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#NEWWORLDREPORT: MADURO CONDEMNED AS DRUGLORD. JOSEPH HUMIRE @JMHUMIRE @SECUREFREESOC. ERNESTO ARAUJO, FORMER FOREIGN MINISTER REPUBLIC OF BRAZIL. #NEWWORLDREPORTHUMIRE. ALEJANDRO PENA ESCLUSA. 1909 CARACAS
Se cumple hoy un año de las polémicas elecciones en Venezuela, en las que Nicolás Maduro afirma haber retenido el poder y la oposición, en cambio, sostiene que hubo un fraude. Profundizamos En Perspectiva con el periodista Omar Lugo desde Caracas. Maduro anunció este domingo que se realizarán “grandes eventos musicales” y marchas en el país para celebrar su victoria. Según dijo, Nahum Fernández, el vicepresidente del Partido Socialista Unido de Venezuela (PSUV), le había informado que durante 10 días “va a haber grandes eventos musicales, marchas populares en las calles, para celebrar el primer año del triunfo heroico contra el fascismo”. Además, este lunes cumpliría 71 años el antecesor de Nicolás Maduro, el expresidente Hugo Chávez Frías. Los comicios que cumplen un año este lunes generaron una polémica que se extiende hasta estos días, ya que el candidato opositor, Edmundo González Urrutia, continúa asegurando que la victoria fue suya y que el régimen madurista cometió un fraude. “El régimen es ilegítimo y así lo certifican las actas resguardadas en Panamá”, publicó este domingo González en su cuenta de la red social X, y compartió el mensaje del secretario de Estado de Estados Unidos, Marco Rubio, quien escribió: “Maduro NO es el presidente de Venezuela y su régimen NO es el gobierno legítimo. Maduro es el líder del Cártel de Los Soles, una organización narcoterrorista que se ha apoderado de un país. Y está acusado de introducir drogas en Estados Unidos”. Organismos internacionales y el propio Centro Carter, que estuvo acreditado como veedor ante el Consejo Nacional Electoral (CNE) de Venezuela, declaró que el proceso “no se adecuó a parámetros y estándares internacionales de integridad”y que la elección “no puede ser considerada como democrática”.
La justice colombienne rend son verdict ce lundi 28 juillet 2025. Alvaro Uribe, premier président de ce pays latino-américain à être jugé, saura s'il est reconnu coupable de «subornation de témoins». C'est «le procès du siècle», souligne El Tiempo. Il faut dire que l'accusé a été «deux fois président de la République» et est «considéré comme l'une des personnalités politiques les plus influentes de l'histoire récente du pays», précise le quotidien. «La décision [du tribunal] aura, sans aucun doute, des conséquences politiques», analyse encore El Tiempo. La Colombie est en année pré-électorale. La présidentielle aura lieu l'an prochain (2026). Or, le pays connaît «une polarisation [politique] croissante». Alvaro Uribe, 73 ans, est «le chef de l'un des partis d'opposition» et «les États-Unis sont attentifs au dénouement de cette affaire», détaille le quotidien. Alvaro Uribe risque de 6 à 12 ans de prison L'ancien président colombien ne dormira pas dormir en prison ce soir, explique El Espectador. Car même si la juge le déclare coupable, elle ne devrait préciser sa peine que lors d'une autre audience qui aura lieu la semaine prochaine, selon El Tiempo. En réalité aujourd'hui, il y a trois scénarios possibles, détaille El Espectador. La juge peut déclarer Alvaro Uribe coupable, non coupable ou l'absoudre au bénéfice du doute, ce qui ne voudra pas dire qu'il est innocent mais que l'accusation n'a pas réussi à convaincre le tribunal que l'ancien président de droite a bien tenté de persuader des membres de groupes paramilitaires détenus de témoigner en sa faveur alors qu'il était accusé par un sénateur de gauche d'avoir des liens avec ces organisations responsables de violations des droits humains. Quelle que soit la décision, Alvaro Uribe, le Parquet ou les victimes pourront fait appel, précise El Espectador. Puis l'affaire pourrait aller jusqu'à la Cour de cassation et même devant la Cour suprême. Les Vénézuéliens entre espoir et découragement, un an après la réélection de N. Maduro Au Venezuela, cela fait 1 an, jour pour jour, que Nicolas Maduro a été réélu président. Les résultats n'ont jamais été publiés, et de forts soupçons de fraude pèsent sur ce scrutin. L'opposition revendique toujours la victoire de son candidat Edmundo Gonzalez, aujourd'hui en exil en Espagne. Depuis l'élection, la répression contre les opposants s'est déchaînée, et l'opposition est réduite à peau de chagrin. Découragés, certains Vénézuéliens se détournent de la politique, comme l'a constaté notre correspondante à Caracas, Alice Campaignolle. Mais d'autres refusent de céder au désespoir. El Nacional publie aujourd'hui un numéro spécial intitulé «Le Venezuela ne se rend pas». «L'espoir, ébranlé par la censure, la répression et la perte de confiance dans nos institutions, demeure (...) Des millions de Vénézuéliens croient toujours au changement», affirme le quotidien qui maintient qu'Edmundo Gonzalez a remporté la présidentielle de l'an dernier. Ce numéro spécial «commémore cet événement historique qui n'est pas un simple souvenir statistique, mais un point de départ. Parce que même si la dictature n'est pas tombée, ses mensonges ont été exposés au grand jour. Et le pays a découvert qu'il était majoritaire. Cette prise de conscience, personne ne peut l'effacer», insiste El Nacional qui en est sûr : pour la dictature, le compte à rebours a commencé. Pierre Réginald Boulos va être renvoyé en Haïti La presse haïtienne revient sur l'arrestation aux États-Unis de Pierre Reginald Boulos car les services d'immigration ont annoncé qu'il serait bientôt expulsé. ICE «a confirmé la révocation du statut légal de l'homme d'affaires haïtien» et son renvoi dans son pays dans un message publié hier sur X, raconte Gazette Haïti. Pierre Reginald Boulos a menti dans sa demande de visa. Le patron de la chaîne de supermarchés Délimart «a négligé de mentionner sa campagne de violence et son soutien aux gangs pour déstabiliser Haïti», écrit l'agence d'immigration américaine. Arrêté à Miami le 17 juillet 2025, Pierre Reginald Boulos «doit se présenter devant la justice américaine le 31 juillet 2025 où il sera fixé sur son sort», précise encore Gazette Haïti. Dans une lettre ouverte adressée au secrétaire d'État américain, Marco Rubio, la semaine dernière, et que l'on peut lire sur le site Rezo Nodwes, Joverlein Moïse, le fils aîné de l'ancien président assassiné, demande à ce que les responsables de la mort de son père ne soient pas extradés en Haïti, «pays en état de déliquescence institutionnelle» écrit-il, surtout le système judicaire. «Les capacités financières de ces criminels dépassent de loin celles de nos institutions judiciaires affaiblies, des institutions qu'ils ont, pour beaucoup, déjà infiltrées, corrompues et neutralisées», estime Joverlein Moïse, qui ne cite pas directement Pierre Reginald Boulos. Le système judiciaire haïtien impuissant face aux gangs De passage dans les studios de RFI, l'avocat Arnel Remy, responsable du Collectif des avocats pour la défense des droits humains (CADDHO), a détaillé à Achim Lippold les défis auxquels le système judiciaire haïtien est confronté. Dans la juridiction de Port-au-Prince, il ne reste plus qu'une seule prison en état de fonctionnement, celle de Delmas, explique-t-il. Les hommes et les femmes sont donc détenus ensemble, ce qui est contraire aux conventions internationales. À la surpopulation carcérale, s'ajoutent des détentions provisoires qui peuvent durer des années. Me Remy regrette que les autorités n'aient mis en oeuvre la réforme de la justice promise. Il faut, selon lui, «numériser le système judiciaire haïtien. Cela éviterait que des dossiers soient perdus ou volés.» Quant aux gangs, Arnel Remy dénonce l'impunité totale dont ils jouissent. «En voyant qu'ils circulent en toute tranquillité dans Port-au-Prince, d'autres jeunes sont malheureusement incités à suivre le même chemin», explique-t-il. Questions autour des taxes américaines sur le cuivre chilien Au Chili, l'annonce de Donald Trump d'imposer des droits de douanes de 50% sur le cuivre inquiète. Beaucoup de questions demeurent sur le champ d'application et les conséquences concrètes de cette mesure qui pourrait entrer en vigueur le 1er août 2025. Le Chili est le premier producteur mondial du métal rouge, et les États-Unis son deuxième acheteur, après la Chine. C'est un dossier signé Naïla Derroisné. Le journal de la 1ère En Martinique, la gestion des déchets est un véritable défi.
Escucha el podcast del programa Decidí Emprender a través de Radio Sintonía, en Caracas, Venezuela correspondiente al lunes 28-julio-2025.
🎙️ MOCHILEROS RADIO #449 ✨ Por los senderos de América Latina... Esta semana, la historia nos volvió a encontrar. Viajamos al Paraguay profundo para recordar a Francisco Solano López, héroe para muchos, traidor para otros, pero sin dudas símbolo de un pueblo que resistió al poder imperial. También celebramos las raíces fundacionales de ciudades como Cali, Guayaquil, Caracas y Santiago del Estero, en una América Latina marcada por Santiagos, luchas y mestizajes. 📚 Nos detuvimos en la “Entrevista de Guayaquil”, donde San Martín, cansado y sin apoyo, cedió su ejército a Bolívar. Y entre guerras, conquistas y revoluciones, recordamos también a Evita, que partió un 26 de julio dejando una huella imborrable en el corazón del pueblo argentino. 🎨 El arte dijo presente con Joaquín Torres-García, el uruguayo que se animó a dar vuelta el mapa para recordarnos que "nuestro norte es el sur". 🎶 En los altos del camino, sonaron Vicentico y Valeria Bertuccelli, Amy Winehouse, y una despedida emotiva a Ozzy Osbourne, alma del heavy metal, que esta semana nos dejó un último “Paranoid” para el recuerdo. 🧭 En nuestra nueva sección “Qué pasa Latinoamérica”, pusimos la lupa sobre Bolivia y la situación de los pueblos mapuches en Neuquén, resistiendo una vez más a la represión y al olvido. 🔍 Y en Debajo del Puente, nos animamos a preguntar: ¿Quién decide qué vemos? ¿Qué voces se silencian en esta virtualidad? ¿Quién se beneficia cuando se manipulan los algoritmos? Reflexionamos juntos sobre la virtualidad como arma política. 🌄 En la segunda hora, nos fuimos de vacaciones por Argentina: 🌿 Potrero de Funes, ☀️ Sanagasta y su patio matero, 🏺 y las místicas Ruinas de los Quilmes. 🎸 Cerramos con música de Pedro Aznar, joyas poco escuchadas y colaboraciones hermosas, para terminar con una retirada inolvidable: la de Agarrate Catalina (2008), celebrando el cumpleaños de Tabaré Cardozo. 📻 Somos #MochilerosRadio Transmitiendo por radios libres, Spotify, iVoox, iTunes y allá donde el viento lleve la señal... 🌎 ¡Hasta la próxima parada, compañerxs del camino!
Venezuela recibe a migrantes liberados de la prisión de alta seguridad Cecot tras un canje de prisioneros entre Washington y Caracas. Esta repatriación fue posible gracias a las negociaciones entre los gobiernos de Donald Trump y Nicolás Maduro. El acuerdo incluyó la liberación y el viaje inmediato a Estados Unidos de diez ciudadanos estadounidenses detenidos en Venezuela, así como la liberación de unos 80 presos venezolanos, según las versiones oficiales de Washington y Caracas. Andy Perozo, uno de los venezolanos liberados, comparte su testimonio sobre cómo llegó a esta prisión de alta seguridad. "Llegó un guardia y dos dijo: «Bienvenidos al Cecot, al infierno, de aquí nadie sale». Nos recibieron con golpes y cuando escuché eso yo dije: «De aquí solamente me saca Dios»", cuenta Perozo. Según su testimonio, les cortaron el cabello, les pusieron el uniforme de la prisión y los volvieron a esposar. "La gente se desmayaba, uno veía cuando la gente estaba sangrando porque lo golpeaban. Después de eso no volvimos a ver a los salvadoreños, todo eso pasó con nosotros, los venezolanos", explica Andy. Andy fue arrestado por no acatar una orden de expulsión de Estados Unidos y posteriormente fue acusado por las autoridades estadounidenses de formar parte de la organización criminal "Tren de Aragua", sin pruebas concluyentes. Como resultado, fue recluido en el Cecot. "Los soldados abrían la puerta del autobús antes de que lo hiciera el conductor, parecían zombis buscando agarrar personas", afirma Andy. Este declara que los golpearon al llegar al lugar donde les esperaba el director del centro, quien dijo: "Bienvenidos al Cecot, de aquí no saldrán nunca porque son miembros del tren de Aragua, y ustedes están condenados por terroristas". "Me encargaré de que no vuelvan a comer nunca ni pollo ni carne", dijo el director les metieron en la celda, atestigua Andy. Andy concluye agradeciendo al gobierno venezolano por haber logrado lo que él consideraba casi imposible: ser liberado del Cecot.
Venezuela recibe a migrantes liberados de la prisión de alta seguridad Cecot tras un canje de prisioneros entre Washington y Caracas. Esta repatriación fue posible gracias a las negociaciones entre los gobiernos de Donald Trump y Nicolás Maduro. El acuerdo incluyó la liberación y el viaje inmediato a Estados Unidos de diez ciudadanos estadounidenses detenidos en Venezuela, así como la liberación de unos 80 presos venezolanos, según las versiones oficiales de Washington y Caracas. Andy Perozo, uno de los venezolanos liberados, comparte su testimonio sobre cómo llegó a esta prisión de alta seguridad. "Llegó un guardia y dos dijo: «Bienvenidos al Cecot, al infierno, de aquí nadie sale». Nos recibieron con golpes y cuando escuché eso yo dije: «De aquí solamente me saca Dios»", cuenta Perozo. Según su testimonio, les cortaron el cabello, les pusieron el uniforme de la prisión y los volvieron a esposar. "La gente se desmayaba, uno veía cuando la gente estaba sangrando porque lo golpeaban. Después de eso no volvimos a ver a los salvadoreños, todo eso pasó con nosotros, los venezolanos", explica Andy. Andy fue arrestado por no acatar una orden de expulsión de Estados Unidos y posteriormente fue acusado por las autoridades estadounidenses de formar parte de la organización criminal "Tren de Aragua", sin pruebas concluyentes. Como resultado, fue recluido en el Cecot. "Los soldados abrían la puerta del autobús antes de que lo hiciera el conductor, parecían zombis buscando agarrar personas", afirma Andy. Este declara que los golpearon al llegar al lugar donde les esperaba el director del centro, quien dijo: "Bienvenidos al Cecot, de aquí no saldrán nunca porque son miembros del tren de Aragua, y ustedes están condenados por terroristas". "Me encargaré de que no vuelvan a comer nunca ni pollo ni carne", dijo el director les metieron en la celda, atestigua Andy. Andy concluye agradeciendo al gobierno venezolano por haber logrado lo que él consideraba casi imposible: ser liberado del Cecot.
Welcome to the 40th episode in the “Prison Pulpit” series on the China Compass podcast on the Fight Laugh Feast network! I'm your China travel guide, Missionary Ben, recording today from Malaysia. Follow and/or message me on Twitter/X (@chinaadventures) where I post (among other things) daily reminders to pray for China.You can also email me @ bfwesten at gmail dot com. Lastly, to learn more about our ministry endeavors or get one of my missionary biographies, visit PrayGiveGo.us! BTW, here’s my own humble attempt at expositing Hebrews 13:3: https://chinacall.substack.com/p/remember-my-chains Today we are going to take a few minutes to remember to pray for a small group of persecuted and/or suffering Christians that have been in the news this past week… A Christian pastor in Syria was massacred recently, along with others from the Druze community, including one from my home state of Oklahoma (and others with connections to friends in Venezuela). Evangelical pastor, family massacred by terrorists in Syria; at least 12 dead https://www.christianpost.com/news/evangelical-pastor-family-killed-by-terrorists-in-syria-20-dead.html https://syriacpress.com/blog/2025/07/19/pastor-khalid-mezher-martyred-alongside-his-family-in-suwayda/ https://www.osvnews.com/syrian-christian-leaders-say-islamist-government-cant-protect-them-or-druze/ CBN Video/Audio Clip I Shared On Today’s Podcast: https://youtu.be/e-iziN2MSgM?si=_PM6bCjS0OMaE5us (0:05-5:52) 'They shot patients in beds' – BBC hears claims of massacre at Suweida hospital https://www.bbc.com/news/articles/cly84jn000do Family says US citizen killed in Syria’s Suwayda https://www.al-monitor.com/originals/2025/07/family-says-us-citizen-killed-syrias-suwayda From a former missionary to Venezuela and the Muslims of the Mediterranean: Over 40 years ago a lot of Lebanese and Syrians went to Venezuela. Two young Syrian Druze girls got saved in Venezuela… Eventually more of the family got saved and made a connection with one of [our] ministers… I got to know them too although they lived far from Caracas - about 12 hours by bus. We are still in close contact and now a lot of the family has moved to Michigan. I called one friend yesterday and she told me about their family in Syria (including cousins who have been killed). In Venezuela, all our Arab friends were Druze from Lebanon and Syria and one of our missionaries [taught] English in the Druze village of Majdal Shams [in Israel’s Golan Heights], on the border of Syria and Lebanon. Follow China Compass Follow or subscribe to China Compass on whichever platform you use. You can also send any questions or comments on X: @chinaadventures or via email (bfwesten at gmail dot com). Hebrews 13:3!
Juan Gonzalez Jr. fait partie des 252 migrants vénézuéliens emprisonnés au Salvador, depuis la mi-mars, et rapatriés vendredi, à Caracas. Ce peintre et agent d'entretien de 36 ans, en quête d'un meilleur avenir économique aux États-Unis, avait accepté d'être renvoyé au Venezuela. Quand il monte dans l'avion, il est, donc, persuadé qu'il rentre chez lui. Mais l'avion a atterri au Salvador. « C'est alors que le film d'horreur a commencé », raconte Juan Gonzalez Junior au Washington Post. Il se retrouve enfermé au Cecot, « la plus grande prison du monde ». Et l'une des plus dures. Insultes, crânes rasés brutalement, coups dans la poitrine et l'estomac, vols... Les gardiens sont particulièrement violents. Ils « nous traitaient comme si nous étions les criminels les plus dangereux de la planète », poursuit Juan Gonzalez Jr. qui assure n'avoir rien à se reprocher et ne faire partie d'aucun gang. « J'avais l'impression d'être un animal », insiste-t-il. Au cours des quatre mois qu'il a passés là-bas, Juan Gonzalez Jr. n'a jamais pu parler à un avocat. Quand des détenus ont demandé à en voir un, les gardiens leur ont répondu : « Ce mot n'existe pas ici ». Le Vénézuélien n'a eu aucun contact non plus avec sa famille. Il passe ses journées dans une cellule avec 8 à 14 autres personnes et dort sur un banc en métal. Un matelas est installé uniquement le temps de prendre des photos. Tous les matins, il est réveillé à 4 heures, fait sa toilette, puis joue aux échecs avec des restes de haricots rouges qui constituent ses repas. Jamais en quatre mois, on ne lui a dit de quoi il était accusé. « Ils ont joué avec nos nerfs. Ils nous ont torturés mentalement et physiquement », explique encore Juan Gonzalez Jr. au Washington Post. L'homme peine à trouver les mots pour raconter ce qu'il a subi. C'est « indescriptible », selon lui. La jungle du Darien expliquée par la doctorante Marilou Sarrut RFI reçoit aujourd'hui Marilou Sarrut, doctorante en géographie à l'Université Paris Cité, affiliée à l'Institut Convergence Migrations et autrice d'une thèse Traverser la jungle du Darien : « Une frontière naturelle » à l'épreuve des expériences migratoires, pour parler de la situation au Darien qui se situe entre la Colombie et le Panama et par où passent des centaines de candidats à l'immigration. Ce point de jonction entre l'Amérique du Nord et du Sud est impacté par la vaste offensive anti-immigration menée par Donald Trump et on assiste aujourd'hui, à un phénomène de retour avec des migrants qui cherchent désormais à revenir chez eux. Mais d'autres facteurs jouent également, explique Marilou Sarrut, comme les politiques migratoires européennes qui poussent certains Africains, notamment, à tenter de passer par le Darien. Il y a deux ans, on estimait à 500 000 le nombre de migrants qui traversaient la jungle du Darien, l'une des régions les plus hostiles du monde. Si la traversée côté colombien est encadrée par des guides, ces derniers « abandonnent les migrants à la frontière avec le Panama pour ne pas être accusés d'être des passeurs », raconte Marilou Sarrut qui s'est rendue sur place en 2023. À partir de là, le voyage devient extrêmement périlleux : « Les plus sportifs peuvent traverser la partie panaméenne en un jour et demi, mais d'autres mettent parfois une dizaine de jours car ils se perdent en route ». En 2023, jusqu'à 2 500 personnes pouvaient arriver au Panama en une seule journée, ce qui représente une manne économique majeure pour les communautés locales qui se sont organisées pour les « accueillir », surtout face à l'absence des pouvoirs publics, précise la doctorante. Mais ces passages ont aussi un impact écologique et sanitaire importants. Il n'y a pas de traitement des déchets dans la jungle, pas d'eau potable non plus. Or, ce problème n'a jamais été pris en compte par l'État qui n'a, donc, pas prévu de solutions pour remédier à ce drame environnemental, explique Marilou Sarrut. Englué dans l'affaire Epstein, Donald Trump tente de faire diversion Le président américain « intensifie ses attaques contre Barack Obama et Hillary Clinton », relève le New York Times. Interrogé une nouvelle fois, hier, par des journalistes au sujet de l'ancien homme d'affaires, Donald Trump a dénoncé « une chasse aux sorcières », puis « s'est lancé dans une diatribe contre une série classique de rivaux et de médias (...) ses ennemis présumés », décrit le journal. « Une liste qui ne cesse de croître », insiste le New York Times. Barack Obama, Hillary Clinton, Joe Biden, l'ancien directeur du FBI, l'ex-patron du renseignement national... Au cours des six derniers mois, Donald Trump a souvent cherché à se venger de ses ennemis, raconte le New York Times, de bien des manières : retraits ou menaces de le faire, des habilitations de sécurité de Joe Biden notamment, campagnes de dénigrements, enquêtes internes et même licenciements. En Argentine, Javier Milei a de nouveau insulté sa vice-présidente Le président argentin a traité Victoria Villarruel de « bruta traidora » ( « brute, traîtresse ») lors d'un rassemblement, à Cordoba dans le centre de l'Argentine, hier soir. Son ancienne alliée est devenue son ennemie. La rupture est consommée entre les deux depuis que celle qui est aussi la présidente du Sénat n'a pas empêché le Parlement de voter une loi augmentant les retraites, explique La Nacion. Une loi à laquelle le président va mettre son veto. Il l'a annoncé hier. Lors de son discours, il a également insulté la gauche - « tous des voleurs » - et l'opposition en général, ainsi que les médias. Le journal Pagina 12 a d'ailleurs été exclu de ce rassemblement, le « Derecha fest » (le « festival de la droite ») auquel ont participé des figures du mouvement libertarien, comme l'écrivain argentin Agustin Laje, mais aussi un conseiller de Donald Trump et trois pasteurs évangéliques, raconte le quotidien qui explique que « ce secteur est de plus en plus proche du gouvernement ». Ces prédicateurs ont pris la défense de la famille traditionnelle, des femmes au foyer, du christianisme et ont attaqué la gauche qui est « anti-christ », selon l'un d'entre eux. Pour Pagina 12, il y avait sur scène hier soir « une droite qui vocifère avec les yeux sortis des orbites (...) devant un public d'exaltés ». Bolivie : irrégularités sur les listes électorales En Bolivie, l'élection présidentielle aura lieu dans moins d'un mois, le 17 août 2025. La population vérifie, donc, si elle est bien inscrite sur les listes électorales. Mais depuis quelques jours, de nombreux citoyens découvrent avec surprise qu'ils ont aussi été inscrits comme adhérents de tel ou tel parti politique à leur insu. Le reportage pour RFI de Nils Sabin.
Gaza: il personale ONU sviene per la fame, mentre Israele spara su chi va a cercare aiuti. Bangladesh: un jet militare si schianta su una scuola.Venezuela-El Salvador: migranti maltrattati, Caracas accusa Bukele.Brasile: giornalista scopre in diretta il corpo di una ragazzina scomparsaIntroduzione al notiziario: la pace, una scelta necessariaQuesto e molto altro nel notiziario di Radio Bullets a cura di Barbara Schiavulli
#NEWWORLDREPORT: VENEZUELA AND BRAZIL. JOSEPH HUMIRE @JMHUMIRE @SECUREFREESOC. ERNESTO ARAUJO, FORMER FOREIGN MINISTER REPUBLIC OF BRAZIL. #NEWWORLDREPORTHUMIRE, ALEJANDRO PENA ESCLUSA. 1910 CARACAS
Tras negociaciones entre Washington y Caracas, 252 venezolanos fueron liberados de la megacárcel salvadoreña y 10 ciudadanos estadounidenses fueron trasladados a El Salvador.
SBS Spanish estrena una nueva herramienta digital gratuita para ayudar a quienes están aprendiendo español; te contamos de qué se trata. Además, te ponemos al día sobre el intercambio de presos negociado entre Washington y Caracas. Y hablamos sobre un proyecto de infraestructura digital que busca conectar a Sudamérica y Oceanía.
Les trois-quarts de la commune seraient sous le contrôle des gangs criminels, ce qui fait fuir la population et empêche les agriculteurs de travailler. Reportage. Depuis le début de l'année, les gangs armés multiplient leurs attaques contre la commune de Kenscoff, ce qui a fait fuir plus de 30 000 personnes, confie le maire de la ville, Jean Massillon, à notre correspondant à Port-au-Prince, Peterson Luxama. Cette violence a aussi perturbé toute la production agricole, et cela menace donc l'alimentation de la région. « Les gangs armés ont forcé les paysans et les agriculteurs à fuir. Ils ont pris leurs animaux, incendié leurs maisons, et leur ont fait perdre tout ce qu'ils possédaient. C'est la première fois dans toute l'histoire de cette ville que des habitants se plaignent de faim », témoigne le coordinateur de la plateforme nationale des paysans haïtiens. Jean-Louis Durant. Le reportage complet de Peterson Luxama. Au Chili, un sommet pour protéger les droits des citoyens face aux abus des nouvelles technologies. Les présidents et chefs de gouvernement du Chili, du Brésil, de la Colombie, de l'Uruguay et de l'Espagne se réunissent pour le sommet « Democracy Forever », qui vise à lancer un mouvement citoyen de protection contre la domination des entreprises des nouvelles technologies et leurs influences politiques lors d'élections, entre autres. « L'Amérique latine et le Brésil, particulièrement, prennent de plus en plus une position pour la régulation des réseaux sociaux », explique Nicole Sanchotene, postdoctorante et chercheuse au NetLab, laboratoire sur internet et les réseaux sociaux de l'Université fédérale de Rio de Janeiro (UFRJ), interrogée par Henrique Valadarès. Et le sommet à Santiago est l'image d'« un effort collectif et un effort d'interaction, palpable notamment au Brésil, mais aussi en Argentine et au Chili ». « Le Brésil peut être un leader de ce mouvement », analyse-t-elle en avançant comme guise d'exemple « le dernier vote de la Cour suprême : c'est une page très importante qui a été tournée. On a vraiment avancé vers la responsabilisation des plateformes. » Face à cela, une étude montre les limites de l'intelligence artificielle : « l'intelligence artificielle ne parle pas maya», dénonce le quotidien El Pais. Son correspondant au Mexique révèle une étude qui vient de paraitre, sur l'aisance de l'IA dans six grandes langues amérindiennes: le quechua, le quiché, le maya, le guarani, le nahuatl et l'aymara. Chacune d'entre elles a plusieurs millions de locuteurs, mais l'IA semble les délaisser. Au mieux, elle les baragouine. «Seulement la moitié des réponses aux questions posées dans ces langues sont correctes, et encore, très courtes et basiques», explique le quotidien. Il existe aussi un biais culturel. «Les réponses font référence au contexte occidental, même quand les questions sont posées dans les langues autochtones». Cette lacune viendrait-elle du fait que ces langues seraient peu importantes ? Alors pourquoi l'IA parle bien plus couramment le basque, qui compte moins d'un million de locuteurs ? Un biais de l'occident, encore une fois... Pourtant, les enjeux peuvent être vitaux, conclut El Pais : un meilleur accès de l'IA peut permettre de développer la télémédecine dans ces communautés, comme chez les Quechuas, où le taux de mortalité infantile est de 44 pour 1000 naissances. L'IA, bien utilisée, pourrait aussi sauver des vies. La guerre entre Harvard et l'administration Trump arrive au tribunal Après des années d'affrontements, le procès s'ouvre ce lundi. Harvard accuse l'administration de violer ses droits constitutionnels en coupant environ 2 milliards de dollars de financement fédéral. Un sujet éminemment politique : le Washington Post publie une grande frise historique de cette confrontation, et rappelle ainsi que Donald Trump en a fait un argument de campagne, depuis son discours de juillet 2023, dans lequel il promet de lutter contre «la gauche radicale» et lance une guerre totale contre «les maniaques et lunatiques», afin de «reconquérir» les universités comme Harvard. Mais c'est la radio publique NPR qui donne à entendre ce qui est en jeu ces jours ci : NPR publie un reportage où on entend Kari Nadeau, médecin et professeure d'Harvard, qui mène une étude clinique de sept ans pour réduire les allergies mortelles chez les enfants. Une recherche totalement suspendue aujourd'hui. «C'est une perte pour toutes les équipes», témoigne cette professeure, «mais nous sommes encore plus inquiets pour les patients en cours d'essais cliniques». «Ces enfants avaient commencé un traitement, l'arrêter les met en danger mortel», alerte la médecin sur NPR. En espérant que ces voix et ces histoires humaines soient entendues par les juges de Boston. Dans le sud des États-Unis, la crainte après l'extension d'un centre de migrants En Géorgie, les autorités ont validé le mois dernier l'agrandissement du centre de Folkson. Il triplera de capacités, pour arriver à 3 000 places, ce qui en ferait le plus important du pays. Mais des organisations de défense des droits s'y opposent, notamment en raison des enjeux de santé... Reportage d'Edward Maille. Le plus grand narcotrafiquant équatorien est arrivé aux États-Unis « Hasta nunca, Fito », titre le quotidien équatorien Espresso, en reprenant les mots du président, « À jamais ! ». Daniel Noboa se réjouit ainsi de l'extradition réussie de Adolfo Macías Villamar, alias «Fito», décrit comme le criminel le plus dangereux d'Équateur. Fito doit être présenté ce lundi à un juge de New York, qui l'informera des sept charges retenues contre lui, et entre autres du trafic de près de quatre tonnes de cocaïne vers les États-Unis. Le quotidien équatorien El Universo rappelle que l'une des conditions pour cette extradition est que ce trafiquant supposé ne soit pas condamné à la peine de mort, qui a été abolie en Équateur depuis plus d'un siècle. Au Venezuela, on célèbre le retour de migrants expulsés des États-Unis Ils avaient été les premières victimes de la répression de Donald Trump, et envoyés sans procès au Salvador. 252 Vénezuéliens, accusés par Washington d'être des criminels, sont rentrés ce week-end, grâce à un échange à trois bandes : le Salvador, où ils se trouvaient, libère les Vénézuéliens, le Venezuela libère dix citoyens américains, dont un Franco- Américain. À Caracas, la télévision Telesur célèbre l'arrivée des ex-détenus, par un dessin où l'on voit des hommes broyés, sous le drapeau américain, qui se relèvent, fiers, en retrouvant leur patrie. Ce qui n'est pas indiqué dans les médias de ce pays au gouvernement autoritaire, et que détaille la BBC en espagnol), c'est que cet accord a aussi forcé Caracas à libérer plus d'une dizaine de prisonniers politiques, enfermés pour s'être opposés au gouvernement de Maduro.
Escucha el podcast del programa Decidí Emprender a través de Radio Sintonía, en Caracas, Venezuela correspondiente al lunes 21-julio-2025.
Al inicio del gobierno de Trump, muchos esperaban más tensión entre Washington y Caracas, pero el intercambio de detenidos muestra algo distinto según analistas.
Washington y Caracas llevaban semanas negociando el canje. "Venezuela ha pagado un alto precio para conseguir la libertad de estos connacionales", dijo el canciller Yván Gil.
En un país donde el caos parecía ser la única constante, una app se convirtió en algo más que un servicio: se convirtió en sistema, en economía paralela, en arquitectura invisible del día a día. Vicente Zavarce, fundador de Yummy, nos cuenta cómo una idea que nació entre motos, tráfico y algoritmos terminó impactando la seguridad, el consumo y hasta la cultura de un país entero. ¿Puede una app reconstruir el tejido social? De los carros autónomos a los conductores oro, de Caracas a toda América Latina, este episodio es una mirada al poder silencioso de la tecnología cuando deja de ser un producto… y se convierte en infraestructura.
El Departamento de Justicia le pidió a un tribunal federal que divulgue las transcripciones ante el Gran Jurado en el caso contra Jeffrey Epstein.Más de 200 migrantes venezolanos que habían sido deportados hacia el CECOT llegaron a Caracas tras un acuerdo entre los gobiernos de Venezuela y Estados Unidos.Controversia por menor de 15 años que estuvo detenido durante 3 días en el llamado 'Alcatraz de los caimanes'.La Cámara de Representantes aprobó los recortes de más de 9 mil millones de dólares a la ayuda exterior y la radio difusión pública.
Newt Gingrich spoke with Ditch & Tim on Memphis Morning News about a generation of brainwashed people. "You don't go to Harvard today or Princeton or Yale to get educated, you go to get brainwashed" Support the show: https://www.newstalk989.com/personalities/memphis-morning-news/See omnystudio.com/listener for privacy information.
¿Cuál es la diferencia entre asesoramiento legal y consultoría a la hora de asistir a empresas en la adecuación de actividades de tratamiento de datos personales? María Eugenia es abogada graduada en la Universidad Católica Andrés Bello, en Caracas. Master en Derecho de los negocios por la Universidad Francisco de Vitoria de Madrid y más recientemente certificada como Delegada de Protección de Datos por la Agencia Española de Protección de Datos. También ha estudiado gerencia de proyectos y programación. Con María Eugenia vamos a intentar entender las diferencias con su experiencia en Venezuela, y sobre todo vamos a explorar la diferencia entre asesoramiento legal y consultoría a la hora de asistir a empresas en la adecuación de actividades de tratamiento de datos personales. También tocaremos el análisis técnico y la evolución de las herramientas a nuestra disposición. Referencias María Eugenia Barberi en LinkedIn All Ways Compliance: protección de datos personales AEPD: Worldcoin tendrá que eliminar todos los códigos de iris almacenados desde el inicio del proyecto
En #LoncheraInformativa el profe Gustavo del Colegio Internacional de Caracas, nos habló del proyecto "Leader In Me", un programa que tiene el objetivo de desarrollar el liderazgo y otras habilidades blandas en el entorno escolar.
Escucha el podcast del programa Decidí Emprender a través de Radio Sintonía, en Caracas, Venezuela correspondiente al lunes 14-julio-2025.
En este episodio de La Casa, Natalia Moretti, Fabiana Rodríguez e Isaías Landaeta nos sorprenden con sus anécdotas más locas y divertidas grabando "Código Viajero". ¿Qué pasó detrás de cámaras? ¡Te vas a reír con sus historias! Además, recibimos al talentoso fotógrafo Rafael Franceschi, quien nos cuenta cómo documentó a la comunidad LGBTIQ+ en Caracas y cómo su trabajo llegó a las páginas de VOGUE.
À La Calera, une municipalité montagneuse près de Bogotá, les habitants s'opposent à Coca-Cola, qui exploite sept sources d'eau via sa filiale Indega. En pleine sécheresse historique causée par El Niño, les habitants ont subi des coupures d'eau pendant près d'un an, tandis que l'usine de mise en bouteille continuait son activité. C'est un reportage d'Eve-Marie Detoeuf. L'indignation est d'autant plus grande que la concession d'exploitation d'Indega, arrivée à échéance en décembre, pourrait être renouvelée malgré les contestations. Coca-Cola affirme puiser l'eau dans les nappes souterraines, mais une hydrologue critique sévèrement l'étude fournie par la multinationale, la jugeant biaisée et contradictoire. La situation divise désormais les habitants de La Calera. Tandis que certains défendent l'entreprise pour les emplois supposément créés, d'autres dénoncent une exploitation injuste d'une ressource vitale. Des artistes, des écologistes, et des villageois expriment leur tristesse face aux tensions causées par Coca-Cola. Ils sont pessimistes quant à une décision des autorités régionales, soupçonnées de favoritisme et de corruption. En 2024, Coca-Cola n'aurait payé que l'équivalent de 2 500 euros de redevance pour cette ressource précieuse, alimentant un sentiment d'injustice grandissant. Les gangs haïtiens sanctionnés par l'ONU Les Nations unies ont imposé des sanctions contre les coalitions de gangs haïtiens Viv Ansanm et Gran Grif, quelques semaines après leur désignation comme organisations terroristes par les États-Unis. C'est un des sujets abordés ce jeudi (10 juillet 2025) avec le rédacteur en chef du Nouvelliste, Frantz Duval. Ces sanctions permettent notamment à Interpol de lancer des poursuites internationales, peut-on lire dans le Nouvelliste. Elles interviennent dans un contexte d'escalade de la violence en Haïti, où les gangs multiplient les attaques armées, s'étendent au-delà de Port-au-Prince, et plongent le pays dans une crise humanitaire sans précédent. Aux États-Unis, des milliers de fonctionnaires fédéraux vivent dans la peur d'un licenciement massif Mardi dernier, la Cour suprême a validé le vaste plan de réorganisation de l'administration Trump, ouvrant la voie à des suppressions de postes. Selon Politico, ce jugement a profondément ébranlé des agents jusque-là convaincus d'être protégés par le droit de la fonction publique et les syndicats. « Tous mes amis se sont résignés au pire », confie un employé au ministère du logement. À l'agence de protection de l'environnement, certains se terrent au sous-sol pour fuir la tension. Déjà 3 000 départs volontaires ou retraites anticipées. Des services comme la justice environnementale sont démantelés. « Le gouvernement abandonne les communautés les plus polluées », dénonce un agent. Au ministère du Logement, les couloirs sont devenus silencieux, « comme après un décès ». La peur est encore plus vive au Département d'État : dans des groupes Signal, diplomates et agents s'inquiètent pour leur avenir, la sécurité nationale, et dénoncent une trahison. Des salles de réunion ont été réservées pour ce vendredi, jour probable des annonces officielles. Les conséquences de la taxe douanière de 50% sur les produits brésiliens décidée par Donald Trump Pour le site d'information G1, Donald Trump répète la formule du harcèlement et des représailles qu'il utilise contre ses adversaires politiques. « Cette fois, cependant, les échanges économiques ne peuvent pas servir de prétexte car les États-Unis ont un rare excédent commercial avec le Brésil ». Dans Carta Capital, un ancien ambassadeur brésilien s'insurge : il parle d'ingérence révoltante, de brutalité diplomatique, et estime que les États-Unis sont en train de devenir un adversaire du Brésil — une rupture avec deux siècles de relations diplomatiques. Il appelle à une réaction forte de la société civile brésilienne, et suggère au gouvernement Lula d'intensifier ses contacts avec les démocrates américains. L'embarras des bolsonaristes Selon Folha de Sao Paulo, plusieurs proches de l'ex-président reconnaissent, en privé, que cette décision « pose un vrai problème politique ». Officiellement, ils continuent de soutenir Donald Trump et tentent de rejeter la responsabilité de la mesure douanière sur le président Lula. C'est le cas de Tarcísio de Freitas ou Romeu Zema — deux candidats potentiels pour la prochaine élection présidentielle de 2026. Ils affirment que c'est le rapprochement de Lula avec la Chine, la Russie, l'Iran, Cuba ou encore le Venezuela qui aurait déclenché la réaction de Donald Trump. Washington à la recherche d'une stratégie à l'égard du Venezuela C'est à lire dans le New York Times. D'un côté, le secrétaire d'État Marco Rubio a tenté un accord avec Caracas : libérer des prisonniers politiques en échange du renvoi de 250 migrants vénézuéliens détenus au Salvador. Mais ces négociations ont été court-circuitées par… l'émissaire spécial de Donald Trump pour le Venezuela lui-même, Richard Grenell. Lui proposait tout autre chose : autoriser l'entreprise Chevron à reprendre ses activités pétrolières au Venezuela. Une offre plus alléchante pour le président Nicolas Maduro. Mais finalement, aucun accord n'a été conclu, et les 250 migrants vénézuéliens sont toujours détenus dans une prison de haute sécurité au Salvador. Le New York Times révèle que malgré ses déclarations, la Maison Blanche garde le contrôle sur ces détenus car ils sont utilisés comme monnaie d'échange. Premiers témoignages sur les conditions de détention au sein du «Alligator Alcatraz» Le Miami Herald publie un témoignage glaçant : un migrant mexicain, pourtant protégé par le programme DACA, car il est venu aux États-Unis lorsqu'il était encore mineur, s'est retrouvé enfermé dans le centre de détention situé en plein cœur des Everglades, en Floride. Il a été arrêté après un simple contrôle routier. Son avocat affirme ne pas connaître les raisons de sa détention. Et son client dénonce des conditions inhumaines : nourriture avariée, toilettes bouchées, chaleur étouffante sans climatisation, moustiques en pagaille, et interdiction de se doucher pendant quatre jours. Les autorités de Floride, elles, démentent en bloc : « des accusations totalement fausses », disent-elles. Mais l'affaire commence à faire grand bruit. Journal de la 1re En Martinique, la lutte contre le décrochage scolaire.
Conversamos con Rodrigo Blanco Calderón, una de las voces más importantes de la literatura contemporánea, sobre su libro Venecos, presentado en Filgua 2025. A través de cuentos que retratan el exilio y la diáspora venezolana desde ciudades como Caracas, París y Málaga, Venecos combina humor, horror y sátira para explorar el desarraigo y la reinvención. Una conversación sobre migración, escritura e identidad en tiempos de cambio.Gracias a nuestro patrocinador:Party SmartSíguenos en nuestras redes sociales:Whatsapp:https://whatsapp.com/channel/0029VaFG...Spotify: https://open.spotify.com/show/6nwrSBj...Tiktok: / tangentepodcast X: / tangentegt Facebook: / tangentegt Instagram: / tangente_gt
In this Ecommerce Summer School archive episode, we explore the challenges of growing an e-commerce business from small to big. Leonardo Caracas, Partner at Jump Ventures, shares proven strategies for scaling companies to eight figures. He discusses the key metrics that show if a business is ready to grow, common problems entrepreneurs face, and real examples of massive growth. Learn about the four important numbers every business owner should track and discover why most companies struggle with marketing when trying to scale up.Topics discussed in this episode: Why most e-commerce companies struggle with marketing during growthHow four key metrics determine if a business is scalableWhat it takes to achieve 20x revenue growth in one yearWhy 4.7-star reviews indicate true product-market fitHow raising AOV from $35 to $75 improves profitabilityWhat three obstacles block growth from $1M to $10MWhy 30% repurchase rate signals strong customer valueHow Jump Ventures' three-step process transforms foundersWhat financial changes support rapid e-commerce scalingWhy most businesses need growth expertise to break throughLinks & Resources Website: https://www.jumpventures.co/LinkedIn: https://www.linkedin.com/in/leonardocaracas/Get access to more free resources by visiting the show notes athttps://tinyurl.com/3dw9576aMORE RESOURCES Subscribe to our FREE Newsletter: https://newsletter.ecommercecoffeebreak.com/ Free Store Optimization Beginners Guide: Instant PDF Download!
El conflicto entre Estados Unidos, Irán e Israel ha encendido las alarmas a nivel mundial, pero ¿cómo impacta todo esto a Venezuela? En este video analizamos las recientes declaraciones del ministro Vladimir Padrino López, quien advierte a la FANB sobre un posible ataque debido a los vínculos entre el régimen de Maduro y la teocracia iraní.Hablamos del cierre del Estrecho de Ormuz, la estrategia del petróleo venezolano como ficha de negociación, y cómo Maduro mantiene un bajo perfil mientras Irán lanza amenazas de venganza contra Israel. También exploramos el papel del embajador iraní en Caracas y el comunicado ambiguo del régimen chavista que intenta jugar a dos bandas.Además, abordamos la salida que propone Jorge Rodríguez de la Corte Penal Internacional, justo cuando se discuten posibles sanciones contra Donald Trump. ¿Es esto un doble estándar?
Check out the latest episode in the Suite Spot: Independent Hotel Show Series, to hear from the COO of The Indigo Road Hospitality Group, Gabriel Perez! Gabriel breaks down the intricacies of F&B in hospitality, how the Indigo brand is evolving, and what attendees can look forward to at the 2025 Independent Hotel Show Miami. Ryan Embree: Welcome to Suite Spot, where hoteliers check in, and we check out what's trending in hotel marketing. I'm your host, Ryan Embree. Hello everyone. Welcome to another episode of The Spot. This is your host, Ryan Embry, and we are part of our Independent Hotel show series. This is the second edition of this new series that we're kicking off in collaborating with the Independent Hotel Show. This is your first time we're bringing on advisory board members, team members of the Independent Hotel Show, getting us geared up for that show here at Miami Beach this September. We cannot wait. Uh, and I also cannot wait to bring in my guest, so I'll bring him in. Gabriel Perez, COO of lodging at The Indigo Road Hospitality Group. Gabriel, thank you so much for being on the Suite Spot. Gabriel Perez: Well, thank you. Happy to be here. Ryan Embree: We're excited. We're gonna talk some independent hotels. We're gonna talk mm-hmm . About the Independent Hotel Show. That's why you're on here. But before, uh, love getting a little bit of background on your story, uh, your hospitality journey that led you to Indigo Road Hospitality Group. Gabriel Perez: It's, uh, the journey of a very lucky guy. I started this without knowing that it is what I wanted to do long time ago, late eighties at the Intercontinental Hotel in Caracas. And it has been a progressive set of situations and a great joy of many privileges, which had allowed me to, uh, grow within the career in few different segments and disciplines of, of the hospitality. Again, privilege to be today where I am in supporting and leading a great team of individuals, uh, with real hospitality, where the emphasis is experiences in addition to profitability and results. Ryan Embree: This is why I always love starting the episode talking about this, uh, because you just get such perspective, um, where people start their journey. You have a common thread with a lot of our guests that we have on the Suite Spot of maybe falling into the industry not knowing that this is something that you wanted to pursue as a career, but once you get into it, it kind of sticks onto you, right? It kind of gets stuck in your DNAA little bit as so to speak. Right? It does, Gabriel Perez: It does very much is it's a contagious daily excitement that is always different. Ryan Embree: Absolutely. And that variability, you know, it's funny you say it like that, it's always different, but hospitality is the, the skills are so transferrable, um, from whether it's different parts of the world, different brands, you know, hosting people and, and providing them with good service can be done at a high level, uh, again, through a lot of different medians. But that energy, that passion that you bring, Gabriel, that you were talking about, it is, it's, it's contagious. And that's why we see so many people, um, with these stories where, you know, you're talking to a bellman that, that started in a hotel. Uh, and, and now I get the privilege of, of interviewing hospitality professionals like yourself. So, uh, the, the stories range far and wide, but I, I love hearing them and I think they need to be told. I think, you know, in a, in a time right now where we've struggled over the last couple years with, with hospitality workforce, to hear these stories out there of where, what a career and hospitality can look like, because sometimes in industries you think, Hey, I need to be promoted by this time, or I need to be at this stage of my career. Hospitality is very different. Gabriel Perez: It is very different. It is, um,
Accede a los episodios completos y material exclusivo en patreon.com/chisteinterno Episodio 85 - Mago Jey Jey Jelyson García, conocido como el Mago Jey Jey, es un comediante y mago venezolano radicado en Miami, reconocido por un estilo que fusiona rutinas de stand-up con trucos de magia. Su carrera comenzó en Caracas, impulsada por un kit de magia que recibió como regalo. Más adelante, formó parte del reconocido Rolan Magic Circus durante tres temporadas. Tras migrar a Colombia, fue invitado al Comedy Central Fest 2018 en Medellín y se desempeñó como Mago Residente durante dos años consecutivos en Andrés Carne de Res Medellín. Además, Jey Jey participó en el popular web show “Entregrados”, es colaborador creativo de Marko y un prolífico creador de contenido. En nuestra conversación hablamos sobre los parecidos entre la magia y la comedia, los orígenes de la carrera del Mago Jey Jey, cómo fueron sus experiencias en el circo, las peculiaridades de la comunidad de magos en Estados Unidos, las ilusiones de David Blaine y sus experiencias siendo un colaborador creativo de Marko. ¡Gracias, Mago Jey Jey, por visitar Chiste Interno! Usa nuestro link para agendar una primera consultoría o conocer más sobre el servicio de terapia digital Opción Yo: https://opcionyo.trb.ai/wa/18zz2iY Chiste Interno Academia (Cursos On-Demand y Talleres en Vivo) Talleres presenciales “Hablame Sicilia”, un taller de creatividad y humor dictado por el legendario Carlos Sicilia será el 28 de junio en Miami. Entradas: https://www.chisteinterno.com/sicilia Cursos On-Demand: "Aprendo Stand-Up" y "Acelerador de Chistes" con Reuben Morales Disponible en: chisteinterno.com/reuben “Antes de Escribir Comedia” con Elio Casale Disponible en: chisteinterno.com/elio Para más información, visita: chisteinterno.com/academia Créditos Creado y conducido: Oswaldo Graziani Producción ejecutiva por Oswaldo Graziani y Adrián Salas Producción, post-producción y música por Adrián Salas Asistencia de producción por Katherine Miranda Edición de formato largo por Yamn Milán Edición de formato corto por Ricardo Carmona Comunidad y Contenido por Pedro Graterol Diseño gráfico por Bodega Creative (bodegacreative.xyz) Redacción por Yxa Fuentes Redes sociales por Valeria Gukovsky Estudio de grabación: Astro Studio chisteinterno.com
PREVIEW VENEZUELA: Colleague Evan Ellis comments on the reason Ms. Maria Machado, the opposition leader now in hiding, sent a sympathetic message to her supporters. More. 1876 CARACAS
Ils sont plus de 800 000 Vénézuéliens à vivre aux États-Unis. Mais depuis le retour de Donald Trump au pouvoir, leur quotidien a basculé. Entre durcissement des lois migratoires et suspicion généralisée, beaucoup se sentent désormais indésirables. Comment cette situation est vécue depuis Caracas ? C'est un reportage de notre correspondante Alice Campaignolle. Depuis le 9 juin 2025, le Venezuela fait officiellement partie des 12 pays visés par le nouveau « travel ban » américain. Les visas de tourisme, d'études ou encore de commerce sont suspendus, et Caracas a réagi en lançant une alerte maximale à ses citoyens, les appelant à ne plus voyager aux États-Unis. « Pays dangereux », avertit le ministère des Affaires étrangères vénézuélien. Pour les Vénézuéliens déjà sur place, la situation est de plus en plus précaire : leur statut spécial de protection a été supprimé, et une nouvelle mesure pourrait bientôt leur interdire de demander un permis de travail pendant leur procédure d'asile. Sur le terrain, cette politique migratoire se traduit par des contrôles renforcés, des séparations familiales et une ambiance de peur permanente. Des familles entières voient leurs dossiers d'asile traités de manière incohérente. La militante Hélène Villalonga alerte sur une vague d'injustices qui frappe sa communauté. Des enfants sont autorisés à rester, tandis que leurs parents sont expulsés ou placés en détention. Même des Vénézuéliens qui avaient soutenu Donald Trump, espérant une ligne dure contre le régime de Nicolas Maduro, se sentent aujourd'hui trahis et abandonnés. Franyeli Zambrano, expulsée récemment, raconte l'angoisse du quotidien : malgré un statut régulier, son foyer a été pris pour cible par les autorités. Elle dénonce une chasse aux migrants qui touche même ceux parfaitement intégrés. Ce durcissement inquiète d'autant plus que Donald Trump a promis d'expulser un million de migrants sans documents valides au cours de sa première année de mandat. Si ce chiffre semble irréaliste, plus de 5 000 Vénézuéliens ont déjà été renvoyés dans leur pays depuis janvier. La Statue de la Liberté fête son 140ème anniversaire Cette semaine, les États-Unis célèbrent les 140 ans de l'arrivée de la Statue de la Liberté à New York, un monument emblématique offert par la France, symbole universel de liberté et d'accueil. Pourtant, dans l'Amérique de 2025, ces valeurs sont fortement bousculées. Beaucoup de New-Yorkais interrogés par notre correspondante Loubna Anaki voient un profond décalage entre ce que représente la statue et la réalité politique actuelle, marquée par un durcissement migratoire sans précédent sous l'administration Trump. La contradiction est flagrante : alors que la statue accueillait autrefois les migrants venus chercher une vie meilleure, les États-Unis multiplient désormais les expulsions et les interdictions d'entrée. Le célèbre poème gravé sur son socle – un appel aux pauvres et opprimés du monde – semble trahi par les décisions prises par Donald Trump. Malgré ce contexte tendu, « Lady Liberty » continue de fasciner. Chaque jour, des milliers de visiteurs affluent pour la voir de près, émerveillés par sa taille, sa couleur verte inattendue, ou l'histoire qu'elle incarne. Créée par le sculpteur français Bartholdi avec l'aide de Gustave Eiffel, la statue est arrivée en 1885 mais n'a été inaugurée qu'un an plus tard. Si elle est restée presque inchangée en 140 ans, elle demeure le témoin silencieux d'un pays en perpétuelle évolution – et aujourd'hui plus divisé que jamais sur la question de l'immigration. Donald Trump critique le jour férié de « Juneteenth », la fête qui célèbre la fin de l'esclavage Dans un message publié sur ses réseaux sociaux, le président américain a dénoncé ce qu'il appelle « trop de jours fériés » aux États-Unis. Selon lui, cela coûte des milliards à l'économie, et même les travailleurs n'en voudraient pas. Il a menacé d'en supprimer certains, sans nommer directement Juneteenth. Mais The Daily Beast rappelle qu'en 2020, en pleine campagne électorale, Trump avait promis d'en faire un jour férié national. C'est finalement Joe Biden qui l'a officialisé en 2021. Et selon CNN, cette année, beaucoup de célébrations ont été annulées, en raison de problèmes de sécurité et d'une résistance croissante aux politiques de diversité et d'inclusion. Pour la professeure LaTasha Levy, citée par la chaîne, ces reculs montrent que nombre d'entreprises n'étaient jamais réellement engagées. Mais Politico rapporte que les églises noires, très actives dans la lutte pour les droits civiques, montent au front. Elles interpellent les grandes entreprises, comme Target, accusées de reculer sur leurs engagements. Le pasteur Jamal Bryant, en Géorgie, rappelle que ces politiques ne sont pas un geste de charité, mais un partenariat légitime avec la communauté afro-américaine. La montée de la violence policière dans les zones rurales C'est une tribune à lire dans le Washington Post, signée par un ancien policier. Elle s'ouvre sur un drame : en 2022, un homme en détresse mentale appelle la police après une panne sur une route isolée du Colorado. Il ne menace personne. Mais parce qu'il refuse de sortir de son véhicule, les policiers lui tirent dessus et le tuent. L'an dernier, 1 365 personnes ont été tuées par la police aux États-Unis – un record. Et ce qui frappe, c'est que ces violences basculent vers les zones rurales. Entre 2020 et 2024, les morts lors d'interventions pour « personne armée » ont presque quadruplé en zone rurale. Pourquoi ? La pandémie, l'exode urbain et la flambée des loyers ont poussé des millions d'Américains vers la campagne. Mais les services locaux n'ont pas suivi. Les policiers de petites villes sont dépassés, mal formés, souvent seuls face à des situations complexes. Résultat : la méfiance s'installe, et les incidents quotidiens – une dispute conjugale, un chien qui aboie – tournent au drame. Haïti : Livres en folie, « un vecteur de résistance culturelle » C'est dans un contexte d'insécurité extrême que se tient en ce moment, à Port-au-Prince, la foire littéraire Livres en folie. Plus de 90 auteurs présents, plus de 1000 ouvrages exposés. Cette 31è édition s'impose, écrit Gazette Haïti, comme un véritable « vecteur de résistance culturelle dans le pays ». Dès l'ouverture, c'est la jeunesse qui a attiré tous les regards, venue en nombre pour découvrir les livres et rencontrer les écrivains. Pour l'auteur Gary Victor, cette jeunesse incarne l'espoir. « Il existe un réservoir de jeunes porteurs d'idées, qui aspirent à une autre vie. ». Des mots forts, qui résonnent comme un rappel essentiel, écrit Gazette Haïti. : « malgré les épreuves, malgré le chaos, Haïti continue de tenir debout… portée par l'élan de ses enfants ». Journal de la 1ère Les algues sargasses empoissonnent la vie des habitants de Guadeloupe.
HISTORIA QUE SE RENUEVA! La legendaria banda ZETA vuelve a los escenarios caraqueños después de 11 años de ausencia, y en #EnAleatorio nos cuentan TODO sobre este esperado retorno. ¡Prepárate para una dosis de rock, nostalgia y nuevas promesas!
En este episodio de Punto Biz analizo el concepto de calidad desde la óptica del consumidor, más allá de la percepción de las empresas.Acompáñame en este análisis, inspirado en los hallazgos de Tendencias Digitales para América Latina y como antesala a mi participación en el evento Tendencias del Consumidor Venezolano (¡este 12 de junio en Caracas!). Descubrirás por qué la calidad ya no es solo sobre lo físico, sino sobre:- La funcionalidad que resuelve problemas.- La confianza y las garantías que construyen lealtad.- El diseño que atrae.- La relevancia para la salud y el medio ambiente.¡Es hora de que tu definición de calidad se alinee con lo que tu cliente realmente valora! ¿Listo para ajustar tu enfoque? ¡Dale play y escucha el episodio completo!Este episodio de PuntoBiz es posible gracias a...Gimar Distribution: https://gimardistribution.com/Zoom: https://zoom.red/Daycohost: https://daycohost.com/Instituto de Estudios Superiores de Administración (IESA): https://www.iesa.edu.ve/Consecomercio: https://www.consecomercio.org/Si quieres conocer más acerca de este tema, te invito a leer mi artículo en https://carlosjimenez.net/RECURSOS:Suscríbete a mi boletín: https://www.carlosjimenez.net/registroDescarga mis ebooks: https://carlosjimenez.net/ebooks/Website: http://www.carlosjimenez.net/ Punto Biz es un podcast producido por Carlos Jimenez, experto en identificar tendencias del mercado y diseñar estrategias de negocios para aprovechar las oportunidades que se derivan de los cambios en el comportamiento de los consumidores en América Latina. En este podcast se habla de tendencias, marketing y estrategias de negocios.Suscríbete a Carlos Jimenez Punto Biz en las principales plataformas¿Te gusto mi podcast? Califícame y agrega tu comentario.
Axel está a punto de descubrir a su mayor aliado, pero ¿realmente puede confiar en alguien que no es nadie?
Elizabeth Ravn (b.1994, Brooklyn, NY) received a Bachelors in Fine Arts from the School of the Art Institute of Chicago, Chicago, IL in 2016. She lives and works in Berlin. Recent solo and group exhibitions include David Peter Francis, New York (2025); die raum, Berlin (2024); Deborah Schamoni, Munich (2023); SOX, Berlin (2023); KINDL Centre for Contemporary Art, Berlin (2022); ChertLüdde Bungalow, Berlin (2022); Kinderhook & Caracas, Berlin (2021); Kjøpmannsgata Ung Kunst, Trondheim, (2021); and Pina, Vienna (2019). Elizabeth Ravn, Bild, 2024, oil on canvas, 39 3/8 x 31 1/2 inches (100 x 80 cm). Courtesy of the artist and David Peter Francis, NY. Elizabeth Ravn, Cubbyhole, 2025, oil on canvas, 43 1/4 x 35 3/8 inches (110 x 90 cm). Courtesy of the artist and David Peter Francis, NY. Elizabeth Ravn, November, 2024, oil on canvas, 43 1/4 x 35 3/8 inches (110 x 90 cm). Courtesy of the artist and David Peter Francis, NY Elizabeth Ravn, Telephone, 2024, oil on canvas, 27 1/2 x 19 3/4 inches (70 x 50 cm). Courtesy of the artist and David Peter Francis, NY.
En este nuevo episodio de On Topic converso con Esteban Torbar, emprendedor, empresario venezolano y fundador del Startup Venezuela Summit, sobre el poder del emprendimiento con propósito, la innovación con impacto y el rol clave de la comunidad.Junto a Esteban repasamos los momentos más emocionantes del Startup Venezuela Summit 2025 – Miami Edition y abordamos temas que hoy son urgentes para quienes están construyendo el futuro:✨ ¿Por qué el emprendedor y el capital no pueden ir por separado?
«Triste es decirlo, pero hay que convenir en que la vida matrimonial de [José] Martí no fue feliz —escribe Blanche Zacharie de Baralt en su obra titulada El Martí que yo conocí—. Carmen, su esposa, tenía opiniones políticas diametralmente opuestas a las suyas y le reprochaba sus ideas revolucionarias. Criada en un medio de holgura, si no de opulencia, por un padre, aunque cubano, partidario del Gobierno de España, se oponía a que Martí se entregara por completo a la independencia de Cuba. Le repugnaba vivir en el exilio y la pobreza: lo atormentaba quejándose porque [él] dedicaba sus mejores energías al servicio de su país, en lugar de trabajar por el bienestar económico de su familia. »Varias veces [Carmen] lo dejó en Nueva York, volviendo a casa de su padre en Camagüey, donde la vida era más cómoda, pero llevando consigo al hijo, que equivalía a sacarle a Martí la sangre de su corazón. El padre desolado escribía versos al chicuelo, en parte para consolarse de su ausencia», comenta Zacharie de Baralt.1 Pero fue durante la ausencia de Martí mismo en 1881, establecido temporalmente en Caracas, la cuna de Bolívar, distante allí del hijo, que se inspiró para escribir un pequeño libro de poemas titulado Ismaelillo y hacerle la siguiente dedicatoria: «Hijo: Espantado de todo, me refugio en ti. Tengo fe en el mejoramiento humano, en la vida futura, en la utilidad de la virtud, y en ti.» Los siguientes versos del poema de Ismaelillo titulado «Musa traviesa» destilan con elocuencia y ternura la esencia del amor paterno: ¡Pudiera yo, hijo mío, quebrando el arte universal, muriendo mis años dándote, envejecerte súbito, la vida ahorrarte! ¡Mas no: que no verías en horas graves entrar el sol al alma y a los cristales!2 Ese hijo, José Francisco Martí Zayas Bazán, también conocido por los cubanos como El Ismaelillo, Pepito o Pepe, llegó a ser un político y militar merecedor del grado de teniente por su arrojo y valentía en la toma de Victoria de las Tunas; más adelante ascendido a capitán; años después ascendido primero a Comandante, luego a Coronel, posteriormente a Jefe de Estado Mayor, finalmente a General y póstumamente a Mayor General, habiendo desempeñado el cargo de Secretario de Guerra y Marina. Fue así como el hijo de Martí se esforzó al máximo por honrar la memoria de su padre, quien el primero de abril de 1895, en la última carta que le escribió, le encargó: «Hijo: / Esta noche salgo para Cuba. Salgo sin ti, cuando debieras estar a mi lado. Al salir, pienso en ti. Si desaparezco en el camino, recibirás con esta carta la leontina que usó en vida tu padre. Adiós. Sé justo. / Tu / José Martí.» En lo que atañe a nosotros, más vale que reconozcamos que Dios espera de nuestra parte algo muy parecido como hijos suyos: que seamos justos, compasivos y humildes al andar por el camino que nos ha trazado.3 Carlos ReyUn Mensaje a la Concienciawww.conciencia.net 1 Blanche Zacharie de Baralt, El Martí que yo conocí, Centro de Estudios Martianos, 1980, pp. 43-44 En línea 25 noviembre 2024. 2 José Martí, «Musa traviesa», Ismaelillo (La Habana: Editorial Pueblo y Educación, 2018), pp. 6,10,20 En línea 25 noviembre 2024. 3 Mi 6:8
Originally from Caracas, Venezuela, Veronica Osorio moved to New York City after spending her teen years clowning and acting in South America. Once in America, …
Are you stuck in performance mode—and calling it growth?In this episode, Eduardo Briceño unpacks The Performance Paradox and what's keeping so many of us from actually getting better.We talk about the key mindset shift high achievers need, why not all mistakes are created equal, and how to lead with both humility and ambition.If you want to grow on purpose—not just perform—this one's for you.
Mucho cuidado si crees en el sereno, el Silbón, o la mansión de Cerati en Caracas, porque en el episodio de hoy venidos decidimos a desmontar qué mito veneco es real y cuál no. Por cierto, si quieres apoyarnos, te puedes suscribir como miembro del canal, o tal vez dejarnos un regalo de agardecimiento. Lo usaremos para darle de comer a María Petunia y a nuestro community.Entradas nuestros próximos shows en SANTIAGO DE CHILEEEEEE en elhuecostandup.com !!!!!Concepto creativo: Gabo Ruiz & Manuel Ángel RedondoEdición: Gabriel BrombinProducción de contenidos: Julio Alfonzo.https://www.instagram.com/elhuecopodcasthttps://twitter.com/elhuecopodcasthttps://www.facebook.com/people/El-Hueco-Podcast/100065043331903/https://www.tiktok.com/@el.hueco.podcast
Donald Trump invested a lot of political capital in Elon Musk. And Elon Musk invested a lot of money in Donald Trump. Will their bust up cost them both?Also on the programme, who are the Gaza Humanitarian Foundation and what is known about them? And we meet Pedro Urruchurtu, one of the Venezuelan opposition figures who spent over a year in Argentina's embassy in Caracas, and who was subsequently rescued by the USA in "Operation Guacamaya."(Photo: Elon Musk (L) and Donald Trump (R) face each other in March 2025. Credit: Reuters)
Le président américain Donald Trump a décidé d'interdire aux ressortissants de 12 pays d'entrer aux États-Unis afin de « protéger » le pays de « terroristes étrangers », et imposé des restrictions contre 7 autres États. Décision annoncée, a-t-il précisé, après l'attaque du Colorado qui a visé les participants d'une marche de soutien aux otages israéliens à Gaza. Parmi la liste des pays dont les ressortissants seront interdits d'entrer sur le territoire à partir du 9 juin 2025, se trouve Haïti. Pour le moment, il y a de la confusion en Haïti, constate le rédacteur en chef du Nouvelliste, Frantz Duval. On essaie de comprendre s'il y a des exceptions. Le gouvernement haïtien est resté silencieux. C'est le deuxième pays à interdire son territoire aux Haïtiens, avant les États-Unis, la République Dominicaine avait pris une mesure similaire. Le Venezuela met en garde ses citoyensLe Venezuela et Cuba se trouvent eux sur la liste des 7 pays qui sont soumis à des restrictions plutôt qu'à une interdiction totale. Le président américain juge que ces derniers ont des vérifications d'antécédents criminels déficients, explique TalCual. Le média vénézuélien tente d'expliquer à ses lecteurs qui sera impacté ou non. Toute personne titulaire d'un visa de tourisme, de travail, ou d'étudiant se trouvant hors des États-Unis verra son visa annulé.Il n'y a que quelques exceptions concernant, par exemple, les sportifs de haut niveau ou les diplomates.En réaction, Caracas a prévenu ses ressortissants que voyager aux États-Unis représentait «un grand risque». Nouvelles mesures contre les universités américainesParallèlement, El Nacional vénézuélien choisi de rappeler aujourd'hui le cas particulier de l'Université américaine d'Harvard. Aucun étudiant étranger participant au programme d'échange avec Harvard ne sera autorisé à entrer sur le territoire. Ceux déjà présents sur le territoire feront l'objet d'un examen, et pourraient voir leur visa révoqué.L'administration Trump poursuit en effet son offensive contre les grandes universités américaines, qu'il qualifie de «foyer du libéralisme et du «wokisme»». En plus de restreindre l'accès d'Harvard aux étudiants étrangers, il a également retiré près de 3 milliards de dollars de subventions fédérales à la grande université. La prestigieuse université de New York, Columbia est également visée. La ministre américaine de l'Éducation l'a annoncé hier dans un communiqué. Selon Linda McMahon, «depuis le 7 octobre 2023, Columbia fait preuve d'indifférence face au harcèlement des étudiants juifs, l'université viole les lois fédérales contre la discrimination et pourrait perdre son accréditation». Une suppression qui entrainerait une perte de toutes les subventions fédérales de l'Université. Depuis plus d'un an, Columbia est l'épicentre des manifestations pro-palestiniennes aux États-Unis. En mars, Mahmoud Khalil, figure du mouvement et étudiant de l'Université new-yorkaise, a d'ailleurs été placé dans un centre de détention fédéral en Louisiane. Il risque l'expulsion.Si Columbia a annoncé qu'elle allait collaborer avec le gouvernement fédéral, la direction d'Harvard, elle, a choisi une autre stratégie. Elle dénonce une nouvelle mesure de rétorsion illégale. Et déclare qu'elle continuera à protéger ses étudiants internationaux. Lula à la recherche d'un accord de Libre-échange à ParisLe président brésilien Luiz Inácio Lula da Silva en visite d'État à Paris a exhorté ce jeudi son homologue français à « conclure » l'accord de libre-échange entre le Mercosur et l'Union européenne.L'accord de libre-échange entre l'UE et le Mercosur est la meilleure réponse dans un monde incertain marqué par le retour de l'unilatéralisme a estimé le chef d'État brésilien, une référence aux droits de douane et à la guerre commerciale déclenchée par Donald Trump ces derniers mois.Emmanuel Macron a écouté ce plaidoyer avec le sourire, rapporte notre envoyé spécial à l'Elysée Théo Conscience, mais est resté ferme sur ses positions : la France est en faveur d'un commerce libre, et équitable. Le président français a pointé du doigt des différences de normes sanitaires et environnementales entre les deux blocs, et plaidé pour l'introduction de clauses miroir ou de mesures de sauvegardes. Au Salvador, l'avocate des droits humains Ruth Lopez refuse de plier face aux autorités«On ne me fera pas taire», a crié la directrice de l'Unité anticorruption et juste de l'ONG Cristosal en se rendant à son audience à huis clos. C'est le seul moment où les médias ont pu enregistrer sa voix à la volée.Elle réclame d'ailleurs un procès public.Arrêtée il y a trois semaines, son affaire a été placée par la justice sous un statut de confidentialité. Elle a été officiellement accusée de détournement de fonds publics mais son avocat dénonce une volonté de la faire taire. Ruth Lopez est connue comme une grande voix critique des autorités au Salvador, explique CNN Latinoamérica qui propose un portrait de la militante. Elle s'est rapidement opposée au régime d'exception mis en place par Nayib Bukele officiellement pour lutter contre les gangs. «Il n'y a aucune justification constitutionnelle ni légale pour maintenir ce régime d'exception», plaidait-elle déjà en 2022. «Nous ne défendons pas les gangs, nous défendons les personnes arrêtées injustement et dans des conditions arbitraires.»Ces derniers temps, Ruth Lopez s'était concentrée sur la défense des 252 migrants vénézuéliens emprisonnés au Salvador après leur expulsion des États-Unis. Les deux pays les accusent de faire partie de gangs et les ont soumis à des disparitions forcées, selon Human Rights Watch.L'arrestation a d'ailleurs mobilisé de nombreuses organisations de défense des droits humains nationale et internationale.Mercredi (4 juin 2025), sa détention a été prolongée pour 6 mois, rapporte El Mundo du Salvador. L'accusation est passée de détournement de fonds publics à enrichissement illicite. En sortant de l'audience, Ruth Lopez a crié qu'elle était une prisonnière politique et qu'aucune institution judiciaire n'était indépendante au Salvador.La Prensa Grafica résume l'analyse de plusieurs avocats pénaliste sur cette affaire. Ils dénoncent notamment l'illégalité du changement de qualification de l'accusation contre Ruth Lopez. L'enrichissement illicite demanderait moins de preuve que l'accusation de détournement de fonds publics. L'avocat de la militante lui affirme que les autorités tentent simplement de faire taire une voix qui les effraie.
PLANTED A LONG-BEAKED WILLOW TREE TODAY, JOYFUL : 4/4: The Man Who Planted Trees: A Story of Lost Groves, the Science of Trees, and a Plan to Save the Planet, by Jim Robbins. https://www.amazon.com/Man-Who-Planted-Trees-Science/dp/0812981294/ref=tmm_pap_swatch_0?_encoding=UTF8&qid=&sr= Twenty years ago, David Milarch, a northern Michigan nurseryman with a penchant for hard living, had a vision: angels came to tell him that the Earth was in trouble. Its trees were dying and, without them, human life was in jeopardy. The solution, they told him, was to clone the champion trees of the world—the largest, the hardiest, the ones that had survived millennia and were most resilient to climate change—and create a kind of Noah's ark of tree genetics. Without knowing if the message had any basis in science, or why he'd been chosen for this task, Milarch began his mission of cloning the world's great trees. Many scientists and tree experts told him it couldn't be done, but, twenty years later, his team has successfully cloned some of the world's oldest trees—among them giant redwoods and sequoias. They have also grown seedlings from the oldest tree in the world, the bristlecone pine Methuselah. When the New York Times journalist Jim Robbins came upon Milarch's story, he was fascinated but had his doubts. Yet, over several years, listening to Milarch and talking to scientists, he came to realize that there is so much we do not yet know about trees: how they die, how they communicate, the myriad crucial ways they filter water and air and otherwise support life on Earth. It became clear that as the planet changes, trees and forest are essential to assuring its survival. 1922 CARACAS
We're leaning into the theme Hold Fast—and exploring how community becomes our anchor in the midst of change.
Mi invitada, María Virginia Lara Díaz, nació en Caracas el 2 de agosto de 1953. Es ingeniera civil especializada en estructuras, graduada de la Universidad Central de Venezuela en 1979. A lo largo de su carrera, vivió y trabajó en Guatemala, Panamá, Inglaterra y Chile, recorriendo Latinoamérica durante 18 años.Desde niña sintió una profunda pasión por la música. Aprendió a tocar el cuatro a los 7 años y más adelante la guitarra. Aunque una enfermedad le impidió continuar sus estudios musicales formales, nunca abandonó ese amor. Tras jubilarse y enfrentar cinco cirugías por artritis severa en las manos, retomó el cuatro y descubrió que aún podía tocar. Ese momento transformador la impulsó a ayudar a otros adultos mayores a recuperar sueños musicales olvidados.María Virginia creó el método "2-8-100", basado en el análisis matemático de 180 canciones folclóricas venezolanas, donde identificó patrones comunes. Con solo 2 ritmos y 8 acordes, sus estudiantes mayores pueden aprender hasta 100 canciones. Su enfoque considera las limitaciones físicas propias de la edad y promueve la confianza, el aprendizaje y el bienestar emocional.Desde la isla de Margarita, donde vive actualmente, enseña de forma voluntaria en la asociación ASOMAYOR, y lidera la formación de un grupo musical folclórico conformado por adultos mayores.Este episodio no solo comparte un método, sino una visión esperanzadora sobre cómo envejecer con propósito, creatividad y dignidad. María Virginia nos inspira a redescubrir pasiones, sin importar la edad.#cuatrovenezolano #asomayor #terceraedad #adultomayor #islademargarita Para donar on cuatro etc, contacten: ASOMAYORSend BEHAS a text.Support the showTo Share - Connect & Relate: Share Your Thoughts and Shape the Show! Tell me what you love about the podcast and what you want to hear more about. Please email me at behas.podcast@gmail.com and be part of the conversation! To be on the show Podmatch Profile Thank you for listening - Hasta Pronto!
La semana pasada el Gobierno de Venezuela liberó a un veterano de la Fuerza Aérea de Estados Unidos que estaba encarcelado y se lo entregó a las autoridades estadounidenses en Antigua y Barbuda. Con esta medida Nicolás Maduro espera que mejoren las relaciones bilaterales y, sobre todo, que Donald Trump permita que las compañías petroleras occidentales continúen operando en el país. El ex militar liberado, Joseph St. Clair, fue arrestado por las fuerzas de seguridad venezolanas en octubre cerca de la frontera con Colombia cuando viajaba por aquella zona junto a unos amigos. El 3 de marzo, el departamento de Estado reclamó su liberación inmediata, pero el régimen se los había guardado como moneda de cambio. Con esto Maduro pretende mostrarse cooperativo, pero no es lo único que está haciendo para congraciarse con la Casa Blanca. En los últimos tres meses, ha aceptado sin rechistar un flujo constante de vuelos de deportación desde Estados Unidos y Honduras. A principios de este mes, cinco activistas del equipo de María Corina Machado, refugiados desde el año pasado en la embajada argentina en Caracas, consiguieron abandonar el país y reaparecieron en Washington, donde ofrecieron una rueda de prensa. Maduro encajó el golpe y se está mostrando dispuesto a seguir liberando gente a cambio de que Trump sea clemente con él. Quiere sacar el máximo partido a esa diplomacia de los rehenes que los cautivos de la embajada denunciaban hace sólo unos días. El hecho es que Trump no termina de adoptar una política clara respecto a Venezuela. Está dando una de cal y otra de arena. En febrero se revocó la licencia de Chevron para producir y exportar petróleo venezolano e impuso aranceles a los países que importen crudo proveniente de Venezuela. Un revés tras otro que complica las finanzas del régimen, pero que no le supone ni mucho menos una amenaza existencial. Para compensarlo ha despachado para el Caribe a Richard Grenell como enviado presidencial con la orden de establecer negociaciones discretas con el régimen chavista. En paralelo a estas maniobras internacionales, este domingo se celebraron elecciones regionales, unos comicios en los que no votó casi nadie (la abstención fue del 85%) y que el oficialismo ganó de calle. En los municipios cercanos a Guyana se organizó además una absurda farsa. Se presentaron listas y candidatos para representar a la Guayana Esequiba, una región del país vecino que Maduro reclama como propia. Para la oposición venezolana esta letanía de acontecimientos es como el día de la marmota. Todo se repite de forma incansable y sin que los venezolanos puedan hacer nada para impedirlo, salvo abstenerse de participar en los circos electorales que el régimen organiza de forma periódica. Nada parece que vaya a cambiar y las señales que reciben de Estados Unidos no son precisamente esperanzadoras. En La ContraRéplica: 0:00 Introducción 3:19 Venezuela o el día de la marmota 30:54 El freno de deuda alemán 37:56 Trump y Harvard 44:41 Cultura laboral británica Este episodio cuenta con la colaboración de AXA https://www.axa.es/seguros-empresas/responsabilidad-civil-pyme · Canal de Telegram: https://t.me/lacontracronica · “Contra la Revolución Francesa”… https://amzn.to/4aF0LpZ · “Hispanos. Breve historia de los pueblos de habla hispana”… https://amzn.to/428js1G · “La ContraHistoria de España. Auge, caída y vuelta a empezar de un país en 28 episodios”… https://amzn.to/3kXcZ6i · “Lutero, Calvino y Trento, la Reforma que no fue”… https://amzn.to/3shKOlK · “La ContraHistoria del comunismo”… https://amzn.to/39QP2KE Apoya La Contra en: · Patreon... https://www.patreon.com/diazvillanueva · iVoox... https://www.ivoox.com/podcast-contracronica_sq_f1267769_1.html · Paypal... https://www.paypal.me/diazvillanueva Sígueme en: · Web... https://diazvillanueva.com · Twitter... https://twitter.com/diazvillanueva · Facebook... https://www.facebook.com/fernandodiazvillanueva1/ · Instagram... https://www.instagram.com/diazvillanueva · Linkedin… https://www.linkedin.com/in/fernando-d%C3%ADaz-villanueva-7303865/ · Flickr... https://www.flickr.com/photos/147276463@N05/?/ · Pinterest... https://www.pinterest.com/fernandodiazvillanueva Encuentra mis libros en: · Amazon... https://www.amazon.es/Fernando-Diaz-Villanueva/e/B00J2ASBXM #FernandoDiazVillanueva #venezuela #maduro Escucha el episodio completo en la app de iVoox, o descubre todo el catálogo de iVoox Originals
Dr. Victor Santiago Pineda as the new Executive Director of CIL! With his extensive experience as a global advocate for disability rights and his innovative vision, Dr. Pineda is set to lead bThe center for Independent Living into an exhilarating new chapter of empowerment and inclusion.Victor Santiago Pineda was born in Caracas, Venezuela, At the age of two, Pineda was hospitalized with a high fever and for the next five years he demonstrated gradual weakening of his skeletal muscles. By age four, his weakened muscles caused him to fall repeatedly and by age seven, he stopped walking completely. His muscular deterioration would continue and eventually affect his breathing. By the time he was in high school, he needed to use a ventilator at night, and by the time he started his doctoral program in his late-twenties, he required a ventilator twenty-four hours per day.As a child, Pineda was diagnosed with spinal muscular atrophy (SMA-Type II), a form of muscular dystrophy. However, as an adult, he was examined by a neurophysiologist who, with the use of electromyography, determined that there was no evidence to suggest Spinal muscular atrophy. The specific cause of Pineda's muscle weakness was identified as collagenopathy VI, resulting from an extremely common genetic mutation.Pineda attended Corona Del Mar High School in Newport Beach, California, and was selected by his graduating class as a commencement speaker. Upon graduating in 1997, Pineda attended the California Youth Leadership Forum for Students with Disabilities (YLF). As a freshman at the University of California Berkeley, he received specialized support services provided by the Disabled Students Office (DSP) and participated in the Disabled Students Residence Program (DSRP).[citaWhile at UC Berkeley was elected senator for the ASUC student government, defended ethnic studies, with the leadership of Andrew Berk, hehelped resurrect the long dormant Disabled Students Union (DSU). During this time he established the Disability Media Initiative (DMI) and the Pineda Foundation to provide 21st century workforce skills to youth with disabilities. Pineda earned a B.A. in political economy, a B.S. in business administration and, eventually, a master's degree in city and regional planning (MCP) with a concentration in regional economic development. He then accepted an internship in Washington, D.C., where he served as a summer associate at the US Treasury's Department of International Affairs.IPineda was awarded the American Association of People with Disabilities Paul G. Hearne Award.Pineda's "It's About Ability" projectwas honored in Montenegro for the Best Humanitarian Action by UNICEF.Also in 2011, he received the prestigious Mark Bingham Award for Excellence in Achievement by a Young Alumnus/a, Cal Alumni Association for his work in education and human rights.© 2025 Building Abundant Success!!2025 All Rights ReservedJoin Me on ~ iHeart Media @ https://tinyurl.com/iHeartBASSpotify: https://tinyurl.com/yxuy23baAmazon ~ https://tinyurl.com/AmzBAS