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durée : 00:03:21 - L'info d'ici, ici Gascogne Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Il va y avoir du sport ! Podcast économie et marchés Athymis Gestion en date du 28 juillet 2025 Ce podcast est fourni à titre d'information uniquement et ne constitue pas la base d'un contrat ou d'un engagement de quelque nature que ce soit. ATHYMIS GESTION n'accepte aucune responsabilité, directe ou indirecte, qui pourrait résulter de l'utilisation de toutes informations contenues dans ce podcast. Les informations, avis et évaluations qu'il contient reflètent un jugement au moment de sa publication et sont susceptibles d'être modifiés sans notification préalable. Ce podcast ne saurait être interprété comme étant un conseil juridique, réglementaire, fiscal, financier ou encore comptable. Avant d'investir, le souscripteur doit comprendre les risques et mérites financiers des services ou produits financiers considérés et consulter ses propres conseillers. Avant d'investir, il est recommandé de lire attentivement la documentation contractuelle et, en particulier, les prospectus qui décrivent en détail les droits et obligations des investisseurs ainsi que les risques liés à l'investissement dans de tels produits financiers. Nos fonds sont exposés aux risques suivants : Risque actions, Risque de marché, Risque lié à la gestion discrétionnaire, Risque de change, Risque de taux, Risque de crédit, Risque de perte en capital. Les performances et réalisations du passé ne constituent en rien une garantie pour des performances actuelles ou à venir. Image d'illustration créée par IA. ATHYMIS GESTION est une Société Anonyme, au capital de 528 867 Euros ayant son siège 10 rue Notre Dame de Lorette 75009 Paris, immatriculée sous le numéro 502 521 685 RCS Paris, agréée en tant que société de gestion de portefeuille par l'A.M.F. (Autorité des Marchés Financiers)
Écoutez François Gagnon commenter les effets de la hausse des droits antidumping imposés par les États-Unis sur le bois d’œuvre canadien.Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Écoutez le chroniqueur économique François Gagnon discuter des potentielles conséquences des droits antidumping sur le bois d'oeuvre canadien.Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
durée : 00:58:35 - Les Grandes Traversées - par : Stéphane Bonnefoi - En 1968, les puissances nucléaires signent le Traité de non-prolifération, qui instaure deux classes de pays : ceux qui sont officiellement détenteurs de l'arme atomique (USA, URSS, Chine, Royaume-Uni et France), et tous les autres, qui ne pourront y avoir accès. Et pourtant... - réalisation : Anne Perez
Replay de l'épisode où je me suis entretenue avec Elisabeth Moreno.Dans cet épisode, j'ai l'honneur d'accueillir une invitée très, vraiment très inspirante. Nous parlons de sa trajectoire d'entrepreneure, dirigeante et de femme politique engagée.Dans cet échange, nous explorons le parcours fascinant d'Élisabeth et son engagement indéfectible pour la diversité dans le VC, en particulier à travers l'initiative Sista. Nous discutons également de son rôle chez Ring Capital, en tant que Chairwoman de Ring Africa et du potentiel immense et sous-estimé de l'Afrique de l'Ouest. Élisabeth nous partage ses perspectives sur les besoins de financement et d'accompagnement des start-ups dans cette région ultra prometteuse.Préparez-vous à une conversation avec une femme qui œuvre sans relâche pour faire bouger les lignes dans le monde des affaires et au-delà.Produit par Gokyo Sàrl-S, distribué par Audiomeans. Visitez la Politique de Confidentialité de Finscale et Audiomeans pour plus d'informations.
Les combats en raison d'un différend frontalier entre le Cambodge et la Thaïlande ont fait 33 morts de part et d'autre de la frontière depuis jeudi, selon les derniers bilans disponibles. Un niveau de violence jamais vu depuis 2011, qui a conduit le Conseil de sécurité de l'ONU à se réunir d'urgence. Pour en parler, Sophie Boisseau Du Rocher, chercheure associée au Centre Asie de l'IFRI, maîtresse de conférences à Sciences-Po Paris*. RFI : Le conflit entre la Thaïlande et le Cambodge est au cœur des préoccupations depuis jeudi. Il y aurait au moins 33 morts, selon les derniers bilans. Alors qu'hier soir, le Conseil de sécurité de l'ONU s'est réuni en urgence, les affrontements ont éclaté au niveau de temples avant que les combats n'interviennent le long de la frontière. Phnom Penh et Bangkok ont aussi signalé des affrontements vers 5 h, heure locale, sur la côte. Face à cette situation, peut-on parler d'un risque de guerre ouverte entre la Thaïlande et le Cambodge ? Sophie Boisseau du Rocher : À ce stade, je ne crois pas. Depuis l'indépendance du Cambodge en novembre 1953, plusieurs crises, dont certaines ont été aussi très violentes et ont connu un paroxysme dans les affrontements militaires, ont eu lieu. Je pense, par exemple, à la crise de 2008. Ce qui est intéressant aujourd'hui, c'est qu'on assiste à une même mobilisation militaire et à des embrasements ponctuels, puisque plusieurs affrontements ont encore eu lieu récemment, comme vous l'avez signalé, dans six zones de la frontière, provoquant la mort de plusieurs dizaines de personnes, également de nombreux blessés et près de 140 000 évacués. Ces derniers jours, on a vu des tirs de roquettes cambodgiennes sur des cibles civiles en Thaïlande qui ont provoqué des frappes aériennes avec des avions de combat F-16 du côté thaïlandais sur des bases militaires cambodgiennes. Il y a un risque d'embrasement. Néanmoins, à ce stade, les opérations militaires sont très ciblées et sous contrôle. Que faut-il comprendre historiquement pour expliquer cette crise frontalière ? Le litige porte sur le tracé de la frontière entre le Cambodge et la Thaïlande. Un tracé de 817 kilomètres, dont 195 restent d'ailleurs à définir. Notamment autour de quatre sites angkoriens qui sont contrôlés par la Thaïlande, mais qui sont considérés par les Cambodgiens comme partie prenante de leur patrimoine. Au XIXᵉ siècle, le Cambodge est un royaume faible qui est travaillé par les coups de butoir des Thaïlandais à l'ouest et des Vietnamiens à l'est. Norodom 1er, le roi du Cambodge à cette époque, fait appel aux Français pour ne pas voir son royaume dépecé. En 1907, un traité franco-siamois détermine le tracé de la frontière. Mais la Thaïlande du très vieux roi Chulalongkorn néglige une analyse détaillée des tracés, notamment autour des monts Dângrêk. Or, les Français ont placé le temple de Preah Vihear du côté cambodgien, en contradiction avec la ligne de crête. Donc, quand les Thaïlandais se réveillent, plusieurs dizaines d'années après, ils sont en état de sidération. Ils profitent des désordres de la colonisation et de la première guerre du Vietnam pour occuper le temple de Preah Vihear. C'est le début des tensions militaires entre les deux voisins. À lire aussiThaïlande-Cambodge: aux origines d'un vieux conflit frontalier Quelles solutions sont envisageables pour mettre fin à ce conflit à court, mais aussi à long terme ? À court terme, arrêt évidemment du déploiement des forces et des opérations militaires. Fin des mesures de rétorsion, également. Les Thaïlandais ont fermé les points de passage frontaliers. Les Cambodgiens, de leur côté, ont mis un terme aux importations de gaz, de carburant, de fruits et légumes en provenance de Thaïlande. Et puis, à plus long terme, évidemment, l'établissement ou la reprise d'un dialogue et des consultations, notamment par le biais de la Commission mixte de coopération, pour aboutir à un compromis bilatéral qui serait éventuellement validée par les institutions internationales. L'Association des nations de l'Asie du Sud-Est (Asean) peut-elle aussi jouer un rôle dans cette affaire ? L'Asean a effectivement à plusieurs reprises tenté de jouer un rôle. La Thaïlande, récemment, s'est dit prête à résoudre le conflit par la voie diplomatique sous l'égide de la Malaisie, qui préside cette année l'Asean. Le Cambodge, lui, préfère avoir recours à la Cour internationale de Justice, auquel à laquelle il a eu recours en 1962 et en 2013. Mais c'est une solution qui ne convient pas à la Thaïlande, puisque, à deux reprises, le tracé de la frontière de 1907 a été reconnu comme le tracé légitime. Quand le Cambodge souhaite cette solution, elle sait qu'elle va être d'emblée refusée par la Thaïlande. * Sophie Boisseau Du Rocher est co-autrice de l'ouvrage L'Asie-Pacifique, nouveau centre du monde, paru chez Odile Jacob.
C'était il y a quasiment deux ans jour pour jour. Le 26 juillet 2023, le président nigérien Mohamed Bazoum, était renversé par un coup d'État. Le commandant de la garde présidentielle, Abdourahamane Tiani, devenait alors le nouvel homme fort du pays. Deux ans après, la junte militaire, qui avait promis à ses débuts de rendre le pouvoir aux civils, est toujours à la tête du pays. Abdourahamane Tiani a été investi en mars président pour un mandat de cinq ans renouvelables alors que les partis politiques ont eux été dissouts. L'ancien président Mohamed Bazoum est lui toujours détenu au sein du palais présidentiel. Quel regard porter sur l'évolution du Niger depuis deux ans ? L'essayiste nigérien Seidik Abba préside le Centre international de réflexions et d'études sur le Sahel. Il est ce matin l'invité de Pierre Firtion. RFI : Comment va le Niger, deux ans après le coup d'État qui a renversé Mohamed Bazoum ? Seidik Abba : Je pense que le bilan est mitigé pour les militaires. C'est clair que dans leur bilan, il y a quelques éléments positifs. Il y a aussi des éléments négatifs. Mais si on devait juger simplement à l'aune de leurs propres promesses, celle de la sécurité et d'une meilleure gouvernance, d'une gouvernance plus vertueuse, on peut dire que le bilan n'est même pas au rendez-vous. Le général Tiani utilise de plus en plus la rhétorique souverainiste pour justifier de l'état du pays. Cette stratégie de communication n'est-elle pas destinée à masquer les échecs de la junte sur un plan économique et sécuritaire ? Oui, elle a pu prospérer au début. Au début, l'argument souverainiste a été avancé et a été mobilisateur, mais au fur et à mesure que les choses ont évolué, les populations ont compris qu'il fallait passer de la rhétorique et du slogan à des questions concrètes. La question de l'énergie n'a pas été totalement résolue. La question aussi du pouvoir d'achat simplement. Je crois que, au fur et à mesure que la situation va évoluer, l'argument souverainiste va montrer ses limites et la base sociale, l'audience et le soutien va continuer à s'effilocher. Et ça, je crois que c'est une des principales menaces qui guette le pouvoir militaire actuel. Sur le plan sécuritaire, le pays est en proie ces dernières semaines à des attaques répétées de l'EIS, l'État islamique au Sahara. Comment expliquer ce regain de violence et la réponse très limitée de l'armée nigérienne ? Il y a plusieurs facteurs. D'abord, au début, beaucoup d'unités combattantes aguerries avaient été rappelées pour défendre le pouvoir de Niamey après le coup d'État. Et je crois qu'elles n'ont pas encore totalement repris leur place compte tenu de la situation financière. Au Niger, 40% du budget repose sur des contributions extérieures. Donc aujourd'hui, il y a beaucoup de difficultés de trésorerie, beaucoup de difficultés qui impactent aussi la chaîne d'approvisionnement, la logistique des forces qui sont engagées. Et puis maintenant, il y a aussi le fait que, en dépit de tout ce qui est affirmé, la coordination avec les pays voisins, que ça soit les pays de l'AES, cette coordination n'est pas arrivée à un niveau de montée en puissance qui permet d'empêcher les incursions de groupes jihadistes et leur repli sur le territoire voisin. Quand vous mettez tous ces éléments – l'absence aussi de tout ce qui a pu être apporté par les pays étrangers, les forces internationales en matière de renseignements, si vous omettez toutes ces difficultés – vous arrivez à la situation que connaît aujourd'hui le pays. Seidik Abba c'est cette faible réponse sécuritaire qui explique ces mouvements de grogne que l'on a vus apparaître le mois dernier au sein de l'armée... Oui, les militaires qui ont organisé ces mutineries ont avancé des éléments factuels. Ce n'étaient pas des revendications politiques mais c'étaient des revendications sur leurs conditions professionnelles. La question de l'approvisionnement qui n'arrive pas souvent à temps, la question du paiement de salaire qui n'arrive pas souvent à temps et la question des équipements aussi. À lire aussiNiger: deux mouvements d'humeur de soldats en 72 heures Mais est-ce que le pouvoir craint, aujourd'hui, peut-être plus qu'avant de se faire renverser ? Non, je crois que la difficulté ne viendra pas de ce côté-ci. Pour moi, le risque le plus important pour les militaires, c'est la grogne sociale qui va naître. À force de maintenir la frontière avec le Bénin fermée alors que le pays n'a pas de façade maritime, ça crée une inflation dans les prix. Il n'y a pas d'embellie à l'horizon pour la situation financière du pays. Et ça, ça va impacter la grogne sociale. Abdourahamane Tiani a fait libérer le 1er avril des figures de l'ancien régime, expliquant vouloir œuvrer pour le pardon et la réconciliation. Mais Mohamed Bazoum est toujours détenu. Le pardon, oui, mais pas pour tout le monde... Oui, on peut le résumer comme ça. C'est un pardon aujourd'hui, à l'heure qu'il est, un peu sélectif. Je ne vois pas comment on peut pardonner et ouvrir une nouvelle page alors que l'ancien président est en détention depuis deux ans. Le pouvoir peut objecter qu'il a un dossier judiciaire sauf que le dossier judiciaire n'a jamais avancé. Et il est toujours détenu dans un endroit qui n'est pas un établissement pénitentiaire. Même cas par exemple pour l'ancien ministre de l'Intérieur, Hama Souley, qui est détenu. Il y a donc un pardon à la carte. Une grande partie de l'opinion a montré son scepticisme sur cette notion de pardon et son incompréhension pour dire, on pardonne à qui, pourquoi ? Dans la pratique, on voit que justement que c'est un pardon un peu sélectif. Et ça, à mon avis, ça n'arrange pas les choses dans le pays. À écouter aussiÀ la Une: au Niger, le général Tiani assoit son pouvoir
Ecoutez RTL Matin avec Stéphane Carpentier du 25 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invité : - Frédéric Encel, docteur en géopolitique, maître de conférences à Sciences-Po Paris Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invité : - Yonathan Arfi, président du Crif Les chroniqueurs du soir : - Nathan Devers, essayiste et philosophe - Jules Torres, journaliste politique au JDD Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Dans cette édition :Début des transferts de 100 des plus dangereux narcotrafiquants français vers la prison ultra-sécurisée de Vendin-le-Vieil, avec un important dispositif de sécurité déployé pour assurer leur transfert en toute sécurité.Niveau record d'absentéisme au travail dans le secteur privé en 2024, atteignant 5,8% contre 5,3% en 2023 : le gouvernement envisage des mesures pour enrayer cette tendance coûteuse pour l'économie, comme la modification du délai de carence.Nouveau retrait des États-Unis de l'UNESCO, qui est accusée de promouvoir des causes clivantes et d'avoir un parti pris contre Israël, allié de Washington : le président français, Emmanuel Macron, assure son soutien indéfectible à l'organisation.Victoire surprise d'un Français, Valentin Paret-Peintre, sur le Tour de France, s'imposant au sommet du Mont Ventoux.Risque élevé d'incendies dans le sud de la France, avec le renfort de pompiers saisonniers venus d'autres départements pour prêter main forte.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Début des transferts de 100 des plus dangereux narcotrafiquants français vers la prison ultra-sécurisée de Vendin-le-Vieil, avec un important dispositif de sécurité déployé pour assurer leur transfert en toute sécurité.Niveau record d'absentéisme au travail dans le secteur privé en 2024, atteignant 5,8% contre 5,3% en 2023 : le gouvernement envisage des mesures pour enrayer cette tendance coûteuse pour l'économie, comme la modification du délai de carence.Nouveau retrait des États-Unis de l'UNESCO, qui est accusée de promouvoir des causes clivantes et d'avoir un parti pris contre Israël, allié de Washington : le président français, Emmanuel Macron, assure son soutien indéfectible à l'organisation.Victoire surprise d'un Français, Valentin Paret-Peintre, sur le Tour de France, s'imposant au sommet du Mont Ventoux.Risque élevé d'incendies dans le sud de la France, avec le renfort de pompiers saisonniers venus d'autres départements pour prêter main forte.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alors que certains espéraient un sursaut industriel, l'Europe semble au contraire s'enfoncer dans une nouvelle phase de désindustrialisation. Faiblesse de l'investissement en R&D, coût élevé de l'énergie, déficit de compétences scientifiques, concurrence féroce de la Chine et des pays d'Europe centrale, sans oublier la pression américaine pour relocaliser les productions outre-Atlantique : sommes-nous en train d'assister à un déclin industriel irréversible ? L'analyse de Patrick Artus, conseiller économique d'Ossiam. Ecorama du 22 juillet 2025, présenté par David Jacquot sur Boursorama.com Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Depuis cinq mois, l'inflation sous-jacente aux États-Unis (c'est-à-dire hors alimentation et énergie) augmente moins que prévu, malgré les droits de douane imposés par l'administration Trump. En juin, certaines catégories de biens directement touchées par les tarifs ont enregistré leurs plus fortes hausses de prix depuis plusieurs années, signe que les entreprises commencent à répercuter ces coûts supplémentaires sur les consommateurs. Malgré tout, l'inflation reste sous contrôle et est même inférieure au consensus en version sous-jacente mensuelle depuis 5 mois. Le risque est-il écarté ou reporté à l'automne ?
Rallye: stop ou encore ? Podcast économie et marchés Athymis Gestion en date du 21 juillet 2025. Ce podcast est fourni à titre d'information uniquement et ne constitue pas la base d'un contrat ou d'un engagement de quelque nature que ce soit. ATHYMIS GESTION n'accepte aucune responsabilité, directe ou indirecte, qui pourrait résulter de l'utilisation de toutes informations contenues dans ce podcast. Les informations, avis et évaluations qu'il contient reflètent un jugement au moment de sa publication et sont susceptibles d'être modifiés sans notification préalable. Ce podcast ne saurait être interprété comme étant un conseil juridique, réglementaire, fiscal, financier ou encore comptable. Avant d'investir, le souscripteur doit comprendre les risques et mérites financiers des services ou produits financiers considérés et consulter ses propres conseillers. Avant d'investir, il est recommandé de lire attentivement la documentation contractuelle et, en particulier, les prospectus qui décrivent en détail les droits et obligations des investisseurs ainsi que les risques liés à l'investissement dans de tels produits financiers. Nos fonds sont exposés aux risques suivants : Risque actions, Risque de marché, Risque lié à la gestion discrétionnaire, Risque de change, Risque de taux, Risque de crédit, Risque de perte en capital. Les performances et réalisations du passé ne constituent en rien une garantie pour des performances actuelles ou à venir. Image d'illustration créée par IA. ATHYMIS GESTION est une Société Anonyme, au capital de 528 867 Euros ayant son siège 10 rue Notre Dame de Lorette 75009 Paris, immatriculée sous le numéro 502 521 685 RCS Paris, agréée en tant que société de gestion de portefeuille par l'A.M.F. (Autorité des Marchés Financiers)
durée : 00:58:35 - Les Grandes Traversées - par : Stéphane Bonnefoi - En 1968, les puissances nucléaires signent le Traité de non-prolifération, qui instaure deux classes de pays : ceux qui sont officiellement détenteurs de l'arme atomique (USA, URSS, Chine, Royaume-Uni et France), et tous les autres, qui ne pourront y avoir accès. Et pourtant... - réalisation : Anne Perez
Carl Meuus analyse les conséquences politiques et sociales du plan de redressement des finances publiques présenté par le Premier ministre. Il explique que le risque social est peut-être plus important encore pour le gouvernement que le risque politique, avec une opposition virulente de certains partis et des syndicats inquiets des mesures annoncées. Carl Meuus souligne que le soutien de la majorité parlementaire semble également fragile, ce qui pourrait compliquer la mise en œuvre du plan de rigueur.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Après trois jours de violences et de tirs dans la ville druze de Soueïda, les autorités syriennes annoncent un cessez-le-feu. La situation reste pourtant confuse. Depuis dimanche, plus de 300 personnes ont été tuées selon l'Observatoire syrien pour les droits de l'homme. Ces heurts ont mis en lumière la difficulté pour le nouveau gouvernement syrien d'asseoir son autorité sur l'ensemble du pays.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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En Tunisie, l'insuffisance des infrastructures provoque souvent des inondations dans les villes en cas de pluies abondantes. Une startup a eu l'idée d'installer des filtres métalliques dans les bouches d'égouts pour atténuer ce risque. Une solution adoptée par de plus en plus de municipalités. Dans le quartier de Megrine en banlieue sud de Tunis, l'équipe Zigofiltre et des agents municipaux installent dans le regard de l'égout une cage en acier, renforcée à chaud. « Là, les agents de terrain vont essayer d'enlever le tampon qui est le couvercle du regard, détaille Mohamed Rammeh, le co-fondateur de la startup. On va ensuite nettoyer un peu le regard et les réseaux pour installer les filtres sur un regard propre et ensuite installer le filtre qui aura comme rôle la rétention des déchets, la capture des déchets, ce qui va aussi laisser passer l'eau, sans déchets. » Limiter la pollution des sources d'eau Un procédé qui réduit le risque d'inondations, mais pas seulement. « Cela va réduire aussi la pollution des réseaux, qui peut entraîner aussi la pollution des ressources marines avoisinantes, poursuit Mohamed Rammeh. Donc, s'il y a des lacs, s'il y a des rivières, on va éliminer la pollution qui va rentrer dans ces sources d'eau, et le filtre a une très grande durabilité, dans les quinze ans. » Fondée en 2020, la startup Wayout et son concept Zigofiltre a été créée par quatre ingénieurs tunisiens qui ont voulu agir face au changement climatique. Ils se sont inspirés d'un modèle australien avec des filets. « L'infrastructure est un peu déchue, observe Mohamed Rammeh, mais aujourd'hui, il s'agit de l'améliorer pour la rendre plus résiliente. Le mot résilience est le mot clef parce que finalement nous, avec le changement climatique, on ne peut pas prévoir les inondations, on ne peut pas prévoir les fortes pluies, autant avoir une infrastructure qui est préparée. » Dans 25 municipalités Et pour les agents municipaux, le filtre est le bienvenu. « De toute façon, actuellement, on n'avait rien, donc ça ne peut pas être pire, confie Mahjoub Awachi. « Il faudrait aussi que les services publics comme l'ONAS, qui s'occupe de l'assainissement, fassent plus de suivi. » Pour financer les filtres, la startup noue des partenariats avec des entreprises qui acceptent de payer l'achat, l'installation et le suivi dans le cadre de leur responsabilité sociétale et environnementale. Une quinzaine de filtres coûtent environ 6 000 dinars soit environ 1 800 euros. Les techniciens de Zigofiltre ont pour l'heure équipé 25 municipalités, sur les 350 en Tunisie.
durée : 00:58:35 - Les Grandes Traversées - par : Stéphane Bonnefoi - En 1968, les puissances nucléaires signent le Traité de non-prolifération, qui instaure deux classes de pays : ceux qui sont officiellement détenteurs de l'arme atomique (USA, URSS, Chine, Royaume-Uni et France), et tous les autres, qui ne pourront y avoir accès. Et pourtant... - réalisation : Anne Perez
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Les marseillais se plaignent de la lenteur des canadairs pour fixer les feus. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les matins à 7h10, l'actualité économique avec Pierre Rondeau.
Dans C'est arrivé cette semaine, la sociologue Nathalie Heinich décrypte le phénomène des NFT, entre ventes records, spéculation et effondrement du marché. Un éclairage passionnant sur l'impact du numérique sur l'art contemporain.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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C dans l'air du 9 juillet 2025 : Incendies, canicule..."Un été à haut risque"Les incendies se multiplient dans le sud de la France, marquant un début de saison particulièrement précoce et inquiétant. Des centaines d'hectares sont déjà partis en fumée au nord de Marseille, ainsi que dans l'Aude, l'Hérault et le Gard. Des habitations ont été touchées, des habitants évacués ou confinés, tandis que plusieurs axes autoroutiers ont été fermés et le trafic ferroviaire temporairement interrompu.Face à cette situation alarmante, le ministre de l'Intérieur s'est rendu mardi soir à Marseille. "Tout indique que nous allons vers un été à haut risque", a-t-il déclaré, alors que les capacités d'intervention des sapeurs-pompiers sont plus que jamais au cœur des préoccupations.L'un des points de tension concerne la flotte de Canadair. Plusieurs élus et syndicats s'inquiètent du manque de moyens aériens pour lutter efficacement contre les flammes, dans un contexte de dérèglement climatique où les épisodes extrêmes se multiplient.Autre sujet d'inquiétude : l'accès à l'eau. "Dix-huit départements sont en situation de crise et 48 sont soumis à des mesures de restriction", a alerté lundi Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition écologique. En déplacement à Orléans le 7 juillet, elle a qualifié la situation de "déjà préoccupante", évoquant "l'impact du dérèglement climatique avec lequel nous allons devoir apprendre à vivre, en pilotant les risques pour mieux les réduire".Dans ce contexte, les tensions autour de la gestion de l'eau s'exacerbent. L'Assemblée nationale vient d'adopter la proposition de loi portée par le député Duplomb, visant notamment à faciliter la construction de méga-bassines, ces grandes retenues d'eau destinées à l'irrigation agricole. Le texte reconnaît désormais leur caractère de « Raison impérative d'intérêt public majeur » (RIIPM).Mais cette décision suscite la colère de nombreux écologistes et agriculteurs, qui dénoncent un accaparement de l'eau par une minorité de grands céréaliers. Ils pointent également les risques pour les nappes phréatiques, en s'appuyant notamment sur l'exemple de l'Espagne, où ce modèle a montré ses limites.La question de l'eau cristallise aussi les oppositions autour des data centers. La France insoumise a lancé une pétition contre le projet de centre de données de Google à Ozans, près de Châteauroux. Le parti dénonce un manque de transparence et s'inquiète de la consommation massive d'eau et d'électricité induite par ces infrastructures, alors même que les ressources deviennent de plus en plus rares. Nos journalistes se sont rendus sur place pour enquêter sur les implications de ce projet controversé.LES EXPERTS :- Frédéric DENHEZ - Journaliste spécialiste des questions environnementales - Marianne - Chloé NABÉDIAN - Journaliste spécialiste des questions climatiques- France TV- Esther CRAUSER-DELBOURG - Economiste de l'eau- Eric BROCARDI - Porte-parole de la Fédération nationale des sapeurs-pompiers
C dans l'air du 9 juillet 2025 : Incendies, canicule..."Un été à haut risque"LES EXPERTS :- Frédéric DENHEZ - Journaliste spécialiste des questions environnementales - Marianne - Chloé NABÉDIAN - Journaliste spécialiste des questions climatiques- France TV- Esther CRAUSER-DELBOURG - Economiste de l'eau- Eric BROCARDI - Porte-parole de la Fédération nationale des sapeurs-pompiers
Avec : Jean-Philippe Doux, journaliste et libraire. Marlène Schiappa, ancienne ministre. Et Frédéric Hermel, journaliste RMC. - Après le succès d'audience rencontré cette année, Estelle Denis repart pour une nouvelle saison. Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
durée : 00:15:30 - Journal de 8 h - C'est une peine rarement prononcée : la perpétuité incompressible a été requise contre Michaël Chiolo pour l'attaque de la prison de Condé-sur-Sarthe. Le verdict est attendu ce lundi.
durée : 00:15:30 - Journal de 8 h - C'est une peine rarement prononcée : la perpétuité incompressible a été requise contre Michaël Chiolo pour l'attaque de la prison de Condé-sur-Sarthe. Le verdict est attendu ce lundi.
durée : 00:15:30 - Journal de 8 h - C'est une peine rarement prononcée : la perpétuité incompressible a été requise contre Michaël Chiolo pour l'attaque de la prison de Condé-sur-Sarthe. Le verdict est attendu ce lundi.
Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs Retenu dans un centre de rétention administrative de Haute-Garonne depuis plus de soixante jours, Joes craint d'être expulsé vers la République démocratique du Congo, où il pourrait ne pas avoir accès à un traitement antirétroviral. Un article de Margaux Houcine publié dimanche 6 juillet 2025, lu par Jeremy Zylberberg. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:58:35 - Les Grandes Traversées - par : Stéphane Bonnefoi - En 1968, les puissances nucléaires signent le Traité de non-prolifération, qui instaure deux classes de pays : ceux qui sont officiellement détenteurs de l'arme atomique (USA, URSS, Chine, Royaume-Uni et France), et tous les autres, qui ne pourront y avoir accès. Et pourtant... - réalisation : Anne Perez
durée : 00:03:46 - Dans le prétoire - L'influenceur Aqababe, aux 1,2 million d'abonnés sur Instagram, a posté une mini vidéo prise en pleine audience. Il comparait pour cela devant la chambre de la presse du tribunal correctionnel de Paris et plaide l'ignorance. Mais le parquet le soupçonne d'avoir voulu faire le buzz. - invités : Jean-Philippe Deniau - Jean-Philippe Deniau : Journaliste au service police-justice Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Direction les États-Unis, où le rappeur P. Diddy a été acquitté de ses accusations les plus graves, trafic sexuel et association de malfaiteurs. Il échappe donc à la perpétuité. Mais la star est reconnue coupable de transport de personnes à des fins de prostitution et il risque pour ça 20 ans de prison. Sa peine sera d'ailleurs prononcée plus tard. Mais pour l'heure, c'est le soulagement.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : Ségolène Royal, nouvelle prétendante de la Présidentielle ? 2 500 euros par mois pour 4 jours de travail par mois Les notifications au volant doublent le risque d'accident
Dans son dernier rapport, la Cour des comptes alerte sur l'urgence de redresser les comptes publics en 2026. L'institution commence à prendre très au sérieux la piste d'un incident de crédit, notamment lié à la soutenabilité de la dette. Cela pourrait avoir des effets très concrets sur la vie des Français. Les explications de Nicolas Doze dans votre Doze Bonus.
Née en 2016, TikTok est désormais la deuxième application la plus téléchargée au monde après Instagram. Un milliard d'utilisateurs possèdent un compte (dont vingt millions en France) sur la plateforme chinoise spécialisée dans les courtes vidéos.Difficile de ne pas devenir accro à TikTok : simple d'utilisation, elle nous expose à un flux infini de vidéos, ajusté en temps réel à nos centres d'intérêt avec une précision redoutable. Mais cette recette magique ne serait pas sans conséquences sur la santé mentale des utilisateurs, en particulier des plus jeunes… En 2024, sept familles du collectif Algos Victima, ont porté plainte contre le réseau social TikTok, l'accusant de détériorer la santé mentale de leurs enfants, exposés à des vidéos de promotion du suicide, d'automutilation et de troubles alimentaires.Depuis mars et pour six mois, les parlementaires débattent “des effets psychologiques de TikTok sur les mineurs” autour d'une commission d'enquête à l'Assemblée nationale. On estime que 63% des enfants âgés de 13 ans sont sur l'application. Code source se demande si TikTok est dangereux pour les jeunes ? Réponse avec deux journalistes du Parisien : Elsa Mari, du service société et Jila Varoquier du service Futurs. Écoutez Code source sur toutes les plates-formes audio : Apple Podcast (iPhone, iPad), Amazon Music, Podcast Addict ou Castbox, Deezer, Spotify.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Barbara Gouy - Production : Anaïs Godard et Raphaël Pueyo - Réalisation et mixage : Pierre Chaffanjon - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : LCP Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C dans l'air du 26 juin 2025 - Orages, canicule: un été à risque?Arbres arrachés, routes inondées, toitures abimées ou envolées, pylônes tordus par la violence des rafales… Le réveil est brutal ce jeudi matin dans de nombreuses communes du pays, balayées dans la nuit par des orages d'une rare intensité.Le bilan est lourd : deux morts — un adolescent de 12 ans, tué par la chute d'un arbre à Picquebos, près de Montauban, et un homme de 59 ans, conducteur de quad, en Mayenne —, dix-sept blessés, 100 000 foyers privés d'électricité. Les dégâts matériels sont innombrables.Pourtant, l'événement avait été anticipé. Météo-France avait placé une cinquantaine de départements en vigilance orange, mercredi, pour orages ou canicule. Mais l'alerte n'a pas suffi à prévenir les drames. Et une fois les vents tombés, une autre tempête s'annonce : celle des démarches, des déclarations de sinistres, des indemnisations, et pour certains, de la répétition infernale des catastrophes.Inondations, sécheresses, canicules, gels tardifs… Les épisodes climatiques extrêmes se succèdent à un rythme alarmant. La France, qui se réchauffe plus vite que la moyenne mondiale — +1,7 °C depuis 1900 en métropole —, n'est plus un simple témoin du changement climatique, mais en subit déjà de plein fouet les conséquences.Face à cette réalité, plusieurs ONG (Greenpeace, Notre Affaire à Tous, Oxfam) et onze citoyens sinistrés ont décidé de passer à l'action. Ils ont annoncé un recours devant le Conseil d'État pour contraindre l'État à renforcer son Plan national d'adaptation au changement climatique (PNACC-3), jugé largement insuffisant.Pas question de demander de l'argent : ils exigent des actes. Des mesures concrètes, ambitieuses, à la hauteur des enjeux, alors que les reculs environnementaux se multiplient depuis le début de l'année, en France comme ailleurs.Les plaignants dénoncent un État qui manque à ses obligations. Parmi eux : des agriculteurs aux champs noyés, des familles dont les maisons se fissurent, des habitants privés d'eau, des personnes vulnérables écrasées par les vagues de chaleur.Le gouvernement, lui, assure avoir anticipé les évolutions à venir, avec un PNACC-3 qui vise à préparer infrastructures, transports et agriculture à un monde plus chaud de 4 °C d'ici 2100. Mais pour les requérants, ce plan est trop tardif, trop timide, trop éloigné de l'urgence.LES EXPERTS :- François GEMENNE - Professeur à HEC, président du conseil scientifique - Fondation pour la nature et l'homme- Nicolas BERROD - Journaliste au service Futurs, santé-médecine et climat Le Parisien - Aujourd'hui en France- Olivier MOUSTACAKIS - Directeur général d'Assurland.com- CHLOÉ NABÉDIAN - Journaliste spécialiste des questions climatiques PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40.PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
C dans l'air du 26 juin 2025 - Orages, canicule: un été à risque?LES EXPERTS :- François GEMENNE - Professeur à HEC, président du conseil scientifique - Fondation pour la nature et l'homme- Nicolas BERROD - Journaliste au service Futurs, santé-médecine et climat Le Parisien - Aujourd'hui en France- Olivier MOUSTACAKIS - Directeur général d'Assurland.com- CHLOÉ NABÉDIAN - Journaliste spécialiste des questions climatiques
durée : 00:02:15 - Le vrai ou faux - Une vidéo partagée plusieurs millions de fois sur les réseaux sociaux défie les contrôleurs de la RATP. Un jeune homme se filme alors qu'il refuse de se soumettre à la verbalisation et laisse entendre que les contrôleurs n'ont pas le droit de l'interpeller. Ce qui est faux.
Il est tentant de donner une carotte à un lapin, surtout à cause de l'image populaire véhiculée par des dessins animés comme Bugs Bunny. Pourtant, les carottes ne sont pas un aliment adapté au quotidien des lapins, et en abuser peut nuire à leur santé. Voici pourquoi il ne faut surtout pas en donner régulièrement à votre lapin :Trop sucré pour leur système digestifLa carotte est un légume-racine très riche en sucres. Or, l'intestin du lapin est adapté à une alimentation pauvre en glucides et riche en fibres, comme le foin et les herbes. Une consommation régulière de carottes peut déséquilibrer leur flore intestinale et provoquer des ballonnements, de la diarrhée, voire des entérites potentiellement fatales chez les lapereaux.Mauvais pour leurs dentsContrairement à ce qu'on pense, les carottes ne sont pas assez dures pour entretenir la pousse continue des dents du lapin. Seul le foin permet un bon frottement et une usure naturelle.Risque d'obésitéÀ cause de leur teneur élevée en sucre, les carottes peuvent favoriser une prise de poids rapide, surtout si l'animal vit en intérieur et se dépense peu. Un lapin obèse est plus exposé aux problèmes cardiaques, articulaires et urinaires.Alors, que donner ?Le foin doit représenter 80 à 90 % de son alimentation. En complément, on peut lui offrir des légumes-feuilles (endives, fanes de carottes, céleri-branche, coriandre…), un peu de granulés de qualité sans céréales, et très exceptionnellement, un petit morceau de carotte en friandise, pas plus d'une ou deux fois par semaine.Conclusion :Les carottes ne sont pas toxiques, mais elles doivent être considérées comme des bonbons pour lapin : un petit plaisir rare, et certainement pas une base de l'alimentation. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le sujet :De nombreux Français laissent leur argent inactif sur leur compte courant, sans en retirer le moindre rendement. C'est un gâchis d'opportunités ! Car des placements garantis et sans risque existent pour faire travailler l'épargne.L'invitée du jour :Karen-Laure Mrejen est la fondatrice de Swaive, une plateforme française dédiée aux placements sans risque. Au micro de Matthieu Stefani, elle nous dit tout au sujet de ces placements rémunérés :Qu'est-ce qu'un placement sans risque ?Quels sont les différents placements sans risque ?Quels sont les rendements espérés ?Les risques sont-ils vraiment nuls ?L'argent est-il disponible rapidement ?Comment sont imposés les rendements ?Avantages :Bonne nouvelle ! Nous avons négocié un avantage exceptionnel. Avec le code LAMARTINGALE, obtenez +0,5% de rendement supplémentaire sur votre 1er compte à terme souscrit via Swaive. Ce bonus s'applique aussi bien aux particuliers qu'aux entreprises. Il est valable pour les 12 premiers mois de votre premier compte à terme (d'une durée de 12 mois ou plus), dans la limite de 100 000 €, et n'est pas applicable en cas de sortie anticipée. Il sera versé par Swaive à l'échéance du compte à terme, en complément du rendement versé par la banque partenaire.Aucune action n'est requise de votre part pour l'activation du bonus. Il apparaîtra sur votre tableau de bord automatiquement dans les 24h suivant l'ouverture du compte à terme. Ils citent les références suivantes :Acquired Podcast - Renaissance TechnologiesLes taux monétaires directeurs (BCE)L'épisode de GDIY avec Philippe Brassac (Crédit Agricole)SumeriaFonds de Garanties des Dépôts et de RésolutionLe PEROn vous souhaite une très bonne écoute ! C'est par ici si vous préférez Apple Podcasts, ou ici si vous préférez Spotify.Et pour recevoir toutes les actus et des recommandations exclusives, abonnez-vous à la newsletter, c'est par ici.La Martingale est un podcast du label Orso Media.Merci à notre partenaire eToro de soutenir la Martingale.Allez sur etoro.com et prenez le contrôle de vos investissements. E-T-O-R-O point com.eToro est une plateforme d'investissement multi-actifs. La valeur de vos placements peut augmenter ou diminuer. Votre capital est assujetti à un risque.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air l'invité du 17 juin 2025 avec Camille Grand, ancien secrétaire général adjoint de l'Otan, et chercheur au Conseil européen pour les relations internationales.Après l'attaque d'une ampleur sans précédent lancée vendredi par Israël pour empêcher l'Iran de se doter de la bombe atomique, le monde retient son souffle. Hier, le président américain Donald Trump a quitté de manière anticipée le sommet du G7 au Canada. Un départ soudain, un jour avant la fin du sommet, qui suscite depuis bon nombre d'interrogations. Alors que les spéculations montaient sur une participation américaine active à l'offensive aérienne sans précédent d'Israël, la Maison Blanche a réaffirmé que son armée restait cependant "dans une posture défensive" au Moyen-Orient.Également présent au Canada pour le sommet du G7, Emmanuel Macron a appelé ce lundi à "cesser" les frappes contre les civils en Israël et en Iran, alors que les deux pays vivaient une cinquième nuit consécutive d'escalade militaire et d'échanges de barrages de missiles. Le président américain Donald Trump a ensuite assuré qu'un "accord" allait être trouvé concernant le conflit entre l'Iran et Israël, avant d'annoncer qu'il quittait prématurément le sommet. Selon les médias américains, Donald Trump devait présider une réunion avec son équipe en charge de la sécurité nationale à la Maison Blanche.Camille Grand, ancien secrétaire général adjoint de l'Otan, actuellement chercheur au Conseil européen pour les relations internationales (ECFR), nous livrera son analyse sur la situation actuelle entre Israël et l'Iran, et sur le risque d'embrasement. Il nous donnera aussi son point de vue sur un possible retrait américain de l'Otan, dont le sommet se tiendra à la Haye, aux Pays-Bas, la semaine prochaine.
durée : 00:03:26 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Israël a bombardé cette nuit des installations nucléaires et militaires iraniennes, tuant le chef des Gardiens de la Révolution et des savants iraniens. Les États-Unis parlent d'une action "unilatérale", mais il semble peu vraisemblable qu'ils n'aient pas donné au minimum un accord tacite.