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Que se passe-t-il dans les régions ukrainiennes occupées par la Russie depuis l'invasion de février 2022 ? La correspondante de L'Express, Clara Marchaud, a mené l'enquête. Propagande, éducation, institutions, tortures : durant des mois, elle a récolté les témoignages d'Ukrainiens traumatisés. Accompagnée de l'analyse de la sociologue Anna Colin Lebedev, spécialiste des sociétés post-soviétiques, elle nous emmène dans ses reportages au cœur d'une Ukraine inquiète de possible négociations. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation et écriture : Charlotte BarisRéalisation et montage : Jules KrotMusique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy CambourPour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Que se passe-t-il dans les régions ukrainiennes occupées par la Russie depuis l'invasion de février 2022 ? La correspondante de L'Express, Clara Marchaud, a mené l'enquête. Propagande, éducation, institutions, tortures : durant des mois, elle a récolté les témoignages d'Ukrainiens traumatisés. Accompagnée de l'analyse de la sociologue Anna Colin Lebedev, spécialiste des sociétés post-soviétiques, elle nous emmène dans ses reportages au cœur d'une Ukraine inquiète de possible négociations. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation et écriture : Charlotte BarisRéalisation et montage : Jules KrotMusique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy CambourPour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Que se passe-t-il dans les régions ukrainiennes occupées par la Russie depuis l'invasion de février 2022 ? Propagande, éducation, institutions, tortures : durant des mois, la correspondante de L'Express dans la région, Clara Marchaud, a récolté les témoignages d'Ukrainiens traumatisés. Accompagnée de l'analyse de la sociologue Anna Colin Lebedev, spécialiste des sociétés post-soviétiques, elle nous emmène dans ses reportages au cœur d'une Ukraine inquiète de possibles négociations. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation et écriture : Charlotte BarisRéalisation et montage : Jules KrotMusique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy CambourPour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Que se passe-t-il dans les régions ukrainiennes occupées par la Russie depuis l'invasion de février 2022 ? Propagande, éducation, institutions, tortures : durant des mois, la correspondante de L'Express dans la région, Clara Marchaud, a récolté les témoignages d'Ukrainiens traumatisés. Accompagnée de l'analyse de la sociologue Anna Colin Lebedev, spécialiste des sociétés post-soviétiques, elle nous emmène dans ses reportages au cœur d'une Ukraine inquiète de possibles négociations. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation et écriture : Charlotte BarisRéalisation et montage : Jules KrotCrédits : ZaTV, Fridrih Show Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy CambourPour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Après des années de brouille, la Centrafrique et la France ont repris leur partenariat en avril 2024 et une feuille de route a été signée entre les deux pays. Le président centrafricain s'est rendu en France à plusieurs reprises en 2024 et le 10 juillet dernier, le général français Pascal Ianni, à la tête du commandement de l'armée française pour l'Afrique, s'est rendu à Bangui. Il a évoqué avec le ministre centrafricain de la Défense Claude Rameau Bireau le partenariat entre les deux armées, en matière de formation. L'armée française accueille en ce moment une quinzaine d'officiers et sous-officiers centrafricains. Qu'est-ce qui a poussé Bangui à reprendre ses relations avec Paris ? Thierry Vircoulon est chercheur au centre Afrique de l'IFRI. RFI: c'est une première depuis neuf ans. Un général français s'est rendu à Bangui. Pascal Ianni qui est à la tête du commandement de l'armée française pour l'Afrique a fait le déplacement pour évoquer le partenariat entre les deux armées en matière de formation. C'est là un symbole fort, surtout quand on se rappelle le rôle joué par l'armée française dans le pays. Thierry Vircoulon : Oui, c'est en effet un retour après une longue période d'éclipse puisque la coopération militaire entre la France et la Centrafrique avait été réduite drastiquement et avait même quasiment disparu, alors que, en effet, la France a pendant longtemps, je pense surtout au 20ᵉ siècle, joué le rôle à la fois de créateur et de formateur de l'armée centrafricaine. Paris et Bangui ont relancé leurs relations en avril 2024. Après plusieurs visites du président Touadéra en France, ce déplacement, c'était là un moyen, côté français, d'acter en quelque sorte ce rapprochement ? C'est-à-dire qu'il y a eu une feuille de route qui a été signée entre Paris et Bangui pour reprendre les relations qui avaient été rompues. Enfin pas rompues officiellement, mais en tout cas qui étaient très mauvaises pendant plusieurs années. Et donc la feuille de route qui a été signée avait plusieurs axes et impliquait en effet qu'un certain nombre de coopérations soient renouées. Et on voit avec la visite du général Ianni que la coopération militaire fait partie de ces coopérations qui devaient être renouées. Qu'est-ce qui a poussé les autorités centrafricaines à reprendre ce partenariat avec la France ? Je ne sais pas. Et je me demande même, qu'est-ce qui a poussé les autorités françaises à reprendre ce partenariat avec Bangui ? Puisque que dans le fond, on ne voit pas cette feuille de route qui a été signée l'année dernière, on ne voit pas quel était son objectif stratégique dans la mesure où Paris n'a plus aucun intérêt en Centrafrique. Total et Bolloré sont partis. Ils ont vendu leurs actifs en Centrafrique depuis quelques années et donc il y a quasiment plus de société française là-bas. Il y a une communauté française qui est très limitée, donc on ne voit pas vraiment qu'est-ce qui a pu motiver Paris à vouloir renouer comme ça avec un régime qui est à bout de souffle. Est-ce qu'il n'y a pas un enjeu stratégique pour la France de ne pas laisser la Russie seule là-bas ? On sait que la France a été un petit peu, on ne va pas dire chassée, mais… Si, il faut dire chasser, oui, il faut dire chasser. La France a été chassée par la Russie, est-ce qu'il n'y a pas aussi un enjeu stratégique pour Paris ? Oui, alors on peut dire que c'est ça l'enjeu stratégique. Mais pour le moment, on n'a pas vraiment vu la perte d'influence de la Russie sur le régime centrafricain. Au contraire, le président Touadéra a été voir Vladimir Poutine au début de cette année. Les échanges continuent, si je puis dire. Mais surtout, la mainmise de Wagner reste totale sur l'appareil sécuritaire centrafricain. Donc, on ne voit pas ce que cette politique a amené pour le moment. La feuille de route a permis d'une part de libérer un citoyen français qui était dans les geôles centrafricaines, ça, c'est clair. On voit aussi, quand on monitore un peu les médias centrafricains, que la propagande anti-française a diminué. Donc, il y a eu des signes du gouvernement centrafricain en quelque sorte. Mais par contre, il n'y a aucun signe de diminution de l'emprise russe sur le régime centrafricain. Il y a un scrutin présidentiel qui se profile à l'horizon en décembre 2025. Est-ce que côté centrafricain, le président Touadéra ne cherche-t-il pas quand même des appuis avant cette échéance importante ? Il cherche des appuis, mais pas du côté français en tout cas. Puisque premièrement, la contribution financière de la France aux élections dont vous parlez devrait être extrêmement modeste, s'il y en a une. Et en fait, sa garantie de réélection, il est allé la chercher à Moscou et également aux Émirats arabes unis. Et surtout en introduisant des modifications de la Constitution qui mettent hors-jeu la plupart de ses adversaires politiques parce qu'avec les nouvelles règles juridiques qui ont été mises dans la Constitution la candidature de beaucoup d'entre eux ne devrait pas pouvoir être validée par la Commission électorale. À lire aussiCentrafrique: Paris et Bangui envisagent une reprise de leur coopération militaire
Etienne Fakaba Sissoko est un économiste malien, professeur à l'université de Bamako et voix critique de la Transition. Après avoir publié fin 2023 un livre dans lequel il dénonçait la « propagande » des autorités de transition, Etienne Fakaba Sissoko a été condamné notamment pour « atteinte au crédit de l'État » et a passé un an en prison. Etienne Fakaba Sissoko avait déjà été emprisonné pendant six mois, deux ans plus tôt, sans aucune condamnation.Libéré fin mars, Etienne Fakaba Sissoko est désormais exilé, de passage en France. Tenir, témoigner, lutter : durant sa détention, le chercheur a écrit plusieurs livres dont Le trône des illusions (mai 2025, L'Harmattan). Un roman, une fiction, où le Mali de transition transparaît à chaque page. Les personnages et les situations collent au réel… sauf pour la fin, où l'auteur imagine la chute du régime. Etienne Fakaba Sissoko est l'invité Afrique de RFI, au micro de David Baché. RFI : Votre roman se passe dans le pays imaginaire de Gayma, sous un régime militaire putschiste autoritaire, le protagoniste Sabu est « un professeur devenu résistant », qui comme vous écrit, dénonce, est emprisonné… Je ne fais pas la liste des personnages dont on reconnaît facilement à qui ils correspondent : pourquoi avoir écrit un roman, et pas un essai politique sur le Mali de transition ? Etienne Fakaba Sissoko : Déjà, le fait de me retrouver en prison était dû à un essai politique que j'avais écrit : « Propagande, agitation, harcèlement, la communication gouvernementale sous la transition militaire ». Et donc, puisque la lutte aussi, c'est des phases, j'ai voulu essayer autre chose que d'appeler les choses par leur nom, tout en laissant la possibilité au lecteur de savoir exactement à quoi on fait référence. À lire aussiMali: après un an passé en détention, l'universitaire Étienne Fakaba Sissoko a été libéré Vous décrivez dans votre livre des scènes très touchantes, en prison, qui réunissent d'anciens ministres et des jeunes militants, avec des discussions politiques, des désaccords, mais aussi un amour de la patrie et une forme de fraternité. C'est-ce que vous avez vécu, dans la prison de Kenioroba ? Aujourd'hui effectivement oui, lorsqu'on pense à ces moments douloureux, je pense encore Adama Ben Diarra dit « Ben le cerveau », je pense à Ras Bath, à « Rose la vie chère », Clément Dembélé, Kalilou Doumbia, Adama Sangaré, l'ancien maire de Bamako… tous ces résistants qui se retrouvent aujourd'hui en prison et qui ont été des soutiens mutuels. On vivait les mêmes injustices, les mêmes privations de liberté et donc la seule alternative pour tenir, c'était justement de se nourrir de ces rêves pour le pays et surtout de ces débats que nous avions au quotidien. Donc c'était une fraternité effectivement, comme vous le dites, mais c'était surtout des moments profonds de réflexion pour l'avenir de notre nation. À lire aussiMali: l'économiste Etienne Fakaba Sissoko attend toujours son procès en appel Vous définissez le régime militaire de Gayma, le pays de votre roman, comme « un empire de répression et d'illusion ». C'est ce que vous pensez de la Transition malienne ? Pas que de la transition malienne. De toutes les transitions aujourd'hui au Sahel : que le lecteur soit du Niger, du Burkina ou du Mali, il saura retrouver les traits des pays qui répriment les libertés fondamentales, les libertés individuelles, qui dissolvent les partis politiques. Des régimes autoritaires qui se donnent des mandats à durée indéterminée, qui n'acceptent plus la critique et qui, finalement, se retrouvent dans des pays divisés où les populations se regardent en chiens de faïence. Et tout cela dans un contexte d'insécurité, de pauvreté extrême. Et l'illusion ? L'illusion, c'est le fait de croire que tout cela peut perdurer. Le fait de croire qu'avec la répression, on puisse se maintenir au pouvoir pour 5 ans, pour 10 ans, sans résultat probant. L'illusion, c'est surtout de penser que les populations resteront dans cette situation-là. Et aujourd'hui, nous sommes dans cette illusion-là qui est entretenue par nos autorités militaires, qui ont pris goût aux délices du pouvoir. L'illusion, c'est tout le narratif qui est présenté aujourd'hui aux populations. La question de la lutte contre l'insécurité. Nous avons suivi Kayes qui est tombée… À lire aussiMali: la Cour d'appel confirme la condamnation et la peine de prison d'Étienne Fakaba Sissoko Les attaques jihadistes tout le long de la frontière sénégalaise et mauritanienne, et notamment dans cette ville de Kayes. Exactement, et ces sept attaques qui se sont tenues simultanément dans ces régions-là montrent combien l'insécurité a gagné du terrain. Mais quand vous écoutez les autorités, vous avez l'impression que tout se passe bien. L'illusion, c'est surtout de dire qu'au Mali tout va bien, alors que les populations n'ont pas à manger trois fois par jour. L'illusion, c'est surtout de croire que nous avons un pays qui se développe lorsque que la moindre des choses qui est l'électricité, nous ne l'avons pas. Donc oui, l'illusion, c'est le narratif servi par les autorités maliennes actuellement. Dans votre livre, les habitants ont peur et n'osent pas critiquer le régime. Est-ce que c'est vraiment le cas, selon vous, au Mali ? Est-ce que la Transition n'est pas populaire, malgré les difficultés ? Si la Transition était populaire, elle aurait organisé les élections, comme elle a organisé le référendum il y a quelques années. Lorsqu'on est populaire, on n'a pas peur de se confronter au suffrage universel. Les militaires qui sont au pouvoir ne vont pas aux élections parce qu'ils savent qu'ils n'ont pas le soutien du peuple malien. Le rejet est tel que c'est impossible aujourd'hui pour les autorités actuelles, notamment Assimi Goïta, de se confronter au suffrage universel. Mais les objectifs de la Transition : sécuriser le pays, faire du Mali un pays souverain qui décide pour lui-même, ce ne sont pas des objectifs légitimes ? Des objectifs légitimes oui, mais lorsqu'on a passé cinq ans déjà dans une transition et qu'on n'est pas arrivé à lutter contre l'insécurité et que finalement, on se retrouve dans une situation où c'est l'inverse : l'insécurité qui était d'abord concentrée au nord s'est retrouvée au centre et aujourd'hui, c'est tout le pays, y compris le sud, le sud-ouest, qui sont touchés par l'insécurité. Donc en l'absence de résultats, on ne peut pas confier encore un mandat supplémentaire. C'est pourquoi je dis : quels que soient les objectifs que ces autorités-là vont présenter au peuple malien, ils ont échoué, ils doivent partir. De gré ou de force. À lire aussiMali: la Cour d'appel confirme la condamnation et la peine de prison d'Étienne Fakaba Sissoko Votre livre devient véritablement fiction lorsque le peuple se soulève et finit par renverser le tyran. Vous racontez une insurrection populaire, que vous appelez « la grande convergence », dans les villes et les campagnes, avec des réunions clandestines, et aussi le soutien de militaires désabusés… Ce que vous écrivez, on comprend que c'est peut-être ce que vous souhaitez. Est-ce que vous pensez vraiment que ça peut se passer comme ça ? C'est un vœu pour certains, mais pour moi, c'est un travail. C'est un travail de rassemblement, un travail de discussion, un travail de dialogue avec tous ceux qui aujourd'hui sont des acteurs importants de la stabilité du Mali. Je parle des partis politiques, je parle des groupes armés, qu'ils soient des groupes armés avec des revendications politiques ou des groupes armés avec d'autres types de revendications… Les rebelles et les djihadistes, pour traduire. Absolument. Il faut discuter avec tout le monde, arrêter de faire le faux-fuyant et penser que la guerre à elle seule peut amener la paix dans notre pays. Nous l'avons expérimenté depuis 2012. Jusqu'à maintenant, la situation continue de se détériorer. Il faut trouver autre chose. Vous êtes longtemps resté au Mali, malgré les risques. Vous en avez payé le prix, en séjournant longuement en prison. À présent que vous êtes sorti, vous êtes de passage en France, qu'est-ce que vous allez faire ? Je vais continuer à échanger avec les différents acteurs, tous ceux qui aujourd'hui estiment que le Mali a assez souffert sous cette dictature-là, tous ceux qui adoptent comme principe que la démocratie est la seule voie qui vaille au Mali et qu'il faut se battre pour arracher le pays des griffes de ces militaires actuellement au pouvoir. À lire aussiMali: le procès en appel de l'économiste Étienne Sissoko débute à Bamako
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Apparu en 1938 dans les pages de Action Comics #1 sous la plume de Jerry Siegel et le crayon de Joe Shuster, celui que l'on surnomme L'Homme d'Acier va rapidement devenir l'un des personnages phares de DC Comics. Des comic books au film réalisé par James Gunn en 2025, en passant par les dessins animés et le film de Richard Donner sorti en 1978, vous connaissez forcément au moins une version de ce super-héros. Mais derrière le costume bleu, le symbole synonyme d'espoir et une interminable liste de pouvoirs surhumains se cache une icône bien plus politique que l'on ne peut l'imaginer ! Aujourd'hui, je reviens sur la figure de Superman, sur son rôle d'outil de propagande, et sur la façon dont il a participé à diffuser le Soft Power des États-Unis durant plusieurs décennies.Les comics recommandés dans cet épisode pour découvrir les origines de Superman, lire des récits cultes, ou explorer des versions alternatives de Superman en français chez Urban Comics :* Superman par John Byrne* Superman : Origines Secrètes - Geoff Johns et Gary Frank* Superman : For All Seasons - Jeph Loeb et Tim Sale* Superman écrase le Klan - Gene Luen Yang et Gurihiru* All-Star Superman - Grant Morrison et Frank Quitely* Superman : Space Age - Mark Russell, Mike Allred et Laura Allred* Superman : Lost - Christopher Priest et Carlo Pagulayan* Superman : Identité Secrète - Kurt Busiek et Stuart Immonen* Superman : Le Dernier Fils - Geoff Johns, Richard Donner et Adam Kubert* La Mort de Superman - Dan Jurgens et Louise Simonson* Superman : Red Son - Mark Millar, Dave Johnson et Kilian Plunkett* Injustice - Intégrale - Tome 1* Superman : Son of Kal-El - Tom Taylor et John Timms* Crisis on Infinite Earths - Marv Wolfman et George Pérez* Absolute Superman - Jason Aaron et Rafa SandovalD'autres comics qui revisitent et déconstruisent le mythe de Superman :* The Boys - Tome 1* Invincible - Intégrale - Tome 1* Irrécupérable - Intégrale - Tome 1Cet épisode est également disponible au format vidéo sur Youtube !Soutenez-moi sur Ulule à partir de 1€ par mois !Mes réseaux sociaux. Get full access to CHRIS - POP CULTURE & COMICS at chrisstup.substack.com/subscribe
Céline Géraud, accompagnée de la rédaction d'Europe 1, propose chaque midi un point complet sur l'actualité suivi de débats entre invités et auditeurs.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En temps de guerre, il faut savoir faire le tri entre l'information et la propagande…
En temps de guerre, il faut savoir faire le tri entre l'information et la propagande…
Tu es prof de yoga , ou en chemin pour le devenir , et parfois tu doutes.Tu te demandes si tu es “comme il faut” : assez formée, assez calme, assez légitime…Dans cet épisode, je partage avec toi 6 propagandes du monde du yoga, ces idées reçues qu'on entend partout mais qui finissent par t'éloigner de ta propre voix.Certaines m'ont longtemps collée à la peau. D'autres, je n'y ai jamais cru...On parle entre autres de :La certification Yoga AllianceLe mythe de la prof toujours zenL'obsession de l'hygiène de vie parfaiteLa pression de se former sans cesseLe tabou de l'argentEt l'illusion qu'il faut enchaîner les cours pour être une “bonne” prof.
Vincent Hervouët revient sur l'échec de la flottille pour Gaza, où des militants ont tenté de forcer le blocus israélien. Malgré leurs bonnes intentions, cette traversée a tourné court, avec l'intervention des forces israéliennes. Hervouët analyse les enjeux géopolitiques de cet incident, les jeux de propagande et les dangers du "tourisme humanitaire". Il met en garde contre l'aveuglement de certains militants face à la complexité des conflits au Moyen-Orient.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine, nous avons rendez-vous avec Pierre Conesa, essayiste et ancien haut fonctionnaire que nous avons déjà eu le plaisir de recevoir dans de précédents épisodes. Cette fois, nous revenons sur la nouvelle chronique qu'il signe dans notre magazine papier, le numéro 19 encore disponible en kiosque pour quelques jours si vous écoutez cet épisode au moment de sa sortie : https://defense-zone.com/products/magazine-defense-zone-18N'oubliez pas de vous abonner au podcast ainsi qu'à notre magazine papier, afin de soutenir notre travail.Nous vous souhaitons une bonne écoute.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On est tous debout... toute la journée au Saguenay-Lac-Saint-Jean
Ce matin, mardi 3 juin avec Vincent et Megan Megan teste la nouvelle tendance : Propagande à laquelle je n’adhère pas. Félix-Antoine Tremblay dresse la liste des avantages à dormir tout nu ! On reçoit Martin Vachon pour son spectacle Ah Caramel ! Bonne écoute !
À la Une de la presse, ce mercredi 28 mai, le chaos provoqué par la première distribution d'aide alimentaire gérée par Israël à Gaza. L'effondrement du système éducatif, notamment universitaire, dans l'enclave palestinienne. La difficile reconstruction des écoles en Syrie. La propagande russe tournée vers la jeunesse. Et une masterclass d' Agatha Christie, la reine du crime britannique.
Aujourd'hui dans le podcast, on parle en long et en large de la rentrée parlementaire à la Chambre des communes à Ottawa. On écoute un extrait du premier discours de Mark Carney en chambre, ainsi qu'une vidéo embarrassante où il rejette d'un revers de la main une interaction avec Mélanie Joly. Bien évidemment, on analyse ce qui se cache réellement derrière la venue du roi Charles III d'Angleterre et de la reine Camilla au Canada, censée confirmer l'indépendance du pays.DANS LA PARTIE PATREON, on commence avec Frank, qui compare un récent texte de Joseph Facal sur la guerre entre le gouvernement Legault et les médecins du réseau public avec un texte de 2002, où François Legault — alors ministre de la Santé — tenait un discours étonnamment similaire, 23 ans plus tôt. Ensuite, Joey nous lit un article de La Presse portant sur la montée du masculinisme. On termine en écoutant trois vidéos loufoques : la première met en scène l'autrice québécoise Emmanuelle Pierrot lors d'une entrevue à Urbania, la deuxième est une vidéo TikTok de Radio-Canada qui explique pourquoi on ne devrait presque plus prendre l'avion pour sauver la planète, et la dernière est un reportage de PIGE ATM sur la montée du communisme au Québec.0:00 – Intro2:01 – Rentrée parlementaire à Ottawa3:51 – Discours de Mark Carney11:29 – Arrivée du roi Charles III17:38 – Le grand jour, c'est aujourd'hui23:03 – On passe à côté de quelque chose26:45 – Nos commanditaires28:21 – Les experts nous expliquent la visite royale37:49 – À venir dans le Patreon38:33 – Ouverture de la partie Patreon
Le rendez-vous aura-t-il lieu jeudi à Istanbul entre Vladimir POUTINE et Volodymyr ZELENSKY ? Rien n'est encore sûr mais en tout cas les lignes bougent après un intense week-end diplomatique… Alors la paix a-t-elle pour la première fois une chance de l'emporter ou assistons-nous à un vaudeville géopolitique qui ne débouchera sur rien ? Qui piège qui dans ce qui ressemble à un poker menteur mondial ? On en débat ce lundi 12 mai avec nos invités : ▶︎ Isabelle LASSERRE Correspondante diplomatique du Figaro▶︎ Elena VOLOCHINE Grand reporter, autrice de « Propagande : l'arme de guerre de Vladimir Poutine » aux éditions Autrement (02.10.24)▶︎ Diana FILIPPOVA Directrice éditoriale de France Positive, essayiste, romancière, co-fondatrice de Place Publique, autrice de « De l'inconvénient d'être russe » aux éditions Albin Michel (01.09.2023)▶︎ Régis GENTÉ Journaliste, correspondant de RFI et au Figaro en Géorgie, auteur de « Notre homme à Washington: Trump dans la main des Russes » aux éditions Grasset (16.10.24)▶︎ Cyrille AMOURSKY Reporter de guerre indépendant, chroniqueur à LCI▶︎ Florian LOUIS Historien, docteur de l'École des Hautes Etudes en sciences sociales (EHESS)
Vladimir Poutine a défié ce 9 mai les Occidentaux avec un imposant défilé militaire pour les 80 ans de la victoire sur l'Allemagne nazie. Il a aussi célébré le « courage » des soldats russes engagés en Ukraine, devant des milliers de militaires rassemblés sur la place Rouge et une vingtaine de dirigeants étrangers, dont les présidents chinois, brésilien, serbe avec un seul membre de l'UE, le critiqué Premier ministre slovaque. Ces commémorations occupent une place centrale dans le culte patriotique de la victoire de 1945 promu par le président russe. Cet affichage est-il une annonce d'un nouvel ordre mondial ? L'analyse de l'historien Antoine Arjakovsky, spécialiste des relations russo-ukrainiennes et auteur d'une vingtaine d'ouvrages, dont Qu'est-ce que la science morale et politique ?, aux éditions du Cerf.
La semaine dernière c'était le 1er mai : fête des travailleurs et des travailleuses. Une journée chômée et payée qui permet de remettre les questions du travail, et plutôt des droits des travailleurs, sur la table. Entre 150 000 et 300 000 personnes ont battu le pavé pour cette journée historique partout en France jeudi dernier. Les français ne travaillent pas assez, le coût du travail plombe les entreprises et l'activité, on prend trop de vacances, trop d'arrêts maladie… Les attaques aux droits sont nombreuses dans le pays.Lisa Lap et Thomas Porcher décryptent tout cela, c'est l'Instant Porcher !▶ Soutenez Le Média :
En temps de guerre, il faut savoir faire le tri entre l'information et la propagande.
En temps de guerre, il faut savoir faire le tri entre l'information et la propagande.
Discussion sur la série «Adolescence» diffusée sur Netflix Entrevue avec Julien Bournival, entrepreneur et influenceur masculiniste.Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
L'administration Trump a entamé le démantèlement des médias publics américains opérant à l'étranger en gelant les budgets de l'agence supervisant Voice of America, Radio Free Europe ou encore Radio Free Asia. Pour comprendre ce que sont ces médias et ce qu'ils représentent, L'atelier des médias reçoit Maud Quessard, directrice de recherche à l'Irsem. Vendredi 14 mars, Donald Trump a signé un décret classant l'Agence des États-Unis pour les médias publics américains diffusant à l'international (USAGM) parmi les « activités inutiles de la bureaucratie ».Derrière ce sigle se trouvent des médias ayant pour nom Voice of America (VOA), Radio Free Europe/Radio Liberty (RFE/RL), Radio Free Asia (RFA), Radio y Televisión Martí (Cuba) encore Middle East Broadcasting Networks (MBN).Depuis une semaine, les budgets de l'USAGM sont gelés, et les activités de ses médias, souvent menées dans des zones de tension à travers le monde, sont réduites au strict minimum ou purement et simplement arrêtées.Que représentent les médias supervisés par l'USAGM ? Quel symbole revêt la suspension de leurs activités pour le soft power médiatique américain ? Quels peuvent être les impacts de leur éventuelle disparition pour la liberté de la presse dans le monde ? Ce sont des questions que L'atelier des médias a posé à Maud Quessard, directrice du domaine « Europe, espace transatlantique, Russie » à l'Institut de recherche stratégique de l'École militaire (Irsem), à Paris, spécialiste de la diplomatie publique des États-Unis.Extrait choisi : « Je pense qu'on est effectivement dans une disruption. Je parle peut-être plus même de schisme idéologique dans la mesure où ces attaques qui sont faites sur ces bastions médiatiques du monde libre créent un renversement des valeurs. Exactement comme on a pu avoir un renversement des valeurs avec le discours porté par JD Vance en Europe à Munich. Et ce renversement des valeurs, ce n'est plus finalement le fait que les États-Unis soient un espace informationnel libre et démocratique comme on a pu le connaître, mais un espace qui se ferme sur un modèle qui s'approche de plus en plus d'un modèle autoritaire, et c'est ce qui est particulièrement inquiétant. »Maud Quessard est l'autrice de Stratégies d'influence et guerres de l'information – Propagande et diplomatie publique des États-Unis depuis la guerre froide (Presses universitaires de Rennes, 2019) ou encore de l'ouvrage collectif Les guerres de l'information à l'ère numérique (PUF, 2021), codirigé avec Céline Marangé.À écouter aussiSuppression de Voice of America: «L'Amérique va devenir inaudible» (Invité Afrique)
durée : 00:02:31 - Le vrai ou faux - Selon un rapport de la start-up américaine Newsguard, les propagandistes pro-russes ont déjà pris pour cible les IA génératives occidentales pour que celles-ci relaient leur désinformation.
Le musée national Picasso-Paris présente actuellement l'exposition "L'art "dégénéré" : le procès de l'art moderne sous le nazisme". À cette occasion, Johan Popelard, chef du département de la conservation et des collections du musée et commissaire de l'exposition, reçoit Virginie Girod pour une visite guidée. Qu'est-ce que l'art "dégénéré" selon les nazis ? Comment le IIIe Reich a-t-il stigmatisé les artistes moderne ? Que sont devenues les œuvres confisquées par le régime ? Un entretien réalisé en partenariat avec l'exposition "L'art "dégénéré" : le procès de l'art moderne sous le nazisme", une exposition à découvrir jusqu'au 25 mai 2025 au musée national Picasso-Paris.
Que se passe-t-il dans les régions ukrainiennes occupées par la Russie depuis l'invasion de février 2022 ? La correspondante de L'Express, Clara Marchaud, a mené l'enquête. Propagande, éducation, institutions, tortures : durant des mois, elle a récolté les témoignages d'Ukrainiens traumatisés. Accompagnée de l'analyse de la sociologue Anna Colin Lebedev, spécialiste des sociétés post-soviétiques, elle nous emmène dans ses reportages au cœur d'une Ukraine inquiète de possible négociations. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation et écriture : Charlotte BarisRéalisation et montage : Jules KrotMusique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy CambourPour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Que se passe-t-il dans les régions ukrainiennes occupées par la Russie depuis l'invasion de février 2022 ? La correspondante de L'Express, Clara Marchaud, a mené l'enquête. Propagande, éducation, institutions, tortures : durant des mois, elle a récolté les témoignages d'Ukrainiens traumatisés. Accompagnée de l'analyse de la sociologue Anna Colin Lebedev, spécialiste des sociétés post-soviétiques, elle nous emmène dans ses reportages au cœur d'une Ukraine inquiète de possible négociations. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation et écriture : Charlotte BarisRéalisation et montage : Jules KrotMusique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy CambourPour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Que se passe-t-il dans les régions ukrainiennes occupées par la Russie depuis l'invasion de février 2022 ? Propagande, éducation, institutions, tortures : durant des mois, la correspondante de L'Express dans la région, Clara Marchaud, a récolté les témoignages d'Ukrainiens traumatisés. Accompagnée de l'analyse de la sociologue Anna Colin Lebedev, spécialiste des sociétés post-soviétiques, elle nous emmène dans ses reportages au cœur d'une Ukraine inquiète de possibles négociations. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation et écriture : Charlotte BarisRéalisation et montage : Jules KrotMusique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy CambourPour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Que se passe-t-il dans les régions ukrainiennes occupées par la Russie depuis l'invasion de février 2022 ? Propagande, éducation, institutions, tortures : durant des mois, la correspondante de L'Express dans la région, Clara Marchaud, a récolté les témoignages d'Ukrainiens traumatisés. Accompagnée de l'analyse de la sociologue Anna Colin Lebedev, spécialiste des sociétés post-soviétiques, elle nous emmène dans ses reportages au cœur d'une Ukraine inquiète de possibles négociations. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation et écriture : Charlotte BarisRéalisation et montage : Jules KrotCrédits : ZaTV, Fridrih Show Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy CambourPour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Alors qu'un film retrace leur – sordide – histoire commune sur les écrans, Stéphane Bern raconte Joseph Goebbels, devenu, à l'aube de la Seconde Guerre mondiale, l'éminence grise d'Hitler puis le ministre de la propagande du Reich qui a mis tout son savoir-faire au service du Führer pour façonner le personnage “légendaire” d'Hitler et l'aider dans son accession au sommet... Pourquoi Joseph Goebbels a-t-il adhéré à l'idéologie nazie ? Comment a-t-il participé à créer le personnage d'Hitler ? En quoi est-il un élément clé dans l'accession d'Hitler au pouvoir ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Johann Chapoutot, historien spécialiste du nazisme et de l'Allemagne, auteur de ""Les irresponsables. Qui a porté Hitler au pouvoir ?"" (Gallimard)
Alors qu'un film retrace leur – sordide – histoire commune sur les écrans, Stéphane Bern raconte Joseph Goebbels, devenu, à l'aube de la Seconde Guerre mondiale, l'éminence grise d'Hitler puis le ministre de la propagande du Reich qui a mis tout son savoir-faire au service du Führer pour façonner le personnage “légendaire” d'Hitler et l'aider dans son accession au sommet... Pourquoi Joseph Goebbels a-t-il adhéré à l'idéologie nazie ? Comment a-t-il participé à créer le personnage d'Hitler ? En quoi est-il un élément clé dans l'accession d'Hitler au pouvoir ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Johann Chapoutot, historien spécialiste du nazisme et de l'Allemagne, auteur de ""Les irresponsables. Qui a porté Hitler au pouvoir ?"" (Gallimard)
Dans cet épisode, Vincent Hervouët analyse la situation tendue à Gaza, où un fragile cessez-le-feu a été conclu. Il revient sur les manœuvres du Hamas, qui a mis en scène la libération de trois otages israéliens dans un spectacle médiatique. L'expert décrypte également les enjeux géopolitiques et les accusations croisées entre les parties impliquées dans ce conflit complexe.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.
Que se passe-t-il dans les régions ukrainiennes occupées par la Russie depuis l'invasion de février 2022 ? La correspondante de L'Express, Clara Marchaud, a mené l'enquête. Propagande, éducation, institutions, tortures : durant des mois, elle a récolté les témoignages d'Ukrainiens traumatisés. Accompagnée de l'analyse de la sociologue Anna Colin Lebedev, spécialiste des sociétés post-soviétiques, elle nous emmène dans ses reportages au cœur d'une Ukraine inquiète de possible négociations. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation et écriture : Charlotte BarisRéalisation et montage : Jules KrotMusique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy CambourPour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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Rencontre avec Thierry Piel.
Que se passe-t-il dans les régions ukrainiennes occupées par la Russie depuis l'invasion de février 2022 ? Propagande, éducation, institutions, tortures : durant des mois, la correspondante de L'Express dans la région, Clara Marchaud, a récolté les témoignages d'Ukrainiens traumatisés. Accompagnée de l'analyse de la sociologue Anna Colin Lebedev, spécialiste des sociétés post-soviétiques, elle nous emmène dans ses reportages au cœur d'une Ukraine inquiète de possibles négociations. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation et écriture : Charlotte BarisRéalisation et montage : Jules KrotCrédits : ZaTV, Fridrih Show Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy CambourPour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, Bruno Poncet, cheminot, et Joëlle Dago-Serry, coach de vie, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Les combats continuent de faire rage dans les régions du sud et du nord Kivu. « Les FARDC, les Forces armées de la République démocratique du Congo, affirment contenir "l'ennemi", précise Actualité CD, dans les zones de Lubero, Sake et Nyiragongo, tout en reconnaissant des "percées" à Bweremana (Nord-Kivu) et Minova (Sud-Kivu) ».En effet, poursuit le site congolais, « l'armée congolaise reconnaît que les rebelles du M23, appuyés par l'armée rwandaise, ont réussi à s'infiltrer dans Bweremana et à prendre le contrôle de la cité de Minova, une entité stratégique. (…) L'occupation de cette ville a provoqué une hausse des prix des produits de première nécessité et amplifié une crise humanitaire déjà critique, relève encore Actualité CD. Des milliers de déplacés, originaires de Masisi et de Rutshuru, ont fui à nouveau, s'ajoutant aux 700 000 personnes déjà enregistrées dans le groupement de Buzi ».D'après une source humanitaire citée par le site congolais, « la famine risque de toucher un grand nombre de personnes. Les familles de déplacés et celles d'accueil se dirigent désormais vers Goma dans des conditions précaires ».Statu quo…C'est désormais la guerre à outrance dans l'est de la RDC, pointe le site Afrikarabia. « En l'absence de toute perspective diplomatique et d'accord entre la RDC et le Rwanda après l'échec des pourparlers de Luanda, le M23 et les autorités congolaises ont décidé (en effet) de privilégier la solution militaire. Kinshasa refusant toute négociation directe avec le M23, et Kigali conditionnant désormais son retrait à un dialogue entre le gouvernement congolais et la rébellion, faisant par la même occasion voler en éclats un cessez-le-feu qui n'a jamais vraiment été respecté. Malgré les récents succès militaires des FARDC, le rapport de force ne s'est pas vraiment inversé sur le terrain, relève encore Afrikarabia. Sans un retrait des forces rwandaises qui, selon le dernier rapport de l'ONU, apportent un soutien militaire décisif en hommes et en armes sophistiquées, on ne voit pas comment l'armée congolaise peut venir à bout de la rébellion. Du côté du M23, on a également l'impression que les rebelles ne sont plus vraiment en mesure de conquérir de nouveaux territoires sans fragiliser les zones déjà sous son contrôle ».La bataille des communiquésEt cette guerre à outrance sur le terrain se double désormais d'une guerre des mots… C'est ce que relève Jeune Afrique. « Les gouvernements de Kinshasa et de Kigali s'affrontent aussi par médias interposés à mesure que le conflit s'intensifie. Les insultes fusent, de chaque côté de la frontière. Le langage a abandonné la diplomatie ».D'un côté, le président rwandais Paul Kagamé qui traite d'idiots les chefs militaires congolais. De l'autre, les autorités de Kinshasa qui qualifient le président rwandais d'élu de la terreur et qui le comparent à Joseph Goebbels, le ministre de la Propagande sous Hitler…De plus, souligne Jeune Afrique, « la guerre de communication complique le travail des journalistes. « Il faut éviter de se fier uniquement aux deux camps, met en garde Claude Sengenya, vice-président de l'Union nationale de la presse congolaise à Butembo (dans l'Est). Quand les combattants du M23 prennent une localité par exemple, ils se précipitent sur une pancarte qui mentionne son nom pour tourner une vidéo et la diffuser. Mais quand on passe un coup de téléphone, on se rend compte qu'ils ont juste occupé un petit bout du village », relève-t-il. Et « l'armée congolaise n'est pas en reste, pointe encore Jeune Afrique. L'armée congolaise qui diffuse des images de soldats morts présentés comme rwandais pour signifier sa supériorité ».La guerre des réseauxBref, « chaque partie tente d'imposer son récit », aussi par le biais d'internet et des réseaux sociaux avec des influenceurs dans les deux camps.Récemment, relève le site panafricain, la chaine de télévision qatari Al Jazeera a été suspendue pour 90 jours par les autorités congolaises. Elle avait diffusé une interview du chef politique du M23, Bertrand Bisimwa. Une interview réalisée par Bojana Coulibaly, qui se présente comme chercheuse mais qui est accusée par Kinshasa d'être une influenceuse pro-rwandaise.D'ailleurs, précise Jeune Afrique, les autorités congolaises ont lancé « un avertissement aux médias qui seraient perçus comme complaisants à l'égard du M23. Les autorités congolaises qui durcissent leurs positions sur le front médiatique tout en assurant respecter la liberté de la presse ».
Na čelo RTS-a moraju da dođu profesionalci, a budućem direktoru javnog servisa morao bi zakonom da bude zabranjen uticaj vlasti. RTS se ne bavi građanima, iako ga oni finansiraju. Vlast je u potpunosti uništila lokalne medije u Srbiji sa jasnom namerom da uguši glas naroda. Svako novinarstvo je teško, ako se radi na pravi način. Mnogi nezavisni novinari su životima platili cenu slobodne reči u Srbiji. U vremenima krize građani se okreću kredibilnim medijima. Društvene mreže je najteže kontrolisati jer nemaju zakonsku odgovornost, dok je podkast najbrže rastući medij na svetu. Digitalne platforme su budućnost novinarstva. Gost: Branko Čečen, Novinar i urednik
S'ils sont des outils incontournables pour la communication et l'expression personnelle, le rôle des réseaux sociaux est en vérité bien plus flou. De plus en plus, ces plateformes sont utilisées comme terrains de jeu par des acteurs étrangers, qui cherchent à influencer, manipuler voire même déstabiliser. Alors que la liberté d'expression est plus que jamais au centre des débats, on s'interroge aujourd'hui sur le fonctionnement de TikTok, qui suscite de plus en plus d'inquiétudes de la part des gouvernements dans le monde.-----------------------------------------------------------------------SMART TECH - Le magazine quotidien de l'innovationDans SMART TECH, l'actu du numérique et de l'innovation prend tout son sens. Chaque jour, des spécialistes décryptent les actualités, les tendances, et les enjeux soulevés par l'adoption des nouvelles technologies.
Pour consulter l'article sur mon site - https://www.lapilulecast.com/la-cas-donald-trump-une-bataille-contre-la-desinformation/ Timeline et liste des sujets : 00:00:00 Introduction : Le comeback le plus spectaculaire de l'histoire de la politique. 00:03:17 Les masses ne savent même pas pourquoi elles pensent ce qu'elles pensent. 00:05:06 Une campagne de propagande digne d'un régime totalitaire. 00:05:38 Comment la presse occidentale est-elle devenue un outil de propagande au service des puissants ? 00:08:32 Barack Obama "Saint Barack" : De criminel à Prix Nobel de la paix. 00:11:00 Les médias traditionnels : une machine de propagande synchronisée. 00:12:00 De chouchou de la presse à ennemi public n°1. 00:15:21 La séquence d'une diabolisation médiatique : Trump, un agent russe. 00:17:52 Autre technique du Deep State : Attribuer à l'adversaire ses propres défauts. 00:20:19 Retour sur l'attaque du Capitole le 6 janvier 2021. 00:24:51 Après les élections perdues en 2020 : Trump est un criminel de carrière. 00:26:10 La trinité sacrée : Trump est un harceleur, un violeur, un raciste (le cas Stormy Daniels). 00:27:37 Autre stratégie du Deep State : Trump est un violeur en puissance (l'affaire E. Jean Carroll). 00:34:45 Un nouvel argument fait son apparition : Trump est raciste. 00:39:44 Trump et l'islam. 00:43:43 Trump et l'immigration illégale. 00:48:18 La carte ultime du Deep State : Assassiner Trump. 00:50:31 Déshumaniser pour tuer : la vicieuse stratégie des médias. 00:55:15 La mort des médias "officiels" : Le podcast de Joe Rogan.
durée : 00:03:28 - Un monde connecté - par : François Saltiel - Le quotidien Le Monde révèle que 2000 créateurs de contenus européens ont été sollicités pour diffuser des éléments de propagande russe. Analyse de l'enquête.
Grand reportage nous emmène aujourd'hui dans le Haut-Karabakh. Après trois décennies de conflit entre Arméniens et Azerbaïdjanais, la région a été entièrement récupérée par Bakou au terme d'un assaut militaire éclair, le 19 septembre 2023. En quelques jours, la région a été vidée de ses quelque 120 000 Arméniens. Depuis, le régime d'Ilham Aliyev mène de grands travaux. Objectif : faire revenir au plus vite les 700 000 déplacés internes de la première guerre des années 1990, alors que la majorité des terres sont encore recouvertes de ruines et de mines. RFI a eu un accès rare à la région. Face aux journalistes, la réinstallation des premières familles est soigneusement mise en scène. «Haut-Karabach : l'après-guerre entre reconstruction et propagande de l'Azerbaïdjan», un Grand reportage de Manon Chapelain.
En 1933, les nazis prennent le pouvoir en Allemagne, avec un objectif clair : contrôler non seulement le pays, mais aussi les esprits. Dans cette stratégie de domination idéologique, la radio joue un rôle central. C'est dans ce contexte qu'est créé le Volksempfänger, littéralement « récepteur du peuple », un poste de radio abordable, conçu pour rendre la propagande nazie accessible à tous les foyers allemands.Sous l'impulsion de Joseph Goebbels, ministre de la Propagande, le Volksempfänger est présenté pour la première fois le 18 août 1933, lors de l'exposition internationale de radiodiffusion à Berlin. Conçu par Otto Griessing et produit par l'entreprise Seibt, ce poste incarne une prouesse technologique et stratégique. L'objectif n'est pas d'offrir une radio multifonctionnelle ou sophistiquée, mais un appareil simple et bon marché, que même les classes les plus modestes pourraient s'offrir.Le modèle phare, le VE301, est proposé à un prix attractif : 76 Reichsmarks pour la version électrique et 65 Reichsmarks pour la version à piles. Ces prix, bien en deçà du marché, sont possibles grâce à une production standardisée et au soutien de l'État. Ce sacrifice économique en apparence est en réalité un investissement idéologique majeur.Le Volksempfänger est conçu pour capter principalement les stations allemandes et bloque, autant que possible, les stations étrangères. Cette limitation technique reflète la volonté de Goebbels de réduire au silence les discours opposés et de monopoliser l'attention des auditeurs. Grâce à cet appareil, la propagande nazie, transmise par des discours, des émissions et de la musique soigneusement sélectionnés, entre directement dans les foyers.En quelques années, plus de 7 millions d'appareils sont vendus, renforçant le contrôle du régime sur l'information. Le Volksempfänger devient alors l'outil par excellence pour diffuser l'idéologie nazie, galvaniser les foules et alimenter le culte de la personnalité d'Adolf Hitler.Ainsi, le poste de radio à prix cassé n'était pas un geste de générosité, mais une arme psychologique redoutable, servant à ancrer la dictature dans le quotidien des Allemands. Le Volksempfänger reste aujourd'hui un symbole du pouvoir de la technologie dans la manipulation des masses. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
NB : Version française d'une interview originellement en anglais enregistrée le 27 mai 2022 (épisode 92)Noam Chomsky est une légende vivante. Il est considéré comme un des plus grands intellectuels de notre époque, tout simplement. Il a fondé la linguistique générative, et ses théories sont devenues des références absolues dans le monde entier. Il a déclenché ce qu'on a coutume d'appeler « la révolution cognitive » et en tant que professeur émérite au MIT durant 60 ans son influence sur le monde académique a été immense. Mais c'est surtout comme intellectuel engagé qu'il s'est rendu célèbre, avec ses prises de position opposées à la pensée dominante. En 1967, il publie "Responsabilités des intellectuels", un essai dans lequel il souligne l'importance de l'engagement politique des intellectuels en raison de leur capacité de discernement et de leur accès privilégié à la vérité. Ouvertement opposé à la guerre du Viêt Nam, Noam Chomsky prône la résistance face aux formes d'autorité illégitimes.Il n'a eu de cesse de révéler au grand publique les techniques de propagandes utilisées par les Etats (son livre « la fabrication du consentement » est incontournable) et les puissants, et de condamner les abus de pouvoir de la puissance américaine en particulier.Ensemble nous parlons de sa vision de notre époque et de ses enjeux, des dynamiques et structures qui nous entrainent, des USA comme puissance déstabilisatrice, de la guerre en Ukraine et du sens de la vie.De quoi parle-t-on ?00:00 - Introduction02:40 - Langage et liberté07:45 - Comment définir notre époque ?12:10 - Quelles sont les dynamiques et structures les plus importantes ?18:40 - La propagande aujourd'hui30:30 - La guerre Russie-Ukraine et le rôle des États-Unis41:30 - L'irresponsabilité des dirigeants46:30 - Qu'est-ce qui pourrait changer notre trajectoire ?50:30 - Qu'est-ce qui vous donne de l'espoir et qu'est-ce qui vous effraie ?----Retrouvez tous les épisodes et les résumés sur www.sismique.frSismique est un podcast indépendant créé et animé par Julien Devaureix.
durée : 01:59:40 - Les Matins du samedi - par : Nicolas Herbeaux - Dans les Matins du Samedi on s'intéresse cette semaine à la définition d'un père. Nous recevons aussi les spécialistes de la Russie Elena Volochine et Anna Colin Lebedev pour évoquer la propagande russe. Et enfin, Nicolas Herbeaux reçoit le roumain Emmanuel Pârvu pour la sortie de son dernier film. - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Elena Volochine Journaliste pour France 24; Anna Colin Lebedev Maîtresse de conférences à Paris Nanterre, spécialiste de l'Ukraine et de la Russie post-soviétique; Emanuel Pârvu cinéaste
Ernesto “Che” Guevara (1928-1967) est incontestablement l'une des plus grandes icônes révolutionnaires du XXe siècle. Son portrait en “guerrillero heroico" a été maintes fois reproduit et brandi comme symbole de révolte. Mais quel homme se trouve derrière le héros mythifié de la révolution cubaine ? Celui qui vantait la haine comme moteur de lutte n'a-t-il pas terni son image devant la postérité en faisant couler le sang ?Pour en parler, Virginie Girod reçoit l'historien François Kersaudy. Grand spécialiste de l'histoire du XXe siècle, il a consacré un chapitre à Che Guevara dans son livre Dix faces cachées du communisme (Perrin).Thèmes abordés : Cuba, Amérique latine, révolution, marxisme Au Cœur de l'Histoire est un podcast Europe1- Présentation : Virginie Girod- Production : Armelle Thiberge et Morgane Vianey- Réalisation : Clément Ibrahim- Composition des musiques originales : Julien Tharaud et Sébastien Guidis- Promotion et coordination des partenariats : Marie Corpet- Visuel : Sidonie Mangin
En 1949, Mao Zedong (1893-1976) proclame l'avènement de la République populaire de Chine. Après le désastre de la politique du “Grand Bond en avant”, celui que l'on surnomme le Grand Timonier lance la Révolution culturelle en 1966, afin de renforcer son pouvoir. À plusieurs milliers de kilomètres, en France, des intellectuels et militants communistes voient dans le maoïsme l'opportunité de changer le monde.Pour évoquer cette période, Virginie Girod reçoit l'historien et politologue Pierre Rigoulot. Spécialiste de l'histoire du mouvement et des États communistes, il “était Mao” dans les années 1960.Thèmes abordés : communisme, Chine, République populaire de Chine, maoïsme, Mao Zedong, intellectuels, militantisme Au Cœur de l'Histoire est un podcast Europe1- Présentation : Virginie Girod- Production : Armelle Thiberge et Morgane Vianey- Réalisation : Clément Ibrahim- Composition des musiques originales : Julien Tharaud et Sébastien Guidis- Promotion et coordination des partenariats : Marie Corpet- Visuel : Sidonie Mangin