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durée : 00:35:02 - Les Nuits de France Culture - par : Mathilde Wagman - Bonnes nouvelles, grands comédiens - André Dussollier dit trois textes d'Anton Tchekhov (1ère diffusion : 06/01/1983) - réalisation : Lise Côme
durée : 00:53:58 - Grand Canal - par : Eva Bester - Dans "N'avoue jamais", la dernière comédie d'Ivan Calbérac en salles ce mercredi, André Dussollier incarne un homme à l'aube du bouleversement de sa vie. Dussollier utilise les mots des autres pour dire sa vérité sur scène ou à l'écran, c'est parce que l'intime lui donne des ailes.
André Dussollier, Sabine Azéma & Thierry Lhermitte, drôle de triangle amoureux dans l'émission diffusée le mardi 23 avril 2024 à 20h sur France 5. Au programme : Quand le passé ressurgit: Thierry Lhermitte, Sabine Azéma et André Dussollier forment un triangle amoureux formidable dans la comédie “N'avoue jamais”, ils sont les invités de C à Vous. Tous les soirs, du lundi au vendredi à 20h sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent les personnalités et artistes qui font l'actualité.
durée : 00:34:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Dans la nouvelle de Julio Cortazar que vous allez entendre, ce n'est pas une mais deux histoires qui nous sont comptées par André Dussolier. Combat de gladiateurs et femme trompée. Ces deux histoires ne semblent rien avoir en commun. Mais au fur et à mesure, plusieurs thématiques se font écho.
durée : 00:24:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Par Patrice Galbeau - Avec André Dussollier - Réalisation Arlette Dave
La référence du journalisme, celui que l'on surnomma le prince des reporters, se voyait poète. De fait, le style sera sa marque de fabrique, celle d'un journaliste, poète du réel. Engagé au Matin, l'un des quatre grands quotidiens nationaux parisiens, en 1906, Albert Londres y est devenu reporter de guerre huit ans plus tard. En septembre 1914, les Allemands pilonnent la cathédrale de Reims, et Albert Londres est là. Dans son papier intitulé « Ils bombardent Reims », il fait de tous ses lecteurs, les témoins de l'extrême violence du moment. Huit jours plus tard, il revient sur les lieux. L'article est alors une ode à l'édifice devenu le corps d'un être blessé à mort, une quintessence de la poésie du réel. Présentation : Anne Poiret, sur un texte d'Hervé Brusini. Lecture : André Dussollier Réalisation : Guillaume Girault Production : Isabelle Duriez Une production wave.audio pour le Prix Albert Londres
De l'acuité du regard du grand reporter dépend ce qui fera l'information de demain. Albert Londres choisi de « regarder ce que personne ne veut regarder ». Ce sens de l'observation engagée, Albert Londres l'exerce au bagne à Cayenne, sur les trottoirs de Buenos Aires, « chez les fous »… En 1927, il s'immerge dans Marseille, scrutant chaque détail de cette « ville monde » et de son port. Place de la Joliette, il se fond parmi les dockers et raconte le spectacle d'un prolétariat invisible. Ses 14 articles, publiés dans Le Petit Parisien, deviennent un livre « Marseille, La Porte du Sud ». Présentation : Anne Poiret, sur un texte d'Hervé Brusini. Lecture : Macha Makeïeff Réalisation : Guillaume Girault Production : Isabelle Duriez Une production wave.audio pour le Prix Albert Londres
Dans l'entre-deux guerres, Albert Londres est déjà une légende pour les journalistes de son époque. Mais il n'est pas sans concurrence. Parmi les grands noms publiés dans les cinq quotidiens nationaux, il en est un que l'on a oublié : Andrée Viollis. Pourtant, l'une et l'autre s'admiraient, se croisant sur les terrains les plus difficiles. La reporter Andrée Viollis a traversé la guerre civile irlandaise, les grands procès de son époque, et jusque la Russie bolchévique qu'elle a parcourue de long en large. Elle excellait dans l'art d'être la première. Ce qui agaçait ses confrères. Présentation : Anne Poiret, sur un texte d'Hervé Brusini. Lecture : Annick Cojean et Pierre Deladonchamps Prise de son : Jules Benvéniste Réalisation : Guillaume Girault Production : Isabelle Duriez Une production wave.audio pour le Prix Albert Londres
Le 5 mars 1932, Albert Londres télégraphie son dernier article de Chine, au quotidien Le Journal. Il est à Shanghai, en pleine guerre sino-japonaise, et s'apprête à rentrer en France. Il embarque sur le paquebot Georges Philippar avec 730 passagers. Il ne verra jamais le port de Marseille. Le navire prend feu au large de la corne de l'Afrique, incendie qui suscite toutes les théories les plus délirantes. Albert Londres affirmait avoir réalisé une enquête « explosive ». Attentat politique, règlement de compte mafieux ou simple court-circuit ? Retour sur son dernier article où il dénonce une fake news. Présentation : Anne Poiret, sur un texte d'Hervé Brusini. Lecture : Robin Renucci Réalisation : Guillaume Girault Production : Isabelle Duriez Une production wave.audio pour le Prix Albert Londres
L'écriture d'Albert Londres est truffée de phrases chocs. Ajustés comme jamais, les mots percutent et marquent les esprits. Il met ce sens de la formule au service de son indignation et de sa colère. Certaines phrases sont restées célèbres. Il faut en réécouter d'autres pour mesurer son talent. Présentation : Anne Poiret, sur un texte d'Hervé Brusini. Lecture : Sandrine Bonnaire et Julie Gayet Prise de son : Jules Benvéniste Réalisation : Guillaume Girault Production : Isabelle Duriez Une production wave.audio pour le Prix Albert Londres
Albert Londres est bien plus qu'un « flâneur salarié », selon l'expression de l'un de ses amis. Il va là où il faut, pour témoigner des violences faites aux autres. Cette vérité tordue, humainement insupportable, qu'il est urgent de dénoncer, il s'y confronte, physiquement, sur le terrain. En 1923, il part à Cayenne, pour comprendre le bagne. Il y découvre un système de violence à perpétuité, il le décrit dans toute son absurdité mortelle. Obtenir sa fermeture sera l'un de ses grands combats. Présentation : Anne Poiret, sur un texte d'Hervé Brusini. Lecture : Pierre Arditi Prise de son : Jules Benvéniste Réalisation : Guillaume Girault Production : Isabelle Duriez Une production wave.audio pour le Prix Albert Londres
Il n'était pas fanfaron, tout le contraire d'une tête brulée, plutôt du genre à dire « ouf, on s'en est sorti » une fois le danger passé. Reporter de guerre, durant la première guerre mondiale, et un peu partout sur le globe, il est passé plus d'une fois prêt d'un danger mortel. Si ses émotions trouvaient place dans ses textes, sa peur demeura toujours un sujet. Présentation : Anne Poiret, sur un texte d'Hervé Brusini. Lecture : Nicolas Lormeau, de la Comédie-Française Réalisation : Guillaume Girault Production : Isabelle Duriez Une production wave.audio pour le Prix Albert Londres
Pas de reportage sans voyage. C'est un impératif : être là où l'histoire avec un petit ou grand H se déroule. L'enquête est à ce prix. Au temps des paquebot et du chemin de fer, Albert Londres part au Japon, en Chine, en Argentine, au Congo. Chaque reportage se compte en mois. Mais partir est avant tout un plaisir pour l'envoyé spécial. Au point que les plus grandes joies du quotidien n'ont jamais autant d'attrait à ses yeux qu'un billet de train. Présentation : Anne Poiret, sur un texte d'Hervé Brusini. Lecture : Philippe Torreton Réalisation : Guillaume Girault Production : Isabelle Duriez Une production wave.audio pour le Prix Albert Londres
En 1928, au sommet de sa célébrité, Albert Londres convainc le Petit Parisien de financer un long reportage en Afrique dans les colonies françaises. Après André Gide, il documente la tragédie du Congo-Océan et pointe l'asservissement des travailleurs noirs. Ni carnet d'ethnologue, ni dénonciation du système colonialiste, ses 24 articles relèvent de l'examen clinique, d'une administration indifférente au traitement indigne infligé aux noirs, et des petits blancs sûrs de leur droit d'exploiter impunément les populations locales. Il en tire un livre « Terre d'ébène » où il affirme que le journalisme consiste à porter « la plume dans la plaie ». Présentation : Anne Poiret, sur un texte d'Hervé Brusini. Lecture : Gaël Faye et Hervé Brusini Réalisation : Guillaume Girault Production : Isabelle Duriez Une production wave.audio pour le Prix Albert Londres
Propagande et désinformation étaient l'autre champ de bataille d'Albert Londres. Le reporter persistait à vouloir faire son travail, pendant la « grande guerre », même si personne ne pouvait le lire. La censure du gouvernement Aristide Briand, qui pour « protéger » le moral des Français taillait à coup de ciseau dans les journaux, l'exaspérait. Il en témoigne dans ses lettres à sa famille. Jamais il n'a renié sa liberté de pensée et son indépendance de journaliste. Présentation : Anne Poiret, sur un texte d'Hervé Brusini. Lecture : Lydie Salvayre Réalisation : Guillaume Girault Production : Isabelle Duriez Une production wave.audio pour le Prix Albert Londres
Le comédien revient sur sa carrière et rend hommage à Philippe Tesson avec Jean-Christophe Buisson, Armelle Héliot, et Bernard Babkine. Au programme : 1.L'invité exceptionnel, le comédien André Dussollier : Sens Dessus Dessous (spectacle d'A.Dussollier, 7 février - 25 mars 2023, Théâtre des Bouffes Parisiens) / 2.Nos coups de cœur de la saison d'hiver : La Mort de Danton (mise en scène de Simon Delétang, 13 janvier - 4 juin 2023, la Comédie Française), La Dame de la Mer (mise en scène de Géraldine Martineau, 25 janvier- 12 mars 2023, la Comédie Française), La Ballade de Souchon (mise en scène de Françoise Gillard, 26 janvier – 5 mars 2023, la Comédie Française), Oublie-moi (mise en scène de Marie-Julie Baup et Thierry Lopez, 27 janvier – 1er avril 2023, Petit-Saint-Martin), La Délicatesse (mise en scène de Thierry Surace, 9 février – 30 avril, Théâtre de l'Œuvre), Une vie sur mesure (mise en scène de Stéphane Batlle, 11 février – 30 avril 2023, Palais des Glaces), Le Suicidé, vaudeville soviétique (mise en scène de Jean Bellorini, 9-18 février 2023, MC93, puis en tournée en France), L'Usage du monde (mise en scène de Catherine Schaub, 8 février – 9 avril 2023, Théâtre de Poche Montparnasse) / 3.Hommage à Philippe TessonHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:14:02 - Le monde d'Elodie - par : Elodie SUIGO - Tous les jours, une personnalité s'invite dans le monde d'Élodie Suigo. Aujourd'hui, le comédien, André Dussollier. Ce mercredi 30 novembre 2022, il est à l'affiche du film, "Le Torrent" d'Anne Le Ny avec José Garcia. Et à partir du 17 janvier 2023, il sera sur les planches du théâtre des Bouffes Parisiens pour le spectacle "Sens dessus dessous".
durée : 00:51:00 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - C'était à l'automne 1984, Pascale Ogier, Bulle Ogier et André Dussollier étaient les invités du "Cinéma des cinéastes" pour parler de leur métier d'acteur et des grands cinéastes avec lesquels ils venaient de tourner, à savoir Eric Rohmer, Jacques Rivette et Alain Resnais. Le 21 octobre 1984, peu après le Prix de la meilleure interprète décerné à Pascale Ogier à Venise pour son rôle dans Les Nuits de la pleine lune d'Eric Rohmer, et quelques jours avant sa disparition survenue le 25 octobre 1984, la veille de son 26ème anniversaire, la comédienne était l'invitée de l'émission "Le cinéma des cinéastes" en compagnie de sa mère Bulle Ogier et d'André Dussollier. Tous les trois évoquent les trois grands metteurs en scène avec lesquels ils viennent de tourner : Eric Rohmer, Jacques Rivette et Alain Resnais. La vocation de devenir comédien Claude-Jean Philippe tient tout d'abord à dire l'importance grandissante du jeu des acteurs dans un film, lui-même y est de plus en plus sensible et ne se contente plus d'aller au cinéma pour voir "un film de...". Il interroge alors ses invités sur leur vocation, sur ce qui les animait dans leur jeunesse pour devenir comédien. Pour Bulle Ogier, il s'agissait plus de "casser" sa timidité, de gagner en assurance et c'est la présence du public qui l'a révélée. Pascale Ogier ne pensait pas vraiment "faire quelque chose", elle devait suivre des études après le baccalauréat et c'est la rencontre avec Eric Rohmer qui l'a faite basculer vers le cinéma et le théâtre. Après cette expérience devenue aventure, elle dit qu'elle a "tricoté petit à petit". André Dussollier, lui, a commencé très jeune, au collège, "le jeu a toujours été une seconde nature, très tôt, très jeune", se souvient-il. Grâce au théâtre, il pouvait montrer ses sentiments qu'il avait du mal à dévoiler dans la vie. Comédiens et metteurs en scène, une collaboration étroite Pascale Ogier raconte les huit mois de préparation du film d'Eric Rohmer Les Nuits de la pleine lune, comment elle est intervenue sur l'écriture de Louise, son personnage, et aussi pour les décors et les costumes. Elle insiste sur le travail de repérage pour tourner un film sur les années 80, comment on pouvait représenter l'air du temps. Jacques Rivette, "c'était magique" de travailler avec homme comme lui, un grand cinéphile dit Pascale Ogier qui a joué dans Le Pont du Nord. Bulle et sa fille racontent leur collaboration sur ce film, comment Rivette prenait des notes sur des petits bouts de papier qu'il mettait dans ses poches, "il est comme un computer", s'amuse Bulle Ogier. Tout en étant très proche de ses comédiens, Rivette gardait ce pouvoir de décision du metteur en scène. C'est au tour d'André Dussolier de nous parler des tournages avec Alain Resnais et Eric Rohmer, ce sont des metteurs en scène avec lesquels les acteurs se sentent choisis, explique t-il, ils pensent aux comédiens quand ils écrivent les personnages. Il a ainsi eu l'impression d'avoir été photographié par Rohmer quand ce dernier lui a apporté le scénario du Beau mariage. Par Claude-Jean Philippe Le cinéma des cinéastes - Le métier d'acteur, avec Pascale Ogier, Bulle Ogier et André Dussollier Première diffusion : 21/10/1984 Archive Ina / Radio France
durée : 00:35:49 - 100% PSG, le mag - Pia Clemens reçoit Léo Dussollier, comédien et supporter du PSG, il sera à l'affiche du film "Méduse" le 26 octobre.
durée : 00:51:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Par Claude-Jean Philippe - Avec Pascale Ogier, Bulle Ogier et André Dussollier
durée : 00:02:28 - La Madeleine - par : Mattéo Caranta - "En cuisine tout est dans l'équilibre". André Dussollier applique cette maxime aux souvenirs gourmants qu'il garde de la salade russe de sa grand-mère...
durée : 00:33:20 - Boomerang - par : Pierre Martinerie, Augustin Trapenard - Il est comédien et sera, la semaine prochaine, à l'affiche du nouveau film de François Ozon, "Tout s'est bien passé", variation sur le très beau livre d'Emmanuelle Bernheim. André Dussollier est l'invité d'Augustin Trapenard. - invités : André Dussollier - André Dussollier : Comédien, acteur - réalisé par : Lola COSTANTINI
durée : 00:59:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Dans "Parole donnée" en 1997, André Dussollier lit des extraits de "La lettre au père de Franz Kafka". Il en fait résonner les mots au cours d’une lecture organisée en public dans le grand auditorium de la Bibliothèque Nationale de France. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : André Dussollier Acteur, comédien
durée : 00:52:08 - Lectures du soir - Dans la continuité des « lectures à propos », inaugurées avec la vie du médecin hongrois Ignace Philippe Ignace Semmelweis, écrite par Céline, André Dussollier nous propose cette fois un journal imaginaire qu’il a enregistré le 18 mai, à l'heure où l'épidémie occupait encore toute notre attention.
durée : 00:59:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Dans "Parole donnée" en 1997, André Dussollier lit des extraits de "La lettre au père de Franz Kafka". Il en fait résonner les mots au cours d’une lecture organisée en public dans le grand auditorium de la Bibliothèque Nationale de France. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : André Dussollier Acteur, comédien
durée : 00:58:08 - Lectures du soir - Le comédien a choisi de lire un texte de Céline en écho à la situation si particulière que nous vivons : "Semmelweis", du nom de ce médecin hongrois qui batailla pour imposer le lavage des mains au milieu du XIXe siècle.
durée : 00:24:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Par Patrice Galbeau - Avec André Dussollier - Réalisation Arlette Dave - réalisation : Virginie Mourthé
durée : 00:34:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit, Albane Penaranda, Mathilde Wagman - Dans la nouvelle de Julio Cortazar que vous allez entendre, ce n’est pas une mais deux histoires qui nous sont comptées par André Dussolier. Combat de gladiateurs et femme trompée. Ces deux histoires ne semblent rien avoir en commun. Mais au fur et à mesure, plusieurs thématiques se font écho. - réalisation : Virginie Mourthé
durée : 00:32:46 - Une saison au théâtre - par : Joëlle Gayot - Rencontre avec André Dussollier, comédien de théâtre habité par son art, qui reprend le spectacle Novecento, d'après le texte d'Alessandro Baricco, un spectacle qui se joue jusqu'au 31 mars au Théâtre de la Porte Saint Martin, à Paris. - réalisé par : Vanessa Nadjar
Antar was the subtitle of Rimsky-Korsakov’s Second Symphony (1867–68), so when Ravel was asked in 1910 to write incidental music for a play about the 6th-century Arabic warrior-poet, he turned to the Russian maestro’s piece for inspiration. Ravel’s incidental music, however, needed a narrative cloak to make it suitable for the concert platform. This was duly supplied in 2014 by the French-Lebanese writer Amin Maalouf. Raymond Bisha guides us through this historic development of the tale of Antar and his beloved Abla, the Romeo and Juliet of the Arab world.
De Mark Osborne avec les voix d'André Dussollier et Clara Poincaré
De Mark Osborne avec les voix d'André Dussollier et Clara Poincaré
The 47th Annual New York Film Festival September 25 - October 11, 2009 Please stay tuned for complete coverage of the New York Film Festival including director panels. We interview Jack Angstreich on the background on the following directors: ( The rest of the directors/film will be posted the following week.) OPENING NIGHT Wild Grass / Les herbes folles Alain Resnais, 2009, France, 113m As avant-garde as ever fifty years after making his debut with the landmark Hiroshima Mon Amour, the venerable Alain Resnais delivers a career-crowning masterpiece. An exquisite human comedy of manners, mystery and romance with some of France’s – and our – favorite actors: Sabine Azéma, André Dussollier, Emmanuelle Devos and Mathieu Almaric. A Sony Pictures Classics release. Fri. Sept. 25: 6pm CENTERPIECE Precious: Based on the Novel ‘Push’ by Sapphire Lee Daniels, 2009, USA, 109m In this astonishing adaptation of Sapphire’s 1996 novel, second-time director Lee Daniels unsparingly recounts the horrific story of 16-year-old Clareece “Precious” Jones who uses all the emotional energy she possesses to attempt to turn her life around. Daniels’ audacious tale features unforgettable performances by Mo’Nique, Mariah Carey and newcomer Gabourey Sidibe. A Lionsgate release. Sat. Oct. 3: 7pm and 10pm CLOSING NIGHT Broken Embraces / Los abrazos rotos Pedro Almodóvar, 2009, Spain, 128m Almodóvar’s newest masterwork barrels from comedy to romance to melodrama to the darker haunts of film noir. A blind screenwriter learns of the death of an industrialist, triggering a flood of memories that encompass a tale of naked ambition, forbidden love and devastating loss. Penelope Cruz, the screenwriter’s muse (and Almodóvar’s), has never been more ravishing. A Sony Pictures Classics release. Sun. Oct. 11: 5pm and 8pm Antichrist Lars von Trier, 2009, Denmark, 109m Sure to be one of the year’s most discussed films, Lars von Trier’s latest chronicles a couple’s efforts to find their love again after a tragic loss—a process that winds up unleashing the hidden monsters lurking in their souls. An unforgettable domestic horror movie, a ghost story, and a cry of anguish. An IFC Films release. Fri. Oct. 2: 9pm Sat. Oct. 3: 1pm Around a Small Mountain / 36 vues du Pic Saint-Loup Jacques Rivette, 2009, France, 85m The legendary 81-year-old French New Wave veteran Jacques Rivette returns with an elegiac look at the final days of a small-time traveling circus, mixing theater and life and the gray areas in between. Wed. Oct. 7: 9:30pm Fri. Oct. 9: 3pm The Art of the Steal Don Argott, 2009, USA, 101m Bound to be controversial, this thought-provoking documentary explores the travails of the legendary Barnes collection of art masterworks and the foundation set up to protect it raises vital questions about public vs. private “ownership” of art. Tue. Sept. 29: 9:15pm Bluebeard / La barbe-bleue Catherine Breillat, 2009, France, 78m A fearless explorer of edgy sexuality, Catherine Breillat follows two young sisters reading Charles Perrault’s 17th century tale of perhaps the first “serial killer,” reflecting on the enduring fascination with Bluebeard, who has served as inspiration for countless novels, plays and films. Sun. Oct. 11: 2pm Crossroads of Youth / Cheongchun’s Sipjaro An Jong-hwa, 1934, Korea, 74m The oldest surviving Korean film is a visually dynamic tale of a brother and sister from the country discovering the pleasures and dangers of city life. This recently-rediscovered masterwork will be presented with live musical accompaniment as well as a pyonsa (live offscreen narrator). Sat. Oct. 3: 11am