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Inde : des millions de personnes protestent contre un projet de flexibilisation du marché du travail Donald Trump à la rescousse de Jair Bolsonaro, poursuivi dans son pays pour tentative de coup d'État La France, principal adversaire européen de la Russie, selon le chef des armées françaises Nouvelle-Calédonie : Projet d'accord et sortie de crise en vue ? Le Tour de France, une passion populaire aux enjeux économiques colossaux
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs Une semaine après la conclusion du projet d'accord, le FLNKS vacille : le Palika assume sa signature, mais la colère gronde parmi les autres composantes du mouvement indépendantiste. Au sein de l'Union calédonienne, l'idée d'un conseil de discipline a même été évoquée pour les signataires. Un article de Mathurin Derel publié dimanche 20 juillet 2025, lu par Jeremy Zylberberg. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Un accord «historique» ! Le mot revient largement chez les personnalités politiques impliquées la semaine dernière dans la signature en région parisienne de l'accord sur la Nouvelle-Calédonie. Le texte de 13 pages intitulé «Le pari de la confiance» est censé poser les bases d'un règlement des crises qui secouent régulièrement l'archipel français. Le texte est-il réellement historique ? Que dit-il ? Quels problèmes est-il censé régler ? Avec nos invités : - René Dosière, ancien député socialiste et ancien rapporteur de la mission d'information sur l'avenir institutionnel de la Nouvelle-Calédonie - Ferdinand Mélin-Soucramanien, professeur de droit public à l'Université de Bordeaux, constitutionnaliste, co-auteur en 2013 du rapport public Réflexions sur l'avenir institutionnel de la Nouvelle-Calédonie.
Gel des dépenses de l'État, non remplacement d'un fonctionnaire sur trois partant à la retraite, une coupe de cinq milliards dans les dépenses de santé. Le Premier ministre François Bayrou a annoncé un plan destiné à économiser près de 44 milliards d'euros pour limiter le déficit public. « Des mesures simples, voire simplistes, fustige Le Point dans son éditorial. En tout cas rapides à mettre en œuvre ». L'hebdomadaire déplore l'absence de réforme annoncée. Un sentiment que partage le Le Journal du Dimanche : « Quand s'attaquera-t-on aux dépenses de l'État ?» se demande le média qui pointe le risque à terme d'une dégradation de la note de la France sur les marchés financiers, ce qui obligerait le pays à emprunter à des taux plus élevés. « Des mesures qui visent les classes moyennes et les plus modestes », écrit Le Nouvel Obs qui recense plusieurs mesures comme le gel des prestations sociales « qui laissent effectivement à penser que les classes populaires seront bien plus mise à contribution que les Français les plus riches ». Marianne, de son côté, déplore que le Premier ministre demande « des efforts aux français, aux plus âgés notamment, sans leur expliquer pourquoi le pays s'est enfoncé dans les déficits ? Sans exercer un droit d'inventaire sur les orientations du président de la République ? » S'attaquer au déficit public L'Express consacre tout un dossier au déficit public et s'interroge : « Pourquoi les autres font mieux que nous ? ». La France est l'un des plus mauvais élèves en la matière en Europe, elle « s'endette désormais à des taux plus élevés que le Portugal, l'Espagne et la Grèce ». L'Italie qui a longtemps traîné une mauvaise réputation est parvenue à faire passer son déficit à 3,4% du PIB en 2024 contre 7,2% un an plus tôt. « Un ajustement serré réalisé en un temps record, indique le magazine. Le gouvernement de Georgia Meloni a notamment supprimé différents dispositifs d'aides (...) comme le super bonus pour les travaux de rénovation énergétique (...) des mesures passées quasiment inaperçues », poursuit l'Express. L'Espagne, elle, bénéficie d'une croissance forte, mais elle a su faire des réformes, marché du travail et retraites : « elle fait davantage contribuer les plus haut revenus et maintien l'âge de départ à 67 ans », contre 62 ans en France. Et justement, « la dépense publique est de plus en plus consacrée aux retraites », poursuit l'hebdomadaire. « Les retraités vrais coupables ou boucs émissaires », s'interroge Marianne. « Depuis trente ans, la France enchaîne les réformes reculant l'âge de la retraite sans toucher aux pensions. Car les sabrer serait remettre en cause un contrat moral passé entre les générations : impensable », affirme le magazine. Et « si le sujet est tabou, c'est aussi parce que les retraités pèsent lourd dans l'électorat (...): 74% des plus de 60 ans ont voté aux dernières élections contre 51% des 25-34 ans ». L'accord sur la Nouvelle-Calédonie Accord signé après dix jours et dix nuits de négociations, selon Le Point, une table de ping-pong aurait aidé à « parvenir à un accord ». Cela a « aidé à détendre l'ambiance », raconte une des participantes. Concrètement, le document « esquisse la création d'un État de la Nouvelle-Calédonie, un ovni juridique imaginé par l'exécutif français, relate l'Express. (...) Le territoire reste inscrit dans la Constitution française. De l'autre, le "Caillou" se dote de presque tous les symboles d'un État à part entière ». Le Congrès calédonien pourra modifier nom, drapeau, hymne et devise et les relations internationales et diplomatiques deviennent aussi une compétence calédonienne. Les indépendantistes « ont renoncé à une indépendance sèche », précise l'hebdomadaire. Les non-indépendantistes « ont aussi accepté des concessions sur les compétences régaliennes, ligne rouge déclarée indépassable avant le début des négociations ». C'est un « pari réussi pour Emmanuel Macron », résume l'Express. Le Nouvel Obs s'intéresse à la gentillesse La force de la gentillesse qui viendrait au secours de nos démocraties menacées. « Dans le contexte actuel d'oppositions et de clashs permanents, réhabiliter cette qualité essentielle, injustement prise de haut, relève d'un devoir démocratique », affirme au magazine la philosophe Laurence Devillairs. « Dans nos sociétés laïcisées, on préfère les notions de bienveillance ou d'empathie (...) car la bienveillance est plus chic que la gentillesse », poursuit l'Obs. Bienveillance ou gentillesse, il en faudrait en tout cas plus en entreprise car elle est « la base de toute relation saine ». Alors quel gentil êtes-vous ? Le magazine distingue trois catégories : « les gentils stratèges », c'est plutôt la flatterie que vous pratiquez pour parvenir à vos fins. Les « gentils lâches », ceux qui disent oui pour avoir la paix. Et puis, les « gentils tout court ».
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur la guerre en Ukraine, l'état de l'économie israélienne et l'accord signé sur la Nouvelle-Calédonie. RDC : nouvelle attaque du groupe ADF dans la province de l'Ituri L'est de la RDC a une nouvelle fois été touchée par un massacre perpétré par les islamistes de l'ADF. Quelles sont leurs revendications ? Pourquoi sont-ils présents dans l'est du pays ? Quels moyens sont mis en œuvre pour protéger les populations ? Avec Paulina Zidi, correspondante permanente de RFI à Kinshasa. Guerre en Ukraine : 50 jours pour mettre fin au conflit ? Donald Trump a donné 50 jours à la Russie pour mettre fin à la guerre en Ukraine, sous peine d'imposer des droits de douane à hauteur de 100%. Au début de son mandat, le président américain avait pourtant insisté pour se rapprocher de son homologue russe. Comment expliquer cette rupture ? Cette annonce peut-elle changer le cours de la guerre ? Avec Ulrich Bounat, analyste géopolitique, chercheur-associé chez Euro Créative. Israël : comment financer des guerres prolongées ? Avec Gaza, l'Iran, le Sud-Liban, Israël mène des guerres sur plusieurs fronts. Je me demandais, est-ce que cela a un impact sur l'économie du pays ? Comment l'État hébreu finance-t-il ses opérations militaires prolongées ? Avec Stéphane Geneste, journaliste au service économie de RFI, présente chaque jour la chronique « Aujourd'hui l'économie ». Nouvelle-Calédonie : l'accord Bougival peut-il apaiser les tensions ? Un accord historique a été signé entre la France et des représentants indépendantistes et non indépendantistes de Nouvelle-Calédonie. Pourquoi certains indépendantistes rejettent-ils ce texte alors que l'accord prévoit la création d'un État de Nouvelle-Calédonie ? Quelles sont les prochaines étapes maintenant que cet accord a été signé ? Avec Fred Constant, professeur des Universités à Sciences Po et ancien haut-fonctionnaire. Auteur de « Géopolitique des outre-mer » (éditions Le Cavalier Bleu).
durée : 00:22:23 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Simon Le Baron - Manuel Valls, ministre des Outre-mer, était l'invité de France Inter ce mardi, après l'accord trouvé samedi sur la Nouvelle-Calédonie, signé par les indépendantistes et les non-indépendantistes. - invités : Manuel VALLS - Manuel Valls : Ministre des Outre-Mer Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Dans cette édition :Le Premier ministre François Bayrou présente les grandes lignes du budget 2026, qui prévoit 40 milliards d'euros d'économies à travers des mesures comme la suppression de niches fiscales, des hausses d'impôts et l'annulation d'un jour férié.Les autorités intensifient la lutte contre le trafic et l'utilisation détournée de mortiers d'artifice, qui sont de plus en plus utilisés comme armes contre les forces de l'ordre et les pompiers.Après l'accord de Bougival sur le statut de la Nouvelle-Calédonie, le plus dur commence maintenant pour les loyalistes et les indépendantistes qui doivent faire accepter ce texte auprès de la population.Le gouvernement augmente massivement le budget de la Défense, une décision approuvée par une majorité de Français.Un mort dans des circonstances troubles à Montargis, possiblement lié à un trafic de drogue.Donald Trump exige un accord de trêve en Ukraine sous 50 jours, menaçant la Russie de lourdes sanctions.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:22:23 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Simon Le Baron - Manuel Valls, ministre des Outre-mer, était l'invité de France Inter ce mardi, après l'accord trouvé samedi sur la Nouvelle-Calédonie, signé par les indépendantistes et les non-indépendantistes. - invités : Manuel VALLS - Manuel Valls : Ministre des Outre-Mer Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Dans cette édition :Le Premier ministre François Bayrou présente les grandes lignes du budget 2026, qui prévoit 40 milliards d'euros d'économies à travers des mesures comme la suppression de niches fiscales, des hausses d'impôts et l'annulation d'un jour férié.Les autorités intensifient la lutte contre le trafic et l'utilisation détournée de mortiers d'artifice, qui sont de plus en plus utilisés comme armes contre les forces de l'ordre et les pompiers.Après l'accord de Bougival sur le statut de la Nouvelle-Calédonie, le plus dur commence maintenant pour les loyalistes et les indépendantistes qui doivent faire accepter ce texte auprès de la population.Le gouvernement augmente massivement le budget de la Défense, une décision approuvée par une majorité de Français.Un mort dans des circonstances troubles à Montargis, possiblement lié à un trafic de drogue.Donald Trump exige un accord de trêve en Ukraine sous 50 jours, menaçant la Russie de lourdes sanctions.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Après dix jours de discussions à Bougival, indépendantistes et loyalistes ont trouvé un terrain d'entente. Le territoire du Pacifique s'oriente vers un nouveau statut : celui d'un « Etat » autonome au sein de la République française. Un tournant historique. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A 10h, ce lundi 14 juillet 2025, les GG : Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous uniques tous unis", et Charles Consigny, avocat, , débattent de : L'État de Nouvelle-Calédonie, un accord catastrophique ?
Au menu de la deuxième heure des GG du lundi 14 juillet 2025 : "Thierry Ardisson est mort à l'âge de 76 ans", "Un détenu se fait la belle, caché dans un sac de linge !", et "L'État de Nouvelle-Calédonie, un accord catastrophique ?" avec Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous uniques tous unis", et Charles Consigny, avocat, .
A la Une de la presse, ce lundi 14 juillet, l'annonce, par Emmanuel Macron, de l'augmentation des dépenses de défense, à la veille du traditionnel défilé militaire sur les Champs-Elysées. L'accord signé ce week-end entre indépendantistes et loyalistes sur la Nouvelle-Calédonie. Du sport, du tennis au football en passant par le Tour de France. Et une importante question grammaticale.
Chaque jour, retrouvez le journal de 8hde la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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durée : 00:14:34 - Journal de 18h - Ce samedi marque une journée historique pour la Nouvelle-Calédonie : les principales forces politiques ont signé un projet d'accord. Un Etat calédonien devrait être créé au sein de la République Française, plus d'un après les violentes émeutes qui ont fait 14 morts dans l'archipel.
durée : 00:14:34 - Journal de 18h - Ce samedi marque une journée historique pour la Nouvelle-Calédonie : les principales forces politiques ont signé un projet d'accord. Un Etat calédonien devrait être créé au sein de la République Française, plus d'un après les violentes émeutes qui ont fait 14 morts dans l'archipel.
durée : 00:15:03 - Journal de 12h30 - Après dix jours de discussions à huis clos entre les principales forces politiques de l'archipel, un projet d'accord historique a été trouvé ce samedi matin. Le texte doit désormais être validé par la population calédonienne.
Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Guillaume Ouattara du 12 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Florence Guillaume, Déléguée interministérielle à la sécurité routière - Sonia Backès, Présidente de la province Sud de la Nouvelle Calédonie - Olivier Lepick, Maire DVD de Carnac (Morbihan) Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Charlotte d'Ornellas, journaliste au JDD. - Vincent Roy, essayiste et journaliste. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Nicolas Metzdorf, député Ensemble pour la République de Nouvelle Calédonie. - Charlotte d'Ornellas, journaliste au JDD. - Vincent Roy, essayiste et journaliste. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Nicolas Metzdorf, député Ensemble pour la République de Nouvelle Calédonie. - Charlotte d'Ornellas, journaliste au JDD. - Vincent Roy, essayiste et journaliste. - Jules Torres, journaliste politique au JDD. - Sarah Saldmann, avocate et auteure de l'ouvrage "Le bon droit en toute saison" (Robert Laffont, avril 2025). Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Guillaume Ouattara du 12 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:15:03 - Journal de 12h30 - Après dix jours de discussions à huis clos entre les principales forces politiques de l'archipel, un projet d'accord historique a été trouvé ce samedi matin. Le texte doit désormais être validé par la population calédonienne.
Invités : - Florence Guillaume, Déléguée interministérielle à la sécurité routière - Sonia Backès, Présidente de la province Sud de la Nouvelle Calédonie - Olivier Lepick, Maire DVD de Carnac (Morbihan) Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Florence Guillaume, Déléguée interministérielle à la sécurité routière - Sonia Backès, Présidente de la province Sud de la Nouvelle Calédonie - Jean Didier Berger, Député Droite Républicaine des Hauts de Seine et vice-président de la commission des Finances à l'Assemblée Nationale - Olivier Lepick, Maire DVD de Carnac (Morbihan) Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il y a réception à l'Élysée ce samedi soir, après le consensus trouvé par les forces politiques dans la crise multisectorielle qui secouait le territoire de Nouvelle-Calédonie. Création d'un nouvel État de Nouvelle-Calédonie, d'une nationalité calédonienne à côté de la nationalité française, un accord dit historique a été trouvé entre les négociateurs. Éclairage avec Charlotte Mannevy, correspondante de RFI à Nouméa. Rappel pour bien saisir l'importance de ce texte : en mai 2024, la Nouvelle-Calédonie a connu des émeutes tragiques d'ailleurs avec un bilan très lourd de 14 morts. Qu'est-ce qui a mis la Nouvelle-Calédonie en colère à l'époque et comment, en si peu de temps, est-on arrivé à un consensus ? Charlotte Mannevy : Tout a commencé en 2021 avec le dernier référendum de l'accord de Nouméa sur l'indépendance de la Nouvelle-Calédonie. Référendum qui avait été boycotté par les indépendantistes. Résultat, ils en ont toujours contesté le résultat, donc la victoire du "non" à l'indépendance et surtout ce scrutin sans les indépendantistes a définitivement jeté le discrédit sur cette sortie de l'accord de Nouméa qui avait été signé en 1998. Et depuis, plus personne ne se parlaient. Le précédent gouvernement et le ministre de l'Intérieur et des Outre-mer de l'époque, Gérald Darmanin avait tenté de relancer le dialogue, sans succès, au point de lancer unilatéralement une réforme électorale contestée par les indépendantistes. Et c'est cette réforme qui, à l'époque, avait jeté dans la rue des milliers de jeunes indépendantes qu'on ne voyait plus depuis des années dans les meetings. Ils se sont en quelque sorte réveillés, mobilisés pour la pleine souveraineté de l'indépendance, on a vu revenir en force la revendication indépendantiste. Qu'est ce qui s'est passé pour qu'on réussisse à remettre tout le monde autour de la table, depuis une dizaine de jours à Paris ? Il y a eu des concessions, mais tout d'abord un principe de réalité, c'est-à-dire que ce bilan terrible, 14 morts en quelques mois pour un pays d'à peine 270 000 habitants, c'est un traumatisme. C'est un traumatisme économique. Imaginez que le PIB a chuté de 20% et que des milliers de personnes aujourd'hui n'ont plus d'emploi. La Calédonie ne vit plus que des subsides de l'État qui a multiplié par deux son aide au territoire qui est sous perfusion. Et bien sûr sans accord politique, impossible de relancer l'économie. C'est la porte ouverte à une nouvelle crise politique et économique. Si on entre dans l'état de ce projet d'accord qui vient d'être signé, on acte la création d'un État de Nouvelle-Calédonie au sein de la République française, avec des Calédoniens qui restent français, mais qui disposent de leur propre nationalité. C'est une solution qu'on avait envisagée par le passé ? C'est une solution qui est en fait la souveraineté partagée, déjà inscrite dans l'accord de Nouméa, c'est-à-dire une souveraineté qui appartient à la fois à la Nouvelle-Calédonie et à la France. C'est une concession pour l'État français qui est jacobin. C'est une concession pour les non-indépendantistes qui voulaient à tout crin rester dans la France et qui acceptent donc ce terme d'État et de nationalité. Mais c'est aussi une concession pour les indépendantistes puisqu'ils acceptent que cet État reste dans la France. Il y a aussi le renforcement des capacités régaliennes de la Nouvelle-Calédonie. C'est une demande de longue date des indépendantistes qui souhaitent notamment être représentés à l'ONU, pouvoir avoir une reconnaissance internationale. Tout cela sera décliné dans les mois à venir. Parmi les compétences régaliennes, des transferts vers la Nouvelle-Calédonie serait éventuellement également fait, par exemple, dans le domaine de la justice et de la police. Mais ce n'est pas encore fini, il faut que le Parlement français d'abord se réunisse en Congrès à Versailles, probablement au mois de septembre. Et à la rentrée, il y aura aussi des scrutins locaux en Nouvelle-Calédonie. Il y a de l'espoir, mais ce n'est pas encore bouclé ? Oui, parce qu'il va falloir convaincre maintenant. Qui dit consensus, compromis, dit mécontents des deux côtés. Il faut savoir que la société calédonienne est aujourd'hui extrêmement fracturée. Chacun campe sur ses conditions. Il va falloir aller expliquer ce compromis. Car ce texte, pour pouvoir être adopté, il doit être adopté par référendum. Un référendum qui aura lieu en février prochain. Et bien sûr, il doit être remporté pour que le texte entre en vigueur. Mais surtout, il faudra que, politiquement, il soit emporté à une très large majorité. On n'imagine pas un texte d'une ampleur pareil, créant un État, adopté à 52% des voix seulement, par exemple, et qui ferait l'unanimité. Là encore, ça crée de la fragilité. Donc il faudra convaincre pour que le “oui” soit massif à ce référendum. Il y a une chance de convaincre véritablement une masse de population de voter cet accord qui vient d'être signé ? La population, majoritairement en Calédonie, veut vivre ensemble. Ça, c'est de tout temps. La population calédonienne vit ensemble depuis la colonisation, donc la prise de position française en 1850 et quelques, donc de ce point de vue, effectivement, il y a des désaccords politiques, mais les gens vivent ensemble, les gens aspirent à ce vivre ensemble. D'autant plus avec cette crise économique majeure qui touche toutes les couches de la population et toutes les ethnies.
#122 Où étiez-vous Kiffe ta race ?Bilan politique, société et pop culture de l'été 2025Après quelques mois de pause, Kiffe ta race est de retour pour un épisode bilan en ce début d'été 2025. On revient sur les temps forts de ces derniers mois, marqués par des secousses politiques majeures : des élections nationales ombragées par l'extrême droite en France, la victoire de Trump aux États-Unis suivie d'un cortège de mesures liberticides, sans oublier les tensions à Mayotte, en Nouvelle-Calédonie et en Martinique. On vous parle aussi de notre spectacle, de vos retours et de l'énergie collective qui continue de porter ce projet.Côté société, on s'arrête sur les violences médicales et la publication d'un rapport marquant sur les discriminations dans les soins. En pop culture, on célèbre la reconnaissance du film L'Histoire de Souleymane, tout en soulignant la froide indifférence institutionnelle face aux revendications de personnes précarisées qui ont occupé la Gaîté Lyrique. On vous parle aussi de Fanon, Zion, Le Grand Déplacement et Dans la Cuisine des Nguyen… Bref, on fait le point et on se prépare pour les épisodes à venir cet été !Émission produite par Rokhaya Diallo et Grace Ly. kiffetarace@kiffetarace.comSon & réalisation : Monsieur Yao pour L'Appart StudioGraphisme : Gwenn GLMDirection artistique : @argotmagazineHabillage sonore : Baptiste MayorazKiffe ta race est disponible gratuitement sur Apple Podcasts, Spotify, Deezer, Amazon Music… Rejoignez nos communautés #Kiffetarace sur Youtube, Instagram, X, Facebook en vous abonnant à nos comptes. Donnez-nous de la force en semant le maximum d'étoiles et de commentaires sur les plateformes d'écoute et la Toile. Likez, partagez, nous sommes à l'écoute. Parlez de nous à vos proches, vos collègues et même vos ennemis ! Le bouche-à-oreille et la solidarité sont nos meilleures armes.Kiffe ta race saute à pieds joints dans les questions raciales en France depuis 2018. Nous tendons notre micro à des penseur.ses, chercheur.ses, artistes, activistes pour mettre l'antiracisme sur le devant de la scène. “Kiffer sa race” est une expression des années 90-2000 qui signifie “passer un bon moment”, nous l'employons ici avec malice et conscience du double sens :) Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:38:49 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins d'été) - par : Astrid de Villaines, Sarah Masson, Stéphanie Villeneuve - Un an après les émeutes, Emmanuel Macron convoque "tous les acteurs du territoire" à un "Sommet pour l'avenir de la Nouvelle-Calédonie". Il s'est ouvert le 2 juillet pour une durée indéterminée. Objectif : redéfinir le statut politique et la gouvernance de l'archipel. Un compromis est-il possible ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Isabelle Leblic Anthropologue, directrice de recherche émérite au CNRS; Stéphane Robert Chef du service politique de la rédaction de France Culture; Benjamin Morel Constitutionnaliste français, docteur en sciences politiques et maître de conférences
Deux mois après la suspension des négociations sur l'avenir institutionnel de l'archipel, Emmanuel Macron a ouvert, mercredi 2 juillet, un sommet réunissant les indépendantistes, partisans d'une « souveraineté avec la France », et les loyalistes, qui défendent un modèle fédéral. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À la Une de la presse, ce mardi 2 juillet, la déclaration de Donald Trump, qui assure qu'Israël accepte un cessez-le-feu à Gaza - au moment où l'armée israélienne étend son offensive dans l'enclave palestinienne. Le débat sur la clim en France, en pleine canicule. François Bayrou rescapé d'une huitième motion de censure, et les discussions sur la Nouvelle-Calédonie autour d'Emmanuel Macron. Et le problème des problèmes de maths.
Dernier épisode. Ce rendez-vous mondial pour mieux protéger l'océan. La 3e Conférence des Nations unies sur l'océan vient de s'achever. À Nice, des responsables politiques, des scientifiques, des membres d'ONG, des dirigeants et dirigeantes d'entreprise, ainsi que des citoyennes et citoyens concernés se sont réunis pour faire entendre leurs voix et affirmer leur volonté d'agir pour la préservation du milieu marin. Face à l'urgence, les engagements se multiplient. La gouvernance des océans reste un défi, mais les échanges tenus à Nice marquent une avancée vers davantage de coopération. Que faut-il retenir de cette conférence ? Quelles promesses ont été faites, quelles avancées obtenues ? À l'approche de la COP30, l'heure est venue de faire le bilan - et de mesurer ce que l'océan peut encore espérer. Avec : Olivier Poivre d'Arvor, ambassadeur français pour les pôles et l'océan. Mere Takoko, chercheuse maorie spécialisée dans les savoirs océaniques autochtones. LaToya Cantrell, maire de la Nouvelle-Orléans (Etats-Unis). Carlos Santos, pêcheur brésilien engagé contre les méthodes de pêche industrielle. Antonio Guterres, Secrétaire général des Nations unies. Emmanuel Macron, Président de la République française. Rodrigo Chaves Robles, Président de la République du Costa Rica. Ilona Mayerau-Lonné et Noémie de Saint-Quentin, membres du "Réseau Jeunesse Pays et Territoires d'Outre-mer", représentantes de la jeunesse de Nouvelle-Calédonie. Romane Prigent, rédactrice au sein de la Direction des Nations unies et des organisations internationales du MEAE, chargée des sujets « climat et environnement ». Marina Lévy, océanographe, directrice de recherche au CNRS, Conseillère Océan auprès de l'IRD (Institut de recherche pour le développement). John Kerry, ancien ministre des Affaires étrangères des Etats-Unis. Henri Bourgeois-Costa, expert en environnement, pollutions plastiques et économie circulaire, membre de la Fondation Tara Océan. Marine Calmet, juriste avocate de formation, présidente de l'association Wild Legal. Gabrielle Larricq, rédactrice océan au ministère de l'Europe et des Affaires étrangères (MEAE). Nabil Medaghri-Alaoui, rédacteur océan au MEAE. Françoise Gaill, océanographe, conseillère scientifique au CNRS et vice-présidente de la Plateforme Océan & Climat. ------ Pour aller plus loin : Le baromètre Starfish, qui dresse chaque année, à l'occasion de la Journée mondiale de l'océan, un état des lieux scientifique et pédagogique de la santé de l'océan. La liste des engagements pris lors de la 3e Conférence des Nations unies sur l'océan. Un coloriage : prolongez l'expérience en coloriant vous-même la fin de la fresque à télécharger imaginée par Julie Feydel, la directrice artistique du ministère de l'Europe et des Affaires étrangères. (PDF) ------ CRÉDITS : Voix, écriture, production et réalisation : Diane Jean Edition et aide à la production : Mariane Schlegel Communication : Kaled Maddi Direction de production : Julie Godefroy Musique : 1985, Angel Salazar (Artlist) ------ DOUBLAGE : Olivier Poivre d'Arvor : Maxime Richard. Mere Takoko : Guifty Banka. Carlos Santos : Simon Derieux-Billaud. John Kerry : Matthias Lugoy. ------ À PROPOS : « Qui gouverne l'océan ? » est une série du podcast Sources diplomatiques. Réalisé par le ministère de l'Europe et des Affaires étrangères, ce podcast vous propose des documentaires, décryptages, récits intimes et conversations pour plonger dans les coulisses de la diplomatie française et comprendre les grands enjeux internationaux. Sources diplomatiques est à retrouver sur toutes les applications d'écoutes et de streaming audio.
durée : 01:04:54 - Les Nuits de France Culture - par : Mathilde Wagman - A la chute de la Commune, Jean Allemane est arrêté et déporté en Nouvelle-Calédonie. C'est son parcours, de la "Semaine sanglante" à sa détention au bagne de l'île Nou, que retrace ce deuxième volet de la série que lui consacre "Les inconnus de l'histoire" en 1983. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Madeleine Rebérioux
Dans ce 134ème épisode, Aïssa raconte la Nouvelle Calédonie
Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent de la volonté de Marine le Pen d'accélérer les débats en Nouvelle-Calédonie.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent de la volonté de Marine le Pen d'accélérer les débats en Nouvelle-Calédonie.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Anthropologue et chercheur au CNRS et spécialiste de la Nouvelle-Calédonie, Benoît Trépied évoque la situation dans l'archipel, un an après les émeutes qui ont conduit à la mort de 14 personnes. Entre conséquences économiques de l'embrasement et reprise des négociations, il fait le point et présente son livre "Décoloniser la Kanaky-Nouvelle-Calédonie".
En 2015, Damien est gendarme, en opération en Nouvelle-Calédonie. Pendant une intervention, il reçoit 3 fragments de balle dans la tête, mais reste miraculeusement en vie. Les tireurs sont mineurs ou insolvables. Damien ne reçoit donc aucun dédommagement. Depuis, il se bat pour obtenir un dédommagement afin de mener une vie normale avec sa famille. En août, il sera officiellement réformé et ne touchera plus son salaire de gendarme. Dans le podcast « Ça peut vous arriver » sur RTL, Julien Courbet et son équipe distribuent conseils conso et astuces juridiques pour lutter contre les arnaques dans la bonne humeur. Ecoutez Ça peut vous arriver avec Julien Courbet du 27 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En 2015, Damien est gendarme, en opération en Nouvelle-Calédonie. Pendant une intervention, il reçoit 3 fragments de balle dans la tête, mais reste en vie. Les tireurs sont mineurs ou insolvables. Damien ne reçoit donc aucun dédommagement. Depuis, il se bat pour obtenir un dédommagement afin de mener une vie normale avec sa famille. En août, il sera officiellement réformé et ne touchera plus son salaire de gendarme... Thomas Renard, en charge du dossier, revient sur une enquête pas comme les autres ! Au micro de Maéna Guerin, un membre de l'équipe de "Ça peut vous arriver" revient sur les négociations difficiles et les moments off de ces 2h d'antenne ! Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'était il y a tout juste un an en Nouvelle-Calédonie : après dix jours d'affrontements entre forces de l'ordre et émeutiers… le président de la République Emmanuel Macron se posait à Nouméa et annonçait la suspension de la réforme qui avait mis le feu aux poudres.La réforme électorale en question, adoptée par l'Assemblée nationale visait à permettre aux résidents français installés dans cet archipel depuis au moins dix ans de prendre part aux scrutins provinciaux. Mais pour les indépendantistes kanaks, c'était inadmissible : ils estiment que son but est de réduire l'influence du peuple autochtone sur les affaires de ce territoire autonome très stratégique pour la France.Un an après les émeutes, la colère n'est pas retombée dans les quartiers populaires de Nouméa. On y parle encore de "révolution", de "ras-le-bol" et de survie. Mais pour beaucoup, l'urgence est désormais de "tenir", alors que l'économie est dévastée. Politiquement, la situation reste bloquée. Reste l'espoir que des élections provinciales repoussées de plus d'un an, et prévues fin novembre 2025, permettent de fixer un cap.Réalisation : Victoire Renard-DewynterSur le terrain : Thibault Marchand, journaliste à l'AFP en charge des Outre-mer et Arnaud Richard (AFPTV)Invité : Benoît Trépied, anthropologue spécialiste de nouvelle calédonie au CNRS, auteur de Décoloniser la Kanaky-Nouvelle-CalédonieSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Un an après les violences les plus graves qu'ait connues la Nouvelle-Calédonie depuis les années 1980, le calme reste fragile. Si Nouméa a retrouvé une apparente sérénité, les tensions politiques demeurent vives. À Paris, le gouvernement se tient prêt à toute éventualité.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:14:21 - Journal de 7 h - Un an après le déclenchement de la violente insurrection qui a fait quatorze morts en Nouvelle Calédonie, le point sur la situation économique, sociale et institutionnelle de l'archipel dans ce journal.
durée : 00:58:15 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Le 8 mai, le ministre des outre-mer Manuel Valls a quitté la Nouvelle-Calédonie sans être parvenu à trouver un accord politique avec les indépendantistes. Un échec qui annonce une nouvelle période d'instabilité dans l'archipel, un an après les émeutes de 2024 ayant coûté la vie à 14 personnes. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Benoît Trépied Anthropologue au CNRS; Benoît Carteron Anthropologue membre du laboratoire espace et société de l'université d'Angers
durée : 02:00:14 - Les Matins du samedi - par : Nicolas Herbeaux - Cette semaine, on s'intéresse aux sexualités des jeunes, à la Nouvelle-Calédonie un an après l'embrasement de mai 2024 et nous recevons Claire Berest pour son dernier livre "La chair des autres" sur le procès des viols de Mazan. - réalisation : Camille Mati - invités : Benoît Trépied Anthropologue, chargé de recherche au CNRS, spécialiste de la Nouvelle-Calédonie; Claire Berest Écrivaine
durée : 00:04:26 - Le Reportage de la rédaction - Terre du nickel, la Nouvelle-Calédonie va être protégée pendant au moins un demi-siècle d'exploration et d'exploitation dans la mer de Corail. Le moratoire adopté par le territoire est une première dans le Pacifique Sud.
durée : 00:04:43 - Le Reportage de la rédaction - Terre du nickel, la Nouvelle-Calédonie va être protégée pendant au moins un demi-siècle d'exploration et d'exploitation dans la mer de Corail. Le moratoire adopté par le territoire est une première dans le Pacifique Sud.