100th Prime Minister of France
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Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 20 juin 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste.Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l'Institut Français de Géopolitique.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.SITUATION DES EX-PARTIS DOMINANTS (LR-PS) APRÈS L'ÉLECTION DE LEURS DIRIGEANTSLe 18 mai Bruno Retailleau a été élu à la tête du parti Les Républicains avec une majorité de 74,31% des voix. Dans la foulée, le nouveau dirigeant de LR a pris trois engagements : rendre le parti à tous les militants via des référendums. Remettre le parti « au travail ». Enfin, reconstruire pour « gagner des élections ». « Je veux faire se lever une vague bleue », a-t-il lancé en pensant aux municipales de mars 2026. À droite, la victoire de Bruno Retailleau signe le retour d'un espoir après plus de dix années dans l'opposition et une succession de revers électoraux dont LR ne s'est jamais vraiment remis. Les bons scores obtenus dans différentes élections législatives partielles, à Villeneuve-Saint-Georges, dans le Jura ou les Hauts-de-Seine, sont un signe, veulent croire les cadres du parti, qu'un espace existe entre une Macronie jugée finissante et un Rassemblement national privé de sa « candidate naturelle » si la peine d'inéligibilité de Marine Le Pen se confirme en appel. Si sa large victoire installe Bruno Retailleau comme le nouveau candidat naturel de la droite pour la prochaine présidentielle, il doit toutefois composer avec les ambitions de ses soutiens de campagne. Dans un sondage Toluna Harris Interactive pour LCI, le nouveau patron de LR reste largement distancé par Edouard Philippe au premier tour de l'élection présidentielle.Au Parti Socialiste, si la victoire sur le fil d'Olivier Faure, reconduit le 5 juin avec 50,9% des suffrages au détriment du maire de Rouen, Nicolas Mayer-Rossignol, à 250 voix près, ne fait pas débat, aucune synthèse n'a cependant été possible entre les deux fractions lors du 81ème congrès réuni du 13 au 15 juin, à Nancy. En cause : la place de La France Insoumise au sein de l'union de la gauche. Trois ans après la Nouvelle Union populaire écologique et sociale en 2022, un an après le Nouveau Front Populaire en 2024, la relation des socialistes à Jean-Luc Mélenchon et LFI a empoisonné le congrès du PS. Nicolas Mayer-Rossignol, estimant qu'il ne fallait « plus d'accord national et programmatique aux législatives pour gouverner ensemble avec La France Insoumise », a demandé solennellement à son parti de « dire et écrire et affirmer unanimement qu'il n'y aura pas, sous aucun prétexte, ni au plan national ni local, même en cas de dissolution, d'alliance avec LFI ». Le Premier secrétaire a refusé cet amendement au texte final, estimant qu'il « ne faut pas qu'on sorte de l'ambiguïté stratégique vis-à-vis de LFI ». L'état de division dans lequel se trouve l'ancien parti dominant de la gauche, aujourd'hui réduit à moins de 40.000 militants revendiqués, l'expose à de grandes déconvenues : en désaccord sur la ligne, les socialistes vont avoir le plus grand mal à se doter d'un projet susceptible de renouveler leur identité. Les deux camps visent un accord avant le premier conseil national du PS prévu le 1er juillet.GUERRE ISRAËL-IRAN, SITUATION STRATÉGIQUE, TRANSFORMATIONS INDUITES SUR LA SCÈNE INTERNATIONALELe 12 juin, Israël a déclenché une guerre préventive contre les infrastructures nucléaires de l'Iran et ses cadres. Le lendemain l'Iran ne pouvant plus compter sur ses alliés au Liban, en Irak et au Yémen, affaiblis depuis le 7 octobre, a lancé seul sa riposte contre Israël. Ses alliés au sein de l'« axe de la résistance » à Israël, Hamas, Hezbollah notamment sont restés atones, à l'exception d'un tir isolé de missile par les houthistes yéménites qui a manqué sa cible et s'est abattu sur Hébron, en Cisjordanie occupée. L'Irak, la Jordanie et les monarchies du Golfe, qui accueillent des bases américaines sur leur sol, sont tétanisées à la perspective de représailles de Téhéran contre l'Etat hébreu et son allié américain.En Israël, dans une étude publiée lundi par l'Université hébraïque de Jérusalem, 70% des sondés soutiennent l'opération. Avec une approche très divisée selon les populations : 83% chez les juifs israéliens, contre 12% chez les Palestiniens de citoyenneté israélienne.Même si elle a fait capoter les négociations qu'il avait rouvertes avec Téhéran, et en dépit de la déclaration de la coordinatrice du renseignement américain selon qui l'Iran n'était pas engagé dans la fabrication d'une arme nucléaire, Donald Trump a soutenu publiquement l'opération israélienne contre l'Iran, et ordonné l'envoi de renforts, notamment navals, pour aider à la défense d'Israël. Le porte-avions nucléaire Nimitz a été dépêché depuis la mer de Chine vers le Moyen-Orient. Mais le président américain s'est jusqu'à présent abstenu d'engager directement les forces américaines dans des actions offensives. Il a mis en garde l'Iran contre la tentation d'attaquer les intérêts américains dans la région. Il continue à prétendre qu'une négociation peut reprendre. Rentré précipitamment du sommet du G7 au Canada, le président américain a réuni mardi un conseil de sécurité consacré à la guerre aérienne entre Israël et l'Iran. La perspective d'une participation américaine aux raids contre l'Iran a créé une fracture au sein du mouvement MAGA, où l'aile isolationniste critique dorénavant ouvertement le président.La Russie a été la seule, parmi les puissances qui comptent dans le monde, à condamner très clairement l'attaque israélienne. Moscou ne pouvait pas faire moins à l'égard d'un pays qui lui fournit en grande quantité les drones utilisés contre l'Ukraine. Les critiques de la Chine ont été plus discrètes. L'ensemble des pays Européens a affiché sa solidarité avec Israël, tout en invitant les deux partis à la désescalade. Les guerres préventives occidentales en terre d'islam du début du XXIème siècle, celle d'Irak en 2003, et celle de Libye en 2011, ont abouti à des catastrophes régionales, qui ne sont toujours pas résolues.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'Arabie saoudite, future puissance mondiale de l'intelligence artificielle ? Le Vietnam, préoccupé par sa croissance économique, met fin à la limite de deux enfants par famille Après des mois de tensions, Macron et Meloni tentent une réconciliation à Rome Présidentielles 2027 : Edouard Philippe inscrit sa candidature dans la durée Église catholique : le nombre d'adultes baptisés atteint un record historique
Le conclave sur les retraites s'achève ce mardi. Selon la stratégie déterminée par François Bayrou, le dossier reviendra ensuite devant le Parlement, avec potentiellement un nouveau texte à étudier. Si les discussions entre les partenaires sociaux semblent avoir légèrement avancé ces derniers jours, le consensus n'est toujours pas trouvé et les oppositions comptent bien mettre la pression sur le gouvernement. La France Insoumise l'a déjà promis : elle déposera une motion de censure si la réforme Borne, passée en force il y a deux ans, n'est pas abrogée. La France insoumise se sent d'autant moins contrainte que la CGT, syndicat dont elle est le plus proche, a claqué la porte des discussions voilà des mois. À lire aussiRetraites : y a-t-il un problème français ? Mais une nouvelle fois, c'est le Parti socialiste qui pourrait s'ériger en arbitre. Le PS n'écarte pas de censurer le gouvernement Bayrou, mais son Premier secrétaire tout juste réélu, Olivier Faure, n'en fait pas une posture automatique. Il attend surtout l'épilogue des discussions entre partenaires sociaux. Proche du syndicat CFDT, qui négocie toujours avec le patronat, le parti à la rose pourrait s'accommoder de mesures sur la pénibilité, les carrières hachées, voire un changement de l'âge minimal de départ avec une pension complète sans avoir validé tous ses trimestres. La CFDT propose de le ramener à 66 ans au lieu de 67 actuellement. Mais « si c'est le statu quo, je ne vois pas comment on ne censure pas », estime un influent sénateur PS. François Bayrou affiche son optimisme Le Premier ministre l'a répété cette semaine, il croit « qu'il existe un chemin » vers un accord entre syndicats et patronat... et par là-même un moyen pour lui de s'éviter une motion de censure délicate. Le problème, c'est que des messages contradictoires venus de ses propres rangs ont émergé ces derniers jours. Son prédécesseur Edouard Philippe défend toujours l'idée de relever l'âge légal de départ mais aussi introduire une part de capitalisation, c'est-à-dire une épargne individuelle. L'idée fait son chemin dans les rangs macronistes, où le député Pierre Cazeneuve a par ailleurs indiqué vouloir déposer une proposition de loi relevant à 65 ans l'âge légal de départ à la retraite. Des pistes susceptibles d'embarrasser le Premier ministre Le Rassemblement National ne veut absolument pas en entendre parler de ces propositions alors qu'à gauche, le projet même de privatiser les retraites, même en partie, est vu comme un casus belli. Un cadeau empoisonné donc pour François Bayrou, car un changement de système impliquerait de trouver des financements pour organiser la transition. Or le Premier ministre a une mission, celle de faire des économies, 40 milliards sur le budget 2026. Les semaines qui s'annoncent pourraient donc se transformer en pente très glissante pour le gouvernement Bayrou. À lire aussiFrance: l'avenir du «conclave» sur les retraites est-il compromis?
Alors que le système par répartition semble à bout de souffle, la capitalisation s'impose peu à peu dans le débat sur les retraites. Edouard Philippe en fait un pilier de son programme, soutenu dans cette orientation par Gérald Darmanin et Gabriel Attal. Même la CFDT ne s'y oppose pas. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:54:54 - Questions politiques - par : Carine BECARD, Fabienne Le Moal - Le ministre de l'Économie, Éric Lombard, a estimé que ce n'était pas "le bon moment" d'introduire une part "obligatoire" de capitalisation dans le système des retraites, comme l'a proposé l'ancien Premier ministre Edouard Philippe.
Les candidats en piste pour 2027 semblent se multiplier et les ouvrages avec : Edouard Philippe ou Michel Barnier ont déjà sorti les leurs. Bruno Retailleau et Gérald Darmanin ne cachent pas leur envie de se lancer. A gauche, le Parti socialiste élit son nouveau premier secrétaire. Les adhérents doivent départager Olivier Faure et Nicolas Mayer-Rossignol, avec comme enjeu l'union et la question brûlante d'une alliance avec les Insoumis pour les prochaines échéances électorales.
durée : 00:27:26 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Edouard Philippe, ancien Premier ministre, maire du Havre et auteur de "Le prix de nos mensonges" (JC Lattès), dans lequel il partage sa vision pour la France en tant que candidat à l'élection présidentielle de 2027, est l'invité du Grand entretien de la matinale. - invités : Edouard PHILIPPE - Édouard Philippe : Ancien Premier ministre
durée : 02:59:16 - Le 7/10 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé, Sonia Devillers, Anne-Laure Sugier - Ce matin dans la matinale de France Inter, Eli Barnavi, historien et diplomate, ancien ambassadeur d'Israël en France. L'ex premier ministre et maire du Havre Edouard Philippe sera l'invité du Grand entretien. Et le chanteur Tayc pour son nouveau single "Ma lady".
Avec la publication de son nouveau livre, Edouard Philippe cherche à s'affirmer à l'horizon de 2027. Ancien Premier ministre d'Emmanuel Macron, il cultive une image d'alternative crédible, mais reste-t-il encore dans l'ombre du macronisme ou s'en distingue-t-il ? Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Edouard Philippe, Eric Ciotti, Michel Barnier, Gabriel Attal, Gérald Darmanin, ou encore Jordan Bardella… Nombreuses sont les figures politiques qui s'apprêtent à publier un livre, ou ont un projet d'ouvrage en cours pour les mois à venir. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On connaissait le fameux « À jamais les premiers » de l'Olympique de Marseille… Le Parisien Dimanche rétorque ce matin d'un « À jamais les meilleurs » après la victoire sans conteste et sans pitié du Paris Saint-Germain hier en finale de la Ligue des Champions. 5-0 face à l'Inter Milan, véritable « démonstration » de force qui, écrit La Tribune Dimanche, « se hisse parmi les moments majeurs de l'histoire du sport tricolore ». Face à une équipe aussi jeune que talentueuse, les Milanais « faisaient leur âge (30 ans de moyenne sur le terrain) » plutôt que de « faire étalage de leur expérience » écrit l'hebdo un brin cruellement. Un club quasi-invisible pendant tout le match, qui a légitimé une bonne fois pour toutes « le nouveau projet » du PSG, sans Messi, sans Neymar, sans Mbappé, bref « plus jeune » et « plus français ». Un joueur a brillé Un joueur particulièrement Doué, vous me passerez le jeu de mots de piètre qualité… Désiré Doué donc, que Le Parisien Dimanche porte aux nues. Le titre, fasciné par ce « phénomène de 19 ans », auteur hier d'un doublé et d'une passe décisive. « Bien avant le coup de sifflet final, se délecte l'hebdo, il ne faisait de doute pour personne au cœur du peuple parisien que Désiré Doué n'a jamais mieux porté, mieux honoré » son patronyme. « À trois jours de son anniversaire, le vingtième, poursuit Le Parisien Dimanche, l'attaquant s'est offert le cadeau dont rêvent tous les footballeurs de la planète (…) : celui de (…) devenir l'idole de tout un club pour l'éternité ». Un exploit qui relègue le reste au second plan Notamment la présidentielle. Il faut dire que pour les votants, c'est encore dans deux ans… alors que pour les politiques, ce n'est que dans deux ans ! Candidats assumés ou présidentiables imaginés, une partie des revues s'y penche cette semaine… Parmi eux, Le Point, dont la une est consacrée à l'ancien Premier ministre Edouard Philippe. À l'occasion de la sortie de son dernier ouvrage, Le Prix de nos mensonges, celui qui fourbit ses armes depuis 2020 développe ses idées. À commencer par ce « déni français » dont souffrirait la population dans son ensemble. « Notre exceptionnelle aptitude à nous raconter des histoires m'agace » maugrée-t-il dans les colonnes du Point, jugeant que « si nous voulons avancer, nous devons arrêter de nous mentir ». Autre thème sur lequel il rejette toute discussion : « le culte de la transparence » à bannir selon lui, et « la verticalité » qu'il appelle de ses vœux car « dans une démocratie, on a besoin de gens qui sont élus, et on a besoin de chefs qui prennent des décisions ». Sur le reste, l'art de la nuance Il faut dire, comme l'analyse un politologue dans les colonnes du Point toujours, que « pour redevenir majoritaire, la droite devra faire le grand écart » c'est-à-dire à la fois « reconquérir les électeurs du Rassemblement national et convaincre les ralliés au macronisme ». Une forme de « en même temps » 2.0 dont Edouard Philippe refuse d'être l'héritier : « mon objectif n'est pas de me positionner par rapport à une étiquette, (...) à un parti, (...) à un créneau » assène-t-il. Malgré tout, Edouard Philippe prend soin de nuancer, notamment sur les questions identitaires et migratoires. « Je ne crois pas, dit-il, que la fermeté se démontre par des postures et des surenchères permanentes sur les chaînes d'info »; « il serait dangereux, affirme-t-il enfin, de créer un droit spécifique - il faut ici comprendre "droit" au sens de "loi" - pour une religion, et je ne crois pas que la laïcité impose la négation totale de la liberté religieuse dans l'espace public ». Une rupture avec les autres cadors de la droite française Et particulièrement avec Bruno Retailleau, le très droitier ministre de l'Intérieur. À son sujet, Edouard Philippe s'accorde une pique : il n'est « pas sûr » ironise-t-il, que Bruno Retailleau y verrait « une critique » si on le rangeait dans la « droite Trocadéro », une droite embourgeoisée, catholique, et vieille-France.Droite Trocadéro on ne sait pas, droite à gogo c'est certain pour Marianne, qui n'hésite pas à qualifier le ministre de « moine-soldat de la droite » qui a « souvent croisé la route d'élus de l'extrême-droite, sans leur tourner le dos ». Va-t-il pour autant « réaliser l'union en 2027 ? » … Marianne s'interroge. Le titre pointe que « Retailleau bénéficie des faveurs de la presse de droite et d'extrême-droite » à la télé ou sur papier, où il « déroule ses saillies anti-immigration, multiplie les annonces chocs (…), et affiche une grande fermeté à l'encontre de l'Algérie ». Le ministre de l'Intérieur le dit d'ailleurs lui-même : interrogé sur sa proximité, ou ses différences, avec le Rassemblement national, il le concède : ce qui le « distingue » de Marine le Pen ou Jordan Bardella, c'est « le programme économique » … pas un mot en revanche sur d'éventuelles divergences idéologiques. Un mot aussi de la situation internationale Que ce soit dans L'Express ou dans Le Point, une préoccupation : les liens entre l'Europe et Donald Trump. Dans le second, on parle plutôt défense et armement; dans le premier, c'est surtout de politique qu'il est question. L'Express fait ainsi le constat d'un trumpisme devenu une « franchise » voire un « label » qui « galvanise les politiques » propulsant les Giorgia Meloni et Viktor Orban de ce monde au sommet grâce à une « boîte à outils » dans laquelle « ils peuvent piocher à l'envi des "punchlines" » comme autant de coups gagnants.Le phénomène n'est en réalité pas nouveau, analyse L'Express, le trumpisme n'a fait que donner un coup d'accélérateur à une idéologie « enracin[é]e dans une colère profonde ». Car il ne faut pas sous-estimer le poids des émotions dans le contexte actuel, souligne de son côté L'Obs. Interrogée par le magazine, la sociologue franco-israélienne Eva Illouz estime ainsi que « le désenchantement et la peur sont devenus le spectre permanent de la démocratie » et que l'extrême droite « capte et organise cette émotionnalité excédentaire ». Auparavant, l'espoir était selon elle l'émotion principale, mais voilà : « la modernité tardive (…) [a] écrasé cette espérance dans le futur ». Faut-il pour autant se lamenter de toute cette colère ? Pas forcément nuance L'Obs… « les émotions fortes permettent d'évaluer ce qui est important pour soi » mais elles sont aussi une « brèche » pour peut-être, enfin, sortir de « la sur-socialisation, le fait de s'identifier totalement à un rôle ». De là à rêver au retour de l'espoir, il n'y a qu'un pas.
Chaque vendredi dans la matinale de Dimitri Pavlenko, Catherine Nay livre son regard sur l'actualité.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Franz-Olivier Giesbert s'exprime au sujet de l'élection présidentielle, prévue dans deux ans, pour laquelle la campagne est déjà lancée pour certains. La candidature d'Edouard Philippe n'est plus une surprise, tandis que celle de Bruno Retailleau prend davantage de place. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, Vincent Trémolet de Villers analyse l'évolution du paysage politique français. Il évoque la fin annoncée du macronisme, avec les ambitions présidentielles affichées par des figures comme Edouard Philippe, Gabriel Attal ou Gérald Darmanin. Il s'interroge sur le retour possible du clivage droite-gauche, avec le risque pour le centre d'être la première victime de cette nouvelle configuration. Une analyse approfondie des dynamiques politiques qui agitent la France à l'approche de 2027.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les jours de la semaine, invités et chroniqueurs sont autour du micro de Pierre de Vilno pour débattre des actualités du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air l'invitée du 7 mai 2025 : Blanche Leridon est directrice éditoriale de l'institut Montaigne, spécialiste des questions démocratiques et institutionnelles.Une récente étude Ifop pour l'observatoire Hexagone révélait que les intentions de vote pour la présidentielle 2027 montrent que le Rassemblement national reste puissant malgré la condamnation de sa cheffe de file. Le Rassemblement national confirme son leadership au premier tour quel que soit son représentant. Au second, Marine Le Pen et Jordan Bardella semblent, selon l'étude, très haut, au point d'être en mesure de l'emporter dans de nombreux scénarios. Sauf face à Edouard Philippe, qui ferait jeu égal avec Jordan Bardella, mais l'emporterait de peu face à Marine Le Pen.Un autre sondage, cette fois de l'institut Odoxa-Backbone consulting pour Le Figaro, analyse révèle les attentes à deux ans de l'élection présidentielle. Une majorité de Français (58%) n'ont toujours pas de candidat idéal. Un même pourcentage trouverait "une bonne idée" d'avoir des candidatures de personnalités hors des partis traditionnels. Des personnalités ont récemment émergé dans l'opinion, comme Michel-Edouard Leclerc, ou Cyril Hanouna. De quoi ces hypothèses "hors système" sont-elles le nom ? Notre invitée, Blanche Leridon, directrice éditoriale de l'institut Montaigne, spécialiste des questions démocratiques et institutionnelles, répondra à nos questions.
Tous les jours de la semaine, invités et chroniqueurs sont autour du micro de Pierre de Vilno pour débattre des actualités du jour. Ce soir, les sondages Odexa et Ifop sur la présidentielle 2027.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:44 - Le Billet politique - par : Astrid de Villaines - Que devient Edouard Philippe ? La question est rituelle... Et pour cause, le candidat déclaré à la présidentielle a lancé son parti, Horizons, il y a trois ans et demi et doit encore gérer deux ans avant la prochaine présidentielle. Il fixe le cap vers les municipales.
Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Cyril Hanouna et ses invités débattent de la possible rupture entre Gabriel Attal et Emmanuel Macron. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Cyril Hanouna et ses invités débattent du duel entre Gabriel Attal et Edouard Philippe.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'École alsacienne le 6 avril 2025.Avec cette semaine :Nicolas Baverez, essayiste et avocat.Jean-Louis Bourlanges, essayiste.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Lucile Schmid, vice-présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.TABLEAU DES FORCES POLITIQUES APRÈS LA DÉCISION DU TRIBUNAL DE PARISLundi, Marine Le Pen a été reconnue coupable de détournement de fonds publics dans l'affaire des assistants parlementaires européens du Front national (devenu Rassemblement national, RN). Elle a été condamnée à quatre ans d'emprisonnement, dont deux ferme avec bracelet électronique, et à une amende de 100.000 euros. Mais c'est la peine d'inéligibilité à cinq ans avec exécution provisoire qui fait débat. La députée du Pas-de-Calais a interjeté appel, mardi, de la décision du tribunal correctionnel de Paris. Quelques heures après, la cour d'appel de Paris a annoncé vouloir rendre sa décision à l'été 2026.Alors que la leader du RN s'insurge contre « la tyrannie des juges », le Président défend « l'indépendance de la justice ». En revanche, tout en considérant qu'il n'a « pas le droit », en tant que membre du gouvernement, de « critiquer une décision de justice », François Bayrou a jugé « en tant que citoyen », que la décision du tribunal correctionnel de Paris soulève « des interrogations ». Lui-même est sous la menace d'une condamnation dans l'affaire des assistants parlementaires du MoDem au Parlement européen, pour des faits comparables à ceux reprochés à Marine Le Pen. Le leader de La France insoumise, Jean-Luc Mélenchon a jugé que « la décision de destituer un élu devrait revenir au peuple ». LFI pourrait bientôt devoir répondre devant la justice à des accusations semblables. Le président du Sénat, Gérard Larcher a estimé que « si la loi va trop loin, le législateur doit pouvoir la corriger », tandis que le président du groupe de l'Union des droites pour la République à l'Assemblée nationale, Éric Ciotti, allié de Marine Le Pen, a décidé de la « supprimer ».Écologistes, socialistes, communistes et anciens « insoumis » ont applaudi la décision des juges et fustigé au passage les propos de Jean-Luc Mélenchon. Le premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, et le chef de file des députés macronistes, Gabriel Attal, se sont démarqués. « Je suis troublé par le trouble du Premier ministre », a dit Olivier Faure. « Je ne suis jamais troublé par la démocratie », a enchaîné Gabriel Attal. Le président de la région Hauts-de-France, Xavier Bertrand s'est inquiété des « manifestations de soutien » de « l'internationale de l'extrême droite » à l'endroit de Marine Le Pen.Ce week-end, Le RN a organisé une mobilisation dans les rues afin de mettre la pression contre l'institution judiciaire – ou comme il le présente, « sauver la démocratie ». Ce dimanche, Gabriel Attal entend rassembler le bloc central dans un meeting au cours duquel, Edouard Philippe, qui n'est pas encore sorti de sa réserve, devrait s'exprimer. D'après un sondage Elabe pour BFMTV 57 % des Français estiment que la décision de justice est « normale au vu des faits reprochés ».Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Même si le maire du Havre et le président ont été à couteaux tirés, l'heure est à l'apaisement Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La bestialité du combat au corps à corps, la peur, la vie de famille d'un militaire, le rapport de la France à son armée : le général François Lecointre raconte.Les Français sont-ils prêts à une guerre ?Les militaires sont-ils suffisamment considérés ?Que se passe-t-il dans la tête d'un soldat sur le champ de bataille ?Comment surmonte-t-on l'horreur des combats ?Comment forme-t-on un soldat ?Autant de questions auxquelles répond, dans cette conversation d'une heure, celui qui fut le chef d'état-major des armées françaises de 2017 à 2021 (sous la présidence d'Emmanuel Macron), mais aussi chef du cabinet militaire du Premier ministre de 2016 à 2017 (lors des gouvernements Manuel Valls, Bernard Cazeneuve et Edouard Philippe) et qui est aujourd'hui grand chancelier de la Légion d'honneur ainsi qu'auteur d'un livre, intitulé "Entre guerres", qui retrace son parcours et raconte sa philosophie de la guerre.François Lecointre est l'auteur du livre "Entre guerres", qui retrace son parcours et raconte sa philosophie de la guerre. "Entre guerres" est publié aux aux éditions Gallimard."L'interview Brut. des gens connus" est un podcast produit par Brut.Journaliste : Aymeric GoetschyCoordination éditoriale : Annabel MoraDirection éditoriale : Laurent Lucas Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
C dans l'air du 20 mars 2025 - Prêts à financer la défense ?Face au désengagement américain, les Européens pressent le pas pour tenter d'assurer eux-mêmes leur défense. Après avoir validé le plan d'investissements "ReArm Europe" au début du mois, les Vingt-Sept se réunissent de nouveau ce jeudi pour examiner les orientations du Livre blanc sur la défense, présenté par la Commission européenne. On y retrouve les grandes lignes du plan dévoilé par Ursula von der Leyen il y a deux semaines, avec un objectif affiché de 800 milliards d'euros pour réarmer l'Europe d'ici 2030 ainsi que des propositions pour aider les États à augmenter leurs dépenses militaires et renforcer l'industrie de défense. Mais des divergences persistent quant au financement de ce plan.En France, le chef de l'Etat a promis mardi d'augmenter les commandes de Rafale ainsi que "d'importantes décisions pour nos armées" dans les "prochaines semaines", dans le cadre de nouveaux investissements décidés en raison de la "bascule" géopolitique. En quelques semaines, la défense est devenue la priorité du gouvernement. Son budget, de plus de 50 milliards d'euros en 2025, devrait doubler d'ici 2030 pour se rapprocher de 100 milliards d'euros, selon le ministre de la Défense. Mais comment financer le réarmement de la France ? A-t-on les moyens de nos ambitions ? Alors qu'investisseurs et entreprises sont réunis ce jeudi au ministère de l'Economie pour réfléchir à une montée en cadence, dans le contexte de la guerre en Ukraine, Eric Lombard a annoncé ce jeudi la création d'un fonds de 450 millions d'euros dans lequel les Français pourront investir pour financer le secteur de la défense. "Il ne peut pas y avoir de nouveau 'quoi qu'il en coûte'" a prévenu de son côté le gouverneur de la Banque de France. La réunion de ce jeudi répond à "une première question 'Qui va prêter au début aux industries de défense ?'""Mais la question plus difficile qui viendra ensuite, qui est plus difficile, c'est : 'Qui va payer à la fin ?'", a poursuivi François Villeroy de Galhau.Si l'exécutif exclut toute hausse d'impôts, le Premier ministre, François Bayrou, a défendu l'idée d'une "reconquête de la production" sur France Inter, sans préciser comment. En travaillant plus, dans la semaine ou dans l'année et tout au long de la vie, a expliqué de son côté Edouard Philippe alors qu'à gauche c'est l'idée d'un grand emprunt européen et d'une taxe Zucman sur les ultrariches qui est poussée. L'Observatoire européen de la fiscalité dirigé par l'économiste français Gabriel Zucman propose de taxer à hauteur de 2 % ou 3 % le patrimoine des ultrariches européens (plus de 100 millions d'euros) pour financer l'effort de défense du Vieux Continent. Cette taxe rapporterait, en fonction du taux retenu, de 67 milliards à 121 milliards d'euros par an.Parallèlement, Jean-Luc Mélenchon, Fabien Roussel, Olivier Faure, Mathilde Panot ou encore Marine Tondelier ont alerté l'éxécutif sur la situation de Vencorex, un sous-traitant stratégique pour la dissuasion nucléaire française, placée en redressement judiciaire en septembre dernier. "On ne peut pas laisser Vencorex fermer" a estimé le leader de la France insoumise que nous avons suivi lors de son déplacement sur le site ce mercredi. Il a également exhorté le gouvernement à cesser "son baratin sur la souveraineté".Nos journalistes sont également allés en Estonie. Ce pays frontalier de la Russie est désormais l'un des pays de l'OTAN qui investit le plus dans sa défense. Il y consacre 3,4 % de son PIB depuis l'année dernière et entend passer à plus de 5 % de son PIB à partir de 2026. "Avec la Russie, nous avons un délai de trois à cinq ans" a expliqué le ministre des Affaires étrangères estonien qui appelle les autres pays européens à investir de la défense européenne. Les experts :- ALAIN PIROT - Journaliste spécialiste des questions de défense- ISABELLE LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro , spécialiste des questions de stratégie et de géopolitique- SYLVIE MATELLY - Économiste, directrice de l'Institut Jacques Delors, auteure de Géopolitique de l'économie - PIERRE HAROCHE - Maître de conférences en politique européenne et internationale, Université Catholique de Lille PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Édouard Philippe a failli prendre du retard. Pas tellement dans les sondages, dont il continue à être le favori pour l'instant, mais plutôt dans son propre camp, où il a commencé à être contesté. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:29:17 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - L'ancien Premier ministre Édouard Philippe était l'invité du Grand Entretien de France Inter ce mardi, quelques heures après la décision des États-Unis de suspendre leur aide militaire à l'Ukraine. - invités : Edouard PHILIPPE - Édouard Philippe : Ancien Premier ministre
durée : 02:58:52 - Le 7/10 - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé, Sonia Devillers, Anne-Laure Sugier - Caroline Darian, Edouard Philippe, Jean-Claude Delgènes et Benoît Serre, Joël Dicker, Dylan Ayissi sont les invités de ce mardi.
durée : 00:29:17 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - L'ancien Premier ministre Édouard Philippe était l'invité du Grand Entretien de France Inter ce mardi, quelques heures après la décision des États-Unis de suspendre leur aide militaire à l'Ukraine. - invités : Edouard PHILIPPE - Édouard Philippe : Ancien Premier ministre
Dans cet épisode, Vincent Trémolet de Villers analyse le débat autour de l'éventuelle organisation d'une primaire pour désigner le candidat du Bloc central en 2027. Il explore les avantages et les inconvénients de cette option, en examinant les positions des différents prétendants potentiels comme Edouard Philippe, Gabriel Attal ou François Bayrou. L'épisode offre un éclairage approfondi sur les enjeux stratégiques et politiques qui se cachent derrière cette question.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Tous les jours de la semaine, invités et chroniqueurs sont autour du micro de Pierre de Vilno pour débattre des actualités du jour.
durée : 00:55:20 - franceinfo: Les informés - Tous les jours, les informés débattent de l'actualité autour de Jean-Rémi Baudot et Aurélie Herbemont.
durée : 00:45:30 - franceinfo: Les informés - Tous les jours, les informés débattent de l'actualité, ce dimanche autour de Victor Matet.
Chaque samedi, découvrez une compilation thématisée des meilleurs chroniques de Philippe Caverivière ! Dans ce best of, l'humoriste fait face à Edouard Philippe, Jean-François Coppé, Manuel Bombard et Jordan Bardella.
Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Cyril Hanouna et ses invités débattent du diner partagé entre Edouard Philippe et Marine Le Pen.Pendant les fêtes, Mickaël Dorian prend les commandes d'On marche sur la tête.
Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Cyril Hanouna et ses invités débattent de différents sujets tels que Marine Le Pen, Edouard Philippe, la chaine C8 ou encore les décisions de l'Arcom.Pendant les fêtes, Mickaël Dorian prend les commandes d'On marche sur la tête.
durée : 01:00:23 - Le 13/14 - par : Bruno Duvic - En ce début d'année, Christian Estrosi maire de Nice est l'invité de 13h30 pour revenir sur différents sujets d'actualité : le procès du financement libien qui débute aujourd'hui, son soutien à Edouard Philippe, la situation de nos finances et le sort du gouvernement.
REDIFF - Depuis le 30 novembre, France 2 diffuse la série "Dans l'ombre", co-écrite par Edouard Philippe et Gilles Boyer. Ces six épisodes racontent la vie d'un candidat à la primaire de la droite, à travers l'histoire de son conseiller de l'ombre. Les hommes de l'ombre sont un sujet souvent utilisé pour évoquer l'univers de la politique. Est-ce que ces séries s'inspirent de faits réels ? Les Français en sont-ils friands ? Sait-on raconter les dessous de la vie politique, à la télévision ? Réponses avec Marie-Pierre Haddad et Isabelle Morini-Bosc, journaliste télé à RTL. Spoiler alert : des éléments clés sur les intrigues de séries sont dévoilés dans cet épisode. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.
REDIFF - Depuis le 30 novembre, France 2 diffuse la série "Dans l'ombre", co-écrite par Edouard Philippe et Gilles Boyer. Ces six épisodes racontent la vie d'un candidat à la primaire de la droite, à travers l'histoire de son conseiller de l'ombre. Les hommes de l'ombre sont un sujet souvent utilisé pour évoquer l'univers de la politique. Est-ce que ces séries s'inspirent de faits réels ? Les Français en sont-ils friands ? Sait-on raconter les dessous de la vie politique, à la télévision ? Réponses avec Marie-Pierre Haddad et Isabelle Morini-Bosc, journaliste télé à RTL. Spoiler alert : des éléments clés sur les intrigues de séries sont dévoilés dans cet épisode. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.
REDIFF - Depuis le 30 novembre, France 2 diffuse la série "Dans l'ombre", co-écrite par Edouard Philippe et Gilles Boyer. Ces six épisodes racontent la vie d'un candidat à la primaire de la droite, à travers l'histoire de son conseiller de l'ombre. Les hommes de l'ombre sont un sujet souvent utilisé pour évoquer l'univers de la politique. Est-ce que ces séries s'inspirent de faits réels ? Les Français en sont-ils friands ? Sait-on raconter les dessous de la vie politique, à la télévision ? Réponses avec Marie-Pierre Haddad et Isabelle Morini-Bosc, journaliste télé à RTL. Spoiler alert : des éléments clés sur les intrigues de séries sont dévoilés dans cet épisode. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.
Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Pascale de la Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualité. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme.
C dans l'air du 25 novembre - Des annonces et des reculs, la France irréformable ? Le Premier ministre a entamé ce lundi une série de consultations avec les chefs des groupes parlementaires pour trouver des compromis sur le budget. Une opération déminage lancée pour éviter la censure et la chute du gouvernement. Marine Le Pen a ouvert le bal ce matin. Après sa rencontre avec le Premier ministre, la présidente du groupe RN à l'Assemblée nationale s'est montrée sceptique, laissant toujours planer la menace d'une censure si "le budget reste dans l'état". "J'ai répété pour la énième fois quelles étaient les lignes rouges du Rassemblement national", a-t-elle expliqué la cheffe du parti d'extrême droite, avant de rejoindre le tribunal où se poursuit le procès des assistants parlementaires européens du FN. Mais le parti de Marine Le Pen ne prévoit pas de mettre ses menaces à exécution avant les dernières discussions en commission mixte paritaire (CMP), cet organe composé de sept députés et de sept sénateurs chargés de se mettre d'accord sur une version commune du budget. La CMP se réunira dans les jours qui suivent le vote solennel du budget au Sénat le 12 décembre. Elle pourrait éventuellement revenir sur les dispositions dans le budget qui crispent Marine Le Pen. Si les députés et les sénateurs arrivent à se mettre d'accord, le texte reviendra à l'Assemblée nationale pour un vote solennel le 18 décembre.D'ici là les débats repartent à zéro au Sénat. Les sénateurs ont en effet commencé ce lundi à débattre sur le volet "recettes" du projet de loi de finances alors qu'à l'Assemblée la députée (LR) du Jura Marie-Christine Dalloz, dans un rapport budgétaire spécial publié vendredi demande aux anciens Premiers ministres davantage de mesure dans leurs dépenses. Au total, en 2023, les frais des onze anciens Premiers ministres ont coûté à l'État 1,4 million d'euros, en hausse de 11 % par rapport à 2022. Dans les faits, tous ont droit, en plus de leur protection, à une voiture avec chauffeur et un secrétariat. En 2019, Edouard Philippe a limité, pour l'avenir, le bénéfice de la mise à disposition d'un secrétariat à 10 ans – et jusqu'à 67 ans. En revanche, aucune limite d'âge n'a été fixée pour la voiture.Alors faut-il réduire les avantages des ex-Premiers ministres ? Quelles sont les lignes rouges des partis sur le budget ? Retraites, cotisations patronales, collectivités locales... À quelles pistes d'économies le gouvernement a-t-il déjà renoncé ? Michel Barnier sera-t-il encore Premier ministre à Noël ? Se dirige-t-on vers une nouvelle phase de crise politique ? La France est-elle irréformable ? Nous sommes allés rencontrer Antoine Foucher, président de Quintet, qui explique dans son dernier livre pourquoi les salariés ne parviennent pas à vivre correctement de leur travail et donne des moyens, décapants, d'y remédier. Gabriel Attal, Gérald Darmanin, Edouard Philippe et d'autres politiques le sollicitent.Les experts : - PHILIPPE DESSERTINE - Directeur de l'Institut de Haute Finance- MARION MOURGUE - Rédactrice en chef du service politique EL Parisien/Aujourd'hui en France - SOPHIE FAY - Journaliste au service Economie - Le Monde - MYRIAM ENCAOUA - Journaliste-Présentatrice- LCP - ALEXANDRA KEFALAS (en duplex d'Athènes) - journaliste franco-grecque, correspondante de France 24 et du Figaro en Grèce.PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Au sommaire de l'émission "On marche sur la tête": L'émission aborde la question de la délinquance d'habitude et des mesures proposées pour y faire face, notamment le retrait des allocations familiales pour les familles de délinquants.Le cas de Pierre Palmade, condamné à 5 ans de prison dont 2 fermes avec exécution provisoire pour un accident de la route sous l'emprise de stupéfiants, est analysé et les auditeurs donnent leur avis sur la sévérité de la peine.Un sondage IFOP sur les personnalités politiques préférées et détestées des Français est présenté, avec des commentaires sur le classement de certaines figures comme Michel Barnier, Edouard Philippe ou Jean Castex.La justice et le traitement différencié de certains délits, notamment routiers, sont remis en question par les auditeurs qui dénoncent un manque de fermeté.La possibilité d'une candidature de Jean Castex à la prochaine élection présidentielle est évoquée comme une option envisagée par certains au sein des Républicains.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
L'ancien Premier ministre Edouard Philippe est l'invité de RTL Matin. Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 19 novembre 2024.
L'ancien Premier ministre Edouard Philippe est l'invité de RTL Matin. Ecoutez L'invité de RTL avec Thomas Sotto du 19 novembre 2024.
Depuis le 30 novembre, France 2 diffuse la série "Dans l'ombre", co-écrite par Edouard Philippe et Gilles Boyer. Ces six épisodes racontent la vie d'un candidat à la primaire de la droite, à travers l'histoire de son conseiller de l'ombre. Les hommes de l'ombre sont un sujet souvent utilisé pour évoquer l'univers de la politique. Est-ce que ces séries s'inspirent de faits réels ? Les Français en sont-ils friands ? Sait-on raconter les dessous de la vie politique, à la télévision ? Réponses avec Marie-Pierre Haddad et Isabelle Morini-Bosc, journaliste télé à RTL. Spoiler alert : des éléments clés sur les intrigues de séries sont dévoilés dans cet épisode. Dans "Tout savoir sur", du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.
durée : 00:12:48 - Edouard Philippe et Emmanuel Macron, retrouvailles sous tensions ?
durée : 00:56:03 - franceinfo: Les informés - Autour d'Agathe Lambret et Jean-Rémi Baudot, les informés débattent de l'actualité du mercredi 4 septembre 2024.
durée : 00:50:49 - franceinfo: Les informés - Autour d'Agathe Lambret et Jean-Rémi Baudot, les informés débattent de l'actualité du mardi 3 septembre 2024.