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Resumen de noticias de la mañana de LA NACION del 13 de mayo de 2025
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Resumen de noticias de la tarde de LA NACION del 12 de mayo de 2025
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Resumen de noticias de LA NACION de la semana del 5 al 11 de mayo de 2025
Resumen de noticias de la mañana de LA NACION del 9 de mayo de 2025
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Resumen de noticias de la mañana de LA NACION del 8 de mayo de 2025
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Resumen de noticias de la mañana de LA NACION del 7 de mayo de 2025
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Resumen de noticias de la mañana de LA NACION del 6 de mayo de 2025
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Resumen de noticias de la tarde de LA NACION del 5 de mayo de 2025
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Resumen de noticias de LA NACION de la semana del 28 de abril al 4 de mayo de 2025
Resumen de noticias de la mañana de LA NACION del 2 de mayo de 2025
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Resumen de noticias de la mañana de LA NACION del 1 de mayo de 2025
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Resumen de noticias de la mañana de LA NACION del 30 de abril de 2025
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Resumen de noticias de la mañana de LA NACION del 29 de abril de 2025
Resumen de noticias de la mañana de LA NACION del 28 de abril de 2025
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Resumen de noticias de LA NACION de la semana del 21 al 27 de abril de 2025
Resumen de noticias de la mañana de LA NACION del 25 de abril de 2025
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Resumen de noticias de la mañana de LA NACION del 24 de abril de 2025
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Resumen de noticias de la mañana de LA NACION del 23 de abril de 2025
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Resumen de noticias de la mañana de LA NACION del 22 de abril de 2025
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Édition spéciale. Né Jorge Bergoglio, en Argentine, le pape François est mort ce lundi de Pâques, au Vatican. De très nombreux messages de condoléances et d'hommages ont afflué à travers le monde ce lundi, après l'annonce de la mort du pape François, décédé à 7h35 du matin, d'après le Vatican. Jorge Bergoglio, de son nom de naissance, était né en Argentine et avait grandi à Buenos Aires. Devant la cathédrale de la capitale Argentine, notre correspondant Théo Conscience a rencontré des habitants venus se recueillir spontanément, « les yeux rougis », pour rendre hommage au premier pape latino-américain de l'Histoire, mais aussi « l'Argentin le plus important », raconte notre journaliste.Hommages également dans la presse argentine. « François, le simple pape du bout du monde qui a brisé les codes et ouvert l'Église comme cela n'avait jamais été fait », titre La Nacion qui rappelle les sept voyages du pape François sur le continent, de la première visite au Brésil à la dernière, au Panama, en 2019, en passant par Cuba en 2015. Le pape avait annoncé plusieurs fois son intention de revenir en Argentine, sans la concrétiser. D'après un expert interrogé dans le journal argentin, le pape craignait une instrumentalisation politique de sa venue. Le pape François et l'Argentine auront eu « une relation complexe et contaminée par la politique », résume La Nacion. De son côté, Pagina12 pointe les combats du pape François : « Contre les guerres, pour l'écologie et en faveur des pauvres. »Les journaux argentins n'oublient pas non plus l'histoire d'amour entre le pape et le football. Clarin, en particulier, revient sur la ferveur du pape pour le club de San Lorenzo à Buenos Aires. Le pape François vivait tout près du stade, où il était abonné étant petit. Plus tard, durant son pontificat, il avait rencontré, raconte le journal Clarin, Maradona et Messi, mais aussi le brésilien Pelé.À lire aussiLe football, la passion de cœur du pape FrançoisInterview avec Jean-Jacques Kourliandsky, directeur de l'Observatoire de l'Amérique latine et des Caraïbes à la Fondation Jean-Jaurès : « C'était le premier pape non-européen »Le pape François était une personnalité controversée, son rôle pendant la dictature argentine ayant été questionné. Pour Jean-Jacques Kourliandsky, ce pape aura non seulement été le premier latino-américain, mais aussi le premier à ne pas être originaire d'Europe.Qualifié de réformiste, le pape François a effectué « quelques pas » importants au sujet des questions de société, « mais il est resté sur une position conservatrice de l'Église », note Jean-Jacques Kourliandsky. Le pape avait d'ailleurs soutenu avec véhémence Juan Barros, un évêque décrié au Chili et soupçonné d'avoir couvert les actes pédocriminels d'un prêtre.À lire aussiLe pape François est mort à l'âge de 88 ans, annonce le VaticanUSA : un pape réformiste, critiqué aux États-Unis par les conservateursLa veille de sa mort, dimanche, le pape François avait rencontré le vice-président américain JD Vance, rappelle notre correspondante à New York Carrie Nooten. Entre le souverain pontife et l'administration Trump, la relation avait pris la forme de « joutes à répétitions », souligne notre journaliste. Aussi bien lors du premier mandat que lors du deuxième, le pape avait critiqué la politique migratoire de Donald Trump, soulignant que « l'expulsion forcée au seul titre d'un statut migratoire » constituait une privation « de dignité » pour les personnes migrantes.Dans la presse, le New York Times raconte comment le pape François a dû composer, voire « affronter » des leaders catholiques conservateurs défiants. Le quotidien illustre cela avec une photo du cardinal Raymond Burke. « Les États-Unis, en pleine bataille culturelle et politique sur l'avortement et d'autres questions sociales, étaient un bastion de cette opposition conservatrice », note le journal new-yorkais. Le pape avait nommé, dans plusieurs villes américaines, des figures promouvant une vision plus accueillante et ouverte de l'Église, tout en rétrogradant certains évêques ou cardinaux critiques du Vatican. Toutefois, cela n'a pas changé fondamentalement l'orientation de l'Église catholique américaine, toujours conservatrice et très engagée dans les débats sur l'avortement, la sexualité et le genre aux États-Unis, analyse le New York Times.À lire aussiLe pape François, un bâtisseur de ponts et de réformes
Resumen de noticias de la mañana de LA NACION del 21 de abril de 2025
Resumen de noticias de la tarde de LA NACION del 21 de abril de 2025
Resumen de noticias de LA NACION de la mañana del 17 de abril de 2025
Resumen de noticias de LA NACION de la mañana del miércoles 16 de abril de 2025
Le président sortant Daniel Noboa, tenant d'une ligne sécuritaire et soutenu par la droite équatorienne, a été réélu avec 56% des voix. La candidate socialiste Luisa Gonzalez demande un recomptage des votes. « À l'annonce des résultats hier soir [dimanche 13 avril 2025], les partisans du président Noboa ont fait la fête dans les trois grandes villes du pays », témoigne notre reporter sur place, à Quito, Rafael Moran. Ces résultats restent difficiles à expliquer, précise-t-il : « Le rejet du courant politique de gauche de Luisa Gonzalez, le corréisme, a pu compter (…) Certains analystes se demandent si la politique du carnet de chèques a pu compter : le président Noboa a distribué 14 aides différentes depuis le début de l'année ».Cette élection contestée laisse beaucoup de questions et d'incertitudes, selon Christophe Ventura, directeur de recherche à l'Iris (l'Institut de relations internationales et stratégiques), spécialiste de l'Amérique latine, au micro de Clotilde Dumay : « C'est le signe d'une élection qui ne résout pas la crise politique enÉquateur, sur fond de crise économique et sécuritaire », estime le chercheur. Il souligne des résultats « inattendus », qui marquent la polarisation de la société.« Le recomptage des voix va être très compliqué, car le Conseil national électoral réduit la possibilité de recomptage en fonction de conditions très limitées, ce n'est pas du tout gagné que ce recomptage soit accepté », ajoute Christophe Ventura à notre micro.La mort du prix Nobel péruvien Mario Vargas Llosa. Il s'est éteint au Pérou, à 89 ansMario Vargas Llosa laisse une œuvre considérable, une quarantaine d'essais, de romans et de pièces de théâtre : des textes autobiographiques comme La ville et les chiens, relatant son passage à l'académie militaire où son père l'avait envoyé de force ou encore La tante Julia et le scribouillard, qui raconte sa fuite avec sa tante de quinze ans son ainée. L'auteur avait touché à tous les genres, épiques, sensibles, libertins, fresques historiques. La littérature était pour lui une manière de façonner l'esprit et le monde, détaille le journaliste Olivier Rogez, du service culture de RFI.Grand amateur de politique, ex-candidat déchu à la présidentielle péruvienne, Mario Vargas Llosa, communiste dans les années 50 avant de soutenir la Révolution Cubaine, avait, sur la fin de sa vie, donné son soutien à des candidats populistes d'extrême-droite comme Jair Bolsonaro.Dans la presse latino-américaine, les hommages sont unanimes. El Comercio, journal péruvien pour lequel l'auteur écrivait, regrette la disparition du « péruvien le plus universel », « le plus grand écrivain » du pays. La Republica se fait, elle, l'écho de nombreux hommages nationaux et internationaux au « dernier écrivain du boom latino-américain ». Du côté de la Colombie, El Tiempo se souvient tout de même le lien tumultueux entre Mario Vargas Llosa et Gabriel Garcia Marquez. L'écrivain péruvien avait frappé, à la fin des années 70, son ami Colombien d'alors, mettant fin à leur relation.Dans la presse Argentine, le premier jour de la flexibilisation des taux de change« Le gouvernement cherche à détourner l'attention de ce premier jour sans restriction des taux de change » et préfère insister sur sa rencontre avec Scott Bessent, secrétaire du trésor américain, analyse La Nacion.En Argentine, le dollar est désormais « flottant », entre 1 000 et 1 400 pesos. Pas de quoi entraîner de l'inflation, se sont échinés à démontrer le président Milei et ses proches ce week-end, usant de longs tweets et autres démonstrations sur papier, comme le rapporte La Nacion.Le média Pagina12 n'est pas rassuré : « L'impact de ses mesures est incertain et ne sera connu qu'à l'ouverture des marchés ce lundi [14 avril 2025] », lit-on.Aux États-Unis, le cas emblématique du Salvadorien expulsé par erreur et la politique migratoire de Donald Trump scruté de près par les journaux« Le ministère de la Justice dit qu'il n'est pas obligé de ramener le migrant expulsé par erreur au Salvador », écrit le Washington Post, alors que le président du Salvador Nayib Bukele est reçu ce lundi à la Maison Blanche.Le journal explique comment l'administration Trump interprète en sa faveur la décision de la Cour Suprême. Pour le gouvernement, « faciliter » le retour de Kilmar Abrego Garcia ne reviendrait, en fait, qu'à retirer les « obstacles nationaux » à ce retour. Le tout s'appliquant, selon le gouvernement, uniquement si le Salvador décidait de lui-même de libérer M. Abrego Garcia.« Ces affirmations ouvrent la voie à un nouveau test de la capacité du pouvoir judiciaire fédéral à maîtriser une administration (…) qui s'est efforcée d'étendre de manière agressive son pouvoir exécutif », commente le Washington Post. Par ailleurs, le New York Times publie une longue enquête décrivant comment le gouvernement utilise l'application mobile d'une entreprise pénitentiaire privée pour surveiller les migrants et faciliter leur arrestation. Le Washington Post révèle, lui, que la détention et la révocation du visa de la doctorante étrangère Rumesya Ozturk n'est fondée sur aucune preuve d'antisémitisme ou d'apologie du terrorisme, contrairement aux dires du gouvernement.À la Une du journal des Outre-mers, de notre partenaire de la 1ʳᵉLa Guyane où les maires contestent les chiffres du recensement.
Resumen de noticias de LA NACION de la mañana del lunes 14 de abril de 2025
Resumen de noticias de LA NACION de la mañana del viernes 11 de abril de 2025
Resumen de noticias de LA NACION de la semana del 7 al 12 de abril de 2025
Resumen de noticias de LA NACION de la mañana del 10 de abril de 2025
« Kenscoff, localité crucifiée », met à la Une l'agence Alterpresse. Le bureau intégré de l'ONU en Haïti (Binuh) dresse le bilan des violences commises entre le 27 janvier et le 27 mars 2025 à Kenscoff, dans la périphérie sud de Carrefour. Le constat est dramatique : 262 morts, 66 blessés, des cas de violences sexuelles, de kidnappings, plus de 190 maisons saccagées et incendiées, 7 000 déplacés. « Les gangs ont fait preuve d'une brutalité extrême, cherchant à semer la peur au sein de la population », souligne Peter Gotson, directeur de l'agence Alterpresse, en citant le rapport des Nations unies. « Une éventuelle prise d'otage de Kenscoff mettrait en difficulté Pétionville où s'établissent de nombreux commerces, bureaux et ambassades », poursuit le journaliste haïtien.Est-il trop tard pour renverser la vapeur ? « Si rien n'est fait rapidement, la situation risque de devenir irréversible, avec Haïti sombrant dans un chaos total. Mais avec une stratégie cohérente et du soutien international et local, le pays pourrait encore se relever », met en exergue Peter Gotson, renvoyant vers un article de la journaliste Nancy Roc.Haïti bloque l'importation de marchandises ayant transité par la République dominicaineLes produits importés devront désormais entrer par les ports haïtiens et non plus transiter par camion, arrivant en République dominicaine avant de passer par camion la frontière terrestre entre les deux pays, qui se partagent l'île d'Hispaniola.« Cette mesure n'affecte en rien le commerce entre Haïti et la République dominicaine, mais uniquement les conteneurs en transit, notamment venant de Miami aux États-Unis. Ces conteneurs transitent par la République dominicaine avant d'arriver en Haïti. Les saisies effectuées ces derniers temps ont révélé la présence d'armes dans ces conteneurs », commente Gotson Pierre, directeur de l'agence Alterpresse.Aux États-Unis, les exécutions de prisonniers en baisseLe nombre d'exécutions dans le monde est en hausse, d'après le dernier rapport d'Amnesty International, contrairement aux États-Unis. Mais le président Donald Trump a signé, à son arrivée à la Maison Blanche, un décret pour renforcer l'usage de la peine capitale au niveau fédéral. Cela concerne en particulier les condamnés pour meurtres de policiers ou les crimes commis par des étrangers en situation irrégulière. Une douzaine d'États américains procèdent à des exécutions.« Dans ces États, les responsables politiques ont fini par admettre que la peine capitale n'a pas d'effet dissuasif. Il y a quelques années, un sondage auprès des officiers de la police a révélé que la peine de mort arrivait en toute dernière position des moyens jugés efficaces pour lutter contre les crimes violents. Et puis c'est aussi une question de coût : des États comme New York ou le New Jersey – qui ont fini par abolir la peine de mort – avaient dépensé des millions pendant des années… sans exécuter personne », indique Corinna Lain, professeure de droit à l'Université de Virginie au micro de notre journaliste Achim Lippold.Depuis le début de l'année 2025, dix personnes ont été exécutées aux USA. Un chiffre dans la moyenne de ces dernières années.Le Salvadorien expulsé par erreur des États-Unis toujours détenu dans une méga-prisonÂgé de 29 ans, Kilmar Abrego Garcia se trouve aujourd'hui au Salvador. Un juge avait ordonné son retour aux États-Unis avant lundi, minuit, mais la Cour suprême a bloqué la décision. C'est un exemple emblématique des procédures judiciaires entourant la politique migratoire drastique du président américain.De son côté, le média indépendant ProPublica a enquêté sur ce qu'il se passe à bord des avions renvoyant les migrants expulsés. Au cœur de l'ICE Air, les personnels navigants des avions disent « ce n'est qu'une question de temps » avant un désastre. L'article nous amène à bord d'un vol au-dessus du Mexique. Une petite fille fait un malaise, elle suffoque. Pour lui venir en aide, une hôtesse de l'air, qui témoigne anonymement dans le papier, déroge au règlement en adressant la parole à la famille.Au fil des témoignages recueillis par ProPublica, on apprend que, loin de l'efficacité militaire mise en avant par la Maison Blanche, ces expulsions se font via des vols charters, civils, de la compagnie Global Crossing. « Ils ne nous ont pas dit que ces gens allaient être attachés des poignets jusqu'aux foutues chevilles », s'énerve un employé, inquiet aussi pour la sécurité en cas d'évacuation.Quant à la petite fille malade, son vol a fait demi-tour. L'hôtesse de l'air, qui a aujourd'hui démissionné, n'a jamais su si l'enfant avait survécu. L'article se termine sur le témoignage de l'employée : « J'ai pleuré après tout ça ».En Argentine, les soubresauts de la bourse mondiale scrutés de prèsDans un panorama mondial « turbulent » et « énigmatique », nous dit La Nacion, l'horizon reste « mystérieux » pour l'Argentine. Des réactions en chaine pourraient arriver, explique l'éditorialiste argentin, qui écrit au conditionnel. Par exemple : l'inflation aux États-Unis renforcerait le dollar, le peso argentin resterait plus fort qu'il ne l'est, freinant la production de richesse, avec, in fine, un risque de détruire des emplois.« En Argentine, le dollar, l'inflation, l'économie et le soutien au président Javier Milei dépendent les uns des autres », poursuit La Nacion. L'éditorialiste se demande aussi comment une pénurie de dollars influerait sur le futur accord entre l'Argentine et le FMI, craignant, toujours avec des « si » que l'accord mène à déréguler le taux de change, faisant grimper les prix. Tout le contraire des promesses de Javier Milei à ses électeurs, donc. Or, comme le note de son côté le média Pagina12, « l'inflation est redevenue le problème numéro 1 ».
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