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Au programme de l'émission du 19 mars : avec Augusto Zanovello, réalisateur, et Mizuho Sato, créatrice graphique À FLEUR D'OREILLES - chronique de Laura Cattabianchi - c'est vers 07 min✔️Chaque mois, Laura Cattabianchi propose à son invité.e de saisir une feuille de papier, de la manipuler, de l'écouter, de la raconter...
“Bande dessinée, 1964-2024”au Centre Pompidou, Parisdu 29 mai au 4 novembre 2024Entretien avec Emmanuèle Payen, directrice du département développement culturel et cinéma, Bibliothèque publique d'information, et co-commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 27 mai 2024, durée 23'12,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2024/05/29/3541_bande-dessinee_centre-pompidou/Communiqué de presseCommissariat :Anne Lemonnier, attachée de conservation, Musée national d'art moderne, Centre Pompidouet Emmanuèle Payen, directrice du département développement culturel et cinéma,Bibliothèque publique d'informationConseillers scientifiquesThierry Groensteen, historien de la bande dessinée, ancien directeur du Musée de la bandedessinée à la Cité internationale de la bande dessinée et de l'image à Angoulêmeet Lucas Hureau, directeur de MEL Compagnie des arts et du label MEL Publisher Pour la première fois en France, le Centre Pompidou, en partenariat avec le Fonds Hélène & Edouard Leclerc, met en dialogue les trois principaux foyers d'expression de la bande dessinée – la création européenne, les mangas asiatiques et les comics américains – et propose une immersion exceptionnelle dans les multiples univers du 9e art. Véritable traversée de l'histoire moderne et contemporaine du médium, elle convie les visiteurs à découvrir ses évolutions au fil des décennies, des foisonnements graphiques de l'underground aux styles contemporains les plus abstraits.L'exposition s'ouvre sur le tournant des années 1960, marqué par l'avènement de la contre culture. Partout dans le monde, alors que la bande dessinée est encore perçue comme un divertissement pour la jeunesse, des initiatives éditoriales s'adressent résolument a un public adulte. En France, Hara-Kiri, magazine « bête et méchant », offre a l'humour graphique de nouveaux territoires, tandis que les aventures de Barbarella de Jean-Claude Forest sont éditées en albums par Éric Losfeld. L'année 1964 voit le lancement au Japon du mensuel d'avant-garde Garo, qui décline sur différents modes le concept de bande dessinée d'auteur. En 1968, Robert Crumb s'impose avec Zap Comix comme le chef de file du mouvement underground aux États-Unis. Posant les jalons des mondes multiples que cette révolution graphique a engendrés, un ensemble de planches d'auteurs majeurs de cette période, ainsi que de spectaculaires publications sont présentés dans la toute première salle. Autour d'un espace central, une scénographie en rayon déploie ensuite en douze thématiques le parcours de l'exposition, convoquant les imaginaires de la bande dessinée, les émotions qu'elle suscite, ainsi que la diversité des techniques artistiques employées. Plusieurs salons de lecture offrent au visiteur un temps de pause et d'approfondissement.[...] Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:59:16 - Mauvais genres - par : François Angelier - Entre 1964 et 1973, à l'enseigne du Terrain vague, l'éditeur Eric Losfeld révolutionne la bande dessinée. Le dessinateur et scénariste Benoit Preteseille étudie cette période faste dans une ouvrage érudit.
durée : 00:59:16 - Mauvais genres - par : François Angelier - Entre 1964 et 1973, à l'enseigne du Terrain vague, l'éditeur Eric Losfeld révolutionne la bande dessinée. Le dessinateur et scénariste Benoît Preteseille étudie cette période faste dans un ouvrage érudit.
Voyageuse en écriture comme dans la vie, Chantal Pelletier navigue avec bonheur des nouvelles aux polars, du théâtre (elle a été une des «Trois Jeanne») aux romans. Après avoir déjà évoqué Romy Schneider, Simone Signoret et Jean-Luc Godard dans ses livres précédents, elle invite cette fois le cinéaste et réalisateur américain Orson Wells dans son nouveau roman «L'ourson». "Paris, 1984. Le lendemain de la mort de François Truffaut, Anne, responsable d'une importante photothèque cinématographique, débordée par les médias qui demandent des photos du réalisateur de la nouvelle vague, est de façon inattendue invitée à déjeuner par... Orson Welles. L'artiste mythique, bien que vieillissant et en butte à des échecs répétés, n'a rien perdu de son élégance, de son charisme et de son appétit légendaires. Minuscule face à lui, troublée et impressionnée, la jeune femme a du mal à comprendre pourquoi il s'adresse à elle et quels repérages il lui demande pour son nouveau projet de film. Il y a dans ce roman un ogre et une petite fille perdue. Ils se rencontrent à l'époque où les écrans triomphent une fois pour toutes grâce aux magnétoscopes et aux vidéoclubs. L'ogre s'appelle Orson Welles, la petite fille est une trentenaire accidentée de la vie, mais il arrive que les jeunes femmes voient clair dans le comportement de leurs idoles et les transforment en jouets de compagnie. Un face-à-face tendu qui raconte à la fois les triomphes et les égarements d'un grand cinéaste et la solitude consentie d'une jeune femme singulière sauvée par la joie du cinéma." (Présentation des éditions Joëlle Losfeld)
Après avoir passé du temps au sein de la 75eme Session au début des années 2010, Georgio et Laura Felpin ont tracé leurs routes dans le rap et la comédie avec succès. Le temps d'un podcast, ils prennent le temps de se recroiser.Cela faisait dix ans qu'il ne s'était pas revus. Pas parce qu'ils étaient fâchés, mais plutôt parce que leurs vies sont parties dans des directions séparées. Georgio et Laura Felpin ont pourtant passé du temps ensemble au début des années 2010, au sein de la 75eme Session. Un collectif aujourd'hui salué pour ce qu'il a apporté à la scène parisienne du rap français, à Georgio comme pour beaucoup d'autres, et au sein duquel la comédienne Laura Felpin s'est fait une place pendant quelque temps. Contactée par un certain Népal à l'époque où elle chantait, celle que l'on a vu ces derniers mois jouer la comédie dans la série Le Flambeau (Canal+), sur scène avec son spectacle Ça Passe, et bientôt au cinéma dans le film Les Complices, a en effet traîné à son arrivée à Paris avec toute cette bande, qui lui donnait l'impression d'être “avec des gars de Mulhouse”, sa région natale. Et si aujourd'hui la comédienne les croise moins, elle continue de suivre leurs parcours. Une bonne occasion de réunir le rappeur, de retour avec son dernier album Années Sauvages en février, et la comédienne, en tournée avec son spectacle, pour évoquer pendant une heure leur histoire commune, leur rapport à l'écriture et à la scène, ou la place du chant dans leur vie.CREDITSUn podcast animé par Brice BossavieEnregistré le 21 février 2023 à FGO Barbara à ParisMoyens techniques et réalisation : ShkydVisuel : Jérémy MétralPhotographie : Clémence Losfeld pour l'Abcdr du Son Production : L'Abcdr du Son Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans la perspective d'accompagner les étudiants en formation aux métiers du livre, Corinne Abensour, Directrice des Masters d'édition à l'université Sorbonne Paris Nord, a organisé un cycle d'entretiens avec des professionnels.
Au programme de l'émission du 8 juin : le spectacle de marionnettes Nos petits penchants (Cie Des fourmis dans la lanterne) et un focus sur l'album Le petit Bidibi, de Serge Valentin et Charles Dutertre (Didier jeunesse). Nouveautés discographiques - chronique de Véronique Soulé – c'est au début P'tits maux de mômes, par le groupe La poêle à gratter – CD, 2022 – www.lapoeleagratter.com Une dizaine de chansons, ancrées dans le quotidien et préoccupations des enfants, pour lesquelles les artistes sont allés puiser dans leurs souvenirs ou leurs observations autour d'eux.. Les compositions musicales, teintées de pop, jazz, electro ou funk, sont variées et soignées, très élaborées, servies par de nombreux instruments. Cela donne beaucoup d'ampleur aux chansons, et encore davantage grâce aux trois voix des chanteurs et musiciens (Thomas Barbarin, Sébastien Waldner, Mathieu Billon) qui sont comme autant d'instruments aux harmonies fouillées. Spectacles - interview de Pierre-Yves Guinais et Yoanelle Straman – c'est vers 07 mn Le bonheur se décrète-t-il ? Faut-il rechercher le bonheur à tout prix ? C'est à ces questions, philosophiques, que le spectacle de marionnettes Nos petits penchants, de la compagnie Des fourmis dans la lanterne, invite petits (enfin, pas trop petits...) et grands à réfléchir. Entre injonction sociale et désir authentique, les 5 personnages du spectacle se fraient leur chemin. Rencontre avec Pierre-Yves Guinais et Yoanelle Stratman, les deux piliers de la compagnie. Nos petits penchants est à l'affiche du théâtre Dunois jusqu'au 10 juin, puis au festival off à Avignon. Site de la compagnie Livres - interview de Servane Gilho et de Charles Dutertre – c'est vers 45 mn Le Petit Bidibi, du conteur Serge Valentin, illustré par Charles Dutertre, Didier jeunesse, janvier 2022 – dès 3 ou 4 ans. Cet album savoureux file à toute allure, au rythme des mots, des phrases, des rimes, des onomatopées et des répétitions, pour l'histoire de ce père avec ses quatre enfants, Le grandet, Boulette, Chenillette et le dernier, le petit Bidibi, qui ne fait rien comme les autres, et surtout pas ce qu'on lui demande. Si cet album est aussi réussi, c'est également grâce aux illustrations de Charles Dutertre, foisonnantes d'objets et de mini-aventures parallèles pleines d'humour. Plus on regarde, plus on en découvre de nouveaux, y'en a partout, dans des scènes joyeusement. On en parle avec son éditrice Servane Guilho, puis avec son illustrateur Charles Dutertre. Cinéma d'animation – chronique de Véronique Soulé et Yves Bouveret – c'est vers 60 mn Deux films intéressants sortent cette semaine : - L'anniversaire de Tommy, réalisé par Michael Ekblad, d'après la série d'albums de Rotraut Susan Berner, distribué par Gebeka – dès 3 ou 4 ans - La chance sourit à Madame Nikuko, réalisé par Ayumu Watanabe – dès 10 ans Grands livres pour petites personnes - chronique de Elsa Gounot - c'est vers 75 mn - La dormeuse, de Camille Floue et Vincent Pianina, Albin Michel jeunesse, 2022 "Une petite fille fait un rêve très agité l'emmenant dans une grande aventure nocturne où elle passe par tant de paysages différents, roulant et rebondissant de page en page jusqu'à revenir dans son lit et se réveiller l'air de rien." Lecture - par Lionel Chenail - c'est vers 80 mn - Tout ce qui brûle, de Lisa Harding, traduit de l'anglais par Christel Gaillard-Paris, Joëlle Losfeld, mars 2022 On a écouté - P'tits maux d'mômes - La poêle à gratter – P'tits maux d'mômes – CD, La poêle à gratter, 2022 - Le p'tit bonheur – Félix Leclerc, 1950 - Kolyn – Les ogres de Barback – Rue du temps, 1997 - Mamamia - La poêle à gratter – P'tits maux d'mômes – CD, La poêle à gratter, 2022 - Allons enfants – Avia – B.O. du film Allons enfants (Thierry Demaizière et Alban Teurlai), 2022 ------------------------------------------- N'hésitez pas à nous envoyer vos informations (ou juste un petit message, ça fait toujours plaisir !) à elephant@aligrefm.org
A propos du « Ravissement de Lol V. Stein », publié en 1964, Marguerite Duras écrivait qu'il est « un livre à part. Un livre seul. Qui opère à lui seul une séparation entre certains lecteurs-auteurs qui ont adhéré à la folie de L.V. Stein et les autres lecteurs du livre ». Pour l'acteur et réalisateur Nicolas Maury («Dix pour cent», «Garçon Chiffon»), ce roman de Marguerite Duras est «une musique très particulière». Il a voulu parler de ce livre car « c'est une façon moins embarrassante de parler de soi. Mais c'est aussi une façon de parler de soi, que de parler de ce qui nous frappe, nous caresse, nous contredit…» Cet épisode de "Truc culte" a initialement été mis en ligne le 28 septembre 2021. Les recommandations de Nicolas Maury : - Le roman « Suite suisse », d'Hélène Bessette, Éditions Léo Scheer, 2008 - Le film « Poussières dans le vent », de Hou Hsiao-hsien, 1986 - L'autobiographie « Parure d'emprunt », de Paula Fox, Éditions Joëlle Losfeld, 2008
durée : 01:30:00 - Les Nuits de France Culture - Par Catherine Grive-Santini - Avec Christine Feret-Fleury (écrivain, grande myope et heureuse de l'être) Philippe Garnier (auteur de "Une Petite Cure de flou" Ed. Puf), Luba Jurgenson (traductrice), Olivier Passieux (peintre), Dominique Mainard (auteure de "Leur histoire" Ed. Joëlle Losfeld), Franck Maubert (auteur de "Est-ce bien la nuit ?" Ed. Stock) et Jean-Bertrand Pontalis (psychanalyste, philosophe et... myope) - Réalisation Ghislaine David
A propos du « Ravissement de Lol V. Stein », publié en 1964, Marguerite Duras écrivait qu'il est « un livre à part. Un livre seul. Qui opère à lui seul une séparation entre certains lecteurs-auteurs qui ont adhéré à la folie de L.V. Stein et les autres lecteurs du livre ». Pour l'acteur et réalisateur Nicolas Maury («Dix pour cent», «Garçon Chiffon»), ce roman de Marguerite Duras est «une musique très particulière». Il a voulu parler de ce livre car « c'est une façon moins embarrassante de parler de soi. Mais c'est aussi une façon de parler de soi, que de parler de ce qui nous frappe, nous caresse, nous contredit…» Les recommandations de Nicolas Maury : - Le roman « Suite suisse », d'Hélène Bessette, Éditions Léo Scheer, 2008 - Le film « Poussières dans le vent », de Hou Hsiao-hsien, 1986 - L'autobiographie « Parure d'emprunt », de Paula Fox, Éditions Joëlle Losfeld, 2008
durée : 00:43:36 - Par les temps qui courent - par : Marie Richeux, Jeanne Aléos, Romain de Becdelievre - Nous recevons la traductrice à l'occasion de la sortie de "Milkman" d'Anna Burns aux éditions J.Losfeld. L'occasion d'évoquer sa pratique de la traduction (elle a notamment traduit David Foster Wallace) son lien à la littérature anglophone, et les ponts avec sa pratique de romancière. - réalisation : Jean-Christophe Francis, Lise-Marie Barré - invités : Jakuta Alikavazovic romancière, traductrice de la biographie de DFW
durée : 00:43:36 - Par les temps qui courent - par : Marie Richeux, Jeanne Aléos, Romain de Becdelievre - Nous recevons la traductrice à l'occasion de la sortie de "Milkman" d'Anna Burns aux éditions J.Losfeld. L'occasion d'évoquer sa pratique de la traduction (elle a notamment traduit David Foster Wallace) son lien à la littérature anglophone, et les ponts avec sa pratique de romancière. - réalisation : Jean-Christophe Francis, Lise-Marie Barré - invités : Jakuta Alikavazovic romancière, traductrice de la biographie de DFW
durée : 00:41:45 - Par les temps qui courent - par : Marie Richeux, Jeanne Aléos, Romain de Becdelievre - Nous recevons la traductrice à l’occasion de la sortie de "Milkman" d’Anna Burns aux éditions J.Losfeld. L’occasion d’évoquer sa pratique de la traduction (elle a notamment traduit David Foster Wallace) son lien à la littérature anglophone, et les ponts avec sa pratique de romancière. - réalisation : Jean-Christophe Francis, Lise-Marie Barré - invités : Jakuta Alikavazovic romancière, traductrice de la biographie de DFW
durée : 00:41:45 - Par les temps qui courent - par : Marie Richeux, Jeanne Aléos, Romain de Becdelievre - Nous recevons la traductrice à l’occasion de la sortie de "Milkman" d’Anna Burns aux éditions J.Losfeld. L’occasion d’évoquer sa pratique de la traduction (elle a notamment traduit David Foster Wallace) son lien à la littérature anglophone, et les ponts avec sa pratique de romancière. - réalisation : Jean-Christophe Francis, Lise-Marie Barré - invités : Jakuta Alikavazovic romancière, traductrice de la biographie de DFW
Animée par l'envie d'approcher l'autre au plus près, Clémence Losfeld documente l'être humain dans tous ses états. En manifestation, en maison de retraite, sur des lieux de travail, elle observe la société avec le désir d'être saisie par l'imprévisible et de rendre visible des personnalités hors-cadre, ces personnages que l'on croise tous les jours dans la rue sans jamais chercher à les connaître. À travers des images piquantes et parfois non dénuées d'un certain sens de l'humour, elle offre à notre regard un photojournalisme touchant et subtil. Dans cet épisode, nous discutons de sa vision du médium, de sa profession, de la question insoluble de l'objectivité et de deux de ses projets personnels, "Battre en retraite" et "MSA". ---- Clémence Losfeld Site : http://www.clemence-losfeld.com/ Instagram : https://www.instagram.com/clemencelosfeld/ ---- Rejoignez la communauté Perspective sur Instagram : https://www.instagram.com/perspectivepod.cast/ Site : https://www.aparte-studio.com/perspective/ Youtube : https://www.youtube.com/channel/UC5fcFy0j4wyS3Z-XreV_R9Q
On continue cette semaine, de suivre les pas d’âmes pures et solitaires, en quête d’horizon et d’absolu, qui ont décidé, un jour, de se retirer volontairement du monde, loin du désordre des villes et de l’embarras des autres. Dans le premier épisode, on a fait l’éloge de la cabane, de la lenteur et du repli sédentaire. Aujourd’hui, on va quitter la cabane et se mesurer au grand dehors qui, bien souvent, frappe et souffle aux portes des cabanes. En puisant dans les récits d’écrivains-voyageurs, qui sont allés chercher dans les grands espaces, une feuille de route et une ligne de fuite, dont nous manquons tellement en ces temps troublés... Un voyage, des voyages, du désert australien à celui du Sahara, des sommets de l'Himalaya au Grand Nord, de l'Ouest Américain à l'Arctique, au pays de la solitude et de la grande nature. Au fil de récits à ciel ouvert, de ranger écolo un brin misanthrope, de navigateur vagabond à l'âme de poète, d'aventurière des sables ou d'explorateur polaire qui, tous, sont partis un jour mesurer l'immensité du monde. Entreprise solitaire, donc égoïste ? Pas forcément, car tous en sont revenus pour nous livrer de puissants témoignages sur la puissance et la beauté des éléments, la nécessité d'entrer en relation avec eux et de préserver les derniers endroits sauvages de la planète. « La solitude épure la vue, elle nous dit que nos jours passent plus vite que le vent sur les eaux, que notre âme est plus pauvre que l'ombre sur la terre ». Christian Bobin. Lettres d'or. Une série littéraire en deux épisodes de Céline Develay-Mazurelle et Laure Allary, initialement diffusée en mai 2020. Bibliographie Épisode 2: - Désert solitaire. Edward Abbey. Éditions Gallmeister - La longue route. Bernard Moitessier. Éditions Arthaud - Les conquérants de l'inutile. Lionel Terray. Éditions Guérin - Tracks. Robyn Davidson. Éditions 10-18 - Indian Creek. Peter Fromm. Éditions Gallmeister - Persévérer. Jean-Louis Étienne. Éditions Paulsen - Into the wild. John Krakaeur. Éditions 10-18 - Au pays des sables. Isabelle Eberhardt. Éditions Joëlle Losfeld - 25 ans de solitude: mémoires du Grand Nord. John Haines. Éditions Gallmeister.
durée : 00:55:03 - Des livres et délires RCFM - Livre commun et rencontre avec l'éditrice Joëlle Losfeld.
durée : 00:03:49 - Polars d'été - Cet été, Gilbert Chevalier propose de revenir sur les meilleurs romans noirs, policiers, et thrillers français de l’année. Aujourd'hui, "Nous avons les mains rouges", de Jean Meckert, publié chez Joëlle Losfeld.
Le coup de coeur littéraire de Pascale Farges (Librairie Landru à Chamonix). Cette semaine, "Nous avons les mains Rouges", tiré des Suvres de Jean Meckert , éd. Joëlle Losfeld
On continue cette semaine, de suivre les pas d’âmes pures et solitaires, en quête d’horizon et d’absolu, qui ont décidé, un jour, de se retirer volontairement du monde, loin du désordre des villes et de l’embarras des autres. Dans le premier épisode, on a fait l’éloge de la cabane, de la lenteur et du repli sédentaire. Aujourd’hui, à l’heure où l’Europe se déconfine très progressivement, on va quitter la cabane et se mesurer au grand dehors qui, bien souvent, frappe et souffle aux portes des cabanes. En puisant dans les récits d’écrivains-voyageurs, qui sont allés chercher dans les grands espaces, une feuille de route et une ligne de fuite, dont nous manquons tellement en ces temps troublés... Un voyage, des voyages, du désert australien à celui du Sahara, des sommets de l'Himalaya au Grand Nord, de l'Ouest Américain à l'Arctique, au pays de la solitude et de la grande nature. Au fil de récits à ciel ouvert, de ranger écolo un brin misanthrope, de navigateur vagabond à l'âme de poète, d'aventurière des sables ou d'explorateur polaire qui tous, sont partis un jour mesurer l'immensité du monde. Entreprise solitaire, donc égoïste ? Pas forcément, car tous en sont revenus pour nous livrer de puissants témoignages sur la puissance et la beauté des éléments, la nécessité d'entrer en relation avec eux et de préserver les derniers endroits sauvages de la planète. «La solitude épure la vue, elle nous dit que nos jours passent plus vite que le vent sur les eaux, que notre âme est plus pauvre que l'ombre sur la terre». Christian Bobin. "Lettres d'or".Une série littéraire en deux épisodes de Céline Develay-Mazurelle et Laure Allary. Bibliographie Épisode 2:- "Désert solitaire". Edward Abbey. Éditions Gallmeister- "La longue route". Bernard Moitessier. Éditions Arthaud- "Les conquérants de l'inutile". Lionel Terray. Éditions Guérin- "Tracks". Robyn Davidson. Éditions 10-18- "Indian Creek". Peter Fromm. Éditions Gallmeister- "Persévérer". Jean-Louis Étienne. Éditions Paulsen- "Into the wild". John Krakaeur. Éditions 10-18- "Au pays des sables". Isabelle Eberhardt. Éditions Joëlle Losfeld- "25 ans de solitude: mémoires du Grand Nord". John Haines. Éditions Gallmeister.
Actrice à ses débuts, elle fut l'une des «Trois Jeanne», Chantal Pelletier est l'auteure d'une oeuvre composée de nouvelles, de romans (aux éditions Joëlle Losfeld) et de polars dont Eros et Thalasso (1998), Le Chant du bouc (2000), Troubles fêtes (2001), More is less (2002) et Montmartre mont des martyrs (2008). Son nouveau roman intitulé Nos derniers festins paraît dans la Série Noire chez Gallimard. (Rediffusion du 17 mai 2019) «Juin 2044. La prohibition alimentaire règne dans l’Hexagone, mafias du camembert et trafics de foie gras prospèrent, les partisans intégristes de régimes ennemis s’affrontent dans de violentes manifestations. Pour festoyer, on s’approvisionne au marché noir, on participe aux agapes de sociétés secrètes, on compte ses points sur son permis de table. Débarquant dans une Provence caniculaire, un contrôleur alimentaire, intimidé par sa cheffe goinfre et décomplexée, tente d’élucider le meurtre d’un jeune cuisinier dans un restaurant clandestin. Parallèlement, une ex-militaire au passé douloureux se bat pour sauvegarder son restaurant gastronomique et se réconcilier avec sa fille, dont la ferme est elle aussi en danger, comme toute la région. Tous liés au cuisinier assassiné, ils prennent ensemble la mesure de la menace.» (Présentation de l'éditeur)
Depuis 1980, Richard Morgiève est l'auteur d'une trentaine de romans, dont Un petit homme de dos (1988), Mon petit garçon (2002) ou encore Les hommes (2017). Scénariste, auteur de 3 pièces de théâtres, acteur à l'occasion et peintre, il vient de publier son nouveau livre sous le titre Le Cherokee, aux éditions Joëlle Losfeld. Un roman où il est question d’un tueur en série, de militaires, de soucoupes volantes, d’une bombe atomique, d’extrémistes religieux, de femmes massacrées et de parfum. C’est un roman dont le personnage principal est un shérif, solitaire, obsédé par la mort de ses parents assassinés, un homme sur le point de tomber amoureux. "1954, USA : alors qu'il fait sa tournée de nuit à la première neige, sur les hauts plateaux désertiques du comté de Garfield, dans l'Utah, le shérif Nick Corey découvre une voiture abandonnée. Au même moment, il voit atterrir un chasseur Sabre, sans aucune lumière. Et sans pilote. C'est le branle-bas de combat. L'armée et le FBI sont sur les dents. Quant à Corey, il se retrouve confronté à son propre passé : le tueur en série, qui a assassiné ses parents et gâché sa vie, réapparaît. Corey se lance à sa poursuite. Mais, les cauchemars ont la dent dure... Et on peut tomber amoureux d'un agent du FBI." (Présentation de l'éditeur) (Rediffusion du 9 mars 2019)
Ce jeudi 23 janvier, nous recevons pour la dernière Matinale de la semaine Joëlle Zask, philosophe politique et autrice de « Quand la forêt brûle. Penser la nouvelle catastrophe écologique » aux éditions Premier Parallèle. Elle nous parlera notamment de la catastrophe qui survient encore au sud et sud-est australien avec les méga-feux dévastant les forêts. Dans un registre plus joyeux, Elodie interviewera lors de son zoom Pierre Meunier, chargé de la programmation de spectacle et d'autres conférences pour le mois de janvier à la Maison des Métallos. Cette émission sera aussi agrémenté de deux chroniques, celle de Théo et Mathieu. Merci d'écouter la Matinale ! Présentation : Simon Marry / Réalisation : Swann Blanchet / Co-interview : Camille Descroix / Zoom : Elodie Hervier / Chronique : Théo Losfeld, Mathieu Piccarreta / Web : Zerdust Ozer / Coordination : Jules Benveniste
[...] Célébrant à sa façon l’éclosion des bourgeons et la famine à Chypre, la Salle 101 interviewe Sébastien Doubinsky pendant cinquante-neuf minutes de joie. L’occasion de te pencher plus avant sur cet auteur dont les Éditions Joëlle Losfeld (entre autres) publient des tas de trucs fous. Qu’attends-tu, public, qu’attends-tu ?
[…] Célébrant à sa façon l'éclosion des bourgeons et la famine à Chypre, la Salle 101 interviewe Sébastien Doubinsky pendant cinquante-neuf minutes de joie. L'occasion de te pencher plus avant sur cet auteur dont les Éditions Joëlle Losfeld (entre autres) publient des tas de trucs fous. Qu'attends-tu, public, qu'attends-tu ?
Hélène SturmJoëlle Losfeld, 2011.Texte lu par Marie Marques Télécharger le fichier mp3 Clic droit / Enregistrer sous... Téléchargement :[mp3 : 2,9 Mo / Durée : 2'30]comme d'habitudeun rendez-vous en vuesur son épaule dans sa poitrineun tiroir à double fondécrire pour attendre un testavec un outil sous la mainles poèmes par cœurça vaut tous les antiridesc'est ce qu'il raconte dans les livres