Philippe deviendra Président en 2027» estime Gauthier le Bret

On marche sur la tête

Play Episode Listen Later Apr 7, 2025 3:34


Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Cyril Hanouna et ses invités débattent du duel entre Gabriel Attal et Edouard Philippe.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le Nouvel Esprit Public
Tableau des forces politiques après la décision du Tribunal de Paris

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later Apr 6, 2025 62:07


Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'École alsacienne le 6 avril 2025.Avec cette semaine :Nicolas Baverez, essayiste et avocat.Jean-Louis Bourlanges, essayiste.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Lucile Schmid, vice-présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.TABLEAU DES FORCES POLITIQUES APRÈS LA DÉCISION DU TRIBUNAL DE PARISLundi, Marine Le Pen a été reconnue coupable de détournement de fonds publics dans l'affaire des assistants parlementaires européens du Front national (devenu Rassemblement national, RN). Elle a été condamnée à quatre ans d'emprisonnement, dont deux ferme avec bracelet électronique, et à une amende de 100.000 euros. Mais c'est la peine d'inéligibilité à cinq ans avec exécution provisoire qui fait débat. La députée du Pas-de-Calais a interjeté appel, mardi, de la décision du tribunal correctionnel de Paris. Quelques heures après, la cour d'appel de Paris a annoncé vouloir rendre sa décision à l'été 2026.Alors que la leader du RN s'insurge contre « la tyrannie des juges », le Président défend « l'indépendance de la justice ». En revanche, tout en considérant qu'il n'a « pas le droit », en tant que membre du gouvernement, de « critiquer une décision de justice », François Bayrou a jugé « en tant que citoyen », que la décision du tribunal correctionnel de Paris soulève « des interrogations ». Lui-même est sous la menace d'une condamnation dans l'affaire des assistants parlementaires du MoDem au Parlement européen, pour des faits comparables à ceux reprochés à Marine Le Pen. Le leader de La France insoumise, Jean-Luc Mélenchon a jugé que « la décision de destituer un élu devrait revenir au peuple ». LFI pourrait bientôt devoir répondre devant la justice à des accusations semblables. Le président du Sénat, Gérard Larcher a estimé que « si la loi va trop loin, le législateur doit pouvoir la corriger », tandis que le président du groupe de l'Union des droites pour la République à l'Assemblée nationale, Éric Ciotti, allié de Marine Le Pen, a décidé de la « supprimer ».Écologistes, socialistes, communistes et anciens « insoumis » ont applaudi la décision des juges et fustigé au passage les propos de Jean-Luc Mélenchon. Le premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, et le chef de file des députés macronistes, Gabriel Attal, se sont démarqués. « Je suis troublé par le trouble du Premier ministre », a dit Olivier Faure. « Je ne suis jamais troublé par la démocratie », a enchaîné Gabriel Attal. Le président de la région Hauts-de-France, Xavier Bertrand s'est inquiété des « manifestations de soutien » de « l'internationale de l'extrême droite » à l'endroit de Marine Le Pen.Ce week-end, Le RN a organisé une mobilisation dans les rues afin de mettre la pression contre l'institution judiciaire – ou comme il le présente, « sauver la démocratie ». Ce dimanche, Gabriel Attal entend rassembler le bloc central dans un meeting au cours duquel, Edouard Philippe, qui n'est pas encore sorti de sa réserve, devrait s'exprimer. D'après un sondage Elabe pour BFMTV 57 % des Français estiment que la décision de justice est « normale au vu des faits reprochés ».Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

C dans l'air
Réarmement: êtes-vous prêts à payer? - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Mar 20, 2025 63:50


C dans l'air du 20 mars 2025 - Prêts à financer la défense ?Face au désengagement américain, les Européens pressent le pas pour tenter d'assurer eux-mêmes leur défense. Après avoir validé le plan d'investissements "ReArm Europe" au début du mois, les Vingt-Sept se réunissent de nouveau ce jeudi pour examiner les orientations du Livre blanc sur la défense, présenté par la Commission européenne. On y retrouve les grandes lignes du plan dévoilé par Ursula von der Leyen il y a deux semaines, avec un objectif affiché de 800 milliards d'euros pour réarmer l'Europe d'ici 2030 ainsi que des propositions pour aider les États à augmenter leurs dépenses militaires et renforcer l'industrie de défense. Mais des divergences persistent quant au financement de ce plan.En France, le chef de l'Etat a promis mardi d'augmenter les commandes de Rafale ainsi que "d'importantes décisions pour nos armées" dans les "prochaines semaines", dans le cadre de nouveaux investissements décidés en raison de la "bascule" géopolitique. En quelques semaines, la défense est devenue la priorité du gouvernement. Son budget, de plus de 50 milliards d'euros en 2025, devrait doubler d'ici 2030 pour se rapprocher de 100 milliards d'euros, selon le ministre de la Défense. Mais comment financer le réarmement de la France ? A-t-on les moyens de nos ambitions ? Alors qu'investisseurs et entreprises sont réunis ce jeudi au ministère de l'Economie pour réfléchir à une montée en cadence, dans le contexte de la guerre en Ukraine, Eric Lombard a annoncé ce jeudi la création d'un fonds de 450 millions d'euros dans lequel les Français pourront investir pour financer le secteur de la défense. "Il ne peut pas y avoir de nouveau 'quoi qu'il en coûte'" a prévenu de son côté le gouverneur de la Banque de France. La réunion de ce jeudi répond à "une première question 'Qui va prêter au début aux industries de défense ?'""Mais la question plus difficile qui viendra ensuite, qui est plus difficile, c'est : 'Qui va payer à la fin ?'", a poursuivi François Villeroy de Galhau.Si l'exécutif exclut toute hausse d'impôts, le Premier ministre, François Bayrou, a défendu l'idée d'une "reconquête de la production" sur France Inter, sans préciser comment. En travaillant plus, dans la semaine ou dans l'année et tout au long de la vie, a expliqué de son côté Edouard Philippe alors qu'à gauche c'est l'idée d'un grand emprunt européen et d'une taxe Zucman sur les ultrariches qui est poussée. L'Observatoire européen de la fiscalité dirigé par l'économiste français Gabriel Zucman propose de taxer à hauteur de 2 % ou 3 % le patrimoine des ultrariches européens (plus de 100 millions d'euros) pour financer l'effort de défense du Vieux Continent. Cette taxe rapporterait, en fonction du taux retenu, de 67 milliards à 121 milliards d'euros par an.Parallèlement, Jean-Luc Mélenchon, Fabien Roussel, Olivier Faure, Mathilde Panot ou encore Marine Tondelier ont alerté l'éxécutif sur la situation de Vencorex, un sous-traitant stratégique pour la dissuasion nucléaire française, placée en redressement judiciaire en septembre dernier. "On ne peut pas laisser Vencorex fermer" a estimé le leader de la France insoumise que nous avons suivi lors de son déplacement sur le site ce mercredi. Il a également exhorté le gouvernement à cesser "son baratin sur la souveraineté".Nos journalistes sont également allés en Estonie. Ce pays frontalier de la Russie est désormais l'un des pays de l'OTAN qui investit le plus dans sa défense. Il y consacre 3,4 % de son PIB depuis l'année dernière et entend passer à plus de 5 % de son PIB à partir de 2026. "Avec la Russie, nous avons un délai de trois à cinq ans" a expliqué le ministre des Affaires étrangères estonien qui appelle les autres pays européens à investir de la défense européenne. Les experts :- ALAIN PIROT - Journaliste spécialiste des questions de défense- ISABELLE LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro , spécialiste des questions de stratégie et de géopolitique- SYLVIE MATELLY - Économiste, directrice de l'Institut Jacques Delors, auteure de Géopolitique de l'économie - PIERRE HAROCHE - Maître de conférences en politique européenne et internationale, Université Catholique de Lille PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/

Le sept neuf
Suspension de l'aide américaine en Ukraine : "La décision américaine est une trahison", estime Édouard Philippe

Le sept neuf

Play Episode Listen Later Mar 4, 2025 29:17


durée : 00:29:17 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - L'ancien Premier ministre Édouard Philippe était l'invité du Grand Entretien de France Inter ce mardi, quelques heures après la décision des États-Unis de suspendre leur aide militaire à l'Ukraine. - invités : Edouard PHILIPPE - Édouard Philippe : Ancien Premier ministre

Le sept neuf
Caroline Darian / Edouard Philippe / Jean-Claude Delgènes et Benoît Serre / Joël Dicker / Dylan Ayissi

Le sept neuf

Play Episode Listen Later Mar 4, 2025 178:52


durée : 02:58:52 - Le 7/10 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé, Sonia Devillers, Anne-Laure Sugier - Caroline Darian, Edouard Philippe, Jean-Claude Delgènes et Benoît Serre, Joël Dicker, Dylan Ayissi sont les invités de ce mardi.

Le grand journal du soir - Matthieu Belliard
Edouard Philippe, Gérald Darmanin.. Les candidatures pour la Présidentielle apparaissent déjà

Le grand journal du soir - Matthieu Belliard

Play Episode Listen Later Feb 10, 2025 4:29


Tous les jours de la semaine, invités et chroniqueurs sont autour du micro de Pierre de Vilno pour débattre des actualités du jour.

Les informés de France Info
Les 80 ans de la libération d'Auschwitz, le budget 2025, Edouard Philippe qui réuni ses troupes. Les informés de franceinfo du lundi 27 janvier 2025

Les informés de France Info

Play Episode Listen Later Jan 27, 2025 55:20


durée : 00:55:20 - franceinfo: Les informés - Tous les jours, les informés débattent de l'actualité autour de Jean-Rémi Baudot et Aurélie Herbemont.

Les informés de France Info
Au moins 22 morts au sud du Liban, rentrée scolaire à Mayotte, Edouard Philippe en meeting... Les informés de franceinfo du dimanche 26 janvier 2025

Les informés de France Info

Play Episode Listen Later Jan 26, 2025 45:30


durée : 00:45:30 - franceinfo: Les informés - Tous les jours, les informés débattent de l'actualité, ce dimanche autour de Victor Matet.

L'oeil de...
BEST OF - Bardella, Coppé, Bompard... Caverivière face aux politiques

L'oeil de...

Play Episode Listen Later Jan 11, 2025 6:06


Chaque samedi, découvrez une compilation thématisée des meilleurs chroniques de Philippe Caverivière ! Dans ce best of, l'humoriste fait face à Edouard Philippe, Jean-François Coppé, Manuel Bombard et Jordan Bardella.