Podcast appearances and mentions of Simone Signoret

French actress

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Simone Signoret

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Love Story
[FORMAT POCHE] Simone Signoret et Yves Montand : un amour inébranlable

Love Story

Play Episode Listen Later Dec 14, 2025 11:02


Leur couple, c'est l'engagement politique, à gauche. C'est aussi les épreuves. Pour Yves, Simone s'est souvent effacée. Elle a tout pardonné. Leur relation porte les marques d'une époque où les concessions se conjuguaient souvent au féminin. Pour eux, aimer c'est tout traverser. Un podcast Bababam Originals Ecriture et voix : Alice Deroide Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Invité culture
«La chanson française un peu beaucoup passionnément», un livre et une déclaration d'amour à la musique

Invité culture

Play Episode Listen Later Dec 5, 2025 4:26


L'invité culture est le journaliste Didier Varrod, directeur musical de Radio France. Il publie La chanson française, un peu, beaucoup, passionnément. aux éditions Le Robert. Une balade en 21 chapitres dans l'histoire de la chanson française. RFI : La chanson française, un peu, beaucoup, passionnément, c'est le titre de l'ouvrage en forme de déclaration d'amour que vous consacrez à votre passion, qui est aussi celle de beaucoup de gens dans le monde pour la chanson française. Il compte 21 chapitres, 21 moments qui retracent l'histoire moderne de cette chanson. Et en vous lisant, on comprend une chose essentielle : cette chanson française est aussi le miroir de la société dans toutes ses dimensions, ses revendications, ses soubresauts et ses crises. Didier Varrod : Contrairement à ce qu'avait dit Serge Gainsbourg sur un plateau de télévision, j'ai toujours pensé que la chanson était un art majeur, même si ce n'est pas un art académique. Je comprends la nuance gainsbourienne qui consiste à dire que pour faire de la peinture, il faut un apprentissage académique, il faut connaître toute l'histoire de la peinture, mais pour moi, la chanson m'a élevé « au grain ». C'est vrai que la littérature, les livres, le cinéma, ont été importants, mais la chanson a été une sorte de tuteur qui m'a accompagné dans mon éducation, dans mes prises de conscience, dans mes émotions et dans mon identité. Je pense que c'est comme ça pour beaucoup de Françaises et de Français et de gens dans le monde entier, d'ailleurs. Parce que la musique est « un cri qui vient de l'Intérieur », comme disait Bernard Lavilliers. C'est un terrain de jeu commun, un terrain qui fabrique du bien commun, du vivre-ensemble. Pour moi, c'est aussi une langue. Le français est peut-être ma première langue maternelle, mais la chanson française, en quelque sorte, est une deuxième langue. Elle m'a permis de communiquer avec des gens. Elle m'a permis d'entrer dans l'intimité des artistes que j'ai rencontré. Pour moi, elle fait socle. Et, j'ai toujours pensé aussi que si demain il y avait une catastrophe nucléaire ou une catastrophe épouvantable, et que dans un endroit secret était protégés des disques et des vinyles, on pourrait alors comprendre ce qu'était la France des années 1950 à aujourd'hui, rien qu'à travers des chansons. C'est pour ça qu'elle a cette importance pour moi. Dans ce livre, vous partez souvent d'un cas particulier, d'une rencontre, d'une anecdote, pour exhumer une tendance générale dans la chanson française. Prenons le cas des rapports entre le monde politique et la chanson. Est-ce que les personnels politiques ont toujours courtisé les chanteurs et chanteuses ? A contrario, est-ce que les artistes ont eu besoin des politiques ? C'est un phénomène qui est apparu progressivement avec l'émergence de la société du spectacle pour reprendre les termes de Guy Debord. Il est vrai que dans les années 1950 et les années début des années 1960, les artistes, la chanson d'un côté et le monde politique, de l'autre, étaient deux territoires relativement distincts. Ce qui a changé, c'est qu'à la fin des années 1950 et au début des années 1960, il y a une nouvelle catégorie sociologique qui apparait : la jeunesse. Dans les années 1950  ou 1940, voire avant la guerre, il n'y avait pas d'adolescence. L'adolescence n'était pas considérée comme une catégorie sociale à l'instar des enfants et des adultes. Et souvent d'ailleurs, les artistes qui sont issus des années 1960 le racontent. Leur révolution, c'est ça. C'est la prise en compte tout d'un coup d'une catégorie nouvelle qui s'appelle la jeunesse, l'adolescence. Et pour le coup, elle arrive avec sa propre langue, ses propres désirs d'apparence, sa volonté de se distinguer par des vêtements, par la musique, et puis progressivement par du cinéma, puis dans les années 1980 avec la BD.  Et ça, le monde politique le comprend... À partir du moment où cette catégorie est identifiée, elle devient attractive, et elle est convoitée par le personnel politique. D'autant plus avec l'instauration par Valéry Giscard d'Estaing (président de la France entre 1974 et 1981, NDLR) du droit de vote à 18 ans où, finalement, on sort de l'adolescence. Et on comprend que cette adolescence construit aussi les premières utopies, les premières convictions politiques. Je pense que ce qui a rapproché finalement le monde politique et le monde de la musique, c'est à la fois le courant des yéyés, la période de mai 1968, et aussi après les années s1970, la prise en compte de la jeunesse comme une véritable catégorie socioprofessionnelle. Et cette chanson française n'évolue pas en vase clos. Elle se fait la caisse de résonance des luttes de l'époque, des injustices, des combats. Il y a toujours eu une chanson d'auteur qui avait comme préoccupation de raconter le monde et de raconter en chanson quelles étaient les préoccupations sociales et politiques de leurs auteurs. Il y a eu, comme je le raconte dans le livre, des compagnons de route du Parti communiste français, notamment avec Jean Ferrat qui était un artiste extrêmement populaire à l'époque. À côté, il y avait des acteurs comme Yves Montand et Simone Signoret. Toute une sphère artistique très en lien avec le Parti communiste. Mais dans les années 1970, la France rattrape son retard dans la culture politique. John Fitzgerald Kennedy (président des États-Unis de 1961 à 1963, NDLR) est passé par là. Il a fait de sa campagne électorale, une campagne spectacle où le show business commençait à intervenir dans la vie politique américaine. Et du coup, Giscard, quand il arrive en 1974, applique un peu cette recette. Avec une volonté de resserrer les liens avec la sphère artistique. D'ailleurs, il vise les jeunes. Il fait fabriquer des t-shirts et il les fait porter aux artistes qui sont les plus populaires, les plus emblématiques. On a des photos de Claude François ou de Johnny Hallyday ou Sylvie Vartan avec le t-shirt « Giscard à la barre ». La chanson française se fait l'écho des revendications et des cris, enfin des revendications, des injustices, des combats. Dans les années 1970, il y a une nouvelle scène française, une nouvelle chanson française qui est une chanson d'auteur, portée par des auteurs, compositeurs, interprètes et non plus seulement par des interprètes qui se contentaient de faire des adaptations de standards américains ou anglais. Donc, à partir du moment où cette génération d'auteurs est arrivée, elle s'est inscrite dans la tradition française, celle de l'écrit qui dit quelque chose du monde, et qui existait déjà, du reste, dans les années 1920 ou 1930, avec des chanteurs qui utilisaient la chanson pour raconter à la fois leur intériorité, mais aussi leur relation au monde et leur volonté d'émancipation. Dans les années 1970, il y a la volonté d'accompagner un désir de changement, d'alternance. Il faut se remettre dans l'esprit une chose : à l'époque, les gens pensaient que l'alternance politique n'était qu'une utopie, qu'elle n'arriverait jamais. Dès lors, nous n'avions pour y croire que quelques enseignants qui nous enseignaient une vision alternative du monde. Et puis, nous avions les chanteurs. Renaud, Bernard Lavilliers, Alain Souchon, Daniel Balavoine qui exprimaient à travers leurs mots une conscience ouvrière, une volonté de changer le monde. Pour mon cas personnel, j'ai toujours pensé que les chansons de Renaud ont été bien plus efficaces que tous les cours d'éducation civique que je subissais à l'école. Quant à Balavoine, je le considère un peu comme un tuteur, un grand frère qui m'a appris la vie, qui m'a appris quel était le prix de l'émotion, qui m'a appris à « m'emporter pour ce qui m'importe », puisque c'était une des grandes phrases de Balavoine, « je m'emporte pour ce qu'il m'importe ». Alors, est-ce que pour autant les chansons changent le monde ? C'est Jean-Jacques Goldman qui a posé de façon assez judicieuse la question, sans réellement y répondre. Mais en tout cas, elles accompagnent les soubresauts politiques, elles accompagnent les mutations, et parfois, elles sont simplement la bande originale d'un moment. Chaque révolution à ses chansons. Dans ce livre, vous abordez aussi un chapitre très intéressant, c'est l'irruption du rap dans les années 1990 et la difficulté qu'a eue l'industrie musicale à intégrer le rap dans le champs de vision. Il a fallu le succès de MC Solaar, expliquez-vous, pour que finalement, on se rende compte que les banlieues avaient quelque chose à dire. Et elles le disaient d'une façon différente, mais qui était aussi de la chanson française. J'ai eu la chance de vivre personnellement ce moment. Je suis en 1991 appelé à la direction artistique de Polydor. Je ne suis pas un enfant du rap, loin de là. J'ai acheté quelques 45 tours de rap, Sugar Hill Gang qui tournait sur ma platine tout le temps. On commençait à voir des breakers comme Sydney à la télévision. Mais pour moi, c'était quand même un monde un peu étranger. Et quand j'arrive en 1991 chez Polydor, qui est vraiment le label très imprégné de chanson française, Serge Reggiani, Renaud, Maxime Le Forestier etc, il y a toute une nouvelle pop française qui émerge avec Niagara, Mylène Farmer, Patricia Kaas. Et au milieu, il y a une espèce de d'électron libre qui s'appelle MC Solaar, avec un projet hybride entre la chanson et le rap. Ce n'est pas tout à fait du rap au sens où on croit l'entendre, et ce n'est pas tout à fait de la chanson. Et de cette hybridité va naître effectivement une culture qui est celle du rap populaire qui va débouler sur les antennes de toutes les radios. Pourquoi l'industrie musicale a eu autant de mal à intégrer le rap dans ses raisonnements ? Parce que ces jeunes gens n'avaient jamais eu la chance d'être visibles, ni à la radio ni à la télé. Faut quand même rappeler que jusque dans les années 1980, il n'y a pas de « blacks » à la télé, il n'y a pas d'arabes à la télé. Et quand on les voit, c'est soit parce qu'il y a des émeutes, soit parce que tout d'un coup, il y a un élan collectif antiraciste. Donc tout d'un coup, cette jeunesse que l'on ne connaît pas arrive et remet en question la manière traditionnelle de faire la chanson. La chanson, ce n'est plus forcément un couplet, un refrain, un couplet, un refrain. Ça peut être un flow qui dure pendant trois minutes sans refrain. Ça peut être – oh scandale ! – l'arrivée du sampling dans cette musique. Et ce sampling déstabilise une partie des gens de la chanson française qui se disent « mais enfin, ils ne peuvent pas composer leur propre rythmique, ils ne peuvent pas employer un batteur et un bassiste pour créer une rythmique ! ». Et la chanson française a aussi refusé quelque part cette irruption de ce mode d'expression qui était nouveau, spontané, et aussi extrêmement écrit, mais dans une langue qui n'était pas tout à fait la langue académique. Et c'est vrai que finalement, Solaar a réussi à imposer une image de grand sage. Et il a réussi, tout d'un coup, à intéresser les tenants du patrimoine de la chanson française, c'est à dire les Aznavour, les Gainsbourg, les Juliette Gréco, tous ces artistes vraiment très patrimoniaux qui avaient connu la poésie surréaliste, qui avaient connu Boris Vian, qui avaient connu Jacques Canetti. Donc ça a été pour moi magnifique de vivre à la fois cette émergence, de comprendre aussi que ça grattait, que ça n'allait pas être facile. Finalement, puisque j'ai toujours une vision un peu historique de la chanson, je me dis que ce n'est pas si loin de ce qu'ont vécus dans les années 1960 Eddy Mitchell, Dick Rivers, Johnny Hallyday qui – comme par hasard – étaient tous des mômes issus des quartiers populaires, de la banlieue, qu'on n'appelait pas encore banlieue, et qui s'exprimaient avec des rythmes et des mots qui n'étaient pas ceux de la génération d'avant. On voit à nouveau avec le rap l'émergence d'une musique stigmatisée par l'establishment, adoubée par la rue et par le public. C'est ça qui est très intéressant. Mais encore aujourd'hui, on s'aperçoit par exemple avec la mort de Werenoi, une partie de la France s'interroge. C'est juste le plus gros vendeur de disque en France ! Et moi, je voulais aussi raconter ce long chemin de croix qu'ont vécu les rappeurs pourtant installés depuis le début des années 1990. Je ne vous dis pas le nombre de courriers que reçoit la médiatrice de France Inter (station de radio où travaille Didier Varrod, NDLR) tous les jours, toutes les semaines pour râler en disant « mais comment vous pouvez passer cette musique qui n'est pas de la musique ? ». On a eu la même chose avec la musique électronique. Mais c'est pour dire encore qu'aujourd'hui, même si cette musique-là est majoritaire économiquement dans le pays et qu'elle draine effectivement la majorité de la jeunesse, elle n'est pas la musique majoritaire pour l'institution. Dans ce livre, vous évoquez beaucoup d'artistes qui vous ont marqués. On ne va pas tous les citer. Il y a Véronique Sanson, bien évidemment. Et puis, vous parlez de Mylène Farmer. Et en lisant le chapitre sur Mylène Farmer, je me suis dit : est-ce que la chanson française fabrique des mythes ? Ou est-ce que ce sont les mythes qui s'incarnent dans la chanson française, comme ils pourraient s'incarner en littérature ou ailleurs ? C'est une question que je me suis posée plusieurs fois en écrivant ce chapitre sur Mylène Farmer. Est-ce qu'elle est née pour devenir mythologique, avec la volonté de le devenir ? Ou est-ce que finalement, c'est l'histoire de la chanson française dans son évolution qui a fabriqué ce mythe ? En fait, je pense très honnêtement que, c'est l'histoire de la chanson française qui crée le mythe autour de Mylène Farmer. Même si Mylène Farmer, quand elle arrive au début des années 1980, se nourrit d'un certain nombre de mythologies très fortes, de figures mythologiques qui cultivent à la fois le secret, un univers un peu sombre, etc. Mais en fait, c'est en regardant l'histoire de la chanson que l'on s'aperçoit que finalement, ce mythe va naître et se muscler et s'intensifier. Cette identité, parfois, se transmet de père en fils. Vous abordez parmi tous les phénomènes que génère la chanson dans une société. Celui de l'héritage et des familles : les Higelin, les Chedid, les Gainsbourg.. La chanson française, serait-elle transmissible génétiquement, si je puis dire ? C'est l'une de ses singularités. Et en fait, c'est un questionnement que j'ai eu parce souvent, quand on me présente un artiste, je me dis « Tiens, c'est la fille de ou le fils de... ». Il y a quand même ce truc en France qui rend un peu suspect la légitimité ou l'intégrité, lorsque l'on est fille ou fils de ou petit-fils ou petite fille de. Et c'est vrai que c'est une question. En fait, c'est l'une des singularités de l'histoire de la chanson française. Il y a Gainsbourg, il y a Chedid, il y a Hardy, Dutronc, France Gall... Une partie de l'histoire de la chanson s'est construite, édifiée et fut nourrie par ces familles. Et c'était aussi peut-être leur rendre alors ce qui m'a aussi poussé. J'ai beaucoup hésité à écrire ce chapitre, jusqu'au moment où je suis allé voir le spectacle d'Alain Souchon avec ses deux fils. Au départ, je me disais « Mais il ne peut pas faire un spectacle tout seul ou avec Laurent Voulzy (son complice de scène NDLR) ». Et en fait, de voir ces trois personnalités liées par le sang, par un amour inconditionnel et construire une œuvre d'art à l'intérieur d'une histoire de la chanson, ça m'a bouleversé. Je me suis dit : « Il faut rendre hommage à cette volonté de revendiquer à ciel ouvert une histoire de famille. » Et puis après, il y a aussi une dimension dans les histoires de famille que l'on aborde assez peu. C'est le phénomène de la statue du Commandeur, c'est-à-dire qu'il y a beaucoup d'artistes qui sont tellement impressionnés par l'image de la mère ou du père qui se disent « comment puis-je le dépasser ? ». Ce n'est pas simple pour tout le monde. Oui, et j'aurais pu aussi d'ailleurs évoquer dans le livre toutes les histoires de famille qui ont échoué, ou en tout cas, ces histoires d'enfants qui ont eu moins de succès ou ont eu plus de difficultés que leur maman ou leur papa. Et ça fera peut-être l'objet d'un tome 2, mais ce n'est jamais très agréable d'écrire sur les échecs. Mais ce que vous racontez là est vraiment juste. Quand on parle de Thomas Dutronc par exemple (fils de Jacques Dutronc et de Françoise Hardy, tous deux artistes NDLR), c'est quand même génial. Une jeune garçon, un fils de, avec un père et une mère qui ont marqué la chanson... Il fait son apprentissage en secret se disant « si j'ai une chance de réussir, il ne faut pas que je sois chanteur, ou en tout cas, il ne faut pas que mon fantasme premier soit d'être dans la lumière ». Et c'est très bouleversant, parce qu'en fait, il va devenir un immense musicien en s'imposant la clandestinité. Il est devenu guitariste de jazz manouche, pour aller dans un monde qui n'était ni celui de son père, ni celui de sa mère. Donc il y a des très belles histoires dans cette épopée de la chanson française.

Invité Culture
«La chanson française un peu beaucoup passionnément», un livre et une déclaration d'amour à la musique

Invité Culture

Play Episode Listen Later Dec 5, 2025 4:26


L'invité culture est le journaliste Didier Varrod, directeur musical de Radio France. Il publie La chanson française, un peu, beaucoup, passionnément. aux éditions Le Robert. Une balade en 21 chapitres dans l'histoire de la chanson française. RFI : La chanson française, un peu, beaucoup, passionnément, c'est le titre de l'ouvrage en forme de déclaration d'amour que vous consacrez à votre passion, qui est aussi celle de beaucoup de gens dans le monde pour la chanson française. Il compte 21 chapitres, 21 moments qui retracent l'histoire moderne de cette chanson. Et en vous lisant, on comprend une chose essentielle : cette chanson française est aussi le miroir de la société dans toutes ses dimensions, ses revendications, ses soubresauts et ses crises. Didier Varrod : Contrairement à ce qu'avait dit Serge Gainsbourg sur un plateau de télévision, j'ai toujours pensé que la chanson était un art majeur, même si ce n'est pas un art académique. Je comprends la nuance gainsbourienne qui consiste à dire que pour faire de la peinture, il faut un apprentissage académique, il faut connaître toute l'histoire de la peinture, mais pour moi, la chanson m'a élevé « au grain ». C'est vrai que la littérature, les livres, le cinéma, ont été importants, mais la chanson a été une sorte de tuteur qui m'a accompagné dans mon éducation, dans mes prises de conscience, dans mes émotions et dans mon identité. Je pense que c'est comme ça pour beaucoup de Françaises et de Français et de gens dans le monde entier, d'ailleurs. Parce que la musique est « un cri qui vient de l'Intérieur », comme disait Bernard Lavilliers. C'est un terrain de jeu commun, un terrain qui fabrique du bien commun, du vivre-ensemble. Pour moi, c'est aussi une langue. Le français est peut-être ma première langue maternelle, mais la chanson française, en quelque sorte, est une deuxième langue. Elle m'a permis de communiquer avec des gens. Elle m'a permis d'entrer dans l'intimité des artistes que j'ai rencontré. Pour moi, elle fait socle. Et, j'ai toujours pensé aussi que si demain il y avait une catastrophe nucléaire ou une catastrophe épouvantable, et que dans un endroit secret était protégés des disques et des vinyles, on pourrait alors comprendre ce qu'était la France des années 1950 à aujourd'hui, rien qu'à travers des chansons. C'est pour ça qu'elle a cette importance pour moi. Dans ce livre, vous partez souvent d'un cas particulier, d'une rencontre, d'une anecdote, pour exhumer une tendance générale dans la chanson française. Prenons le cas des rapports entre le monde politique et la chanson. Est-ce que les personnels politiques ont toujours courtisé les chanteurs et chanteuses ? A contrario, est-ce que les artistes ont eu besoin des politiques ? C'est un phénomène qui est apparu progressivement avec l'émergence de la société du spectacle pour reprendre les termes de Guy Debord. Il est vrai que dans les années 1950 et les années début des années 1960, les artistes, la chanson d'un côté et le monde politique, de l'autre, étaient deux territoires relativement distincts. Ce qui a changé, c'est qu'à la fin des années 1950 et au début des années 1960, il y a une nouvelle catégorie sociologique qui apparait : la jeunesse. Dans les années 1950  ou 1940, voire avant la guerre, il n'y avait pas d'adolescence. L'adolescence n'était pas considérée comme une catégorie sociale à l'instar des enfants et des adultes. Et souvent d'ailleurs, les artistes qui sont issus des années 1960 le racontent. Leur révolution, c'est ça. C'est la prise en compte tout d'un coup d'une catégorie nouvelle qui s'appelle la jeunesse, l'adolescence. Et pour le coup, elle arrive avec sa propre langue, ses propres désirs d'apparence, sa volonté de se distinguer par des vêtements, par la musique, et puis progressivement par du cinéma, puis dans les années 1980 avec la BD.  Et ça, le monde politique le comprend... À partir du moment où cette catégorie est identifiée, elle devient attractive, et elle est convoitée par le personnel politique. D'autant plus avec l'instauration par Valéry Giscard d'Estaing (président de la France entre 1974 et 1981, NDLR) du droit de vote à 18 ans où, finalement, on sort de l'adolescence. Et on comprend que cette adolescence construit aussi les premières utopies, les premières convictions politiques. Je pense que ce qui a rapproché finalement le monde politique et le monde de la musique, c'est à la fois le courant des yéyés, la période de mai 1968, et aussi après les années s1970, la prise en compte de la jeunesse comme une véritable catégorie socioprofessionnelle. Et cette chanson française n'évolue pas en vase clos. Elle se fait la caisse de résonance des luttes de l'époque, des injustices, des combats. Il y a toujours eu une chanson d'auteur qui avait comme préoccupation de raconter le monde et de raconter en chanson quelles étaient les préoccupations sociales et politiques de leurs auteurs. Il y a eu, comme je le raconte dans le livre, des compagnons de route du Parti communiste français, notamment avec Jean Ferrat qui était un artiste extrêmement populaire à l'époque. À côté, il y avait des acteurs comme Yves Montand et Simone Signoret. Toute une sphère artistique très en lien avec le Parti communiste. Mais dans les années 1970, la France rattrape son retard dans la culture politique. John Fitzgerald Kennedy (président des États-Unis de 1961 à 1963, NDLR) est passé par là. Il a fait de sa campagne électorale, une campagne spectacle où le show business commençait à intervenir dans la vie politique américaine. Et du coup, Giscard, quand il arrive en 1974, applique un peu cette recette. Avec une volonté de resserrer les liens avec la sphère artistique. D'ailleurs, il vise les jeunes. Il fait fabriquer des t-shirts et il les fait porter aux artistes qui sont les plus populaires, les plus emblématiques. On a des photos de Claude François ou de Johnny Hallyday ou Sylvie Vartan avec le t-shirt « Giscard à la barre ». La chanson française se fait l'écho des revendications et des cris, enfin des revendications, des injustices, des combats. Dans les années 1970, il y a une nouvelle scène française, une nouvelle chanson française qui est une chanson d'auteur, portée par des auteurs, compositeurs, interprètes et non plus seulement par des interprètes qui se contentaient de faire des adaptations de standards américains ou anglais. Donc, à partir du moment où cette génération d'auteurs est arrivée, elle s'est inscrite dans la tradition française, celle de l'écrit qui dit quelque chose du monde, et qui existait déjà, du reste, dans les années 1920 ou 1930, avec des chanteurs qui utilisaient la chanson pour raconter à la fois leur intériorité, mais aussi leur relation au monde et leur volonté d'émancipation. Dans les années 1970, il y a la volonté d'accompagner un désir de changement, d'alternance. Il faut se remettre dans l'esprit une chose : à l'époque, les gens pensaient que l'alternance politique n'était qu'une utopie, qu'elle n'arriverait jamais. Dès lors, nous n'avions pour y croire que quelques enseignants qui nous enseignaient une vision alternative du monde. Et puis, nous avions les chanteurs. Renaud, Bernard Lavilliers, Alain Souchon, Daniel Balavoine qui exprimaient à travers leurs mots une conscience ouvrière, une volonté de changer le monde. Pour mon cas personnel, j'ai toujours pensé que les chansons de Renaud ont été bien plus efficaces que tous les cours d'éducation civique que je subissais à l'école. Quant à Balavoine, je le considère un peu comme un tuteur, un grand frère qui m'a appris la vie, qui m'a appris quel était le prix de l'émotion, qui m'a appris à « m'emporter pour ce qui m'importe », puisque c'était une des grandes phrases de Balavoine, « je m'emporte pour ce qu'il m'importe ». Alors, est-ce que pour autant les chansons changent le monde ? C'est Jean-Jacques Goldman qui a posé de façon assez judicieuse la question, sans réellement y répondre. Mais en tout cas, elles accompagnent les soubresauts politiques, elles accompagnent les mutations, et parfois, elles sont simplement la bande originale d'un moment. Chaque révolution à ses chansons. Dans ce livre, vous abordez aussi un chapitre très intéressant, c'est l'irruption du rap dans les années 1990 et la difficulté qu'a eue l'industrie musicale à intégrer le rap dans le champs de vision. Il a fallu le succès de MC Solaar, expliquez-vous, pour que finalement, on se rende compte que les banlieues avaient quelque chose à dire. Et elles le disaient d'une façon différente, mais qui était aussi de la chanson française. J'ai eu la chance de vivre personnellement ce moment. Je suis en 1991 appelé à la direction artistique de Polydor. Je ne suis pas un enfant du rap, loin de là. J'ai acheté quelques 45 tours de rap, Sugar Hill Gang qui tournait sur ma platine tout le temps. On commençait à voir des breakers comme Sydney à la télévision. Mais pour moi, c'était quand même un monde un peu étranger. Et quand j'arrive en 1991 chez Polydor, qui est vraiment le label très imprégné de chanson française, Serge Reggiani, Renaud, Maxime Le Forestier etc, il y a toute une nouvelle pop française qui émerge avec Niagara, Mylène Farmer, Patricia Kaas. Et au milieu, il y a une espèce de d'électron libre qui s'appelle MC Solaar, avec un projet hybride entre la chanson et le rap. Ce n'est pas tout à fait du rap au sens où on croit l'entendre, et ce n'est pas tout à fait de la chanson. Et de cette hybridité va naître effectivement une culture qui est celle du rap populaire qui va débouler sur les antennes de toutes les radios. Pourquoi l'industrie musicale a eu autant de mal à intégrer le rap dans ses raisonnements ? Parce que ces jeunes gens n'avaient jamais eu la chance d'être visibles, ni à la radio ni à la télé. Faut quand même rappeler que jusque dans les années 1980, il n'y a pas de « blacks » à la télé, il n'y a pas d'arabes à la télé. Et quand on les voit, c'est soit parce qu'il y a des émeutes, soit parce que tout d'un coup, il y a un élan collectif antiraciste. Donc tout d'un coup, cette jeunesse que l'on ne connaît pas arrive et remet en question la manière traditionnelle de faire la chanson. La chanson, ce n'est plus forcément un couplet, un refrain, un couplet, un refrain. Ça peut être un flow qui dure pendant trois minutes sans refrain. Ça peut être – oh scandale ! – l'arrivée du sampling dans cette musique. Et ce sampling déstabilise une partie des gens de la chanson française qui se disent « mais enfin, ils ne peuvent pas composer leur propre rythmique, ils ne peuvent pas employer un batteur et un bassiste pour créer une rythmique ! ». Et la chanson française a aussi refusé quelque part cette irruption de ce mode d'expression qui était nouveau, spontané, et aussi extrêmement écrit, mais dans une langue qui n'était pas tout à fait la langue académique. Et c'est vrai que finalement, Solaar a réussi à imposer une image de grand sage. Et il a réussi, tout d'un coup, à intéresser les tenants du patrimoine de la chanson française, c'est à dire les Aznavour, les Gainsbourg, les Juliette Gréco, tous ces artistes vraiment très patrimoniaux qui avaient connu la poésie surréaliste, qui avaient connu Boris Vian, qui avaient connu Jacques Canetti. Donc ça a été pour moi magnifique de vivre à la fois cette émergence, de comprendre aussi que ça grattait, que ça n'allait pas être facile. Finalement, puisque j'ai toujours une vision un peu historique de la chanson, je me dis que ce n'est pas si loin de ce qu'ont vécus dans les années 1960 Eddy Mitchell, Dick Rivers, Johnny Hallyday qui – comme par hasard – étaient tous des mômes issus des quartiers populaires, de la banlieue, qu'on n'appelait pas encore banlieue, et qui s'exprimaient avec des rythmes et des mots qui n'étaient pas ceux de la génération d'avant. On voit à nouveau avec le rap l'émergence d'une musique stigmatisée par l'establishment, adoubée par la rue et par le public. C'est ça qui est très intéressant. Mais encore aujourd'hui, on s'aperçoit par exemple avec la mort de Werenoi, une partie de la France s'interroge. C'est juste le plus gros vendeur de disque en France ! Et moi, je voulais aussi raconter ce long chemin de croix qu'ont vécu les rappeurs pourtant installés depuis le début des années 1990. Je ne vous dis pas le nombre de courriers que reçoit la médiatrice de France Inter (station de radio où travaille Didier Varrod, NDLR) tous les jours, toutes les semaines pour râler en disant « mais comment vous pouvez passer cette musique qui n'est pas de la musique ? ». On a eu la même chose avec la musique électronique. Mais c'est pour dire encore qu'aujourd'hui, même si cette musique-là est majoritaire économiquement dans le pays et qu'elle draine effectivement la majorité de la jeunesse, elle n'est pas la musique majoritaire pour l'institution. Dans ce livre, vous évoquez beaucoup d'artistes qui vous ont marqués. On ne va pas tous les citer. Il y a Véronique Sanson, bien évidemment. Et puis, vous parlez de Mylène Farmer. Et en lisant le chapitre sur Mylène Farmer, je me suis dit : est-ce que la chanson française fabrique des mythes ? Ou est-ce que ce sont les mythes qui s'incarnent dans la chanson française, comme ils pourraient s'incarner en littérature ou ailleurs ? C'est une question que je me suis posée plusieurs fois en écrivant ce chapitre sur Mylène Farmer. Est-ce qu'elle est née pour devenir mythologique, avec la volonté de le devenir ? Ou est-ce que finalement, c'est l'histoire de la chanson française dans son évolution qui a fabriqué ce mythe ? En fait, je pense très honnêtement que, c'est l'histoire de la chanson française qui crée le mythe autour de Mylène Farmer. Même si Mylène Farmer, quand elle arrive au début des années 1980, se nourrit d'un certain nombre de mythologies très fortes, de figures mythologiques qui cultivent à la fois le secret, un univers un peu sombre, etc. Mais en fait, c'est en regardant l'histoire de la chanson que l'on s'aperçoit que finalement, ce mythe va naître et se muscler et s'intensifier. Cette identité, parfois, se transmet de père en fils. Vous abordez parmi tous les phénomènes que génère la chanson dans une société. Celui de l'héritage et des familles : les Higelin, les Chedid, les Gainsbourg.. La chanson française, serait-elle transmissible génétiquement, si je puis dire ? C'est l'une de ses singularités. Et en fait, c'est un questionnement que j'ai eu parce souvent, quand on me présente un artiste, je me dis « Tiens, c'est la fille de ou le fils de... ». Il y a quand même ce truc en France qui rend un peu suspect la légitimité ou l'intégrité, lorsque l'on est fille ou fils de ou petit-fils ou petite fille de. Et c'est vrai que c'est une question. En fait, c'est l'une des singularités de l'histoire de la chanson française. Il y a Gainsbourg, il y a Chedid, il y a Hardy, Dutronc, France Gall... Une partie de l'histoire de la chanson s'est construite, édifiée et fut nourrie par ces familles. Et c'était aussi peut-être leur rendre alors ce qui m'a aussi poussé. J'ai beaucoup hésité à écrire ce chapitre, jusqu'au moment où je suis allé voir le spectacle d'Alain Souchon avec ses deux fils. Au départ, je me disais « Mais il ne peut pas faire un spectacle tout seul ou avec Laurent Voulzy (son complice de scène NDLR) ». Et en fait, de voir ces trois personnalités liées par le sang, par un amour inconditionnel et construire une œuvre d'art à l'intérieur d'une histoire de la chanson, ça m'a bouleversé. Je me suis dit : « Il faut rendre hommage à cette volonté de revendiquer à ciel ouvert une histoire de famille. » Et puis après, il y a aussi une dimension dans les histoires de famille que l'on aborde assez peu. C'est le phénomène de la statue du Commandeur, c'est-à-dire qu'il y a beaucoup d'artistes qui sont tellement impressionnés par l'image de la mère ou du père qui se disent « comment puis-je le dépasser ? ». Ce n'est pas simple pour tout le monde. Oui, et j'aurais pu aussi d'ailleurs évoquer dans le livre toutes les histoires de famille qui ont échoué, ou en tout cas, ces histoires d'enfants qui ont eu moins de succès ou ont eu plus de difficultés que leur maman ou leur papa. Et ça fera peut-être l'objet d'un tome 2, mais ce n'est jamais très agréable d'écrire sur les échecs. Mais ce que vous racontez là est vraiment juste. Quand on parle de Thomas Dutronc par exemple (fils de Jacques Dutronc et de Françoise Hardy, tous deux artistes NDLR), c'est quand même génial. Une jeune garçon, un fils de, avec un père et une mère qui ont marqué la chanson... Il fait son apprentissage en secret se disant « si j'ai une chance de réussir, il ne faut pas que je sois chanteur, ou en tout cas, il ne faut pas que mon fantasme premier soit d'être dans la lumière ». Et c'est très bouleversant, parce qu'en fait, il va devenir un immense musicien en s'imposant la clandestinité. Il est devenu guitariste de jazz manouche, pour aller dans un monde qui n'était ni celui de son père, ni celui de sa mère. Donc il y a des très belles histoires dans cette épopée de la chanson française.

La Minute Crooner Attitude
Moi qui t'aimais, ou l'histoire d'amour entre Yves Montand et Simone Signoret

La Minute Crooner Attitude

Play Episode Listen Later Oct 8, 2025 4:56


La Minute Crooner Attitude, le billet d'humeur de Jean-Baptiste Tuzet, tous les jours de la semaine, 9 h 15 et 19 h 15 sur Crooner Radio. Plus d'informations et podcasts www.croonerradio.frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Certains l'aiment Fip
Rencontre avec Diane Kurys et Marina Foïs

Certains l'aiment Fip

Play Episode Listen Later Oct 5, 2025 50:34


durée : 00:50:34 - Certains l'aiment Fip - À l'occasion de la sortie de film "Moi qui t'aimais" sur le couple mythique formé par Simone Signoret et Yves Montand, nous tendons le micro à la réalisatrice et à l'actrice. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Travelling - La 1ere
L'armée des ombres, Jean-Pierre Melville, 1969

Travelling - La 1ere

Play Episode Listen Later Oct 5, 2025 56:48


Aujourdʹhui dans Travelling, un film de guerre, qui parle de la Résistance, des hommes et des femmes qui la font, de ce que cela implique, et le tout sans concessions. LʹArmée des Ombres est signée Jean-Pierre Melville, adapté du roman du même nom de Joseph Kessel. Résistant lui-même, Jean-Pierre Melville se passionne immédiatement pour cette histoire quʹil lit à Londres dès sa sortie en 1943 et dont il sait, quʹun jour, il fera un film. Mais pas tout de suite. Avant, il doit revenir en France, réaliser un premier long-métrage, Le Silence de la Mer, qui traite aussi de la guerre, et beaucoup dʹautres films qui assoient sa réputation de cinéaste sérieux, amoureux des polars. En 1969, il est prêt. Prêt à raconter lʹhistoire de Philippe Gerbier, dirigeant dʹun réseau de résistants, arrêté pour pensées gaullistes, et qui s'échappe lors de son transfert vers la Gestapo parisienne. Mais les arrestations des membres de son réseau se suivent et les tentatives de libération ne sont pas toutes fructueuses. Elimination de traitre, transfert en Angleterre, évasions, assassinats, courage et loyauté sont de mise dans lʹArmée des Ombres, un film cher au cinéaste pour qui les faits dʹarmes des Résistants et Résistantes français sont moins intéressants que leurs doutes et leurs zones sombres. Considéré à lʹépoque comme le film le plus coûteux du cinéma français, on y trouve la crème des acteurs et actrices du moment : Lino Ventura, Simone Signoret, Paul Meurisse et Jean-Pierre-Cassel. Un soin tout particulier est également donné à lʹimage, lavée, presque verte, tendant vers un noir et blanc qui ancre encore plus le récit. Peu apprécié à sa sortie, lʹArmée des Ombres est néanmoins depuis devenu un classique. Et nous allons vous dire tout ce quʹon en sait. Cʹest un film raconteur dʹune tranche dʹHistoire du 20e siècle et pour lequel nous avons une ribambelle dʹarchives à disposition, la musique du film, des anecdotes, des extraits. Il ne nous reste plus quʹà mettre nos pas dans ceux de Jean-Pierre Melville et de ses Résistants. REFERENCES Bertrand Tessier : Jean-Pierre Melville, le solitaire, Fayard, 2017 Jean-Pierre Melville, de la Résistance au cinéma : https://www.youtube.com/watch?v=X9DzPbryBY8 Cinéma Critique : https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/i09218965/jean-pierre-melville-a-propos-de-l-armee-des-ombres Kessel à propos du livre L'armée des Ombres : https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/i08344479/kessel-a-propos-du-livre-l-armee-des-ombres Jean Pierre MELVILLE et ses interprètes Simone SIGNORET et Jean Pierre CASSEL parlent du film "L'armée des ombres" et de son thème la Résistance : https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/caf97061972/jean-pierre-melville-a-propos-de-l-armee-des-ombres Scène de tournage du film "L'armée des ombres" : https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/i00013756/tournage-du-film-l-armee-des-ombres ITW Pierre Tchernia : https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/i00013730/jean-pierre-melville-a-propos-de-sa-decouverte-du-cinema Jean-Pierre Melville - interview (1970) : https://www.youtube.com/watch?v=Avz45nU-AJg Dialogue avec Éric Demarsan : https://www.cinematheque.fr/video/2397.html

Les indispensables - Europe 1
«Moi qui t'aimais», le biopic sur Simone Signoret et Yves Montand : le film recommandé par Olivier Benkemoun

Les indispensables - Europe 1

Play Episode Listen Later Oct 3, 2025 3:41


Chaque jour, deux chroniqueurs présentent les infos indispensables à connaître en matière de culture : les dernières actus musique, les sorties littéraires ou cinéma, les nouvelles pièces de théâtre et les séries à ne pas manquer… C'est ici ! Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Laissez-vous Tenter
"Moi qui t'aimais" : pari risqué mais amplement réussi avec Marina Foïs et Roschdy Zem pour incarner Simone Signoret et Yves Montand

Laissez-vous Tenter

Play Episode Listen Later Oct 1, 2025 2:37


La réalisatrice Diane Kurys nous entraine dans les coulisses d'un couple mythique : Simone Signoret et Yves Montand. Elle les suit durant les 15 dernières années de leur vie. Ce sont des stars, des icones artistique et politiques. Entre eux subsiste un amour infini mais aussi malheureux, un amour trahi, un amour douloureux. Les dialogues naviguent entre la tendresse et la vacherie : c'est le choix assumé de Diane Kurys. Ecoutez Laissez-vous tenter - Première avec Stéphane Boudsocq du 01 octobre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le monde d'Elodie
Diane Kurys raconte l'idylle entre Simone Signoret et Yves Montand : "C'est passionnant d'écrire sur la vie des autres"

Le monde d'Elodie

Play Episode Listen Later Oct 1, 2025 18:47


durée : 00:18:47 - Le monde d'Elodie - par : Elodie SUIGO - Tous les jours, une personnalité s'invite dans le monde d'Élodie Suigo. Mercredi 1er octobre 2025, la réalisatrice Diane Kurys. Son nouveau film, "Moi qui t'aimais", sort aujourd'hui au cinéma. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

AlloCiné
Marina Foïs et Roschdy Zem sont Yves Montand et Simone Signoret : rencontre avec Diane Kurys

AlloCiné

Play Episode Listen Later Sep 30, 2025 10:54


Yves Montand et Simone Signoret sont au coeur d'un biopic réalisé par Diane Kurys. La réalisatrice a choisi Roschdy Zem en Yves Montand, et Marina Fois en Simone Signoret.Moi qui t'aimais, c'est son titre, s'intéresse à l'histoire d'amour qui unissait les deux acteurs, présenté comme le e couple le plus célèbre de leur temps.Hantée par la liaison de son mari avec Marilyn Monroe et meurtrie par toutes celles qui ont suivi, Signoret a toujours refusé le rôle de victime. Ce qu'ils savaient, c'est qu'ils ne se quitteraient jamais...Le film était présenté à Cannes, dans la sélection Cannes Classics. L'occasion de s'entretenir avec la réalisatrice Diane Kurys.Crédits :Journaliste : Brigitte BaronnetMontage : Constance Mathews Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.

Vous m'en direz des nouvelles
«Moi qui t'aimais»: l'amour houleux entre Montand et Signoret incarnés par Roschdy Zem et Marina Foïs

Vous m'en direz des nouvelles

Play Episode Listen Later Sep 30, 2025 48:29


La réalisatrice Diane Kurys met à l'écran un couple mythique : lui le chanteur populaire, l'acteur à succès, l'éternel séducteur et elle la comédienne au Casque d'Or couronnée aux Oscars. Dans son film «Moi qui t'aimais», Diane Kurys s'est intéressée aux dernières années d'Yves Montand et Simone Signoret, un couple porté par ses engagements politiques et citoyens, incarnés à l'écran par Roschdy Zem et Marina Foïs. La réalisatrice Diane Kurys était l'invitée de Nathalie Amar.    ► Chronique Les librairies du monde Jennifer Fulton nous présente son coup de cœur du moment, à la Librairie Bonjour Books, librairie francophone dans la capitale fédérale américaine : le roman d'Emmanuel Flesch, Quitter Berlioz.   ► Reportage Marjorie Bertin s'est rendue à la Galerie Person pour voir une nouvelle exposition sur les villes : The City, Metaphor, Archive and Projection. Trois artistes africains ont pris en main cette problématique : Michael Tsegaye, Addis Gezehagn et Mamadou Cissé.   ► Playlist du jour - Yves Montand - Trois petites notes de musique - Gildaa - Tout pour plaire - Flora Fishbach - Mon copain.

Invité culture
Diane Kurys fait revivre le couple Montand-Signoret dans «Moi qui t'aimais»

Invité culture

Play Episode Listen Later Sep 30, 2025 3:43


Un couple iconique au cinéma : Yves Montand et Simone Signoret. Ces deux stars, qui vécurent ensemble pendant 30 ans, sont les héros d'un film en salles ce mercredi 1er octobre : Moi qui t'aimais de Diane Kurys. À écouter aussi« Moi qui t'aimais » : l'amour houleux entre Montand et Signoret incarnés par Roschdy Zem et Marina Foïs

C à vous
Éternelle et inoubliable Simone Signoret

C à vous

Play Episode Listen Later Sep 30, 2025 10:00


Actrice populaire célébrée Simone Signoret était passionnée par son métier. C'était une figure libre résume le documentaire que lui consacre arte ce dimanche. on reoit sa réalisatrice, Michèle Dominici pour "SIMONE SIGNORET FIGURE LIBRE" le 5 octobre à 20h05 sur ArteTous les soirs, du lundi au vendredi à 20h sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent les personnalités et artistes qui font l'actualité.

C à vous
L'intégrale de C à Vous, la suite - 30/09/25  

C à vous

Play Episode Listen Later Sep 30, 2025 59:17


Nos invités de la deuxième partie de C à Vous du mardi 30 septembre 2025: Dominique Farrugia & Clémentine Célarié, pour la mini-série “Enquête de famille” sur TF1Michèle Dominici, pour le doc “Simone Signoret, figure libre” diffusé dimanche sur Arte à 20h05. Naza, pour son single “Appelle les pompiers”.Avec comme chaque soir également l'œil de Pierre, et bien entendu l'ABC de Bertrand Chameroy.Tous les soirs, du lundi au vendredi à 20h sur France 5, Anne-Elisabeth Lemoine et toute son équipe accueillent les personnalités et artistes qui font l'actualité.

Vous m'en direz des nouvelles !
«Moi qui t'aimais»: l'amour houleux entre Montand et Signoret incarnés par Roschdy Zem et Marina Foïs

Vous m'en direz des nouvelles !

Play Episode Listen Later Sep 30, 2025 48:29


La réalisatrice Diane Kurys met à l'écran un couple mythique : lui le chanteur populaire, l'acteur à succès, l'éternel séducteur et elle la comédienne au Casque d'Or couronnée aux Oscars. Dans son film «Moi qui t'aimais», Diane Kurys s'est intéressée aux dernières années d'Yves Montand et Simone Signoret, un couple porté par ses engagements politiques et citoyens, incarnés à l'écran par Roschdy Zem et Marina Foïs. La réalisatrice Diane Kurys était l'invitée de Nathalie Amar.    ► Chronique Les librairies du monde Jennifer Fulton nous présente son coup de cœur du moment, à la Librairie Bonjour Books, librairie francophone dans la capitale fédérale américaine : le roman d'Emmanuel Flesch, Quitter Berlioz.   ► Reportage Marjorie Bertin s'est rendue à la Galerie Person pour voir une nouvelle exposition sur les villes : The City, Metaphor, Archive and Projection. Trois artistes africains ont pris en main cette problématique : Michael Tsegaye, Addis Gezehagn et Mamadou Cissé.   ► Playlist du jour - Yves Montand - Trois petites notes de musique - Gildaa - Tout pour plaire - Flora Fishbach - Mon copain.

Les clefs d'une vie
Les clefs d'une vie - Les clefs d'une vie avec Nicolas d'Estienne d'Orves

Les clefs d'une vie

Play Episode Listen Later Sep 30, 2025


Il raconte dans un livre l'histoire d'amour entre Yves Montand et Simone Signoret. Elle nous a quittés voici exactement 40 ans . Un jour symbolique pour évoquer son parcours

Invité Culture
Diane Kurys fait revivre le couple Montand-Signoret dans «Moi qui t'aimais»

Invité Culture

Play Episode Listen Later Sep 30, 2025 3:43


Un couple iconique au cinéma : Yves Montand et Simone Signoret. Ces deux stars, qui vécurent ensemble pendant 30 ans, sont les héros d'un film en salles ce mercredi 1er octobre : Moi qui t'aimais de Diane Kurys. À écouter aussi« Moi qui t'aimais » : l'amour houleux entre Montand et Signoret incarnés par Roschdy Zem et Marina Foïs

Les Nuits de France Culture
Cannes, des Prix d'interprétation 6/14 : Simone Signoret : "Quand j'ai eu l'Oscar, je me sentais à la fois Jeanne d'Arc et Victor Hugo"

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later Sep 29, 2025 47:16


durée : 00:47:16 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En 1963, l'actrice Simone Signoret revient sur sa carrière riche déjà d'une vingtaine de films dont "Casque d'or", "Les Diaboliques" et "Les Chemins de la haute ville" pour lequel elle a obtenu un Oscar et le Prix d'interprétation féminine au Festival de Cannes en 1959. - réalisation : Louise Devillard - invités : Simone Signoret Actrice

Musique matin
Diane Kurys : "La musique, c'est ce qu'il vous reste d'un film lorsque vous sortez de la salle de cinéma"

Musique matin

Play Episode Listen Later Sep 29, 2025 25:39


durée : 00:25:39 - Diane Kurys, réalisatrice - Dans son nouveau film "Moi qui t'aimais", la réalisatrice de "Diabolo Menthe" raconte la relation entre Simone Signoret et Yves Montand : un couple uni jusqu'à la mort de l'actrice, malgré les infidélités du chanteur. Un film tendre et sincère, bien que contesté par certains descendants du couple. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Musique matin
La Matinale avec Diane Kurys, c'est un film qui leur ressemble

Musique matin

Play Episode Listen Later Sep 29, 2025 120:11


durée : 02:00:11 - Musique matin du lundi 29 septembre 2025 - par : Jean-Baptiste Urbain - Dans son nouveau film "Moi qui t'aimais", la réalisatrice de "Diabolo Menthe" raconte la relation entre Simone Signoret et Yves Montand : un couple star, uni jusqu'à la mort de l'actrice, malgré les infidélités du chanteur. Les succès se ramassent à la pelle, les souvenirs et les regrets aussi. - réalisé par : Phane Montet Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Le Journal Inattendu
Gaza : ce que l'on sait de l'accord proposé par Donald Trump

Le Journal Inattendu

Play Episode Listen Later Sep 27, 2025 1:12


Marina Foïs incarne à l'écran Simone Signoret dans le film "Moi qui t'aimais", de Diane Kurys, avec Roschdy Zem dans le rôle de Yves Montand. Sortie en salles mercredi 1er octobre. Ecoutez Le journal inattendu avec Stéphane Boudsocq du 27 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le Journal Inattendu
Cinéma : le Journal Inattendu de Marina Foïs

Le Journal Inattendu

Play Episode Listen Later Sep 27, 2025 47:56


Marina Foïs incarne à l'écran Simone Signoret dans le film "Moi qui t'aimais", de Diane Kurys, avec Roschdy Zem dans le rôle de Yves Montand. Sortie en salles mercredi 1er octobre. Ecoutez Le journal inattendu avec Stéphane Boudsocq du 27 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

C à vous
L'intégrale de C à Vous, la suite - 26/09/25

C à vous

Play Episode Listen Later Sep 26, 2025 59:06


Nos invités de la deuxième partie de C à Vous du vendredi 26 septembre 2025: Marina Foïs & Roschdy Zem, pour le film “Moi qui t'aimais” de Diane Kurys, le biopic sur Simone Signoret et Yves Montand. Louane, pour son nouveau titre “Chiens”.Les vendredi et samedi à 20h sur France 5, Mohammed Bouhafsi et toute son équipe accueillent les personnalités et artistes qui font l'actualité.

C à vous
Marina Foïs & Roschdy Zem en mode Signoret et Yves Montand

C à vous

Play Episode Listen Later Sep 26, 2025 7:43


Nos invités sont Marina Foïs & Roschdy Zem, pour le film “Moi qui t'aimais” de Diane Kurys, le biopic sur Simone Signoret et Yves MontandLes vendredi et samedi à 20h sur France 5, Mohammed Bouhafsi et toute son équipe accueillent les personnalités et artistes qui font l'actualité.

RTL Petit Matin Week-end
RTL POP CINE - Simone Signoret et Yves Montand, l'histoire d'un amour.

RTL Petit Matin Week-end

Play Episode Listen Later Sep 21, 2025 6:28


À l'occasion des 40 ans de la disparition de l'inoubliable Simone Signoret, le 30 septembre 1985, Vincent Perrot a invité l'auteur Nicolas d'Estienne d'Orves à revenir sur la carrière de l'actrice... et surtout sur son histoire d'amour avec Yves Montand. Une passion qu'il raconte à la 1ère personne sous la forme d'un journal intime, dans son livre « Simone Signoret, histoire d'un amour », paru chez Calmann-Lévy... et à gagner ce matin ! Ecoutez RTL Pop Ciné avec Vincent Perrot du 21 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Encore!
French films tackle AI, nuclear science and the 'it' couple of 1960s cinema

Encore!

Play Episode Listen Later Sep 18, 2025 11:45


French pop star Mylène Farmer makes a rare appearance as the voice of an AI-powered virtual assistant in "Dalloway", which deals with some of the darker sides of creativity in Yann Gozlan's latest film. Manon Kerjean, the founder of Lost in Translation, a film club screening French features in Paris for non-French speakers, joins us to discuss the merits of this "Black Mirror"-adjacent movie. We also discuss Pierre Schoeller's psychological thriller "Rembrandt" and reflect on the complexities at the centre of the troubled relationship between Yves Montand and Simone Signoret, as the actress and singer's lives are examined by Diane Kurys in "C'est Si Bon". And Manon flags up a Maurice Pialat retrospective at the Cinémathèque Française that provides an insight into the iconoclastic French filmmaker.

Marceau refait l'info
Tribune de Benjamin Castaldi

Marceau refait l'info

Play Episode Listen Later Jun 24, 2025 0:31


L'animateur est très déçu du film biographique sur ses grands parents Simone Signoret et Yves Montand

Marceau refait l'info
Tribune de Benjamin Castaldi

Marceau refait l'info

Play Episode Listen Later Jun 24, 2025 0:31


L'animateur est très déçu du film biographique sur ses grands parents Simone Signoret et Yves Montand

Le Morning du Rire avec Bruno Roblès
Tribune de Benjamin Castaldi

Le Morning du Rire avec Bruno Roblès

Play Episode Listen Later Jun 24, 2025 0:31


L'animateur est très déçu du film biographique sur ses grands parents Simone Signoret et Yves Montand

Le Morning du Rire avec Bruno Roblès
Tribune de Benjamin Castaldi

Le Morning du Rire avec Bruno Roblès

Play Episode Listen Later Jun 24, 2025 0:31


L'animateur est très déçu du film biographique sur ses grands parents Simone Signoret et Yves Montand

Memento
Simone Signoret, per J

Memento

Play Episode Listen Later Jun 4, 2025 59:54


CLM Activa Radio
MUJERES CON HISTORIA 4- 6-2025 .Histopildoras

CLM Activa Radio

Play Episode Listen Later Jun 4, 2025 52:23


En este episodio especial queremos invitaros a un viaje breve pero intenso a través de distintas figuras femeninas que en muchos casos fueron pioneras en su campo. Siete mujeres que por una u otra causa marcaron historia en cada una de sus disciplinas. ¿Quién fue la primera mujer en correr el maratón de Boston? ¿Quién desafió los cielos en solitario? ¿Quién revolucionó la filosofía en la Alejandría del siglo IV? Puedes conocer a cada una de ellas en menos de 10 minutos aquí: - Hipatia, filósofa y científica en una época dominada por hombres. - Ellen MacArthur, la navegante que dio la vuelta al mundo en tiempo récord. - Bobbi Gibb, pionera en el atletismo femenino. - Amelia Earhart, icono de la aviación y del empoderamiento femenino. - Charlotte Cooper, la primera mujer en ganar una medalla olímpica. - Simone Signoret, actriz y símbolo cultural de la posguerra. - Lusia Harris, la reina olvidada del baloncesto femenino. Si nos quieres dejar tu opinión sobre este episodio o sobre alguna de ellas, es siempre bienvenida.

Laissez-vous Tenter
LA STAR DU JOUR - Simone Signoret et Yves Montand : enfin le biopic

Laissez-vous Tenter

Play Episode Listen Later May 13, 2025 2:49


Depuis des années, le cinéma tente de s'emparer de l'histoire d'amour passionnelle et tumultueuse entre Simone Signoret et Yves Montand, mais cela n'a jamais abouti. Il y a même un projet qui a traîné pendant 15 ans avec les comédiens Thierry Neuvic et Céline Sallette, mais qui n'a jamais vu le jour. Il aura donc fallu attendre 2025 pour enfin voir un film sur Signoret et Montand : "Moi qui t'aimais", c'est le titre du biopic réalisé par Diane Kurys. Ecoutez La star du jour avec Anthony Martin du 13 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Love Story
STAR SYSTÈME | Simone Signoret et Yves Montand : un amour inébranlable

Love Story

Play Episode Listen Later May 13, 2025 12:02


A l'occasion du Festival de Cannes, plongez au coeur du star système et découvrez ces couples qui ont crevé l'écran. Ils nous ont fait rêver ou simplement réfléchir à notre conception de l'amour. Plongez dans l'intimité des plus beaux couples d'acteurs et d'actrices avec Alice Deroide. Leur couple, c'est l'engagement politique, à gauche. C'est aussi les épreuves. Pour Yves, Simone s'est souvent effacée. Elle a tout pardonné. Leur relation porte les marques d'une époque où les concessions se conjuguaient souvent au féminin. Pour eux, aimer c'est tout traverser. Un podcast Bababam Originals Première diffusion : 22 mars 2019 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Toute l'info du week-end - Bernard Poirette
Les plus beaux moments des éditions des Césars : 50 ans de souvenirs

Toute l'info du week-end - Bernard Poirette

Play Episode Listen Later Mar 1, 2025 4:08


Mathieu Alterman nous entraîne dans les coulisses de la 50e cérémonie des Césars, l'un des événements les plus prestigieux du cinéma français. Avec son ton enjoué et sa profonde connaissance du sujet, il nous fait revivre les instants les plus marquants de cette soirée riche en émotions.Dès l'introduction, on est plongé dans l'ambiance de la cérémonie, avec des anecdotes savoureuses sur les présentateurs emblématiques comme Jean Gabin, Lino Ventura et Jeanne Moreau. Mathieu Alterman nous rappelle ces moments de grâce et de maladresse qui ont fait la légende des Césars, comme lorsqu'Orson Welles est resté coincé dans le décor ou que Simone Signoret a trébuché sans ses lunettes. Au-delà des souvenirs, l'animateur nous livre des chiffres fascinants sur les films et les artistes les plus récompensés. On découvre ainsi qu'Isabelle Adjani détient le record de Césars avec 5 trophées, tandis que Michel Serrault en a remporté 3. Mais Mathieu Alterman n'oublie pas non plus de rendre hommage aux talents injustement oubliés, comme Jean-Pierre Mariel, Romain Duris ou Lambert Wilson.L'épisode nous fait également voyager dans le temps, évoquant la nostalgie du cinéma d'antan, quand on allait « chaque semaine dans les salles obscures », loin de l'ère du streaming. Une réflexion pleine de mélancolie, mais aussi d'espoir pour l'avenir du 7e art français.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.

2ndlookcinema's podcast
Oscar Special 24 (1959) Ben-Hur

2ndlookcinema's podcast

Play Episode Listen Later Feb 2, 2025 41:03


Tyler talks about the classic epic Ben-Hur and why it stands Sword and Sandals above the other religious based movies of it's time. He also reviews the other THREE versions that were made. But the other nominees were nothing to scoff at either! Take a listen and see how close they stack up against one of Hollywood's best films.

Laurent Gerra
PÉPITE - Benjamin Castaldi sort un nouveau livre sur sa grand-mère

Laurent Gerra

Play Episode Listen Later Nov 19, 2024 1:34


L'animateur star des années 2000 sort un nouvel ouvrage sur sa grand-mère écrivaine Simone Signoret. Quelles anecdotes va-t-il pouvoir encore raconter ? Réponse dans la matinale de RTL ! Tous les jours, retrouvez le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes préférées.

Un Jour dans l'Histoire
L'armée des ombres

Un Jour dans l'Histoire

Play Episode Listen Later Nov 13, 2024 24:12


A* Tout ce qu'on va lire ici a été vécu par des gens de France”, écrit Joseph Kessel dans la préface de son roman L'Armée des Ombres, publié fin 1943 à Londres, suite à la demande du général de Gaulle" d'écrire un livre pour apprendre au monde ce qu'est la résistance française ". Popularisé par le film de Jean-Pierre Melville, avec Lino Ventura, Simone Signoret et Paul Meurisse, L'Armée des Ombres est aujourd'hui adaptée en bande dessinée par Jean-David Morvan au scénario et Emmanuel Moynot au dessin. On y suit, en 1942 et 1943, les membres d'un réseau de la Résistance, dirigés par Philippe Gerbier. Des hommes et femmes courageux qui luttent contre l'occupant allemand et la collaboration, au péril de leur vie. À travers leurs combats, on découvre l'importance des valeurs de solidarité, de courage et de sacrifice : une plongée dans les conditions de fonctionnement de la Résistance, dans une France éprouvée. Une séquence réalisée par Nicolas Bogaerts Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.

Pascal Praud et vous
Benjamin Castaldi et son livre «Et si tu devais ne plus m'aimer» aux Editions du Rocher

Pascal Praud et vous

Play Episode Listen Later Oct 31, 2024 15:09


Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité.Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour.

Love Story
[SHORT STORY] Simone Signoret et Yves Montand, aimer c'est tout traverser

Love Story

Play Episode Listen Later Aug 25, 2024 11:32


Tous les week-end, découvrez de courtes histoires d'amours, tendres ou percutantes, pour engager de vraies réflexions sur l'amour. Un engagement politique Leur couple, c'est l'engagement politique, à gauche. C'est aussi les épreuves. Pour Yves, Simone s'est souvent effacée. Elle a tout pardonné. Leur relation porte les marques d'une époque où les concessions se conjuguaient souvent au féminin. Pour eux, aimer c'est tout traverser. Leurs différences , les remous de leurs carrières respectives… Une histoire d'auberge, d'engagement et de cinéma, une histoire d'amour.  Un podcast Bababam Originals. Date de première diffusion : 19 avril 2019 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Les Nuits de France Culture
La Nuit de la Bilipo 5/12 : Marcel Duhamel : "Les romans de la Série Noire ne sont pas plus nocifs que des romans de la Bibliothèque Rose où il est toujours question de flagellation de petites filles"

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later Aug 10, 2024 19:59


durée : 00:19:59 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Qui êtes-vous ? Plutôt Chesterton, Agatha Christie et Gaston Leroux ou alors James Hardley Chase et Raymond Chandler ? Le débat réunissait Simone Signoret, Marcel Duhamel parmi d'autres, en 1949 dans la "Tribune de Paris - Le roman policier traditionnel et le roman policier noir". - invités : Marcel Duhamel Éditeur et traducteur; Simone Signoret Actrice

The Kitchen Sisters Present
Henri Langlois and the Cinémathèque Française

The Kitchen Sisters Present

Play Episode Listen Later Aug 6, 2024 24:37


In honor of the Paris Olympics and the astounding contribution of the French to culture and art of the world, The Kitchen Sisters Present, Archive Fever: Henri Langlois and the history of the Cinémathèque Française, featuring Francis Ford Coppola, Wim Wenders, Tom Luddy, Lotte Eisner, Simone Signoret, Agnes Varda, Costa-Gavras, Barbet Schroeder.Henri Langlois never made a single film — but he's considered one of the most important figures in the history of filmmaking. Possessed by what French philosopher Jacques Derrida called "archive fever," Langlois began obsessively collecting films in the 1930s and by the outset of World War II, he had one of the largest film collections in the world. The archive's impact on the history of French cinema is legendary, as is the legacy of its controversial keeper.Langlois fell in love with film in his teens, just as silent films were being replaced by talkies. "In the early 30s they were destroying every silent movie," says film director Costa-Gavras, now president of Langlois' Cinémathèque Française. "He started collecting all those movies, not just to save them for the future, but to show them.""Langlois educated a whole generation of film archivists and filmmakers," says filmmaker Wim Wenders. "He spread the idea of saving the memory of mankind that is in the history of cinema."This story is part of The Keepers series — Activist archivists, rogue librarians, historians, collectors, curators — keepers of the culture and the free flow of information. Produced by The Kitchen Sisters (Nikki Silva & Davia Nelson) with Nathan Dalton and Brandi Howell. Mixed by Jim McKee.

Vintage Classic Radio
Sunday Night Playhouse - Parisienne Special (Maurice Chevalier, Cary Grant, Jacqueline Francois)

Vintage Classic Radio

Play Episode Listen Later Jul 27, 2024 99:40


Just in time for this year's Summer Olympics in Paris, Vintage Classic Radio invites you to a nostalgic journey through vintage Paris with a lineup of four captivating radio shows. Our celebration starts with the "Screen Guild Theater" and its episode "Alone in Paris," originally aired on April 30, 1939. This episode unfolds a poignant tale of love and longing in the heart of Paris, featuring Cary Grant and Irene Dunn. The story beautifully captures the essence of Parisian romance amidst the backdrop of pre-war Europe, enhancing the drama with rich dialogues and period-authentic ambiance. Next, we tune into "This is Paris," featuring the charm of Maurice Chevalier in the episode "C'est Si Bon Palais De La Concorde," broadcast on July 14, 1949. Chevalier, doubling as host and performer, guides listeners through the famed Palais De La Concorde with narratives and performances by Edith Piaf and Charles Boyer, capturing the post-war Parisian ambiance. The episode weaves a tapestry of musical and historical insights, blending Chevalier's charismatic narration with the enchanting voices of Paris' most beloved artists. Our third highlight is the "CBS Radio Workshop" with the episode "Portrait of Paris," which aired on July 6, 1956. This broadcast intricately narrates the rich history and vibrant life of Paris through compelling stories and characters portrayed by Gérard Philipe and Simone Signoret, who delve into the deep layers of Parisian spirit. The episode serves as a time capsule, exploring themes of love, art, and revolution, thus painting a comprehensive portrait of a city that has always been a beacon of culture. Finally, "Paris Star Time" offers a variety show format, starring Jacqueline Francois, Jean Bretonniere, and The Four Beards in a program that showcases French cultural flair. This show, produced by the French Broadcasting System in North America, not only entertains but also acts as a cultural conduit, reflecting the resilience and artistic contributions of post-war France. With a mixture of traditional and contemporary French music, it offers an auditory feast that celebrates France's recovery and cultural renaissance post-World War II. Join us on Vintage Classic Radio as we step back in time to explore the enchanting streets of Paris, reliving its romantic, cultural, and artistic legacy through the voices and stories of its most iconic figures.

Film at Lincoln Center Podcast
#533 - Edoardo Ponti on The Life Ahead

Film at Lincoln Center Podcast

Play Episode Listen Later Jul 12, 2024 21:19


This week we're excited to present a conversation with The Life Ahead director Edoardo Ponti who recently joined us for the retrospective Sophia Loren: La Signora di Napoli. Sophia Loren delivers a towering performance in her son Edoardo Ponti's 2020 adaptation of the novel Madame Rosa, which embodies the range, intelligence, and innate charisma of the legendary actress. Previously adapted in 1977 by Moshé Mizrahi, with Simone Signoret in the lead role, Ponti moves Romain Gary's novel to Bari, Italy, where a Holocaust survivor turned children's caretaker (Loren) forms an unlikely friendship with a bitter street kid (a spectacular Ibrahim Gueye) after he robs her. By turns tender and haunted, the storied role of Rosa is imbued here with the unmistakable wisdom of a seasoned performer, who subtly nods to her own illustrious on-screen persona with subtlety and grace. This conversation was moderated by FLC Programmer Tyler Wilson.

Toute une vie
Simone Signoret (1921-1985)

Toute une vie

Play Episode Listen Later May 22, 2024 59:03


durée : 00:59:03 - Toute une vie - par : Matthieu Garrigou-Lagrange - De Casque d'or à Madame Rosa , Simone Signoret (1921-1985), a tourné plusieurs dizaines de films. Première actrice à recevoir un oscar à Hollywood, elle est aussi une femme de tête et de cœur.

Laurent Gerra
ARCHIVE - Y. Montand et S. Signoret célèbrent la crise économique

Laurent Gerra

Play Episode Listen Later Apr 16, 2024 1:18


Parmi les communicants incontournables pour la gestion de la crise économique de 2017, Yves Montand et Simone Signoret s'imposaient avec de bonnes idées pour épauler François Hollande dans la fin de son mandat présidentielle. Tous les jours, retrouvez en podcast une archive des meilleures imitations de Laurent Gerra.

Laurent Gerra
L'INTÉGRALE - Bouvard, Castex, Borne .. La chronique du 24 janvier 2024

Laurent Gerra

Play Episode Listen Later Jan 24, 2024 8:19


Dans sa chronique du 24 janvier 2024, Laurent Gerra a notamment imité Philippe Bouvard, Jean Castex, Elisabeth Borne, Benjamin Castaldi, l'hypnotiseur Messmer, Yves Montand et Simone Signoret.

SpyHards Podcast
154. The Deadly Affair (1967)

SpyHards Podcast

Play Episode Listen Later Jan 16, 2024 83:24


Agents Scott and Cam, along with guest operative Jeff Quest of The le Carré Cast and Spy Write website, take in a dramatic performance of Edward II while tackling the 1967 John le Carré adaptation The Deadly Affair. Directed by Sidney Lumet. Starring James Mason, Maximilian Schell, Simone Signoret, Harriet Andersson, Harry Andrews, Kenneth Haigh and Roy Kinnear. Check out Jeff's writing over at Spy Write. You can also listen to him on The le Carré Cast and Barbican Station - A Slough House Podcast, available everywhere. Become a SpyHards Patron and gain access to top secret "Agents in the Field" bonus episodes, movie commentaries and more! Purchase the latest exclusive SpyHards merch at Redbubble. Social media: @spyhards View the NOC List and the Disavowed List at Letterboxd.com/spyhards Podcast artwork by Hannah Hughes Theme music by Doug Astley.

Les Grosses Têtes
INVITÉE - Mathilde Seigner sur scène dans "Bungalow 21"

Les Grosses Têtes

Play Episode Listen Later Dec 18, 2023 8:47


Mathilde Seigner est l'invitée du jour des Grosses Têtes. L'actrice est actuellement au théâtre pour la pièce "Bungalow 21" d'Eric-Emmanuel Schmitt. Elle incarne le rôle de Simone Signoret, aux côté de sa sœur Emmanuelle Seigner qui interprète Marilyn Monroe. Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.

From Beneath the Hollywood Sign
#007: “GHOSTS, GHOULS AND VERONICA LAKE"

From Beneath the Hollywood Sign

Play Episode Listen Later Oct 30, 2023 38:23


Halloween has always been a special time for classic movies. From the early Universal Studios monster films to the psychological thrillers of ALFRED HITCHCOCK to the gory blood-bathes of the 1980s slasher films, Hollywood understood that people love to be frightened. In this Halloween episode, hosts Steve and Nan share some of the perhaps lesser-known scary movies to enjoy this Halloween season. Some are really great; some...not so much. But they all have a special place in Steve and Nan's demented little hearts. So pull the covers up tight, keep the lights on and ignore that thump in the night as they explore a few fun eerie movies. SHOW NOTES:  Sources: Les Diaboliques: French Film Guide (2005), by Susan Hayward;  Simone Signoret: The Star As Cultural Sign (2004), by Susan Hayward; Nostalgia Isn't What It Used to Be (1979), by Simone Signoret; “Reviews: Diabolique,” February 17, 1995, by Roger Ebert, www.rogerebert.com; “Director John Hancock Reflects On ‘Let's Scare Jessica To Death',” October 20, 2021, Harbor Country News; “Simone Signoret Dies at 85 in France,” October 1, 1985, The New York Times; “Remembering Jessica: An Interview with Mariclare Costello,” July 2011, The Terror Trap; “On The Prowl,” March 12, 2006, by Roger Ebert. www.rogerebert.com; “The Pretty World: The Films of Val Lewton,” October 4, 2019, by Alexander Nemerov, The Criterion Collection; “Reviews: Carnival of Souls,” October 27, 1989, by Roger Ebert, www.rogerebert.com; Wikipedia.com; IMDBPro.com; --------------------------------- http://www.airwavemedia.com; Please contact sales@advertisecast.com if you would like to advertise on our podcast. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices