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Alors que le soleil s'installe pour le pont de l'Ascension, on s'intéresse au boom des sirops. Vous avez sûrement en tête la traditionnelle grenadine à l'eau, et bien figurez-vous que c'est une madeleine de Proust pour de nombreux Français. D'après une étude Opinion Way pour le Syndicat français des sirops, le sirop évoque un souvenir heureux pour 56% des Français. Encore aujourd'hui, le sirop reste une boisson incontournable pour beaucoup de Français.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:09:07 - La Question du jour - par : Marguerite Catton - Dans quelques jours sera prononcé le verdict du procès du chirurgien Le Scouarnec, jugé pour des agressions pédocriminelles et le procès a révélé de nombreuses défaillances au niveau institutionnel. Comment expliquer l'inertie de l'administration hospitalière et de l'Ordre des médecins ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : François Meuret Médecin généraliste retraité, membre du Syndicat de la Médecine Générale (SMG)
durée : 02:30:19 - Les Matins - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - - réalisation : Félicie Faugère - invités : François Meuret Médecin généraliste retraité, membre du Syndicat de la Médecine Générale (SMG) ; Antonin Bergeaud Professeur d'économie à HEC Paris; Bruno Bonnell Entrepreneur, député LREM du Rhône; Claire Meynial Grand reporter pour Le Point, prix Albert Londres 2016
durée : 01:20:17 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Par Catherine Soulard - Avec Jean Collet (cinéaste), Suzanne Leboisselier (publicitaire), Patrick Huon (actuel secrétaire général du Syndicat), André Lendormi (ancien secrétaire général du Syndicat du personnel du Port autonome du Havre) et les témoignages de grutiers, de monteurs à propos de leur métier - Réalisation Hélène Pommier - réalisation : Thomas Jost
durée : 00:06:42 - L'invité de la rédaction de "ici Sud Lorraine" - Emmanuel Macron a-t-il oublié qu'il avait fait de la santé mentale la grande cause nationale en 2025 ? Le chef de l'État n'a fait aucune annonce sur cette question mardi soir dans une émission télévisée. De quoi nourrir des regrets chez les professionnels qui souffrent d'un manque de moyens.
durée : 00:05:55 - L'invité de la rédaction, ici Drôme Ardèche - Clément Faugier, qui n'utilise pas que des fruits français, retire la mention "Ardèche" de ses boites de crème de marrons à la demande de la répression des fraudes. Mais la production ardéchoise est largement insuffisante pour répondre à la demande du marché français.
Aujourd'hui, Joëlle Dago-Serry, Emmanuel de Villiers et Antoine Diers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:06:52 - L'invité de 8h15 de "ici Gascogne"
À la veille de l'ouverture du festival de Cannes, les professionnels du cinéma observent avec inquiétude les intentions de Donald Trump. Le président américain souhaite imposer des droits de douane de 100% sur les films produits en dehors des États-Unis. À l'image de l'automobile ou des puces électroniques, la culture semble être une marchandise comme les autres pour le locataire de la Maison Blanche. Quelles conséquences si Donald Trump joint les actes à la parole ? La diversité culturelle est-elle menacée ? Pour en débattre :- Juliette Prissard, déléguée générale d'Eurocinéma- Edouard Mauriat, producteur, ancien vice-président longs-métrages du Syndicat des Producteurs Indépendants (SPI) et membre de la Task force en charge des négociations des accords avec les plateformes américaines- Marianne Roméo productrice à Petit à Petit production, société de longs-métrages, documentaires et fictions et ancienne directrice de salles de cinéma.
À la veille de l'ouverture du festival de Cannes, les professionnels du cinéma observent avec inquiétude les intentions de Donald Trump. Le président américain souhaite imposer des droits de douane de 100% sur les films produits en dehors des États-Unis. À l'image de l'automobile ou des puces électroniques, la culture semble être une marchandise comme les autres pour le locataire de la Maison Blanche. Quelles conséquences si Donald Trump joint les actes à la parole ? La diversité culturelle est-elle menacée ? Pour en débattre :- Juliette Prissard, déléguée générale d'Eurocinéma- Edouard Mauriat, producteur, ancien vice-président longs-métrages du Syndicat des Producteurs Indépendants (SPI) et membre de la Task force en charge des négociations des accords avec les plateformes américaines- Marianne Roméo productrice à Petit à Petit production, société de longs-métrages, documentaires et fictions et ancienne directrice de salles de cinéma.
Le bureau de circonscription de la députée de Rimouski, Maïté Blanchette Vézina, a été vandalisé jeudi par des manifestants du Syndicat des agents de la paix en service correctionnel du Québec affiliés à la CSN. Entrevue avec Maïté Blanchette Vézina, députée de Rimouski, ministre des Ressources naturelles et des Forêts et ministre responsable de la région du Bas-Saint-Laurent et de la région de la Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Vous écoutez Propriété intellectuelle : regards pratiques et enjeux prospectifs, un podcast préparé par le cercle Lefebvre Dalloz Avocats sous la direction de Stéphanie Le Cam, Maître de conférences à l'Université de Rennes 2 ; de Caroline Le Goffic, Professeur de droit privé à l'Université de Lille, co-directrice de l'équipe de recherches appliquées au droit et de Yann Basire, Maître de conférences à l'Université de Strasbourg et directeur général du Centre d'études internationales de la propriété intellectuelle. Ce podcast donne la parole aux experts - avocats, universitaires, juristes, praticiens et représentants d'institutions - pour pister les grandes tendances et les évolutions qui traversent aujourd'hui la propriété intellectuelle. Dans cet épisode, Laurent Montant, journaliste et directeur du Studio Media Lefebvre Dalloz, reçoit Renaud Lefebvre, directeur général du Syndicat national de l'édition, pour évoquer les principales évolutions du droit de la propriété intellectuelle auxquelles les professions du livre et en particulier les juristes du secteur sont confrontées.Invité : Renaud LEFEBVRE, directeur général du Syndicat national de l'édition.Préparé et animé par : Laurent MONTANT, Directeur du Studio Media Lefebvre Dalloz et rédacteur en chef de La Quotidienne.Réalisé par : Angeline DOUDOUX, journaliste Lefebvre Dalloz.Illustration : Jérémy MARTIN.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Grand dossier du Journal sur le transport scolaire : le Journal a recensé de nombreux incidents impliquant des élèves déposés à de mauvais endroits et des chauffeurs désorientés. Entrevue avec Josée Dubé, vice-présidente du Syndicat des employés et employées des services publics, affilié à la CSN. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne Youtube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Mark Carney à la Maison-Blanche: à quoi s’attendre? | Un homme prend le chemin de la prison pour avoir agressé sexuellement sa propre conjointe | P. Diddy: début d’un procès historique | Annie Villeneuve révèle plusieurs petites choses sur la pièce We Will Rock You! Dans cet épisode intégral du 5 mai, en entrevue : Josée Dubé, vice-présidente du Syndicat des employés et employées des services publics, affilié à la CSN. Walid Hijazi, avocat criminaliste. Guy Saint-Jacques, ancien ambassadeur du Canada en Chine. Annie Villeneuve, chanteuse. Une production QUB Mai 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Vendredi, samedi et dimanche dans Europe 1 Soir Week-end, Pascale de La Tour du Pin reçoit un invité au cœur de l'actualité politique. Aujourd'hui, Axel Ronde, porte-parole du syndicat CFTC-Police, pour évoquer le refus d'obtempérer à Drancy.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est tout d'abord la Presse en Tunisie, qui nous rappelle « qu'en 1904, des travailleurs tunisiens, maltais, italiens et français réunis, descendirent dans la rue et marchèrent sur Tunis, revendiquant, pour la première fois, leur droit syndical. Leurs revendications étaient d'ordre professionnel et matériel, mais concernaient aussi l'accès à la santé et les heures de travail », explique la Presse. Des slogans qui restent d'actualité, « aux quatre coins du globe », nous dit le journal tunisien, « ceux qui voudraient gagner leur pain à la sueur de leur front, n'ont jamais eu gain de cause ». « Leurs efforts, durement consentis, ne sont pas justement récompensés », ajoute la Presse, qui évoque notamment « le fléau du chômage endémique, dans lequel s'enlisent de nombreux postulants, avec ou sans diplôme ». RegretsAu Burkina Faso, on a également célébré hier le 1er mai. « L'Unité d'Action Syndicale remet sa plateforme revendicative au ministre en charge de la Fonction publique », titre LeFaso.net qui met en avant les regrets exprimés par l'Unité d'action syndicale… elle s'est vue refuser le droit d'organiser une marche, pour la remise de sa plateforme, en raison « du contexte sécuritaire ». L'UAS n'en réitère pas moins ses principales revendications qui portent notamment sur « la libération des personnes arrêtées, l'augmentation des pensions de retraite [...] ou encore la révision de la nouvelle grille salariale des travailleurs des sociétés d'état ». PatriotismeEn République Démocratique du Congo, une fête du Travail célébrée sur fond de guerre dans l'est du pays. « Pour la journée internationale du travail », nous dit Actualité.cd, « la célébration met en avant les FARDC (les forces armées congolaises) pour leur rôle dans la situation sécuritaire dans l'Est [...] une façon de rendre hommage à ceux qui combattent notamment les rebelles de l'AFC/M23, et ceux qui sont déjà tombés sur le champ de bataille pour la cause nationale. » Actualité.cd, qui cite les propos du ministère de l'emploi, selon lequel ce premier mai « donne une occasion de sensibiliser, de mobiliser et d'aiguiser le patriotisme de la masse laborieuse sur l'impérieuse nécessité de défendre notre patrimoine commun, contre les velléités des ennemis de tout bord ». Liberté de la presseAu Sénégal, c'est sur fond de protestation des médias que s'est déroulée la fête du Travail. « Lors de la remise des cahiers de doléances, au Palais de la République, Moustapha Cissé, le secrétaire général du Syndicat des professionnels de l'information et de la communication, a vivement interpellé le chef de l'État Bassirou Diomaye Faye » indique Sénégo, qui rappelle que « 381 organes de presse ont reçu l'ordre du gouvernement de cesser toute diffusion ou parution. « Nous vous demandons solennellement de sursoir à cette décision qui plonge toute une corporation dans le désarroi », a déclaré Moustapha Cissé, qui ajoute : « la création d'emploi commence par la préservation de l'existant » ». Selon DakarActu, le secrétaire général du Syndicat des professionnels de l'information et de la communication, a également déclaré : « une presse libre ne peut exister si elle est soumise à des pressions économiques ou politiques ». LicenciementsToujours au Sénégal, le Quotidien a décidé de son côté de donner la parole « à des personnes licenciées dans le secteur public-parapublic », tel Boubacar, dont le contrat a été rompu le 31 décembre dernier. « J'ai tout perdu », dit-il. « Selon le Rassemblement des Travailleurs du Sénégal », « plus de trente mille personnes sont concernées « par les licenciements décidés par les nouvelles autorités, dans les structures publiques et parapubliques ». Babacar, lui, se désespère. « Si j'ai la possibilité de partir », dit-il, « je quitterai le pays, peu importe la manière. Diomaye-Sonko m'a tout retiré : mon emploi et ma dignité ».
Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
C'est tout d'abord la Presse en Tunisie, qui nous rappelle « qu'en 1904, des travailleurs tunisiens, maltais, italiens et français réunis, descendirent dans la rue et marchèrent sur Tunis, revendiquant, pour la première fois, leur droit syndical. Leurs revendications étaient d'ordre professionnel et matériel, mais concernaient aussi l'accès à la santé et les heures de travail », explique la Presse. Des slogans qui restent d'actualité, « aux quatre coins du globe », nous dit le journal tunisien, « ceux qui voudraient gagner leur pain à la sueur de leur front, n'ont jamais eu gain de cause ». « Leurs efforts, durement consentis, ne sont pas justement récompensés », ajoute la Presse, qui évoque notamment « le fléau du chômage endémique, dans lequel s'enlisent de nombreux postulants, avec ou sans diplôme ». RegretsAu Burkina Faso, on a également célébré hier le 1er mai. « L'Unité d'Action Syndicale remet sa plateforme revendicative au ministre en charge de la Fonction publique », titre LeFaso.net qui met en avant les regrets exprimés par l'Unité d'action syndicale… elle s'est vue refuser le droit d'organiser une marche, pour la remise de sa plateforme, en raison « du contexte sécuritaire ». L'UAS n'en réitère pas moins ses principales revendications qui portent notamment sur « la libération des personnes arrêtées, l'augmentation des pensions de retraite [...] ou encore la révision de la nouvelle grille salariale des travailleurs des sociétés d'état ». PatriotismeEn République Démocratique du Congo, une fête du Travail célébrée sur fond de guerre dans l'est du pays. « Pour la journée internationale du travail », nous dit Actualité.cd, « la célébration met en avant les FARDC (les forces armées congolaises) pour leur rôle dans la situation sécuritaire dans l'Est [...] une façon de rendre hommage à ceux qui combattent notamment les rebelles de l'AFC/M23, et ceux qui sont déjà tombés sur le champ de bataille pour la cause nationale. » Actualité.cd, qui cite les propos du ministère de l'emploi, selon lequel ce premier mai « donne une occasion de sensibiliser, de mobiliser et d'aiguiser le patriotisme de la masse laborieuse sur l'impérieuse nécessité de défendre notre patrimoine commun, contre les velléités des ennemis de tout bord ». Liberté de la presseAu Sénégal, c'est sur fond de protestation des médias que s'est déroulée la fête du Travail. « Lors de la remise des cahiers de doléances, au Palais de la République, Moustapha Cissé, le secrétaire général du Syndicat des professionnels de l'information et de la communication, a vivement interpellé le chef de l'État Bassirou Diomaye Faye » indique Sénégo, qui rappelle que « 381 organes de presse ont reçu l'ordre du gouvernement de cesser toute diffusion ou parution. « Nous vous demandons solennellement de sursoir à cette décision qui plonge toute une corporation dans le désarroi », a déclaré Moustapha Cissé, qui ajoute : « la création d'emploi commence par la préservation de l'existant » ». Selon DakarActu, le secrétaire général du Syndicat des professionnels de l'information et de la communication, a également déclaré : « une presse libre ne peut exister si elle est soumise à des pressions économiques ou politiques ». LicenciementsToujours au Sénégal, le Quotidien a décidé de son côté de donner la parole « à des personnes licenciées dans le secteur public-parapublic », tel Boubacar, dont le contrat a été rompu le 31 décembre dernier. « J'ai tout perdu », dit-il. « Selon le Rassemblement des Travailleurs du Sénégal », « plus de trente mille personnes sont concernées « par les licenciements décidés par les nouvelles autorités, dans les structures publiques et parapubliques ». Babacar, lui, se désespère. « Si j'ai la possibilité de partir », dit-il, « je quitterai le pays, peu importe la manière. Diomaye-Sonko m'a tout retiré : mon emploi et ma dignité ».
Au Mali, ce jeudi est un 1er-Mai pas comme les autres, car depuis mardi, on sait que le régime militaire du général Assimi Goïta envisage publiquement de se maintenir au pouvoir sans élections pendant au moins 5 ans et qu'il projette de dissoudre tous les partis politiques. Comment vont réagir ces partis ? Et en ce 1er-Mai, vont-ils pouvoir compter sur la solidarité des grands syndicats du pays ? Le sociologue malien Mohamed Amara a publié Marchands d'angoisse, le Mali tel qu'il est et tel qu'il pourrait être, aux éditions Grandvaux. Il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Mohamed Amara, bonjour,Mohamed Amara : bonjour.La concertation nationale qui propose de dissoudre tous les partis politiques et qui recommande que le général Assimi Goïta soit nommé président pour cinq ans, est-ce que c'est un tournant ?Bien sûr que c'est un tournant. C'est une nouvelle épreuve pour le Mali de voir, après 30 ans de démocratie, qu'une autorité de transition décide de dissoudre les partis politiques d'une part, et d'autre part de proposer de nommer le président de transition en tant que président de la République. C'est une première dans l'histoire du Mali contemporain.Et vous pensez que beaucoup de Maliens vont faire le parallèle entre aujourd'hui et l'époque du régime militaire du général Moussa Traoré, de 1968 à 1991 ?Je pense que le parallèle est quasiment fait, du fait de tous les mouvements de résistance qui commencent à se mettre en branle, qui dénoncent ces recommandations et du fait de l'ensemble des partis politiques. J'espère qu'ils vont se mobiliser parce que, s'ils ne se mobilisent pas d'une façon ou d'une autre, ils participent à leur propre enterrement, ce qui n'est bon ni pour la démocratie malienne ni pour l'héritage de ce qui a été légué par les Modibo Keïta, par les Alpha Oumar Konaré et j'en passe. Donc, j'espère qu'ils vont se mobiliser pour dénoncer cette confiscation du pouvoir.Et c'est tout l'enjeu des mobilisations à venir, s'il y en a, ou des stratégies de rejet de cette dissolution des partis politiques, qui sont inscrits dans la Constitution. Même dans la Constitution qui a été votée en 2023, où on a dit que le multipartisme, comme les mandats du président, sont des points qui ne sont pas modifiables, ne sont pas révisables.À lire aussiMali: vers une pérennisation de la Transition sans électionsAlors aujourd'hui, c'est le 1er mai, donc le jour des syndicats dans le monde entier. Au Mali, on sait qu'ils ont joué un grand rôle, notamment lors de la révolution de 1991 qui a mis fin au régime militaire de Moussa Traoré. Mais à présent, est-ce qu'ils ont encore une influence sur le cours politique des choses au Mali ?Évidemment, les syndicats sont un rempart important contre les dérives autoritaires du régime, qu'il s'agisse d'un régime militaire ou démocratique. Et vous avez parfaitement raison que dans les années 1990, l'Union nationale des travailleurs du Mali (UNTM) a été un des acteurs principaux de la lutte contre les dérives du régime dictatorial de Moussa Traoré. Et ce rôle-là, cette place-là, il me semble que les syndicats l'ont toujours.La seule différence entre les années 1990 et aujourd'hui, c'est que le responsable principal de la centrale syndicale UNTM est aujourd'hui le président du Conseil économique et social, une des institutions importantes de la République du Mali. Et ça, c'est une faiblesse, une fragilité aujourd'hui pour le monde syndical au Mali.Donc la double casquette de Yacouba Katilé, qui est à la fois le secrétaire général du syndicat majoritaire et le président du Conseil économique, social et culturel, brouille son image et affaiblit peut-être le poids de l'UNTM face au pouvoir politique ?Cela brouille son image et impacte effectivement la capacité de mobilisation du monde syndical pour tout mouvement de résistance, malheureusement. Toujours est-il que je crois à la force du monde syndical. Parce que rappelez-vous, par exemple, que le Syndicat national des banques, assurances, microfinance (Synabef), etc. a réussi à obtenir la libération de deux de ses membres de la banque Ecobank. C'était à la mi-avril. Et si demain, il y a une convergence des luttes, ça ne peut venir que des liens entre le monde syndical et le monde politique, comme ce qu'on a connu dans les années 1990.En Pologne, il y a 45 ans, c'est le syndicat Solidarnosc de Lech Wałęsa qui a lancé le mouvement de protestation contre le régime du général Jaruzelski. Dans le Mali d'aujourd'hui, est-ce que l'UNTM de Yacouba Katilé pourrait jouer un rôle similaire ou non ?Tout dépendra de comment les rapports de force évolueront. Effectivement, il y a le syndicat que vous rappelez, celui de Lech Wałęsa en Pologne dans les années 1980. Mais rappelez-vous déjà que, en 1990, l'UNTM à la Bourse du travail était aux premières loges et mobilisait. Et je pense que cela est possible aujourd'hui, au Mali, s'il y a un vrai conflit socio-politique qui s'ouvre entre le pouvoir actuel et les mouvements syndicaux, politiques et associatifs.Mohamed Amara, merci.À lire aussiAu Mali, les partis politiques craignent pour leur survie
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui 30/04/2025, il évoque avec la porte-Parole du syndicat Police Unité Ile-de-France, Reda Behlaj les quelques 150 000 manifestants attendus pour le 1er mai. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En mai 2024, le gouvernement sénégalais tout juste installé suspendait les chantiers de construction dans le pays, le temps de faire des audits pour assainir le secteur. La mesure devait durer deux mois, mais les chantiers n'ont pas repris. Depuis, ce secteur crucial pour le pays – plus de 4% du PIB et plus de 200 000 emplois directs – a plongé dans la crise. Des dizaines de milliers d'emplois sont perdus et la population s'impatiente. De notre correspondante à Dakar,Chaque matin, au rond-point de Keur Massar en banlieue de Dakar, des centaines d'ouvriers attendent, outils à la main, que des camions viennent les chercher pour aller travailler. Mais depuis un an et la suspension des chantiers par les autorités, le travail se fait rare. « Tu viens à 5h du matin, tu vas rester jusqu'à 10h et puis rentrer, se plaint Ida Faye, maçon. Le lendemain, tu reviens encore, tu avais espoir de gagner quelque chose, mais tu rentres encore bredouille. Ça fait des mois que ça dure ! »15 000 emplois formels perdusAu Sénégal, beaucoup de ces jeunes ont voté pour le nouveau président Bassirou Diomaye Faye avec l'espoir du changement, mais leurs conditions de vie se sont détériorées. « Avant, avec l'ancien régime, on pouvait gagner 10 000 ou 11 000 francs CFA par jour, se souvient Rane Dieng, ouvrier du bâtiment. Mais maintenant, on a du mal à gagner ne serait-ce que 5 000. Ça fait un an qu'ils sont là et ils n'ont rien fait pour le pays. Il faut qu'ils arrêtent de faire, d'auditer, de suspendre tout, il faut qu'ils travaillent ».Insa Coly, ferrailleur et père de famille, est en colère et n'arrive plus à penser à son avenir. « Si tu trouves 300 000 francs aujourd'hui, tu prends la pirogue pour rentrer en Espagne. Tu fais l'Espagne trois mois et tu achètes un terrain ici à Dakar. Mais tu travailles ici pendant 20 ans et tu ne peux même pas acheter un terrain. Nos États doivent penser à cette jeunesse-là, sinon nous tous, on va mourir dans la mer ! »Quinze mille emplois ont été perdus dans le secteur formel suite à la suspension des chantiers, selon les syndicats. Certains ouvriers qui avaient des contrats sont au chômage technique. Dans le secteur informel, c'est impossible à chiffrer, mais bien plus élevé selon les représentants de la profession, qui s'impatientent. « Au début, on disait qu'il y avait des audits à faire, qu'il y avait une situation du secteur dont on voulait vraiment avoir une maîtrise, reconnaît Oumar Gueye, du Syndicat national de la construction et du bâtiment, affilié à la Confédération nationale des travailleurs du Sénégal (CNTS). Mais j'avoue que là, on ne comprend plus. »Absence d'accompagnement de l'ÉtatD'autant que l'État sénégalais a accumulé de nombreux impayés auprès des entreprises de construction, pour 300 milliards de francs CFA, soit plus de 450 millions d'euros. « Dans une République normale, même s'il y a des décisions qui doivent être prises, l'idéal serait au moins qu'on puisse nous appeler autour d'une table, juge Oumar Gueye. Si, par exemple, on nous avait payés à l'avance sur la dette intérieure, on aurait au moins pu préparer ces situations-là. Mais du jour au lendemain, on est confronté à cette situation d'arrêt des travaux, on n'a plus de nouveaux marchés, on n'est pas payés, les chantiers qui étaient gagnés ne sont pas exécutés. Donc ça fait mal. »Au dernier trimestre 2024, le chiffre d'affaires du secteur sénégalais de la construction a reculé de près de 10% par rapport à la même période en 2023. Sollicitées, les autorités n'ont pas donné suite à nos demandes d'interview.
Voici l’essentiel de l’épisode du lundi 28 avril 2025 pour l’émission La commission: Le droit de manifester au Québec, c’est un droit acquis. Mais manifester devant la résidence d’un ministre, là, ça vient atteindre la vie privée d’un élu. C’est ce qui s’est passé hier alors que des membres d’Alliance ouvrière du Syndicat des travailleurs d'Amazon Laval, affilié à la CSN se sont réunis devant la résidence du ministre du Travail, Jean Boulet, à Trois-Rivières en début d’après-midi. Y a une cycliste qui a pogné toute une débarque comme on dit la semaine passée à Montréal. Elle est entrée en collision avec un autre cycliste sur une piste cyclable et elle s’est fracturé la clavicule. Elle a fait une sortie dans le Journal de Montréal et sur les réseaux sociaux pour dire que son casque lui a sauvé la vie! C’est pas la première fois que la question du port du casque obligatoire est débattue, mais une fois de plus, la cycliste d’expérience a de solides arguments pour convaincre notre ami Luc de traîner le sien plus souvent. Imaginez que vous attendez depuis 3 ans pour avoir une greffe de rein et que vous recevez un appel un samedi après-midi pour vous annoncer la bonne nouvelle et qu’on va enfin vous opérer lundi. Mais 3 heures plus tard, vous recevez un autre appel pour vous dire ; Ouin ben y a pas de chirurgien disponible lundi à l’Hôpital Fleurimont. Désolé pour le faux espoir !!! La saison du BBQ débute. C’est tellement bon un steak ou des brochettes sur la BBQ ! Mais si on s'en tient à une nouvelle étude, il faudrait manger l’équivalent de moins de deux poitrines de poulet par personne par semaine pour réduire les effets environnementaux. Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
durée : 00:05:34 - L'invité de la rédaction, ici Drôme Ardèche - La saison touristique vient de commencer en Ardèche et malgré une météo parfois maussade, les premiers vacanciers sont au rendez-vous. Les perspectives pour la suite de la saison sont bonnes.
Avec : Sophie Bauer, présidente du Syndicat des Médecins Libéraux. - L'invité qui fait l'actu. Le samedi et le dimanche à 8h15, Anaïs Castagna reçoit un acteur majeur de l'actualité et donne la parole aux auditeurs de RMC.
durée : 03:20:47 - Le 6/9 - par : Ali Baddou, Marion L'hour, Benjamin Dussy, Mathilde Khlat, Elodie Royer - Ce matin dans le 6/9 de Marion L'Hour : Amanda Spiegel, Directrice de la librairie Folies d'encre à Montreuil et vice-présidente du Syndicat de la librairie française. Bernard Cazeneuve, ancien Premier ministre, auteur de "Un chien parmi les loups" aux éditions de l'Observatoire. - réalisé par : Marie MéRIER
durée : 00:07:09 - L'invité de la rédaction de "ici Sud Lorraine" - Le gouvernement affiche son soutien aux surveillants pénitentiaires. Le Premier ministre et ses ministres de l'Intérieur et de la Justice étaient ensemble, ce mercredi, dans une prison en Isère. Jean-Claude Roussy, secrétaire Général Ufap-Unsa Grand Est était l' invité d'Ici, ce jeudi.
Voici l’essentiel de l’épisode du 18 avril 2025 pour l’émission La commission: Les travailleurs des postes ont été en grève pendant plus d’un mois avant les Fêtes. Une loi spéciale les a forcés à retourner au travail le 17 décembre. Le gouvernement a mandaté William Kaplan comme commissaire pour enquêter sur les relations de travail à Postes Canada. Le commissaire doit présenter ses recommandations au ministre du Travail d’ici le 15 mai. Les conventions collectives entre Postes Canada et le Syndicat des travailleurs et travailleuses des postes prendront fin le 22 mai. Le deuxième débat des chefs a eu lieu jeudi soir: a-t-il changé la donne pour les quatre chefs de parti? Jean-Marc Léger, président de la firme de sondages Léger 360, en discute à La commission. Il mentionne que Mark Carney a une image positive significative, mais que Pierre Poilievre gagne en popularité, ce qui pourrait influencer les résultats électoraux: «Les gens tiennent pour acquise la victoire de Mark Carney. Moi, je vous dis oui. Il est en avance. Cinq points d'avance dans les sondages, mais ça demeure fragile. Et vous savez pourquoi? Parce qu'on n'a pas beaucoup parlé de Trump hier soir et ça, c'est nouveau. Moins que l'on parle de Trump, plus cela avantage les conservateurs.» En ce vendredi de Pâques, on prend des nouvelles de Ricardo. Quels sont ces trucs et astuces afin de bien recevoir ce weekend? Quels sont ses secrets pour bien réussir son brunch de Pâques? Il nous dit tout! Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Les usagers de la rive-sud sont pris au piège depuis qu’ils n’ont plus accès à leur ligne d’autobus sur le pont Champlain. Le SCFP dénonce l’exclusivité du REM et lance une campagne pour améliorer le transport collectif sur la Rive-Sud. Entrevue avec Dominic Aubry, coordonnateur du secteur transport terrestre au Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP).Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Désastre du REM | Débat des chefs | Canadiens | Katy Perry dans l’espace | Deuxième meurtre en moins de 48 heures à Montréal | Dans cet épisode intégral du 17 avril, en entrevue : Entrevue avec Bruno Lebeau, étudiant français en droit politique et résident temporaire en situation critique. Entrevue avec Dominic Aubry, coordonnateur du secteur transport terrestre au Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP). Entrevue avec Nathalie Ouellette, astrophysicienne et directrice adjointe de l’Institut de recherche sur les exoplanètes (IREx) à l’Université de Montréal. Une production QUB Avril 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:08:20 - L'invité de la rédaction de "ici Sud Lorraine" - Des prisons prises pour cibles depuis dimanche. Des voitures de surveillants brulées. Des impacts de balles sur les murs d'établissement. Les inquiétudes sont grandes chez les personnels pénitentiaires depuis le début de cette campagne de violences et d'intimidation. Notre invitée le confirme.
durée : 00:07:18 - L'invité de la rédaction de "ici Sud Lorraine" - Quelles économies va faire le gouvernement pour boucler son budget 2026 ? Il faut trouver 40 milliards d'euros pour maintenir le déficit à 4,6%. Les syndicats craignent une saignée spécialement dans les dépenses de santé et de solidarité. C'est notamment le cas de notre invité, François Wey.
Tous les jours de la semaine, invités et chroniqueurs sont autour du micro de Pierre de Vilno pour débattre des actualités du jour. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Céline Géraud, accompagnée de la rédaction d'Europe 1, propose chaque midi un point complet sur l'actualité suivi de débats entre invités et auditeurs.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vendredi, samedi et dimanche dans Europe 1 Soir Week-end, Pascale de La Tour du Pin reçoit un invité au cœur de l'actualité politique. Aujourd'hui, Axel Ronde, porte-parole du syndicat CFTC-Police, pour évoquer les chiffres de la délinquance dévoilés par Laurent Nuñez.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Pascale de la Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualité. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les vendredis, samedis et dimanches soirs, Pascale de la Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualité. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nicolas Vignolles, délégué général du SELL (Syndicat des Editeurs de Logiciels de Loisirs), était l'invité de François Sorel dans Tech & Co, la quotidienne, ce jeudi 27 mars. Il s'est penché sur le marché du jeu vidéo sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez-la en podcast.
durée : 00:03:15 - Un monde connecté - par : François Saltiel - Le syndicat représentatif des jeunes médecins généralistes ReAGJIR lance une campagne avec du deepfake pour alerter sur les dangers des conseils santé qui pullulent sur les réseaux sociaux.
Au Cameroun, Vincent Bolloré a cédé ses activités logistiques à l'opérateur italo-suisse MSC, en fin d'année 2022, pour 5,7 milliards d'euros. Avec la gestion du port, de la ligne de chemin de fer, une flotte de camions et plusieurs milliers d'employés, Bolloré était l'acteur référent dans le domaine. Si certains ont bénéficié du départ du Français, d'autres estiment que la libéralisation du secteur n'est pas toujours bénéfique. 100 000 tonnes, c'est la quantité de denrées alimentaires importées par le Programme alimentaire mondial via le port de Douala l'année dernière. Des vivres destinés aux crises humanitaires de la région qu'il faut convoyer notamment par camion. Gianluca Ferrera, le directeur du PAM au Cameroun, affirme avoir vu du positif dans le départ de Bolloré. « On a plusieurs acteurs présents sur le marché et donc cela a permis d'avoir une compétition entre les acteurs qui s'est reflétée sur les prix et aussi sur la qualité et la performance des acteurs. Donc, je dois dire que nous sommes dans une situation très confortable par rapport à la capacité de nos partenaires de nous fournir les services dont nous avons besoin », détaille-t-il.Une libéralisation du secteur et une mise en concurrence accrue que Monsieur Souley, du Groupement des transporteurs terrestres du Cameroun, regrette. « C'est très désorganisé. Parce qu'au moins, avant, on savait à quoi s'en tenir, mais aujourd'hui, c'est compliqué. Le Cameroun a tellement de camions qu'on ne sait pas quoi en faire. Le transport n'est pas compétitif, nous sommes tellement nombreux que si vous refusez un transport aller à Bangui à 2,5 millions, quelqu'un va le prendre à 2 millions », déplore cet acteur.À lire aussiLe PAM achemine l'aide alimentaire via le port de Douala pour faire face aux multiples crisesConcurrence et réorganisationHilaire Zipang, homme politique camerounais, mais également conseiller du Syndicat national des transporteurs routiers, voit certains aspects positifs au départ de Bolloré. « La première, c'est que Bolloré, au regard de l'absence d'investissement qu'on lui reprochait depuis 5 ans, la RTC [Régie du terminal à conteneurs] a fait de grosses avancées, elle a augmenté le chiffre d'affaires, elle a augmenté les emplois et a augmenté naturellement les investissements qu'elle a faits à l'intérieur du port », assure-t-il. Cependant, la fin du monopole de Vincent Bolloré au port a modifié l'organisation du secteur. « Maintenant, Bolloré n'a plus cette activité-là, elle s'est libéralisée assez brutalement, décrit Hilaire Zipang. S'est introduit maintenant un nouveau type de transporteurs, ce que nous appelons les transporteurs pour compte propre. C'est-à-dire que la plupart des grandes multinationales ont acheté des camions pour faire complètement cette activité et elles se payent à elles-mêmes. »Une concurrence considérée comme déloyale, car elle n'est pas soumise aux mêmes contraintes. « La fiscalité camerounaise a adoubé cette activité-là, elle a complètement mis de côté les transporteurs professionnels qui eux participent au développement du pays et qui ont une fiscalité différente, des assurances différentes, des charges du personnel différentes. Or celui qui exerce l'activité en propre n'est pas assujetti à ces contraintes », argumente-t-il. Autre défi, selon Hilaire Zipang, le maintien de relations fluides avec les partenaires de la région pour conserver le monopole du fret par les ports de Douala et Kribi. À lire aussiLe groupe Bolloré cède officiellement ses activités africaines à l'armateur MSC
Ce n'est qu'un réquisitoire mais c'est peu dire que la décision du parquet de Nanterre a ulcéré les policiers : le parquet demande un procès pour meurtre dans l'affaire Nahel, ce jeune de 17 ans tué d'un tir policier en juin 2023 après avoir tenté d'échapper à un contrôle routier. Les collègues de l'agent se réunissent mercredi 5 mars pour manifester leur soutien devant tous les commissariats, à l'appel du syndicat Alliance. La mobilisation est particulièrement forte à Nanterre, où l'on retrouve Fabien Vanhemelryck, le secrétaire général du syndicat Alliance police nationale.
Après le président de Marseille Pablo Longoiria, l'entraîneur de Lyon Paulo Fonseca qui s'en prend à un arbitre. Nos "hommes en noir" sont-ils de plus en plus ciblé ? Écoutez Olivier Lamarre, arbitre de football, porte-parole du Safe, le Syndicat des arbitres du football d'élite. Ecoutez L'invité pour tout comprendre avec Yves Calvi du 03 mars 2025.
Après le président de Marseille Pablo Longoiria, l'entraîneur de Lyon Paulo Fonseca qui s'en prend à un arbitre. Nos "hommes en noir" sont-ils de plus en plus ciblé ? Écoutez Olivier Lamarre, arbitre de football, porte-parole du Safe, le Syndicat des arbitres du football d'élite. Ecoutez L'invité pour tout comprendre avec Yves Calvi du 03 mars 2025.
Un acteur du monde du foot est l'accusé du soir. Il est ensuite défendu avant le verdict du juge.
C'est le moment qu'il ne fallait pas manque dans l'émission du jour : Pablo Longoria a allumé un feu hier soir après la défaite de l'OM, criant à la corruption des arbitres. Dans les GGDS, Olivier Lamarre, porte-parole du SAFE, syndicat des arbitres, réagit à ses propos.
Ouverture ce samedi du 61ème Salon de l'agriculture : les jeunes agriculteurs en appellent au Président de la République. Pierrick Horrel, Président du syndicat Jeunes agriculteurs, est l'invité de Amandine Bégot. Ecoutez L'invité d'Amandine Bégot du 21 février 2025.
Tous les vendredis, samedis et dimanches à 19h17, Pascale de La Tour du Pin reçoit un invité au cœur de l'actualité politique pour un moment d'échange franc sur les dossiers brûlants du moment. Ce soir, Alexandre Touzet, vice-président LR en charge de la sécurité au Conseil départemental de l'Essonne et Axel Ronde, porte-parole du syndicat CFTC-Police.
Catherine Vautrin, ministre du Travail, de la Santé, des Solidarités et des Familles de France, a annoncé son souhait de conserver le paiement d'une somme par les patients qui n'ont pas honoré leur rendez-vous. Mais comment mettre en place la "taxe lapin" ? Ecoutez Sophie Bauer, présidente du syndicat des médecins libéraux. Ecoutez L'invité pour tout comprendre avec Yves Calvi du 03 février 2025.
C dans l'air du 25 janvier 2025 - Énergie : les Français passent à la caisseLe prix du gaz s'envole : + 4,8 % en janvier après plusieurs hausses, déjà, en octobre et juillet dernier... Avec le froid, les Français se chauffent davantage et les stocks ont diminué. L'autre explication réside dans la décision de l'Ukraine de mettre fin au transit du gaz russe à travers son territoire, marquant une rupture énergétique décisive avec Moscou. Conséquence directe : les Européens - dont le tiers du gaz acheté à la Russie passe par cette voie - ont perdu près de 15 milliards de mètres de cube de gaz, soit près de 5% de la consommation de l'Union européenne. De quoi inquiéter jusqu'au PDG de Total énergies, Patrick Pouyanné, qui a demandé jeudi à Davos au président américain Donald Trump des garanties sur la sécurité des approvisionnements de l'Europe en gaz naturel liquéfié américain... dont TotalEnergies est le principal exportateur.Dans le même temps, les ventes de chaudières à gaz ont augmenté de 15% depuis le début de l'année, selon le Syndicat des industries thermiques, aérauliques et frigorifiques. Le gouvernement a bien tenté de décourager l'installation de ce dispositif, très émetteur en CO2, en l'interdisant dans les maisons individuelles neuves. Mais les résultats se font encore attendre : les Français rechignent à passer aux pompes à chaleur, jugées trop couteuses et moins fiables, et dont les ventes se sont effondrées de 30% en 2024. Rare embellie en ce début d'année, la Commission de l'énergie a annoncé une baisse de 15% des tarifs réglementés de l'électricité au 1er février pour 24 millions de ménages. Et ce malgré la fin du bouclier énergétique mis en place par le gouvernement en 2021. De leur côté, les constructeurs automobiles ont commencé l'année avec une avalanche de mauvaises nouvelles. Les ventes de véhicules neufs, électriques comme thermiques, ont diminué de 3,2 % en 2024. L'industrie se porte mal et les plans sociaux se multiplient : Michelin a annoncé la fermeture de deux usines tandis que Valeo prévoit de supprimer près de 1 000 postes sur huit sites français. Le désamour des Français se concentre essentiellement sur les voitures électriques, dont le prix est jugé prohibitif. Selon AAA Data, les immatriculations sur ce segment se sont ainsi effondrées de 24,4 % en novembre 2024. Les constructeurs n'ont pas été aidés par la décision du gouvernement de réduire son bonus écologique pour l'acquisition de véhicules zéro émission, déficit publique oblige. D'autant que la prime à la conversion, versée aux ménages remplaçant leur voiture par un modèle moins polluant, est également supprimée en 2025. Mais Emmanuel Macron ne veut pas apparaître comme l'ennemi des automobilistes pour autant. Cette semaine, le président a répondu sur TikTok à un influenceur qui venait de se voir infliger une amende pour avoir payé au péage avec son téléphone portable : "On va collectivement régler ça […] Merci pour l'alerte", a-t-il déclaré. Pas sûr que cela suffise à enrayer la crise de l'automobile. Symbole de la crise de l'industrie automobile, la Fonderie de Bretagne (FDB), ancienne filiale du constructeur automobile Renault, a demandé mercredi 22 janvier, son placement en redressement judiciaire, avec 350 emplois menacés. L'entreprise avait bien entamé des négociations en juillet avec le fonds d'investissement allemand, Private Assets, pour envisager une reprise, mais la direction de FDB assure que Renault, resté principal client de la fonderie, a fait capoter l'accord. "Nous sommes une victime de Renault qui veut se débarrasser de ses fonderies en France", a déploré son directeur Jérôme Dupont à La Tribune. Plusieurs responsables syndicaux, dont la présidente de la CGT Sophie Binet et des députés, ont écrit début janvier à Emmanuel Macron pour réclamer l'intervention de l'État dans le dossier : "Nous refusons que la fermeture de la Fonderie de Bretagne devienne le symbole de la désindustrialisation du pays".Pourquoi le prix du gaz explose ? Comment expliquer la mauvaise santé économique du secteur automobile en France ? Et l'État doit-il venir en aide à Fonderie de Bretagne, menacée de fermeture ?Les experts :- Flavien NEUVY - Économiste, directeur de l'observatoire CETELEM- Pascale HEBEL - Directrice associée chez C-Ways, spécialiste de la consommation- Erwan BENEZET - Journaliste au service économie - Le Parisien - Aujourd'hui en France- Sharon WAJSBROT - Cheffe du service industrie, Les Échos
Gérald Darmanin est très actif en ce moment pour nous parler de nos prisons. Le ministre de l'Intérieur entend mettre les 100 plus gros narcotrafiquants du pays à l'isolement dans la même prison. Est-ce une bonne idée ? Écoutez Aurélie Jammes, directrice adjointe au chef du centre pénitentiaire de Bordeaux-Gradignan et secrétaire générale adjointe du Syndicat national des directeurs pénitentiaires. Ecoutez L'invité pour tout comprendre avec Yves Calvi du 13 janvier 2025.
Il y a dix ans le journal satirique français Charlie Hebdo était touché par une attaque jihadiste faisant 12 morts. Parmi les symboles visés à travers cet attentat il y a celui de la laïcité. Une valeur brandie comme étendard par l'hebdomadaire, défendue par la France. Comment faire cohabiter laïcité et religions ? Pourquoi le sujet est-il aussi brûlant ? Où placer le marqueur pour parvenir à l'apaisement ? Pour en débattre : Philippe Portier, sociologue spécialiste des laïcités, titulaire de la chaire Histoire et sociologie des laïcités à l'École pratique des hautes études, auteur du livre L'Etat et les religions en France, Presse universitaire de Rennes Carole Zerbib, proviseure du lycée Vauquelin à Paris, co-responsable de l'Observatoire national de la laïcité du Syndicat national des personnels de direction de l'Éducation nationale (SNPDEN-UNSA) Nicolas Cadène, co-fondateur de la Vigie de la laïcité, ancien rapporteur général de l'Observatoire de la laïcité (2013-2021), auteur de En finir avec les idées fausses sur la laïcité aux éditions de l'Atelier