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durée : 00:58:27 - Avec philosophie - par : Géraldine Muhlmann, Nassim El Kabli - Penser l'engagement, c'est affronter sa double face : force de liberté et risque d'aliénation. Le philosophe Jean-Toussaint Desanti, parlant de la “pensée captive”, mettait en lumière le danger d'un esprit soumis aux dogmes, même au nom d'une cause juste. - réalisation : Nicolas Berger - invités : Anna Trespeuch-Berthelot Historienne, maîtresse de conférences en histoire contemporaine à l'Université Caen Normandie, chercheuse au laboratoire Histoire Territoires Mémoires; Violaine Gelly Historienne, journaliste; Martin Legros Rédacteur en chef de Philosophie magazine
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur le soutien des États-Unis à Israël, la montée du populisme au Royaume-Uni, sur les tensions dues au barrage de la Renaissance et sur l'assassinat de Charlie Kirk aux États-Unis. Les États-Unis : un soutien sans faille d'Israël au risque de froisser son allié Moins d'une semaine après l'attaque israélienne au Qatar, le secrétaire d'État américain Marco Rubio s'est rendu à Jérusalem pour réaffirmer le soutien des États-Unis à Israël. Pour quelles raisons Washington soutient autant l'État hébreu malgré le risque de tensions avec son allié qatari ? Avec Frédérique Misslin, envoyée spéciale permanente à Jérusalem Royaume-Uni : qui est Tommy Robinson, le visage de l'extrême droite ? À l'appel de Tommy Robinson, entre 110 000 et 150 000 personnes ont participé samedi à une manifestation organisée à Londres par l'extrême droite. Qui est Tommy Robinson ? Comment arrive-t-il à mobiliser autant les foules ? Cette montée du populisme peut-il pousser le Premier ministre britannique à modifier sa politique ? Avec Daniel Vallot, journaliste au service international de RFI Barrage de la Renaissance : pourquoi l'eau du Nil est source de tensions Inauguré en grande pompe par les autorités éthiopiennes, le barrage de la Renaissance suscite de vives inquiétudes en Égypte. Considérant cet ouvrage comme « une menace existentielle » pour le pays, Le Caire a écrit au Conseil de sécurité de l'ONU. Quels sont les arguments de l'Égypte ? L'Éthiopie pourrait-elle réellement priver l'Égypte d'eau ? Avec Stefanie Schüler, journaliste au service environnement de RFI Assassinat de Charlie Kirk : pourquoi la gauche américaine est-elle attaquée ? L'influenceur américain Charlie Kirk a été assassiné lors d'une conférence dans une université dans l'Utah. Il était une des voix les plus importantes de la jeunesse conservatrice américaine. Pourquoi Donald Trump et le camp MAGA accusent-ils la gauche d'être responsable de cet assassinat ? Avec Manon Lefebvre, maîtresse de conférences en Civilisation des États-Unis à l'Université Polytechnique des Hauts-de-France.
Aujourd'hui, Abel Boyi, Barbara Lefebvre et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Abel Boyi, Barbara Lefebvre et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Ce lundi 15 septembre, la semaine à haut risque qui attend Sébastien Lecornu, le système de retraite français et Fitch qui dégrade la note de la France, ont été abordés par André Loesekrug-Pietri, président de JEDI, Denis Ferrand, directeur général de Rexecode, et Gilles Raveaud, maître de conférence à l'Institut d'Études Européennes de Paris-8 Saint-Denis, dans l'émission Les Experts, présentée par Raphaël Legendre sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
(00:00:41) Diplomatie parallèle du Tony Blair Institute: quand les ex-dirigeants vendent leurs réseaux (00:08:48) "Il y a un vrai risque personnel" à se lancer en politique aux Etats-Unis: Yascha Mounk, politologue
"Sommes-nous dans une phase où les investisseurs dans leur ensemble sont surexcités par l'IA ? Mon opinion est que oui". Ces propos sont ceux de Sam Altman, le pdg d'Open Ai, l'entreprise qui possède Chat GPT. Dans cette interview pour le média américain The Verge en août 2025, le jeune PDG s'inquiète que l'Intelligence artificielle soit une bulle spéculative qui risque d'exploser. Qu'est-ce qu'une bulle spéculative ? Qu'est-ce que la bulle dot-com ? L'IA est-elle une bulle spéculative ? Écoutez la suite de cet épisode de Maintenant vous savez ! Un podcast Bababam Originals écrit et réalisé par Hugo de l'Estrac. À écouter ensuite : Quelles sont les 3 astuces pour faire des économies à la rentrée ? Comment le Japon lutte-t-il contre l'inflation ? Combien de CO2 émet une recherche sur Chat GPT ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez".Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Avec : Pierre Rondeau, économiste. Yael Mellul, ancienne avocate. Et Jacques Legros, ancien présentateur emblématique du 13H de TF1. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
US correspondent Todd Zwillich spoke to Lisa Owen about files which contain a risqué birthday message allegedly written by President Trump for the deceased sex offender Jeffrey Epstein, which were shared by US democrats.
Le poste de François Bonnardel sacrifié. Sondage: la CAQ descendrait en 4e position… Vers un autre SAAQclic? Le premier ministre français démissionnera aujourd’hui. Epstein: voici la lettre qui «n’existait pas». Coup de théâtre: Révolution est de retour Tout savoir en quelques minutes avec Alexandre Dubé, Isabelle Perron et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Bonnardel sacrifié: l’ampleur du remaniement ministériel de la CAQ. Jouer au football à Québec en sourdine: quand la démocratie devient une arme. La rencontre politique avec Yasmine Abdelfadel et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Olivier de Lagarde scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, la chute annoncée de François Bayrou avec le vote de confiance, Emmanuel Macron qui risque de se retrouver dans l'impasse, les restaurateurs qui appellent à boycotter les cartes bancaires et le téléphone portable néfaste à l'économie française. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Olivier de Lagarde scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, la chute annoncée de François Bayrou avec le vote de confiance, Emmanuel Macron qui risque de se retrouver dans l'impasse, les restaurateurs qui appellent à boycotter les cartes bancaires et le téléphone portable néfaste à l'économie française. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Entre incertitudes politiques et menaces financières, la France entre dans une zone de turbulences. Alors que le vote de confiance à l'Assemblée nationale pourrait précipiter la chute du gouvernement, l'agence Fitch s'apprête à rendre son verdict sur la note souveraine du pays. Une dégradation vers la catégorie A serait-elle un signal d'alerte majeur, susceptible de déclencher des ventes massives d'obligations françaises par les investisseurs étrangers ?Décryptage des risques d'un choc financier et les conséquences d'une perte de crédibilité budgétaire en France avec Jean-Pierre Petit, président des Cahiers verts de l'Economie, était l'invité de l'émission Ecorama du 8 septembre 2025, présentée par David Jacquot sur Boursorama.com Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Opportunisme ! Podcast économie et marchés Athymis Gestion en date du 8 septembre 2025 Ce podcast est fourni à titre d'information uniquement et ne constitue pas la base d'un contrat ou d'un engagement de quelque nature que ce soit. ATHYMIS GESTION n'accepte aucune responsabilité, directe ou indirecte, qui pourrait résulter de l'utilisation de toutes informations contenues dans ce podcast. Les informations, avis et évaluations qu'il contient reflètent un jugement au moment de sa publication et sont susceptibles d'être modifiés sans notification préalable. Ce podcast ne saurait être interprété comme étant un conseil juridique, réglementaire, fiscal, financier ou encore comptable. Avant d'investir, le souscripteur doit comprendre les risques et mérites financiers des services ou produits financiers considérés et consulter ses propres conseillers. Avant d'investir, il est recommandé de lire attentivement la documentation contractuelle et, en particulier, les prospectus qui décrivent en détail les droits et obligations des investisseurs ainsi que les risques liés à l'investissement dans de tels produits financiers. Nos fonds sont exposés aux risques suivants : Risque actions, Risque de marché, Risque lié à la gestion discrétionnaire, Risque de change, Risque de taux, Risque de crédit, Risque de perte en capital. Les performances et réalisations du passé ne constituent en rien une garantie pour des performances actuelles ou à venir. Image d'illustration créée par IA. ATHYMIS GESTION est une Société Anonyme, au capital de 528 867 Euros ayant son siège 10 rue Notre Dame de Lorette 75009 Paris, immatriculée sous le numéro 502 521 685 RCS Paris, agréée en tant que société de gestion de portefeuille par l'A.M.F. (Autorité des Marchés Financiers)
Chaque week-end, Emilie Broussouloux vous accompagne de 22h à 00h dans BFM Grand Soir. Ce dimanche 7 septembre, grèves, blocages, boycott : un mercredi à haut risque ?
Dans cette série sur le travail aujourd'hui au parle stigmatisation, collègues, hiérarchie, climat toxique, travailler coûte que coûte ou se rétablir, révéler ou non son autisme (avec le détail de 6 stratégies différentes) Retrouvez sur la chaine les autres épisodes: Etre autiste et patron, négociation et codes sociauxTémoignages de femmes autistes à leur compte, avec plus ou moins de bonheur, mais beaucoup d'honnêteté. Et les questions à se poser avant de se mettre à son compteLa fatigue autistique et ses conséquencesSans filtre, codes sociaux, repérer les personnalités, poids du masking, abus, perte de sens
Aujourd'hui dans la gang ➜ Cette chose que vous faites sur la bolle est dangereuse pour votre santé Palardy coach de vie nous jase des habitudes dodo de notre enfance que l'on garde en tant qu'adulte! José Gaudet a perdu ses cheveux, sa vue et sa mémoire! Bonne écoute!
François Bayrou multiplie les interventions à cinq jours du vote de confiance sollicité par le Premier ministre et qui risque fortement d'entrainer sa chute. Une initiative que continue de défendre bec et ongles le chef du gouvernement au nom de la crise de la dette publique s'élevant aujourd'hui à près de 114% de son PIB, la troisième plus importante de la zone euro derrière la Grèce et l'Italie. François Bayrou parle de « menace grave et imminente ». Jusqu'où peuvent aller les conséquences de la situation financière actuelle de la France ? Comment endiguer la crise de la dette ? Pour en débattre : Anne-Sophie Alsif, cheffe économiste de BDO France et professeure d'économie à Paris 1 Panthéon-Sorbonne Éric Heyer, directeur du département analyse et prévision à l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), enseignant à Sciences Po Paris, co-auteur du rapport Quelles trajectoires pour les finances publiques de la France ?
Alors que le gouvernement français cherche 44 milliards d'euros d'économies et que les grandes fortunes sont pointées du doigt, le discours « les riches vont fuir la France à cause des impôts » refait surface. Mais une étude du Conseil d'analyse économique (CAE) nuance fortement ce cliché. Selon le CAE, organisme indépendant rattaché à Matignon, l'expatriation fiscale reste marginale. Sur 1 000 contribuables parmi les plus riches, seuls 2 quittent la France chaque année. À titre de comparaison, c'est deux fois moins que dans la population générale. Les chercheurs ont ainsi étudié deux grandes réformes : le durcissement de la fiscalité du capital sous François Hollande en 2013, puis son assouplissement sous Emmanuel Macron en 2017-2018. La conclusion est claire, les départs augmentent légèrement lorsque la fiscalité grimpe, mais sans effet significatif sur l'économie, et l'on observe davantage de retours lorsque les impôts baissent. Les entreprises touchées, mais pas l'économie entière Lorsqu'un grand propriétaire s'exile, son entreprise peut subir un choc : cinq ans après, le chiffre d'affaires baisse en moyenne de 15 % et la masse salariale d'un tiers. Mais ces effets visibles au niveau microéconomique sont largement compensés à l'échelle nationale, avec des rachats, fusions et restructurations qui permettent aux salariés de retrouver du travail. Globalement, l'impact à long terme serait deux à trois fois plus faible que celui constaté sur l'entreprise isolée. Un effet macroéconomique quasi imperceptible Même une réforme fiscale majeure ciblant les 1% les plus riches avec par exemple une hausse de 4 milliards d'euros ne réduirait la valeur ajoutée nationale que de 0,05%. C'est minime. En clair, oui, l'exil fiscal existe, mais il reste limité et ne menace pas l'économie française au point de la « vider » de ses talents ou de ses capitaux. À lire aussiPourquoi l'Italie devient la nouvelle destination des riches Européens
François Bayrou multiplie les interventions à cinq jours du vote de confiance sollicité par le Premier ministre et qui risque fortement d'entrainer sa chute. Une initiative que continue de défendre bec et ongles le chef du gouvernement au nom de la crise de la dette publique s'élevant aujourd'hui à près de 114% de son PIB, la troisième plus importante de la zone euro derrière la Grèce et l'Italie. François Bayrou parle de « menace grave et imminente ». Jusqu'où peuvent aller les conséquences de la situation financière actuelle de la France ? Comment endiguer la crise de la dette ? Pour en débattre : Anne-Sophie Alsif, cheffe économiste de BDO France et professeure d'économie à Paris 1 Panthéon-Sorbonne Éric Heyer, directeur du département analyse et prévision à l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), enseignant à Sciences Po Paris, co-auteur du rapport Quelles trajectoires pour les finances publiques de la France ?
Ce mercredi 3 septembre, Antoine Larigaudrie a reçu Brice Picard, avocat, associé chez Arsene, dans l'émission Tout pour investir sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Au programme : Dissolution de l'Assemblée nationale, démission du président... quelle solution pour sortir de la crise politique ? // Faut-il maintenir l'Aide médicale d'État en l'état ? La supprimer ou en faire une Aide médicale d'urgence ?
durée : 00:02:30 - Le brief éco - Le groupe Nestlé fait face à de nouvelles turbulences après le limogeage du directeur général, Laurent Freixe. Nouvel épisode qui accentue la crise que traverse le géant suisse, leader mondial de l'agroalimentaire. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Fillette de Granby: retour sur le rapport. Mystérieuse tentative d’enlèvement. Isabelle a écouté les premiers épisodes d’Antigang en primeur! Tour de table entre Isabelle Perron, Alexandre Dubé et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Ecoutez RTL Matin avec Thomas Sotto du 02 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Un grand merci à Romain Villard d'être venu dans le studio de LEGEND ! Il a servi pendant 8 ans et demi en tant que Commando Marine des forces spéciales, il nous raconte ses anecdotes incroyables au sein de l'armée, en tant que Chuteur opérationnel et Instructeur commando ainsi qu'une opération en Afghanistan où il a failli y laisser la vie.Pour soutenir le bleuet de France ➡️ https://www.bleuetdefrance.fr/Retrouvez l'interview complète sur YouTube ➡️ https://youtu.be/N3TP3pSfSLQPour toutes demandes de partenariats : legend@influxcrew.comRetrouvez-nous sur tous les réseaux LEGEND !Facebook : https://www.facebook.com/legendmediafrInstagram : https://www.instagram.com/legendmedia/TikTok : https://www.tiktok.com/@legendTwitter : https://twitter.com/legendmediafrSnapchat : https://t.snapchat.com/CgEvsbWVx Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Alors que la France vit actuellement une crise politique et se prépare à la chute très probable du gouvernement Bayrou, la présidente de la Banque Centrale Européenne Christine Lagarde s'exprime sur Radio Classique. Inquiète de la situation en France, elle rappelle aussi que le système bancaire français reste bien structuré et supervisé. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Rentrée chahutée ?! Podcast économie et marchés Athymis Gestion en date du 1er septembre 2025 ! Ce podcast est fourni à titre d'information uniquement et ne constitue pas la base d'un contrat ou d'un engagement de quelque nature que ce soit. ATHYMIS GESTION n'accepte aucune responsabilité, directe ou indirecte, qui pourrait résulter de l'utilisation de toutes informations contenues dans ce podcast. Les informations, avis et évaluations qu'il contient reflètent un jugement au moment de sa publication et sont susceptibles d'être modifiés sans notification préalable. Ce podcast ne saurait être interprété comme étant un conseil juridique, réglementaire, fiscal, financier ou encore comptable. Avant d'investir, le souscripteur doit comprendre les risques et mérites financiers des services ou produits financiers considérés et consulter ses propres conseillers. Avant d'investir, il est recommandé de lire attentivement la documentation contractuelle et, en particulier, les prospectus qui décrivent en détail les droits et obligations des investisseurs ainsi que les risques liés à l'investissement dans de tels produits financiers. Nos fonds sont exposés aux risques suivants : Risque actions, Risque de marché, Risque lié à la gestion discrétionnaire, Risque de change, Risque de taux, Risque de crédit, Risque de perte en capital. Les performances et réalisations du passé ne constituent en rien une garantie pour des performances actuelles ou à venir. Image d'illustration créée par IA. ATHYMIS GESTION est une Société Anonyme, au capital de 528 867 Euros ayant son siège 10 rue Notre Dame de Lorette 75009 Paris, immatriculée sous le numéro 502 521 685 RCS Paris, agréée en tant que société de gestion de portefeuille par l'A.M.F. (Autorité des Marchés Financiers)
durée : 00:20:00 - Journal de 12h30 - Le Premier ministre, François Bayrou, résistera-t-il à censure sur son prochain projet de budget ? Il tiendra cet après-midi une conférence de presse sur fond d'appels à bloquer le pays le 10 septembre.
Risque de censure du gouvernement sur le budget, soutien à la mobilisation du 10 septembre et rentrée politique de la gauche en ordre dispersé : Clémentine Autain, députée de Seine-Saint-Denis et co-fondatrice du mouvement "L'Après", est l'invitée de Thomas Sotto. Ecoutez L'invité RTL de 7h40 avec Thomas Sotto du 25 août 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:20:00 - Journal de 12h30 - Le Premier ministre, François Bayrou, résistera-t-il à censure sur son prochain projet de budget ? Il tiendra cet après-midi une conférence de presse sur fond d'appels à bloquer le pays le 10 septembre.
Aux portes des playoffs en 2024, les Seattle Seahawks ont fait le choix de tout changer offensivement en 2025. Dehors Geno Smith, bienvenu à Sam Darnold. Un choix risqué mais judicieux ?Raoul Villeroy et Raphael Masmejean sont au micro.Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C'est le coup de gueule de la semaine dans le monde du sport : décorticage et débat autour de cette sortie médiatique !
REDIFF - Les carrés de figue, parfois mis en avant sur les réseaux sociaux, sont présentés comme une solution efficace pour perdre du poids. Ces petits cubes, riches en fibres extraites de la figue, promettent de réguler le transit intestinal et de faciliter la perte de poids. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:59:17 - Entendez-vous l'éco ? - par : Aliette Hovine, Bruno Baradat - Mécanisme central dans la crise de 2008 et dont la simple évocation est devenu presque radioactive, la titrisation revient sur le devant de la scène en Europe. Portée par la Commission et la BCE, elle soulève espoirs et inquiétudes : peut-on encadrer efficacement un outil aussi puissant que risqué ? - réalisation : Françoise Le Floch - invités : Pierre-Nicolas Rehault économiste, maître de conférence à l'université de Limoges et membre du LAPE (Laboratoire d'analyse et de prospective économique); Samuel Ligonnière économiste, professeur associé à l'Université d'Evry Paris Saclay et responsable du master finance à Paris Saclay
Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.
Au Soudan, la guerre continue de faire rage. Depuis deux ans, le conflit a fait des dizaines de milliers de morts et des millions de déplacés à travers tout le pays. Au-delà des appels au cessez-le-feu, ce sont désormais les alertes humanitaires qui se font le plus entendre. En plus de la malnutrition qui s'installe, l'épidémie de choléra s'étend, alors que l'aide humanitaire peine à entrer dans le pays. Entretien avec docteur Rodrigue Alitanou, directeur des opérations de l'ONG Alima. Il répond aux questions de Sidy Yansané. RFI : À l'occasion de la journée mondiale de l'aide humanitaire mardi 19 août 2025, les Nations Unies indiquent un nombre record de 383 travailleurs humanitaires tués dans le monde l'an dernier. Le Soudan affiche le plus lourd bilan après Gaza. Est-ce qu'on peut dire que la guerre au Soudan est devenue l'une des pires crises humanitaires au monde ? Dr Rodrigue Alitanou : Absolument. Le Soudan aujourd'hui est considéré comme la pire crise humanitaire au monde selon les Nations Unies. Depuis le 15 avril 2023, où cette nouvelle guerre a commencé, elle a déjà fait des dizaines de milliers de personnes tuées et des dizaines de millions de personnes déplacées, avec aussi beaucoup d'humanitaires touchés par cette crise. L'ONU dénonce d'ailleurs « l'expression honteuse de l'inaction et de l'apathie internationales ». C'est un constat que vous partagez ? Oui, parce que malgré toutes les difficultés déjà que les populations subissent au Soudan, l'acheminement de l'aide humanitaire n'est pas effectif et on a des difficultés à pouvoir envoyer les travailleurs humanitaires [sur le terrain], les approvisionnements pour les hôpitaux, et tout ce qui est nécessaire à ce que l'aide humanitaire soit effective dans les différentes régions. La semaine dernière, c'est l'Union européenne, conjointement avec le Japon, le Royaume-Uni et le Canada, qui appelait à laisser entrer l'aide humanitaire « de toute urgence » et à protéger les civils. Mais le même jour, le général al-Burhan s'engageait à ne faire « ni compromis ni réconciliation, quel qu'en soit le prix » avec les FSR de son adversaire Hemedti. Est-ce qu'il n'y a pas là un aveu d'impuissance de la communauté internationale ? Sans faire de la politique, oui. Il y a des déclarations, mais il n'y a pas d'actions qui suivent de la part des différents belligérants. Il y a une forme d'impuissance, mais on ne peut pas baisser les bras, on ne doit pas baisser les bras, parce que l'enjeu est de taille. Si on ne fait rien, si l'aide humanitaire n'est pas acheminée dans les différentes régions en proie à la violence au conflit au Soudan, ce sont les populations qui vont en pâtir. En plus d'être sur le podium des États où meurent massivement les travailleurs humanitaires, le Soudan est désormais en tête des pays les plus touchés par le choléra. Comment l'épidémie a progressé aussi vite ? Avec cette crise qui avait jusqu'alors comme résultante l'insécurité alimentaire, la malnutrition, la famine par endroits, la situation est désormais exacerbée par cette épidémie de choléra sans précédent qui s'intensifie de semaine en semaine et touche des adultes comme des enfants, avec une vitesse de propagation assez fulgurante dans les camps de déplacés. J'étais sur place, j'ai vu des arrivées massives des populations dans des camps de déplacés déjà débordés, des populations exténuées par des atrocités et qui ont déjà un niveau d'immunité assez bas. Les populations affamées et assoiffées, parce qu'il y a des ressources très limitées, dorment à même le sol, serrées sous des toits de fortune. Des camps de déplacés caractérisés par une promiscuité totale, sans assainissement et sans suffisamment d'eau. Les gens vivent avec moins de trois litres d'eau par jour. Comme les latrines sont insuffisantes, il y a un phénomène de défécation à l'air libre qui s'est installé. Absolument tout est réuni pour que cette épidémie soit entretenue, spécifiquement dans les États du Darfour et notamment dans le Nord-Darfour, où le conflit a pris une autre dimension depuis mars. Cette épidémie risque d'être hors de contrôle si rien n'est fait. À lire aussiLe Soudan en guerre frappé par l'une des pires épidémies de choléra de son histoire La région du Darfour reste l'épicentre de l'épidémie, mais vos confrères de Médecins sans frontières craignent une propagation, comme vous, bien au-delà des camps de déplacés, au point de créer une combinaison mortelle avec la malnutrition qui frappe aussi le pays. Effectivement, la situation est préoccupante dans les camps de déplacés, mais également dans les populations hôtes. Aujourd'hui, on parle de milliers de personnes exposées, notamment dans le Nord-Darfour avec 640 000 enfants menacés. Ce sont les chiffres de l'UNICEF de la semaine dernière. Il y a une propagation au-delà des camps qui est déjà effective, plus de 32 États sont aujourd'hui menacés ou atteints du choléra. La situation dans la ville d'El-Facher est particulièrement grave, car elle est sous contrôle de l'armée régulière, mais encerclée par les paramilitaires FSR qui empêchent les convois humanitaires d'y entrer. À votre connaissance, combien de personnes y vivent actuellement et surtout comment survivent-elles ? La ville d'El-Facher est effectivement particulièrement sous tension parce qu'elle est assiégée depuis les affrontements qui ont commencé en avril et qui ont vu migrer de la ville des dizaines de milliers de personnes vers Tawila. Environ un million de personnes sont assiégées dans cette ville où tout manque. Les populations n'ont pas de voies d'approvisionnement, il y a plus de 70% des hôpitaux qui ne fonctionnent pas, l'accès aux soins est délétère. C'est aussi le cas de l'accès aux services de base, tout ce qui est nourriture et eau potable. Des centaines de milliers de personnes sont exposées à cette situation. Et les habitants, les témoignages que RFI a pu recueillir parlent d'enfants qui meurent quotidiennement de malnutrition ou de mauvaises conditions de vie... Exactement. Et c'est la résultante directe de cette guerre. On parle de près de 20 % des enfants souffrant de malnutrition, notamment dans des zones fermées, sans accès aux soins déjà pour la malnutrition. Le choléra vient maintenant s'ajouter et affecte la majorité des personnes, dont les enfants qui sont les couches les plus vulnérables. Vous avez indiqué qu'entre 70 et 80 % des hôpitaux et des centres médicaux du pays sont détruits. Ils sont même systématiquement visés par les belligérants, est-ce que vous arrivez à comprendre pourquoi les belligérants visent systématiquement les infrastructures médicales ? Nous sommes face à une guerre aveugle où les populations, malheureusement, sont devenues des cibles, tout comme les travailleurs humanitaires. Aujourd'hui, plusieurs centres de santé sont attaqués, particulièrement chez Alima. On a été obligés à maintes reprises de relocaliser nos activités, notamment à El-Facher où aujourd'hui, on n'arrive plus à travailler dans l'hôpital général. On s'est déplacé dans un autre endroit, qui a été aussi bombardé à plusieurs reprises, donc on a dû se déplacer de nouveau. Mais ce n'est pas seulement les infrastructures de santé, même les maisons des populations sont touchées. Cela montre clairement la volonté des différents groupes à prendre en étau les populations civiles dans cette guerre aveugle. Si rien n'est fait, le choléra aujourd'hui risque de tuer plus que les armes au Nord-Darfour. Dernièrement, j'ai rencontré sur le terrain une femme enceinte qui a marché 75 km, elle a dû accoucher à son arrivée. Et j'imagine aujourd'hui cette femme qui a pu survivre à toutes ces atrocités, contracter le choléra, fatal aussi bien pour elle que son enfant. Il faut faire tout son possible pour éviter ce risque à tout prix. D'autant que pour résorber le choléra, il faut beaucoup boire ou alors il faut des antibiotiques. Donc ça a l'air d'être un traitement simple, mais pour autant les populations manquent de tout cela… D'une part les financements sont très minimes et d'autre part les voies d'approvisionnement des différentes zones où sévit le choléra aujourd'hui sont coupées par la guerre. C'est un cocktail qui fait que le choléra risque de l'emporter. Quel a été l'impact du retrait des financements de l'aide américaine d'USAID ? L'impact a été très très sec. Déjà en février, plus de 60 % des organisations humanitaires ont dû arrêter brusquement leurs activités et ça a eu un impact sur le déploiement des quelques aides qui arrivent à venir au Soudan. Depuis cette épidémie, on voit encore plus l'impact puisqu'on n'est que très peu d'organisations pouvant opérer et déployer des soins pour les populations. On a intérêt à tous se mobiliser pour que les financements puissent suivre assez rapidement puisque rien que pour le choléra, nous enregistrons aujourd'hui plus de 1000 morts depuis le début de l'épidémie au Soudan cette année. Il faut que ces chiffres arrêtent de grimper, et même possiblement toucher d'autres pays de la sous-région plus durement que le Soudan. À lire aussiL'Unicef alerte sur une épidémie meurtrière de choléra en Afrique de l'Ouest et du Centre ► Rodrigue Alitanou est directeur des opérations au sein l'ONG Alima
Émission du 19/08/2025 présentée par Amaury de Tonquédec avec Benjamin Sacchet, Directeur Associé chez Avant-Garde Family Office, et Baptiste Bisquert M&A Director chez Impulse Corporate Finance.Cet été, on rêve grand… mais surtout, on s'inspire des stratégies des plus grosses fortunes de la planète. Avec mes deux invités, on plonge dans les placements ultra-exclusifs – des hedge funds aux tickets d'entrée à 1 milliard d'euros – et dans les coulisses du capital-investissement. Anecdotes folles, conseils concrets et idées d'investissements accessibles pour booster votre patrimoine. Et en fin d'épisode, nos invités vous dévoilent chacun leur “meilleur investissement du moment”.
Pour débuter l'émission de ce vendredi 15 août 2025, les GG : Barbara Lefebvre, prof d'histoire-géographie, Bruno Poncet, cheminot, et Emmanuel de Villiers, entrepreneur, débattent du sujet du jour : Sécurité routière, cibler les comportements "à risque".
Elon Musk a implanté une puce dans un cerveau humain. Neuralink, une société du milliardaire, a commencé, le dimanche 30 janvier 2024, son premier essai clinique concernant leur nouvelle puce, nommée Telepathy, qui permettrait selon lui de “contrôler son téléphone ou son ordinateur […] simplement par la pensée”. Ce ne sont pas les premiers dans le domaine, mais Elon Musk ambitionne carrément de rendre la vue à des aveugles, de faire remarcher des patients paralysés, et même de soigner des maladies mentales comme la dépression. Un projet qui parait fou, et pourtant, le patron de X a déclaré que le patient doté de la puce Telepathy se portait bien. Ce dernier est anonyme. N'importe qui peut devenir volontaire dans un essai clinique ? Peut-on gagner beaucoup d'argent grâce à cela ? Est-ce que c'est vraiment risqué ? Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Joanne Bourdin. À écouter aussi : Qu'est que le Plan Madagascar du IIIe Reich ? Réduire son empreinte carbone : quels sont les gestes qui comptent vraiment ? Faut-il couper l'électricité pendant un orage ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Première diffusion : 5 février 2024 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Pour le retour de l'UFC à Rio, Charles Oliveira affrontera Rafael Fiziev... pire idée possible.
Souveraineté du Québec : Un risque économique? (avec Jean-Martin Aussant) L'économiste et ex-politicien Jean-Martin Aussant est de retour au Sans Filtre pour une grande conversation sur l'économie d'ici et d'ailleurs. On parle inflation, paradis fiscaux, souveraineté du Québec, subventions culturelles et politique américaine. Avec sa lucidité habituelle, il nous aide à décortiquer les enjeux complexes qui touchent notre portefeuille... et notre avenir collectif. Au programme : - Pourquoi l'inflation explose et qui en paie le prix - Le retour de la souveraineté dans les sondages - Les subventions culturelles : investissement ou gaspillage? - Le vrai impact des tarifs de Trump sur notre économie - Comment les paradis fiscaux minent les finances publiques
durée : 00:58:35 - Les Grandes Traversées - par : Stéphane Bonnefoi - En 1968, les puissances nucléaires signent le Traité de non-prolifération, qui instaure deux classes de pays : ceux qui sont officiellement détenteurs de l'arme atomique (USA, URSS, Chine, Royaume-Uni et France), et tous les autres, qui ne pourront y avoir accès. Et pourtant... - réalisation : Anne Perez
C'était il y a quasiment deux ans jour pour jour. Le 26 juillet 2023, le président nigérien Mohamed Bazoum, était renversé par un coup d'État. Le commandant de la garde présidentielle, Abdourahamane Tiani, devenait alors le nouvel homme fort du pays. Deux ans après, la junte militaire, qui avait promis à ses débuts de rendre le pouvoir aux civils, est toujours à la tête du pays. Abdourahamane Tiani a été investi en mars président pour un mandat de cinq ans renouvelables alors que les partis politiques ont eux été dissouts. L'ancien président Mohamed Bazoum est lui toujours détenu au sein du palais présidentiel. Quel regard porter sur l'évolution du Niger depuis deux ans ? L'essayiste nigérien Seidik Abba préside le Centre international de réflexions et d'études sur le Sahel. Il est ce matin l'invité de Pierre Firtion. RFI : Comment va le Niger, deux ans après le coup d'État qui a renversé Mohamed Bazoum ? Seidik Abba : Je pense que le bilan est mitigé pour les militaires. C'est clair que dans leur bilan, il y a quelques éléments positifs. Il y a aussi des éléments négatifs. Mais si on devait juger simplement à l'aune de leurs propres promesses, celle de la sécurité et d'une meilleure gouvernance, d'une gouvernance plus vertueuse, on peut dire que le bilan n'est même pas au rendez-vous. Le général Tiani utilise de plus en plus la rhétorique souverainiste pour justifier de l'état du pays. Cette stratégie de communication n'est-elle pas destinée à masquer les échecs de la junte sur un plan économique et sécuritaire ? Oui, elle a pu prospérer au début. Au début, l'argument souverainiste a été avancé et a été mobilisateur, mais au fur et à mesure que les choses ont évolué, les populations ont compris qu'il fallait passer de la rhétorique et du slogan à des questions concrètes. La question de l'énergie n'a pas été totalement résolue. La question aussi du pouvoir d'achat simplement. Je crois que, au fur et à mesure que la situation va évoluer, l'argument souverainiste va montrer ses limites et la base sociale, l'audience et le soutien va continuer à s'effilocher. Et ça, je crois que c'est une des principales menaces qui guette le pouvoir militaire actuel. Sur le plan sécuritaire, le pays est en proie ces dernières semaines à des attaques répétées de l'EIS, l'État islamique au Sahara. Comment expliquer ce regain de violence et la réponse très limitée de l'armée nigérienne ? Il y a plusieurs facteurs. D'abord, au début, beaucoup d'unités combattantes aguerries avaient été rappelées pour défendre le pouvoir de Niamey après le coup d'État. Et je crois qu'elles n'ont pas encore totalement repris leur place compte tenu de la situation financière. Au Niger, 40% du budget repose sur des contributions extérieures. Donc aujourd'hui, il y a beaucoup de difficultés de trésorerie, beaucoup de difficultés qui impactent aussi la chaîne d'approvisionnement, la logistique des forces qui sont engagées. Et puis maintenant, il y a aussi le fait que, en dépit de tout ce qui est affirmé, la coordination avec les pays voisins, que ça soit les pays de l'AES, cette coordination n'est pas arrivée à un niveau de montée en puissance qui permet d'empêcher les incursions de groupes jihadistes et leur repli sur le territoire voisin. Quand vous mettez tous ces éléments – l'absence aussi de tout ce qui a pu être apporté par les pays étrangers, les forces internationales en matière de renseignements, si vous omettez toutes ces difficultés – vous arrivez à la situation que connaît aujourd'hui le pays. Seidik Abba c'est cette faible réponse sécuritaire qui explique ces mouvements de grogne que l'on a vus apparaître le mois dernier au sein de l'armée... Oui, les militaires qui ont organisé ces mutineries ont avancé des éléments factuels. Ce n'étaient pas des revendications politiques mais c'étaient des revendications sur leurs conditions professionnelles. La question de l'approvisionnement qui n'arrive pas souvent à temps, la question du paiement de salaire qui n'arrive pas souvent à temps et la question des équipements aussi. À lire aussiNiger: deux mouvements d'humeur de soldats en 72 heures Mais est-ce que le pouvoir craint, aujourd'hui, peut-être plus qu'avant de se faire renverser ? Non, je crois que la difficulté ne viendra pas de ce côté-ci. Pour moi, le risque le plus important pour les militaires, c'est la grogne sociale qui va naître. À force de maintenir la frontière avec le Bénin fermée alors que le pays n'a pas de façade maritime, ça crée une inflation dans les prix. Il n'y a pas d'embellie à l'horizon pour la situation financière du pays. Et ça, ça va impacter la grogne sociale. Abdourahamane Tiani a fait libérer le 1er avril des figures de l'ancien régime, expliquant vouloir œuvrer pour le pardon et la réconciliation. Mais Mohamed Bazoum est toujours détenu. Le pardon, oui, mais pas pour tout le monde... Oui, on peut le résumer comme ça. C'est un pardon aujourd'hui, à l'heure qu'il est, un peu sélectif. Je ne vois pas comment on peut pardonner et ouvrir une nouvelle page alors que l'ancien président est en détention depuis deux ans. Le pouvoir peut objecter qu'il a un dossier judiciaire sauf que le dossier judiciaire n'a jamais avancé. Et il est toujours détenu dans un endroit qui n'est pas un établissement pénitentiaire. Même cas par exemple pour l'ancien ministre de l'Intérieur, Hama Souley, qui est détenu. Il y a donc un pardon à la carte. Une grande partie de l'opinion a montré son scepticisme sur cette notion de pardon et son incompréhension pour dire, on pardonne à qui, pourquoi ? Dans la pratique, on voit que justement que c'est un pardon un peu sélectif. Et ça, à mon avis, ça n'arrange pas les choses dans le pays. À écouter aussiÀ la Une: au Niger, le général Tiani assoit son pouvoir
Le sujet :Il a investi personnellement près d'1 million d'euros au total dans plus de 60 startups depuis 2015. Aujourd'hui, il nous dit tout, sans filtre. Ses coups gagnants, mais aussi ses erreurs, ses loupés. Il nous livre ses secrets et ce qu'il ferait différemment aujourd'hui. Damien Morin est CEO de Mobile Club et business angel aguerri est l'invité de Matthieu Stefani. Il partage ses meilleures pratiques pour investir en startup (et ses coups de gueule) : Les meilleurs et les pires investissements de DamienLes 3 critères incontournables pour bien investirClub deals, plateformes et SPV : faut-il y aller ?Investir en nom propre vs investir via une holdingComment trouver des startups early stage ?Avantages :Bonne nouvelle ! Avec le code Do It Club, bénéficiez d'une réduction de 50 € de réduction sur une location d'iPhone sur le site de Mobile Club.Ils citent les références suivantes :L'épisode de GDIY avec Damien MorinL'épisode de GDIY avec Jean de La RochebrochardL'épisode de GDIY avec Octave Klaba (OVH)L'épisode de GDIY avec Pierre Kosciusko-MorizetThe FamilyAntoine MartinMy VariationAinsi que d'anciens épisodes de La Martingale :#120 - Investir dans une levée de fonds en Seed#150 - La société holding : est-ce que ça me concerne ?#199 - Investir aux côtés des meilleurs business angels grâce au SPVOn vous souhaite une très bonne écoute ! C'est par ici si vous préférez Apple Podcasts, ou ici si vous préférez Spotify.Et pour recevoir toutes les actus et des recommandations exclusives, abonnez-vous à la newsletter, c'est par ici.La Martingale est un podcast du label Orso Media.Merci à notre partenaire Sapians de soutenir le podcast.Réalisez votre bilan patrimonial et recentrez vos possibilités d'investissement avec Sapians en suivant ce lien.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:58:35 - Les Grandes Traversées - par : Stéphane Bonnefoi - En 1968, les puissances nucléaires signent le Traité de non-prolifération, qui instaure deux classes de pays : ceux qui sont officiellement détenteurs de l'arme atomique (USA, URSS, Chine, Royaume-Uni et France), et tous les autres, qui ne pourront y avoir accès. Et pourtant... - réalisation : Anne Perez
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