Argentine politician and ex President of Argentina
POPULARITY
Categories
Hace unos días se celebraron elecciones legislativas en la Ciudad Autónoma de Buenos Aires, unos comicios que nos dejan varios titulares: el más relevante, la derrota del PRO del expresidente y exalcalde de la capital argentina, Mauricio Macri. Analizamos qué ha sucedido con el sociólogo Eduardo Fidanza.Escuchar audio
Los resultados de la elecciones en la Ciudad de Buenos Aires dejan mucho para analizar. Desde la contundente victoria del Javier Milei, que le puso el cuerpo a la campaña y a su candidato, Manuel Adorni, hasta la estrepitosa derrota del PRO; cuyo principal responsable parece ser el presidente Mauricio Macri.La Ciudad de Buenos Aires se convirtió en un laboratorio electoral de cara a las elecciones nacionales de octubre, pasando por las de la Provincia de Buenos Aires. En este episodio especial de Micro Mundos trazamos un análisis completo de las consecuencias políticas que una elección donde el se destacó el histórico ausentismo del 47%, un fenómeno nunca visto. Charlamos con el consultor y analista político Lucas Romero (Synopsis).GRACIAS POR TU DONACIONSi querés y podes ayudarnos a financiar Micro Mundos. Es muy fácil, sólo te pedimos que nos invites un cafecito..o también varios. Esa es tu decisión. Tus donaciones son muy importantes para que podamos seguir creciendo y mejorando. Micro Mundos seguirá siendo gratis e independiente por eso tu colaboración es indispensable. Si querés colaborar con Micro Mundos podés invitarnos un cafecito desde este link https://bit.ly/4ckPD2rTu apoyo significa mucho, nos ayuda a crecer y a mejorar.¡Muchas gracias!SUSCRIBITE A MICRO MUNDOSSuscribite a Micro Mundos en SpotifySuscribite a Micro Mundos en ApplepodcastSuscribite al canal de Youtube Mis Redes SocialesSeguime en X: @martinpittonSeguime en Instagram @pittonmartin Seguime en Facebook
Son parti, La Libertad Avanza, s'est placé en tête d'une élection locale à Buenos aires, bousculant les formations conservatrices qui y régnaient depuis 20 ans. Ce scrutin local d'hier représentait un premier test pour Javier Milei depuis son élection à la présidence. Car s'il a remporté le scrutin suprême fin 2023 grâce aux voix de la droite traditionnelle, il avait jusqu'ici eu du mal à transformer l'adhésion à sa personne en suffrages au bénéfice de son parti.Hier, son candidat, Manuel Adorni, qui est aussi le porte-parole du gouvernement, est arrivé en tête avec 30% des voix. Il devance le candidat de l'opposition péroniste de gauche de 3 points, mais surtout, il écrase la candidate de la droite traditionnelle qui n'a recueilli que 16% des suffrages.En tant que tel, le résultat de cette élection qui visait à renouveler la moitié du Parlement local de Buenos Aires ne va pas changer la dynamique communale, mais il envoie un message fort, résumé par Manuel Adorni dans son discours de victoire : « Nous sommes l'instrument du changement. Nous invitons tous ceux qui veulent soutenir ce projet d'un réel changement pour notre pays à rejoindre La Libertad Avanza, qui est l'instrument que la société a choisi pour transformer l'Argentine ».Victoire politique, succès personnelÀ titre individuel, le président argentin jouait gros car il avait fait le pari de « nationaliser » ce scrutin local. Avec pour objectif d'asseoir son hégémonie sur la droite argentine, incarnée depuis 20 ans par le PRO, le parti de l'ancien président Mauricio Macri. Et de phagocyter son électorat dans la perspective des élections législatives nationales qui auront lieu au mois d'octobre.Pour cela, Javier Milei s'est impliqué personnellement dans la campagne, accompagnant son candidat à plusieurs reprises sur le terrain et renonçant même à la messe inaugurale du Pape Léon XIV à Rome, afin de se trouver à Buenos Aires au moment des résultats.Pari gagnant, puisque sur la carte de Buenos Aires, le violet de sa formation, La Libertad Avanza, a totalement remplacé le jaune de la droite traditionnelle qui régnait sans partage depuis près de 20 ans sur la capitale argentine. À l'annonce des résultats hier, Javier Milei a voulu y voir le signe d'un changement d'époque.« Il est important de prendre conscience qu'aujourd'hui est un jour charnière pour les idées de la liberté. Aujourd'hui le bastion jaune a été peint en violet, et bientôt c'est tout le pays qui va se teindre de violet ! »Les élections législatives au bout du cheminLe scrutin d'octobre reste l'enjeu majeur de cette bataille, car depuis son élection à la présidence, Javier Milei est ultra-minoritaire au Parlement, ne pouvant compter que sur 15% des députés et 10% des sénateurs. Ce qui l'oblige à négocier en permanence avec la droite traditionnelle et à faire des concessions, ce qui n'est pas vraiment dans sa nature. Avec cette victoire hier, Javier Milei espère que son parti deviendra le vote « utile » à droite au mois d'octobre, condition nécessaire pour avoir une majorité propre qui lui donnera les coudées franches pour approfondir son plan « tronçonneuse » de dérégulation et de réduction des dépenses publiques. Joe Biden atteint d'une forme agressive de cancer de la prostateCe cancer a métastasé et s'est propagé à la structure osseuse de l'ancien président américain. La tumeur maligne a été découverte la semaine dernière, après que Joe Biden s'est plaint de douleurs urinaires. Un nodule logé sur sa prostate est apparu lors des examens médicaux, qui ont mis en évidence une maladie ayant déjà atteint un stade avancé. Ses équipes indiquent que ce cancer est hormono-dépendant, ce qui signifie que les hormones sexuelles jouent un rôle dans la prolifération des cellules cancéreuses. Il est dans ce cas possible de ralentir leur développement, par le biais de l'hormonothérapie, qui consiste à bloquer la testostérone produite par le corps de Joe Biden pour lui faire gagner du temps.Les médecins interrogés par le New York Times soulignent que, dans les années 1980, il n'y avait d'autre option pour y parvenir que de pratiquer une ablation des testicules. Ce n'est plus le cas de nos jours, avec l'apparition de traitements par injection ou par voie orale qui coupent la production de testostérone.Chances de survie ?Ses chances de survie sont impossibles à quantifier sans accès à son dossier médical, mais la recherche a beaucoup progressé ces dernières années. Là où, il y encore 20 ans, Joe Biden n'aurait eu que quelques mois à vivre, les thérapies modernes peuvent lui permettre de survivre 5, 7, voire 10 ans. « Il a encore des chances de mourir de cause naturelle, avant que le cancer n'ait raison de lui », juge un oncologue interrogé par le New York Times, selon lequel le taux de survie a presque triplé en l'espace d'une dizaines d'années.Ces progrès doivent d'ailleurs beaucoup à Joe Biden lui-même, qui a fait de la lutte contre le cancer l'un des thèmes-clé de sa vie politique. Elle figurait déjà parmi ses dossiers prioritaires lorsqu'il était encore le vice-président de Barack Obama. Le Guardian note que Joe Biden a déjà subi dans le passé une intervention en février 2023, pour une lésion cancéreuse au niveau de la poitrine. Mais c'est surtout le décès en 2015 de son fils Beau Biden d'un cancer du cerveau qui a provoqué la mobilisation de l'ancien président. Pendant son mandat, il s'était fixé comme objectif de réduire de 50% d'ici à 2047 le taux de mortalité dû au cancer aux États-Unis, et il n'a pas jamais lâché ce dossier. Encore six mois avant de quitter le pouvoir, il a débloqué une enveloppe de 150 millions de dollars sur les fonds fédéraux pour accompagner les travaux de huit instituts spécialisés. Revers pour la politique migratoire de Donald TrumpLa Cour suprême refuse d'entériner à nouveau l'usage d'une loi d'exception pour expulser des étrangers, celle que Donald Trump avait mise en avant au moment de l'envoi spectaculaire de plus de 200 personnes au Salvador au mois de mars. Décryptage avec Fanny Lauby, professeure associée en Science politique à l'Université d'État de Montclair, dans le New Jersey. L'actualité des Outre-mer avec nos confrères de la 1èreLe ministre français de la Justice, Gérald Darmanin, propose d'ouvrir un quartier de haute sécurité dans la prison de Saint-Laurent-du-Maroni, à l'ouest de la Guyane, où il est en déplacement. Réactions indignées aussi bien dans les états-majors des partis politiques que sur les réseaux sociaux.
En el cierre de campaña de su candidata Lospennato, Mauricio Macri aseguró: “La verdad, gracias por haberme dejado acompañarte en varios momentos de esta campaña. Fue un honor y la verdad que te han dado dura y cruelmente. Tuviste un debut a todo nivel. Te pegaron mucho. Y solamente por defender la verdad. Le pegaron solamente por querer defender la verdad. y quiero decirte que que mi abuela que mi abuela que fue alguien muy importante en mi vida, siempre tenía estas frases y una típica que todos conocemos lo que no te mata te fortalece”. “Que el PRO está unido, que el PRO está de pie otra vez. Sé positivamente y hemos hecho autocrítica pública de que la interna del 23 fue muy dañina para nuestro espacio. Que los dos candidatos se dejaron corromper por el ego y la ambición desmedida. Pero los dos ya no están. Y con la... Ya se fueron. Sí, fuera, fuera, fuera. Ya está. Mala energía, mala vibra. Fuera, fuera”, agregó el ex presidente.Manuel Adorni afirmó: “Yo veo obsoleto al PRO en el gobierno de la ciudad. No entendió la vuelta de página que dio la sociedad en el 2023. Las demandas de la gente son precisamente pagar menos impuestos, no ver al político derrochar la guita en cualquier cosa, que no se le complique la vida ir a abrir un comercio y tardar 40 días para que le den la habilitación. De hecho, las propuestas de campaña del PRO hoy lo dicen abiertamente. No es necesaria ninguna motosierra, acá no hay que recortar nada. y de hecho te plantean gastos que si no están contemplados en el presupuesto significan suba de impuestos”.Leandro Santoro tuvo un fallido en su cierre de campaña: “Mi amiga Victoria Villarru… Montenegro, que es la contraria. Victoria Montenegro es hija de detenidos desaparecidos. Es la contracara de Villaruel. Por eso te tengo siempre presente, Vicky”. “La derecha plantea, somos nosotros que representamos la libertad o son ellos, el peronismo, el kirchnerismo. Perdónenme, ¿está en juego la libertad en la ciudad de Buenos Aires? ¿Alguna persona intelectualmente honesta puede pensar que verdaderamente lo que estamos discutiendo este 18 de mayo en estas elecciones para legisladores porteños es la libertad? Acá lo que se está discutiendo es la justicia, la justicia social, la justicia ambiental, la justicia distributiva. La posibilidad de una familia de poder concretar sus sueños, la posibilidad de un padre de poder ayudar a su hijo, la posibilidad de un pibe de poder independizarse, de tener una vida libre”, dijo el candidato a legislador porteño Santoro.Silvia Lospennato, candidata a legisladora porteña, dijo en el cierre de campaña: “Una campaña complicada, vamos a decir, fue una campaña poco limpia, porque hay algunos que no saben hacer política limpiamente. Pero no importa, no importa porque yo no creo que esas campañas sucias terminen dando resultados, yo creo que a los argentinos y sobre todo a los porteños no se los engaña. Y yo creo que valoran, valoran esta forma del PRO, de hacer campañas con propuestas, de hacer campañas con diálogo, de hacer campañas sin insultar, sin mentir, sin difundir noticias falsas”. “La ciudad no es el terreno de batalla para una guerra entre los políticos. La ciudad es el lugar donde vivimos, es el lugar donde crecen nuestros hijos. Nosotros no vamos a ser rehenes de las ambiciones políticas de nadie. Nosotros vamos a elegir gente que venga a competir porque quiere mejorar la calidad de vida de la gente. no somos un trofeo para exhibir esta es la ciudad que queremos para vivir y la vamos a cuidar y la vamos a proteger”, agregó Lospennato.Noticias del viernes 16 de mayo por María O'Donnell y equipo de De Acá en Más por Urbana Play 104.3 FMSeguí a De Acá en Más en Instagram y XUrbana Play 104.3 FM. Somos la radio que ves.Suscribite a #Youtube. Seguí a la radio en Instagram y en XMandanos un whatsapp ➯ Acá¡Descargá nuestra #APP oficial! ➯ https://scnv.io/m8Gr
Javier Milei afirmó en diálogo con Mariana Brey: “¿Sabés qué? Si yo tengo que pensar en un acuerdo, y para mí hubo un acuerdo entre Cristina y Macri para ensuciarme a mí. ¿Sabés por qué? Porque el único que pierde con esto soy yo. Porque básicamente, ¿qué es lo que hace? Cristina logra que no salga ficha limpia y Macri me ensucia a mí, digamos, para conseguir una ventajita electoral. Eso es la política argentina. Yo lo único que sí te voy a decir es, pude haber perdido una batalla, pero la guerra la voy a ganar”.Mauricio Macri se refirió a las declaraciones de Javier Milei respecto a un pacto con Cristina Kirchner: “Si no, la verdad que era para reflexionar qué está pasando en la Argentina, hacia dónde estamos yendo, porque es una alucinación seria, ¿no? Me ha provocado una terrible, una tremenda desilusión, porque no se puede decir ya cualquier cosa, no se puede”.Milei le entregó el celular a la periodista para demostrar que no se comunicó con Carlos Rovira. Sobre ese gesto, Mauricio Macri dijo: “Una falta de respeto, que haya dicho de vuelta que miremos el celular, ¿qué tiene que ver? O sea, uno cuando el presidente tiene un montón de gente que se ocupa de hacer los llamados, que se ocupa de preparar información, como también creo que no lo cuidan, porque él decir que era mentira lo que había dicho Losepnnato acerca de los ATN de Misiones, y su propio gobierno, el Ministerio de Economía, informa a los ATN, ella leyó lo que informó el Ministerio de Economía, y él dice, Lospennato miente”.Milei aseguró: “Ese proyecto llevaba mi nombre. Me rompí el alma por ese proyecto. Tomé el proyecto lleno de errores de Lospennato y lo corregí. Lo puse a eso a Fargosi y Luis Petri. Con lo cual, el proyecto que fue al Senado es mío. Que obviamente que hay tareas enormes y titánicas, como la de Gastón Marra, digamos, como el trabajo que hizo esta mujer Fanny Mandelbaum. O cómo la pelea en los medios este proyecto con cuerpo y alma la señora Cristina Pérez. Con lo cual era un proyecto en el cual estábamos todos comprometidos muy comprometidos ahora, yo aviso los amarillos que tanto se quejan hace 17 años que gobiernan la ciudad, no lo tienen".La diputada Silvia Lospenatto dijo: “¿Quién en la Argentina puede creer que se pueden poner en algo de acuerdo Macri y Cristina?, digamos, los dos políticos que más se han enfrentado realmente. Porque Cristina le ha hecho la vida imposible a Mauricio Macri. Antes de que fuera presidente, mientras fue jefe de gobierno y durante todos los años de presidente. Y efectivamente nosotros siempre fuimos la expresión del antikirchnerismo en la Argentina”.Noticias del martes 13 de mayo por María O'Donnell y equipo de De Acá en Más por Urbana Play 104.3 FMSeguí a De Acá en Más en Instagram y XUrbana Play 104.3 FM. Somos la radio que ves.Suscribite a #Youtube. Seguí a la radio en Instagram y en XMandanos un whatsapp ➯ Acá¡Descargá nuestra #APP oficial! ➯ https://scnv.io/m8Gr
El 18 de mayo son las elecciones legislativas en la Ciudad de Buenos Aires. Una elección que se nacionalizó por la tensión entre las dirigencias del PRO y la Libertad Avanza. Una elección que puede resultar un test para los oficialismos que no solo disputan bancas sino una pulseada a nivel nacional encarnada en Javier Milei y Mauricio Macri.Esta semana en Micro Mundos charlamos con la diputada nacional Paula Oliveto y candidata a la Legislatura porteña por la Coalición Cívica. Paula Oliveto en 5 definiciones:
Silvia Lospennato afirmó: “Acá hay claramente un pacto de impunidad. Esto le permite a CFJ y a todos los corruptos condenados, hay una lista enorme de candidatos kirchneristas condenados. Esto permite un escenario que algunos querían. Los ciudadanos no comemos vidrios y el que esté detrás de esta decisión que hoy defrauda a los argentinos va a sufrir las consecuencias. No es gratis llevarse puesto a los ciudadanos”. “Que lástima que estos senadores representan a la provincia que más ATN recibió durante el año. Traicionar al gobierno que más ATN te dio debe ser jorobado. Supongo que tendrán una penalización y no recibirán más adelantos del Tesoro. Fue la más beneficiada y traicionó al gobierno”, agregó la candidata a legisladora porteña.La senadora Anabel Fernández Sagasti dijo: “¿En serio el PRO? Lospennato, que anda con Mauricio Macri diciéndose la autora de la ficha limpia, ¿nos va a venir a nosotros a hablar de pureza republicana? ¿En serio?”.El jefe de bloque de LLA en el Senado, Ezequiel Atauche, sostuvo:“No se veía venir, estuve todo el día detrás de esto. El presidente en extraordinarias puso el proyecto, logramos que Diputados lo apruebe. Ajustamos los votos, cuidamos la ley, y ahora de golpe en el último minuto la casta se termina imponiendo. Esto marca que Argentina tiene que cambiar”.Martín Lousteau declaró: “Voy a votar a favor de ficha limpia. Tenemos que tener una justicia mejor, hay que detectar la corrupción y hacer cumplir las condenas. Tiene que ser mirando el pasado, el presidente y el futuro. Hoy nos tendríamos que haber ido con ficha limpia y la interpelación, con una comisión investigadora. Y nos vamos con una sola. Mientras tanto no resolvamos esto lo que hacemos son parches”.Axel Kicillof dijo: “Una vergüenza, gravísimo para la democracia argentina que con un Poder Judicial que tiene sectores que actúan como partido político ahora lo que quieren es usar esos fallos para impedir que Cristina pueda presentarse a elecciones. Creo que estamos ante un hecho de proscripción y una enorme gravedad. Mostrar el rechazo, el repudio y el asco que da”.Guillermo Francos sobre la paritaria pisada: “Si uno permite que el salario se vaya más allá de lo que se ha establecido como tope obviamente los precios aumentan y los mismos que reclaman por el aumento del salario vuelven a reclamar. El salario real ha crecido por encima de la inflación”.Noticias del jueves 8 de mayo por María O'Donnell y equipo de De Acá en Más por Urbana Play 104.3 FMSeguí a De Acá en Más en Instagram y XUrbana Play 104.3 FM. Somos la radio que ves.Suscribite a #Youtube. Seguí a la radio en Instagram y en XMandanos un whatsapp ➯ Acá¡Descargá nuestra #APP oficial! ➯ https://scnv.io/m8Gr
El secretario de prensa de la UTA, Mario Calegari, afirmó: “Para que se levante la medida de fuerza tiene que haber un ofrecimiento superior a lo que ya se había hecho. De esa manera podemos llegar a levantar la medida. Si no hay ofrecimiento real superior a lo ofrecido seguramente vamos a hacer la medida de fuerza”. “Lo único que nos queda fue esto. El martes va a haber paro a nivel nacional. Es en todo el país, no únicamente en el AMBA”, agregó Calegari.Guillermo Francos se refirió al proyecto “Ficha limpia”: “Creo que va a haber sesión y se va a aprobar, están los votos para aprobarla. Cuando los senadores santacruceños que iban a votar a favor me parece que ya no quedan dudas. Se tiene el número para avanzar, salvo que alguno falle. Nuestro lado, el PRO, algunos senadores provinciales. No hay duda que están para apoyar la sanción de este proyecto”.Luis Petri aseguró: “Si el acuerdo es a los 14 hay que tratarlo lo que no podemos es no tener una ley de responsabilidad juvenil que baje la edad de imputabilidad. La que tenemos ahora, que es 16 años, es de las más alta de Latinoamérica. Argentina y Cuba tienen 16 años. El problema es cada una de las víctimas que le negamos la posibilidad de que tengan justicia. Esa persona si comprendió la criminalidad del hecho tiene que ser juzgada”.“Tenemos una alianza con EEUU que estamos fortaleciendo y hemos tomado múltiples medidas. Desde la vuelta de ejercitaciones que no se hacian hace años como el “Ejército gringo-gaucho”. EEUU es el principal sponsor y promotor para que Argentina sea socio global de la OTAN. Argentina es colaborativa, trabaja con EEUU, creemos en el fortalecimiento de esa alianza. Estamos en inmejorables condiciones producto de la relación del presidente de la nación con Trump”, agregó el ministro de Defensa, Petri.El ex presidente Mauricio Macri sostuvo: “El PRO no es tan importante donde queda, lo importante es donde queda el gobierno. Como explica al mundo que está viendo si la fuerza de cambio es suficientemente potente. Eso lo debilita muchísimo. Cuando el mundo y el mercado ve que ellos quedan segundos o terceros es una catástrofe”. “Él tiene una enorme frustración porque creyó que ya era presidente y terminó creyendo que enfrentar a su propio partido en vez de pedir una interna. Yo le dije en la última conversación que tenía todo el derecho de querer volver a la Ciudad y plantear una interna y si Jorge quiere reelegir tendrá que competir. Pero ir a dañar… porque lo que está haciendo es daño”, agregó Macri.La vocera del Gobierno porteño, Laura Alonso, afirmó que Horacio Rodríguez Larreta es funcional al kirchnerismo.Noticias del lunes 5 de mayo por María O'Donnell y equipo de De Acá en Más por Urbana Play 104.3 FMSeguí a De Acá en Más en Instagram y XUrbana Play 104.3 FM. Somos la radio que ves.Suscribite a #Youtube. Seguí a la radio en Instagram y en XMandanos un whatsapp ➯ Acá¡Descargá nuestra #APP oficial! ➯ https://scnv.io/m8Gr
El presidente de España, Pedro Sánchez, afirmó sobre el apagón: “Todavía no tenemos información concluyente sobre los motivos de este corte. Pido a la ciudadanía que al igual que en crisis pasadas se informen por canales oficiales. Es mejor no especular, ya sabremos las causas, no descartamos ninguna hipótesis. Ahora debemos centrarnos en lo más importante que es devolver la electricidad a nuestros hogares”.La vicepresidenta de la Comisión Europea, Teresa Ribera, sostuvo: “De momento no hay nada que permita afirmar que hay algún tipo de boicot o ciberataque. Trabajamos con la máxima cautela y habrá que seguir investigando para determinar las causas concretas que han generado este episodio. No hay nada que nos pueda hacer afirmar que haya una alteración extraordinaria”.Malena Pichot contó desde Madrid: “Ya que estoy en Madrid aprovecho para informarles que la gente camina muy tranquila pero están todos los locales cerrados. Recién el auto estaba con la radio a todo volúmen. La gente escuchando la radio como si fuese 1964. Lo único que queda es la radio al final”.El ex presidente Mauricio Macri dijo: “El cuento del Estado presente es una mentira y que el Estado estuvo presente para aquellos que lo condujeron, para que se enriquezcan. El populismo es una amenaza mundial. Esta región y Argentina primero, dado que comenzó con la primera presidencia de Perón, sea el primer país que se cure definitivamente del populismo. Creemos que estamos ante una gran oportunidad”.El ministro de Gobierno bonaerese, Carlos Bianco, aseguró: “Como resultado el gobernador va a estar presentando una nota oficial dirigida al directorio del FMI solicitando una urgente e imparcial investigación sobre la conducta irresponsable y partidaria de Georgieva que consideramos inaceptable”.El titular del INDEC, Marcos Lavagna, afirmó: “Las estadísticas permanentemente están en cambios. Algunos índices hacen más ruido como la inflación o pobreza que en algún momento va a haber cambios. Tienen que ir incorporando las nuevas realidades y hay que hacerlo de forma lenta y cuidadosa para que esos cambios no generan alteraciones en los datos que uno viene dando y no haya desconfianza en lo que se está haciendo”.Noticias del martes 29 de abril por María O'Donnell y equipo de De Acá en Más por Urbana Play 104.3 FMSeguí a De Acá en Más en Instagram y XUrbana Play 104.3 FM. Somos la radio que ves.Suscribite a #Youtube. Seguí a la radio en Instagram y en XMandanos un whatsapp ➯ Acá¡Descargá nuestra #APP oficial! ➯ https://scnv.io/m8Gr
El presidente del Banco Central, Santiago Bausili, dijo: “Tenemos un objetivo último que es tener una economía normal con un sistema de competencia de monedas. Ahora, pasamos del crawling peg hacia una libre flotación dentro de bandas divergentes. La idea de esto es que la libre flotación total se va a dar con el tiempo. Vamos a ir naturalmente hacia la libre flotación porque las bandas se van a volver irrelevantes”.Scott Bessent, secretario del Tesoro de Estados Unidos, afirmó tras su viaje a la Argentina: “Estuve en Argentina este mes para demostrar el apoyo de Estados Unidos por los esfuerzos del FMI para ayudar al país a restablecerse financieramente. Argentina merece el apoyo del FMI porque el país está progresando de verdad hacia el cumplimiento de los puntos de referencia financieros. No todos los países se lo merecen. El FMI debe hacer que los países rindan cuentas para implementar reformas económicas y a veces el FMI debe decir que no”.Lula Da Silva, presidente de Brasil, declaró en conferencia de prensa: “Usted no quiere una guerra fría, yo no quiero una guerra fría. No quiero tener que elegir entre Estados Unidos o China. Quiero tener relación con Estados Unidos y con China. No quiero tener preferencia en uno sobre otro. Queremos negociar con todo el mundo”.Elisa Carrió sostuvo: “Con tanta sombra, con tanto miedo, Milei debe sentir el miedo del fracaso. Para él es un desprecio generalizado. A cuánta gente despreció, viste lo que dice de ustedes. De qué cristianismo me habla. Mirá vos si un judío ortodoxo te va a hablar así. La forma del desprecio es la invención de Santiago Caputo pero también la invención de los que inventan a Trump”.El ex presidente Mauricio Macri sostuvo: “Nosotros vamos a poner lo mejor que tenemos en el PRO y ellos tienen que poner lo mejor que tienen en LLA. Me da la sensación que todos los que tenían precio ya los compraron. Los que están acá no es gente con precio, es gente con valores. Si hay vocación de trabajar juntos lo vamos a encontrar”.Noticias del jueves 24 de abril por María O'Donnell y equipo de De Acá en Más por Urbana Play 104.3 FMUrbana Play 104.3 FM. Somos la radio que ves.
Los supermercados aseguran que no aceptarán subas en los precios de los alimentos y el Gobierno lo celebró. El vicepresidente de CADAM, Armando Fariña, afirmó: “Ayer empezaron a llegar algunas listas especialmente en aceite, harina y café. Del 6% al 8%. Hacía 4 o 5 meses que no aumentaba. Sí el aceite que había tocado la lista en febrero”.Mauricio Macri recorrió comercios de la ciudad junto a Silvia Lospennato, y en diálogo con un comerciante, afirmó: “Toda la cuadra me dijo que no vende nada”. Macri dialogó con una panadera sobre el aumento de precios, y sostuvo: “No se puede creer. La gente se vuelve loca. No puede aumentar por un 10% del dólar”.Guillermo Francos le respondió a Pablo Juliano: “Sé el precio del maple de huevos porque soy productor de huevos. El maple los vendemos a 5000 y en el comercio se vende a 8000. Dio justo con la pregunta”. Francos también le respondió a Vanina Biasi: “Biasi hace una referencia a que el ministro Caputo, Karina Milei y el presidente sabían que se venía una devaluación. No dijo que sabían de la devaluación. Dijo que eran los únicos 3 que conocían las condiciones del acuerdo con el Fondo. Quien compró 400 millones no tengo idea, pero se produjo en un período de tiempo en que varios días consecutivos se venían comprando dólares”.El ministro de Seguridad bonaerense, Javier Alonso, se refirió al proyecto para prohibir que 2 personas circulen en moto, y afirmó: “La ley es clara respecto de que son los intendentes los que tienen que plantear las zonas, los días y horarios en los que tenemos que implementar esta prohibición. No es algo genérico. Tiene excepciones como para personal de seguridad y de emergencias médicas”.Patricia Bullrich, ministra de Seguridad, afirmó: “Tim Ballard fue protagonista de lo que después fue una película muy dura que se llama “Sounds of Freedom”. Después tuvo una conducta terrible, tiene 23 causas de abuso y fue echado de todas las organizaciones contra la trata de las que fue parte. Quería verlo al presidente y le dijimos que no porque el gobierno no puede recibir a un abusador”.Noticias del jueves 17 de abril por María O'Donnell y equipo de De Acá en Más por Urbana Play 104.3 FMSeguí a De Acá en Más en Instagram y XUrbana Play 104.3 FM. Somos la radio que ves. Suscribite a #Youtube. Seguí a la radio en Instagram y en XMandanos un whatsapp ➯ Acá¡Descargá nuestra #APP oficial! ➯ https://scnv.io/m8Gr
Javier Milei sostuvo: “Tuvimos un mal marzo, ok, abril será mejor y a mitad de año seguramente la inflación perfore el 1%. Cuando entremos a mitad del año que viene se cumplen 2 años de emisión cero y qué va a pasar, va a tender a cero. Para mitad del año que viene se terminó el problema de la inflación en Argentina”.“Tampoco es tan grave porque lo que importa es la tendencia. Agarrá el gráfico de la inflación de hace 12 meses y en nuestro gobierno cae como un piano. Lo expliqué el 1 de marzo. Esto no es un movimiento rectilíneo y uniforme, puede haber fluctuaciones y volatilidad. Lo dije por la ley que armó el imbécil de Guzmán. Esto de tener que llevar el programa del Fondo al Congreso”, agregó Milei.El Presidente dijo: “¿Te das cuenta que puedo sacar todo el dinero de la economía a 911? Somos demasiado buenos poniendo el piso en 1000. Lo tendríamos que poner más abajo y dejar que los que especularon pierdan bastante plata. Puedo dolarizar a 911 y el piso de la banda es 1000”.El director del BCRA, Federico Furiase, sostuvo: “Acá no puede haber una devaluación porque hay un dólar que flota. Puede bajar hasta 1000 y 1000 está por debajo del dólar del viernes. Ajusta a la baja a un ritmo de 1% mensual. En un año esa banda inferior es 886. No se puede llamar a esto una devaluación. La mejor manera de minimizar cualquier impacto en precios es con los fundamentos sólidos, no hay convalidación monetaria. Eso hace que cualquier aumento de precios quede en offside y se revierta rápidamente”.Scott Bessent, secretario del Tesoro de Estados Unidos. aseguró en la declaración junto a Javier Milei: “Un hombre que tuvo el coraje de defender la Argentina oponiéndose al establishment. Ese hombre está junto a mi. Me enorgullece apoyar al presidente Milei en sus esfuerzos por volver a hacer grande a la Argentina. El presidente Milei heredó una economía lenta y una inflación que pocas veces se vio en este país. El presidente Trump, lo mismo”.Nicolás Pino, presidente de la Sociedad Rural, se refirió a las declaraciones de Javier Milei respecto a las retenciones: “¿El jueves pasado sabías que levantan el cepo? Yo tampoco. Para el 30 de junio falta todavía”.Mauricio Macri afirmó: “Le mienten cuando le dicen que Rubí fue el que hizo la campaña negativa. La campaña negativa la hicieron los brasileros. La misma que me hicieron a mi en la segunda vuelta con Scioli que después del debate estábamos 15 puntos arriba y ganamos por 1,8. No es correcto. Es una decisión de la Ciudad que contrató a Rubí”.Noticias del martes 15 de abril por María O'Donnell y equipo de De Acá en Más por Urbana Play 104.3 FMSeguí a De Acá en Más en Instagram y XUrbana Play 104.3 FM. Somos la radio que ves. Suscribite a #Youtube. Seguí a la radio en Instagram y en XMandanos un whatsapp ➯ Acá¡Descargá nuestra #APP oficial! ➯ https://scnv.io/m8Gr
En Argentina el Banco Central anunció el viernes una serie de modificaciones importantes en el régimen cambiario. Según destacó la institución, se inicia la Fase 3 del programa económico, con profundos cambios en la política destinada a administrar la relación entre el dólar y el peso. Una de las novedades más relevantes es que la cotización del dólar en el Mercado Libre de Cambios (MLC) podrá fluctuar dentro de una banda móvil entre $1.000 y $1.400. De este modo, se elimina el esquema de crawling peg que funcionaba hasta ahora y libera parcialmente la flotación del tipo de cambio. Los límites de esa banda se ampliarán a un ritmo del 1% mensual. En paralelo se desactiva el dólar blend, o sea el mecanismo que permitía liquidar exportaciones en un 80% al tipo de cambio oficial y un 20% en el financiero. Otro dato fundamental del anuncio conocido hace minutos es que se eliminan las restricciones cambiarias a las personas humanas. En otros términos: se termina con el cepo para los ahorristas que se restituyó a finales del gobierno de Mauricio Macri y se profundizó en la gestión de Alberto Fernández y de Cristina Kirchner. El Banco Central también informó que habilita la distribución de utilidades a accionistas del exterior a partir de los ejercicios financieros que comienzan en 2025 y se flexibilizan los plazos para el pago de operaciones de comercio exterior. Además, se refuerza el ancla nominal perfeccionando el marco de política monetaria, en el que no hay emisión de pesos por parte del BCRA para el financiamiento del déficit fiscal o para la remuneración de sus pasivos monetarios. Con estas decisiones, el gobierno argentino busca consolidar el proceso de estabilización, dar previsibilidad a los agentes económicos, recuperar el crédito privado y fomentar la inversión. Según el BCRA, se trata de un paso clave hacia un equilibrio económico duradero, apoyado en tres ejes: una política fiscal sin financiamiento monetario, un ancla cambiaria más flexible y una política monetaria sin emisión para pagar intereses o cubrir déficit. Conversamos En Perspectiva con Fernando Gutiérrez, nuestro corresponsal desde Buenos Aires.
Las estaciones de trenes anunciaban el siguiente mensaje por altoparlante: “Ataque a la república. La casta sindical atenta contra millones de argentinos que quieren trabajar. Si te extorsionan y te obligan a parar denunciá en el 134”.El vocero de la UTA, Mario Calegari, dijo: “Va a haber colectivos normalmente porque estamos en conciliación obligatoria y no estamos habilitados a adherirnos al paro. Estamos de acuerdo con los motivos de la medida pero dentro de la ley todo, fuera de la ley nada. Vamos a circular normalmente”.Guillermo Francos afirmó: “El salario real viene creciendo, la economía viene creciendo, la pobreza viene bajando. Todos los índices son positivos. Las medidas del gobierno vienen generando esas consecuencias. La CGT toma previsiones a las propuestas de reformas laborales que haremos cuando tengamos apoyo en el Congreso. Creo que la CGT se quiere posicionar de un lado distinto”.El vocero presidencial Manuel Adorni sostuvo: “Insultan la inteligencia de buena parte de los argentinos. Son irrespetuosos de la inteligencia de los argentinos. Nadie destruyó el poder adquisitivo de los argentinos como Alberto Fernández, a quien no le hicieron ni un solo paro. Están desenfocados porque o no entienden o lo entienden muy bien que estamos haciendo las cosas que hay que hacer y Argentina va a estar cada vez mejor. Eso les duele porque no quieren que nosotros gobernemos”.El ex presidente Mauricio Macri aseguró: “No sirven de nada los paros estos. Son parte del problema los sindicatos. Nunca han querido debatir en serio. Los llevé a todos a Europa. Vieron el modelo alemán, el holandés, el español. Dijeron “qué maravilla” volvimos acá y no apoyaron ninguna reforma. Uno habla mano a mano y te dicen todo que sí y después se cierran dejando a afuera a todos los que están en el mundo informal”.Juan Grabois dijo: “Cuando el pueblo se moviliza las Bullrich, etc, cierran el orto. Acá hay una causa justa que son los salarios de los trabajadores, la situación de los informales, los niños y nuestros abuelos”.Noticias del jueves 10 de abril por María O'Donnell y equipo de De Acá en Más por Urbana Play 104.3 FMSeguí a De Acá en Más en Instagram y XUrbana Play 104.3 FM. Somos la radio que ves. Suscribite a #Youtube. Seguí a la radio en Instagram y en XMandanos un whatsapp ➯ Acá¡Descargá nuestra #APP oficial! ➯ https://scnv.io/m8Gr
Trump redobla la apuesta y amenaza a China con aplicarle aranceles del 50% en medio de la guerra comercial: “Le pusieron un 34% a lo anterior. Es ridículo, los aranceles ya estaban y dije que si no se eliminaban mañana a las 12 les aplicaríamos un arancel del 50% por encima de los aranceles que ya habíamos establecido. Así han sido durante años, se han convertido en ricos gracias a la gente en la Casa Blanca que permitió que esto sucediera. Tengo una relación excelente con el presidente Xi, y espero que siga así, respeto mucho a China, pero no pueden hacer esto”.Elon Musk, dueño de Tesla, dijo: “Por ejemplo, espero que con los aranceles al final se llegue a un acuerdo que tanto Europa como Estados Unidos deberían encaminar, idealmente en mi opinión, hacia una situación de arancel cero, creando así una zona de libre comercio entre Europa y América del Norte”.El asesor comercial de Trump, Peter Navarro, sostuvo: “Todos en la Casa Blanca entendemos que Elon es fabricante de automóviles. Pero no es fabricante de automóviles, sino ensamblador. En muchos casos, si visitan su planta de Texas, buena parte de los motores que adquiere, que en el caso de los vehículos eléctricos son las baterías, provienen de Japón y China. La electrónica viene de Taiwán. Lo que queremos, y la diferencia radica en nuestra forma de pensar y la de Elon, es que los neumáticos se fabriquen en Akron. Queremos que las transmisiones se fabriquen en Indianápolis. Queremos que los motores se fabriquen en Flint y Saginaw. Y queremos que los automóviles se fabriquen aquí”.Mauricio Macri afirmó: “Llegó mi amigo Donald y puso todo patas para arriba. La destrucción de valor en pocos días es sin precedentes. Afecta a todos y más a un país frágil como la Argentina que está haciendo esfuerzos para tener una macro equilibrada. A mitad de ese camino te pasa esto. Esto va rumbo a una recesión mundial. A estos valores Vaca Muerta se complica”. “No hice ningún juego, los que negociaron con Cristina fueron ellos. Siempre estuve en el mismo lugar. Intentaron negociar que ella apoye, que tenga los votos para Lijo y Mansilla. Ella exigió demasiado y por suerte el presidente Milei no aceptó ampliar la Corte, un mal procurador. Siempre estuve en el mismo lugar. Se lo dije a él, le dije “no te puedo acompañar en esto”, agregó el ex presidente Macri.Axel Kicillof dijo: “La única manera de asegurar que todos puedan votar de manera simple es hacerlo dos días diferentes. Por eso, como gobernador, firmé un decreto para que la elección provincial se realice el día 7 de septiembre con el objetivo de garantizar un proceso electoral ordenado, transparente, centrado en el derecho de los bonaerenses a elegir en condiciones claras. Esta decisión está basada en una evaluación seria sobre cuál sería la solución más conveniente para garantizar ese proceso ordenado”.Noticias del martes 8 de abril por María O'Donnell y equipo de De Acá en Más por Urbana Play 104.3 FMSeguí a De Acá en Más en Instagram y XUrbana Play 104.3 FM. Somos la radio que ves. Suscribite a #Youtube. Seguí a la radio en Instagram y en XMandanos un whatsapp ➯ Acá¡Descargá nuestra #APP oficial! ➯ https://scnv.io/m8Gr
Donald Trump afirmó: "Es una pregunta estúpida. No quiero que nada baje pero a veces tienes que tomar medicina para arreglar algo. Tenemos una situación tan horrible, hemos sido tratados mal por tantos países porque tuvimos un liderazgo estúpido que permitió que esto sucediera. Se llevaron nuestros negocios, nuestro dinero, nuestros trabajos. Se mudaron a México, se mudaron a Canadá, se mudaron muchos a China. No es sostenible". El ex embajador de Argentina en Estados Unidos, Diego Guelar, afirmó que Trump nunca supo que Javier Milei estuvo en Miami. Mauricio Claver-Carone, enviado especial de Estados Unidos para América Latina, sostuvo: “Argentina es un país aliado, es un aliado. Siempre buscando cómo trabajar conjuntamente para el bien. Queremos que su gestión tenga éxito. Entendemos el sacrificio enorme que ha llevado a cabo con las reformas fiscales. Es admirable y lo estamos haciendo en EEUU”. Ricardo Lorenzetti, miembro de la Corte Suprema, dijo: “Nunca aceptaría ser designado por decreto. Creo que hay que ser coherentes en la vida. Lo dije muy claramente cuando lo hizo el presidente Macri. No lo dije personalmente, fue una opinión de la Corte. Estaba Maqueda, Highton y Fayt, éramos 4. Nosotros sugerimos que no era conveniente. Ahora el presidente tomó otra decisión. Desde el punto del Ejecutivo es entendible, funcionan las instituciones, el Senado rechaza esa decisión”. Guillermo Francos se refirió a García Mansilla: “Fue designado con el carácter que establece la Constitución hasta el 30 de noviembre. Hasta ese día puede seguir siendo juez de la Corte Suprema en comisión”. Mauricio Macri afirmó que Jorge Macri “ha logrado sacar” los piquetes en la Ciudad de Buenos Aires: “Sobre todo ahora que Jorge ha logrado sacar esos piquetes, el Metrobus no para y la gente puede ir a trabajar. Fuimos al fondo de la cuestión y dimos un debate acerca de qué tiene que hacer un gobernante. Que no es lo que dicen que tiene que ver más con la conveniencia, es hacer lo correcto. La primera vez que dijimos que había que hacer una obra por las inundaciones dijeron que no podíamos hacer la pelotudez de hacer obras que no se ven. Y hoy la Ciudad resiste ese cambio climático”.Noticias del viernes 7 de abril por María O'Donnell y equipo de De Acá en Más por Urbana Play 104.3 FMSeguí a De Acá en Más en Instagram y XUrbana Play 104.3 FM. Somos la radio que ves. Suscribite a #Youtube. Seguí a la radio en Instagram y en XMandanos un whatsapp ➯ Acá¡Descargá nuestra #APP oficial! ➯ https://scnv.io/m8Gr
Las noticias del día por el equipo de De Acá En Más.Gerardo Werthein, Canciller, comentó sobre el viaje del presidente Javier Milei a Estados Unidos: “Estaría viajando mañana a Mar-a-Lago donde va a recibir un premio y seguramente habrá un encuentro informal entre Donald Trump y el presidente. Son días ocupados en EE. UU. y la agenda es bastante dinámica”.Manuel Adorni, vocero presidencial y candidato a legislador, en referencia a su candidatura, afirmó: “El presidente entiende que soy la mejor herramienta para que eso ocurra”.Sobre la relación con el PRO, Adorni expresó: “Hasta ahora estamos intentando imponer ideas, no tenemos mayoría ni mucho menos y como no compartimos agenda con el PRO en la Ciudad, no logramos imponer ideas”.Silvia Lospennato, diputada nacional y candidata por el PRO, también se refirió al papel del PRO en la política argentina, diciendo: “Los libertarios se equivocaron de adversario. El PRO siempre ha colaborado y yo lo hice y lo voy a seguir haciendo”.Horacio Rodríguez Larreta, ex jefe de Gobierno de la Ciudad de Buenos Aires, en un comentario sobre Mauricio Macri, expresó: “Él perdió con Alberto Fernández, el peor presidente de la historia argentina”.Jorge Macri, jefe de Gobierno porteño, también se refirió a Horacio Rodríguez Larreta, afirmando: “Se ha transformado en un opositor más. Lo lamento sinceramente, lamento que haya abandonado una fuerza que le permitió llegar a ser jefe de gobierno”.Finalmente, el Papa Francisco se refirió a la tecnología, afirmando: “La tecnología es fruto de la inteligencia que Dios nos ha dado, pero hay que usarla bien. No puede beneficiar a unos pocos mientras que otros quedan excluidos”.Noticias del martes 2 de abril por el equipo de De Acá en Más por Urbana Play 104.3 FM
Mauricio Macri se refirió a Karina Milei: “Karina Milei su obsesión es ir por el PRO. No la conozco porque ella no ha querido hablar mano a mano conmigo. La he visto 2 o 3 veces pero eso no es conocer a una persona. No puedo creer que al partido que le aprobó la Ley Bases, que le evitó que le volteen el DNU, después del espectáculo bochornoso de sus diputados pegándose y con megáfonos sacó el DNU para que negocien con tranquilidad con el FMI. La respuesta es una lista de Karina Milei que su obsesión es criticar al PRO”. Mauricio Macri sobre el tipo de cambio: “El presidente y el ministro de Economía saben muy bien que hay que apoyar fuerte para que Argentina crezca en sus exportaciones. Las exportaciones están sufriendo. Esto se arreglaría bajando impuestos o teniendo otro tipo de cambio. Vamos a bajar impuestos, el tema es que hoy la falta de superávit fiscal más cómodo hace que todavía no puedan bajar impuestos. Estamos trabados ahí porque con estos impuestos es muy difícil producir y crecer en Argentina”. El presidente de LLA en Buenos Aires, Sebastián Pareja, se refirió a los dichos de Macri: “Las declaraciones del ex presidente son desafortunadas propias de alguien sin rumbo o alguien muy mal asesorado. No sé quién es el grupo que lo asesora pero me imagino que viene más de ahí que de su propio pensar”. El abogado de CFK, Carlos Beraldi, dijo: “Ante la pregunta de si Cristina teme ir presa. Mire, por lo que la conozco en estos 10 años, Cristina nunca tiene miedo. Cristina está convencida de la tarea que desarrolla y sabe por qué este proceso existe. Este proceso existe porque ha hecho muchas reformas que hay gente que no se lo perdonan”. Beraldi se refirió a García Mansilla: “El problema que se presenta es que este juez que se designó en comisión, que no tiene estabilidad, es el que tiene que resolver este planteo. Se encuentra severamente minada su imparcialidad ante el caso. Es un hecho público que el PJ se va a oponer a que progrese el pliego en el Senado. Con lo cual estamos ante un panorama que determina que este juez no pueda intervenir en este proceso”. La senadora Teresa García (UxP) se refirió a la posible candidatura de CFK en provincia de Buenos Aires: “Si se desdobla y no hay PASO primero va a haber que resolver con qué instrumento se resuelve la representación. No es cualquier cosa”. Carlos Bianco sostuvo: “El gobernador fue muy claro en su posición: suspender las PASO. Entre otras cosas porque la gente ya no sabe que hay PASO en la provincia. He hecho el ejercicio familiar y social de preguntar por las PASO y nadie sabe que hay paso. Todo el mundo cree que no existen más las PASO. Le pedimos a la Legislatura que defina de modo urgente esta situación”.Noticias del martes 1 de abril por el equipo de De Acá en Más por Urbana Play 104.3 FMSeguí a De Acá en Más en Instagram y XUrbana Play 104.3 FM. Somos la radio que ves. Suscribite a #Youtube. Seguí a la radio en Instagram y en XMandanos un whatsapp ➯ Acá¡Descargá nuestra #APP oficial! ➯ https://scnv.io/m8Gr
El ministro de Economía, Luis Caputo, afirmó que “de ninguna manera” habrá devaluación y luego aseguró: “Lo que tenés que tener es la macro ordenada para que no haya cimbronazo. No hay posibilidad de cimbronazo. Ese 1400 de hace 9 meses es el equivalente de 1600 de hoy. Hay muchos militando corridas porque el dólar vale 1300. Es un 15% de cuando nosotros llegamos y lo veían en 2000, 3000, 8000”. “No estamos mirando el día a día porque diseñamos algo sólido de largo plazo. La inflación va a colapsar, el dólar no va a ser un problema. Esto la gente lo va a ver en la práctica. Algunos me creerán y otros no”, agregó Toto Caputo.El jefe de Gabinete, Guillermo Francos, detalló: “Apareció el tema económico con relación a estos intentos de golpe de mercado. No son tantos, son comentarios que hacen algunos economistas que llevan a una inestabilidad. Vienen hablando de una devaluación que no tiene nada que ver con la realidad de la Argentina. No existe esa posibilidad, no va a haber una devaluación”.Sobre la inflación, Luis Caputo sostuvo: “La verdad que cuánto va a ser el índice de abril nadie puede saberlo. No importa si es abril, mayo, la inflación va a colapsar, es un tema de tiempo. Cuando hacés las cosas bien los resultados salen. Argentina siempre le fue mal porque fue un pésimo alumno y hoy es uno de los 5 mejores alumnos del mundo”.Luis Majul contó: “Mientras estábamos haciendo la entrevista me escribió el presidente Milei proque en una de las preguntas dije que el presidente me había dicho que dependía de cuánto era el primer tramo del desembolso para ver si el crawling peg pasaba de 1% a 2%. Me dijo que él nunca dijo eso. Dijo que podía pasar a 0%. Cumplo en aclarar lo que me dice el presidente sin ningún tipo de pudor porque no entiendo nada de economía”.Mauricio Macri aseguró que “hace rato” se interrumpieron las milanesas con Javier Milei y, además, dijo: “Ese trabajar juntos nunca existió. Terminó siendo un rescatarlos cada vez que estuvieron al borde del abismo para que el plan no se vaya al demonio. 7 distritos se cerraron y en los 7 el PRO no ha ido con LLA. Ni siquiera nos llamaron a una reunión. El “todo o nada” que planteó Javier se redujo a la provincia de Buenos Aires”.Manuel Adorni lanzó un spot anunciando su candidatura en el que afirma: “Este 18 de mayo se juega mucho más que una elección. Se juega la posibilidad de pasar la motosierra por la Ciudad. Nos dijeron que era imposible bajar la inflación, terminar con los piquetes, y acá estamos. Terminamos con los curros y con todo lo que prometimos. Es clave tu compromiso porque nadie te puede frenar la libertad”.Noticias del lunes 31 de marzo por el equipo de De Acá en Más por Urbana Play 104.3 FMSeguí a De Acá en Más en Instagram y XUrbana Play 104.3 FM. Somos la radio que ves. Suscribite a #Youtube. Seguí a la radio en Instagram y en XMandanos un whatsapp ➯ Acá¡Descargá nuestra #APP oficial! ➯ https://scnv.io/m8Gr
Sonaron las primeras señales de alarma en el plan económico, la viga maestra del gobierno. El Banco Central sigue drenando reservas y en las últimas cinco ruedas vendió U$S 1.134 millones de dólares. ¿La Argentina va rumbo a una devaluación inexorable? Esa es la pregunta que muchos se hacen. No pocos especialistas afirman que la devaluación llegará más tarde o más temprano. En el gobierno se preocupan que ello afecte las chances electorales de La Libertad Avanza. Mientras tanto el acuerdo con el FMI no se cerró aunque la Cámara de Diputados aprobó el Decreto de Necesidad y Urgencia que Milei se autoriza a sí mismo a endeudarse.Cristina Fernández de Kirchner ya no podrás ir a Disney por la administración de Donal Trump le prohibió el ingreso a los Estados Unidos a ella, a sus hijos y a Julio De Vido por estar involucrados en casos de corrupción. Javier Milei necesita un acuerdo con el PRO, pero no con Mauricio Macri. La foto de esta semana con Karina y Javier junto a sus operadores políticos y Diego Santilli y Cristian Ritondo lo dejaron bien claro. Recomendamos: The man on high castle (Prime) El trailer lo podés ver acá https://bit.ly/41TaB4NGRACIAS POR TU DONACIONSi querés y podes ayudarnos a financiar Micro Mundos. Es muy fácil, sólo te pedimos que nos invites un cafecito..o también varios. Esa es tu decisión. Tus donaciones son muy importantes para que podamos seguir creciendo y mejorando. Micro Mundos seguirá siendo gratis e independiente por eso tu colaboración es indispensable. Si querés colaborar con Micro Mundos podés invitarnos un cafecito desde este link https://bit.ly/4ckPD2rTu apoyo significa mucho, nos ayuda a crecer y a mejorar.¡Muchas gracias!Suscribite a Micro Mundos en SpotifySuscribite a Micro Mundos en ApplepodcastSuscribite al canal de Youtube Mis Redes SocialesSeguime en X: @martinpittonSeguime en Instagram @pittonmartin Seguime en Facebook
Axel Kicillof se refirió a Bahía Blanca: “Esto no es ningún castigo bíblico, ni una película de terror, sino que es producto del cambio climático. Es momento de dejar en claro que eventos como este hay que preverlos, estar preparados porque Bahía misma tiene registro reciente de situaciones que nunca se habían producido”.Mauricio Macri dijo: “No hay más remedio por más que lo entiendo a Milei que sentarse con Kicillof no sea agradable, pero no hay más remedio. No hay alternativa, puede hacerlo por sistema financiado, pero el Estado tiene que licitar, no hay otra”. “Hay que poner en valor un plan de obras hidráulicas en todo el país. En Neuquén hay un riesgo muy grande y una represa lo solucionaría. Hay que poner en marcha las obras que las tiene que hacer el Estado porque está en riesgo la vida de la gente”, agregó el ex presidente.Guillermo Francos aseguró: “No sé qué es lo que piensa el presidente Macri y cuales son las obras a las que se refiere. Cuando asumimos el país estaba destrozado económica y financieramente. En esa situación no se puede hablar de obra pública porque no hay plata. Con la reconstrucción del país veremos cuáles son los mecanismos para hacer las obras”.Patricia Bullrich sostuvo: “El gobierno ha hecho un aporte a la reconstrucción de la ciudad. El primer día mandó 10 mil millones de pesos. Otra cosa es cómo se reconstruye la vida de los ciudadanos. Sus casas, los negocios, estamos estudiando. Hemos pasado con Petri las necesidades que nosotros vemos en la calle. Lo pasamos al ministro de Economía y tiene que analizarse de acuerdo a las posibilidades que tenemos en el país”.En un video hecho con IA que subió Javier Milei a su cuenta de Instagram, un locutor afirma: “El mejor gobierno de la historia firmó el decreto que implica el acuerdo con el Fondo. donde por primera vez el fin del mismo es reparar el daño que la política le ha provocado a los ciudadanos vía el abuso del gasto público”.El diputado José Luis Espert dijo: “Yo fui a JXC, no había lugar con Patricia y qué iba a ir con la izquierda o el radicalismo. Lo menos malo era Larreta. No lo milité. Estuve con Larreta pero milité las ideas liberales. ¿Cuando hablé de otra cosa que no sea libertad? En la vida hace uno lo que quiere pero muchas veces lo que puede”.Noticias del miércoles 12 de marzo por María O'Donnell y el equipo de De Acá en Más por Urbana Play 104.3 FMSeguí a De Acá en Más en Instagram y XUrbana Play 104.3 FM. Somos la radio que ves. Suscribite a #Youtube. Seguí a la radio en Instagram y en XMandanos un whatsapp ➯ Acá¡Descargá nuestra #APP oficial! ➯ https://scnv.io/m8Gr
La senadora del PRO Guadalupe Tagliaferri no duda en calificar como “patoteros”, a quienes agredieron al diputado Facundo Manes en el Congreso. Un hecho que tuvo como protagonista al principal asesor del presidente Javier Milei, Santiago Caputo, que increpó y amenazó violentamente al legislador opositor. En esta extensa entrevista, la senadora Tagliaferri afirma que el gobierno “no quiere que nadie le diga algo distinto que su relato” y que a poco más de la llegada al poder de Javier Milei se van descubriendo com lo que son: patoteros. La senadora Tagliaferri conoce al detalle la polémica del nombramiento en comisión de los jueces Manuel García Mansilla y Ariel Lijo a la Corte Suprema de Justicia de la Nación, porque es la presidente de la Comisión de Acuerdos del Senado. “Me sorprendió que García Mansilla asumiera porque dijo frente al Senado que no lo iba a hacer”.“Estos jueces si no toman las decisiones que Milei quiere los puede sacar, entonces no son independientes”.A lo largo del reportaje de más de media hora, la senadora Tagliaferri también se refirió a la reaparición en la escena política de Horacio Rodriguez Larreta, a la situación del PRO y de Mauricio Macri y la gestión en la Ciudad de su primo Jorge. GRACIAS POR TU DONACIONSi querés y podes ayudarnos a financiar Micro Mundos. Es muy fácil, sólo te pedimos que nos invites un cafecito..o también varios. Esa es tu decisión. Tus donaciones son muy importantes para que podamos seguir creciendo y mejorando. Micro Mundos seguirá siendo gratis e independiente por eso tu colaboración es indispensable. Si querés colaborar con Micro Mundos podés invitarnos un cafecito desde este link https://bit.ly/4ckPD2rTu apoyo significa mucho, nos ayuda a crecer y a mejorar.¡Muchas gracias!Suscribite a Micro Mundos en SpotifySuscribite a Micro Mundos en ApplepodcastSuscribite al canal de Youtube Mis Redes SocialesSeguime en X: @martinpittonSeguime en Instagram @pittonmartin Seguime en Facebook
El Senador Nacional Marcelo Lewandowski pasó por los estudios de Radio UNR y brindó su mirada sobre diversos temas apuntando su crítica en las gestiones de Javier Milei, Maximiliano Pullaro y Pablo Javkin.“En la política hay un desorden muy grande y en algunas cuestiones alejados de la institucionalidad”, dijo haciendo referencia a las actitudes del presidente Javier Milei en temas, por ejemplo, al nombramiento de jueces para la Corte Supremo a través de un decreto, pero señala que “Milei ya arranco su gobierno dándole la espalda al Congreso, luego siguió con los DNU. A esto hay que sumarle que se cambian resultados en las votaciones legislativas o la mochila de Kueider; todas cosas que hay que advertirle a la sociedad que no son normales y que a la larga este tipo de cosas le termina afectando la vida cotidiana a la gente”.Puntualmente en cuanto a las designaciones por decreto de Ariel Lijo y Manuel José García Mansilla como nuevos jueces de la Corte Suprema de Justicia de la Nación el senador afirmó que “así se pisotea la división de poderes”: “Meter dos jueces de prepo lo intentó hacer Mauricio Macri también pero no pudo y tuvo que retroceder y el único antecedente es de principios de Siglo XX y con esta Constitución no hay ninguno”.A la pregunta de cómo se sale de este desorden que plantea responde: “No va a ser una salida normal, veo tiempos muy difíciles porque la gente está muy enojada y tengo una sensación de impotencia con los cinco votos de los radicales que en el Senado impidieron la creación de una Comisión Investigadora por el criptogate. Les confieso que en ese momento tenía ganas de irme a mi casa y no votar más nada en el Senado”, dijo el legislador santafesino.En estas situaciones para Lewandowski “la política se auto sabotea y hace creer que la mochila de Kueider ahora la terminamos teniendo todos. Falta credibilidad y tampoco la hay en las instituciones y un país no puede salir adelante sin ellas y con un individualismo creciente o con el clásico sálvese quien pueda”.“Independientemente lo que marquen las encuestas la gente se está dando cuenta para donde vamos, en Santa Fe cerraron 1400 empresas de unas 6000 que teníamos, por ejemplo, que la obra pública totalmente frenada y que gobernar es generar trabajo, pero si la gente pierde empleo algo estás haciendo mal sin dudas y la gente se está dando cuenta”, afirma Lewandowski.Por otra parte, Marcelo Lewandowski calificó al gobernador Maximiliano Pullaro como “un ambicioso y obsesivo del poder” y advirtió que “si no hay un freno en la constitución, Santa Fe va a estar complicada la situación porque alguien que va a buscar la reelección es el primer candidato para la Convención Constituyente, realmente no hay otra imagen más clara de esto que digo”.“Pullaro tomo el tema de la seguridad como premisa y tuvo un acompañamiento de Nación, aunque no me creo el cuentito de rosa que ya todo está bien y salimos”, tiró Lewandowski.El legislador afirma que en el mientras tanto “pasaron cosas graves como el asesinato en plena avenida Avellaneda del líder de la barra brava de Rosario Central y no sabemos bien que pasó. Entiendo que los números de muertos en la tabla de posiciones bajó pero el consumo de drogas en menores es cada vez más grande con un gran desamparo social. No creo que se resolviera el problema”.En este sentido afirma que “esto no se soluciona metiendo más cárceles; en los últimos 10 años se triplicó la cantidad de presos y no se resolvieron problemas, tenemos que meter manos en las causas, así como darle mayores posibilidades a los pibes en los barrios; tanto en educación como en trabajo”, dijo.Además advierte que “hay delitos que se profundizaron como el mercado negro para comprar celulares o cubiertas de autos. Crecieron las entraderas y los escruches y esto también es parte de la seguridad que quiere tener la gente”.Lee la nota completa en marcelolewandowski.com
Javier Milei afirmó durante su discurso en el BID: “El desempleo no aumentó, estamos creando puestos de trabajo cosa que Argentina no hacía desde 2011. Los salarios en dólares se triplicaron, los formales. La pobreza ha caído de niveles del 57% al 33% sacando de la pobreza a 10 millones de argentinos”. Milei se molestó cuando comenzó a sonar su teléfono y dijo: “Es el mío. Anunciamos que íbamos por mi canal de Instagram y siempre hay un imbécil malnacido, sabe que interrumpe la charla. Argentina es así, tiene un montón de cabezas de termo que hacen estas cosas. Algunos casos son cabezas de pulpo porque tiene su aparato digestivo en la cabeza, con lo cual la tiene llena de excremento”. “A esos simpáticos que quieren molestar en la conferencia… bueno… sabrán que en un debate tenía tosedores, imaginense que de Argentina pueden esperar cualquier cosa. Sigue, sigue el cabeza de pulpo. No va a parar porque no quiere que se transmita”, agregó el presidente.Mauricio Macri aseguró: “Él vive diciendo que del 1 al 10 quiere 10 una alianza. El problema es que se maneja con un triángulo de hierro y los otros dos quieren cero. Es difícil. 10+0+0=10 y dividido 3 es 3,33. No estamos muy bien en las posibilidades”.Donald Trump dijo en su discurso durante la CPAC: “Se convirtió en presidente también, es un hombre MAGA, hacer grande a la Argentina de nuevo, ¿verdad? Sigo escuchando sobre este hombre en la hermosa Argentina. Era hermosa pero la inflación la hizo menos hermosa. Escucho que lo estás haciendo fantástico, estamos muy orgullosos de vos. Hacer a Argentina grande de nuevo”.Patricia Bullrich afirmó que Milei no fue engañado y que llamarlo estafador es una “gran exageración”.Un ex asesor de Milei, Augusto Grinner, dijo: “Yo le escribo (a Milei) comentándole que ya había varios empresarios que decían que querían acercarse a él o a la LLA para hacer aportes y que les pedían plata. Puntualmente Carlos Kikuchi. Nos enteramos que hacía esto. El tipo decía “me tenés que pagar””.Noticias del lunes 24 de febrero por María O'Donnell y el equipo de De Acá en Más por Urbana Play 104.3 FMSeguí a De Acá en Más en Instagram y XUrbana Play 104.3 FM. Somos la radio que ves. Suscribite a#Youtube. Seguí a la radio en Instagram y en XMandanos un whatsapp ➯ Acá¡Descargá nuestra #APP oficial! ➯ Android ➯ iOS
El senador Marcelo Lewandowski fue entrevistado por Mauro Federico en Wake Up sobre el rechazo a la conformación de una comisión investigadora del Criptogate, las otras votaciones que se dieron en el Senado y la actualidad económica y productiva de la Argentina."Fue una jornada compleja, hubo 6 senadores que cambiaron el voto. Es verdad que lo de Eduardo Vischi es más grave porque es el que firma el proyecto, pero votaron con una diferencia de 5 minutos. Había que tener 48 votos para que se acepte el tratamiento sobre tablas del proyecto que presentó la Unión Cívica Radical para conformar una comisión para tratar la criptogate. Se logran 53 votos de los 48. El próximo paso es votar la conformación de la comisión, de 53 se pasó a 47 votos, faltó uno. Es doblemente grave porque no se conforma la comisión y ese proyecto queda en desuso porque con el tratamiento sobre tablas impide volver a llevarlo al recinto en este período. Se genera un doble problema, el Senado no va a poder investigar algo tan grave""El 80% de la producción nacional que se exporta sale de la vía navegable troncal del Paraná, de los puertos. Yo lo acentuaba en que no hay una agenda productiva en el Senado, son todos temas vinculados a la justicia penal o le interesan a la política el tema de las PASO. Nosotros presentamos una ley de inversiones productivas, que los presentamos en todas las cámaras y que se suma especie de RIGI para Pymes porque no están incluidas. Lo presentamos y no tuvo ni tratamiento, ni siquiera mirarlo en alguna comisión. Tiene que ver con que las empresas puedan debitar sus inversiones del impuesto a las ganancias y bajarle el impuesto como las empresas vinculadas al RIGI""Como esa, hay otros proyectos presentados, pero nadie discute producción. Hacen la licitación internacional más grande que tiene la Argentina, la única del 2024. Se presentó una sola empresa y en el día de abrir los sobres la declararon desierta. Nosotros preguntamos cuales son esos fundamentos y los costos que le van a significar a Argentina este tipo de cosas. El director ejecutivo de la agencia nacional de puertos, Iñaki Arreseygor, le echó la culpa a Mauricio Macri y a Dietritch""Esto se inscribe en la sospecha de todo el círculo del gobierno al respecto de la compra de aviones con el Ministro Luis Petri. Ayer se conoció un hecho muy grave también, que es la conversión de Sociedad Anónima del Banco Nación. Estaba hablando el secretario general de la bancaria, Sergio Palazzo, que es poner al banco como garante de futuros préstamos. Pero después viene la venta de las acciones, donde se termina privatizando. Es una cadena de cuestiones que son muy graves, de un banco que -lejos de dar perdida- es uno de los que sostiene la producción nacional""Los grandes préstamos con tasas subsidiadas, los últimos que se hicieron en Argentina, fueron en el gobierno anterior con el Banco Nación como protagonista. Hoy debe haber empresarios que están pagando créditos con tasas de 16%, en Santa Fe tenían tasa del Banco Nación a 24% menos el 8% que subsidiaba la provincia, por lo que pagaban el 16%. Indudablemente, cuando tenés un sentido de lo que es la producción nacional, tener una herramienta como el Banco Nación es fundamental"
Arranca la quinta temporada de Micro Mundos. Es increíble haber llegado hasta acá. Este año seguiremos tratando de entender la realidad argentina, tratando de analizar los temas con la mayor racionalidad posible en forma equilibrada y sin fanatismos. Porque para lo otro, están los otros. En el Foro Económico de Davos, el presidente Javier Milei pronunció su discurso más desafortunado. Apartándose de las cuestiones económicas, sorpresivamente salió a dar su batalla cultural y vinculó a los gays con los pedófilos. A partir de ese día, el gobierno no puede sacar el tema de los medios. Milei dice no dijo lo que dijo y que todo el mundo escuchó. Las chicanas y tergiversaciones de los libertarios no pudieron frenar la marcha antifascista para defender la diversidad sexual. Fue todo un éxito. La gente se volcó a las calles masivamente y en paz. Entrevistamos a Pablo Avelluto, ex secretario de cultura del gobierno de Mauricio Macri. Recomendamos: El mejor infarto de mi vida (Disney+) Acá podés ver el trailer https://bit.ly/4jGM5fi GRACIAS POR TU DONACION Si querés y podes ayudarnos a financiar Micro Mundos. Es muy fácil, sólo te pedimos que nos invites un cafecito..o también varios. Esa es tu decisión. Tus donaciones son muy importantes para que podamos seguir creciendo y mejorando. Micro Mundos seguirá siendo gratis e independiente por eso tu colaboración es indispensable. Si querés colaborar con Micro Mundos podés invitarnos un cafecito desde este link https://bit.ly/4ckPD2r Tu apoyo significa mucho, nos ayuda a crecer y a mejorar. ¡Muchas gracias! Suscribite a Micro Mundos en Spotify Suscribite a Micro Mundos en Applepodcast Suscribite al canal de Youtube Mis Redes Sociales Seguime en X: @martinpitton Seguime en Instagram @pittonmartin Seguime en Facebook
La CGT confirmó que participará de la Marcha Federal de este sábado en rechazo a las afirmaciones del presidente Javier Milei contra la comunidad LGTBQ+. Así lo confirmaba Héctor Daer: “Vamos a estar el sábado. Cuando se habla de brutalidad, de las cosas que dijo, etc, ese es el camino que marca el presidente. Si hay algo que tiene es honestidad intelectual, dice lo que piensa. Que después lo quieran deformar y matizar… esa es la batalla cultural de fondo”. Carlos Bianco, ministro de Gobierno bonaerense, , se refirió a la marcha convocada para el próximo sábado: “El gobierno de la provincia, sus ministros, los intendentes, vamos a convocar y participar porque lo que muestran las declaraciones y algunos hechos concretos es la gravedad del caso”. La presidenta del bloque de LLA en la Legislatura porteña, Pilar Ramírez, se refirió al pase de Juan Pablo Arenaza, Silvia Imas y María Luisa González Estevarena a La Libertad Avanza: “Estamos muy contentos. hoy LLA en la Ciudad es más grande, tiene un bloque más sólido y sigue avanzando con mucha fuerza. Es un trabajo que veníamos haciendo hace bastante tiempo con 3 legisladores con una potencia enorme y que van a fortalecer este bloque. Es un paso decisivo hacia un paso común que venía llevando adelante Karina y Patricia que la vio desde el minuto cero”. Luego de la reunión con Mauricio Macri, Silvia Lospenatto afirmó: “Las personas tienen que estar en el lugar donde se sientan cómodos. Estar en un partido es una opción, nadie está obligado. Creemos en los valores del PRO”. El semador Luis Juez aseguró: “Yo nunca estuve en discusión si me quedaba o me iba del bloque, dije que no iba a ser presidente del bloque. Respeto que cada uno diga lo que quiere, pero no tolero la mentira. Yo dije que no iba a ser más presidente del bloque. No dije nunca que me iba a LLA. Que voy a acompañar a este gobierno claramente que lo voy a acompañar. Donald Trump anunció: “Estoy asignando una orden ejecutiva para instruir a los departamentos de defensa y seguridad del territorio para empezar a construir la instalación migrante para 30.000 en Guantánamo. La mayoría de la gente ni siquiera lo sabe, tenemos 30.000 camas en Guantánamo para detener a los peores criminales extranjeros ilegales amenazando al pueblo estadounidense. Algunos de ellos son tan malos que ni siquiera confiamos en que los países los retengan. No queremos que regresen así que los enviaremos a Guantánamo”. Noticias del jueves 30 de enero por María O'Donnell y el equipo de De Acá en Más por Urbana Play 104.3 FM Seguí a De Acá en Más en Instagram y X Urbana Play 104.3 FM. Somos la radio que ves. Suscribite a #Youtube. Seguí a la radio en Instagram y en X Mandanos un whatsapp ➯ Acá ¡Descargá nuestra #APP oficial! ➯ Android ➯ iOS
El intendente de Tres de Febrero, Diego Valenzuela, abandona el Pro y se incorpora de manera oficial a LLA: “Esta decisión la tomo pensando en que es un espacio en el que hay un montón de gente del PRO. No soy el único. Empezando por Patricia, Struzenegger, Caputo, Petri. Puedo aportar mucho más, tener más impacto y transformar la provincia de Buenos Aires”. Martín Yeza se refirió al pase de Diego Valenzuela a La Libertad Avanza, y afirmó: “No está bueno porque si bien Diego es intendente y su lugar se lo ganó él a la vez creo que en lo humano al final del camino no son del todo sanas”. El diputado Yeza aseguró que Mauricio Macri está pensando en ser candidato. El intendente de 25 de Mayo, Ramiro Eguen, se refirió a su pase a La Libertad Avanda: “Empecé a consultar a mis electorado y socios políticos y he encontrado unanimidad para dar este saldo y este paso hacia la consolidación de LLA que quiere destronar al kirchnerismo en la provincia de Buenos Aires y que no vuelvan a gobernar nuestro distrito”. Nicolás Pino, presidente de la Sociedad Rural Argentina, cuestionó las retenciones: “Se decidió pedir una audiencia al ministro Caputo, al secretario de Agricultura para ver la posibilidad de un alivio fiscal porque los números están muy finos en todo lo que es cosecha”. Axel Kicillof aseguró: “Si se abren las importaciones y se deja el dólar fijo los insumos y todo lo relacionado al dólar reduce la inflación y el ingreso de importaciones genera un movimiento distinto de precios. No hay ventas, no se mueve el dólar, de eso se trata el Plan Milei. Esto tiene dos víctimas: la producción y el trabajo”. El presidente compartió en sus redes sociales el video de un joven estadounidense que asegura que lo expulsaron del colegio por usar una remera con la inscripción “solo hay dos géneros”. Noticias del viernes 17 de enero por María O'Donnell y el equipo de De Acá en Más por Urbana Play 104.3 FM Seguí a De Acá en Más en Instagram y X Urbana Play 104.3 FM. Somos la radio que ves. Suscribite a #Youtube. Seguí a la radio en Instagram y en X Mandanos un whatsapp ➯ Acá ¡Descargá nuestra #APP oficial! ➯ Android ➯ iOS
Durante su discurso en la movilización realizada en Caracas, la dirigente venezolana María Corina Machado afirmó: ““Hagan lo que hagan mañana se terminan de enterrar. La prueba de fuego que termina de condenar a este sistema. que nadie tenga dudas, lo que hagan mañana sentencia el final del régimen”. Durante la movilización en favor del gobierno de Nicolás Maduro, el ministro del Interior de Venezuela Diosdao Cabaellos aseguró: “Ella está loca por que la capturemos. Ese era el plan de ella, decirle al mundo que fue capturada para ver qué generaba. Como vio que no generó nada salió con el rabo entre las piernas diciendo que estaba bien y que se le había perdido su cartera. ¡Un invento! ¡Una mentira!”. En un video publicado por Telesur luego de haber sido detenida en la marcha en contra del régimen de Nicolás Maduro, María Corina Machado fue liberada y afirmó: “Estoy bien, estoy segura, hoy es 9 de enero. Ha sido una movilización maravillosa. Me persiguieron, se me cayó mi cartera en la calle y ya estoy bien. A salvo. Venezuela será libre”. Jorge Macri sostuvo: “(Mauricio) Dijo que iba a estar donde el partido lo necesite. Ojo que una vez nos dijeron que si queríamos competir que armemos un partido y les ganamos. Ojo que se viene Mauricio Macri candidato, eh. Encima el tipo nació en provincia, tiene domicilio en Ciudad. La puede seguir a Cristina a donde haga falta”. Bertie Benegas Lynch se refirió a las declaraciones de Javier Milei respecto a una alianza con el PRO: “Parece de una enorme generosidad e inteligencia política y de interés por el futuro de la Argentina. Me parece de una gran generosidad y grandeza. Me parece que el PRO debería reaccionar en el mismo sentido”. Patricia Bullrich se refirió a la comunidad mapuche Lof Pailako desalojada en Los Alerces: “Desde el 2006 rigió una ley inconstitucional que permitía que la tierra usurpada siguiese usurpada. Se le da más derecho a la usurpación que a la propiedad privada. El presidente Milei la derogó y esto permitió poner en marcha todos aquellos pedidos de desalojo”. Noticias del viernes 10 de enero por el equipo de De Acá en Más por Urbana Play 104.3 FM Seguí a De Acá en Más en Instagram y X Urbana Play 104.3 FM. Somos la radio que ves. Suscribite a #Youtube. Seguí a la radio en Instagram y en X Mandanos un whatsapp ➯ Acá ¡Descargá nuestra #APP oficial! ➯ Android ➯ iOS
Javier Milei le hizo un guiño a Mauricio Macri de cara a las elecciones: “Estoy dispuesto a conversar con el presidente Macri. Tengo vocación activa de ir a un acuerdo total en todo el país y terminar con el kirchnerismo”. Patricia Bullrich se refirió a las declaraciones de Javier Milei respecto a una alianza con Mauricio Macri: “Uno siempre intenta juntar todas las fuerzas que quieran trabajar por los principios que llevamos adelante. Uno tiene que ser abierto y traer a todos”. Milei se refirió a los gobernadores dialoguistas que no quieren acompañar al oficialismo en las elecciones nacionales, y afirmó: “Creo que no se quieren alinear con la gestión del mejor gobierno de la historia, es raro. No será que hay una cuestión miserable de cuidar la quintita, de pensar en chiquito”. Sobre el cepo, Milei dijo: “El problema de stocks del BCRA es en torno a los 11 o 12 mil millones de dólares. Si nosotros los llegamos a conseguir ya sea del Fondo o de fondos de inversión muy importantes se cale del cepo porque se terminó el problema de los stocks”. Milei se refirió a Victoria Villarruel: “ No está en línea con lo que los argentinos quieren. La última definición sobre la remuneración fue desafortunado. El ingreso medio es cerca de los argentinos es cerca de 450 mil pesos. Decir que ganar 4 millones es ganar chirolas es estar desconectado de la realidad”. Patricia Bullrich cuestionó el Sudamericano en Venezuela: “¿Se puede hacer en Venezuela un Sudamericano? Habrá que cambiar de sede, la CONMEBOL lo tendrá que pensar. Argentina no va a mandar chicos que los pueden secuestrar. ¿Qué diferencia puede haber entre tener un jugador de fútbol y un gendarme? Los pueden acusar de cualquier cosa. Es un riesgo”. Lula Da Silva declaró: “Hoy es el día para decir alto y claro: todavía estamos acá. Para decir que estamos vivos y que la democracia está viva, al contrario de lo que planearon los golpistas del 8 de enero de 2023. Estamos aquí mujeres y hombres de diferentes creencias e ideologías unidos por una causa en común. Estamos acá para decir para decir: Dictadura nunca más. Democracia siempre". Noticias del jueves 9 de enero por el equipo de De Acá en Más por Urbana Play 104.3 FM Seguí a De Acá en Más en Instagram y X Urbana Play 104.3 FM. Somos la radio que ves. Suscribite a #Youtube. Seguí a la radio en Instagram y en X Mandanos un whatsapp ➯ Acá ¡Descargá nuestra #APP oficial! ➯ Android ➯ iOS
Analizamos la trayectoria de Jorge Lanata, desde su etapa como periodista progresista hasta su giro hacia la derecha y su involucramiento en campañas de desinformación que favorecieron a Mauricio Macri. También se aborda el impacto de sus campañas mediáticas en la política argentina, la demonización de figuras como Cristina Kirchner y su vínculo con intereses monopólicos como el Grupo Clarín. Finalmente, se exploran las controversias tras su fallecimiento, incluidas las críticas y celebraciones de figuras como Santiago Cúneo. Mas vídeos de Pandemia Digital: https://www.youtube.com/c/PandemiaDigital1 Si quieres comprar buen aceite de primera prensada, sin intermediarios y ayudar de esa forma a los agricultores con salarios justos tenemos un código de promoción para ti: https://12coop.com/cupon/pandemiadigital/ Este video puede contener temas sensibles, así como discursos de odi*, ac*so, o discr*minación. El objetivo de abordar estos temas es exclusivamente informativo y busca concienciar a la audiencia sobre estos acontecimientos, y denunciar y señalar el origen de los mismos para crear consciencia y evitar su propagación. Si consideras que el contenido puede afectarte, te recomendamos proceder con precaución o evitar su visualización. ----------------------------------------------------------------------------------------------- Únete a nuestra comunidad de YouTube https://www.youtube.com/channel/UCFOwGZY-NTnctghtlHkj8BA/join Se mecenas de Patreon https://www.patreon.com/PandemiaDigital ----------------------------------------------------------------------------------------------- Súmate a la comunidad en Twitch - En vivo de Lunes a Jueves: https://www.twitch.tv/pandemiadigital Sigue nuestro Canal de Telegram: https://t.me/PandemiaDigital Suscríbete en nuestra web: https://PandemiaDigital.net Sigue nuestras redes: Twitter: https://twitter.com/PandemiaDigitaI Facebook: https://www.facebook.com/PandemiaDigitalObservatorio Instagram: https://www.instagram.com/pandemia_digital_twitch TikTok: https://www.tiktok.com/@pandemiadigital #PandemiaDigital
El senador Marcelo Lewandowski fue entrevistado por Tina Feria en «Una Feria Política», en Agofa TV. «Pullaro es Milei con otros modales», dijo Lewandowski. «Cuando no dignificás al trabajador y te enorgullecés por la plata que ‘ahorrás', le echás la culpa de todo y le aumentás todos los impuestos y servicios no es un buen camino de un gobernante», resaltó. «Ningún país crece cuando la timba reemplaza a la producción», enfatizó el legislador. «Este modelo de Plata Dulce con dólar barato, especulación y endeudamiento ya lo vivimos con Martínez de Hoz, en los 90 y con Mauricio Macri. Y todos sabemos cómo termina: destrozando a la industria nacional, al trabajo y fundiendo al Pueblo», explicó.
Ciro es chofer de una app de motos, la pasajera dio positivo de alcoholemia, lo multaron y retuvieron el rodado. “Me retienen la moto y me dan una multa. No tengo forma de comprobar si tomo alcohol, yo no tomé alcohol pero no me puedo hacer cargo de cada usuario. Por más que yo le haya consultado y me dice que no le dije al agente de tránsito me dijo que no era su problema, que me hace la multa. Le mostré la aplicación pero me dijo que no era su problema, que manejaba con alguien alcoholizado”, contó Ciro, el conductor de aplicación. “La pude recuperar hace dos horas con Ramiro Marra. Básicamente me pude contactar con él por Twitter y se hizo cargo de la situación. Me vino a buscar a mi casa y se encargó de todos los papeles. Hizo de intermediario porque lo etiqueté en Twitter para que me ayuden. Él fue el que más efectivo fue ayudándome, me vino a buscar a mi casa”, agregó. “Él no me dijo que no podía, no me preguntó si yo estaba alcoholizada”, dijo la pasajera. El prefecto de Maldonado, Sebastián Sorribas, se refirió al argentino desaparecido en Punta del Este: “Por el momento no hemos tenido novedades. A medida que pasa el tiempo el anillo se va agrandando. Empezamos a las 7:15 y a medida que pasa el tiempo la zona de búsqueda se amplía”. En un video subido a redes sociales por La Libertad Avanza con extractos de declaraciones, Karina Milei afirmó: “Tenemos que llevar las ideas de la libertad a cada rincón del país. Vamos a lograr que este país salga de la miseria en la que nos han metido. Las promesas para los hermanos Milei se cumplen”. El presidente de Confederaciones Rurales Argentinas, Carlos Castagnani, dijo: “Con el gobierno actual tenemos buena relación pero estamos en un momento muy delicado con precios internacionales realmente bajos, costos altos en dólares para nuestra producción. Eso hace que la rentabilidad del productor sea neutra o de quebranto”. Mauricio Macri se refirió al fallecimiento de Jorge Lanata: “Él era muy libre, soy un liberal profundo y jamás he cuestionado a aquellos que han tenido críticas. Menos se las iba a criticar a él que había afecto de por medio. Él se bancaba la discusión, que le digas lo que no estabas de acuerdo. Era una relación muy honesta. Insisto, con distintos momentos pero muchos más de coincidencias. Yo le decía que era un facho de derecha camuflado de progre”. Yuyito González, pareja del presidente, respondió un mensaje que Ángel De Brito le envió a Javier Milei preguntando por su silencio respecto a la muerte de Jorge Lanata: “respecto a la pregunta que le hiciste al presidente que él solo responde asuntos ligados a su gestión. De todas maneras, queremos desearte un 2025 maravilloso. Te mandamos un abrazo, saludos a todos, besitos”. Noticias del jueves 1 de enero por el equipo de De Acá en Más por Urbana Play 104.3 FM Seguí a De Acá en Más en Instagram y X Urbana Play 104.3 FM. Somos la radio que ves. Suscribite a #Youtube. Seguí a la radio en Instagram y en X Mandanos un whatsapp ➯ Acá ¡Descargá nuestra #APP oficial! ➯ Android ➯ iOS
La Justicia argentina declaró culpable este jueves al productor ganadero Ricardo La Regina por daños agravados en una zona de nidificación de pingüinos de Magallanes en 2021. El Tribunal de Chubut lo condenó por la destrucción de flora y fauna silvestre. RFI valora la sentencia con la asociación argentina de abogados ambientalistas, que es una de las querellantes del caso. Una condena por daño y crueldad animal, es lo que determinó la justicia argentina para Ricardo La Regina, un ganadero que explota la producción de vacunos en la provincia de Chubut, en el sur del país, y a quién se le halló culpable de la matanza de unos 175 nidos y un centenar de pingüinos en 2021 al realizar tareas de desmonte en su campo al norte de la reserva de Punta Tombo, un santuario natural para esta especie protegida, según precisó la fiscalía. Sin contar con autorización oficial ni tener en cuenta el daño ambiental de sus acciones, en ese período La Regina abrió un camino hasta el mar de más de 700 metros, hizo una pequeña laguna e instaló un alambrado electrificado para evitar que sus vacas se escaparan de la propiedad. El Tribunal declaró a La Regina “autor penalmente responsable de los delitos de daño agravado en modalidad de delito continuado y en concurso ideal con el delito de crueldad animal”. Las partes aguardan ahora al lunes para conocer la pena establecida por el tribunal.Este caso, conocido como “la masacre de pingüinos de Punta Tombo”, tuvo una gran repercusión mediática en Argentina. La pingüinera de Punta Tombo es una de las grandes atracciones turísticas de la costa patagónica y las organizaciones ambientalistas juntaron miles de firmas para exigir que se hiciera justicia.La asociación argentina de abogados ambientalistas, que es una de las querellantes del caso junto a Greenpeace y la fundación Patagonia Natural, celebró el veredicto y lo calificó de "histórico". Su co-director ejecutivo, Lucas Michelaud, ha señalado en la antena de RFI: "Tenemos la esperanza de que esto sea un punto de inflexión para que se den otros juicios en otras partes del país de crímenes contra la naturaleza. Lo que sucedió en Punta Tombo no fue un delito entre particulares sino contra el medio ambiente y se condenó al acusado por haber dañado la fauna y flora, el hábitat reproductivo. Creemos que este antecedente puede ahora ser replicado"Para el abogado ambientalista, este fallo es una luz en Latinoamérica dónde ha habido mucha impunidad ambiental."Latinoamérica tiene una historia muy fuerte relacionada con la impunidad medioambiental que es la que promueve las grandes corporaciones, las grandes emoresas. Creemos que las cortes latinoaméricas tienen que trabajar en una sinergia y hay siempre un fortalecimiento de argumentaciones entre lo que resuelve un país y otro. Todas estas resoluciones que configuran un gran hito a nivel nacional tienen siempre rebotes o impactos en toda la región" ha señalado Lucas Michelaud en el espacio Noticias de América de RFI. La reserva de Punta Tombo, que se extiende a lo largo de más de 210 hectáreas y se ubica sobre la costa del océano atlántico argentino, es una de las principales y más numerosas colonias continentales de cría del pingüino de Magallanes, una especie considerada casi amenazada, por la actividad humana, la petrolera, la pesca intensiva y los efectos del cambio climático en los océanos. El expresidente Mauricio Macri fue una de las voces que se alzaron para exigir leyes específicas que castiguen los delitos ambientales y la formación de técnicos que los sepan investigar.
La Justicia argentina declaró culpable este jueves al productor ganadero Ricardo La Regina por daños agravados en una zona de nidificación de pingüinos de Magallanes en 2021. El Tribunal de Chubut lo condenó por la destrucción de flora y fauna silvestre. RFI valora la sentencia con la asociación argentina de abogados ambientalistas, que es una de las querellantes del caso. Una condena por daño y crueldad animal, es lo que determinó la justicia argentina para Ricardo La Regina, un ganadero que explota la producción de vacunos en la provincia de Chubut, en el sur del país, y a quién se le halló culpable de la matanza de unos 175 nidos y un centenar de pingüinos en 2021 al realizar tareas de desmonte en su campo al norte de la reserva de Punta Tombo, un santuario natural para esta especie protegida, según precisó la fiscalía. Sin contar con autorización oficial ni tener en cuenta el daño ambiental de sus acciones, en ese período La Regina abrió un camino hasta el mar de más de 700 metros, hizo una pequeña laguna e instaló un alambrado electrificado para evitar que sus vacas se escaparan de la propiedad. El Tribunal declaró a La Regina “autor penalmente responsable de los delitos de daño agravado en modalidad de delito continuado y en concurso ideal con el delito de crueldad animal”. Las partes aguardan ahora al lunes para conocer la pena establecida por el tribunal.Este caso, conocido como “la masacre de pingüinos de Punta Tombo”, tuvo una gran repercusión mediática en Argentina. La pingüinera de Punta Tombo es una de las grandes atracciones turísticas de la costa patagónica y las organizaciones ambientalistas juntaron miles de firmas para exigir que se hiciera justicia.La asociación argentina de abogados ambientalistas, que es una de las querellantes del caso junto a Greenpeace y la fundación Patagonia Natural, celebró el veredicto y lo calificó de "histórico". Su co-director ejecutivo, Lucas Michelaud, ha señalado en la antena de RFI: "Tenemos la esperanza de que esto sea un punto de inflexión para que se den otros juicios en otras partes del país de crímenes contra la naturaleza. Lo que sucedió en Punta Tombo no fue un delito entre particulares sino contra el medio ambiente y se condenó al acusado por haber dañado la fauna y flora, el hábitat reproductivo. Creemos que este antecedente puede ahora ser replicado"Para el abogado ambientalista, este fallo es una luz en Latinoamérica dónde ha habido mucha impunidad ambiental."Latinoamérica tiene una historia muy fuerte relacionada con la impunidad medioambiental que es la que promueve las grandes corporaciones, las grandes emoresas. Creemos que las cortes latinoaméricas tienen que trabajar en una sinergia y hay siempre un fortalecimiento de argumentaciones entre lo que resuelve un país y otro. Todas estas resoluciones que configuran un gran hito a nivel nacional tienen siempre rebotes o impactos en toda la región" ha señalado Lucas Michelaud en el espacio Noticias de América de RFI. La reserva de Punta Tombo, que se extiende a lo largo de más de 210 hectáreas y se ubica sobre la costa del océano atlántico argentino, es una de las principales y más numerosas colonias continentales de cría del pingüino de Magallanes, una especie considerada casi amenazada, por la actividad humana, la petrolera, la pesca intensiva y los efectos del cambio climático en los océanos. El expresidente Mauricio Macri fue una de las voces que se alzaron para exigir leyes específicas que castiguen los delitos ambientales y la formación de técnicos que los sepan investigar.
"El liderazgo es un verbo que compartimos todos en la condición humana." ¿Cómo generar liderazgos más humanos? ¿Qué tipo de líderes estamos desarrollando en lo público y privado a nivel regional y mundial? En el episodio 106 de CONVERSACIONES [CON IMPACTO], el podcast de IMPACT/LATAM, conversamos con Marcos Peña sobre la dimensión humana del liderazgo y la importancia del autocuidado y la salud mental en posiciones de poder. Marcos destaca acerca del valor del feedback y la conexión humana para un liderazgo auténtico, mientras reflexiona sobre el síndrome de hybris y la necesidad de una nutrición digital consciente. Adicionalmente, Marcos es entrenador de líderes de diversos sectores, incluyendo política, deportes y artes. Autor del libro “El arte de subir (y bajar) la montaña” y conductor del podcast Proyecto 77, el cual explora el lado humano del liderazgo en conversaciones con figuras hispanoamericanas. Fue Jefe de Gabinete en Argentina durante la presidencia de Mauricio Macri, coordinando la estrategia internacional y el G20. Te invitamos a conocer más acerca de nuestro invitado: https://www.linkedin.com/in/penamarcos/
El gobierno de Javier Milei acaba de transitar una semana complicada. El Congreso rechazó la ampliación del presupuesto de la SIDE, aprobó el aumento de las jubilaciones que el presidente prometió vetar y la candidaturas del juez Ariel Lijo para integrar la Corte Suprema de Justicia de la Nación empezó a tropezar con varios obstáculos. Incluso algunos propios como el senador libertario Francisco Paoltroni, que dijo en Micro Mundos que el cuestionado juez "era el verdugo de Formosa". La relación del presidente con Mauricio Macri está complicada, más allá de las milanesas que compartieron la noche del miércoles en Olivos. Macri está enfrentado con la hermana Carina y el pequeño Caputo. Además, la relación con la vice presidente Victoria Villarruel es cada vez más turbulenta. A la vice no la pueden echar, tiene agenda propia y desafía el "triángulo de hierro" cada vez que puede. Javier Milei, sin operadores políticos a la vista, tuvo que salir a "mancar los trapos" en varias entrevistas. La defensa de Ariel Lijo, los fondos de la SIDE y el anuncio del veto a los aumentos de las jubilaciones fueron los temas que se cargó al hombro. Es raro que el jefe de gabinete, Guillermo Francos, no haya salido como en otras oportunidades a sostener al gobierno. Entrevistamos al senador por Formosa Francisco Paoltroni (LLA) Remendamos El Encargado, temporada 3 (Disney+) El trailer lo podés ver acá https://bit.ly/4dz1St6 GRACIAS POR TU DONACION Si querés y podes ayudarnos a financiar Micro Mundos. Es muy fácil, sólo te pedimos que nos invites un cafecito..o también varios. Esa es tu decisión. Tus donaciones son muy importantes para que podamos seguir creciendo y mejorando. Micro Mundos seguirá siendo gratis e independiente por eso tu colaboración es indispensable. Si querés colaborar con Micro Mundos podés invitarnos un cafecito desde este link https://bit.ly/4ckPD2r Tu apoyo significa mucho, nos ayuda a crecer y a mejorar. ¡Muchas gracias! Suscribite a Micro Mundos en Spotify Suscribite a Micro Mundos en Applepodcast Suscribite al canal de Youtube Mis Redes Sociales Seguime en X: @martinpitton Seguime en Instagram @pittonmartin Seguime en Facebook
Hubo elecciones en Venezuela y el resultado fue una total polarización entre denuncias de fraude, protestas, detenciones y represión del regimen de Maduro. Además reapareció Mauricio Macri con guiños y reclamos al Gobierno. Una inversión privada en una planta de GNL desató el escándalo entre Buenos Aires y Nación. Patricia Bullrich patrullará la Internet. Encontra este y mucho más contenido todos los sábados a las 13hs por www.fm913.com.ar o en Spotify
Programa #21 entre Venezuela y las IA. Hablamos de las elecciones dónde dieron ganador a Maduro y de la vuelta de Mauricio Macri a la arena pública. Además las IA podrían destruirse a si misma, mientras intenta descubrir como juntar a los Pink Floyd y los 1975 escapan de Oriente. Además Mati nos trae la historia de la Estación Espacial Internacional y cuál es su futuro una vez que ya no nos sea útil. Encontra este y mucho más contenido todos los sábados a las 13hs por www.fm913.com.ar o en Spotify
Alguns destaques do Jornal da Manhã dessa terça-feira (06): Em carta, 30 ex-presidentes da América Latina e da Espanha pressionam Lula a reafirmar compromisso com a democracia na Venezuela. O grupo, integrado por nomes como o argentino Mauricio Macri, o paraguaio Mario Abdo e o mexicano Felipe Calderón, afirma que reeleição de Maduro é ilegítima e cobra o brasileiro a assumir postura mais enfática em relação à crise. Opositor se proclama presidente eleito na Venezuela e pede ajuda militar. Edmundo González divulgou carta com María Corina Machado pedindo que a transição se inicie e que Forças Armadas impeçam a repressão, enquanto o Ministério Público anunciava investigação contra ambos por provocar insurreição. Autoridade Eleitoral da Venezuela afirma ter entregue atas da eleição à Justiça. A Suprema Corte do país voltou a convocar Edmundo González para responder a perguntas, mas a oposição acusa a Corte e o órgão eleitoral de servir a Nicolás Maduro. No Chile, Lula afirma a empresários, ao lado de Gabriel Boric, que o Brasil caminha para se tornar a 8ª economia do mundo nesse ano. O brasileiro foi questionado sobre a decisão de Edmundo González ao se autoproclamar presidente eleito da Venezuela, mas se recusou a comentar afirmando que ele ainda não tomou posse. Lucro bilionário do FGTS será distribuído pela Caixa até o fim do mês. No ano passado, o Fundo de Garantia teve lucro recorde de R$ 23,4 bilhões e o percentual a ser distribuído será definido nessa semana pelo Conselho Curador. Bolsa de Tóquio sobe acima de 10%, após queda recorde ontem por temores de recessão nos Estados Unidos. O principal indicador da Bolsa japonesa caiu mais de 12%, movimento que antecedeu fortes desvalorizações nos mercados globais e alta do dólar, que terminou o dia valendo R{{%%ltplaceholder%%}}nbsp;5,74. Ataque de grupo ligado ao Irã deixa ao menos 5 feridos em base militar dos Estados Unidos no Iraque. O movimento Resistência Islâmica assumiu a autoria do bombardeio e disse em comunicado que vai continuar com os ataques até que o último soldado americano deixe o país. Primeira-ministra de Bangladesh renuncia e foge em meio a protestos com mais de 300 mortos. Ela estava no poder desde 2009, mas abandonou o país enquanto manifestantes invadiam o Palácio Presidencial e as Forças Armadas anunciaram a formação de um governo interino, após libertar líder da oposição. Homem é preso nos Estados Unidos após ameaçar matar Kamala Harris em posts em rede social. O FBI também citou milhares de publicações feitas por Frank Lucio Carillo, direcionadas a funcionários públicos muçulmanos e imigrantes ilegais. ONU diz que nove funcionários da agência para refugiados palestinos podem estar envolvidos no ataque do Hamas em 07 de outubro. Em comunicado, o porta-voz da organização disse que investigações apontaram evidências da participação e anunciou que os trabalhadores foram demitidos. Essas notícias e muito mais você confere nessa edição do Jornal da Manhã.
En este episodio de Micro Mundos nos metemos de lleno en la crisis de Venezuela. ¿La dictadura chavista podrá permanecer en el poder a pesar de la convulsión interna y de la presión internacional? Para intentar contestar este interrogante y muchos otros entrevistamos a Carolina Jimenez Sandoval, presidente de la oficina de Wola en Washington, una ONG que tiende los derechos humanos en América Latina. Analizamos la reaparición del ex predindente Mauricio Macri y el relanzamiento del PRO. GRACIAS POR TU DONACION Si querés y podes ayudarnos a financiar Micro Mundos. Es muy fácil, sólo te pedimos que nos invites un cafecito..o también varios. Esa es tu decisión. Tus donaciones son muy importantes para que podamos seguir creciendo y mejorando. Micro Mundos seguirá siendo gratis e independiente por eso tu colaboración es indispensable. Si querés colaborar con Micro Mundos podés invitarnos un cafecito desde este link https://bit.ly/4ckPD2r Tu apoyo significa mucho, nos ayuda a crecer y a mejorar. ¡Muchas gracias! Suscribite a Micro Mundos en Spotify Suscribite a Micro Mundos en Applepodcast Suscribite al canal de Youtube Mis Redes Sociales Seguime en X: @martinpitton Seguime en Instagram @pittonmartin Seguime en Facebook
Episodio #100 de Micro Mundos, un milagro llegar hasta acá y lo quiero compartir con ustedes. En un momento en que el periodismo "main stream" solo le habla a sus facciones, este podcast trata de ser un refugio para aquellos que creemos en el debate de ideas, en la pluralidad, los derechos, en el respeto a las minorías y al disenso. ¡Gracias! En nuestra entrevista de la semana hablamos con Pablo Avelluto, ex secretario de cultura (aunque lo presenté como ministro) del gobierno de Mauricio Macri. Recomendamos la miniserie Bodkin (Netflix) Acá podes ver el trailer https://bit.ly/3VltafY GRACIAS POR TU DONACION Si querés y podes ayudarnos a financiar Micro Mundos. Es muy fácil, sólo te pedimos que nos invites un cafecito..o también varios. Esa es tu decisión. Tus donaciones son muy importantes para que podamos seguir creciendo y mejorando. Micro Mundos seguirá siendo gratis e independiente por eso tu colaboración es indispensable. Si querés colaborar con Micro Mundos podes hacerlo desde este enlace https://cafecito.app/micromundos Tu apoyo significa mucho, nos ayuda a crecer y a mejorar. ¡Muchas gracias! Suscribite a Micro Mundos en Spotify Suscribite a Micro Mundos en Applepodcast Suscribite al canal de Youtube Mis Redes Sociales Seguime en X: @martinpitton Seguime en Instagram @pittonmartin Seguime en Facebook --- Send in a voice message: https://podcasters.spotify.com/pod/show/martin-pitt363n/message
Columna de Facundo Cottet sobre la interna entre Mauricio Macri y Patricia Bullrich en la Provincia de Buenos Aires
El discurso que pronunció el presidente Luis Lacalle Pou la semana pasada en la cena de la Fundación Libertad, en Buenos Aires, generó repercusiones en ambas orillas del Río de la Plata. Según describe su sitio web, la Fundación Libertad es una entidad privada sin fines de lucro en “defensa de la libertad, la democracia y el libre mercado”. Este think tank organiza todos los años la denominada “cena de la libertad” a la que concurren empresarios y líderes políticos identificados con esa corriente de pensamiento. El mandatario uruguayo habló durante unos 15 minutos ante un auditorio en el que se encontraban, entre otros, el presidente argentino, Javier Milei, el ex presidente de ese país Mauricio Macri, el ex jefe de gobierno español José María Aznar, y el economista Paulo Guedes, ministro de Economía de Brasil durante el gobierno de Jair Bolsonario. En un tramo de su ponencia, Lacalle Pou hizo referencia al concepto de libertad. Allí dijo ser “cada vez menos dogmático”. Y luego opinó que “tenemos que tener un Estado fuerte para que el individuo pueda gozar de la libertad”. “Acá seguramente casi todos se vayan en auto, duerman calentitos, sus hijos estudian y mañana tienen laburo”, pero “qué difícil [es] gozar de la libertad individual si se vive en un rancho”. Dicho esto, afirmó que “tenemos que tener un Estado fuerte para que el individuo pueda gozar del ejercicio de la libertad”. Lacalle Pou puntualizó que “un Estado fuerte” no supone “un Estado grande”, sino “instituciones fuertes”, con independencia de poderes y “una democracia fuerte”; y agregó que “sin partidos políticos la democracia es más riesgosa”, lo cual levantó aplausos del público. El planteo del presidente uruguayo generó repercusiones en Argentina. Varios analistas y políticos de ese país lo vieron como una suerte de “interpelación” al modelo que impulsa Milei. Aquí en Uruguayy también hubo varias reacciones. Por ejemplo, Yamandú Orsi, uno de los precandidatos del Frente Amplio, dijo en una rueda de prensa que “jamás había coincidido tanto con el presidente”. Sin embargo, apuntó que para él existe una contradicción entre el mensaje del mandatario y la práctica del gobierno actual. “Yo creo que el Estado se ha retirado de un montón de lugares, fundamentalmente ahí donde la gente más lo precisa”, expresó el exintendente de Canelones. La Tertulia de los Lunes con Miguel Brechner, Martín Bueno, Patricia González y Diego Irazábal.
La chispa de este último encontronazo fue un video publicado el martes por el empresario, donde se lanzó contra el gobierno de México. En el mensaje desmintió las acusaciones de evasión fiscal lanzadas por el presidente López Obrador, asegurando que tanto él como sus empresas pagan "cantidades obscenas" de impuestos y acusando al SAT de extorsión. AMLO no tardó en responder en su mañanera, pidiendo al Tío Richie que si tenía pruebas de corrupción, las presentara. Asimismo, invitó a su mañanera al director del SAT, Antonio Martínez Dagnino, quien reveló que cuatro empresas de Grupo Salinas tienen un adeudo de 63,000 millones de pesos en impuestos, resultado de auditorías de 2008 a 2018.Amado por unos y odiado por otros, Javier Milei cumplió el martes 100 días desde que asumió la Presidencia de Argentina. ¿Cómo le ha ido? Para llevar adelante sus propuestas, lanzó un DNU con más de 360 leyes. Esto además de la “ley ómnibus”, un paquete de más de 600 medidas que fue enviada a un Congreso donde no tiene mayoría. Ambos proyectos buscaban pasar la motosierra por el Estado y eliminar tanta burocracia. Además, el exmandatario argentino, Mauricio Macri, anunció que será el presi del PRO, el partido que fundó. Además… El Quinto Circuito de Apelaciones bloqueó la polémica ley SB4 de Texas ocho horas y cuarenta minutos después de que la Suprema Corte la aprobara; en un move que muchos no esperaban, el primer ministro de Irlanda, Leo Varadkar, presentó su renuncia; un tribunal de España decidió que Dani Alves podrá llevar su proceso en libertad, tras haber sido declarado culpable de violación y condenado a cuatro años y medio de prisión; y el mayor órgano de protección de datos del Reino Unido está investigando una posible violación de los registors médicos donde Kate Middleton tuvo una cirugia en enero.Y para #ElVasoMedioLleno… Este espacio lo dedicamos a reconocer el trabajo de la activista Elena Larrea, quien murió a sus 30 años debido a una trombosis pulmonar. Elena fundó Cuacolandia, un refugio en Puebla donde caballos rescatados del maltrato y el abandono encontraron una segunda oportunidad.Para enterarte de más noticias como estas, síguenos en nuestras redes sociales. Estamos en todas las plataformas como @telokwento. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Este domingo Javier Milei tomará posesión del cargo de presidente de Argentina en un acto solemne en el Congreso. Con ello se dará por concluida la transición entre el equipo saliente de Alberto Fernández y el nuevo, presidido por Milei, del que ya se conocen los ministros y algunos secretarios. No lo va a tener fácil. Las promesas que hizo en campaña de recortar el gasto público para reducir la inflación tendrán que vérselas con la cruda realidad de un país que atraviesa una profunda crisis económica con la inflación disparada y la tasa de pobreza en máximos. Ese recorte de gasto público tendrá que venir de todo tipo de partidas, tanto de las asignadas a obras públicas como las que iban dirigidas a distribuir subsidios a millones de personas. Desconocemos aún cómo lo hará, pero ya se sabe que el gabinete se limitará a ocho ministerios (Justicia, Relaciones Exteriores, Interior, Seguridad, Defensa, Economía, Capital Humano e Infraestructura), once carteras menos que el Gobierno de Fernández, que tenía 19. Esto de tener menos ministerios era también una promesa de campaña. Para cumplirla lo que ha hecho es transformar algunos ministerios en simples secretarias para integrarlas dentro de ministerios con más competencias, pero en el futuro la idea es que esos ministerios adelgacen sustancialmente su personal. Teniendo en cuenta que los principales problemas del país son de tipo económico el nombre más esperado era el del ministro de Economía. Esa cartera ha caído en Luis Caputo, un prestigioso economista bonaerense que con Mauricio Macri fue primero ministro de Finanzas y luego durante un corto periodo de tiempo presidente del Banco Central de la República Argentina. Caputo tiene, por lo tanto, sobrada experiencia política y conoce de cerca las interioridades del Gobierno, pero quiere que las reformas se hagan de forma más pausada. Ha sido él, según parece, quien ha convencido a Milei de que el plan de dolarización quede por ahora aparcado y en su lugar se ponga en marcha un modelo de flotación. La elección de Caputo y de otros macristas como Patricia Bullrich para el ministerio de Seguridad indican que el contacto con la realidad parece haberse completado. Ha metido en un armario la motosierra que exhibía en campaña y está adoptando un perfil más moderado en las entrevistas que ha ido concediendo a los medios de comunicación. En una de ellas a finales de noviembre aseguró que en Argentina comienza un proceso y que en ningún momento dijo que la supresión del banco central iba a ser instantánea. Antes de eso entiende que hay que arreglar el balance del Banco Central y evitar a toda cosa la hiperinflación. En resumen, Milei necesita tiempo, pero no será mucho el que le de la oposición y los sindicatos, que ya están en pie de guerra antes incluso de que se siente en su despacho de la Casa Rosada. Aparte de los impedimentos que se encuentre en las dos cámaras, se prevén protestas y manifestaciones. Su plan de privatizaciones será duro al principio y eso incendiará la calle y la prensa. En el gabinete de Milei, pequeño y compacto, deben mentalizarse de que han subido a un potro de tortura. De ellos dependerá resistir a todo lo que se les viene encima. En La ContraRéplica: - Violar la Constitución desde dentro - La inoperancia de la OPEP - Franco y Pinochet · Canal de Telegram: https://t.me/lacontracronica · “Hispanos. Breve historia de los pueblos de habla hispana”… https://amzn.to/428js1G · “La ContraHistoria de España. Auge, caída y vuelta a empezar de un país en 28 episodios”… https://amzn.to/3kXcZ6i · “Lutero, Calvino y Trento, la Reforma que no fue”… https://amzn.to/3shKOlK · “La ContraHistoria del comunismo”… https://amzn.to/39QP2KE Apoya La Contra en: · Patreon... https://www.patreon.com/diazvillanueva · iVoox... https://www.ivoox.com/podcast-contracronica_sq_f1267769_1.html · Paypal... https://www.paypal.me/diazvillanueva Sígueme en: · Web... https://diazvillanueva.com · Twitter... https://twitter.com/diazvillanueva · Facebook... https://www.facebook.com/fernandodiazvillanueva1/ · Instagram... https://www.instagram.com/diazvillanueva · Linkedin… https://www.linkedin.com/in/fernando-d%C3%ADaz-villanueva-7303865/ · Flickr... https://www.flickr.com/photos/147276463@N05/?/ · Pinterest... https://www.pinterest.com/fernandodiazvillanueva Encuentra mis libros en: · Amazon... https://www.amazon.es/Fernando-Diaz-Villanueva/e/B00J2ASBXM #FernandoDiazVillanueva #milei #argentina Escucha el episodio completo en la app de iVoox, o descubre todo el catálogo de iVoox Originals
Con el recuento totalmente finalizado disponemos ya de los resultados finales de las elecciones presidenciales argentinas del pasado domingo. Javier Milei se impuso con autoridad, obtuvo el 55,69%, un total de 14.476.000 votos frente a su oponente, Sergio Massa, que se quedó en el 34,31% y 11.516.000 votos. El mandato de las urnas parece claro. La victoria de Milei ha sido mucho más contundente que la de Alberto Fernández en 2019 (ganó con un 48,2%), la Mauricio Macri en 2015 (ganó con un 51,3%) o la de Cristina Fernández de Kirchner, que se impuso en las elecciones de 2011 con un 54,1% aunque, eso sí, en primera vuelta. Que Milei haya ganado las elecciones de esta manera le aporta un capital político imprescindible para los tiempos que se avecinan, que, según está la economía, serán extraordinariamente duros. Argentina atraviesa una estanflación muy aguda, es decir, una combinación endemoniada de depresión económica e inflación. Este año el PIB se contraerá en torno al 2,5% colocándose en niveles parecidos a los de hace diez años. En términos de PIB per cápita la situación es aún peor, se sitúa a niveles del año 2006. Estamos hablando de un estancamiento de tres lustros agravado por una inflación galopante y una tasa de pobreza elevadísima. La inflación es el primer problema de los argentinos. Afecta a todos ellos, pero especialmente a las rentas más bajas. El salario medio y las pensiones de jubilación se han reducido un 30% desde 2017 y el salario en el sector informal en torno a un 45%. La razón hay que ir a buscarla, de nuevo, a la inflación que todo lo devora. Cuando Alberto Fernández llegó al poder hace cuatro años ya era muy alta, desde entonces no ha hecho más que incrementarse. En 2021 era el 50%, del 95% en 2022 y este año el Gobierno estima que alcanzará el 190%. Una herencia explosiva mucho peor que la que Macri recibió en 2015. Esto obliga a Milei a ser realista, pero, al tiempo, a implementar reformas tan pronto como se siente en su despacho de la Casa Rosada. Esas reformas han de materializarse en un ajuste económico que será muy severo durante el primer año ya que, aparte de controlar la inflación, el nuevo presidente debe recortar gasto allá donde sea necesario. Massa deja un déficit disparado, la reserva de divisas en mínimos históricos y una deuda pública sobre PIB cercana al medio billón de dólares que aún no saben muy bien como le harán frente. Ante semejante panorama Milei está obligado a actuar cuanto antes diseñando un programa económico de urgencia. Aquí entra en juego el factor agrícola que no depende enteramente de él. La economía argentina es muy dependiente de la agroexportación. Dos tercios de los dólares que entran en el país lo hacen a cambio de productos como la soja o el maíz. Si llueve y la cosecha es buena afluirán los dólares necesarios para importar y devolver la cuantiosa deuda denominada en esa divisa. Sin una buena cosecha no podrá siquiera plantearse la dolarización, al menos a corto plazo. La dolarización es uno de los pilares de su programa económico. Con ella pretende acabar con la inflación que es la madre del resto de problemas que afligen a Argentina en estos momentos. En La ContraRéplica: - La victoria de Milei - El centro político en España - El adiós de Irene Montero - Milei y Margaret Thatcher · Canal de Telegram: https://t.me/lacontracronica · “Hispanos. Breve historia de los pueblos de habla hispana”… https://amzn.to/428js1G · “La ContraHistoria de España. Auge, caída y vuelta a empezar de un país en 28 episodios”… https://amzn.to/3kXcZ6i · “Lutero, Calvino y Trento, la Reforma que no fue”… https://amzn.to/3shKOlK · “La ContraHistoria del comunismo”… https://amzn.to/39QP2KE Apoya La Contra en: · Patreon... https://www.patreon.com/diazvillanueva · iVoox... https://www.ivoox.com/podcast-contracronica_sq_f1267769_1.html · Paypal... https://www.paypal.me/diazvillanueva Sígueme en: · Web... https://diazvillanueva.com · Twitter... https://twitter.com/diazvillanueva · Facebook... https://www.facebook.com/fernandodiazvillanueva1/ · Instagram... https://www.instagram.com/diazvillanueva · Linkedin… https://www.linkedin.com/in/fernando-d%C3%ADaz-villanueva-7303865/ · Flickr... https://www.flickr.com/photos/147276463@N05/?/ · Pinterest... https://www.pinterest.com/fernandodiazvillanueva Encuentra mis libros en: · Amazon... https://www.amazon.es/Fernando-Diaz-Villanueva/e/B00J2ASBXM #FernandoDiazVillanueva #argentina #milei Escucha el episodio completo en la app de iVoox, o descubre todo el catálogo de iVoox Originals
Se celebró ayer la segunda vuelta de las elecciones argentinas. En tanto que se trataba de eso mismo, de una segunda vuelta, sólo había dos candidatos. Por un lado, Sergio Massa, actual ministro de Economía y candidato de la coalición peronista Unión por la Patria. Por otro Javier Milei, un economista liberal muy conocido por sus intervenciones televisivas, que se presentaba por la coalición La Libertad Avanza. Apenas dos horas después de que cerrasen los centros de votación, antes incluso de que hubiera resultados oficiales, Sergio Massa compareció en público para reconocer su derrota y felicitar al ganador. Massa habló poco antes de que el Gobierno anunciase que ya se había escrutado en torno al 85% de las mesas electorales. En ese momento Milei sumaba ya casi el 56% del voto mientras que su oponente se quedaba en el 44%. Tan claro lo debió ver que puso punto final a la noche electoral acabando así con la tensión que siguió al cierre de las urnas. Las encuestas de las últimas semanas apuntaban en esta dirección. Las había para todos los gustos. Unas, las menos, daban una estrechísima victoria a Massa. Otras, las más, apuntaban a un triunfo de Javier Milei, que a lo largo de la recta final de la campaña ha recibido el apoyo de Patricia Bullrich, la candidata de Juntos por el Cambio, que quedó fuera del balotaje hace un mes cuando se celebró la primera vuelta. La pelota está ahora en el tejado de Javier Milei, cuya experiencia política es muy pequeña. Tiene 53 años, pero es diputado nacional desde hace menos de dos años, desde diciembre de 2021, cuando se presentó a las legislativas por la ciudad de Buenos Aires. Antes de eso trabajó como economista y polemista televisivo. A partir de aquí tendrá que construir un equipo de Gobierno, elaborar un programa adecuado a la realidad y alejado, por lo tanto, de las soflamas de campaña, y ganarse la confianza de quienes no le han votado. No en vano uno de los ejes de la campaña peronista fue el miedo a Milei, célebre por su estilo directo e inimitable y por su intención de dolarizar un país con una inflación que supera el 140% anual. Como es obvio, Milei no está sólo. Para llegar tan lejos ha tenido que conformar una coalición de espectro muy amplio que, cabalgando sobre su persona, ha conseguido llegar hasta el último rincón de Argentina. Tras la primera vuelta consiguió, además, sellar una alianza fundamental con Mauricio Macri y Patricia Bullrich. Ese favor lo tendrá que pagar de un modo u otro. Con lo que no cuenta es con poder provincial y legislativo. La Libertad Avanza sólo tiene ocho senadores de 72, 38 diputados de 257 y ningún gobernador provincial. Ahí tendrá que apoyarse en Juntos por el Cambio, que posee una implantación territorial mucho más sólida y grandes grupos parlamentarios en el Congreso. Tan pronto como los resultados preliminares se oficialicen Javier Milei adquirirá la condición de presidente electo. No hay mucho tiempo para hacer la transición ya que la toma de posesión del cargo será el próximo diez de diciembre. Se abren en este punto infinidad de interrogantes ya que Milei es un “outsider” completo que trae un ambicioso programa de reformas, muchas de las cuales es previsible que se encuentren con una enconada resistencia en la calle y dentro del propio Estado argentino. Por de pronto ya podemos decir que Milei ha conseguido lo que parecía imposible: llegar a la presidencia, ahora sólo es necesario que sepa qué hacer con ella. En La ContraRéplica: - Sam Altman despedido de OpenAI - Los problemas del Gobierno de Sánchez - Regulación de perros peligrosos · Canal de Telegram: https://t.me/lacontracronica · “Hispanos. Breve historia de los pueblos de habla hispana”… https://amzn.to/428js1G · “La ContraHistoria de España. Auge, caída y vuelta a empezar de un país en 28 episodios”… https://amzn.to/3kXcZ6i · “Lutero, Calvino y Trento, la Reforma que no fue”… https://amzn.to/3shKOlK · “La ContraHistoria del comunismo”… https://amzn.to/39QP2KE Apoya La Contra en: · Patreon... https://www.patreon.com/diazvillanueva · iVoox... https://www.ivoox.com/podcast-contracronica_sq_f1267769_1.html · Paypal... https://www.paypal.me/diazvillanueva Sígueme en: · Web... https://diazvillanueva.com · Twitter... https://twitter.com/diazvillanueva · Facebook... https://www.facebook.com/fernandodiazvillanueva1/ · Instagram... https://www.instagram.com/diazvillanueva · Linkedin… https://www.linkedin.com/in/fernando-d%C3%ADaz-villanueva-7303865/ · Flickr... https://www.flickr.com/photos/147276463@N05/?/ · Pinterest... https://www.pinterest.com/fernandodiazvillanueva Encuentra mis libros en: · Amazon... https://www.amazon.es/Fernando-Diaz-Villanueva/e/B00J2ASBXM #FernandoDiazVillanueva #argentina #milei Escucha el episodio completo en la app de iVoox, o descubre todo el catálogo de iVoox Originals
Puedes descargar la transcripción completa de este podcast en la web de la Escuela de Español Quince TC: www.quincetc.es info@quincetc.es Youtube Se Habla Español: https://www.youtube.com/channel/UC4168uWwJqyBPAmhvcQ7BvQ Patreon: https://www.patreon.com/sehablaespanol Buy me a coffee: https://www.buymeacoffee.com/sehablaespanol/w/6450 Donaciones: https://paypal.me/sehablaespanol Contacto: sehablaespanolpodcast@gmail.com Facebook: www.facebook.com/sehablaespanolpodcast Twitter: @espanolpodcast