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Aujourd'hui, je vais te révéler 7 astuces pour préparer financièrement tes vacances et éviter les mauvaises surprises. Que tu voyages à l'étranger ou restes près de chez toi, ces conseils te permettront de profiter pleinement de tes vacances sans stress financier. Voici ce dont je vais te parler :Pour résumer voici les conseils qui seront partagés :Budgétisation : Apprends à planifier tes dépenses pour éviter les mauvaises surprises.Prévention bancaire : Découvre pourquoi et comment informer ton banquier avant de partir.Choix des compagnons de voyage : Assure-toi de voyager avec des personnes ayant les mêmes habitudes de dépenses que toi.Anticipation des taux et frais de change : Prépare-toi à éviter les frais excessifs à l'étranger.Conversion des prix en shopping : Garde le contrôle de tes dépenses en comprenant la valeur réelle de tes achats.Anticipation des coûts supplémentaires : Évite les coûts cachés comme les frais de téléphone et de bagages.Assurance et assistance : Vérifie que ta carte bancaire offre une couverture en cas de problème.J'espère que cet épisode va te plaireSi tu veux apprendre à mieux gérer ton argent, j'ai écrit un e-book 100% gratuit dans lequel j'enseigne aux femmes comment épargner et investir, tout en comprenant la relation qu'elles entretiennent avec l'argent.Voici le lien pour le télécharger gratuitement et t'inscrire à ma newsletter : Ma newsletter : https://www.vanessamoneyetmindset.com/guideultimeEt tu peux me retrouver sur mes autres canaux de communication :Sur Instagram : Vanessa.Money&MindsetMon blog : Money & mindset.comLinkedin : https://www.linkedin.com/public-profile/settings?trk=d_flagship3_profile_self_view_public_profileYoutube : https://www.youtube.com/channel/UCyMLFz7nNs7hmECldNwcoEwHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les matins à 7h20, l'actualité économique avec Emmanuel Lechypre.
Augmentation du SMIC à 1.600 euros, indexation des salaires sur les prix, retour de la retraite à 62, puis 60 ans... Estimé à 106 milliards d'euros de dépenses par la socialiste Valérie Rabault, ce projet pourrait en réalité coûter beaucoup plus cher. Et c'est inquiétant dans le contexte actuel et pourtant, tout ça ne préoccupe pas vraiment les chefs de file du Nouveau Front populaire ?
Augmentation du SMIC à 1.600 euros, indexation des salaires sur les prix, retour de la retraite à 62, puis 60 ans... Estimé à 106 milliards d'euros de dépenses par la socialiste Valérie Rabault, ce projet pourrait en réalité coûter beaucoup plus cher. Et c'est inquiétant dans le contexte actuel et pourtant, tout ça ne préoccupe pas vraiment les chefs de file du Nouveau Front populaire ?
Ce jeudi 20 juin, le manque de réalisme budgétaire et l'avertissement de l'UE concernant le déficit excessif de la France, ont été abordés par Anne-Sophie Alsif, cheffe économiste du cabinet d'audit BDO France, François Ecalle, fondateur de FipEco.fr et professeur d'économie à l'Université Paris 1, et Jean-Hervé Lorenzi, fondateur du Cercle des Économistes, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
La Commission européenne a ouvert la voie mercredi à des procédures pour déficits publics excessifs contre sept pays de l'UE, dont la France. Son déficit public a atteint 5,5% l'an dernier, bien au-delà des 3% autorisés par les règles budgétaires européennes.
L'édito de Fabrice Grosfilley : David Leisterh et le goliath budgétaire
L'ÉDITORIAL DU FIGARO - Le président de la République, qui reproche aux collectivités locales d'avoir laissé filer les dépenses, n'a pas échappé à ce travers.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui, il revient sur ces mariages organisés sans enfants afin que les convives profitent plus de l'évènement ou pour des raisons budgétaires.Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour.
Dans un cadre budgétaire restreint, la France a annoncé en février dernier devoir faire 10 milliards d'économie. 800 millions se feront sur les budgets de l'Aide publique au développement. Ce qui ramène l'APD à 0,5% du revenu national brut de l'État. Dans ce contexte, l'Agence française de développement a rendu publics ses résultats annuels mi-mai. Et la question des restrictions budgétaires ont pris une place importante dans les discussions. Près d'un milliard d'économies va être réalisé sur l'aide publique au développement (APD). Des coupes qui n'inquiètent pas outre mesure le directeur de l'Agence française de développement (AFD), Rémy Rioux. « L'APD, c'est souvent les versements de projets qui ont été engagés des années avant, donc c'est une mesure de l'effort budgétaire. L'activité de l'AFD dépasse, et même excède les règles de l'aide publique au développement, défend Rémy Rioux. On a dit que l'aide française avait baissé de 11% entre 2023 et 2022. En 2023, l'AFD a augmenté ses activités de 10%. Donc, il y a quelque chose qui ne colle pas. » Le directeur de l'AFD prône d'ailleurs la recherche de nouveaux modèles : « Moi, je pense même que ces catégories sont un peu d'un autre temps et qu'il faut mieux mesurer notre activité. »Parmi les partenaires de l'AFD : le Medef international. Philippe Gautier, son directeur général, estime qu'il ne s'agit pas tant des montants que de leur usage qui pose question. « Ce qu'on demande surtout, c'est de mieux utiliser cette aide. On peut certainement faire beaucoup mieux avec 0,5% [du RNB] en créant des effets de levier », met-il en avant. Il souligne également la nécessité de disposer « d'autres instruments de garantie qui nous permettraient de co-investir dans un certain nombre de pays et aussi d'apporter des solutions dans différents secteurs », comme celui de l'énergie, le numérique ou le développement urbain « qui sont des facteurs de déstabilisation dans un certain nombre de pays ». Un fléchage de la taxation des transactions financières vers la solidarité ?Très ancrées sur le terrain, les ONG et organisations de la société civile ont reçu le soutien de l'AFD à hauteur de près d'un demi-million d'euros l'année dernière. Malgré l'optimisme affiché, le président de Coordination SUD qui regroupe plus de 170 organisations, alerte sur les conséquences d'une telle trajectoire. « C'est quelque chose qui nous inquiète fortement, qui vient un peu à rebours de la dynamique lancée depuis 2017 par le président de la République, explique Olivier Bruyeron. Je pense qu'il y a une question de crédibilité qui se pose même si nous comprenons bien que les contextes des finances publiques françaises peut être compliqué. »Cependant, pour lui, la baisse des budgets n'est pas une fatalité. « Il y a des voix pour y arriver et nous avançons d'ailleurs des propositions autour de l'évolution de la taxe sur les transactions financières qui en étant affecté à 100% à la solidarité internationale, permettrait à la France d'être au rendez-vous de l'aide publique au développement », argumente-t-il.En 2021, une loi consacrait l'ambition d'attribuer 0,7% de son revenu national brut à l'aide publique au développement. Un objectif de fait revu à la baisse.
Les accrochages se multiplient à gauche. Ersilia Soudais, députée La France insoumise, a déclaré dans un post sur X (Twitter) que "le débat aujourd'hui sur la laïcité est un leurre". "Profond et respectueux désaccord avec ma collègue @ErsiliaSoudais !", lui répond le communiste Pierre Ouzoulias. Hier déjà, Carole Delga, présidente socialiste du conseil régional d'Occitanie, et Aymeric Caron, député LFI, ont exprimé des avis opposés sur après le discours de Sophia Aram sur la guerre entre Israël au Hamas depuis 7 mois. Pour Ruth Elkrief, "la gauche est plus déchirée que jamais". Ça y est ! L'Agence de Sûreté Nucléaire donne son feu vert à l'EPR, la nouvelle génération du nucléaire. Budgété à la base à 3,3 milliards d'euros, l'EPR de Flamanville pourrait coûter jusqu'à 19 milliards d'euros. Selon Marc Touati, "le coût est énorme. Mais d'un autre côté, il y a un enjeu formidable parce que la France fait heureusement ce choix de garder le nucléaire, au contraire des Allemands (...) Si on continue comme ça, on pourra également exporter notre énergie nucléaire". C'est le choc en Allemagne. Vendredi 3 mai, alors qu'il collait des affiches électorales à Dresde, l'eurodéputé Matthias Ecke a subi une agression très violente. Un jeune homme de 17 ans s'est rendu à la police dans la nuit de samedi à dimanche, s'accusant des faits. Le parquet a indiqué que trois autres agresseurs avaient été identifiés. Juste avant cette agression, un homme de 28 ans collant des affiches pour le parti des Verts, dans la même rue, a aussi été frappé à coups de pied et de poing. "Ce qui est ahurissant", réagit Abnousse Shalmani. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.
durée : 00:58:57 - Entendez-vous l'éco ? - par : Tiphaine de Rocquigny, Aliette Hovine - A l'approche des élections de juin, quels sont les leviers proposés pour financer la transition écologique ? La refonte des règles budgétaires européennes compromet-elle le financement de la transition ? - invités : Jézabel Couppey-Soubeyran Maîtresse de conférences en économie à l'université Paris-I, conseillère scientifique à l'Institut Veblen; Edwin Le Héron Professeur des universités à Sciences Po Bordeaux
Sofie Merckx est la cheffe de groupe du PTB à la chambre. C'est troisième invitée politique dans le Brief du Lundi, après François De Smet et Rajae Maouane, les présidents de Defi et d'Ecolo. L'occasion de découvrir une autre personnalité que l'omniprésent Raoul Hedebouw donc. Après les discours du 1ᵉʳ mai, très politiques à six semaines des élections, la question de l'emploi a été au cœur des discussions avec la représentante du PTB. Selon elle, les salaires ne sont pas un frein à la compétitivité des entreprises belges, au contraire de l'énergie dont il faut revoir le principe de libéralisation des prix. Sofie Merckx plaide pour une révision de la loi de 1996, qui fixe la norme salariale. "Laissons aux syndicats le soin de négocier là où il y a de la marge." Sans réclamer un "Belxit", le PTB veut revenir sur le Pacte de stabilité budgétaire européen. "Étant donné l'état de la dette en Belgique, qui ne va pas bien, nous avons peur que les simples travailleurs doivent payer le carcan budgétaire qui nous sera imposé par l'Europe." Par contre, le PTB a inscrit la sortie de l'OTAN dans son programme. "Parce que la course aux armements n'a pas de sens. Il faut arrêter l'aide militaire à l'Ukraine et négocier", dit en substance Sofie Merckx. Le Brief, le podcast matinal de L'Echo Ce que vous devez savoir avant de démarrer la journée, on vous le sert au creux de l'oreille, chaque matin, en 7 infos, dès 7h. Le Brief, un podcast éclairant, avec l'essentiel de l'info business, entreprendre, investir et politique. Signé L'Echo. Abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute favorite Apple Podcast | Spotify | Podcast Addict l Castbox | Deezer | Google PodcastsSee omnystudio.com/listener for privacy information.
Dans ce nouvel épisode d'Insulaires Podcast, réalisé en partenariat avec le podcast Petits Sous GROS SOUS, nous explorons le thème de l'éducation financière de la maternelle à l'université. Pour discuter de ce sujet super important, j'ai le plaisir d'accueillir Nidhoir Daoud, éducateur financier, fondateur du podcast Petits Sous GROS SOUS ou il partage son expertise depuis 5 ans.Cet épisode est structuré en trois parties :Partie 1 : Comment éduquer financièrement nos enfants en tant que parent ?Partie 2 : Parents et futurs étudiants, qu'est-ce qu'il faut vérifier avant de partir étudier ? Et une fois sur place, comment gérer son argent ?Partie 3 : Diplômés ! Quels sont les éléments les plus importants à prendre en compte lorsque l'on commence à toucher son premier vrai mais surtout GROS salaire. Et je te renvoie aussi à l'épisode de Petit Sous Gros Sous intitulé "Fin d'étude mes repères de vie" pour encore plus de conseils. Pour en apprendre encore plus sur Nidhoir mais aussi comment passer de Petit Sous à de Gros Sous, je vous invite à aller jeter un œil à sa page LinkedIn et Instagram pour rester à jour sur ses dernières aventures et conseils en finance.LinkedInhttps://www.linkedin.com/in/nidhoir/ Instagramhttps://www.instagram.com/petits_sous_gros_sous?igsh=Y2h6NnZtb2Rkc2E4 Site webhttps://paef.live/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:14:35 - Débat budgétaire à l'Assemblée, l'exécutif sous pression
Épargné pour l'heure par les agences de notation, le gouvernement n'en a pas fini pour autant avec les débats "anxiogènes" sur la dégradation des finances publiques, qui sera la cible ce lundi des flèches acérées des oppositions à l'Assemblée nationale. Le ministre délégué aux Comptes publics va détailler la trajectoire budgétaire de la France pour ramener le déficit public à 5,1% du PIB fin 2024.
Épargné pour l'heure par les agences de notation, le gouvernement n'en a pas fini pour autant avec les débats "anxiogènes" sur la dégradation des finances publiques, qui sera la cible ce lundi des flèches acérées des oppositions à l'Assemblée nationale. Le ministre délégué aux Comptes publics va détailler la trajectoire budgétaire de la France pour ramener le déficit public à 5,1% du PIB fin 2024.
Dans ce nouvel épisode d'Insulaires Podcast, réalisé en partenariat avec le podcast Petits Sous GROS SOUS, nous explorons le thème de l'éducation financière de la maternelle à l'université. Pour discuter de ce sujet super important, j'ai le plaisir d'accueillir Nidhoir Daoud, éducateur financier, fondateur du podcast Petits Sous GROS SOUS ou il partage son expertise depuis 5 ans.Cet épisode est structuré en trois parties :Partie 1 : Comment éduquer financièrement nos enfants en tant que parent ?Partie 2 : Parents et futurs étudiants, qu'est-ce qu'il faut vérifier avant de partir étudier ? Et une fois sur place, comment gérer son argent ?Partie 3 : Diplômés ! Quels sont les éléments les plus importants à prendre en compte lorsque l'on commence à toucher son premier vrai mais surtout GROS salaire. Et je te renvoie aussi à l'épisode de Petit Sous Gros Sous intitulé "Fin d'étude mes repères de vie" pour encore plus de conseils. Pour en apprendre encore plus sur Nidhoir mais aussi comment passer de Petit Sous à de Gros Sous, je vous invite à aller jeter un œil à sa page LinkedIn et Instagram pour rester à jour sur ses dernières aventures et conseils en finance.LinkedInhttps://www.linkedin.com/in/nidhoir/ Instagramhttps://www.instagram.com/petits_sous_gros_sous?igsh=Y2h6NnZtb2Rkc2E4 Site webhttps://paef.live/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce nouvel épisode d'Insulaires Podcast, réalisé en partenariat avec le podcast Petits Sous GROS SOUS, nous explorons le thème de l'éducation financière de la maternelle à l'université. Pour discuter de ce sujet super important, j'ai le plaisir d'accueillir Nidhoir Daoud, éducateur financier, fondateur du podcast Petits Sous GROS SOUS ou il partage son expertise depuis 5 ans.Cet épisode est structuré en trois parties :Partie 1 : Comment éduquer financièrement nos enfants en tant que parent ?Partie 2 : Parents et futurs étudiants, qu'est-ce qu'il faut vérifier avant de partir étudier ? Et une fois sur place, comment gérer son argent ?Partie 3 : Diplômés ! Quels sont les éléments les plus importants à prendre en compte lorsque l'on commence à toucher son premier vrai mais surtout GROS salaire. Et je te renvoie aussi à l'épisode de Petit Sous Gros Sous intitulé "Fin d'étude mes repères de vie" pour encore plus de conseils. Pour en apprendre encore plus sur Nidhoir mais aussi comment passer de Petit Sous à de Gros Sous, je vous invite à aller jeter un œil à sa page LinkedIn et Instagram pour rester à jour sur ses dernières aventures et conseils en finance.LinkedInhttps://www.linkedin.com/in/nidhoir/ Instagramhttps://www.instagram.com/petits_sous_gros_sous?igsh=Y2h6NnZtb2Rkc2E4 Site webhttps://paef.live/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alors que Bruno Le Maire a annoncé que la France devrait faire 20 milliards d'économies en plus de celles déjà prévues, Emmanuel Macron enjoint ses ministres de ne pas adopter une posture dramatique face à la situation. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce mardi, le Parlement européen a voté le nouveau cadre budgétaire censé permettre de redresser les finances publiques sans pour autant empêcher les investissements. Quoi qu'il en soit, pour la Belgique, l'effort d'assainissement sera de nouveau conséquent, et bien plus qu'il y a 25 ans. Alors concrètement, quelles conséquences auront ces nouvelles règles budgétaires sur le pays, sur ses dépenses publiques, ses investissements et sur ses citoyens ?Dominique Berns, journaliste au pôle Economie, répond avec nous à ces questions et va même un peu plus loin.L'IA et la mobilité, l'IA et l'enseignement, l'IA et l'Europe : ces deux lettres sont à la mode dans les podcasts du Soir en ce moment. Mais qu'en est-il de l'impact de l'IA sur notre propre milieu, la presse. L'intelligence artificielle va-t-elle remplacer le journaliste ou sera-t-elle un outil de prédilection pour booster les médias ? Et qu'en est-il des droits d'auteur dans tout ça ? Pour répondre à ces questions, Chloé Baudru reçoit Philippe Laloux, journaliste au pôle économie.« À propos », c'est notre sélection de l'actualité, du lundi au vendredi dès 5 heures sur Le Soir et votre plateforme de podcasts préférée. Retrouvez tous les podcasts du journal « Le Soir » sur https://podcasts.lesoir.be
Ce mardi, le Parlement européen a voté le nouveau cadre budgétaire censé permettre de redresser les finances publiques sans pour autant empêcher les investissements. Quoi qu'il en soit, pour la Belgique, l'effort d'assainissement sera de nouveau conséquent, et bien plus qu'il y a 25 ans. Alors concrètement, quelles conséquences auront ces nouvelles règles budgétaires sur le pays, sur ses dépenses publiques, ses investissements et sur ses citoyens ? Dominique Berns, journaliste au pôle Economie, répond avec nous à ces questions et va même un peu plus loin.
La chronique d'Annie Trudel.
La chronique Écono-Pierre avec Pierre Couture.
durée : 00:09:26 - Débat Convention citoyenne - Le ministère de la Culture a annoncé l'ampleur des coupes budgétaires : 204 millions d'euros. Des économies qui viseront les grands établissements culturels comme l'Opéra de Paris ou la Comédie française. D'où le débat que lance Charline : faut-il envisager de sacraliser le budget de la culture ?
Ce jeudi 11 avril, sur Europe 1, Nicolas Bouzou s'intéresse à l'État obligé de revoir sa trajectoire budgétaire.
Ce jeudi 11 avril, sur Europe 1, Nicolas Bouzou s'intéresse à l'État obligé de revoir sa trajectoire budgétaire.
Ecoutez Lenglet-Co du 10 avril 2024 avec François Lenglet.
Ecoutez Lenglet-Co du 27 mars 2024 avec François Lenglet.
Ecoutez Lenglet-Co du 27 mars 2024 avec Martial You.
Dérapage budgétaire : vive la rigueur ! Ce mercredi 27 mars 2024, Alain Duhamel, éditorialiste à BFMTV, a débattu avec Natacha Polony, directrice de la rédaction de Marianne, dans l'émission BFM Story présentée par Olivier Truchot et Alain Marschall sur BFMTV.
Dérapage budgétaire : vive la rigueur ! Ce mercredi 27 mars 2024, Alain Duhamel, éditorialiste à BFMTV, a débattu avec Natacha Polony, directrice de la rédaction de Marianne, dans l'émission BFM Story présentée par Olivier Truchot et Alain Marschall sur BFMTV.
Dans cet épisode, Antoine Dalmas vous explique les 5 erreurs qu'il retrouvent le plus souvent sur des comptes Facebook Ads externes à l'agence J7 Media.Grâce à cet épisode : Évitez les Pièges Communs : Découvrez les erreurs fréquentes qui peuvent saboter vos campagnes et apprenez comment les éviter, augmentant ainsi l'efficacité et la rentabilité de vos efforts publicitaires.Optimisez Votre Suivi de Conversion : Comprenez l'importance de l'API de conversion pour un suivi précis et comment son absence peut fausser vos données et affecter l'optimisation de vos campagnes.Améliorez votre Stratégie Budgétaire : Antoine illustre l'impact d'un budget bien ajusté sur le potentiel de scaling de vos campagnes, un apprentissage crucial pour ceux qui cherchent à augmenter leur investissement publicitaire sans dilapider leurs ressources.Deux apprentissages clés mentionnés dans l'épisode :L'utilisation efficace de l'API de conversion pour une meilleure attribution et optimisation des campagnes.La gestion stratégique du budget en alignement avec votre coût par acquisition pour éviter les phases d'apprentissage limité et maximiser le ROI.Bonne écoute !Nous sommes une agence spécialisée en Facebook Ads et on aide les media buyers à devenir (puis rester) les meilleurs sur cette plateforme, grâce à la J7 Académie.NOTE :J7 MediaSocial ScalingJ7 AcadémieComment scaler sur Facebook Ads ? Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ecoutez Lenglet-Co du 22 mars 2024 avec François Lenglet.
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes de Olivier Delacroix. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger
Ecoutez Lenglet-Co du 07 mars 2024 avec François Lenglet.
Ce jeudi 7 mars, les urgences économiques, notamment de l'indexation des retraites, et de l'égalité femme-homme suivant le baromètre d'Odoxa ont été abordées par Isabelle Job-Bazille, directrice des études économiques de Crédit Agricole, Jean-Hervé Lorenzi, fondateur du Cercles des Économistes, et Gaël Sliman, président d'Odoxa, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ecoutez Lenglet-Co du 07 mars 2024 avec François Lenglet.
durée : 00:02:48 - Le brief politique - Bruno Le Maire et le ministre délégué au Budget Thomas Cazenave seront auditionnés mercredi par la Commission des finances de l'Assemblée. La séance s'annonce mouvementée.
La semaine dernière, Bruno Le Maire annonçait les 10 milliards d'euros d'économies sur le budget 2024 en promettant que “c'est l'État qui va faire un effort”. Nous avions vu juste la semaine dernière. Le décret “d'annulation des crédits” a été publié jeudi dernier : des milliers d'emplois sont visés par ces économies. Des missions et services publics subissent également d'énormes coupes budgétaires. Tous les ministères participent, avait promis le Ministre. Mais les domaines écologie, travail et enseignement sont particulièrement touchés. Nous sommes bien loin des économies sur des meubles, achats ou énergie comme avançait Bruno Le Maire. Thomas Porcher et Lisa Lap expliquent que les français vont subir, et même payer. Sans parler de la dette écologique qui va s'accentuer. Ces politiques court-termistes coûteront plus chères, à long terme, qu'elles ne rapportent, explique l'économiste. Ces restrictions budgétaires ne concernent pas que la France mais aussi l'Union Européenne. Thomas Porcher décrypte la politique austéritaire européenne, qui nous emmène droit dans le mur, selon lui. Tendance sur laquelle l'économiste avait alerté il y a déjà plusieurs années. Les JO et les transports parisiens. Cela a pu devenir un running gag, mais aussi un énorme enjeu politique et de sécurité à 5 mois des jeux. Depuis le Covid, le réseau s'est fortement délabré pendant que les tarifs, eux, augmentent. Le ras-le-bol est général. En décembre, Île-de-France Mobilités, déplorait « une nouvelle dégradation du service des transports inquiétante ». Thomas Porcher et Lisa Lap analysent tout cela, c'est l'Instant Porcher !
durée : 00:58:58 - Entendez-vous l'éco ? - par : Tiphaine de Rocquigny, Aliette Hovine - Après une discussion avec Axel Magnan sur la précarité des salariés dans l'agriculture, nous reviendrons sur l'annonce d'un plan d'économies de 10 milliards d'euros. - invités : Axel Magnan chercheur à l'Institut de recherches économiques et sociales (Ires); François Ecalle Président de l'association FIPECO; Isabelle This Saint-Jean Économiste, professeure à Sorbonne Paris Nord
Ce vendredi 23 février, les 10 milliards d'euros de coupes budgétaires annoncés par Bercy, l'avancée du CAC40 vers les 8 000 points, les solutions préconisées par le gouvernement pour remédier à la crise agricole, et "l'origine-score" ont été décryptés par Jean-Marc Daniel, professeur à l'ESCP, Dorothée Rouzet, cheffe économiste de la direction générale du Trésor, et Erwann Tison, directeur des études de l'Institut Sapiens dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
durée : 00:04:30 - Le Billet politique - par : Jean Leymarie - La situation budgétaire se dégrade rapidement. Le gouvernement va devoir prendre des décisions économiques.... et politiques.
Ecoutez Lenglet-Co du 09 février 2024 avec François Lenglet.
Les membres de la zone euro sont enfin tombés d'accord pour assouplir la discipline budgétaire dénoncée par les pays du sud de l'Europe. Il y a urgence : les règles du pacte de stabilité, suspendues depuis le Covid, s'appliqueront à nouveau à partir du 1ᵉʳ janvier. Les grands principes fixés à l'aube des années 2000 resteront les mêmes : un déficit limité à 3% du PIB et une dette maximale à 60%. Ceux qui sortent des clous sont menacés en théorie de sanctions financières. En pratique, jamais aucune sanction n'a été prononcée. Car ce pacte imposé par l'Allemagne s'est révélé bien trop rigide pour pouvoir être sérieusement mis en œuvre sans casser la croissance. Il fallait donc l'aménager pour rendre son application plus réaliste.Avec la réforme annoncée hier, les efforts consentis par les mauvais élèves seront mieux pris en compte par la CommissionDorénavant, ils seront jugés sur l'évolution de la dépense publique, et non sur le critère du déficit. Un curseur plus juste, car le déficit peut se creuser en cas de crise sans que les dépenses n'augmentent. Si les pays en surendettement font des réformes structurelles, ils auront jusqu'à 7 ans pour revenir dans la limite des 3% de déficit. La Commission sera également plus compréhensive si ces États ont réalisé de gros investissements. Leurs montants seront soustraits du déficit. Avec le réchauffement climatique d'un côté et la guerre russe aux portes de l'Europe, des investissements urgents ne peuvent plus attendre, y compris dans les pays aux finances fragiles. La réforme qui s'appliquera à partir de 2025 prend donc en considération cette nouvelle donne géopolitique.Elle tient compte aussi de l'envolée du marché de la detteAvec la hausse des taux d'intérêts, le service de la dette pèse de plus en plus lourd. Il pourra lui aussi être exclu du calcul du déficit pour la période 2025-2027. La France a bataillé ferme pour obtenir cette dérogation. Car son déficit va sans doute dépasser les 3 % pendant cette période, et elle espère donc échapper à une procédure pour déficit excessif grâce à cet allégement temporaire. Toutes ces options sont soigneusement encadrées par des garde-fous chiffrés avec des ratios très précis âprement négociés par les champions de l'orthodoxie budgétaire, les Allemands. Le pacte est certes plus souple, mais beaucoup plus complexe et donc difficile à appliquer et à expliquer à l'opinion publique.Avec le retour du pacte à partir du 1ᵉʳ janvier prochain, plusieurs pays pourraient être placés sous surveillance, estime la CommissionL'endettement global de la zone euro recule, mais il est encore très élevé, en moyenne de 90 % du PIB. Près de la moitié des 20 membres de la zone euro dépasse le seuil des 60 % d'endettement, dont l'Allemagne. Les plus à risque ont une dette publique équivalente ou supérieure à 100 % de leur PIB. Il s'agit de la Grèce, l'Italie, l'Espagne, le Portugal, la Belgique et la France.
Ce lundi 27 novembre, la privatisation de quelques secteurs (santé, éducation, ... ) comme solution pour le redressement budgétaire et la crainte que l'IA ait des effets socioéconomiques sur le long terme ont été abordées par Philippe Aghion, professeur au Collège de France et membre du Cercle des économistes, Augustin Landier, professeur à HEC, et Robin Rivaton, directeur général de Stonal et fondateur de Real Estech, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ecoutez Lenglet-Co du 14 novembre 2023 avec François Lenglet.
Ecoutez Lenglet-Co du 09 novembre 2023 avec François Lenglet.
Connaissez-vous notre site ? www.lenouvelespritpublic.fr Une émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 6 octobre 2023. Avec cette semaine : Jean-Louis Bourlanges, président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale. Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors. Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova. Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique Blick. L'IMPOSSIBLE SÉRIEUX BUDGÉTAIRE Le 27 septembre, le gouvernement a présenté à l'Assemblée nationale le projet de loi de finances pour 2024, dont l'adoption permettra à la France de toucher les subsides du plan de relance européen lancé juste après le pic de la pandémie à l'été 2020. Le déficit devrait être réduit de 4,9 à 4,4 %, et la dette dégonfler de 111,8 à 109,7 %... si une croissance de 1,4 % est bien au rendez-vous. Une trajectoire « peu ambitieuse », basée sur des hypothèses de croissance « optimistes », « alors que le consensus des économistes l'estime à 0,8 % et la Banque de France à 0,9 % » a estimé le président du Haut conseil des finances publiques, Pierre Moscovici. Avant le marathon budgétaire de l'automne, l'exécutif a promis de fermer le robinet des aides. Le budget 2024 devait être celui du retour au sérieux budgétaire. Avec des économies de 16 milliards d'euros, le gouvernement annonce une diminution des dépenses de l'État de 5 milliards. Plutôt que des coupes dans les dépenses, la majorité des économies du budget 2024 (14,4 milliards sur 16) proviendra de la non-reconduction des dispositifs de crise : bouclier tarifaire sur le gaz, supprimé au mois de juin, réduction du bouclier sur l'électricité, fin des dispositifs d'aides aux entreprises énergivores. Le reste est obtenu grâce à une diminution de 800 millions des politiques de l'emploi (coûts des contrats des apprentis, emplois aidés…) et à la réforme de l'assurance-chômage, (700 millions). Malgré les promesses de sobriété budgétaire, les dépenses publiques hors mesures exceptionnelles de soutien vont augmenter de 2,2 % l'an prochain. Le retour au sérieux budgétaire maintes fois promis, a été maintes fois reporté. La persistance de l'inflation et la remontée des prix du carburant sont venues percuter les ambitions de Bercy. L'annonce du président de la République de mettre en place une aide de 100 euros pour les automobilistes complique l'équation budgétaire de l'exécutif. Les 25 milliards consacrés à l'indexation des prestations sociales sur la hausse des prix sont désormais mises en avant par le ministre de l'Economie et des Finances. Pour redresser les services publics, Bercy a concédé une hausse de plus de 8.000 fonctionnaires, après une augmentation de 10.790 en 2023. Le budget prévoit également de nombreuses hausses de crédits pour servir les priorités d'Emmanuel Macron : 7 milliards pour la transition climatique, 3,1 milliards pour l'Éducation nationale, et 5 milliards aux ministères régaliens (Justice, Défense, Intérieur). Il faut également amortir le choc de la hausse des taux d'intérêt, avec une charge de la dette grimpant de 10 milliards à 48 milliards. C'est désormais à partir de 2025 que l'exécutif compte s'attaquer aux dépenses « pérennes ». Bruno Le Maire présentera mi-octobre devant l'Assemblée nationale le 49ème budget en déficit du pays. *** ELECTIONS EN SLOVAQUIE ET EXTRÊME DROITE EUROPÉENNE En Slovaquie, l'ancien communiste Robert Fico est arrivé en tête des législatives du 30 septembre. Son parti, le Smer a réuni 23,3 % des suffrages sur une ligne prorusse et eurocritique. Pour former une majorité, il va devoir obtenir le soutien des 27 élus du parti social-démocrate HLAS, arrivé troisième avec 14,7 % des voix, et des dix du parti d'extrême droite prorusse SNS, qui a obtenu 5,6 %. Ces législatives ponctuent un cycle de crises gouvernementales depuis 2020 où trois gouvernements se sont succédé. Ce pays d'Europe centrale de 5,5 millions d'habitants, devenu indépendant en 1993, à la suite d'une séparation pacifique avec la République tchèque, est rongé par les affaires politiques et judiciaires, la corruption, d'importantes inégalités sociales, des services publics exsangues, le chômage, l'inflation ou encore l'exode des jeunes. Déjà deux fois premier ministre (en 2006-2010 puis en 2012-2018) Robert Fico a profité du chaos politique pour revenir sur le devant de la scène au terme d'une campagne fortement influencée par la désinformation en ligne. National-populiste venu de la gauche, Robert Fico, 59 ans, mêle rhétorique anti-Otan, anti-migrants et anti-LGBTQ. La victoire de Fico pourrait signifier la fin de la politique pro-occidentale d'un pays membre de la zone euro et frontalier d'une Ukraine avec laquelle Bratislava s'est toujours montrée très solidaire depuis le début de la guerre. La Slovaquie fait partie des pays qui ont le plus aidé l'Ukraine. Robert Fico a déclaré vouloir arrêter cette aide et s'opposer aux sanctions contre Moscou. Jacques Rupnik, professeur émérite au Ceri-Sciences Po observe qu'« au début du conflit, il y a dix-neuf mois, les pays de l'Est étaient, à l'exception de la Hongrie, les plus mobilisés face au danger russe alors que ceux de l'Ouest semblaient un peu hésitants […] La situation s'est désormais renversée : l'Ouest tient bon, mais des failles apparaissent à l'Est dans chacun des pays, même si les raisons d'un pays l'autre sont différentes ». Tandis qu'en Hongrie, Viktor Orbán, qui a salué « la victoire incontestable » d'un « patriote avec lequel il est toujours bon de travailler », affiche toujours plus ouvertement ses sympathies pro-Poutine, en Bulgarie, une grande partie de l'opinion continue à pencher du côté du grand frère russe, alors qu'en Pologne, une certaine lassitude face à la guerre d'Ukraine monte aussi. Partout dans cette partie de l'Europe, les leaders populistes au pouvoir et ceux qui cherchent à le conquérir usent d'un même narratif expliquant qu'il faut au plus vite arrêter la guerre et que livrer des armes à Kyiv ne ferait que prolonger inutilement le bain de sang. « La guerre pour la Slovaquie est toujours venue de l'Ouest et la paix de l'Est » a déclaré Robert Fico durant sa campagne. Ce narratif plaît aux Slovaques qui, en majorité, estiment que la responsabilité de la guerre revient à l'Occident ou à l'Ukraine. Ils sont à peine 40% à accuser la Russie. Le soutien à l'Otan, en outre, s'érode, passant en un an de 72 % à 58 %. A peine 31 % des Slovaques gardent une opinion favorable à Zelensky.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr