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Caio Blinder, integrante do Manhattan Connection, com passagens por O Globo, Folha de S.Paulo, VEJA, Jovem Pan e BBC Brasil, analisa e comenta as relações internacionais, no Jornal Eldorado, às 4ªs e 6ªs feiras, 8h15.See omnystudio.com/listener for privacy information.
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Convidado: Bernardo Mello Franco, colunista do jornal O Globo e comentarista da rádio CBN. Enquanto o julgamento do ex-presidente Jair Bolsonaro começava no Supremo Tribunal Federal, um movimento foi costurado em outro ponto da Praça dos Três Poderes. No Congresso, a pressão pela anistia aos responsáveis pelo 8 de janeiro de 2023 ganhou tração. A pauta virou prioridade de parlamentares da oposição e ganhou o apoio do Centrão – durante a semana, a federação União Progressista anunciou o desembarque do governo para ajudar a fazer o projeto andar. O presidente da Câmara, Hugo Motta (Republicanos-PB), sinalizou nesta quinta-feira (4) que o tema ainda está em discussão e que a definição sobre a análise está em aberto. No Senado, uma proposta alternativa está em debate. Enquanto isso, o presidente Lula afirmou que a mobilização contra o perdão aos crimes pela tentativa de golpe devem ser “uma batalha também do povo”. Neste episódio, Natuza Nery conversa com Bernardo Mello Franco para explicar por que o movimento pela anistia ganhou força justamente quando Bolsonaro é julgado no STF. Colunista do jornal O Globo e comentarista da rádio CBN, Bernardo analisa as atuações do governador de São Paulo, Tarcísio de Freitas (Republicanos-SP), e do ex-presidente da Câmara Arthur Lira (PP-AL) a favor da anistia – e os interesses deles por trás desta pauta. E conclui: “por essa tradição de conciliação e de impunidade que a história do Brasil viu golpes se repetindo”.
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Autor premiado e referência no gênero true crime no Brasil, Ullisses Campbell é um jornalista investigativo com passagem nos principais veículos de informação. Possui diversos livros best-sellers e atualmente é roteirista da série “Tremembé” e colunista de true crime no jornal O Globo.
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Donald Trump répète qu'il faut modifier les modalités de vote. Il veut surtout interdire le vote par correspondance. Il l'a déclaré récemment, on ne peut pas avoir une vraie démocratie avec le vote par correspondance. Une méthode corrompue pour le président américain, qui va même jusqu'à citer Vladimir Poutine pour appuyer son propos. Bannir ce système, c'est la lubie du président américain, persuadé de s'être fait voler l'élection de 2020 remportée par Joe Biden. Le principe du vote par correspondance est simple, comme nous l'explique Vincent Souriau, notre correspondant permanent à Washington. Les Américains reçoivent les tracts, les professions de foi et les bulletins à domicile. Au lieu de se rendre dans l'isoloir le jour J, ils cochent la case de leur candidat, mettent le bulletin dans une enveloppe scellée et signée et l'expédient par la poste avant le scrutin. Un système qui irrite le président américain et qui alimente des théories du complot dans le pays. Pour notre invité Olivier Richomme, professeur à l'université Lyon 2 et chercheur au laboratoire Triangle, il n'y a pourtant aucune raison d'avoir des soupçons sur le fonctionnement du vote par correspondance. Une frappe américaine tue 11 « narcoterroristes » en mer Mardi soir, le président américain Donald Trump a annoncé sur son réseau Truth Social que l'armée du pays avait bombardé une embarcation qui transportait des « stupéfiants illégaux à destination des États-Unis », tuant sur le coup onze narcotrafiquants. D'après la Maison Blanche, l'embarcation était partie du Venezuela. Et les images aériennes de la frappe sont partout dans la presse du continent sud-américain. Côté vénézuélien, le quotidien Diario 2001 revient sur les propos du gouvernement de Caracas, qui dénonce une vidéo générée par l'intelligence artificielle. Le média péruvien El Comercio titre ce mercredi : « Les États-Unis détruisent une embarcation de "narcoterroristes" qui quittaient le Venezuela » en mettant narcoterroristes entre guillemets, comme de nombreux autres titres de presse. Et en Colombie, le quotidien El Espectador pose une question suite à ces frappes : « Peut-on parler d'un crime en mer ? » Le média colombien nuance la portée et la signification de cette attaque et rappelle que ce genre d'opérations américaines de lutte contre le trafic de drogue est courant dans la région, et qu'il ne date pas de l'ère Trump. Cependant, il ajoute que ces frappes ont eu lieu dans les eaux internationales, des eaux où aucun navire ne peut être attaqué. À lire aussiÉtats-Unis : Trump annonce avoir tué onze trafiquants de drogue dans une frappe au large du Venezuela Deuxième journée du procès de Jair Bolsonaro Avant la plaidoirie de la défense de Jair Bolsonaro qui se tient ce mercredi, le quotidien O Globo rappelle les arguments de ses avocats : « Bolsonaro nie les faits qui lui sont reprochés et a répété que le procès est motivé politiquement. » O Globo relève que le procureur a utilisé les mots de Jair Bolsonaro lui-même dans l'accusation contre l'ancien président. Notamment une déclaration de 2021, dans laquelle il avait prévenu que l'armée serait prête à agir en cas de résultats contestables lors des élections. Le quotidien de Brasilia, le Correio Braziliense, revient sur la portée historique du procès. « Il est impossible d'oublier que l'impunité a un lourd tribut sur la démocratie. » Le journal rappelle qu'après la dictature militaire, le pays a promulgué une loi d'amnistie, qui a empêché toute enquête et poursuite pour les crimes commis pendant des décennies. Enfin, le quotidien Folha de São Paulo souligne une singularité de la première journée d'audience. Le juge en charge du procès, Alexandre de Moraes, a ouvert l'audience avec une déclaration surprenante. Au lieu de commencer en lisant le rapport descriptif de la procédure en cours, il a fait une déclaration que le journal qualifie de politique : « La pacification du pays ne pourra pas se faire impunément. » La décision des juges doit être rendue le 12 septembre. ReportageL'ex-président Jair Bolsonaro jugé pour tentative de coup d'État, un procès historique pour le Brésil Au Honduras, l'affaire du meurtre d'un militant pour l'environnement devant la cour d'assises Le meurtre du militant et conseiller municipal Juan Lopez sera jugé en assises. Il a été tué violemment en septembre 2024, alors qu'il militait pour la mise à l'arrêt d'une mine de fer à ciel ouvert située dans une réserve forestière. Comme le rappelle le quotidien El Heraldo, le procès des trois accusés avait été repoussé plusieurs fois. Le média La Prensa indique qu'après une décision de la justice hondurienne, ils seront désormais jugés pour meurtre et association de malfaiteurs, au détriment de la victime et des droits fondamentaux de la société. La date du procès n'a pas encore été communiquée. L'organisation de défense des droits humains Global Witness rappelle qu'au Honduras la situation des défenseurs de l'environnement est encore très préoccupante. Journal de la 1ère En Martinique, depuis trois nuits, casseurs et forces de l'ordre s'affrontent à Fort-de-France.
Notre correspondante au Brésil Sarah Cozzolino a suivi l'ouverture du procès de Jair Bolsonaro pour tentative de coup d'Etat. Elle nous en parle depuis Brasilia. L'ouverture du procès fait aussi la Une de la presse brésilienne. « Le destin de Jair Bolsonaro bientôt sellé », titre Folha de Sao Paulo. Le site d'information de la chaine O Globo, G1, parle d'un procès inédit dans l'histoire du pays. Pour le journal Estadao, ce procès signifie « la fin de l'indulgence envers le putschisme qui a terni l'histoire républicaine du pays et affirme la force de la Constitution face à ses ennemis. » Le Washington Post partage cet avis : « C'est un tournant important, (…) dans un pays qui a traditionnellement privilégié la conciliation plutôt que les poursuites lorsqu'il s'agissait de crimes présumés contre l'État démocratique ». Et les représailles de Washington ne changent rien à la détermination des autorités brésiliennes de mener ce procès jusqu'au bout. « Le Brésil ne cédera pas à la pression », a déclaré le juge en charge du dossier, Alexandre de Moraes dans une interview au Washington Post : « Tout le monde ici reconnaît et respecte la puissance militaire et économique des États-Unis, mais le Brésil est indépendant et continuera de l'être. » À lire aussiBrésil: l'ex-président Jair Bolsonaro bientôt fixé sur son sort dans un procès historique Les sympathisants de l'ancien président gardent de l'espoir Ils tablent sur un possible acquittement ou une loi d'amnistie qui pourrait être voté par le Congrès. Selon le journal conservateur Gazeta do Povo, les partisans de l'ancien président se préparent à une grande manifestation nationale le 7 septembre prochain. En fait, la combinaison de la pression des États-Unis et de la population mobilisée dans les rues dimanche prochain nourrit l'espoir de l'opposition d'obtenir une suspension du procès ou l'acquittement de Jair Bolsonaro. Haïti : un nouveau directeur de la Police dans l'Artibonite Le 23 août dernier, Jacques Ader a été réinstallé à la tête de la Police nationale d'Haïti (PNH) dans le département de l'Artibonite. Déjà directeur de police dans cette région entre 2020 et 2021, il s'était distingué par la neutralisation d'Odma Louissaint, chef du gang « Base Grand Grif ». Son retour a été largement réclamé par la population lors de manifestations contre l'insécurité, qui le perçoit comme un « sauveur » capable de pacifier une zone désormais la plus affectée par la violence des gangs après Port-au-Prince. Mais pour mener à bien cette nouvelle mission, le nouveau directeur devra s'appuyer sur une justice pénale solide, d'après notre correspondant en Haïti, Ronel Paul. Le plus grand défi pour Jacques Ader : sécuriser la population tout en réorganisant et renforçant la coopération entre police et justice pour démanteler les gangs. Pérou, célèbre producteur de la « laine de dieux » Le Pérou, premier producteur mondial de laine d'alpaga, mise sur cette fibre douce, chaude, légère et thermorégulatrice pour se positionner sur le marché international, et pourquoi pas concurrencer le cachemire. Arequipa, au sud du pays, est le centre névralgique de cette production, avec des élevages situés à plus de 3 500 mètres d'altitude et de nombreuses boutiques locales. La majorité de la production péruvienne est exportée, surtout aux États-Unis, mais aussi en Chine et en Europe, avec un chiffre d'affaires de près de 200 millions de dollars en 2023. Pour répondre à cette demande, la plus grande usine d'alpaga du pays fonctionne 24 heures sur 24, combinant machines et contrôle manuel par 1 300 ouvriers. Le Pérou se concentre sur le marché premium et luxe, moins sensible aux tensions économiques, et développe des partenariats internationaux, comme avec une école de mode parisienne, pour valoriser le savoir-faire andin et ouvrir de nouvelles perspectives sur le marché européen. C'est un reportage réalisé par notre correspondant Martin Chabal. Journal de la 1ère En Martinique, le « R Prak » refait parler de lui. Le mouvement dirigé par Rodrigue Petitot a manifesté ce lundi devant les locaux de la SARA.
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Dans le Cerro Rico en Bolivie, la montagne qui domine la ville de Potosi est exploitée par des mineurs depuis presque 500 ans. C'est là que vivent les guardas, des femmes qui protègent les outils et les entrées des mines, de potentiels voleurs. Souvent discriminées, dans une pauvreté extrême, à travailler sans répit, elles s'organisent, depuis 2022, pour mieux faire respecter leurs droits. Le correspondant de RFI, Nils Sabin, les a rencontrées. Ces femmes sont très mal payées, à peine 130 euros par mois. La lutte sociale est donc leur seul espoir de changement. Depuis 2022 les quelque 200 guardas ont créé leur propre association. Peu à peu, de nouvelles leaders s'imposent face aux coopératives et tentent d'imposer leurs conditions. Les maltraitances verbales et physiques envers elles ont diminué, mais leur statut demeure particulièrement précaire. En Haïti, le gouvernement négocie un contrat avec les mercenaires de l'Américain Erik Prince pour gérer le contrôle des taxes douanières à la frontière avec la République dominicaine Haïti, pays toujours à feu et à sang à cause de la violence des gangs, travaille sur un projet de contrat avec la société militaire privée détenue par l'Américain Erik Prince. Depuis mars, déjà, ce proche de Donald Trump fournirait des drones d'attaque pour larguer des explosifs dans les quartiers sous emprise des gangs. Cette fois-ci, il prévoit d'installer des mercenaires en Haïti pour dix ans. Que sait-on précisément de ce contrat ? Qu'est-ce qu'il dit de la situation politique et sécuritaire du pays ? Samuel Madistin, est avocat et président de la Fondasyon Je Klere, une ONG de défense des droits humains en Haïti. Il dénonce l'omerta qui entoure ce projet de contrat. Aux États-Unis, le président Donald Trump a pris une décision inédite... Il a annoncé lundi soir sur ses réseaux sociaux le renvoi de la gouverneure de la Fed, la Réserve fédérale américaine, Lisa Cook. Le président invoque un motif qu'il considère comme valable, une prétendue fraude hypothécaire... Lisa Cook n'a pourtant pour l'instant été accusée d'aucun acte répréhensible. Elle conteste la décision du président et dit rester à son poste. C'est la première fois qu'un président américain limoge un gouverneur de la banque centrale depuis sa création, il y a 111 ans. La nouvelle fait la Une de tous les journaux américains ce matin et une grande interrogation ressort : Donald Trump a-t-il le pouvoir de véritablement renvoyer Lisa Cook ? La gouverneure de la Fed le refuse et dit que le président ne possède pas l'autorité de le faire. Le New York Times s'est penché sur la question. Il faut au président un « motif valable », considéré comme une faute grave pour pouvoir licencier. Autrement, le Congrès peut limiter son pouvoir de destitution. Dans le cas de Lisa Cook, le journal rappelle qu'elle n'a été accusée d'aucun crime... ce qui explique pourquoi de nombreux experts juridiques tirent la sonnette d'alarme. Dans le Washington Post, on peut lire que le président aurait des raisons de vouloir le départ de Lisa Cook.Sans la gouverneure de la Fed, Donald Trump pourrait avoir une majorité d'alliés au conseil d'administration de la Banque centrale... et donc atteindre son objectif de baisser les taux d'intérêt. Cela fait des mois qu'il fait pression sur la Fed à ce sujet-là. Pour Michael Strain, chercheur en politique économique, dont les propos ont été rapportés par le Post, « le président utilise le système de justice pénale pour destituer des gens en raison de désaccords politiques » et c'est « extrêmement dangereux ». À lire aussiDonald Trump tente de limoger Lisa Cook, une gouverneure de la Fed, qui refuse de partir Aux États-Unis toujours, une autre querelle politique, cette fois-ci entre Donald Trump et le gouverneur de l'Illinois, pourrait bien déclencher « une crise nationale majeure »... Ce sont en tout cas les mots qu'a choisis CNN dans une longue analyse... Elle se penche sur le bras de fer entre JB Pritzker et le président américain depuis sa volonté de déployer la garde nationale dans les rues de Chicago. Hier lundi, le gouverneur de l'Illinois a accusé Donald Trump d'une « prise de pouvoir dangereuse ». Il a dit s'inquiéter d'une administration qui cherche « à contourner la démocratie ». Lui, s'oppose drastiquement au déploiement de la garde nationale à Chicago. Normalement, elle n'est mobilisée qu'en cas de crise majeure... Or, Trump l'a déjà envoyée à Washington il y a quelques semaines. Selon CNN, cette querelle politique entre les deux hommes est à prendre au sérieux. JB Pritzker est un potentiel candidat démocrate à la présidence, donc un ennemi parfait pour Trump. Mais le gouverneur de l'Illinois ne semble pas vouloir se laisser faire par la « vision monarchique » du pouvoir du président. La brouille pourrait donc bien se transformer en crise politique, entre la Maison-Blanche et un État démocrate puissant qui rejette la contrainte fédérale, et le « règne de l'homme fort ». Au Brésil, la droite de Jair Bolsonaro, ancien président accusé entre autres de coup d'État, est en très mauvaise posture... « Nous avons tourné la page du bolsonarisme », affirme le quotidien national O Globo. Il se penche sur des chiffres de plusieurs sondages récents au Brésil et montre que la perspective d'un nouveau duel entre le président Lula et un représentant de Jair Bolsonaro paraît de plus en plus difficile à croire pour les prochaines présidentielles, en 2026. Près de deux tiers des Brésiliens ont déclaré qu'ils ne voteraient pas pour un candidat qui promet l'effacement des poursuites de Jair Bolsonaro. Dans la Folha de São Paulo, un autre grand quotidien, une chronique est, elle, consacrée à l'avenir de la droite au Brésil... Selon le journaliste, les élections de 2026 seront probablement un échec pour la droite, qui n'arrivera pas à se détacher tout de suite de l'image du bolsonarisme... Il faudrait alors attendre 2030, les prochaines élections, pour qu'une droite « digne de ce nom », je cite, puisse se reconstruire. En Haïti, l'espoir de plusieurs avancées sur la question sécuritaire... Oui, c'est le Nouvelliste qui se réjouit de voir que les choses changent petit à petit... Les forces de sécurité gouvernementales et multinationales ont repris du « poil de la bête », selon le quotidien. Elles ont annoncé hier lundi avoir repris le contrôle du site stratégique de Téléco, à Kenscoff, une commune proche de Port-au-Prince qui était occupée par les gangs depuis deux semaines. Haïti Infos parle d'un « tournant dans la lutte contre l'emprise criminelle ». Le Nouvelliste dit avoir reçu le témoignage de plusieurs sources gouvernementales qui font, elles aussi, preuve d'un certain optimisme, grâce notamment à une meilleure coordination depuis un changement à la tête de la police nationale haïtienne. Journal de la 1ère En Guadeloupe, huit mois après l'alerte lancée par la cour régionale des comptes, la situation financière des collectivités s'améliore. Cinq communes sont sorties du plan de redressement, même si certaines intercommunalités sont toujours dans des situations délicates.
Caio Blinder, integrante do Manhattan Connection, com passagens por O Globo, Folha de S.Paulo, VEJA, Jovem Pan e BBC Brasil, analisa e comenta as relações internacionais, no Jornal Eldorado, às 4ªs e 6ªs feiras, 8h15.See omnystudio.com/listener for privacy information.
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O Roda Viva entrevista o cientista político Steven Levitsky, professor de Harvard e diretor do Centro David Rockefeller para Estudos Latino-Americanos. Autor e coautor de diversos livros, entre eles o best-seller Como as Democracias Morrem, Levitsky analisa os rumos da política internacional e os desafios da democracia no Brasil e no mundo.Em declarações ao programa, o pesquisador afirmou que Alexandre de Moraes não é um terrorista e destacou que a democracia brasileira hoje é mais saudável que a dos Estados Unidos.Nesta edição, participam da bancada de entrevistadores: Eduardo Graça, repórter especial do jornal O Globo; Itamar Montalvão, editorialista do jornal O Estado de S.Paulo; Luciana Coelho, secretária-assistente de redação e colunista da Folha de S.Paulo; Robinson Borges, editor-executivo do Valor Econômico; e Sylvia Colombo, jornalista e historiadora.Com apresentação de Vera Magalhães, as ilustrações em tempo real são de Luciano Veronezi.Errata de legendagem: Nos minutos 47'25" e 47'28, onde se lê "as florestas" o correto é Groenlândia.#SomosCultura#TVCultura #RodaViva #StevenLevitsky #Democracia
Convidado: Guga Chacra, comentarista da Globo, da GloboNews e da rádio CBN, e colunista do jornal O Globo Em entrevista à Fox News no início do mês de agosto, o primeiro-ministro israelense Benjamin Netanyahu admitiu que “tem a intenção” de assumir o domínio total da Faixa de Gaza. A operação não tem data oficial para começar, mas as forças armadas de Israel já afirmam controlar 75% do território. A decisão foi alvo de críticas imediatas da comunidade internacional: ONU, Rússia e China condenaram a expansão da ação militar de Israel; e até tradicionais aliados, como a União Europeia e o Reino Unido, fizeram coro. Tudo isso enquanto os pedidos de cessar fogo crescem diante da crise humanitária a qual os palestinos estão submetidos. Neste episódio, Victor Boyadjian recebe Guga Chacra, comentarista da Globo, da GloboNews e da rádio CBN, e colunista do jornal O Globo. Guga comenta os objetivos militares e políticos de Netanyahu e analisa o status atual do conflito e da possibilidade da solução de dois Estados.
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O Roda Viva entrevista Celso Amorim, assessor especial da Presidência da República para Assuntos Internacionais.Entraram em vigor as tarifas de importação de até 50% impostas pelos Estados Unidos a produtos brasileiros. Também o governo Trump criticou o ministro Alexandre de Moraes, do Supremo Tribunal Federal, por determinar a prisão domiciliar do ex-presidente Jair Bolsonaro.Nesta edição, participam da bancada de entrevistadores: Patrícia Campos Mello, repórter especial da Folha de S.Paulo; Pedro Doria, editor do Meio; Denilde Holzhacker, professora de Relações Internacionais da ESPM; Humberto Saccomandi, colunista do Valor Econômico e coordenador do Núcleo Celso Pinto de Jornalismo do Insper e a Janaina Figueiredo, repórter especial e colunista do jornal O Globo.Com apresentação de Vera Magalhães, as ilustrações em tempo real são de Luciano Veronezi.#SomosCultura#TVCultura #RodaViva #Governo #CelsoAmorim
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Matias Spektor e Bernardo Mello Franco são os convidados de Alan Severiano neste episódio para explicar e avaliar as reações do Congresso e da Casa Branca, após Jair Bolsonaro ter a prisão domiciliar decretada. Professor de Relações Internacionais da FGV de São Paulo, Matias Spektor analisa as pressões comerciais e políticas emitidas pela Casa Branca em favor do ex-presidente brasileiro. Ainda na segunda-feira, horas depois da decisão do ministro do STF, o Departamento de Estado dos EUA voltou a mirar em Alexandre de Moraes. Em um post, o escritório americano que cuida das relações com a América Latina declarou que o ministro do Supremo é um "violador de direitos humanos", em uma nova ofensiva contra as instituições brasileiras. Depois, Alan fala com o Bernardo Mello Franco, que é colunista do jornal O Globo e comentarista da rádio CBN. Bernardo analisa o movimento da oposição ao governo, que na terça-feira (5) anunciou a obstrução dos trabalhos do Congresso. Parlamentares que apoiam Bolsonaro afirmaram que só vão deixar as mesas diretoras da Câmara e do Senado após a aprovação do que eles chamam de “pacote de pacificação do país”, que inclui três medidas: anistia aos condenados pelo 8 de janeiro, a votação do impeachment de Alexandre de Moraes, e a proposta que acaba com o foro privilegiado de parlamentares.
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Au Brésil, les sanctions contre Jair Bolsonaro se renforcent : l'ancien président, en procès pour tentative de coup d'État, vient d'être assigné à résidence par le tribunal suprême. Son tort est de s'être exprimé sur les réseaux sociaux, ce qui lui était formellement interdit. «Bolsonaro pourra-t-il rencontrer sa femme ? Parler au téléphone ? Aller chez le médecin ?» Le grand journal O Globo décortique le nouveau quotidien de l'ancien homme fort du Brésil, dont les gestes sont de plus en plus limités. Jair Bolsonaro pourra voir sa femme Michelle, sa fille et belle-fille, rassure O Globo, car elles vivent avec lui. Mais ses autres enfants devront demander une autorisation, qui sera certainement refusée dans le cas de son fils Eduardo, accusé également dans ce procès. Jair Bolsonaro pourra sortir chez le médecin, mais pas utiliser de téléphone, ni s'entretenir avec des responsables étrangers, ce qui est compréhensible étant donné l'énorme pression exercée par Washington dans ce dossier. Les nombreux juristes interrogés par O Globo estiment que cette sanction est logique, car Jair Bolsonaro a ouvertement violé les règles édictées par la justice. Et il pourrait rester assigné à résidence jusqu'à la fin de son procès, voire emprisonné dans un bâtiment militaire s'il ne respecte pas cette nouvelle sanction. D'autres médias brésiliens sont plus exaspérés. «Nous vivons sous la dictature d'une Cour suprême, où un juge peut décider ce qu'il veut sans aucune limite, tonne un éditorialiste dans le Folha de Sao Paolo. Loin d'être un adorateur de Bolsonaro, cet économiste assure que «la place d'un putschiste comme lui est bien en prison» mais que le juge Moraes va trop loin. «Il est à la fois victime, enquêteur et juge. Et punit sévèrement ceux qui lui désobéissent», dénonce-t-il. Le zèle du juge était nécessaire pour contrer la dérive autoritaire de Bolsonaro, quand il était au pouvoir, mais il doit maintenant s'arrêter. Sauf que la puissance est devenue une drogue pour le juge : «Le problème des pouvoirs exceptionnels est qu'une fois passée la menace qui justifiait leur utilisation, ils ont tendance à se maintenir», s'inquiète l'éditorialiste brésilien. En Argentine, veto pour empêcher l'augmentation des retraites Le président ultralibéral Javier Milei refuse cette réforme pour la 2è fois, et empêche donc la promulgation de la loi qui permettait cette augmentation. Une décision cruelle pour les intéressés. «Le niveau des retraites est très bas, rapporte la syndicaliste argentine Sandra Zapatero . Il est en-dessous du niveau de la pauvreté, et l'augmentation prévue est minime. Les retraités pourraient peut-être s'acheter 3 kilos de pain en plus… c'est rien ! Les retraités vivent leur pire moment de l'histoire. » Cela n'émeut pas le président argentin, qui a promis de redresser les comptes publics de manière drastique. Avec une efficacité comptable, car ces comptes ont terminé la dernière année fiscale en excédent, pour la 1ère fois depuis 14 ans, grâce à une baisse de 27% des dépenses de l'État. Pour Javier Milei, accepter ces augmentations des retraites ferait donc «couler l'Argentine au fond de la rivière», illustre une éditorialiste du quotidien La Nacion. Pour le président, «ce veto n'est donc pas cruel, mais responsable. Et le président est prêt à en payer le coût politique». Toutefois, cette posture est affaiblie par un autre dossier : la présidence vient d'octroyer d'importants allégements fiscaux aux entreprises de la Terre de feu, au sud du pays. «Pourquoi ce gouvernement libertarien qui dérégule et se désengage vient soudainement en soutien à ces entrepreneurs?», s'interroge cette chroniqueuse. En Amérique latine, les entrepreneuses peinent à recevoir des financements Ces femmes d'affaires dirigent de petites et moyennes entreprises d'Amérique latine, créent des emplois, mais manquent de soutien: leurs entreprises ne reçoivent que 1% des aides publiques ou des crédits, révèle El Pais. Mais cela change doucement : le correspondant régional rapporte qu'en Colombie et au Paraguay, des grands groupes cherchent à diversifier leurs fournisseurs, et aident les sociétés dirigées par des femmes, entre autres, car elles sont perçues comme plus résilientes financièrement. Des formations sont aussi offertes à ces entrepreneuses pour qu'elles améliorent leur réseau, et sortent de leur marginalisation traditionnelle. L'égalité est encore loin, mais quand les entreprises voient des avantages économiques à favoriser les femmes, on peut considérer qu'on est sur une bonne voie. En Haïti, l'aide aux déplacés est insuffisante 1,3 million de personnes sont déplacées par les violences en Haïti, selon l'ONU. L'État distribue des chèques de 100 000 gourdes (720 euros) à ces personnes pour les aider à se reloger, mais cette somme est dérisoire par rapport aux prix des loyers, et du reste, beaucoup ne peuvent pas rentrer à cause de la fermeture des routes nationales par les bandits. Reportage de notre correspondant à Port-au-Prince, Peterson Luxama. Sur la trace des bouteilles en plastique qui polluent nos côtes Ce mardi s'ouvre, à Genève, les négociations finales pour aboutir à un accord international pour lutter contre la pollution plastique. Des chercheurs de l'Université de Barcelone, en collaboration avec l'Université catholique du nord du Chili, ont réalisé une enquête inédite sur l'origine des bouteilles en plastique. Ils ont analysé plus de 12 000 kilomètres de côtes dans dix pays d'Amérique latine. Nemo Lecoq-Jammes s'est entretenu avec l'un d'eux. Miquel Canals est directeur du groupe de recherche en géosciences marines de la Faculté des sciences de la Terre de l'Université de Barcelone. Entretien.
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Donald Trump a annoncé que les États-Unis imposeront 50% de droits de douane sur une grande partie des produits importés du Brésil, à partir du 6 août 2025. Un coup dur pour la plus grande économie sud-américaine. «Un grand sentiment de frustration». Voici la réaction à chaud du président de l'Association brésilienne des producteurs de sucre, rapportés par la Folha de Sao Paolo. Renato Cunha a accompagné la délégation parlementaire aux États-Unis cette semaine pour essayer d'obtenir un accord, mais impossible : «il y avait un mépris total, personne ne nous a vraiment accueillis, commente l'entrepreneur. Car il ne s'agit pas d'une décision commerciale, mais politique, venant du président». Ces droits de douane sont les plus sévères imposées au Brésil en 200 ans de relations diplomatiques, pointe le journal O Globo, et le secteur agricole est le plus durement touché - le secteur bovin a déjà perdu 1 milliard de dollars dans les six derniers mois de tarifs douaniers et demande déjà le soutien du gouvernement fédéral. Mais le journal de Rio voit aussi la bouteille à moitié pleine : «700 produits ont été exclus de tarifs, soit 43% du total des exportations», dont une grande partie du secteur manufacturier. Le cours en bourse du constructeur brésilien d'avions Embraer a ainsi grimpé de 10% hier (30 juillet 2025) après avoir été exclu de la hausse des droits de douane, gagnant plus de 600 millions d'euros. Le gouvernement brésilien n'a toutefois pas dit son dernier mot «L'attaque contre le Brésil aura une réponse judiciaire», assure une éditorialiste du quotidien O Globo. Le décret qui impose des droits de douane ainsi que les sanctions contre le juge de la Cour suprême Alexandre de Moraes se basent sur de prétendues atteintes aux droits humains contre l'ancien président Bolsonaro, «ce qui n'est pas justifié», assure la chroniqueuse. Le Brésil pourrait ainsi saisir la justice américaine, ou faire recours devant la justice internationale. Ce qui est sûr, conclut-elle, c'est que «l'extrême droite brésilienne, cachée derrière cette mesure, reste en mode coup d'État et n'a pas honte de se battre pour la soumission du pays». Le Chili est soulagé Les produits à base de cuivre doivent en effet être taxés de 50% à partir du 1er août 2025, mais pas la matière première. Énorme soulagement pour le Chili, qui est le premier producteur et exportateur de ce métal au monde. Le quotidien El Mercurio estime que le répit ne pourrait toutefois n'être que temporaire, car 15% de taxes pourraient encore être imposés dès 2027. L'incertitude et l'imposition des tarifs sur les tuyaux et autres produits en cuivre a quand même entraîné une chute de 21% du cours du métal à la bourse de New York, rapporte le journal Tercera. Le coût de ces droits de douane se fait sentir aux États-Unis Cela a été annoncé mercredi par l'énorme groupe Procter et Gamble, une référence pour les produits de première nécessité comme le liquide vaisselle, le dentifrice et le détergent - la multinationale augmentera ses prix de 2.5% en moyenne, sur un quart de ses produits dès le mois d'août, rapporte le Washington Post... Ceci en partie à cause des droits de douane d'un milliard de dollars qu'il prévoit chaque année. La chaîne de grande distribution Walmart, elle, prévoit des augmentations pour les produits fabriqués en Chine, comme les articles pour bébés, les ustensiles de cuisine et les jouets. Les droits de douane de 50% sur l'acier et l'aluminium entraîneront aussi une hausse des coûts des emballages alimentaires et des boissons, comme les boîtes de café et les canettes de bière. Tout devrait y passer, donc. Les consommateurs américains comprennent qu'ils vont payer, rapporte le quotidien de Washington, et ils constituent des stocks de détresse avant la rentrée scolaire. Panique et incertitude s'installent dans les rayons de supermarchés. Il est donc de plus en plus difficile de savoir qui va bénéficier de cette guerre commerciale lancée par Donald Trump. En Argentine, la recherche scientifique subit les coupes budgétaires du président ultra-libéral Javier Milei Déjà affaiblie par des coupes budgétaires massives et une chute des salaires, la recherche est à nouveau visée par un décret limitant les compétences de sa principale agence de financement. Face à une fuite inédite des cerveaux, la communauté scientifique alerte sur les conséquences d'un véritable « scientificide ». Reportage de Lucas Lazo dans le laboratoire de neuroscience de l'Université de Buenos Aires. En Haïti, l'organisation des États d'Amérique présente une nouvelle feuille de route pour la sécurisation de Haïti. Le rédacteur en chef du quotidien Le Nouvelliste, Franz Duval, offre une analyse critique et dénonce le peu de moyens proposés pour la sécurisation de l'île, qui est le problème principal pour les habitants ? Aux États-Unis, un redécoupage électoral controversé. Les républicains sont lancés dans une grande opération de redécoupage électoral entre le Texas et la Californie, dans le but d'essayer de gagner jusqu'à cinq sièges lors des prochaines élections de mi-mandat, l'année prochaine (2026). Une opération qui fait débat, nous raconte notre correspondante Loubna Anaki.
Caio Blinder, integrante do Manhattan Connection, com passagens por O Globo, Folha de S.Paulo, VEJA, Jovem Pan e BBC Brasil, analisa e comenta as relações internacionais, no Jornal Eldorado, às 4ªs e 6ªs feiras, 8h15.See omnystudio.com/listener for privacy information.
O Roda Viva entrevista o neurocientista Miguel Nicolelis.Nem inteligente, nem artificial: essa é uma das definições que o médico e neurocientista Miguel Nicolelis tem dado para a Inteligência Artificial. O brasileiro, que é tido como um dos principais nomes da neurociência do mundo, também acaba de lançar o primeiro livro de ficção, “Nada mais será como antes”, e já anunciou a adaptação da obra para o cinema. Para falar sobre esse e outros assuntos, Nicolelis participa do Roda.Nesta edição, participam da bancada de entrevistadores: Denis Russo Burgierman, jornalista; Nina da Hora, diretora do Instituto da Hora e pesquisadora em IA; Pedro Teixeira, repórter da Folha de S.Paulo; Petria Chaves, jornalista da Rádio CBN; e Rafael Garcia, repórter de Ciência do jornal O Globo.Com apresentação de Vera Magalhães, as ilustrações em tempo real são de Luciano Veronezi.#TVCultura #RodaViva #MiguelNicolelis #Ciência #IA #Neurociência
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Le pays gouverné par le président autoritaire Nayib Bukele a vu son taux de criminalité chuter drastiquement ces dernières années. Mais au prix du sacrifice des droits fondamentaux de sa population. Les autorités du Salvador en sont fières : selon leurs chiffres, le pays serait devenu l'un des plus sûrs de la planète, avec un taux d'homicide de 1,6 pour 100 000 habitants, contre 105 il y a 10 ans. Les Salvadoriens ne sont plus à la merci des gangs qui terrorisaient le pays. Le prix à payer a un nom : l'état d'urgence, imposé par le président Nayib Bukele, et qui permet aux policiers de passer outre les lois. Résultat : 1,5% de la population est emprisonnée, souvent sans procès. Les victimes de ces arrestations arbitraires témoignent à notre correspondante dans la région, Alice Campaignolle. En Haïti, l'ancien candidat à la présidentielle, Pierre Réginald Boulos, inculpé aux États-Unis. L'homme d'affaires a été arrêté le 17 juillet et les autorités américaines viennent de signifier les charges qui sont retenues contre Pierre Réginald Boulos, explique Alterpresse. Les autorités américaines reprochent notamment à Pierre Réginald Boulos d'avoir mené « une campagne de soutien aux gangs armés » et de ne pas avoir révélé, dans sa demande de résidence permanente, son rôle dans la fondation d'un parti politique haïtien – le Mouvement pour la Transformation et la Valorisation d'Haïti (MtvAyiti) – ni le fait qu'il avait été référé pour poursuite par l'Unité de lutte contre la corruption (Ulcc) en Haïti pour usage abusif de prêts. Aux États-Unis, les arrestations de migrants illégaux ont explosé, mais pas les expulsions. Donald Trump avait promis d'expulser un million de clandestins en un an, il en est très loin. Depuis février, l'administration de Donald Trump a expulsé environ 15 000 migrants illégaux des États-Unis, soit trois fois moins que Barack Obama lors d'une campagne similaire. « Trump privilégie le spectacle méchant des arrestations à l'efficacité des expulsions », analyse le chroniqueur Fareed Zakarias dans le Washington Post. La procédure est inefficace car elle est « chaotique », dit-il, sans aucune coordination entre les autorités pour permettre ces renvois. Et cela se retourne contre lui : un sondage montre que seuls 40% des Américains approuve sa politique anti-immigration aujourd'hui, soit une baisse de quinze points en six mois. Ceci, car elle est trop cruelle et perturbe l'économie. Encore plus surprenant : le soutien envers les clandestins monte en flèche, même chez les républicains, relève Fareed Zakarias, qui conclut d'un pied de nez : sur le thème de l'immigration, Donald Trump a réussi à favoriser les partis de gauche. Le président américain toujours aussi allergique aux critiques des médias. Le Wall Street Journal a publié la semaine dernière la lettre très « amicale » de Donald Trump à Jeffrey Epstein, l'homme d'affaires défunt, accusé pour crimes sexuels. Le président, furieux, a d'abord lancé des poursuites contre le média en justice, et demande une réparation de dix milliards de dollars. Il a ensuite annoncé que les journalistes du quotidien d'affaires sont exclus de son prochain voyage en Écosse. Cette sanction étant directement liée à la publication, selon la Maison Blanche. « Les médias sont l'ennemi préféré de Donald Trump », analyse le New York Times. Le problème est que ses attaques sont bien mieux préparées et plus efficaces que lors de son premier mandat. Les pressions sont financières, judiciaires et opérationnelles, comme dans ce cas du Wall Street Journal, et les médias se couchent : ils passent des accords avant les procès ou renvoient un humoriste critique, comme ce fut le cas la semaine dernière pour Stephen Colbert, sur ABC. Ce qui est intéressant toutefois, c'est que Donald Trump s'attaque maintenant au Walt Street Journal, détenu par Rupert Murdoch, un conservateur auparavant proche du président. Qui lui, n'a pas pour l'instant prévu de se laisser faire. Au Brésil, l'ancien président Jair Bolsonaro sous la menace d'emprisonnement. Jair Bolsonaro, en procès pour tentative de coup d'État, a reçu l'obligation de porter un bracelet électronique vendredi dernier. Une mesure qui l'a révolté, et il s'en est plaint devant les médias : « Je suis innocent, et je ne crois que dans la loi de Dieu ! », a-t-il lancé en exhibant sa cheville. Cette scène a ensuite été diffusée par la famille et les alliés de Jair Bolsonaro sur le compte de réseau social de l'ancien président. Or, le tribunal lui a interdit l'utilisation de ces réseaux, et le menace donc d'emprisonnement immédiat. Les avis sont réservés dans la presse brésilienne quant à cette possible sanction: le Folha de Sao Paulo analyse d'abord que l'ordonnance du juge Moraes est ambiguë sur les personnes tenues au silence: « Cette ambiguïté pose un problème d'autocensure », estime un professeur de droit cité. Alors qu'une association de journalistes déplore que cela puisse empêcher la diffusion d'interviews d'intérêt public. Dans le quotidien O Globo, un juriste estime aussi que l'ancien président ne peut être tenu responsable de la diffusion d'une « interview qu'il donne, car il n'a pas de contrôle dessus ». Au Chili, les chèvres protègent contre les incendies. La correspondante d'El Pais nous emmène dans la campagne de Biobio, a 500 kilomètres de Santiago, où des bergers se sont alliés avec des ingénieurs du MIT pour que leurs chèvres débroussaillent efficacement les plaines, et protègent mieux cette campagne contre les incendies. Car les chèvres adorent les broussailles inflammables. L'équipe a donc installé des colliers GPS sur les 250 chèvres, afin de mieux contrôler où elles broutent, et couvrir les zones les plus à risque. Et cette mesure de prévention a été très efficace : ce terrain a été l'un des mieux préservés contre les énormes incendies de 2023, qui ont tué six personnes. Les chèvres peuvent donc sauver des vies.
Neste episódio, Renata Capucci conversa com o apresentador Tadeu Schmidt, a editora-chefe da revista ELA, Marina Caruso, o colunista de O Globo, Lauro Jardim, e a repórter Lilia Teles.
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La presse brésilienne fustige l'adoption d'une réforme législative qui réduit fortement les contrôles environnementaux sur les projets d'infrastructures. Et appelle à un veto présidentiel. «Le président Lula doit opposer son veto aux articles les plus absurdes du projet de loi», lance O Globo. Le quotidien le plus influent du pays juge dans son éditorial, que ce texte représente un «recul» pour le Brésil, et «cela ne favorisera pas le développement du pays». Le journal de Rio de Janeiro considère comme dangereux de ne plus demander aux entreprises de faire des études d'impact environnemental avant de débuter leurs travaux, ou de pouvoir aller contre dans le cas de projets choisis par le gouvernement comme « stratégiques ». Dans le cas de «petits ou moyens projets», les entreprises devront seulement s'engager à respecter la loi, et les inspections seront parcellaires et rares. «En pratique, un tel changement institutionnalise l'aveuglement», critique O Globo, et «cela ne favorisera pas le développement du pays». Cette crainte de l'écocide est relayé par son concurrent du sud - Le Folha de Sao Paulo estime que «le Congrès cautionne la dévastation environnementale», ce qui offre une image désastreuse du Brésil, quelques mois avant d'accueillir le sommet de la COP30 sur le changement climatique, qui se tiendra fin novembre 2025 dans la ville de Belem, aux portes de l'Amazonie. Le milieu agricole, qui a tant milité pour ce texte, pourrait se tirer une balle dans le pied, juge l'éditorial du quotidien, car «l'Union européenne a justement adopté un règlement qui interdit l'importation de produits liés à la déforestation». «Cette affaire met en lumière l'absence de politique environnementale claire du gouvernement», conclut la Folha de Sao Paulo. Le président Lula a maintenant deux semaines pour décider s'il censure ou pas une partie de ce texte décrié. Aux Etats-Unis, les habitants de Géorgie craignent la fin de l'audiovisuel public. Le Sénat américain a adopté jeudi la suppression du budget alloué aux radios et télévisions publiques. Le gouvernement de Donald Trump estime que ces médias sont «politiquement biaisés», et composé d' «une élite qui dédaigne l'Amérique rurale». La radio NPR et la télévision PBS, ainsi que beaucoup d'autres chaînes locales pourraient en souffrir. En Géorgie, État pivot lors de la dernière élection présidentielle, beaucoup d'habitants sont désarçonnés. Reportage d'Edward Maille à Atlanta. Au Salvador, l'ONG Cristobal contrainte à l'exil L'association historique de défense des droits humains, est la dernière ciblée par le gouvernement autoritaire de Nayib Bukele. L'ONG a reçu de 2 millions de dollars de dons de l'agence américaine de développement, l'USAID, l'année dernière, rapporte El Diario El Salvador et son président est un citoyen des États-Unis, ceci la place sous le coup de la nouvelle loi sur «les agents de l'étranger». L'une de ses gestionnaires a aussi récemment été arrêtée. Face à cette persécution grandissante, son directeur, Noah Bullock, a décidé d'exiler l'ONG : ses opérations seront gérées depuis le Guatemala et le Honduras voisins. «Nous sommes forcés de choisir entre la prison et l'exil, déplore Noah Bullock. Nous faisons face à une campagne systématique de harcèlement légal et administratif, à des actes d'espionnage et de surveillance de nos activités et de nos maisons», avant de fustiger cette loi sur les agents de l'étranger, qui «s'est transformée en un instrument de contrôle de toutes les activités citoyennes. Cette loi considère que les droits à la liberté d'expression, d'association, de réunion pacifique et de participation citoyenne, sont un privilège octroyé par le régime». «En à peine deux mois, au moins vingt militants et quarante journalistes se sont exilés», rapporte El Pais. Ceci est arrivé après la révélation de l'existence d'une possible liste noire, avec les noms des personnes à arrêter. Le quotidien espagnol raconte ainsi qu'une autre directrice d'ONG de droits humains a fui début juillet, après avoir été suivie pendant des semaines par des agents. Toute la rédaction du média El Faro s'est également exilée face à ces risques. Et cette persécution des journalistes explique en partie pourquoi on ne trouve pas beaucoup de critiques de cette politique dans la presse du Salvador. En Argentine, le gouvernement réagit à l'attaque contre un prêtre à Gaza Buenos Aires a fait part de ses «sérieuses inquiétudes» au gouvernement israélien, titre La Nacion. Cette position est assez rare pour être remarquée, tant le président Javier Milei est un admirateur de la politique nationaliste de Benyamin Netanyahu. Mais il n'a pas le choix : la frappe israélienne sur l'église catholique de Gaza, jeudi, a blessé un prêtre argentin. Pas de quoi renverser la politique de Buenos Aires, mais le sujet reste sensible : le pays est foncièrement catholique, mais il compte aussi 300 000 israëlites, soit la plus grande communauté juive d'Amérique latine.
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> Quer desbloquear episódios EXTRAS? Então, acesse a nossa outra página aqui no Spotify: Fábrica de Crimes Horas ExtrasOu você também pode apoiar e entrar no nosso grupo secreto do Telegram pelo Apoia.se, clicando aqui.Se quiser apoiar pela Orelo, clique aqui.O caso do episódio aborda a morte do jovem Samuel Muñiz que foi brutalmente assassinado, na Espanha apenas por ser quem ele era. A simples existência de Samuel foi capaz de instigar um ódio profundo em seus agressores. Para essas pessoas, a vida de Samuel era um verdadeiro “atentado”. > Quer aparecer em um episódio do Fabrica? É muito fácil!Basta mandar uma mensagem de voz por direct no Instagram @podcastfabricadecrimes nós só publicaremos com a sua autorização. Vamos AMAR ter você por aqui :)Hosts: Rob e MariEditor: Victor AssisAviso: O Fábrica aborda casos reais de crimes, contendo temas sensíveis para algumas pessoas. O conteúdo tem caráter exclusivamente informativo e é baseado em fontes públicas, respeitando a memória das vítimas e de seus familiares. As eventuais opiniões expressas no podcast sao de responsabilidade exclusiva das hosts e nao refletem necessariamente o posicionamento de instituições, veículos ou entidades mencionadas. Caso você tenha alguma objeção a alguma informação contida nesse episódio, entre em contato com: contato@fabricadecrimes.com.br Fontes: ESQREVER. Espanha condena quatro homens pelo homicídio homofóbico de Samuel Luiz Muñiz. 10 jan. 2025. Disponível aqui. Acesso em: 09 jul. 2025.ESQREVER. Milhares se manifestam e reclamam justiça por Samuel Muñiz. 06 jul. 2021. Disponível aqui. Acesso em: 09 jul. 2025.O GLOBO. Vídeo mostra agressão a adolescente de 17 anos que morreu após espancamento em Manaus. 07 jul. 2025. Disponível aqui. Acesso em: 09 jul. 2025.O GLOBO. Assassinos de jovem brasileiro gay na Espanha são condenados a até 24 anos de prisão. 08 jan. 2025. Disponível aqui. Acesso em: 09 jan. 2025.EL PAÍS BRASIL. Assassinato de jovem gay na Espanha motiva protestos contra a homofobia em todo o país. 06 jul. 2021. Disponível aqui. Acesso em: 09 jul. 2025.PORTELA, Júlia. Testemunha conta últimos momentos de jovem morto por homofobia na Espanha. Metrópoles, 07 jul. 2021. Disponível aqui. Acesso em: 09 jul. 2025.YOUTUBE. Disponível aqui. Acesso em: 09 jul. 2025.O GLOBO. Assassinato de jovem de origem brasileira gera protestos contra homofobia na Espanha. Disponível aqui. Acesso em: 09 jul. 2025.EL PAÍS. Samuel Luiz, o jovem que ensinava a Bíblia e tocava flauta na igreja. Disponível aqui. Acesso em: 09 jul. 2025.PÚBLICO. Convocadas para segunda-feira em Galicia marchas por espancamento que matou jovem em A Coruña. Disponível aqui. Acesso em: 09 jul. 2025.
O Roda Viva entrevista a atriz Marisa Orth.Marisa Orth foi homenageada, recentemente, na 20ª Mostra de Cinema de Ouro Preto, celebrando o humor da mulher brasileira. A atriz também se prepara para voltar aos palcos, ao lado de Miguel Falabella, na peça Fica Comigo Esta Noite. Para falar dessas novidades e de toda a trajetória na TV, no cinema e no teatro, Marisa Orth participa do Roda.Nesta edição, participam da bancada de entrevistadores: Camila Borowsky, editora-chefe da Quem; Gustavo Cunha, repórter do jornal O Globo; Humberto Maruchel Tozze, repórter da Revista Bravo!; Marina Pastorelli, editora da Caras Brasil; e Matheus Rocha, repórter de Cultura da Folha de S.Paulo.Com apresentação de Vera Magalhães, as ilustrações em tempo real são de Luciano Veronezi.#TVCultura #RodaViva #MarisaOrth #Atriz #Cinema #Televisão #Teatro #Arte #Brasil
Dix jours après les crues meurtrières du fleuve Guadalupe, qui ont fait 129 morts et plus de 170 disparus, le futur rôle de l'agence fédérale est encore flou. Depuis son retour à la Maison Blanche en janvier dernier, Donald Trump a promis une réduction drastique des dépenses fédérales – et a ainsi promis de fermer l'agence de gestion des urgences, la FEMA. Inutile, trop couteuse, disait-il. Au lendemain des inondations meurtrières du Texas, terre républicaine où plus de 300 personnes pourraient avoir perdu la vie, potentiellement à cause du retard dans les secours, cette position est plus difficile à tenir. Le président refuse de définir quel rôle exact il pense réserver maintenant à cette agence. Mais sa ministre de l'Intérieur, Kristi Noem, a commencé à donner des indications, lors d'une interview sur la chaîne NBC : « Son rôle doit changer, et nous devons nous appuyer sur les autres ressources du gouvernement fédéral », soutient-elle, avant de reprendre la ligne idéologique trumpiste, de déléguer un maximum de tâches aux États fédérés. « Le président souhaite donner les moyens aux États de gérer eux-mêmes leurs situations d'urgence », sans préciser de quels moyens elle pense, considérant qu'on parle ici de désengagement fédéral avant tout. La FEMA, du reste, est critiquée pour sa mauvaise gestion en amont : son rôle est aussi d'évaluer les risques d'inondations pour les permis de construire. Or, le Washington Post révèle que le fameux camp pour enfants Mystic, où 27 personnes ont été emportées par les crues, n'avait pas été placé en zone inondable – il avait donc pu étendre son empreinte. Ces permis ont été donnés entre 2013 et 2020, rappelle le quotidien, ce qui indique à quel point les agences fédérales peuvent sous-estimer les risques, mais aussi que ces derniers évoluent rapidement à cause du changement climatique. À lire aussiÉtats-Unis: après les inondations au Texas, Trump rétropédale sur la Fema et son démantèlement En attendant, la population essaie de se relever par tous les moyens. Et même les enfants s'y mettent, comme le raconte le Dallas Morning News. Le quotidien décrit cette belle histoire de Graham Goodin et des deux frères Wallace, âgés de 10 à 12 ans, qui ont ouvert leur stand de limonade glacée dans une rue de Dallas. Un dollar le jus rafraichissant, mais rapidement, les passants paient 5, 7, voire 100 dollars le verre. « C'est la meilleure limonade du monde », assure un client. Ces ventes doivent en effet servir à reconstruire le camp pour enfants Mystic, ravagé par les inondations. Ces jeunes entrepreneurs ont récolté 550 dollars en une journée, ce qui prouve la solidarité qui a emporté les Texans : on ne compte plus les restaurants qui reversent leurs profits ou les cagnottes d'anonymes en faveur des sinistrés, rapporte le journal de Dallas. « Ce genre d'inondations devrait se répéter avec l'intensification du réchauffement climatique, surtout dans cette région du centre du Texas, aux terrains vallonnés et au climat propice aux fortes tempêtes. Pour y faire face, les autorités règlementent de plus en plus les constructions au bord de l'eau. Ils demandent à ce que les maisons soient construites sur des piliers ou que les fondations permettent à l'eau de passer dessous en cas de crue », explique Mark Gonzalez, un ingénieur de l'immobilier. Reportage d'Edward Maille au Texas. L'Argentine s'enfonce dans la crise politique La guerre est ouverte au plus haut sommet de l'État. Elle a éclaté avec l'adoption de l'augmentation des retraites la semaine dernière, malgré l'opposition du président Javier Milei. Et ce dernier d'attaquer sa vice-présidente, Victoria Villaruel, qui ne l'a pas appuyé au Parlement dans ce dossier. Le quotidien Pagina 12 nous livre les détails croustillants de cette acrimonie. « Traitresse, populiste, âne », tels sont les noms colorés que donne Javier Milei à son ancienne alliée. Victoria Villaruel, qui avait apporté le vote religieux au président, « est maintenant considérée comme une opposante », analyse le journal, et les spéculations commencent sur sa possible candidature à la présidence de 2027, face à Javier Milei. À lire aussiArgentine: rupture entre le président Milei et sa vice-présidence Victoria Villarruel Au Brésil, front commun contre les nouveaux droits de douane annoncés par Donald Trump Le président brésilien Lula pourrait bénéficier de cette nouvelle attaque du président américain. Donald Trump assure que ces tarifs sont imposés pour faire pression sur Brasilia et arrêter les poursuites contre son allié, Jair Bolsonaro, accusé de tentative de coup d'État. Résultat, c'est le camp Bolsonaro qui en paie le prix, analyse le quotidien O Globo, et Lula en sort renforcé. « Après des mois d'usure et de confrontations avec les députés, le président jouit d'une amnistie », commente le quotidien. Mais beaucoup estiment que « cet alignement est temporaire et risque de s'effondrer une fois la crise avec Trump résolue », prévient O Glogo. À lire aussi«Chasse aux sorcières», «qu'il se mêle de ses affaires»: Trump et Lula s'écharpent autour de Bolsonaro Le Mexique, destination en pointe pour la chirurgie esthétique La correspondante du quotidien espagnol El Pais nous emmène dans un cabinet de chirurgie esthétique de Guadalaraja, à la frontière états-unienne. Comme beaucoup, ce cabinet est pris d'assaut : le Mexique est devenu la deuxième destination de tourisme médical au monde pour la chirurgie esthétique, après la Colombie. Une recette gagnante, qui repose sur des prix abordables, de bons chirurgiens et des plages agréables pour se rétablir – tout cela à deux pas des États-Unis et du Canada. 1,4 million de patients ont fait le voyage l'année dernière, pour faire surtout des liposuccions, des facelift ou se gonfler les seins. Mais attention aux arnaques, prévient El Pais: pour certains, le chirurgien était en fait un dentiste ! Et surtout, quid du post-opératoire : il faut s'assurer du suivi à distance et de la bonne coordination avec des médecins dans votre pays, conclut El Pais. Ceci, afin que ce nouveau visage dont vous rêvez ne se transforme pas en un cauchemar indélébile. En Haïti, reportage dans les Gonaïves Une ville qui doit se débrouiller sans pompiers. La semaine dernière, un camion d'essence a pris feu suite à une collusion avec un autre véhicule. Huit personnes sont décédées, dont trois élèves d'une même famille. Les incendies sont fréquents dans cette ville et touchent des marchés publics, des résidences privées, des entreprises ou bâtiments publics. À chaque fois, il faut attendre que le feu détruise tout sur son passage. Pourtant, en 2016, la ville avait deux camions de pompiers qui faisaient régulièrement des interventions. Ils ont disparu après le mandat du maire de l'époque en 2020. Reportage de Ronel Paul.
Neste episódio, Renata Capucci conversa com a apresentadora da GloboNews Leilane Neubarth, o repórter cinematográfico Jorge dos Santos, a repórter Bianka Carvalho e o gerente de produção do parque gráfico do jornal O Globo, André Schwartz.
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O Roda Viva entrevista o ministro da Casa Civil, Rui Costa.O governo federal ainda busca alternativas para compensar a queda de arrecadação após o Congresso derrubar o decreto presidencial que aumentava o IOF (Imposto Sobre Operações Financeiras). Para falar sobre esse e outros assuntos, o programa recebe o ministro.Nesta edição, participam da bancada de entrevistadores: Josias de Souza, colunista do UOL; Marcello Corrêa, editor de Política do Valor Econômico; Renata Agostini, colunista do jornal O Globo; Vera Rosa, repórter especial e colunista do Estadão; e Vinicius Mota, secretário de redação da Folha de S.Paulo.Com apresentação de Vera Magalhães, as ilustrações em tempo real são de Luciano Veronezi.#TVCultura #RodaViva #RuiCosta #CasaCivil #Política #Brasil
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O Congresso impôs uma derrota acachapante ao governo Lula na noite da quarta-feira (25), ao derrubar o decreto do IOF. Foi a primeira vez desde 1992 que parlamentares derrubaram um decreto presidencial. Ministros do governo estão divididos sobre levar ou não o caso ao STF – a oposição diz que, caso recorra ao Supremo, o governo vai ampliar a crise em Brasília. Com a queda do decreto, o Congresso sustou a ideia do governo de arrecadar R$ 10 bilhões a mais e, com isso, ficar mais perto de atingir a meta fiscal. O impacto da batalha política, portanto, tem consequências fiscais graves. Economistas alertam que o Estado brasileiro corre o risco de ficar paralisado em 2026 caso as contas públicas não sejam equilibradas. Para explicar a gravidade da situação em Brasília, Natuza Nery recebe Flávia Oliveira. “Foi mais do que um tratoraço. Foi um rolo compressor”, resume a comentarista da GloboNews, colunista do jornal O Globo e da rádio CBN. Para ela, mais do que uma derrota do governo, o que se passa em Brasília é “uma derrota para país. É um Congresso que tem agido e votado em proveito próprio”. Depois, Natuza Nery fala com o cientista político e sociólogo Sérgio Abranches. Criador do termo “presidencialismo de coalizão”, no fim da década de 1980, Sérgio avalia o momento político atual. “O sistema de governo está disfuncional. É um Congresso que não representa. E um Executivo que não consegue mais governar”, afirma.
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O Roda Viva entrevista a atriz Andrea Beltrão.A atriz compartilha detalhes sobre sua carreira na televisão e no teatro, destacando momentos marcantes e projetos que ganharam espaço em sua trajetória pessoal e artística. Atualmente, Andrea Beltrão está em cartaz com o espetáculo Lady Tempestade, um monólogo que vem conquistando o público e a crítica.Nesta edição, participam da bancada de entrevistadores: Bruno Cavalcanti, jornalista e dramaturgo; Daniela Arrais, jornalista e sócia-fundadora da Contente.vc; Marina Caruso, editora-chefe da revista Ela, do jornal O Globo; Mika Lins, diretora; e Ubiratan Brasil, Canal Teatro MF.Com apresentação de Vera Magalhães, as ilustrações em tempo real são de Luciano Veronezi.#TVCultura #RodaViva #AndreaBeltrão #Atriz #Televisão #Teatro #Cinema
Caio Blinder, integrante do Manhattan Connection, com passagens por O Globo, Folha de S.Paulo, VEJA, Jovem Pan e BBC Brasil, analisa e comenta as relações internacionais, no Jornal Eldorado, às 4ªs e 6ªs feiras, 8h15.See omnystudio.com/listener for privacy information.
A instabilidade é permanente e se espalha por vários territórios. Na Faixa de Gaza, uma guerra que já dura mais de 600 dias e que provoca uma crise humanitária sem precedentes. No Líbano, a população vive sob os ataques do grupo Hezbollah e do exército israelense. Na Síria, o fim de uma longa ditadura deu lugar a um país cujo comando está fragmentado. No Iêmen, os rebeldes Houthis também estão envolvidos em conflitos. Agora, desde o início da troca de bombardeios entre Israel e Irã, a tensão escalou para a iminência de uma guerra total entre os dois países militarmente mais poderosos da região -- um risco que cresce com os sinais enviados por Donald Trump de que os EUA podem entrar no conflito. Neste episódio, Natuza Nery conversa com Guga Chacra para explicar as origens dessas instabilidades. O comentarista da Globo, da GloboNews, da CBN e colunista do jornal O Globo reconta a história dos insucessos nas tratativas de paz das últimas décadas, analisa os atuais pontos de maior tensão e tenta responder à pergunta: o que fazer para pacificar o Oriente Médio?
Em meio a uma onda de protestos contra as prisões feitas pelo ICE (Immigration and Customs Enforcement), a polícia da imigração dos Estados Unidos, a prefeita de Los Angeles, uma das cidades mais importantes da Califórnia, nos EUA, decretou toque de recolher. A medida da democrata Karen Bass foi tomada para conter a violência. Desde meados da semana passada, manifestantes bloquearam vias e queimaram veículos, principalmente em locais próximos de prédios públicos. A polícia local usou bombas de efeito moral e balas de borracha. Com a escalada de tensão, Trump enviou agentes da Guarda Nacional para o estado da Califórnia, mesmo sem o pedido do governador, o democrata Gavin Newsom. Quem explica o embate político e pessoal por trás disso é Guga Chacra, comentarista da Globo, da Globonews, da CBN e colunista do jornal O Globo. "Trump quer transformar os EUA em uma espécie de regime autoritário. Ele sabe que não vai conseguir ir tão longe, mas a democracia está se deteriorando." Antes, para entender a importância dos imigrantes para Los Angeles, Natuza Nery recebe Felippe Coaglio, correspondente da Globo e GloboNews nos Estados Unidos, que fala direto da cidade. Coaglio conta como age o ICE e como os protestos se espalharam para outros locais do país. "Essa ação do ICE está chamando a atenção pela amplitude do que está acontecendo e, claro, pela forma mais truculenta do que o usual."
Durante duas horas e 9 minutos, Jair Bolsonaro foi interrogado na ação penal sobre a tentativa de um golpe de Estado. Sentado frente a frente com Alexandre de Moraes, o ex-presidente negou a existência de um plano de golpe e admitiu ter conversado com militares sobre o que chamou de “saídas dentro da legalidade” para o resultado das urnas. Bolsonaro disse que “não havia clima” para um golpe. E negou ter enxugado a chamada minuta do golpe. O ex-presidente pediu desculpas a Moraes quando foi questionado sobre ter insinuado que ministros do Supremo recebiam propina durante as eleições. Ele ainda negou ter estimulado manifestações ilegais e chamou de “malucos” aqueles que pedem um novo AI-5 ou uma intervenção militar. Para detalhar e analisar os significados políticos do interrogatório de Jair Bolsonaro, Natuza Nery recebe a jornalista Vera Magalhães, colunista do jornal O Globo, âncora na rádio CBN e apresentadora do programa Roda Viva, da TV Cultura. Juntas, elas avaliam a postura adotada pelo ex-presidente no Supremo: no esperado encontro com Alexandre de Moraes, teve até clima de descontração – Bolsonaro “convidou” Moraes para ser seu candidato a vice em 2026; o ministro declinou. Vera também responde em quais momentos Bolsonaro se complicou e em quais outros apresentou contradições. Depois, Natuza Nery recebe Eloísa Machado, professora de Direito da FGV-SP e coordenadora do grupo de pesquisa Supremo em Pauta. Eloísa avalia as consequências do depoimento para o futuro jurídico de Bolsonaro. Para ela, durante o interrogatório no Supremo, Bolsonaro se defendeu, mas também fez “palanque”, com afirmações direcionadas para sua base de apoio. Ela explica ainda os próximos passos da ação no Supremo Tribunal Federal.