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durée : 00:23:37 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Julie Gacon - En novembre 2024, les forces de sécurité somaliennes appuyées par les États-Unis ont chassé les djihadistes de Daech présents au Puntland. La journaliste Margaux Benn rentre de cette région du nord-est de la Somalie, qui était pendant un temps un des points névralgiques de l'organisation islamiste. - réalisation : Cassandre Puel - invités : Margaux Benn Journaliste au Figaro, lauréate du prix Albert Londres en 2022
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 28 mai 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste.Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l'Institut Français de Géopolitique.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.Lucile Schmid, vice-présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.LE RECUL DES ACCORDS DE PARISAprès avoir clamé « Make our planet great again (« Rendez sa grandeur à la planète »), et promis que son second quinquennat « sera écologique ou ne sera pas », Emmanuel Macron s'est montré de moins en moins ambitieux au fil de ses deux mandats. Son gouvernement n'a pas tenu sa promesse de sortie du glyphosate en trois ans, a édulcoré la loi zéro artificialisation nette et délivre encore des permis d'hydrocarbures. En 2019, sur recours du collectif d'associations « L'affaire du siècle », la responsabilité de l'État a été engagée par le juge administratif pour n'avoir pas respecté sa propre trajectoire de réduction des émissions de gaz à effet de serre.Déjà marginalisée depuis l'irruption de la guerre en Ukraine ou à Gaza, la cause climatique se retrouve foulée aux pieds dans le nouveau chaos géopolitique créé par l'administration Trump. En France, depuis le début de l'année, les reculs se multiplient, dans une ambiance d'attaques répétées de la droite et de l'extrême droite contre les opérateurs de l'État comme l'Office français de la biodiversité ou l'Agence de la transition écologique. Adopté au Sénat en janvier, un texte vise la réautorisation par dérogation de certains insecticides néonicotinoïdes et restreint l'indépendance de l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses), des reculs jugés considérables par les défenseurs de l'environnement.Or, il y a dix ans, dans le cadre des accords de Paris de 2015, la France s'est engagée à atteindre la neutralité carbone en 2050 et, pour y parvenir, s'est dotée d'une feuille de route de réduction des émissions par secteur, la Stratégie nationale bas carbone, dont la troisième version doit être officiellement publiée dans les prochains mois. L'objectif : réduire nos émissions brutes de 50 % entre 1990 et 2030, en accord avec l'objectif européen. Alors que la France doit réduire ses émissions de 4,7 % par an en moyenne entre 2022 et 2030, ces dernières n'ont diminué que de 1,8 % en 2024 par rapport à 2023 selon lebaromètre Citepa chargé de l'inventaire des émissions de la France. Le compte n'y est donc pas.Selon une enquête de 2022 de l'Organisation pour la coopération et le développement économiques (OCDE), environ 43 % des Français ont une opinion sur le climat qui s'écarte significativement du consensus scientifique. Une proportion qui excède – parfois de plus de 20 points – ce qui est observé dans la douzaine des autres pays à hauts revenus inclus dans l'étude de l'OCDE.LA POLITIQUE DE NETANYAHOU ET L'ISOLEMENT D'ISRAËLDurant la tournée de Donald Trump dans le Golfe mi-mai, le premier ministre israélien a paru isolé et pris de court par les décisions du président américain de lancer des pourparlers avec l'Iran sur le nucléaire, de négocier directement avec le Hamas la libération d'otages israélo-américains, de conclure un cessez-le-feu avec les Houthis yéménites et de lever les sanctions américaines sur la Syrie.Le 19 mai, Benyamin Nétanyahou a annoncé qu'Israël allait prendre « le contrôle de tout le territoire » de la bande de Gaza en lançant l'opération Chariots de Gédéon. L'armée israélienne a depuis intensifié ses opérations dans l'enclave palestinienne, faisant des centaines de morts, dont une majorité de civils. Le plan du gouvernement israélien qui suppose de raser ce qui reste de Gaza, de parquer une population affamée dans une petite portion de l'enclave et de la soumettre à un système militarisé de distribution d'aide humanitaire a suscité une indignation générale de la communauté internationale y compris de la part de capitales occidentales proches d'Israël. Quelque 39 pays ont déposé un recours devant la Cour Internationale de Justice de La Haye. Le président français, et les Premiers ministres britannique et canadien ont prévenu qu'ils ne resteraient « pas les bras croisés » devant les « actions scandaleuses » du gouvernement israélien. 22 pays ont aussi exigé d'Israël une « reprise complète de l'aide à la bande de Gaza, immédiatement », demandant qu'elle soit organisée par les Nations unies et les ONG. Sous la pression, après deux mois et demi de blocus humanitaire, Benyamin Netanyahou a autorisé quelques camions transportant des médicaments et de la nourriture pour enfants à pénétrer dans la bande de Gaza. Un geste minimum, loin de répondre aux besoins. Le 20 mai, la Commission européenne a déclaré qu'elle allait entamer un processus de révision de l'accord d'association de l'Union européenne avec Israël, dont l'article 2 évoque le respect des droits humains qui pourrait aboutir à la suspension des relations commerciales favorables à Tel-Aviv. La cheffe de la diplomatie européenne, Kaja Kallas a constaté qu'« il existe une forte majorité en faveur du réexamen de l'article 2 de notre accord d'association avec Israël. Nous allons donc nous lancer dans cet exercice ». La mort de deux employés de l'ambassade d'Israël aux États-Unis, tués devant le musée juif de Washington, a renforcé un sentiment d'isolement en Israël et la crainte de devenir un Etat paria. Le 23 mai, le Conseil de l'Europe a estimé que les actes dans la bande de Gaza « vont dans le sens d'un nettoyage ethnique et d'un génocide ». Lundi, le chancelier allemand Friedrich Merz a menacé le gouvernement Netanyahou de ne plus continuer à le soutenir en raison de l'intensification de l'offensive de l'armée israélienne à Gaza. « On ne peut plus le justifier par une lutte contre le terrorisme du Hamas », a déclaré le dirigeant allemand, fustigeant avec une rare fermeté les actions d'Israël, dont Berlin est l'un des plus fidèles alliés avec les États-Unis.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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durée : 00:03:39 - Le monde à 18h50 - par : Franck MATHEVON - Dans son dernier rapport annuel, l'institut de recherche suédois V-Dem dresse un tableau précis et étayé de l'autocratisation du monde. Son constat rejoint les aspirations d'une partie des citoyens des pays démocratiques, tentés par l'autoritarisme.
Un trader vous donne sa vision des marchés et les niveaux techniques à surveiller.
Och mat e bësse Recul gëtt déi annoncéiert Pensiounsreform vum Premier Luc Frieden net besser, an den Zeitunge sinn haut nach emol Reaktiounen.
Lors des canicules et des inondations, l'artificialisation des sols est pointée du doigt comme facteur aggravant des dégâts. Bonne nouvelle, en 15 ans, celle-ci a baissé de 40%. Pourquoi ? Ecoutez La pluie et le beau temps avec Marina Giraudeau du 15 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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C'était déjà l'intitulé de la revue de presse du 29 avril dernier, au lendemain de l'annonce par la junte militaire de la suspension des partis politiques. Un intitulé qui se confirme puisque la mesure est désormais officielle…« Il y avait eu la suspension. Il y a désormais la dissolution, pointe Sahel Tribune. Le Mali, à l'instar du Burkina Faso et du Niger, enterre définitivement son multipartisme dans sa forme actuelle. L'annonce est tombée hier soir sur les antennes de la télévision nationale : le décret présidentiel abroge non seulement la loi du 18 août 2005 portant charte des partis politiques, mais interdit également toute activité à caractère politique menée par les structures dissoutes. (…) Le président de la transition, Assimi Goïta, scelle (ainsi), poursuit le site d'information malien, la fin d'une ère politique ouverte depuis le renouveau démocratique de 1991. Une décision historique qui, selon Bamako, répond à une exigence du peuple souverain et s'inscrit dans la dynamique de refondation nationale engagée depuis 2021 ».Et Sahel Tribune de s'interroger : « faut-il s'en étonner ? ». Non, répond en filigrane le site malien : « le sujet était sur la table depuis 5 ans. La classe politique malienne, jugée inefficace, corrompue et déconnectée des réalités du peuple, avait été désignée comme l'un des obstacles majeurs à la refondation du Mali ».Sahel Tribune qui prend clairement position : « les autorités de la transition ouvrent une nouvelle page. (…) Il s'agit d'une purge salutaire face à l'impasse d'un multipartisme qui, depuis des décennies, servait plus les ambitions personnelles que l'intérêt général ».Recul démocratique…Arc en ciel, autre publication malienne, apporte la contradiction…« Dissoudre les partis politiques, c'est porter atteinte à l'une des pierres angulaires de notre contrat social. C'est désavouer le peuple malien qui, en votant la Constitution, a exprimé son attachement à un État de droit et à une démocratie pluraliste. Certains justifient cette mesure par le besoin de refondation, de moralisation de la vie politique ou de paix sociale. Ces objectifs sont légitimes, pointe Arc en ciel, mais ils ne peuvent être atteints au prix d'un recul démocratique. On ne construit pas la paix en imposant le silence. On ne renforce pas la cohésion en muselant les voix discordantes ».« Le Mali se meurt, renchérit L'Alternance, car après plus de trois décennies de pratique démocratique, il est devenu un pays de non droit où règnent la terreur, la répression, les arrestations forcées, les enlèvements. (…) La démocratie a été totalement mise sous les boisseaux pour ne pas dire caporalisée. Les droits des citoyens sont bafoués pour ne laisser place qu'à l'arbitraire, à une justice sélective, bref, les libertés chèrement acquises sont mises entre parenthèses ».Un climat de peurEn effet, précise Afrik.com, « la tension ne retombe pas au Mali. Alors que les autorités de transition ont suspendu toutes les activités politiques, les cas d'enlèvements de figures de l'opposition se multiplient. Le dernier en date : Abdoul Karim Traoré, jeune responsable du parti Codem, introuvable depuis dimanche ». L'interdiction des partis, poursuit Afrik.com, « coïncide avec une vague de contestation populaire contre la prolongation indéfinie de la transition, la dégradation des conditions de vie, les coupures d'électricité et les taxes téléphoniques. (…) Dans ce contexte de peur, nombreux sont les militants qui préfèrent se cacher ou fuir la capitale. Certains opposants comparent désormais le climat actuel à celui de régimes totalitaires ».« Des bonds en arrière incessants… »Ledjely en Guinée hausse encore le ton : « on reprochait à feu Ibrahim Boubacar Keïta (le président renversé par les militaires) de mépriser la voix des Maliens, de nier la crise politique, de fermer les yeux sur une corruption généralisée. Ces reproches n'étaient pas infondés. Mais aujourd'hui, où en est-on ?, s'exclame le site guinéen. Que dire d'un pouvoir qui préfère les pseudo-concertations aux dispositions constitutionnelles ? Que penser d'un dirigeant (Assimi Goïta) prêt à exercer des mandats que le peuple ne lui a jamais accordés ? Ne sommes-nous pas face à la même confiscation de la volonté populaire ? N'est-ce pas le même déni, sous le pouvoir kaki ? Ce qui se passe actuellement au Mali, soupire Ledjely, n'est, hélas, qu'un nouvel épisode d'une tragédie qui continue de hanter le continent africain : des bonds en arrière incessants, des pseudo-héros toujours appelés à décevoir, des lendemains qui déchantent, aussitôt les espoirs exprimés. Le plus affligeant et comique à la fois, c'est que ceux d'aujourd'hui, imbus d'eux-mêmes et sans doute convaincus de leur exception, croient réinventer la roue. Que nenni ! ».
C'était déjà l'intitulé de la revue de presse du 29 avril dernier, au lendemain de l'annonce par la junte militaire de la suspension des partis politiques. Un intitulé qui se confirme puisque la mesure est désormais officielle…« Il y avait eu la suspension. Il y a désormais la dissolution, pointe Sahel Tribune. Le Mali, à l'instar du Burkina Faso et du Niger, enterre définitivement son multipartisme dans sa forme actuelle. L'annonce est tombée hier soir sur les antennes de la télévision nationale : le décret présidentiel abroge non seulement la loi du 18 août 2005 portant charte des partis politiques, mais interdit également toute activité à caractère politique menée par les structures dissoutes. (…) Le président de la transition, Assimi Goïta, scelle (ainsi), poursuit le site d'information malien, la fin d'une ère politique ouverte depuis le renouveau démocratique de 1991. Une décision historique qui, selon Bamako, répond à une exigence du peuple souverain et s'inscrit dans la dynamique de refondation nationale engagée depuis 2021 ».Et Sahel Tribune de s'interroger : « faut-il s'en étonner ? ». Non, répond en filigrane le site malien : « le sujet était sur la table depuis 5 ans. La classe politique malienne, jugée inefficace, corrompue et déconnectée des réalités du peuple, avait été désignée comme l'un des obstacles majeurs à la refondation du Mali ».Sahel Tribune qui prend clairement position : « les autorités de la transition ouvrent une nouvelle page. (…) Il s'agit d'une purge salutaire face à l'impasse d'un multipartisme qui, depuis des décennies, servait plus les ambitions personnelles que l'intérêt général ».Recul démocratique…Arc en ciel, autre publication malienne, apporte la contradiction…« Dissoudre les partis politiques, c'est porter atteinte à l'une des pierres angulaires de notre contrat social. C'est désavouer le peuple malien qui, en votant la Constitution, a exprimé son attachement à un État de droit et à une démocratie pluraliste. Certains justifient cette mesure par le besoin de refondation, de moralisation de la vie politique ou de paix sociale. Ces objectifs sont légitimes, pointe Arc en ciel, mais ils ne peuvent être atteints au prix d'un recul démocratique. On ne construit pas la paix en imposant le silence. On ne renforce pas la cohésion en muselant les voix discordantes ».« Le Mali se meurt, renchérit L'Alternance, car après plus de trois décennies de pratique démocratique, il est devenu un pays de non droit où règnent la terreur, la répression, les arrestations forcées, les enlèvements. (…) La démocratie a été totalement mise sous les boisseaux pour ne pas dire caporalisée. Les droits des citoyens sont bafoués pour ne laisser place qu'à l'arbitraire, à une justice sélective, bref, les libertés chèrement acquises sont mises entre parenthèses ».Un climat de peurEn effet, précise Afrik.com, « la tension ne retombe pas au Mali. Alors que les autorités de transition ont suspendu toutes les activités politiques, les cas d'enlèvements de figures de l'opposition se multiplient. Le dernier en date : Abdoul Karim Traoré, jeune responsable du parti Codem, introuvable depuis dimanche ». L'interdiction des partis, poursuit Afrik.com, « coïncide avec une vague de contestation populaire contre la prolongation indéfinie de la transition, la dégradation des conditions de vie, les coupures d'électricité et les taxes téléphoniques. (…) Dans ce contexte de peur, nombreux sont les militants qui préfèrent se cacher ou fuir la capitale. Certains opposants comparent désormais le climat actuel à celui de régimes totalitaires ».« Des bonds en arrière incessants… »Ledjely en Guinée hausse encore le ton : « on reprochait à feu Ibrahim Boubacar Keïta (le président renversé par les militaires) de mépriser la voix des Maliens, de nier la crise politique, de fermer les yeux sur une corruption généralisée. Ces reproches n'étaient pas infondés. Mais aujourd'hui, où en est-on ?, s'exclame le site guinéen. Que dire d'un pouvoir qui préfère les pseudo-concertations aux dispositions constitutionnelles ? Que penser d'un dirigeant (Assimi Goïta) prêt à exercer des mandats que le peuple ne lui a jamais accordés ? Ne sommes-nous pas face à la même confiscation de la volonté populaire ? N'est-ce pas le même déni, sous le pouvoir kaki ? Ce qui se passe actuellement au Mali, soupire Ledjely, n'est, hélas, qu'un nouvel épisode d'une tragédie qui continue de hanter le continent africain : des bonds en arrière incessants, des pseudo-héros toujours appelés à décevoir, des lendemains qui déchantent, aussitôt les espoirs exprimés. Le plus affligeant et comique à la fois, c'est que ceux d'aujourd'hui, imbus d'eux-mêmes et sans doute convaincus de leur exception, croient réinventer la roue. Que nenni ! ».
durée : 00:03:14 - Géopolitique - par : Pierre Haski - L'inventeur de l'expression Soft Power, Joseph Nye, est mort à l'âge de 88 ans, à un moment où son concept d'influence douce est "tué" par Donald Trump. « Le Soft Power va souffrir dans les quatre prochaines années », avait écrit Joseph Nye dans un récent article critique du président américain.
durée : 00:03:14 - Géopolitique - par : Pierre Haski - L'inventeur de l'expression Soft Power, Joseph Nye, est mort à l'âge de 88 ans, à un moment où son concept d'influence douce est "tué" par Donald Trump. « Le Soft Power va souffrir dans les quatre prochaines années », avait écrit Joseph Nye dans un récent article critique du président américain.
Ce soir c'est Hugo qui anime la Matinale ! Dans le grand entretien, Maïwenn reçoit Margot Holvoet, déléguée générale de l'Institut de la Transition Foncière, pour parler du Recul de l'objectif Zéro Artificialisation Nette. Eleonore fait le tour des actus du jour dans son flash info. Coté Chronique, Fabien nous propose une chronique actus insolites Matti reçoit à son micro l'artiste Arthur Ely, passionné de musique électro. Enfin, un deuxième Zoom tenu par Aglaé avec à ses côté l'artiste Anton Oak. **** Animation : Hugo // Interview : Maïwenn // Zoom : Matti et Aglaé// Flash-info : Eleonore // Chronique : Fabien // Réalisation : David // Coordination : Alice Marmond
Ce soir c'est Hugo qui anime la Matinale ! Dans le grand entretien, Maïwenn reçoit Margot Holvoet, déléguée générale de l'Institut de la Transition Foncière, pour parler du Recul de l'objectif Zéro Artificialisation Nette. Eleonore fait le tour des actus du jour dans son flash info. Coté Chronique, Fabien nous propose une chronique actus insolites Matti reçoit à son micro l'artiste Arthur Ely, passionné de musique électro. Enfin, un deuxième Zoom tenu par Aglaé avec à ses côté l'artiste Anton Oak. **** Animation : Hugo // Interview : Maïwenn // Zoom : Matti et Aglaé// Flash-info : Eleonore // Chronique : Fabien // Réalisation : David // Coordination : Alice Marmond
Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs, sexo… En simultané sur RMC Story.
durée : 00:19:59 - Journal de 18h - Le PIB des Etats-Unis a reculé au premier trimestre ; le président américain en attribue la responsabilité à son prédécesseur, Joe Biden.
durée : 00:19:59 - Journal de 18h - Le PIB des Etats-Unis a reculé au premier trimestre ; le président américain en attribue la responsabilité à son prédécesseur, Joe Biden.
Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Olivier de Lagarde scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, l'importance de la loi contre le narcotrafic, l'offre de transport aérien décroche et le grand recul du wokisme en lien avec la réélection de Donald Trump. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Olivier de Lagarde scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, l'importance de la loi contre le narcotrafic, l'offre de transport aérien décroche et le grand recul du wokisme en lien avec la réélection de Donald Trump. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Recul historique du PIB américain : la consommation chute, et l’économie se contracte pour la première fois depuis 2020. Donald Trump assure que ce n’est «que le début», malgré un bilan qualifié d’incompétent par plusieurs analystes. Loïc Tassé revient aussi sur la tension explosive entre l’Inde et le Pakistan, l’appel des experts à interdire les écrans avant 6 ans, et l’alerte rouge sur la disparition des insectes en Europe.Discussion internationale avec Loïc Tassé, spécialiste en politique internationale. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
On se demande depuis des semaines à quel point les frasques politiques d’Elon Musk vont avoir un impact sur les finances de Tesla. On a obtenu tout récemment la réponse: une baisse des profits de 71% au cours des trois derniers mois. Rappelons que Elon Musk a participé activement à la campagne électorale de Donald Trump en plus de participer étroitement au dégraissage de la fonction publique des États-Unis, avec une approche grandement critiquée. Son implication dans les affaires gouvernementales américaines a ainsi provoqué une vague de contestation à l'endroit de la compagnie Tesla, notamment. En fait, la mauvaise réputation du PDG de la compagnie, Musk, affecte directement Tesla. Écoutez la chroniqueuse économique Marie-Eve Fournier à l'émission Lagacé le matin, mercredi.Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Ce matin, mon cerveau engourdi me répétait : “Mais qu'est-ce que tu vas bien pouvoir raconter cette semaine à tes lutins précieux ???” J'ai vite trouvé. Dans cette MM, je te parle de l'intérêt (immense) de créer un média personnel, surtout... quand on pense ne rien avoir à dire. Pas pour flatter son égo, mais pour structurer ses idées, prendre du recul, avancer. Tu vas voir, ça marche même quand il n'y a qu'un·e pelé·e qui écoute. Et toi, ma fleur de lotus, tu as un média ? Qu'est-ce qui te retient d'en lancer un ? (Pour me répondre, envoie-moi un mp sur Linkedin
durée : 00:05:32 - La BO du monde - D'origine autochtone, le chanteur Marlon Williams sort pour la première fois un album chanté en langue maori. Un acte politique au moment où la coalition conservatrice au pouvoir en Nouvelle-Zélande revient sur les droits de la minorité indigène.
A 10h, ce vendredi 11 avril 2025, les GG : Joëlle Dago-Serry, coach de vie, Antoine Diers, consultant auprès des entreprises, et Emmanuel de Villiers, entrepreneur, débattent du jour : Parkings dédiés aux femmes : progrès ou recul ?
durée : 00:36:06 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - par : Fabienne Sintes - Dans un revirement spectaculaire, le président américain a annoncé la suspension des nouveaux droits de douane imposés au reste du monde... à l'exception de la Chine, désormais taxée à 125 %. Un premier revers pour Donald Trump ? - réalisé par : Thomas Lenglain
durée : 00:36:06 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - par : Fabienne Sintes - Dans un revirement spectaculaire, le président américain a annoncé la suspension des nouveaux droits de douane imposés au reste du monde... à l'exception de la Chine, désormais taxée à 125 %. Un premier revers pour Donald Trump ? - réalisé par : Thomas Lenglain
Vous ne savez pas dans quoi investir en Bourse ? Des gérants vous donnent des idées de valeurs, secteurs, matières premières ...
Montrer ses réactions en public n'est pas toujours bien considéré et cela peut détériorer une relation, encore plus quand il s'agit du milieu professionnel. Comment ne pas se laisser déborder quand on sent qu'une très forte émotion commence à prendre toute la place ? Ismahan Soukeyna Diop, maitresse de conférences au département de psychologie et docteure en psychologie clinique à l'Université de Cheikh Anta Diop à Dakar au Sénégal. Retrouvez l'émission dans son intégralité iciQuestions de femmes : gérer ses émotions
durée : 00:24:42 - L'invité de 8h20 - Aujourd'hui dans le grand entretien, nous recevons l'écrivain voyageur Sylvain Tesson, Prix Renaudot, il publie son nouveau livre consacré aux "stacks", intitulé “Les piliers de la mer” (Albin Michel).
durée : 00:14:33 - Journal de 8 h - La FNSEA donne rendez-vous à Grenoble à partir de ce mardi pour son Congrès annuel.
durée : 00:14:33 - Journal de 8 h - La FNSEA donne rendez-vous à Grenoble à partir de ce mardi pour son Congrès annuel.
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L'alopécie et la calvitie sont souvent confondues, mais ces termes désignent des réalités différentes. L'alopécie est un terme général qui désigne toute forme de perte de cheveux, tandis que la calvitie correspond spécifiquement à une forme d'alopécie masculine fréquente : l'alopécie androgénétique.1. L'alopécie : une perte de cheveux aux causes variéesL'alopécie se définit comme une diminution partielle ou totale des cheveux ou des poils sur le corps. Elle peut être temporaire ou permanente, et ses causes sont multiples :Alopécie androgénétique : la plus courante, d'origine hormonale et génétique. Alopécie diffuse : due à des carences nutritionnelles, au stress, aux médicaments ou à des maladies (thyroïde, anémie). Alopécie areata : une maladie auto-immune qui entraîne des pertes de cheveux en plaques. Alopécie cicatricielle : une destruction irréversible des follicules pileux suite à une infection, une brûlure ou une maladie de la peau. Selon l'American Academy of Dermatology, environ 50 % des femmes et 70 % des hommes subiront une forme d'alopécie au cours de leur vie.2. La calvitie : une alopécie progressive et localiséeLa calvitie, ou alopécie androgénétique, est la forme la plus répandue d'alopécie chez l'homme. Elle est liée à l'action de la dihydrotestostérone (DHT), une hormone dérivée de la testostérone, qui provoque une miniaturisation des follicules pileux. Résultat : les cheveux deviennent de plus en plus fins avant de disparaître complètement.Elle suit généralement un schéma précis :Dégarnissement des tempes (stade 1-2 de l'échelle de Norwood-Hamilton). Recul de la ligne frontale et amincissement du sommet du crâne. Fusion des zones dégarnies, menant à une calvitie avancée (stade 6-7). D'après l'INSERM, 30 % des hommes sont touchés par la calvitie à 30 ans, 50 % à 50 ans et 80 % après 70 ans.Chez les femmes, la calvitie est plus diffuse et survient surtout après la ménopause. Elle touche environ 40 % des femmes après 50 ans, selon l'Académie Française de Dermatologie.ConclusionL'alopécie englobe toutes les formes de perte de cheveux, alors que la calvitie est une alopécie androgénétique fréquente chez l'homme. Si certaines formes d'alopécie sont réversibles, la calvitie, elle, est généralement définitive sans traitement adapté. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:08:45 - L'invité de 7h50 - par : Helene Fily - À 7h50, Bernard Guetta, député Renew, était l'invité de la Matinale, ce lundi, au lendemain des élections législatives allemandes. - invités : daniel craig - Daniel Craig : Acteur (UK)
durée : 00:08:45 - L'invité de 7h50 - par : Helene Fily - À 7h50, Bernard Guetta, député Renew, était l'invité de la Matinale, ce lundi, au lendemain des élections législatives allemandes. - invités : daniel craig - Daniel Craig : Acteur (UK)
Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent de la liberté d'expression en Europe.
Cette semaine, dans le débrief transatlantique, focus sur le sommet mondial de l'intelligence artificielle qui s'est tenu à Paris, vu de Paris et de Montréal. On retiend notamment la déclaration commune pour une IA « ouverte, inclusive et éthique » qui a été signée par de nombreux pays, mais pas paer les États-Unis et la Grande-Bretagne qui ont refusé d'y adhérer, jugeant la régulation européenne trop stricte. L'événement a aussi été marqué par des annonces d'investissements majeurs, dont 109 milliards d'euros pour des data centers en France et 200 milliards pour le développement de l'IA en Europe.Cependant, le sommet a paru trop fermé. Organisé dans un cadre institutionnel strict au Grand Palais, il a donné l'image d'un entre-soi éloigné du grand public. L'accès limité et la forte présence sécuritaire ont renforcé cette impression, contrastant fortement avec l'effervescence de Station F, où startups, investisseurs et entrepreneurs ont débordé d'enthousiasme, au point de saturer l'événement.Les débats ont mis en avant les risques liés à l'automatisation, mais aussi les avancées concrètes et les initiatives positives. Nous avons échangé avec des figures majeures du secteur, comme Aravind Srinivas (Perplexity AI) et Demis Hassabis (Google DeepMind), ainsi que des acteurs engagés dans l'intégration de l'IA dans l'éducation.-----------♥️ Soutenez Monde Numérique : https://donorbox.org/monde-numerique
Il y a 4 rappeurs parmi les 10 plus gros vendeurs d'albums en 2024, ils étaient 8 en 2023 Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
López Obrador, quien reculó, mandó a Marcelo Ebrard a operar, la jueza lo dejó en libertad
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RadioPirate LIVE édition du 31 janvier 2025 avec Jeff, Gerry et MisterWhite. 0min00 - Dans tout le dossier du 51e État des tarifs du Président Trump, et de la faiblesse de notre pays avec un nouveau mirage appelé Carney, Jeff réaffirme sa profonde appartenance à l'Amérique du nord. 29min37 - Gerry présente sa Boîte à Pizza, un podcast regroupant les nouvelles les plus éclatées de la semaine! Avec Jeff et MisterWhite aux réactions et commentaires. 58min15 - Nicolas Gagnon de la Fédération Canadienne des Contribuables est avec nous pour parler des exagérations de dépenses à travers tous les paliers gouvernementaux que ce soit municipaux, provinciaux ou nationaux. Cette semaine: 1- La FCC a officiellement lancé une poursuite en justice contre la hausse de l'impôt sur le gain en capital de Trudeau. On fait une conférence de presse demain à Ottawa. Regarder ici. 2- Recul inévitable du gouvernement Legault/Trudeau sur l'interdiction des voitures à essence et au diesel (tel que Charrette l'a laissé entendre). 1h27min49 - Ken Pereira n'a plus besoin de présentation. Impliqué dans le monde syndical pendant des années, il est maintenant lanceur d'alertes pour dévoiler les abus des différentes organisations syndicales qui avaient pourtant été créé au départ pour défendre les droits du simple travailleur. Discussions emflammées avec Jeff et Gerry. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Le Journal en français facile du mardi 21 janvier 2025, 17 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BLQe.A
Retour sur son inconfort face à un épisode du podcast d’Arnaud Soly et la discussion qu’elle a eue par la suite avec l’humoriste. Entrevue avec Chris Bergeron, romancière, conférencière et vice-présidente tendance, culture et diversité Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Dans la série sur les enjeux de 2025, pour « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Pierrick Fay et son invité Clément Therme analysent les solutions staratégiques de l'Iran pour compenser sa perte d'influence à la suite des revers géopolitiques essuyés en 2024 au Moyen-Orient.Retrouvez l'essentiel de l'actualité économique grâce à notre offre d'abonnement Access : abonnement.lesechos.fr/lastoryLa Story est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en janvier 2025. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invités : Clément Therme (historien des relations internationales, spécialiste de l'Iran ayant dirigé l'ouvrage collectif « L'Iran et ses rivaux » aux éditions Passés composés) et Yves Bourdillon (journaliste au service Monde des « Echos »). Réalisation : Willy Ganne. Chargée de production et d'édition : Michèle Warnet. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : AFP. Sons : France 24, Parastoo Ahmadi, Boris Vian « La java des bombes atomiques » (1955), IsraeliPM, Africanews, TV5 Monde, Anousha Nazari « Toi, mon désir » (2023). Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
"Limité à 80" Pascal Atenza revisite l'actualité en 80 secondes ! Découvrez la chronique d'aujourd'hui !
A 10h, ce mercredi 8 janvier 2025, les GG : Antoine Diers, consultant, Didier Giraud, éleveur de bovins, et Joëlle Dago-Serry, coach de vie, débattent de : Fin de la modération sur Facebook, recul ou avancée ?
Pour débuter l'émission de ce mardi 7 janvier 2025, les GG : Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Bruno Poncet, cheminot, et Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, débattent du sujet du jour : Dix ans de Charlie, la liberté d'expression a-t-elle reculé ?
durée : 00:03:20 - Géopolitique - La France a créé la stupeur hier en déclarant que le dirigeant israélien bénéficiait d'une « immunité » face au mandat d'arrêt de la CPI. Une lecture juridique mais aussi très politique, Israël ayant menacé d'écarter la France du Comité de surveillance du cessez-le-feu au Liban.