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En Bolivie, l'élection présidentielle a lieu dimanche prochain 17 août. La crise économique et les solutions proposées par les candidats ont été au cœur de la campagne électorale. L'une des propositions les plus en vogue : favoriser et développer l'élevage et l'agriculture dans l'est du pays. Un projet qui donne des ailes aux principaux intéressés, mais qui inquiète les communautés autochtones qui craignent un recul de leurs droits et une augmentation de la déforestation et des incendies. Reportage de Nils Sabin. De notre correspondant en Bolivie, À San Javier, dans l'est de la Bolivie, la campagne pour l'élection présidentielle du 17 août est particulièrement suivie. Cette petite ville de 15 000 habitants est la capitale laitière du département de Santa Cruz… Et les nombreux éleveurs locaux espèrent voir leur secteur favorisé par le prochain président. « Nous espérons, si Dieu le veut, qu'il y aura un changement et que le nouveau gouvernement aura en tête que la production et le progrès se trouvent ici », confie María Gloria Paz Tambare, présidente de l'association des éleveurs de San Javier. Malgré des lois environnementales très permissives, des prêts à taux bas, ou encore l'augmentation des permis de déforestation, l'agrobusiness, c'est-à-dire les secteurs de l'élevage et de l'agriculture à grande échelle, a le sentiment d'avoir été maltraité par les gouvernements de gauche de ces vingt dernières années. Selon Mauricio Tambare, éleveur rencontré dans son ranch à quelques kilomètres de San Javier, la Bolivie doit virer à droite et s'inspirer d'autres présidents conservateurs du continent : « On aime bien ce que fait Milei en Argentine, ce qu'a fait Bukele au Salvador. On ne demande pas que ce soit un copié-collé, mais que ce soit similaire à ce que fait Milei ». « Les candidats ont très peur de se fâcher avec l'agro-industrie bolivienne » Pour le secteur de l'élevage et de l'agriculture à grande échelle, la fin de la crise économique qui touche le pays — 17 % d'inflation depuis janvier, pénurie de carburant et de dollars — passe forcément par leur développement. « Pour nous, c'est très clair que si on ne nous permet pas d'exporter plus facilement, qu'on ne baisse pas les droits de douane, qu'on ne nous soutient pas, le pays va droit dans le mur », avance María Gloria Paz Tambare. Un message qui s'est peu à peu imposé dans la campagne électorale. Ainsi, Samuel Doria Medina et Jorge Quiroga, les deux candidats d'opposition en tête des sondages, proposent de faciliter les exportations de l'agrobusiness, de favoriser le développement technologique de ces secteurs et admettent qu'il faudra étendre la frontière agricole pour permettre leur développement. Et même chez les candidats se revendiquant de gauche, aucun n'ose remettre en cause cette idée. « Les candidats ont très peur de se fâcher avec l'agro-industrie bolivienne. Ils redoutent d'avoir une image qui va à l'encontre du secteur privé et d'être associés à des pays comme le Venezuela, l'Équateur ou Cuba », explique Stasiek Czaplicki, économiste environnemental, spécialisé sur la déforestation et les incendies. Et de rappeler que l'idée de résoudre la crise économique via le développement du secteur de l'agrobusiness n'est pas nouvelle : « Ça a déjà été fait dans les années 1980, dans les années 1950 et à d'autres moments de l'Histoire bolivienne ». Augmentation probable de la déforestation Mais du côté de la Centrale indigène Paikoneka, qui regroupe une soixantaine de communautés autochtones à San Javier, ces propositions inquiètent. « Nous avons analysé les programmes des différents candidats et il n'y en a pas un en faveur des droits des peuples indigènes ou de l'environnement », s'alarme Brian Baca Talamas, coordinateur des pompiers volontaires de l'organisation indigène. En effet, renforcer la place de l'élevage et de l'agriculture à grande échelle dans l'économie revient à continuer à agrandir la frontière agricole dans l'est de la Bolivie. En clair, cela favorisera la déforestation et les incendies alors qu'en 2024, le pays était le deuxième pays au monde avec le plus de forêts primaires au monde, derrière le Brésil, et que les incendies ont ravagé plus de 12 millions d'hectares, l'équivalent de quatre fois la superficie de la Suisse. Des conséquences écologiques vues comme des dommages collatéraux par les candidats. « S'il y a contradiction entre l'environnement et la production, je choisirai la production », a ainsi déclaré Samuel Doria Medina fin juin. Quant à Jorge Quiroga, il est rappelé dans la section environnement de son programme qu'une extension de la frontière agricole sera forcément nécessaire. « Tout le monde veut des solutions à la crise. Les candidats et une grande partie de la population sont prêts à voir une dégradation écologique si cela permet une amélioration économique », analyse Stasiek Czaplicki. L'année dernière, une vingtaine de communautés de l'organisation ont été touchées par les incendies historiques qui ont ravagé le pays. L'une de leurs peurs est que les incendies continuent de s'aggraver si des mesures favorables à l'agrobusiness sont prises. Pour s'y opposer, la Centrale indigène Paikoneka prépare déjà l'après-élection. « Nous sommes tous unis, les peuples des terres basses, pour qu'après le 17 août, nous fassions une manifestation pour exiger que l'on respecte nos territoires indigènes et nos droits », indique María Suárez Macoñó, l'une des dirigeantes de l'organisation. Entre crise économique, mesures d'austérité pour y mettre fin et recul écologique, les prochaines années s'annoncent difficiles pour la population bolivienne. À lire aussiBolivie: des électeurs dénoncent leur inscription à leur insu dans des partis politiques
Cet été, Marsactu vous propose d'écouter ou réécouter les épisodes phares du Bocal de Marsactu.Le Bocal, c'est le podcast d'enquêtes de la rédaction de Marsactu, le journal indépendant d'investigation basé à Marseille.Des collab' du RN jusqu'à l'engrenage du narcotrafic, en passant par le vrai business des faux livreurs...Marsactu vous invite dans les coulisses de ses enquêtes.Pour aller plus loin, rendez-vous sur marsactu.fr. Bonne écouteS'abonner à la newsletter du BocalFaire un don à MarsactuS'abonner à MarsactuHabillage sonore : Ici ThomasVisuel : Check Ça !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Een gevarieerde beursdag, zo kan je hem wel het best omschrijven. Het ging over een vette bek, medicatie, software en over olie. Om te beginnen met oliemaatschappij BP. Dat kwam met goede kwartaalcijfers, die beleggers totaal niet zagen aankomen. Nu alle grote olie- en gasreuzen met cijfers zijn gekomen, maken we de balans op. Wat is het beste aandeel dat je kan hebben? Is dat nu toch BP of moet je gaan voor Shell, ExxonMobil, Chevron, TotalEnergies of Saudi-Aramco? Die andere hoogvlieger is Pfizer. De farmaceut verrast niet alleen met de kwartaalcijfers, dat doet het óók met de outlook. Het verhoogt de winstverwachting. Ondanks de torenhoge importheffingen van Trump en zijn dreigement om de prijzen van farmaceuten aan te pakken. Die vette bek gaat over Yum Brands, de eigenaar van onder meer KFC en de Pizza Hut. Dat heeft het pijnlijk genoeg heel lastig op de thuismarkt. Al kwartalen op rij draaien ze in de VS slecht. Ook vertellen we je alles over Palantir. Dat aandeel deed het al waanzinnig goed, maar blijft maar stijgen. Reden zijn de goede cijfers. We onderzoeken waarom dit bedrijf (dat onder meer de FBI als klant heeft) zo'n beurslieveling is.
Bitcoin staat in dollars gemeten rond recordhoogtes, maar van een echte uitbraak is nog geen sprake. De koers blijft schommelen rond de grens van 100.000 dollar, een niveau waar eerder al 5,4 miljoen bitcoin van eigenaar wisselden. In euro’s is een record nog ver weg. Komt die stijging dan vooral door een zwakkere dollar? En niet per se door een sterkere bitcoin? Het sentiment op de cryptomarkt blijft complex. Vanaf welke koers is er dan wél sprake van een overtuigende uitbraak? En wat zeggen de huidige omstandigheden in de macro-economie? Er is onrust, maar ook kracht. Centrale banken proberen de economie te stimuleren, terwijl beurzen en economische cijfers relatief sterk blijven. Welk effect gaat dat hebben op de markt? Korte- en langetermijnverwachtingen lopen wat uiteen. Op korte termijn lijkt voorzichtigheid op zijn plaats, maar de structurele ontwikkelingen wijzen op een bullish scenario, mogelijk als onderdeel van een grotere conjuncturele omwenteling. Een andere belangrijke rol is weggelegd voor de Amerikaanse wetgeving. De juridische kaders rond crypto in de VS verschuiven van streng en onduidelijk naar constructief en helder. Tegelijkertijd lijkt de dynamiek op de cryptomarkt vooral gestuurd door professionele partijen. De retailbelegger is nog afwezig, maar op de achtergrond zien we wel de eerste tekenen van toenemende activiteit. Onder meer bij zogeheten Bitcoin Treasury Companies, die bitcoin opnemen in hun balans. Is dat het begin van een nieuwe golf? Of is daar eigenlijk al hysterie gaande? En komt er nog een 'altseason'? Ethereum toont tekenen van herstel, onder meer dankzij het toenemende aantal treasurybedrijven dat nu ook deze munt toevoegt. De vraag is of dit een voorbode is van een nieuwe manie zoals in 2021, of dat het daarvoor te gefragmenteerd en kapitaalintensief is geworden. En hoe verhouden 2017, 2021 en nu zich eigenlijk tot elkaar? Met Bert en Peter Slagter, beiden analist bij kennisplatform Bitcoin Alpha, bespreken we de staat van de cryptomarkt. Gasten Bert Slagter Peter Slagter Links De marktanalyse van Bert in een korte video De vorige podcast over de markt Host Daniël Mol Redactie Daniël MolSee omnystudio.com/listener for privacy information.
Bitcoin staat in dollars gemeten rond recordhoogtes, maar van een echte uitbraak is nog geen sprake. De koers blijft schommelen rond de grens van 100.000 dollar, een niveau waar eerder al 5,4 miljoen bitcoin van eigenaar wisselden. In euro's is een record nog ver weg. Komt die stijging dan vooral door een zwakkere dollar? En niet per se door een sterkere bitcoin? Het sentiment op de cryptomarkt blijft complex. Vanaf welke koers is er dan wél sprake van een overtuigende uitbraak? En wat zeggen de huidige omstandigheden in de macro-economie? Er is onrust, maar ook kracht. Centrale banken proberen de economie te stimuleren, terwijl beurzen en economische cijfers relatief sterk blijven. Welk effect gaat dat hebben op de markt?
Amanda Heitmann, der er folketingskandidat for Venstre på Fyn, vil gøre det gratis at køre over Storebæltsbroen, hvis hun bliver valgt ind ved næste valg. Baggrunden er lørdagens nedbrud hos betalingsvirksomheden NETS, som resulterede i kilometerlange bilkøer i flere timer ved broens betalingsanlæg. Amanda Heitmann vil dog ikke svare på, om det er også er Venstres politik. Partiet har nemlig tidligere afvist at gøre det billigere - eller helt gratis - at passere broen. Værter: Peter Marstal og Toke Gripping.See omnystudio.com/listener for privacy information.
durée : 00:55:04 - Où est-ce que tu vas pour les vacances ? - par : David ABITTAN - Aujourd'hui, on visite le Tricastin, dans la vallée du Rhône ! On évoquera bien sûr la figure de la région, sa centrale nucléaire, mais il ne faudrait pas oublier toutes les richesses qui la composent également : des villages à visiter, une abbaye perchée et un ensemble troglodyte exceptionnel. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
De loting van de voorronde Champions League leverde Feyenoord een tweeluik op met Fenerbahçe. AZ en FC Utrecht weten ook wat hun vervolgroute gaat worden, als ze deze weken de voorronde overleven. Om Robin van Persie wat extra gereedschap te geven is Feyenoord hard op zoek naar een nieuwe centrale verdediger. In de AD Voetbalpodcast bespreekt Etienne Verhoeff met Leon ten Voorde de lotingen en het laatste transfernieuws. Frank Molema vertelt over de staat van SC Heerenveen. Beluister de hele AD Voetbalpodcast nu via AD.nl, de AD App of jouw favoriete podcastplatform.Support the show: https://krant.nl/See omnystudio.com/listener for privacy information.
Il documento finale presentato durante la Conferenza Regionale sull'Immigrazione del 4 luglio 2025 raccoglie proposte operative, impegni politici e obiettivi condivisi per una gestione inclusiva e strutturale del fenomeno migratorio in Sardegna. La Conferenza Regionale sull'Immigrazione, tenutasi il 4 luglio 2025 in Sardegna, si è conclusa con la pubblicazione ufficiale del documento conclusivo. È un documento che sintetizza il confronto tra istituzioni, comunità migranti, enti locali e realtà del terzo settore. Il documento non è solo una sintesi, ma una vera e propria roadmap per l'inclusione, pensata per guidare le future politiche migratorie regionali. Al suo interno si delineano azioni concrete, priorità condivise e principi fondamentali per una gestione sostenibile e strutturata del fenomeno migratorio. Viene evidenziata l'importanza di un approccio basato su partecipazione, ascolto e diritti, superando definitivamente la logica dell'emergenza. Le priorità del documento conclusivo Il documento si articola in diverse aree tematiche, affrontando tutti gli aspetti fondamentali dell'integrazione. Tra le priorità indicate, si sottolinea l'importanza di un'accoglienza diffusa, sostenibile e gestita in stretta sinergia con i territori. Viene valorizzata l'integrazione linguistica e culturale, promossa attraverso corsi di lingua e attività interculturali. Centrale anche l'inserimento lavorativo, che passa per il riconoscimento delle competenze acquisite nei Paesi d'origine e il contrasto deciso a ogni forma di sfruttamento. Altri punti chiave sono il pieno accesso ai servizi pubblici, in particolare sanità, scuola e alloggi dignitosi, e la promozione della partecipazione civica, con il coinvolgimento diretto delle persone migranti nei processi decisionali. Il testo sottolinea infine la necessità di istituire un coordinamento permanente tra istituzioni, indispensabile per monitorare l'efficacia delle misure adottate e rispondere in modo tempestivo alle nuove sfide che interessano il territorio. Un impegno condiviso per il futuro Tra le proposte accolte vi sono l'istituzione di un Osservatorio Regionale sull'Immigrazione, il potenziamento dei progetti SAI, campagne contro la disinformazione e un maggiore sostegno ai mediatori culturali. Le comunità migranti hanno espresso soddisfazione per essere state ascoltate e coinvolte nella stesura del testo, segno di un cambiamento culturale in atto. Il documento conclusivo rappresenta un punto di partenza per rendere la Sardegna più inclusiva, giusta e partecipativa. La sfida ora sarà trasformare queste linee guida in azioni concrete, monitorabili e durature. Il coinvolgimento di tutti – istituzioni, cittadini, migranti – sarà fondamentale per costruire una società più coesa e aperta alla diversità.
Panini, bibite, caffè, aranciate: bastava sentire quella voce nel corridoio per capire che il viaggio era iniziato. In questo episodio ti porto con me su un treno degli anni '90, da Nord a Sud, tra carrozze affollate, scompartimenti da sei e sogni d'estate. Un racconto fatto di suoni, odori, incontri e ricordi: il mio viaggio verso il mare. Forse anche un po' il tuo.
Notte di lavoro per il Soccorso alpino di Schio, allertato dalla Centrale di Vicenza, per un uomo che si era fatto male in un bosco: a dare l'allarme allertando le autorità competenti, un amico di passaggio.
Maracanà con Marco Piccari e Stefano Impallomeni. Ospiti: Braglia:" Atalanta va verso il ridimensionamento. Allegri - Gasperini possono fare bene." Impallomeni:" Gasperini centrale nella Dea."
Fessenheim… en Alsace, à la frontière avec l'Allemagne. Un village surtout connu en France pour sa centrale nucléaire. Ses deux réacteurs ont été arrêtés en 2020, promesse de campagne des présidents François Hollande, puis Emmanuel Macron, avant que ce dernier ne décide en 2022 de relancer l'atome. Contrairement à d'autres réacteurs du parc, qui en compte 57, la centrale de Fessenheim n'a pas eu de sursis. Elle était la plus vieille en activité. Elle a été fermée. L'histoire nucléaire de ce village alsacien n'en est pour autant pas terminée. Le démantèlement ne devrait pas être finalisé avant 2041. (Rediffusion) « Fessenheim : comment démanteler une centrale nucléaire ? » Un Grand reportage de Pauline Gleize. À écouter aussiArrêt sur Fessenheim, la plus vieille centrale nucléaire de France ferme
Tout ce qu'Elon Musk touche semble prendre une dimension hors norme. Et l'intelligence artificielle n'échappe pas à la règle. Sa société xAI, à l'origine du chatbot Grok, veut frapper un grand coup avec un projet aussi ambitieux qu'inédit : construire un data center baptisé Colossus 2, capable d'intégrer jusqu'à un million de GPU NVIDIA dernière génération. Un mastodonte technologique… qui nécessite une énergie tout aussi colossale.Selon Dylan Patel, analyste chez SemiAnalysis, xAI ne compte pas attendre que les infrastructures suive. L'entreprise serait sur le point d'acheter une centrale électrique à l'étranger, pour la rapatrier aux États-Unis. Une opération peu conventionnelle, mais validée noir sur blanc par Elon Musk lui-même sur son réseau social X.Pourquoi un tel choix ? Tout simplement parce qu'il serait impossible de construire une centrale à temps sur le sol américain pour alimenter le futur centre de données. Les délais de construction, notamment pour une centrale nucléaire, se chiffrent en années — parfois jusqu'à dix. Impossible donc, pour un projet prévu à très court terme. D'où l'idée de racheter une centrale déjà existante, probablement une centrale à cycle combiné gaz, plus rapide à redémarrer. Une décision qui en dit long sur l'urgence énergétique du projet : à pleine puissance, Colossus 2 pourrait consommer entre 1 400 et 1 900 gigawatts. C'est l'équivalent de la consommation de près de 1,9 million de foyers américains. Avec cette annonce, Elon Musk montre une nouvelle fois que la course à l'intelligence artificielle passe désormais aussi… par une course à l'énergie. Une fuite en avant technologique qui, pour fonctionner, pourrait bien nécessiter d'avoir sa propre centrale sous le bras. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Op de afscheidsreceptie van Klaas Knot waren louter lovende woorden te horen over de man die 14 jaar aan het hoofd stond van De Nederlandsche Bank. ‘Alle lof voor Klaas, hij heeft geen blunders begaan,’ zegt macro-econoom Arnoud Boot, die bij de receptie aanwezig was en de bitterballen heeft laten staan. Maar inhoudelijk is er wel reden voor kritische vragen, meent hij. ‘Maar daarvoor heb je geen afscheidsreceptie.’ Eerst maar even, hoe was het? De frituurpannen draaiden overuren, de bitterballen vonden gretig aftrek. Iedereen was er: de topman van ING, van de Rabobank, de Nederlandse Vereniging van Banken. Van alles en nog wat was er. Het geluk was dat het officiële gedeelte met de speeches maar een half uur duurde. Ik ben bij meer recepties geweest met mensen van een vergelijkbaar leeftijdsprofiel, waar die speeches dermate lang waren dat letterlijk mensen flauwvielen. Dan werd er even onderbroken tot die persoon weer opgetakeld was. Dat was hier gelukkig niet zo. Welke inhoudelijke opmerkingen zijn er gemaakt? Op een afscheidsreceptie worden nu eenmaal alleen positieve dingen gezegd, en daar is ook alle reden toe. Klaas Knot heeft het veertien jaar gedaan en geen enkele blunder begaan. Alle lof voor hem en hoe hij het heeft gedaan. Hij heeft zich inhoudelijk staande gehouden en geen uitglijders gemaakt. Als je hem hoorde spreken, kreeg je ook de indruk dat het uitstekend gaat met de Nederlandse banken. En qua financiële stabiliteit is dat ook zo: ze staan niet op omvallen. Maar de vraag is of ze wel genoeg doen voor de samenleving. Daar kun je zeker grote vraagtekens bij zetten. Is dat een verwijt aan Klaas Knot dan? De vraag is hoe sturend een president van De Nederlandsche Bank eigenlijk kan zijn, omdat het toezicht op de grote banken inmiddels vooral in Frankfurt gebeurt, bij de Europese Centrale Bank. Je moet je afvragen hoe de financiële sector is georganiseerd en of die nog bijdraagt aan de wereld van morgen. Daar kun je namelijk veel kritischer over zijn. Want een president van een lokale centrale bank speelt wél een belangrijke publieke rol, bijvoorbeeld in het uitleggen van economische en monetaire kwesties. Maar het ministerie van Financiën is in de afgelopen jaren door een groot aantal verschillende bewindspersonen geleid, en niet altijd door mensen die op de goede plek zaten. Klaas Knot heeft wekelijks overleg met de minister van Financiën. Juist in een periode met veel wisselingen op dat ministerie is het cruciaal om een stabiele factor te hebben: iemand die het economische en monetaire beleid goed kan duiden en uitleggen. In zekere zin werkt zo’n centrale bankpresident ook opvoedkundig richting de minister van Financiën. Ik denk dat Klaas Knot dat goed heeft gedaan. Nu neemt Olaf Sleijpen het van Knot over. En Knot zelf? Hij was onderdeel van de ECB en wordt genoemd als opvolger van Christine Lagarde. Maar de echte uitdaging zit in de invloed van Nederland in Brussel. Daar zijn we via Wopke Hoekstra op een zijtafel gepositioneerd. We moeten niet gaan mikken op een ECB-president. Klaas Knot gaat heus wel een mooie andere betrekking vinden ergens. Wij moeten werk maken van onze invloed in de Europese Commissie. See omnystudio.com/listener for privacy information.
L'énergie nucléaire revient sur le devant de la scène ! Avec les préoccupations climatiques d'aujourd'hui, elle possède un avantage non négligeable : elle n'émet pas de gaz à effet de serre. Beaucoup parlent alors d'énergie du futur, mais il se peut qu'elle soit plus ancienne que vous ne le pensez, puisque les premiers usages du nucléaire pour produire l'énergie électrique datent des années 50 ! Quel est le premier pays à s'être doté d'une centrale nucléaire ? Quelle était sa capacité ? Quand la France a-t-elle lancé sa première centrale ? Écoutez la suite de cet épisode de Maintenant vous savez ! Un podcast Bababam Originals écrit et réalisé par Hugo de l'Estrac. En partenariat avec Brief.eco Abonnez-vous à la newsletter Brief.eco avec l'essai gratuit À écouter ensuite : Comment la France traite-t-elle ses déchets nucléaires ? Énergies renouvelables : la France rattrapera-t-elle son retard ? Les voitures électriques sont-elles vraiment plus écologiques ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
De Chinese overheid is actief betrokken bij een schimmige handel, ontdekte persbureau Reuters. Lokale overheden worden zo erg gepusht om groeidoelstellingen te halen, dat ze meewerken aan het manipuleren van de verkoop van auto's. De overheid deelt zelfs subsidie uit aan die overheden, ambtenaren krijgen bonussen. Een spannend, maar vooral ook gevaarlijk verhaal. Gevaarlijk voor Europese autobedrijven. Je hoort deze aflevering waarom.Dan hoor je ook meer over Apple. Dat krijgt van diezelfde Chinese overheid subsidie. Chinezen die iPhones of iPads kopen krijgen namelijk honderden euro's van de communistische partij.Bespreken we ook de NAVO-top. Waarom doen defensie-aandelen het ineens niet goed meer? En kan president Trump daar verandering in brengen? Je hoort ook waarom hij uithaalt naar Iran én Israël. En we hebben het over Fed-baas Jerome Powell. Die moest tekst en uitleg geven voor het Amerikaanse congres. See omnystudio.com/listener for privacy information.
De beurzen kleuren voor het eerst in dagen weer groen. Beleggers vreesden voor een verdere escalatie van de oorlog tussen Israël en Iran als Amerika zou meevechten. Die vrees werd in de loop van deze week groter toen Trump daarop hintte, maar het lijkt erop dat hij wil afwachten of Iran terugkomt naar de onderhandelingstafel voor een atoom-deal. Maar wie denkt dat alle onrust nu voorbij is, kan zich lelijk vergissen. Wij bespreken waar je als belegger naar moet kijken als je niet zit te wachten op paniek. En we hebben het over Tesla, dat komend weekend eindelijk de robotaxi de weg op stuurt in Texas. Die zelfrijdende taxi was de grote droom van Elon Musk, maar er ging een hoop gedoe aan vooraf. Er is nog steeds veel weerstand vanuit de overheid en er bestaat zelfs een kans dat die taxi's in september alweer van de weg gehaald worden. Je hoort ook over Philips, dat heel China als concurrent lijkt te verliezen, maar daarmee ook zelf mogelijk de volledige Chinese markt kwijtraakt. En we hebben het over de nieuwe baas van de SEC, de Amerikaanse beurstoezichthouder, die tal van maatregelen van z'n voorganger terugdraait. Vooral op regels rond crypto en klimaat is 'ie een stuk minder streng. See omnystudio.com/listener for privacy information.
durée : 00:28:53 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - A l'occasion de la Journée mondiale des réfugiés, nous recevons le réalisateur Jean-Baptiste Bonnet pour son documentaire "Save our Souls". - réalisation : Laurence Malonda - invités : Jean-Baptiste Bonnet Réalisateur
Je leest het toch echt goed. Realityster Kim Kardashian komt voorbij deze aflevering. Zij moet namelijk beursbedrijf Nike gaan redden, maar die reddingspoging wordt vertraagd. Fed-baas Jerome Powell moet op zijn beurt de rente verlagen (van Trump), maar doet dat niet. Maar er is niet alleen slecht nieuws voor de Amerikaanse president, maar ook voor jou als belegger. Wat dat is, dat hoor je deze aflevering. Dan hoor je ook meer over het dramatische jaar voor Randstad. Dat is na vandaag een stukje erger geworden en dat heeft te maken met een concurrent. Die verpest het voor Randstad..Shell verpest op zijn beurt dan weer de overnamefantasie van BP. Shell lijkt niet geïnteresseerd in de concurrent. Maar sluit overnames dan weer niet uit. Verder hebben we het over Microsoft. Dat geeft zo veel geld uit aan kunstmatige intelligentie, dat andere onderdelen nu getroffen worden.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Woensdag 18 juni:De Colruyt Group blaast de terugtocht af uit Frankrijk. Het kondigt de verkoop aan van bijna 8 op de 10 winkels en het gros van de bijhorende tankstations. De groep uit Halle kreeg de activiteit maar niet winstgevend. Ook in eigen land staat de retailer onder druk door de hevige concurrentie. De marktleider verliest terrein.Het Leuvense techbedrijf Turbulent heeft z'n eerste vortex waterkrachtcentrale opgestart in eigen land, na een 50-tal buitenlandse projecten. De bijzonder compacte installatie weet energie te winnen uit de traag stromende en bevaarbare Dender. De technologie leverde Turbulent twee jaar geleden al de Trends Global Impact Award op.In het beursgesprek staan we stil bij de wereldwijde goudkoorts van centrale banken. Met analist Erik Joly. In Trends podcasts vind je alle podcasts van Trends en Trends Z, netjes geordend volgens publicatie. De redactie van Trends brengt u verschillende podcasts over wat onze wereld en maatschappij beheerst. Vanuit diverse invalshoeken en met een uitgesproken focus op economie en ondernemingen, op business, personal finance en beleggen. Onafhankelijk, relevant, telkens constructief en toekomstgericht.
Le sommet du G7 se poursuit pour une journée encore au Canada, mais sans Donald Trump. Le président américain est parti plus tôt que prévu lundi (16 juin 2025). Il affirme vouloir se concentrer sur la guerre en cours entre Israël et l'Iran. Le Premier ministre canadien espère tout de même passer un accord sur les droits de douane avec Washington dans les semaines à venir. Les États-Unis ont décidé récemment d'appliquer des droits de douane conséquents jusqu'à 50% sur l'acier et l'aluminium en provenance du Canada, alors que ce pays est le principal fournisseur des États-Unis, rappelle notre envoyée spéciale au G7, Murielle Paradon. Une décision jugée « injustifiée et illégale » par Ottawa qui a pris des mesures de rétorsion en appliquant des taxes sur certains produits américains. Hier, à l'ouverture du G7, le Premier ministre canadien Mark Carney a rencontré Donald Trump, pour discuter de ce sujet sensible. « Je pense qu'on a des visions différentes, a estimé Donald Trump. Moi je suis pour les droits de douane, Mark [Carney] a une vision différente mais qui est aussi bonne » Une différence d'approche que le Premier ministre canadien va essayer d'infléchir. Mark Carney souhaite une meilleure coopération, pour le bien de tous : « Nous ne sommes pas forcément d'accord sur tout mais chaque point d'accord va faire une énorme différence, pour les citoyens et pour le monde, pour amener à une nouvelle ère de prospérité, j'espère, pour le bénéfice de ceux que nous servons » À l'issue de la rencontre avec Donald Trump hier (16 juin), Mark Carney a annoncé que des négociations allaient se poursuivre avec les Américains. Il se donne 30 jours pour obtenir un accord. Les médecins cubains envoyés au Mexique sont-ils victimes de travail forcé ? Depuis le début du mois de juin 2025, les conditions de travail des plus de trois mille médecins cubains qui travaillent au Mexique sont revenus dans l'actualité du pays et de la région. Ils sont envoyés depuis des années par La Havane afin de combler le manque de personnel médical spécialisé dans les régions les plus isolées du Mexique. Cet accord a été dénoncé par l'administration des États-Unis au début du mois. Dans l'ombre du Travel ban, Washington a annoncé qu'elle retirerait les visas de certains fonctionnaires de pays centraméricains qui accueillent sur leur territoire des médecins cubains via un accord avec les autorités de La Havane. L'objectif officiel : lutter contre des réseaux d'exploitation et de travail forcé mis en place par les autorités cubaines. Certains médias y voient une volonté américaine d'empêcher Cuba de faire entrer des devises sur son territoire. « C'est un message direct » adressé à Mexico estimait l'éditorialiste del Universal Salvador Garcia Soto au lendemain de l'annonce début juin. L'ancien président mexicain Andres Manuel Lopez Obrador a en effet passé un contrat avec La Havane. La pratique continue aujourd'hui. El Universal vient de publier une enquête sur la question. Durant les trois dernières années, Mexico a versé plus de 90 millions d'euros à l'entreprise cubaine nommée Comercializadora de servicios cubanos. Une partie en Pesos, l'autre en euros. Une manne importante de devises pour l'île cubaine isolée par les sanctions américaines. Dans un premier temps, el Universal affirmait ne pas avoir reçu de réponse des autorités mexicaines quant au salaire offert par le ministère de la Santé à ses travailleurs cubains. Dans l'enquête publiée hier, le journal offre plus de détails : l'institut de sécurité social mexicain prend en charge les logements, repas, et déplacements des médecins cubains. Le montant des salaires eux restent inconnus, ils sont payés par l'entreprise cubaine. Mais «il ne s'agit pas de travail forcé», a affirmé la présidente mexicaine Claudia Sheinbaum. «Il faudrait apporter des preuves à de telles accusations. Pour l'heure, on ne nous a rien signalé», affirme-t-elle. Sommet Brésil-Caraïbes : Appel à soutenir contre les gangs en Haïti Comme tous les mardis, nous revenons sur l'actualité haïtienne avec le directeur de l'agence AlterPresse, Gotson Pierre. Le site d'information revient notamment sur l'appel des dirigeants du Brésil et des pays des Caraïbes pour soutenir les efforts du gouvernement intérimaire haïtien pour démanteler les groupes armés criminels. Dans un communiqué conjoint, ils insistent sur la nécessité d'établir des bases solides pour un développement social et économique durable, et d'organiser des élections dès que les conditions de sécurité seront réunies, rapporte AlterPresse. Les signataires exhortent l'Organisation des Nations unies à jouer un rôle central et moteur dans les réponses aux défis sécuritaires majeurs auxquels est confrontée Haïti. L'exclusion systématique des femmes dans la politique haïtienne AlterPresse consacre également tout un dossier à l'absence des femmes dans la vie politique en Haïti, et ce malgré des quotas imposés par la loi. La Floride se prépare aux ouragans C'est à partir de 119 km/h que les dépressions tropicales se transforment en cyclones tropicaux connus comme des ouragans. Ces phénomènes naturels peuvent être particulièrement destructeurs dans toute la zone des Caraïbes, de l'Amérique Centrale et du sud des États. Alors que la saison des ouragans vient juste de commencer, notre envoyé spécial Eric Solo s'est rendu à Miami, capitale américaine des ouragans, pour y voir l'état de préparation de l'État de Floride.
durée : 00:04:45 - La lutte enchantée - par : Camille Crosnier - À Boën-sur-Lignon, près de Saint-Étienne, un projet de centrale à bitume sème la discorde. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Jerome Powell heeft nog ruim elf maanden te gaan als Fed-voorzitter. Maar die maanden duren Donald Trump net wat te lang. Daar weet Trump wel raad mee. Als hij nu al een opvolger aanwijst, dan heeft hij het alsnog praktisch voor het zeggen. Want zo richt hij een soort 'schaduw-Fed' op, waar de markten meer aandacht aan zullen hechten dan aan Powell. Maar zet Trump 'zijn' economie en 'zijn' dollar op het spel als hij zijn eigen pion neerzet bij de Federal Reserve? Met die vraag mogen beleggers wereldwijd gaan worstelen de komende tijd. Verder zegt de Amerikaanse president een deal te hebben bereikt met China. Nou ja: een tussendeal. Een 'raamwerk' dat de handelsoorlog verder pauzeert voordat een andere deal de oorlog écht beëindigt. En er zit nog een haakje aan, want zowel Trump zelf als Xi Jinping van China moeten er nog een handtekening onder zetten. Autoproducenten in de VS en Europa staan te juichen, want de zeldzame aardmetalen stromen China weer uit. Chinese studenten mogen in ruil daarvoor verder studeren in de VS. Ook Elon Musk maakt een deal, maar dan met zijn eigen geweten. Hij biedt excuses aan voor het gebekvecht met Donald Trump van vorige week. Teslabeleggers zijn uitzinnig: het aandeel staat alweer hoger dan het voor de ruzie stond. Misschien is de nieuwe proef met robotaxi's die op 22 juni van start gaat wel de kers op hun taart. Tot slot draait Jensen Huang van Nvidia even 180 graden bij. In januari zei hij nog dat kwantumcomputers pas over 20 jaar nuttig zouden worden, waarna kwantum-aandelen zoals Rigetti en IonQ van de trap vielen. Rigetti verloor zelfs 70 procent van zijn waarde. Maar vandaag zei Huang opeens dat de kwantumrevolutie een keerpunt heeft bereikt en dat de kwantumtoekomst binnen handbereik ligt. We bespreken wat er dan is veranderd in de tussentijd.See omnystudio.com/listener for privacy information.
À l'échelle mondiale, 89% des chefs d'État sont des hommes, 85% des terres sont détenues par les hommes, 94% des CEO des plus grandes entreprises sont aussi des hommes, alors que 14 des 15 milliardaires les plus riches du monde sont... encore des hommes. Les femmes sont encore exclues de nombreux domaines économiques dans le monde : sport, cinéma, gastronomie, même l'extrême majorité des chefs d'orchestre sont des hommes. À croire que le monde fonctionne sans une moitié de l'humanité. Pourtant dans de nombreuses régions d'Afrique de l'Ouest et Centrale, les femmes représentent 70% de la main-d'œuvre agricole. Plusieurs études ont également démontré qu'investir en faveur des femmes bénéficierait à toute la société. Réduire les écarts d'emploi entre hommes et femmes permettrait, par exemple, d'augmenter le PIB par habitant de 20% dans toutes les régions du monde, selon l'ONU. Alors que le monde connaît de graves crises économiques, climatiques, politiques, ne faudrait-il pas installer les femmes aux manettes ? Comment changer de logiciels pour plus de parité dans les prises de décisions ? Avec : • Sefora Kodjo, présidente de la Fondation Sephis pour l'autonomisation des femmes à Abidjan, Côte d'Ivoire• Marie Eloy, présidente de Femmes des Territoires, le réseau d'entraide pour créer son entreprise, de Bouge ta Boite, le réseau business et sororité pour entrepreneuses aguerries, et de Bouge ton Groupe, pour accélérer la mixité dans les organisations. Autrice de Les femmes sauveront-elles le monde ? (Éditions Eyrolles, 2025). En fin d'émission, la rubrique Mondoblog chez les voisins avec Alaa Khzam.• Siata Traoré, depuis la Côte d'Ivoire, interroge les tabous autour du divorce et la stigmatisation des femmes qui font ce choix• Thierry Didier Kuicheu rend hommage à son pays, le Cameroun, à travers ses paysages, sa cuisine et sa culture• Emmanuel Codjo, au Bénin, raconte le retour du Kataklè, siège royal du roi Béhanzin, symbole de mémoire et de souveraineté retrouvée. Programmation musicale :► Get Wise – Wiyaala► Kuduro - Africa Express.
À l'échelle mondiale, 89% des chefs d'État sont des hommes, 85% des terres sont détenues par les hommes, 94% des CEO des plus grandes entreprises sont aussi des hommes, alors que 14 des 15 milliardaires les plus riches du monde sont... encore des hommes. Les femmes sont encore exclues de nombreux domaines économiques dans le monde : sport, cinéma, gastronomie, même l'extrême majorité des chefs d'orchestre sont des hommes. À croire que le monde fonctionne sans une moitié de l'humanité. Pourtant dans de nombreuses régions d'Afrique de l'Ouest et Centrale, les femmes représentent 70% de la main-d'œuvre agricole. Plusieurs études ont également démontré qu'investir en faveur des femmes bénéficierait à toute la société. Réduire les écarts d'emploi entre hommes et femmes permettrait, par exemple, d'augmenter le PIB par habitant de 20% dans toutes les régions du monde, selon l'ONU. Alors que le monde connaît de graves crises économiques, climatiques, politiques, ne faudrait-il pas installer les femmes aux manettes ? Comment changer de logiciels pour plus de parité dans les prises de décisions ? Avec : • Sefora Kodjo, présidente de la Fondation Sephis pour l'autonomisation des femmes à Abidjan, Côte d'Ivoire• Marie Eloy, présidente de Femmes des Territoires, le réseau d'entraide pour créer son entreprise, de Bouge ta Boite, le réseau business et sororité pour entrepreneuses aguerries, et de Bouge ton Groupe, pour accélérer la mixité dans les organisations. Autrice de Les femmes sauveront-elles le monde ? (Éditions Eyrolles, 2025). En fin d'émission, la rubrique Mondoblog chez les voisins avec Alaa Khzam.• Siata Traoré, depuis la Côte d'Ivoire, interroge les tabous autour du divorce et la stigmatisation des femmes qui font ce choix• Thierry Didier Kuicheu rend hommage à son pays, le Cameroun, à travers ses paysages, sa cuisine et sa culture• Emmanuel Codjo, au Bénin, raconte le retour du Kataklè, siège royal du roi Béhanzin, symbole de mémoire et de souveraineté retrouvée. Programmation musicale :► Get Wise – Wiyaala► Kuduro - Africa Express.
Toute l'équipe de Court N°1 revient sur le programme de demain où aucune femme ne foulera le Centrale pour la Night Session. Quel est le problème ? Une Française est pourtant en quarts de finale de Roland-Garros. Débat autour de Julien Taxis, Sarah Pitkowski et Anthony Rech.
Charlotte Cruz est l'invitée du 198ème épisode du podcast C'est quoi le bonheur pour vous? Promise à une vie normée mais qualifiée de « réussite » par la société, je débute une carrière parisienne entre télévision et chargée de communication après avoir réussi mon Master en Communication publique à Sciences Po Bordeaux. Très vite, la sensation de ne pas accomplir ce pour quoi je me suis incarnée et surtout celle de ne pas être à ma place me pousse à tout quitter pour m'installer en Irlande. 6 ans après mon arrivée sur l'île verte, je repars à travers le monde, à la recherche de cette chose insaisissable : le savoir et le bonheur. 1 an en Inde, 1,5 an au Pérou, 6 mois en Amérique Centrale et un total d'une quarantaine de pays traversés. Après ce voyage initiatique d'une dizaine d'années et toutes les rencontres avec des grands maîtres spirituels, j'incarne ma mission : transmettre les savoirs qui m'ont été confiés sur les terres sacrées du monde. C'est à travers les livres, une maison d'édition bienveillante "La Goutte Créative", les ateliers et résidences d'écriture (Dédale de Mots), les conférences, les spectacles de contes que je diffuse ce qui m'a construit et ce qui nourrit mon bonheur avec une seule intention : que chaque goutte de sagesse recueillie vienne rejoindre vos océans de bonheur. 2018 : Ballades Irlandaises, guide émotionnel de l'Irlande 2019 : The enlightenment button, 100 reflexions to help you hit the buzz. Co écrit avec le Geshe Lhakdor. Edition LTWA (gouvernement tibétain en exil) 2020 : Trésors de Sagesse – Tibet, livre jeunesse de contes tibétains spirituels. En partenariat avec le gouvernement tibétain en exil. Edition La Goutte Créative 2021 : La Lime, l'ego à l'épreuve de l'Inde. Préface par Pierre Josse, rédacteur en chef du Routard. Edition La Goutte Créative 2023 : Trésors de Sagesse - Andes, livre jeunesse de contes péruvien. Edition La Goutte Créative 2024 : Cheminer vers le bonheur avec Bouddha. Edition Animae Leduc 2025 : Messages de Bouddha. Coffret aux Edition Animae Leduc A paraître 2025 : Faire la paix avec sa lignée en 24 ateliers d'écriture. Edition Courrier du Livre A paraitre 2025 : Trésors de Sagesse - Bali, Edition La Goutte Créative
durée : 00:01:47 - Les 80'' - par : Nicolas Demorand - Nicolas Demorand a lu "le roi du polar" dont le dernier roman met en scène l'unité pour malades psychiatriques "difficiles" d'un hôpital.
Des milliers de Colombiens sont descendus dans les rues ces deux derniers jours pour exiger que le Parlement approuve le référendum sur les réformes du système de santé et du droit du travail voulues par le président. Gustavo Petro avait appelé ses concitoyens à se mobiliser pour soutenir sa réforme en matière de travail et de santé. Le Parlement ayant rejeté ses projets de loi, le chef de l'État défend désormais l'idée d'un référendum. Cependant, ce processus électoral nécessite là encore le feu vert du Parlement.Selon Fabio Arias, président de la Centrale unitaire des travailleurs qui avait appelé à la grève mercredi et jeudi, « il est évident que les gens sont en faveur de la consultation populaire, des réformes sociales et du changement. Et il y a donc une indignation et un rejet de l'attitude de l'élite oligarchique du Sénat de la république, qui essaye d'enterrer la consultation populaire et notamment la réforme du droit du travail. »Sur l'antenne de RFI, la docteure en philosophie politique Angelica Montes Montoya estime que les réformes voulues par Gustavo Petro arrivent dans un contexte délétère : « Après une première année de gouvernement marquée par le dialogue, le gouvernement a opéré un virage radical. […] Le discours clivant du pétrisme tient le pays dans une impasse politique. » À un an de l'élection présidentielle, la chercheuse indépendante souligne le bilan « très mitigé » du président qui n'a pas tenu ses grandes promesses et qui a vu son mandat entaché par les scandales de corruption.Haïti : Jean-Denis, symbole de la résistance aux gangs, attaqué mercrediLe quartier général de la résistance dans l'Artibonite a été attaqué par le gang Gran grif de Savien. Longtemps perçue comme une « forteresse invincible », la ville est « complètement à genoux » selon le journaliste Kester Jean cité par Le Nouvelliste.Les attaques durent depuis lundi et sur place, la population dénonce l'inaction de la police et des autorités.À Port-au-Prince, un « souffle d'espoir » malgré la violence persistanteDepuis l'offensive conjointe de la Police nationale d'Haïti et des brigades de vigilance locales, plusieurs quartiers de la capitale haïtienne retrouvent peu à peu un semblant de normalité. La Gazette d'Haïti a parcouru hier les rues de Morin, Lalue, Turgeau ou Canapé-Vert, où écoles et petits commerces rouvrent prudemment leurs portes. La menace des gangs reste latente, mais comme l'écrit le journal, « chaque cours dispensé, chaque repas partagé » sont des signes de « résistance », dans une ville où « l'espoir s'écrit désormais dans les gestes du quotidien ».Nouveaux rebondissements dans la saga des droits de douane de Donald TrumpUne cour d'appel a maintenu provisoirement les droits de douane bloqués la veille par le tribunal de commerce international. Les décisions de justice « injectent une nouvelle dose d'incertitude dans la politique tarifaire » de Donald Trump, souligne le New York Times. Alors que l'opposition se félicite de ces revers judiciaires, Politico souligne que les démocrates dépendent de plus en plus de la justice pour réussir à exister face à Donald Trump.Journal la 1èreGuadeloupe. Le 19e congrès des élus se réunira le 17 juin pour discuter de l'évolution des institutions du département des Antilles.
Vandaag bespreken we het boek Kleine filosofie van de digitale onthouding van Hans Schnitzler. Schnitzler is filosoof - columnist voor Fllow the Money en docent aan de Bildung Academie. Dit boek kwam uit in 2017 en we lazen de vijfde druk uit 2020. Een meer recent boek van hem is Filosofie van de kroeg. We bespraken eerder zijn boek Wij Nihilisten. Schnitzler is sinds 2015 als mede-grondlegger betrokken bij de Bildung Academie http://debildungacademie.nl/ Aanvankelijk opgeleid als docent geschiedenis, werkte hij vanaf 1996 in het voortgezet en hoger (beroeps)onderwijs en een aantal jaren als loopbaancoach. In 2009 voltooide hij zijn studie filosofie aan de Vrije Universiteit in Amsterdam. Sindsdien houdt hij zich bezig met het uitwerken van zijn filosofische inzichten en het schrijven van essays en opiniestukken. Centrale thema's in zijn werk zijn de invloed van digitalisering op de alledaagse leefwereld, ethiek, onderwijs en burgerschapsvorming. In dit boek onderzoekt hij, aan de hand van de ‘digitale detox'-ervaringen van zijn studenten, wat het betekent om offline te gaan in een wereld die altijd online is. Het is een dun boek dat uitkwam (2017) voor Wij Nihilisten (2021) dat we eerder bespraken. Voor de studenten van de Bildungsacademie aan wie Schnitzler les geeft vraagt hij ze om een week lang een digitale detox te doen. Dit experiment levert interessante inzichten op bij de studenten die Schnitzler koppelt aan lessen van filosofen. Het is een leuk boek dat inzichten van deze jonge mensen koppelt aan filosofische inzichten uit het verleden, en daarnaast open deuren intrapt. In de documentaire bij Tegenlicht in 2022 heeft hij een ‘domme' telefoon, die hemzelf slim en verbonden houdt. In plaats van slimme apparaten die je als mens dom en afgesloten maken. De Bezige Bij Ter inleiding Smartphone uit, werkelijkheid aan? Vervreemding De aanval op onze aandacht Ter uitleiding: de laatste mens? Ter inleiding Het detox experiment gaat over verhouden tot. Hoe verhoudt je je tot jezelf, tot de ander en tot de samenleving. Uiteindelijk werd de ervaring breder en ging het over wat betekent het om in het digitale te zijn, wat gebeurt daar? Hoe verhoudt de digitale werkelijkheid zich tot de analoe? Smartphone uit, werkelijkheid aan? Echt. Het woord dat er uitsprong van de studenten. Ruimtes, gesprekken en ontmoetingen voelden echte, dieper en actueler aan tijdens de digitale detox. Een gevoel van bevrijding en opluchting tijdens een concert. Het beeld van Plato met schaduwen van mensen in de grot. Je bent er bij, maakt het mee, maar ziet niet de echte wereld. Plato's ideeënwereld is naar Silicon Valley verplaatst. Bewuster nadenken en over welke technologietoepassingen we wel of niet toelaten in het weefsel van het menselijke bestaan. De hedendaagse beeldcultuur, de kiekjes-impressionisme. Alledaagse gebeurteniisen in ideaal-typische impressies te vangen. Detox ervaring: ontsnappen aan de hebberige basishouding die een camera aan je opdringt. Zodra de foto is gemaakt kun je door. Het vereenvoudigen van de werkelijkheid met fotograferen. Zonder de telefoon leef je alsof je op vakantie bent, een aanscherping van de zintuigelije beleving. Het medium kneedt onze indruk van de werkelijkheid (The medium is the massage). Bij hete media (zoals fotografie) is er weinig om aan de fantasie over te laten. De participatiegraaf blijft hierdoor laag. De mens is een gemankeerd wezen, zij bezit van nature geen aangeboren kwaliteiten om te overleven. De mens is van huis uit een technologisch dier (want technologie nodig om te overleven). Vervreemding De smartphone beperkt je, het maakt het leven minder uitdagend, spannend en leuk. De ruimte krijgen om dingen te doen die jezelf leuk vindt. Door op te gaan in de maalstroom van alledaagse verstrooiingen verliezen we het zicht op onze eigen sterfelijkheid en verliest de mens zichzelf.
Mes chers camarades, bien le bonjour !Avez-vous déjà mangé un burger au tacos goût pizza ? Eh bien préparez vous, parce que c'est le menu qu'on va se faire aujourd'hui, en tout cas, son équivalent historique ! On ne va pas parler d'un roi, d'une dynastie, et même pas d'une civilisation… mais carrément de tout un sous-continent, l'Amérique Centrale ! J'ai croisé trop de gens qui en avaient marre de confondre les Incas et les Mayas, ou qui se plaignaient de pas capter la différence entre Olmèques et Aztèques… Alors aujourd'hui, on balaie large, mais rassurez vous : on va faire clair et court, l'idée, c'est vraiment de choper les bases, ce qui est parfois difficile quand on vient d'Europe par exemple !Bonne écoute !
Je hoort het vaker: centrale banken mikken op 2 procent inflatie. Maar waar komt dat cijfer eigenlijk vandaan? En is het werkelijk zo nuttig als vaak wordt beweerd? ‘Ja, het is nuttig, maar niet zozeer om mensen aan te sporen iets te kopen; eerder om schulden dragelijker te maken,’ zegt macro-econoom Edin Mujagic. Waar komt dat cijfer eigenlijk vandaan? Dat stamt uit het jaar 1989. We moeten dan naar Nieuw-Zeeland, waar op dat moment een nieuwe bankwet van kracht werd. Die wet regelde hoe de centrale bank moest functioneren. Op een bepaald moment gingen de minister van Financiën en de voorzitter van de centrale bank samen lunchen. Tijdens dat gesprek kwam een belangrijke vraag op tafel: ‘Straks moeten we een soort functioneringsgesprek houden’, zei de minister, ‘maar waarop baseer ik dat eigenlijk?’ De voorzitter van de centrale bank antwoordde: ‘We moeten zorgen voor lage inflatie.’ Hij stelde voor om te mikken op een inflatie tussen de 1 en 3 procent. Daarop zei de minister: ‘Laten we er gewoon 2 procent van maken. Dat is je doelstelling. Over een jaar kijken we of je dat gehaald hebt.’ See omnystudio.com/listener for privacy information.
Het is een dag om nooit te vergeten voor Elon Musk, omdat het zo'n pijnlijke dag is. Concurrent BYD verkoopt voor het eerst meer auto's in Europa dan Tesla. En dat terwijl de Chinese auto's pas sinds twee jaar verkocht worden op dit hele continent.Deze aflevering kijken we naar die pijnlijke ontwikkeling voor Tesla. Is het de schuld van Elon Musk? En waarom heeft BYD geen last van dalende verkopen in Europa?Verder hebben we het ook over ING. Dat moest in de financiële crisis afscheid nemen van hun spaarbank in Amerika. Onder druk werd dat verkocht. Maar werkt ING aan een comeback? Volgens persbureau Bloomberg wil het een bankvergunning aanvragen in de VS.Hoe dat precies zit, hoor je uiteraard. Dan hoor je ook dat het niet lekker loopt bij Nike. De verkopen blijven maar dalen. Daar heeft de nieuwe ceo nu wat op gevonden: prijsverhogingen! Ook gaat het over het immense belastingplan van Trump. We bekijken wat dat betekent voor beleggers. En het gaat over het verlies van een Engelse voetbalclub. Dat heeft grote gevolgen voor de beurskoers van die voetbalclub.See omnystudio.com/listener for privacy information.
La Reserve Bank ha annunciato un altro taglio al tasso di interesse, portandolo al 3,85%. Era da maggio 2023 che non si registrava un tasso di interesse così basso.
La Chine ! Ce pays révoit bien de construire une centrale nucléaire sur la Lune, en partenariat avec la Russie, dans le cadre de leur ambitieux projet commun baptisé ILRS (International Lunar Research Station). Ce projet, annoncé officiellement par l'ingénieur chinois Pei Zhaoyu en mai 2025, s'inscrit dans la continuité du programme lunaire chinois Chang'e et vise à établir une base lunaire habitée de façon permanente à l'horizon 2030, avec un réacteur nucléaire opérationnel d'ici 2035.Pourquoi construire une centrale nucléaire sur la Lune ?L'enjeu principal est l'approvisionnement énergétique. Sur la Lune, les nuits lunaires durent environ 14 jours terrestres, période pendant laquelle l'énergie solaire devient inutilisable. Les écarts de température extrêmes (-173 °C à +127 °C) rendent la production et le stockage d'énergie très complexes. Une centrale nucléaire, en revanche, permettrait de fournir une alimentation stable, continue et indépendante de l'environnement extérieur. Cela est indispensable pour maintenir en fonctionnement une station lunaire habitée, gérer les systèmes de survie, les communications, les laboratoires et les installations minières.Un partenariat sino-russe fondé sur l'expérienceLa Chine compte sur l'expertise de la Russie en matière de nucléaire spatial. L'Union soviétique a été pionnière en la matière dès les années 1960, avec plus de 30 réacteurs spatiaux envoyés en orbite. Le réacteur TOPAZ, utilisé dans les années 1980-90, est un exemple notable de système thermionique capable de produire de l'énergie électrique dans l'espace. Cette technologie, adaptée à l'environnement lunaire, pourrait servir de base au futur réacteur.La mission Chang'e-8 comme tremplinLa mission Chang'e-8, prévue pour 2028, jouera un rôle stratégique. Elle embarquera des équipements pour tester les technologies clés nécessaires à une base permanente, notamment des modules d'habitat, des dispositifs de production d'oxygène et potentiellement un prototype de centrale nucléaire miniature. L'objectif est de valider sur place les concepts nécessaires à une présence humaine prolongée.Une course énergétique… et géopolitiqueCe projet lunaire s'inscrit dans une concurrence technologique avec les États-Unis. Si la NASA, via son programme Artemis, prévoit également des bases lunaires, elle n'a pas encore officialisé de projet aussi avancé de centrale nucléaire. La Chine pourrait donc marquer un coup diplomatique et scientifique majeur si elle devient la première à installer un réacteur nucléaire sur un autre corps céleste.En conclusionConstruire une centrale nucléaire sur la Lune n'est plus de la science-fiction : c'est un projet stratégique, technologique et symbolique, qui marque une nouvelle ère dans l'exploration spatiale — et dans la rivalité sino-américaine pour la domination au-delà de la Terre. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Rencontrez Yves Bennaïm, le Bitcoiner suisse qui à lancé l'initiative populaire visant à ajouter du Bitcoin à la Banque Nationale Suisse (BNS). Avec lui nous avons parlé de son initiative, ainsi que des implications de la création d'une réserve stratégique de BTC pour la Suisse, pour les États-Unis et d'autres gouvernement.Rediffusion de l'émission du 29 avril 2025.
Alors que les négociations diplomatiques pour mettre fin à la guerre en Ukraine n'ont jamais été aussi intenses, les questions sur le conflit, les réfugiés et l'adhésion future du pays à l'Union européenne agitent la politique des pays voisins. Signe de cette fébrilité, la Hongrie. À moins d'un an des prochaines élections législatives, le Premier ministre hongrois, le pro-russe Viktor Orban consulte ses électeurs... sous la forme d'un questionnaire sans aucune valeur légale. Il demande aux Hongrois de répondre à cette simple question : «l'Union européenne a décidé d'accepter l'adhésion de l'Ukraine en procédure accélérée. Êtes-vous d'accord ?». Une façon d'instrumentaliser le conflit et les réfugiés ukrainiens. Reportage à Budapest de Florence Labruyère. La campagne présidentielle en Pologne et les réfugiés ukrainiens Et en Pologne, premier soutien de Kiev dans la guerre déclenchée par Moscou, le sentiment anti-ukrainien qui couve depuis deux ans refait surface. On vote le week-end prochain pour les présidentielles, et cette campagne est déjà placée sous le signe de la xénophobie vis-à-vis des réfugiés ukrainiens. À Varsovie, Adrien Sarlat. Une mine de charbon transformée en lac en AllemagneAprès un court moratoire pour passer le cap de la crise énergétique, l'Allemagne a repris la fermeture de ses anciennes centrales électriques qui fonctionnent au charbon. En 2030, le pays ne devrait plus du tout utiliser de lignite dans son mix énergétique. Dans l'est du pays, les mines de charbon à ciel ouvert ferment les unes après les autres. Mais que faire de ces terrains désolés. À Cottbus, la ville a décidé de transformer la mine en lac... un projet bien accueilli par la population, mais dénoncé par les militants écologistes. C'est le reportage sur place de Salomé Hénon Cohin Jacques Delors : les paradoxes d'un homme d'État européen Et alors que l'arrivée du nouveau chancelier allemand Friedrich Merz relance l'espoir d'un renouveau du couple franco-allemand, qu'on appelle aussi le moteur de l'UE, un livre revient sur le parcours d'une figure centrale de l'UE. Jacques Delors a été aux commandes de la commission de 1985 à 1995 et a su fédérer alors les chefs d'État français, allemand et britannique autour du projet européen de l'acte unique, l'Europe sans frontières. C'est ce que Michel Mangenot, directeur de l'Institut d'études européennes de l'Université Paris 8 a expliqué àJuliette Gheerbrant. Jacques Delors : les paradoxes d'un homme d'État européen, par Fabrice Larat et Michel Mangenot est publié aux éditions de la Documentation française.
durée : 00:58:12 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Alors qu'elle n'est qu'une entité de la Bosnie-Herzégovine, la République serbe de Bosnie de leader Milorad Dodik mène une bataille politico-juridique pour contester l'autorité de l'Etat central, au risque de voir le pays imploser. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Aline Cateux Anthropologue, documentariste; Neira Sabanovic Doctorante en sciences politiques à l'université libre de Bruxelles (ULB); Joël Le Pavous Journaliste indépendant
durée : 00:58:37 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Depuis son retour au pouvoir en 2023, Donald Tusk tente de rétablir l'ordre constitutionnel et juridique polonais, mis à mal par 8 années de gouvernance du parti Droit et Justice (PiS). Mais le Premier ministre se heurte aux nombreux alliés du PiS placés au sein des institutions polonaises. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Jérôme Heurtaux Maître de conférences en sciences politiques à l'Université Paris-Dauphine, ancien directeur du Centre français de recherche en sciences sociales (CEFRES) à Prague; Jaroslaw Kuisz Rédacteur en chef de l'hebdomadaire polonais "Kultura Liberalna"; Dorota Dakowska Professeure des universités en sciences politiques à Sciences Po Aix et spécialiste d'Europe centrale
Le canot pneumatique a dérivé une semaine en mer sans nourriture, sans eau potable. 65 personnes sont mortes pendant la traversée, 24 ont survécu. Cécile Debarge a retrouvé plusieurs de ces rescapés, un an après le drame. La Méditerranée centrale reste la route migratoire la plus mortelle. Dimanche 4 mai, 108 personnes, dont un bébé de 11 mois, étaient secourues au large de la Libye, mais depuis le début de l'année, près de 500 personnes ont perdu la vie en tentant la traversée vers l'Europe.En Italie, des témoignages exceptionnelsL'histoire s'est passée le 13 mars 2024. Vers midi, le navire humanitaire Ocean Viking met le cap sur un bateau en bois qui lui a été signalé. Par hasard, les sauveteurs tombent sur un autre bateau, un pneumatique avec 24 migrants à bord. Ils sont à la dérive depuis sept jours et environ 65 personnes sont mortes. Un rapport de l'association Alarm Phone met en cause les garde-côtes italiens et Frontex. Selon leurs informations, ce bateau a été sciemment laissé à la dérive. Pendant des mois, notre correspondante en Italie Cécile Debarge a tenté de retrouver les survivants pour qu'ils racontent ce qui s'est joué à bord et comment ils ont survécu.Le sauvetage humanitaire en mer a 10 ansAu printemps 2015, deux naufrages de bateaux de migrants faisaient à quelques jours d'intervalle 1 200 morts en Méditerranée. Le dispositif de secours du gouvernement italien Mare Nostrum avait pris fin quelques mois plus tôt ; c'est à ce moment-là que les opérations humanitaires des ONG ont commencé.Invitée : Fabienne Lassalle, directrice adjointe de SOS Méditerranée.L'ONG, créée le 9 mai 2015, a débuté ses opérations l'année suivante. En dix ans, la situation en mer, au large de la Libye, n'a pas changé. Mais le travail des sauveteurs est entravé, criminalisé. L'Espagne valorise l'apport de l'immigrationL'OCDE constate que les immigrés versent plus d'impôts et de cotisations que les gouvernements ne dépensent pour leur protection sociale, leur santé et leur éducation dans les pays occidentaux. L'Espagne, qui fait figure de locomotive économique de l'Europe avec 3,2 % de croissance, doit en grande partie son dynamisme à l'immigration. Sur deux millions d'emplois créés en six ans, 70 % sont occupés par des personnes d'origine étrangère. Les immigrés pallient le déséquilibre démographique et pourvoient les emplois des secteurs en tension. Face à ce constat, le gouvernement espagnol mène une politique migratoire volontariste, qui prône la régularisation des migrants sans papiers, à contre-courant de ses partenaires européens. Les précisions de Diane Cambon.8 mai 1945 : en Allemagne, le devoir de mémoire prend une nouvelle dimensionDemain, jeudi 8 mai, l'Europe célèbre les 80 ans de la fin de la Seconde Guerre mondiale, et la capitulation de l'Allemagne nazie. La commémoration de l'événement est toujours importante dans le pays et cette année, le 8 mai sera même exceptionnellement jour férié à Berlin. Depuis des semaines déjà, des cérémonies ont lieu à travers le pays. Notamment autour de la libération des camps et lieux de détention qui se trouvent sur son territoire : Ravensbrück, Buchenwald, Sachsenhausen ; Delphine Nerbollier s'est rendue au bois de Bellow, dans le Brandebourg, pour une cérémonie en la mémoire des prisonniers jetés sur les routes lors des marches de la mort de ce printemps 1945. Où l'on constate que 80 ans plus tard, le travail de mémoire reste un défi.À lire aussi7 et 8 mai 1945: les deux capitulations de l'Allemagne nazie
durée : 00:57:56 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Depuis novembre 2024, un mouvement en faveur du respect de l'état de droit, d'une ampleur et constance inédites, perdure en Serbie. Mais ces revendications ne semblent pas être entendues par le président serbe Aleksandar Vučić, qui tente au contraire de décrédibiliser le mouvement. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Ana Otašević Doctorante à l'EHESS, documentariste, journaliste collaboratrice au Monde Diplomatique, spécialiste des mouvements sociaux et étudiants aux Balkans; Florent Marciacq Directeur de l'observatoire des Balkans à la fondation Jean Jaurès et chercheur à l'IFRI; Florian Bieber Professeur à l'Université de Graz et coordinateur de BiEPAG (Balkans in Europe policy advisory group)
durée : 00:59:01 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Le 4 mai, le candidat d'extrême droite George Simion est arrivé en tête du premier tour des élections présidentielles roumaines. Un premier tour qui se joue une deuxième fois, après celui de novembre dernier annulé sur fond d'ingérence russe, plongeant le pays dans une grave crise politique. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Silvia Marton Maîtresse de conférence à l'université de sciences politiques de Bucarest; Ramona Coman Professeure de sciences politiques à l'Université Libre de Bruxelles (ULB); Florent Parmentier Secrétaire général du Centre de recherches politiques de Sciences Po (CEVIPOF), chercheur associé à l'Institut Jacques Delors
Il progetto Eat the Beat è iniziato nel 2016, allargandosi fino a diventare internazionale, con eventi iconici su una mongolfiera e nella Old Melbourne Gaol.
durée : 00:20:03 - Journal de 18h - En pleine guerre commerciale avec les Etats-Unis, face à "l'imprévisible", la Banque centrale européenne abaisse ses taux directeurs pour soutenir l'économie européenne. C'est la septième baisse de la BCE depuis juin dernier.
Fessenheim… en Alsace, à la frontière avec l'Allemagne. Un village surtout connu en France pour sa centrale nucléaire. Ses deux réacteurs ont été arrêtés en 2020, promesse de campagne des présidents François Hollande, puis Emmanuel Macron, avant que ce dernier ne décide en 2022 de relancer l'atome. Contrairement à d'autres réacteurs du parc, qui en compte 57, la centrale de Fessenheim n'a pas eu de sursis. Elle était la plus vieille en activité. Elle a été fermée. L'histoire nucléaire de ce village alsacien n'en est pour autant pas terminée. Le démantèlement ne devrait pas être finalisé avant 2041. « Fessenheim : comment démanteler une centrale nucléaire ? » Un Grand reportage de Pauline Gleize.À écouter aussiArrêt sur Fessenheim, la plus vieille centrale nucléaire de France ferme
durée : 00:58:22 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Après trente ans de démocratie, le Kirghizstan connaît aujourd'hui un verrouillage de son système politique et une répression accrue de la société civile sous la présidence de Sadyr Japarov. Le pays suit ainsi l'exemple de ses voisins, chez lesquels les libertés publiques sont fortement contrôlées. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Olivier Ferrando Maître de conférences en science politique à l'Université catholique de Lyon, chercheur rattaché à l'unité de recherche CONFLUENCE Sciences & Humanités, spécialiste de l'Asie centrale post-soviétique; Elmira Prmanova Docteure en sciences de l'information et de la communication, enseignante-chercheuse à l'université Lyon 2
durée : 00:58:14 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Malgré l'accès l'indépendance des cinq anciennes républiques soviétiques en 1991, ces pays d'Asie centrale conservent des liens plus ou moins forts avec la Russie, via les échanges économiques, la culture ou la migration. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Julien Thorez Géographe, chargé de recherche au CNRS; Isabelle Ohayon Chercheuse au CNRS, historienne spécialiste de l'Asie centrale au 20e siècle et directrice adjointe du CERCEC (Centre d'études des mondes russe, caucasien et centre-européen); Juliette Cleuziou Maîtresse de conférence en anthropologie à Lyon 2, spécialiste du Tadjikistan et sur les diasporas tadjikes en Russie, membre du LADEC (Laboratoire d'anthropologie des enjeux contemporains)
durée : 00:58:32 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Les pays d'Asie centrale ont accéléré la quête de nouveaux partenaires pour tenter de diminuer leur dépendance vis-à-vis de Moscou et Pékin. L'Europe fait notamment figure d'alternative, comme l'illustre le premier sommet UE-Asie centrale qui s'est tenu en Ouzbékistan début avril. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Catherine Poujol Professeure d'histoire de l'Asie centrale à l'INALCO et ancienne directrice de l'IFEAC (Institut Français d'Études sur l'Asie Centrale); Adrien Fauve Maître de conférences à l'Université Paris-Saclay; Didier Chaudet Spécialiste des mondes persanophone et sud-asiatique