POPULARITY
Categories
Dans un contexte international marqué par une augmentation des dépenses de défense, le réarmement de l'Otan, dans la prochaine décennie, pourrait générer en France, un marché annuel de 45 milliards d'euros et entrainer la création de plus de 500 000 emplois. Mais la capacité industrielle tricolore est aujourd'hui sous-dimensionnée pour répondre à l'accroissement de la demande. Un immense défi capacitaire doit être relevé si Paris veut conserver la deuxième place mondiale en matière d'exportations d'armes. [Rediffusion] La France est-elle prête à répondre aux enjeux du réarmement ? La question donne des sueurs froides aux acteurs de la Base industrielle et technologique (BITD) de défense tricolore dont les outils de production sont déjà occupés à plus de 90%. La Caisse des dépôts, bras armé de l'État pour les questions économiques et industrielles, met en exergue - dans un rapport publié fin juin - les faiblesses d'un tissu industriel, qui n'est pas calibré pour faire face à un saut d'échelle. Or c'est maintenant que tout se joue, pointe Romain Lucazeaux du SCET, le cabinet de conseil de la Caisse des dépôts, auteur du rapport : « La problématique de la BITD française est de passer d'un modèle artisanal, adapté aux besoins de la France qui est une petite-grande puissance, à une BITD capable de servir les besoins de nos partenaires de l'Otan, notamment les marchés allemands et polonais. Il y a une opportunité à ne pas rater et cela demande une montée en puissance, une prise de risques, mais aussi la capacité à s'internationaliser et donc la capacité à mener des stratégies commerciales et cela coûte de l'argent cela implique des compétences que les acteurs français n'ont pas forcément, notamment les PME (petites et moyennes entreprises) et certaines ETI (entreprises de taille intermédiaire) ». L'industrie doit parvenir à s'ancrer dans les territoires L'Otan a officialisé les 5% de PIB pour la défense. Les financements arrivent, note la Caisse des dépôts et la clé du succès, insiste Romain Lucazeaux, repose sur l'attractivité des territoires. « Les acteurs de la défense sont à l'orée d'une transformation massive de leur processus interne, de leurs gestes métiers, de leur manière d'organiser leur production. Il va falloir passer de la petite série à un monde industriel. Les écosystèmes industriels français sont confrontés à un certain nombre de difficultés. Il y a une géographie de la défense qui hérite du 19e siècle et donc les entreprises sont situées plutôt à l'ouest et au sud, c'est-à-dire loin de la frontière allemande. Sauf que nos capacités manufacturières ne sont pas forcément là. La question est de savoir si nous aurons assez d'ingénieurs, de techniciens supérieurs, est-ce qu'on a les bons programmes de recherche et développement collaboratifs dans lesquels plusieurs entreprises s'associent avec une université, un centre de formation pour construire des solutions avancer ensemble, chasser en meute... Tout cela demande que la mayonnaise prenne dans un territoire donné. Ce ne sont pas des solutions nationales, mais bien territoriales. Le risque est que l'on ait les financements, la meilleure technologie, une armée d'emploi qui valorise la production, mais que l'on ne trouve pas les employés et les projets qui permettent à ces écosystèmes d'être performants ». Des centaines de milliers d'emplois sont en jeu Rester le deuxième exportateur mondial, c'est le défi français, un objectif atteignable à la condition de se concentrer dans certains secteurs clés comme les équipements de pointe, souligne Romain Lucazeaux : « Vous avez deux niveaux d'exportation, vous avez des choses qui relèvent de la plateforme. Exemple : je vends des Rafale, et vous avez des équipements. Les équipements, c'est beaucoup moins visible, moins spectaculaire, mais la question de notre capacité à fournir des équipements, c'est-à-dire ce que l'on retrouve dans les plateformes, les chars et les avions, c'est quand même de la valeur ajoutée forte qui est créée. Notre sujet, c'est bien d'arriver à exporter et dans ces secteurs très porteurs, il existe des retombées en matière de création de richesse et d'emplois qui peuvent être massives ». La BITD répartie au sein de plus de 4 000 entreprises pourrait ainsi dans les dix prochaines années créer de 500 000 à 800 000 emplois, qu'ils soient directs, indirects ou induits.
El audio critica la gestión del gobierno español, señalando una desconexión entre sus promesas y acciones. Se menciona la economía (caída del poder adquisitivo), la falta de diálogo para pactos de estado y el retraso de ayudas a damnificados por inundaciones. Se destaca un cambio en la política energética: de la promoción de renovables a la dependencia del gas para evitar apagones, contradiciendo su postura inicial. En defensa, el gobierno, que antes predicaba pacifismo, ahora triplica el presupuesto militar, impulsado por la guerra en Ucrania y las exigencias de la OTAN. Se critica la postura de la ministra Margarita Robles sobre el servicio militar obligatorio y la percepción de amenaza. El locutor describe al gobierno como 'Peter Pan', incapaz de enfrentar la 'cruda realidad' y tomar decisiones difíciles. También se informa sobre el brutal ataque ruso a Kyiv con drones y misiles, causando destrucción y víctimas, incluso en la sede de la UE. Finalmente, se tocan brevemente otros ...
La segunda hora de Capital Intereconomía ha girado en torno a los movimientos clave de la economía y los mercados. En la tertulia capital, con David Henche, José Ramón Álvarez y Carlos Tobías, se ha analizado el acuerdo de aranceles 0% entre Bruselas y Trump, el cumplimiento por parte de España del objetivo de gasto militar del 2% de la OTAN y la moción de confianza que afronta Francia el 8 de septiembre. Además, en la entrevista, Juan Ignacio Crespo ha analizado la situación de la inflación y las divisiones en el BCE de cara a una posible bajada de tipos en septiembre. Finalmente, Javier Díaz, de Renta 4 Banco, ofreció un análisis detallado de la preapertura de los mercados.
El audio aborda varios temas de actualidad. En España, se destaca la situación de los incendios forestales, incluyendo la evacuación de vecinos en Berlanga del Bierzo y la mejora en Galicia. Los Reyes visitaron las zonas afectadas en Extremadura. A nivel internacional, se informa sobre los ataques rusos a Kiev con drones y misiles, y las declaraciones de Putin y la UE. También se menciona el aumento del gasto en defensa de la OTAN y el debate sobre el servicio militar obligatorio. En deportes, el Rayo Vallecano se clasifica para la Conference League, España pierde en baloncesto, y se analizan los rivales de los equipos españoles en la Champions League. El audio también cubre temas sociales como la meditación en niños y una iniciativa en Fuenlabrada para proteger a los mayores de robos en cajeros. Finalmente, se reflexiona sobre la estética y la percepción del cuerpo.
El audio detalla una amplia gama de noticias. Económicamente, se destaca un aumento del 2,7% en el IPC adelantado de agosto, reflejando el encarecimiento generalizado de la vida, incluyendo el aumento del 40% en la cesta de la compra desde 2019 y el elevado coste de las vacaciones y los combustibles. Políticamente, el gobierno español cancela un contrato con Huawei. Pedro Sánchez retoma la actividad con una agenda centrada en el cambio climático y la condonación de deuda. Internamente, hay movilizaciones de funcionarios de prisiones y un incremento en delitos como las violaciones y la criminalidad virtual. En el ámbito internacional, se aborda la inversión en armamento de la OTAN y las reuniones de ministros de Defensa de la UE tras el bombardeo de Kyiv. La crisis humanitaria en Gaza, los incendios forestales que asolan España (el peor verano desde 1994) y la lenta recuperación de Valencia tras la DANA son temas destacados. Otros puntos incluyen el seguimiento de eventos deportivos ...
El audio repasa varios temas de actualidad. En cuanto a los incendios forestales, se informa que los de Galicia y Asturias están bajo control, mientras que el de Castilla y León se encuentra en una fase crítica. Se destaca el incendio de Fasgar, activo por 22 días, y la detención de un joven por iniciar un fuego. Los Reyes visitaron las zonas afectadas. Políticos como Luis Planas y Fernando Grande-Marlaska han intervenido sobre la gestión de la crisis, con tensiones entre partidos. En relación con la guerra en Ucrania, Putin ha intensificado los ataques sobre Kiev con drones y misiles, causando numerosas víctimas. La UE condena estas acciones, aunque Moscú insiste en la vía diplomática. Respecto a la política de defensa, la OTAN ha logrado que sus aliados dediquen el 2% del PIB a defensa. Alemania reinstaurará la mili voluntaria, pero España ha descartado el servicio militar obligatorio. En deportes, el Rayo Vallecano se clasificó para la Conference League. El programa también ...
Le 12 janvier dernier, Zoran Milanović a été réélu pour un second mandat consécutif à la tête de la Croatie. Sans majorité au Parlement, le président doit aujourd'hui composer avec l'opposition. Qui est Zoran Milanović, cet ancien fonctionnaire croate qui a travaillé pour les Nations unies, mais aussi pour la mission croate auprès de l'Union européenne et de l'Otan à Bruxelles dans les années 1990 et qui aujourd'hui tient un discours anti-Otan, anti-européen et qui est souvent présenté comme pro-russe ? Beaucoup le surnomment le « Trump des Balkans ». Zoran Milanović est tout sauf un inconnu, en tout cas dans les Balkans. Ce juriste de formation, né en 1966 à Zagreb, qui a été réélu pour un second mandat présidentiel, avait par exemple déjà dirigé le pays en tant que Premier ministre entre 2011 et 2016. À l'époque, à la tête du Parti social-démocrate, il avait mené une politique de gauche. Il avait alors des positions modérées et plutôt progressistes, même s'il était accusé par l'aile gauche de son parti de mener une politique économique trop libérale. Mais comme l'explique Romain Le Quiniou, directeur général d'Eurocreative, un think tank sur l'Europe centrale et orientale, ce Milanović-là n'est pas celui qui a pris la présidence du pays en 2020 : « Monsieur Milanović a réussi à être élu président de la République et à changer de discours. Il disait qu'il voulait être un président avec de l'attitude. Et finalement, il a gardé cette ambition : essayer d'être un président qui dit ce qu'il pense, qui parle franchement, qui n'a pas peur des outrances, qui n'a pas peur de dire la vérité. Un président un petit peu antisystème. Mais on n'a pas forcément compris que c'était un virage que Monsieur Milanović n'avait pas utilisé seulement pour gagner cette présidentielle en 2020, mais qu'il utilisait cette position pour rester au pouvoir également. » Élu pour un premier mandat en 2020, il devient alors le premier opposant du gouvernement d'Andrej Plenković, membre du HDZ, l'Union démocratique croate, formation de droite qui gouverne de manière presque continue le pays depuis l'indépendance en 1991. Zoran Milanović s'oppose aux restrictions mises en place pendant la pandémie, s'oppose à l'aide militaire à l'Ukraine, soutient des positions russes, critique l'Otan et l'Union européenne. Des positions pas forcément partagées par ses compatriotes SI les Croates ne partagent pas forcément ses positions, elles ont eu leur effet. Florian Bieber, politologue et spécialiste des Balkans : « La majorité des Croates n'est pas pro-russe. Je crois que les gens soutiennent Zoran Milanović plutôt pour le fait qu'il est populiste, qu'il dit les choses comme il pense. Il a l'image de quelqu'un qui n'a aucune crainte de dire ce qu'il pense. » Cette liberté de ton plaît aux Croates. Et Zoran Milanović est devenu maître en la matière. Il faut dire qu'aujourd'hui, comme le détaille l'historien et spécialiste des Balkans Joseph Krulic, c'est le seul pouvoir que détient le président croate : « Depuis une réforme constitutionnelle de juillet 2001, le président croate, bien qu'il soit élu au suffrage universel depuis 1992, n'a en gros aucun pouvoir exécutif. Donc il est relativement paralysé. Mais il a le ministère de la parole et il se le permet, notamment en politique extérieure. » À lire aussiPrésidentielle en Croatie: victoire écrasante du président sortant Zoran Milanovic au second tour Éviter une concentration des pouvoirs Il n'y a pas que cette liberté de ton qui plaît aux Croates. Ils veulent aussi éviter une concentration des pouvoirs. Et la présence de Zoran Milanović à la tête de la République permet de bénéficier en quelque sorte d'un certain équilibre face au gouvernement conservateur d'Andrej Plenković. Un gouvernement qui soutient l'Ukraine, qui est en phase avec l'Union européenne et l'Otan. En somme, tout l'inverse des positions de Zoran Milanović qui, pourtant, bénéficie de nombreux soutiens dans la classe politique croate. « Il a gagné beaucoup de soutien suite à ses critiques très fortes contre le gouvernement actuel et spécialement le Premier ministre Andrej Plenković, poursuit Florian Bieber. Donc il est évident qu'il va encore plus critiquer le gouvernement. Et donc on peut s'attendre à beaucoup de batailles entre lui et le gouvernement actuel, et pas seulement en matière de politique étrangère, mais aussi en matière de politique intérieure. » Zoran Milanović a été reconduit à la tête de la République croate pour les cinq ans à venir. Cinq ans de bras de fer avec le gouvernement, mais aussi avec l'Otan et l'Union européenne. En somme, un mandat qui s'inscrit dans la continuité pour celui que l'on surnomme le « Trump des Balkans ». À lire aussiÀ la Une: «Zbor», quand la Serbie réinvente la démocratie directe
El audio cubre una variedad de noticias y temas. En el ámbito nacional, se discute la escasa contribución de España al gasto en defensa de la OTAN, a pesar de los esfuerzos por alcanzar el 2% del PIB. Se informa sobre los incendios forestales en Zamora y León, con optimismo por la ayuda de la lluvia. También se menciona una explosión en una pirotecnia en Alicante con una víctima mortal. A nivel internacional, se aborda la situación en Ucrania tras ataques rusos. En deportes, se repasa el debut de España en el Eurobasket y el fútbol (Rayo Vallecano, Villarreal, Champions League). La Vuelta a España inicia su etapa de alta montaña. Una parte significativa del audio se dedica a curiosidades históricas y al fútbol, desde sus orígenes en Roma y China hasta su llegada a España (Recreativo de Huelva). Se analiza el impacto de la Guerra Civil en el FC Barcelona y el debate sobre las Copas de Europa del Real Madrid durante el franquismo. Se habla de la fundación del Atlético de Madrid y la ...
El audio aborda la actualidad en España y a nivel global. En España, se esperan temperaturas más frescas en el centro-norte, con tormentas en el norte y Baleares. Los incendios forestales siguen activos en varias regiones, destacando León y Lugo, aunque la situación mejora. Se subraya la necesidad de agilizar las ayudas. En EE. UU., un tiroteo en una escuela católica de Minneapolis causó la muerte de dos niños y 17 heridos. El atacante se suicidó. Se menciona la crítica a la alta cifra de víctimas por armas de fuego. Alemania restablece el servicio militar (voluntario) para fortalecer sus fuerzas armadas, reflejando una creciente militarización europea ante la amenaza rusa, lo que también se debate en otros países del continente. El programa discute el fin de una era geopolítica, con el resurgir de nacionalismos y la agresividad rusa, llevando a países como Finlandia y Suecia a unirse a la OTAN. En la política española, se contrasta la cercanía de los Reyes con los afectados por ...
El audio aborda varios temas cruciales. Se destaca la situación global con un análisis de tres claves: la militarización de Alemania, el reciente bombardeo en Kyiv por parte de Rusia y la falta de cultura de defensa en España. Se informa sobre el bombardeo en Kyiv, donde 18 personas murieron (incluidos 4 niños) y 50 resultaron heridas, con ataques cerca de la embajada de la UE. Alemania ha aprobado un servicio militar voluntario, con planes de hacerlo obligatorio si es necesario, y busca aumentar significativamente su ejército para satisfacer las demandas de la OTAN. Ursula von der Leyen acusa a Putin de aterrorizar a Ucrania, atacando civiles, y pide máxima presión sobre Rusia. El audio describe a la UE atrapada entre la influencia de EE. UU., Rusia y la inestabilidad en el Mediterráneo/África. En España, se debate sobre la posibilidad de un servicio militar obligatorio, pero la Ministra de Defensa, Margarita Robles, lo descarta. Se critica la "incultura de defensa" española y el ...
El audio resume las noticias destacadas. En España, se informa sobre incendios forestales: un joven ha sido detenido por el fuego en Berlanga del Bierzo, y el incendio de León está controlado pero bajo vigilancia. En Galicia, todos los incendios están estabilizados, y los Reyes visitan las zonas afectadas, con planes de ir a Extremadura. En el ámbito político, el ministro Marlaska defendió la gestión del Gobierno ante los incendios, acusando al PP de partidismo y solicitando un pacto de estado. A nivel internacional, Rusia atacó Kiev, dejando 18 muertos, y la OTAN subraya la importancia de apoyar a Ucrania. En EE.UU., se revelaron detalles del autor del tiroteo en una escuela católica de Minneapolis: un joven de 23 años lleno de odio y con obsesión por matar niños. Económicamente, la UE busca negociar con EE.UU. para reducir aranceles automotrices, ofreciendo a cambio eliminar sus tarifas a productos industriales y alimentarios estadounidenses. La inflación en España subió al 2,7% en ...
El audio resume las noticias principales del día, comenzando con la situación de los incendios en España, destacando uno provocado en León que obligó a desalojar a 300 vecinos y la mejora en la situación en Galicia. Luego, aborda el ataque ruso contra Kiev, que dejó 18 muertos, incluyendo niños, y las reacciones de la presidenta de la Comisión Europea, Ursula von der Leyen, y el portavoz del Kremlin. También se menciona que España ha cumplido con el 2% del gasto en defensa de la OTAN, y la ministra Margarita Robles ha descartado el servicio militar obligatorio. Además, Ceuta y Melilla se suman a Canarias para declarar la contingencia migratoria por menores no acompañados. Finalmente, se recogen las declaraciones de Javier Milei sobre un ataque sufrido en Argentina. La tertulia se centra en el ataque a Kiev, analizando si fue casualidad el impacto cerca de sedes europeas y debatiendo el papel de Trump, Europa y la OTAN en el conflicto. Se critica la postura de Trump, que "toma el pelo" ...
El audio repasa el sorteo de la Champions League para los equipos españoles: Barcelona con un grupo asequible, Real Madrid con rivales duros como Manchester City y Liverpool. También se analizan los grupos de Atlético de Madrid, Athletic Club y Villarreal. La actualidad española destaca la devastación por incendios en Ourense y León, la visita de los Reyes y la estabilización de focos en Galicia. Se aborda el ataque ruso con misiles a Kyiv, con casi 20 muertos, y la condena de la UE. Se discute el gasto en defensa de la OTAN y la postura de España sobre el servicio militar obligatorio. Además, se informa sobre la contingencia migratoria en Ceuta y Melilla, y la polémica sobre la gestión migratoria en Baleares. Finalmente, se genera un debate sobre la inteligencia artificial y sus implicaciones éticas tras un caso de suicidio juvenil.
En Coahuila, 36% de alumnos reportan consumo de sustancias en su entorno familiar cercano Trump afirma que EU vende armas a la OTAN para presionar fin del conflicto en Ucrania Se buscan a Allan Jair García Escobar que desapareció en Iztapalapa Más información en nuestro podcast
La Russie a identifié la France comme étant son principal adversaire en Europe, a indiqué le général Thierry Burkhard, chef d'état-major des armées, à l'occasion d'une très rare conférence de presse qui s'est tenue le vendredi 11 juillet dernier. Le plus haut gradé de l'armée française brosse un sombre tableau de l'état de la menace et souligne que la Russie constitue désormais un risque durable pour le continent européen. (Rediffusion du 13 juillet 2025) Guerre en Ukraine, terrorisme, attaques hybrides, délitement de l'ordre international ou encore conséquences du réchauffement climatique, les crises se multiplient et se superposent, sans amélioration visible estime le général Burkhard : « On est bien face à un changement de référentiel stratégique. Je peine à discerner quelles pourraient être les portes de sortie ou de stabilisation à court terme. J'estime qu'on est plutôt face à quelque chose que j'appelle les effets cliquets. Il ne faut pas s'attendre à horizon visible, à un retour en arrière et donc ce n'est pas la peine de se dire : je vais faire le dos rond. Il faut plutôt se préparer à gérer le monde tel qu'il est aujourd'hui face à nous, c'est la réalité. » Et dans le monde tel qu'il est, la Russie est partie prenante de presque toutes les menaces, dit le chef d'état-major des armées. C'est une puissance de nuisance y compris en mer et sous les mers, « Donc ce sont d'abord les sous-marins nucléaires d'attaque russes qui régulièrement pénètrent en Atlantique Nord et ensuite descendent quelquefois en Méditerranée, et qui cherchent évidemment à surveiller les zones qui sont importantes pour nous, mais également chez les Britanniques, éventuellement aussi sur les côtes américaines. C'est une présence gênante. Il y a aussi des moyens spécialisés d'action sous la mer pour conduire des actions plus précises le long des câbles sous-marins. » Frictions dans les airs et dans l'espace aussi, la Russie malgré des pertes considérables en Ukraine, dispose toujours, estime le général Burkhard, d'une armée de premier plan : « La Russie est un modèle d'armée complet, mais jusqu'au bout des ongles ! Je ne vois pas de capacité qui manquent depuis les capacités de brouillage, de guerre électronique, aux systèmes de défense sol air, aux systèmes d'artillerie/feu dans la profondeur, avec un étagement. L'armée russe dispose de tout. La puissance nucléaire aussi. Avec des vecteurs terrestres, des vecteurs sous-marins, des vecteurs aviation à long rayon d'action, des armes stratégiques, des armes tactiques, avec une doctrine et une chaîne de commandement qui est extrêmement robuste, testée, sondée. » À lire aussiLa Russie est une «menace durable», affirme le chef d'état-major des armées françaises La Russie, une menace durable L'objectif de Moscou est de déstabiliser la France, mais aussi la Grande-Bretagne, les deux puissances européennes dotées de l'arme nucléaire, considère le général Burkhard, avec l'ambition, par effet domino, de contraindre le reste du continent, « La guerre en Ukraine pour la Russie est existentielle et elle veut absolument obtenir ce qu'elle a fixé comme objectif ou du moins ce que Poutine a fixé comme objectif, avec probablement comme état final recherché, affaiblir l'Europe et démanteler l'Otan. C'est l'objectif de la Russie, c'est l'objectif de Poutine. Pour y arriver, elle a mis en place une économie de guerre qui tourne à plein régime aujourd'hui, ça veut dire que la Russie va continuer à se réarmer à ce rythme-là. Et donc on estime qu'avant 2030, elle constituera à nouveau une vraie menace à nos frontières, sur le flanc est de l'Europe. » La sécurité de l'Europe se joue donc en Ukraine et la défaite de Kiev, martèle le général Burkhard, serait une défaite européenne. Il y a urgence, le temps est désormais compté. À lire aussiGénéral Thierry Burkhard: «La France et l'Otan sont prêtes à faire face à toute agression»
Putin X Trump: quem manda na negociação? - Ana Lívia Esteves - Programa 20 MinutosNo Programa 20 Minutos, Breno Altman entrevista Ana Lívia Esteves para discutir um dos temas mais polêmicos da política internacional: quem realmente manda na negociação da guerra da Ucrânia, Vladimir Putin ou Donald Trump? A conversa analisa os interesses estratégicos da Rússia e dos EUA, as disputas de poder que atravessam a geopolítica global e os impactos dessa guerra para a Europa, a OTAN e o futuro da ordem mundial.
No podcast ‘Notícia No Seu Tempo’, confira em áudio as principais notícias da edição impressa do jornal ‘O Estado de S.Paulo’ desta sexta-feira (22/08/2025): O procurador-geral da República, Paulo Gonet, pediu ao STF que a apuração de suspeitas de fraudes no INSS seja redistribuída e saia da relatoria do ministro Dias Toffoli. Segundo Gonet, não existe prevenção de Toffoli para este caso, ou seja, nenhum processo anterior sob os cuidados do ministro teve relação com o inquérito. O chefe do MPF solicitou que o caso seja distribuído no STF por sorteio. Para a PGR, parte da investigação deve tramitar na Corte diante de citações a autoridades com foro privilegiado. O restante continuaria na 1.ª instância. Os inquéritos que apuram o assunto na 1.ª instância estão parados desde junho, quando Toffoli ordenou que a PF enviasse a seu gabinete cópias de todas as investigações. E mais: Política: Bolsonaro recebeu R$ 30 milhões em um ano, aponta PF Economia: Juro real volta a ficar em 10% e inibe investimentos e o crescimento Internacional: Putin exige território, veta ampliação da Otan e tropas ocidentais na Ucrânia Metrópole: Multas da Lei Cidade Limpa em SP despencam e fiscalização demora Cultura: Martinelli reabre para visitação e deve ter cinema e exposiçõesSee omnystudio.com/listener for privacy information.
¡nuevo episodio de @lrdfdm! 22.8.2025Geo politik: Detienen a un ucraniano acusado de coordinar los sabotajes a los Nord Stream en 2022; el caso revive tensiones entre Rusia y la OTAN.Popurrí: Vecinos desobedecen órdenes oficiales y se organizan para defender sus hogares de incendios. ¿Civilización o resistencia?Salud: A cinco años del COVID, crece el consenso de que muchas restricciones hicieron más daño que bien.¡No te lo pierdas!
Ucrania no será parte de la OTAN. Esta condición para la paz parece ya estar acordada.
La literatura científica es tan profusa y tan detallada que es posible consultar las proyecciones de cómo serán los incendios o las lluvias o cuántos grados sube el mercurio por años y por zonas del mundo. Al echar la vista atrás, no solo se puede comprobar que esos estudios son precisos y que las peores predicciones se cumplen a rajatabla, sino que incluso en algunos casos hasta se quedan. Tampoco falta el dinero. En medio del fulgor armamentístico de los Estados Unidos de Donald Trump y del seguidismo de la OTAN, se han trazado planes de gasto 1000 millonarios a un lado y otro del Atlántico.
Ucrania quiere garantías que lo protejan ante otra invasión rusa, mientras Moscú presiona para quedarse con los territorios ucranianos de los que se apoderó. Esa parece ser la transacción que negocia Estados Unidos. Primero, en una reunión entre Donald Trump y Vladimir Putin y, luego, con los líderes europeos y con Volodímir Zelenski. No obstante, no hay nada firme en el horizonte.
Près de 48 heures après la rencontre entre Donald Trump, Volodymyr Zelensky et des dirigeants européens, la presse continue de décortiquer les résultats des discussions, de scruter à la loupe la moindre déclaration et de gloser sur d'hypothétiques sorties de crise. Le Soir, à Bruxelles, résume le sentiment dominant : « À Washington, on a évité le pire, mais pas éliminé le pire. Loin de là ! (…) En se rendant en délégation à la Maison Blanche, les Européens et l'Otan ont fait office de bouclier pour le président ukrainien, en présentant un front occidental uni au président américain. Macron, Merz, von der Leyen, Rutte et les autres sont en effet rentrés pour la première fois dans les fondements de la discussion sur les conditions d'un accord de paix : à Washington, il a été question au premier plan des garanties de sécurité pour l'Ukraine et pour l'Europe, et d'une possible rencontre entre Poutine et Zelensky. » Toutefois, tout peut basculer, pointe encore Le Soir : « "on est très loin de crier victoire", a reconnu Emmanuel Macron lui-même à la sortie de cette séquence décidément inédite. Le président français est même très en dessous de la vérité : il n'y a plus de cessez-le-feu sur la table, les garanties données par Trump sur la sécurisation par les Américains de l'Ukraine et de l'Europe sont très vagues et l'"échange" de territoires reste une exigence de base de Poutine. » Un apaisement, mais pas la paix En fait, soupire Le Temps à Genève, « les Européens ont ramené de la politesse de Washington, mais pas beaucoup plus. De l'apaisement plutôt qu'un plan de paix à proprement parler. La présence des Européens à Washington aura peut-être au moins permis de pousser Donald Trump à rester poli. Sinon, il faut bien avouer que les lignes ont peu changé. » « Une rencontre indispensable, mais peu fructueuse », renchérit Le Monde à Paris. « Après le fiasco de l'Alaska, le pire a été évité : le front transatlantique, que le président Poutine rêve de voir s'effondrer, est préservé, au moins dans les apparences. Mais un énorme travail reste à faire pour transformer la "convergence" évoquée par Emmanuel Macron en une action conjointe pour sauver l'Ukraine. » Trump maître du jeu Ce qui est sûr, c'est que Trump a les cartes en main. C'est ce qu'affirme Le Figaro : « Les visiteurs de la Maison-Blanche ont échoué à rétablir l'exigence initiale d'un cessez-le-feu. Et Zelensky ne s'est pas appesanti sur les questions territoriales, de crainte de braquer son hôte par un refus catégorique. C'est la preuve que toutes les voies en Ukraine passent par Trump. De toute évidence, les alliés estiment que l'alternative, où le président américain se détournerait du dossier, serait pire que les contorsions et les flatteries qu'impose son maintien dans le jeu. Inversement, Poutine mise sur la complexité de l'affaire pour garantir la lassitude du pacificateur de Washington. Qui va remporter son pari ? Les Européens, sans illusions sur le Russe et sans grands espoirs envers l'Américain, ont une bonne motivation pour monter en puissance, en rêvant du jour où ils pourront tenir tête à l'un et se passer de l'autre. » Poutine, maître de guerre « Quelle est la prochaine étape des pourparlers de paix en Ukraine ? », s'interroge pour sa part le New York Times. Côté américain, on affirme que Poutine est prêt à rencontrer Zelensky, mais côté russe, rien n'est confirmé. Et le quotidien américain de souligner que « le président russe a la réputation de gérer les crises au ralenti, en espérant que les circonstances lui soient plus favorables ». Et Poutine pourrait ainsi encore gagner du temps. Enfin, le Washington Post ne se fait aucune illusion : « Qu'est-ce qui a été réalisé après toutes ces réunions ? Pas grand-chose. Même si Zelensky et Poutine se rencontrent, il n'y a aucune raison de s'attendre à une avancée. (…) Si vous voulez juger des intentions de Poutine, ignorez ses paroles trompeuses et regardez ses actions brutales, s'exclame le Post. Quelques heures avant l'arrivée de Zelensky à la Maison Blanche, des attaques russes ont tué 14 civils en Ukraine. Et quelques heures après, les Russes ont lancé leur plus grande attaque de missiles et de drones de ces quatre dernières semaines. En écartant, du moins pour l'instant, la menace de sanctions américaines plus importantes, l'offensive diplomatique de Poutine ne fait que donner un répit à ses troupes pour qu'elles poursuivent leur guerre d'agression. Ainsi, les derniers pourparlers de paix, loin de mettre fin à la tuerie, n'ont fait que la perpétuer. »
Volodímir Zelenski visitó la Casa Blanca este lunes acompañado por siete mandatarios europeos para discutir un posible acuerdo de paz tras la reunión de Trump con Vladímir Putin en Alaska hace unos días. La relación entre Trump y Zelenski ha sido históricamente tensa. Se torció ya en 2019 cuando Trump retuvo 400 millones de dólares en ayuda militar a Ucrania y pidió investigar a Joe Biden, lo que desencadenó su primer impeachment. La invasión rusa de Ucrania y el regreso de Trump a la presidencia en 2025 empeoraron las cosas. En febrero de este año un encuentro personal en el despacho oval fue un fracaso sin paliativos. Trump y JD Vance acusaron a Zelenski de ser irrespetuoso, poco agradecido por la ayuda estadounidense y terminó expulsado de la Casa Blanca. Tras aquello la relación ha ido mejorando. En marzo, Zelenski aceptó una propuesta de alto el fuego tras las conversaciones en Arabia Saudita, rechazada luego por Putin. En abril sostuvieron un encuentro informal de 15 minutos en la basílica de San Pedro durante el funeral del papa Francisco. En mayo Trump anunció negociaciones entre Rusia y Ucrania, pero Putin se negó a dialogar directamente con Zelenski. En junio Zelenski propuso una reunión trilateral con Trump y Putin en Estambul, pero Putin la descartó, recordando que solo se reunirá con él al final de las negociaciones que mantendrá exclusivamente con EEUU. La reunión del lunes, a diferencia de la de febrero, ha tenido un tono mucho más positivo. Zelenski, respaldado por una coalición de líderes europeos como Keir Starmer, Emmanuel Macron, Giorgia Meloni, Ursula von der Leyen y Mark Rutte, fue recibido con elogios por Trump, que incluso alabó su atuendo. La delegación europea estaba ahí para arropar a Zelenski y evitar que se repitiese lo que pasó en febrero. Trump les correspondió anunciando una futura cumbre entre Zelenski y Putin que vendrá seguida de conversaciones trilaterales, aunque no han trascendido fechas ni lugares. Tampoco sabemos si Putin lo aceptará. La conversación giró en torno a las garantías de seguridad para Ucrania. Trump ha propuesto un esquema similar al Artículo 5 de la OTAN, pero no quiso dar más detalles. Su idea es que los ejércitos europeos se encarguen de materializar esa garantía, pero con apoyo directo de Estados Unidos. Sobre el papel pinta bien, pero el hecho es que Putin rechaza cualquier presencia militar occidental en Ucrania, lo que complicará las negociaciones cuando den comienzo. Putin exige la cesión total del Donbás, una demanda que Zelenski evita discutir, prefiere dejar el tema territorial para una negociación directa con Rusia mediada por EEUU. Trump insiste en un acuerdo basado en "intercambios territoriales", pero Ucrania se resiste a ceder más terreno, especialmente en Donetsk, donde mantiene dos ciudades bien fortificadas. A la mayor parte de los ucranianos no les parece mal congelar la línea de frente actual, pero no entregar más territorio, y que además eso venga acompañado de una serie de garantías por parte de las potencias occidentales. Para Zelenski eso supondría un problema político interno de primer orden. Los líderes europeos, entretanto, se muestran optimistas, pero dudan de la viabilidad de un acuerdo duradero si Putin no acepta un alto el fuego. La cumbre fue prometedora, pero dejó demasiados asuntos sin resolver. A eso habría que sumarle la volatilidad de Trump, que cambia con mucha frecuencia de opinión, lo que añade aún más incertidumbre sobre el futuro de las negociaciones. En La ContraRéplica: 0:00 Introducción 4:00 Esperanza en Washington 33:59 Gaza y los artistas 42:21 ¿Por qué crece el cristianismo? · Canal de Telegram: https://t.me/lacontracronica · “Contra la Revolución Francesa”… https://amzn.to/4aF0LpZ · “Hispanos. Breve historia de los pueblos de habla hispana”… https://amzn.to/428js1G · “La ContraHistoria de España. Auge, caída y vuelta a empezar de un país en 28 episodios”… https://amzn.to/3kXcZ6i · “Lutero, Calvino y Trento, la Reforma que no fue”… https://amzn.to/3shKOlK · “La ContraHistoria del comunismo”… https://amzn.to/39QP2KE Apoya La Contra en: · Patreon... https://www.patreon.com/diazvillanueva · iVoox... https://www.ivoox.com/podcast-contracronica_sq_f1267769_1.html · Paypal... https://www.paypal.me/diazvillanueva Sígueme en: · Web... https://diazvillanueva.com · Twitter... https://twitter.com/diazvillanueva · Facebook... https://www.facebook.com/fernandodiazvillanueva1/ · Instagram... https://www.instagram.com/diazvillanueva · Linkedin… https://www.linkedin.com/in/fernando-d%C3%ADaz-villanueva-7303865/ · Flickr... https://www.flickr.com/photos/147276463@N05/?/ · Pinterest... https://www.pinterest.com/fernandodiazvillanueva Encuentra mis libros en: · Amazon... https://www.amazon.es/Fernando-Diaz-Villanueva/e/B00J2ASBXM #FernandoDiazVillanueva #ucrania #zelenski Escucha el episodio completo en la app de iVoox, o descubre todo el catálogo de iVoox Originals
O presidente dos Estados Unidos recebeu Volodimir Zelensky para tratar da guerra entre Ucrânia e Rússia. Depois, eles se se reuniram com líderes da Otan, da União Europeia, da Alemanha, do Reino Unido, da França, da Itália e da Finlândia. Os convidados pressionaram por garantias de segurança para a Ucrânia e Trump anunciou o primeiro encontro de Zelensky e Vladimir Putin em três anos e meio de guerra. O ministro do STF Flávio Dino avisou aos bancos para não executarem ordens de governo estrangeiro sem autorização do Brasil. O governo brasileiro respondeu à acusação dos Estados Unidos e negou práticas desleais no comércio. Quadrilhas usam ônibus em barricadas para bloquear a ação policial no Rio. A Anatel mudou as regras de identificação de chamadas de telemarketing.
Paris baisse de 0,5%, Francfort recule de 0,18%, la Suisse de 0,02%. Aux US, le S&P500 perd 0,01% pendant que le Nasdaq grimpe de… 0,03%. Bref : le néant total. Tout le monde attend le grand rendez-vous de la semaine : Powell à Jackson Hole. Et entre deux tasses de café, on se demande si le patron de la Fed va enfin dégainer une baisse de taux en septembre… ou si au contraire, il va calmer les marchés en mode “les enfants, c'est pas Noël tous les mois”.
As negociações realizadas em Washington entre líderes europeus, o presidente ucraniano Volodymyr Zelensky e Donald Trump terminaram sem avanços concretos, limitando-se à promessa de um novo encontro. Para a professora de Relações Internacionais da Unifesp, Cristina Pecequilo, não se trata de uma perspectiva de paz, mas apenas de uma possível redução das hostilidades. Segundo ela, os impasses permanecem: a manutenção de territórios ocupados pela Rússia, a resistência de Moscou à entrada da Ucrânia na OTAN e a indefinição sobre garantias de segurança para Kiev. Em entrevista ao Jornal Eldorado, Pecequilo avalia que qualquer concessão territorial fortalece a Rússia, enquanto Trump busca capitalizar politicamente com o processo. “A paz é ilusória. O que existe agora é a tentativa de estabilizar o conflito, mas os arranjos podem ser rompidos conforme o cenário político se altere”, afirmou.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Afirmando que o próximo passo deve ser uma reunião trilateral, Trump diz estar disposto a oferecer garantias desegurança à Ucrânia, semelhantes às da Otan, mas condicionou o apoio à aceitação de perdas territoriais por Kiev, ponto que já gera resistência. E ainda:- Diferente do último encontro entre Trump e Zelenski, desta vez houve cordialidade, risos e até piadas sobre o traje militar do ucraniano- Hamas anuncia aceitar proposta de cessar-fogo articulado por autoridades do Egito e Catar, que prevê 60 dias de trégua, libertação de prisioneiros palestinos e retorno de metade dos reféns em poder do grupo- Após encontro no Palácio do Planalto, Lula e Noboa anunciam a reabertura de uma sede da Polícia Federal em Quito para combater o crime organizado e o contrabando de armas, além de tratarem sobre outros assuntos como comércio, clima e integração regional Notícias em tempo real nas redes sociais Instagram @mundo_180_segundos e Linkedin Mundo em 180 Segundos Fale conosco através do redacao@mundo180segundos.com.br
Resumen de la actualidad: El audio se centra en varios puntos clave. En la Casa Blanca, Donald Trump y Volodymyr Zelensky se reunieron con una destacada presencia de líderes europeos y el Secretario General de la OTAN. Trump ofreció garantías de seguridad a Ucrania a cambio de posibles cesiones territoriales (Crimea y Donbas), y se mostró dispuesto a mediar con Putin. La reunión fue más cordial que la anterior, y hay optimismo sobre un futuro acuerdo bilateral. En España, los incendios forestales siguen siendo una grave preocupación, especialmente en Castilla y León, Galicia (con más de 62.000 hectáreas arrasadas en Ourense) y Extremadura. La UME está desplegada masivamente y lamentablemente ya hay víctimas mortales. La buena noticia es el fin de la ola de calor. También se menciona la presión migratoria en Canarias. Un comentario de opinión critica la postura de EE.UU. frente a Rusia y la gestión del gobierno español ante las crisis. Finalmente, se informa sobre partidos de fútbol y ...
La actualidad española está marcada por la intensa situación migratoria, especialmente en Canarias y Baleares, con miles de menores no acompañados y rescates masivos. Los devastadores incendios continúan azotando varias regiones, como Ourense o Extremadura, quemando más de 138.000 hectáreas y causando víctimas mortales. La gestión y la demanda de más recursos por parte de las comunidades autónomas tensionan al Gobierno, que además ha propuesto un "pacto de Estado" frente a la emergencia climática. A nivel internacional, el encuentro entre los presidentes Trump y Zelensky en Washington es clave. Tras un tenso antecedente, Zelensky, arropado por líderes europeos (excluyendo a España, lo que tensa las relaciones con EE.UU.), busca garantías. Trump exige concesiones territoriales para una posible paz, incluyendo no recuperar Crimea ni unirse a la OTAN. Otras noticias incluyen el impacto de la IA en el empleo (2 millones de puestos en riesgo), la finalización de la ola de calor sin ...
No podcast ‘Notícia No Seu Tempo’, confira em áudio as principais notícias da edição impressa do jornal ‘O Estado de S.Paulo’ desta segunda-feira (18/08/2025): Neste terceiro mandato, o governo do presidente Luiz Inácio Lula da Silva vai totalizar pelo menos R$ 387,8 bilhões em gastos não contabilizados na meta fiscal, uma das principais regras das contas públicas no País. O número – do Tesouro Nacional, analisado por especialistas consultados pelo Estadão – já leva em conta o pacote de socorro aos setores afetados pelo tarifaço do presidente dos EUA, Donald Trump, que vai retirar R$ 9,5 bilhões da meta até 2026. Os valores incluem também o reajuste do Bolsa Família feito em 2023 pela PEC da Transição, o pagamento do calote dos precatórios dado no governo Jair Bolsonaro (PL), as medidas de socorro à calamidade climática no Rio Grande do Sul e o ressarcimento de aposentados e pensionistas vítimas da fraude no INSS, entre outras despesas. E mais: Economia: Inadimplência volta a disparar e afeta bancos, fundos e investidor na Bolsa Política: Dino decide contra rival de seu grupo no Maranhão e abre disputa no Estado Metrópole: Roubos e furtos de celulares perto de estações do metrô aumentam 15,5% Internacional: Líderes da Europa vão se juntar a Zelenski na Casa Branca Esportes: Santos perde de 6 a 0, Neymar chora e técnico é demitidoSee omnystudio.com/listener for privacy information.
Tal y como muchos analistas esperaban, la cumbre del viernes pasado entre Trump y Putin en Alaska no logró avance alguno hacia la paz en Ucrania. Dejó, eso sí, dos posibles desenlaces, ambos desfavorables para los ucranianos. En el mejor escenario, Ucrania perdería el 20% de su territorio, actualmente ocupado por Rusia, pero mantendría su soberanía. En el peor, se convertiría en un Estado satélite de Rusia, similar a Bielorrusia, perdiendo territorio y la independencia. Putin, tras la cumbre, insistió en que la guerra continuará hasta que Ucrania y Occidente acepten sus demandas de 2022. Estas incluyen eliminar las "causas profundas" de la “crisis”, un eufemismo muy utilizado por el Kremlin para expresar su oposición a que Ucrania y otros países de lo que fue la órbita soviética basculasen hacia Occidente al concluir la guerra fría. La guerra se ha convertido en puro desgaste con un frente estable desde hace casi dos años. Ucrania ha resistido con tenacidad, pero no tiene la capacidad militar para recuperar todo su territorio, ni siquiera el perdido en 2022. Zelenski ha mostrado disposición a negociar tras un armisticio que congele la línea actual del frente, pero esto plantea un problema: legitimar la ocupación rusa de una quinta parte del país podría establecer un precedente peligroso. Otros países, como China con Taiwán o India y Pakistán con Cachemira, podrían sentirse motivados a reclamar territorios por la fuerza, desestabilizando así el orden internacional. Una solución intermedia sería que Rusia controle de facto los territorios ocupados sin reconocimiento de iure, como en los casos de Osetia del Sur, Abjasia o Transnistria. Pero Putin no parece conformarse con eso, quiere más, quiere rerrusificar Ucrania, imponer un gobierno afín al Kremlin, limitar sus fuerzas armadas y rehacer su identidad nacional. Esto podría convertir a Ucrania en un protectorado ruso, un destino que los ucranianos luchan por evitar, ya que significaría renunciar a su aspiración de consolidar una democracia liberal e integrarse en la UE y la OTAN. Europa propone garantizar la seguridad del 80% restante de Ucrania con una "coalición de voluntarios" liderada por Reino Unido y Francia, que consistiría en un despliegue militar permanente con efectivos propios para disuadir a Rusia. Ahí la postura de Trump y Estados Unidos sigue siendo incierta. Un escenario similar al de la península Corea con un armisticio que congele la línea de frente, sería un fracaso para Putin, ya que, aunque retendría Crimea y partes de Donetsk, Lugansk, Jersón y Zaporiyia, el resto de Ucrania quedaría bajo protección de la OTAN, algo que considera inaceptable. Putin, entretanto, apuesta por prolongar la guerra confiando en que la economía ucraniana colapse antes que la suya. Aunque algunas sanciones como aranceles extraordinarios a los compradores de petróleo ruso podrían debilitarla, los efectos tardarían en dejarse sentir. Además, Putin ha demostrado que prioriza su obsesión con Ucrania sobre los costes económicos que pueda tener para Rusia. En Ucrania las cosas tampoco pintan bien. Pese a su admirable resistencia y al modo en el que se han ido adaptando conforme avanzaba la guerra, los ucranianos están agotados, hay problemas de reclutamiento y existe una desventaja numérica y económica evidente frente a Rusia. Aunque un derrumbe ucraniano es improbable, el desgaste podría llevar a Ucrania a aceptar una paz desfavorable si no consigue resolver antes estos problemas. La guerra seguirá su curso, pero nadie es capaz de adivinar durante cuánto tiempo más. En La ContraRéplica: 0:00 Introducción 4:17 Ucrania entre la sartén y el fuego 33:35 La cumbre de Alaska vista desde Ucrania 37:59 Transgénicos y principio de precaución · Canal de Telegram: https://t.me/lacontracronica · “Contra la Revolución Francesa”… https://amzn.to/4aF0LpZ · “Hispanos. Breve historia de los pueblos de habla hispana”… https://amzn.to/428js1G · “La ContraHistoria de España. Auge, caída y vuelta a empezar de un país en 28 episodios”… https://amzn.to/3kXcZ6i · “Lutero, Calvino y Trento, la Reforma que no fue”… https://amzn.to/3shKOlK · “La ContraHistoria del comunismo”… https://amzn.to/39QP2KE Apoya La Contra en: · Patreon... https://www.patreon.com/diazvillanueva · iVoox... https://www.ivoox.com/podcast-contracronica_sq_f1267769_1.html · Paypal... https://www.paypal.me/diazvillanueva Sígueme en: · Web... https://diazvillanueva.com · Twitter... https://twitter.com/diazvillanueva · Facebook... https://www.facebook.com/fernandodiazvillanueva1/ · Instagram... https://www.instagram.com/diazvillanueva · Linkedin… https://www.linkedin.com/in/fernando-d%C3%ADaz-villanueva-7303865/ · Flickr... https://www.flickr.com/photos/147276463@N05/?/ · Pinterest... https://www.pinterest.com/fernandodiazvillanueva Encuentra mis libros en: · Amazon... https://www.amazon.es/Fernando-Diaz-Villanueva/e/B00J2ASBXM #FernandoDiazVillanueva #ucrania #putin Escucha el episodio completo en la app de iVoox, o descubre todo el catálogo de iVoox Originals
Trump anunció que habrá concesiones de territorio y garantías de seguridad. Son dos de las tres condiciones, en efecto, para terminar la guerra. La tercera es la promesa de que Ucrania jamás será parte de la OTAN.
Donald Trump se reunirá con Vladimir Putin en Alaska este viernes para discutir un posible alto el fuego en Ucrania. Hay escepticismo sobre los resultados de esta cumbre, especialmente porque Volodímir Zelenski, no ha sido invitado. Trump ha calificado la reunión como un simple “encuentro de tanteo”, minimizando así expectativas de un acuerdo concreto. En una rueda de prensa que dio esta semana aseguró que, salga lo que salga de la cumbre, se lo comunicará personalmente a Zelenski y a líderes europeos nada más concluir la reunión. Pero esto no ha tranquilizado ni a los ucranianos, ni a sus aliados, que están genuinamente preocupados por lo que pueda pasar en Alaska ya que, hasta la fecha, Trump ha mostrado mucha más propensión a entenderse con Putin que con Zelenski. El hecho es que ni siquiera el propio Trump lo tiene claro. Quiere un diálogo constructivo con Putin, pero reconoce que el resultado podría ser negativo. Ucrania y sus aliados temen que Putin utilice la reunión para obtener ventajas, aprovechando la pésima relación entre Trump y Zelenski. Este último ha advertido que Putin solo busca una foto con el presidente de Estados Unidos en suelo estadounidense para venderlo como una victoria personal, pero que carece de intenciones reales de negociar la paz. Fue la Casa Blanca quien propuso la cumbre hace sólo una semana, pero no hay indicios de que Putin esté dispuesto a ceder en sus demandas, que se resumen en el reconocimiento de los territorios ocupados por Rusia, la no adhesión de Ucrania a la OTAN, la limitación de su ejército y el levantamiento de las sanciones. Otro de los problemas es que la idea que Trump se ha hecho sobre la guerra de Ucrania está muy influenciada por figuras pro Putin del movimiento MAGA como Tucker Carlson. Eso en origen le llevó a ver en Putin a alguien interesado en la paz, mientras veía a Zelenski como un obstáculo. Aunque los hechos han matizado esta primera visión del conflicto, Trump sigue mostrando cierta simpatía hacia Putin, lo que provoca confusión sobre los términos de un posible acuerdo. Ha mencionado un intercambio de territorios, pero esto es inviable, ya que Rusia ocupa un 20% de Ucrania, mientras que Ucrania no controla nada de territorio ruso. Por lo demás, la cumbre parece improvisada y mal preparada, en parte por la participación de Steve Witkoff, un abogado inmobiliario sin experiencia diplomática, designado por Trump como enviado especial para Oriente Medio y ahora reconvertido en persona de contacto para el Kremlin. Witkoff, amigo personal de Trump, ha recibido muchas críticas por su incapacidad y por repetir el discurso del Kremlin. Keith Kellogg, el enviado especial para Ucrania, un diplomático con experiencia, ha sido completamente marginado, lo que está debilitando la posición negociadora de Estados Unidos. La elección de Alaska como sede, un antiguo territorio ruso, para Rusia es todo un detalle y la prensa del régimen celebra la cumbre como el reconocimiento del estatus de Rusia como gran potencia. Trump está en cierto modo atrapado. Prometió en campaña acabar con la guerra en 24 horas, lleva ya siete meses en el poder y la guerra sigue su curso. La cumbre, que es la primera visita de Putin a Estados Unidos desde 2015, es arriesgada para Trump. Los líderes europeos, preocupados por un acuerdo malo y precipitado, tratan de que cualquier negociación priorice un alto el fuego antes de discutir cesiones territoriales. Quieren también garantías de seguridad para Ucrania y una postura firme contra el Kremlin. Pero el historial de Trump en las cumbres no es muy esperanzador, menos aún con Putin, un consumado manipulador que puede poner todo a su favor en muy poco tiempo. En La ContraRéplica: 0:00 Introducción 4:10 Cumbre en Alaska 32:56 La politización de la guerra de Gaza 41:54 De Gaulle y Europa 48:43 Los límites de la tolerancia · Canal de Telegram: https://t.me/lacontracronica · “Contra la Revolución Francesa”… https://amzn.to/4aF0LpZ · “Hispanos. Breve historia de los pueblos de habla hispana”… https://amzn.to/428js1G · “La ContraHistoria de España. Auge, caída y vuelta a empezar de un país en 28 episodios”… https://amzn.to/3kXcZ6i · “Lutero, Calvino y Trento, la Reforma que no fue”… https://amzn.to/3shKOlK · “La ContraHistoria del comunismo”… https://amzn.to/39QP2KE Apoya La Contra en: · Patreon... https://www.patreon.com/diazvillanueva · iVoox... https://www.ivoox.com/podcast-contracronica_sq_f1267769_1.html · Paypal... https://www.paypal.me/diazvillanueva Sígueme en: · Web... https://diazvillanueva.com · Twitter... https://twitter.com/diazvillanueva · Facebook... https://www.facebook.com/fernandodiazvillanueva1/ · Instagram... https://www.instagram.com/diazvillanueva · Linkedin… https://www.linkedin.com/in/fernando-d%C3%ADaz-villanueva-7303865/ · Flickr... https://www.flickr.com/photos/147276463@N05/?/ · Pinterest... https://www.pinterest.com/fernandodiazvillanueva Encuentra mis libros en: · Amazon... https://www.amazon.es/Fernando-Diaz-Villanueva/e/B00J2ASBXM #FernandoDiazVillanueva #trump #putin Escucha el episodio completo en la app de iVoox, o descubre todo el catálogo de iVoox Originals
Hoy se reunían varios líderes europeos con los presidentes ucraniano y estadounidense y con el secretario general de la OTAN para tratar el conflicto en Ucrania. Hablaremos de ello.Lamentablemente hablamos casi cada día de crímenes de guerra, de genocidio, de cómo debe actuar el derecho internacional humanitario. Pero muchos de esos términos pueden confundirse. Hoy vamos a aclarar esas dudas. También hablaremos con dos jóvenes iraníes, periodistas, que tuvieron que huir hace dos meses de Teherán con el primer ataque de Israel y que ya han podido volver a sus casas. Se cumple el primer aniversario de la declaración de la epidemia de mpox -viruela del mono- como emergencia de salud pública en África y vamos a saber cuál es la situación de primera mano, con Médicos sin Fronteras. También vamos a saber más del informe Voces de niños, niñas y adolescentes indígenas y hablaremos con una de sus autoras. Recordaremos la tragedia de Hogar Seguro porque hoy hemos conocido la sentencia que condena a los exfuncionarios de la casa hogar donde murieron 41 niñas carbonizadas. Escuchar audio
Aunque parezca mentira con todo lo que está cayendo, Emmanuel Macron mira el futuro con algo de optimismo. La coyuntura internacional se ha puesto muy interesante para sus intereses y, en general para los de las élites políticas francesas. Estas élites llevan años tratando de transformar la Unión Europea en una potencia autónoma inspirada en el modelo francés. Francia ve en acontecimientos tales como la guerra de Ucrania, los aranceles de Trump o la emergencia de China como potencia mundial una oportunidad para consolidar su idea de una Europa soberana, un sueño que Charles de Gaulle promovió en los años 60 para liberar al continente del dominio de las superpotencias de la Guerra Fría. Desde entonces, todos los presidentes franceses han defendido esta autonomía estratégica, que ahora ha ganado apoyo en otros países europeos. Macron impulsa una UE que refleje los valores franceses: proteccionismo económico, independencia de EEUU y gasto público sin restricciones. Esto se refleja en sus propuestas para el rearme europeo, especialmente tras la presión de Trump para que los países de la OTAN destinen un 5% de su PIB a defensa. Mientras muchos países europeos tratan de adquirir armas rápidamente, también de proveedores externos a la UE como EEUU, el Reino Unido o Corea del Sur, Francia insiste en priorizar su industria de defensa mediante fondos europeos como el de Acción de Seguridad para Europa que asciende a 150.000 millones de euros. Francia ha logrado limitar el uso de estos fondos a empresas de la UE, excluyendo de paso a fabricantes británicos y restringiendo compras a empresas no europeas, lo que ha generado tensiones con otros Estados miembros que buscan una mayor flexibilidad. Francia justifica esta postura arguyendo que Europa debe ser independiente de EEUU, al que ya no se le puede considerar como un aliado fiable. Pero otros países europeos, especialmente los del este, tienen la necesidad de adquirir armas de inmediato, también de proveedores lejanos como Corea del Sur, y consideran al Reino Unido un aliado cercano, sobre todo desde que Keir Starmer se convirtió en primer ministro. El hecho es que Francia tiene problemas económicos graves: una deuda pública que alcanzará pronto el 120% del PIB, la mayor presión fiscal de la UE y una reciente degradación de su calificación crediticia. Macron propone financiar el gasto militar y social mediante deuda conjunta europea, evitando así subir los impuestos en Francia. Esta estrategia, que busca exportar el modelo económico francés a la UE, es una forma de mutualizar riesgos y subvencionar la industria nacional, lo que genera resistencia en la Europa central y oriental, donde ven el proteccionismo francés como un obstáculo. Macron quiere recrear el eje franco-alemán. Tienta al canciller Friedrich Merz con el paraguas nuclear francés a cambio de aceptar más deuda conjunta y relajar las reglas fiscales de la eurozona. Alemania, con una economía estancada y muchas presiones internas, podría mostrarse abierta a esa alianza, pero esto preocupa a otros países, que ven un precedente en el acuerdo de 1990 entre Mitterrand y Kohl que condujo al euro. El euro fue beneficioso en tanto extendió la disciplina monetaria alemana a toda Europa. Esta vez es al contrario, se trata de imponer la indisciplina presupuestaria francesa a todo el continente, lo que podría dividir aún más a la UE y debilitarla frente a potencias como Rusia, China o EEUU. En La ContraRéplica: 0:00 Introducción 4:01 A la medida de Francia 30:24 Barreras no arancelarias 35:02 El avispero de Gaza 41:42 El armisticio en Ucrania · Canal de Telegram: https://t.me/lacontracronica · “Contra la Revolución Francesa”… https://amzn.to/4aF0LpZ · “Hispanos. Breve historia de los pueblos de habla hispana”… https://amzn.to/428js1G · “La ContraHistoria de España. Auge, caída y vuelta a empezar de un país en 28 episodios”… https://amzn.to/3kXcZ6i · “Lutero, Calvino y Trento, la Reforma que no fue”… https://amzn.to/3shKOlK · “La ContraHistoria del comunismo”… https://amzn.to/39QP2KE Apoya La Contra en: · Patreon... https://www.patreon.com/diazvillanueva · iVoox... https://www.ivoox.com/podcast-contracronica_sq_f1267769_1.html · Paypal... https://www.paypal.me/diazvillanueva Sígueme en: · Web... https://diazvillanueva.com · Twitter... https://twitter.com/diazvillanueva · Facebook... https://www.facebook.com/fernandodiazvillanueva1/ · Instagram... https://www.instagram.com/diazvillanueva · Linkedin… https://www.linkedin.com/in/fernando-d%C3%ADaz-villanueva-7303865/ · Flickr... https://www.flickr.com/photos/147276463@N05/?/ · Pinterest... https://www.pinterest.com/fernandodiazvillanueva Encuentra mis libros en: · Amazon... https://www.amazon.es/Fernando-Diaz-Villanueva/e/B00J2ASBXM #FernandoDiazVillanueva #unioneuropea #francia Escucha el episodio completo en la app de iVoox, o descubre todo el catálogo de iVoox Originals
El pasado miércoles Putin presentó al Gobierno de Estados Unidos una propuesta de alto el fuego para Ucrania. La propuesta incluye concesiones territoriales importantes por parte de Ucrania, como ceder el Donbás (las provincias de Donetsk y Lugansk) y reconocer oficialmente las reclamaciones rusas en Crimea a cambio de un armisticio. Más allá de esto poco se sabe, los detalles específicos no han trascendido, lo que ha provocado que tanto los ucranianos como sus aliados europeos se lo tomen con mucha cautela. Trump respondió rápidamente anunciando una reunión con Putin en Alaska el próximo día 15, es decir, este mismo viernes. Esta será la primera vez en casi una década que Putin pisa suelo estadounidense. La última fue un encuentro con Barack Obama en Nueva York allá por el mes de septiembre de 2015. Eso no ha sido obstáculo para que Trump y Putin mantuviesen una relación fluida durante el primer mandato de Trump. Se reunieron personalmente en una serie de cumbres del G20 (las de 2017, 2018 y 2019) e incluso llegaron a organizar una cumbre bilateral en Helsinki en 2018. Su sintonía personal es evidente, lo que contrasta con la tensa relación entre Trump y el presidente ucraniano, Volodímir Zelenski, marcada desde el principio por el desprecio mutuo. Zelenski ha rechazado ceder territorio y exige participar en cualquier negociación. Los Gobiernos europeos, informados directamente por Trump, comparten esta postura y ven la propuesta de Putin como una posible maniobra para evitar nuevas sanciones occidentales mientras la guerra continúa su curso. Rusia ocupa actualmente gran parte de Donetsk, Zaporiyia, Jersón y la totalidad de Lugansk y Crimea, territorios que anexionó formalmente en 2022. La propuesta de Putin implica que Ucrania retire sus tropas de Donetsk a cambio de un alto el fuego, pero no está claro si Rusia se retiraría de Zaporiyia y Jersón. En la Casa Blanca creen que Putin trata de congelar las líneas de frente actuales para negociar el control total de Zaporiyia y Jersón, pero sin ofrecer garantías claras a Ucrania. Trump considera la oferta interesante en tanto que Putin esta vez pide menos que hace sólo unos meses. La propuesta actual constaría de dos fases. En la primera Ucrania se retiraría de Donetsk y comenzaría un armisticio con las línea de frente actual. En la segunda Trump y Putin negociarían un tratado de paz definitivo que posteriormente presentarían a Zelenski. Ucrania y Europa rechazan ceder territorio sin armisticio y garantías de seguridad como la posible entrada de Ucrania en la OTAN, algo que Putin descarta de plano. Los europeos, liderados por Francia, Alemania y el Reino Unido, insisten en que cualquier acuerdo debe incluir a Ucrania y al resto de Europa que se ha involucrado en su defensa. La propuesta europea, presentada este mismo fin de semana, exige reciprocidad territorial y un alto el fuego incondicional. Entretanto, el ejército ruso ha intensificado sus ataques contra Ucrania, especialmente contra infraestructura y objetivos civiles, lo que hace dudar de la sinceridad de Putin y su voluntad de poner fin a esto. La presión que ha ejercido sobre él Trump en las últimas semanas con un ultimátum y amenazando con imponer sanciones a a países como la India por comprar petróleo ruso, parece haber forzado esta oferta de paz. Parece un buen momento, pero la simpatía que Trump tiene a Putin y su deseo de resolver el conflicto rápidamente podrían complicar las negociaciones para Ucrania y sus aliados, que tratan de evitar una salida en falso con concesiones inaceptables. En La ContraRéplica: 0:00 Introducción 4:01 Armisticio con trampa 31:56 Google y la publicidad 42:32 Meteorología y medios de comunicación 48:08 Memoria térmica · Canal de Telegram: https://t.me/lacontracronica · “Contra la Revolución Francesa”… https://amzn.to/4aF0LpZ · “Hispanos. Breve historia de los pueblos de habla hispana”… https://amzn.to/428js1G · “La ContraHistoria de España. Auge, caída y vuelta a empezar de un país en 28 episodios”… https://amzn.to/3kXcZ6i · “Lutero, Calvino y Trento, la Reforma que no fue”… https://amzn.to/3shKOlK · “La ContraHistoria del comunismo”… https://amzn.to/39QP2KE Apoya La Contra en: · Patreon... https://www.patreon.com/diazvillanueva · iVoox... https://www.ivoox.com/podcast-contracronica_sq_f1267769_1.html · Paypal... https://www.paypal.me/diazvillanueva Sígueme en: · Web... https://diazvillanueva.com · Twitter... https://twitter.com/diazvillanueva · Facebook... https://www.facebook.com/fernandodiazvillanueva1/ · Instagram... https://www.instagram.com/diazvillanueva · Linkedin… https://www.linkedin.com/in/fernando-d%C3%ADaz-villanueva-7303865/ · Flickr... https://www.flickr.com/photos/147276463@N05/?/ · Pinterest... https://www.pinterest.com/fernandodiazvillanueva Encuentra mis libros en: · Amazon... https://www.amazon.es/Fernando-Diaz-Villanueva/e/B00J2ASBXM #FernandoDiazVillanueva #putin #ucrania Escucha el episodio completo en la app de iVoox, o descubre todo el catálogo de iVoox Originals
La mer Baltique a fait face à une guerre hybride cet hiver... Des câbles sous-marins de télécommunications sectionnés ou endommagées... et les premiers suspects sont bien sûr les navires russes qui sillonnent la zone. Depuis que la Suède et la Finlande ont adhéré à l'Otan, ces attaques se multiplient. L'Alliance Atlantique a donc réagi au mois de janvier en déployant avions, bateaux et drones pour surveiller cette mer stratégique... (Rediffusion) C'est ce qu'on appelle l'opération «Sentinelle de la Baltique»... Notre correspondante Marielle Vitureau a pu embarquer à bord d'un de ces navires de l'Otan lors du lancement de l'opération. 2025 est l'année de la Pologne Entre les mois de janvier et de juin, le pays a pris la présidence du conseil de l'Union européenne, mais surtout il est en première ligne face à la Russie, à la guerre en Ukraine et il est en passe de devenir la première force militaire de l'UE. Le diplomate Pierre Buhler était l'invité des Mardis du Grand Continent avec lequel nous sommes partenaires. Juliette Gheerbrant lui a demandé pourquoi son pays avait aujourd'hui un rôle aussi central face à la guerre en Russie. Le livre de Pierre Buhler «Pologne histoire d'une ambition» est publié chez Tallandier. Les «latinos» de Madrid Ils étaient 80 000, il y a 20 ans, ils sont aujourd'hui plus d'un million. Ils fuient les crises économiques et politiques dans leurs pays, le Venezuela, le Nicaragua, mais aussi le Pérou et la Colombie. Portrait d'une communauté qui bouleverse aussi l'identité de la capitale espagnole. À Madrid, Diane Cambon. À écouter aussiComment Madrid est devenue une nouvelle capitale latino-américaine Santorin, au-dessus du volcan C'était en février : une activité sismique soutenue en Grèce dont l'épicentre n'était autre que l'île la plus touristique des Cyclades... Santorin ! L'île a accueilli trois millions et demi de touristes l'an dernier (2024) et doit sa renommée internationale à une position géographique unique, à la surface d'un volcan géant, en partie engloutie sous les eaux... Bref, les séismes font partie de son histoire. Joël Bronner. La chronique musique de Vincent Théval Yoanna Mon corps (Suisse/France). Ceci est une réédition des meilleurs moments d'Accents d'Europe.
La mer Baltique a fait face à une guerre hybride cet hiver... Des câbles sous-marins de télécommunications sectionnés ou endommagées... et les premiers suspects sont bien sûr les navires russes qui sillonnent la zone. Depuis que la Suède et la Finlande ont adhéré à l'Otan, ces attaques se multiplient. L'Alliance Atlantique a donc réagi au mois de janvier en déployant avions, bateaux et drones pour surveiller cette mer stratégique... (Rediffusion) C'est ce qu'on appelle l'opération «Sentinelle de la Baltique»... Notre correspondante Marielle Vitureau a pu embarquer à bord d'un de ces navires de l'Otan lors du lancement de l'opération. 2025 est l'année de la Pologne Entre les mois de janvier et de juin, le pays a pris la présidence du conseil de l'Union européenne, mais surtout il est en première ligne face à la Russie, à la guerre en Ukraine et il est en passe de devenir la première force militaire de l'UE. Le diplomate Pierre Buhler était l'invité des Mardis du Grand Continent avec lequel nous sommes partenaires. Juliette Gheerbrant lui a demandé pourquoi son pays avait aujourd'hui un rôle aussi central face à la guerre en Russie. Le livre de Pierre Buhler «Pologne histoire d'une ambition» est publié chez Tallandier. Les «latinos» de Madrid Ils étaient 80 000, il y a 20 ans, ils sont aujourd'hui plus d'un million. Ils fuient les crises économiques et politiques dans leurs pays, le Venezuela, le Nicaragua, mais aussi le Pérou et la Colombie. Portrait d'une communauté qui bouleverse aussi l'identité de la capitale espagnole. À Madrid, Diane Cambon. À écouter aussiComment Madrid est devenue une nouvelle capitale latino-américaine Santorin, au-dessus du volcan C'était en février : une activité sismique soutenue en Grèce dont l'épicentre n'était autre que l'île la plus touristique des Cyclades... Santorin ! L'île a accueilli trois millions et demi de touristes l'an dernier (2024) et doit sa renommée internationale à une position géographique unique, à la surface d'un volcan géant, en partie engloutie sous les eaux... Bref, les séismes font partie de son histoire. Joël Bronner. La chronique musique de Vincent Théval Yoanna Mon corps (Suisse/France). Ceci est une réédition des meilleurs moments d'Accents d'Europe.
« Objectif Mars », « Mars, la nouvelle frontière de la conquête spatiale », titre le Nouvel Obs, avec en Une, une splendide photo, celle d'une planète où se mêlent harmonieusement l'orange et le rouge. Un peu comme dans un rêve, mais ne rêvons pas trop longtemps, car la réalité se mesure en termes de puissance et d'argent. « La planète Mars est aujourd'hui le Graal intersidéral, nous dit le Nouvel Obs, le terrain des grandes puissances, avec la Chine comme nouvel acteur. L'Amérique de Trump en a fait son nouveau fétiche, promettant les premiers pas de l'homme sur Mars d'ici à 2029, avant la fin du mandat du président. » Qu'importe si tous les scientifiques s'accordent à dire que c'est parfaitement impossible. Donald Trump y croit-il lui-même ? En tout cas, il mène le jeu comme n'importe quelle autre affaire commerciale. « Trump et ses amis de la tech mettent en danger les programmes de la Nasa basés sur la coopération internationale, pour privilégier les progrès strictement nationaux, nous explique le Nouvel Obs. « Derrière les accents triomphants annonçant la colonisation de Mars pour les prochaines années (…) se cache la captation des crédits publics par quelques "entreprises amies", celles des barons de la tech qui ont soutenu la campagne de Trump, avec en tête Elon Musk avec Space X et Jeff Bezos avec Blue Origin. ».Les passionnés, qui regardent la planète rouge avec des yeux d'enfant, en seront pour leurs frais. À lire aussiIl y a 60 ans, la sonde Mariner 4 révélait à l'humanité le vrai visage de Mars La fin de la guerre ? Après l'annonce d'une rencontre entre Trump et Poutine le 15 août en Alaska, le Journal du Dimanche (JDD) pose la question : « Et si la guerre se terminait la semaine prochaine ? », question faussement innocente, car l'analyse qui suit tend plutôt à démontrer le contraire. « Personne ne peut croire que la paix soit l'issue de ce tête-à-tête », estime le JDD. La Tribune Dimanche, de son côté, met l'accent sur ce qu'elle estime être l'ambition première de Donald Trump : « le président américain se rêve en prix Nobel de la paix, et multiplie les initiatives pour y parvenir. Le sommet du 15 août avec Vladimir Poutine est un pas de plus sur le chemin de son ambition ». À la question « le sommet du 15 août pourrait-il accoucher du plus grand succès diplomatique de la seconde présidence Trump ? David Salvo, analyste au German Marshall Fund, interrogé par la Tribune dimanche, répond : « Washington sous-estime à quel point le Kremlin veut continuer à mener cette guerre, la légitimité et le sort du régime poutinien ne dépendent pas seulement de la fin de ce conflit aux conditions dictées par la Russie, mais à sa prolongation jusqu'à nouvel ordre, avec une économie entièrement consacrée à cette guerre ». Bref, personne ne croit vraiment à un miracle pour le 15 août. À lire aussiUkraine: «Il n'y a qu'au prix de conditions favorables à la Russie que Poutine pourrait mettre fin au conflit» L'appétit du géant russe La guerre en Ukraine que les pays baltes suivent avec une attention particulière. L'Express s'est rendu en Estonie, le plus petit des trois pays baltes qui comptent aussi la Lettonie et la Lituanie. L'Estonie (avec moins d'1,35 million d'habitants) qui partage « 300 kilomètres de ligne de démarcation avec la Russie », « une frontière de tous les dangers, explique le Nouvel Obs, face à ce grand voisin avide de conquêtes. » « L'Otan pourrait être testée sur sa capacité à réagir "d'ici à cinq ans", répète son secrétaire général Mark Rutte », nous rappelle l'Express, qui a aussi consulté une récente étude de la Revue nationale stratégique française, « jugeant plausible une guerre majeure de haute intensité en Europe ». Cette étude souligne aussi « que le renforcement de l'armée russe se poursuit de façon accélérée pour recompléter de nombreux matériels détruits en Ukraine, mais également pour développer de nouvelles capacités et renforcer son arsenal d'ici à 2030 ». L'Estonie, elle, ne peut guère compter que sur ses 4 000 militaires de métier et ses appelés. Et puis bien sûr, il y a l'Otan. Un officier américain, dont le régiment s'entraîne en Estonie, témoigne : « Nous sommes ici pour changer les calculs de l'adversaire, le dissuader d'une agression et respecter notre engagement de l'article 5 de l'Otan. » Article qui stipule « qu'une attaque contre un État appartenant à l'Alliance atlantique est une attaque contre tous. Et qu'elle ne restera pas sans réponse. » Mais cette perspective arrêtera-t-elle Vladimir Poutine ? Rien n'est moins sûr. « À quelle échéance les Russes pourraient-ils passer à l'action ? », interroge l'Express, qui cite une source sécuritaire, selon laquelle « les Russes n'ont pas besoin d'arrêter la guerre en Ukraine, il leur suffit d'amasser des unités à la frontière, puis de prendre une décision politique ». Une perspective effrayante pour l'Estonie, mais aussi la Lettonie et la Lituanie. À lire aussiUkraine: «Il n'y a qu'au prix de conditions favorables à la Russie que Poutine pourrait mettre fin au conflit»
What does it mean to truly invite others to Christ? In his impactful message, Al challenges the church to reflect on the Great Commission found in Matthew 28, emphasizing the urgent need to share the gospel with a world that desperately needs it. Drawing from personal experiences of transforming lives through missions, Al recounts his journey of training a thousand pastors across ten countries, including efforts to plant 250 churches in Southeast Asia. He highlights the necessity of knowing Jesus deeply to effectively invite others, stressing that a vibrant faith leads to bold witness. Al draws parallels between individual confidence in salvation and the church's collective mission, reminding us that faith begets faith and urging the audience to drop insecurities about sharing their testimonies. The message serves as an empowering reminder that we are called to actively engage in spreading hope, grace, and truth. Are you ready to accept this challenge? Dive into Al's stirring sermon and discover how your faith can ignite a movement of change—not just in your life but for those around you! Don't miss your chance to be part of something transformative—listen now!
Dans cet épisode, la rédaction de RTL explore la différence entre sigles et acronymes, en expliquant comment certains termes comme "radar" ou "OTAN" sont devenus des mots à part entière. L'émission aborde également les apocopes et aférèses, ces procédés linguistiques qui consistent à tronquer des mots, illustrés par des exemples comme "vélo" et "chandail".Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La Unión Europea ha firmado su rendición económica, energética y diplomática
La Unión Europea ha firmado su rendición económica, energética y diplomática
La de Ucrania es desde hace más de tres años una economía de guerra. Esto implica un gasto muy elevado en defensa que impulsa la demanda interna. Ese gasto se financia con los ingresos fiscales y con constantes transferencias por parte de sus aliados occidentales. Pero sus aliados europeos no atraviesan un buen momento económico. La economía europea crece muy poco desde la crisis de 2008, incluso desde antes en algunos casos como Italia o Francia. Con la población muy envejecida y la sobrecarga de los generosos estados del bienestar, ayudar a Ucrania supone un esfuerzo que presenta ante su electorado como una inversión en seguridad frente al expansionismo ruso. Europa es el principal soporte económico para Ucrania. Desde 2022 la UE y sus miembros han proporcionado 85.000 millones de euros en apoyo económico a lo que habría que sumar los aportes del Reino Unido, Noruega y Suiza. La ayuda militar va aparte y suma otros 60.000 millones de euros. Todo este dinero ha conseguido estabilizar la economía ucraniana, cubrir sus presupuestos públicos y financiar la reconstrucción, pero su continuidad depende de un uso adecuado y transparente, cosa que no siempre sucede. Este mismo mes ha estallado una crisis interna a cuenta de una ley que reduce la autonomía de importantes agencias de control como la Oficina Nacional Anticorrupción. La aprobación de la ley provocó manifestaciones en Kiev y en las principales ciudades del país hace una semana, las primeras de relevancia desde que se produjo la invasión rusa. La Unión Europea protestó formalmente y avisó que habría consecuencias. Zelenski, sometido a presión interna y externa, se echó para atrás y sólo dos días después revocó la ley. Este episodio sirve de advertencia sobre los peligros del clientelismo y el capitalismo rentista, toda una tradición en Ucrania desde su independencia en 1991. Al igual que sucede en Rusia, la corrupción en Ucrania estaba muy extendida, precisamente por eso la guerra se presentó como una ocasión única para romper ese círculo vicioso de élites privilegiadas que se benefician de su cercanía con el poder político. Los programas de privatización y nacionalización están siendo objeto de mucho mayor escrutinio. Desde la invasión, el Estado ha intervenido en prácticamente todos los sectores de la economía y la prensa es relativamente libre para denunciar irregularidades. Un ejemplo reciente y muy ilustrativo es la privatización de United Mining and Chemical Company, el mayor productor europeo de titanio. Acusada de comercio ilegal con Rusia vía terceros países, se vendió a bajo precio en subasta única a una filial de Neqsol Holding, propiedad del azerí Nasib Hasanov. Se teme ahora que el titanio beneficie indirectamente a Rusia, dada las estrechas relaciones entre Azerbaiyán y Rusia.Estos escándalos, ampliamente cubiertos en prensa occidental, podrían secar la ayuda europea porque avivan las sospechas de malversación. La única posibilidad de Ucrania para sobrevivir es reformarse y convertirse en una democracia liberal de estilo occidental. Esto sólo podrán conseguirlo acometiendo una serie de reformas fundamentales como la del sistema judicial. Para los reformistas locales repeler la invasión rusa y avanzar hacia una occidentalización completa que les permita entrar en la UE y en la OTAN es todo uno. Una oportunidad como esta no se les va a volver a presentar. En La ContraRéplica: 0:00 Introducción 4:02 Corrupción: la otra guerra de Ucrania 30:40 El caso de Noelia Núñez 40:07 Maduro y Petro 47:03 El Museo Británico y las obras robadas · Canal de Telegram: https://t.me/lacontracronica · “Contra la Revolución Francesa”… https://amzn.to/4aF0LpZ · “Hispanos. Breve historia de los pueblos de habla hispana”… https://amzn.to/428js1G · “La ContraHistoria de España. Auge, caída y vuelta a empezar de un país en 28 episodios”… https://amzn.to/3kXcZ6i · “Lutero, Calvino y Trento, la Reforma que no fue”… https://amzn.to/3shKOlK · “La ContraHistoria del comunismo”… https://amzn.to/39QP2KE Apoya La Contra en: · Patreon... https://www.patreon.com/diazvillanueva · iVoox... https://www.ivoox.com/podcast-contracronica_sq_f1267769_1.html · Paypal... https://www.paypal.me/diazvillanueva Sígueme en: · Web... https://diazvillanueva.com · Twitter... https://twitter.com/diazvillanueva · Facebook... https://www.facebook.com/fernandodiazvillanueva1/ · Instagram... https://www.instagram.com/diazvillanueva · Linkedin… https://www.linkedin.com/in/fernando-d%C3%ADaz-villanueva-7303865/ · Flickr... https://www.flickr.com/photos/147276463@N05/?/ · Pinterest... https://www.pinterest.com/fernandodiazvillanueva Encuentra mis libros en: · Amazon... https://www.amazon.es/Fernando-Diaz-Villanueva/e/B00J2ASBXM #FernandoDiazVillanueva #ucrania #corrupcion Escucha el episodio completo en la app de iVoox, o descubre todo el catálogo de iVoox Originals
El 11 de julio de 2002, un grupo de gendarmes marroquíes desembarcaron e izaron la bandera de su país en Perejil, un islote hasta entonces desconocido y deshabitado, con una superficie apenas mayor que la de un campo de fútbol, y cuya soberanía compartían España y Marruecos. Unos días después, el presidente del Gobierno de España, José María Aznar, envió a sus tres ejércitos para expulsar a los soldados que ocupaban la isla. En el imaginario popular, la crisis de Perejil ha quedado como una anécdota cómica, una sobreactuación militar española ante la ocupación de un peñasco deshabitado. Pero esa anécdota era en realidad la punta de un iceberg: bajo el islote de Perejil se ocultaba una crisis internacional de primera magnitud en la que se vieron involucradas la Unión Europea, la ONU, la Liga Árabe, Francia, la OTAN y Estados Unidos. ¿Por qué un pedazo de tierra aparentemente insignificante provocó un conflicto de semejantes dimensiones? ¿Qué significaba Perejil para que los ejércitos españoles de tierra, mar y aire se movilizaran por primera vez en democracia? ¿Qué alcance tuvo la crisis? ¿Corrió peligro la soberanía de Ceuta y Melilla? ¿Qué sabemos del incidente de Perejil 23 años después? NEW Series que te pueden interesar si te gustó Perejil Críticas "Trata con seriedad un tema muchas veces explicado de forma cómica o satírica, pero a la mitad no puede evitarlo y le acaba otorgando una épica innecesaria a lo que fue un despropósito geopolítico muy grave" Jose A. Cano: Cine con Ñ Tu crítica Escribe tu opinión para que el resto de los usuarios la pueda leer. Añade tu crítica Votaciones de almas gemelas Regístrate y podrás acceder a recomendaciones personalizadas según tus gustos de cine Votaciones de tus amigos Regístrate y podrás acceder a todas las votaciones de tus amigos, familiares, etc. Si alguna sinopsis cuenta demasiados detalles del argumento, si ves algún error que desees corregir o para completar datos de la ficha o añadir fechas de estreno en tu país- puedes mandarnos un mensaje interno en la página. Si no estás registrado/a puedes contactarnos vía Twitter, IG, FB o por email a info -arroba- filmaffinity -punto- com. Los derechos de propiedad intelectual de las críticas corresponden a los correspondientes críticos y/o medios de comunicación de los que han sido extraídos. Filmaffinity no tiene relación alguna con el productor, productora o distribuidor/a de la película. El copyright del poster, carátula, fotogramas, fotografías e imágenes de cada DVD, VOD, Blu-ray, tráiler y banda sonora original (BSO) pertenecen a las correspondientes productoras y/o distribuidoras.
Después de la Segunda Guerra Mundial, el mundo quedó dividido no solo por ruinas, sino por ideologías. De un lado, Estados Unidos y sus aliados; del otro, la Unión Soviética y sus satélites. Así nacieron dos alianzas militares que marcaron la historia del siglo XX: la OTAN y el Pacto de Varsovia. No se enfrentaron en batallas directas, pero libraron una guerra invisible, constante, tensa, que convirtió al planeta entero en un tablero de ajedrez. Esta es la historia de esa rivalidad, de los pactos, de los miedos, de las promesas de defensa… y de las decisiones que moldearon el equilibrio del mundo durante décadas. Notas del episodio: Este episodio fue traído a ustedes gracias a Boston Scientific La doctrina Truman, el comienzo de una nueva geopolítica de los Estados Unidos El bloqueo a Berlín de 1948 La creación de la OTAN La reacción de la URSS a la creación de la OTAN: el Pacto de Varsovia Un orden militar en un mapa: la OTAN vs el Pacto de Varsovia Los hechos de la OTAN en nuestros días Sigue mis proyectos en otros lugares: YouTube ➔ youtube.com/@DianaUribefm Instagram ➔ instagram.com/dianauribe.fm Facebook ➔ facebook.com/dianauribe.fm Sitio web ➔ dianauribe.fm Twitter ➔ x.com/DianaUribefm LinkedIn ➔ www.linkedin.com/in/diana-uribe Gracias de nuevo a nuestra comunidad de Patreons por apoyar la producción de este episodio. Si quieres unirte, visita www.dianauribe.fm/comunidad
Las dos guerras mundiales afectaron a prácticamente toda Europa. Sólo un puñado de países se mantuvieron neutrales en ambas. En la primera fueron algunos más. Noruega, muy dependiente del comercio marítimo, sufrió serías pérdidas en su flota mercante lo que generó inflación y escasez, pero consiguieron evitar la temida invasión mediante buenos oficios diplomáticos. Suecia, que había declarado la neutralidad perpetua en 1814, tuvo que padecer un bloqueo británico que restringió su comercio con Alemania. Eso le forzó a tener que claudicar ante los aliados. Dinamarca, que no llegaba a los tres millones de habitantes en 1914, experimentó un boom inicial seguido de una crisis ya que dependía mucho de Alemania y el Reino Unido. Los Países Bajos, en una posición central, actuaron como puerto de salida al Atlántico para los alemanes. Eso les costó algunas pérdidas en su marina mercante e incluso requisas de buques por parte de los aliados. Suiza, neutral desde el congreso de Viena, tuvo que lidiar con sus propias divisiones internas y una aguda escasez de alimentos, pero sirvió como refugio para innumerables refugiados, entre ellos Vladimir Lenin. España, debilitada por la guerra de Cuba, declaró su neutralidad y se benefició de un auge exportador que trajo consigo inflación y malestar social. En la segunda guerra mundial solo cinco grandes países europeos permanecieron neutrales hasta el final. Suecia adoptó una neutralidad "acomodaticia", permitió el tránsito de los alemanes por su territorio y les vendió grandes cantidades de mineral de hierro, un suministro vital para el III Reich. Sólo al final de la guerra y por presión aliada se vieron forzados a restringir los envíos. Suiza, rodeada por potencias del Eje desde 1940, dependía del carbón alemán, por lo que tuvieron que esforzarse para que la neutralidad no sólo lo fuese, sino también lo pareciese. España estaba recién salida de la guerra civil y muy debilitada. Franco se dejó querer por el Eje. Tras la derrota de Francia pasó de la neutralidad a la "no beligerancia”. Durante buena parte de la guerra se decantó por los alemanes, aunque nunca llegó a declarar la guerra a los aliados. Portugal hizo lo contrario, se mantuvo neutral, pero decantándose hacia los aliados. Irlanda aprovechó la guerra para reafirmar su independencia del Reino Unido. La neutralidad marcó la posguerra de los que se decidieron por ella. Muchos abandonaron esta postura tan pronto como terminó la guerra: Noruega, Dinamarca, Portugal y los Países Bajos se unieron a la OTAN en 1949. Suecia prefirió seguir siendo neutral hasta que con motivo de la guerra de Ucrania se unió a la OTAN. España se quedó aislada durante una década, un ostracismo europeo del que salió gracias a una serie de acuerdos con EEUU que la aproximaron a la órbita occidental, un viaje que culminó con su ingreso en la OTAN en 1982. Hoy sólo quedan dos países formalmente neutrales en Europa: Irlanda y Suiza, a los que habría que sumar a Austria que tras la guerra recobró su independencia y decidió imitar a sus vecinos de los Alpes. La neutralidad siempre ha sido un equilibrio extraordinariamente frágil, por eso pocos pueden permitírsela en Europa. Si algo se aprendió en el siglo XX, es que cuando estalla una guerra pocas cosas hay más difíciles que mantenerse neutrales. En La ContraRéplica: 0:00 Introducción 3:41 Los neutrales 1:10:15 Caravaggio 1:17:48 El Air Force One Bibliografía: - "Shaping neutrality throughout" de Inmaculada Cordero - https://amzn.to/4lASN7i - "The Theory and Practice of Neutrality in the Twentieth Century" de Roderick Ogley - https://amzn.to/3THUBPz - "Historia total de la segunda guerra mundial" de Olivier Wieviorka - https://amzn.to/40po98k - "1914-1918: Historia de la Primera Guerra Mundial" de David Stevenson - https://amzn.to/4lJX7RB · Canal de Telegram: https://t.me/lacontracronica · “Contra la Revolución Francesa”… https://amzn.to/4aF0LpZ · “Hispanos. Breve historia de los pueblos de habla hispana”… https://amzn.to/428js1G · “La ContraHistoria de España. Auge, caída y vuelta a empezar de un país en 28 episodios”… https://amzn.to/3kXcZ6i · “Lutero, Calvino y Trento, la Reforma que no fue”… https://amzn.to/3shKOlK · “La ContraHistoria del comunismo”… https://amzn.to/39QP2KE Apoya La Contra en: · Patreon... https://www.patreon.com/diazvillanueva · iVoox... https://www.ivoox.com/podcast-contracronica_sq_f1267769_1.html · Paypal... https://www.paypal.me/diazvillanueva Sígueme en: · Web... https://diazvillanueva.com · Twitter... https://twitter.com/diazvillanueva · Facebook... https://www.facebook.com/fernandodiazvillanueva1/ · Instagram... https://www.instagram.com/diazvillanueva · Linkedin… https://www.linkedin.com/in/fernando-d%C3%ADaz-villanueva-7303865/ · Flickr... https://www.flickr.com/photos/147276463@N05/?/ · Pinterest... https://www.pinterest.com/fernandodiazvillanueva #FernandoDiazVillanueva #neutrales #guerramundial Escucha el episodio completo en la app de iVoox, o descubre todo el catálogo de iVoox Originals
Donald Trump empieza a hartarse de Vladimir Putin. Este lunes amenazó con imponer fuertes aranceles a Rusia si no se alcanza un armisticio en Ucrania en 50 días. Junto a eso anunció también un acuerdo con la OTAN para enviar armas a Ucrania, lo que supone un cambio importante en la política estadounidense, ya que, a diferencia del Gobierno Biden, que transfería el armamento a fondo perdido, Trump propone que los países de la OTAN paguen por él. El secretario de Comercio, Howard Lutnick, indicó que los aranceles podrían extenderse a todos los países que comercian con Rusia, como China e India. No está claro, eso sí, que Trump vaya a cumplir esta amenaza. En el pasado ya la hizo y no sucedió nada después. El giro en la política ucraniana se escenificó en el despacho oval de la Casa Blanca durante una una reunión con Mark Rutte, secretario general de la OTAN. Trump se mostró partidario de enviar armas a Ucrania por valor de unos 10.000 millones de dólares, armas tales como misiles y sistemas antiaéreos Patriot. Rutte fue más concreto. Dijo que países como Alemania, Finlandia, Dinamarca, Suecia, Noruega y los Países Bajos transferirían sus sistemas Patriot a Ucrania y luego Estados Unidos reabastecería sus arsenales. Esto permite a Trump presentar el acuerdo como un gran negocio para EEUU, ya que los aliados europeos pagarán las armas que compren, pero a Ucrania se las donarán. La entrega rápida de estos sistemas desde Europa es importante ya que Rusia ha intensificado los bombardeos con drones y misiles con la idea de agotar las defensas ucranianas de cara a una posible ofensiva a finales de verano. Volodímir Zelenski se siente reivindicado y agradeció efusivamente el apoyo. En Washington el senador Lindsey Graham propuso un proyecto de ley para imponer aranceles del 500% a países que comercien con Rusia. Esto no es mala idea ya que, de lo contrario, el impacto de los aranceles directos a Rusia sería limitado. El comercio bilateral con EEUU es muy reducido. Sancionar a terceros países, como China o India, que comercian mucho con Rusia, podría ser más efectivo, pero también más problemático ya que implicaría meter a nuevos actores en la ecuación. La entrega de los Patriot es urgente para detener los ataques rusos de los últimos meses, pero la producción de estos sistemas es lenta y costosa, lo que restringe mucho la rapidez de reabastecimiento. Ucrania tendrá que seguir valiéndose de tácticas ofensivas como la "Operación Telaraña", que les ha permitido destruir bombarderos y atacar bases aéreas e instalaciones militares. El plazo de 50 días podría ser demasiado largo dado el ritmo de los ataques rusos. Una medida no explorada sería usar los 300.000 millones de dólares en activos rusos congelados en Occidente para financiar la ayuda a Ucrania, lo que podría presionar más a Putin. La guerra, tras casi tres años y medio, sigue estancada con altos costes humanos y materiales para ambos bandos. La combinación de armas y amenazas económicas podría conseguir un alto el fuego, pero el éxito depende de la rapidez en la entrega y la voluntad de Trump de cumplir sus promesas. En La ContraRéplica: 0:00 Introducción 3:38 Trump se harta de Putin 30:17 Santander Emprende 31:05 Torre-Pacheco 38:33 Aranceles a Brasil Gracias a Banco Santander puedes emprender hoy con una cuenta de negocios, TPV y asesoramiento legal con Legalitas durante 3 meses a partir de 0€ | El momento de emprender es hoy. Santander te lo pone fácil - https://online.bancosantander.es/landings/cuentas/cuenta-autonomos/ · Canal de Telegram: https://t.me/lacontracronica · “Contra la Revolución Francesa”… https://amzn.to/4aF0LpZ · “Hispanos. Breve historia de los pueblos de habla hispana”… https://amzn.to/428js1G · “La ContraHistoria de España. Auge, caída y vuelta a empezar de un país en 28 episodios”… https://amzn.to/3kXcZ6i · “Lutero, Calvino y Trento, la Reforma que no fue”… https://amzn.to/3shKOlK · “La ContraHistoria del comunismo”… https://amzn.to/39QP2KE Apoya La Contra en: · Patreon... https://www.patreon.com/diazvillanueva · iVoox... https://www.ivoox.com/podcast-contracronica_sq_f1267769_1.html · Paypal... https://www.paypal.me/diazvillanueva Sígueme en: · Web... https://diazvillanueva.com · Twitter... https://twitter.com/diazvillanueva · Facebook... https://www.facebook.com/fernandodiazvillanueva1/ · Instagram... https://www.instagram.com/diazvillanueva · Linkedin… https://www.linkedin.com/in/fernando-d%C3%ADaz-villanueva-7303865/ · Flickr... https://www.flickr.com/photos/147276463@N05/?/ · Pinterest... https://www.pinterest.com/fernandodiazvillanueva Encuentra mis libros en: · Amazon... https://www.amazon.es/Fernando-Diaz-Villanueva/e/B00J2ASBXM #FernandoDiazVillanueva #putin #trump Escucha el episodio completo en la app de iVoox, o descubre todo el catálogo de iVoox Originals
Donald Trump ha mantenido un encuentro en la Casa Blanca con el Secretario General de la OTAN. Su reunión llegaba en un contexto de creciente crítica por parte del mandatario estadounidense hacia Rusia y su presidente, Vladimir Putin, y con la promesa de un anuncio de calado en torno a Rusia. Oleksandr Slyvchuk, analista y coordinador del programa de cooperación para España y Latinoamérica en el Transatlantic Dialogue Center de Ucrania. Escuchar audio
Federico analiza la decisión de Pedro Sánchez en no invertir el 5% en gasto militar para alcanzar los objetivos comprometidos con la OTAN.