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En temps de guerre, il faut savoir faire le tri entre l'information et la propagande…
Vincent Hervouët revient sur l'échec de la flottille pour Gaza, où des militants ont tenté de forcer le blocus israélien. Malgré leurs bonnes intentions, cette traversée a tourné court, avec l'intervention des forces israéliennes. Hervouët analyse les enjeux géopolitiques de cet incident, les jeux de propagande et les dangers du "tourisme humanitaire". Il met en garde contre l'aveuglement de certains militants face à la complexité des conflits au Moyen-Orient.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine, nous avons rendez-vous avec Pierre Conesa, essayiste et ancien haut fonctionnaire que nous avons déjà eu le plaisir de recevoir dans de précédents épisodes. Cette fois, nous revenons sur la nouvelle chronique qu'il signe dans notre magazine papier, le numéro 19 encore disponible en kiosque pour quelques jours si vous écoutez cet épisode au moment de sa sortie : https://defense-zone.com/products/magazine-defense-zone-18N'oubliez pas de vous abonner au podcast ainsi qu'à notre magazine papier, afin de soutenir notre travail.Nous vous souhaitons une bonne écoute.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On est tous debout... toute la journée au Saguenay-Lac-Saint-Jean
Ce matin, mardi 3 juin avec Vincent et Megan Megan teste la nouvelle tendance : Propagande à laquelle je n’adhère pas. Félix-Antoine Tremblay dresse la liste des avantages à dormir tout nu ! On reçoit Martin Vachon pour son spectacle Ah Caramel ! Bonne écoute !
À la Une de la presse, ce mercredi 28 mai, le chaos provoqué par la première distribution d'aide alimentaire gérée par Israël à Gaza. L'effondrement du système éducatif, notamment universitaire, dans l'enclave palestinienne. La difficile reconstruction des écoles en Syrie. La propagande russe tournée vers la jeunesse. Et une masterclass d' Agatha Christie, la reine du crime britannique.
Aujourd'hui dans le podcast, on parle en long et en large de la rentrée parlementaire à la Chambre des communes à Ottawa. On écoute un extrait du premier discours de Mark Carney en chambre, ainsi qu'une vidéo embarrassante où il rejette d'un revers de la main une interaction avec Mélanie Joly. Bien évidemment, on analyse ce qui se cache réellement derrière la venue du roi Charles III d'Angleterre et de la reine Camilla au Canada, censée confirmer l'indépendance du pays.DANS LA PARTIE PATREON, on commence avec Frank, qui compare un récent texte de Joseph Facal sur la guerre entre le gouvernement Legault et les médecins du réseau public avec un texte de 2002, où François Legault — alors ministre de la Santé — tenait un discours étonnamment similaire, 23 ans plus tôt. Ensuite, Joey nous lit un article de La Presse portant sur la montée du masculinisme. On termine en écoutant trois vidéos loufoques : la première met en scène l'autrice québécoise Emmanuelle Pierrot lors d'une entrevue à Urbania, la deuxième est une vidéo TikTok de Radio-Canada qui explique pourquoi on ne devrait presque plus prendre l'avion pour sauver la planète, et la dernière est un reportage de PIGE ATM sur la montée du communisme au Québec.0:00 – Intro2:01 – Rentrée parlementaire à Ottawa3:51 – Discours de Mark Carney11:29 – Arrivée du roi Charles III17:38 – Le grand jour, c'est aujourd'hui23:03 – On passe à côté de quelque chose26:45 – Nos commanditaires28:21 – Les experts nous expliquent la visite royale37:49 – À venir dans le Patreon38:33 – Ouverture de la partie Patreon
Le rendez-vous aura-t-il lieu jeudi à Istanbul entre Vladimir POUTINE et Volodymyr ZELENSKY ? Rien n'est encore sûr mais en tout cas les lignes bougent après un intense week-end diplomatique… Alors la paix a-t-elle pour la première fois une chance de l'emporter ou assistons-nous à un vaudeville géopolitique qui ne débouchera sur rien ? Qui piège qui dans ce qui ressemble à un poker menteur mondial ? On en débat ce lundi 12 mai avec nos invités : ▶︎ Isabelle LASSERRE Correspondante diplomatique du Figaro▶︎ Elena VOLOCHINE Grand reporter, autrice de « Propagande : l'arme de guerre de Vladimir Poutine » aux éditions Autrement (02.10.24)▶︎ Diana FILIPPOVA Directrice éditoriale de France Positive, essayiste, romancière, co-fondatrice de Place Publique, autrice de « De l'inconvénient d'être russe » aux éditions Albin Michel (01.09.2023)▶︎ Régis GENTÉ Journaliste, correspondant de RFI et au Figaro en Géorgie, auteur de « Notre homme à Washington: Trump dans la main des Russes » aux éditions Grasset (16.10.24)▶︎ Cyrille AMOURSKY Reporter de guerre indépendant, chroniqueur à LCI▶︎ Florian LOUIS Historien, docteur de l'École des Hautes Etudes en sciences sociales (EHESS)
Vladimir Poutine a défié ce 9 mai les Occidentaux avec un imposant défilé militaire pour les 80 ans de la victoire sur l'Allemagne nazie. Il a aussi célébré le « courage » des soldats russes engagés en Ukraine, devant des milliers de militaires rassemblés sur la place Rouge et une vingtaine de dirigeants étrangers, dont les présidents chinois, brésilien, serbe avec un seul membre de l'UE, le critiqué Premier ministre slovaque. Ces commémorations occupent une place centrale dans le culte patriotique de la victoire de 1945 promu par le président russe. Cet affichage est-il une annonce d'un nouvel ordre mondial ? L'analyse de l'historien Antoine Arjakovsky, spécialiste des relations russo-ukrainiennes et auteur d'une vingtaine d'ouvrages, dont Qu'est-ce que la science morale et politique ?, aux éditions du Cerf.
La semaine dernière c'était le 1er mai : fête des travailleurs et des travailleuses. Une journée chômée et payée qui permet de remettre les questions du travail, et plutôt des droits des travailleurs, sur la table. Entre 150 000 et 300 000 personnes ont battu le pavé pour cette journée historique partout en France jeudi dernier. Les français ne travaillent pas assez, le coût du travail plombe les entreprises et l'activité, on prend trop de vacances, trop d'arrêts maladie… Les attaques aux droits sont nombreuses dans le pays.Lisa Lap et Thomas Porcher décryptent tout cela, c'est l'Instant Porcher !▶ Soutenez Le Média :
Au menu de ce vendredi avec Nicolas Vidal :00:00 Edito : Macron fait le petit chef à Mayotte et Brigitte danse la Debaa Dette10:00 « Donald Trump n'a de comptes à rendre à personne ! »
Chaque vendredi dans la matinale d'Alexandre le Mer, Catherine Nay livre son regard sur l'actualité.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En temps de guerre, il faut savoir faire le tri entre l'information et la propagande.
En temps de guerre, il faut savoir faire le tri entre l'information et la propagande.
Discussion sur la série «Adolescence» diffusée sur Netflix Entrevue avec Julien Bournival, entrepreneur et influenceur masculiniste.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
C'est un phénomène à la mode sur les réseaux sociaux : les musiques générées par intelligence artificielle. Le mode opératoire est simple, la voix d'un artiste mondialement connu est détournée pour chanter à la gloire d'un chef d'État. Ce phénomène monte en puissance sur le continent africain, et n'épargne aucune personnalités. Ces dernières semaines, presque toutes les stars du rap et du RnB ont été victimes de ce phénomène. Les voix de Beyoncé, Aya Nakamura, 50 Cent, Drake ou encore Ninho ont notamment été manipulées. Côté personnalités politiques, la plupart des chefs d'État africains ont eu le droit à leur musique artificielle : le Béninois Patrice Talon, le Sénégalais Bassirou Diomaye Faye ou encore le Guinéen Mamadi Doumbouya. Le dernier son en date, publié cette semaine, cible le capitaine burkinabè Ibrahim Traoré.Cette voix artificielle imite presque parfaitement celle du rappeur congolais Gims. Un autre audio en l'honneur du président ivoirien, Alassane Ouattara, circule également ces derniers jours.Cette fois-ci, c'est la voix du rappeur Booba qui a été détourné. En réalité, ces sons, qui se comptent par dizaines sur les réseaux sociaux, ne sont pas authentiques. Ils ont été générés via l'intelligence artificielle. Dans les faits, ni Gims ni Booba n'a fait l'éloge d'Ibrahim Traoré ou d'Alassane Ouattara en musique. Pour s'en rendre compte, il suffit de consulter les réseaux sociaux officiels des deux rappeurs.De YouTube aux autres réseaux sociauxD'après nos recherches, la plupart de ces musiques artificielles proviennent d'un petit nombre de chaînes YouTube qui diffusent régulièrement ce genre de contenus. Même s'il faut chercher pour la trouver, la mention « générée par IA » est bien présente dans la légende.Sur YouTube, ces contenus dépassent rarement les 100 000 vues, au contraire de TikTok, Facebook et Instagram où certaines d'entre elles dépassent les cinq millions de vues. Le problème réside dans le fait que les comptes qui repartagent ces musiques inauthentiques ne mentionnent pas l'utilisation de l'intelligence artificielle.Ce qui a été généré initialement à des fins humoristiques, se retrouve utilisé à des fins de désinformation. Des comptes très influents se servent de ces infox pour faire de la propagande et les commentaires montrent que des milliers d'utilisateurs tombent dans le panneau.Des contenus illégauxEn utilisant les bons outils, il est possible de générer rapidement et gratuitement ce type de musique artificielle. On peut donc faire dire ce que l'on veut à n'importe quel artiste. Mais attention, certaines législations encadrent la pratique.En France, l'article 226-8 du Code pénal puni d'un an et de 15 000 € d'amende « le fait de porter à la connaissance du public ou d'un tiers, par quelque voie que ce soit, le montage réalisé avec les paroles ou l'image d'une personne sans son consentement, s'il n'apparaît pas à l'évidence qu'il s'agit d'un montage ou s'il n'en est pas expressément fait mention. Est assimilé à l'infraction mentionnée au présent alinéa et puni des mêmes peines le fait de porter à la connaissance du public ou d'un tiers, par quelque voie que ce soit, un contenu visuel ou sonore généré par un traitement algorithmique et représentant l'image ou les paroles d'une personne, sans son consentement, s'il n'apparaît pas à l'évidence qu'il s'agit d'un contenu généré algorithmiquement ou s'il n'en est pas expressément fait mention ». La plupart des publications sont donc illégales.
Voici l'émission du 14 Mars avec Nicolas Vidal, au programme :2:30 Les secrets très mal cachés de la loi de programmation militaire
L'administration Trump a entamé le démantèlement des médias publics américains opérant à l'étranger en gelant les budgets de l'agence supervisant Voice of America, Radio Free Europe ou encore Radio Free Asia. Pour comprendre ce que sont ces médias et ce qu'ils représentent, L'atelier des médias reçoit Maud Quessard, directrice de recherche à l'Irsem. Vendredi 14 mars, Donald Trump a signé un décret classant l'Agence des États-Unis pour les médias publics américains diffusant à l'international (USAGM) parmi les « activités inutiles de la bureaucratie ».Derrière ce sigle se trouvent des médias ayant pour nom Voice of America (VOA), Radio Free Europe/Radio Liberty (RFE/RL), Radio Free Asia (RFA), Radio y Televisión Martí (Cuba) encore Middle East Broadcasting Networks (MBN).Depuis une semaine, les budgets de l'USAGM sont gelés, et les activités de ses médias, souvent menées dans des zones de tension à travers le monde, sont réduites au strict minimum ou purement et simplement arrêtées.Que représentent les médias supervisés par l'USAGM ? Quel symbole revêt la suspension de leurs activités pour le soft power médiatique américain ? Quels peuvent être les impacts de leur éventuelle disparition pour la liberté de la presse dans le monde ? Ce sont des questions que L'atelier des médias a posé à Maud Quessard, directrice du domaine « Europe, espace transatlantique, Russie » à l'Institut de recherche stratégique de l'École militaire (Irsem), à Paris, spécialiste de la diplomatie publique des États-Unis.Extrait choisi : « Je pense qu'on est effectivement dans une disruption. Je parle peut-être plus même de schisme idéologique dans la mesure où ces attaques qui sont faites sur ces bastions médiatiques du monde libre créent un renversement des valeurs. Exactement comme on a pu avoir un renversement des valeurs avec le discours porté par JD Vance en Europe à Munich. Et ce renversement des valeurs, ce n'est plus finalement le fait que les États-Unis soient un espace informationnel libre et démocratique comme on a pu le connaître, mais un espace qui se ferme sur un modèle qui s'approche de plus en plus d'un modèle autoritaire, et c'est ce qui est particulièrement inquiétant. »Maud Quessard est l'autrice de Stratégies d'influence et guerres de l'information – Propagande et diplomatie publique des États-Unis depuis la guerre froide (Presses universitaires de Rennes, 2019) ou encore de l'ouvrage collectif Les guerres de l'information à l'ère numérique (PUF, 2021), codirigé avec Céline Marangé.À écouter aussiSuppression de Voice of America: «L'Amérique va devenir inaudible» (Invité Afrique)
durée : 00:02:31 - Le vrai ou faux - Selon un rapport de la start-up américaine Newsguard, les propagandistes pro-russes ont déjà pris pour cible les IA génératives occidentales pour que celles-ci relaient leur désinformation.
Le musée national Picasso-Paris présente actuellement l'exposition "L'art "dégénéré" : le procès de l'art moderne sous le nazisme". À cette occasion, Johan Popelard, chef du département de la conservation et des collections du musée et commissaire de l'exposition, reçoit Virginie Girod pour une visite guidée. Qu'est-ce que l'art "dégénéré" selon les nazis ? Comment le IIIe Reich a-t-il stigmatisé les artistes moderne ? Que sont devenues les œuvres confisquées par le régime ? Un entretien réalisé en partenariat avec l'exposition "L'art "dégénéré" : le procès de l'art moderne sous le nazisme", une exposition à découvrir jusqu'au 25 mai 2025 au musée national Picasso-Paris.
Que se passe-t-il dans les régions ukrainiennes occupées par la Russie depuis l'invasion de février 2022 ? La correspondante de L'Express, Clara Marchaud, a mené l'enquête. Propagande, éducation, institutions, tortures : durant des mois, elle a récolté les témoignages d'Ukrainiens traumatisés. Accompagnée de l'analyse de la sociologue Anna Colin Lebedev, spécialiste des sociétés post-soviétiques, elle nous emmène dans ses reportages au cœur d'une Ukraine inquiète de possible négociations. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation et écriture : Charlotte BarisRéalisation et montage : Jules KrotMusique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy CambourPour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Que se passe-t-il dans les régions ukrainiennes occupées par la Russie depuis l'invasion de février 2022 ? La correspondante de L'Express, Clara Marchaud, a mené l'enquête. Propagande, éducation, institutions, tortures : durant des mois, elle a récolté les témoignages d'Ukrainiens traumatisés. Accompagnée de l'analyse de la sociologue Anna Colin Lebedev, spécialiste des sociétés post-soviétiques, elle nous emmène dans ses reportages au cœur d'une Ukraine inquiète de possible négociations. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation et écriture : Charlotte BarisRéalisation et montage : Jules KrotMusique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy CambourPour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Que se passe-t-il dans les régions ukrainiennes occupées par la Russie depuis l'invasion de février 2022 ? Propagande, éducation, institutions, tortures : durant des mois, la correspondante de L'Express dans la région, Clara Marchaud, a récolté les témoignages d'Ukrainiens traumatisés. Accompagnée de l'analyse de la sociologue Anna Colin Lebedev, spécialiste des sociétés post-soviétiques, elle nous emmène dans ses reportages au cœur d'une Ukraine inquiète de possibles négociations. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation et écriture : Charlotte BarisRéalisation et montage : Jules KrotMusique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy CambourPour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Que se passe-t-il dans les régions ukrainiennes occupées par la Russie depuis l'invasion de février 2022 ? Propagande, éducation, institutions, tortures : durant des mois, la correspondante de L'Express dans la région, Clara Marchaud, a récolté les témoignages d'Ukrainiens traumatisés. Accompagnée de l'analyse de la sociologue Anna Colin Lebedev, spécialiste des sociétés post-soviétiques, elle nous emmène dans ses reportages au cœur d'une Ukraine inquiète de possibles négociations. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation et écriture : Charlotte BarisRéalisation et montage : Jules KrotCrédits : ZaTV, Fridrih Show Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy CambourPour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Alors qu'un film retrace leur – sordide – histoire commune sur les écrans, Stéphane Bern raconte Joseph Goebbels, devenu, à l'aube de la Seconde Guerre mondiale, l'éminence grise d'Hitler puis le ministre de la propagande du Reich qui a mis tout son savoir-faire au service du Führer pour façonner le personnage “légendaire” d'Hitler et l'aider dans son accession au sommet... Pourquoi Joseph Goebbels a-t-il adhéré à l'idéologie nazie ? Comment a-t-il participé à créer le personnage d'Hitler ? En quoi est-il un élément clé dans l'accession d'Hitler au pouvoir ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Johann Chapoutot, historien spécialiste du nazisme et de l'Allemagne, auteur de ""Les irresponsables. Qui a porté Hitler au pouvoir ?"" (Gallimard)
Alors qu'un film retrace leur – sordide – histoire commune sur les écrans, Stéphane Bern raconte Joseph Goebbels, devenu, à l'aube de la Seconde Guerre mondiale, l'éminence grise d'Hitler puis le ministre de la propagande du Reich qui a mis tout son savoir-faire au service du Führer pour façonner le personnage “légendaire” d'Hitler et l'aider dans son accession au sommet... Pourquoi Joseph Goebbels a-t-il adhéré à l'idéologie nazie ? Comment a-t-il participé à créer le personnage d'Hitler ? En quoi est-il un élément clé dans l'accession d'Hitler au pouvoir ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Johann Chapoutot, historien spécialiste du nazisme et de l'Allemagne, auteur de ""Les irresponsables. Qui a porté Hitler au pouvoir ?"" (Gallimard)
Dans cet épisode, Vincent Hervouët analyse la situation tendue à Gaza, où un fragile cessez-le-feu a été conclu. Il revient sur les manœuvres du Hamas, qui a mis en scène la libération de trois otages israéliens dans un spectacle médiatique. L'expert décrypte également les enjeux géopolitiques et les accusations croisées entre les parties impliquées dans ce conflit complexe.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Que se passe-t-il dans les régions ukrainiennes occupées par la Russie depuis l'invasion de février 2022 ? La correspondante de L'Express, Clara Marchaud, a mené l'enquête. Propagande, éducation, institutions, tortures : durant des mois, elle a récolté les témoignages d'Ukrainiens traumatisés. Accompagnée de l'analyse de la sociologue Anna Colin Lebedev, spécialiste des sociétés post-soviétiques, elle nous emmène dans ses reportages au cœur d'une Ukraine inquiète de possible négociations. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation et écriture : Charlotte BarisRéalisation et montage : Jules KrotMusique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy CambourPour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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Rencontre avec Thierry Piel.
Que se passe-t-il dans les régions ukrainiennes occupées par la Russie depuis l'invasion de février 2022 ? Propagande, éducation, institutions, tortures : durant des mois, la correspondante de L'Express dans la région, Clara Marchaud, a récolté les témoignages d'Ukrainiens traumatisés. Accompagnée de l'analyse de la sociologue Anna Colin Lebedev, spécialiste des sociétés post-soviétiques, elle nous emmène dans ses reportages au cœur d'une Ukraine inquiète de possibles négociations. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation et écriture : Charlotte BarisRéalisation et montage : Jules KrotCrédits : ZaTV, Fridrih Show Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy CambourPour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, Bruno Poncet, cheminot, et Joëlle Dago-Serry, coach de vie, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Les combats continuent de faire rage dans les régions du sud et du nord Kivu. « Les FARDC, les Forces armées de la République démocratique du Congo, affirment contenir "l'ennemi", précise Actualité CD, dans les zones de Lubero, Sake et Nyiragongo, tout en reconnaissant des "percées" à Bweremana (Nord-Kivu) et Minova (Sud-Kivu) ».En effet, poursuit le site congolais, « l'armée congolaise reconnaît que les rebelles du M23, appuyés par l'armée rwandaise, ont réussi à s'infiltrer dans Bweremana et à prendre le contrôle de la cité de Minova, une entité stratégique. (…) L'occupation de cette ville a provoqué une hausse des prix des produits de première nécessité et amplifié une crise humanitaire déjà critique, relève encore Actualité CD. Des milliers de déplacés, originaires de Masisi et de Rutshuru, ont fui à nouveau, s'ajoutant aux 700 000 personnes déjà enregistrées dans le groupement de Buzi ».D'après une source humanitaire citée par le site congolais, « la famine risque de toucher un grand nombre de personnes. Les familles de déplacés et celles d'accueil se dirigent désormais vers Goma dans des conditions précaires ».Statu quo…C'est désormais la guerre à outrance dans l'est de la RDC, pointe le site Afrikarabia. « En l'absence de toute perspective diplomatique et d'accord entre la RDC et le Rwanda après l'échec des pourparlers de Luanda, le M23 et les autorités congolaises ont décidé (en effet) de privilégier la solution militaire. Kinshasa refusant toute négociation directe avec le M23, et Kigali conditionnant désormais son retrait à un dialogue entre le gouvernement congolais et la rébellion, faisant par la même occasion voler en éclats un cessez-le-feu qui n'a jamais vraiment été respecté. Malgré les récents succès militaires des FARDC, le rapport de force ne s'est pas vraiment inversé sur le terrain, relève encore Afrikarabia. Sans un retrait des forces rwandaises qui, selon le dernier rapport de l'ONU, apportent un soutien militaire décisif en hommes et en armes sophistiquées, on ne voit pas comment l'armée congolaise peut venir à bout de la rébellion. Du côté du M23, on a également l'impression que les rebelles ne sont plus vraiment en mesure de conquérir de nouveaux territoires sans fragiliser les zones déjà sous son contrôle ».La bataille des communiquésEt cette guerre à outrance sur le terrain se double désormais d'une guerre des mots… C'est ce que relève Jeune Afrique. « Les gouvernements de Kinshasa et de Kigali s'affrontent aussi par médias interposés à mesure que le conflit s'intensifie. Les insultes fusent, de chaque côté de la frontière. Le langage a abandonné la diplomatie ».D'un côté, le président rwandais Paul Kagamé qui traite d'idiots les chefs militaires congolais. De l'autre, les autorités de Kinshasa qui qualifient le président rwandais d'élu de la terreur et qui le comparent à Joseph Goebbels, le ministre de la Propagande sous Hitler…De plus, souligne Jeune Afrique, « la guerre de communication complique le travail des journalistes. « Il faut éviter de se fier uniquement aux deux camps, met en garde Claude Sengenya, vice-président de l'Union nationale de la presse congolaise à Butembo (dans l'Est). Quand les combattants du M23 prennent une localité par exemple, ils se précipitent sur une pancarte qui mentionne son nom pour tourner une vidéo et la diffuser. Mais quand on passe un coup de téléphone, on se rend compte qu'ils ont juste occupé un petit bout du village », relève-t-il. Et « l'armée congolaise n'est pas en reste, pointe encore Jeune Afrique. L'armée congolaise qui diffuse des images de soldats morts présentés comme rwandais pour signifier sa supériorité ».La guerre des réseauxBref, « chaque partie tente d'imposer son récit », aussi par le biais d'internet et des réseaux sociaux avec des influenceurs dans les deux camps.Récemment, relève le site panafricain, la chaine de télévision qatari Al Jazeera a été suspendue pour 90 jours par les autorités congolaises. Elle avait diffusé une interview du chef politique du M23, Bertrand Bisimwa. Une interview réalisée par Bojana Coulibaly, qui se présente comme chercheuse mais qui est accusée par Kinshasa d'être une influenceuse pro-rwandaise.D'ailleurs, précise Jeune Afrique, les autorités congolaises ont lancé « un avertissement aux médias qui seraient perçus comme complaisants à l'égard du M23. Les autorités congolaises qui durcissent leurs positions sur le front médiatique tout en assurant respecter la liberté de la presse ».
Na čelo RTS-a moraju da dođu profesionalci, a budućem direktoru javnog servisa morao bi zakonom da bude zabranjen uticaj vlasti. RTS se ne bavi građanima, iako ga oni finansiraju. Vlast je u potpunosti uništila lokalne medije u Srbiji sa jasnom namerom da uguši glas naroda. Svako novinarstvo je teško, ako se radi na pravi način. Mnogi nezavisni novinari su životima platili cenu slobodne reči u Srbiji. U vremenima krize građani se okreću kredibilnim medijima. Društvene mreže je najteže kontrolisati jer nemaju zakonsku odgovornost, dok je podkast najbrže rastući medij na svetu. Digitalne platforme su budućnost novinarstva. Gost: Branko Čečen, Novinar i urednik
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui 20/01/2025, il revient sur les nombreuses personnalités qui ont l'intention de quitter le réseau social X (ex-Twitter) détenu par le milliardaire Elon Musk, allié du président élu Donald Trump. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.
S'ils sont des outils incontournables pour la communication et l'expression personnelle, le rôle des réseaux sociaux est en vérité bien plus flou. De plus en plus, ces plateformes sont utilisées comme terrains de jeu par des acteurs étrangers, qui cherchent à influencer, manipuler voire même déstabiliser. Alors que la liberté d'expression est plus que jamais au centre des débats, on s'interroge aujourd'hui sur le fonctionnement de TikTok, qui suscite de plus en plus d'inquiétudes de la part des gouvernements dans le monde.-----------------------------------------------------------------------SMART TECH - Le magazine quotidien de l'innovationDans SMART TECH, l'actu du numérique et de l'innovation prend tout son sens. Chaque jour, des spécialistes décryptent les actualités, les tendances, et les enjeux soulevés par l'adoption des nouvelles technologies.
Pour consulter l'article sur mon site - https://www.lapilulecast.com/la-cas-donald-trump-une-bataille-contre-la-desinformation/ Timeline et liste des sujets : 00:00:00 Introduction : Le comeback le plus spectaculaire de l'histoire de la politique. 00:03:17 Les masses ne savent même pas pourquoi elles pensent ce qu'elles pensent. 00:05:06 Une campagne de propagande digne d'un régime totalitaire. 00:05:38 Comment la presse occidentale est-elle devenue un outil de propagande au service des puissants ? 00:08:32 Barack Obama "Saint Barack" : De criminel à Prix Nobel de la paix. 00:11:00 Les médias traditionnels : une machine de propagande synchronisée. 00:12:00 De chouchou de la presse à ennemi public n°1. 00:15:21 La séquence d'une diabolisation médiatique : Trump, un agent russe. 00:17:52 Autre technique du Deep State : Attribuer à l'adversaire ses propres défauts. 00:20:19 Retour sur l'attaque du Capitole le 6 janvier 2021. 00:24:51 Après les élections perdues en 2020 : Trump est un criminel de carrière. 00:26:10 La trinité sacrée : Trump est un harceleur, un violeur, un raciste (le cas Stormy Daniels). 00:27:37 Autre stratégie du Deep State : Trump est un violeur en puissance (l'affaire E. Jean Carroll). 00:34:45 Un nouvel argument fait son apparition : Trump est raciste. 00:39:44 Trump et l'islam. 00:43:43 Trump et l'immigration illégale. 00:48:18 La carte ultime du Deep State : Assassiner Trump. 00:50:31 Déshumaniser pour tuer : la vicieuse stratégie des médias. 00:55:15 La mort des médias "officiels" : Le podcast de Joe Rogan.
Ak by herci prestali hrať, len by vyhoveli súdružke na ministerstve, hovorí v podcaste V redakcii český herec Ivan Trojan. Tento rok mal 60 rokov a sľubuje si, že od januára už bude naozaj menej pracovať. Rozprávala sa s ním Monika Tódová.
Bývalí štátni odborníci zmapovali, ako funguje ruská propaganda na slovenskom Telegrame. Zaostrili na takzvaných superšíriteľov, ktorí k nám vo veľkom importujú prokremeľské dezinformačné naratívy, často len niekoľko minút od ich zverejnenia v Rusku.„V podstate vieme, čo by sme mali robiť, avšak Slovensko je historicky veľmi slabé v implementácii týchto opatrení,“ hovorí expert o krokoch, ktoré by mal štát na poli hybridných hrozieb podnikať.Bez potrebnej politickej vôle to však nepôjde. Naopak, účelom propagandy cudzej mocnosti dobrovoľne poslúžil samotný premiér Robert Fico. Ako to vnímajú naši spojenci v NATO, čo to znamená pre našu cezhraničnú spoluprácu a pre samotnú Alianciu? A kde sa nachádza svetielko nádeje medzi štátnymi inštitúciami?Aj o tom v novej epizóde podcastu Disinfo Report projektu Infosecurity.sk hovorí Tonka Zsigmondová s expertom na hybridné hrozby Domiciánom Zahorjanom z Inštitútu pre nové bezpečnostné hrozby NEST.Infosecurity.sk prechádza na platformu Darujme.sk, kde nás môžete naďalej pravidelne či jednorazovo podporovať. Vďaka vašej pomoci dokážeme pracovať na odhaľovaní a vyvracaní dezinformácií, prispievať k ozdrave informačného prostredia a ochrane demokratických hodnôt. Za každý dar srdečne ďakujeme.
durée : 00:03:28 - Un monde connecté - par : François Saltiel - Le quotidien Le Monde révèle que 2000 créateurs de contenus européens ont été sollicités pour diffuser des éléments de propagande russe. Analyse de l'enquête.
Vincent Hervouët analyse l'attentat à la trottinette piégée à Moscou, qui a coûté la vie au général russe Igor Kirillov, figure clé de la propagande pro-russe. Alors que la guerre en Ukraine s'intensifie, ces attaques ciblées sur le sol russe marquent une nouvelle escalade.Vincent Hervouët explore les possibles responsabilités, évoquant l'implication des services ukrainiens et une stratégie visant à affaiblir le moral russe. Il décrypte aussi les enjeux géopolitiques, le rôle controversé de Kirillov, accusé de crimes de guerre, et la communication ukrainienne, revendiquant une « justice immanente ».Cet épisode éclaire la guerre en Ukraine et ses répercussions internationales, offrant une analyse précise de ce conflit en mutation.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Grand reportage nous emmène aujourd'hui dans le Haut-Karabakh. Après trois décennies de conflit entre Arméniens et Azerbaïdjanais, la région a été entièrement récupérée par Bakou au terme d'un assaut militaire éclair, le 19 septembre 2023. En quelques jours, la région a été vidée de ses quelque 120 000 Arméniens. Depuis, le régime d'Ilham Aliyev mène de grands travaux. Objectif : faire revenir au plus vite les 700 000 déplacés internes de la première guerre des années 1990, alors que la majorité des terres sont encore recouvertes de ruines et de mines. RFI a eu un accès rare à la région. Face aux journalistes, la réinstallation des premières familles est soigneusement mise en scène. «Haut-Karabach : l'après-guerre entre reconstruction et propagande de l'Azerbaïdjan», un Grand reportage de Manon Chapelain.
En 1933, les nazis prennent le pouvoir en Allemagne, avec un objectif clair : contrôler non seulement le pays, mais aussi les esprits. Dans cette stratégie de domination idéologique, la radio joue un rôle central. C'est dans ce contexte qu'est créé le Volksempfänger, littéralement « récepteur du peuple », un poste de radio abordable, conçu pour rendre la propagande nazie accessible à tous les foyers allemands.Sous l'impulsion de Joseph Goebbels, ministre de la Propagande, le Volksempfänger est présenté pour la première fois le 18 août 1933, lors de l'exposition internationale de radiodiffusion à Berlin. Conçu par Otto Griessing et produit par l'entreprise Seibt, ce poste incarne une prouesse technologique et stratégique. L'objectif n'est pas d'offrir une radio multifonctionnelle ou sophistiquée, mais un appareil simple et bon marché, que même les classes les plus modestes pourraient s'offrir.Le modèle phare, le VE301, est proposé à un prix attractif : 76 Reichsmarks pour la version électrique et 65 Reichsmarks pour la version à piles. Ces prix, bien en deçà du marché, sont possibles grâce à une production standardisée et au soutien de l'État. Ce sacrifice économique en apparence est en réalité un investissement idéologique majeur.Le Volksempfänger est conçu pour capter principalement les stations allemandes et bloque, autant que possible, les stations étrangères. Cette limitation technique reflète la volonté de Goebbels de réduire au silence les discours opposés et de monopoliser l'attention des auditeurs. Grâce à cet appareil, la propagande nazie, transmise par des discours, des émissions et de la musique soigneusement sélectionnés, entre directement dans les foyers.En quelques années, plus de 7 millions d'appareils sont vendus, renforçant le contrôle du régime sur l'information. Le Volksempfänger devient alors l'outil par excellence pour diffuser l'idéologie nazie, galvaniser les foules et alimenter le culte de la personnalité d'Adolf Hitler.Ainsi, le poste de radio à prix cassé n'était pas un geste de générosité, mais une arme psychologique redoutable, servant à ancrer la dictature dans le quotidien des Allemands. Le Volksempfänger reste aujourd'hui un symbole du pouvoir de la technologie dans la manipulation des masses. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
NB : Version française d'une interview originellement en anglais enregistrée le 27 mai 2022 (épisode 92)Noam Chomsky est une légende vivante. Il est considéré comme un des plus grands intellectuels de notre époque, tout simplement. Il a fondé la linguistique générative, et ses théories sont devenues des références absolues dans le monde entier. Il a déclenché ce qu'on a coutume d'appeler « la révolution cognitive » et en tant que professeur émérite au MIT durant 60 ans son influence sur le monde académique a été immense. Mais c'est surtout comme intellectuel engagé qu'il s'est rendu célèbre, avec ses prises de position opposées à la pensée dominante. En 1967, il publie "Responsabilités des intellectuels", un essai dans lequel il souligne l'importance de l'engagement politique des intellectuels en raison de leur capacité de discernement et de leur accès privilégié à la vérité. Ouvertement opposé à la guerre du Viêt Nam, Noam Chomsky prône la résistance face aux formes d'autorité illégitimes.Il n'a eu de cesse de révéler au grand publique les techniques de propagandes utilisées par les Etats (son livre « la fabrication du consentement » est incontournable) et les puissants, et de condamner les abus de pouvoir de la puissance américaine en particulier.Ensemble nous parlons de sa vision de notre époque et de ses enjeux, des dynamiques et structures qui nous entrainent, des USA comme puissance déstabilisatrice, de la guerre en Ukraine et du sens de la vie.De quoi parle-t-on ?00:00 - Introduction02:40 - Langage et liberté07:45 - Comment définir notre époque ?12:10 - Quelles sont les dynamiques et structures les plus importantes ?18:40 - La propagande aujourd'hui30:30 - La guerre Russie-Ukraine et le rôle des États-Unis41:30 - L'irresponsabilité des dirigeants46:30 - Qu'est-ce qui pourrait changer notre trajectoire ?50:30 - Qu'est-ce qui vous donne de l'espoir et qu'est-ce qui vous effraie ?----Retrouvez tous les épisodes et les résumés sur www.sismique.frSismique est un podcast indépendant créé et animé par Julien Devaureix.
Nova epizoda podcast-a "Snaga uma" donosi razgovor sa glumcem Bojanom Dimitrijevićem, koji je nedavno imao premijeru predstave "Ućutkivanje Sokrata" u Bitef teatru, gde igra samog Sokrata. Bojan je govorio o procesu preispitivanja kroz koji je prošao gradeći Sokratov lik na sceni, o kritičkom mišljenju koje je skoro 2500 godina uvek na meti i uvek tako krhko, o odnosu kulture i estrade, ali pre svega o umetnosti koja jedina može da nas nahrani lepotom i istinom u vremenu spinova.
durée : 01:59:40 - Les Matins du samedi - par : Nicolas Herbeaux - Dans les Matins du Samedi on s'intéresse cette semaine à la définition d'un père. Nous recevons aussi les spécialistes de la Russie Elena Volochine et Anna Colin Lebedev pour évoquer la propagande russe. Et enfin, Nicolas Herbeaux reçoit le roumain Emmanuel Pârvu pour la sortie de son dernier film. - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Elena Volochine Journaliste pour France 24; Anna Colin Lebedev Maîtresse de conférences à Paris Nanterre, spécialiste de l'Ukraine et de la Russie post-soviétique; Emanuel Pârvu cinéaste
Ernesto “Che” Guevara (1928-1967) est incontestablement l'une des plus grandes icônes révolutionnaires du XXe siècle. Son portrait en “guerrillero heroico" a été maintes fois reproduit et brandi comme symbole de révolte. Mais quel homme se trouve derrière le héros mythifié de la révolution cubaine ? Celui qui vantait la haine comme moteur de lutte n'a-t-il pas terni son image devant la postérité en faisant couler le sang ?Pour en parler, Virginie Girod reçoit l'historien François Kersaudy. Grand spécialiste de l'histoire du XXe siècle, il a consacré un chapitre à Che Guevara dans son livre Dix faces cachées du communisme (Perrin).Thèmes abordés : Cuba, Amérique latine, révolution, marxisme Au Cœur de l'Histoire est un podcast Europe1- Présentation : Virginie Girod- Production : Armelle Thiberge et Morgane Vianey- Réalisation : Clément Ibrahim- Composition des musiques originales : Julien Tharaud et Sébastien Guidis- Promotion et coordination des partenariats : Marie Corpet- Visuel : Sidonie Mangin
En 1949, Mao Zedong (1893-1976) proclame l'avènement de la République populaire de Chine. Après le désastre de la politique du “Grand Bond en avant”, celui que l'on surnomme le Grand Timonier lance la Révolution culturelle en 1966, afin de renforcer son pouvoir. À plusieurs milliers de kilomètres, en France, des intellectuels et militants communistes voient dans le maoïsme l'opportunité de changer le monde.Pour évoquer cette période, Virginie Girod reçoit l'historien et politologue Pierre Rigoulot. Spécialiste de l'histoire du mouvement et des États communistes, il “était Mao” dans les années 1960.Thèmes abordés : communisme, Chine, République populaire de Chine, maoïsme, Mao Zedong, intellectuels, militantisme Au Cœur de l'Histoire est un podcast Europe1- Présentation : Virginie Girod- Production : Armelle Thiberge et Morgane Vianey- Réalisation : Clément Ibrahim- Composition des musiques originales : Julien Tharaud et Sébastien Guidis- Promotion et coordination des partenariats : Marie Corpet- Visuel : Sidonie Mangin
durée : 00:05:01 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - La Russie étend sa propagande en Afrique sous couvert d'initiatives culturelles et sportives, notamment au Burkina Faso, explique la BBC. L'amitié entre les peuples cache la défense des intérêts du Kremlin, précise Maxime Audinet, spécialiste de la politique étrangère russe et chercheur à l'IRSEM. - invités : Maxime Audinet Docteur en études slaves de l'université de Paris Nanterre et chercheur à l'IRSEM.
durée : 00:06:19 - La Revue de presse internationale - Fil rouge sur la propagande russe avec la milice privée russe Espanola, qui combat en Ukraine. Elle a été fondée par des hooligans. Gros plan aussi sur l'African initiative, implantée au Burkina Faso notamment, pour défendre les intérêts du Kremlin, sous couvert d'amitié entre les peuples.