Podcasts about Russe

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L'oeil de...
Essai réussi d'un missile russe à propulsion nucléaire : "si Vladimir nous envoie son missile, il nous reste environ 3 heures à vivre"

L'oeil de...

Play Episode Listen Later Oct 27, 2025 2:36


Ecoutez Le Cave' réveil avec Alex Vizorek du 27 octobre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

La question info
Que sait-on du nouveau missile russe à propulsion nucléaire?

La question info

Play Episode Listen Later Oct 27, 2025 3:12


La Russie a présenté ce weekend un missile nouvelle génération. Cette nouvelle arme serait capable de parcourir des milliers de kilomètres et frapper n'importe quelle cible. Que sait-on de ce nouveau missile russe? On pose la question à Igor Sahiri, grand reporter à BFMTV.

RT DEUTSCH – Erfahre Mehr
Merz' strategischer Kulturkampf: Passt "der Russe" noch ins "Stadtbild"?

RT DEUTSCH – Erfahre Mehr

Play Episode Listen Later Oct 27, 2025 10:06


Die einen empören sich über Merz' Rassismus, andere über "falsche" Empörte. Die Strategie des Bundeskanzlers, von seiner arbeiterfeindlichen Politik abzulenken und die Gesellschaft aufeinanderzuhetzen, wirkt. Und sie ist gefährlich: So lässt sich jede unliebsame Gruppe politisch verfolgen. Von Susan Bonath  

Lignes de défense
La dissuasion nucléaire russe à l'épreuve de la guerre en Ukraine

Lignes de défense

Play Episode Listen Later Oct 26, 2025 16:07


Dès le lancement de son « opération militaire spéciale » (SVO) contre l'Ukraine, le 24 février 2022, le Kremlin, qui dispose de l'un des plus vastes arsenaux nucléaires au monde, a adopté des mesures de dissuasion agressives et une rhétorique résolument menaçante. Décryptage d'un possible emploi de l'arme nucléaire par Moscou, avec Dimitri Minic, chercheur à l'Institut français des Relations internationales, l'Ifri.  RFI : Dès les premiers jours de la guerre, Moscou adopte une rhétorique nucléaire agressive. Quelle est sa stratégie ? Dimitri Minic : Le 24 février 2022, sa stratégie, c'est de prendre Kiev en quelques heures et au pire quelques jours, et de soumettre politiquement l'Ukraine. Quand Vladimir Poutine fait son discours sur l'opération militaire spéciale le 24 février, qui annonce son déclenchement, il fait une allusion à un emploi possible de l'arme nucléaire, face à ceux qui voudraient s'impliquer directement dans ce conflit pour aider l'Ukraine. Ce qui, au fond, a permis à la Russie d'éviter effectivement une escalade de la guerre locale en guerre régionale, impliquant d'autres pays, d'autres puissances, mais qui n'a pas suffi non seulement à dissuader effectivement l'Ukraine de résister, mais surtout qui n'a pas permis d'éviter le début d'un flux d'aide militaire à l'Ukraine. Et par ailleurs, ces menaces nucléaires russes n'ont pas permis d'empêcher l'instauration de sanctions économiques très importantes de l'Occident contre la Russie. Donc, c'est un succès relatif de la stratégie nucléaire russe, mais qui, en réalité, ne permet pas à la Russie d'isoler l'Ukraine de l'Occident, ce qui était son principal objectif. Mais il y a quand même une véritable inquiétude qui plane en Occident, puisque le nucléaire tactique fait partie de l'arsenal russe. Le nucléaire a été étendu à la guerre conventionnelle, en quelque sorte ? Oui, absolument. En fait, à la chute de l'Union soviétique, les élites militaires russes héritent d'une doctrine de non-emploi en premier. Et progressivement, elles se rendent compte que la théorie de la dissuasion et ses mécanismes étaient peu développés par rapport à ce qui existait en Occident. Dans les années 90, vous avez une grande période d'élaboration conceptuelle, de théorisation qui conduit l'armée russe, au plan théorique et doctrinal, à effectivement étendre la dissuasion nucléaire aux guerres conventionnelles de toute ampleur, locales, régionales et à grande échelle. Il y a un emploi possible de l'arme nucléaire, un emploi démonstratif, limité, censé mettre fin aux combats dans des conditions favorables à la Russie. On aurait pu se dire, puisque l'opération militaire spéciale est un échec pour la Russie, il est possible que ces concepts soient appliqués. Mais en réalité, cette doctrine exigerait des conditions qui ne sont pas du tout réunies dans la guerre en Ukraine. Pour que Moscou prenne des mesures de dissuasion nucléaire très claires, il faudrait par exemple un transfert des têtes nucléaires depuis les entrepôts centraux vers les unités, vers les bases. Un transfert démonstratif médiatisé qui montrerait que la Russie commence à penser sérieusement à employer l'arme nucléaire ou un essai nucléaire réel, ou d'autres types de mesures qui montreraient qu'elle a vraiment la volonté de le faire. Mais il faudrait qu'elle se trouve dans des conditions extrêmement graves. Il faudrait qu'elle soit en passe de perdre de manière irrémédiable face à un ennemi conventionnel, aidé par des États d'ailleurs dotés de l'arme nucléaire, qui non seulement aient envie de conquérir des territoires russes ou bien aient envie de changer le régime russe. À lire aussiRussie: Vladimir Poutine annonce une révision de la doctrine nucléaire et menace les Occidentaux On le voit au début de la guerre, les Américains vont sonder les Russes afin de savoir dans quelles conditions ils pourraient utiliser l'arme nucléaire. Absolument. Et à l'époque, Valeri Guerassimov répond qu'il y a trois conditions : l'utilisation d'armes de destruction massive contre la Russie, une volonté, une tentative de changer le régime, une déstabilisation profonde du régime provoqué par un État étranger. Et la troisième condition serait des pertes catastrophiques sur le champ de bataille. Et c'est intéressant parce que, à l'époque, à l'automne 2022, la Russie subit des pertes et surtout des revers militaires importants en Ukraine, dans le Donbass. Valeri Guerassimov, à ce moment-là, en évoquant ces trois conditions, abuse de son interlocuteur parce qu'il est évident que la Russie aurait pu compenser ses pertes assez rapidement et qu'elle a de telles réserves matérielles et humaines qu'il est très peu probable qu'elle recourt au nucléaire dans ce type de conditions loin d'être inacceptable ou en tout cas catastrophique pour elle. Vous identifiez trois failles théoriques et pratiques révélées par cette guerre en Ukraine de la doctrine nucléaire russe. Et l'une d'elles, c'est la limite de la dissuasion stratégique conventionnelle, avec les fameux missiles Kalibr,  Kinjal, dont l'usage n'a pas produit l'effet escompté… Non, non, ça n'a pas fonctionné. Effectivement, la Russie débute la guerre en Ukraine avec une conception de la dissuasion qui est une conception très agressive, offensive, mais surtout inter-domaines. C'est à dire que la Russie ne conçoit pas la dissuasion comme quelque chose d'exclusivement nucléaire. La dissuasion russe concerne à la fois les domaines non militaires et subversifs, le domaine conventionnel, donc les forces conventionnelles et les armes conventionnelles et les forces nucléaires. Donc, la Russie n'a pas une vision exclusivement défensive de la dissuasion. Car, pour le dire rapidement, la Russie ne conçoit sa sécurité qu'à travers l'insécurité de ses voisins. Donc, cette situation stratégique échoue effectivement à trois niveaux. C'est d'abord l'échec du concept de contournement, pour permettre à l'État russe de gagner une guerre avant la guerre. En fait, il n'était pas question de déclencher une guerre à grande échelle, de longue durée et très meurtrière, mais plutôt de soumettre l'ennemi sans combat, ou en tout cas sans combat de grande ampleur. C'est aussi un échec des moyens et des méthodes psychologiques ou informationnelles, comme disent les Russes, puisqu'ils pensaient les Ukrainiens et les élites ukrainiennes complètement soumises, rendues apathiques par la Russie et ses manœuvres. Ça n'a pas été le cas. Ils pensaient que les Occidentaux avaient été anesthésiés par cette pratique psychologique ou informationnelle, qui vise non seulement à modifier la psyché des individus et des sociétés, mais en fait à transformer les individus et la société. Et donc surtout, ce que j'observe dans cette étude, c'est que la phase conventionnelle, a subi un échec important. Pourquoi : parce que les élites militaires russes et les élites politiques russes ont surestimé pendant 35 ans l'efficacité de ces moyens conventionnels. Parmi ces moyens conventionnels, effectivement, on a d'abord les forces générales, les exercices, les déploiements de forces aux frontières. Bon, ça n'a pas produit l'effet désiré. Ça n'a pas forcé l'Ukraine à capituler. Mais surtout, les armes modernes duales, donc, qui peuvent être à la fois équipées soit d'une tête nucléaire, soit d'une tête conventionnelle. Ces armes, le Kinjal, le Kalibr, l'Iskander, ont été utilisées sur le champ de bataille. On se rappelle le Kinjal, une arme hypersonique utilisée à un moment qui était censé être décisif pour la Russie, puisque c'était le moment des premières négociations entre l'Ukraine et la Russie en mars 2022, au moment où les Ukrainiens sont très réticents à accepter un accord très favorable à la Russie. Et la Russie emploie dans l'intervalle, au moment de ces discussions ultimes, le Kinjal sur le champ de bataille. C'était sa première utilisation opérationnelle, puis un deuxième deux jours plus tard, avant de se retirer du nord et de l'est de l'Ukraine. L'utilisation de ces missiles conventionnels confirmait en fait des vulnérabilités qui étaient identifiées par les militaires russes depuis les années 90 ! Il faut bien comprendre que la défense antimissile présente en Ukraine, d'origine occidentale notamment, a été efficace et a plutôt montré la surestimation que les élites militaires, russes et politiques russes avaient de l'efficacité de l'emploi de ces missiles contre des cibles stratégiques comme des bases aériennes, etc. Non seulement en termes d'ampleur, de nombre indispensable pour détruire une cible stratégique, mais en plus la vulnérabilité des vecteurs. On voit bien que la Russie a fait face à un ISR, c'est à dire un renseignement occidental qui a été puissant et efficace. Cette double vulnérabilité, à la fois la difficulté à détruire des cibles stratégiques avec ces missiles modernes et en même temps la difficulté à protéger leur plateforme de lancement, ça tend à remettre en question, même partiellement, cette stratégie de frappes nucléaires limitées dont je parlais tout à l'heure, avec un missile unique. Donc, on voit bien que d'un point de vue technique, c'est un affaiblissement. Et les excès rhétoriques de Dmitri Medvedev (vice-président du Conseil de Sécurité de Russie au discours violemment anti-occidental, ndlr), de Ramzan Kadyrov (président de la République de Tchétchénie, un proche de Vladimir Poutine, ndlr) également, ont abîmé la dissuasion nucléaire russe ? À force de crier au loup et à menacer d'hiver nucléaire, l'Occident, ça ne prend plus ? Absolument. Parce que la Russie, dès qu'elle entre dans le conflit, produit une rhétorique nucléaire extrêmement agressive, mais dans les faits, les mesures qu'elle prend concrètement pour accompagner cette rhétorique nucléaire sont très modérées. Donc, vous avez un décalage très fort entre ce que la Russie dit, et ce que la Russie fait vraiment. Ça n'est pas une nouveauté en Russie. Sur quoi s'appuie cette pratique, ce décalage ? Il est dû à une culture stratégique, c'est à dire que la Russie considère que l'Occident est faible, lâche et déliquescent et qu'il est sensible aux menaces, qu'il a peur du nucléaire et qu'il cédera en réalité. Ils estiment qu'une frappe nucléaire unique, démonstrative, limitée sur le théâtre, obligera, forcera finalement les Occidentaux à rentrer chez eux et à demander pardon. Ils ne sont pas vraiment revenus de ça. Effectivement, ce décalage au bout d'un moment pose un problème. Vous ne pouvez pas hurler dans tous les médias que vous avez au moins dix lignes rouges et ne rien faire. Des officiers supérieurs généraux de l'armée russe ont expliqué en 2023/2024, ils ont eu un mot que je trouve très drôle, « Les lignes rouges russes ont rougi de honte », ajoutant « Les Occidentaux nous ont devancés de 8 à 10 pas dans l'escalade et nous, on les regarde ». Dans l'armée russe, il y a une forme d'incompréhension de l'attitude de la Russie. C'est à dire qu'ils sont tous d'accord pour maintenir cette rhétorique agressive, mais ils veulent qu'elle soit accompagnée de mesures pratiques, concrètes. Donc ce décalage a affaibli la crédibilité de la dissuasion nucléaire russe et ça a conduit les Occidentaux à poursuivre leur aide à l'Ukraine et même à l'intensifier. Aujourd'hui, la dissuasion nucléaire russe commence à s'adapter en entreprenant des actions beaucoup plus concrètes. On a évidemment la décision de transférer des armes nucléaires tactiques en Biélorussie. On a beaucoup d'autres actions de ce type. Il y a aussi la publication de la nouvelle doctrine nucléaire russe en novembre 2024, qui est une mesure de dissuasion en réalité. Il faut bien le comprendre, ça aussi. RFI : Et quel est le nouveau message adressé à l'Ouest, à l'Europe et à l'OTAN ? C'est de faire des démonstrations de force sérieuses. Un général russe important propose de rejouer le scénario cubain (crise des missiles de Cuba 1962, ndlr). Donc il y a une volonté de faire une démonstration claire de la force militaire nucléaire. Et à chaque fois qu'une ligne rouge est franchie, d'avoir une réponse nucléaire ou conventionnelle. Les militaires russes pensent aussi que les réponses conventionnelles doivent être beaucoup plus violentes, beaucoup plus fortes. Et cette dissuasion conventionnelle, en fait, ils en ont fait la démonstration avec le tir de missiles balistiques à portée intermédiaire. Ce tir d'Orechnik (Le 9M729-Orechnik, littéralement « noisetier », est un missile balistique russe à portée intermédiaire, ndlr) fait suite à la publication de la nouvelle doctrine nucléaire, qui elle-même s'inscrit dans ce que la Russie perçoit en 2024 comme une logique d'escalade continue. C'est aussi une réponse au discours d'Emmanuel Macron sur de possibles troupes au sol en Ukraine. Et n'oubliez pas, le plus important, en 2024 commence la levée de toutes les interdictions de l'administration Biden sur l'utilisation par l'Ukraine d'armes de fabrication américaine, non seulement à la frontière russe, mais en fait progressivement sur tout le territoire russe. Puis une autre séquence s'ouvre puisque Donald Trump arrive au pouvoir. À lire aussiRoyaume-Uni: les bonnes intentions envers l'Ukraine lors de la «coalition des volontaires» RFI : Qu'est-ce que change l'arrivée de Donald Trump pour la dissuasion nucléaire russe ? On a l'impression d'avoir changé de monde parce qu'avec l'ancienne administration, vous aviez une escalade très maîtrisée à laquelle la Russie a eu beaucoup de mal à répondre parce que tout est venu de façon séquencée. Envisager l'utilisation de l'arme nucléaire en cas de menace à l'existence même de l'État russe, ça devenait complètement obsolète pour ses officiers supérieurs et généraux. Parce que cette doctrine nous montre aussi que la Russie a peur que ses tentatives d'agression contre ses voisins suscitent l'aide de pays dotés d'armes nucléaires. En fait, elle a peur que le scénario ukrainien se reproduise. Et donc cette nouvelle doctrine est censée couvrir ces scénarios aussi. Elle élargit les conditions d'emploi et elle abaisse le seuil déclaré d'emploi de l'arme nucléaire. RFI : L'élection de Donald Trump a-t-elle permis de faire baisser la tension ? Plus tôt. Ça très clairement, c'est à dire que Trump et son indifférence relative à l'Ukraine et à l'Europe y participe, la collusion idéologique qui existe entre la Russie et les États-Unis aujourd'hui, le peu d'intérêt qu'il a pour l'OTAN et l'Europe orientale le permette. Ce qui ne veut pas dire que la rhétorique agressive de la Russie s'arrête. Au contraire, on voit bien que la rhétorique nucléaire agressive de la Russie se déclenche dès que le président américain envisage sérieusement, en tout cas rhétoriquement, de fournir des armes offensives et à longue portée à l'Ukraine. Ce qui s'éloigne, c'est la perspective d'un emploi. Il était déjà très faible depuis le début de la guerre en Ukraine. Avec l'élection de Donald Trump, il est encore plus faible. Donc autant dire, très peu probable. En revanche, les ambiguïtés de Washington, les hésitations de l'Europe à l'égard de la défense du continent, à l'égard de la défense de l'Ukraine, alimentent l'agressivité de la Russie. Et donc ça augmente la probabilité d'actions déstabilisatrices conventionnelles russes. À lire aussiLa pérennisation de l'aide à l'Ukraine au menu d'un nouveau sommet européen à Bruxelles

Revue de presse internationale
À la Une: les sanctions de Donald Trump contre le pétrole russe

Revue de presse internationale

Play Episode Listen Later Oct 24, 2025 3:56


« Les sanctions de Trump contre le secteur pétrolier russe intensifient la guerre économique », titre le New York Times, selon lequel Donald « Trump va frapper la Russie là où ça fait mal ». Un vrai revirement de la part du président américain. Selon le quotidien américain, cette décision marque « un changement de stratégie important, de la part du président américain, qui jusqu'à présent s'était abstenu de punir la Russie… » « Pourquoi Trump a atteint un point de non-retour avec [Vladimir] Poutine ?, interroge de son côté le Wall Street Journal. Pendant des mois, Trump a menacé de prendre ce style de mesures, avant d'y renoncer, car il continuait de croire qu'il pouvait négocier avec Poutine sur la guerre en Ukraine, posture qui a longtemps frustré les dirigeants politiques, aux États-Unis et en Europe. » « Mais la patience du président a fini par s'émousser », selon des responsables américains. En Espagne, El Païs estime que « le coup porté par Trump aux compagnies pétrolières russes, va perturber les calculs de Poutine visant à prolonger la guerre en Ukraine ». La presse russe, et notamment le Moskovski Komsomolets, fait sa Une sur la réponse de Vladimir Poutine, qui a qualifié ces sanctions « d'acte inamical ». Le président russe a notamment affirmé que « si la part de la Russie sur le marché mondial diminue en raison des sanctions imposées à la Russie, cela aura des conséquences néfastes, y compris pour les États-Unis. » Un vote qui fait polémique À la Une également, les réactions après le vote au Parlement israélien, la Knesset, sur la Cisjordanie du vote d'un projet de loi préliminaire visant à établir une « souveraineté israélienne » sur le territoire. Où l'on reparle de Donald Trump qui, nous dit le Times of Israel, affirme que l'État hébreu « ne fera rien avec la Cisjordanie ». « Ne vous inquiétez pas pour la Cisjordanie », a encore déclaré le président américain. Cela alors que l'administration américaine s'indigne, estimant ainsi « les Israéliens ne peuvent pas nous traiter comme si nous étions Joe Biden ». Un autre responsable américain résume ainsi la situation : « Netanyahu est sur un fil avec Donald Trump. S'il persiste, il va faire capoter l'accord sur Gaza. Et s'il le fait capoter, Donald Trump le fera capoter. ». De son côté, le journal d'opposition Haaretz juge que « le contrôle israélien de la Cisjordanie serait le pire fléau pour le pays ». Évoquant le vote de la Knesset, Haaretz estime « qu'agir ainsi, lors de la visite du vice-président JD Vance (...) revient à cracher au visage de l'administration de droite la plus pro-israélienne de tous les temps ». Conclusion d'Haaretz : « Les illusions annexionnistes doivent être stoppées dès maintenant, et l'administration Trump ne peut s'en charger seule. Israël doit y renoncer s'il souhaite ouvrir la voie à un futur accord avec les Palestiniens. » Expérimentation originale en Inde C'est Libération qui nous en parle aujourd'hui : « L'Inde expérimente pour la première fois l'ensemencement de nuages à New Delhi, pour lutter contre la pollution ». Plus précisément, « l'Inde a provoqué [jeudi]une pluie artificielle au-dessus de la capitale indienne en pulvérisant d'un avion un produit chimique, dont la nature n'a pas été précisée. Si l'essai s'avère concluant, l'opération en elle-même commencera le 29 octobre. » L'ensemencement des nuages vise « à dissiper le brouillard de pollution toxique qui enveloppe la capitale depuis plusieurs jours », précise encore le quotidien français. Toutefois, la substance chimique utilisée pour cette opération pose question. Ce peut être par exemple de « l'iodure d'argent ». De plus, précise encore Libération, « des recherches ont montré que les opérations d'ensemencement ne produisent pas toujours les résultats escomptés. »

Journal en français facile
Ukraine: nouvelles sanctions contre le pétrole russe / Gaza: les journalistes étrangers toujours interdits d'accès / BD: le nouvel album d'Astérix

Journal en français facile

Play Episode Listen Later Oct 23, 2025 10:00


Le Journal en français facile du jeudi 23 octobre 2025, 18 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/C7fZ.A

Les journaux de France Culture
Guerre en Ukraine : Bruxelles et Washington sanctionnent l'agresseur russe

Les journaux de France Culture

Play Episode Listen Later Oct 23, 2025 20:16


durée : 00:20:16 - Journal de 12h30 - A Bruxelles , un nouveau conseil européen destiné à soutenir, de manière sonnante et trébuchante, l'Ukraine face à son agresseur russe. Et puis on se rendra également à Moscou pour connaître la réaction du Krémlin, après que l'administration américaine a décidé hier soir de sanctions directes.

RTL Matin
Donald Trump annonce des sanctions contre le pétrole russe

RTL Matin

Play Episode Listen Later Oct 23, 2025 0:48


Ecoutez RTL Matin avec Thomas Sotto du 23 octobre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

La Revue de Presse
Guerre en Ukraine : le vaste réseau de surveillance secret russe face à l'Otan

La Revue de Presse

Play Episode Listen Later Oct 23, 2025 6:29


Il a pour but de protéger son arsenal nucléaire et détecter les sous-marins de l'Otan. Tout ça a pu être réalisé grâce à du matériel occidental acquis de façon détournée. Une information qui paraît impensable dans ce contexte de guerre en Ukraine. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le journal de 12h30
Guerre en Ukraine : Bruxelles et Washington sanctionnent l'agresseur russe

Le journal de 12h30

Play Episode Listen Later Oct 23, 2025 20:16


durée : 00:20:16 - Journal de 12h30 - A Bruxelles , un nouveau conseil européen destiné à soutenir, de manière sonnante et trébuchante, l'Ukraine face à son agresseur russe. Et puis on se rendra également à Moscou pour connaître la réaction du Krémlin, après que l'administration américaine a décidé hier soir de sanctions directes.

Chronique des Matières Premières
Le charbon russe connaît sa pire crise depuis trente ans

Chronique des Matières Premières

Play Episode Listen Later Oct 20, 2025 1:33


Le secteur pèse de manière marginale dans l'économie russe : moins de 1% du PIB. Mais des régions entières dépendent de son exploitation. Et la crise souffle très fort. De notre correspondante à Moscou, La presse officielle russe l'admet : le secteur du charbon russe traverse une grave épreuve. Certains analystes parlent même de la pire crise depuis 30 ans. Cela charrie pour le pays les souvenirs d'un passé qui ne passe pas : celui des chaotiques années 90, cette transition brutale à l'économie de marché, où des travailleurs du charbon venaient à Moscou crier leur colère en tapant leur casque de mineurs sur le pavé. Une descente aux enfers en deux ans Dans un pays chaque jour plus verrouillé comme la Russie, pas de protestations sociales. Seulement des indicateurs économiques qui traduisent froidement un tableau très sombre. À commencer par celui-ci : selon l'Agence nationale russe des statistiques, au cours des sept premiers mois de l'année, le secteur a enregistré des pertes de 225 milliards de roubles, soit 2,4 milliards d'euros. C'est le double de celles de 2024, année où il figurait déjà parmi les secteurs les moins performants du pays. Le signe d'un retournement radical de situation et d'une descente aux enfers rapide, car en 2023 le secteur dégageait encore des bénéfices, à hauteur de 375 milliards de roubles, près de 4 milliards d'euros. Cela pour une industrie qui emploie directement plus de 140 000 personnes en Russie, et demeure le poumon essentiel dans certaines régions. Des régions qui s'annoncent sinistrées. Des ventes à faibles marges, voire à perte En septembre, selon un dernier bilan du ministère de l'Énergie, 23 entreprises charbonnières russes, soit environ 13% du total national, avaient fermé leurs portes ; 53 autres risquent de suivre. Selon les analystes, ce sont les petites et moyennes structures qui sont les plus menacées. À l'origine, les prix du charbon thermique, utilisés dans les centrales, qui ont atteint cette année des prix historiquement bas, 93 dollars la tonne, soit 78% de moins que lors du pic de 2022. En cause : les niveaux records de production en Chine. À cela, il faut ajouter des contraintes russes liées aux sanctions occidentales : pour vendre, il faut désormais offrir des rabais. On estime aujourd'hui que la Russie vend son charbon avec de très faibles marges, voire parfois à perte. Le commerce souffre aussi de goulots d'étranglement logistiques. Les perspectives ne sont pas meilleures : pour les analystes, la tendance des cours mondiaux du charbon est baissière jusqu'en 2027.

Lignes de défense
L'armée de Terre française a l'ambition de peser face à la menace russe

Lignes de défense

Play Episode Listen Later Oct 19, 2025 2:44


Les services secrets allemands ont mis en garde, lundi, contre la Russie, prête selon eux à entrer en conflit militaire direct avec l'Otan, menace qui pourrait se concrétiser avant 2029. Réaction ce jeudi du patron de l'armée de Terre française, le général Pierre Schill, à l'occasion de la présentation des capacités des forces terrestres à l'École militaire, qui a plaidé pour une démonstration de force et de crédibilité des armées européennes. Face à ces menaces, le mot d'ordre du chef d'état-major de l'armée de Terre est le suivant : être prêt et le faire savoir. « Il y a l'adversaire et il y a nous. On sait que depuis des années, la Russie s'arme. On sait que depuis des années, la Russie voulait faire peser cette intimidation de sa force sur son environnement et qu'elle veut structurellement s'étendre. Ça, c'est l'adversaire. Nous, c'est d'abord la coalition. Nous sommes membres d'une coalition, nous sommes un continent qui a quand même des ressources immenses. Et au sein de ce continent, il y a nous, la France. Nous avons un certain nombre de socles de notre défense qui sont solides. C'est une armée d'emploi, c'est la dissuasion nucléaire. Pour être libre dans le monde qui vient, il faut être craint. Et pour être craint, il faut être fort. Oui, il y a une menace, c'est clair, mais l'avenir n'est pas écrit, c'est à nous de l'écrire. Et pour écrire cet avenir, il faut que nous soyons forts. » Nous n'avons pas trouvé la martingale contre les drones Être fort signifie tracer des lignes rouges. Contre la flotte fantôme, contre les incursions de drones. L'Europe et l'Otan cherchent la parade, on n'a pas trouvé la martingale dit le général Schill, et la pertinence du mur anti-drones européen reste à ses yeux à démontrer : « Je pense que la question de la défense par le mur, et exclusivement par le mur, est vouée à l'échec parce qu'elle laisse à l'attaquant l'initiative et elle oblige le défenseur à être fort partout. Sur la question du mur anti-drones, il y a un élément positif qui est la volonté manifeste de répondre à des attaques potentielles et à une menace. Maintenant, tout va être dans les modalités. Qu'est-ce que veut dire le mur anti-drones ? Est-ce que c'est un mur étanche sur les milliers de kilomètres de frontière de l'Otan ? Est-ce que ce sera concentré sur certains points ? C'est dans les détails et la rapidité du déploiement que se jugera l'efficacité ou la pertinence de ce sujet, entre deux extrêmes qui pourraient être le fait que ça coûte très cher sans être étanche jusqu'à ne rien faire ». À lire aussiMur anti-drones: l'Union européenne veut aller vite Montrer sa force Face aux attaques hybrides menées par Moscou, l'armée de terre française a l'ambition de peser. De changer le cours de l'histoire par la puissance de l'action, c'est le socle de la dissuasion, martèle Pierre Schill, « La paix, de mon point de vue, est consubstantielle à la notion de force. Si tu veux la paix, prépare la guerre. C'est la base même de la dissuasion et du découragement. Je pense que c'est aujourd'hui le socle de notre défense. Tout ce qui peut être fait en amont pour prouver cette force par la démonstration, c'est-à-dire par les exercices, par la présentation de nos capacités pour que l'adversaire les jauge, c'est une dimension importante. Regardez comment la Chine a fait une démonstration de force à travers le défilé de Tiananmen, qui dit beaucoup ! » Et pour à son tour, en dire beaucoup, de février à avril 2026, l'armée française mènera l'exercice Orion 26. Vaste manœuvre interarmées incluant des alliés, et qui constituera pour le chef d'état-major de l'armée de Terre un signal adressé à nos adversaires et à nos partenaires : afin d'être redouté par les premiers et reconnu par les seconds. À lire aussiL'armée de terre engage une robotisation massive de ses forces

Les matins du samedi
Guerre hybride, guerre psychologique : l'Europe face à la pression russe

Les matins du samedi

Play Episode Listen Later Oct 18, 2025 15:49


durée : 00:15:49 - L'Invité(e) des Matins du samedi - par : Nicolas Herbeaux - Depuis début septembre, le conflit entre la Russie et les Etats européens a changé de visage. Les violations de l'espace aériens de certains pays d'Europe par des drones russes s'amplifient. Peut-on parler de "guerre hybride" ? Le projet anti-drones voulu par l'Union Européenne est-il réalisable ? - réalisation : Colin Gruel - invités : Louise Souverbie Chercheuse à l'Institut Français des Relations Internationales, spécialiste des questions de défense européenne

NachDenkSeiten – Die kritische Website
Im Zweifel war's der Russe: Bundesregierung steigert Ausgaben für Maßnahmen gegen „Desinformation“ um 455 Prozent

NachDenkSeiten – Die kritische Website

Play Episode Listen Later Oct 16, 2025 11:17


Die Antworten der Bundesregierung auf eine parlamentarische Anfrage zu Maßnahmen des Bundes gegen sogenannte „Desinformation“ geraten zu einem Offenbarungseid. Aus den Antworten ergibt sich unter anderem, dass die Bundesregierung auf Grundlage einer höchst fragwürdigen Definition die Finanzierung für Projekte mit Schwerpunkt „Desinformation“ in einem gigantischen Ausmaß gesteigert hat. Gefragt nach konkreten und aktuellen Fällen vonWeiterlesen

24H Pujadas - Les partis pris
Les Partis Pris : “Retraites : expliquez-vous madame Le Pen”, “Guerre commerciale : il n'y a pas d'apocalypse” et “Orban : la méthode russe”

24H Pujadas - Les partis pris

Play Episode Listen Later Oct 15, 2025 19:26


On ignore toujours la position de Marine Le Pen sur les retraites. Le RN semble embarrassé, selon Ruth Elkrief, car la suspension de la réforme par le Premier ministre PS, qu'on l'approuve ou non, est une nouvelle épine pour le parti. Le RN réclamait instamment l'abrogation de cette loi, désormais suspendue, ce qui oblige à interroger ses prises de position. Il n'y a pas d'apocalypse concernant les conséquences des tarifs douaniers de Donald Trump, confirme François Lenglet. Les économistes prévoyaient un ralentissement des exportations chinoises frappées par les taxes américaines, et la montée de l'inflation. Or, ce n'est pas ce qui se produit : les exportations chinoises rebondissent (+ 8,6 % vers les États-Unis, + 8,3 % à l'échelle mondiale) et l'inflation américaine n'a augmenté que très modérément. La « méthode russe » de Viktor Orban selon Marion Van Renterghem. Une enquête d'un collectif d'investigation aboutit à la conclusion que Viktor Orban avait déployé un réseau d'agents secrets pour infiltrer les institutions européennes entre 2012 et 2018. C'est un nouveau rebondissement dans cette relation d'amour, de haine et de trahison entre Orban et l'Union européenne. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Un jour dans le monde
Dmytro Loubinets : "Les enfants ukrainiens sont les futurs soldats de l'armée russe"

Un jour dans le monde

Play Episode Listen Later Oct 14, 2025 14:50


durée : 00:14:50 - L'invité d'un jour dans le monde - Un canal de discussion s'est ouvert entre Mélania Trump et Vladimir Poutine. Mais pour combien de temps au regard des 20.000 enfants qui restent encore à retrouver ? Dmytro Loubinets, commissaire auprès du Parlement Ukrainien revient sur les contraintes de les retrouvés dans un jour dans le monde Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Les matins
L'Ukraine, attaquée jusque dans ses infrastructures énergétiques par la Russie, met le pétrole russe sous pression

Les matins

Play Episode Listen Later Oct 11, 2025 5:11


durée : 00:05:11 - La Revue de presse internationale - Kiev et neuf régions d'Ukraine sont touchées par des coupures d'électricité après des frappes russes via des drones et des missiles mortels. Les forces ukrainiennes répliquent par des attaques de longue portée contre les infrastructures pétrolières russes, un secteur-clé pour le Kremlin. - invités : Tatiana Kastouéva-Jean Directrice du Centre Russie/Eurasie de l'Ifri

Les dessous de l'infox
Propagande russe, arme de destruction massive de l'information et du journalisme

Les dessous de l'infox

Play Episode Listen Later Oct 10, 2025 29:30


Le dispositif russe de propagande procède par élimination des moyens d'accès à l'information, en exerçant une répression féroce contre les médias et journalistes indépendants. Une fois verrouillé l'espace informationnel, le Kremlin et ses officines saturent l'espace cyber et informationnel de ses propres narratifs. Le dossier Propaganda monitor publié par RSF dresse un état des lieux de la situation, au-delà de l'espace russophone. Il recense également les initiatives engagées pour la riposte.  Un an après le lancement de Progapanda monitor, Reporters sans frontières publie le premier volet de son enquête, visant le dispositif de propagande de la Russie : comment elle s'impose au détriment de l'information du public ? Quelles sont ses implications : privation de liberté et autres crimes de guerre. On en parle avec Anne Bocandé, directrice éditoriale de RSF.  La chronique de dessous de l'infox, par Olivier Fourt de la cellule info vérif de RFI : Une infox sur un luxueux bunker destiné à la famille Macron bat des records sur les réseaux sociaux.  L'expérience d'un fact checker du Bénin : Ariel Gbaguidi, lauréat Africa Fact 2025 revient sur l'enquête qui lui a valu le prix «meilleur fact check de l'année», où il est question d'une fausse base militaire française censée permettre le ravitaillement des djihadistes pour déstabiliser le Burkina Faso. Une infox alimentée par des images détournées de leur contexte. 

Grand reportage
La Moldavie en proie à la guerre d'influence russe

Grand reportage

Play Episode Listen Later Oct 9, 2025 19:30


La Moldavie a choisi de maintenir un cap européen. Lors des élections législatives du 28 septembre, le parti au pouvoir, le PAS, qui milite pour une adhésion à l'Union européenne, a remporté la majorité des sièges au Parlement. Le scrutin et la campagne électorale ont été tendus, marqués par des ingérences russes sans précédent. La Moldavie, petit pays de 2,4 millions d'habitants, considéré comme le plus pauvre d'Europe attise les convoitises de Moscou. Coincé entre la Roumanie et l'Ukraine, elle occupe une place stratégique. Ancienne République soviétique, c'est une zone tampon entre l'Ouest et l'Est, un levier pour la Russie, dans sa confrontation avec l'Union européenne. «La Moldavie en proie à la guerre d'influence russe», un Grand reportage de Murielle Paradon.

Aujourd'hui l'économie
En Asie centrale, Vladimir Poutine cherche à sauver l'influence économique russe face à la Chine

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later Oct 9, 2025 3:23


En visite à partir de ce jeudi en Asie centrale, Vladimir Poutine participe à un sommet avec les cinq dirigeants de cette région riche en ressources naturelles. Un déplacement à forte portée économique pour une Russie sous sanctions, qui cherche à préserver son influence face à la montée en puissance de la Chine et d'autres partenaires. Le président russe est au Tadjikistan à l'occasion d'un sommet réunissant les cinq pays d'Asie centrale: le Kazakhstan, le Kirghizistan, l'Ouzbékistan, le Turkménistan et le Tadjikistan. Longtemps considérée comme le cœur de l'influence soviétique, puis russe, cette région stratégique tente depuis la chute de l'URSS de diversifier ses partenariats. Désormais, ces États multiplient les liens économiques avec la Chine, la Turquie et plusieurs pays occidentaux, notamment la France. Une évolution que Moscou observe avec attention. Sous le coup de lourdes sanctions depuis l'invasion de l'Ukraine, la Russie cherche dans cette région un moyen de compenser ses pertes économiques et d'affirmer qu'elle reste un acteur incontournable. L'énergie, au cœur de la stratégie économique russe Le principal levier de cette visite est énergétique. Le sous-sol de ces pays regorge de ressources naturelles — pétrole, gaz et uranium — qui attirent les convoitises. Le Kazakhstan, par exemple, est l'un des plus grands producteurs d'hydrocarbures de la région, mais son pétrole transite à 80 % par les oléoducs russes. L'uranium, essentiel au fonctionnement des centrales nucléaires, constitue un autre enjeu majeur. Plusieurs puissances se positionnent sur ce marché, dont la France. Emmanuel Macron s'est rendu en Ouzbékistan au printemps dernier pour signer de nouveaux partenariats. Moscou, de son côté, veut consolider sa place en proposant sa technologie nucléaire et en négociant de nouveaux contrats énergétiques. Mais Vladimir Poutine avance désormais sur un terrain où la Chine a pris une longueur d'avance. Pékin, Paris, Ankara… la Russie n'est plus seule à la table Derrière ce déplacement, c'est aussi une bataille d'influence qui se joue. Avec son vaste projet des « Nouvelles routes de la soie », Pékin a transformé l'Asie centrale en un couloir commercial entre la Chine et l'Europe, y investissant massivement dans les infrastructures et les technologies. Cette présence chinoise offre aux États centrasiatiques une alternative crédible à Moscou, qui voit son influence se réduire. Dans ce contexte, la visite de Vladimir Poutine apparaît comme une tentative de démontrer que la Russie peut encore peser économiquement malgré la guerre et l'isolement international. Mais le centre de gravité économique de la région s'est déplacé. Les capitaux viennent désormais de Pékin, d'Ankara, parfois même de Paris. Si Moscou demeure un acteur historique et symbolique, elle doit désormais composer avec d'autres puissances bien installées. L'Asie centrale, forte de cette rivalité, tient un rôle d'arbitre, profitant de cette compétition pour renforcer sa souveraineté sans sacrifier son autonomie.

La Revue de Presse
Poutine l'immortel ! La nouvelle obsession inquiétante du président russe

La Revue de Presse

Play Episode Listen Later Oct 8, 2025 6:49


Loin de lui l'idée de devenir un élu de l'Académie Française, Vladimir Poutine rêve d'immortalité. Discussion avec Xi Jinping et annonce publique, le sujet a été abordé à de multiples reprises par l'homme de 73 ans. Cette quête de l'immortalité se traduit concrètement par des recherches scientifiques russes, dont une pilotée par une femme proche du maître du Kremlin.Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les Observateurs
Moldavie : des élections sous influence russe

Les Observateurs

Play Episode Listen Later Oct 6, 2025 6:09


Alors que des élections législatives déterminantes pour l'avenir européen de la Moldavie se tiennent le 28 septembre, le pays est menacé par la guerre hybride menée par la Russie. Désinformation en ligne, réseaux d'influenceurs, ingérences organisées par un oligarque moldave aux ordres de Moscou... dans un pays que le Kremlin considère toujours comme faisant partie de sa sphère d'influence.

L'oeil de...
BEST OF - Général D'armée, ambassadeur russe.... P. Caverivière face aux spécialistes géopolitiques

L'oeil de...

Play Episode Listen Later Oct 4, 2025 7:10


Chaque samedi, découvrez une compilation thématisée des meilleurs chroniques de Philippe Caverivière ! Dans ce best of, l'humoriste fait face à Vincent Desportes, Dimitri Minic, Vadim Sizonenco et Jean-Paul Palomeros. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Géopolitique
A Copenhague, les Européens cherchent la parade à la guerre hybride russe

Géopolitique

Play Episode Listen Later Oct 2, 2025 3:06


durée : 00:03:06 - Géopolitique - par : Pierre  Haski  - Après avoir subi des intrusions de drones non-identifiés, le Danemark accueille deux jours de Sommets européens, centrés sur la menace russe. La première ministre danoise dénonce la « guerre hybride » menée par la Russie : « ce n'est que le début », dit-elle. Mais attention à la sur-réaction. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

C dans l'air
Cargo russe à Saint-Nazaire: la France réplique - Vos questions sms -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Oct 2, 2025 4:30


C dans l'air du 2 octobre 2025 - L'Europe au défi de la flotte fantôme russeLES EXPERTS :- Alain BAUER - Professeur de criminologie au CNAM responsable du Pôle Sécurité Défense Renseignement- Pierre HAROCHE - Maître de conférences en politique européenne et internationale à l'Université catholique de Lille- Marie JEGO - Journaliste - Le Monde, ancienne correspondante à Moscou- Alexandra SAVIANA - Journaliste - L'Express, auteur de Les scénarios noirs de l'armée française

C dans l'air
Cargo russe à Saint-Nazaire: la France réplique - L'intégrale -

C dans l'air

Play Episode Listen Later Oct 2, 2025 64:18


C dans l'air du 2 octobre 2025 - L'Europe au défi de la flotte fantôme russeLe pétrolier "Pushpa" a dû mettre son périple en pause. Parti de Russie le 18 septembre à destination de l'Inde, le navire de 244 mètres de long a été arraisonné lundi au large de Saint-Nazaire par des militaires français qui le soupçonnent d'appartenir à la flotte de navires fantômes russes. Hier, le parquet de Brest a annoncé l'ouverture d'une enquête pour "défaut de justification de la nationalité du navire" et "refus d'obtempérer" et le placement en garde à vue de deux membres de l'équipage. "Il y a eu des fautes très importantes qui ont été commises par cet équipage qui justifient que la procédure soit judiciarisée aujourd'hui", a déclaré Emmanuel Macron, en marge d'un sommet international à Copenhague. Les dirigeants européens y sont notamment réunis pour imaginer de nouvelles ripostes contre la Russie qui viole régulièrement leurs espaces aériens, comme la Pologne, la Roumanie ou l'Estonie. Le président français a cependant appelé à rester prudent sur les informations de la presse danoise, selon laquelle le Pushpa aurait pu servir de plateforme de lancement à des drones ayant perturbé le trafic aérien du pays fin septembre. Une chose est sûre, le navire, qui a changé à treize reprises de pavillons en trois ans selon Le Monde, a déjà été immobilisé à plusieurs reprises pour des activités "illégales". Et il n'est pas un cas isolé. Depuis 2023, plusieurs navires en provenance de Russie ont été impliqués dans des ruptures de câbles électriques ou l'endommagement de gazoducs.Pendant que les dirigeants européens se réunissent pour élaborer de nouvelles stratégies contre la Russie, l'armée de l'Otan se prépare au scénario du pire. Mi-mai, 3 000 militaires et de nombreux véhicules terrestres et aériens issus de neuf pays européens ont simulé un débarquement sur les côtes française dans le cadre d'exercices militaires baptisés Polaris 25. Selon le contre-amiral français Jean-Michel Martinet, il s'agit "de préparer la Marine nationale à être immédiatement engagée dans du combat de haute intensité avec tout ce que cela suppose dans le contexte actuel". Une équipe de C dans l'air a pu y participer.Si les responsables militaires ne nomment pas directement le responsable de leurs craintes, c'est bien la Russie qui est visée. Pour financer sa guerre en Ukraine, Vladimir Poutine a annoncé fin septembre une hausse de la TVA de 20 à 22% à partir de 2026, soit le niveau le plus élevé depuis le début de l'invasion russe. Selon les économistes, le Kremlin peine à assumer le coût du conflit. Alourdi par les dépenses militaires et les sanctions visant ses exportations de pétrole, le déficit russe atteint désormais 43 milliards d'euros, soit trois fois plus qu'en 2024. Les frappes ukrainiennes sur les raffineries russes n'ont rien arrangé à la situation tandis que les pays du G7 ont annoncé hier vouloir "accentuer la pression sur les exportations pétrolières de la Russie". Signe que l'économie russe ralentit, le gouvernement a annoncé abaisser ses prévisions de croissance pour 2026 de 2 à 1,3%.Que sait-on du pétrolier arraisonné au large des côtes françaises et suspecté d'appartenir à la flotte fantôme russe ? Comment les forces de l'Otan se préparent à l'hypothèse d'une guerre de haute intensité ? Les sanctions internationales contre l'économie russe peuvent-elles faire basculer le cours de la guerre en Ukraine ?LES EXPERTS :- Alain BAUER - Professeur de criminologie au CNAM responsable du Pôle Sécurité Défense Renseignement- Pierre HAROCHE - Maître de conférences en politique européenne et internationale à l'Université catholique de Lille- Marie JEGO - Journaliste - Le Monde, ancienne correspondante à Moscou- Alexandra SAVIANA - Journaliste - L'Express, auteur de Les scénarios noirs de l'armée française

Les actus du jour - Hugo Décrypte
Un navire russe dans les eaux françaises, la marine réagit

Les actus du jour - Hugo Décrypte

Play Episode Listen Later Oct 2, 2025 12:12


Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.

InterNational
A Copenhague, les Européens cherchent la parade à la guerre hybride russe

InterNational

Play Episode Listen Later Oct 2, 2025 3:06


durée : 00:03:06 - Géopolitique - par : Pierre  Haski  - Après avoir subi des intrusions de drones non-identifiés, le Danemark accueille deux jours de Sommets européens, centrés sur la menace russe. La première ministre danoise dénonce la « guerre hybride » menée par la Russie : « ce n'est que le début », dit-elle. Mais attention à la sur-réaction. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Accents d'Europe
Les élections tchèques à l'ombre de la désinformation russe

Accents d'Europe

Play Episode Listen Later Oct 2, 2025 19:29


Les Tchèques élisent leur Parlement à partir de demain (3 octobre 2025)… et le choix se porte à nouveau entre le parti populiste d'extrême droite ANO du milliardaire Andrei Babis. Favori dans les sondages. Et celui du Premier ministre sortant, conservateur et pro-européen Petr Fiala. Entre les deux, c'est bien sûr tout le positionnement du pays face à l'UE, mais aussi à la guerre en Ukraine qui est en jeu... La campagne a été gangrenée par la désinformation pro-russe. Souvent portée par le SPD, le troisième parti d'extrême droite. C'est le reportage à Prague de notre correspondant Alexis Rosenzweig.   La revue de presse sonore et européenne En Allemagne, on a beaucoup parlé cette semaine de l'espionnage… en provenance de Chine…. Et c'est l'assistant parlementaire d'un ex-député européen d'extrême droite Maximilian Krah qui a été jugé… et condamné à 4 ans et 9 mois de prison ferme... Il aurait sorti quelque 500 documents du Parlement européen et c'est l'ouverture de votre revue de presse cette semaine, Franceline Beretti.   Les LGBT bienvenus à Rome pour le jubilé C'est l'année du Jubilé à Rome, une année sainte pour l'Église catholique. Trente millions de pèlerins pas moins sont attendus avec une charge émotionnelle et symbolique tout particulière. C'est le cas de ce groupe de 1 400 croyants, de la communauté LGBT qui ont fait le déplacement en septembre. Pour la première fois, leur visite était inscrite dans le calendrier officiel des évènements. Signe que les lignes bougent. C'est le reportage à Rome d'Olivier Bonnel.   Trafic d'icônes dans l'église grecque En Grèce, c'est un scandale pas banal qui a agité l'Église orthodoxe. Une institution toujours liée à l'État et qui a conservé un fort pouvoir d'influence. Un moine de haut rang a été pris la main dans le sac, dans une affaire de vol et de trafic d'œuvres d'art religieuses. Les explications à Athènes de Joël Bronner.

Accents d'Europe
Les élections tchèques à l'ombre de la désinformation russe

Accents d'Europe

Play Episode Listen Later Oct 2, 2025 19:29


Les Tchèques élisent leur Parlement à partir de demain (3 octobre 2025)… et le choix se porte à nouveau entre le parti populiste d'extrême droite ANO du milliardaire Andrei Babis. Favori dans les sondages. Et celui du Premier ministre sortant, conservateur et pro-européen Petr Fiala. Entre les deux, c'est bien sûr tout le positionnement du pays face à l'UE, mais aussi à la guerre en Ukraine qui est en jeu... La campagne a été gangrenée par la désinformation pro-russe. Souvent portée par le SPD, le troisième parti d'extrême droite. C'est le reportage à Prague de notre correspondant Alexis Rosenzweig.   La revue de presse sonore et européenne En Allemagne, on a beaucoup parlé cette semaine de l'espionnage… en provenance de Chine…. Et c'est l'assistant parlementaire d'un ex-député européen d'extrême droite Maximilian Krah qui a été jugé… et condamné à 4 ans et 9 mois de prison ferme... Il aurait sorti quelque 500 documents du Parlement européen et c'est l'ouverture de votre revue de presse cette semaine, Franceline Beretti.   Les LGBT bienvenus à Rome pour le jubilé C'est l'année du Jubilé à Rome, une année sainte pour l'Église catholique. Trente millions de pèlerins pas moins sont attendus avec une charge émotionnelle et symbolique tout particulière. C'est le cas de ce groupe de 1 400 croyants, de la communauté LGBT qui ont fait le déplacement en septembre. Pour la première fois, leur visite était inscrite dans le calendrier officiel des évènements. Signe que les lignes bougent. C'est le reportage à Rome d'Olivier Bonnel.   Trafic d'icônes dans l'église grecque En Grèce, c'est un scandale pas banal qui a agité l'Église orthodoxe. Une institution toujours liée à l'État et qui a conservé un fort pouvoir d'influence. Un moine de haut rang a été pris la main dans le sac, dans une affaire de vol et de trafic d'œuvres d'art religieuses. Les explications à Athènes de Joël Bronner.

Les histoires de 28 Minutes
[Débat] Jusqu'où riposter face à la menace russe ?

Les histoires de 28 Minutes

Play Episode Listen Later Oct 2, 2025 23:22


L'émission 28 minutes du 02/10/2025 Incursions russes : l'OTAN et l'UE doivent-elles monter d'un cran pour répliquer à Moscou ? L'urgence se fait sentir au sein de l'Union européenne. Depuis septembre, plusieurs pays européens dont la Pologne et la Roumanie signalent la présence illégale de drones russes dans leurs espaces aériens. Dernier exemple en date, le Danemark s'est inquiété du survol suspect de drones sur son territoire, à plusieurs reprises, ces derniers jours. C'est donc pour discuter de la défense du continent que le groupe des 27 se réunit à Copenhague aujourd'hui et demain. Quatre projets phares doivent être abordés : la défense de l'espace aérien, le renforcement du flanc est, la défense antimissiles et la création d'un “mur antidrones”. L'Union européenne ne laissera pas la Russie semer la “division et l'angoisse dans nos sociétés”, a déclaré Ursula Von Der Leyen, présidente de la Commission européenne, dès son arrivée au Danemark. À son tour, Emmanuel Macron n'a pas hésité à dire avant le début du sommet que l'Europe était “dans une confrontation avec la Russie”, qualifié d'acteur “très agressif”. Dernière épisode en date, l'arraisonnement au large de saint Nazaire d'un pétrolier que les autorités françaises suspectent de faire partie de la flotte fantôme russe.On en débat avec Guillaume Lagane, maître de conférence à Sciences Po Paris, spécialiste des questions de défense, Élise Vincent, journaliste au Monde en charge des questions de défense et Général Michel Yakovleff, général de corps d'armée, ancien haut gradé à l'OTAN.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 2 octobre 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio

Les histoires de 28 Minutes
La Sécurité sociale fête ses 80 ans / Jusqu'où riposter face à la menace russe ?

Les histoires de 28 Minutes

Play Episode Listen Later Oct 2, 2025 45:30


L'émission 28 minutes du 02/10/2025 80 ans de la “Sécu” : un modèle à bout de souffle ou à protéger ? C'est un anniversaire plus que symbolique. La Sécurité sociale fête cette année ses 80 ans. L'occasion de faire le bilan sur celle que les Français appellent affectueusement “la Sécu”. Lors de son élaboration par le Conseil national de la Résistance (CNR), en 1944, l'objectif était d'assurer “à tous les citoyens, des moyens d'existence dans tous les cas où ils sont incapables de se les procurer par le travail”. L'institution voit donc officiellement le jour, l'année suivante et s'étend, aujourd'hui, à l'assurance maladie, aux retraites, aux accidents du travail, à la politique familiale et à l'autonomie des personnes handicapées et âgées. Mais des questions se posent sur la pérennité de son système au moment où le pays fait face à une dette qui s'élève à 3 416 milliards d'euros, soit 115,6 % du PIB, contre 113,2 % fin 2024. Pour Julien Damon, auteur de “Petit éloge à la sécu” ‘(éditions Presses de Sciences Po), il est “embarrassant de faire financer nos dépenses courantes (…) par nos enfants et nos petits-enfants. Et ça n'est pas logique par rapport au projet de sécurité sociale”. Il nous dresse le portrait de cette complexe mais si précieuse institution en difficulté. Incursions russes : l'OTAN et l'UE doivent-elles monter d'un cran pour répliquer à Moscou ? L'urgence se fait sentir au sein de l'Union européenne. Depuis septembre, plusieurs pays européens dont la Pologne et la Roumanie signalent la présence illégale de drones russes dans leurs espaces aériens. Dernier exemple en date, le Danemark s'est inquiété du survol suspect de drones sur son territoire, à plusieurs reprises, ces derniers jours. C'est donc pour discuter de la défense du continent que le groupe des 27 se réunit à Copenhague aujourd'hui et demain. Quatre projets phares doivent être abordés : la défense de l'espace aérien, le renforcement du flanc est, la défense antimissiles et la création d'un “mur antidrones”. L'Union européenne ne laissera pas la Russie semer la “division et l'angoisse dans nos sociétés”, a déclaré Ursula Von Der Leyen, présidente de la Commission européenne, dès son arrivée au Danemark. À son tour, Emmanuel Macron n'a pas hésité à dire avant le début du sommet que l'Europe était “dans une confrontation avec la Russie”, qualifié d'acteur “très agressif”. Dernière épisode en date, l'arraisonnement au large de saint Nazaire d'un pétrolier que les autorités françaises suspectent de faire partie de la flotte fantôme russe.On en débat avec Guillaume Lagane, maître de conférence à Sciences Po Paris, spécialiste des questions de défense, Élise Vincent, journaliste au Monde en charge des questions de défense et Général Michel Yakovleff, général de corps d'armée, ancien haut gradé à l'OTAN.Enfin, Xavier Mauduit rend hommage à la célèbre primatologue britannique, Jane Goodall, qui s'est éteinte hier à l'âge de 91 ans, en nous racontant ses années passées en Tanzanie. Marie Bonnisseau s'intéresse à l'enquête menée par onze médias européens, dont Le Monde, sur la disparition alarmante de la nature et des terres agricoles en Europe au profit de projets de construction.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 2 octobre 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio

Les informés de France Info
L'Europe face à la menace russe, la lettre de Sébastien Lecornu aux syndicats... Les informés de franceinfo du mercredi 01 octobre 2025

Les informés de France Info

Play Episode Listen Later Oct 1, 2025 52:06


durée : 00:52:06 - Les informés de franceinfo - Tous les jours, les informés débattent de l'actualité autour de Victor Matet Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Les Grandes Gueules
L'abomination du jour - Marine, comédienne : "Quand on se fait vi*ler, le mal est fait, les caméras ne servent à rien. Je ne le prendrai jamais de la vie, c'est comme jouer à la roulette russe" - 01/10

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Oct 1, 2025 1:45


Aujourd'hui, Abel Boyi, éducateur, Flora Ghebali, militante écologiste, et Didier Giraud, éleveur de bovin, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Le grand journal du soir - Matthieu Belliard
Punchline - Menace russe : l'OTAN a-t-il vraiment les capacités de se défendre ?

Le grand journal du soir - Matthieu Belliard

Play Episode Listen Later Oct 1, 2025 6:43


Invités :  - Alain Baeur, professeur de criminologie - André Vallini, ancien ministre et avocat - Rachel Khan, essayiste - Gauthier Le Bret, journaliste politique - Geoffroy Lejeune, journaliste au JDD - Guillaume Perrault, journaliste - Benoit Perrin, directeur général de Contribuables Associés Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

8.30 franceinfo:
Navire fantôme russe au large de Saint-Nazaire, menaces de mort à son encontre... Le "8h30 franceinfo" de Nathalie Loiseau

8.30 franceinfo:

Play Episode Listen Later Oct 1, 2025 23:40


durée : 00:23:40 - 8h30 franceinfo - L'eurodéputée Renew, Nathalie Loiseau, était l'invitée du "8h30 franceinfo" mercredi 1er octobre 2025 Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

L'Histoire nous le dira
Quand le Tsar tombe : La première révolution russe de 1917 | L'Histoire nous le dira # 294

L'Histoire nous le dira

Play Episode Listen Later Sep 30, 2025 40:08


La Révolution d'Octobre de 1917, est un événement déterminant du 20e siècle. Quelle en est l'histoire ? Aujourd'hui, on s'attaque aux évènements entourant février 1917. Adhérez à cette chaîne pour obtenir des avantages : https://www.youtube.com/channel/UCN4TCCaX-gqBNkrUqXdgGRA/join Script: Vladimir Bliznetsov https://www.facebook.com/vip.petrarka et @Kekpeck @polukotnedokot - Instagram Révision: Carl Pépin https://carlpepin.com/ 00:00:00 - Introduction 00:00:36 - Contexte historique 00:01:07 - Les deux révolutions de 1917 00:01:56 - Le rôle de Nicolas II 00:02:42 - L'impact de la Première Guerre mondiale 00:03:14 - L'Empire russe avant la révolution 00:04:05 - Nicolas II et l'impératrice Alexandra Fedorovna 00:06:54 - L'année 1915 : un tournant 00:07:15 - La Douma d'État et la politique 00:11:51 - L'influence de Grégory Rasputin 00:12:40 - La prise de décisions politiques 00:15:06 - Soupçons d'espionnage et rumeurs d'adultère 00:16:11 - L'instabilité du gouvernement et l'étrangeté de Protopopov 00:17:57 - L'influence croissante de Raspoutine et l'isolement du couple impérial 00:18:15 - Le complot pour assassiner Raspoutine 00:18:46 - La mort de Raspoutine et ses conséquences 00:20:00 - La crise alimentaire et l'agitation sociale 00:22:10 - L'indifférence de Nicolas II et l'émeute de Petrograd 00:26:42 - La formation du double pouvoir 00:28:12 - L'effondrement du gouvernement impérial 00:28:51 - L'insurrection de Petrograd et l'aveuglement de Nicolas II 00:30:13 - Le blocage de Nicolas II à Pskov 00:31:02 - La formation du gouvernement provisoire 00:32:19 - L'influence du soviet des ouvriers de Pétrograde 00:35:16 - L'abdication de Nicolas II 00:36:22 - L'abdication de Michael 00:38:16 - L'arrestation de Nicolas II et sa famille 00:38:45 - Les nouvelles réformes du gouvernement provisoire 00:39:30 - L'arrivée de Vladimir Lénine 00:39:43 - Conclusion Pour soutenir la chaîne, au choix: 1. Cliquez sur le bouton « Adhérer » sous la vidéo. 2. Patreon: https://www.patreon.com/hndl Musique issue du site : epidemicsound.com Images provenant de https://www.storyblocks.com Abonnez-vous à la chaine: https://www.youtube.com/c/LHistoirenousledira Les vidéos sont utilisées à des fins éducatives selon l'article 107 du Copyright Act de 1976 sur le Fair-Use. S ources et pour aller plus loin: Eric Hobsbawm, L'Âge des extrêmes, Complexe, 2003. Mikhail Zygar, The Empire Must Die: Russia's Revolutionary Collapse, 1900-1917, 2017. https://www.nlobooks.ru/books/chto_takoe_rossiya/27237/ Anna Geifman, Revolutionary Terrorism in Russia 1894-1917, Princeton University Press, 2020. René Girault et Marc Ferro, De la Russie à l'U.R.S.S : l'histoire de la Russie de 1850 à nos jours, Nathan, 1989. Marc Ferro, La Révolution de 1917, Albin Michel, 1997. Jean-Jacques Marie, La Guerre civile russe. 1917-1922. Tallandier, 2016. Nicolas Werth, 1917: la Russie en révolution, Paris, Gallimard, 1997. Alexandre Sumpf, 1917, la Russie et les Russes en révolutions, Perrin, 2017. Boterbloem, K. (2020) Russia as Empire: Past and Present. London: Reaktion Books. Malia, M. (1995). Soviet Tragedy: A History of Socialism in Russia 1917-1991. New York: Free Press. Suny, R. G. (Ed.). (2006). The Cambridge History of Russia: Volume 3, The Twentieth Century. Cambridge: Cambridge University Press. Sheila Fitzpatrick, The Russian Revolution, Oxford University Press, 1982. Daniels, R. V. (1972). The Russian Revolution. Englewood Cliffs: Prentice-Hall. Kowalski, R. I. (1997). The Russian Revolution, 1917–1921 London: Routledge. Malone, R. (2004). Analysing the Russian Revolution. Cambridge: Cambridge University Press. Rabinowich, A. (2017). The Bolsheviks Come to Power: The Revolution of 1917 in Petrograd. Chicago: Haymarket Books. Laura Engelstein, Russia in Flames: War, Revolution, Civil War, 1914–1921, Oxford University Press, 2017. Rex A. Wade, The Russian Revolution, 1917, Cambridge University Press, 2000. Steve Smith, Russia in Revolution: An Empire in Crisis, 1890 to 1928, Oxford University Press, 2016. Orlando Figes, A People's Tragedy: The Russian Revolution 1891–1924, London, Jonathan Cape, 1996. Catherine Merridale, Lenin on the Train, Metropolitan Books, 2016. https://en.wikipedia.org/wiki/Russian_Revolution https://en.wikipedia.org/wiki/Bibliography_of_the_Russian_Revolution_and_Civil_War https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9volution_russe Autres références disponibles sur demande. #histoire #documentaire #russie #russia #romanov #tsar #raspoutin

L'info en intégrale - Europe 1
La Russie est en train de perdre la guerre, la présidente du tribunal dans l'affaire de Nicolas Sarkozy aurait dû se déporter et une émission russe qui ridiculise les chefs d'État

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Sep 29, 2025 4:08


Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Olivier de Lagarde scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, la Russie aurait déjà perdu la guerre contre l'Ukraine, la présidente du tribunal dans l'affaire de Nicolas Sarkozy aurait du se déporter et une émission russe à partir d'images de synthèse pour ridiculiser les chefs d'État. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les journaux de France Culture
Nouvelle attaque en Ukraine : la technique militaire russe évolue

Les journaux de France Culture

Play Episode Listen Later Sep 28, 2025 14:59


durée : 00:14:59 - Journal de 12h30 - Alors que la diplomatie est dans un temps mort, la Russie a de nouveau frappé l'Ukraine cette nuit, avec cette fois plus de 600 drones bombardiers et 40 missiles. La capitale ukrainienne et ses infrastructures en ont particulièrement souffert.

Le journal de 18h00
Elections législatives en Moldavie : un vote crucial sur fond d'ingérence russe

Le journal de 18h00

Play Episode Listen Later Sep 27, 2025 10:04


durée : 00:10:04 - Journal de 18h - En Moldavie dans quelques heures les électeurs éliront leurs députés. Le pays n'a que 2 millions et demi d'habitants, mais l'enjeu géopolitique est important. Avec ces législatives, le parti pro-européen du pays pourrait perdre sa majorité absolue, au profit de partis soutenus par le Kremlin.

Les journaux de France Culture
Elections législatives en Moldavie : un vote crucial sur fond d'ingérence russe

Les journaux de France Culture

Play Episode Listen Later Sep 27, 2025 10:04


durée : 00:10:04 - Journal de 18h - En Moldavie dans quelques heures les électeurs éliront leurs députés. Le pays n'a que 2 millions et demi d'habitants, mais l'enjeu géopolitique est important. Avec ces législatives, le parti pro-européen du pays pourrait perdre sa majorité absolue, au profit de partis soutenus par le Kremlin.

Il Mondo
La Flotilla sotto attacco. Interferenze russe nelle elezioni in Moldova.

Il Mondo

Play Episode Listen Later Sep 26, 2025 21:20


Nelle prime ore di mercoledì, undici imbarcazioni della Global Sumud Flotilla sono state attaccate in acque internazionali a sudovest di Creta. Con Ivan Grozny Compasso, giornalista. Il 28 settembre in Moldova si vota per il rinnovo del parlamento, un voto che è considerato un banco di prova per il processo di integrazione del paese nell'Unione europea. Con Gian Marco Moisé, corrispondente dell'Osservatorio Balcani Caucaso Transeuropa, da Chișinău.Oggi parliamo anche di:Film • Una battaglia dopo l'altra di Paul Thomas AndersonCi piacerebbe sapere cosa pensi di questo episodio. Scrivici a podcast@internazionale.it Se ascolti questo podcast e ti piace, abbonati a Internazionale. È un modo concreto per sostenerci e per aiutarci a garantire ogni giorno un'informazione di qualità. Vai su internazionale.it/abbonatiConsulenza editoriale di Chiara NielsenProduzione di Claudio Balboni e Vincenzo De SimoneMusiche di Tommaso Colliva e Raffaele ScognaDirezione creativa di Jonathan ZentiCi piacerebbe sapere cosa pensi di questo episodio. Scrivici a podcast@internazionale.it Se ascolti questo podcast e ti piace, abbonati a Internazionale. È un modo concreto per sostenerci e per aiutarci a garantire ogni giorno un'informazione di qualità. Vai su internazionale.it/abbonatiConsulenza editoriale di Chiara NielsenProduzione di Claudio Balboni e Vincenzo De SimoneMusiche di Tommaso Colliva e Raffaele ScognaDirezione creativa di Jonathan Zenti

Tout un monde - La 1ere
La Moldavie, champ de bataille de la guerre hybride russe

Tout un monde - La 1ere

Play Episode Listen Later Sep 25, 2025 20:42


(00:00:40) La Moldavie, champ de bataille de la guerre hybride russe: interview du premier ministre (00:07:52) Le non-tourisme, ça ne veut pas dire la fin des vacances (00:14:05) Le président chinois se pose en leader contre le réchauffement climatique (00:16:00) New Dehli n'arrive pas à raser ses montagnes de déchet

Accents d'Europe
Les églises orthodoxes moldaves, sous influence russe avant les élections

Accents d'Europe

Play Episode Listen Later Sep 25, 2025 19:30


Dans trois jours, le dimanche 28 septembre 2025, les 3 millions d'électeurs moldaves sont appelés à choisir leurs députés. Malgré les efforts de la présidente Maia Sandu et de son parti Action et Solidarité pour rattacher le pays au giron européen, l'influence de Moscou reste forte dans cet ancien pays de l'URSS. Campagnes de désinformation, vidéos publiées sur les réseaux sociaux... le Kremlin s'est aussi servi de l'Église orthodoxe pour diffuser ses messages. Reportage, Marine Leduc. La Deutsche Bahn déraille, en Allemagne   Depuis le mardi 23 septembre 2025, l'entreprise ferroviaire nationale a une nouvelle patronne : l'Italienne Evelyn Palla. Première femme à diriger la Deutsche Bahn en 190 ans, celle-ci a du pain sur la planche. Car l'entreprise est aujourd'hui plus connue pour ses dysfonctionnements que pour son efficacité. Réseau vieillissant, trains perpétuellement en retard, correspondances retardées voire annulées... la population allemande paie le prix de décennies de sous investissements. Salomé Hénon-Cohin.     La libéralisation du rail européen à l'ordre du jour  En quoi consiste la libéralisation du rail au niveau européen, et où en est-elle ? Est-ce la solution pour éviter que les populations ne fassent les frais des dysfonctionnements des entreprises nationales ? Quels avantages, et quels inconvénients ? Éléments de réponse avec Arnaud Aymé, consultant transports au sein du cabinet Sia Partners.     La revue de la presse européenne  Avec Franceline Beretti.

Reportage International
Élections en Moldavie: la propagande russe infiltre l'Église orthodoxe

Reportage International

Play Episode Listen Later Sep 24, 2025 2:33


La Moldavie est en pleine campagne pour les législatives du 28 septembre, où le parti Action et solidarité de la présidente Maia Sandu risque de perdre sa majorité. Sur les réseaux sociaux, les discours pro-russes, anti-Union européenne et anti-Occident se diffusent massivement. L'Église orthodoxe rattachée à la Russie est accusée de propager la propagande du Kremlin sur les réseaux sociaux.

C dans l'air
Manon Loizeau - "Politzek", la résistance Russe filmée en secret

C dans l'air

Play Episode Listen Later Sep 21, 2025 11:54


C dans l'air l'invitée du 20 septembre 2025 avec Manon Loizeau, réalisatrice du documentaire « Politzek, les voix qui défient le Kremlin », co-réalisé avec Ekaterina Mamontova, et diffusé ce dimanche 21 septembre sur France 5 dans « Le monde en face »."En Russie, critiquer la guerre en Ukraine ou le régime de Vladimir Poutine est devenu un crime.

 Des milliers de citoyens ordinaires sont arrêtés, jugés, emprisonnés. On les appelle les “Politzek” : les prisonniers politiques.

Tourné clandestinement pendant près d'un an, Politzek, les voix qui défient le Kremlin donne la parole à celles et ceux qui, malgré la peur, refusent et dénoncent la Russie répressive de Vladimir Poutine. À travers les histoires croisées d'un adolescent condamné à cinq ans de prison pour avoir critiqué le pouvoir sur les réseaux sociaux, d'une jeune artiste emprisonnée pour avoir collé des étiquettes contre la guerre, d'un militant des droits humains et d'une metteuse en scène de théâtre subissant des procès kafkaïens, le film décrypte la machine répressive de l'État russe. 

Des images rares, des voix brisées mais debout, et un récit profondément humain sur la résistance étouffée."Manon Loizeau, réalisatrice, prix Albert Londres et ancienne correspondance à Moscou viendra partager les coulisses de ce récit clandestin et décrypter les enjeux d'une résistance qui, au prix de la liberté et parfois de la vie, ose encore défier le Kremlin.

Le Billet de Charline
L'anti-Eurovision russe (en chanson !)

Le Billet de Charline

Play Episode Listen Later Sep 17, 2025 3:32


durée : 00:03:32 - Charline explose les faits - par : Charline Vanhoenacker - La Russie défie l'Europe en chanson : ce samedi, après 45 ans d'arrêt, Moscou relance le concours Intervision, l'anti-eurovision… Et avec Frédéric Fromet on entend bien concourir ! Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Un air d'amérique
Guerre en Ukraine : les recrues récompensées par des points pour chaque soldat russe tué ou blessé

Un air d'amérique

Play Episode Listen Later Sep 15, 2025 1:27


En Ukraine, le gouvernement cherche par tous les moyens à entretenir la mobilisation sur le front russe. Les soldats ukrainiens reçoivent aujourd'hui des points quand ils tuent des militaires russes. Ce système de récompense permet d'accumuler des points selon les types d'attaques réussies. Les soldats ukrainiens peuvent ensuite les échanger contre de nouveaux drones sur une plateforme numérique. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Cultures monde
Retours de terrain : Dans le Donbass, les destructions et l'occupation russe

Cultures monde

Play Episode Listen Later Sep 12, 2025 19:38


durée : 00:19:38 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Julie Gacon - En Ukraine, les Russes occupent la quasi-totalité du Donbass, à l'exception de 25% de l'oblast de Donetsk. Entre russification des territoires occupés et harcèlement aux drones dans les zones encore contrôlées par les Ukrainiens, les habitants de la région vivent dans la peur et sous la contrainte. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Clara Marchaud Journaliste correspondante en Ukraine, travaille notamment pour Le Figaro, L'Express et Mediapart

Géopolitique
La nouvelle escalade russe venue du ciel contre l'Ukraine

Géopolitique

Play Episode Listen Later Sep 8, 2025 3:16


durée : 00:03:16 - Géopolitique - par : Pierre  Haski  - La Russie a procédé dimanche à son bombardement aérien le plus important depuis le début de la guerre il y a plus de trois ans. L'Ukraine reste vulnérable faute de moyens antiaériens suffisants, malgré les progrès de son industrie de défense. L'aide internationale est insuffisante. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.