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durée : 00:14:59 - Journal de 8 h - Il n'aura fallu que quelques heures après l'élection de Donald Trump pour que les relents racistes de la société américaine remontent à la surface. Dès l'annonce des résultats, plusieurs dizaines de personnes noires ont reçu des SMS d'une teneur esclavagiste.
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durée : 00:14:59 - Journal de 8 h - Il n'aura fallu que quelques heures après l'élection de Donald Trump pour que les relents racistes de la société américaine remontent à la surface. Dès l'annonce des résultats, plusieurs dizaines de personnes noires ont reçu des SMS d'une teneur esclavagiste.
Donald Trump va faire son retour à la Maison Blanche après sa victoire à l'élection présidentielle américaine, face à la candidate démocrate Kamala Harris, le 5 novembre. Avec cette élection qui met le Vieux Continent au pied du mur, les Européens parviendront-ils à rester unis face au nouveau locataire du bureau ovale ? La première difficulté, ce sont les divisions idéologiques entre les Européens. Il y a les partisans d'une Europe fortement dépendante des États-Unis, notamment sur le plan militaire – on peut citer des pays comme la Hongrie ou encore la Pologne –, et ceux qui pensent que l'Europe doit prendre des mesures pour se débrouiller seule, en matière politique, diplomatique, économique et militaire. C'est bien sûr le point de vue du président français Emmanuel Macron, qui insiste sur la nécessité pour l'Europe de sortir d'une forme de naïveté. Faute de quoi, les Européens seraient réduits, selon la métaphore élyséenne, à devenir des « herbivores attaqués par des carnivores ».La deuxième difficulté, ce sont les deux poids lourds de l'Union européenne (UE). La France et l'Allemagne sont actuellement affaiblies, économiquement et politiquement. Le chancelier Olaf Scholz était même absent de la réunion de la Communauté politique européenne (CPE), après l'éclatement de sa coalition à Berlin survenue au pire moment.Une réduction de l'aide américaine à l'Ukraine redoutéeCes divisions doivent d'abord être surmontées sur le dossier ukrainien, car la crainte des Européens – et de Kiev bien sûr – est double : avec Donald Trump de retour à la Maison Blanche, on peut s'attendre à une réduction plus ou moins forte de l'aide américaine à l'Ukraine et, parallèlement, au lancement de négociations pour mettre un terme à la guerre, avec Washington, Moscou et Kiev. C'est du moins ce que souhaite le futur président américain. Et les Européens, là-dedans ?Volodymyr Zelensky, qui était à Budapest jeudi 7 novembre, les a implorés de ne pas céder aux pressions des États-Unis, ou pire encore, de la Russie, notamment sur deux points essentiels : le refus d'une renonciation à l'intégrité territoriale de l'Ukraine et le refus de l'abandon de l'adhésion à terme de Kiev à l'Otan. Pour l'instant, pas de réponse unanime de l'Europe. Le tout sur fond d'inquiétudes concernant les demandes de Trump sur les contributions financières des européens à l'Otan.Risque de guerre commerciale avec l'EuropeDonald Trump ne s'en cache pas : durant la campagne, le candidat républicain réélu a dit très clairement qu'il voulait taxer les produits européens exportés aux États-Unis, de 10 à 20% selon les cas. Pour lui, économiquement, l'Europe – qu'il n'a pas hésité à qualifier de « mini-Chine » – est un concurrent qu'il faut dominer, sinon laminer. Les flux commerciaux entre les États-Unis et l'UE sont très importants mais se font au détriment des Américains, avec plus de 300 milliards de dollars de déficit. C'est cela que le nouveau président veut corriger, d'abord en imposant aussi des droits de douane, mais aussi et surtout en musclant son appareil productif et ses investissements dans l'avenir, l'innovation numérique, la transition écologique... Là encore, comment l'Europe peut-elle réagir ?Pour cela, les Européens vont-ils vraiment adopter le plan Draghi, qui estime que l'Europe doit débloquer 600 à 8 000 milliards de dollars pour rattraper son retard par rapport aux États-Unis. Cette question est aussi importante que l'autonomie stratégique du Vieux Continent. Reste maintenant à passer aux actes, et pas en ordre dispersé. C'est là que tout se complique. À écouter aussiPrésidentielle aux États-Unis: «Le retour de Donald Trump va relancer les guerres commerciales»
Aujourd'hui, dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent sur les raisons de la défaite de Kamala Harris et du Parti démocrate.
Jour J aux États-Unis | Le ministre Dubé veut forcer les médecins à travailler dans le réseau public pour quelques années Dans cet épisode intégral du 5 novembre, en entrevue : Ghassen Soufi, président de la Fédération des médecins résidents du Québec. Laurence Grondin-Robillard, Professeure associée à l'École des médias de l'UQAM. Yara Asbar, médecin esthétique à la clinique Victoria Park. Une production QUB Novembre 2024Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:03:17 - Les Échos d'ailleurs - L'économiste et prix Nobel, Esther Duflo, nous relate le fonctionnement du système électoral des États-Unis, ses conséquences et les bouleversements institutionnels qui pourraient se produire.
Nous continuons notre immersion en Géorgie :c'est peut-être un État clé de la Présidentielle américaine, où les sondages peinent à donner un favori, que tout va se jouer pour Kamala Harris et Donald Trump. En tout cas, les résultats des urnes y seront particulièrement scrutés dans 4 jour, et notamment le choix des Afro-Américains. C'est un électeur sur trois en Géorgie. On y retrouve notre envoyé spécial sur place, Vincent Serrano. Ecoutez RTL Inside avec Agnès Bonfillon du 01 novembre 2024.
"BFM STORY" du lundi au jeudi de 17h à 19h avec Olivier Truchot & Alain Marshall. Deux heures pour faire un tour complet de l'actualité en présence d'invités pour expliquer et débattre sur les grands sujets qui ont marqué la journée.
L'essentiel des nouvelles le 15 octobre 2024---Des agents du gouvernement indien auraient mené des activités criminelles au CanadaLes députés fédéraux ont adopté le projet de loi sur l'assurance médicamentsRuba Ghazal devrait être la prochaine co-porte-parole de Québec solidaireUne sonde de la Nasa est en route vers Europe, l'une des lunes de JupiterLe chômage recule, pour la première fois depuis janvierLa société propriétaire de 7-Eleven veut se scinder en deuxSpotify va augmenter ses tarifs au Canada d'ici la fin de l'année Lors d'un évènement à Hollywood, le patron de Tesla Elon Musk a présenté le prototype d'une voiture à conduite autonome, baptisée Cybercab et qui, comme son nom l'indique, est destinée à être utilisée comme taxi.Le prix Nobel d'économie a été décerné à 3 chercheurs basés aux États-Unis Le prix Nobel de la paix, lui, a été décerné à un groupe de militants japonais pour «ses efforts en faveur d'un monde sans armes nucléaires». Comme chaque lundi, InfoBref vous fait découvrir une jeune entreprise québécoise innovante.Cette semaine, on vous parle de la jeune pousse de Sherbrooke Nord Quantique.Elle a développé une technologie qui permet de réduire le taux d'erreur des ordinateurs quantiques pour accélérer l'adoption de ce type d'ordinateur par l'industrie.Pour en savoir plus sur cette technologie, lisez le portrait de Nord Quantique à http://infobref.com/jeqi-nord-quantique-acet-2024-10 ou en suivant le lien dans les notes de cet épisode.--- Détails sur ces nouvelles et autres nouvelles: https://infobref.com S'abonner aux infolettres gratuites d'InfoBref: https://infobref.com/infolettres Voir comment s'abonner au balado InfoBref sur les principales plateformes de balado: https://infobref.com/audio Commentaires et suggestions à l'animateur Patrick Pierra, et information sur la publicité-commandite de ce balado: editeur@infobref.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les différences culturelles sont parfois aussi des différences de culture financière, c'est ce que m'a expliqué Pierre à propos du crédit immobilier. — Bonjour, Pierre. — Bonjour, Laetitia. www.onethinginafrenchday.com
La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
Chaque matin, notre équipe de correspondants aux quatre coins du monde répond à une simple question : que se passe-t-il chez eux aujourd'hui ? Dans cet épisode, plongez au cœur de l'actualité internationale avec nos envoyés spéciaux : Aux États-Unis, découvrez le rôle controversé de Laura Loomer, une influenceuse d'extrême droite proche de Donald Trump. En Italie, suivez l'histoire surprenante de Maserati qui propose à ses employés, y compris au chômage partiel, d'acheter leurs voitures de luxe à prix réduit.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Comme chaque mardi jusqu'à la présidentielle américaine, notre correspondant à Washington Guillaume Naudin nous fait vivre la campagne électorale. Le moment fort, cette semaine, est bien sûr cette nouvelle tentative présumée d'assassinat contre Donald Trump dont le candidat républicain estime qu'elle est favorisée par la rhétorique de ses adversaires démocrates. Depuis l'attentat qui l'a visé en Pennsylvanie, Donald Trump et Kamala Harris prononcent leurs discours en extérieur derrière des vitres blindées. Lundi 16 septembre 2024, Donald Trump n'a pas hésité à accuser sa concurrente et le camp adverse en général. « Pour lui, la rhétorique violente de Kamala Harris et même de Joe Biden, qui l'accusent régulièrement d'être une menace pour la démocratie, conduit à ce qu'il se fasse tirer dessus », explique le correspondant de RFI à Washington, Guillaume Naudin. Ce climat de violence inédit est désormais un fait politique majeur aux États-Unis, poursuit le correspondant de RFI. Les condamnations sont unanimes : « Il n'y a pas, et je le dis du fond du cœur, ceux qui me connaissent le savent bien, il n'y a pas de place pour la violence politique en Amérique, a estimé Joe Biden ce lundi. Alors que Donald Trump reprend ses déplacements dans le Michigan et Kamala Harris retourne en Pennsylvanie, les conséquences sur l'opinion sont encore difficiles à mesurer mais la course reste serrée entre les deux candidats.Kamala Harris : une campagne trop timide ? En Pennsylvanie, un État-clé qui compte dix-neuf grands électeurs, certains responsables du parti démocrate, comme le gouverneur de Californie par exemple, veulent voir leur candidate « bomber un peu plus le torse », explique notre correspondant. « Ce que Kamala Harris a fait depuis deux mois est sans précédent dans l'histoire américaine, et si on revendiquait les réussites ? », suggère ainsi Gavin Newsom. Pour l'instant, les sondages sont serrés et la campagne Harris va jusqu'à mettre en avant les plus mauvais pour maintenir tout le monde sous pression, précise notre correspondant. Pour la deuxième fois en 179 ans, les rédacteurs du mensuel de vulgarisation scientifique Scientific American soutiennent la candidate démocrate. « Kamala Harris offre au pays de meilleures perspectives, en s'appuyant sur la science, des preuves solides et la volonté d'apprendre de l'expérience (...) Donald Trump est une menace et a un bilan dangereux ». Voilà ce qu'écrivent les rédacteurs dans leur dernier numéro. Gutteres juge « inacceptable » le manque d'argent pour HaïtiLe secrétaire général de l'ONU dit sa frustration face à lenteur de la communauté internationale à propos de la crise en Haïti. Antonio Guterres dénonce le manque de contributions pour financer la mission multinationale menée par le Kenya pour aider la police haïtienne dépassée par la violence des gangs. Seuls six pays ont contribué financièrement depuis l'appel aux dons lancé il y a un an, à hauteur de 68 millions de dollars. « Quand il y a une guerre, on trouve toujours de l'argent. Quand il y a une crise financière et que des banques doivent être sauvées, on trouve toujours de l'argent. Quand un peuple souffre dans une situation si désespérée, et qu'on a besoin que d'une somme relativement faible, pour mettre en place une petite force en Haïti, il est totalement inacceptable que cet argent ne soit pas disponible », a fustigé le secrétaire général de l'ONU. Entre la visite du secrétaire d'État américain en Haïti, l'Assemblée générale de l'ONU qui approche, « des perspectives nous font penser que le meilleur est pour les mois à venir » mais « Qui va ouvrir en grand la petite fenêtre sur Haïti ? », se demandeFrantz Duval dans son éditorial en une du Nouvelliste. Les autorités de transition tardent à mettre en place le Conseil électoral provisoire (CEP) promis. Une « impasse » que décrit l'agence Alterpresse. « Il y a une semaine que sa composition devait être annoncée (…) mais les contestations persistent au sein de différents secteurs en rapport aux choix des 9 membres du CEP, y compris, probablement au sein du CPT [Conseil présidentiel de transition, ndlr.], explique Gotson Pierre, rédacteur en chef de l'agence. Miragoâne, un bilan humain et environnemental importantÀ Miragoâne, le bilan humain de l'explosion du camion-citerne survenue le samedi 14 septembre, continue de s'alourdir, avec au moins 27 morts, selon les chiffres donnés par Direction de la Protection civile lundi (16 septembre 2024). Il y a aussi les conséquences pour l'environnement. « La protection civile alerte sur la contamination des sols et des eaux souterraines par les produits chimiques », explique au micro de RFI Gotson Pierre. L'agence de presse se penche enfin sur le sort des agriculteurs de l'Ouest haïtien qui sont contraints de produire à perte « Les difficultés d'accès aux principales routes occupées par les gangs empêchent l'acheminement de produits sur les marchés. Une situation qui se retrouve dans d'autres communautés, notamment en Artibonite, et qui contribue à creuser l'insécurité alimentaire qui affecte désormais plus de la moitié de la population », résume Gotson Pierre. En Bolivie, blocages des routes et marche prévue vers La PazEn Bolivie, la mobilisation des partisans de l'ancien président Evo Morales a commencé ce lundi (16 septembre 2024), avec entre autres, le blocage de l'accès au lac Titicaca.« Cinq points de blocage sur la route vers Copacabana, [sur les rives du lac, ndlr.], trois arrestations et des pertes de 28 000 Bolivars en péages », titre le journal Los Tiempos. Le président Luis Arceimpute ces blocages au secteur « eviste » [pro Evo Morales] de son parti, le MAS. Le quotidien confirme que les revendications sont économiques et sociales, mais qu'elles comportent aussi le rejet de la disqualification d'Evo Morales aux élections de 2025. Véritable test pour la mobilisation : une marche doit débuter ce mardi à Caracollo au sud de la Paz pour arriver au siège du gouvernement. Journal de la 1èreEn Martinique, la mobilisation contre la vie chère bascule dans la violence Morceau musical : « Time moves slow » du groupe de jazz canadien Bad Bad Not Good.
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Aux États-Unis, les inscriptions électorales connaissent une hausse significative, notamment chez les jeunes femmes noires et les Latinas, un phénomène qui pourrait avoir un impact sur les prochaines élections.En Grèce, le gouvernement conservateur annonce une série de mesures visant à soulager les ménages, comme l'augmentation des retraites et du salaire minimum. Des décisions qui ont un parfum de campagne électorale, avec les prochaines élections nationales en ligne de mire.Enfin, au Liban, l'arrestation de Riyad Salamé, l'ancien gouverneur de la Banque centrale, suscite la surprise. Poursuivi pour malversations financières, cet homme réputé intouchable dans un pays gangréné par la corruption risque jusqu'à 6 ans et demi de prison.Notre équipe éditoriale a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
durée : 00:25:14 - 8h30 franceinfo - Le spécialiste des États-Unis et maître de conférence à l'université Paris Saclay, Lauric Henneton, est l'invité du "8h30 franceinfo" du mardi 10 septembre.
Donald Trump et Kamala Harris ne se sont encore jamais rencontrés, ce sera chose faite ce soirMention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La campagne présidentielle se poursuit aux États-Unis. À la veille du premier débat entre Kamala Harris et Donald Trump, les sondages donnent une légère avance à la candidate démocrate au niveau national. Mais, le duel est plus serré dans les six États clés. C'est le cas dans le Michigan, où le vote arabe ou musulman pourrait être décisif. Dearborn dans la banlieue de Detroit, est la ville américaine qui abrite la plus large population originaire des pays arabes et du Moyen-Orient. Anne Verdaguer, notre envoyée spéciale à Detroit, s'est rendu sur place.
La campagne présidentielle se poursuit aux États-Unis. À la veille du premier débat entre Kamala Harris et Donald Trump, les sondages donnent une légère avance à la candidate démocrate au niveau national. Mais, le duel est plus serré dans les six États clés. C'est le cas dans le Michigan, où le vote arabe ou musulman pourrait être décisif. Dearborn dans la banlieue de Detroit, est la ville américaine qui abrite la plus large population originaire des pays arabes et du Moyen-Orient. Anne Verdaguer, notre envoyée spéciale à Detroit, s'est rendu sur place.
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Chaque jour, les correspondants d'Europe 1 font le tour de l'actualité internationale.
Tous les jours de la semaine, invités et chroniqueurs sont autour du micro de Stéphanie de Muru pour débattre des actualités du jour.
Tous les jours de la semaine, invités et chroniqueurs sont autour du micro de Stéphanie de Muru pour débattre des actualités du jour.
Avec plus de 300 millions de visiteurs par an, les parcs nationaux des Etats-Unis sont des incontournables pour les touristes du monde entier. Mais avant d'être des parcs nationaux, ces grands espaces se situaient sur les terres ancestrales des peuples autochtones.A partir du XIXe siècle, ils en ont été chassés ou forcés de les céder pour la création de parcs nationaux. Certaines tribus se réapproprient petit à petit la gestion de ces territoires. La nomination du premier amérindien directeur du National Park Service en fait un symbole très fort.Sur le Fil part avec les journalistes Lucie Aubourg et Diane Desobeau dans deux parcs nationaux en Arizona et dans le Montana, où l'Etat fédéral a décidé de coopérer avec des amérindiens pour prendre soin de ces territoires.Crédit : enregistrement de sons naturels réalisé par les Parcs Nationaux, à retrouver en intégralité iciRéalisation : Etienne QuesnelPremière diffusion le 6 juin 2024Sur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Mickaël Dorian revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui, Kamala Harris et son colistier entrent officiellement en campagne pour la présidentielle.Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour.
Sa photo est en première page de tous les journaux ce mardi matin… Et pour cause, les choses s'accélèrent : avant-hier, dimanche 21 juillet, Joe Biden jetait l'éponge dans la course à la présidentielle et lui laissait la main. Et hier, Kamala Harris recevait l'assurance d'être la candidate officielle du parti démocrate. En effet, comme le souligne le New York Times, « la vice-présidente Kamala Harris s'est rapidement imposée comme la candidate démocrate de facto à l'élection présidentielle, hier, lors de sa première journée complète de candidature, alors que pratiquement tous ses rivaux potentiels se sont retirés et qu'elle a obtenu le soutien d'un nombre suffisant de délégués pour remporter l'investiture ». Elle est donc assurée de gagner son ticket pour l'élection dès le premier tour de scrutin lors de la convention démocrate le 19 août à Chicago. C'est elle qui affrontera donc Donald Trump, déjà investi.Cartes en mainsAlors maintenant, voilà « ce qu'elle doit faire pour gagner », s'exclame le Washington Post : « Kamala Harris pourrait être tentée de suivre un chemin rectiligne vers l'investiture, en prenant peu de risques d'ici le vote des délégués en août ». Non, affirme le Post, « elle devra faire le contraire. Elle devra prononcer un discours national détaillé et répondre aux questions de fond des journalistes, organiser un débat public télévisé pour dialoguer directement avec les électeurs. Elle pourrait même participer à des forums avec d'autres démocrates pour montrer que le parti ne se résume pas à un seul individu. L'objectif est de passer d'une situation de vice-présidence confuse à une situation de présidence claire et nette. Une stratégie de communication qui pourrait aider à convaincre les gens que, par exemple, la gestion de la guerre en Ukraine par le président Biden a été bonne, ou que l'économie est en fait florissante. (…) Les cartes sont entre les mains de Kamala Harris ».À lire aussiÉtats-Unis : une semaine décisive pour le parti démocratePlus à gauche que BidenLe Wall Street Journal pour sa part s'interroge sur les idées de la candidate démocrate et le programme qui pourrait en découler… « Kamala Harris a déclaré hier que le premier mandat du président Biden avait “dépassé l'héritage“ de la plupart des présidents qui en ont fait deux. Il faut donc noter, pointe le Wall Street Journal, qu'elle approuve les dépenses excessives qui ont provoqué l'inflation, qu'elle approuve le New Deal vert, qu'elle approuve l'élargissement des droits et l'annulation des prêts étudiants. Jusqu'à ce qu'elle dise le contraire, nous devrions également supposer qu'elle est en faveur de l'augmentation des impôts de 5 000 milliards de dollars prévue par Joe Biden en 2025. (…) Kamala Harris est une progressiste californienne, souvent plus à gauche que Joe Biden, prévient encore le Wall Street Journal. Peut-être que, face au public, dans les semaines à venir, elle modifiera certains de ses points de vue. Elle serait bien avisée de le faire si elle veut gagner. »Une nouvelle campagne commence…En tout cas, s'exclame Le Devoir à Québec, « les cent prochains jours vont être captivants. Et extrêmement lourds de conséquences. Trump, en tête dans les sondages, ne pourra plus exploiter la faiblesse de Biden. Pour lui, c'est aussi une nouvelle campagne qui commence. On risque de le voir plus hargneux et intolérant que jamais, face à une femme qui lui tient tête (…). Entre elle et lui, l'état de polarisation de la politique aux États-Unis pourrait devenir plus explicite encore. Pauvre démocratie américaine — en guerre permanente avec elle-même. Il n'en est que plus crucial, conclut Le Devoir, que Mme Harris réussisse là où Hillary Clinton a échoué en 2016 ».À lire aussiÉtats-Unis: «Le retrait de Joe Biden a suscité un engouement de la base et des grands donateurs»Libération à Paris est sur la même ligne : « On se régale à l'idée de voir s'affronter au plus haut sommet de l'État fédéral une procureure et un repris de justice, un scénario auquel même Hollywood n'avait jamais pensé. Bien sûr, les jeux ne sont pas encore faits et, même si les dons affluent depuis l'annonce de son entrée dans la course, on n'est pas à l'abri d'un nouveau rebondissement dans cette campagne assez exceptionnelle. Mais l'on ne voit pas bien quelle candidature pourrait apparaître plus crédible que celle d'une femme qui connaît tous les rouages de l'administration américaine et tous les chefs d'État de la planète ».Enfin, pour Le Soir à Bruxelles, « le Parti démocrate doit désormais faire bloc. Car pour la première fois en plus d'un mois, ses membres se sont réveillés avec un sentiment d'espoir. (…) Alors oui, Kamala Harris devra insister, encore et encore, sur le fait que Trump risque de mener les institutions à leur perte. Mais elle devra aussi trouver le moyen de réconcilier deux Amériques qui ne se regardent plus. Et qui devront pourtant continuer à vivre ensemble après le 5 novembre ».À lire aussiPrésidentielle américaine: à peine lancée, la campagne de Kamala Harris déjà sur les rails
Le 1ᵉʳ juillet, aux États-Unis, la Cour suprême a rendu un arrêt concernant l'immunité du président, suite aux poursuites à l'encontre de l'ancien président Donald Trump. La décision ne concerne pas uniquement le nouveau prétendant à la Maison-Blanche, elle s'appliquera à tous les présidents. Et dans le pays, l'arrêt suscite la controverse. Dans son arrêt, la Cour suprême établit un distinguo subtil entre les actes officiels et non officiels du président des États-Unis : « Le président ne jouit d'aucune immunité pour ses actes non officiels », mais : « il a le droit au moins à une présomption d'immunité pour ses actes officiels ». En clair, pour les actes officiels du président, ce dernier a droit non pas à une immunité, mais à une présomption, ce qui renvoie en fait toute décision au niveau des tribunaux de première instance. Cela signifie aussi qu'il s'agira d'une politique du cas par cas.Et en l'occurrence, concernant les deux procès prévus pour Donald Trump, le premier sur sa volonté d'inverser le résultat de l'élection présidentielle de 2020, le deuxième sur ses propos sur le 6 janvier 2021, lors de l'assaut du Capitole, il faudra décider s'il s'agit d'actes officiels ou non officiels, ce qui va prendre du temps et retarder donc la date des procès, espèrent ses avocats, après l'élection présidentielle du mois de novembre. Et c'est exactement ce que recherche Trump qui, s'il remportait le scrutin, pourrait, une fois investi en janvier 2025, ordonner l'arrêt des poursuites fédérales à son encontre.À écouter aussi3. Le candidat Trump au tribunalUne décision de la Cour suprême qui fait polémiqueLa décision de la Cour suprême fait controverse, critiquée par certains, approuvée par d'autres, en fonction de la façon dont on envisage le rôle du président. Ce qui est certain, c'est que l'arrêt peut être qualifié de « mi-chèvre mi-chou ». Donald Trump et ses avocats réclamaient une immunité absolue pour les actes du président quand il est en fonction, ce qu'ils n'ont pas obtenu, mais l'avis rendu par la Cour va tout de même dans le sens de l'ancien président.La Cour était profondément divisée : sur les neuf juges en poste, six ont voté pour et trois contre la décision rendue publique. Le débat sur l'indépendance de l'institution risque d'être relancé : ce sont les six juges conservateurs, dont les trois nommés par Donald Trump au cours de son mandat, qui ont voté le texte, alors que les trois juges progressistes s'y sont opposés.Les opposants à cette décision dénoncent un texte dangereux, car, pour eux, il renforce une forme d'impunité du président. La critique est celle d'une dérive vers un pouvoir absolu, transformant le locataire de la Maison-Blanche en « roi au-dessus des lois dans chaque usage de son pouvoir officiel », comme l'a écrit la juge Sotomayor, dans son avis de désaccord.Et pour de nombreux Américains, leur Constitution a été établie contre la royauté britannique en 1776 pour établir une république rendant justement impossible qu'un seul homme, comme le roi d'Angleterre à l'époque, ait les pleins pouvoirs et une impunité totale. Voilà pourquoi cette décision de la Cour suprême n'a pas fini de faire couler beaucoup d'encre.
durée : 00:11:56 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - Ce mardi, Joe Biden a promis de régulariser un demi-million de personnes, mariées à des citoyens américains et présentes sur le territoire depuis au moins dix ans... - invités : Alain Musset Géographe à l'Institut universitaire de France
(00:00:41) Aux Etats-Unis, le pouvoir judiciaire en crise de légitimité (00:05:27) L'UE taxe l'importation de voitures électriques chinoises (00:08:17) L'art de la conversation étouffé par l'omniprésence de nos téléphones portables (00:14:28) Le retour des femmes de djihadistes dans la ville syrienne de Raqqa
durée : 00:02:22 - Le monde est à nous - La tendance du retour au naturel, au bio et au poil a pris fin aux États-Unis. Le secteur des déodorants y enregistre une croissance à deux chiffres, et les Américains dépensent pour ce confort plus que dans les autres pays.
Avec plus de 300 millions de visiteurs par an les parcs nationaux des Etats-Unis sont des incontournables pour de nombreux touristes venant du monde entier. Mais avant d'être des parcs nationaux, ces grands espaces se situaient sur les terres ancestrales des peuples autochtones. A partir du XIXe siècle, ils en ont été chassés ou forcés de les céder pour la création de ces parcs nationaux. Certaines tribus se réapproprient petit à petit la gestion de ces territoires. La nomination du premier amerindien directeur du National Park Service en fait un symbole très fort.Dans cet épisode préparé par Etienne Quesnel, Sur le Fil part avec les journalistes Lucie Aubourg et Diane Desobeaux, dans deux parcs nationaux en Arizona et dans le Montana, où l'Etat fédéral a décidé de coopérer avec des amérindiens pour prendre soin de ces territoires. Crédit : enregistrement de sons naturels réalisé par les Parcs Nationaux, à retrouver en intégralité iciSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:16:56 - 8h30 franceinfo - Rym Momtaz, géopolitologue à l'International Institute for Strategic Studies était l'invitée du “8h30 franceinfo” dimanche 2 juin 2024.
Direction les États-Unis, à New-York où on attend le verdict au procès de Donald Trump, un procès pénal pour paiements dissimulés à une actrice de films pornos. L'ancien président, et qui souhaiterait le redevenir, risque gros. Reportage d'Arnaud Tousch.
durée : 00:04:33 - Récits d'enquête - par : Mattéo Caranta - Le think tank conservateur prépare un plan de remplacement de l'administration américaine. Le principe est simple : créer une “armée d'agents conservateur volontaires et prêts à se battre”. 10 000 personnes en cours de recrutement et formation pour mettre en place le programme de Donald Trump.
Tous les matins, l'œil malicieux de Sébastien Krebs se pose sur un sujet tabou ou gênant. Le rendez-vous pour débattre à la machine à café.
Ce qui a retenu l'attention de notre journaliste sur les marchés aujourd'hui.
La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
Chaque jour, les correspondants d'Europe 1 font le tour de l'actualité internationale.
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Les primaires démocrates débutent ce samedi (3 février 2024) en Caroline du Sud. Une formalité annoncée pour le président sortant Joe Biden tandis que du côté du Parti républicain, Donald Trump fait la course en tête après s'être imposé dans les États de l'Iowa et du New Hampshire. Quatre ans après la victoire de Joe Biden face à Donald Trump, le match retour est-il déjà lancé ? Qu'est-ce qui peut empêcher le duel annoncé d'avoir lieu ? Qu'est-ce que cela préfigure ? Pour en débattre : - Pierre Gervais, historien, professeur de Civilisation américaine à l'Université Sorbonne Nouvelle Paris 3- Jérôme Viala-Godeffroy, chargé de cours à Sciences Po Saint-Germain-en-Laye, spécialiste des États-Unis.
Les primaires démocrates débutent ce samedi (3 février 2024) en Caroline du Sud. Une formalité annoncée pour le président sortant Joe Biden tandis que du côté du Parti républicain, Donald Trump fait la course en tête après s'être imposé dans les États de l'Iowa et du New Hampshire. Quatre ans après la victoire de Joe Biden face à Donald Trump, le match retour est-il déjà lancé ? Qu'est-ce qui peut empêcher le duel annoncé d'avoir lieu ? Qu'est-ce que cela préfigure ? Pour en débattre : - Pierre Gervais, historien, professeur de Civilisation américaine à l'Université Sorbonne Nouvelle Paris 3- Jérôme Viala-Godeffroy, chargé de cours à Sciences Po Saint-Germain-en-Laye, spécialiste des États-Unis.
Longtemps associé à la Conquête de l'Ouest et au développement des États-Unis, le train a fait rêver des générations d'Américains. Mais depuis des décennies il est délaissé au profit de la voiture et de l'avion. En 2021, l'administration du démocrate Joe Biden a lancé un grand plan d'investissement doté d'un budget de 66 milliards de dollars. Le président américain, lui-même grand amateur de trains, a promis une première ligne à grande vitesse entre Los Angeles et Los Vegas, pour 2028.Ces investissements colossaux suffiront-ils à remettre le train au goût du jour? Éléments de réponse dans cet épisode de Sur le Fil réalisé avec Julie Chabanas, journaliste qui couvre l'économie américaine au bureau de Washington et Matthieu Schorung, géographe et enseignant à l'Université Gustave Eiffel, spécialiste des réseaux ferroviaires.Réalisation : Emmanuelle BaillonSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Nous cherchons à nous améliorer tous les jours et avons préparé un sondage pour vous. Prenez trois minutes pour le remplir iciEt bien sûr, écrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous envoyer une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le Journal en français facile du mardi 23 janvier 2024, 17h00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : https://rfi.my/AHXW.A
Ecoutez RTL autour du monde du 14 décembre 2023 avec Correspondants RTL à l'étranger.
Ecoutez RTL autour du monde du 07 décembre 2023 avec Correspondants RTL à l'étranger.
Ecoutez RTL autour du monde du 30 novembre 2023 avec Correspondants RTL à l'étranger.
durée : 00:04:08 - Le Reportage de la Rédaction - La COP 28 s'ouvre ce jeudi 30 novembre 2023 à Dubaï. Drôle d'endroit pour une COP dont le président, Sultan Al Jaber, est le PDG de la compagnie nationale pétrolière. Les Émirats qui se présentent aussi comme un champion des énergies renouvelables, avec comme vitrine l'éco-ville de Masdar City.
durée : 00:02:46 - Les histoires du monde - par : Anthony BELLANGER - Partout où c'est possible, les militants tentent d'inscrire le droit à l'avortement dans les constitutions des États. Notamment par le biais de référendum, comme dans l'Ohio.
durée : 00:02:46 - Les histoires du monde - par : Anthony BELLANGER - Partout où c'est possible, les militants tentent d'inscrire le droit à l'avortement dans les constitutions des États. Notamment par le biais de référendum, comme dans l'Ohio.
durée : 00:03:20 - Le monde à 18h51 - par : Franck MATHEVON - Une série de scrutins locaux était organisée hier aux Etats-Unis. A un an pile de l'élection présidentielle, les résultats de ces votes confirment que le droit à l'IVG est le grand sujet de rassemblement du camp démocrate. Une bonne nouvelle pour Joe Biden.
durée : 00:11:43 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - Cela fait 42 jours que les salariés des constructeurs automobiles américains Ford, General Motors et Stellantis sont en grève. Plusieurs des principaux sites de production ont ainsi été mis à l'arrêt… - invités : Donna Kesselman Professeure à l'université Paris Est-Créteil, sociologue du travail, spécialiste des droits sociaux aux États-Unis.
C'est sans doute la visite la plus périlleuse depuis le début de son mandat en 2021 : Joe Biden se rend aujourd'hui au Proche-Orient. Le Président américain devait venir exprimer directement son soutien a Israël après l'attaque du Hamas et rencontrer aussi des dirigeants arabes. Mais le bombardement cette nuit de l'hôpital de Gaza complique la situation. Les explications de Carrie Nooten, correspondante de RTL aux USA.
durée : 00:43:48 - Le Magazine du week-end - par : Tiphaine de Rocquigny, Marguerite Catton - Entre janvier et mai 2023, la ville de Dubaï a accueilli 166 000 visiteurs français, et 7,39 millions de touristes au total. La cité émiratie est devenue une destination où les touristes semblent trouver sécurité et divertissement : comment expliquer l'attractivité des Émirats arabes unis ? - invités : Marc Lavergne Géopolitologue, directeur de recherche au CNRS et à l'Université de Tours; William Guéraiche Sociologue et historien, spécialiste des Philippines; Alexandre Kazerouni Politologue, spécialiste du monde musulman contemporain et des pays du pourtour du golfe Persique