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Le nouveau budget américain, adopté le jeudi 3 juillet 2025, prévoit de suspendre pour un an tous les fonds fédéraux attribués au planning familial et à sa principale organisation, Planned Parenthood. Un choix idéologique nataliste, symbolique de cette administration. Planned Parenthood est une association et la principale fédération en faveur du planning familial aux États-Unis. Elle facilite ainsi l'essentiel des procédures d'avortement et se trouve donc dans le viseur de l'administration de Donald Trump, ouvertement hostile à l'avortement. L'une des dispositions de la nouvelle loi budgétaire américaine, votée par les parlementaires le 3 juillet, est de suspendre son financement pendant un an. Cela est une menace existentielle pour ce service essentiel aux femmes : « 40% des fonds de Planned Parenthood viennent de l'État fédéral, rappelle Ludivine Gili, directrice de l'Observatoire de l'Amérique du Nord à la Fondation Jean-Jaurès, auteure de « La révolution conservatrice aux États-Unis. De l'avortement au droit de vote, la démocratie pervertie » (éditions de L'Aube). Si ces fonds sont suspendus, cela provoquera beaucoup de dégâts en termes d'accès à l'avortement ». Planned Parenthood a attaqué l'administration en justice ce lundi 7 juillet, considérant que le retrait de ce financement était « inconstitutionnel » et la Cour a suspendu cette provision en attendant une décision sur le fond. Malgré cela, pour Ludivine Gili, le combat sera difficile face à une justice de moins en moins favorable dans ce domaine, surtout depuis le retrait du droit fédéral à l'avortement par la Cour suprême, en juin 2022. Après cette décision, les républicains affirmaient que c'était maintenant à chaque Etat fédéré de décider librement de leur politique. « Mais depuis, l'administration fédérale essaie de bloquer ce droit par le biais financier, même dans les États qui ont inscrit le droit à l'avortement dans leur constitution », explique la chercheuse. « La lutte contre l'avortement est idéologique, conclut Ludivine Gili. Il était inscrit dans le projet 2025 de la Heritage Foundation, qui présente le rôle de la femme comme concentré sur la famille ». Dans cette vision nataliste, « la femme ne doit pas faire carrière, car sinon elle aura moins d'enfants ». Menace de nouveaux droits de douane contre le Canada Le président américain a prévenu qu'il imposerait d'importants tarifs, le 1er août 2025, à tous les pays qui ne négocient pas avec lui. Et le dernier visé est le Canada, menacé de 35% de droits supplémentaires. Le journal québécois La Presse publie l'intégralité de la lettre de Donald Trump envoyée au Premier ministre Mark Carney le 10 juillet. L'Américain lui reproche d'avoir répliqué à la première salve de tarifs et relevé les droits de douane canadiens sur les motos, les vêtements ou l'alcool venant des États-Unis. Un juriste, Mark Warner, constate l'échec des récentes concessions canadiennes : « la décision du gouvernement Carney d'abandonner la taxe sur les services numériques au Canada à la fin juin ne semble pas avoir rassasié l'administration Trump », dit il. La menace de Trump est inquiétante, car 76% des exportations canadiennes partent aux États-Unis, mais ce juriste reste optimiste : « Il y a encore du temps pour négocier, c'est une manière pour l'administration Trump de dire : donnez-nous quelque chose en plus ». Le moment est délicat, surtout que l'attaque est combinée. Au 1er août, Washington devrait en effet imposer en plus des taxes de 50% sur le cuivre mondial. Or, rappelle le journal Le Devoir, le Canada est le 12è producteur mondial de ce minerai et le Québec en raffine beaucoup, avec plus de 3 000 emplois à la clé dans la filière. Compromis ou pas, les Canadiens, eux, boudent déjà leurs voisins : La Presse rapporte ainsi que le nombre de touristes canadiens se rendant aux États-Unis en voiture a chuté de 33% en juin, 6è mois consécutif de baisse. « Les Canadiens sont fâchés, et ils font une croix sur les États-Unis », conclut un professeur de marketing. En Argentine, défaite majeure pour le président Javier Milei Les sénateurs ont voté jeudi 10 juillet, à l'unanimité, une hausse de 7.2% des retraites. Cette proposition, déjà approuvée par les députés, est combattue bec et ongles par le président argentin, qui veut sabrer dans toutes les dépenses publiques «C'est la raclée», titre le journal argentin de gauche Pagina 12, qui raconte l'épique combat parlementaire: Javier Milei a menacé les sénateurs, parlé de « coup d'état institutionnel », le système électronique de la Chambre est tombé bizarrement en panne avant le vote, forçant à un scrutin à main levée, mais la loi est passée malgré tout. Cela fait des semaines que les retraités protestent, car les pensions minimales sont en dessous du niveau de pauvreté, mais le président ne veut rien savoir: et il assure maintenant qu'il opposera son veto à cette loi, pour la 2è fois. Dans le quotidien La Nacion, plus conservateur, on s'inquiète d'un gouvernement aux bonnes intentions financières, mais qui s'isole car il traite mal ses partenaires. le croquis du journal est parlant : il montre un Javier Milei enragé, monté sur le Sénat tel un King Kong, qui essaie en vain d'abattre des avions ennemis. Épique. En Haïti, « le chaos érigé en business » Le quotidien Alterpresse revient sur l'annonce de l'ONU, qui a déclaré que les gangs avaient un «contrôle quasi total» de la capitale. L'économiste et politique Camille Chalmers réfute ce constat dans une interview. Pour lui, cette déclaration « relève d'un alarmisme calculé, qui vise à préparer le terrain à une nouvelle intervention militaire internationale ». Il n'empêche, le chaos s'installe, et il est même devenu «un business», affirme Michel Gros dans une tribune d'Alterpresse. «Pendant des années, la bureaucratie onusienne, à travers ses missions et ses projets dits humanitaires, a prospéré sur le dos de la crise haïtienne, soutient cet analyste. et de conclure : Haïti doit reconquérir sa souveraineté pour empêcher que ses malheurs ne deviennent un fonds de commerce.»
Il a vécu son baptême du feu en présidant son premier Conseil européen à Bruxelles jeudi 19 décembre : António Costa veut secouer les habitudes prises ces dernières années à Bruxelles… La « méthode Costa », faite de compromis et de relationnel, lui a plutôt réussi au Portugal, mais peut-elle fonctionner à Bruxelles dans un contexte de fortes tensions économiques et politiques ? [Rediffusion] Lunettes rondes, cheveux argentés et sourire communicatif : António Costa est visiblement satisfait de « son » premier Conseil européen en tant que président de l'institution. Il faut dire que l'ancien Premier ministre portugais a déjà réalisé un petit exploit en concluant en une seule journée ce conclave des dirigeants européens… une « méthode Costa » déjà saluée par ses interlocuteurs de l'Union européenne. « Je pense que nous avons réussi à concentrer le travail des dirigeants sur la discussion stratégique et politique, en confiant la préparation du sommet à nos ambassadeurs », s'est donc félicité l'ancien Premier ministre à l'issue de ce premier Conseil européen, tandis qu'aux étages du bâtiment Justus Lipsius, les dirigeants européens ne cachaient pas leur soulagement de pouvoir rentrer dans leurs pays respectifs aussi rapidement. « Il a voulu ramasser le Conseil européen sur une seule journée alors que jusqu'à présent, c'était sur deux jours », salue Pascale Joannin, directrice générale de l'Institut Robert Schuman. « C'est vraiment la première mesure tangible que l'on voit de la "méthode Costa" – l'idée étant de permettre aux 27 de se voir, d'échanger, mais de le faire plus rapidement, même si l'agenda est chargé. » Origines indiennes Un premier point positif donc pour ce nouveau président du Conseil européen, nommé le 1ᵉʳ décembre dernier pour un premier mandat de deux ans et demi – renouvelable une seule fois. Aujourd'hui âgé de 63 ans, António Costa a grandi au Portugal dans une famille très politisée et engagée contre la dictature de Salazar, une histoire familiale qui l'a beaucoup marqué, de même que les origines indiennes de son père. « Orlando da Costa était originaire d'une famille de Goa, un comptoir indien resté portugais jusque dans les années 1960, et il a ensuite vécu un temps au Mozambique, il a donc eu une histoire familiale liée à la colonisation portugaise », raconte Victor Pereira, chercheur à l'Institut d'histoire contemporaine de l'Université nouvelle de Lisbonne. « Autre élément important dans cette histoire familiale : son père était écrivain et il militait au Parti communiste portugais, qui était le principal parti d'opposition pendant la dictature de Salazar. Sa mère, Maria Antonia Palla, était une journaliste engagée à gauche. Elle a fait notamment des reportages sur les avortements clandestins, ce qui lui a valu des mésaventures avec la justice, mais aussi une réputation de journaliste courageuse et engagée. » Une première grève à 14 ans C'est donc très jeune qu'António Costa s'engage en politique, il a d'ailleurs organisé sa première grève à l'âge de 14 ans pour dénoncer l'éviction d'une professeure dans son collège. Passionné de football – il soutient le Benfica – et de cinéma, il devient avocat, milite au Parti socialiste et entre pour la première fois au gouvernement en 1995 à l'âge de 34 ans, sous la houlette d'António Guterres, l'actuel secrétaire général de l'ONU. Il est maire de Lisbonne pendant huit ans, un mandat qu'il met à profit pour revaloriser et dynamiser la capitale portugaise. Puis, en 2015, il devient Premier ministre en formant une alliance à gauche qui est alors totalement inédite au Portugal. Cet amateur de puzzle à 1 000 pièces déploie alors des talents de négociateur hors pair afin d'y parvenir. « Il va réussir à gouverner durant quatre ans avec une formation de gauche radicale et avec les communistes, dont les relations avec les socialistes portugais ont toujours été très tendues, décrypte Victor Pereira. Et ce alors que c'est la droite qui était arrivée en tête aux élections ! En outre, il parvient à rompre avec la politique d'austérité de ses prédécesseurs tout en améliorant la situation financière du pays. » Un « miracle portugais » qui finit mal pour António Costa : le dirigeant portugais est contraint de démissionner, fin 2023, lorsque son nom apparaît dans une affaire de corruption. L'enquête n'aboutit pas, mais l'ancien avocat doit renoncer à ses ambitions nationales et finit par rebondir au niveau européen, en profitant du départ de Charles Michel pour diriger le Conseil européen. À lire aussiDémission du Premier ministre portugais emporté par un scandale de corruption La « méthode Costa » À Bruxelles, l'ancien Premier ministre n'arrive pas en terrain inconnu. Il a été député européen, et, surtout, il a participé durant huit ans aux Conseils européens dont il connaît toutes les ficelles. Il bénéficie d'une réputation flatteuse : on le sait adepte du compromis — qualité indispensable à Bruxelles. Il maîtrise plusieurs langues, dont le français et l'anglais. Et il a un très bon sens des relations humaines, ce qui pourra lui être utile pour « pacifier » les relations avec Ursula von der Leyen, qui étaient notoirement exécrables avec Charles Michel. « Il souhaite que cette rivalité entre institutions n'existe plus, et qu'il n'y ait plus ces chicaneries et ces mauvaises manières qui ont pu exister auparavant », observe Pascale Joannin, de l'Institut Robert Schuman. « Même si l'on n'est pas toujours d'accord et même si les objectifs ne sont pas toujours les mêmes, il veut éviter que s'installe une rivalité avec la présidente de la Commission comme cela a été le cas durant le mandat de Charles Michel. » La « méthode Costa », ce sera également plus d'entretiens bilatéraux avec les dirigeants européens – plus de relationnel pour que l'Europe fonctionne mieux… Et pour cela, António Costa veut organiser des « retraites informelles » en plus des traditionnels sommets à Bruxelles. Avec moins de journalistes, et sans déclaration finale. La première de ces « retraites » sera consacrée aux questions de Défense, et devrait avoir lieu en février prochain à Bruxelles. À lire aussiUkraine: l'UE réaffirme son soutien à Kiev pour une paix juste, «pas à n'importe quel prix»
Yann Jehanno, président du réseau immobilier Laforêt, évoque un rebond confirmé du marché immobilier ancien : +17 % de compromis en un an, porté par la baisse des prix, la stabilisation des taux et le retour des acheteurs. L'Île-de-France, longtemps bloquée, affiche même une reprise spectaculaire avec +19 % de transactions. Mais la reprise reste fragile. Les primo-accédants peinent toujours à boucler leur financement, les investisseurs se retirent face à l'instabilité fiscale. Les secondo-accédants, quant à eux, deviennent ultra exigeants, fuyant désormais les biens avec travaux. Face à ces tensions, Yann Jehanno plaide pour un cadre fiscal clair et pérenne pour les bailleurs. Il alerte aussi sur la dégradation du marché locatif et le besoin urgent d'une politique plus lisible. Côté réseau, Laforêt affiche sa solidité avec 40 nouveaux franchisés depuis janvier, le développement du métier de syndic de copropriété, et le lancement de La Forêt Collection, une déclinaison premium dédiée aux biens familiaux et atypiques. SITE INTERNET : https://www.laforet.com/
Yann Jehanno, président du réseau immobilier Laforêt, évoque un rebond confirmé du marché immobilier ancien : +17 % de compromis en un an, porté par la baisse des prix, la stabilisation des taux et le retour des acheteurs. L'Île-de-France, longtemps bloquée, affiche même une reprise spectaculaire avec +19 % de transactions. Mais la reprise reste fragile. Les primo-accédants peinent toujours à boucler leur financement, les investisseurs se retirent face à l'instabilité fiscale. Les secondo-accédants, quant à eux, deviennent ultra exigeants, fuyant désormais les biens avec travaux. Face à ces tensions, Yann Jehanno plaide pour un cadre fiscal clair et pérenne pour les bailleurs. Il alerte aussi sur la dégradation du marché locatif et le besoin urgent d'une politique plus lisible. Côté réseau, Laforêt affiche sa solidité avec 40 nouveaux franchisés depuis janvier, le développement du métier de syndic de copropriété, et le lancement de La Forêt Collection, une déclinaison premium dédiée aux biens familiaux et atypiques. SITE INTERNET : https://www.laforet.com/
durée : 00:38:49 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins d'été) - par : Astrid de Villaines, Sarah Masson, Stéphanie Villeneuve - Un an après les émeutes, Emmanuel Macron convoque "tous les acteurs du territoire" à un "Sommet pour l'avenir de la Nouvelle-Calédonie". Il s'est ouvert le 2 juillet pour une durée indéterminée. Objectif : redéfinir le statut politique et la gouvernance de l'archipel. Un compromis est-il possible ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Isabelle Leblic Anthropologue, directrice de recherche émérite au CNRS; Stéphane Robert Chef du service politique de la rédaction de France Culture; Benjamin Morel Constitutionnaliste français, docteur en sciences politiques et maître de conférences
Nog precies 1 week en dan is het zover: dan verloopt de deadline voor handelsdeals met de VS en eindigt de tarievenpauze van president Trump. Op de valreep probeert Trump er nog zoveel mogelijk deals doorheen te drukken. Zoals vandaag: een deal met Vietnam. Een akkoord met Europa zou ook niet ver weg zijn, al lijkt het er nog niet op dat dat een heel erg uitgewerkt akkoord gaat worden. Verlenging van die deadline zit er in ieder geval écht niet in, belooft Trump. We hebben 'm vaker horen dreigen. Of Trump het nu wél meent, en wat er nog bereikt kan worden in dit ene weekje, bespreken we deze aflevering. We grasduinen ook door Trumps Big Beautiful Bill. De senaat is akkoord, maar heeft wel het nodige aangepast aan de Amerikaanse uitgavenwet, ten gunste van een aantal sectoren. We vertellen je welke, en ook: welke niet. We duiken in de verkoopcijfers van Tesla: die waren opnieuw dramatisch, maar minder dramatisch dan verwacht, dus de koers stijgt. En je hoort wat dé nieuwe beurshotspot van de wereld is. New York wás altijd de populairste plek voor nieuwe beursnoteringen. Maar die tijd lijkt voorbij. Wie de opvolger wordt van de big apple, vertellen we je ook. See omnystudio.com/listener for privacy information.
Dans cet épisode, Jeane reçoit Pauline Sabatier, fondatrice de Maline Bodywear, une marque de lingerie, homewear et de maillots de bain éthique, inclusive et engagée. Depuis 2020, Pauline façonne une mode responsable qui concilie confort, esthétisme et engagements écologiques.Elle revient sur les débuts de Maline, nés d'un coup de cœur pour une fibre recyclée en Australie ainsi que sur son parcours d'entrepreneuse passionnée. Elle partage les coulisses de la création de ses produits, les défis techniques de l'inclusivité, les remises en question, les pivots nécessaires pour faire vivre une marque indépendante et les joies des co-créations avec des créatrices de contenu engagées.Avec beaucoup de sincérité, Pauline nous parle aussi de son lien à l'intuition, de l'importance des matières mais aussi de son attachement à ses ateliers partenaires. Pauline vous invite également à découvrir l'espace pensé par Maline Bodywear pour toutes ses clientes afin qu'elles puissent participer à des ateliers interactifs animés par des expertes dans leur domaine, 2 fois par mois. L'objectif est d'apporter un aspect communautaire autour du bien être, de connecter les femmes entre elles : https://www.patreon.com/MalineBodywear Bonne écoute !Ressources complémentaires : Maline Bodywear : https://maline-bodywear.fr/Instagram : https://www.instagram.com/maline_bodywearSoutenir Basilic :instagram.com/basilicpodcast/ basilicpodcast.comProduction : Jeane ClesseMusique : @KleinGraphisme : Mahaut Clément & Coralie ChauvinMix : Jeane ClesseSi cet épisode vous a plu, n'hésitez pas à laisser plein d'étoiles et un commentaire sur la plateforme Apple Podcasts et surtout à vous abonner grâce à votre application de podcasts préférée ! Cela m'aide énormément à faire découvrir Basilic à de nouveaux auditeurs et de nouvelles auditrices.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les soirs, à 19 heures, retrouvez les dernières informations de la rédaction.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:24:19 - L'invité de 8h20 - Mathilde Panot, députée du Val-de-Marne et présidente du groupe La France insoumise à l'Assemblée nationale, était l'invitée de France Inter ce vendredi. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:24:49 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Benoît Bazin, PDG du groupe Saint-Gobain, et Laurent Berger, ancien Secrétaire général de la CFDT, étaient les invités de France Inter ce mercredi. Ils publient « Voies de passage » (L'Aube).
durée : 00:24:49 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Léa Salamé - Benoît Bazin, PDG du groupe Saint-Gobain, et Laurent Berger, ancien Secrétaire général de la CFDT, étaient les invités de France Inter ce mercredi. Ils publient « Voies de passage » (L'Aube). Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Les premiers ministres réunis à Saskatoon veulent renforcer l’union économique canadienne, mais à quel prix pour le Québec? Construction, professions, pesticides : les compromis soulèvent des inquiétudes. Antoine Robitaille et Benoît Dutrizac reviennent aussi sur la nomination controversée de Marc-André Blanchard à un poste stratégique, et sur la défection de Nadia Poirier de Québec solidaire vers le Parti québécois. La rencontre Robitaille-Dutrizac avec Antoine Robitaille. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne Youtube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
En dat is misschien een verrassing als je naar de huidige cijfers kijkt. Die blijven bizar goed. Beleggers hebben moeite om er negatieve punten in te vinden. Maar dat hoeven ze ook niet, want topman Jensen Huang licht ze er zelf even uit. Hij heeft wederom kritiek op het Witte Huis. Met hun exportrestricties levert de VS hem een min van 8 miljard dollar op zijn kwartaalrekening op. Maar hij lijkt nog steeds niet helemaal eerlijk. De impact van Trump kan nog veel groter zijn dan de topman nu beweert. Daarnaast hoor je ook wat je gemist hebt in de handelsoorlog de afgelopen dagen. Een dag niet opletten betekent namelijk meteen een hele hoop ontwikkelingen missen. Zoals de rechter die een streep door zo ongeveer alle importheffingen zet. En vervolgens ook weer de melding dat er een streep door die streep gaat zolang het hoger beroep loopt. Dan zijn er ook nog die gesprekken met China. Die verlopen niet stroef, maar staan zelfs 'een beetje vast', zegt Financiënminister Scott Bessent. Het is nodig dat de presidenten persoonlijk met elkaar gaan praten. Maar of ze dat ook echt gaan doen, dat blijft de vraag. En verder vertellen we je over het onderonsje tussen Donald Trump en Jerome Powell. Die zou niet heel vriendschappelijk zijn verlopen. Trump vindt dat Powell een fout maakt doordat hij de rente niet verlaagt. En Powell zou een poging hebben gedaan om z'n acties uit te leggen.See omnystudio.com/listener for privacy information.
En dat is misschien een verrassing als je naar de huidige cijfers kijkt. Die blijven bizar goed. Beleggers hebben moeite om er negatieve punten in te vinden. Maar dat hoeven ze ook niet, want topman Jensen Huang licht ze er zelf even uit. Hij heeft wederom kritiek op het Witte Huis. Met hun exportrestricties levert de VS hem een min van 8 miljard dollar op zijn kwartaalrekening op. Maar hij lijkt nog steeds niet helemaal eerlijk. De impact van Trump kan nog veel groter zijn dan de topman nu beweert. Daarnaast hoor je ook wat je gemist hebt in de handelsoorlog de afgelopen dagen. Een dag niet opletten betekent namelijk meteen een hele hoop ontwikkelingen missen. Zoals de rechter die een streep door zo ongeveer alle importheffingen zet. En vervolgens ook weer de melding dat er een streep door die streep gaat zolang het hoger beroep loopt. Dan zijn er ook nog die gesprekken met China. Die verlopen niet stroef, maar staan zelfs 'een beetje vast', zegt Financiënminister Scott Bessent. Het is nodig dat de presidenten persoonlijk met elkaar gaan praten. Maar of ze dat ook echt gaan doen, dat blijft de vraag. En verder vertellen we je over het onderonsje tussen Donald Trump en Jerome Powell. Die zou niet heel vriendschappelijk zijn verlopen. Trump vindt dat Powell een fout maakt doordat hij de rente niet verlaagt. En Powell zou een poging hebben gedaan om z'n acties uit te leggen.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Tous les matins à 7h10, Alex nous fait faire le tour du monde avec des histoires incroyables et vraies !
Tous les matins à 7h10, Alex nous fait faire le tour du monde avec des histoires incroyables et vraies !
La loi sur la fin de vie a été votée à l'Assemblée nationale. Il y a 2 textes : l'un sur les soins palliatifs, adopté à l'unanimité et l'autre qui crée un droit à "l'aide à mourir". Ce dernier texte garantit une "ultime liberté" selon Olivier Falorni, le député divers gauche rapporteur général du texte.
Negocieri de pace ruso-ucrainene sînt așteptate azi, 15 mai, la Istanbul. Discuțiile au fost propuse de președintele rus Vladimir Putin. Președintele ucrainean Volodimir Zelenski a declarat că merge personal la Istanbul să-l aștepte pe Vladimir Putin dar că nu se va întîlni cu alți oficiali ruși. Putin nu a venit în Turcia, a trimis o delegație de oficiali condusă de consilierul prezidențial Vladimir Medinsky. Zelenski a ajuns la Ankara şi s-a întîlnit cu omologul său turc, Recep Tayyip Erdogan. În același timp, miniștrii de externe ai țărilor NATO sînt și ei în Turcia, pentru discuții informale privind cheltuielile pentru apărare, în contextul în care Statele Unite cer ca țările alianţei să aloce cel puțin 5% din PIB pentru apărare. Despre evenimentele care au loc zilele acestea în Turcia am vorbit cu Claudiu Degeratu, expert în securitate și apărare.Claudiu Degeratu: „Ucraina nu face altceva decît să susţină abordarea americană, care împarte în două capitole acest proces de negociere: încetarea pentru 30 de zile a conflictului, fără nici un fel de alte precondiţii şi după aceea, a doua etapă de negociere a acordului de pace. În timp ce ruşii pun condiţii: nu încetează focul 30 de zile pînă nu stabilim care sînt condiţiile de pace pe care le vrem pentru etapa a doua. Rusia aplică o tehnică de precondiţii, în timp ce Statele Unite aplică o tehnică de feliere, de fragmentare, o tehnică a salamului, cum se spune în negocieri, întîi să gestionăm prima felie, după aceea mai tăiem o felie, fără să condiţionăm dacă vom consuma tot salamul sau nu. Sînt două abordări diferite.”Președintele turc Recep Tayyip Erdogan a declarat de mai multe ori că Turcia nu va recunoaște anexarea peninsulei Crimeea de către Rusia. Ce rol poate juca președintele turc în discuțiile de pace?Claudiu Degeratu: „Este un factor de echilibru pentru că [Turcia] este cea mai importantă ţară NATO din regiune care asigură inclusiv poliţia aeriană în zona Mării Negre, dacă se observă o anumită activitate. Şi, bineînţeles, partea de mediere diplomatică. A reuşit, a făcut-o inclusiv pe urgenţele de natură umanitară legate de exportul de cereale. S-a implicat şi a găsit o formulă, la început trilaterală, cu Ucraina şi Federaţia Rusă, după aceea a fost o formulă internaţională umanitară, asigurată împreună cu Naţiunile Unite pentru a deschide fluxul de cereale pentru zonele cu probleme umanitare de pe glob, deci accesul la grîne din Federaţia Rusă şi din Ucraina pentru anumite zone speciale, nu pentru comerţ liber. (...) Interesul pentru Crimeea este clar legat de această problemă identitară şi de apartenenţă a comunităţii tătare din Crimeea, care a avut de suferit în permanenţă în cadrul Uniunii Sovietice şi după aceea şi în Federaţia Rusă. Ultimele acţiuni violente împotriva comunităţii şi liderilor comunităţii tătare din Crimeea s-au desfăşurat în 2014, odată cu anexarea Crimeei de Federaţia Rusă, cînd au fost eliminaţi fizic o parte din liderii tătari şi o parte a trebuit să se refugieze din această zonă. Deci este un caz special Crimeea, aceasta este o linie roşie turcească.”Apasă PLAY pentru a asculta interviul integral! O emisiune de Adela Greceanu și Matei Martin Un produs Radio România Cultural
Bienvenue à la célébration en ligne de l’ÉPIS. ——- Abonnez vous et activez la cloche pour être prévenu à chacune de nos …
durée : 00:28:47 - Le Feuilleton - Quand on décide de tuer quelqu'un, il se passe auparavant bien des choses et l'affaire ne consiste pas uniquement à charger un fusil et à tirer. - réalisation : Blandine Masson
durée : 00:28:47 - Le Feuilleton - Quand on décide de tuer quelqu'un, il se passe auparavant bien des choses et l'affaire ne consiste pas uniquement à charger un fusil et à tirer. - réalisation : Blandine Masson
Soutenez-nous sur patreon.com/iweek !Voici l'épisode 229 d'iWeek (la semaine Apple), le podcast.iPhone 17 Air : 5 mm d'épaisseur à peine mais quels compromis ?Enregistré mercredi 123 avril 2025 à 18h30, enregistrement accessible en direct sur X, YouTube, Twitch et LinkedIn Live. Un épisode châpitré : profitez-en !Présentation : Benjamin Vincent avec la participation de Gilles Dounès, ex-rédacteur en chef de MacPlus et co-auteur de "iPod Backstage".Au sommaire de cet épisode 229 : Apple, à cause de la rigidité de l'App Store, et Meta risquaient, en Europe, une amende égale à 10% de leur chiffre d'affaire annuel mondial. Finalement, ce sera 500 millions d'euros d'amende en Europe pour Apple, 200 millions pour Meta, soit 2 jours de chiffre d'affaire dans le cas d'Apple. Alors les menaces de représailles de Donald Trump ont-elles pesé sur les montants infligés par l'Union européenne ?L'iPhone 17 Air, s'il se confirme, devrait être annoncé en septembre prochain mais des photos et des vidéos de mockups blanc, noir et bleu viennent de sortir sur les réseaux. Alors, qu'apprend-on de nouveau sur ce potentiel futur iPhone ultra fin ? Et quels compromis ont été nécessaires pour atteindre cette finesse inédite ?Retour sur la débacle Apple Intelligence et le coup de pied dans la fourmilière, à savoir la direction de John Giannandrea. L'équipe Siri, confiée jusqu'à maintenant à Robby Walker vient de changer de patron. Le nouveau boss s'appelle Mike Rockwell, déjà en charge du Vision Pro.Et puis, le bonus exclusif pour vous, chers soutiens Patreon. Cette semaine, on se concentre sur les ventes de Mac et d'iPhone 16e : les tout derniers chiffres viennent de sortir. Bonne écoute et merci de votre soutien et de votre fidélité.À mardi prochain, 29 avril 2025, pour l'épisode 230 dont l'enregistrement sera à suivre en direct à partir de 17h30 sur sur X, YouTube, Twitch et LinkedIn Live !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bonjour, nous sommes Pierre, Arnaud et... pas Pascal, qui prépare plein de belles choses (il ne faut surtout pas rater ses spectacles incroyables !) et qui a décidé de nous confier les clés du podcast "Au Cœur des Hommes".Avec Pierre, on a bien réfléchi... et on vous présente dans cet épisode notre nouveau compère "en-couple-tout-ça", qui n'est pas vraiment un inconnu.Ensemble, on reçoit Romain, venu nous parler des compromis. Avec lui, nous discutons de célibat choisi, de ne pas avoir de temps pour ses relations amoureuses, de sacrifier ses passions et ses projets à l'amour...« Au Coeur des Hommes », ce sont 3 amis (Pierre, Pascal et Arnaud) qui ont décidé de poser à des copains des questions concernant les rapports amoureux. Depuis le départ de Pascal pour de nouveaux projets incroyables, Thomas a rejoint Pierre et Arnaud pour continuer cette belle aventure.À chaque épisode, nous recevons un nouvel invité et nous abordons un nouveau thème avec bienveillance.Avertissement : Il se peut qu'on dise des choses qui ne plairont pas à tout le monde… mais on va les dire quand-même.Un jeudi sur deux, écoutez nous sur Apple Podcasts - Spotify - Deezer - Podcast addict - Google podcasts - YouTube (sur le compte de Compagnie Club) - AcastMerci de nous écouter, abonnez-vous, commentez-nous et partagez-nous !Vous pouvez nous rejoindre sur instagram : @aucoeurdeshommespodcastou par mail : aucoeurdeshommespodcast@gmail.com« Au Coeur des Hommes » est un podcast de Compagnie Club. Cet épisode a été enregistré dans les studios de rstlss.com.Questions subsidiaires : Et toi, qu'est-ce que tu es prêt(e) à lâcher, par amour ? Réponds sur instagram @aucoeurdeshommespodcastPour découvrir le podcast de notre invité @romain_venture :https://dzr.page.link/RYAgPQhVCm75mFhN7Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.Au Coeur des Hommes est un podcast Compagnie Club. Enregistré à Rstlss studio Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
El ex número 2 de Carlos Mazón, Emilio Argüeso, presentó un informe pericial a la justicia donde detalla los mensajes y llamadas que hizo a los miembros de la Generalitat alertando del inminente colapso de los barrancos a las 14:45. También se presentó a declarar en la justicia Salomé Prada, ante el reclamo y las acusaciones de los familiares de las víctimas. Por su parte, Mazón acusó en las Cortes Valencianas a Joan Baldovi, portavoz de Compromis, de ser una de las causas de la catástrofe provocada por la DANA por su "ecologismo radical". Por último intentamos responder a la pregunta que nos hacemos todos: ¿Por qué no dimite Mazón? Mas vídeos de Pandemia Digital: https://www.youtube.com/c/PandemiaDigital1 Si quieres comprar buen aceite de primera prensada, sin intermediarios y ayudar de esa forma a los agricultores con salarios justos tenemos un código de promoción para ti: https://12coop.com/cupon/pandemiadigital/ Este video puede contener temas sensibles, así como discursos de odi*, ac*so, o discr*minación. El objetivo de abordar estos temas es exclusivamente informativo y busca concienciar a la audiencia sobre estos acontecimientos, y denunciar y señalar el origen de los mismos para crear consciencia y evitar su propagación. Si consideras que el contenido puede afectarte, te recomendamos proceder con precaución o evitar su visualización. ----------------------------------------------------------------------------------------------- Únete a nuestra comunidad de YouTube https://www.youtube.com/channel/UCFOwGZY-NTnctghtlHkj8BA/join Se mecenas de Patreon https://www.patreon.com/PandemiaDigital ----------------------------------------------------------------------------------------------- Súmate a la comunidad en Twitch - En vivo de Lunes a Jueves: https://www.twitch.tv/pandemiadigital Sigue nuestro Canal de Telegram: https://t.me/PandemiaDigital Suscríbete en nuestra web: https://PandemiaDigital.net Sigue nuestras redes: Twitter: https://twitter.com/PandemiaDigitaI Facebook: https://www.facebook.com/PandemiaDigitalObservatorio Instagram: https://www.instagram.com/pandemia_digital_twitch TikTok: https://www.tiktok.com/@pandemiadigital #PandemiaDigital
După mai multe săptămîni de negocieri, conservatorii germani – blocul CDU/CSU – au ajuns la un acord cu social-democraţii de la SPD pentru a forma noua coaliţie de guvernare din Germania. Economia, apărarea și migrația – acestea sînt temele pe care se va concentra noul guvern, conform acordului intitulat „Responsabilitate pentru Germania”. Cum va arăta Germania condusă de această formulă? Cît de solidă va fi noua coaliţie? Cum se va implica Germania în domeniul apărării și securității europene? L-am întrebat pe Camil Pârvu, conf. univ. la Facultatea de Ştiinţe Politice a Universităţii din Bucureşti. Camil Pârvu: „Germania are o tradiţie de a include genul acesta de guvernări în cultura politică a istoriei de după Al Doilea Război Mondial. Vedem acolo diferenţe destul de vizibile în raport cu cultura politică franceză. În Franţa este acest sistem electoral care creează aşteptarea – şi a electoratului, şi a partidelor politice – ca după alegeri un anumit partid să reclame întreaga guvernare. În Germania cultura politică este destul de diferită. Ei sînt mai apropiaţi, pînă la un punct, de cultura politică românească, aceea a unor guvernări de coaliţie, care pot să meargă chiar peste centrul politic, stînga-dreapta sau centru stînga-centru dreapta sau formule în care există partide-pivot, partide-balama, care sprijină în general guvernările, astfel încît foarte rar un singur partid reclamă capacitatea de a întrupa întreaga voinţă populară, cum se întîmplă în Franţa. Şi-atunci, această obişnuinţă a coaliţiilor, şi mai ales obişnuiţa eliminării partidelor radicale din cadrul acestor coaliţii face ca, în funcţie de scorul electoral, în funcţie de jocul alianţelor trecute, să avem coaliţii diferite. Sînt coaliţii semafor, sînt coaliţii centru stînga-centru dreapta, sînt coaliţii în interiorul cîmpului de stînga sau în interiorul cîmpului de dreapta.” Cum va arăta Germania condusă de această formulă?Camil Pârvu: „Miza este foarte mare pentru că, dacă eşuează acest proiect de dinamizare a economiei şi, indirect, a vieţii politice germane, riscul este ca Germania să rămînă la un fel de economie stagnantă pe termen ceva mai lung şi cu asta să tragă şi restul Europei după ea, eventual chiar să treacă prin crize pe care nu le mai poate depăşi.”De ce se spune că, dacă Germania strănută, restul Europei face gripă?Camil Pârvu: „Pentru că economiile din Estul Europei sînt economii ale căror lanţuri de producţie industrială sînt complet integrate cu cele germane. Şi au în general o pondere a industriei în PIB mai mare decît ţările occidentale. Estul, despre care tot spunem că a fost dezindustrializat, este mult mai industrializat încă, astăzi, decît restul Europei şi produce foarte mult pentru acestă piaţă occidentală. Or, dacă această piaţă occidentală în Europa îşi reduce cererea sau este depăşită tehnologic de producţia chineză şi industria germană nu mai are unde să vîndă pentru că vinde, în schimb, industria chineză, atunci toate aceste economii din Estul Europei nu mai au prea mult sens.”Apasă PLAY pentru a asculta interviul integral! O emisiune de Adela Greceanu și Matei Martin Un produs Radio România Cultural
Notre Grand Invité Afrique aujourd'hui est Christophe Lutundula, président de la Commission des Affaires Étrangères du Sénat de la République démocratique du Congo. L'ancien ministre des Affaires étrangères du Congo-Kinshasa est de passage Paris, où il séjourne dans le cadre d'une mission de travail conduite par le président du Sénat français. Mercredi, il a été reçu par les sénateurs de la commission des Affaires Étrangères. Christophe Lutundula est interrogé par Esdras Ndikumana. RFI : Vous venez d'être auditionné par la commission des Affaires Étrangères du Sénat français. Quel message leur avez-vous adressé ? Christophe Lutundula : Notre message est simple. Il y a nécessité pour la communauté internationale de renforcer les sanctions contre le Rwanda et son président pour obtenir que la résolution 2773 du Conseil de sécurité, la demande unanime de la communauté internationale de cessez-le-feu, le retrait des troupes rwandaises de la RDC et de mise en œuvre du plan de démantèlement des FDLR, que tout cela soit appliqué, que ça devienne des réalités. La France est un pays membre permanent du Conseil de sécurité. La France est un pays qui participe au leadership de l'Union européenne et avec lesquels nous nous retrouvons au sein d'une communauté, la Francophonie. Donc c'est normal que nous puissions visiter nos collègues pour les sensibiliser afin que la France assume totalement ses responsabilités. Que le gouvernement français participe activement à cette démarche-là.Alors, vous êtes ici pour donner ce message, alors que le processus de Luanda que vous aviez entamé en tant que chef de la diplomatie congolaise vient de se conclure par un échec. Pourquoi selon vous ? Je ne pense pas que c'est un échec. Le président Lourenço a accompli sa mission. Je crois que tout le monde oublie rapidement la mission qui a été confiée par l'Union africaine. C'était de maintenir le dialogue entre le Rwanda et la RDC pour résoudre les conflits qui les opposent. Et aujourd'hui, le président de Lourenço, grâce à lui, on a obtenu des solutions acceptées par toutes les parties. Si le président Kagame n'avait pas refusé de venir en Angola le 15 décembre, on aurait signé, on serait passé maintenant à la phase d'exécution.À lire aussiEst de la RDC: l'Angola annonce abandonner sa médiation entre Kinshasa et KigaliJusqu'ici, en fait, on avait un médiateur, le chef de l'État angolais, un président très influent sur le continent africain, qui a finalement jeté l'éponge et qui va être remplacé cette fois par un panel de cinq anciens chefs d'État qui vont suivre une feuille de route qui a été concoctée par l'EAC et la SADEC. Est-ce que cela n'a pas rendu caduc ce qui avait été convenu avant ? Ce n'est pas un nouveau processus qui commence maintenant ?C'est ce qu'il faut éviter. Effectivement, le danger est réel, de recommencer. Et là, vraiment, on ne le souhaite pas, c'est une crainte qui est réelle. L'autre crainte, parce que ça fait quand même un peu trop de cuisiniers, je crois que c'est une première en Afrique, qu'on ait une médiation à cinq. Il faut craindre de la lenteur alors qu'il y a une urgence à la fois politique, sécuritaire et humanitaire.Je ne sais pas si vous avez constaté que, en fait, il n'y a plus de Nairobi à part. Il n'y a plus de Luanda à part. Il y a un processus qui est fusionné aujourd'hui. Il y a une nouvelle feuille de route qui parle de négociations directes entre le gouvernement congolais et l'AFC/M23, aujourd'hui, c'est comme ça qu'il s'appelle. Est-ce que le gouvernement congolais ne sera pas obligé de s'y plier ? La fusion n'est pas une bonne chose à mon avis. Luanda et Nairobi sont complémentaires, certes, mais sont distinctes. Donc, vous les fusionnez, première conséquence et qui est dangereuse : c'est que cela veut dire qu'on légitime les arguments du président Kagame qui a toujours dit « pas de problème, c'est un problème entre Congolais » et lui, il est dédouané. La deuxième conséquence, elle n'est pas des moindres, si ou tant qu'on n'a pas encore trouvé un compromis avec le M23. L'Armée rwandaise est fondée à rester en RDC alors que nous savons que le compromis avec le M23 ne peut passer que si le président Kagame avalise, c'est-à-dire que s'il contient les désidératas, le président Kagame notamment d'avoir un espace d'exploitation économique, un espace d'influence. C'est ça les conséquences qu'on ne peut pas minimiser.Et la question de la négociation directe entre le gouvernement et le M23, vous êtes pour ou contre ? C'est un problème qui ne se pose pas. Pour quelle raison ? Parce que, si on entreprend une opération pour humilier le président Tshisekedi, pour humilier le peuple congolais, certainement, je ne peux pas accepter.Comment est-ce que le gouvernement congolais, selon vous, pourrait contraindre le M23 à rendre les parties qu'il a conquises sans négocier ? Le M23 n'existe pas. C'est l'armée rwandaise, c'est une évidence qui ne se discute plus. Que le Rwanda sorte de la RDC parce qu'on nous dit que c'est un problème congolo-congolais et qu'on nous laisse résoudre nos problèmes !À écouter aussiEchec du sommet de Luanda: «On est une nouvelle fois dans l'impasse»
Doria Tillier, c'est cette personne qui ne cesse de nous surprendre, avec une énergie qu'on ne maîtrise pas (et qu'on adore).Découverte grâce à son rôle de Miss Météo sur Canal+, elle a depuis prouvé qu'elle pouvait jongler avec brio entre des rôles bouleversants, impertinents et émouvants, sans jamais se laisser enfermer dans une case. Audacieuse mais discrète, elle choisit ses rôles comme elle mène sa carrière : avec une liberté totale.Pourquoi le doute est-il, selon elle, une véritable force ?Quel conseil donnerait-elle à la Doria de 20 ans ?D'où lui vient cette sincérité brute ?... Et question bonus : sait-elle chanter par coeur La Petite Sirène ?Toutes les réponses (et quelques surprises) sont dans l'épisode de cette semaine ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Gersois pur jus, petit fils et fils de rugbymen, c'est dès l'enfance que Jean-Baptiste tombe dans la marmite ovale !Pétri de qualités, il fait ses classes à Auch et en franchit les échelons un à un jusqu'à en atteindre l'équipe première peu après sa majorité ! En 2004, il est l'un des grands artisans du titre Auscitain en Pro D2 ! La saison suivante, il termine meilleur réalisateur du Top 16, remporter le Bouclier Européen et honore sa première cape avec France A.C'est alors que la Capitale de Gascogne devient un peu trop petite pour lui, et qu'il prend la direction de Clermont Ferrand où il passera une saison, avant de filer à Lyon, Bourg en Bresse et Béziers où il a terminé sa carrière professionnelle.Retraité des terrains depuis 2014, Jean-Baptiste est un très, très bon vivant, qui a pleinement profité de sa jeunesse. D'ailleurs, il a pris conscience un petit peu tard du niveau d'exigence que représente le rugby professionnel, et ça lui aura joué quelques tours.Aujourd'hui, Jean-Baptiste est un père de famille calme et apaisé. Superbement reconverti dans l'immobilier, il est de retour dans le Sud-Ouest, et ne rate évidemment aucune occasion de remettre les pieds dans son Gers.Quel bon moment on a passé ! Jean-Baptiste n'est vraiment pas le dernier pour déconner, et j'ai adoré l'honnêteté et le recul dont il fait preuve.Bonne écoute !-----------------------------
Christophe Barbier et Sophie Obadia commentent l'actualité de ce mardi, en particulier l'examen aujourd'hui par le Conseil Constitutionnel d'une question prioritaire de constitutionnalité (QPC) sur les peines d'inéligibilité immédiate. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'intelligence artificielle redéfinit-elle notre rapport aux applications mobiles ? Dans cet épisode brillant avec Vincent Pillet, expert en innovation et cofondateur de User Agents, partage son analyse sur les transformations majeures du développement mobile et de l'expérience utilisateur.Avec l'essor d'Apple Intelligence, des agents intelligents et des interfaces conversationnelles, le paysage numérique évolue rapidement. Mais faut-il encore créer des applications ? Sommes-nous arrivés à un point de saturation ou reste-t-il encore de la place pour l'innovation ? Nous explorons également les nouvelles interactions homme-machine, l'impact des lunettes connectées, et la montée en puissance des IA embarquées qui promettent une personnalisation sans précédent tout en garantissant plus de confidentialité et de sécurité.Au programme :✔️ Comment l'IA va transformer les usages mobiles et les interfaces.✔️ L'évolution du développement avec des outils IA comme Apple Intelligence et Gemini.✔️ L'impact des modèles conversationnels sur le e-commerce et l'expérience utilisateur.✔️ L'avenir des applications face aux API intelligentes et aux agents autonomes.✔️ Le débat "Native First" vs. Cross-Platform : quelles technologies choisir pour des applications performantes et durables ?✔️ Vision Pro ou lunettes AR ? Quelle technologie a le plus de potentiel pour s'imposer sur le marché ?✔️ La montée des interfaces contextuelles et le défi de la surcharge cognitive.
durée : 00:47:13 - Grand bien vous fasse ! - par : Ali Rebeihi - Le compromis est-il le secret d'un couple qui dure ? Jusqu'où aller pour trouver la paix ? Peut-on faire couple sans renoncer à une partie de soi-même ? Quelles différences entre compromis et sacrifice ?
durée : 00:05:31 - Ma vie de parent - Pour Gwénaëlle Boulet, en bonne épouse et mère de famille, le compromis est devenu pour vous une seconde peau…
L'intelligence artificielle redéfinit-elle notre rapport aux applications mobiles ? Dans cet épisode brillant avec Vincent Pillet, expert en innovation et cofondateur de User Agents, partage son analyse sur les transformations majeures du développement mobile et de l'expérience utilisateur. Avec l'essor d'Apple Intelligence, des agents intelligents et des interfaces conversationnelles, le paysage numérique évolue rapidement. Mais faut-il encore créer des applications ? Sommes-nous arrivés à un point de saturation ou reste-t-il encore de la place pour l'innovation ? Nous explorons également les nouvelles interactions homme-machine, l'impact des lunettes connectées, et la montée en puissance des IA embarquées qui promettent une personnalisation sans précédent tout en garantissant plus de confidentialité et de sécurité.Au programme :✔️ Comment l'IA va transformer les usages mobiles et les interfaces.✔️ L'évolution du développement avec des outils IA comme Apple Intelligence et Gemini.✔️ L'impact des modèles conversationnels sur le e-commerce et l'expérience utilisateur.✔️ L'avenir des applications face aux API intelligentes et aux agents autonomes.✔️ Le débat "Native First" vs. Cross-Platform : quelles technologies choisir pour des applications performantes et durables ? ✔️ Vision Pro ou lunettes AR ? Quelle technologie a le plus de potentiel pour s'imposer sur le marché ?✔️ La montée des interfaces contextuelles et le défi de la surcharge cognitive.
Tous les vendredis, samedis et dimanches à 19h17, Pascale de la Tour du Pin reçoit un invité au cœur de l'actualité politique pour un moment d'échange franc sur les dossiers brûlants du moment. Ce soir, Matthieu Valet, député européen Rassemblement National.
durée : 00:55:53 - franceinfo: Les informés - Tous les jours, les informés débattent de l'actualité, ce mardi autour d'Aurélie Herbemont et Jean-Rémi Baudot.
Au menu de la troisième heure des GG du vendredi 24 janvier 2025 : Cannabis : doit-on trouver un compromis avec les dealers ? ; avec Zohra Bitan, fonctionnaire, Mourad Boudjellal, éditeur de BD, et Bruno Pomart, ex-policier du raid.
durée : 00:09:21 - L'invité de 7h50 - par : Sonia Devillers - Le député de Seine-et-Marne et Premier secrétaire du PS affirme que son parti est "ouvert au compromis" avec le gouvernement pour l'élaboration d'un budget. "L'opposition stérile, ça sert juste à faire du bla-bla à la télévision, moi ce que je veux c'est des résultats", dit-il à propos de LFI. - invités : Olivier Faure - Olivier Faure : Député de Seine-et-Marne, Premier secrétaire du Parti socialiste
durée : 00:09:21 - L'invité de 7h50 - par : Sonia Devillers - Le député de Seine-et-Marne et Premier secrétaire du PS affirme que son parti est "ouvert au compromis" avec le gouvernement pour l'élaboration d'un budget. "L'opposition stérile, ça sert juste à faire du bla-bla à la télévision, moi ce que je veux c'est des résultats", dit-il à propos de LFI. - invités : Olivier Faure - Olivier Faure : Député de Seine-et-Marne, Premier secrétaire du Parti socialiste
(00:00:41) Pourquoi on a besoin de retrouver l'art du compromis (00:08:10) 90% de la population en Syrie n'a pas accès à l'essentiel (00:12:26) L'Australie pourrait exploiter le bois de Santal autrement
Le Président Macron a réuni les forces politiques, sauf LFI et RN, pour former un gouvernement et nommer un nouveau Premier ministre sous 48 heures. Les partis de gauche réclament un Premier ministre issu de leurs rangs, tandis que le Président envisage une majorité élargie incluant la droite. Entre concessions et tensions, l'équilibre reste fragile. La députée Éléonore Carrouat analyse les défis pour bâtir un gouvernement stable malgré des divergences idéologiques marquées. Plongez dans ces tractations cruciales pour l'avenir politique du pays.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
durée : 00:54:10 - Questions politiques - par : Carine BECARD, Fabienne Le Moal - La députée LFI Mathilde Panot explique pourquoi elle ne se rendra pas à l'Élysée demain, pour des consultations en vue de la nomination d'un nouveau 1er ministre : "Nous ne croyons pas qu'il soit possible de gouverner avec ceux contre lesquels nous avons été élus."
durée : 00:54:10 - Questions politiques - par : Carine BECARD, Fabienne Le Moal - La députée LFI Mathilde Panot explique pourquoi elle ne se rendra pas à l'Élysée demain, pour des consultations en vue de la nomination d'un nouveau 1er ministre : "Nous ne croyons pas qu'il soit possible de gouverner avec ceux contre lesquels nous avons été élus."
durée : 00:54:55 - franceinfo: Les informés - Tous les matins, les informés débattent de l'actualité autour d'Hadrien Bect et de Renaud Dély.
RDV Tech 589 – La réalité c'est des compromis – Claude, Act-One, Midjourney, iOS 18.2 & 18.4, ShoptalkAu programme :Une IA débarque dans le monde réeliOS 18.2: Apple rejoint Meta sur la modérationLes nouveautés à Shoptalk, le salon de l'eCommerceLe reste de l'actualitéLiens :
durée : 00:36:20 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins) - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - Attendre le grand soir ou le résultat des élections… Depuis toujours les différents courants de la gauche française se divisent sur la stratégie à adopter pour prendre le pouvoir. En quoi le courant politique du lambertisme (trotskisme) offre-t-il une clé de compréhension de la gauche moderne ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : François Bazin Journaliste, analyste politique; Rachel Garrat-Valcarcel Journaliste au Monde
durée : 02:00:10 - Les Matins du samedi - par : Nicolas Herbeaux - Ce samedi, dans les Matins, découvrez pourquoi les jeunes se baptisent de plus en plus, ce que signifie le choix de Michel Barnier à Matignon, et le nouveau livre de Juliette Rousseau "Péquenaude" publié aux éditions Cambourakis. - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Charles Mercier Maître de conférences en histoire contemporaine à l'université de Bordeaux; Marc-Olivier Padis Directeur des études de la fondation Terra Nova; Juliette Rousseau Autrice et éditrice ; Rémi Lefebvre Professeur de sciences politiques à l'université de Lille et chercheur au Centre d'études et de recherches administratives, politiques et sociales (CERAPS)