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“Dans le flou”Une autre vision de l'art, de 1945 à nos joursau Musée de l'Orangerie, Parisdu 30 avril au 18 août 2025Entretien avec Emilia Philippot, conservatrice en chef, adjointe à la directrice des études, Institut national du patrimoine, et co-commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 19 septembre 2023, durée 23'38,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2025/05/14/3618_dans-le-flou_musee-de-l-orangerie/Communiqué de presse Commissariat :Claire Bernardi, directrice, musée de l'OrangerieEmilia Philippot, conservatrice en chef, adjointe à la directrice des études, Institut national du patrimoineEn collaboration avec Juliette Degennes, conservatrice, musée de l'OrangerieLes Nymphéas ont longtemps été regardés par les artistes ou étudiés par les historiens comme le parangon d'une peinture abstraite, sensible, annonciatrice des grandes installations immersives à venir. En revanche, le flou qui règne sur les vastes étendues aquatiques des grandes toiles de Monet est resté un impensé. Ce flou n'avait pas échappé à ses contemporains, mais ils y voyaient l'effet d'une vision altérée par une maladie oculaire. Il nous semble aujourd'hui pertinent et plus fécond d'explorer cette dimension de l'oeuvre tardif de Monet comme un véritable choix esthétique dont la postérité doit être mise au jour.Cette exposition fait délibérément du flou une clé qui ouvre une autre lecture d'un pan entier de la création plastique moderne et contemporaine. D'abord défini comme perte par rapport au net, le flou se révèle le moyen privilégié d'expression d'un monde où l'instabilité règne et où la visibilité s'est brouillée. C'est sur les ruines de l'après-Seconde Guerre mondiale que cette esthétique du flou s'enracine et déploie sa dimension proprement politique. Le principe cartésien du discernement, qui prévalait depuis si longtemps en art, apparaît alors profondément inopérant. Devant l'érosion des certitudes du visible, et face au champ de possibles qui leur est ainsi ouvert, les artistes proposent de nouvelles approches et font leur matière du transitoire, du désordre, du mouvement, de l'inachevé, du doute… Prenant acte d'un bouleversement profond de l'ordre du monde, ils font le choix de l'indéterminé, de l'indistinct et de l'allusion. Leur mise à distance de la netteté naturaliste va de pair avec une recherche de la polysémie qui se traduit par une perméabilité des médiums et une place accrue accordée à l'interprétation du regardeur. Instrument de sublimation tout autant que manifestation d'une vérité latente, le flou se fait à la fois symptôme et remède d'un monde en quête de sens.Insaisissable par essence, l'esthétique du flou se dessine dans l'écart ; non par opposition frontale à l'objectivité clinique d'un monde sous haute surveillance, mais plutôt comme un jeu d'équilibrisme dans les interstices du réel ; un écart qui ne réside pas dans le rejet ou le déni de la trivialité du monde mais en explore de nouvelles modalités. À la limite du visible, le flou, en même temps qu'il trahit une instabilité, crée les conditions d'un ré-enchantement.Le parcours de l'exposition suit un fil thématique et non chronologique. Une salle introductive est consacrée aux racines esthétiques du flou au XIXe et au tournant du XXe siècle, faisant suite aux bouleversements intellectuels, scientifiques, sociétaux et artistiques avec lesquels l'impressionnisme a grandi. [...] Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
“Le Brésil illustré”L'héritage postcolonial de Jean-Baptiste Debretà la Maison de l'Amérique Latine, Parisdu 30 avril au 4 octobre 2025Entretien avec Jacques Leenhardt, philosophe et sociologue, directeur d'études à l'ehess – Paris, et commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 29 avril 2025, durée 21'06,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2025/05/14/3617_le-bresil-illustre_maison-de-l-amerique-latine/Communiqué de presseCommissariat : Jacques Leenhardt, associé à Gabriela Longman.Ce projet est inscrit dans la Saison France-Brésil 2025En 2025, la Maison de l'Amérique latine à Paris fait la part belle aux relations bilatérales France-Brésil au travers d'une saison culturelle dédiée. À partir du 30 avril 2025, elle présente, sous le commissariat de Jacques Leenhardt et Gabriela Longman, une importante exposition, consacrée au travail de critique et de resymbolisation des images du peintre Jean-Baptiste Debret (1768-1848) par une génération effervescente d'artistes brésiliens contemporains. Intitulée « Le Brésil illustré. L'héritage postcolonial de Jean-Baptiste Debret », l'exposition s'appuie sur les recherches récentes de Jacques Leenhardt (Rever Debret, Editora 34, São Paulo/Brésil, 2023), qui font partie d'une publication éponyme (Actes Sud, avril 2025).J.-B. Debret (1768-1848), peintre du cercle de J. L. David pendant la Révolution française et l'Empire, émigre en 1815 à Rio de Janeiro, reçu peintre officiel de la cour du Portugal déplacée dans sa colonie. Pendant 15 ans, il est témoin de la transformation de cette colonie en empire du Brésil. Rentré à Paris en 1831, il publie un livre amplement illustré, Voyage pittoresque et historique au Brésil, où sont révélées les aquarelles jusque-là tenues secrètes, réalisées durant son séjour, véritable sociologie en image de la vie quotidienne à Rio de Janeiro à l'heure de sa mutation. Un siècle plus tard, après que son livre a été censuré par la bibliothèque impériale, puis oublié pour avoir montré trop crûment la société esclavagiste, Voyage pittoresque et historique au Brésil est redécouvert, traduit et publié au Brésil (1940) avec un succès tel qu'il est devenu l'iconographie de référence sur cette période. L'ouvrage a été publié par l'Imprimerie Nationale en 2014.En 2022, les célébrations du Bicentenaire du Brésil incitent de nombreux artistes des nouvelles générations indigènes ou afro-descendantes à se confronter à ces images de leurs ancêtres et de leurs communautés. Comme ils ne se reconnaissent pas dans cette archive coloniale, ils s'en emparent pour la détourner, la carnavaliser, la resymboliser.[...] Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les références : Le ministère de la recherche veut sécuriser données et logiciels face au protectionnisme de Trump Communiqué de l'April : L'État doit créer et maintenir une forge publique des codes développés par l'administration Les droits de douane Trump relancent l'hypothèse d'une taxe GAFAM européenne La Commission européenne inflige d'importantes amendes à Meta et Apple, les premières dans le cadre du règlement visant à limiter le pouvoir des géants du numérique Meta va de nouveau entrainer ses IA sur les données des utilisateurs européens La base de données de vulnérabilités CVE a failli perdre son financement américain Le Signalgate offre une visibilité mondiale au logiciel libre de messagerie Quitter les Gafam en 2025, c'est possible : voici les meilleures alternatives L'association NOYB porte plainte contre Ubisoft pour violation du RGPD Article de l'April : Délais de mise en œuvre et précisions sur l'obligation de certification des logiciels de caisseVous pouvez mettre un commentaire pour l'épisode. Et même mettre une note sur 5 étoiles si vous le souhaitez. Et même mettre une note sur 5 étoiles si vous le souhaitez. Il est important pour nous d'avoir vos retours car, contrairement par exemple à une conférence, nous n'avons pas un public en face de nous qui peut réagir. Pour mettre un commentaire ou une note, rendez-vous sur la page dédiée à l'épisode.Aidez-nous à mieux vous connaître et améliorer l'émission en répondant à notre questionnaire (en cinq minutes). Vos réponses à ce questionnaire sont très précieuses pour nous. De votre côté, ce questionnaire est une occasion de nous faire des retours. Pour connaître les nouvelles concernant l'émission (annonce des podcasts, des émissions à venir, ainsi que des bonus et des annonces en avant-première) inscrivez-vous à la lettre d'actus.
Cher.e.s auditeurices des podcasts Studio Carton C,Récemment, Spotify a décidé d’appliquer un durcissement des règles en ce qui concerne l’utilisation de contenus protégés par le droit d’auteur. Nous avons récemment reçu des notifications de la part de Spotify pour atteinte aux droits d’auteur sur certains podcasts du réseau. En l’état, nos options sont la contestation, la suppression ou la modification des épisodes des émissions concernés.Nous sommes parfaitement conscient.e.s que la rémunération des artistes est un dû dès lors qu’une œuvre est utilisée de manière commerciale ou non. Ces métiers étant précaires par définition, il est juste que les artistes soient rémunéré.e.s, il ne s’agit pas de remettre en cause cet état de fait.Cependant, la décision de Spotify d’appliquer une solution injuste (à savoir la suppression pure et simple des épisodes incriminés en cas d’infraction) nous semble discutable. Nous parlons d’une plate-forme qui ne rémunère pas les artistes équitablement, nous parlons également d’une plate-forme qui accepte sans aucun problème de diffuser des contenus musicaux générés par IA, a hébergé et laissé en ligne des émissions complotistes, climatosceptiques ou encore d’ultradroite sans que celà ne lui pose problème.Ce double standard ne correspond ni à la direction que nous voulons donner à nos productions, ni aux valeurs que nos défendons. Nous n’avons ni le temps, ni les moyens, ni l’énergie de composer avec les décisions arbitraires d’une plate-forme à l’éthique douteuse, a fortiori lorsqu’il s’agit d’enrichir non pas les artistes, mais leurs circuits de diffusion. Nous sommes un réseau de podcasts indépendants auto hébergé. Spotify n’est pas propriétaire de nos émissions, encore moins de notre ligne éditoriale. Nous fournissons gratuitement nos émissions à nous auditeurices, et nous n’avons certainement pas d’obligations à les diffuser via des relais avec lesquels nous ne sommes pas en accord.Nous avons décidé de cesser la diffusion de nos productions sur Spotify à partir du 30/04/2025Nous vous invitons donc à continuer à nous suivre sur d’autres plate-formes comme nos sites respectifs, ou à vous abonner directement aux flux RSS de nos émissions. Les différents liens sont en description de cet épisode.Podcastement vôtres,Studio Carton C Pour continuer à nous suivre, vous pouvez : - Nous écouter sur le site de Pragmastick- Vous abonner directement au flux RSS de l'émission - Nous écouter sur Podcloud, Deezer ou Apple Podcast
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“Le monde selon l'IA”au Jeu de Paume, Parisdu 11 avril au 21 septembre 2025Entretien avec Antonio Somaini, professeur de théorie du cinéma, des médias et de la culture visuelle à l'Université Sorbonne Nouvelle et commissaire général de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 28 avril 2025, durée 16'50,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2025/05/10/3616_le-monde-selon-l-ia_jeu-de-paume/Communiqué de presse Commissaire général : Antonio SomainiCommissaires associés : Ada Ackerman, Alexandre Gefen, Pia ViewingLe Jeu de Paume présente, du 11 avril au 21 septembre 2025, une exposition explorant les liens entre intelligence artificielle et l'art contemporain, qui sera la première au monde de cette ampleur.Développées à vitesse accélérée dans tous les champs de la société, les intelligences artificielles suscitent aujourd'hui étonnement, frayeur, enthousiasme ou scepticisme.Le monde selon l'IA présente une sélection d'oeuvres d'artistes qui, au cours de ces dix dernières années, se sont emparés de ces questions en art, photographie, cinéma, sculpture, littérature… Elle d.voile des oeuvres – en grande parties inédites – d'artistes de la scène française et internationale tels Julian Charrière, Grégory Chatonsky, Agnieszka Kurant, Christian Marclay, Trevor Paglen, Hito Steyerl, Sasha Stiles,…De l' “IA analytique”, sur laquelle se fondent les systèmes de vision artificielle et de reconnaissance faciale, . l' “IA générative”, capable de produire de nouvelles images, sons et textes, l'exposition traite de la manière dont ces technologies bouleversent les processus créatifs, redéfinissent les frontières de l'art, sans oublier d'en interroger les enjeux sociaux, politiques et environnementaux. Des capsules temporelles jalonnent par ailleurs le parcours, sous forme de vitrines suggérant des liens historiques et généalogiques entre ces phénomènes contemporains et différents objets issus du passé. Au-delà de toute fascination technophile ou de rejet technophobe, le Jeu de Paume propose, à travers cette exposition, une réflexion sur la manière dont l'IA transforme notre rapport visuel et sensible au monde, comme nos sociétés.L'intelligence artificielle, notion introduite en 1955, désigne de nos jours l'apprentissage automatique qui transforme tous les domaines de la société, avec des applications remplaçant l'action humaine sur la détection, la prise de décision ou la création de contenus textuels et visuels. Ces avancées soul.vent des enjeux éthiques, économiques, politiques et sociaux, entre autres en matière de vie privée et de discrimination, tout en bouleversant notre rapport aux images et aux textes. Dans le domaine artistique, l'IA redéfinit les processus de création, de production et de réception, mettant en crise les notions de créativité, d'originalité et de droits d'auteur. Les artistes de l'exposition mobilisent ces technologies aussi bien pour interroger leurs conséquences sur l'art et la société que pour expérimenter de nouvelles formes possibles d'expression.[...] Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Click here to support the podcast American Steel is an influential punk rock band from Oakland, California, formed in 1995 by Rory Henderson and Ryan Massey. Known for blending melodic punk with elements of hardcore and folk influences, the group released notable albums like "Rogue's March" and "Jagged Thoughts" on Lookout! Records before moving to Fat Wreck Chords for later releases. After a hiatus in the early 2000s, during which members formed the band Communiqué, American Steel reunited in 2007 and continued to be recognized for their thoughtful lyrics and distinctive vocal harmonies. Their music is characterized by catchy hooks, energetic performances, and a sound that evolved from raw punk to more polished rock while maintaining their emotional intensity and political consciousness. Quitting drinking Tony Sly The band's mission statement Getting on Lookout! Rogue's March Getting kicked out Communique Getting on Fat Touring with the Lawrence Arms Toby from Red Scare Records Tips for giving merch sales to clubs when you're a band And a ton more Lastly if you're looking to advertise to a TON of New Jersey folk who love beer, tattoos, vinyl, and spending their hard earned cash then email me at thiswasthescene@gmail.com. I have pricing starting at $20 so just hit me up.
For our season five behind-the-scenes episode, the cast and crew of Mission: Rejected answer questions submitted by fans from all over the world! From what the actors think their characters look like to deep dives into how we mix the show, it's a soup-to-nuts look at everything that goes into making the show!Answering your questions are: J. Michael DeAngelis, Pete Barry, John Dowgin, Dave Stanger, Paige Klaniecki, Faith Dowgin, Bob Killion, Nazli Sarpkaya, and Chris KlanieckiPatreon members heard a longer, completely uncut version of this episode! Join today for more behind-the-scenes insights, bonus audios, and much more!Produced and Edited byJ. Michael DeAngelisMusic and sound effects byPete Barry"Mission: Rejected" created and produced byPete Barry & J. Michael DeAngelis & John DowginAssociate Producer: Paige Klaniecki
“Lisa Sartorio” Les désoeuvréesà la galerie binome, Parisdu 16 avril au 14 juin 2025Entretien avec Lisa Sartorio,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 15 avril 2025, durée 17'33,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2025/05/08/3614_lisa-sartorio_galerie-binome/Communiqué de presse En 1916, dans l'une de ses fameuses notes, Marcel Duchamp définissait par l'exemple le « ready-made réciproque » : « Se servir d'un Rembrandt comme planche à repasser. » À l'inverse des ready-made bien connus, le ready-made réciproque entendait convertir une oeuvre d'art en objet utilitaire. Comme les ready-made, il n'introduisait pas une différence de degré mais de nature avec l'objet d'origine : ce dernier ne devenait pas plus ou moins ce qu'il était déjà, il était dénaturé. Le ready-made réciproque n'est resté, pour l'anartiste Duchamp, qu'une hypothèse. Sa postérité n'en est pas moins immense car, de nos jours, il n'est pas un chef-d'oeuvre, de Rembrandt ou autre, que l'industrie culturelle n'ait converti, au mieux en bijou, boîte, assiette ou tasse, au pire en set de table, coque de smartphone, ruban adhésif ou papier hygiénique… Autant d'objets qui, par leur prolifération, s'imposent dans notre quotidien comme les nouveaux modes d'existence des oeuvres originelles, au point d'effacer, quand nous les connaissons, la réalité de ces dernières de nos mémoires.Le récent travail de Lisa Sartorio porte sur la dénaturation de l'art opérée, à l'ère du consumérisme culturel et touristique, par ces ready-made réciproques que sont les produits dérivés. L'artiste s'était déjà intéressée au devenir image des oeuvres d'art quand, en 2013, elle avait collecté sur internet des centaines de reproductions différentes de la Joconde, oeuvre comme il se doit la plus partagée sur les réseaux, pour créer une composition abstraite. Aujourd'hui, les quatre corpus qui forment Les Désoeuvrées sont consacrés à leur devenir objet.Pour constater l'ampleur du phénomène, Lisa Sartorio a commencé par réunir, toujours grâce à internet, les produits dérivés de deux chefs-d'oeuvre, Amandier en fleurs (1890) de Vincent van Gogh et Le Baiser (1908-1909) de Gustav Klimt, dont elle a assemblé les images dans des compositions saturées qui, en dépit de l'homogénéité du motif, laissent apparaître la diversité des objets commercialisés, y compris des chaussures, escarpins ou baskets, pour le tableau de Van Gogh, ou un parapluie, des collants et un skateboard pour celui de Klimt. Une fois imprimées, elle a utilisé ces compositions pour confectionner des objets en trois dimensions en les moulant sur de la vaisselle, des bouteilles, ustensiles de cuisine, téléphones, tongs, etc., qu'elle a agencés dans l'espace. Elle a ensuite photographié ces natures mortes en variant les lumières pour souligner la matérialité de ces objets. Mais cette matérialité, apparente dans les deux dimensions de la photographie, est feinte car, et c'est ce qui importe, ces objets sont creux : le geste de l'artiste, qui fait écho à la perte de réalité de l'oeuvre désoeuvrée en produit dérivé, a consisté à retirer le moule qui, faut-il le rappeler, s'appelle aussi l'âme. [...] Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
“Mission Dakar-Djibouti [1931-1933] : Contre-enquêtes”au musée du quai Branly – Jacques Chirac, Parisdu 15 avril au 14 septembre 2025Entretien avec Eric Jolly, Directeur de recherche, CNRS, et commissaire associé de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 14 avril 2025, durée 26'10,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2025/04/28/3612_dakar-djibouti_musee-du-quai-branly-jacques-chirac/Communiqué de presse Commissaire générale :Gaëlle Beaujean, Responsable de collections Afrique, musée du quai Branly – Jacques ChiracCommissaires associés :Julien Bondaz, Maître de conférences, Université Lyon 2Claire Bosc-Tiessé, Directrice de recherche au CNRS, Directrice d'études, EHESSHugues Heumen, Professeur et directeur, musée national du CamerounDidier Houénoudé, Professeur, Université d'Abomey-Calavi, BéninDirecteur scientifique des collections de l'Etat de Saxe (Allemagne)Eric Jolly, Directeur de recherche, CNRSAimé Kantoussan, Chargé de recherche, musée des civilisations noires, Dakar, SénégalDaouda Kéita, Directeur général, musée national du MaliMarianne Lemaire, Chargée de recherche, CNRSMame Magatte Sène Thiaw, Chargée de recherche, musée des civilisations noires, Dakar, SénégalSalia Malé, Directeur de recherche et ancien directeur général adjoint du musée national du Mali, MaliSisay Sahile Beyene, Professeur, Université de Gondar, ÉthiopieL'exposition Mission Dakar-Djibouti (1931-1933) : contre-enquêtes explore l'une des missions ethnographiques les plus emblématiques de l'histoire de l'ethnologie française, au coeur des collections Afrique du musée de l'Homme puis du musée du quai Branly – Jacques Chirac.Cette initiative revisite, à travers un prisme contemporain, les conditions de collecte et les récits souvent ignorés de cette traversée d'ouest en est de quinze pays africains – selon leurs frontières actuelles : Sénégal, Mali (nom colonial du territoire : Soudan français), Burkina Faso (Haute-Volta), Bénin (Dahomey), Niger, Nigeria, Tchad, Cameroun, République centrafricaine (Oubangui-Chari), République Démocratique du Congo (Congo belge), Soudan du Sud et Soudan (Soudan anglo-égyptien), Éthiopie, Érythrée et Djibouti (Côte française des Somalis). En 1931, ces pays étaient sous domination coloniale européenne à l'exception de l'Ethiopie indépendante.Conduite par l'ethnologue français Marcel Griaule, la « mission ethnographique et linguistique Dakar-Djibouti », ainsi qu'elle fut dénommée à l'époque, se voulait pionnière, introduisant des méthodes novatrices d'enquêtes ethnographiques en France avec la volonté de rapporter des informations, des images, des objets de cultures africaines censées disparaître sous l'effet de la colonisation. Cependant, ses pratiques, qui s'inscrivaient dans un cadre colonial, ont soulevé des questions éthiques, notamment sur les conditions d'acquisition d'objets ainsi que sur les relations de pouvoir entre colonisés et coloniaux.Composée de onze membres, la mission réunit pour trois institutions parisiennes – le Muséum national d'Histoire naturelle et son annexe, le musée d'ethnographie du Trocadéro, ainsi que la Bibliothèque nationale – environ 3600 objets et 6600 spécimens naturalistes, 370 manuscrits, 70 ossements humains et produit près de 6 000 photographies, des enregistrements sonores, des films et plus de 15 000 fiches d'enquête.[...] Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Life in the Peloton is proudly brought to you by MAAP You can also watch this episode over on my YouTube channel here! The chaos of the Cobbled Classics is over for another season. From Omloop, through E3 and Wevelgem, Flanders, and then the big one - Paris Roubaix; these are the biggest and best races on the calendar for me, so I was super excited to sit down with Tom Southam and Luke Durbridge to break down this year's edition of Paris Roubaix in this month's Race Communique. This year's Roubaix was an absolute cracker; totally flat out from the gun. Even before Arenberg - where the race used to really kick off back in my day - the bunch was strung out and the real favourites were taking huge chunks out of each other. Tom, Luke, and I run through the riders that really made this race such an epic edition. Of course, it was dominated by Mathieu Van Der Poel on his way to his third victory in a row, but what about Pogačar?! His first go at Roubaix and he's up there rubbing shoulders with the big boys, and I literally mean the big boys; he's ten kilos lighter than most of these guys! Southam made a good point actually; is he going to be carrying some extra timber into the Ardennes that kick off next week? Of course, we also had the women's race the day before. That's something I love about Roubaix; the men's and women's races being on different days means we get a whole weekend of Paris-Roubaix action! What a cool race, with absolute legend Pauline Ferrand-Prévot putting her immense off-road skills to use to become the first French rider to list that big cobblestone since Frédéric Guesdon in 1997. I absolutely loved to see the GOAT herself; Marianne Vos, riding in support of her Visma LAB team mate; for me, that's what makes her a true champion. Obviously, there's been other races going on aside from the cobbled classics. We wanted to talk briefly about the Tour of the Basque country, and for good reason; after a few years in the wilderness, Caleb Ewan is winning at the highest level again. What a move that transfer to Ineos turned out to be! It's so cool to see Caleb getting his hands in the air again, and I think it represents a real shift in mentality at Ineos - who have been looking a bit lost for a few seasons now. Southam was actually down in the Basque country in the car for EF Pro cycling - who knocked out a stage win with young Ben Healy - so he gives us a quick breakdown of the race in this week's Talking Tactics. Healy's win came after a ridiculous 57km solo move, so this month Tom's talking about the art of the solo breakaway. We see these long range attacks sticking more and more these days; with everyone aero optimised and more and more data and information being fed to riders. Southam compared his view from the car to being behind a rider in a TT, and being able to feed him really accurate cues about the course ahead played a huge part in Healy's win. Poor old Durbo got a bit cut off in this month's Pelo Chat, so we rolled it in ahead of the Communi-Quiz! Durbo wanted to talk about race programmes, and how the teams decide who's racing where. Of course, the Spring Classics is a savage block of racing; and plenty of riders don't make it all the way to the end owing to sickness or injury, which creates plenty of headaches for team directors trying to pull together squads at short notice. As always, we wrapped up with the Communi-Quiz. Hosted by Durbo, it's a Roubaix themed ‘Who Am I?'. I've won a stage and the overall at the Tour of Beijing and Paris Roubaix - who am I?.....you'll have to listen to this month's Race Communique to find out. Well, guys, that's the Cobbled Classics done and dusted. The Ardennes are about to kick off to round out a monster Spring of racing which can mean only one thing; the next time I sit down to talk to Southam and Durbo will be in May just before the first Grandy of the year; The Giro d'Italia. The Race Communiqué is brought to you by TrainingPeaks! Track, plan, and train smarter—just like the pros. Get 20% off TrainingPeaks Premium now at www.trainingpeaks.com/partners/life-in-the-peloton/. Chapters 00:00:00 - Intro 00:07:34 - Race Recap 00:42:05 - Talking Tactics 00:51:10 - Pelo Chat 00:58:56 - Communi-Quiz: Who am I? Until then, Cheers, Mitch
Chaque jour, en quelques minutes, un résumé de l'actualité culturelle. Rapide, facile, accessible.Notre compte InstagramDES LIENS POUR EN SAVOIR PLUSProcès Meta : Ouest-France, l'Humanité, Libération, Le HuffpostFestival du Livre : [Syndicat National de l'Edition](https://www.sne.fr/actu/114-000-visiteurs-pour-la-4e-edition-du-festival-du-livre-de-paris-de-retour-au-grand-palais/#:~:text=Communiqué partenaire-,114 000 visiteurs pour la 4e édition du Festival du,avaient moins de 25 ans.), FranceinfoEnchères JO 2024 : Ouest-France, BFMTVProchain album Lorde : Vogue, PitchforkMario Vargas Llosa : RTL, Radio FranceHausse prix PS5 : BFM Tech&Co, Le FigaroÉcriture : Lisa ImpératriceIncarnation : Blanche Vathonne Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les références : Les ressources de l'association fable-Lab pour être plus libre grâce aux mots. L'imagier L'essentiel du numérique Communiqué : Nous rendons leur liberté à nos imagiers bien aimés.Vous pouvez mettre un commentaire pour l'épisode. Et même mettre une note sur 5 étoiles si vous le souhaitez. Et même mettre une note sur 5 étoiles si vous le souhaitez. Il est important pour nous d'avoir vos retours car, contrairement par exemple à une conférence, nous n'avons pas un public en face de nous qui peut réagir. Pour mettre un commentaire ou une note, rendez-vous sur la page dédiée à l'épisode.Aidez-nous à mieux vous connaître et améliorer l'émission en répondant à notre questionnaire (en cinq minutes). Vos réponses à ce questionnaire sont très précieuses pour nous. De votre côté, ce questionnaire est une occasion de nous faire des retours. Pour connaître les nouvelles concernant l'émission (annonce des podcasts, des émissions à venir, ainsi que des bonus et des annonces en avant-première) inscrivez-vous à la lettre d'actus.
“Matisse et Marguerite” Le regard d'un pèreau Musée d'Art moderne de Parisdu 4 avril au 24 août 2025Entretien avec Charlotte Barat-Mabille, commissaire d'exposition au Musée d'Art Moderne de Paris, et co-commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 14 avril 2025, durée 20'52,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2025/04/23/3611_matisse-et-marguerite_musee-d-art-moderne-de-paris/Communiqué de presse Commissaires :Isabelle Monod-Fontaine, conservatrice générale du patrimoine honoraireHélène de Talhouët, docteure en histoire de l'art contemporain, enseignante-chercheuseCharlotte Barat-Mabille, commissaire d'exposition au Musée d'Art Moderne de Paris« Au temps de mon père, on vivait avec son drame quotidien, qui était la peinture. » Marguerite Duthuit-Matisse, 1970Le Musée d'Art Moderne de Paris présente une exposition inédite d'Henri Matisse (1869-1954), l'un des plus grands artistes du XXème siècle. Rassemblant plus de 110 oeuvres (peintures, dessins, gravures, sculptures, céramique), elle propose de montrer le regard d'artiste et de père que Matisse porte sur sa fille aînée, Marguerite Duthuit-Matisse (1894-1982), figure essentielle mais discrète de son cercle familial.L'exposition présente de nombreux dessins rarement sinon jamais montrés au public, ainsi que d'importants tableaux venus de collections américaines, suisses et japonaises exposés en France pour la première fois. Des photographies, documents d'archives et oeuvres peintes par Marguerite elle-même complètent l'évocation de cette personnalité méconnue du grand public.Depuis les premières images de l'enfance jusqu'à la fin de la Seconde Guerre mondiale, Marguerite demeure le modèle de Matisse le plus constant – le seul à avoir habité son oeuvre au cours de plusieurs décennies. Porteurs d'une franchise et d'une intensité remarquables, ses portraits trahissent une émotion rare, à la hauteur de l'affection profonde que Matisse portait à sa fille. L'artiste semblait voir en elle une sorte de miroir de lui-même, comme si, en la dépeignant, il accédait enfin à l'« identification presque complète du peintre et de son modèle » à laquelle il aspirait.Organisée de manière chronologique, l'exposition témoigne de la force du lien qui unissait l'artiste et sa fille, et permet d'appréhender l'immense confiance et le respect qu'ils se vouaient mutuellement. Elle est aussi l'occasion de découvrir le destin fascinant d'une femme hors du commun, qui joua un rôle de premier plan dans la carrière de son père.[...] Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Communiqué officiel Pokemon France sur evolutions prismatiques N'hésite pas à échanger en commentaire ou sur mes réseaux :Pour t'inscrire sur Whatnot : https://whatnot.pxf.io/1rx5XdInstagram : https://www.instagram.com/alex_tcg_22/Tik Tok : https://www.tiktok.com/@alextcg22?lang=enTwitch : https://www.twitch.tv/alex_tcg_22aEbay : https://www.ebay.com/usr/alexleri-0Twitter : https://twitter.com/Alexandre_L_RFacebook : https://www.facebook.com/people/Alex_TCG_22/100084728982375/Vous pouvez me soutenir sur Patreon : https://www.patreon.com/alex_tcg_22
Bienvenue dans un autre épisode de notre série sur LE COMMUNIQUÉ.Beaucoup pensent que rédiger un bon communiqué est complexe.Pourtant, après plus de 30 ans d'expérience, je peux vous assurer que les plus simples sont les plus efficaces.Le communiqué est simplement un outil pour faciliter le travail des journalistes, des chroniqueurs et des influenceurs. Le communiqué demeure l'outil no 1 des relations publiques.C'est à partir de ce texte qu'ils parleront de vous et de vos produits.Mais atteindre la simplicité demande un savoir-faire. Un communiqué n'est pas une œuvre littéraire : il doit aller droit au but et capter l'attention.Avec les outils d'intelligence artificielle qui évoluent rapidement, il est plus facile que jamais de rédiger un communiqué.Encore faut-il savoir juger si le résultat est efficace. Si vous vous fiez uniquement à l'IA sans comprendre ce qui fait un bon communiqué, votre message risque de passer à côté de son objectif.À laNATA PR SCOOL, nous vous apprenons à rédiger des communiqués percutants qui vendent.Nous utilisons aussi l'IA, mais avec un regard critique : nous relisons, ajustons et améliorons chaque texte.L'important est de choisir les bons mots, ceux qui vous représentent vraiment et qui marquent les esprits.Rédiger un communiqué est un excellent exercice pour clarifier votre message.Nous sommes tous fascinés par l'IA et je sais que plusieurs de nos clients tentent de voir comment utilsier ses nouveaux outils qui vont rêver et nous laisse croire que nous pourrons remplacer plusieurs de nos employés.Je suis convaincue que ceux qui ne seront pas remplacé sont ceux qui détiennent la connaissance.Continuer d'apprendre, soyer curieux. Pour découvrir à votre ryhume et selon votre hoaire ce que sont les relations publiques, je vous invite à découvrri notre formation express :RP 101- un atelier de 30 minutes à 19,95 $.Les relations publiques ne vont pas disparaître et mieux les comprendre vous donnera une longueur d'avance sur vos concurrents.J'ai débuté ma carrière en tant que professionnel du marketing et je me suis passionnée pour les relations publiques au fil de mes expériences où je n'avais pas toujours les budgets pour recruter un expert ou une agence. Soyez-curieux, allez voir notre formation RP 101 et dites-moi ce que vous en pensez.Des questions ? Contactez-moi à nata@natapr.comN RP 101 - ATELIER DE 30 MINUTES➤ https://bit.ly/4cI3aRuLE MODÈLE NATA PR GRATUIT ➤ https://prschool.natapr.com/Le-Modele-NATA-PRINSCRIVEZ-VOUS À NOTRE INFOLETTRE ➤ www.natapr.comFAITES PARLER DE VOUS GRATUITEMENT ➤ https://prschool.natapr.com/evergreen_frINSTAGRAM ➤
“Le Paris d'Agnès Varda“ de-ci, de-làau musée Carnavalet – Histoire de Paris, Parisdu 9 avril au 24 août 2025Entretien avecAnne de Mondenard, conservatrice générale du patrimoine, responsable du département Photographies et Images numériques du musée Carnavalet – Histoire de Paris et commissaire scientifique de l'expositionpar Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 8 avril 2025, durée 20'48.© FranceFineArt.https://francefineart.com/2025/04/14/3609_agnes-varda_musee-carnavalet-histoire-de-paris/Communiqué de presseCommissariat généralValérie Guillaume, directrice du musée Carnavalet – Histoire de ParisCommissariat scientifiqueAnne de Mondenard, conservatrice générale du patrimoine, responsable du département Photographies et Images numériques du musée Carnavalet – Histoire de Paris« Il m'est naturel d'aller de-ci, de-là, de dire quelque chose puis le contraire, et de me sentir moins piégée parce que je ne choisis pas une seule version des choses. » Agnès Varda, Varda par Agnès (2e édition), Paris, La Martinière, 2023, p. 183.L'exposition Le Paris d'Agnès Varda, de-ci, de-là aborde l'oeuvre d'Agnès Varda (1928-2019) sous un angle inédit. Elle met en valeur l'œuvre photographique encore méconnue de l'artiste et révèle la place primordiale de la cour-atelier de la rue Daguerre (Paris 14e), lieu de vie et de création, de 1951 à 2019. Plus généralement, elle montre l'importance de Paris dans une oeuvre libre et foisonnante qui ne cède jamais à la facilité et fait merveilleusement dialoguer documentaire et fiction.Fruit d'un travail de recherche de plus de deux ans, l'exposition s'appuie essentiellement sur le fonds photographique d'Agnès Varda – en partie conservé par l'Institut pour la photographie des Hauts-de-France – et les archives de Ciné-Tamaris. Elle met en regard l'oeuvre de la photographe avec celle de la cinéaste à travers un ensemble de 130 tirages, dont de nombreux inédits, et des extraits de films entièrement ou en partie tournés à Paris. Elle présente également des publications, des documents, des objets ayant appartenu à l'artiste, des affiches, des photographies de tournage ainsi qu'une sculpture de sa chatte Nini.Après avoir révélé les premiers pas d'Agnès Varda comme photographe, le parcours propose une première immersion dans la cour-atelier, à l'époque où elle est à la fois un studio de prise de vue, un laboratoire de développement et de tirages et le lieu de sa première exposition personnelle en 1954.La même cour est revisitée dans les années 1960, à l'époque où Agnès Varda la partage avec le cinéaste Jacques Demy, quand elle est fréquentée par des personnalités du cinéma après avoir accueilli des gens de théâtre.[...] Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les références : Communiqué de la présidente : Make April Great Again Libre and Independant Annonce concernant le jeu Sales Gosses de Gee : Des Bratcoins pour débloquer les skins ! La Corée du Nord développe sa propre distribution GNU/LINUX, KimjongUbuntu La tasse connectée NoKaWa Après son pacte du logiciel libre, l'April fait un partenariat avec un cabinet de conseil Épidémie de diarrhée à OpenAI : ChatGPT officiellement renommé « Chat-jmesuisfaitdessus » Elon Musk envoyé par erreur dans l'espace Bill Gates aperçu au zoo de Cincinati en train de lancer des cailloux à un groupe de manchots Firefox vient d'être renommé « Ginger Panda » Coup de tonnerre dans le petit monde des éditeurs de textes : VI intégrera désormais une croix pour fermer le programme Framasoft poursuivi en justice par EDF pour violation du droit des marques après avoir lancé son fromage libre, la Framatome de SavoieVous pouvez mettre un commentaire pour l'épisode. Et même mettre une note sur 5 étoiles si vous le souhaitez. Et même mettre une note sur 5 étoiles si vous le souhaitez. Il est important pour nous d'avoir vos retours car, contrairement par exemple à une conférence, nous n'avons pas un public en face de nous qui peut réagir. Pour mettre un commentaire ou une note, rendez-vous sur la page dédiée à l'épisode.Aidez-nous à mieux vous connaître et améliorer l'émission en répondant à notre questionnaire (en cinq minutes). Vos réponses à ce questionnaire sont très précieuses pour nous. De votre côté, ce questionnaire est une occasion de nous faire des retours. Pour connaître les nouvelles concernant l'émission (annonce des podcasts, des émissions à venir, ainsi que des bonus et des annonces en avant-première) inscrivez-vous à la lettre d'actus.
“Dessins de bijoux” Les secrets de la créationau Petit Palais, Parisdu 1er avril au 20 juillet 2025Entretien avec Clara Roca, conservatrice des arts graphiques après 1800 et des photographies – Petit palais, et commissaire scientifique de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 31 mars 2025, durée 24'56,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2025/04/04/3608_dessins-de-bijoux_petit-palais/Communiqué de presseCommissariat généralAnnick Lemoine, conservatrice générale, directrice du Petit Palais.Commissariat scientifiqueClara Roca, conservatrice des arts graphiques après 1800 et des photographies.Le Petit Palais présente l'exposition Dessins de bijoux. Les secrets de la création et dévoile pour la première fois la richesse de cette collection, sortie de ses réserves et couvrant plus d'un siècle de création, de la seconde moitié du XIXe au milieu du XXe siècle.Le musée révèle la diversité et l'ampleur de ce patrimoine constitué depuis la fin des années 1990 à travers une sélection exceptionnelle de dessins, réalisée parmi plus de 5500 oeuvres. Des feuilles de créateurs à redécouvrir, comme Pierre-Georges Deraisme et Charles Jacqueau, et des maisons prestigieuses telles que Boucheron, Cartier, Rouvenat et Vever témoignent de l'évolution des styles et des techniques dans le domaine de la joaillerie.Après L'art du pastel (2017-2018), Édition limitée (2021), Trésors en noir & blanc (2023-2024), le Petit Palais poursuit avec cette exposition la mise en lumière de son fonds exceptionnel d'arts graphiques.Dessins de bijoux propose aux visiteurs un véritable voyage dans un atelier de création, grâce à un parcours qui se déploie en quatre grandes sections.Le visiteur est invité à plonger dans l'univers imaginaire des dessinateurs de bijoux qui puisent leur inspiration directement de l'observation de la nature mais aussi de recueils d'ornements qui véhiculent des formes décoratives issues de différentes époques et régions du monde. Carnets d'esquisses, planches de motifs, livres… immergent le visiteur dans ce monde foisonnant.L'exposition se veut également pédagogique, offrant un éclairage sur les différentes étapes de la création d'un bijou : de l'esquisse rapide au dessin final, à l'échelle 1 et mis en couleur. Cette deuxième section s'attache à présenter la manière dont se mêlent rigueur technique et sens artistique dans la conception de ces objets précieux. Une sélection de dessins à la gouache particulièrement séduisants met en valeur l'Art nouveau et l'Art déco. Une vidéo réalisée à la Haute École de Joaillerie dévoile les gestes précis et intemporels des gouacheurs faisant ressortir la beauté et la maîtrise de leur savoir-faire.Véritables oeuvres collectives, les bijoux naissent de la collaboration de nombreux corps de métiers : dessinateurs, modeleurs, graveurs, ciseleurs, reperceurs, émailleurs, joailliers, sertisseurs, enfileurs ou encore polisseurs. La troisième section évoque cette synergie, en exposant les dessins en regard des bijoux finis dont certains sont issus des collections du Petit Palais comme « Le Pendentif Sycomore » (1910) ou « La Bague insectes » (1903) de Georges Fouquet. Ce dialogue entre le papier et le métal révèle la complexité du travail de chaque main et la beauté du processus créatif.[...] Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
“Christian Krohg (1852-1925)“ Le peuple du Nordau Musée d'Orsay, Parisdu 25 mars au 27 juillet 2025Entretien avecServane Dargnies-de Vitry, Conservatrice en chef Peinture, musée d'Orsay, et co-commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 24 mars 2025, durée 24'56.© FranceFineArt.https://francefineart.com/2025/04/04/3606_christian-krohg_musee-d-orsay/Communiqué de presse Commissariat :Servane Dargnies-de Vitry, Conservatrice en chef Peinture, musée d'OrsayVibeke Waallann Hansen, Senior curator, Nasjonalmuseet, OsloAprès Edvard Munch. Un poème de vie, d'amour et de mort (2022) et Harriet Backer. La musique des couleurs (2024), le musée d'Orsay clôt une trilogie consacrée à l'art norvégien du tournant du xxe siècle avec l'exposition Christian Krohg. Le Peuple du Nord.Il s'agit de la toute première rétrospective de l'artiste en dehors de la Scandinavie, venant à la suite de plusieurs expositions à Oslo et Lillehammer en 2012, puis à Copenhague en 2014. En mettant en lumière les oeuvres naturalistes et engagées de Krohg, le musée offre une nouvelle perspective sur l'art norvégien de la fin du XIXe et du début du XXe siècle. À travers un panorama approfondi du parcours artistique de Krohg, l'exposition s'attache à révéler sa modernité picturale et son engagement humaniste. Bohème et fervent défenseur des causes politiques et sociales de son époque, Krohg, également écrivain et journaliste, dépeint avec une profonde empathie la condition du peuple scandinave, le monde du travail, la misère, ainsi que les injustices subies par les femmes.« Le seul peintre capable de descendre de son trône et d'éprouver de la compassion sincère pour ses modèles » Edvard MunchLe parcours de l'exposition met en valeur ses liens picturaux avec les artistes français que Krohg découvre lors de ses séjours parisiens – notamment Gustave Courbet, Edouard Manet et les impressionnistes. Dans sa série des ma rins, poursuivie tout au long de sa vie, comme dans ses scènes de genre ou dans ses portraits, Krohg cherche à donner à ses oeuvres un sentiment d'immédiateté en utilisant des compositions déséquilibrées, des cadrages audacieux et des postures dynamiques. Son credo, « tout est une question de cadrage », est le fondement d'une recherche artistique d'une grande modernité. Membre de la bohème provocatrice de Kristiania – l'ancien nom d'Oslo –, Krohg fait polémique et scandale auprès de la bourgeoisie et des élites artistiques. Le visiteur découvrira dans l'exposition les portraits que l'artiste réalise des membres de ce milieu bohème et libertaire, ces jeunes artistes, écrivains et intellectuels qui se réunissent dans les cafés de la capitale et contestent avec vigueur la structure sociale dominante.Un Zola norvégien ?En 1886, Krohg publie son roman Albertine, histoire d'une ouvrière violée devenue prostituée, roman que la police saisit rapidement au motif qu'il porte atteinte aux bonnes moeurs. Malgré les controverses, Krohg défend sa liberté d'expression contre la censure. Il réalise alors son tableau le plus important, la grande toile Albertine tirée de son roman, poussant la provocation jusqu'à engager des prostituées comme modèles. Peu d'oeuvres d'art norvégiennes ont suscité un débat aussi intense, par la mise en lumière d'une facette particulièrement sombre de la société norvégienne. [...] Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Life in the Peloton is proudly brought to you by MAAP You can also watch this episode over on my YouTube channel here! Well, guys, it's that time again; The Race Communique is back and, of course, we kick this one off by unpacking an absolutely huge edition of Milan San Remo! Three absolute titans of the sport (me, Southam, and Durbo) come together to talk about the first monument of the season. We got to witness, as Pipo Ganna called them ‘Gods of cycling' go toe to toe on the slopes of the Cipressa and the Poggio and, boy, did it exceed expectations. The confidence and arrogance of Pog trying to go from the foot of the Cipressa, the absolute ice man that is Van Der Poel responding to his every move, and Ganna showing what an absolute animal he is to hang tough with the big boys on the climbs. We talk all about it and, I'll tell you what, I honestly think that's the best edition I've ever seen. Durbo's Pelo Chat takes a look at the ‘Superteams' of the sport - the guys with cash to burn like UAE or Visma who can pick up the best riders; money no object. But are the superteams good or bad for the sport, and is riding for one of them actually all it's cracked up to be? In this month's Talking Tactics, Southam fills us in on the upcoming UCI meeting to discuss whether additional wild cards should be issued for the biggest races. Now that some of the biggest riders, the likes of Pidcock, Hirschi, and Alaphilippe, have stepped down to ProTeam level, race organisers are stuck between a rock and a hard place if they want to keep the classic second division teams happy whilst also getting the fan favourites at their races. Plus, the UCI undermining all the hard work the lower ranked World Tour teams over the last few years to avoid relegation - it's absolute chaos. Of course, we wrap things up with the Communi-quiz. Southam's quiz master this month, and he's bought out the race commentary clips for Durbo and I to guess the rider and the race. This is a real toughy, but you racing nuts out there will love it. You guys know by now how much I love sitting down with Luke and Tom to yarn about the races. As always make sure you sit back, relax, crack open a cold one, and enjoy this month's Race Communique. The Race Communiqué is brought to you by TrainingPeaks! Track, plan, and train smarter—just like the pros. Get 20% off TrainingPeaks Premium now at www.trainingpeaks.com/partners/life-in-the-peloton/. Cheers! Mitch Chapters 00:00:00 - Intro & Milan-San Remo Recap 00:17:19 - Rider of the Day & Big Surprises 00:20:51 - The Cobbled Classics Preview 00:32:53 - Pelo Chat with Luke Durbridge: The Rise of Superteams 00:35:08 - Visma vs UAE: Who Has the Upper Hand? 00:44:51 - Talking Tactics with Tom Southam: Wildcard Chaos 00:01:29 - Communi-Quiz: Guess the Race Commentary Challenge I'VE WRITTEN A BOOK! The Life in the Peloton book is OUT NOW! Get your copy now exclusively at maap.cc! Can't wait for you to read it. JOIN US IN THE PELO Where do you sit in the PELO? Come and join the Life in the Peloton membership.
Bienvenue dans le premier épisode de notre série sur LE COMMUNIQUÉ.Aujourd'hui, nous abordons un sujet crucial : "Personne n'attend votre communiqué".À moins d'être une célébrité, les journalistes ne sont pas assis devant leur boîte mail en attendant votre dernier communiqué de presse.Pourtant, cela ne signifie pas que votre communiqué n'a pas d'importance. Au contraire, c'est un outil puissant pour définir et contrôler le message que vous souhaitez transmettre au public et aux médias.Le syndrome du communiqué oublié est malheureusement trop courant.Pourquoi tant de communiqués de presse finissent-ils ignorés dans les boîtes de réception des journalistes ?Souvent, un mauvais ciblage fait que le message n'atteint pas les bonnes personnes au bon moment.Des informations peu pertinentes diluent l'impact potentiel de votre histoire.Et un timing inadéquat peut faire en sorte que votre communiqué soit enterré sous une avalanche d'autres actualités.Le communiqué est pour nous d'abord et avant tout un outil qui nous permet de déterminer ce que le client souhaite communiqué.Souvent nous modifions profondément leur perception de ce qu'est un communiqué efficace.Ce n'est pas dans cet outil que l'on raconte toute l'histoire de votre entreprise puisqu'il s'agit ici principalement de :Définir la nouvelleTrouver quel sera le titre le plus simple et captivantChoisir les informations pertinentes et éliminer le superfluPour qu'un communiqué soit utile aux journalistes, il doit être clair, concis et pertinent.Assurez-vous qu'il réponde aux questions essentielles : qui, quoi, où, quand, pourquoi et comment.Offrez un angle intéressant, des chiffres clés , des statistiques et des citations percutantes pour capter leur attention.Un bon communiqué doit aller à l'essentiel : évitez le jargon, privilégiez un langage direct et mettez en avant l'information principale dès les premières lignes.Inclure un contact accessible et des éléments complémentaires (prioriser les photos) peut aussi faire la différence.Un communiqué bien conçu a bien plus de chances d'être repris et transformé en article.Il faut tout simplement se rappeler que le communiqué est un outil qui sert à faciliter la tâche des journalistes s'ils choisissent de parler de vous et de vos nouveautés. Alors peut-être que « Personne n'attend votre communiqué », mais c'est encore aujourd'hui un outil essentiel.Des questions ? Contactez-moi à nata@natapr.com N RÉDIGER DES COMMUNIQUÉS VENDEURS➤ https://prschool.natapr.com/pl/2147718377LE MODÈLE NATA PR GRATUIT ➤ https://prschool.natapr.com/Le-Modele-NATA-PRINSCRIVEZ-VOUS À NOTRE INFOLETTRE ➤ www.natapr.comRP 101 - ATELIER DE 30 MINUTES➤ https://bit.ly/4cI3aRu
Les références : Les assemblées générales de l'April L'April publie son rapport d'activité 2024 Publication des statuts inclusifs de l'April Contrat Microsoft et Éducation nationale, école polytechnique) L'Éducation nationale signe pour au moins 74 millions d'euros de solutions et services Microsoft Polytechnique et ministère de l'Éducation Nationale : le CNLL exige l'arrêt immédiat des migrations vers Microsoft 365 Communiqué de l'April Mastodon Mastodon : Après son départ de X, les conseillers parisiens proposent que Paris crée un serveur mastodon Pourquoi les médias devraient créer des serveurs Mastodon maintenant vidéo de la soirée Numerikoff2025 SNCF, Deutsche Bahn et CFF sur la voie de l'interopérabilité open source Le Point et Wikipédia « Le Point » en guerre ouverte contre Wikipédia Le Point contre Wikipédia : un appel médiatique doublé d'une mise en demeure « Quand on rejoint Wikipédia, c'est pour rendre le monde meilleur, pas pour brimer ou détruire » Un refus d'interopérabilité peut constituer un abus de position dominante Firefox et données personnelles Vous utilisez Firefox ? Ces nouvelles CGU pourraient vous concerner Firefox : comment protéger désormais votre vie privée après son dernier virage Navigateur Firefox : grosse polémique autour de l'exploitation des donnéesVous pouvez mettre un commentaire pour l'épisode. Et même mettre une note sur 5 étoiles si vous le souhaitez. Et même mettre une note sur 5 étoiles si vous le souhaitez. Il est important pour nous d'avoir vos retours car, contrairement par exemple à une conférence, nous n'avons pas un public en face de nous qui peut réagir. Pour mettre un commentaire ou une note, rendez-vous sur la page dédiée à l'épisode.Aidez-nous à mieux vous connaître et améliorer l'émission en répondant à notre questionnaire (en cinq minutes). Vos réponses à ce questionnaire sont très précieuses pour nous. De votre côté, ce questionnaire est une occasion de nous faire des retours. Pour connaître les nouvelles concernant l'émission (annonce des podcasts, des émissions à venir, ainsi que des bonus et des annonces en avant-première) inscrivez-vous à la lettre d'actus.
“L'expérience de la nature”Les arts à Prague à la cour de Rodolphe IIau Louvre, Parisdu 19 mars au 30 juin 2025Entretien avecPhilippe Malgouyres, conservateur général, département des Objets d'art – musée du Louvre,et Olivia Savatier Sjöholm, conservatrice en chef, département des Arts graphiques – musée du Louvre, commissaires scientifiques de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 18 mars 2025, durée 14'05,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2025/03/25/3605_rodolphe-ii_louvre/Communiqué de presse Commissariat général :Alena Volrábová, directrice de la collection d'estampes et de dessins, Národní Galerie de Prague,Xavier Salmon, directeur du département des Arts graphiques, musée du LouvreCommissariat scientifique :Philippe Malgouyres, conservateur général, département des Objets d'artOlivia Savatier Sjöholm, conservatrice en chef, département des Arts graphiques, musée du LouvreGrand protecteur des arts et des sciences, l'empereur Rodolphe II (1552-1612) était l'un des souverains européens dont l'enthousiasme pour l'étude de la nature était le plus vif. Il appela à sa cour des savants et des artistes venus de toute l'Europe, qui travaillèrent à proximité les uns des autres dans l'enceinte du château, faisant de Prague un véritable laboratoire, un lieu d'expérimentation, dans un climat propice de tolérance intellectuelle et religieuse.Dans l'élaboration d'un nouveau rapport à la nature basé sur l'observation, les sciences et les arts s'influencèrent mutuellement. Cet aspect novateur de l'art pratiqué à Prague, en relation avec les premiers développements de la science expérimentale, permet de repenser le creuset pragois à l'époque de Rodolphe II, moins comme les derniers feux de l'automne de la Renaissance que le bourgeonnement prometteur de la modernité.Organisée en partenariat avec la Národni Galerie de Prague, cette exposition rassemble cent œuvres (objets d'art, sculptures, peintures, arts graphiques, instruments scientifiques, manuscrits, imprimés…) majoritairement exécutées à Prague et commandées ou achetées par Rodolphe II pour sa Kunstkammer. Elles proviennent essentiellement des collections pragoises et du musée du Louvre, mais aussi du Kunsthistorisches Museum à Vienne, du Rijksmuseum à Amsterdam, du Kupferstichkabinett de Berlin et de la bibliothèque de l'Observatoire à Paris.Dans le domaine des arts, la cour de Prague reste associée à une forme paroxysmique du maniérisme tardif, avec ses allégories sophistiquées, son coloris fantasque et ses canons d'une élégance artificielle, dont le pendant historique serait la figure de Rodolphe, empereur esthète et neurasthénique.L'exposition souhaite mettre en lumière un autre visage de l'art à la cour de Rodolphe II, moins connu. À côté de cette mouvance « maniériste » existe un second courant, qualifié de « naturaliste » : celui des peintres de la nature, qu'il s'agisse des paysagistes Roelandt Savery, Peter Stevens et Paulus van Vianen, ou des peintres de fleurs et d'animaux, aussi bien sur parchemin, tels Hans Hoffmann, Daniel Fröschl et Joris Hoefnagel, que sur panneau, comme Savery.[...] Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
“Paris noir” Circulations artistiqueset luttes anticoloniales 1950 – 2000au Centre Pompidou, Parisdu 19 mars au 30 juin 2025Entretien avecAurélien Bernardet Marie Siguier, attaché.es de conservation, service de la création contemporaine et prospective, Musée national d'art moderne − Centre Pompidou, commissaires associé.es de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 17 mars 2025, durée 32'19,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2025/03/25/3603_paris-noir_centre-pompidou/Communiqué de presseCommissariat :Alicia Knock, conservatrice, cheffe du service de la création contemporaine et prospective, Musée national d'art moderne − Centre Pompidou.Commissaires associé.es : Éva Barois De Caevel, conservatrice, Aurélien Bernard, Laure Chauvelot, et Marie Siguier, attaché.es de conservation, service de la création contemporaine et prospective, Musée national d'art moderne − Centre Pompidou.De la création de la revue Présence africaine à celle de Revue noire, l'exposition « Paris noir » retrace la présence et l'influence des artistes noirs en France entre les années 1950 et 2000. Elle met en lumière 150 artistes afro-descendants, de l'Afrique aux Amériques, dont les œuvres n'ont souvent jamais été montrées en France.« Paris noir » est une plongée vibrante dans un Paris cosmopolite, lieu de résistance et de création, qui a donné naissance à une grande variété de pratiques, allant de la prise de conscience identitaire à la recherche de langages plastiques transculturels. Des abstractions internationales aux abstractions afro-atlantiques, en passant par le surréalisme et la figuration libre, cette traversée historique dévoile l'importance des artistes afro-descendants dans la redéfinition des modernismes et post-modernismes.Quatre installations produites spécifiquement pour « Paris noir » par Valérie John, Nathalie Leroy-Fiévée, Jay Ramier et Shuck One, rythment le parcours en portant des regards contemporains sur cette mémoire. Au centre de l'exposition, une matrice circulaire reprend le motif de l'Atlantique noir, océan devenu disque, métonymie de la Caraïbe et du « Tout-Monde », selon la formule du poète martiniquais, Édouard Glissant comme métaphore de l'espace parisien. Attentive aux circulations, aux réseaux comme aux liens d'amitié, l'exposition prend la forme d'une cartographie vivante et souvent inédite de Paris.Une cartographie artistique transnationaleDès les années 1950, des artistes afro-américains et caribéens explorent à Paris de nouvelles formes d'abstraction (Ed Clark, Beauford Delaney, Guido Llinás), tandis que des artistes du continent esquissent les premiers modernismes panafricains (Paul Ahyi, Skunder Boghossian, Christian Lattier, Demas Nwoko). De nouveaux mouvements artistiques infusent à Paris, tels que celui du groupe Fwomaje (Martinique) ou le Vohou-vohou (Côte d'Ivoire). L'exposition fait également place aux premières mouvances post-coloniales dans les années 1990, marquées par l'affirmation de la notion de métissage en France.Un hommage à la scène afro-descendante à ParisAprès la Seconde Guerre mondiale, Paris devient un centre intellectuel où convergent des figures comme James Baldwin, Suzanne et Aimé Césaire ou encore Léopold Sédar Senghor qui y posent les fondations d'un avenir post et décolonial. L'exposition capte l'effervescence culturelle et politique de cette période, au coeur des luttes pour l'indépendance et des droits civiques aux États-Unis, en offrant une plongée unique dans les expressions plastiques de la négritude, du panafricanisme et des mouvements transatlantiques.[...] Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
“Alberto Giacometti / Petrit Halilaj”Nous construisions un fantastique palais la nuit…à l'Institut Giacometti, Parisdu 14 mars au 8 juin 2025Entretien avec Hugo Daniel, responsable de l'École des Modernités, chargé de mission curatoriale, et commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 18 mars 2025, durée 26'14,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2025/03/25/3604_giacometti-halilaj_institut-giacometti/Communiqué de presseCommissaire :Hugo Daniel, responsable de l'École des Modernités, chargé de mission curatorialeL'exposition « Nous construisions un fantastique palais la nuit… », présentée à l'Institut Giacometti au printemps prochain, met en dialogue les oeuvres et installations originales du plasticien contemporain Petrit Halilaj et un choix d'oeuvres d'Alberto Giacometti. Marqué par son enfance dans un Kosovo en guerre, Petrit Halilaj développe une pratique où les histoires individuelles et collectives se nouent dans des espaces de liberté, non dénués de jeu et de légèreté. Le dessin d'enfant nourrit son travail dans lequel il ouvre un horizon onirique, voire magique, à la sculpture ; un espace onirique qui fait écho à la part de l'enfance souvent discernable dans l'oeuvre de Giacometti.L'expositionPrenant appui sur une pensée de Giacometti à partir de son oeuvre Le Palais à 4h du matin, (1932), le titre et les oeuvres de l'exposition explorent la force des constructions fantasmatiques et fragiles que sont les oeuvres des artistes. Dans une installation originale pensée par Halilaj, l'exposition tisse un réseau subtil de lignes entre les oeuvres de Giacometti. Rêves, espoirs, mais aussi craintes et peurs s'y lient dans des structures fragiles qui emportent et témoignent d'une capacité à communiquer de puissants imaginaires. Face au sentiment d'un monde précaire, les œuvres d'Halilaj et de Giacometti mobilisent une capacité salvatrice d'invention.À partir d'un dessin d'enfants copié par Giacometti, Copie d'après des dessins d'enfants faits à la craie sur le trottoir du Boulevard Villemain (1932), qui est présenté dans l'exposition, Halilaj a noué un dialogue subtil et onirique, jouant des passages entre dessin et sculpture avec l'oeuvre de Giacometti, dont il montre des aspects inédits. Les grands dessins dans l'espace d'Halilaj qui s'appuient sur un palais tant réel qu'imaginaire, permettent ainsi de déployer l'importance du thème de l'enfance dans l'oeuvre de Giacometti. Le parcours de l'exposition explore les collaborations entre les artistes et les enfants dans la création de dessins, les rapports familiaux, la transposition du vocabulaire graphique à la sculpture dans des oeuvres majeures de Giacometti comme La Cage ou Apollon, mais aussi la question de l'échelle dans l'appréhension du réel. Depuis la plus petite sculpture de Giacometti, jusqu'aux oeuvres comme Le Couple (1927), les oeuvres de Giacometti se fondent dans un environnement graphique pensé par Halilaj.En près d'une trentaine d'oeuvres produites spécifiquement pour l'exposition, Halilaj explore dans le vocabulaire enfantin de ses « Abetare » une forme de dessin dans l'espace qui est devenu un moyen d'expression propre. L'exposition, nourrie du rapport intense d'Halilaj au dessin d'enfant comme témoignage du monde contemporain, révèle de manière inédite un intérêt et un usage proche chez Giacometti, déployant les thèmes riches de l'enfance, du rêve, des associations d'idées, du rapport à l'émerveillement. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
“L'art est dans la rue“au Musée d'Orsay, Parisdu 18 mars au 6 juillet 2025Entretien avecElise Dubreuil, conservatrice en chef Arts décoratifs, musée d'Orsay,et Sandrine Maillet, chargée de la collection d'affiches, département des Estampes et de la photographie, Bibliothèque nationale de France, co-commissaires scientifiques de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 17 mars 2025, durée 26'39.© FranceFineArt.https://francefineart.com/2025/03/20/3602_l-art-est-dans-la-rue_musee-d-orsay/Communiqué de presseCommissariat général :Sylvie Aubenas, conservatrice générale, directrice du département des Estampes et de la Photographie, Bibliothèque nationale de FranceChristophe Leribault, président de l'Établissement public du château, du musée et du domaine national de VersaillesCommissariat scientifique :Musée d'OrsayElise Dubreuil, conservatrice en chef Arts décoratifs, musée d'OrsayClémence Raynaud, conservatrice en chef Architecture, musée d'OrsayAvec la collaboration de Marie-Liesse Boquien et Claire Guitton, chargées d'études documentaires, musée d'OrsayBibliothèque nationale de FranceSandrine Maillet, chargée de la collection d'affiches, département des Estampes et de la photographie, Bibliothèque nationale de FranceAnne-Marie Sauvage, conservateur général de bibliothèque honoraire À travers un ensemble exceptionnel de près de 300 oeuvres, L'art est dans la rue interroge l'essor spectaculaire de l'affiche illustrée à Paris, dans la seconde moitié du XIXe siècle. Co-organisée en partenariat avec la Bibliothèque nationale de France, l'exposition constitue une première à cette échelle. En effet, à Paris, aucune manifestation d'envergure n'a encore été consacrée à ce phénomène de société et n'a réuni autant de réalisations marquantes des « Maîtres de l'affiche ». Bonnard, Chéret, Grasset, Mucha, Steinlen, Toulouse-Lautrec… Conçu comme une plongée saisissante dans l'univers visuel de la ville du XIXe siècle, le parcours retrace l'âge d'or de l'affiche artistique en analysant les mutations sociales et culturelles qui ont favorisé son développement, dialoguant avec un ensemble unique d'affiches, peintures, photographies, costumes, sculptures et objets d'art décoratif qui évoquent l'univers effervescent de la rue au tournant du siècle.L'affiche transforme la villePeintures, dessins, estampes et photographies rendent compte de la prolifération des images, qui investissent le moindre espace vacant : les murs et les palissades, mais aussi les kiosques, les colonnes Morris, les urinoirs, le métropolitain et jusqu'aux êtres humains eux-mêmes, transformés en hommes-sandwichs. Ces supports constituent les cimaises d'un nouvel univers visuel, qui cherche à capter le regard des passants. Transformée par les grands travaux haussmanniens, assainie et équipée, la rue « moderne » est aussi l'un des espaces fondamentaux de l'expression politique et des revendications sociales. Dangereux pour le pouvoir en place, ce lieu où se déploie la publicité est pour le critique d'art Roger Marx « la rue toujours animée, grouillante, où se discute et se prononce le suffrage universel » (Les Maîtres de l'Affiche, 1895).[...] Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
“Rococo & co”De Nicolas Pineau à Cindy Shermanau MAD, musée des Arts Décoratifs, Parisdu 12 mars au 18 mai 2025Entretien avec François Gilles, doctorant et sculpteur, et co-commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 11 mars 2025, durée 26'32,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2025/03/20/3601_rococo_musee-des-arts-decoratifs/Communiqué de presse Commissaires :Bénédicte Gady, directrice des musées par intérim – conservatrice en chef du patrimoine en charge des collections de Dessins, Papiers peints et Photographies au musée des Arts décoratifsTurner Edwards, doctorantFrançois Gilles, doctorant et sculpteurLe musée des Arts décoratifs propose, du 12 mars au 18 mai 2025, une exposition inédite consacrée au style rococo. « Rococo & co. De Nicolas Pineau à Cindy Sherman » explore les évolutions de ce style, de son émergence au début du XVIIIe siècle jusqu'à ses résurgences dans le design et la mode contemporaine, en passant par l'Art nouveau et l'art psychédélique. Près de 200 dessins, mobilier, boiseries, objets d'art, luminaires, céramiques, et pièces de mode dialoguent dans un jeu de courbes et de contre courbes. Nicolas Pineau et Juste Aurèle Meissonnier côtoient Louis Majorelle, Jean Royère, Alessandro Mendini, Mathieu Lehanneur, mais aussi les créateurs de mode Tan Giudicelli et Vivienne Westwood, et l'artiste Cindy Sherman. Le commissariat est assuré par Bénédicte Gady, directrice des musées par intérim, Turner Edwards, doctorant, et François Gilles, doctorant et sculpteur.Cette exposition célèbre la restauration d'un fonds unique au monde de près de 500 dessins issus de l'atelier du sculpteur Nicolas Pineau (1684-1754), l'un des plus importants propagateurs du style rocaille, que l'Europe adopte sous le nom de rococo. Adepte d'une asymétrie mesurée et d'un subtil jeu de pleins et de vides, Nicolas Pineau s'illustre dans des domaines variés : boiserie, sculptures ornementales, architecture, estampe, mobilier ou orfèvrerie. La présentation de cette figure majeure du rococo se prolonge dans un atelier qui plonge le visiteur au coeur de la fabrique d'une boiserie rocaille. Asymétries, sinuosités, rêves de Chine et imaginaires animaliers illustrent les infinies variations du style rococo. Enfin, du XIXe au XXIe siècle, cette esthétique trouve de nombreux échos, du néo-style aux détournements les plus inattendus et ludiques.Figure du rococo. Nicolas Pineau, entre Paris et Saint-PétersbourgD'abord connu pour son œuvre gravée, Nicolas Pineau est appelé en 1716 en Russie, où il devient premier sculpteur puis premier architecte de Pierre le Grand. Pour le tsar, il dessine de nombreux projets de décors, jardins, monuments et édifices, participant activement aux grands chantiers qui transforment Saint Pétersbourg en capitale d'un nouvel empire et Peterhof en une nouvelle Versailles. De retour à Paris en 1728, Pineau souhaite poursuivre sa carrière d'architecte, mais c'est en tant que sculpteur qu'il excelle et se distingue auprès de ses contemporains. Il travaille principalement pour la noblesse parisienne et pour Louis XV, tout en continuant à envoyer ses modèles en Allemagne et en Russie, et en maintenant une activité éditoriale. Essentiellement constituée de sculptures de façades et de boiseries, son oeuvre est en grande partie détruite avec l'avènement du néo-classicisme. Toutefois, des vestiges subsistent encore aujourd'hui dans les rues du vieux Paris, témoignant de l'élégance de son art.[...] Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
“Marc Riboud”Photographies du Vietnam 1966-1976au Musée national des arts asiatiques – Guimet, Parisdu 5 mars au 12 mai 2025Entretien avec Lorène Durret, directrice de l'Association Les amis de Marc Riboud, et commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 4 mars 2025, durée 23'15,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2025/03/14/3600_marc-riboud_musee-national-des-arts-asiatiques-guimet/Communiqué de presse Commissariat :Lorène Durret et Zoé Barthélémy, Association Les amis de Marc RiboudÀ l'occasion des 50 ans de la fin de la guerre du Vietnam, l'association Les amis de Marc Riboud et le musée Guimet (qui conserve le fonds du grand photographe français) s'associent pour présenter les photographies et documents d'archives retraçant le travail de Marc Riboud au Vietnam entre 1966 et 1976.En octobre 1967, Marc Riboud photographie à Washington la jeunesse américaine qui manifeste devant le Pentagone en criant sa révolte contre la guerre et réalise La Jeune fille à la fleur, cliché mondialement célèbre et symbole du désir de paix. En 1970, le photographe éditera Face of North Vietnam, un reportage qui montrera pour la première fois aux Américains le visage de ceux qu'ils combattent.Profondément touché par le drame vietnamien, Marc Riboud se rend près d'une dizaine de fois au Vietnam entre 1966 et 1976, s'arrêtant à Hanoi, à Saigon, dans la ville d'Hué bombardée, mais aussi sur les routes, dans les rizières comme dans les usines, dans les camps de réfugiés et de rééducation. Il y réalise de longs reportages, admirant le courage d'un peuple qui se bat avec des moyens misérables contre la plus grande puissance du monde.À travers ses reportages, qui documentent le Vietnam pendant près de dix ans, transparaît la « méthode » de Marc Riboud et son regard singulier qui s'attache aux lieux et aux personnes qu'il rencontre. Lui qui n'a jamais été photographe de guerre ne montre pas les combats mais la vie qui continue dans les ruines, les corps qui tentent de se reposer dans les refuges de fortune, les amoureux qui se retrouvent près des abris anti-bombes, la vivacité des enfants, la vie bouleversée, blessée, mais une vie qui continue, tenace, envers et contre tout. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ruhlmann, décorateurau MAD, musée des Arts Décoratifs, Parisdu 12 mars au 1er juin 2025Entretien avec Bénédicte Gady, directrice des musées par intérim – conservatrice en chef du patrimoine en chargedes collections de Dessins, Papiers peints et Photographies au musée des Arts décoratifs, et commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 4 mars 2025, durée 26'53, © FranceFineArt.https://francefineart.com/2025/03/13/3599_ruhlmann_musee-des-arts-decoratifs/Communiqué de presseCommissairesBénédicte Gady, directrice des musées par intérim – conservatrice en chef du patrimoine en charge des collections de Dessins, Papiers peints et Photographies au musée des Arts décoratifsMarion Neveu, attachée de conservation, en charge des collections des papiers peints au musée des Arts décoratifs Du 12 mars au 1er juin 2025, le musée des Arts décoratifs célèbre le centenairede l'Art déco avec une exposition inédite dédiée à Jacques-Émile Ruhlmann, décorateur exceptionnel, véritable triomphateur de l'Exposition internationale des arts décoratifs de 1925. À travers près de soixante‑dix pièces, dont vingt-six carnets de dessins et plus de quarante papiers peints, mais aussi des textiles et des photographies, « Ruhlmann décorateur » met en lumière une facette méconnue de cet artiste visionnaire : son talent pour concevoir des revêtements muraux et des tissus en harmonie avec ses créations mobilières. Ce focus inaugure le cabinet des Dessins, Papiers peints et Photographies, un espace intime qui met en lumière des trésors issus des collections du musée, aménagé grâce au soutien de Sakurako et de William Fisher, en l'honneur d'Hélène David-Weill et de Maggie Bult. Le nouveau cabinet des Dessins, Papiers peints et Photographies a été créé pour faire découvrir au public les très riches collections d'oeuvres sur papier qui, en raison de leur fragilité, ne peuvent être exposées en permanence dans le musée. Il offre aux visiteurs un cocon chaleureux, intime, pour révéler des oeuvres parfois célèbres, souvent inédites. Il se veut un miroir de la recherche menée dans cette source inépuisable de découvertes par de nombreux jeunes chercheurs ou experts confirmés. Jacques-Émile Ruhlmann (1879-1933), figure emblématique de l'Art déco, est avant tout célébré pour ses meubles d'exception mais son génie créatif va bien au-delà. Dans ses décors intérieurs, il orchestre une parfaite harmonie entre mobilier, textiles et revêtements muraux. Lors de l'Exposition internationale des arts décoratifs et industriels modernes de 1925, ses créations s'imposent comme des références majeures, faisant de lui l'un des décorateurs les plus admirés de son époque. Ruhlmann se forme auprès de son père qui dirige une entreprise de peinture, papiers peints et miroiterie. Il en hérite en 1907, ce qui lui permet de financer ses rêveries esthétiques. Les projets de revêtements qu'il invente, ou que d'autres, comme Henri Stéphany, créent pour lui, servent aussi bien pour du papier peint que pour du textile. Ils peuvent être édités dans sa propre entreprise, Ruhlmann et Laurent, ou confiés à des manufactures spécialisées. [...] Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Depuis quinze jours, il y en a eu beaucoup pour C8, un peu pour NRJ12… c'est à peu près tout. Et en même temps, il y avait beaucoup à dire sur la fin de ces deux chaînes. L'équipe de J+7 revient sur ce grand huit médiatique. À commencer par la soirée de fin de NRJ12 où la nuit a appartenu à Ayem dans un dernier Friends Trip autour des 20 ans de vie de la chaîne. Et à minuit, la fin de la chaîne fut tellement vraie. Nous revenons ensuite sur la fin de C8 et tout le cirque médiatique autour de l'avenir de Baba et sa tribu. Au terme d'un sacré voyage bout de la nuit, la chaîne balançait son poste. Pendant ce temps, en quête de solutions face à Hanouna, M6 a sorti le grand jeu pour attirer leur nouvelle star. Pour compléter le tableau, un tour d'horizon de l'avenir de la TNT est effectué avant de traiter le reste de l'actu : Ainsi font Lafon, Nathalie André qui n'est plus ici, le Trio part en live et le départ stupéfiant de Christophe Dechavanne. Et pêle-mêle, la régie est un con, les poreaux et Google Maps entre Boulogne et Neuilly Au sommaire : 0:00 - Introduction 13:41 - Vu & Entendu - Fermeture de NRJ 12 44:12 - Vu & Entendu - Fermeture de C8 1:25:30 - Vu & Entendu - C. Hanouna 1:57:46 - L'Actu 2:10:16 - Conclu Les recos : Instagram - Gomar_melade Youtube - Pacôme Replay Youtube - Franck Ribery Show Articles évoqués dans l'épisode : Bluesky - Romain Colas - Décision du Conseil d'Etat Bluesky - Romain Colas - Communiqué réaction NRJ Group Bluesky - leblogtvnews - Communiqué soirée NRJ 12 Bluesky - Romain Colas - Communiqué financier NRJ Group Le Monde - La fin de NRJ 12, un scénario noir pour le groupe NRJ Le Parisien - Fermeture de NRJ 12 : quel avenir pour la télé dans le groupe NRJ ? Bluesky - Nicolas Hervieu - Décision du Conseil d'Etat Actu.fr - “On est écœurés” : comment Cyril Hanouna a entraîné dans sa chute des centaines de salariés de Canal+ Libération - CheckNews - La disparition de C8 va-t-elle mettre «400 personnes au chômage» ? Le Monde - Editorial - Fin de C8 : l'insidieux débat sur la liberté d'expression Le Monde - Fin de C8 : le tohu-bohu des chaînes Bolloré pour discréditer une décision légalement fondée Le Canard Enchaîné - Les bonimenteurs du JDD volent au secours d'Hanouna Bluesky - Behel - Intro William à Midi Libération - Avant de s'éteindre, C8 diffuse par surprise le film anti-avortement «Unplanned» Le Figaro - Accords avec les opérateurs télécoms, recettes publicitaires… Les questions que pose la nouvelle vie de «TPMP» sur les box L'Informé - Les dessous de la nouvelle chaîne de Cyril Hanouna, Zoubida TV L'Informé - Ce que W9 gagnerait avec Cyril Hanouna Le Parisien - « Le transfert du siècle » : les coulisses du contrat de Cyril Hanouna avec le groupe M6 Franceinfo - Karine Le Marchand ne fera plus obstacle à l'arrivée de Cyril Hanouna dans le groupe M6 Bluesky - Communiqué SDJ RTL / Europe 1 Le Journal du Dimanche - Rachida Dati réagit à la fermeture de C8 et aux révélations choc sur l'Arcom Ozap - “J'ai décidé de partir vers de nouveaux horizons” : 3 ans après son arrivée, Nathalie André quitte Ici (ex-France Bleu) Radio France - Le Trio Ferrari-Tsamere-Lecaplain débarque sur France Inter / lundi 3 mars, à 20h Le Parisien - Après sa condamnation, Christophe Dechavanne se met « en retrait » de « Quelle époque ! » Rejoignez le Discord d'Alex Arbey, suivez @jplussept sur X/Twitter et sur Instagram ou @jplus7.fr sur Bluesky Laissez-nous vos avis sur ce que vous avez vous aussi vu & entendu tout au long de la semaine sur repondeur.jplus7.fr Une émission animée par Alex Arbey, en direct sur Twitch tous les lundi à 20h35 : twitch.tv/alexarbey
“Un exil combattant” Les artistes et la France 1939-1945au musée de l'Armée, hôtel des Invalides, Parisdu 26 février au 22 juin 2025Entretien avecVincent Giraudier, chef du département de l'historial Charles de Gaulle – musée de l'Armée,et Sylvie Le Ray-Burimi, conservatrice en chef du patrimoine, cheffe du département Beaux-arts et patrimoine – musée de l'Armée, commissaires de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 3 mars 2025, durée 17'55,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2025/03/11/3598_un-exil-combattant_musee-de-l-armee-hotel-des-invalides/Communiqué de presseCommissariat, musée de l'Armée – InvalidesVincent Giraudier, chef du département de l'historial Charles de GaulleSylvie Le Ray-Burimi, conservatrice en chef du patrimoine, cheffe du département Beaux-arts et patrimoineavec le soutien de Carine Lachèvre, adjointe au chef du département l'historial Charles de Gaulleassistés de Anne-Sixtine Clevenot, Louise Le Bars, Diane de Vignemont, département de l'historial Charles de GaulleNombreux sont les artistes, intellectuels et combattants qui, aux prémisses de la Seconde Guerre mondiale, quittent leur pays pour différents exils. Qu'ils soient persécutés, juifs, opposants au fascisme et au nazisme, militants ou responsables politiques, intellectuels ou artistes, français ou étrangers, ils quittent le territoire métropolitain pour d'autres destinations, fuyant l'Occupation et la France de Vichy pour l'exil. L'exposition Un exil combattant. Les artistes et la France 1939-1945, propose un voyage émouvant à travers les arts et l'histoire, révélant comment les artistes et les intellectuels en exil ont mis leur créativité au service des valeurs de liberté.Cette exposition s'inscrit dans le cadre des commémorations nationales des 80 ans de la Libération. À travers le prisme des arts, de la communication, de l'éducation et des sciences, l'exposition met en lumière un combat culturel intense visant à gagner les coeurs et les esprits des pays neutres et alliés. Elle souligne également la persistance de la liberté d'action et de création dans les territoires ralliés. Un «certain esprit français», défendu aussi par des artistes étrangers soutenant ces valeurs, comme le sculpteur et peintre américain Alexander Calder.Ce parcours inédit, structuré en quatre volets géographiques qui retracent diverses formes d'exil, s'intéresse tant aux combattants de la France libre qu'aux réfugiés exilés hors d'Europe. Comme le général de Gaulle et son gouvernement, les combattants et intellectuels de la France libre rejoignent Londres pour y mener des actions culturelles et d'information. À Marseille, l'américain Varian Fry se charge d'exfiltrer des artistes d'avant-garde et des intellectuels vers les États-Unis. De Londres à Sydney, en passant par New York, Brazzaville, Buenos Aires, Cuba ou encore Alger, les visiteurs découvrent les parcours variés et les engagements courageux de nombreuses personnalités. Parmi elles, des figures marquantes comme René Cassin, Germaine Krull, André Masson, Wifredo Lam, Marie Helena Vieira da Silva, Henry Valensi, Fernand Léger, Jean Hélion, Anna Marly, Micheline Rosenberg, Georges Duthuit, Jean Gabin, et bien d'autres.[...] Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Des rafales de vent dépassant les 200 km/h et des précipitations extrêmes, c'est ce que ce cyclone a provoqué à l'ile sœur. Pendant plusieurs heures, l'alerte cyclonique a atteint son maximum, le niveau violet. Elle est devenue rouge à la mi-journée (heure locale).
“Jean-Michel André” Chambre 207à la galerie Sit Down, Parisdu 7 mars au 10 mai 2025Entretien avec Jean-Michel André,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 20 février 2025, durée 19'05,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2025/03/06/3597_jean-michel-andre_galerie-sit-down/Communiqué de presse Après avoir été présentée au Musée de l'Hospice Comtesse à Lille, dans le cadre de l'exposition hors-les-murs de l'Institut pour la Photographie, la galerie Sit Down a le plaisir de dévoiler une sélection de photographies issues du livre Chambre 207, publié aux éditions Actes Sud et honoré du prestigieux prix Nadar-Gens d'image 2024.“La chambre des enfants était la 207 : j'y ai laissé ma mémoire et mon enfance.“Avec Chambre 207, Jean-Michel André poursuit une démarche photographique mêlant politique et poésie, interrogeant les frontières, la mémoire et les mutations du territoire. Ce projet questionne des thèmes universels tels que l'absence, le manque et la quête de réparation, qui traversent l'ensemble de son oeuvre. Inscrit dans une veine autofictionnelle, ce travail s'appuie sur une mémoire réinventée, née d'un profond traumatisme d'enfance. Dans cette série inédite, le photographe replonge dans les souvenirs de cette nuit qui a bouleversé sa vie et dans la mémoire disparue de son père. Chambre 207 prend la forme d'un récit visuel, oscillant entre “reconstitution et reconstruction“ comme le décrit l'historien de la photographie Clément Chéroux.A contrario de l'expérience muséographique adressée aux visiteurs du musée de l'Hospice Comtesse de Lille, la Galerie Sit Down entend offrir une proposition différente où la reconstruction occupe une large place. Dans une moindre mesure, un dialogue entre images familiales, éléments d'enquête et tirages photographiques persiste encore. Néanmoins, l'objectif central réside ici dans l'exaltation de la démarche réparatrice de l'artiste à travers le médium photographique. Interagissent ainsi des images d'Avignon et de la région d'Arles, sur les lieux du drame et de l'enquête judiciaire, ainsi que d'autres sites empreints d'une résonance intime : la Corse, le Sénégal ou encore l'Allemagne.Dans ces images délicates et oniriques, les oiseaux occupent une place symbolique majeure. Ils incarnent pour l'artiste “l'élévation, la liberté et le voyage“. Chambre 207 se veut ainsi une invitation au voyage, un cheminement visuel et poétique à travers lequel Jean-Michel André tente de “conjurer le traumatisme pour aller vers la lumière“. La subtilité et la retenue caractérisent les photographies, qui vibrent d'une poésie discrète, loin de tout pathos. Fidèle à son approche délicate, Jean-Michel André confie : “Je travaille sur les lisières, sur le fil, tel un funambule qui avance en essayant de ne pas chuter, de rester concentré.“Cette exposition coproduite par l'Institut pour la photographie et le Centre Méditerranéen de la photographie, repose sur le pouvoir du symbole, permettant de relater avec pudeur l'événement tragique qui a bouleversé la vie de l'artiste. [...] Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
We're coming towards the end of February, and the road racing season is well underway. Since we last recorded together on the eve of the Tour Down Under, we've had a whole heap of European racing in Spain, France, and Portugal, the UAE Tour, and more! Southam and Durbo join me once again to dissect the races, talk about the season ahead, and - of course - have a proper laugh in the Communi-quiz. A highlight of the last month for me has been seeing a really dominant start to the year from the young Brit, Tom Pidcock, at Alula Tour and Ruta Del Sol, which really vindicates his move to Q36.5 over the offie. But, if we're talking about dominance in races, we have to talk about UAE Team Emirates XRG. They have had a MONSTER start to the season, and not just from Pogi. Me and the boys talk about their insane roster that's going to have the rest of the bunch shaking in their boots all year long. Of course, the early season races are exciting, but they're only building tension for the real racing to kick off this weekend. That's right, guys, it's almost time for my favourite races: The Spring Classics. Opening weekend is right around the corner, and we discuss the upcoming classics season, as well as make a few cheeky predictions. Durbo's ‘Pelo Chat' dives right into the technical advancements in the bunch over the last few years. Skinsuits, tubeless tyres, aero positions on the road bikes, and absolutely MASSIVE chainrings. I thought I was pushing big gears with a 53 tooth chainring back in my pro days, but the 2025 Pelo has literally stepped up a gear. The bunch is getting faster and faster every year, so they need the gearing to keep up. One of Durbo's teammates is even trying out a 58 tooth chainring on their road bike! You'll have to listen to find out who. Tom's ‘Talking Tactics' segment takes a look at the UAE Tour and some…questionable decisions from Lotto and Lennert Van Eetvelt. Riding the front to boost the TSS, doing intervals on the erg after a hard stage, seriously - what were these guys thinking? It was great to hear Tom and Luke, who were both out there, dissect their tactics in the Middle East and give the Lotto boys a fair ribbing. Of course, it wouldn't be The Race Communiqué without the Communi-Quiz, and it's my turn to host. With the Welsh legend, Geraint Thomas, announcing his retirement at the end of 2025, I thought it would be a fitting send-off to have a G-themed quiz to test the boys' knowledge on one of the most versatile racers of his generation. This is a banger of an ep packed with some proper racing analysis, good old-fashioned tech chat, a whole heap of banter, and lots more. You're going to love it. The Race Communiqué is brought to you by TrainingPeaks! Track, plan, and train smarter—just like the pros. Get 20% off TrainingPeaks Premium now at www.trainingpeaks.com/partners/life-in-the-peloton/. Cheers, Mitch
Relations publiques : Atelier GRATUIT – Rédigez votre Communiqué en 2 Heures !2025 s'annonce comme une année exceptionnelle, et j'ai envie de la commencer en partageant avec vous un outil puissant des relations publiques : le communiqué de presse.Chez NATA PR, nous en envoyons chaque semaine et savons à quel point un bon communiqué peut :Mettre en avant votre entreprise et vos produits,Faire parler de vous dans les médias,Raconter votre histoire de façon percutante.Un communiqué efficace est simple, clair et accrocheur. Et si nous le rédigions ensemble ? Inscrivez-vous à notre ATELIER GRATUIT !Dates : 13 et 14 mars 2025Format : deux sessions interactives d'une heure Ce que vous apprendrez :Nos astuces pour rédiger un communiqué irrésistible,Comment capter l'attention des journalistes et influenceurs,Exemples concrets et modèles utilisés chez NATA PR,Une session de questions-réponses en direct. Programme :Jour 1 – 13 mars 2025 à 13hTrouver un titre percutant,Rédiger efficacement avec ChatGPT,L'importance du premier paragraphe. Jour 2 – 14 mars 2025 à 13hLes 4 éléments clés d'un bon communiqué,Pourquoi ajouter une citation ?Les infos essentielles sur votre entreprise,Vos coordonnées : à ne jamais oublier ! 75% des journalistes considèrent le communiqué comme une source clé d'information (source : CISION). Encore faut-il qu'il soit bien fait !Repartez avec un outil concret et efficace pour booster votre visibilité. Et c'est 100% gratuit ! Inscrivez-vous maintenant, le nombre de places est limité.Des questions ? Contactez-moi : nata@natapr.comHâte de vous retrouver en atelier !Nata ATELIER – RÉDIGEZ DES COMMUNIQUÉS IRRÉSITIBLE ➤ https://bit.ly/3X6Sk2aRÉDIGER DES COMMUNIQUÉS VENDEURS➤ https://prschool.natapr.com/pl/2147718377LE MODÈLE NATA PR GRATUIT ➤ https://prschool.natapr.com/Le-Modele-NATA-PRINSCRIVEZ-VOUS À NOTRE INFOLETTRE ➤ www.natapr.comFAITES PARLER DE VOUS GRATUITEMENT ➤ https://prschool.natapr.com/evergreen_frRP 101 - ATELIER DE 30 MINUTES➤ https://bit.ly/4cI3aRuINSTAGRAM ➤ https://www.instagram.com/nata_pr_school/
“Est-ce un Delacroix ?” L'art de la copieau Musée national Eugène Delacroix, Parisdu 22 février au 23 juin 2025Entretien avec Claire Bessède, conservatrice générale du patrimoine, directrice du musée Delacroix, et commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 20 février 2025, durée 28'32,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2025/02/26/3596_est-ce-un-delacroix_musee-national-eugene-delacroix/Communiqué de presse Commissariat : Claire Bessède, conservatrice générale du patrimoine, directrice du musée DelacroixComment percer les secrets du processus créatif d'Eugène Delacroix ?Le musée Delacroix présente un nouvel accrochage permettant d'explorer les étapes de la création et de s'interroger sur le statut d'un tableau, d'un original, d'une copie ou d'une reproduction.Le parcours propose aux visiteurs de (re)découvrir la collection du musée dans l'appartement et dans l'atelier de l'artiste sous un nouvel angle grâce à la présentation d'œuvres du musée rarement exposées.Dans la chambre du peintre, des œuvres réunies autour du titre « Delacroix ? Les apparences sont parfois trompeuses » posent les premières questions : est-il toujours aisé de déterminer qui est l'auteur d'une œuvre ? Un tableau peint par Delacroix (1798-1863) pour le compte de Théodore Géricault (1791-1824) est-il véritablement un Delacroix ? Qui est l'auteur d'une copie ou d'une gravure de reproduction ? La signature est-elle un gage d'authenticité ?Au salon, « D'après Delacroix » réunit des copies d'auteurs comme Henri Fantin-Latour (1836-1904), Théodore Chassériau (1819-1856) ou William Bouguereau (1825-1905) d'après des œuvres de Delacroix, autour de Médée, Femmes d'Alger dans leur appartement et La Mort de Sardanapale. Il s'agit non seulement de réévaluer l'intérêt de la copie dans l'apprentissage des artistes au XIXe siècle (comme l'écrivait Delacroix dans son journal : « COPIES, COPIER. Ç'a été l'éducation de presque tous les grands maîtres. ») mais aussi de mettre en valeur les liens entre les artistes.En miroir, dans la salle-à-manger le visiteur peut se pencher sur Delacroix non plus copié mais copiste, d'après Paul Rubens (1577-1640) et Francisco de Goya (1746-1828), qu'il admirait particulièrement, mais aussi des objets. Ses « copies » sont souvent des réinterprétations qui nous apprennent beaucoup sur ses centres d'intérêt.Enfin, l'accrochage de l'atelier de Delacroix cherche à replacer les œuvres dans le processus de leur création et de leur diffusion au milieu du XIXe siècle : croquis, études d'après des modèles, esquisses préparatoires, tableaux achevés destinés au Salon ou bien aux marchands ou aux amateurs.Eugène Delacroix travaillait essentiellement dans son atelier. Il trouvait son inspiration dans ses propres œuvres dessinées ou peintes, dans les copies et estampes d'après les maîtres qu'il conservait mais aussi dans sa mémoire et son imagination.“En peinture, une belle indication, un croquis d'un grand sentiment, peuvent égaler les productions les plus achevées pour l'expression” Journal d'Eugène Delacroix, 4 avril 1854.Cette nouvelle présentation des collections s'accompagne d'ateliers, de conférences, de visites guidées, d'événements et de promenades dans le quartier de Saint-Germain-des-Prés.#DelacroixCopie Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
“Geneviève Asse” Carnetsà la BnF François Mitterrand, Parisdu 18 février au 25 mai 2025Entretien avec Pauline Chougnet et Cécile Pocheau-Lesteven, conservatrices au département des Estampes et de la photographie – BnF, et commissaires de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 17 février 2025, durée 25'15,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2025/02/26/3595_genvieve-asse_bnf-francois-mitterrand/Communiqué de presseCommissariat :Pauline Chougnet et Cécile Pocheau-Lesteven, Conservatrices au département des Estampes et de la photographie, BnFLa Bibliothèque nationale de France rend hommage à Geneviève Asse avec une exposition réalisée grâce à la donation de vingt-cinq de ses carnets, consentie en 2022 par sa veuve Silvia Baron Supervielle. Présentés en résonance avec une sélection de ses estampes et de ses livres d'artistes déjà présents dans les collections, ces carnets sont aussi des oeuvres à part entière, qui témoignent du travail intime et des recherches picturales de Geneviève Asse.« Ce sont de petits livres de poche peints, sans texte, sur des papiers de toutes sortes. C'est une autre écriture : un langage de couleur et d'espace. J'y peins des verticales et des horizontales. J'écris alors sans inciser. Ce sont des notes, jour après jour, des éventails qui s'ouvrent. J'utilise de l'encre de Chine, sur ces carnets, ou des crayons de couleur, des sanguines. » Geneviève Asse. La Pointe de l'oeil, Éditions de la BnF, 2022Née en 1923 à Vannes et décédée en 2021 à Paris, la peintre et graveuse Geneviève Asse est connue pour ses grandes toiles monochromes et son utilisation presque exclusive de la couleur bleue, ce bleu si singulier qu'il est appelé « bleu Asse ». Des natures mortes de ses débuts dans les années 1940 à l'abstraction de ses toiles bleues, l'oeuvre qu'elle a développé en dehors des courants et des modes questionne le thème de la lumière. Elle crée également, dès les années 1960, des livres en dialogue avec les écrivains, notamment Pierre Lecuire, Yves Bonnefoy et Silvia Baron Supervielle. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Life in the Peloton is proudly brought to you by MAAP The 2025 road racing season has kicked off down here in Adelaide at the Tour Down Under, and that can only mean one thing; it's time for The Race Communiqué! It's been a long off season, but Southam, Durbo, and I are back on the mics having a yarn about bike racing, and boy is it good to be back. TDU is a special race. Not only is it my “home” race, but it's also one of the only times of the year that EF Education Easypost DS Tom Southam, newly crowned Aussie natty champ Luke Durbridge, and I are all in the same place. So, for the first episode of 2025, we decided to kick the pod up a gear and record it LIVE! We've also recorded a video podcast which you can find over on Life In The Peloton's Youtube channel - so make sure you go and give that a watch! Durbo, still riding high from his epic victory in Perth a few weeks back, kicks off the pod by talking us through his incredible ride that secured him the green and gold bands. It was a show of amazing team tactics, a little bit of luck, and a hell of a lot of hard work from Turbo Durbo - and it's awesome to get his insight on how the race played out. Obviously with the launch of MAAPs awesome collaboration with Jayco Alula, we discuss the new team kits in the peloton in ‘Pelo Chat'. We talk about how the style of the peloton has changed over the years, and how a good team kit can totally redefine a team's identity. Tom's ‘Talking Tactics' segment dives into the new UCI rules that have changed the way riders will feed in the bunch this season. Trust me, it's way more interesting than it sounds, and will make a huge difference to team strategy this season. Of course, it wouldn't be The Race Communiqué without the Communi-Quiz - a TDU special hosted by Southam. I'm also stoked to announce that for the 2025 season, The Race Communiqué will be presented by TrainingPeaks. TrainingPeaks is a great piece of software for coaches, professional athletes, and amateurs alike that Tom, Luke, and I have all used religiously throughout our respective careers. It's great to have them on board helping bring The Race Communiqué to you guys this year. Sit down, grab yourself a brew, and give this a listen; it's a great start to 2025. Cheers! Mitch Chapters: 00:00:00 - Introduction 00:09:49 - Part 1: Mitch's Race Recap 00:25:19 - Part 2: Luke's Pelo Chat 00:33:59 - Part 3: Tom's Talking Tactics 00:53:21 - Part 4: Communi-quiz ----more---- The Life in the Peloton book is OUT NOW! Get your copy now exclusively at maap.cc! Can't wait for you to read it. Watch Life in the Peloton's FIRST EVER video podcast here. Each episode of Race Communique this season will be coming to you in both audio and video. Stay tuned to our YouTube Channel for more episodes and clips throughout the season. This episode is supported by our friends at Training Peaks.
» FATAL ERROR » – expérience sonore animée par Charlotte du Collectif Toute Seule. Entendable de minuit à mi-nouïe, de l'un dit à l'une dit. Sonorités entre reportages ou élucubrations sur-irréalistes. Ceci est un message d’une importance afin d’anticiper une éventuelle panique. Retrouvez-nous sur instagrammaire pour sauver la langue française. Le Co. L'article FATAL ERROR – Communiquée est apparu en premier sur Radio Campus Tours - 99.5 FM.
Life in the Peloton is proudly brought to you by MAAP The Race Communique is exclusively brought to you by The Escape Collective. Check out the new and improved BikeGrid which now goes all the way back to riders from 2001! Go and check it out and let me know how you get on. Hey everyone, just like that, the 2024 World Tour season has nearly wrapped up. Even though there's still racing happening in China, here at Life in the Peloton, we're calling it and diving straight into the final Race Communiqué of the season. I'm joined by Luke and Tom, just days into their offseasons, to unpack what has been one of the best seasons of racing I've ever seen. Not every year you get to witness a Grand Slam or experience the kind of non-stop action and long-range attacks we had in 2024. In this Race Communiqué, we've got much more than just a seasonal wrap-up. Tom jumps in early with his Talking Tactics segment, and then we settle into Luke's Pelo Chat, where he shares insights on the future of the U23 category and how the UCI might look to enhance youth racing moving forward. We've also highlighted some of our favourite rides, riders, races, and memorable moments from the year. With our different opinions, you'll hear some fantastic stories that emerged during our conversation. To top it all off, we have the end-of-season Communi-quiz, which is crucial for determining who will be shouting the beers during the offy! I really enjoy putting these Communiqués together, and this one was a blast to make. It's a shame we can't do more for now, but for 2024, this is your final episode of The Communiqué. We hope you've enjoyed listening along. We'll be back after a well-deserved break (with a few cold ones) for an even better 2025. So stay tuned, and for now, sit back, relax, and enjoy. Cheers, Mitch
Life in the Peloton is proudly brought to you by MAAP Well, I don't know about you, but here at Life in the Peloton, we are still absolutely buzzing from yesterday's World Road Race Championships! I think we witnessed one of the greatest performances ever. I'm delighted to say that we've got a hot-off-the-press Communiqué pod for you. Joining me are Jayco Alula rider Luke Durbridge and EF Education EasyPost Sports Director Tom Southam. Together, we dissect the race faster than a group of Spanish commissaries heading to dinner… We couldn't wait to dive in and analyze the race, and what a race it was. As always, the Communiqué brings you our unique triple-pronged take on the event. I offer my armchair pundit's view of the action, which this time came from the commentary box in Australia, giving me a great vantage point. We've also got Durbo's ‘Pelo Chat' segment, where Luke explores interesting technical details and hot topics within the peloton, such as the impact of riders racing without radios and what that meant for the race. And of course, there's Tom's ‘Talking Tactics,' where we hear the DS perspective on the race's tactical intricacies, especially given the complexity of the national team format and how the peloton dealt with one of the greatest of all time. Just like a real communiqué wouldn't be complete without a page of fines, our Life in the Peloton Communiqué wouldn't be complete without a Communi-quiz. We have a special edition of that too. Don't wait for this one—grab your brew, sit back, and give it a listen. Cheers! Mitch ----more---- This episode is supported by our friends at The Escape Collective. Check out Escape Collective's Classifieds section of their website where thousands of used bikes, parts and accessories are being sold every day. It's free for anyone to use, not just members. The Dirty Docker is almost here! Dirty Docker is my multi-day event for all things cycling and running in the Macedon Ranges. For the last few weeks of winter, you can get an exclusive discount code by signing up to the Life in the Peloton Newsletter here. The Life in the Peloton book is OUT NOW! Get your copy now exclusively at maap.cc! Can't wait for you to read it.
The pace finally picks up for Corey as we're reminded of the Sultans. We head back to London for a walk down the market streets and we get to use the word "circumnavigation". Will Kev have any issues with cake mixture? Will Corey have heard of the Cutty Sark and will he care at all about it if he hasn't?The only way to find out is to turn on, tune in, and turn up for the boots now...Songs covered in this episode: "Once Upon a Time in the West", "News", "Where Do You Think You're Going?", "Communiqué"Don't forget to follow us on social media and leave us a rating/review if you're enjoying the show!Facebook: https://www.facebook.com/UltimateCatalogueClashTwitter: https://twitter.com/UCatalogueClashBluesky: https://bsky.app/profile/ucatalogueclash.bsky.social Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Shit's about to get weird! Like, Buffalo Bill weird. Not "Hmm, that's a little strange". I mean, just look at the title of track three! Knopfler's journalist trilogy is broken up by one the most menacing songs ever recorded, but what will Corey think of it? This is an album that Kev knows the least from the first five records, so will he be as keen on it as he was the debut? Will Corey conoquer his middle-age ennui? Will Kev think of a single damned interesting thing to say in the episode notes???The only way to find out is to turn on, tune in, and get a bullet in the chest.Songs covered in this episode: "Once Upon a Time in the West", "News", "Where Do You Think You're Going?", "Communiqué"Don't forget to follow us on social media and leave us a rating/review if you're enjoying the show!Facebook: https://www.facebook.com/UltimateCatalogueClashTwitter: https://twitter.com/UCatalogueClashBluesky: https://bsky.app/profile/ucatalogueclash.bsky.social Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Life in the Peloton is proudly brought to you by MAAP It's Race Communiqué time at Life in the Peloton, and this week Luke Durbridge, Tom Southam and I, are once again covering all of the latest action from inside and outside of the peloton as we move into the final big phase of racing for the year. First up, we dive into the latest news from the Vuelta a España. It's been a thrilling race so far, and along with my take on all of the action from the commentary box, we also have some great behind-the-scenes info from Tom who has just come back from a stint at the race. From the breakaways to the brutal climbs, we break down all the key moments and what they mean for the GC contenders. Next, we catch up with Luke Durbridge, who's been on a rollercoaster ride to recovery. Luke opens up about his journey back from injury, the challenges he's faced, and how he's gearing up for the rest of the season. We also talk about how riders manage to return to racing and what it takes to come back from setbacks and injuries. Tom also takes us through the latest transfer news. The cycling world is buzzing with big moves and surprising switches, and we all share our opinions on who's going where and what it means for the teams involved. To top it all off, we've got a super special edition of the Communi-quiz - all about a rider who will close the curtain on his career very soon, the one and only Rigoberto Uran. So, grab your coffee, settle in, and join us for another epic episode of Life in the Peloton. ----more---- This episode is supported by our friends at The Escape Collective. Check out Escape Collective's Classifieds section of their website where thousands of used bikes, parts and accessories are being sold every day. It's free for anyone to use, not just members. Life in the Peloton listeners get 2 months of free access to Escape Collective. Just head to http://escapecollective.com/LITP and claim your 2 months free to get a feel for what the community and content is all about.
When I was in college, a million years ago, I worked at the student radio station. There were some cool people there that turned me onto all sorts of new music. I had cassette tapes of several of the albums they introduced me to and I played them for years. I can't remember to put my garbage out on time but I can still picture the handwritten spines of cassette cases for albums like David Sylvian - Gone To Earth and Tangerine Dream - Hyperborea. A few of my prized cassettes were from more obscure artists such as the 3 that start this mix - Clara Mondshine, Baffo Banfi, and Bernard Szajner. After listening to these albums recently, I decided to make an entire mix of artists from that cassette era. The result is a nostalgic trip back to the late 70s and early 80s for some electronic goodness. The tracks range from more obscure artists like Lilienthal, Clara Mondshine, Baffo Banfi, and Bernard Szajner to more well known like Phil Mazanera & Richard Pinhas to the very well known Jean Michel Jarre & Al Di Meola. This collection takes me back to a specific time and works well as a cohesive mix. I hope you enjoy listening as much as I did. Cheers! T R A C K L I S T : 00:00 Clara Mondshine - Landing At Full Moon (Luna Africana 1981) 05:19 Baffo Banfi - Astralunato (Ma Dolce Vita 1979) 09:00 Bernard Szajner - The Memory (some deaths take forever 1980) 13:15 Richard Pinhas - Melodic Simple Transition (L'Ethique 1981) 16:45 Al Di Meola African Night (Scenario 1983) 21:00 Craig Leon - Region of Fleeing Civilians (Visiting 1982) 25:20 Phil Manzanera - Criollo (Primitive Guitars 1982) 30:10 Jean Michel Jarre - Magnetic Fields Part IV (Magnetic Fields 1981) 35:40 Michael Shrieve & Klaus Schulze - Communique (Transfer Station Blue 1986) 48:15 Roedelius - Weilchenwurzeln (Wenn der Südwind Weht 1981) 52:55 Michael Brook - Midday (Hybrid 1985) 58:41 Lilienthal - Gebremster Schaum (Lilienthal 1978) 64:50 end
Life in the Peloton is proudly brought to you by MAAP This episode is supported by our friends at The Escape Collective A little later than usual, but we are back this week with a hot-off-the-press Race Communiqué. The Tour de France is the only race on the calendar where, myself and my two regular podcast guests, Luke Durbridge and Tom Southam are all on the ground at the same time. After a month on the road doing our respective jobs at the race, we sat down and caught up on all of the action and shared our perspectives on the race. While I was hitting the road every day with the press and sometimes doubling up doing the odd bidon hand up, Luke was guiding his team sprinter Dylan Groenewegen to his 6th TDF stage win for Jayco Alula, and Tom was behind the wheel of the team car helping Richard Carapaz and EF Education Easypost light up the race in the mountains in the final week. It was an eventful race for all of us, and we wanted to catch up about the things that had stuck in our minds, from the great tactics, to the mood and the dynamics in the grupetto plus of course, plenty of insight on the things that you wouldn't have seen on TV or read about in the press. This pod is always a fun one to make, but this one is packed with great stories, not to mention revealing our strategies for the Escape Collective Fantasy Tour, and of course, no Race Communiqué would be complete without a quiz. Time to grab a cold one, and finally relax after an action packed month. Cheers! Mitch
Life in the Peloton is proudly brought to you by MAAP The Tour de France is here, and this week's Race Communique podcast is our Tour preview with a difference! I'm joined, as always, by Luke Durbridge and Tom Southam, who'd literally just got their fresh TDF haircuts, to discuss our takes on the race. Luke will be on the start grid of his 10th Tour in a row, and Tom will be hopping into his air-conditioned team car and directing what will be his 8th. The two of them have a huge amount of experience in and around the race, and we get right in behind the scenes as a rider and a DS at the big show! Before we got into the details of the Tour, there was plenty of action to catch up on in recent races, and I asked what their take was on the performances they had seen at the warm up events in France, Switzerland and Slovenia. Luke also took us through what it takes to get ready for the race and how it feels to make selection for the Tour, which is something every rider wants but not everyone gets to do. Meanwhile, Tom explains how this process works from the other side of the fence, what influences decisions and how it is to make the calls on who is at the Grand Depart and who isn't. As well as our Tour tips and a hint of our tactics for the Escape Collectives Fantasy Competition (which we will be hoping to smash the armchair pundits in!), we also bring you the Communi-quiz, where Tom managed to find a board game to help him out as quiz master. We recorded right before we all hopped on flights to the Tour, so it's as fresh as the boys Tour haircuts! Have a bit of fun with this one, and get involved in the Escape Collective Fantasy league here. Cheers! Mitch The Life in the Peloton book is OUT NOW! Get your copy now exclusively at maap.cc! Can't wait for you to read it.
Today on "Spaghetti on the Wall", Armando is talking with Mark Lewis, a business consultant and author. Mark discusses his philosophy of "Give a Damn", which encourages empathy, kindness, and respect in personal and professional interactions. He believes that adopting this mindset can lead to a happier, healthier, and more successful life. He also shares his unique interview technique for hiring employees that fit into a company's culture, emphasizing the importance of face-to-face communication. He also discusses the importance of teaching children about morals and respect from a young age. After getting an MBA from Tulane University, Mark worked at IBM for 13 years before forming Communiqué (1994) that became the South's fastest growing ISP. After Communiqué, Mark merged multiple businesses and became the Chamber's Rising Tide Small Business of the Year. In 2002, As President of the Louisiana Technology Council (LTC) he helped Louisiana rise from 49th to 32nd out of 50 states in technology employment. Mark currently coaches executives and moderates CEO Round tables for the State of Louisiana (10+ years). Mark published the book, “GIVE A DAMN! – The Ticket to Cultural Change.” As a bestselling author, his book discusses how a GIVE A DAMN attitude can culturally make a huge positive difference in all lives. Currently Mark is the CEO and co-founder of Evolve Media, a patented start up AI video development company that allows users to create a single video from multiple videos automatically, and it's all done in minutes. As a Board member of EO of Louisiana Mark was awarded the “Marshall Klein Louisiana Entrepreneur of the Year” in 2019.
After a short pause, this week we're back with another episode of The Race Communiqué! We've had an absolutely bumper month of racing with the first Grand Tour of the year, the Giro d'Italia, wrapping up in Rome just a few days ago. Racing is what this pod is all about and we are going to be driving right into the heart of all the recent action with current pro Luke Durbridge and sports director Tom Southam helping me pick apart a brilliant few weeks of cycling. Before we get into the action on the road though, the big news is the results of our first attempts at our sponsor - The Escape Collective's, brilliant fantasy league game are in! We all had a bit of fun with this one here at the pod, and I'll let you have a listen to see how we went. I would say though, that given the experience and knowledge on this podcast panel, you may be surprised by some of the performances in the league! As well as covering the big stories at the Giro we each nominate our revelations of the race. As ever, a lot of the best bits of the race were the stories behind the headlines, and there were some cracking sub-plots going on with revelations like Georg Steinhauser and Guilio Pellizzari turning a few heads. There has been plenty going on in the peloton outside the Giro as well. Luke gives us some insight into how the UCI points ranking is already a huge topic for riders and teams at the mid-point of the three-year cycle. Tom looks at the complications of even just getting into the breakaway these days before the super teams hoover up all the wins on the road, and why that will be a big influence on the way the racing goes in the rest of the season. It's great to get back to chatting about what is happening in the pro peloton and really get behind the scenes with a lot of the stuff that is new to me these days. I hope you guys enjoy this one. Cheers, Mitch