Podcasts about centre pompidou paris

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Best podcasts about centre pompidou paris

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Choses à Savoir
Quel peintre n'a peint que des nombres ?

Choses à Savoir

Play Episode Listen Later May 27, 2025 2:42


Je dis “que”, ce n'est pas tout à fait exact, le peintre dont je vais vous parler a aussi peint quelques autres tableaux mais tout à fait anecdotiques dans son oeuvre. Ce peintre est Roman Opałka. Un artiste franco-polonais, qui a donc consacré l'essentiel de sa vie à une œuvre singulière intitulée OPALKA 1965 / 1 – ∞. À partir de 1965, il s'est lancé dans la tâche monumentale de peindre, à la main, une suite ininterrompue de nombres entiers, débutant par le chiffre 1 et visant l'infini.Une œuvre unique et obsessionnelleChaque toile, qu'il appelait un "Détail", mesurait 196 x 135 cm — dimensions correspondant à sa propre taille et à la largeur de la porte de son atelier à Varsovie. Il peignait les nombres en rangées horizontales, de gauche à droite, en utilisant un pinceau n°0 et de la peinture blanche. Initialement, le fond était noir, mais en 1972, Opałka a commencé à ajouter 1 % de blanc supplémentaire à chaque nouvelle toile, rendant progressivement le fond plus clair. Ce processus visait à symboliser le passage du temps et l'approche de la fin, jusqu'à atteindre un "blanc mérité" où les chiffres blancs se fondaient dans le fond blanc, rendant les nombres presque invisibles .Un rituel quotidienAu-delà de la peinture, Opałka a instauré un rituel strict pour documenter le temps :Photographie : À la fin de chaque session de travail, il se photographiait devant la toile en cours, toujours dans les mêmes conditions d'éclairage et d'habillement, créant ainsi une série d'autoportraits montrant les effets du temps sur son visage.Enregistrement vocal : Il enregistrait sa voix en énonçant chaque nombre peint, ajoutant une dimension sonore à son œuvre.Centre PompidouCes pratiques renforçaient la dimension performative et méditative de son travail, transformant son œuvre en une chronique de l'existence humaine face au temps.Une quête vers l'infiniOpałka a poursuivi ce projet pendant 46 ans, jusqu'à sa mort en 2011. Au total, il a réalisé 233 toiles, atteignant le nombre 5 607 249 . Son œuvre est aujourd'hui considérée comme une réflexion profonde sur le temps, la mortalité et la persistance de l'artiste face à l'infini.Une œuvre exposée mondialementLes "Détails" d'Opałka sont présents dans de nombreuses collections publiques et musées à travers le monde, notamment au Centre Pompidou à Paris, au MoMA à New York et au Musée d'Art Moderne de Varsovie. Son travail continue d'inspirer et de susciter des discussions sur la nature du temps et de l'existence humaine. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Les matins
"Énormément bizarre", le faramineux cabinet de curiosités de Jean Chatelus

Les matins

Play Episode Listen Later Apr 15, 2025 3:21


durée : 00:03:21 - Le Regard culturel - par : François Angelier - L'exposition "Énormément bizarre", au Centre Pompidou à Paris, dévoile la collection de Jean Chatelus, historien et amateur d'art contemporain. Un parcours basé sur la représentation du corps, la provocation visuelle et l'accumulation d'objets rares, populaires ou non occidentaux.

Journal France Bleu Mayenne
Le Centre Pompidou à Paris pose ses valises dans le Nord-Mayenne avec un musée itinérant.

Journal France Bleu Mayenne

Play Episode Listen Later Apr 8, 2025 2:49


durée : 00:02:49 - Le Centre Pompidou à Paris pose ses valises dans le Nord-Mayenne avec un musée itinérant.

Culture en direct
Critique expo : "Paris Noir", une expo nécessaire et passionnante pour retracer l'histoire des artistes noirs en France

Culture en direct

Play Episode Listen Later Apr 3, 2025 16:36


durée : 00:16:36 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Les critiques discutent de "Paris Noir : Circulations artistiques et luttes anticoloniales, 1950 - 2000 au Centre Pompidou à Paris, une exposition ambitieuse qui retrace le parcours et les combats des artistes noirs en France dans la seconde moitié du XXᵉ siècle. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Stéphane Corréard Editorialiste au Journal des Arts; Corinne Rondeau Maître de conférences en esthétique et sciences de l'art à l'Université de Nîmes et critique d'art

Culture en direct
Critique expos : au centre Pompidou, "Paris Noir" & "Enormément Bizarre"

Culture en direct

Play Episode Listen Later Apr 3, 2025 27:28


durée : 00:27:28 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Au programme du débat critique, deux expositions à découvrir au Centre Pompidou : "Paris Noir, Circulations artistiques et luttes anticoloniales, 1950 – 2000" et "Enormément bizarre, la collection Jean Chatelus, donation de la fondation Antoine de Galbert". - réalisation : Laurence Malonda - invités : Corinne Rondeau Maître de conférences en esthétique et sciences de l'art à l'Université de Nîmes et critique d'art; Stéphane Corréard Editorialiste au Journal des Arts

Culture en direct
Critique expo : avec "Enormément bizarre", le Centre Pompidou expose la collection intime et morbide de Jean Chatelus

Culture en direct

Play Episode Listen Later Apr 3, 2025 9:52


durée : 00:09:52 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Les critiques discutent de "Enormément bizarre, la collection Jean Chatelus, donation de la fondation Antoine de Galbert", une exposition à découvrir au Centre Pompidou à Paris, qui montre la quasi-totalité des 400 œuvres du collectionneur, dans toute leur diversité et leur étrangeté. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Stéphane Corréard Editorialiste au Journal des Arts; Corinne Rondeau Maître de conférences en esthétique et sciences de l'art à l'Université de Nîmes et critique d'art

Monumental - La 1ere
Eileen Gray et la villa E-1027

Monumental - La 1ere

Play Episode Listen Later Mar 30, 2025 57:23


Née en 1878, la designer et architecte Eileen Gray est à lʹorigine, avec lʹarchitecte Jean Badovici, de la villa E-1027. Cette maison se trouve en bord de mer à Roquebrune-Cap-Martin et elle est considérée comme une icône de lʹarchitecture moderne. Pour en parler, Johanne Dussez sʹentretient avec Cloé Pitiot, designer de grands projets de monuments au Centre des monuments nationaux et commissaire de lʹexposition "Eileen Gray" qui sʹest tenue au Centre Pompidou à Paris.

Vous m'en direz des nouvelles
«Paris noir», l'exposition met en lumière le travail de 150 artistes invisibilisés

Vous m'en direz des nouvelles

Play Episode Listen Later Mar 26, 2025 48:30


Sur le puzzle artistique de la deuxième moitié du XXè siècle, c'était la pièce manquante. 150 artistes noirs ou métis, africains, nord-américains, ou français qui, jusqu'ici, pour beaucoup n'avaient jamais été exposés, ni même acquis par les musées français. Le Centre Pompidou les met enfin en lumière avec l'exposition Paris Noir.  L'exposition nous plonge dans l'effervescence artistique des années 50 quand Senghor, Césaire, James Baldwin et Edouard Glissant préparent et accompagnent le mouvement vers les indépendances. Circulations artistiques et luttes anti-coloniales, c'est le sous-titre de l'exposition où il est évidemment aussi question de politique.  Alicia Konck, commissaire de l'exposition et William Wilson, artiste peintre, sont les invités de Sur le pont des arts. L'exposition Paris noir, circulations artistiques et luttes anticoloniales est à voir au Centre Pompidou à Paris jusqu'au 30 juin 2025. Au programme de l'émission :► Reportage Emma Garboud Lorenzoni s'est rendue à Clermont-Ferrand à la rencontre des réalisateurs africains de courts-métrages. Ils étaient réunis pour parler de leur avenir, du rayonnement des productions africaines dans le monde et des coopérations Sud Sud dans le cinéma. ► Le hit de la semaineHugo Casalinho nous présente Oscar Emch, un artiste dont le titre « Les Moyens » est dans la playlist RFI du mois de mars.► Playlist du jour- Grace Jones - La Vie En Rose- Manu Dibango - Ongele Mba. 

FranceFineArt

“Paris noir” Circulations artistiqueset luttes anticoloniales 1950 – 2000au Centre Pompidou, Parisdu 19 mars au 30 juin 2025Entretien avecAurélien Bernardet Marie Siguier, attaché.es de conservation, service de la création contemporaine et prospective, Musée national d'art moderne − Centre Pompidou, commissaires associé.es de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 17 mars 2025, durée 32'19,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2025/03/25/3603_paris-noir_centre-pompidou/Communiqué de presseCommissariat :Alicia Knock, conservatrice, cheffe du service de la création contemporaine et prospective, Musée national d'art moderne − Centre Pompidou.Commissaires associé.es : Éva Barois De Caevel, conservatrice, Aurélien Bernard, Laure Chauvelot, et Marie Siguier, attaché.es de conservation, service de la création contemporaine et prospective, Musée national d'art moderne − Centre Pompidou.De la création de la revue Présence africaine à celle de Revue noire, l'exposition « Paris noir » retrace la présence et l'influence des artistes noirs en France entre les années 1950 et 2000. Elle met en lumière 150 artistes afro-descendants, de l'Afrique aux Amériques, dont les œuvres n'ont souvent jamais été montrées en France.« Paris noir » est une plongée vibrante dans un Paris cosmopolite, lieu de résistance et de création, qui a donné naissance à une grande variété de pratiques, allant de la prise de conscience identitaire à la recherche de langages plastiques transculturels. Des abstractions internationales aux abstractions afro-atlantiques, en passant par le surréalisme et la figuration libre, cette traversée historique dévoile l'importance des artistes afro-descendants dans la redéfinition des modernismes et post-modernismes.Quatre installations produites spécifiquement pour « Paris noir » par Valérie John, Nathalie Leroy-Fiévée, Jay Ramier et Shuck One, rythment le parcours en portant des regards contemporains sur cette mémoire. Au centre de l'exposition, une matrice circulaire reprend le motif de l'Atlantique noir, océan devenu disque, métonymie de la Caraïbe et du « Tout-Monde », selon la formule du poète martiniquais, Édouard Glissant comme métaphore de l'espace parisien. Attentive aux circulations, aux réseaux comme aux liens d'amitié, l'exposition prend la forme d'une cartographie vivante et souvent inédite de Paris.Une cartographie artistique transnationaleDès les années 1950, des artistes afro-américains et caribéens explorent à Paris de nouvelles formes d'abstraction (Ed Clark, Beauford Delaney, Guido Llinás), tandis que des artistes du continent esquissent les premiers modernismes panafricains (Paul Ahyi, Skunder Boghossian, Christian Lattier, Demas Nwoko). De nouveaux mouvements artistiques infusent à Paris, tels que celui du groupe Fwomaje (Martinique) ou le Vohou-vohou (Côte d'Ivoire). L'exposition fait également place aux premières mouvances post-coloniales dans les années 1990, marquées par l'affirmation de la notion de métissage en France.Un hommage à la scène afro-descendante à ParisAprès la Seconde Guerre mondiale, Paris devient un centre intellectuel où convergent des figures comme James Baldwin, Suzanne et Aimé Césaire ou encore Léopold Sédar Senghor qui y posent les fondations d'un avenir post et décolonial. L'exposition capte l'effervescence culturelle et politique de cette période, au coeur des luttes pour l'indépendance et des droits civiques aux États-Unis, en offrant une plongée unique dans les expressions plastiques de la négritude, du panafricanisme et des mouvements transatlantiques.[...] Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Culture en direct
Critique expo : au Centre Pompidou, une exposition à l'image de l'œuvre singulière de l'architecte Hans Hollein

Culture en direct

Play Episode Listen Later Mar 13, 2025 10:15


durée : 00:10:15 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Les critiques discutent de l'exposition "Hans Hollein. TransFORMS" au Centre Pompidou à Paris, une rétrospective consacrée à la carrière artistique du célèbre architecte autrichien. - réalisation : Laurence Malonda, Daphné Leblond - invités : Stéphane Corréard Editorialiste au Journal des Arts; Sarah Ihler-Meyer Critique d'art et commissaire d'exposition

Les matins du samedi
De Montmartre à Pompidou, baladons-nous avec Suzanne Valadon

Les matins du samedi

Play Episode Listen Later Feb 8, 2025 19:56


durée : 00:19:56 - France Culture va plus loin le samedi - par : Nicolas Herbeaux, Margaux Leridon - Après Metz en 2023, puis Nantes et Barcelone, l'œuvre de Suzanne Valadon est exposée au Centre Pompidou à Paris jusqu'au 26 mai 2025 - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Xavier Rey Directeur du Musée National d'Art Moderne ; Flore Mongin Autrice et réalisatrice

KITSCH ET NET
Episode 222: Emission du 03/02/2025

KITSCH ET NET

Play Episode Listen Later Feb 4, 2025 56:30


Des senteurs printanières perceront à travers votre rude hiver si vous nous écoutez cette semaine dans notre émission ! Nous vous ferons découvrir Mau d'âmour, qui se joue à l'Essaïon Théâtre du 9 Janvier au 8 Février : , l'indispensable spectacle hommage aux grands airs de Maurane çonçu et interprété par Christel Kern, à l'unisson avec deux flamboyantes virtuoses au piano et au violon… Et nous accueillerons la subtile conteuse de chansons Mathilde Kaori, pour son album « Tissus parfumés » ! Entre Charles Baudelaire et Barbara, de balades pop en envolées nostalgiques en passant par les ritournelles bluesy et même… les fabliaux médiévaux, l'autrice-compositrice-interprète vous offre dans cet opus un éventail de sensations que vous cueillerez avec gourmandise… Comme autant de parfums qu'elle a savamment tissés et entremêlés et dont vous (res)sentirez également les effluves chaleureuse en live acoustique guitare-voix depuis nos studios ! ENfin, pour notre vidéoKITSCH, dans notre émission dédiée aux pépites musicales et à la douce excentricité, nous ne pouvions pas passer à côté d'un bijou aussi savoureusement kitsch que Joyeux Anniversaire de Philippe Katerine. La chanson « Joyeux anniversaire » de Philippe Katerine est sortie le 8 novembre 2024, en même temps que son album « Zouzou ». Quelle que soit votre date d'anniversaire, c'est tous les jours fête à notre écoute toute cette semaine dans Kitsch et Net ! Le clip de « Joyeux anniversaire » a été tourné le 8 décembre 2024 au Centre Pompidou à Paris, jour de l'anniversaire de l'artiste. Avec son univers décalé et son style inimitable, Katerine transforme une simple ritournelle d'anniversaire en un spectacle visuel et sonore complètement loufoque. Entre les costumes colorés, les chorégraphies improbables, et cette énergie débordante qui frôle la folie douce, ce clip est une ode à la légèreté et à la fête.

Vous m'en direz des nouvelles !
Suzanne Valadon et ses peintures, une vie d'avant-garde

Vous m'en direz des nouvelles !

Play Episode Listen Later Jan 24, 2025 48:30


«J'ai dessiné follement pour que, quand je n'aurai plus d'yeux, j'en aie au bout des doigts». Voilà ce qu'écrivait Suzanne Valadon. Née de père inconnu et élevée dans le Montmartre populaire du début du XXè siècle, employée comme modèle des peintres de l'époque, Toulouse Lautrec, Renoir, avant de se faire finalement sa propre place. Longtemps pourtant, on s'est davantage souvenu du nom de son fils Maurice Utrillo que du sien. Suzanne Valadon est une anti-conformiste née et dans sa vie d'artiste, elle n'a pas peur de bousculer les règles, jusqu'à peindre des nus masculins, scandale ! Après une première exposition à Metz, le Centre Pompidou à Paris lui consacre une grande rétrospective.Nathalie Ernoult, commissaire de l'exposition Suzanne Valadon au Centre Pompidou à Paris ainsi que Flore Mongin, journaliste et Coline Naujalis, illustratrice qui publient Suzanne Valadon, sans concession, aux éditions Seghers sont les invités de Sur le pont des arts.  Au programme de l'émission :ReportageJosé Marinho nous fait découvrir l'exposition Louvre Couture. La première exposition mode du musée du Louvre met en dialogue 65 tenues et 30 accessoires des années 60 avec des artefacts issus des collections du musée. Chronique Saison 1 / Épisode 1Jessica Taïeb nous parle de la sortie d'un anime sur Netflix, Sakamoto Days. L'histoire de Taro Sakamoto, le meilleur tueur à gages de tous les temps qui décide de ranger ses fusils pour fonder une famille. Mais très vite, il est rattrapé par son passé dans le crime.

Vous m'en direz des nouvelles
Suzanne Valadon et ses peintures, une vie d'avant-garde

Vous m'en direz des nouvelles

Play Episode Listen Later Jan 24, 2025 48:30


«J'ai dessiné follement pour que, quand je n'aurai plus d'yeux, j'en aie au bout des doigts». Voilà ce qu'écrivait Suzanne Valadon. Née de père inconnu et élevée dans le Montmartre populaire du début du XXè siècle, employée comme modèle des peintres de l'époque, Toulouse Lautrec, Renoir, avant de se faire finalement sa propre place. Longtemps pourtant, on s'est davantage souvenu du nom de son fils Maurice Utrillo que du sien. Suzanne Valadon est une anti-conformiste née et dans sa vie d'artiste, elle n'a pas peur de bousculer les règles, jusqu'à peindre des nus masculins, scandale ! Après une première exposition à Metz, le Centre Pompidou à Paris lui consacre une grande rétrospective.Nathalie Ernoult, commissaire de l'exposition Suzanne Valadon au Centre Pompidou à Paris ainsi que Flore Mongin, journaliste et Coline Naujalis, illustratrice qui publient Suzanne Valadon, sans concession, aux éditions Seghers sont les invités de Sur le pont des arts.  Au programme de l'émission :ReportageJosé Marinho nous fait découvrir l'exposition Louvre Couture. La première exposition mode du musée du Louvre met en dialogue 65 tenues et 30 accessoires des années 60 avec des artefacts issus des collections du musée. Chronique Saison 1 / Épisode 1Jessica Taïeb nous parle de la sortie d'un anime sur Netflix, Sakamoto Days. L'histoire de Taro Sakamoto, le meilleur tueur à gages de tous les temps qui décide de ranger ses fusils pour fonder une famille. Mais très vite, il est rattrapé par son passé dans le crime.

FranceFineArt

“Suzanne Valadon”au Centre Pompidou, Parisdu 15 janvier au 26 mai 2025Entretien avec Nathalie Ernoult, attachée de conservation au Musée national d'art moderne – Centre Pompidou, et co-commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 13 janvier 2025, durée 23'59,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2025/01/20/3586_suzanne-valadon_centre-pompidou/Communiqué de presse Commissariat :Nathalie Ernoult, attachée de conservation au Musée national d'art moderne, Centre PompidouChiara Parisi, directrice du Centre Pompidou-MetzXavier Rey, directeur du Musée national d'art moderne, Centre PompidouLe Centre Pompidou consacre une monographie à Suzanne Valadon (1865-1938), artiste emblématique et audacieuse, l'une des plus importantes de sa génération. À la marge des courants dominants de son époque – le cubisme et l'art abstrait sont en germe alors qu'elle défend avec ardeur la nécessité de peindre le réel – elle place le nu, féminin comme masculin, au centre de son oeuvre, représentant les corps sans artifice ni voyeurisme.Suzanne Valadon n'a pas bénéficié de monographie, à Paris depuis celle que le Musée national d'art moderne lui avait consacré en 1967. Présenté au Centre Pompidou-Metz, en 2023 (« Suzanne Valadon. Un monde à soi »), puis au Musée des Beaux-arts de Nantes (2024) et au Museu Nacional d'Art de Catalunya (2024), l'hommage à cette artiste ostensiblement moderne et libérée des conventions de son temps, se poursuit donc au Centre Pompidou, en 2025 avec une version enrichie de nouveaux prêts et augmentée d'archives inédites.« J'ai dessiné follement pour que quand je n'aurais plus d'yeux j'en aie au bout des doigts » Suzanne ValadonCette exposition met en lumière cette figure exceptionnelle et souligne son rôle précurseur, souvent sous-estimé, dans la naissance de la modernité artistique. Elle révèle la grande liberté de cette artiste qui n'adhère véritablement à aucun courant, si ce n'est peut-être le sien. Le parcours de près de 200 oeuvres s'appuie sur la richesse des collections nationales notamment celle du Centre Pompidou, la plus importante, mais aussi du musée d'Orsay et de l'Orangerie. Des prêts exceptionnels du Metropolitan Museum of Modern Art de New York ou encore de la Fondation de l'Hermitage et d'importantes collections privées le complètent. Il se concentre sur les deux médiums de prédilection de l'artiste, le dessin et la peinture. Particulièrement mise à l'honneur ici, son oeuvre graphique fait l'objet d'une analyse approfondie, grâce à la présentation d'un grand nombre de dessins jusqu'alors rarement montrés. C'est également l'occasion d'explorer un moment artistique au coeur de la transition entre les collections du musée d'Orsay et de l'Orangerie et celles du Musée national d'art moderne.L'exposition « Valadon » retrace cet itinéraire unique, depuis ses débuts de modèle favorite du tout-Montmartre, jusqu'à sa reconnaissance artistique, intervenue très tôt, par ses pairs et la critique. Véritable « passeuse » d'un siècle à l'autre, Suzanne Valadon embrasse la ferveur parisienne du tournant-de-siècle, ses cafés, bals musettes et cabarets et ses multiples révolutions artistiques, intellectuelles et sociétales. Elle met en évidence le caractère résolument moderne de l'oeuvre de Valadon, première femme à peindre en grand format un nu masculin de face. Cette plongée inédite dans son oeuvre dévoile aussi bien ses relations amicales et artistiques avec les peintres de la bohème que son influence incontestable sur la scène artistique parisienne grâce au soutien actif de ses amis artistes et galeristes.[...] Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Conscious Design Podcast™
How Nagami Turns Plastic Waste into High-Tech 3D Printed Architecture!

Conscious Design Podcast™

Play Episode Listen Later Jan 10, 2025 42:21


In this episode of the Conscious Design Podcast, host Ian Peterman talks with Manuel Jiménez García, co-founder and CEO of Nagami, to explore the cutting-edge world of 3D printing technology and recycled plastics. Learn how Nagami turns plastic waste into high-tech 3D printed architecture!. Manuel shares the inspiring origin story of Nagami, the challenges of scaling large-scale 3D printing, and their mission to promote the circular economy. If you're curious about eco-friendly design, reducing plastic waste, or the future of sustainable manufacturing, this episode is for you! Notable Moments: 00:00 - Guest Introduction 00:38 - The Origin Story of Nagami 02:18 - From Research to Real-World Impact 15:01 - Scaling and Exploring New Materials 25:02 - Sustainable and Personalized 3D Printing 35:48 - Future Goals and Architectural Innovations About Manuel Jiménez García and Nagami Manuel Jiménez García is the co-founder and CEO of the robotic 3D printing and design brand Nagami, based in Ávila, Spain. He is also the co-founder of Automated Architecture Ltd (AuAr), a design-tech company specializing in robotically assembled housing based in London, and the founder and principal of madMdesign, a computational design practice also based in London. For over a decade, Manuel has developed a wide variety of projects focused on computational design, automation, and sustainable building methods, particularly large-scale 3D printing using recycled plastics. His work is part of the permanent collection at the Centre Pompidou (Paris) and has been exhibited worldwide in venues such as the Victoria & Albert Museum (London), Canada's Design Museum (Toronto), The Design Museum (London), the Royal Academy of Arts (London), the Zaha Hadid Design Gallery (London), and the Philadelphia Museum of Art. In addition to his practice, Manuel is an Associate Professor of Architecture at The Bartlett School of Architecture, UCL (London). He serves as the Programme Director of the MSc/MRes Architectural Computation (AC) and is the Unit Master of AD-RC4, both part of The Bartlett B-Pro. He is also the co-founder of UCL AUAR Labs and curator of Plexus, a multidisciplinary lecture series focused on computational design. Nagami was founded in 2006 by Manuel Jiménez García, Miguel Ángel Jiménez García, and Ignacio Veguera Ochoa. The company works closely with its partners to meticulously craft every detail, from early ideation through design, development, and production, with boldness and innovation at the core of every creation. The team at Nagami comprises architects, engineers, designers, researchers, and professionals from various fields specializing in technology, robotics, and sustainability. Together, they work daily to push the boundaries of imagination into uncharted territories. Nagami is a multidisciplinary team of brilliant minds with a shared goal: to create a new reality through 3D printing. Learn More about Manuel Jiménez García and Nagami Linkedin: https://www.linkedin.com/company/nagami-design/ Facebook: https://www.facebook.com/Nagami.DesignInstagram: https://www.instagram.com/nagami.design Youtube: https://www.youtube.com/channel/UCaDv9GWjlV9H6hk-RLIomSg Website: https://nagami.design/es/ YouTube Channel: http://bit.ly/3sG7VEi Blog: https://bit.ly/3kltV6s Conscious Design Book: https://www.amazon.com/dp/B09KNMN9BT Join our Newsletter: https://bit.ly/2U8IlMS Visit our website: https://www.petermanfirm.com/ We created this content so that creative entrepreneurs like you can integrate social and environmental responsibility into your brand's DNA through #ConsciousDesign. Ian Peterman, the leading expert in Conscious Design, hosts the Conscious Design podcast and is the co-author of the book "Conscious Design." If you enjoyed this episode, give it a thumbs up, subscribe to our channel, and share it with your network! Let us know in the comments what excites you most about sustainable 3D printing.

Les matins
"Samuel" - de la mélancolie enfantine

Les matins

Play Episode Listen Later Dec 25, 2024 3:21


durée : 00:03:21 - Le Regard culturel - par : Lucile Commeaux - Grand coup de cœur pour cette série animée entièrement fabriquée par Émilie Tronche, grand succès de la plateforme Arte et qui a le droit en cette année à une exposition au Centre Pompidou à Paris.

Beaux-Arts de Paris
Penser le Présent avec Théo Mercier

Beaux-Arts de Paris

Play Episode Listen Later Dec 3, 2024 60:23


Théo Mercier est tout autant sculpteur que metteur en scène. Tour à tour explorateur, collectionneur, curateur et artiste, il mène une réflexion située au carrefour de l'anthropologie, de la géopolitique, du tourisme et du paysage. Au cours de cette rencontre, il revient sur son parcours mais également sur son dernier spectacle Skinless, actuellement présenté dans le cadre du Festival d'Automne à Paris, au théâtre de la Villette. Bâti sur un paysage de détritus, Skinless est un Eden désenchanté. Dans ce panorama de la fin du monde un couple hors norme s'aime et se déchire sous la surveillance d'un tragique observateur. Skinless met en scène un couple à trois têtes qui habiterait les ruines du capitalisme. Échange avec Emmanuelle Huynh, artiste et cheffe d'atelier aux Beaux-Arts de Paris, et Audrey Illouz, responsable de la programmation culturelle. Théo Mercier est représenté par la galerie mor charpentier (Paris, Bogota) et est artiste associé au Théâtre National de Bretagne (Rennes). Revendiquant une liberté formelle, il s'emploie à déconstruire les mécanismes de l'histoire, des objets et des représentations dans laquelle il remonte d'harmonieuses contradictions. Pensionnaire de la Villa Médicis en 2013 et nominé pour le prix Marcel-Duchamp en 2014, Théo Mercier a également remporté le Lion d'Argent de la Biennale de Venise de la danse en 2019 avec Steven Michel, le Prix Art of Change 21 ainsi que le Prix du Jury pour le Pavillon Français de la Quadriennale de Prague en 2023 avec Céline Peychet. Il a bénéficié d'importantes expositions personnelles à la Villa Médicis (Rome), la Conciergerie de Paris, la Fondation Luma Westbau (Zurich), la Collection Lambert (Avignon), le Museo El Eco (Mexico), la Biennale de Cuba (La Havane), le Musée de la Chasse et de la Nature (Paris), le Musée d'art contemporain (Marseille), le Lieu Unique (Nantes) ou encore le Tri Postal (Lille). Son œuvre a également été présentée dans de nombreuses expositions collectives, notamment au Centre Pompidou (Paris, Shanghai), au Hamburger Banhof (Berlin), au Palacio Bellas Artes (Mexico) ou à Arts Jameel (Dubaï). Passant d'une pratique de « white cube » à celle de la « boite noire », Théo Mercier est aussi metteur en scène. Ses performances ont été montrées à Nanterre-Amandiers, au Festival d'Automne, la Villette, la Ménagerie de verre et le Centre Pompidou (Paris), le Festival d'Avignon, Theater Spektakel (Zurich), Vidy (Lausanne), La Bâtie (Genève), l'Usine C (Montréal), The Invisible dog Art Center (New York), le Festival Actoral (Marseille), au Vooroit Art Center (Ghent) ou au Short Theater (Rome), entre autres.  Crédit photo : © Marie Taillefer Amphithéâtre des LogesMardi 26 novembre 2024

Les histoires de 28 Minutes
Didier Ottinger / Plans sociaux : que faire face à la "saignée industrielle" qui arrive ?

Les histoires de 28 Minutes

Play Episode Listen Later Nov 13, 2024 46:08


L'émission 28 minutes du 13/11/2024 Exposition "Surréalisme" : le centre Pompidou fête le centenaire de ce mouvement planétaire Nous recevons Didier Ottinger, co-commissaire avec Marie Sarré de l'exposition “Surréalisme”, actuellement au Centre Pompidou à Paris jusqu'au 13 janvier. Conservateur général du patrimoine, il est spécialiste des mouvements surréaliste, futuriste et néo-expressionniste. L'exposition réunit 500 œuvres — comme “L'Ange du foyer” de Max Ernst choisi pour l'affiche — qui retracent plus de quarante années d'une exceptionnelle effervescence créative. Les femmes y ont une place particulière, comme elles en avaient une dans le mouvement, puisque plus de 40 % des œuvres exposées sont signées par des femmes. L'exposition fête le centenaire du surréalisme, mouvement conceptualisé par le “Manifeste du surréalisme” écrit par André Breton. Mais comment se définit ce mouvement caractéristique du XXe siècle qui s'est exporté à l'international ?   Plans sociaux : que faire face à la "saignée industrielle" qui arrive ?  La semaine dernière, Auchan et Michelin ont annoncé la fermeture de plusieurs sites, supprimant près de 3 700 emplois. L'OFCE s'attend à 150 000 destructions d'emplois en 2025. L'objectif du plein emploi que s'était fixé le gouvernement, avec un taux de chômage à 5 % en 2027, apparaît aujourd'hui illusoire. Alors, comment expliquer cette hausse des plans sociaux ? La direction de Michelin invoque un manque de compétitivité des usines européennes vis-à-vis de la concurrence chinoise et américaine, et une hausse des prix de l'énergie. Les syndicats, comme la CGT, dénoncent les marges importantes des employeurs et les dividendes versés aux actionnaires, ainsi que le “naufrage de la politique de l'offre menée par Emmanuel Macron”. Quelle stratégie économique et industrielle la France décidera-t-elle d'adopter pour les prochains mois, alors que le budget 2025 est débattu au Parlement ?   Enfin, Xavier Mauduit nous raconte l'histoire de John Cadbury après la disparition des célèbres gâteaux Fingers dans les rayons des supermarchés et Marie Bonnisseau évoque le phénomène du puzzle, ce jeu familial, vieux de plusieurs siècles, de nouveau en vogue.   28 Minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Elisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement : 13 novembre 2024 - Présentation : Élisabeth Quin - Production : KM, ARTE Radio

Les interviews d'Inter
Exposition "Surréalisme" au Centre Pompidou : avec Marie Sarré et Adrien Goetz

Les interviews d'Inter

Play Episode Listen Later Oct 20, 2024 22:27


durée : 00:22:27 - L'invité de 8h20 - À l'occasion de l'exposition "Surréalisme" au Centre Pompidou à Paris jusqu'au 13 janvier 2025, nous recevons deux spécialistes : Marie Sarré, commissaire de l'exposition, et Adrien Goetz, historien de l'art et romancier.

Le sept neuf
Renzo Piano, architecte et bâtisseur : "On peut très bien regarder dans le passé sans aucune nostalgie"

Le sept neuf

Play Episode Listen Later Oct 17, 2024 20:36


durée : 00:20:36 - L'interview de 9h20 - par : Léa Salamé - L'architecte Renzo Piano, concepteur du Centre Pompidou à Paris ou encore de The Shard à Londres, est l'objet d'une rétrospective autour de ses bâtiments parisiens à la fondation Seydoux-Pathé à Paris jusqu'au 23 novembre. Il revient sur son parcours, sur l'architecture au micro de Léa Salamé. - invités : Renzo Piano - Renzo Piano : Architecte italien, constructeur notamment, avec Richard Rogers, du Centre Pompidou à Paris

Les interviews d'Inter
Renzo Piano, architecte et bâtisseur : "On peut très bien regarder dans le passé sans aucune nostalgie"

Les interviews d'Inter

Play Episode Listen Later Oct 17, 2024 20:36


durée : 00:20:36 - L'interview de 9h20 - par : Léa Salamé - L'architecte Renzo Piano, concepteur du Centre Pompidou à Paris ou encore de The Shard à Londres, est l'objet d'une rétrospective autour de ses bâtiments parisiens à la fondation Seydoux-Pathé à Paris jusqu'au 23 novembre. Il revient sur son parcours, sur l'architecture au micro de Léa Salamé. - invités : Renzo Piano - Renzo Piano : Architecte italien, constructeur notamment, avec Richard Rogers, du Centre Pompidou à Paris

SWR2 Zeitgenossen
Mwangi Hutter: „Unterschiede sind Projektionen, die einem auferlegt werden“

SWR2 Zeitgenossen

Play Episode Listen Later Oct 12, 2024 43:00


Mwangi Hutter ist ein Künstler-Duo mit einer Persönlichkeit: „die Geschichte zweier Individuen, die zu einem Künstler verschmelzen“. So stellt sich das Paar auf seiner Website vor. In ihrer Kunst zeigen Mwangi Hutter, wie konventionelle Vorstellungen von Identität und Geschlecht, sozialer und kultureller Herkunft überwunden werden können. Geboren in Nairobi und in Ludwigshafen am Rhein, haben sich die beiden während des Studiums in Saarbrücken kennengelernt. Ihre Arbeiten wurden bei der documenta, bei der Biennale von Venedig, im Brooklyn Museum New York und im Centre Pompidou Paris gezeigt.

FranceFineArt

“目 Chine, une nouvelle génération d'artistes”au Centre Pompidou, Parisdu 9 octobre 2024 au 3 février 2025Entretien avec Philippe Bettinelli, conservateur, service nouveaux médias, Centre Pompidou – Musée national d'art moderne,avec Paul Frèches, directeur délégué du Centre Pompidou x West Bund Museum, Shanghai,et avec Gu Youyou, directrice du département des expositions, West Bund Museum, Shanghai, commissaires de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 7 octobre 2024, durée 36'21,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2024/10/09/3564_chine_centre-pompidou/Communiqué de presseCommissariat :Philippe Bettinelli, conservateur, service nouveaux médias, Centre Pompidou – Musée national d'art modernePaul Frèches, directeur délégué du Centre Pompidou x West Bund Museum, ShanghaiGu Youyou, directrice du département des expositions, West Bund Museum, ShanghaiLe Centre Pompidou et le West Bund Museum s'associent autour d'un commissariat franco-chinois pour présenter une exposition collective consacrée à la jeune scène contemporaine chinoise. Pluridisciplinaire, elle réunit les oeuvres de 21 artistes et propose, pour la première fois en France, le portrait subjectif d'une nouvelle génération d'artistes.Commissariat :Philippe Bettinelli, conservateur, service nouveaux médias, Centre Pompidou – Musée national d'art modernePaul Frèches, directeur délégué du Centre Pompidou x West Bund Museum, ShanghaiGu Youyou, directrice du département des expositions, West Bund Museum, ShanghaiLe Centre Pompidou et le West Bund Museum s'associent autour d'un commissariat franco-chinois pour présenter une exposition collective consacrée à la jeune scène contemporaine chinoise. Pluridisciplinaire, elle réunit les oeuvres de 21 artistes et propose, pour la première fois en France, le portrait subjectif d'une nouvelle génération d'artistes. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Ces chansons qui font l'actu
Le surréalisme, ça se chante ?

Ces chansons qui font l'actu

Play Episode Listen Later Sep 8, 2024 5:07


durée : 00:05:07 - Ces chansons qui font l'actu - par : Bertrand DICALE - À l'occasion de l'exposition "Surréalisme" qui vient d'ouvrir au Centre Pompidou à Paris, retour sur la trace de ce mouvement artistique dans notre culture populaire.

FranceFineArt

“Surréalisme”au Centre Pompidou, Parisdu 4 septembre 2024 au 13 janvier 2025Entretien avec Marie Sarré, attachée de conservation au service des collections modernes – Centre Pompidou, et co-commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 2 septembre 2024, durée 14'44,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2024/09/06/3553_surrealisme_centre-pompidou/Communiqué de presseCommissariat :Didier Ottinger, directeur adjoint du Musée national d'art moderne, Centre PompidouMarie Sarré, attachée de conservation au service des collections modernes, Centre PompidouRetraçant plus de quarante années d'une exceptionnelle effervescence créative, de 1924 à 1969, l'exposition « Surréalisme » célèbre l'anniversaire du mouvement, né avec la publication du Manifeste du surréalisme d'André Breton.Adoptant la forme d'une spirale ou d'un labyrinthe, l'exposition rayonne autour d'un « tambour » central au sein duquel est présenté le manuscrit original du Manifeste du surréalisme, prêt exceptionnel de la Bibliothèque nationale de France. Une projection audiovisuelle immersive en éclaire la genèse et le sens. Chronologique et thématique, le parcours de l'exposition est rythmé par 13 chapitres évoquant les figures littéraires inspiratrices du mouvement (Lautréamont, Lewis Carroll, Sade…) et les mythologies qui structurent son imaginaire poétique (l'artiste-médium, le rêve, la pierre philosophale, la forêt…).Fidèle au principe de pluridisciplinarité qui caractérise les expositions du Centre Pompidou, l'exposition « Surréalisme » associe peintures, dessins, films, photographies et documents littéraires. Elle présente les oeuvres emblématiques du mouvement, issues des principales collections publiques et privées internationales : Le Grand Masturbateur de Salvador Dalí (Musée Reina Sofía, MAdrid), Les Valeurs personnelles de René Magritte (SFMoMA, San Francisco), Le Cerveau de l'enfant (Moderna Museet, Stockholm), Chant d'amour (MoMA, New York) de Giorgio de Chirico, La Grande Forêt de Max Ernst (Kunstmuseum, Bâle), Chien aboyant à la lune de Joan Miró (Philadelphia Museum of Art), etc.L'exposition accorde une part importante aux nombreuses femmes qui ont pris part au mouvement, avec entre autres, des oeuvres de Leonora Carrington, Remedios Varo, Ithell Colquhoun, Dora Maar, Dorothea Tanning… et rend compte de son expansion mondiale en présentant de nombreux artistes internationaux tels que de Tatsuo Ikeda (Japon), Helen Lundeberg (États-Unis), Wilhelm Freddie (Danemark), Rufino Tamayo (Mexique), entre autres.La contestation surréaliste d'un modèle de civilisation seulement fondé sur la rationalité technique, l'intérêt du mouvement pour les cultures qui ont su préserver le principe d'un monde unifié (culture des Indiens Turahumaras découverte par Antonin Artaud, celle des Hopis étudiée par André Breton), attestent de sa modernité.La dissolution officielle du surréalisme n'a pas marqué la fin de son influence sur l'art et la société. Il continue d'inspirer biennales d'art contemporain, productions cinématographiques, mode, bande dessinée, etc.Publications – Le catalogue et l'albumLe catalogue Surréalisme sous la direction de Didier Ottinger et Marie Sarré, avec deux couvertures « tête-bêche » pour deux entrées de lecture, aux éditions du Centre Pompidou.L'album Surréalisme, autrice : Marie Sarré, aux éditions du Centre Pompidou. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Franceinfo junior
De quand date la première bande dessinée ?

Franceinfo junior

Play Episode Listen Later Jun 3, 2024 7:12


durée : 00:07:12 - franceinfo junior - On l'appelle le neuvième art... La bande dessinée est à l'honneur au Centre Pompidou à Paris. Une grande rétrospective raconte son histoire dans l'exposition "Bande Dessinée, 1964-2024".

Mauvais genres
Cases et Bulles à tous les étages : BD à Beaubourg

Mauvais genres

Play Episode Listen Later Jun 2, 2024 59:51


durée : 00:59:51 - Mauvais genres - par : François Angelier - En trois expositions consacrées au dernier demi-siècle de la bande dessinées, à ses liens avec l'art contemporain et à Corto Maltese, le Centre Pompidou (Paris) donne une vision globale et diversifiée du 9e art. - invités : Thierry Groensteen Historien et théoricien de la bande dessinée; Anne Lemonnier Attachée de conservation, Musée national d'art moderne, Centre Pompidou.

Culture en direct
Cases et Bulles à tous les étages : BD à Beaubourg

Culture en direct

Play Episode Listen Later Jun 2, 2024 59:51


durée : 00:59:51 - Mauvais genres - par : François Angelier - En trois expositions consacrées au dernier demi-siècle de la bande dessinées, à ses liens avec l'art contemporain et à Corto Maltese, le Centre Pompidou (Paris) donne une vision globale et diversifiée du 9e art. - invités : Thierry Groensteen Historien et théoricien de la bande dessinée; Anne Lemonnier Attachée de conservation, Musée national d'art moderne, Centre Pompidou.

Invité culture
Massow Ka s'empare de l'infertilité masculine, un sujet tabou au Sénégal

Invité culture

Play Episode Listen Later May 29, 2024 3:28


Les artistes contemporains africains sont à l'honneur en ce mois de mai à Paris et Bordeaux. Pour sa 4e édition, « Traversées africaines » réunit une trentaine de galeries et musées qui présentent le travail d'une cinquantaine de créateurs du continent et de la diaspora. À la galerie Talmart, près du Centre Pompidou à Paris, on peut voir des images documentaires d'un doyen de la photographie, Adama Sylla, 90 ans, de Saint-Louis-du-Sénégal. À ses côtés, Massow Ka, jeune artiste, expose son travail, principalement des autoportraits autour de l'infertilité masculine, un sujet tabou au Sénégal.

FranceFineArt

“Bande dessinée, 1964-2024”au Centre Pompidou, Parisdu 29 mai au 4 novembre 2024Entretien avec Emmanuèle Payen, directrice du département développement culturel et cinéma, Bibliothèque publique d'information, et co-commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 27 mai 2024, durée 23'12,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2024/05/29/3541_bande-dessinee_centre-pompidou/Communiqué de presseCommissariat :Anne Lemonnier, attachée de conservation, Musée national d'art moderne, Centre Pompidouet Emmanuèle Payen, directrice du département développement culturel et cinéma,Bibliothèque publique d'informationConseillers scientifiquesThierry Groensteen, historien de la bande dessinée, ancien directeur du Musée de la bandedessinée à la Cité internationale de la bande dessinée et de l'image à Angoulêmeet Lucas Hureau, directeur de MEL Compagnie des arts et du label MEL Publisher Pour la première fois en France, le Centre Pompidou, en partenariat avec le Fonds Hélène & Edouard Leclerc, met en dialogue les trois principaux foyers d'expression de la bande dessinée – la création européenne, les mangas asiatiques et les comics américains – et propose une immersion exceptionnelle dans les multiples univers du 9e art. Véritable traversée de l'histoire moderne et contemporaine du médium, elle convie les visiteurs à découvrir ses évolutions au fil des décennies, des foisonnements graphiques de l'underground aux styles contemporains les plus abstraits.L'exposition s'ouvre sur le tournant des années 1960, marqué par l'avènement de la contre culture. Partout dans le monde, alors que la bande dessinée est encore perçue comme un divertissement pour la jeunesse, des initiatives éditoriales s'adressent résolument a un public adulte. En France, Hara-Kiri, magazine « bête et méchant », offre a l'humour graphique de nouveaux territoires, tandis que les aventures de Barbarella de Jean-Claude Forest sont éditées en albums par Éric Losfeld. L'année 1964 voit le lancement au Japon du mensuel d'avant-garde Garo, qui décline sur différents modes le concept de bande dessinée d'auteur. En 1968, Robert Crumb s'impose avec Zap Comix comme le chef de file du mouvement underground aux États-Unis. Posant les jalons des mondes multiples que cette révolution graphique a engendrés, un ensemble de planches d'auteurs majeurs de cette période, ainsi que de spectaculaires publications sont présentés dans la toute première salle. Autour d'un espace central, une scénographie en rayon déploie ensuite en douze thématiques le parcours de l'exposition, convoquant les imaginaires de la bande dessinée, les émotions qu'elle suscite, ainsi que la diversité des techniques artistiques employées. Plusieurs salons de lecture offrent au visiteur un temps de pause et d'approfondissement.[...] Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Reportage culture
Biennale de Venise: le Vatican invite à un regard renouvelé sur les marginaux, les exclus

Reportage culture

Play Episode Listen Later Apr 26, 2024 2:35


C'est historique : le pape François est attendu le 28 avril à la 60ᵉ édition de la biennale de Venise, où le Vatican a installé cette année son pavillon à la prison pour femmes de l'ile de Giudecca. L'exposition du Saint-Siège, nommée à juste titre Avec mes yeux, nous incite à renouveler notre regard sur les marginaux. Juste en face de la Cité des doges, à l'abri de l'agitation touristique, l'île de Giudecca, où se situe la prison des femmes. C'est le choix iconoclaste du Vatican pour y loger son pavillon, durant cette Biennale des arts de Venise, en Italie. « C'est une première », admet Bruno Racine, ancien président du Centre Pompidou à Paris, et l'un des commissaires de l'événement.Sur la façade extérieure de l'établissement pénitenciaire, une fresque monumentale signée Maurizio Cattelan. « L'œuvre qu'il a réalisée s'intitule "Father", "le Père" en français, mais le père mort, dont on voit les pieds allongés. C'est aussi une belle méditation sur la précarité de la vie et des humains », commente Bruno Racine.Si le choix de la star italienne de l'art contemporain, souvent critiquée pour ses œuvres provocatrices, peut surprendre, celui du lieu est hautement symbolique. Ancien couvent ayant recueilli des prostituées en quête de pardon, l'endroit est devenu une maison d'arrêt en 1859 où, actuellement, 80 femmes sont incarcérées pour vols, trafics de drogue et homicides. « Le choix du lieu est un message. Le visiteur sera confronté, lui aussi, à la réalité artistique et humaine de la prison, uniquement avec ses yeux », selon le commissaire d'exposition.Des œuvres réalisées avec les détenuesAu programme de cette exposition derrière les barreaux, une collaboration unique entre les détenues de l'établissement pénitentiaire de Venise et neuf artistes de renom, parmi lesquels le collectif féministe Claire Fontaine ou encore la plasticienne française, Claire Tabouret.Ensemble, ils ont créé des œuvres photographiques, installations documentaires et poèmes humanistes, mettent l'accent sur la compassion, l'empathie et la réhabilitation des marginaux. « L'idée, c'était que ce pavillon transmette un message humaniste, sur les Droits de l'homme, sur l'attention au plus petit, à ceux que l'on ne veut pas voir, y compris celles, ici même, qui ont été condamnées. Qu'elles puissent avoir leur dignité. Qu'elles puissent être, non seulement spectatrices, mais aussi protagonistes de leur avenir », explique Bruno Racine. Quant à la grande figure du monde de l'art, Simone Fattal, d'origine syro-libanaise, elle a transcrit sur des plaques de lave les poèmes des détenues. « Quand j'ai reçu les poèmes, j'ai pleuré. Parce que... – je pleure encore – parce que l'une d'entre elles dit "Chaque fois que je tombe, on me dit qu'il faut se relever. Mais chaque fois que je me relève, quelque chose de moi reste par terre." » confesse-t-elle, la voix tremblante d'émotion, en citant un poème d'une détenue.Ce corpus de thèmes, tous chers au pape François, vise à renouveler notre regard sur le monde des exclus. En plaçant le pavillon 2024 au sein d'une prison pour femmes, le Saint-Siège envoie un message puissant d'inclusion et de rédemption à travers l'art.À écouter aussiBiennale: Romuald Hazoumé place le féminisme béninois au cœur de Venise

Reportage Culture
Biennale de Venise: le Vatican invite à un regard renouvelé sur les marginaux, les exclus

Reportage Culture

Play Episode Listen Later Apr 26, 2024 2:35


C'est historique : le pape François est attendu le 28 avril à la 60ᵉ édition de la biennale de Venise, où le Vatican a installé cette année son pavillon à la prison pour femmes de l'ile de Giudecca. L'exposition du Saint-Siège, nommée à juste titre Avec mes yeux, nous incite à renouveler notre regard sur les marginaux. Juste en face de la Cité des doges, à l'abri de l'agitation touristique, l'île de Giudecca, où se situe la prison des femmes. C'est le choix iconoclaste du Vatican pour y loger son pavillon, durant cette Biennale des arts de Venise, en Italie. « C'est une première », admet Bruno Racine, ancien président du Centre Pompidou à Paris, et l'un des commissaires de l'événement.Sur la façade extérieure de l'établissement pénitenciaire, une fresque monumentale signée Maurizio Cattelan. « L'œuvre qu'il a réalisée s'intitule "Father", "le Père" en français, mais le père mort, dont on voit les pieds allongés. C'est aussi une belle méditation sur la précarité de la vie et des humains », commente Bruno Racine.Si le choix de la star italienne de l'art contemporain, souvent critiquée pour ses œuvres provocatrices, peut surprendre, celui du lieu est hautement symbolique. Ancien couvent ayant recueilli des prostituées en quête de pardon, l'endroit est devenu une maison d'arrêt en 1859 où, actuellement, 80 femmes sont incarcérées pour vols, trafics de drogue et homicides. « Le choix du lieu est un message. Le visiteur sera confronté, lui aussi, à la réalité artistique et humaine de la prison, uniquement avec ses yeux », selon le commissaire d'exposition.Des œuvres réalisées avec les détenuesAu programme de cette exposition derrière les barreaux, une collaboration unique entre les détenues de l'établissement pénitentiaire de Venise et neuf artistes de renom, parmi lesquels le collectif féministe Claire Fontaine ou encore la plasticienne française, Claire Tabouret.Ensemble, ils ont créé des œuvres photographiques, installations documentaires et poèmes humanistes, mettent l'accent sur la compassion, l'empathie et la réhabilitation des marginaux. « L'idée, c'était que ce pavillon transmette un message humaniste, sur les Droits de l'homme, sur l'attention au plus petit, à ceux que l'on ne veut pas voir, y compris celles, ici même, qui ont été condamnées. Qu'elles puissent avoir leur dignité. Qu'elles puissent être, non seulement spectatrices, mais aussi protagonistes de leur avenir », explique Bruno Racine. Quant à la grande figure du monde de l'art, Simone Fattal, d'origine syro-libanaise, elle a transcrit sur des plaques de lave les poèmes des détenues. « Quand j'ai reçu les poèmes, j'ai pleuré. Parce que... – je pleure encore – parce que l'une d'entre elles dit "Chaque fois que je tombe, on me dit qu'il faut se relever. Mais chaque fois que je me relève, quelque chose de moi reste par terre." » confesse-t-elle, la voix tremblante d'émotion, en citant un poème d'une détenue.Ce corpus de thèmes, tous chers au pape François, vise à renouveler notre regard sur le monde des exclus. En plaçant le pavillon 2024 au sein d'une prison pour femmes, le Saint-Siège envoie un message puissant d'inclusion et de rédemption à travers l'art.À écouter aussiBiennale: Romuald Hazoumé place le féminisme béninois au cœur de Venise

FranceFineArt

“Brancusi”au Centre Pompidou, Parisdu 27 mars au 1er juillet 2024Interview de Valérie Loth, attachée de conservation, Cabinet d'art graphique, Musée national d'art moderne, et commissaire associée de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 25 mars 2024, durée 27'36,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2024/03/25/3527_brancusi_centre-pompidou/Communiqué de presse Commissariat :Ariane Coulondre, conservatrice, service des collections modernes, Musée national d'art moderneCommissaires associées :Julie Jones, conservatrice, Cabinet de la photographie, Musée national d'art moderneValérie Loth, attachée de conservation, Cabinet d'art graphique, Musée national d'art moderneAvec plus de 120 sculptures, ainsi que des photographies, dessins et films de l'artiste, la grande rétrospective « Brancusi », organisée au Centre Pompidou, constitue un événement exceptionnel. Elle offre l'opportunité de découvrir toutes les dimensions de la création de cet immense artiste considéré comme l'inventeur de la sculpture moderne. La dernière exposition rétrospective Brancusi en France, et la seule, remonte à 1995 (sous le commissariat de Margit Rowell au Centre Pompidou). À la fois lieu de vie, de création et de contemplation, l'atelier de l'artiste, joyau de la collection du Musée national d'art moderne depuis son legs à la nation en 1957, forme la matrice de ce projet. En effet, le déménagement intégral de l'Atelier Brancusi dans le cadre des travaux de rénovation du Centre Pompidou est l'occasion unique de mettre en regard son contenu avec de nombreux autres chefs-d'oeuvre de l'artiste provenant des plus importantes collections internationales.Un ensemble exceptionnel de sculptures, jouant sur le dialogue entre les plâtres de l'Atelier Brancusi et les originaux en pierre ou bronze, prêtés par de nombreuses collections privées et muséales (Tate Modern, MoMA, Guggenheim, Philadelphia Museum of Art, The Art Institute of Chicago, Dallas Museum of Art, Musée national d'art de Roumanie, Musée d'art de Craiova…) sont ainsi réunies.Dès l'entrée, le parcours de visite privilégie une approche sensible, soulignant le choc de la découverte de son atelier parisien, situé impasse Ronsin dans le 15e arrondissement, fréquenté par de nombreux artistes et amateurs pendant plusieurs décennies.Le coeur de l'exposition évoque les sources de sa création (Auguste Rodin, Paul Gauguin, l'architecture vernaculaire roumaine, l'art africain, l'art cycladique, l'art asiatique…) et éclaire le processus créatif de Brancusi : le choix de la taille directe, l'esthétique du fragment, le processus sériel, le travail de sublimation de la forme… La reconstitution d'une partie de l'atelier souligne la dimension matérielle de sa création (matériaux, outils, gestes). L'exposition replace la vie de Constantin Brancusi dans un contexte artistique et historique plus large grâce à un riche corpus documentaire (lettres, articles de presse, agendas, disques…). Cet ensemble offre une chronique de ses amitiés avec nombre d'artistes d'avant-garde, tels Marcel Duchamp, Fernand Léger ou Amedeo Modigliani.Le parcours thématique, organisé autour des séries de référence de l'artiste, met en lumière les grands enjeux de la sculpture moderne : l'ambiguïté de la forme (Princesse X), le portrait (Danaïde, Mlle Pogany), le rapport à l'espace (Maiastra, L'Oiseau dans l'espace), le rôle du socle (Nouveau-né, Le Commencement du monde), les jeux de mouvement et de reflet (Léda), la représentation de l'animal (Le Coq, Le Poisson, Le Phoque) et le rapport au monumental (Le Baiser, La Colonne sans fin).#catalogue aux éditions du Centre Pompidou Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Reportage culture
Exposition: «Le passe-mondes», la clé de l'univers hybride d'Hervé Di Rosa

Reportage culture

Play Episode Listen Later Mar 15, 2024 2:30


Artiste baroudeur français de renommée internationale, Hervé Di Rosa fait l'objet d'une rétrospective intitulée Le passe-mondes au Centre Pompidou à Paris jusqu'au 26 aout 2024. Héros de la figuration libre et fondateur du Miam à Sète, il ouvre les portes de son univers artistique hybride. Plus d'une trentaine d'œuvres créées lors de ses périples à travers le monde font tomber les murs entre culture savante et populaire. Pour aller plus loin :Le site de l'exposition

Les Nuits de France Culture
Renzo Piano, bâtir léger 1/5 : Soudain, Beaubourg

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later Mar 10, 2024 30:01


durée : 00:30:01 - À voix nue - par : Camille Juza - En juillet 1971, le concours anonyme pour un centre d'art à Beaubourg désigne deux architectes qui n'avaient quasiment rien construit. Débarqués dans la France pompidolienne, Renzo Piano et Richard Rogers imposent en face de Notre-Dame un centre d'art qui ressemble plus à une usine qu'au Louvre. - invités : Renzo Piano Architecte italien, constructeur notamment, avec Richard Rogers, du Centre Pompidou à Paris

Les Nuits de France Culture
Renzo Piano, bâtir léger 2/5 : Gênes, encore et toujours

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later Mar 10, 2024 29:57


durée : 00:29:57 - À voix nue - par : Camille Juza - Le 14 août 2018 s'écroulait à Gênes le Pont Morandi, un pont en béton des années 60, tuant 43 personnes. Renzo Piano se met à la tâche pour réparer sa ville natale, qui l'a vu grandir dans une famille de bâtisseurs où on respirait l'air des chantiers de père en fils. - invités : Renzo Piano Architecte italien, constructeur notamment, avec Richard Rogers, du Centre Pompidou à Paris

Les Nuits de France Culture
Renzo Piano, bâtir léger 3/5 : Tout autour du globe

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later Mar 10, 2024 30:00


durée : 00:30:00 - À voix nue - par : Camille Juza - Le Renzo Piano Building Worshop a achevé à ce jour 110 projets et 26 sont en cours de réalisation. Des musées, des campus, des bibliothèques, un aéroport. Comment construit-on dans des contextes tous différents ? Comment ne pas se répéter d'un projet à l'autre ? - invités : Renzo Piano Architecte italien, constructeur notamment, avec Richard Rogers, du Centre Pompidou à Paris

Les Nuits de France Culture
Renzo Piano, bâtir léger 4/5 : La méthode Piano

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later Mar 10, 2024 30:14


durée : 00:30:14 - À voix nue - par : Camille Juza - Renzo Piano est tout sauf un architecte qui dessine et laisse les clefs à des exécutants. Il aime par-dessus tout expérimenter, inventer au sein de son « atelier de construction ». La méthode Piano, c'est probablement ça, des collaborateurs fidèles et une manière de faire de l'architecture ensemble. - invités : Renzo Piano Architecte italien, constructeur notamment, avec Richard Rogers, du Centre Pompidou à Paris

Les Nuits de France Culture
Renzo Piano, bâtir léger 5/5 : Et maintenant ?

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later Mar 10, 2024 31:25


durée : 00:31:25 - À voix nue - par : Camille Juza - Renzo Piano a commencé sa carrière avec Beaubourg, dans le monde du pétrole et de l'abondance. Architecte à l'envergure internationale, comment envisage-t-il son métier l'heure de la raréfaction des ressources ? - invités : Renzo Piano Architecte italien, constructeur notamment, avec Richard Rogers, du Centre Pompidou à Paris

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“Hervé Di Rosa” le passe-mondesau Centre Pompidou, Parisdu 28 février au 26 août 2024Interview de Hervé Di Rosa,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 26 février 2024, durée 39'49,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2024/02/27/3518_herve-di-rosa_centre-pompidou/Communiqué de presse Commissariat :Michel Gauthier, conservateur, Musée national d'art moderne, Centre PompidouHéritier d'une histoire allant de Dada au mouvement punk, en passant par Jean Dubuffet et CoBrA, Hervé Di Rosa n'a eu de cesse de remettre en question la légitimité des hiérarchies artistiques et de l'absolutisme du « Grand Art ». Grâce à l'important don fait par l'artiste en 2013 et à quelques prêts notamment d'oeuvres récentes, l'exposition « Hervé Di Rosa, le passe-mondes » offre, en une trentaine d'oeuvres, un aperçu éloquent du parcours de l'artiste.Né en 1959 à Sète, Hervé Di Rosa est une figure emblématique des années 1980 et joue avec des peintures comme Diropolis ou Magic Battle, présentées dans l'exposition, un rôle essentiel dans le mouvement de la Figuration libre. Au cours des décennies suivantes, il donne à l'iconographie riche et exubérante de sa première période une nouvelle vitalité avec le singulier projet nommé Autour du monde qui le conduit de Sofia à Lisbonne, en passant par Kumasi, Porto-Novo, Addis-Abeba, Bình Dương, Durban, La Havane, Mexico, Foumban, Miami, Tunis ou Séville. Plus d'une vingtaine d'oeuvres de cet ensemble sont réunies pour l'exposition. Au cours de ses voyages, il étudie la manière dont les images se fabriquent ailleurs, afin d'utiliser ces différentes techniques et savoir-faire dans ses propres créations : la technique de l'icône bulgare (Le Bonheur), la peinture d'enseignes au Ghana (Art modeste), les appliqués sur tissu du Bénin (La Sortie de l'usine), les laques et incrustations de nacre au Vietnam (Le Tigre de nacre), la fonderie camerounaise (Robot à pinces) ou encore la terre cuite des arbres de vie mexicains (Écoute ton corps il est vivant) et les sequins de la communauté haïtienne de Floride (Guns).Parallèlement à son activité d'artiste, Hervé Di Rosa est également un collectionneur passionné. Il a édifié au fil des années une collection de ce qu'il nomme « les arts modestes ». Une partie de cette collection multiforme se trouve désormais au Musée international des arts modestes, créé en 2000 à Sète par Hervé Di Rosa. Le rapport entre l'oeuvre et la collection, entre les images que l'artiste crée et celles que le collectionneur rassemble avec passion constitue l'un des aspects les plus fascinants de l'univers Di Rosa. Un grand planisphère (L'Archipel des arts modestes) et une vitrine contenant plusieurs centaines d'objets témoignent dans l'exposition de cette dimension de son travail. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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“Hors Pistes” 19e éditionLes règles du sportau Centre Pompidou, Parisdu 18 janvier au 18 février 2024Interview de Géraldine Gomez, chargée de programmation – Festival Hors Pistes,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 15 janvier 2024, durée 24'29,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2024/01/16/3504_hors-pistes_centre-pompidou/Communiqué de presseUne proposition de Mathieu Potte-Bonneville, directeur du département culture et création du Centre Pompidou et de Géraldine Gomez, chargée de programmation du service des cinémas, avec l'ensemble des services du département culture et création du Centre Pompidou.Hors Pistes est un festival consacré aux images en mouvement, qui s'articule autour d'une exposition, de projections, de performances et spectacles, de paroles. Il s'intéresse chaque année à un sujet d'actualité qui traverse particulièrement les images.Pour sa 19e édition, le festival explore le domaine du sport et de ses règles, s'inspirant de la Coupe du Monde de football féminin, de la Coupe du Monde de Rugby, et en prévision des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024. Il questionne ces règles en mettant en lumière leur influence sur la représentation visuelle du monde sportif.La manifestation se déploie autour d'une exposition composée d'oeuvres de Pauline Bastard, Capucine Boutte, Ulu Braun, Nicolas Clauss, Magali Desbazeille, Nicolas Gourault, David Guez, Mehryl Levisse, Lucy McRae, Emmanuel Saunier, Thomas Salvador, Eszter Salamon, Laurent Roth et Maria Vedder. Ces oeuvres interrogent et détournent les normes sportives et en imaginent de nouvelles interprétations.En parallèle, les Nuits de la lecture* sur le corps, avec Yannick Haenel et le collectif belge Littérature Supersport, un week-end de paroles porté par les Dégommmeuses, une équipe de football féminine inclusive et militante, un spectacle de l'artiste et activiste afro-féministe Rébecca Chaillon intitulé Où la chèvre est attachée il faut qu'elle broute, où elle met en scène l'histoire des Dégommeuses et un cycle de films du cinéaste-alpiniste Thomas Salvador sont au programme du festival. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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Marin Karmitz, de Bucarest à Padre Padrone

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Play Episode Listen Later Dec 3, 2023 48:29


On ne connaît que lui et on ne sait rien de lui. Si je vous dis MK2, vous avez tout de suite l'image d'un cinéma de quartier et peut-être l'affiche de Padre Padrone en tête. Mais si je vous dis Marin Karmitz, vous ne faites pas forcément le lien avec le réalisateur, devenu producteur et fondateur de ce fameux réseau des salles MK2. Un peu comme vous, je découvre En Sol Majeur que celui qui est tombé dans le chaudron du cinéma aux côtés d'Agnès Varda et Jean-Luc Godard reste d'abord un homme d'images. À l'heure où cet esthète entre en dialogue avec le Centre Pompidou à Paris, à travers Corps à corps, exposition nourrie de sa propre collection de photographies, à l'heure où les identités continuent d'être meurtrières, je vous offre une conversation avec cet ancien réfugié qui s'est choisi le meilleur passeport diplomatique qui soit… le 7ème art.Les choix musicaux de Marin KarmitzA.Flammer & Moshe Leiser Az der rebbeLeonard Cohen You Want It Darker

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Gilles Aillaud.Animal politiqueau Centre Pompidou, Parisdu 4 octobre 2023 au 26 février 2024Interview de Didier Ottinger, directeur adjoint du Musée national d'art moderne, et commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 2 octobre 2023, durée 14'45, © FranceFineArt.https://francefineart.com/https://francefineart.com/2023/10/10/3484_gilles-aillaud_centre-pompidou/communiqué de presseCommissariatDidier Ottinger, directeur adjoint du Musée national d'art moderneInterrogé sur son choix de ne peindre presque exclusivement que des animaux, Gilles Aillaud répondait : « parce que je les aime ». Contemporaines des premières œuvres Pop, de leur fascination, plus ou moins distante, pour les produits de la consommation, de la communication de masse, le sujet de Gilles Aillaud pouvait apparaitre comme exotique. Les interrogations que notre époque adresse à notre relation au vivant rendent son iconographie moins incongrue et montrent l'importance de cette rétrospective. Attendue, cette exposition permet de (re)découvrir l'oeuvre de Gilles Aillaud comme récemment ceux de Georgia O'Keeffe ou Germaine Richier.L'objectivité manifeste de son art fait de lui, le père putatif d'une nouvelle génération d'artistes que fascine un réalisme emprunté aux technologies modernes de l'image.C'est faute d'avoir pu être philosophe, que Gilles Aillaud est devenu peintre. De sa première formation, sa peinture a hérité une nature hybride, l'équivalent de ce que la tradition chinoise nommait : une Peinture-lettrée. Que ses représentations des parcs zoologiques soient contemporaines de Surveiller et punir ( de Michel Foucault) et de La société du spectacle ( de Guy Debord,) en lesquels se résumaient les questions que sa génération adressait aux formes du pouvoir et à l'artificialisation du monde ne saurait être insignifiant. Plutôt toutefois que de peindre une philosophie, Gilles Aillaud s'est appliqué à « peindre philosophiquement ». Laissant croire qu'il représentait des animaux, c'est notre relation à la nature qui s'impose comme son seul et véritable sujet. Loin des villes et de leur « jungle » de béton, il a retrouvé en Afrique une nature dont les animaux dupliquent couleurs et contours jusqu'à disparaître en elle. Avec les moyens de son art, Gilles Aillaud a voulu atteindre un tel « effacement ». Son « humilité » technique donnent forme au songe d'une réconciliation, loin de tout projet de « maitrise » et de « possession » du monde.#Publication - Gilles Aillaud. Animal politique sous la direction de Didier Ottinger et Marie Sarré aux éditions du Centre PompidouLe catalogue se compose d'un essai de Didier Ottinger « Animal politique, Gilles Aillaud, du Jardin d‘acclimatation aux savanes du Kenya » ainsi que de plusieurs textes de jeunes historiens d'art qui portent un nouveau regard sur l'artiste. Un corpus d'oeuvres conséquent complète l'ensemble, avec notamment « l'Encyclopédie de tous les animaux y compris les minéraux », faisant de cet ouvrage une monographie de référence. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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“Corps à corps” Histoire(s) de la photographie, au Centre Pompidou, Paris, du 6 septembre 2023 au 25 mars 2024Interview de Julie Jones, conservatrice, cabinet de la photographie, Musée national d'art moderne, et co-commissaire de l'expositionpar Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 4 septembre 2023, durée 14'51,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2023/09/07/3471_corps-a-corps_centre-pompidou/Communiqué de presse“Corps à corps”Histoire(s) de la photographie, Collections de photographies du Centre Pompidou – Musée national d'art moderne et de Marin Karmitzau Centre Pompidou, Parisdu 6 septembre 2023 au 25 mars 2024Commissariat :Julie Jones, conservatrice, Centre Pompidou – Musée national d'art moderneavec Marin KarmitzAvec la rencontre de deux collections photographiques exceptionnelles – celle, publique, du Centre Pompidou – Musée national d'art moderne et celle, privée, du collectionneur français Marin Karmitz – l'exposition « Corps à corps » offre un regard inédit sur les représentations photographiques de la figure humaine, aux 20e et 21e siècles.Rassemblant plus de 500 photographies et documents, réalisés par quelque 120 photographes historiques et contemporains, l'exposition dépasse les catégories d'étude classiques telles que le portrait, l'autoportrait, le nu ou encore la photographie dite humaniste. Elle dévoile des particularités, des manières de voir photographiques et rend visibles des correspondances entre artistes. On leur découvre des obsessions communes, dans leur façon d'appréhender le sujet, comme dans leur approche stylistique.Ces rapprochements peuvent éclairer une certaine pratique, à un moment précis de l'histoire, ou au contraire montrer la proximité de visions éloignées dans le temps. Les images exposées nourrissent aussi des questionnements sur la responsabilité du photographe : comment la photographie participe-t-elle à la naissance des identités et à leur visibilité ? Comment raconte-t-elle les individualités, le rapport à l'autre ?La collection du Centre Pompidou – Musée national d'art moderne et la collection Marin Karmitz, distinctes par leur origine, leur nature, et leur fin, apparaissent ici complémentaires. Regard public et regard privé dialoguent et construisent de nouveaux récits. Ensemble, ils proposent une réflexion sur l'idée même de collection. Comment une collection se construit-elle, et quelle est la part de la subjectivité dans sa constitution ? Comment la transmettre au public ?La collection de photographies du Centre Pompidou est devenue en près de cinquante ans l'une des plus importantes au monde. Riche de plus de 40 000 tirages et de 60 000 négatifs, elle est constituée de grands fonds historiques (Man Ray, Brassaï, Constantin Brancusi ou Dora Maar), et compte de nombreux ensembles de figures incontournables du 20e siècle, comme des corpus importants de la création contemporaine. Formé aux métiers du cinéma et de la photographie dans les années d'après-guerre et figure majeure du cinéma français, Marin Karmitz se fascine, depuis plusieurs décennies, pour la création, sous toutes ses formes. Sa collection photographique révèle un intérêt immuable pour la représentation du monde et de celles et ceux qui l'habitent. Qu'il s'agisse des grandes figures de l'avantgarde, telles Stanisław Ignacy Witkiewicz, dont Marin Karmitz a récemment fait don d'un ensemble d'oeuvres important au Centre Pompidou, jusqu'a des figures contemporaines, comme l'artiste SMITH.#Catalogue de l'exposition aux éditions du Centre Pompidou, sous la direction de Julie Jones. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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Erwan Bouroullec | Leçon de design et réflexions sur la créativité et l'innovation

Entreprendre dans la mode

Play Episode Listen Later Aug 11, 2023 205:04


➜ La Newsletter de TheBoldWay : https://www.theboldway.fr/newsletter Pour ce nouvel épisode, j'ai l'honneur de reçevoir Erwan Bouroullec, designer français d'origine bretonne, qui travaille en collaboration avec son frère aîné, Ronan Bouroullec. Ensemble, ils forment le duo "Les Frères Bouroullec" et sont largement reconnus dans le domaine du design contemporain pour leur travail innovant et diversifié. Erwan m'accueille chez lui, afin de me raconter son histoire. Les frères Bouroullec ont créé pour de nombreuses entreprises internationales, dont Vitra, Kvadrat, Magis, Alessi et Samsung. Leur travail couvre une large gamme, des meubles aux textiles, en passant par la céramique et l'architecture. Leur approche est caractérisée par leur simplicité, leur clarté et leur fonctionnalité, avec une attention particulière portée aux détails et aux finitions. Le travail des frères Bouroullec a été exposé dans de nombreux musées à travers le monde, dont le Museum of Modern Art à New York et le Centre Pompidou à Paris. Ils ont reçu de nombreux prix pour leur travail, dont le Grand Prix du Design de la Ville de Paris et le Design Award de la Finlande. En arrivant chez Erwan je voulais comprendre comment lui et son frère avaient si tôt rencontré le succès, comment on conçoit un bon objet et comment on innove dans un monde où tout a déjà été inventé. J'ai le sentiment d'avoir tiré quelques apprentissages clés de cette longue interview. Vous verrez, Erwan est un champion de la digression, mais pour le meilleur, notamment les anecdotes sur ses collaborations avec Virgil Abloh et Issey Miyake. Installez-vous confortablement vous allez prendre une leçon d'innovation. Ce que vous allez apprendre dans cet épisode : Le parcours d'Erwan, son enfance et ses études aux Beaux-Arts L'intérêt d'Erwan pour la musique et ses influences Sa transition de l'art au design Sa collaboration avec Ronan, son frère L'évolution de la carrière d'Erwan et de sa relation avec Ronan L'énergie et les défis de leur parcours créatif La création de best-sellers et leur impact sur l'entreprise Le rôle des royalties dans la génération de revenus L'importance des prototypes et des collaborations dans le processus de design L'importance de l'apprentissage et de l'exploitation des ressources en tant que designer La pertinence de créer de nouveaux objets dans un monde en évolution L'importance des choix de consommation et de l'impact de l'industrie ➜ Retrouvez toutes les références et les photos prises lors de l'enregistrement sur www.theboldway.fr Références : Ronan Bouroullec : Frère et collaborateur d'Erwan Marques Vitra : Fabricant suisse de mobilier design Kvadrat : Entreprise textile danoise Samsung : Entreprise spécialisée dans la fabrication de produits électroniques Alessi : Entreprise italienne de design de mobilier Magis : Entreprise qui réalise du mobilier design et des accessoires innovants pour la maison de façon innovante, créative et conceptuelle Musées MOMA : Musée d'art moderne de New-York Centre Pompidou : Centre d'art dédié à l'art moderne et contemporain à Paris Concours et prix Le Grand Prix du Design : Prix du design français Design Award : Prix du design finlandais Artistes Issey Miyake : Designer japonais Virgil Abloh : Créateur américain pluridisciplinaire TheBoldWay ou The Bold Way, anciennement connu sous le nom de Entreprendre dans la mode ou EDLM , est un podcast produit et réalisé par Adrien Garcia.

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“Over the Rainbow”au Centre Pompidou, Parisdu 28 juin au 13 novembre 2023Interview de Valentin Gleyze, doctorant en histoire de l'art contemporain / Chargé de recherche au Musée national d'art moderne, Centre Pompidou,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 27 juin 2023, durée 22'23,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2023/06/30/3465_over-the-rainbow_centre-pompidou/Communiqué de presseCommissariat :Nicolas Liucci Goutnikov, conservateur, chef de la Bibliothèque Kandinsky, Musée national d'art moderneAssisté de Valentin Gleyze. Doctorant en histoire de l'art contemporain / Chargé de recherche au Musée national d'art moderne, Centre PompidouRéunissant plus de cinq cents oeuvres et documents principalement issus de la collection du Centre Pompidou, l'exposition se propose de montrer comment, depuis le début du vingtième siècle, les artistes ont contribué à transformer la représentation des sexualités dites « minoritaires » et ont participé aux luttes menées par les communautés LGBTQIA+ pour la reconnaissance de leurs droits, accompagnant en cela un mouvement d'émancipation ayant vu la formation de subcultures transgressives en partie clandestines ouvrir la voie, à la fin des années 1960, à l'affirmation d'une action militante pleinement exercée dans l'espace public.Loin d'offrir un récit unidimensionnel, « Over the Rainbow » propose une constellation d'oeuvres diverses ayant pour point commun d'affirmer, chacune à sa façon, ce que dénigre la représentation homophobe. Ancrée dans une dimension éminemment sociale, les oeuvres présentées se déploient principalement dans les disciplines de la reproduction mécanique, seules susceptibles d'offrir une diffusion élargie, comme le cinéma ou l'imprimé. Les collections de la Bibliothèque Kandinsky sont ainsi largement sollicitées : grâce au soutien institutionnel de Gilead Sciences, celles-ci se sont récemment enrichies de plusieurs centaines d'items – livres illustrés, photographies, revues ou queer zines – formant une vaste archive de la culture visuelle LGBTQIA+ des 20e et 21e siècles.L'exposition présente une série d'ensembles bâtis à partir de la collection du Centre Pompidou : le salon lesbien de Natalie Clifford Barney, lieu de fermentation artistique d'une pensée alternative à la croisée des disciplines ; l'oeuvre homoérotique de Jean Cocteau, auteur après André Gide d'un des premiers ouvrages littéraires militants, Le Livre blanc (1928) ; la photographie de l'entre-deux-guerres, médium privilégié d'expression du désir homosexuel chez Florence Henri ou Raymond Voinquel ; le théâtre des inversions du Paris des années folles, où les genres se troublent ou s'échangent dans l'oeil d'un Brassaï ou d'une Gerda Wegener ; l'« homosexualité noire » du Jean Genet de Querelle de Brest (1947) et d'Un chant d'amour (1950) ; l'émergence de la culture du cuir à la fin des années 1960, chez Kenneth Anger ou Nancy Grossman ; les productions graphiques et vidéos du militantisme, dans les années 1970, autour du Front Homosexuel d'Action Révolutionnaire (FHAR) ; la réponse de collectifs d'artistes antisida comme Boy / Girl with Arms Akimbo à l'inaction voire au déni des pouvoirs publics ; l'affirmation de la théorie queer dans les années 1990 et le développement de formes d'art contemporaines mêlant aux questions de sexualité, celles du genre, de l'origine ethnique et / ou de la classe sociale.Cet autre regard sur la collection du Centre Pompidou met en lumière l'apport artistique dans les luttes menées par les communautés LGBTQIA+ depuis le début du 20e siècle. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Interviews by Brainard Carey
George Widener

Interviews by Brainard Carey

Play Episode Listen Later May 17, 2023 19:55


George Widener's artwork is as intellectually challenging as it is aesthetically compelling. A high-functioning savant who has channeled his extraordinary gifts of numerical computation into artmaking, Widener struggled for years before his talent was recognized. Born in Kentucky in 1962, Widener's was not diagnosed with Asperger Syndrome until he was an adult, making an already difficult childhood even more so. Following a stint of service in the US Air Force, Widener was diagnosed with depression, and committed to several psychiatric hospitals. He eventually attended the University of Tennessee. He currently lives and works in Waynesville, NC, near Asheville. Widener's brain has been proven to function as a super-calculator, a gift that allows him to process mathematical information in a radically different way than most people do. By directing his impulse to calculate complex sequences of numbers through stunning, often large-scale drawings, Widener makes visible not only his savant skillset, but also his unique creative talent for reimagining it aesthetically. Far from mere illustrations of mathematical process, his drawings stage through form and content simultaneously, often playing out elaborate numerical puzzles and games, complex puns, palindromes, and informed prophecies. The artist's love for punning is evidenced by drawings of magic squares: squares that contain 9 rows of numbers, in each row of numbers adds up to the same value. The artist's work can be found in many notable public and private collections, including, among others, the American Folk Art Museum (New York), the Smithsonian American Art Museum (Washington, D.C.), the Collection de l'Art Brut (Lausanne, Switzerland), the Centre Pompidou (Paris), the abcd/art brut Collection Bruno Decharme (Paris), the Museum of Everything (London), museum gugging (Klosterneuburg, Austria), the Philadelphia Museum of Art, Intuit: The Center for Intuitive and Outsider Art (Chicago), the High Museum of Art (Atlanta), and the Asheville Art Museum (Asheville, NC). George Widener, Titanic, 100 years, 1912 - 2012, 2012 Paint and ink on joined paper 60 x 60 inches  George Widener, Blue Monday, c. 2002 Mixed media on paper 15.6 x 29.4 inches  George Widener, Self Portrait, 2020 Mixed media on paper 60 x 59.5 inches  George Widener, Magic Square (Revolutions), 2022 Graphite and acrylic paint on paper 33 x 40 inches

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“Norman Foster”au Centre Pompidou, Parisdu 10 mai au 7 août 2023Interview de Frédéric Migayrou, directeur adjoint du Musée national d'art moderne, en charge de la création industrielle, et commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 9 mai 2023, durée 16'08,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2023/05/10/3438_norman-foster_centre-pompidou/Communiqué de presseCommissariat :Frédéric Migayrou, directeur adjoint du Musée national d'art moderne, en charge de la création industrielle.La rétrospective que le Centre Pompidou consacre à Norman Foster en Galerie 1, sur près de deux mille deux cents mètres carrés, retrace les différentes périodes du travail de l'architecte et met en lumière ses réalisations déterminantes, tels que le siège de la HSBC (Hong Kong, 1979-1986), le Carré d'Art (Nîmes, 1984-1993), l'Aéroport international de Hong Kong (1992-1998) ou l'Apple Park, (Cupertino, États-Unis, 2009-2017). La scénographie de l'exposition est conçue par Norman Foster et réalisée en collaboration avec Foster + Partners et la Norman Foster Foundation.Le parcours se déploie en sept thématiques : « Nature et urbanité », « Enveloppes et structures », « La ville verticale », « Histoire et tradition », « Sites et planifications », « Réseaux et mobilités » et « Perspectives futures ». Dessins, esquisses, maquettes originales et dioramas, ainsi que de nombreuses vidéos, permettent de découvrir 130 projets majeurs. Accueillant les publics à l'entrée du parcours d'exposition, un grand cabinet de dessins dévoile des carnets, esquisses et photographies prises par l'architecte, jamais montrées en France. Parce qu'elles constituent les sources d'inspiration de Norman Foster et résonnent avec l'architecture, sont également présentées dans l'exposition, des oeuvres de Fernand Léger, Constantin Brancusi, Umberto Boccioni et Ai Wei Wei ainsi que, des réalisations industrielles, un planeur et des automobiles.Se confronter à l'oeuvre de l'architecte Norman Foster, c'est immédiatement évoquer les projets qui semblent les plus marquants, ceux qui se confondent à l'image d'une ville, d'un territoire ou qui, plus simplement, ont changé la forme d'un site ou la configuration d'un lieu, d'une place. Grands aéroports, réseaux de transports, bâtiments de grande hauteur, sièges de grandes entreprises, bâtiments publics, grands ouvrages d'art, programmes d'aménagement urbains, musées… Norman Foster, avec plusieurs centaines de projets étudiés ou réalisés à une échelle mondiale, aura investi toute la complexité des organisations des grandes sociétés industrielles.Le Centre Pompidou consacre à l'architecte britannique une importante exposition rétrospective dans le bâtiment même qui fut un des premiers manifestes du courant architectural « High Tech »,dont Foster est considéré comme un leader. En 1963 à Londres, Foster fonde l'agence Team 4 avec Wendy Cheesman et Richard Rogers qui sera en 1977 avec Renzo Piano l'architecte du Centre Pompidou. En 1967, Foster fonde son agence Foster Associates, qui devient Foster and Partners en 1992.Norman Foster a imposé l'image d'une agence ayant su préserver son identité, celle d'une agence mondiale toujours ouverte à la recherche et à l'innovation, et qui intègre aux projets toutes les dimensions, techniques, économiques, sociales et environnementales. La compréhension élargie de la notion d'environnement à l'échelle de la nature et de l'ensemble de la biosphère est une préoccupation centrale de son oeuvre. [...] Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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“Moviment”1 lieu, 10 chapitres, 100 propositions,Entrez dans le mouvement de l'art !au Centre Pompidou, Parisdu 3 mai au 14 juillet 2023Interview de Mathieu Potte-Bonneville, directeur, département culture et création,et de François Nawrocki, conservateur en chef, Bibliothèque Kandinsky, commissaires de Moviment,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 2 mai 2023, durée 16'41,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2023/05/04/3436_moviment_centre-pompidou/Communiqué de presse Commissariat général :Mathieu Potte-Bonneville, directeur, département culture et création,François Nawrocki, conservateur en chef, Bibliothèque Kandinsky,Assistés de Jana Curcenco, Centre Pompidou#Moviment est un événement du Centre Pompidou programmé avec la Bibliothèque publique d'information et l'Ircam« Moviment » invite le public à vivre un concentré de l'utopie du Centre Pompidou : les arts visuels se mêlent au cinéma, à la performance, à la musique, à la parole… Dans un même espace en constante métamorphose, voisinent et se succèdent oeuvres de la collection, rencontres, projections, ateliers, spectacles et performances. Rassembler toutes les manières de rencontrer la création, de la comprendre, d'y prendre part, telle est depuis 1977 l'ambition du Centre Pompidou, rêve d'un monument en mouvement : d'un « moviment ».Au rythme de 10 semaines conçues comme autant de chapitres, « Moviment » bouscule les représentations traditionnelles de l'art. Au coeur de la Galerie 3, les oeuvres font de saisissantes apparitions, dans un accrochage éphémère ponctué d'acquisitions récentes, et d'oeuvres rarement montrées au public exposées sous un jour nouveau. À l'inverse, performances et rencontres convoquent le temps long de la mémoire et de l'histoire, et dessinent l'horizon d'un futur désirable.L'accès à « Moviment » est libre et gratuit, à l'exception des spectacles Out of This World de Qudus Onikeku, Holding Present de l'ensemble Ictus et d'Ula Sickle, et Gay Guerrilla de Gerard & Kelly pour lesquels les tarifs du billet « Spectacle et concert » s'appliquent (18€/TR 14€/-26 ans 10€).« Au coeur de Paris, un coeur : un muscle, une pompe aspirante et refoulante, aux battements ininterrompus, animant sans repos, régulièrement, moins régulièrement parfois, aux moments d'émotion et de fièvre, un corps en forme d'hexagone […] : voilà ce que devrait être, serait, sera, est déjà le bâtiment Beaubourg. Moins donc un monument, que, s'il faut inventer ce mot : un moviment. » Francis Ponge, L'Écrit Beaubourg, Paris, Éditions du Centre Pompidou, 1977. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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“sophie taeuber-arp” plastique.multiple.uniqueà la Fondation Arp – atelier de jean arp et de sophie taeuber, Clamartdu 15 avril au 10 décembre 2023Interview de Mirela Ionesco, secrétaire générale de la Fondation Arp, et co-commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Clamart, le 25 avril 2023, durée 20'23,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2023/04/26/3431_sophie-taeuber_fondation-arp/Communiqué de presseCommissaires :Mirela Ionesco, Chiara Jaeger et Sébastien TardyA l'occasion des quatre-vingt ans de la mort de Sophie Taeuber-Arp (1889-1943), la Fondation Arp à Clamart rend hommage à cette pionnière suisse de l'Avant-garde, à travers une exposition mettant en lumière l'étendue de son travail dans de multiples champs de la création au sein même de la maison-atelier qu'elle dessina, qui fut pour elle et pour Jean Arp leur foyer de création, cadre d'une foisonnante production.Le parcours de cette exposition, intitulée plastique.multiple.unique, jalonné de près d'une centaine d'oeuvres et de documents issus de la collection de la Fondation, enrichi de prêts exceptionnels de collections publiques et privées, témoigne de la diversité des formes artistiques développées par l'artiste, pionnière du dadaïsme et de l'art concret : peinture, architecture, arts graphiques, sculpture, arts textiles et appliqués, travail éditorial ainsi que travail en commun avec Jean Arp… Des oeuvres essentielles ont bénéficié de restaurations pour l'occasion, des archives inédites sont présentées pour la première fois, afin d'offrir aux visiteurs une vision complète et originale de Sophie Taeuber-Arp, à la fois dans son talent artistique ainsi que dans l'intimité de la femme qu'elle était.Artiste aux innombrables facettes, Sophie Taeuber-Arp a su démontrer ses talents dans les arts plastiques, les arts appliqués, la danse, et tant d'autres domaines… ce qui lui vaut aujourd'hui un intérêt des plus vifs de la part du grand public, comme des plus prestigieux musées du monde. En 2021 et 2022, elle bénéficia notamment d'une grande rétrospective, ou de salles dédiées au sein d'expositions collectives : au Kunstmuseum de Bâle, à la Tate Modern de Londres, au Museum of Modern Art de New York, au Centre Pompidou à Paris et au Guggenheim Museum de Bilbao.La Fondation Arp est une fondation d'artiste, dont Jean Arp (1886-1966) avait souhaité la création et esquissé les contours plusieurs années avant sa mort. Née en 1978 à l'initiative de sa seconde épouse, Marguerite Arp-Hagenbach, la Fondation est dédiée à la diffusion et à la protection de la collection exceptionnelle dont elle est dotée, ainsi qu'à la promotion de l'héritage culturel de Jean Arp et de Sophie Taeuber-Arp, en France et à l'étranger. La Fondation Arp est reconnue d'utilité publique, labellisée « musée de France ».14 octobre 2023 Journée consacrée à Sophie Taeuber-ArpInitiée par l'association des amis de sophie taeuber et de jean arp et conçue par Caroline Thion-Poncet. Chorégraphies, films, lectures et historiens d'art témoigneront de l'influence exceptionnelle qu'a eu Sophie Taeuber-Arp sur l'art du XXe siècle. espace St.Jo' 54 rue du moulin de pierre 92140 Clamart. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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“Lynne Cohen / Marina Gadonneix”Laboratoires / Observatoiresau Centre Pompidou, Parisdu 12 avril au 28 août 2023Interview de Florian Ebner, conservateur et chef de service, cabinet de la photographie, Musée national d'art moderne,de Matthias Pfaller, historien de la photographie, commissaires de l'exposition,de Andrew Lugg, veuf de l'artiste Lynne Cohen,et de Marina Gadonneix,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 11 avril 2023, durée 26'19.© FranceFineArt.https://francefineart.com/2023/04/13/3423_cohen-gadonneix_centre-pompidou/Communiqué de presse Commissariat :Florian Ebner, conservateur et chef de service, cabinet de la photographie, Musée national d'art moderne Matthias Pfaller, commissaire invité, Fondation Alfried Krupp von Bohlen und HalbachRacontée à travers la parenté artistique entre les deux photographes, l'exposition « Lynne Cohen / Marina Gadonneix. Laboratoires / Observatoires » se présente sous la forme d'un dialogue entre deux monographies. L'oeuvre de Lynne Cohen (1944 – 2014) et l'approche contemporaine de Marina Gadonneix (née en 1977) partagent un intérêt pour les espaces intérieurs de nos sociétés modernes, des lieux d'études scientifiques aux lieux de divertissement et de consommation. Bien que les espaces documentés par les deux artistes soient marqués par l'absence de figure humaine, leurs traces restent visibles, invitant ainsi à mieux comprendre et protéger l'environnement social et naturel.Les oeuvres de Lynne Cohen et Marina Gadonneix révèlent aussi, sur une période de plus de cinquante ans, une réflexion continue sur la chambre photographique et ses formes de représentation. À travers des lieux qui sont eux-mêmes des chambres d'enregistrement comme dans les Observation Rooms de Lynne Cohen, ainsi que les séries Landscapes, Après l'image, et Phénomènes de Marina Gadonneix, on observe le passage d'un monde analogue vers un monde virtuel.La première partie du parcours, consacrée à l'oeuvre de Lynne Cohen, met l'accent sur les oeuvres de ses deux premières décennies de création. Elle permet de comprendre pourquoi une artiste pratiquant la sculpture et la gravure est tentée, au début des années 1970, par la photographie. L'accrochage dévoile la fraîcheur conceptuelle de ses oeuvres où l'intérêt documentaire pour l'empreinte sociale des intérieurs côtoie l'esprit de l'art conceptuel et de l'art minimal. Le choix précis de différents thèmes éclaircit particulièrement l'intérêt de Lynne Cohen pour l'exploration systématique de lieux liés à l'idée d'entraînement et de simulation. À travers les différentes catégories de Classrooms et Showrooms, elle crée l'image d'une société moderne qui devrait passer par ces lieux pour pouvoir se confronter aux défis de la réalité. Avec ces environnements photographiés qui rappellent des installations ready-made, Lynne Cohen a influencé toute une génération de jeunes artistes aux Etat-Unis, au Canada, et en Europe.La seconde partie de l'exposition présente l'oeuvre de Marina Gadonneix sous la forme d'une première rétrospective de cette artiste diplômée de l'École nationale supérieure de la photographie d'Arles. Fondée sur de longues recherches, sa pratique photographique est caractérisée par une grande élégance formelle qui tend vers l'abstraction tout en gardant son intérêt social et documentaire. [...] Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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“Moï Ver”au Centre Pompidou, Parisdu 12 avril au 28 août 2023Interview de Julie Jones, conservatrice, cabinet de la photographie, Musée national d'art moderneet de Karolina Ziebinska-Lewandowska, directrice du Musée de Varsovie, commissaires de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 11 avril 2023, durée 20'29.© FranceFineArt.https://francefineart.com/2023/04/12/3422_moi-ver_centre-pompidou/Communiqué de presseCommissariat :Julie Jones, conservatrice, cabinet de la photographie, Musée national d'art moderne Karolina Ziebinska-Lewandowska, directrice du Musée de VarsoviePour la première fois, l'oeuvre de Moshe Vorobeichic, dit Moï Ver (1904, Vilnius, Empire russe, actuelle Lituanie – 1995, Safed, Israël), photographe, graphiste et peintre, est présentée dans toute sa richesse et sa complexité. Cette rétrospective réunit plus de trois cents oeuvres et documents (photographies, peintures, dessins, imprimés), dont un grand nombre d'inédits, provenant des archives Moï Ver à Tel Aviv et de collections privées européennes.Après une formation artistique au début des années 1920 à Vilnius, Moshe Vorobeichic étudie au Bauhaus de Dessau, auprès de László Moholy-Nagy, Josef Albers, Paul Klee et Vassily Kandinsky. Sa découverte de nouvelles formes artistiques, aussi bien en photographie qu'en peinture, se poursuit à Paris entre 1929 et 1933, auprès de Fernand Léger à l'Académie moderne, et à l'École de photographie et de cinéma. En 1931, Moï Ver publie son premier livre d'artiste, Paris, aux éditions Jeanne Walter. Cet ouvrage illustré de photographies, magnifique synthèse des innovations formelles des avant-gardes de l'époque, fait alors sa renommée. La même année, il travaille à la réalisation d'un second ouvrage photographique, publié à titre posthume, Ci-contre. Aujourd'hui conservée dans la collection du Musée national d'art moderne, et présentée en intégralité dans l'exposition, la maquette originale de l'ouvrage, contenant plus d'une centaine de photographies, est, aux côtés de Paris, une oeuvre majeure du modernisme photographique des années 1930. Brillantes grammaires de formes, de textures et de structures, ces deux ensembles témoignent d'un regard expérimental sur la société contemporaine et d'une maîtrise saisissante du montage photographique.Depuis la fin des années 1920 et jusqu'au début de la Seconde Guerre mondiale, Moshe Vorobeichic réalise également une documentation photographique des communautés juives à Vilnius d'abord, puis dans de nombreuses villes et villages polonais. En 1931, il reproduit quelques-unes de ses images, organisées en d'étonnants collages, dans son ouvrage The Ghetto Lane in Vilna (publié aux éditions Orell Füssli). Installé définitivement en Palestine mandataire en 1934, Moshe Vorobeichic met désormais son art au service de la propagande sioniste. Il photographie les « nouveaux migrants », la construction des infrastructures et la vie quotidienne des kibboutzim. Majoritairement inédites, ces images sont alors publiées dans des ouvrages, des brochures d'information, et lui servent également de matière première pour la réalisation d'affiches politiques. Au début des années 1950, à l'âge de cinquante ans, Vorobeichic abandonne la photographie et le graphisme. Il adopte le nom de Moshe Raviv et se retire dans le village de Safed pour se consacrer à la peinture.Moshe Vorobeichic (dit Moï Ver) a, plusieurs fois, changé de nom et de pseudonyme : « Moï Ver » est retenu ici comme nom principal, avec celui de Moshe Vorobeichic qu'il utilise jusqu'à la fin des années 1940 et qui apparaît sur la majorité des tirages et des publications d'époque. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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“NFT : Poétiques de l'immatériel du certificat à la blockchain”au Centre Pompidou, Parisdu 6 avril 2023 au 22 janvier 2024Interview de Marcella Lista, Conservatrice, cheffe du service des nouveaux médias, Musée national d'art moderne, et co-commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 5 avril 2023, durée 13'31.© FranceFineArt.https://francefineart.com/2023/04/06/3419_nft_centre-pompidou/Communiqué de presse Commissariat :Marcella Lista, conservatrice en cheffe, service des collections Nouveaux médiasPhilippe Bettinelli, conservateur, service des collections Nouveaux médiasassistés d'Anaïs Brives, attachée de collection, service des collections Nouveaux médiasDu 6 avril au 22 janvier 2024, le Centre Pompidou présente dans les salles du Musée national d'art moderne « NFT : Poétiques de l'immatériel du certificat à la blockchain » dans le cadre de l'acquisition par le Centre Pompidou d'un ensemble d'oeuvres NFT.Cette présentation réunit l'ensemble des dix-huit oeuvres relatives à la blockchain, dont seize NFT, qui ont été récemment acquises par le Musée national d'art moderne. Elle reflète la diversité des cultures artistiques qui est le propre du paysage du Web3, croisant les champs de l'art numérique, du crypto art et d'un art contemporain qui aborde les particularités de l'économie décentralisée.Associant un certificat d'authenticité et un registre comptable dans une « chaîne de blocs » numérique sécurisée, le NFT (ou jeton non fongible) semble répondre aux interrogations posées dès le 20e siècle par l'authentification et la circulation d'oeuvres immatérielles. Ce support de diffusion et de transaction est devenu en quelques années l'objet de réflexions artistiques précises, où s'exposent nouvellement les imbrications de l'art et de l'économie. [...] Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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“Germaine Richier” au Centre Pompidou, Parisdu 1er mars au 12 juin 2023Interview de Ariane Coulondre, conservatrice, service des collections modernes, Musée national d'art moderne, et commissaire de l'exposition,,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 27 février 2023, durée 30'16.© FranceFineArt.https://francefineart.com/2023/03/01/3396_germaine-richier_centre-pompidou/Communiqué de presseCommissariat :Ariane Coulondre, conservatrice, service des collections modernes, Musée national d'art moderne assistée de Nathalie Ernoult, attachée de conservationLa rétrospective Germaine Richier, présentée au Centre Pompidou du 1er mars au 12 juin 2023 et organisée conjointement avec le musée Fabre, offre un nouveau regard sur celle qui fut la première artiste femme exposée de son vivant au Musée national d'art moderne en 1956. De ses fascinants portraits des années 1930 à ses expérimentations colorées des dernières années, cette exposition restitue à la fois la fulgurance du parcours de la sculptrice, l'originalité de sa création et sa place majeure dans l'art du 20e siècle. Elle souligne comment, tout en prolongeant la tradition de la statuaire en bronze, Germaine Richier invente après-guerre de nouvelles images de l'homme et de la femme, jouant des hybridations avec les formes de la nature.Riche de près de deux cents oeuvres – sculptures, gravures, dessins et peintures – l'exposition offre une relecture de sa création et souligne ses résonances contemporaines, à l'heure d'une prise de conscience globale du vivant. Elle réunit un ensemble d'oeuvres sans précédent, à l'aide du soutien généreux des ayants-droit de l'artiste et de grandes collections publiques et privées, françaises et internationales. Nourrie de recherches inédites menées en France et à l'étranger dans de nombreux fonds d'archives, elle démontre combien Germaine Richier occupe une position centrale dans l'histoire de la sculpture moderne, comme un chaînon entre Rodin et le premier César.Avec le soutien exceptionnel du diocèse d'Annecy et de la direction régionale des affaires culturelles Rhône-Alpes, le Christ d'Assy, oeuvre majeure de l'art sacré, est exposé pour la première fois à Paris. Commandé par le père Couturier pour l'église du plateau d'Assy, cette oeuvre constitue à la fois l'un des sommets de son art et un moment capital, par le scandale et la violente polémique qu'il suscita en 1951 autour de la représentation du Christ.#ExpoGermaineRichierL'exposition « Germaine Richier » sera présentée au Musée Fabre de Montpellier du 12 juillet au 5 novembre 2023, dans les lieux mêmes où Germaine Richier a fait ses premiers pas d'artiste. Commissariat général : Michel Hilaire, conservateur général du patrimoine, directeur du musée Fabre / Commissariat scientifique : Maud Marron-Wojewodzki, conservatrice du patrimoine, responsable des collections modernes et contemporaines du musée FabreL'exposition et son catalogue sont dédiés à la mémoire de Françoise Guiter, nièce et élève de Germaine Richier, qui a œuvré tout au long de sa vie à promouvoir et à documenter le travail de sa tante, où l'on peut notamment citer l'exposition présentée en 2006 à la Fondation Peggy Guggenheim de Venise. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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“S.H. Raza” (1922-2016)au Centre Pompidou, Parisdu 15 février au 15 mai 2023Interview de Diane Toubert, archiviste à la Bibliothèque Kandinsky – Centre Pompidou, et co-commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 14 février 2023, durée 18'17.© FranceFineArt.https://francefineart.com/2023/02/15/3388_raza_centre-pompidou/Communiqué de presse Commissariat : Catherine David, conservatrice générale des musées de FranceDiane Toubert, archiviste à la Bibliothèque Kandinsky, Centre PompidouLe Centre Pompidou présente la première monographie de l'oeuvre de l'artiste indien Sayed Haider Raza en France, où il a vécu et travaillé de 1950 à 2011. Cette présentation compte près de cent peintures et les développements formels et conceptuels d'une oeuvre moderne exemplaire des dynamiques transculturelles et de leurs enjeux dans l'art du 20e siècle.Les années de formation de Sayed Hader Raza en Inde illustrent le climat d'effervescence artistique et politique des années 1940 à Bombay (Mumbai), dans un contexte économique marqué par la porosité entre activité commerciale et recherche plastique, l'enseignement que Raza reçoit à la Sir J.J. School of Arts, distinct des canons esthétiques nationalistes de l'École du Bengale, porte une attention renouvelée aux formes de l'art classique indien. Les expérimentations formelles du Progressive Artist's Group (PAG) dont Raza est membre fondateur en 1947 dessinent les contours d'une génération d'artistes cosmopolite, déterminée à inventer et à faire connaître de nouvelles formes d'expression.Installé à Paris à partir de 1950, Raza consacre ses recherches formelles à la géométrisation du paysage dans une manière expressive convoquant tant Bernard Buffet, Van Gogh et Gauguin que Francis Newton Souza, compagnon du PAG qu'il retrouve à Paris. Il rencontre la galeriste Lara Vincy, qui le représente dès 1955 et oeuvre avec détermination à sa reconnaissance. Le passage à la peinture à l'huile, travaillée au couteau, favorise un rapprochement avec les peintres de l'École de Paris lui assurant de premiers succès auprès du milieu artistique parisien qui lui décerne le prix de la critique en 1956, suivi de nombreuses expositions internationales. Les principes de composition bidimensionnelle et fragmentée des miniatures rajputes (Rajasthan,17e-19e siècles) permettent à Raza de franchir le pas qui le séparait de l'abstraction. Lors d'un séjour aux États-Unis en 1962, il rencontre ensuite l'expressionnisme abstrait américain (Hans Hofmann, Sam Francis et Mark Rothko notamment). Raza intègre à ses compositions des éléments thématiques issus du rapport singulier qu'il entretient à la terre, objet d'une série de toiles majeures à partir de 1975, et nourrit sa pratique de références à la poésie, la musique classique (râgas) et la spiritualité indiennes (bindus, nagas, kundalini).Les étapes qui marquent le développement de l'oeuvre de Raza, présentées de manière chronologique dans l'exposition, offrent des points de repère pour appréhender la complexité du projet moderne indien des années 1950 à 1990 et les enjeux qui définissent l'espace globalisé de la création contemporaine.PublicationL'Esprit de la nature : Sayed Haider Raza aux Éditions L'Asiathèque, un ouvrage édité par Annie Montaut et Ashok Vajpeyi Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

The PolicyViz Podcast
Episode #232: Stefanie Posavec and Sonja Kuijpers

The PolicyViz Podcast

Play Episode Listen Later Feb 14, 2023 33:49


Stefanie Posavec is a designer, artist, and author whose practice focuses on finding new, experimental approaches to communicating data and information. This work has been exhibited internationally at major galleries including the V&A, the Design Museum, Somerset House, and the Wellcome Collection (London), the Centre Pompidou (Paris), and MoMA (New York). Her work is also in the permanent collection of MoMA. Besides her new book with Miriam, she has also co-authored two books that emphasise a more personal approach to data: Dear Data and the journal Observe, Collect, Draw! Sonja Kuijpers runs STUDIO TERP, her one-woman data illustration studio based in Eindhoven, Netherlands. She designs (data-)visualisations for a diversity of clients such as Scientific American, Philips, as well as small institutions, companies, and publishers. Recently the Climate Book by Greta Thunberg was published, for which Sonja (re-)designed the graphs. Experimenting with shapes and styles, she also designs her own independent dataviz and data art projects. She received an Information is Beautiful Gold Award in 2019 for her personal project ‘A View on despair'. Creating data visualisation, to Sonja, is trying to locate herself in the data, making sense of numbers with a human approach, showing insights as well as the aesthetics of information and data. Episode Notes Stefanie | Web | TwitterSonja | Web | Twitter | IIB Award, A View on DespairWarming StripesI am a book. I am a portal to the universe. by Stefanie Posavec and Miriam QuickThe Climate Book, by Greta Thurnberg | Amazon US | Amazon UK Related Episodes Episode #187: Stefanie Posavec & Miriam QuickEpisode #2: Dear Data iTunes Spotify

Dans les oreilles de...
Dans les Oreilles de … Christian Marclay

Dans les oreilles de...

Play Episode Listen Later Feb 10, 2023 52:31


“Je suis un artiste. Je préfère ce terme à celui de compositeur, musicien ou platiniste. Je fais plein de choses, de la vidéo, de la sculpture, de la photographie et ça m'arrive de faire de la musique aussi. Je dirais que mon travail se situe entre la musique et les arts visuels.”Artiste, Christian Marclay compose avec les images, dévoile leur potentiel sonore. Inventeur de nouveaux instruments, comme la “Phonoguitar”, une platine vinyle portée telle une guitare, le créateur américano-suisse fera pendant longtemps du vinyle l'une des matières premières de ses œuvres en en cousant les pochettes dans ses “Body mix” ou en recréant des pièces inédites avec ses “Recycled Records”.Il échantillonne, coupe, monte, des sons ou des mots, mais aussi des vidéos dans lesquelles les portes s'ouvrent, se ferment, ou interrogent notre rapport au temps. Avec “The Clock”, il obtient le Lion d'or du meilleur artiste lors de la 54e Biennale de Venise. Une variété que l'on peut découvrir jusqu'au 27 février au Centre Pompidou à Paris, et une occasion pour nous de rencontrer cet artiste dont l'œuvre s'écoute autant qu'elle se regarde. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

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“Hors Pistes – 18e édition”Voir la guerre et faire la paixau Centre Pompidou, Parisdu 19 janvier au 19 février 2023Interview de Géraldine Gomez, chargée de programmation – Festival Hors Pistes,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 12 janvier 2023, durée 33'49.© FranceFineArt.https://francefineart.com/2023/01/14/3367_hors-pistes_centre-pompidou/Communiqué de presse Programmation:Une proposition du service des cinémas, de Géraldine Gomez, chargée de programmation – Festival Hors Pistes, et de Mathieu Potte-Bonneville, directeur, avec l'ensemble des services du département culture et créationAvant-propos – Voir la guerre et faire la paixJeudi 24 février 2022, le monde se réveille sous le choc de la guerre en Ukraine.Alors que Vladimir Poutine affirmait une semaine plus tôt avoir commencé à retirer ses troupes positionnées à la frontière, des milliers de photographies et vidéos déposées sur les réseaux sociaux par des Ukrainiens et des Russes témoignent du contraire. Cette manière d'informer, l'OSINT ou « Open Source INTelligence », qui désigne l'exploitation de sources d'information accessibles à tous, ouvre à un autre type de guerre que l'on connait déjà mais que les réseaux sociaux démultiplient : la guerre de l'information dans laquelle l'image tient le rôle privilégié de pièce à conviction.Car si la guerre a toujours été représentée, aujourd'hui c'est l'image amateur, celle prise par les civils, les combattants, les soldats, qui occupe le terrain.Les images ne s'arrêtent pas là, elles dessinent les guerres à venir. Experts et artistes travaillent sur des scénarios effrayants : cyberguerre, attentat biologique, guerres climatiques, spatiales, vélocité…Des imaginaires mis au service de la guerre et pourquoi pas de la paix. Les mêmes forces sont-elles mises en place pour participer aux paix à venir ?Cette réinvention permanente de la guerre au fil des techniques et de la géopolitique contraste et interroge notre conception de la paix, notion restée immuable et figée dans un idéal utopique, mais qui trouve peut-être aujourd'hui les voies d'une réinvention au travers, par exemple, des réflexions citoyennes sur les possibilités d'harmonie et de respect inter-espèces, où l'homme n'est plus au centre. Reconnait-on les images de paix ? Existent-elles ? Dans ce monde envahi d'images, est-ce justement parce que la paix n'est pas représentée par des images universelles qu'elle ne peut être envisagée ?Mathieu Potte-Bonneville, directeur du département culture et création du Centre Pompidou et Géraldine Gomez, chargée de programmationProgrammation #horspisteshttps://www.centrepompidou.fr/fr/programme/agenda/evenement/fNKrv7H Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Sugar Nutmeg
Veronika Kusumaryati and Ernst Karel on Expedition Content

Sugar Nutmeg

Play Episode Listen Later Dec 19, 2022 91:44


Ernst and Veronika talk to us about their process of composing Expedition Content, the augmented sound piece composed from 37 hours of recordings which document the encounter between members of the Harvard Peabody Expedition, particularly Michael Rockefeller of the Rockefeller family, and the Hubula people of West Papua, at the time Nederlands New Guinea. The piece reflects on visual anthropology, the lives of the Hubula and of Michael, and the ongoing history of colonialism and occupation in West Papua. “Expedition Content” premiered at the 70th Berlin International Film Festival and has been screened at Cinéma du Réel at the Centre Pompidou Paris, the Art of the Real, Lincoln Center New York, and Camden international Film Festival. Veronika Kusumaryati is a social anthropologist and artist working on the issues of Indigenous politics, conflict and violence, race/racism, and digital media. The geographic focus of her research is Indonesia, primarily West Papua, a self-identifying term referring to Indonesia's easternmost provinces of Papua and West Papua, where she has conducted extensive fieldwork since 2012. She holds a Ph.D. in anthropology with a secondary field in film and visual studies from Harvard University and was a postdoctoral fellow at the Asian Studies Program at the Edmund A. Walsh School of Foreign Service, the Prince Alwaleed Bin Talal Center for Muslim-Christian Understanding, and the Berkley Center for Religion, Peace, and World Affairs at Georgetown University during the 2020-2021 academic year. Her writings have been published in journals, such as Comparative Studies in Society and History and Critical Asian Studies. She is an incoming assistant professor in anthropology and international studies at the University of Wisconsin-Madison starting in the spring of 2023. www.veronikakusumaryati.wordpress.com Ernst Karel works with sound, including electroacoustic music, experimental nonfiction sound works for multichannel installation and performance, image-sound collaboration, and postproduction sound for nonfiction vilm, with an emphasis on observational cinema. Lately he works around the practice of actuality/location recording (or 'fields [plural] recording') and composing with those recordings, with recent projects also taking up archival location recordings. Sound projections have been presented at Sonic Acts, Amsterdam; Oboro, Montreal; EMPAC, Troy NY; Arsenal, Berlin; and the 2014 Whitney Biennial. Sound installations in collaboration with Helen Mirra have been exhibited at the Gardner Museum, Boston; Culturgest, Lisbon; KW Institute for Contemporary Art, Berlin; Audiorama, Stockholm; MIT List Visual Arts Center, Cambridge; and in the 2012 Sao Paulo Bienal. Audio-video collaborations include Expedition Content (2020, with Veronika Kusumaryati), Ah humanity! (2015, with Lucien Castaing-Taylor and Véréna Paravel) and Single Stream (2014, with Toby Lee and Pawel Wojtasik). CDs of his often collaborative work, including with the electroacoustic duo EKG, have been released on and/OAR, Another Timbre, Cathnor, Gruenrekorder, Locust, Sedimental, and Sshpuma record labels, and a duo with Bhob Rainey is forthcoming on Erstwhile. From 2006 until 2017 he managed the Sensory Ethnography Lab at Harvard University, doing postproduction sound for vilms including Sweetgrass, The Iron Ministry, Manakamana, and Leviathan. He has taught audio recording and composition through the Sensory Ethnography Lab at Harvard (through 2021), the Center for Experimental Ethnography at Penn (2019), and the Department of Film & Media at UC Berkeley (2022). www.ek.klingt.org --- Support this podcast: https://anchor.fm/sugar-nutmeg/support

The Mushroom Hour Podcast
Ep. 144: Mogu – Mushroom Buildings, Fungal Fabrics & Merging with the Mycelium Network (feat. Maurizio Montalti)

The Mushroom Hour Podcast

Play Episode Listen Later Dec 5, 2022 110:25


Today on Mushroom Hour we have the opportunity to speak with Maurizio Montalti. Maurizio Montalti is a designer, researcher, educator and entrepreneur. Working at the junction of design and biotech, he is one of the early pioneers committed to the study and development of wide-ranging mycelium-based technologies and products. Maurizio is Chief Mycelium Officer, Chairman, and co-Founder of SQIM, the (bio)technology company developing innovative processes and products by unravelling the potential of mycelium as key biofabrication agent and technology, for application and use across different industries, as fundamentally rooted in the valorisation of residual materials' streams by means of microbial fermentation. As (bio-)technological holding, today SQIM serves its two verticals/brands: MOGU (biomaterials/products dedicated to interior design and architecture) and EPHEA (biomaterials/products dedicated to fashion, automotive, etc.). Maurizio's work has been honoured with multiple awards, widely featured in the global media, and exhibited worldwide in prestigious musea, galleries, and institutions, including Museum of Modern Art (New York), Centre Pompidou (Paris), Design Museum (London), Triennale (Milano), MAXXI (Rome), and MAK- Museum of Applied Arts (Vienna), among others.   TOPICS COVERED:   Into the Spiraling Vortex of Mycelium   From Degradation of Waste to Regenerative Materials   Mogu Acoustic Collection   Selecting Fungal Species & Strains as Materials   Standardizing Unpredictable Myco-Materials   Can Organisms Retain Agency when Enlisted to Human Scientific and Economic Endeavour?   Wild Genetic Variation within Fungal Species   Fungal Strains SQIM Collaborates With   Becoming Fluent in the Language of Fungi    Living Buildings & Autonomous Biowelding   “Ephea” Leather and Fabric Product Lines   Scaling SQIM & Modular Mycelium Production   Circular Production Processes, Seeing Waste as a Resource   Fungi in Space   EPISODE RESOURCES:   Mogu Website: https://mogu.bio/   Mogu IG: https://www.instagram.com/mogumycelium/   Fungal Architecture Project: https://www.fungar.eu/   Officina Corpuscoli: https://www.corpuscoli.com/   Schizophyllum commune (AKA Split Gill Mushroom): https://en.wikipedia.org/wiki/Schizophyllum_commune   "Braiding Sweetgrass": https://milkweed.org/book/braiding-sweetgrass   "Designs for the Pluroverse": https://www.dukeupress.edu/designs-for-the-pluriverse   "Mushroom at the End of the World": https://press.princeton.edu/books/paperback/9780691220550/the-mushroom-at-the-end-of-the-world   

Beaux-Arts de Paris
Table ronde – Photographier aujourd'hui

Beaux-Arts de Paris

Play Episode Listen Later Nov 21, 2022 52:33


À l'occasion de PhotoSaintGermain, les Beaux-Arts de Paris reçoivent les artistes Pierre-Olivier Arnaud, Elsa et Johanna et Agnès Geoffray pour dialoguer sur la présence de la photographie dans l'art contemporain. Table ronde modérée par Alain Berland. Plutôt que photographe, Pierre-Olivier Arnaud se décrit comme un artiste qui réfléchit par le moyen de la photographie. Ses œuvres questionnent inlassablement la nature de l'image, ses modes de production, de diffusion et de consommation à l'époque contemporaine. Les photographies qu'il propose sur des supports variés, mais le plus souvent modestes (posters, journaux), se présentent à rebours de tout effet spectaculaire et prolongent une réflexion sur la perte de l'aura de l'œuvre reproductible. Prélevées dans l'espace urbain ou publicitaire, ces images d'images sont sujettes à de multiples manipulations autant qu'à la perspective de leur propre disparition. Pierre-Olivier Arnaud (1972) est diplômé de l'École Régionale des Beaux-Arts de Saint-Étienne. Son travail a été montré au Mamco (Genève, 2009), à l'Institut d'Art Contemporain (Villeurbanne, 2015), au Confort Moderne (Poitiers, 2015), au Plateau (Paris, 2017), en 2021 il a été accueilli en résidence à la Secession, Vienne. Tombolo Presses lui consacre une monographie qui paraîtra à l'automne. Son travail est représenté par les galeries Art : Concept, Paris et Skopia, Genève. Elsa & Johanna forment un duo d'artistes plasticiennes, photographes et réalisatrices. Elles se rencontrent à la School of Visual Arts de New York en 2014, où elles suivent un cursus en parallèle de leurs études respectives. Elsa est alors étudiante à l'École nationale supérieure des Arts Décoratifs, tandis que Johanna étudie aux Beaux-Arts de Paris, dans l'atelier d'Eric Poitevin. En 2015, elles se font connaître avec la série d'autoportraits A Couple of Them, dans laquelle elles incarnent des personnages fictifs, occupant à la fois le rôle de modèle, de styliste, de scénographe et de photographe. L'œuvre entre dans la collection du Fonds d'acquisition d'art contemporain de la ville de Paris, en 2018. La mise en scène de soi devient un thème récurrent de leur travail personnel. Elles sont Invitées au Salon de Montrouge, en 2016, et sont finalistes du Prix HSBC pour la photographie puis remportent le Prix Picto de la Mode, en 2017. Elles sont représentées par la Galerie La Forest Divonne la même année et exposent depuis au MAC VAL, à Art Paris et Paris Photo, remportent le Prix du public du Festival de Hyères dans la section photographie en 2019 et ont été dernièrement finalistes du prix du Festival de Photographie d'Arles Louis Rœderer. Elles ouvrent leur première exposition rétrospective en 2021 jusqu'à mars 2022 à la Stadtische Galerie de Karlsruhe en Allemagne où plus d'une centaine d'œuvres du binôme est exposée. L'artiste Agnès Geoffray a été en résidence à la Rijksakademie à Amsterdam (2002-2004), et pensionnaire à la Villa Médicis à Rome (2010). Des expositions personnelles au Frac Auvergne, au Point du Jour, au Centre Photographique d'Île-de-France ont accompagné des expositions collectives au Centre Pompidou Paris, aux Rencontres photographiques d'Arles, au Jeu de Paume, au Mac Val. Elle a exposé à l'étranger entre autres à la Kunsthalle de Vienne, au Kunsthaus de Zurich, au Centre de la photographie à Genève, au Musée de l'Élysée à Lausanne. Elle est représentée par la Galerie Maubert à Paris, et éditée par La Lettre volée à Bruxelles. Quatre ouvrages monographiques ont été publiés aux éditions La Lettre volée : Ultieme Hallucinatie, Profond silence, Les Captives et Before the eye lid's laid. Penser le Présent est réalisé avec le soutien de Société Générale. Amphithéâtre des Loges Mercredi 9 novembre 2022

Les matins du samedi
Zone critique

Les matins du samedi

Play Episode Listen Later Oct 15, 2022 4:34


durée : 00:04:34 - A la source - par : Mattéo Caranta - Bruno Latour est mort dimanche dernier. Lundi, une centaine de personnes se sont retrouvées aux Centre Pompidou à Paris pour évoquer son héritage, sa façon de travailler, d'enquêter, de questionner la vérité. Certaines expressions ont émergé. Parmi elles : zone critique.

FranceFineArt

“Laurence Aëgerter“ Éloge du doubleà la galerie binome, Parisdu 7 octobre au 26 novembre 2022Interview de Laurence Aëgerter,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 5 octobre 2022, durée 18'17.© FranceFineArt.https://francefineart.com/2022/10/07/3317_laurence-aegerter_-galerie-binome/Communiqué de presse Laurence Aëgerter a rejoint la Galerie Binome en 2020. Après plusieurs événements majeurs réalisés ensemble, Éloge du double est sa première exposition personnelle à la galerie. La sélection croise des oeuvres inédites, dont une nouvelle série Point de fuite, ou emblématiques de l'artiste en réunissant pour la première depuis Les Rencontres d'Arles en 2019 les séries Cathédrales et Cathédrales hermétiques.« Éloge du double » s'inscrit dans une actualité de fin d'année importante pour l'artiste : présentation de Confetti et de la tapisserie monumentale Diogènes dans Unbound « Alternative realities » à la foire Unseen Amsterdam en septembre, par la commissaire Damarice Amao, conservatrice de la photographie au Centre Pompidou à Paris. Ouverture en novembre de l'exposition « Devenir Fleur » au MAMAC, Musée d'Art Moderne et d'Art Contemporain de Nice, sous le commissariat d'Hélène Guenin, directrice du MAMAC et de Rébecca François, attachée de conservation, avec la série Healing Plants for Hurt Landscapes. L'exposition « Prendre soin. Restaurer, réparer, de la Renaissance à nos jours » au Musée des Beaux-arts de Dole présente la même série ainsi que Photographic treatment jusqu'en mars 2023. Les nouvelles oeuvres Point de fuite sont parallèlement montrées par la Galerie Binome lors de la foire Paris Photo au Grand Palais Éphémère du 10 au 14 novembre. L'artiste travaille dans le même temps à la conception d'une tapisserie hors norme de 28 mètres de long pour son prochain solo show en juin 2023 au Museum Het Dolhuys à Haarlem (NL), avec le soutien du Mondriaan Fund. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Appleton Podcast
Episódio 70 - Gisela Casimiro + Pedro Barateiro

Appleton Podcast

Play Episode Listen Later Jul 21, 2022 27:26


Episódio 4 da temporada especial do Appleton Podcast - 15 anos MACE - Aqui somos rede - numa parceria com a Colecção António CacholaGisela Casimiro é uma escritora, artista e activista portuguesa, nascida na Guiné-Bissau em 1984. Estudou Línguas, Literaturas e Culturas (Estudos Portugueses e Ingleses) na Faculdade de Ciências Sociais e Humanas da Universidade Nova de Lisboa. É autora de Erosão (Urutau, 2018) e alguns dos seus poemas integram antologias como Rio das Pérolas (Ipsis Verbis, 2020). Foi ainda uma das tradutoras para português do livro Venceremos! (Falas Afrikanas, 2020), que reúne discursos escolhidos de Thomas Sankara. Nos últimos anos, tem colaborado como cronista em publicações como Hoje Macau, Buala e Contemporânea. Além disso, tem participado em diversos festivais literários, como o International Young Writers Meeting (Turquia), Rota das Letras (Macau), Festival Resiliência (Moçambique), FOLIO e Waking Life (Portugal). Também tem marcado presença em exposições. A sua obra fotográfica Museu Pessoal integrou mostras colectivas organizadas pela DJASS (2018) e pela Associação Portuguesa de Antropologia (Museu Nacional de Etnologia, 2019). Em 2020, realizou a exposição de poesia visual O que perdi em estômago, ganhei em coração, no Armário (Lisboa), com curadoria de Ana Cristina Cachola, do projecto quéréla. No mesmo ano, participou ainda na exposição colectiva Four Flags, organizada pela Taffimai e pela Galeria Zé dos Bois (Lisboa); na exposição Fazer de Casa Labirinto, na Balcony Gallery (Lisboa); e na exposição Retrospectiva Retroescavadora, na Casa do Capitão (Lisboa). Gisela Casimiro sempre se interessou por fotografia, colagens e arte. Não considera haver uma relação directa entre as suas criações visuais e a poesia. Mais com as crónicas, talvez. De momento, dirige o departamento de Cultura do INMUNE - Instituto da Mulher Negra em Portugal, uma associação feminista interseccional e anti-racista criada por Joacine Katar Moreira, deputada na Assembleia da República Portuguesa. O seu trabalho social e activismo, em particular o trabalho que desenvolve no INMUNE, tem-lhe permitido integrar um projecto de empoderamento social e comunitário pelo qual têm passado mulheres como a jornalista Paula Cardoso, a poeta Raquel Lima, a cineasta Loló Arziki ou a activista Alessa Herrero. Destaque para o trabalho realizado pelo INMUNE em parceria com a Escola Azevedo Neves, na Amadora, e a professora Catarina Coutinho, bem como colaborações com o Teatro do Bairro Alto ou o Centro de Estudos Sociais da Universidade de Coimbra. Pedro Barateiro (Almada, 1979) vive e trabalha em Lisboa.Exposições individuais em Netwerk, (Aalst); Basement Roma (Roma); Néon (Lyon); REDCAT (Los Angeles); Museu Colecção Berardo (Lisboa); Kettle's Yard (Cambridge); Parkour (Lisboa); Kunsthalle Lissabon (Lisboa); Kunsthalle Basel; Lumiar Cité (Lisboa); Museu de Arte Contemporânea de Serralves (Porto); MARCO - Museo de Arte Contemporánea de Vigo; Pavilhão Branco - Museu da Cidade (Lisboa); Spike Island (Bristol).O seu trabalho foi incluído em exposições como a Bienal de Sharjah 13, 29ª Bienal de São Paulo; 16ª Bienal de Sydney; 5ª Bienal de Berlim; Palais de Tokyo (Paris); Fondazione Guiliani (Roma); Firstsite (Colchester); ngbk (Berlim); M HKA (Antuérpia); SESC Pompeia e Videobrasil (São Paulo); Crac Alsace (Altkirch); Museu de Arte Contemporânea de Serralves (Porto); Fundação Calouste Gulbenkian (Lisboa); ar/ge Kunst (Bolzano); Le Plateaux - Frac Île-de-France (Paris); Centro Galego de Arte Contemporânea (Santiago de Compostela).As suas actuações foram apresentadas no TNDMII (Lisboa); Centre Pompidou (Paris); Teatro Rivoli (Porto); ZHdK (Zurique); 98Weeks (Beirute); Théâtre de la Ville (Paris), L'école nationale supérieure des beaux-arts -ENSBA (Paris), Fondation Ricard (Paris); M HKA/ Cinema Zuid (Antuérpia); Centro Cultural São Paulo (São Paulo) Galeria Vermelho (São Paulo); Teatro São Luiz (Lisboa) e Teatro Praga (Lisboa), entre outros locais.Barateiro dirige o espaço Spirit Shop (https://spirit-shop.weebly.com/), e foi um dos membros do Parkour (https://parkour-lisboa.tumblr.com/), um artista que geriu o espaço iniciado com outros 7 artistas como parte da Avenida 211 em Lisboa, e que correu de 2012 a 2014. Entre as suas muitas colaborações editou, com Ricardo Valentim, os livros Colaborações Temporárias e ACTIVIDADE.A formação de Barateiro em desenho, escultura, vídeo e escrita foi ampliada pela sua formação com um mestrado na Academia de Arte de Malmö, Universidade de Lund (Suécia) e no Programa de Estudo Independente em Artes Visuais na Maumaus - Escola de Artes Visuais (Lisboa). Desenvolveu ainda a sua prática em residências na Air Antwerpen (Antuérpia), Pavillon - Palais de Tokyo (Paris), ISCP (Nova Iorque), Sítio das Artes, CAM - Fundação Calouste Gulbenkian (Lisboa), Spike Island (Bristol) e Galeria Zé dos Bois (Lisboa). Links: https://www.buala.org/pt/autor/gisela-casimiro https://pedrobarateiro.tumblr.com/ Episódio gravado a 29.06.2022 http://www.appleton.pt Mecenas Appleton:HCI / Colecção Maria e Armando Cabral Financiamento:República Portuguesa - Cultura / DGArtes Apoio:Câmara Municipal de Lisboa

L'heure bleue
Chris Ware

L'heure bleue

Play Episode Listen Later Jun 8, 2022 53:07


durée : 00:53:07 - L'Heure bleue - par : Laure Adler, Céline Villegas - Jusqu'au 10 octobre, la Bibliothèque publique d'information (Bpi) du Centre Pompidou à Paris en partenariat avec le Festival international de la Bande Dessinée d'Angoulême, rend hommage à l'immense talent de l'artiste américain Chris Ware. Il est l'invité de 'Heure Bleue.

Beaux-Arts de Paris
Penser le Présent avec Dimitri Chamblas

Beaux-Arts de Paris

Play Episode Listen Later Apr 4, 2022 83:38


Dimitri Chamblas rejoint l'École de danse de l'Opéra de Paris à l'âge de dix ans. Durant sa carrière, il collabore avec les chorégraphes Boris Charmatz, William Forsythe, Emmanuelle Huynh, Benjamin Millepied ou Mathilde Monnier. Il cofonde l'association Edna avec le chorégraphe Boris Charmatz en 1992. Ils créent ensemble le duo À Bras-le-corps présenté dans le monde entier et entré au répertoire de l'Opéra national de Paris en 2018. Il participe à la création du Los Angeles Dance Project de Benjamin Millepied. En 2015, il est nommé directeur artistique de la 3e Scène – Opéra national de Paris. De 2017 à 2021, il est directeur de la danse au California Institute of the Arts (CalArts) de Los Angeles où il vit actuellement. Ses récents projets sont un duo avec la rockstar Kim Gordon ; Slow Show, un spectacle questionnant le temps pour cinquante performers ; Crowd Out, un opéra de David Lang pour mille chanteurs qu'il met en scène au Los Angeles philharmonique. Depuis 2019, il travaille sur A_YARD, une pièce créée avec un groupe d'hommes incarcérés dans la prison de haute sécurité de Los Angeles. Son travail a notamment été présenté à la Tate Modern de Londres, au Centre Pompidou (Paris), au Museum of contemporary art of Los Angeles, à l'Opéra national de Paris, à Performa New York, au musée du Louvre. Dimitri Chamblas crée actuellement, en collaboration avec Kim Gordon, une pièce pour les 15 danseurs de la compagnie L.A. Dance Project, débute avec le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés un programme de danse dans différents camps à travers le monde et poursuit son travail de recherche universitaire autour des pédagogies expérimentales. En 2019, il a été nommé Chevalier de l'ordre des Arts et des Lettres. Depuis 2021, Studio Dimitri Chamblas est soutenu par le ministère de la culture français. Il évoquera son parcours de danseur (Opéra de Paris, Charmatz, Huynh, Forsythe, Monnier), de chorégraphe, de pédagogue (Calarts, Prison de Los Angeles). Il partagera en dialogue avec Emmanuelle Huynh ses visions sur les transformations pédagogies à l'œuvre dans le champ chorégraphique et artistique national et international depuis 15 ans. Penser le Présent est réalisé avec le soutien de Société Générale. Amphithéâtre des Loges Jeudi 31 mars 2022 Crédit photo : droits réservés

ZKM | Karlsruhe /// Gespräche /// Talks
Netzwerkdenken in der Szenografie | Talk mit Peter Weibel & Manfred Wolff-Plottegg

ZKM | Karlsruhe /// Gespräche /// Talks

Play Episode Listen Later May 20, 2021 61:49


BEYOND MATTER? – A Revival of Clashes between Materiality and Representation | Online Diskussion [01.03.2021] Im Rahmen der Gesprächsreihe »BEYOND MATTER? – A Revival of Clashes between Materiality and Representation« reflektieren Peter Weibel und Manfred Wolff-Plottegg über die Szenografie der Ausstellung »Iconoclash«, deren Entstehungsprozess und mögliche Auswirkung auf das geplante digitale Ausstellungsmodell. Die Diskussion beschließt die erste Hälfte über »Iconoclash« der »BEYOND MATTER«-Gesprächsreihe. Fortgeführt wird sie mit Interviews zur Ausstellung »Les Immatériaux« des Centre Pompidou Paris. »BEYOND MATTER« ist ein internationales, kollaboratives, praxisbasiertes Forschungsprojekt, das über die virtuelle Bedingung reflektiert, mit einem besonderen Schwerpunkt auf ihren räumlichen Aspekten in der Kunstproduktion, dem Kuratieren und der Vermittlung. Neben anderen praxisbezogenen Forschungsaktivitäten werden zwei bahnbrechende Ausstellungen digital wiederbelebt. Eine davon, »Iconoclash. Jenseits der Bilderkriege in Wissenschaft, Religion und Kunst«, wurde 2002 im ZKM Karlsruhe präsentiert. /// In the context of the series of talks »BEYOND MATTER? – A Revival of Clashes between Materiality and Representation«, Peter Weibel and Manfred Wolff-Plottegg reflect on the scenography of the »Iconoclash« exhibition, its development process and possible impact on the planned digital exhibition model. The discussion concludes the first half on »Iconoclash« of the »BEYOND MATTER« series of talks. It will continue with interviews on the exhibition »Les Immatériaux« of the Centre Pompidou Paris. The project »BEYOND MATTER« takes cultural heritage and culture in development to the verge of virtual reality by the means of various activities and formats. Among other practice-based research activities, two groundbreaking exhibitions will be revived digitally. One of them, »Iconoclash. Beyond the Image Wars in Science, Religion and Art«, was presented at ZKM Karlsruhe in 2002.

Future Matter
Future Matter #4 - Riar Rizaldi

Future Matter

Play Episode Listen Later May 2, 2021 18:06


Future Matter #4 - Riar Rizaldi "Holonomy" Written by Riar Rizaldi Narrated by Nadia Tirensia Sound and Mixing by Riar Rizaldi Holonomy is a science/ethno-fiction in the form of found-audio play. It tells a personal reflection of Indonesian astrobiologist & xenoanthropologist Serambi Fati in her diplomatic mission to visit a superhabitable planet called Bumi 5.0. On her interstellar voyage, she transmits her thought on her speculation of tropical futurism in Bumi. At the same time, she explores her theory of 'commoning process' which is developed based on the evolution of mutual assistance, moral order and cosmological system of the tropical region—especially Indonesian archipelago—and echoes it to her prediction of the Buminites society. Fati contemplates the past as much as she thinks about the future. Riar Rizaldi works as an artist, filmmaker and amateur researcher. Born in Indonesia and currently based in Hong Kong. His main focus is on the relationship between capital and technology, extractivism, and theoretical fiction. His works have been shown at Locarno Film Festival, BFI Southbank London, International Film Festival Rotterdam, NTT InterCommunication Center Tokyo, Centre Pompidou Paris, Times Museum Guangzhou, and National Gallery of Indonesia amongst others. Transcript of the audio find here www.futurematter.institute/

How To Be An Artist
Episode Four: Jorinde Voigt

How To Be An Artist

Play Episode Listen Later Apr 28, 2021 38:52


Up next in Soho House's How To Be An Artist series is Berlin-based Jorinde Voigt. Primarily recognised for her large-scale abstract drawings, Voigt's work is heavily influenced by musical notation, philosophical texts, and sensory information. In her discussion with Kate Bryan, she explains why she stepped away from using photography as part of her practice, and the continued impact her early studies in music have on the work that she creates. Voigt's work features in prominent international museums and public collections, including Centre Pompidou (Paris),Kupferstichkabinett Berlin, and The British Museum (London). Three of her drawings can also be found on display in Soho House Berlin.

Art from the Outside
Gallerist Jessica Silverman on Building a Diverse Gallery Program

Art from the Outside

Play Episode Listen Later Apr 6, 2021 46:26


This episode we are thrilled to be joined by an amazing gallerist - and friend - Jessica Silverman. Jessica founded her namesake gallery in 2008 in San Francisco’s Tenderloin district; after completing a Bachelor of Fine Arts in Studio Art at Otis College in Los Angeles and a Master of Arts in Curatorial Practice at the California College of the Arts in San Francisco. Since then, the gallery has moved to a newly renovated space in the city’s Chinatown neighborhood, with an impressive roster of artists such as: Judy Chicago, Hugh Scott-Douglas, Isaac Julien, Andrea Bowers, and (one of our personal favorites) Hayal Pozanti - just to name a few. Renowned for punching above its weight, the gallery has an international reputation for curating compelling exhibitions and building artists’ careers. Works by the gallery’s artists have been acquired by leading museums all over the world including: Tate (London), Centre Pompidou (Paris), MoMA (New York), MCA Chicago, and Los Angeles County Museum of Art - among many others. Visit the gallery's website here. Some artists discussed in this episode: Yoko Ono Ay-O Soo Kim Woody De Othello Dashiell (Dash) Manley Isaac Julien Judy Chicago Andrea Bowers Clare Rojas Catherine Wagner Sadie Barnette La Monte Young Robert Smithson Rose B. Simpson Howardena Pindell Joan Jonas Jackson Pollock Clyfford Still Barnett Newman For images, artworks, and more behind the scenes goodness, follow @artfromtheoutsidepodcast on Instagram.

Diptyk, le podcast
Michel Gauthier du Musée national d'art moderne (épisode #3)

Diptyk, le podcast

Play Episode Listen Later Mar 26, 2021 49:45


Dans le troisième épisode du podcast Diptyk, Meryem Sebti (redac' chef de Diptyk Magazine) s'entretient avec Michel Gauthier, conservateur au service des collections du Musée national d'art moderne (MNAM). Dans cet épisode, Michel Gauthier parle de la rétrospective qui consacrera l'artiste marocain Farid Belkahia au Centre Pompidou à Paris qui s'étendra jusqu'au 19 juillet, et dont la date d'ouverture reste à définir. ----------------- Diptyk est le magazine de référence de l'art contemporain africain, produit, publié et imprimé à Casablanca au Maroc. Avec ce podcast, nous souhaitons vous donner accès aux personnalités qui animent la scène artistique africaine et marocaine, des artistes aux galeristes en passant par les curateurs et commissaires d'exposition. Cet épisode a été enregistré à distance en partenariat avec Maroc Télécom, partenaire des arts et de la création. Suivez nous sur Instagram, Facebook et abonnez-vous à notre newsletter.

Expo / Concert
Exposition virtuelle « Dans l’intimité de Kandinsky » au Centre Pompidou Paris

Expo / Concert

Play Episode Listen Later Feb 18, 2021


Littérature sans frontières
Littérature sans frontières - Raphaël Krafft, à la rencontre des mineurs abandonnés, entre France et Guinée

Littérature sans frontières

Play Episode Listen Later Feb 13, 2021 29:00


Né en 1974 à Paris, Raphaël Krafft est grand reporter, documentariste radio et écrivain. Lorsqu’il ne parcourt pas la France et le monde à vélo, il enquête principalement sur la condition des migrants à Paris et en Europe. Après plusieurs récits de voyage et un témoignage intitulé «Passeur», aux éditions Buchet-Chastel, il publie aujourd'hui «Les enfants de la Clarée», aux éditions Marchialy, restitution de son reportage en montagne sur la piste des migrants, augmentée d'un séjour en Guinée sur la trace des mineurs abandonnés.  "En novembre 2017, Raphaël Krafft part en reportage dans les Alpes à la frontière franco-italienne. Il accompagne un habitant de la région, parti en maraude à la rencontre d’éventuels migrants perdus dans la montagne. Les premières neiges viennent de tomber. Ce soir-là, ils découvrent cachés dans un bosquet quatre mineurs. Alors qu’ils les emmènent dans un lieu dédié à l’accueil des personnes migrantes, la gendarmerie les arrête avant d’abandonner les adolescents dans la montagne au niveau de la borne frontière. Trois d’entre eux sont guinéens, comme la majorité des jeunes migrants qui passent par ce col. Marqué par cette expérience, Raphaël Krafft se lie d’amitié avec les habitants du village de Névache situé juste en dessous du col et propose aux enfants de l’école communale de partir en Guinée réaliser des reportages et les aider ainsi à comprendre pourquoi tant de jeunes décident de quitter leur foyer. Là-bas, il découvre un pays démuni, marqué par des années de dictature." (présentation des éditions Marchialy) Raphaël Krafft est aussi l'un des invités de la deuxième édition du Festival de littérature contemporaine "Effractions" organisé par la Bibliothèque Publique d'Information du Centre Pompidou à Paris, et qui se déroule en ligne du 25 février au 1er mars 2021.

Soundweavers
1.8 Castle of Our Skins

Soundweavers

Play Episode Listen Later Dec 16, 2020 49:05


Ashleigh Gordon, the Artistic and Executive Director of Castle of our Skins, joins us to chat about her work leading a collective dedicated to celebrating black artistry through music. We discuss how she and co-founder Anthony Green developed COOS from individual grad school projects to a multifaceted concert presenter and educational organization. We speak about several of their initiatives, such as their Shirley Graham DuBois Creative-in-Residence Program, Beauty in Black Artistry blog, and edutainment recital and workshop series. We finish with advice on how to use one's platform to provoke conversations on becoming ever better. Described as a “charismatic and captivating performer,” Ashleigh Gordon has recorded with Switzerland's Ensemble Proton and Germany's Ensemble Modern; performed with Grammy-award winning BMOP and Grammy-nominated A Far Cry string ensemble; and appeared at the prestigious BBC Proms Festival with the Chineke! Orchestra. Ashleigh has performed in the Royal Albert and Royal Festival Halls (London), Konzerthaus Berlin and Oper Frankfurt (Germany), Gare du Nord and Dampfzentrale Bern (Switzerland), Centre Pompidou (Paris), the Lee Hysan Concert Hall (Hong Kong), and the 180 Degrees Festival (Bulgaria). Ashleigh is co-founder, Artistic/Executive Director, and violist of Castle of our Skins, a Boston-based concert and educational series devoted to celebrating Black Artistry through music. She is a 2015 St. Botolph Emerging Artist Award and 2016 Charles Walton Diversity Advocate Award recipient, a 2019 Brother Thomas Fellow, a nominee for the 2020 "Americans for the Arts Johnson Fellowship for Artists Transforming Communities,” and one of WBUR's “ARTery 25”, twenty-five millennials of color impacting Boston's arts and culture scene. As an advocate of social change through education, Ashleigh served as viola instructor in the Boston Youth Symphony Orchestra's Intensive Community Program, a rigorous string instrumental program that provides instruction to populations often underrepresented in classical music. She has presented lectures on citizen artistry and entrepreneurship, workshops for fellow educators on Caribbean folk songs, and served as a guest panelist at the Sphinx Connect Conference and Chamber Music America Conference discussing diversity in classical music. She is an Instructor of Teaching Artistry at the Longy School of Music at Bard College. Resources discussed in today's episode: Shirley DuBois Creative-in-Residence Program Castle of our Skins Beauty-in-Black-Artistry Blog The transcript for this episode can be found at here. For more information about Castle of our Skins, please visit them at their website, Facebook, Twitter, Instagram, YouTube, and LinkedIn.

Dans quel Monde on vit
Dans quel Monde on vit - Relations à inventer avec Léonora Miano et Rodolphe Marconi - 10/10/2020

Dans quel Monde on vit

Play Episode Listen Later Oct 10, 2020 53:01


Ne dites plus blanc ou noir. Laissez de côté la couleur de peau. Léonora Miano nous invite à sortir d’une vision racialisée de la société. Elle veut de nouveaux mots pour inventer de nouvelles relations au cœur de l’humanité. Léonora Miano signe « Afropea. Utopie post-occidentale et post-raciste » (Grasset). Quels liens tissons-nous avec celles et ceux qui nous nourrissent ? Que savons-nous des réalités des producteurs laitiers ? Le cinéaste Rodolphe Marconi a filmé le quotidien et les difficultés d’un jeune agriculteur de 30 ans. C’est interpellant et bouleversant ! Son film a pour titre : « Cyrille, agriculteur, 30 ans, 20 vaches, du lait, du beurre, des dettes ». Le documentaire est à découvrir ce samedi 10 octobre à 15h à Bruxelles dans le cadre du Festival Alimenterre. Infos : https://festivalalimenterre.be Enfin, dans « En toutes lettres ! », l’historien et écrivain Gil Bartholeyns écrit à Jean, éleveur et agriculteur. Choix culturels : - « Le magasin du monde » de Pierre Singaravélou et Sylvain Venayre (Fayard). - « Ci-gît l’amer » de Cynthia Fleury (Gallimard). - L’exposition "Christo et Jeanne-Claude, Paris!" à voir jusqu’au 19 octobre au Centre Pompidou à Paris. - La bande dessinée « Mon père, cet enfer » de Travis Dandro (Gallimard).

Sydney Ideas
Art of influence: Marc Newson CBE

Sydney Ideas

Play Episode Listen Later Aug 6, 2020 35:01


Hear from one of the most influential designers of his generation. Marc Newson has collaborated with the likes of Apple, Nike, Louis Vuitton, Qantas – to name a few – and his work is held in the collections of major museums including MoMA, Centre Pompidou (Paris) and more. Marc is in-conversation with Andrew Lavery, Director of Sydney College of the Arts (SCA). The 'Art of influence' series features pioneering SCA alumni, as they reflect on their careers, creative practice and the themes that inform their work. For further links and resources, visit our website: https://bit.ly/3ePTc2j TRANSCRIPT available: https://bit.ly/3kA9Ff0

Kultur heute Beiträge - Deutschlandfunk
Christo und Jeanne-Claude im Centre Pompidou Paris

Kultur heute Beiträge - Deutschlandfunk

Play Episode Listen Later Jul 1, 2020 5:24


Autor: Hondl, Kathrin Sendung: Kultur heute Hören bis: 19.01.2038 04:14

Conversations From The Center
Episode #3 – Transforming Materials

Conversations From The Center

Play Episode Listen Later Jun 1, 2020 36:48


Hector Canonge discusses his studio home MODULO 715 in NYC, and the residency program he organized in the space. Faced with a fire that destroyed the building, he had to restart everything (once again). What is an audio performance? The first answer in our series comes from Tamara Al-Mashouk, who asks among other things: “Where are you from?” Next, we invited participants in our residency in Nairobi (Kenya) to discuss: how do you understand transformation in flux? How are materials (and their transformations) part of your art, activism, and research practice? Our group of conversants include artist Laura Porter (Paris/France), artist Wambui Collymore (Nairobi/Kenya), artist/organizer Dennis Kiberu, (Nairobi/Kenya) and photojournalist Adam Sings In The Timber (Providence/USA). We finish off with Dutch sound artist Zeno Van Den Broek’s interpretation of Conversations From The Center, through an audio composition of voices from the future. Portions of this program were recorded at the AfroQueer podcast studios in Nairobi, Kenya.Hector Canonge (@hectorcanonge)Hector Canonge is an interdisciplinary artist, curator, and cultural producer based in New York City. His work incorporates various forms of artistic expression: Performance Art, Dance, Multimedia Production, Installation, and Social Practice to explore and treat issues related to constructions of identity, gender roles, and the politics of migration.Tamara Al-Mashouk (@tmraalm)Tamara Al-Mashouk was born in Saudi Arabia in 1988. She graduated from Wellesley College with a major in architecture (2010) and holds a Master of Fine Arts degree from the School of the Museum of Fine Art at Tufts University (2016). Through video, performance, and architectural installation, Al-Mashouk examines the movement of people across societal and national borders with specific focus on the intersectional body and conversely this body’s relationship to institutional systems. She has founded an all-female fine art gallery at a music and arts festival in upstate New York. She produces single and multi-channel video works for the gallery and public sphere- a five-channel video installation for a solo show in Boston, a two-channel video installation in Beijing, and a three-hour multi-channelAdam Sings In The Timber (@signsinthetimber) Adam Sings In The Timber is an enrolled member of the Crow Nation in Montana, USA. Adam was born in Montana and grew up in the Midwest of the USA. He studied photojournalism at the University of Montana, Missoula. Currently based in Providence, RI, his work captures the beauty and complexities of Native American culture without shying away from the realities of poverty, addiction and abuse. His photo making process ethically portrays Indigenous communities through art and documentation. Sings In The Timber’s work, combining documentary photography and portraiture, will be featured in an upcoming exhibition at the Field Museum in Chicago. Previous exhibitions include First Voice Art Gallery at the American Indian Center, Chicago; Paramount Theatre Gallery, Seattle; Montgomery Ward Gallery, University of Illinois-Chicago; Harold Washington Library, Chicago; Gallery OTR, Cincinnati, Ohio; and King Street Station, Seattle, Washington. His photojournalism has been published in The Guardian, Indian Country Today, Indian Peoples Magazine, USA Today and the New York Times, among others. He has lectured widely on the importance of Indigenous people documenting their own culture at institutions including Bowling Green State University, Northwestern University, Brown University, and the University of Colorado Boulder. Laura Porter (@_laura.porter_) Laura Porter is an American artist who lives in Paris, France. She has a practice-based PhD in Fine Arts from École nationale supérieure des Beaux-Arts / SACRePSL. Through installation, sculpture, and video, her work considers modes of value production. With particular attention to the genesis of objects and tools as well as the role of the body in disposable economies, her works appear as small technological/nutritional economies or systems in the pro- cess of becoming animated. Laura Porter’s work has been presented at Centre Pompidou (Paris), Centre Régional d’Art Contemporain Languedoc-Roussillon (Sète), Fundació Joan Miró (Barcelona), FRAC Champagne-Ardenne (Reims), Woluwe Park (Brussels), In extenso (Clermont-Ferrand), and Bandjoun Station (Cameroon). Wambui Collymore (@wambuikamiru) Born in 1982, in Kenya, Wambui Wamae Kamiru Collymore has been developing artwork around the theme of colonialism, identity, and independence in Africa. She is the Founder of The Art Space – an online contemporary gallery with alternative show spaces, based in Nairobi. Through her own work in contemporary art – mainly simulated experiences, Wambui tackles history, politics and social issues. Originally a painter, Wambui now creates installations with various mediums. She is currently intrigued by pattern, its repetition, and memory. Wambui Kamiru holds an MSc.in African Studies with a focus on Kenyan History from the University of Oxford. Her dissertation focused on the attempt to create collective memory around Kenyaʼs Mau Mau War and the family of Field Marshall Dedan Kimathi. With this background, Wambui tells stories about the passage of time, through her artwork. Her most recent exhibition, Wakariru (#Wakariru) was an exhibition about the destruction of language for everyday things and the accompanying loss of orally documented knowledge. It looked at memory and the forgotten history of the role of women in the Mau Mau war. It was shown at One Off Galleryʼs Space at Rosslyn Riviera. Akili Ni Nywele (#AkiliNiNywele) was created as part of Sensing Nairobi, a group exhibition that sought to describe Nairobi – the capital city. This exhibition focused on modern perceptions of womenʼs beauty and femininity in relation to hair and how “urbanized” women are increasingly wearing fake hair to enhance their beauty and femininity. It asked where this perception came from and what it means to us, both male and female. It was shown at the British Institute East Africa (BIEA) and at the Kenya National Museum. To see more of her work visit: www.wambuikamiru.com Dennis Kiberu (@denniskibbz) Dennis Kiberu is a radio presenter, PR practitioner, music producer, disc jockey and photographer originating from and based in Nairobi, Kenya. He has studied Journalism and minored in Film at the Multimedia University of Kenya, with a focus on broadcast media and photography. In 2013 after finishing high school, he became a self-taught disc-jockey and went on to perform at events in Mombasa and Nairobi, where he later ventured to music production. In 2015, He was the Assistant PR Officer for the Ministry of Tourism. In the same year he ventured into commercial photography working with fashion designers, art studios, live concert performances and festivals. In 2016 he was a producer at Homeboyz Radio Kenya. Since 2016, he has been producing and presenting live a comical mid-morning Saturday show ʻSato Vybzʼ in Multimedia University Radio. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.

Somerset House Studios
2: Lawrence Lek ~> ASSEMBLY: Christian Marclay

Somerset House Studios

Play Episode Listen Later Jan 30, 2020 25:51


Pedestrians, traffic, roadworks, protest; the corner of Somerset House where Waterloo Bridge meets Embankment is a hive of often unpredictable activity and noise. Acknowledging and working with this to define a compositional framework, Marclay invited a series of guests to collaborate in bringing the outdoors inside for an evolving series of electro-acoustic performances. Studios resident Lawrence Lek is an artist, filmmaker and musician whose virtual worlds and animated films create alternate versions of real places. For ASSEMBLY he invited collaborators Seth Scott and Robin Simpson to present a site-specific simulation that acts as an uncanny virtual and sonic double of the performance space. Their performance, Doom, reflects the atmosphere during the Extinction Rebellion protests when Waterloo Bridge – which the Lancaster Rooms overlook – was closed to traffic and filled with warning signs of the coming apocalypse. Christian Marclay’s ambitious and accomplished practice explores the juxtaposition between sound, photography, video and sculpture. His installations display provocative musical and visual landscapes and have been included in exhibitions around the world including the Whitney Museum of American Art, Venice Biennale, Centre Pompidou Paris and Kunsthaus Zurich. More recently, he exhibited The Clock at the Tate Modern (debuted at White Cube in 2010) – an artwork created from thousands of edited fragments, from a vast range of films to create a 24-hour, single-channel video. Podcast produced by Reduced Listening for Somerset House Studios ASSEMBLY Production by Music Hackspace and sound system by Call & Response, with sound and interaction programming from Black Shuck and Preverbal Studio. Lighting design by KitMapper. ASSEMBLY is supported by PRS Foundation’s The Open Fund, The Adonyeva Foundation and the John. S Cohen Foundation.

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1: Beatrice Dillon ~> ASSEMBLY: Christian Marclay

Somerset House Studios

Play Episode Listen Later Jan 30, 2020 31:08


Artist and producer Beatrice Dillon’s new piece for ASSEMBLY, infraordinary, combines installation and performance, in which specially composed sounds are triggered using the system’s Kinect camera, alongside a live controlled sound mix of the street. Inspired by writer Georges Perec’s concept of the ‘infra-ordinary’ - taking account of the micro events of the everyday - the performance attempts to examine and reframe the rhythmic patterns of the street outside. Pedestrians, traffic, roadworks, protest; the corner of Somerset House where Waterloo Bridge meets Embankment is a hive of often unpredictable activity and noise. Acknowledging and working with this to define a compositional framework, Marclay invited a series of guests to collaborate in bringing the outdoors inside for an evolving series of electro-acoustic performances.  Beatrice Dillon is an artist and music producer who has produced solo and collaborative releases across Boomkat Editions, Hessle Audio, The Trilogy Tapes, PAN, Timedance and Where To Now? Recent performances include Barbican Centre, Tokyo’s wwwX, MUTEK Montreal, Dekmantel, Documenta Athens, Cairo’s Masåfåt Festival, Norway’s Insomnia and Documenta Athens. With a background in fine art, Beatrice has produced sound and music commissions for Outlands Network, Lisson Gallery, Études Paris, AND Festival, Somerset House and has collaborated with visual artists and choreographers across ICA, TATE, Southbank Centre, York Mediale, Centre d’Art Contemporain Geneva, MACVAL Paris, Nasher Center Dallas and Mona Tasmania amongst others. She was the recipient of Wysing Arts Centre’s artist residency, is a resident at Somerset House Studios and presents a show on NTS Radio. Christian Marclay’s ambitious and accomplished practice explores the juxtaposition between sound, photography, video and sculpture. His installations display provocative musical and visual landscapes and have been included in exhibitions around the world including the Whitney Museum of American Art, Venice Biennale, Centre Pompidou Paris and Kunsthaus Zurich. More recently, he exhibited The Clock at the Tate Modern (debuted at White Cube in 2010) – an artwork created from thousands of edited fragments, from a vast range of films to create a 24-hour, single-channel video. Podcast produced by Reduced Listening for Somerset House Studios ASSEMBLY Production by Music Hackspace and sound system by Call & Response, with sound and interaction programming from Black Shuck and Preverbal Studio. Lighting design by KitMapper. ASSEMBLY is supported by PRS Foundation’s The Open Fund, The Adonyeva Foundation and the John. S Cohen Foundation.

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3: Karen Gwyer ~> ASSEMBLY: Christian Marclay

Somerset House Studios

Play Episode Listen Later Jan 30, 2020 26:34


For ASSEMBLY, Karen Gwyer approached the street noises as drums. Building over the course of the performance, Karen will use and process the ambient sounds to create a multilayer, polyrhythmic piece created from the more punchy and identifiable sounds as well as distorting the general hum. The mood and intensity will shift as the performance progresses. On top of the rhythmic street sounds, layers of synths will build to create a moving yet sobering composition that draws on Karen’s own emotions around her 12 years as a Londoner, both the pain and relief of leaving, and the conflict of looking at it now from afar. Pedestrians, traffic, roadworks, protest; the corner of Somerset House where Waterloo Bridge meets Embankment is a hive of often unpredictable activity and noise. Acknowledging and working with this to define a compositional framework, Marclay invited a series of guests to collaborate in bringing the outdoors inside for an evolving series of electro-acoustic performances. Karen Gwyer was born in the southern US and raised in the north. Now based in Berlin after more than a decade in London, she shifts between pumping, thickly melodic, just left-of-techno dancefloor vibes and diversionary acidic psychedelia in her expansive, largely analogue live electronic performances. To date, she has released a handful of acclaimed recordings on Don’t Be Afraid, Nous Disques, Opal Tapes and Kaleidoscope, among others. She has produced remixes for labels such as InFiné, Software, and Public Information, and has created a number of commissioned pieces for Berlin’s Pop-Kultur festival and Open Music Archive in London. Christian Marclay’s ambitious and accomplished practice explores the juxtaposition between sound, photography, video and sculpture. His installations display provocative musical and visual landscapes and have been included in exhibitions around the world including the Whitney Museum of American Art, Venice Biennale, Centre Pompidou Paris and Kunsthaus Zurich. More recently, he exhibited The Clock at the Tate Modern (debuted at White Cube in 2010) – an artwork created from thousands of edited fragments, from a vast range of films to create a 24-hour, single-channel video. Podcast produced by Reduced Listening for Somerset House Studios. ASSEMBLY Production by Music Hackspace and sound system by Call & Response, with sound and interaction programming from Black Shuck and Preverbal Studio. Lighting design by KitMapper. ASSEMBLY is supported by PRS Foundation’s The Open Fund, The Adonyeva Foundation and the John. S Cohen Foundation.

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A PASSION FOR DRAWING. The Guerlain Collection from the Centre Pompidou Paris

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Play Episode Listen Later Nov 18, 2019 2:28


Florence Guerlain her husband Daniel, heir to cosmetic giant Guerlain, have been collecting contemporary art since the 1980s. CastYourArt visited the presentation of the collection at the Albertina museum in Vienna.

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A PASSION FOR DRAWING. Die Sammlung Guerlain aus dem Centre Pompidou Paris

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Play Episode Listen Later Nov 13, 2019 2:28


Florence Guerlain und ihr Gatte Daniel, Erbe der gleichnamigen Parfümdynastie, sammeln seit Mitte der achtziger Jahre gemeinsam zeitgenössische Kunst. CastYourArt hat die Präsentation ihrer Sammlung im Albertina Museum in Wien besucht.