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Aran, trois petites îles au large de Galway, battues par l'océan et les vents d'ouest. Depuis la nuit des temps, des gens ont survécu là. Aujourd'hui, on y vit plutôt bien. Les insulaires parlent de deux saisons, l'une pour les touristes, le job, l'autre pour eux, pour leur vie. Sur les traces de Nicolas Bouvier, Robert Flaherty et tant d'autres intrigués bien avant moi par ces minuscules grains dans l'océan, Jean-Guy Coulange a imaginé ce passage de l'été à l'hiver. Il a rencontré quelques habitants mais il n'a pas tout traduit, occupé à écouter cette langue irlandaise mixée parfois de gaélique. Et il a tenté de capter cette énergie sonique visitée à son insu par les fées et le divin. Avec les voix de Gearoïd Browne, Agnès Hernon, Sarah Flaherty, Michaël Hernon, Noirin Gil et Thomas Dirrane Extraits de « Journal d'Aran et d'autres lieux » de Nicolas Bouvier Son, compositions et réalisation : Jean-Guy Coulange Une production du Labo de David Collin de la RTS Merci pour votre écoute Par Ouïe-Dire c'est également en direct tous les jours de la semaine de 22h à 23h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Par Ouïe-Dire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/272 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
Hace más de medio siglo, David Collin hizo un viaje en barco para hacer un picnic con su padre que nunca olvidará. El 18 de agosto de 1960, partieron hacia la isla Little Ross, al sur de Reino Unido, frente a Kirkcudbright, en el bote familiar para explorar la bahía. Terminaron encontrando el cuerpo de un farero que había sido asesinado por su colega en un caso que todavía forma parte del folclore local. Soy Marcela Brilo y en este nuevo mini episodio, les contaré la historia del crimen del Faro de Little Ross. Les recuerdo seguirme en redes sociales para que complementen lo que les cuento con los apoyos visuales que ahí comparto y se enteren de algunas cosas más, como algunas recomendaciones que hago sobre series o películas, etc. Son @rinconescarlata_ en Instagram Tiktok y Threads y como @escarlatina_rin en twitter. HAZTE PATREON Si quieren más contenido como este o ya escucharon todos los demás programas que tengo y quieren más, pueden escuchar los episodios exclusivos que subo a Patreon, en donde se pueden suscribir por la cantidad mensual que de solo $3 Dls. Y también podrán acceder al Apoyo Visual exclusivo para suscriptores del clan escarlata. Aquí les dejo la liga: https://www.patreon.com/rinconescarlata
Hoy con Dios #EnVivo , conducido por Rafael de la Sierra, autor del libro "Te encontré".
Photo: David Collin La Radio fait-elle encore rêver, comment l'art radiophonique stimule notre imaginaire ? En quoi cet art est un des lieux les plus exaltants de la création contemporaine ? À l'heure où le son prend une importance grandissante, où les podcasts se multiplient, voilà autant d'interrogations auxquelles nous invite le grand rendez-vous sur la création radiophonique qu'est le Festival Longueur d'Onde à Brest, festival de radio et d'écoute, rendez-vous français des créateurs d'images sonores et des amateurs de sensations radiophoniques. Bruno Séribat nous emmène dans les coulisses de la quinzième édition (2018), ouvrant son micro à la sortie des débats, captant les grands enjeux de la création radiophonique d'aujourd'hui, où l'on débat de fond et de forme, de documentaire, de réalisation, de fiction, de Hörspiel, de météo, de podcast et globalement d'écriture radio et sonore. Avec toujours une grande exigence et l'éthique de ceux qui savent écouter. Prise de son, mixage et réalisation: Bruno Séribat. Avec les voix (entre autres) de Perrine Kervian, Christine Lecerf, Sonia Kronlund, Kaye Mortley, Anna Szmuc, Christian Rosset, Götz Naleppa, Samuel Hirsch, Alex Szalat, Benoit Bories, et Silvain Gire. Lectures: Carine Delfini. Une production du LABO, David Collin. Diffusé initialement le 01.04.2018
2/3/22 - David Collin And Ron Rubano by The Lisa Wexler Show
Il était considéré comme le plus grand poète contemporain par Aragon. Né en 1909 à Monemvassia et mort en 1990 à Athènes, le poète grec Yannis Ritsos laisse derrière lui une œuvre multiple, indissociable de lʹhistoire de son pays et profondément marquée par les grandes luttes de son temps. Trente ans après sa disparition, Le LABO lui rend hommage dans un documentaire qui mêle des entretiens avec Dominique Grandmont, poète et traducteur de Yannis Ritsos, Nikiphoros Papandreou, professeur émérite dʹétudes théâtrales de lʹuniversité Aristote de Thessalonique, le poète Titos Patrikios et le témoignage du compositeur Mikis Théodorakis. Avec des extraits de Quatrième dimension (1972), Première suite (1957-1963), Les négatifs du silence (1987), Gestes (1972), Pierres Répétions Barreaux (1970), Grécité (1966) et Sonate au clair de lune (1956), Epitaphe (texte écrit en 1936 et mis en musique en 1958 par Mikis Théodorakis) Ecriture et réalisation : Yorgos Archimandritis Mixage : Marc Frochaux Avec la complicité de Carmen Sage et Gérald Wang Une production du LABO, David Collin
Les drames de Hiroshima et de Nagasaki portent une ombre tragique et funeste sur celui de Fukushima. L’été 1945, pour mettre fin à la Seconde Guerre mondiale et à l’affrontement contre les Japonais, mais aussi pour donner un signe clair à l’avancée russe en Asie, le gouvernement américain largue deux bombes nucléaires le 6 août 1945 sur Hiroshima, et le 9 août sur la ville portuaire de Nagasaki, provoquant la mort de plusieurs centaines de milliers de personnes. Les survivants aux bombes, les hibakushas, seront très longtemps considérés comme des parias, sans que leur statut de victime d’irradiations ne soit reconnu. Un projet documentaire de David Collin et Didier Rossat, RTS.
C’était un homme public et un ami. David Collin, producteur du Labo à la RTS, l’émission sœur, est parti en quelques mois d’un cancer foudroyant ; nous étions plusieurs à l’avoir vu radieux, à son habitude en décembre 2019 au Festival de Création radiophonique à Bruxelles, organisé par l’acsr. J’ai demandé à ses collaborateurs les plus proches de lui offrir un son, un souvenir, des mots… M’ont alors suivie Alexandre Plank, Antoine Richard, Caroline Bernard, Charlotte Rouault, Paola Stévenne, David Christoffel, Benoît Bories. Avec des extraits du texte de Jacques Roman, mis en ondes par Marc Frochaut pour Le Labo. Merci à Camille Dupon-Lahitte, Gérald Wang et Marc Jacquin. Merci à David Collin. Mise en ondes : Pascale Tison Photo : Alain Wicht
Lʹeffet Barnum cʹest cette propension que nous avons à nous reconnaître dans un discours générique prétendant être personnalisé. Pour comprendre ce phénomène, David Christoffel nous embarque dans une quête digressive autour de ce sujet, à la rencontre de scientifiques, de voyantes ou encore dʹaccrocs aux questionnaires de personnalité. Avec ce quʹil faut dʹhumour, de scepticisme, de véritable curiosité surtout, pour que ses interlocuteurs lui livrent quelque chose de plus que lors dʹune interview classique. Un documentaire drôle, où la parole se mêle à un étonnant répertoire de musiques tous azimuts. Un documentaire de David Christoffel. Mixage additionnel: Matthieu Ramsauer avec lʹassistance de Jeanne Cousseau Une production de David Collin pour Le LABO, diffusée une première fois le 02 octobre 2016.
Il y a dix ans, le 11 mars 2011, un tremblement de terre de 9,0 sur l’échelle de Richter survenu au large des côtes de l’Île de Honshu, à 130 km à l’Est de la ville de Sendai, provoque un gigantesque tsunami sur la côte pacifique de la région du Tohoku. Séisme et tsunami (à 90% responsable des pertes) engendrent de nombreux blessés, des destructions gigantesques, et provoquent un accident nucléaire de niveau 7 (le plus élevé) à la Centrale de Fukushima-Daiichi (sur la côte, à environ 60 km de la ville de Fukushima). Aujourd’hui, le Japon semble fonctionner comme avant la catastrophe. Mais les blessures de Fukushima sont toujours ouvertes. Comment vivre avec un danger invisible, comment survivre au nucléaire? Retour au Japon en compagnie de l’écrivain japonais Akira Mizubayashi. Il était le guide de David Collin et Didier Rossat sur les chemins de Fukushima en mars 2017. Photo CHARLY TRIBALLEAU/AFP
Le Nitassinan, c'est le grand territoire ancestral des amérindiens innus. Un espace de survie nomade, de générosité désintéressée, de respect des plantes et des animaux. Mais ces immensités boréales sont morcelées par les mines à ciel ouvert et les barrages hydrauliques. De la Côte-Nord québecoise jusquʹà la ville minière sinistrée de Schefferville, à travers rivières, lacs et taïgas, par un train leur appartenant, les Innus racontent leur connexion et leur combat pour ce Nitassinan qui leur échappe. Un documentaire de Jonas Pool, réalisé par Christophe Esseiva Une production du LABO, David Collin
#parolesdefilles En ce dimanche de Saint Valentin, Récréation Sonore reste en famille et propose une programmation non pas amoureuse mais filiale: nous allons donner la parole à des filles parlant de leurs parents . Nous écoutons ce soir deux autrices qui ont pris le micro pour évoquer l’héritage de son père, pour Emmanuelle Gibello, le secret de sa mère pour Laure Porthé. Transmission, héritage, mémoire, souvenir, histoire, secret, filiation sont les mots de cette émission. Elle c’est ma fille, de Laure Porthé « L’été ça fait toujours des histoires… c’est ce qu’on finit par croire quand on a 10 ans et que les grands se disputent. Assise sur les marches de la maison, je regarde passer une fourmi et j’entends les mots, les noms et les cris depuis la cuisine. Je ne comprends pas et pourtant je n’oublierai jamais.» Cette création a été réalisée par Laure Porthé et a remporté le 2è prix au concours Arte Radio 2017 « Un été singulier » Esculape en Algérie, d’Emmanuelle Gibello C’est dans l’héritage intellectuel qu’un père transmet à sa fille que cette création prend son inspiration. Elle propose un questionnement sur le cheminement des souvenirs au travers des différentes strates des mémoires. Emmanuelle Gibello pose ici un regard bienveillant, sur l’homme vieillissant que son père est devenu, en mettant en corrélation deux textes qu’il a écrit à peu près au même moment : « Pensée, mémoire, folie« , un essai publié en 2013 chez Odile Jacob, où il tente d’expliquer la complexité et le polymorphisme de la mémoire et « Esculape en Algérie« , un texte inédit, où il remonte dans ses souvenirs de jeunesse, pour raconter avec humour et bienveillance son service militaire en tant que jeune médecin appelé dans le petit village d’Edgar Quinet, au sud de la région des Aurès. Nous sommes en 1959, il a 27 ans. Ce documentaire est une plongée dans les fragments d’une mémoire qui s’efface. Le son y est pensé comme un tissage mental. La création sonore et la musique sont créées à partir de sons enregistrés dans le village et aux alentours de Faucogney-et-la-Mer, où Bernard Gibello est en train de s’éteindre. C’est le hors-champ des mots. On y capte à la fois le paysage qui l’entoure, mais aussi l’activité mentale qui continue de l’habiter. Il se tisse un dialogue entre les deux textes, entre deux époques, entre un père et sa fille. Un documentaire de Emmanuelle Gibello, réalisé par Jean-Philippe Zwahlen. Une production de David Collin soutenue par le fonds Gulliver, une initiative de la RTBF, de la RTS, du service de la Promotion des Lettres de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de la SCAM-SACD Belgique et France. Cette émission a été préparée et présentée par Muriel KS. Le générique, inspiré par la musique du film “Un Flic” de Jean-Pierre Melville (1972 ; musique de Michel Colombier) est interprété à la trompette par Thibault Renard.
#parolesdefilles En ce dimanche de Saint Valentin, Récréation Sonore reste en famille et propose une programmation non pas amoureuse mais filiale: nous allons donner la parole à des filles parlant de leurs parents . Nous écoutons ce soir deux autrices qui ont pris le micro pour évoquer l'héritage de son père, pour Emmanuelle Gibello, le secret de sa mère pour Laure Porthé. Transmission, héritage, mémoire, souvenir, histoire, secret, filiation sont les mots de cette émission. Elle c'est ma fille, de Laure Porthé « L'été ça fait toujours des histoires... c'est ce qu'on finit par croire quand on a 10 ans et que les grands se disputent. Assise sur les marches de la maison, je regarde passer une fourmi et j'entends les mots, les noms et les cris depuis la cuisine. Je ne comprends pas et pourtant je n'oublierai jamais.» Cette création a été réalisée par Laure Porthé et a remporté le 2è prix au concours Arte Radio 2017 "Un été singulier" Esculape en Algérie, d'Emmanuelle Gibello C'est dans l'héritage intellectuel qu'un père transmet à sa fille que cette création prend son inspiration. Elle propose un questionnement sur le cheminement des souvenirs au travers des différentes strates des mémoires. Emmanuelle Gibello pose ici un regard bienveillant, sur l'homme vieillissant que son père est devenu, en mettant en corrélation deux textes qu'il a écrit à peu près au même moment : "Pensée, mémoire, folie", un essai publié en 2013 chez Odile Jacob, où il tente d'expliquer la complexité et le polymorphisme de la mémoire et "Esculape en Algérie", un texte inédit, où il remonte dans ses souvenirs de jeunesse, pour raconter avec humour et bienveillance son service militaire en tant que jeune médecin appelé dans le petit village d'Edgar Quinet, au sud de la région des Aurès. Nous sommes en 1959, il a 27 ans. Ce documentaire est une plongée dans les fragments d'une mémoire qui s'efface. Le son y est pensé comme un tissage mental. La création sonore et la musique sont créées à partir de sons enregistrés dans le village et aux alentours de Faucogney-et-la-Mer, où Bernard Gibello est en train de s'éteindre. C'est le hors-champ des mots. On y capte à la fois le paysage qui l'entoure, mais aussi l'activité mentale qui continue de l'habiter. Il se tisse un dialogue entre les deux textes, entre deux époques, entre un père et sa fille. Un documentaire de Emmanuelle Gibello, réalisé par Jean-Philippe Zwahlen. Une production de David Collin soutenue par le fonds Gulliver, une initiative de la RTBF, de la RTS, du service de la Promotion des Lettres de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de la SCAM-SACD Belgique et France. Cette émission a été préparée et présentée par Muriel KS. Le générique, inspiré par la musique du film “Un Flic” de Jean-Pierre Melville (1972 ; musique de Michel Colombier) est interprété à la trompette par Thibault Renard.
#parolesdefilles En ce dimanche de Saint Valentin, Récréation Sonore reste en famille et propose une programmation non pas amoureuse mais filiale: nous allons donner la parole à des filles parlant de leurs parents . Nous écoutons ce soir deux autrices qui ont pris le micro pour évoquer l'héritage de son père, pour Emmanuelle Gibello, le secret de sa mère pour Laure Porthé. Transmission, héritage, mémoire, souvenir, histoire, secret, filiation sont les mots de cette émission. Elle c'est ma fille, de Laure Porthé « L’été ça fait toujours des histoires... c’est ce qu’on finit par croire quand on a 10 ans et que les grands se disputent. Assise sur les marches de la maison, je regarde passer une fourmi et j’entends les mots, les noms et les cris depuis la cuisine. Je ne comprends pas et pourtant je n’oublierai jamais.» Cette création a été réalisée par Laure Porthé et a remporté le 2è prix au concours Arte Radio 2017 "Un été singulier" Esculape en Algérie, d'Emmanuelle Gibello C'est dans l'héritage intellectuel qu’un père transmet à sa fille que cette création prend son inspiration. Elle propose un questionnement sur le cheminement des souvenirs au travers des différentes strates des mémoires. Emmanuelle Gibello pose ici un regard bienveillant, sur l'homme vieillissant que son père est devenu, en mettant en corrélation deux textes qu’il a écrit à peu près au même moment : "Pensée, mémoire, folie", un essai publié en 2013 chez Odile Jacob, où il tente d'expliquer la complexité et le polymorphisme de la mémoire et "Esculape en Algérie", un texte inédit, où il remonte dans ses souvenirs de jeunesse, pour raconter avec humour et bienveillance son service militaire en tant que jeune médecin appelé dans le petit village d'Edgar Quinet, au sud de la région des Aurès. Nous sommes en 1959, il a 27 ans. Ce documentaire est une plongée dans les fragments d'une mémoire qui s'efface. Le son y est pensé comme un tissage mental. La création sonore et la musique sont créées à partir de sons enregistrés dans le village et aux alentours de Faucogney-et-la-Mer, où Bernard Gibello est en train de s'éteindre. C'est le hors-champ des mots. On y capte à la fois le paysage qui l'entoure, mais aussi l'activité mentale qui continue de l'habiter. Il se tisse un dialogue entre les deux textes, entre deux époques, entre un père et sa fille. Un documentaire de Emmanuelle Gibello, réalisé par Jean-Philippe Zwahlen. Une production de David Collin soutenue par le fonds Gulliver, une initiative de la RTBF, de la RTS, du service de la Promotion des Lettres de la Fédération Wallonie-Bruxelles et de la SCAM-SACD Belgique et France. Cette émission a été préparée et présentée par Muriel KS. Le générique, inspiré par la musique du film “Un Flic” de Jean-Pierre Melville (1972 ; musique de Michel Colombier) est interprété à la trompette par Thibault Renard.
Il y a un peu plus de 20 ans, le journal et les émissions de la RTS étaient interrompus par des bombardements. Cʹétait en avril 1999 et les avions de lʹOTAN attaquaient les studios de la Radio Télévision Serbe. La campagne de bombardement durera 78 jours sur la Serbie, le Monténégro et le Kosovo... en somme ce qui restait de la Yougoslavie après son éclatement dans les années 90. Après un premier volet intitulé Saupoudrés d’uranium, Lea Promaja poursuit, dans ce second volet, Saupoudrés de propagande, son voyage démarré à Prizren au sud du Kosovo pour se rendre de lʹautre côté de la frontière à Vranje en Serbie à la rencontre des habitants, qui partagent une tout autre expérience de cette guerre. Tendre un micro, libérer la parole, et se laisser la possibilité de douter que cette intervention militaire fût réellement humanitaire. Un documentaire de Léa Promaja, prise de son, montage et traduction. Réalisation: Jean-Philippe Zwahlen. Une production du Labo, David Collin, Carmen Sage et Gérald Wang. Collage : Helene Ruga / Infographie Olivier JP Baudry http://www.leapromaja.net/saupoudres2/
Dans cette émission, Le Labo rend hommage au Labo. A lʹorigine, cʹest lʹidée géniale dʹun homme aux multiples facettes: David Collin. Il nous a quitté en septembre, et avant que 2021 ne fasse tomber le rideau sur cette année chamboulée: nous voulions lui dire un dernier adieu. Embarquez avec nous dans un voyage aux frontières du réel et de la fiction, dans un trajet en train entre Fribourg et Lausanne, parcours quʹil faisait quotidiennement. Une émission préparée par Didier Rossat, Jonas Pool, Justin Müller, Carmen Sage et Gérald Wang, avec les voix de Jacques Roman et David Collin.
Comment, après avoir été touché par lʹindicible, refaire surface? Reconstruire une société? Instaurer la paix? Pardonner et vivre à nouveau ensemble? En 2004, au Rwanda, ces questions occupent tous les esprits. A lʹoccasion des 10 ans du génocide, David Collin, désireux de comprendre, se rend au pays des mille collines. Il sʹintéresse à la mise en place des ʹʹgacacaʹʹ, tribunaux populaires où les bourreaux viennent reconnaître leurs crimes et demander pardon. Il recueille également des témoignages de rescapé.e.s ainsi que de prisonnier.e.s coupables de génocide. Reportage David Collin (1e diffusion Les forts en thème, Espace 2, 07.05.2004) Réalisation: Didier Rossat & Jérôme Nussbaum Production: Muriel Mérat & Christophe Canut Photo: Le 2 décembre 2003, détenus en uniforme rose attendant d'être transférés à Kamonyi, province de Gitarama, à l'intérieur de la prison de Gitarama où ils doivent assister à une séance du tribunal gacaca en relation avec le génocide de 1994. Le Rwanda a aboli la peine de mort, une étape clé exigée par la communauté internationale pour transférer les suspects du génocide aux tribunaux rwandais, a déclaré le ministre de la justice le 26 juillet 2007. "L'abolition de la peine de mort est effective depuis le 25 juillet 2007".
Le centre Jean Lagarde, à deux pas de Toulouse, en France, propose à des adolescents et jeunes adultes en situation de handicap de suivre une formation adaptée dans des collèges et lycées. Sept étudiants ont ainsi pris part à un atelier. Sous la direction de Benoît Bories, ils ont façonné collectivement ce documentaire. Il y est question des relations sociales, des gestes dʹentraide quʹils ont développés pour dépasser ensemble leurs handicaps. Cette œuvre particulière est faite de la musique quotidienne de lʹapprentissage à prendre soin de chacun, dans une écriture sonore qui nous porte dans lʹintimité dʹune vie collective faite de solidarité et dʹempathie. Production RTS Le Labo de David Collin
Le centre Jean Lagarde, à deux pas de Toulouse, en France, propose à des adolescents et jeunes adultes en situation de handicap de suivre une formation adaptée dans des collèges et lycées. Sept étudiants ont ainsi pris part à un atelier. Sous la direction de Benoît Bories, ils ont façonné collectivement ce documentaire. Il y est question des relations sociales, des gestes dʹentraide quʹils ont développés pour dépasser ensemble leurs handicaps. Cette œuvre particulière est faite de la musique quotidienne de lʹapprentissage à prendre soin de chacun, dans une écriture sonore qui nous porte dans lʹintimité dʹune vie collective faite de solidarité et dʹempathie. Production RTS Le Labo de David Collin
Route Finistère Sud, 2e partie Jean-Guy Coulange a longé l’océan de l’embouchure de la Laïta jusqu’au Cap Sizun. Muni de micros, de carnets et d’un appareil photo, il a traversé la Bretagne Sud toujours vers l’ouest. Inspiré de la Longue route de sable de Pasolini, la Route Finistère Sud est le récit de sensations, de rencontres et de souvenirs. Eloignée du documentaire, cette route n’en est pas moins le reflet d’une époque ; on y évoque les ronds-points et les gilets jaunes, des ports plus ou moins reconvertis en destinations touristiques, une Baie d’Audierne quasiment restée en l’état et le Cap Sizun majestueux avec ses falaises et ses mouettes tridactyles. C’est aussi le passage de l’hiver au printemps, comme une suite de la pièce sonore hivernale consacrée à l’Île de Groix. Avec Jean-François Robic, artiste / Michel Lucas, pêcheur / Annie et Jean-Bernard Denier-Cloarec / Didier Guillou de la cantine Tara à Lesconil / Eric Pochat, pêcheur / Bernard Berrou, écrivain / Jean-Yves Monnat, naturaliste et Françoise de la buvette de Pors Thëolen. Composition, prises de son et réalisation : Jean-Guy Coulange Une production de David Collin pour Le Labo, Espace 2, RTS
Route Finistère Sud, 2e partie Jean-Guy Coulange a longé l’océan de l’embouchure de la Laïta jusqu’au Cap Sizun. Muni de micros, de carnets et d’un appareil photo, il a traversé la Bretagne Sud toujours vers l’ouest. Inspiré de la Longue route de sable de Pasolini, la Route Finistère Sud est le récit de sensations, de rencontres et de souvenirs. Eloignée du documentaire, cette route n’en est pas moins le reflet d’une époque ; on y évoque les ronds-points et les gilets jaunes, des ports plus ou moins reconvertis en destinations touristiques, une Baie d’Audierne quasiment restée en l’état et le Cap Sizun majestueux avec ses falaises et ses mouettes tridactyles. C’est aussi le passage de l’hiver au printemps, comme une suite de la pièce sonore hivernale consacrée à l’Île de Groix. Avec Jean-François Robic, artiste / Michel Lucas, pêcheur / Annie et Jean-Bernard Denier-Cloarec / Didier Guillou de la cantine Tara à Lesconil / Eric Pochat, pêcheur / Bernard Berrou, écrivain / Jean-Yves Monnat, naturaliste et Françoise de la buvette de Pors Thëolen. Composition, prises de son et réalisation : Jean-Guy Coulange Une production de David Collin pour Le Labo, Espace 2, RTS
Route Finistère Sud, 1e partie Jean-Guy Coulange a longé l’océan de l’embouchure de la Laïta jusqu’au Cap Sizun. Muni de micros, de carnets et d’un appareil photo, il a traversé la Bretagne Sud toujours vers l’ouest. Inspiré de la Longue route de sable de Pasolini, la Route Finistère Sud est le récit de sensations, de rencontres et de souvenirs. Eloignée du documentaire, cette route n’en est pas moins le reflet d’une époque ; on y évoque les ronds-points et les gilets jaunes, des ports plus ou moins reconvertis en destinations touristiques, une Baie d’Audierne quasiment restée en l’état et le Cap Sizun majestueux avec ses falaises et ses mouettes tridactyles. C’est aussi le passage de l’hiver au printemps, comme une suite de la pièce sonore hivernale consacrée à l’Île de Groix. création radiophonique en deux parties Avec Jean-François Robic, artiste / Michel Lucas, pêcheur / Annie et Jean-Bernard Denier-Cloarec / Didier Guillou de la cantine Tara à Lesconil / Eric Pochat, pêcheur / Bernard Berrou, écrivain / Jean-Yves Monnat, naturaliste et Françoise de la buvette de Pors Thëolen. Composition, prises de son et réalisation : Jean-Guy Coulange Une production de David Collin pour Le Labo, Espace 2, RTS
Cʹest un ensemble hétéroclite que vous offre ce 11e volume de SHORT STORIES, qui commence par une série de cinq brèves pièces réalisées par Jordan Allard sous le titre "Donʹt be Evil" (réalisée dans le cadre de lʹappel à Projet Gulliver - SSA, SACD, SCAM, RTBF, France Culture, RTS). Jordan Allard joue sur les recherches internet, les associations dʹidées et lʹétrangeté du portrait que construit à son insu tout internaute. En 2e partie, David Christoffel nous fait revivre les élections présidentielles américaines, avec "Les Tweetocrates", expérience ludique qui transforme toutes les réactions politiques en tweets. Enfin, pour terminer ce LABO, nous avons le plaisir dʹaccueillir "Correspondance", une petite fiction de lʹartiste lausannois Prokrast, premier prix du jury du concours de fictions radiophoniques de la Bibliothèque Cantonale et Universitaire de Lausanne et réalisée dans nos studios. Avec des œuvres de Jordan Allard, David Chrisoffel et Prokrast Réalisation: Christophe Esseiva et Jean-Philippe Zwahlen Une production de David Collin
Comme en Irak pendant la guerre, de l'uranium appauvri a aussi été utilisé en 1999 durant les bombardements de l'OTAN. Que dit-on sur ces bombes parmi les habitants? Qu'en est-il de la santé de la population? "Saupoudrés dʹuranium" raconte quelques rencontres de personnes à Prizren, une ville de 250 000 habitants du sud du Kosovo, où Léa Promaja a séjourné régulièrement depuis 2009. "C'est l'histoire d'un déni. Ou de plusieurs dénis. L'OTAN a bombardé l'ex-Yougoslavie à l'uranium appauvri et semble l'avoir oublié. Les Kosovars albanais du Kosovo furent bombardés à l'uranium appauvri, mais retiennent avant tout cette libération de l'oppression d'alors du pouvoir de Slobodan Milosevic. A côtoyer cette réalité, j'ai à mon tour eu du mal à admettre, accepter d'entendre que les Albanais du Kosovo se sont avant tout sentis libérés."/Léa Promaja Un documentaire de Léa Promaja (Prise de son, production et traduction) Réalisation: Jean-Philippe Zwahlen. Une production du Labo, David Collin.
Il y a un peu plus de 20 ans, le journal et les émissions de la RTS étaient interrompus par des bombardements. Cʹétait en avril 1999 et les avions de lʹOTAN attaquent les studios de la Radio Télévision Serbe. La campagne de bombardement durera 78 jours sur la Serbie, le Monténégro et le Kosovo... en somme ce qui restait de la Yougoslavie après son éclatement dans les années 90. Dans ce second volet, Lea Promaja poursuit son voyage démarré à Prizren au sud du Kosovo pour se rendre de lʹautre côté de la frontière à Vranje en Serbie à la rencontre des habitants, qui partagent une tout autre expérience de cette guerre. Tendre un micro, libérer la parole, et se laisser la possibilité de douter que cette intervention militaire fût réellement humanitaire. "Saupoudrés de mensonges", un documentaire de Léa Promaja, prise de son, montage et traduction. Réalisation: Jean-Philippe Zwahlen. Une production du Labo, David Collin, Carmen Sage et Gérald Wang.
À la veille du déconfinement, Benoit Bories adresse une lettre à sa fille née il y a à peine quelques mois. Juste avant que la vie ne reprenne son cours et que le monde industriel et urbanisé impose son "retour à lʹanormal", il décrit lʹétrange atmosphère dʹune ville confinée. Témoin de ces bouleversements: les sons et bruits de la ville qui donnent à entendre un nouveau paysage sonore. Texte: Benoit Bories Composition sonore: Aurélien Caillaux et Benoit Bories Voix: Yohan Bret Une production du Labo, David Collin
Quʹen serait-il de la Belle au bois dormant dans une époque post #MeToo? En novembre 2017, en plein dans la campagne #MeToo, lʹécrivaine anglaise Sarah Hall demandait lʹinterdiction de ce conte de fées dans l'école de ses enfants. Elle jugeait nécessaire de stopper la propagation des images machistes colportées par la figure "Prince charmant" qui sauve la belle endormie, en lʹembrassant sans son consentement. Quelques mois auparavant, en octobre 2017, lors de la Nuit blanche à l'Hôtel de Ville de Paris, sʹétait organisé le "Procès de la Fiction". Dans cette fiction documentée, David Christoffel vous propose de renverser la balance, et de sonder quelles histoires nous pouvons raconter pour ouvrir dʹautres imaginaires dématchisés. Avec les interviews de Celine Curiol, Véronique Pittolo, Marine Ranouil, Vincent Cespedes, Aliocha Imhoff et Kantuta Quiros Ecriture et réalisation: David Christoffel. Une production du Labo, David Collin, RTS.
Fisáei : ça souffle. Sur l’île de Tinos, le vent est partout, c’est une matière qui s’impose naturellement dans une écriture sonore touchant à ce petit bout de terre. Comme dit l’une de ses habitantes, le vent permet de balayer les mauvaises pensées qui ne sont pas destinées à rester sur place. Les personnes natives du village de Koumaros ont toutes fait de nombreux déplacements entre leur terre de naissance et le continent, lieu plus propice pour continuer des études ou pour trouver du travail. Fisáei est une création sonore documentaire poétique à plusieurs mains faisant entendre l’attachement d’habitants natifs de l’île de Tinos à leur lieu de naissance. Une réalisation de Benoit Bories et David Collin. Nocturnes : La nuit tombe, bienveillante. Dans la pénombre, elle opère des changements invisibles mais audibles. Elle console et guérit ce que le jour a froissé, elle dévoile un ciel étoilé pour que l’on puisse encore rêver et s’émerveiller. Elle revigore, elle régénère et déjà le chemin s'éclaire. Un paysage sonore signé Jeanne Debarsy, qui donne à entendre des ambiances de nuit et bribes de voix de multiples endroits du monde.
Sonogramme #2 - FissaïeAujourd'hui, c'est en Grèce dans les Cyclades, sur l'île de Tinos que l'on vous emmène, avec l'écoute d'un documentaire réalisé durant le festival Polyponik.« Fissaië », « ça souffle » en grec est une réalisation à plusieurs mains d'un atelier mené par Benoît Bories, documentariste sonore et artisan du son et David Collin, auteur, producteur et réalisateur radio à la Radio Télévision Suisse. Fissaie, c'est l'exploration sonore d'un territoire insulaire et d'un paysage balayé par le vent, le Meltem. Fissaie, c'est la proposition d'un voyage entre témoignages et composition sonore pour saisir par l'oreille le charme et l'authenticité d'une île des Cyclades.Liens des palmarès de cette rentrée :Phonurgia Nova Awards 2019Paris Podcast Festival 2019 Des questions ? des réactions ? sonogramme[at]vivaldi.netD'ici là, bonne(s) écoute(s) !
Christian Garcin et David Collin Las Vegas. Loin du Strip et de ses averses de fric “habitent” une poignée d’humains rejetés par les courants contraires aux marges de la société, jusque dans les tunnels de canalisation de la ville, aux abords du désert, les pieds dans les détritus de l’histoire, la tête dans les étoiles. Parmi eux, trois vétérans désassortis vivotent dans une relative bonne humeur, une solidarité tacite, une certaine convivialité minimaliste. Ici, chacun a fait sa guerre (Viêtnam, Irak) et chacun l’a perdue. Chacun trimballe sa dose de choc post-traumatique, sa propre couleur d’inadaptation à la vie “normale”. Au cœur de ce trio, indéchiffrable et silencieux, Hoyt Stapleton voyage dans les livres et dans le temps, à la reconquête patiente et défiante d’une mémoire muette, d’un langage du souvenir. Christian Garcin vit près de Marseille où il est né en 1959. Écrivain, voyageur, traducteur, il a publié des romans, des nouvelles, des poèmes, des essais, ainsi qu'un livre de photographies. Ses dernières parutions sont : Dans les pas d'Alexandra David-Néel (avec Eric Faye, Stock, 2018), Poèmes américains (Finitude, 2018). Dernières traductions : Edgar Allan Poe, Nouvelles intégrales T1 (avec Thierry Gillyboeuf, Phébus 2018) ; David Kirby, Le Ha-ha (poèmes, Actes Sud, 2018). Rencontre animée par David Collin, producteur radio et écrivain. Dernier livre paru : Vers les confins (Hippocampe, 2018). En partenariat avec le Club littéraire jurassien et la librairie La Méridienne. Enregistrée au Club 44 le 13 décembre 2018.
AU FIL DES PAGES - les mardi et vendredi à 10h et 20h. Valère-Marie Marchand nous parle du l...
David Collin est journaliste et écrivain. Il a produit, entre autres, "Hillary et Donald à la Maison Blanche", une fiction pour Espace 2, dans lecadre des élections américaines.
This week Russell, Matt & Gee spoke to Neil Harbisson: He's a real life cyborg dontcha know!? He's even got an antenna! After that - author David Collin came on to help Russell further his plan to purchase an island utopia! The Revolution is coming! If anyone wants to donate even a pound to help with the costs of hosting the podcasts it would be much appreciated! PayPal is Bellybouncelinglongling@gmail.com
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