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A la Une de la presse, ce lundi 5 mai, l'arrivée en tête du nationaliste George Simion au premier tour de la présidentielle en Roumanie, avec plus de 40% des voix. La proposition de François Bayrou d'organiser un référendum sur le financement du déficit public. Un rendez-vous important sur l'avenir des transports en France. L'ouverture du procès du rappeur américain P. Diddy. Et la fin de la grande transhumance des rennes en Norvège.
En este episodio de La Paella Rusa, los cuatro señores del apocalipsis eléctrico nos obligan a conectarnos desde casa, pero os volvemos a servir actualidad aliñada con caos, desesperación y la sensación de que cualquier día el cielo cae sobre nuestras cabezas. Esta semana empezamos con el gran protagonista de la semana: el apagón eléctrico, que pilló a media España preguntándose si había sido cosa de Putin, Red Eléctrica o simplemente del horno encendido a la vez que la puñetera Airfryer. Por supuesto, no falta el momento interactivo: ¿quién del equipo tenía un transistor listo “por si acaso”? La respuesta te sorprenderá... o no tanto, a poco que seas una persona paellística de bien. Después conectamos con Lucía Márquez, que ya se encuentra en Roma como enviada espacial de La Paella Rusa para cubrir el futuro cónclave. Hemos tenido que mover unos cuantos hilos diplomático-eclesiásticos para retrasar un poco todo y que llegue a tiempo, pero lo hemos logrado, así que de momento primeras impresiones, apuestas y sensaciones. El Vaticano, agradecido por la cobertura que sabe que le daremos, colabora encantado en adecuarse a nuestras fechas y pretensiones de convertir esto en el Miss Vaca. ¿Cuáles son vuestras preferidas? Y no podía faltar la cuota militar: el general Gan Pámpols, en su papel habitual de comentarista geoestratégico-profético, sigue “a lo suyo”, que es como decir que está repartiendo diagnósticos de la OTAN con el mismo entusiasmo con que uno reparte octavillas en la plaza. Y los mismos resultados: nadie le hace ni puto caso. Nos vamos también a nuestra habitual visita al fútbol en el barro, donde el equipo favorito de Guillermo vuelve a protagonizar su clásica gesta de "estuvimos cerca de no estar cerca". Se habla de la épica, del lodo, del VAR, de la tragedia moderada y de cómo un Madrid-Barça no es nada comparado con estas maravillas. Y acabamos con una recomendación cultural muy especial porque viene con orgullo de casa: D'acer i de cristall, de nuestra Marta Meneu, editada por Bromera. El libro, escrito desde la sensibilidad de la generación más joven, narra cómo se vivió y se enfrentó la DANA en València, y cómo mucha gente a la que se acusa de no saber llevar su vida sin ayuda del horóscopo y de la asistencia de psicólogos, psiquiatras y sus pódcasts como éste de referencia no sólo no miró hacia otro lado, sino que fue la que más ayudó. Una crónica fresca, coral y potente sobre la fragilidad y la fortaleza compartidas.
Comenzaremos el programa discutiendo la actualidad. Primero hablaremos de las elecciones parlamentarias federales de Canadá, celebradas el lunes. La guerra comercial del presidente estadounidense, y sus amenazas de anexionarse Canadá fueron temas clave en las elecciones. A continuación, hablaremos del aumento récord del gasto de defensa europeo. Esta subida se atribuye principalmente a la amenaza que supone Rusia y a la preocupación por una potencial retirada de EE. UU. de la OTAN. En el segmento de ciencia del programa, analizaremos un estudio que informa de que los tiburones atacan principalmente para defenderse del ser humano. Y, finalmente, le daremos la enhorabuena a la Universidad de Maryland por su elección del conferenciante que pronunciará el discurso de graduación de este año: la Rana Gustavo. En la sección de gramáticade la segunda parte del programa se incluirá multitud de ejemplos del tema de hoy, Prepositions of Age (Time) and Price. Y el último segmento del programa estará dedicado a una nueva expresión española, Matar dos pájaros de un tiro. Los aranceles y la retórica agresiva de Trump han llevado a los liberales a mantenerse en el poder en Canadá Europa responde a la preocupación por la seguridad global con un aumento del gasto de defensa Un estudio descubre que los tiburones muerden para defenderse de los seres humanos La Rana Gustavo pronunciará el discurso de graduación en la Universidad de Maryland El fenómeno de la inmigración y emigración en España Catalina de Erauso, de novicia a militar
Sans aucun doute, c'est sur l'Ukraine et les questions de défense au sein de l'Otan, que les voltefaces du président américain ont été les plus glaçantes pour les Européens. Donald Trump s'était donné 24 heures, puis 100 jours pour trouver un accord de paix qui mette fin à la guerre en Ukraine. L'analyse de Guillaume Lasconjarias, professeur à Sorbonne Université, et spécialiste des questions militaires et de l'Otan. Vent de populisme « trumpiste » sur les élections roumaines Les Roumains se rendent aux urnes en fin de semaine pour la deuxième fois pour élire leur président. Le précédent scrutin, qui avait vu l'émergence surprise du candidat d'extrême droite Calin Georgescu, a été annulé pour cause de manipulation massive des réseaux sociaux. Mais aujourd'hui, c'est l'ombre de Donald Trump qui plane sur ces élections. D'une manière ou d'une autre, tous les candidats se revendiquent de ce modèle populiste ; y compris le candidat d'extrême droite George Simion, toujours en lice et qui arrive en tête des sondages.Dans l'est du pays, où se trouve ce qui sera bientôt la plus grande base militaire de l'organisation atlantique, l'extrême droite est en tête, mais les habitants ne rejettent pas l'Otan. Reportage sur place de Marine Leduc. Les ONG allemandes effrayées par la fin des financements d'UsaidLa décision de couper les aides américaines dans l'humanitaire via l'agence Usaid, a créé un séisme parmi les ONG. L'Allemagne qui est désormais le premier pays donateur en Europe, commence à prendre la mesure de cette décision pour les pays en voie de développement. Plusieurs ONG qui travaillent en Afrique essaient tout de même de continuer à travailler, comme ils l'ont raconté à Berlin à Salomé Hénon-Cohin. La chronique de Contexte, sur les relations commerciales entre l'Europe, les États-Unis et le reste du monde Et on terminera cette émission sur le bilan chahuté des relations commerciales entre l'Europe et les États-Unis. Après avoir annoncé des taxes supplémentaires de 20% sur les produits européens, l'administration américaine a fait marche arrière. Les négociations sont en cours et devraient aboutir à un accord avant le 14 juillet. Arthur Bamas, journaliste pour le média Contexte.
Sans aucun doute, c'est sur l'Ukraine et les questions de défense au sein de l'Otan, que les voltefaces du président américain ont été les plus glaçantes pour les Européens. Donald Trump s'était donné 24 heures, puis 100 jours pour trouver un accord de paix qui mette fin à la guerre en Ukraine. L'analyse de Guillaume Lasconjarias, professeur à Sorbonne Université, et spécialiste des questions militaires et de l'Otan. Vent de populisme « trumpiste » sur les élections roumaines Les Roumains se rendent aux urnes en fin de semaine pour la deuxième fois pour élire leur président. Le précédent scrutin, qui avait vu l'émergence surprise du candidat d'extrême droite Calin Georgescu, a été annulé pour cause de manipulation massive des réseaux sociaux. Mais aujourd'hui, c'est l'ombre de Donald Trump qui plane sur ces élections. D'une manière ou d'une autre, tous les candidats se revendiquent de ce modèle populiste ; y compris le candidat d'extrême droite George Simion, toujours en lice et qui arrive en tête des sondages.Dans l'est du pays, où se trouve ce qui sera bientôt la plus grande base militaire de l'organisation atlantique, l'extrême droite est en tête, mais les habitants ne rejettent pas l'Otan. Reportage sur place de Marine Leduc. Les ONG allemandes effrayées par la fin des financements d'UsaidLa décision de couper les aides américaines dans l'humanitaire via l'agence Usaid, a créé un séisme parmi les ONG. L'Allemagne qui est désormais le premier pays donateur en Europe, commence à prendre la mesure de cette décision pour les pays en voie de développement. Plusieurs ONG qui travaillent en Afrique essaient tout de même de continuer à travailler, comme ils l'ont raconté à Berlin à Salomé Hénon-Cohin. La chronique de Contexte, sur les relations commerciales entre l'Europe, les États-Unis et le reste du monde Et on terminera cette émission sur le bilan chahuté des relations commerciales entre l'Europe et les États-Unis. Après avoir annoncé des taxes supplémentaires de 20% sur les produits européens, l'administration américaine a fait marche arrière. Les négociations sont en cours et devraient aboutir à un accord avant le 14 juillet. Arthur Bamas, journaliste pour le média Contexte.
A cien días de haber retomado el poder, el presidente Donald McTrump ha dejado al mundo de cabeza. Ha lanzado una guerra arancelaria brutal, ha despreciado a la OTAN, se ha encariñado con Rusia, ¡y hasta quiere anexarse Groenlandia, el Canal de Panamá y convertir a Canadá en el Estado 51!See omnystudio.com/listener for privacy information.
VALDECASAS: Estos son los tres grandes escenarios de Trump para el futuro de la guerra en UcraniaLa reacción del presidente de EEUU, Donald Trump ante el caos en Ucrania es totalmente normal, pero Trump es un gran actor, ha insistido Ignacio García Valdecasas, embajador de España retirado. Después de que Trump crea que Zelensky aceptará la cesión de Crimea a Rusia, es volver a la casilla de partida, a hace diez días. Esto refleja que Trump está más con el plan de Steve Witkoff que con Marco Rubio. Observadores independientes creen, como yo, que el tiempo corre en contra de Ucrania y el futuro de la guerra se decidirá en el campo de batalla, salvo que Trump haga un golpe de mano haciendo a ambas partes sentarse a negociar. "Hay que estar muy pendientes para interpretar los hechos y las palabras", ha insistido Valdecasas. Hay tres posibilidades para la guerra en Ucrania: Trump sigue como si nada intentando ir a la negociación con Putin y Zelensky. La segunda, se retira del papel de mediador y sigue apoyando a Ucrania en mayor o menor medida, pero la victoria rusa sería inevitable de no haber una escalada. O Trump se retira de la guerra culpando a Ucrania, lo que haría colapsar al frente ucraniano. Es pronto, "dependerá de cómo jueguen sus cartas Ucrania y Rusia", después de ser expulsadas las tropas ucranianas de Rusia, perdiendo Ucrania la única baza que tenía. Europa está en una posición muy difícil, "estamos muy equivocados". Europa ha asumido el papel de EEUU y Europa al principio de la guerra, de apoyar a Ucrania. Y Ucrania habría tenido un final mejor del actual si hubiera aceptado las negociaciones de Estambul. "Fue la OTAN quién convenció a Zelensky a seguir con la guerra y no aceptar las negociaciones de Estambul", ha recordado Valdecasas. "Europa puede conseguir que Ucrania de un paso más hacia su ruina con un apoyo irrealista". valdecasas #trump #ucrania #guerra #rusia #putin #zelensky #ukrainewar #paz #altoelfuego #otan #crimea #invasionrusa #negociostv #geopolitica #viznerSi quieres entrar en la Academia de Negocios TV, este es el enlace: https://www.youtube.com/channel/UCwd8Byi93KbnsYmCcKLExvQ/join Síguenos en directo ➡️ https://bit.ly/2Ts9V3pSuscríbete a nuestro canal: https://bit.ly/3jsMzp2Suscríbete a nuestro segundo canal, másnegocios: https://n9.cl/4dca4Visita Negocios TV https://bit.ly/2Ts9V3pMás vídeos de Negocios TV: https://youtube.com/@NegociosTVSíguenos en Telegram: https://t.me/negociostvSíguenos en Instagram: https://bit.ly/3oytWndTwitter: https://bit.ly/3jz6LptFacebook: https://bit.ly/3e3kIuy
Pedro Sánchez anuncia un plan de "mejora de la seguridad y defensa" de 10.000 millones de euros que, pese a evitar el término "rearme", coincide con un claro alineamiento con los intereses de la OTAN y Bruselas. El anuncio genera controversia no solo por el contexto internacional —como las palabras del Papa Francisco pidiendo frenar la guerra y el rearme—, sino también por la reciente revelación de una compra millonaria de balas a Israel, pese a haber prometido lo contrario. Mientras el gobierno justifica esta política como una estrategia para reforzar Europa, crecen las críticas por la opacidad, la subordinación a Estados Unidos y el gasto militar disfrazado de defensa. Mas vídeos de Pandemia Digital: https://www.youtube.com/c/PandemiaDigital1 Si quieres comprar buen aceite de primera prensada, sin intermediarios y ayudar de esa forma a los agricultores con salarios justos tenemos un código de promoción para ti: https://12coop.com/cupon/pandemiadigital/ Este video puede contener temas sensibles, así como discursos de odi*, ac*so, o discr*minación. El objetivo de abordar estos temas es exclusivamente informativo y busca concienciar a la audiencia sobre estos acontecimientos, y denunciar y señalar el origen de los mismos para crear consciencia y evitar su propagación. Si consideras que el contenido puede afectarte, te recomendamos proceder con precaución o evitar su visualización. ----------------------------------------------------------------------------------------------- Únete a nuestra comunidad de YouTube https://www.youtube.com/channel/UCFOwGZY-NTnctghtlHkj8BA/join Se mecenas de Patreon https://www.patreon.com/PandemiaDigital ----------------------------------------------------------------------------------------------- Súmate a la comunidad en Twitch - En vivo de Lunes a Jueves: https://www.twitch.tv/pandemiadigital Sigue nuestro Canal de Telegram: https://t.me/PandemiaDigital Suscríbete en nuestra web: https://PandemiaDigital.net Sigue nuestras redes: Twitter: https://twitter.com/PandemiaDigitaI Facebook: https://www.facebook.com/PandemiaDigitalObservatorio Instagram: https://www.instagram.com/pandemia_digital_twitch TikTok: https://www.tiktok.com/@pandemiadigital #PandemiaDigital
Entrevistado en Las mañanas de RNE con Josep Cuní, Pablo Fernández, secretario de Organización y portavoz de Podemos, no ha querido aventurarse a pronosticar si las últimas discrepancias entre los socios del Gobierno, a cuenta del incremento del gasto en defensa y la compra a Israel de más de 15 millones de balas para la Guardia Civil, supondrán una ruptura de la Coalición. Sí que ha dejado claro que su formación se opone frontalmente a este giro de lo que ha calificado el "Gobierno de la guerra", y ha llamado a la sociedad a movilizarse "para promover un cambio de rumbo" y "oponerse a la militarización y al régimen de guerra" reclamando "un país que apuesta por la paz y el avance en derechos". Fernández ha insistido en que "el Gobierno está intentando justificar lo injustificable", y ha llegado incluso a afirmar que está "tomando a la gente por idiota", porque, ha afirmado, es "incuestionable" que "España ha incrementado el gasto militar y esto se traduce en que ya está habiendo recortes en otras partidas" de índole social. Además, ha denunciado que el "régimen de guerra" supondrá también un incremento en los precios, repercutiendo de forma negativa en el día a día de los ciudadanos. Por eso, el portavoz de Podemos ha apostado por "un giro radical" de políticas, no siguiendo los "mandatos de la OTAN" sino promoviendo un sistema diferenteque ponga por delante "los derechos humanos". Escuchar audio
Em novembro, a Rússia estreou o míssil balístico Oreshnik em um ataque à cidade de Dnipro. Mesmo com munição inerte, o teste foi um aviso: Putin agora tem uma nova arma capaz de atingir bases da OTAN sem recorrer a ogivas nucleares. Com até 36 submunições por disparo, o Oreshnik foi projetado para paralisar alvos densos como bases aéreas, e representa um desafio real às defesas europeias. Neste vídeo, explico o que esse míssil muda na estratégia russa, por que ele é mais perigoso do que parece e como a OTAN precisa se adaptar rapidamente — ou pagará caro em um futuro conflito.
VALDECASAS: "La estrategia de Putin es no dejar mal a Trump". Su gran plan para "la paz" en UcraniaEn la guerra de Ucrania, el presidente ruso, Putin parece estar abierto al diálogo con Zelensky. Pero, tras leer en detalle los preparativos de la reunión que habrá en Londres, no hay ningún cambio en la guerra de Ucrania. "Putin está en contra de un armisticio y solo quiere resetear sus relaciones bilaterales con EEUU mediante las negociaciones de paz con Ucrania", ha explicado Ignacio García Valdecasas, embajador de España retirado. Putin solo ha dicho que está dispuesto a flexibilizar una de sus condiciones: no quedarse con las cuatro provincias ucranianas completas, sino con parte. "No al armisticio y sí a la negociación", es el mensaje claro del ruso Putin para el alto el fuego, sin olvidar la desmilitarización de Ucrania y la neutralidad de no tropas OTAN en tierra ucraniana. "La estrategia de Putin es no dejar mal a Trump en mal lugar", dándole un nuevo caramelito a la administración para que negocie con Ucrania y Europa. Es difícil saber la postura de EEUU: con Ucrania y Europa reconoce la adhesión de Crimea a Rusia, al no permitir el uso de la fuerza; sí a la neutralidad con tropas ucranianas, pero realmente es un no a la desmilitarización. Pero, Rusia no quiere algo a medias. EEUU avanza con este paquete y finalmente estaría dispuesto a dejar caer tropas de la OTAN en Ucrania, "aceptaría casi al 90% la propuesta de Rusia". Valdecasas, ha detallado que hay tres escenarios posibles. Trump cumple su amenaza, se cansa de no ver avances y se retira de la negociación dejando a Rusia y Ucrania solas. La segunda opción es que todo siga tal cual y EEUU presione la paz. Y la tercera opción, "trágica para Ucrania", es un Trump culpándola de no avanzar hacia la paz. "Si EEUU culpa a Ucrania podemos descontar su retirada de apoyo a Ucrania y Europa será responsable de destruir a Ucrania, aunque no asumamos nuestra responsabilidad", ha reiterado Valdecasas. "El tiempo corre en contra de Ucrania". #valdecasas #putin #trump #ucrania #guerra #rusia #zelensky #paz #eeuu #ukrainewar #otan #altoelfuego #crimea #invasionrusa #negociostv #geopolitica Si quieres entrar en la Academia de Negocios TV, este es el enlace: https://www.youtube.com/channel/UCwd8Byi93KbnsYmCcKLExvQ/join Síguenos en directo ➡️ https://bit.ly/2Ts9V3pSuscríbete a nuestro canal: https://bit.ly/3jsMzp2Suscríbete a nuestro segundo canal, másnegocios: https://n9.cl/4dca4Visita Negocios TV https://bit.ly/2Ts9V3pMás vídeos de Negocios TV: https://youtube.com/@NegociosTVSíguenos en Telegram: https://t.me/negociostvSíguenos en Instagram: https://bit.ly/3oytWndTwitter: https://bit.ly/3jz6LptFacebook: https://bit.ly/3e3kIuy
Francisco José Gan Pampols, vicepresidente segundo y conseller para la Recuperación Económica y Social de la Generalitat Valenciana, ha pedido en el informativo 24 horas de RNE que se establezca una comisión mixta Gobierno-Generalitat Valenciana para la dana. Sobre las críticas en la calle a Mazón, Gan Pampols asegura que entiende la opinión de la ciudadanía, porque todos tienen su derecho, pero pide que "sea de forma educada y constructiva." Por otro lado, el conseller ha defendido que se cumpla el gasto en defensa que pide la OTAN. Y en relación con la decisión de Interior de comprar de munición para la Guardia Civil a una empresa israelí, Gan Pampols ha apostado por mantener ese acuerdo porque "se trata de cumplir con compromisos que uno ha adquirido previamente."Escuchar audio
Sánchez anuncia un aumento de 10.500 millones de gasto en Defensa para cumplir los compromisos de la OTAN. En la entrevista Capital hablamos con Antonio Fonfría, Profesor De Economía Aplicada en La Universidad Complutense y Experto En Economía De Defensa. En La tertulia de Capital Intereconomía comentamos la actualidad de los mercados financieros con José Ignacio Gutiérrez,
El Gobierno elevará el gasto en seguridad y defensa 10.471 millones de euros para alcanzar su compromiso del 2% del PIB en 2025. La profesora de Economía Financiera de la Universidad Complutense de Madrid, Mónica Melle, justifica este aumento debido al cambio de paradigma. "Lo importante es que se cumple el compromiso con la OTAN y con la Unión Europea. Tenemos una guerra en Europa". Melle apunta que "es un incremento muy importante, pero nos tenemos que poner a la altura de nuestros socios". La profesora asegura que habrá una apuesta importante por la inteligencia artificial, que ayudará a nuestro cambio de modelo productivo y a generar empleo y crecimiento económico. "Hay mucha investigación, desarrollo e innovación que es dual, que tiene aplicaciones civiles. Se ayuda a la reindustrialización", asegura en 'Las Mañanas de RNE'.Escuchar audio
La directora gerente del FMI, Kristalina Georgieva, pide a los países que hagan sus “deberes” en la crisis arancelaria. Respecto a los aranceles, el presidente de EEUU, Donald Trump, dice ahora que los gravámenes a China se reducirán sustancialmente. El secretario general de la OTAN, Mark Rutte, destaca el plan anunciado por el presidente del Gobierno, Pedro Sánchez, de alcanzar este año el 2% del PIB a defensa
La directora gerente del FMI, Kristalina Georgieva, pide a los países que hagan sus “deberes” en la crisis arancelaria. Respecto a los aranceles, el presidente de EEUU, Donald Trump, dice ahora que los gravámenes a China se reducirán sustancialmente. El secretario general de la OTAN, Mark Rutte, destaca el plan anunciado por el presidente del Gobierno, Pedro Sánchez, de alcanzar este año el 2% del PIB a defensa
10.500 millones de euros están detrás de la última crisis en el Gobierno. Pedro Sánchez se ha rendido a la OTAN, Europa y Trump y ha aprobado el mayor gasto militar de la historia. Lo ha hecho sin sus socios, utilizando una trampa presupuestaria y sin pasar por el Congreso. Esta fractura, ¿romperá el Gobierno? Lo analizamos con Raúl Piña y Álvaro Carvajal, periodistas de Política de EL MUNDOSee omnystudio.com/listener for privacy information.
Nacho Álvaro habla con Ricardo Gómez, autor de 'Patria, la buena'. La novela nos sitúa en Hernani, en 1985, la época del terrorismo etarra, los GAL, el referéndum de entrada a la OTAN...y el programa de televisión '1, 2, 3...responda otra vez'. Escuchar audio
Fiéis vão poder prestar suas homenagens ao Papa Francisco na Basílica de São Pedro até sábado, quando o funeral está marcado. E mais:- Líderes mundiais confirmam presença na Missa Exequial- Zelensky não aceita a anexação da Crimeia pela Rússia e descartar sua adesão à OTAN e esfria negociações para um cessar-fogo- Ataque na Caxemira mata dezenas de turistas- Tidjane Thiam, ex-CEO do Credit Suisse, foi declarado inelegível para as eleições presidenciais da Costa do Marfim porque já teve dupla nacionalidade e perdeu o direito à cidadania marfinense Sigam a gente nas redes sociais Instagram mundo_180_segundos e Linkedin Mundo em 180 Segundos Acompanhem os episódio ao vivo Youtube, Instagram ou Linkedin Fale conosco através do mundo180segundos@gmail.com
Con EEUU fuera de la ecuación, Europa parece ya decidida a tomar la iniciativa en lo que a la defensa y el respaldo económico y militar a Ucrania se refiere. Mientras el enviado de Trump se encuentra en Moscú, unos 50 países liderados por Reino Unido y Alemania se han reunido en la OTAN con un mensaje claro para Vladimir Putin: el apoyo occidental a Ucrania continuará.Hablaremos de la guerra comercial entre China y Estados Unidos y la última decisión del país asiático.También nos centraremos en la política migratoria de Donald Trump y cómo la Casa Blanca ultima su plan para forzar a migrantes a autodeportarse. Nos lo va a explicar mejor nuestra corresponsal. Estaremos en Ecuador con nuestra enviada especial a dos días de que se celebre la segunda vuelta de las elecciones presidenciales, tendremos una entrevista sobre la última cumbre de la Comunidad de Estados Latinoamericanos y Caribeños y hablaremos de Burkina Faso.Escuchar audio
En Europe, les Italiens occupent une place à part face au risque de guerre et la volonté européenne de se réarmer. Ils sont 62% à estimer qu'il y a d'autres dépenses plus urgentes que la défense. Un pacifisme qui conjugue deux héritages : celui du communisme et du catholicisme. Le 5 avril, une grande manifestation se tenait à Rome contre le plan de réarmement annoncé à l'échelle européenne. De notre correspondant à Rome, Ils sont des dizaines de milliers à avoir défilé, samedi 5 avril, dans le centre de Rome, à deux pas du Colisée, avec un slogan : « Non à la guerre et au plan de réarmement européen » proposé début mars par la Commission européenne. Sur la scène, celui qui a organisé la manifestation, Giuseppe Conte, l'ancien chef du gouvernement italien et patron du mouvement Cinq étoiles : « Je crois qu'il y a ici une idée forte et claire que tout le monde a en commun. Nous disons non à ce plan fou de réarmement. Nous disons non à 800 milliards d'euros qui seront dépensés non pas pour un plan sérieux de défense européenne, mais pour armer les pays membres. »Dans la foule, on est venus de toute l'Italie. Nadia et Maria ont pris le train depuis Naples pour venir dénoncer la rhétorique belliqueuse de certains pays européens. Dans ses mains, Nadia tient un montage-photo fait pour l'occasion : « C'est un char conduit par Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne, qui roule sur l'Agenda 2030, les objectifs que l'ONU a fixés pour qu'ils soient atteints d'ici à cette date. Et parmi ceux-là, le numéro seize, c'est justement la paix. C'est la page. »Un peu plus loin dans la foule, Stefano distribue des tracts anti-Otan. Antimilitariste depuis des années, il se bat notamment contre les nombreuses bases de l'Alliance atlantiquedisséminées sur le sol italien : « La société a besoin d'investissements dans la santé, l'éducation. Nous n'avons pas besoin de tout cela. Nous avons seulement besoin de paix. »Les catholiques aussi présentsOutre les courants de gauche et pacifistes, une autre frange de l'Italie est foncièrement contre la guerre : les mouvements catholiques. Il y a quelques semaines, une grande marche est partie de la ville de Saint-François, Assise, en Ombrie, jusqu'à Rome. Mouvement parmi les plus importants de la galaxie catholique italienne, la communauté Sant'Egidio est connue pour ses médiations de paix et son travail humanitaire.Mario Giro est le responsable des relations internationales de l'association. Il nous explique d'où vient cette forte opposition des Italiens à la guerre : « Il y a une explication politico-culturelle. Disons la culture catholique, et aussi ce qui reste de l'ancienne culture communiste, sont foncièrement contre la guerre, surtout les catholiques. Après, disons, l'enseignement des papes du siècle dernier. »Face à la course aux armements, l'Italie veut maintenir une voix singulière au sein de l'Europe, celle d'un pays médiateur. Ce pacifisme, plus ancré que chez ses voisins, a des racines profondes qui se résument dans sa Constitution de 1948, où il est écrit noir sur blanc que l'Italie répudie la guerre.Un reportage à retrouver dans notre intégralité dans Accent d'Europe ou l'application PureRadio.
Con Herrera en Cope, la última hora en la mañana. Estar informado. Con Pedro Sánchez de gira asiática es la vicepresidenta María Jesús Montero la que en estos momentos está presidiendo la reunión del Consejo de Ministros en la que va a aprobar un plan de 14.100 millones de euros para hacer frente a los aranceles de Donald Trump que entrarán en vigor mañana miércoles. El gabinete también va a dar luz verde a una inyección de más de 2.000 millones de euros para defensa. Un aporte que se enmarca dentro de las exigencias de la OTAN de que todos sus miembros aumenten el gasto militar. Ricardo ...
La transatlántica, una de las alianzas más longevas e influyentes en las relaciones culturales, políticas y económicas internacionales parece estarse resquebrajando. Europa y Estados Unidos se están distanciando por razones diversas. Dentro de ellas están las diferencias fundamentales que tienen alrededor de mantener el apoyo a Ucrania en su guerra con Rusia y el gasto militar que hace cada miembro de la OTAN. Para entender las razones de la crisis actual en la Alianza Transatlántica, la probabilidad de que se convierta en una ruptura definitiva y las consecuencias que esta tendría para los miembros de la alianza y para el resto del mundo, nos acompañan desde Bogotá, Ralf Leiteritz, de la Universidad del Rosario, y Philippe Nalpas, de la universidad Externado de Colombia, y desde San José de Costa Rica, Vladimir Rouvinski, de la Universidad Icesi.
Le territoire de 15 000 mètres carrés frontalier de la Pologne, de la Lituanie et de la Biélorussie et relié à la Russie à travers les 70 kilomètres du corridor de Suwalki, est à la fois une forteresse ultra-militarisée au bord de la mer Baltique et un territoire qui entretenait avant la guerre en Ukraine et les sanctions occidentales des liens étroits avec l'Europe. Reportage dans ce territoire « baromètre » des relations UE-Russie. De notre envoyée spéciale à Kaliningrad,Kaliningrad, fin de journée, un stade dans la ville. Une partie de football dans la lumière claire du printemps malgré le froid, des coureurs sur la piste et deux adolescents de 17 ans qui déboulent, sourire aux lèvres, mais visage sérieux. Pavel et Eugène sont venus s'entraîner pour leurs futurs concours d'écoles supérieures. Membres d'un des clubs militaro-patriotiques de la ville, ils visent des établissements d'études militaires supérieures prestigieux en Russie.Pavel postule à l'École navale de Saint-Pétersbourg, « parce que je considère qu'être militaire dans notre pays est un honneur » dit-il ; Eugène à l'École supérieure d'artillerie de Moscou. Ce dernier se définit comme « un patriote qui veut défendre son pays jusqu'à la dernière goutte de son sang ». Eugène se dit aussi « convaincu que les Iskander sont des armes de haute technologie capables d'accomplir n'importe quelle mission et fier que nos scientifiques puissent réaliser de telles performances avec cette arme ».Les Iskander sont déployés à Kaliningrad depuis 2018. Ces missiles sont capables d'envoyer des charges conventionnelles ou nucléaires à 500 kilomètres et peuvent donc atteindre rapidement plusieurs pays voisins directs de cette enclave. Cette fierté de les héberger sur le territoire de Kaliningrad, également siège de la flotte russe de la mer Baltique, est évidemment partagée par le dirigeant de leur club qui a demandé à être présenté sous le pseudonyme sous lequel il dit être connu sur les réseaux sociaux et dans la région, celui de Maxim Maximosvky, 37 ans, fonctionnaire dans le civil, volontaire bénévole pour ce club.« Les Iskander, c'est bien que tout le monde y pense et les craigne », avance-t-il. « C'est même très bien. C'est notre totem de protection. Bien sûr, nous sommes un os dans la gorge de l'Europe. » Reste que Maxim Maximosvky se présente comme très proche de la ligne de l'État russe en affirmant : « On ne peut pas dire que Kaliningrad est entourée par des pays ennemis. Pour moi, ils sont, comme Vladimir Poutine les a désignés, des pays "inamicaux". Il n'y a pas si longtemps, la population locale voyageait librement et souvent juste pour la journée en Pologne, en Lituanie, en Allemagne, par bus. La région était très tournée vers l'Europe, et ses habitants largement perçus dans le reste de la Russie comme presque Européens, tout en étant des citoyens russes. Mais quand les frontières ont fermé, ils sont devenus indésirables en Europe. Les citoyens de Kaliningrad se sont donc rappelés qui ils étaient et ont réorienté leur vie. »La nouvelle donne post-2022En juin 2022, la tension est montée en flèche entre Kaliningrad et ses voisins. Appliquant les sanctions européennes contre la Russie, la Lituanie a bloqué le transit par voie ferrée de certaines marchandises vers ce territoire. Moscou a dénoncé un « blocus ». Jusque-là, tous les mois, une centaine de trains de passagers et de marchandises non militaires reliaient Kaliningrad à la Russie continentale, en passant par la Biélorussie, alliée de Moscou, et la Lituanie, membre de l'Union européenne (UE) et de l'Otan depuis 2004. La mise en place de ce transit était l'une des conditions imposées à la Lituanie lors de son adhésion à l'UE.Après une énorme exposition médiatique, les tensions officielles sont retombées. Mais aujourd'hui, Kaliningrad est surtout reliée pour le trafic des biens à la Russie par des ferrys venus de Saint-Pétersbourg, et si personne ne se plaint tout haut de ruptures d'approvisionnement, on soulève des problèmes de transit. Sous couvert d'anonymat, une cadre d'une usine de viandes a ainsi affirmé à RFI que ses camions vers la Russie continentale pouvaient être bloqués des jours entiers pour de longs contrôles douaniers organisés par la Lituanie, handicapant ainsi ses exportations, très dépendantes de dates limites de consommation. En 2023, des médias d'investigation comme Siena ont eux révélé que des engrais biélorusses sous le coup de sanctions européennes continuaient de transiter par le pays balte. Le ministère des Transports avait, dans la foulée, annoncé un renforcement des contrôles à toutes ses frontières.L'inflation, elle, déjà très élevée en Russie, bat des records à Kaliningrad : + de 10 % rien qu'en décembre, selon les chiffres officiels de l'institut national russe Rosstat.Fondateur il y a plusieurs dizaines d'années d'une entreprise de transport par camion, Serguey Gos affirme, lui, avoir réussi à gérer la nouvelle donne économique sans dommages durables. « Avant 2022, nous travaillions avec presque tous les pays européens, Italie, Autriche, Allemagne, France. De notre pays, nous amenions de la tourbe, du bois, beaucoup de matières premières, et nous importions certains composants. » Aujourd'hui, ce chef d'entreprise affirme avoir réorienté en quelques mois ses activités via les pays classés comme amicaux par la Russie : Turquie, Kazakhstan, Chine. Sa flotte de camions reste très européenne, mais pour ses nouveaux semi-remorques, il dit se fournir désormais auprès d'une usine locale.Si Serguey Gos dit avoir parfaitement encaissé économiquement le choc de 2022 émotionnellement, c'est à ses yeux une autre affaire. « La manière dont les choses se sont passées entre nos collègues occidentaux et nous a été très laide. Et malheureusement, on s'en souvient encore. On attendait une commande d'équipement, elle était payée, et tout d'un coup, l'argent nous a simplement été renvoyé et on nous a dit qu'on ne recevrait rien. On devrait toujours se souvenir, avant de claquer la porte, qu'on pourrait devoir la rouvrir un jour. » Un discours qui résonne avec celui du Kremlin. Celui-ci milite pour la levée des sanctions, mais affirme toujours que ce n'est pas par nécessité économique, mais pour des raisons de principe.À Kaliningrad, peu s'attendent à du changement en la matière. Serguey Gos résume l'état d'esprit général par cette formule : « les sanctions n'ont pas été imposées pour ensuite être annulées rapidement ». Les Européens ont eux réaffirmé leur position la semaine dernière : pas de levée de sanctions avant un retrait « inconditionnel » des forces russes d'Ukraine. Les tensions, elles, continuent à s'accumuler. Un représentant réputé de la communauté d'affaires de Kaliningrad a ainsi annulé une interview prévue avec RFI « en raison du dernier discours d'Emmanuel Macron ». Le président français avait, quelques heures, auparavant, dans une allocution télévisée, fustigé « l'agressivité » de Moscou « qui viole nos frontières » et face à laquelle « rester spectateur serait une folie ». Devant 15 millions de téléspectateurs, Emmanuel Macron avait aussi affirmé que la Russie était « devenue une menace pour la France et pour l'Europe », une Russie qu'il accusait de « tester nos limites dans les airs, en mer, dans l'espace et derrière nos écrans. Cette agressivité ne semble pas connaître de frontières ».La Pologne ainsi que les pays baltes sont aujourd'hui engagés dans de coûteux travaux de fortification de leurs frontières avec la Russie. Poussés par l'inquiétude d'un conflit dans quelques années avec Moscou, ces dernières semaines la Lituanie annoncé quitter la Convention d'Oslo interdisant les bombes à sous-munitions, tandis que la Pologne et les trois pays baltes ont eux déclaré vouloir se retirer de celle bannissant les mines antipersonnel.À lire aussiSites énergétiques visés: Kiev et Moscou font état de «violations» et se tournent vers Washington
#actualidad #guerraenucrania Análisis semanal de la Guerra de Ucrania – 02/04/2025 *** SUSCRÍBETE A @BELLUMARTISACTUALIDADMILITAR *** Anfisa Motora, José María Rodríguez y Francisco García Campa analizan en #FrenteDeBatalla la situación crítica del frente a comienzos de abril: RUSIA AGOTADA: PUTIN NECESITA 160.000 SOLDADOS ¿Está Moscú preparando una nueva oleada de movilización? ¿Qué consecuencias puede tener en el frente y dentro de Rusia? Analizamos los combates en EL MAPA DE FRENTE DE BATALLA ⚔️ Además abordaremos: - La intensificación de los ataques rusos contra infraestructuras energéticas en Jersón y otras zonas, pese al supuesto alto el fuego. - El avance ruso al noreste de Lyman, y el riesgo para Borova y zonas estratégicas del frente oriental. - Las exigencias rusas en la mesa de negociaciones, buscando redefinir el equilibrio de poder en Europa del Este. - El papel de actores internacionales como #China, #Irán y la #OTAN. Una guerra de desgaste donde cada movimiento cuenta. ¡No te pierdas este análisis esencial para entender la evolución del conflicto! COMPRA EN AMAZON CON EL ENLACE DE BHM Y AYUDANOS ************** https://amzn.to/3ZXUGQl ************* Si queréis apoyar a Bellumartis Historia Militar e invitarnos a un café o u una cerveza virtual por nuestro trabajo, podéis visitar nuestro PATREON https://www.patreon.com/bellumartis o en PAYPALhttps://www.paypal.me/bellumartis o en BIZUM 656/778/825
Los europeos, incluso los que se creían mejor preparados para una segunda presidencia de Donald Trump, se han quedado sorprendidos por la rapidez y contundencia de los primeros dos meses de mandato. Nadie, ni siquiera los más pesimistas, se esperaban algo así. El Gobierno de Donald Trump no ha descansado ni un sólo día. Ha impuesto aranceles a la Unión Europea dentro de un marco mucho más amplio que afecta también a Canadá, México y China, se ha alineado con la narrativa rusa sobre Ucrania, ha excluido a Europa de las negociaciones de paz a pesar de que los europeos han aportado más a la defensa de Ucrania que Estados Unidos, y ha dejado en el aire el compromiso de defensa mutua de la OTAN. Además de eso, lleva desde enero exigiendo a Dinamarca que le entregue la soberanía sobre Groenlandia sin reparar en el detalle de que los groenlandeses no quieren ser estadounidenses. Más allá de las medidas políticas, el tono despectivo de Trump y su vicepresidente, JD Vance, ha sorprendido a Europa y a muchos estadounidenses que tienen en alta estima la alianza transatlántica. En febrero Vance aprovechó la conferencia de seguridad de Múnich para atacar a los Gobiernos europeos, acusándoles de reprimir la libertad de expresión al tiempo que criticaba sus leyes de inmigración y aborto. Sus comentarios desdeñosos sobre la capacidad militar de países como el Reino Unido o Francia, que apoyaron a Estados Unidos en Afganistán, provocaron mucha indignación. Sumémosle a eso el lamentable espectáculo en el despacho oval con Volodímir Zelenski o el brevísimo encuentro de Trump con el presidente polaco Andrzej Duda. Todo han sido menosprecios y desplantes. Trump ha calificado a la UE, un proyecto que Estados Unidos siempre apoyó, como algo creado para perjudicar a su país. Figuras de su círculo, como Elon Musk y Tulsi Gabbard, refuerzan esta hostilidad, atacan de continuo a Europa por su supuesta decadencia moral, económica y demográfica y acusan a los Gobiernos europeos de rechazar su herencia cristiana y sucumbir a la inmigración musulmana. Vance ha llegado a advertir de un suicidio europeo, lo que permite hacerse una idea de cómo esto va más allá de la agenda política del momento. Que Europa y Estados Unidos riñan no es nuevo. Siempre existió tensión entre ambas orillas del Atlántico. Desde sus orígenes Estados Unidos se veía a sí mismo como un país libre, moderno e innovador frente a la vieja, rígida y anticuada Europa. Tras la Segunda Guerra Mundial, la relación se fortaleció con la OTAN y la reconstrucción europea, pero la Guerra Fría y la guerra de Irak en 2003 reavivaron las tensiones latentes desde tiempo antes. La percepción estadounidense de una Europa estancada económicamente y dependiente de su protección militar ha alimentado el resentimiento, algo que ha explotado bien el trumpismo, que ve a Europa como el epicentro de esas élites globalistas que tanto desprecia y que considera que le robaron las elecciones de 2020. Tanto Trump como su círculo íntimo no ocultan su admiración por líderes autoritarios como Vladimir Putin, mientras critican a la UE como un símbolo del globalismo que perjudica a los trabajadores estadounidenses. Su política comercial, como el arancel del 25 % a importaciones de automóviles anunciado para el mes próximo, no es más que una consecuencia de eso mismo, de un sentimiento de haber estado pagando la fiesta a otros mientras recibían agravios. Aunque las críticas a Europa por su gasto en defensa no son nuevas, el rechazo de Trump a la OTAN y su acercamiento a Rusia marcan un giro radical. Eso, como es obvio, ha alarmado a todos en Europa por las implicaciones en Ucrania y, de un modo más general, para la seguridad del continente. En La ContraRéplica: 0:00 Introducción 4:06 Antieuropeísmo trumpista 33:26 El Signalgate 45:20 Doble rasero judicial · Canal de Telegram: https://t.me/lacontracronica · “Contra la Revolución Francesa”… https://amzn.to/4aF0LpZ · “Hispanos. Breve historia de los pueblos de habla hispana”… https://amzn.to/428js1G · “La ContraHistoria de España. Auge, caída y vuelta a empezar de un país en 28 episodios”… https://amzn.to/3kXcZ6i · “Lutero, Calvino y Trento, la Reforma que no fue”… https://amzn.to/3shKOlK · “La ContraHistoria del comunismo”… https://amzn.to/39QP2KE Apoya La Contra en: · Patreon... https://www.patreon.com/diazvillanueva · iVoox... https://www.ivoox.com/podcast-contracronica_sq_f1267769_1.html · Paypal... https://www.paypal.me/diazvillanueva Sígueme en: · Web... https://diazvillanueva.com · Twitter... https://twitter.com/diazvillanueva · Facebook... https://www.facebook.com/fernandodiazvillanueva1/ · Instagram... https://www.instagram.com/diazvillanueva · Linkedin… https://www.linkedin.com/in/fernando-d%C3%ADaz-villanueva-7303865/ · Flickr... https://www.flickr.com/photos/147276463@N05/?/ · Pinterest... https://www.pinterest.com/fernandodiazvillanueva #FernandoDiazVillanueva #trump #europa Escucha el episodio completo en la app de iVoox, o descubre todo el catálogo de iVoox Originals
La geopolítica internacional sigue marcada por los movimientos de Estados Unidos de cara a la posibilidad de paz en Ucrania. Esta mañana, los ministros de Exteriores del G5+ (Francia, Alemania, Italia, Polonia, España, Reino Unido y Ucrania), se han reunido en Madrid para impulsar la defensa europea y discutir la continuidad del apoyo a Ucrania. Finalmente, entre los altos diplomáticos de los países participantes, junto con la alta representante de la Unión Europea (UE) para la Política Exterior y de Seguridad, Kaja Kallas, han pedido a Moscú aceptar un alto el fuego "inmediato e incondicional" en igualdad de condiciones y con "plena aplicación". A su vez, han reivindicado que cualquier acuerdo de paz deberá incluir garantías de seguridad creíbles para Ucrania. Sobre lo sucedido en la capital, hablamos en el informativo del 24 Horas de RNE con Javier Rupérez, exembajador de España en Estados Unidos."El problema básico es que Putin tiene unas cartas que, antes de que Trump se las diera, no poseía", puntualiza el entrevistado. Posteriormente, el exembajador reconoce que el presidente ruso "está condicionando cualquier tipo de acuerdo para acabar con el conflicto". Respecto a la postura que ha de tomar la UE, Rúperez menciona lo siguiente: "Es importante que la UE proyecte una voluntad de defensa, que en el fondo es lo que ha constituido lo mejor de la OTAN: la capacidad de disuasión para darle una respuesta a Putin". Escuchar audio
Los europeos, incluso los que se creían mejor preparados para una segunda presidencia de Donald Trump, se han quedado sorprendidos por la rapidez y contundencia de los primeros dos meses de mandato. Nadie, ni siquiera los más pesimistas, se esperaban algo así. El Gobierno de Donald Trump no ha descansado ni un sólo día. Ha impuesto aranceles a la Unión Europea dentro de un marco mucho más amplio que afecta también a Canadá, México y China, se ha alineado con la narrativa rusa sobre Ucrania, ha excluido a Europa de las negociaciones de paz a pesar de que los europeos han aportado más a la defensa de Ucrania que Estados Unidos, y ha dejado en el aire el compromiso de defensa mutua de la OTAN. Además de eso, lleva desde enero exigiendo a Dinamarca que le entregue la soberanía sobre Groenlandia sin reparar en el detalle de que los groenlandeses no quieren ser estadounidenses. Más allá de las medidas políticas, el tono despectivo de Trump y su vicepresidente, JD Vance, ha sorprendido a Europa y a muchos estadounidenses que tienen en alta estima la alianza transatlántica. En febrero Vance aprovechó la conferencia de seguridad de Múnich para atacar a los Gobiernos europeos, acusándoles de reprimir la libertad de expresión al tiempo que criticaba sus leyes de inmigración y aborto. Sus comentarios desdeñosos sobre la capacidad militar de países como el Reino Unido o Francia, que apoyaron a Estados Unidos en Afganistán, provocaron mucha indignación. Sumémosle a eso el lamentable espectáculo en el despacho oval con Volodímir Zelenski o el brevísimo encuentro de Trump con el presidente polaco Andrzej Duda. Todo han sido menosprecios y desplantes. Trump ha calificado a la UE, un proyecto que Estados Unidos siempre apoyó, como algo creado para perjudicar a su país. Figuras de su círculo, como Elon Musk y Tulsi Gabbard, refuerzan esta hostilidad, atacan de continuo a Europa por su supuesta decadencia moral, económica y demográfica y acusan a los Gobiernos europeos de rechazar su herencia cristiana y sucumbir a la inmigración musulmana. Vance ha llegado a advertir de un suicidio europeo, lo que permite hacerse una idea de cómo esto va más allá de la agenda política del momento. Que Europa y Estados Unidos riñan no es nuevo. Siempre existió tensión entre ambas orillas del Atlántico. Desde sus orígenes Estados Unidos se veía a sí mismo como un país libre, moderno e innovador frente a la vieja, rígida y anticuada Europa. Tras la Segunda Guerra Mundial, la relación se fortaleció con la OTAN y la reconstrucción europea, pero la Guerra Fría y la guerra de Irak en 2003 reavivaron las tensiones latentes desde tiempo antes. La percepción estadounidense de una Europa estancada económicamente y dependiente de su protección militar ha alimentado el resentimiento, algo que ha explotado bien el trumpismo, que ve a Europa como el epicentro de esas élites globalistas que tanto desprecia y que considera que le robaron las elecciones de 2020. Tanto Trump como su círculo íntimo no ocultan su admiración por líderes autoritarios como Vladimir Putin, mientras critican a la UE como un símbolo del globalismo que perjudica a los trabajadores estadounidenses. Su política comercial, como el arancel del 25 % a importaciones de automóviles anunciado para el mes próximo, no es más que una consecuencia de eso mismo, de un sentimiento de haber estado pagando la fiesta a otros mientras recibían agravios. Aunque las críticas a Europa por su gasto en defensa no son nuevas, el rechazo de Trump a la OTAN y su acercamiento a Rusia marcan un giro radical. Eso, como es obvio, ha alarmado a todos en Europa por las implicaciones en Ucrania y, de un modo más general, para la seguridad del continente. En La ContraRéplica: 0:00 Introducción 4:06 Antieuropeísmo trumpista 33:26 El Signalgate 45:20 Doble rasero judicial · Canal de Telegram: https://t.me/lacontracronica · “Contra la Revolución Francesa”… https://amzn.to/4aF0LpZ · “Hispanos. Breve historia de los pueblos de habla hispana”… https://amzn.to/428js1G · “La ContraHistoria de España. 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durée : 00:03:15 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Trente-et-un pays se sont réunis à Paris hier -sans les États-Unis- pour organiser leur soutien à l'Ukraine dans cette période délicate : un embryon d'« OTAN-soft » inédit à un moment où Washington tourne le dos à ses alliés. Emmanuel Macron parle de « sortie de l'état de minorité géopolitique ».
durée : 00:03:15 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Trente-et-un pays se sont réunis à Paris hier -sans les États-Unis- pour organiser leur soutien à l'Ukraine dans cette période délicate : un embryon d'« OTAN-soft » inédit à un moment où Washington tourne le dos à ses alliés. Emmanuel Macron parle de « sortie de l'état de minorité géopolitique ».
El secretario general de la OTAN ha recordado con otras palabras algo obvio: si la amenaza militar de Rusia no es la propia de la invasión clásica por tierra, entonces Madrid no es menos vulnerable que Varsovia. Y en ese marco ha aumentado la presión sobre España y sobre la urgencia en el incremento del gasto militar. Algo que molesta a un Gobierno que, aunque ya se mueve hacia ese aumento, no sabe cómo cuadrar el círculo.
Con Gonzalo Velasco, Mariola Urrea e Ignasi Guardans. La Moncloa está molesta por las declaraciones de Mark Rutte, secretario general de la OTAN, quien afirmó que España quiere llegar al 2% antes del verano. El gobierno salió a matizar sus palabras. Macron anuncia una fuerza militar de algunos países europeos en Ucrania si hay acuerdo de paz. PP insiste en reunirse con la cúpula militar y asegura que sus eurodiputados están apoyando el plan de rearme. En EEUU los jueces son la última barrera para frenar a Trump. Cada día que pasa, los jueces estadounidenses plantean más obstáculos para que Trump no imponga su agenda.
Trabajo y Hacienda negocian que los perceptores del SMI no tengan que tributar en el IRPF en 2025. El Gobierno corrige al secretario general de la OTAN y asegura que "se acercará al objetivo del 2% del PIB en Defensa antes de verano. París y Londres empujan para desplegar una fuerza de paz europea en Ucrania tras la guerra, mientras Putin propone sustituir a Zelenski por un Gobierno temporal.
Santiago González comenta la Sesión en el Congreso y la intervención de Sánchez en la que hizo un discurso sin decir nada sobre el gasto militar. El presidente del Gobierno, Pedro Sánchez, ha comparecido este miércoles en el Congreso para exponer la postura del Gobierno sobre el gasto en Defensa y la situación internacional, pero su intervención estuvo marcada por la ausencia de detalles concretos. En un discurso en el que hizo "pedagogía" sin centrarse en el compromiso, el líder de los socialistas se limitó a remarcar la importancia de la seguridad europea sin aclarar los plazos ni las cifras sobre el incremento del presupuesto militar.Europa obligará a Sánchez a presentar en abril su hoja de ruta en defensa si quiere suspender las reglas fiscalesRubén Fernández | Maite Loureiro La comparecencia evidenció la incomodidad del Ejecutivo ante un tema que genera fisuras en su coalición de Gobierno y que expone su fragilidad parlamentaria. Mientras el Partido Popular presiona por una mayor transparencia y sus socios de izquierda rechazan cualquier aumento en el gasto militar, Sánchez optó por una postura ambigua: confirmó la intención de alcanzar el 2% del PIB en inversión militar, pero sin detallar cómo ni cuándo se ejecutará este compromiso. Para evitar confrontaciones internas, aseguró que este esfuerzo "no tocará ni un céntimo del gasto social", aunque sin aclarar de dónde saldrán los fondos necesarios.Oír a Sánchez pone en riesgo la seguridad de EspañaEDITORIAL Uno de los puntos clave del discurso fue su apuesta por un "ejército europeo", una idea que Sánchez defendió por primera vez de manera abierta. Refutó que Europa debe asumir su propia seguridad ante la incertidumbre geopolítica y la posible incomparecencia de Estados Unidos en futuras crisis. Sin embargo, su insistencia en una visión estratégica de la defensa contrastó con la ausencia de datos concretos sobre la inversión española en este ámbito. Hasta la cumbre de la OTAN en junio, el Gobierno no ofrecerá cifras ni planes específicos, lo que refuerza, una vez más, la sensación de que la comparecencia fue una maniobra para ganar tiempo.
L'Europe est perçue comme un fardeau, comme un client capricieux, dépendant et qui est en plus en retard de paiement. C'est ce que pense l'équipe de Trump et nous le savons depuis hier grâce à une fuite malheureuse à un journaliste américain ajouté par accident dans un groupe confidentiel. Enfin pas tout fait malheureuse car cette fuite est en fait une excellente nouvelle pour les Européens. Désormais, on sait exactement ce que les États-Unis pensent vraiment de l'Europe. Et le constat est dur. Il est frontal, mais il est désormais incontestable. L'Europe n'est plus perçue par les Etats-Unis comme un allié stratégique. Elle est vue plutôt comme un fardeau, comme un client et comme un profiteur. Alors comment est-ce qu'on le sait ? Il n'y a qu'à lire les comptes rendus qui sont un peu partout dans la presse depuis hier sur cette fuite improbable. Une erreur grossière, mais surtout une immense claque diplomatique. L'Europe n'est plus perçue comme un allié stratégique. Paradoxalement, cette brutalité, elle a au moins un mérite : elle va nous réveiller si nous dormions encore, car cette fois, plus personne ne peut faire semblant... Mots-Clés : Signal, messagerie sécurisée, hauts responsables, administration, Vice-Président, ministre de la Défense, Stephen Miller, conseiller, stratégique, résultat, échanges, dévoilés, aperçu brut, non filtré, vision américaine, monde, constat, fardeau, client, facturer, profiteur, intérêts européens, mer Rouge, attaque, Houthis, commerce américain, région, Asie, transit, sécuriser, routes, conseiller, extraction, gains économiques, diplomatie, mépris, structurel, logique commerciale, business, libération, ambiguïté, illusions, puissance, Washington, paiement, bourde, illusions, lucidité, client, sous contrat, Otan, abonnement, prix, augmenter. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock'n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSkAinsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock'n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLpEt découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankxDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air l'invitée du 24 mars 2025 : Muriel Domenach, ex-ambassadrice de France auprès de l'OTANLa brutale accélération des événements a provoqué un sursaut des Européens, conscients que la guerre en Ukraine constitue un "défi existentiel pour l'Union européenne". Depuis sa campagne de 2024 et son retour à la Maison Blanche, Donald Trump réitère ses menaces à l'encontre de l'Organisation du traité de l'Atlantique nord (Otan) et laisse entendre qu'un retrait des États-Unis de l'alliance est sur la table. Dans le viseur du milliardaire républicain : le partage trop inégalitaire à ses yeux du fardeau budgétaire de la défense, au détriment de Washington.En 2014, les alliés s'étaient engagés à consacrer au moins 2 % de leur PIB à la défense, mais en 2024, seule une vingtaine de pays – dont les États-Unis – a atteint cet objectif.Notre invitée reviendra sur les implications d'un retrait américain et les scénarios possibles pour l'Alliance…
Al plató de Mariola Cubells se asoma David Cantero para contarnos su marcha de Mediaset y su nuevos planes . Los corresponsales hoy se responden a esta pregunta: ¿deben los países europeos, sean o no miembros de la OTAN, aumentar su gasto en Defensa? Nieves Concostrina nos comenta la segunda parte de Las quemas de libros del franquismo. Terminamos con 'Lo que queda del día' con Isaías Lafuente
L'article 5 de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN) en est le pilier fondateur. C'est lui qui formule le principe d'assistance mutuelle entre les Etats membres. C'est lui qui a régi une grande part des relations internationales depuis la fin de la seconde guerre mondiale. Il est aujourd'hui remis en cause par le président américain Donald Trump.Que dit réellement cet article ? Pourquoi n'a-t-il été utilisé qu'une seule fois dans l'histoire ? Et sera-t-il bientôt obsolète ?Dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde », Philippe Jacqué, correspondant à Bruxelles, revient sur l'histoire de l'article 5 de l'OTAN et se penche sur son avenir.Un épisode d'Adèle Ponticelli, réalisé par Amandine Robillard. Musiques originales : Amandine Robillard. Présentation et rédaction en chef : Adèle Ponticelli. Dans cet épisode, des extraits des « Actualités Françaises » de 1949 ; des extraits du JT de France 2 du 11 septembre 2001 et des extraits du JT de TF1 du 16 novembre 2022.Cet épisode a été publié le 24 mars 2025.----Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 21 mars 2025.Avec cette semaine :Pierre Buhler, diplomate et ancien ambassadeur de France en Pologne.Jean-Louis Bourlanges, essayiste.Matthias Fekl, avocat et ancien ministre de l'Intérieur.Michaela Wiegel, correspondante à Paris de la Frankfurter Allgemeine Zeitung.POLOGNE, HISTOIRE D'UNE AMBITIONLa Pologne occupe aujourd'hui une position stratégique centrale en Europe, façonnée par une histoire tourmentée et une résilience remarquable. Longtemps soumise à l'influence de puissances étrangères, elle a même disparu en tant qu'État entre 1795 et 1918 avant de renaître, pour être aussitôt confrontée aux épreuves de la Seconde Guerre mondiale et à la domination soviétique. Depuis la chute du communisme en 1989 et son adhésion à l'Union européenne en 2004, elle s'est affirmée comme un acteur incontournable de la sécurité européenne et transatlantique. Pierre Buhler, vous retracez avec finesse cette trajectoire historique dans l'ouvrage que vous publiez aux éditions Tallandier, Pologne, histoire d'une ambition, en montrant comment le pays a su conjuguer aspirations nationales et intégration internationale.L'essor économique amorcé dans les années 1990 sous l'impulsion des réformes de Leszek Balcerowicz a permis à la Pologne de s'intégrer pleinement aux chaînes de valeur européennes, en particulier grâce à son partenariat privilégié avec l'Allemagne. Pourtant, derrière cette réussite économique, des tensions persistent. Le parti conservateur Droit et Justice (PiS) revendique une souveraineté nationale affirmée, parfois en opposition avec Bruxelles, tandis que l'opinion publique reste globalement favorable au projet européen. Ces contradictions internes reflètent un débat plus large sur l'identité nationale et le positionnement du pays face aux institutions supranationales.Sur la scène internationale, la Pologne joue un rôle de premier plan dans la dissuasion face à la Russie. Elle a plaidé pour un renforcement des capacités de l'OTAN en Europe de l'Est et consolidant son alliance stratégique avec les États-Unis, aujourd'hui mise à mal. Son ambition de devenir la première puissance militaire conventionnelle d'Europe atlantique témoigne de cette volonté d'autonomie stratégique. Mais cette posture affirmée ne va pas sans heurts : les tensions mémorielles avec l'Allemagne autour des réparations de guerre, ou encore avec l'Ukraine sur la mémoire des massacres de Volhynie, rappellent combien l'Histoire reste un enjeu diplomatique majeur. À cela s'ajoute la question sensible de la restitution des biens spoliés pendant l'Holocauste, qui continue d'alimenter les débats sur la reconnaissance des injustices passées. La trajectoire polonaise illustre ainsi un équilibre délicat entre héritage historique, quête de souveraineté et ancrage dans les institutions euro-atlantiques. À travers votre analyse, vous mettez en lumière la manière dont la Pologne cherche à concilier ces dynamiques parfois contradictoires pour s'imposer comme un acteur incontournable de la sécurité et de la stabilité en Europe. Toutefois, le contexte actuel est peu favorable à une position d'équilibre et la question se pose de savoir si la Pologne peut - et jusqu'à quel point - prendre acte du retrait américain de l'OTAN.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Federico comenta el bochorno en el Congreso de los Diputados y cómo parte del Gobierno de Sánchez se quiere ir de la OTAN.
PP y Junts cambian su voto y tumban junto a Vox la creación de la Agencia Estatal de Salud Pública. "Ha sido un espectáculo de irresponsabilidad", ha criticado Mónica García, ministra de Sanidad, en el informativo 24 horas de RNE y ha anunciado que volverán a llevar esta propuesta a votación "para que los partidos de la derecha y Junts puedan recapacitar." La ministra de Sanidad ha cargado la responsabilidad de este resultado a la oposición y no se ha pronunciado sobre el 'no' de Junts en específico. Además, ha asegurado que "están desprotegiendo a los ciudadanos" porque, insiste, se trata de "una herramienta para poder proteger la salud frente a futuras pandemias."El PP y Vox han reprochado y han criticado la posibilidad de que Fernando Simón sea quien presida esta agencia. Ante ello, García ha asegurado que "él mismo ha dicho que si es a dedo o un criterio político no se va a presentar" y ha calificado de "lamentables" los ataques hacia el director del Centro de Coordinación de Alertas y Emergencias Sanitarias.Sobre el gasto en defensa, ha expresado en que este gasto va más allá del militar: "Es un gasto en seguridad y tiene que ver también en materia de sanidad." Mónica García no ha respondido al ser preguntada por si "¿España debería ir desligándose de la OTAN?" y se ha limitado ha insistir en que "Europa tendría que replantear un nuevo modelo que tenga que ver con las novedades geopolíticas y del siglo XXI" ya que "ha externalizado durante todos estos años su protección y su seguridad."Escuchar audio
El replanteamiento por parte de Estados Unidos de sus compromisos de defensa en Europa, y la guerra comercial desatada contra sus socios han generado una gran incertidumbre geopolítica y comercial en todo el mundo. Pero existe un riesgo aún mayor que amenaza a los mercados financieros internacionales. Estos mercados dependen de la liquidez en dólares respaldada por la Reserva Federal, la única entidad que puede emitir esta moneda. A través de líneas de swap con bancos centrales extranjeros, la Reserva Federal ha sido fundamental para estabilizar los mercados en momentos de apuro, como durante la crisis financiera de 2008 o, más recientemente, durante la pandemia de coronavirus. Estas líneas permiten a bancos centrales de países aliados acceder a dólares, evitando impagos en cadena que podrían terminar afectando directamente a la economía estadounidense. En 2020, la demanda de dólares se disparó cuando los inversores, presa del pánico, buscaron refugio en activos seguros, lo que llevó a la Reserva Federal a establecer acuerdos de swap con bancos centrales de países como Canadá, Japón, Corea del Sur, la Unión Europea y otros de mercados emergentes como México y Brasil. Estas medidas, que sumaron 450.000 millones de dólares al balance de la Reserva Federal, fueron cruciales para mantener la estabilidad financiera global. Sin embargo, la administración Trump está mostrando una postura más aislacionista. Utiliza el apoyo a otros países como herramienta de presión diplomática, lo que pone en duda la fiabilidad de la Reserva Federal en futuras crisis. La independencia de la Reserva Federal está consagrada por ley, pero los cambios en las políticas tradicionales y la influencia de un presidente tan volátil como Trump, que ha cuestionado públicamente la gestión de esta institución, podrían, sino acabar, si al menos, erosionar esta independencia. Trump ha amenazado a países como Canadá, México, la Unión Europea y Brasil con aranceles y sanciones por cuestiones como inmigración, comercio y disputas territoriales, lo que ha provocado innecesarias tensiones con aliados históricos con quienes, además, el flujo comercial es muy fluido. Esta actitud contrasta con la lista de países que tradicionalmente han recibido apoyo financiero de la Reserva Federal, muchos de los cuales son aliados estratégicos de Estados Unidos. El mercado extraterritorial del dólar, que comenzó en la década de 1950, ha crecido mucho desde entonces. Hay billones de dólares circulando en préstamos, bonos y swaps de divisas fuera de Estados Unidos. Bancos extranjeros manejan obligaciones por valor de 16 billones de dólares, de los cuales solo una parte tiene acceso directo a la Reserva Federal. En tiempos de crisis, los bancos centrales extranjeros dependen de las líneas de swap para obtener liquidez, pero Trump podría politizar estas decisiones, retrasando o condicionando la ayuda financiera para obtener concesiones diplomáticas. Este escenario plantea importantes riesgos. Si los inversores perciben que la Reserva Federal no actuará de manera oportuna o imparcial en una crisis, podrían buscar refugio antes de que se implementen medidas de emergencia, empeorando la inestabilidad financiera. La incertidumbre sobre la política estadounidense, combinada con la retórica de Trump de priorizar los intereses nacionales, podría arruinar la confianza en la Reserva Federal del mismo modo que las dudas sobre el compromiso de Estados Unidos con la OTAN afectan la seguridad europea. En última instancia, la fiabilidad de Estados Unidos como garante de la estabilidad financiera mundial puede ser cuestionada en los mercados mucho antes que en conflictos de naturaleza geopolítica. Sus consecuencias serían inmediatas y de gran alcance. En La ContraRéplica: 0:00 Introducción 4:02 Los dólares de la Fed 28:56 La fiabilidad de EEUU como aliado 37:45 El arsenal nuclear ucraniano 44:56 Aborto · Canal de Telegram: https://t.me/lacontracronica · “Contra la Revolución Francesa”… https://amzn.to/4aF0LpZ · “Hispanos. Breve historia de los pueblos de habla hispana”… https://amzn.to/428js1G · “La ContraHistoria de España. 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La política exterior de Donald Trump está generado tensiones con los aliados tradicionales de Estados Unidos en Europa, pero, al mismo tiempo está siendo muy bien recibida en Moscú. Este cambio tiene serias implicaciones para la seguridad europea, especialmente en Ucrania, pero también plantea riesgos aún mayores, como una proliferación nuclear desenfrenada. Aunque podría parecer que una relación más cercana entre Estados Unidos y Rusia reduciría el riesgo de guerra nuclear, la realidad es que las acciones de Trump incentivan a países con potencial nuclear latente, como Corea del Sur, Japón, Alemania, Bélgica, Italia, España y los Países Bajos, a desarrollar sus propios arsenales, aumentando los riesgos de un uso nuclear inapropiado, terrorismo y accidentes. Durante ocho décadas Estados Unidos ha sido el garante de la seguridad de muchos países en Europa y Asia, a quienes ha ofrecido un "paraguas nuclear" que hasta la fecha ha limitado la proliferación de este tipo de armamento. Actualmente solo nueve países poseen armas nucleares: Estados Unidos, Rusia, Reino Unido, Francia, China, Israel, India, Pakistán y Corea del Norte. Hay 190 países que forman parte del Tratado de No Proliferación Nuclear, que entró en vigor en 1970. Tras la implosión de la Unión Soviética y gracias a las garantías estadounidenses, países como Ucrania, Kazajistán y Bielorrusia renunciaron a sus arsenales nucleares. Este sistema de garantías ha sido fundamental para la seguridad mundial, evitando que el número de potencias nucleares creciese. Pero esta última encarnación de Trump está restando credibilidad a esas mismas garantías. Sus aliados sienten que se han quedado solos. Los miembros europeos de la OTAN temen a Rusia y, en el Pacífico, Japón, Taiwán y Corea del Sur hacen lo propio con China y Corea del Norte. Bastaría con que sólo uno de estos países decidiera desarrollar un programa nuclear propio para que se desencadenase de forma automática un efecto dominó que acabaría para siempre con la no proliferación de los años 60 y 70. En Europa, la situación es preocupante debido al auge de partidos identitarios de derecha en Francia, Alemania y Polonia, que quieren impulsar políticas nucleares independientes. Por ejemplo, Marine Le Pen en Francia ha expresado su rechazo a compartir armas nucleares, mientras que en Alemania y Polonia se debate el desarrollo de capacidades nucleares conjuntas. Hay analistas que creen que no es del todo mala idea, que más armas nucleares podrían estabilizar el mundo y esgrimen la Guerra Fría como ejemplo. En aquel entonces la destrucción mutua asegurada evitó un conflicto directo entre las dos superpotencias. Pero fomentar la proliferación nuclear es extremadamente peligroso. La historia nos enseña que el desarrollo de armas nucleares genera desconfianza y tensiones, incluso entre aliados, como ocurrió con Francia y Estados Unidos en los años 60, o con China y la Unión Soviética en esa misma época. Además, más países con armas nucleares incrementaría los riesgos de lanzamientos accidentales, sabotajes o actos terroristas, especialmente en países con recursos limitados para garantizar la seguridad de sus arsenales. El entorno global, en definitiva, se ha vuelto más inseguro y hoy por hoy la no proliferación nuclear se encuentra en peligro tras muchas décadas de estabilidad y cierto equilibrio. En La ContraRéplica: 0:00 Introducción 4:11 La nueva proliferación nuclear 30:18 La Siria de Ahmed Sharaa 37:41 Trump para los estadounidenses 41:47 Aborto · Canal de Telegram: https://t.me/lacontracronica · “Contra la Revolución Francesa”… https://amzn.to/4aF0LpZ · “Hispanos. Breve historia de los pueblos de habla hispana”… https://amzn.to/428js1G · “La ContraHistoria de España. Auge, caída y vuelta a empezar de un país en 28 episodios”… https://amzn.to/3kXcZ6i · “Lutero, Calvino y Trento, la Reforma que no fue”… https://amzn.to/3shKOlK · “La ContraHistoria del comunismo”… https://amzn.to/39QP2KE Apoya La Contra en: · Patreon... https://www.patreon.com/diazvillanueva · iVoox... https://www.ivoox.com/podcast-contracronica_sq_f1267769_1.html · Paypal... https://www.paypal.me/diazvillanueva Sígueme en: · Web... https://diazvillanueva.com · Twitter... https://twitter.com/diazvillanueva · Facebook... https://www.facebook.com/fernandodiazvillanueva1/ · Instagram... https://www.instagram.com/diazvillanueva · Linkedin… https://www.linkedin.com/in/fernando-d%C3%ADaz-villanueva-7303865/ · Flickr... https://www.flickr.com/photos/147276463@N05/?/ · Pinterest... https://www.pinterest.com/fernandodiazvillanueva Encuentra mis libros en: · Amazon... https://www.amazon.es/Fernando-Diaz-Villanueva/e/B00J2ASBXM #FernandoDiazVillanueva #nuclear #otan Escucha el episodio completo en la app de iVoox, o descubre todo el catálogo de iVoox Originals
Con Ainhoa Martínez, Casimiro Garcia-Abadillo y Javier Caraballo comentamos la actualidad política. Comenzamos hablando de la noticia publicada por el medio francés "Le Point", que involucra al ministro para la Transición Digital, Óscar López, en una posible reunión con los máximos responsables de Vivendi, para animarles a destituir a su presidente Joseph Oughourlian. Después, se discutirá sobre la llamada que hizo el Presidente del Gobierno Pedro Sánchez en las clausuras de los gobiernos regionales del PSOE en Cantabria y Aragón sobre la necesidad de aumentar el gasto en Defensa hasta alcanzar el compromiso firmado con la OTAN, para que Europa pueda defenderse a sí misma.
durée : 00:59:56 - Affaires étrangères - par : Christine Ockrent - Alors que l'Europe semble déterminée à repenser et reconstruire ses capacités de défense, comment faire converger les exercices nationaux de programmation militaire ? Comment renforcer le rôle des Européens au sein de l'OTAN ? Quelle nouvelle approche de la dissuasion nucléaire ? - réalisation : Luc-Jean Reynaud - invités : Claudia Major Senior Vice President for Transatlantic Security et membre de l'équipe de direction du German Marshall Fund of the United States; Amélie Zima Docteure en sciences politiques, chercheuse responsable du Programme sécurité européenne et transatlantique du Centre des études de sécurité de l'Ifri; Bruno Tertrais Directeur adjoint de la Fondation pour la Recherche Stratégique et conseiller géopolitique à l'Institut Montaigne; Benjamin Hautecouverture Maître de recherche à la Fondation pour la recherche stratégique et senior fellow au Canadian Global Affairs Institute à Ottawa
Tercer Milenio 360 Internacional - 13/03/25Rusia rechaza la propuesta de los Estados Unidos de alto al fuego, exige el desarme de Ucrania, quedarse con los territorios ocupados y que no ingrese a la OTAN.Groenlandia vota por los conservadores en la elección parlamentaria, el partido Demokraatit de Jens-Frederik Nielsen. Rechaza que la isla sea parte de Estados Unidos y quiere la independencia de Dinamarca.El 10 de marzo del 2025, una flotilla OVNI sobrevuéla una base militar de Nueva Jersey. De manera sorpresiva, los soldados abren fuego.En Chimbote, Perú, la noche del 7 de marzo del 2025, cuatro estructuras que emiten energía moviéndose, son captadas sobre la ciudad
Para nuestro país, un gasto que pretende sacar adelante sin el aval del Congreso, Ricardo Rodríguez. Que da mucha negociación por delante, distintas bandas además, entre los 27 en el seno de la Unión Europea, pero también y sobre todo en la OTAN, con una cumbre programada para junio en la AI. A la pertenencia misma a la guianza atlántica, advierten desde la Moncloa, representa la aceptación de unos compromisos y el gobierno los esgrime ya para llegar a ese 2% del PIB en defensa lo antes posible y eludiendo además el aval del Congreso. Las intenciones son no someter nada, esto es textual, al ...
Hér fer síðari hluti viðtals við Nínu Jónsson varformann stjórnar Icelandair Group um feril hennar hjá sumum af stærstu flugfélögum heims. Nína er ráðgjafi hjá Jetzero í Kaliforníu þar sem unnið er að byltingarkenndu þróunarverkefni um smíði nýrrar gerðar farþegaþotu sem kölluð er „blended wing-body aircraft“ eða vaffþotan. Nína segir að þarna gæti komið vélin sem Boeing ákvað á sínum tíma að smíða EKKI til að taka við af B757 og B767. Vonir eru bundnar við að vaffþotan sem er á stærð við B767 verði komin á almennan markað innan sjö ára og fyrsta slíka hönnunin á að fljúga innan tveggja ára á vegum bandaríska flughersins sem eldsneytisflutningavél (tanker). Nýstárleg hönnun vaffþotunnar á að stuðla að um 50% minni eldsneytiseyðslu miðað við hefðbundnar þotur af svipaðri stærð á markaðnum í dag.
El presidente Trump invocaría una ley del siglo XVIII para acelerar las deportaciones masivas. La ley de 'enemigos extranjeros' le permitiría arrestar y deportar a inmigrantes sin un debido proceso.En otras noticias: El gobierno Trump acudió a la Corte Suprema de Justicia para que le ayude a despejar el camino para eliminar el derecho a la ciudadanía por nacimiento. Donald Trump se reunió con el secretario de la Otan, mientras su enviado especial tuvo un encuentro con Vladimir Putin para proponerle un cese al fuego.Se intensifica la guerra arancelaria. Trump amenazó con imponer aranceles del 200% al licor importado de Europa.Continúa la incertidumbre entre los estudiantes tras los intentos de Trump de desmantelar el departamento de Educación. DOGE propone reducir en un 20% los trabajadores de IRS en plena temporada de impuestos.
Europa enfrenta una crisis de seguridad sin precedentes tras el realineamiento estratégico del Gobierno Trump, que ha eliminado el apoyo de Estados Unidos a Ucrania y se ha acercado a Rusia. Por ahora la ayuda militar a Ucrania está congelada y la semana pasada propuso aliviar las sanciones al Kremlin. Esto ha generado un frenesí armamentístico en Europa, donde sus Gobiernos se encuentran con un entorno hostil tanto al este como al oeste. En respuesta a eso, Ursula von der Leyen, presidenta de la Comisión Europea, acaba de anunciar el plan "ReArm Europe", que podría movilizar hasta 800.000 millones de euros para reconstruir los arsenales, la industria de defensa y la seguridad del continente. Este plan suspende las reglas fiscales de la UE, redirige fondos de cohesión hacia la defensa y aumenta la financiación conjunta para permitir a los Estados con problemas de liquidez incrementar su gasto militar. La situación ha unificado a Europa de manera un tanto inesperada, se están superando divisiones históricas y se ha acelerado repentinamente el deseo de incrementar de forma notable el gasto en defensa tras décadas de dependencia de Estados Unidos. La cumbre de Londres, organizada por Keir Starmer y Enmanuel Macron, y las declaraciones de Friedrich Merz, el ganador de las elecciones alemanas, no dejan espacio a muchas interpretaciones. Ahora parece que sí están decididos y que lo harán, aunque sea a la fuerza. Pero Europa necesitará años para poder reemplazar el apoyo estadounidense, una preocupación de primer orden para países muy expuestos como las repúblicas bálticas, que temen una posible retirada total de Estados Unidos de la OTAN. Europa planea destinar 150.000 millones de euros en préstamos para las necesidades inmediatas de Ucrania, como defensa aérea y artillería, aunque, dado el historial de promesas incumplidas, hay dudas sobre la capacidad de aumentar la producción rápidamente. Además, se debate el despliegue de una fuerza terrestre europea de unos 30.000 soldados para disuadir futuros conflictos en Ucrania, una idea factible si Europa mantiene su compromiso.Otro cambio significativo es la disposición a usar los 300.000 millones de euros en activos rusos congelados para financiar la asistencia a Ucrania, una medida antes rechazada por temor a represalias rusas. Países como Alemania y Bélgica ahora apoyan esta opción, considerándola una solución rápida y eficaz. El caballo de batalla es el gasto, que deberá aumentar de forma sostenida durante muchos años. El objetivo del 2% sobre PIB ya es agua pasada. Se habla del 3%, del 4% y hasta del 5%. En 2024, el 75% de los países de la OTAN cumplían con el objetivo del 2%, pero alcanzar el 5% es un desafío enorme, reservado principalmente a países en guerra. Los expertos advierten que esta meta podría ser una estrategia de Trump para justificar una posible salida de Estados Unidos de la OTAN, lo que debilitaría gravemente ciertas capacidades de la alianza, como los sistemas antimisiles y la infraestructura de mando. Si Estados Unidos se marcha el problema será mucho mayor en todos los ámbitos. Europa en estos momentos no está preparada para prescindir por completo de la ayuda estadounidense. Esa es la palanca que está empleando Trump, una ventaja a la que pretende sacarle el máximo partido. En La ContraRéplica: 0:00 Introducción 3:54 ¿Cómo defender Europa? 31:52 El realineamiento de Trump 38:54 Tipos de propaganda 49:24 Injurias, calumnias y mentiras en X · Canal de Telegram: https://t.me/lacontracronica · “Contra la Revolución Francesa”… https://amzn.to/4aF0LpZ · “Hispanos. Breve historia de los pueblos de habla hispana”… https://amzn.to/428js1G · “La ContraHistoria de España. Auge, caída y vuelta a empezar de un país en 28 episodios”… https://amzn.to/3kXcZ6i · “Lutero, Calvino y Trento, la Reforma que no fue”… https://amzn.to/3shKOlK · “La ContraHistoria del comunismo”… https://amzn.to/39QP2KE Apoya La Contra en: · Patreon... https://www.patreon.com/diazvillanueva · iVoox... https://www.ivoox.com/podcast-contracronica_sq_f1267769_1.html · Paypal... https://www.paypal.me/diazvillanueva Sígueme en: · Web... https://diazvillanueva.com · Twitter... https://twitter.com/diazvillanueva · Facebook... https://www.facebook.com/fernandodiazvillanueva1/ · Instagram... https://www.instagram.com/diazvillanueva · Linkedin… https://www.linkedin.com/in/fernando-d%C3%ADaz-villanueva-7303865/ · Flickr... https://www.flickr.com/photos/147276463@N05/?/ · Pinterest... https://www.pinterest.com/fernandodiazvillanueva Encuentra mis libros en: · Amazon... https://www.amazon.es/Fernando-Diaz-Villanueva/e/B00J2ASBXM #FernandoDiazVillanueva #europa #defensa Escucha el episodio completo en la app de iVoox, o descubre todo el catálogo de iVoox Originals