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Puntata 159 – Come si è arrivati alla fotografia di massa?Oggi vi prosegue il nostro excursus nella storia della fotografia. Analizzeremo la seconda metà del XIX secolo vi andrò a parlare di come, da quanto è nata, la fotografia si è sviluppata fino ad arrivare ad essere accessibile una buona parte di quella che, all'epoca, era la popolazione mondiale. Prosegue, poi, la rubrica quei bravi fotografi: oggi parleremo Bettina Rheims, una fotografa francese ancora in vita, un artista eclettico – attraverso le sue foto – già nei primi anni '90 ha anticipato i tempi proponendoci una visione di molte tematiche sociali che solo oggi tendiamo a vedere e concepire come normali. Vi lascio i suoi riferimenti in coda.Aspetto le vostre domande e i vostri feedback. Buona luce a tutti!*******************************************I MIEI LINK:Cliccate qui per sostenere con un piccolo contributo economico alle spese del podcast:PatreonEmail: andreageymet@gmail.com (da usare anche per un contributo con PayPal)Portfolio:https://andreageymet.myportfolio.compeopleofindia.myportfolio.comInstagram del podcastLe mie foto dei viaggi: viaggiI miei ritrattiIl mio profilo Thread: @andreageymet Il gruppo Telegram*******************************************Se volete farmi un regalo, cliccate sulla mia lista amazon*******************************************IL SITO DOVE LEGGERE LE RECENSIONI DELL'ATTREZZATURA: Juza Photo******************************************* Quei Bravi FotografiBettina Rheimshttps://en.wikipedia.org/wiki/Bettina_Rheimshttps://www.instagram.com/bettinarheims
durée : 00:57:42 - Affaires culturelles - par : Arnaud Laporte - Madonna, Monica Bellucci ou encore Marguerite Duras ont posé devant son objectif, comme des centaines d'autres femmes célèbres, mais aussi anonymes, sous la lumière des projecteurs ou dans l'ombre des marges. Le temps d'un grand entretien, Bettina Rheims revient sur son itinéraire hors normes. - invités : Bettina Rheims Photographe
De Madonna nue au portrait d'un Chirac élu en passant par d'illustres inconnues, Bettina Rheims a questionné la féminité tout au long de son œuvre, photographiant les stars autant que les marges. Une artiste transgressive, audacieuse, un brin provoc'... C'est une légende de la photo que nous recevons aujourd'hui dans le studio du Printemps, pour un focus chic, sensuel et sans filtre.
Irène Drésel, qui fait la tournée des festivals ce printemps et cet été, nous reçoit chez elle, en Eure-et-Loir. Une longère authentique dans laquelle vivait sa grand-mère et où chaque pièce a sa propre identité. La musicienne et artiste évoque son enfance en banlieue parisienne entre un père ingénieur obsédé par le travail et une mère au foyer grande amatrice de musique classique, son rêve enfant de devenir animatrice radio, son goût pour le rire, le chant et la danse, sa passion pour la photo et son admiration pour le travail de Bettina Rheims, Vanessa Beecroft, Lise Sarfati, Alessandra Sanguinetti ou Thomas Ruff, son passage par les Beaux-Arts, ses années à l'accueil d'Aqua Saint-Paul, un lieu naturiste à Paris, son rapport aux milieux de l'art contemporain et de la techno, son césar pour la meilleure musique de film, une première pour une femme, son enthousiasme pour la voix d'Angèle ou la musique de Mac DeMarco et son amour du rose fluo.Elle revient aussi longuement sur son coup de cœur pour le film Midsommar d'Ari Aster qui a inspiré certains morceaux et la pochette de son deuxième album Kinky Dogma sorti en 2021 : « Un ami m'a dit qu'il fallait que je voie ce film, qu'il me correspondait trop. Quand je l'ai vu, je me suis dit : “C'est extraordinaire.” C'est un thriller en plein jour et j'adore ça, il y en a très peu. L'esthétique est très éthérée. On retrouve un peu l'univers visuel que j'ai sur scène. »Depuis quatre saisons, la journaliste et productrice Géraldine Sarratia interroge la construction et les méandres du goût d'une personnalité. Qu'ils ou elles soient créateurs, artistes, cuisiniers ou intellectuels, tous convoquent leurs souvenirs d'enfance, tous évoquent la dimension sociale et culturelle de la construction d'un corpus de goûts, d'un ensemble de valeurs.Un podcast produit et présenté par Géraldine Sarratia (Genre idéal) préparé avec l'aide de Diane Lisarelli et Imène BenlachtarRéalisation : Guillaume GiraultMusique : Gotan Project Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C'est une touche à tout ! Nathalie Rheims est la sœur de la photographe Bettina Rheims. Elle débute sa carrière au théâtre avant de devenir journaliste et productrice de cinéma. Mais elle est surtout une autrice à succès. Pas moins de 23 ouvrages dont le dernier en date raconte sa relation avec le chanteur Mouloudji.Que vous soyez passionnés par la lecture ou que vous ayez envie de retrouver le goût des livres, le journaliste Lomig Guillo vous attend chaque semaine dans 'Le Son des Livres' pour de nouveaux épisodes, interviews ou lectures de nouvelles par exemple. Enfilez votre casque, installez-vous confortablement et laissez-vous emporter !'JDD Magazine' est un magazine littéraire et d'enquête mensuel d'un nouveau genre : 'Le magazine de ceux qui lisent'. Incarnation : Lomig Guillo. Réalisation : Christophe Daviaud. Production : Europe 1 Studio. Direction : JDD Magazine
“Planches Contact“ 13e éditionFestival de photographie de Deauvilledu 22 octobre 2022 au 1er janvier 2023Interview de Carolle Benitah, artiste en résidence,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 28 octobre 2022, durée 9'13.© FranceFineArt.https://francefineart.com/2022/10/31/3339_planches-contact_festival-de-photographie-de-deauville/Communiqué de presseDirectrice artistique de Planches Contact,Laura SeraniPlanches Contact, un festival sans entraves par Laura Serani, Directrice artistique de Planches ContactVous souvenez-vous de cette photo de Cartier-Bresson réalisée en mai 1968 ? Elle montre un homme d'âge mûr, élégant, costume sombre, chapeau vissé sur la tête, observant un graffiti de la révolte étudiante : « Jouissez sans entraves ». Ce pourrait être le mot d'ordre de Planches Contact. Cette photo qui confronte deux univers opposés, qui interpelle, qui s'ancre dans la ville fait écho à l'esprit du festival et aux conditions privilégiées et assez rares de production et de présentation, permises par le support sans faille de la Ville de Deauville. Conditions encore plus importantes pour les artistes dans le contexte actuel où, contre vents et marées, le festival de Deauville demeure une sorte d'îlot protégé où l'on peut regarder autour et produire en toute liberté.La préparation de Planches Contact est un long « fleuve intranquille », un bouillonnement, une boucle ininterrompue d'une édition à l'autre, entre l'élaboration du programme, la succession des résidences, la production « en directe » avec les artistes, la conception de la scénographie et la construction des installations, jusqu'au partage avec le public.Comme chaque année, un critère important de sélection est la variété des regards et la multiplicité des langages photographiques et des sujets traités.Démarches documentaires, récits imaginaires, poétiques, en images fixes ou animées, approches décalées, tous ont leur place. Les artistes ont pour seule consigne de profiter du territoire et de cette aide à la création, c'est-à-dire de prendre le temps de l'explorer en suivant leurs centres d'intérêts ; puis de laisser leur créativité s'exprimer librement en développant leur projet selon leurs propres codes, sans limites.Se libérer des entraves, c'est aussi briser les frontières.Briser les frontières entre les cultures avec une programmation internationale allant de l'italien Stefano de Luigi au Sénégalais Omar Victor Diop en passant par la Franco-marocaine Carolle Benitah.Briser les frontières entre les générations avec des figures incontournables comme Bettina Rheims ou Raymond Depardon, et des photographes émergents sélectionnés dans le cadre du Tremplin Jeunes Talents.Briser les frontières entre les disciplines. À côté de la photographie, la vidéo, mais aussi l'architecture, le dessin, la musique et l'édition ont leur place au festival. La présence de l'actrice Jessica Lange, invitée d'honneur, crée également une passerelle avec le cinéma américain, cher au coeur de Deauville. Briser enfin les frontières entre le visible et l'invisible. Puisque, depuis son invention, la photographie a permis de tout montrer – les pays lointains, les terres inconnues, les tribus les plus reculées.[...]Laura Serani, Directrice artistique de Planches Contact Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
“Planches Contact“ 13e éditionFestival de photographie de Deauvilledu 22 octobre 2022 au 1er janvier 2023Interview de Laura Serani, directrice artistique de Planches Contact,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 28 octobre 2022, durée 9'23.© FranceFineArt.https://francefineart.com/2022/10/31/3339_planches-contact_festival-de-photographie-de-deauville/Communiqué de presse Directrice artistique de Planches Contact,Laura SeraniPlanches Contact, un festival sans entraves par Laura Serani, Directrice artistique de Planches ContactVous souvenez-vous de cette photo de Cartier-Bresson réalisée en mai 1968 ? Elle montre un homme d'âge mûr, élégant, costume sombre, chapeau vissé sur la tête, observant un graffiti de la révolte étudiante : « Jouissez sans entraves ». Ce pourrait être le mot d'ordre de Planches Contact. Cette photo qui confronte deux univers opposés, qui interpelle, qui s'ancre dans la ville fait écho à l'esprit du festival et aux conditions privilégiées et assez rares de production et de présentation, permises par le support sans faille de la Ville de Deauville. Conditions encore plus importantes pour les artistes dans le contexte actuel où, contre vents et marées, le festival de Deauville demeure une sorte d'îlot protégé où l'on peut regarder autour et produire en toute liberté.La préparation de Planches Contact est un long « fleuve intranquille », un bouillonnement, une boucle ininterrompue d'une édition à l'autre, entre l'élaboration du programme, la succession des résidences, la production « en directe » avec les artistes, la conception de la scénographie et la construction des installations, jusqu'au partage avec le public.Comme chaque année, un critère important de sélection est la variété des regards et la multiplicité des langages photographiques et des sujets traités.Démarches documentaires, récits imaginaires, poétiques, en images fixes ou animées, approches décalées, tous ont leur place. Les artistes ont pour seule consigne de profiter du territoire et de cette aide à la création, c'est-à-dire de prendre le temps de l'explorer en suivant leurs centres d'intérêts ; puis de laisser leur créativité s'exprimer librement en développant leur projet selon leurs propres codes, sans limites.Se libérer des entraves, c'est aussi briser les frontières.Briser les frontières entre les cultures avec une programmation internationale allant de l'italien Stefano de Luigi au Sénégalais Omar Victor Diop en passant par la Franco-marocaine Carolle Benitah.Briser les frontières entre les générations avec des figures incontournables comme Bettina Rheims ou Raymond Depardon, et des photographes émergents sélectionnés dans le cadre du Tremplin Jeunes Talents.Briser les frontières entre les disciplines. À côté de la photographie, la vidéo, mais aussi l'architecture, le dessin, la musique et l'édition ont leur place au festival. La présence de l'actrice Jessica Lange, invitée d'honneur, crée également une passerelle avec le cinéma américain, cher au coeur de Deauville. Briser enfin les frontières entre le visible et l'invisible. Puisque, depuis son invention, la photographie a permis de tout montrer – les pays lointains, les terres inconnues, les tribus les plus reculées.[...]Laura Serani, Directrice artistique de Planches Contact Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Bettina Rheims réalise en 2014 Détenues, une série de portraits de femmes incarcérées dans quatre établissements pénitentiaires français. Ce projet, encouragé par Robert Badinter, confronte lʹunivers carcéral avec celui de la création artistique. Il est présenté dans le cadre du festival Images de Vevey. Une interview de Julie Evard
La Maison Européenne de la Photographie vous propose une série de podcasts présentant les histoires de photographies issues de sa collection. En écho à l'exposition Samuel Fosso, découvrez des œuvres incontournables de photographes de studio. Cette semaine découvrez « Mode refusée III » de la photographe française Bettina Rheims. Crédits visuels : Bettina Rheims, Mode refusée III, Paris, 1986 - Acquis par la MEP en 1988 © Bettina Rheims
Madonna musically addresses her critics for the first time with a funky Dave Hall-penned anthem and a definitive video (welcome back to the party, Jean-Baptiste Mondino!) as Kenny and Mark explore misogyny, punk, Main Source, a new perspective on the reception of the Sex book, Bettina Rheims, the Bottom Heavy Dub (and that maxi-single!), Norman Mailer's interview for Esquire, Ruby Wax, and Princess Diana. Bring on the chameleonic syllabus!! “Human Nature” video directed by Jean-Baptiste Mondino (1994)“Human Nature” Live from the Drowned World Tour (2001)
Fille de Maurice Rheims, académicien, et sœur de la photographe Bettina Rheims, Nathalie Rheims qui a été longtemps productrice est l'auteure d'une œuvre littéraire importante composée de vingt-deux titres publiés, depuis 2003, aux éditions Léo Scheer. "La narratrice de ce roman a décidé, un jour, de couper les ponts avec le monde qui l'entoure, de renoncer à sa carrière d'écrivain, de quitter Paris pour se réfugier dans sa maison, perdue dans la campagne, au milieu du Pays d'Auge. Cela fait maintenant cinq ans qu'elle vit là, recluse, parfaitement solitaire, en dehors de son chien, Paul, qui l'accompagne partout. Depuis, elle n'a plus écrit une ligne. À l'origine de ce changement de vie, il y a un traumatisme, si violent qu'elle en a perdu la mémoire. Des bribes de souvenirs vont pourtant refaire surface. Elle découvre alors qu'elle a été la victime d'un harceleur qui ne lui a laissé aucun répit, au point qu'elle a failli y perdre la vie. Ce personnage monstrueux a réussi à s'échapper et à la retrouver. Cette fois, elle n'a plus le choix : ce sera lui ou elle." (Présentation des éditions Léo Scheer)
- Le prix Femina a ouvert hier la saison des grands prix littéraires. Bernard Lehut a rencontré la lauréate Clara Dupont-Monod, auteure de "S'adapter", ou le récit bouleversant d'un enfant handicapé au sein d'une famille. - Dimanche prochain c'est Halloween et Florian Gazan est très tenté de nous faire peur. - La famille Lefèvre gagnante l'an dernier de "La France a un incroyable talent" publie "Ad Vitam", son premier album consacré au répertoire qui a fait son succès, la musique sacrée. Les Lefèvre se sont confiés au micro d'Isabelle Morini Bosc. - Toutes les facettes de l'œuvre de Bettina Rheims sont exposées à l'Institut pour la photographie de Lille. Visite guidée avec Monique Younès. Coups de coeur, coups de gueule, reportages, interviews, et des invités prestigieux : "Laissez-Vous Tenter" dresse un panorama de l'actualité Musique, Cinéma, Littérature, Médias, People. Ecoutez Laissez-vous tenter avec Yves Calvi et Le Service Culture du 26 octobre 2021
“Histoires de photographies” Collections du Musée des Arts Décoratifsau MAD, musée des Arts Décoratifs, Parisdu 19 mai au 12 décembre 2021Interview de Sébastien Quéquet, attaché de conservation en charge des collections photographiques, département des Arts graphiques et commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 19 mai 2021, durée 27'22, © FranceFineArt.Extrait du communiqué de presse :CommissariatSébastien Quéquet, attaché de conservation en charge des collections photographiques, département des Arts graphiquesAvec la collaboration de :Sonia Aubès, documentalisteMax Bonhomme, docteur en histoire de l'artIris Cartron, élève de l'École normale supérieureBéatrice Krikorian, chargée de missionLe Musée des Arts Décoratifs présente une exposition de ses collections de photographies, révélées pour la première fois au public. Ce fonds patrimonial exceptionnel, riche de plus de 350 000 phototypes, rassemble des photographies de mode, d'architecture, de paysage, de décor, mais aussi publicitaires, allant des années 1840 aux créations les plus récentes.« Histoires de photographies » retrace, à travers 400 tirages originaux et négatifs, un siècle et demi d'histoires photographiques immortalisées par de grands noms tels Eugène Atget, Laure Albin-Guillot, Dora Kallmus, plus connue sous le nom de Madame d'Ora, Man Ray, Cecil Beaton, Robert Doisneau, Bettina Rheims, David Seidner… Chronologique et thématique, l'exposition dévoile la diversité des usages de la photo — politique, économique, juridique, artistique ou documentaire — et met en lumière les croisements, sensibles ou inattendus, avec les arts décoratifs. Elle offre ainsi un regard neuf sur le rôle de premier plan que le Musée des Arts Décoratifs a joué dans la reconnaissance de la photographie sur la scène artistique française.Dès son origine en 1864, l'Union centrale des beaux-arts appliqués à l'industrie – aujourd'hui Les Arts Décoratifs – envisage la photographie comme un « art appliqué à l'enseignement et à la vulgarisation ». Elle est alors considérée comme l'un des vecteurs les plus efficaces pour inspirer les ouvriers et artisans en plein contexte d'émulation artistique et économique. Au temps des premières expositions d'arts industriels, l'institution produit ses propres photographies grâce au laboratoire qu'elle met en place en 1883 et appelle les photographes à rejoindre ses rangs afin de fournir des modèles, en vue de former le regard et d'éduquer par l'image. Au fil du temps, le musée et sa bibliothèque acquièrent des milliers de clichés ayant pour vocation de documenter les collections que les créateurs ont pu donner par ailleurs, à l'instar de la maison Fouquet ou Louis Sognot.Au-delà des collections, c'est toute une politique d'expositions que la photographie nourrit tout au long du XXe siècle comme l'« Exposition des photographies de guerre » en 1916 ou l'« Exposition internationale de la photographie contemporaine » en 1936. La programmation propose et accueille les premières rétrospectives françaises consacrées à Henri Cartier-Bresson (1955) ou à Jacques Henri Lartigue (1975). En 2021, le musée rend un nouvel hommage à la photographie mais cette fois à travers le prisme de sa propre collection. Six sections permettent d'en saisir la profusion et la variété : la quête des modèles, les vues de pays comme objet d'étude et d'inspiration, la photographie au service du patrimoine, l'utilité commerciale de la photographie exploitée par la presse et la publicité, la reconnaissance de la photographie et la photographie de mode.Le parcours débute au commencement de l'histoire de la photographie dans le sillon des premières associations et institutions : la Société française de photographie voit le jour en 1854 et la Chambre syndicale de la photographie en 1862. Cette partie introduit le visiteur dans les premières images de ce milieu du XIXe siècle en rappelant leur vocation pédagogique pour les artistes et les artisans. L'acquisition de modèles photographiques – natures mortes mais aussi ornements ou figures – est alors au coeur des impératifs des institutions.Le XIXe siècle est aussi une époque d'échanges et de mouvements. Les expositions universelles, plus particulièrement à partir de 1867, invitent à découvrir le monde, cet « ailleurs » que l'on méconnait alors, et la photographie participe à ce phénomène. Les clichés pris à l'étranger ont nourri l'imaginaire des artistes et des décorateurs, autant que celui des collectionneurs. De l'Amérique du Sud à l'Asie en passant par l'Europe et la Méditerranée, les photographies témoignent de différents points de vue : colonial, touristique, ethnographique ou personnel. La photographie est également l'une des ressources les plus convoquées à l'heure où s'organise la protection des monuments. En apportant un témoignage visuel de leur état et de leur transformation, elle joue un rôle essentiel à l'égard du patrimoine et de l'architecture à travers l'objectif d'Henri Le Secq ou de Charles Marville.L'exposition entraîne le visiteur dans les années 1920-1930, qui voient l'apparition progressive de la photographie publicitaire. Cette partie dévoile comment l'essor du modernisme photographique doit autant aux photographes eux-mêmes qu'aux graphistes, éditeurs et décorateurs, qui font entrer l'image dans les domaines de la vie quotidienne. L'Exposition internationale des arts décoratifs et industriels modernes, qui se tient à Paris en 1925, est fondamentale pour le marché de la photographie et de l'édition. Certaines revues comme Art et Décoration ou L'Architecture d'Aujourd'hui, et Connaissance des arts ensuite, accordent une place croissante à l'illustration photographique. Publiées dans ces revues, les clichés de Thérèse Bonney, Dora Kallmus ou Jean Collas jouent également un rôle de diffusion de modèles, contribuant au renouveau de la création et à l'évolution des goûts.C'est également l'ambition de l'Union française des arts du costume (UFAC), créée en 1948, sous l'impulsion de François Boucher, qui rassemble un ensemble prestigieux de pièces de mode, textiles et de tirages dont la gestion est alors confiée au musée. L'alliance de ces deux collections, dont l'accord est scellé en 1981, devient le socle de la mode du Musée des Arts Décoratifs. Le corpus photographique apporte un témoignage artistique et intime sur les figures les plus marquantes de la haute couture parisienne : Charles Frederick Worth, Madeleine Vionnet, Paul Poiret… Créateurs que les toutes récentes expositions « Harpers Bazaar. Premier magazine de mode » et « Le dessin sans réserve » ont mis en lumière.« Histoires de photographies » s'inscrit dans une programmation initiée en 2020 avec « Le dessin sans réserve », à la suite de « Faire le mur. Quatre siècles de papiers peints » en 2016, qui s'attache à faire découvrir au public toute la richesse de fonds restés longtemps dans l'ombre. L'exposition révèle les contours d'un médium à part entière, ses personnalités fondatrices et ses expressions les plus surprenantes.Un catalogue éponyme est disponible aux éditions MAD. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Welcome to this eleventh episode of the new Dior Talks series ‘The Female Gaze’. With the term developed in response to the writings of feminist film theorist Laura Mulvey, this podcast series will explore how the work of the female photographers and creatives collaborating with Dior offers a radically new and progressive image of women. In this episode, series host Charlotte Jansen, a British journalist and author, speaks with one of the legendary figures of photography in the last half century. Bettina Rheims has been prominent and highly prolific in the world of portraiture, and also fashion photography, for four decades, having first picked up a camera in 1978. She started by photographing a group of female striptease artists and became fascinated by capturing the femininity, power and corporeality of womanhood. This is a fascination which she has maintained ever since in a long and varied career. Bettina Rheims was born in the Paris suburb of Neuilly-sur-Seine in 1952, into a family deeply involved with the worlds of art, literature and the media. Her passion for photography evolved in the late 1970s, after she had already had careers as a model, journalist and gallerist. She had published almost twenty books of her images from the 1980s to the 2010s. She has photographed Catherine Deneuve, Charlotte Rampling, Madonna, Marianne Faithful and Claudia Schiffer amongst many, many others. She has also undertaken advertising campaigns for numerous fashion labels and worked with countless international magazines. She has always combined her skill in capturing the unique qualities of her famous female subjects with an interest in the bizarre, shocking and subcultural. She has had solo exhibitions at the Centre Pompidou, the Kunsthal Rotterdam and the Musée d’Art Contemporain, Lyon. In 2016, as part of the #TheWomenBehindTheLens project initiated by Maria Grazia Chiuri, Rheims photographed Laetitia Casta for Dior Magazine as the embodiment of a modern, liberated woman. In this week’s episode, Jansen speaks with Rheims about her radical ideas of beauty and femininity, and how these have evolved over the years. Having taken portraits of prisoners, porn actors, political figures and countless women both cisgender and trans, Rheims has constantly expanded and developed notions of womanhood and womanly strength. When asked why she photographs women, Rheims answers with characteristic honesty, “This is the question I have been asked the most. I haven’t yet found an answer.” This episode represents a treasured opportunity to hear her deepest thoughts on this and other prescient subjects.
durée : 00:58:11 - Femmes puissantes - Bettina Rheims photographie les femmes, toutes les femmes, les actrices, les star, mais aussi les détenues, les femen et les putes, où même juste une femmes croisée dans la rue dont le visage la saisit. Ses clichés mondialement connus sont glamours, et sensuels, ils vous frappent, vous bousculent,et vous provoquent.
3.55 CHANEL in Hyères – Bettina RheimsIn a new episode of the 3.55 CHANEL in Hyères podcast, French photographer Bettina Rheims chats to Audrey Marnay about femininity, gender and the specific themes that nourish her creativity. She talks about her biggest inspirations, womanhood and the perception of female identity.
This My Big Idea podcast comes directly from London Fashion Week. ASOS editor-at-large Danielle Radojcin speaks to Harriet Verney about her upbringing in the world of fashion and how to break into the industry. Harriet Verney is a London-based writer and journalist who contributes to i-D, US Vogue and Vogue.com, LOVE, GQ, Teen Vogue, Stylist Magazine, Wall Street Journal, Lula and many more. The niece of fashion icon Isabella Blow, who helped to launch the career of Alexander McQueen, Harriet is currently contributing editor at Wonderland and senior editor at LOVE magazine. Harriet has herself been shot by photographers including Mario Testino, Nick Knight and Bettina Rheims. The east Londoner has most recently shot for Teen Vogue (in a self-styled main fashion story), Paper Magazine and Tank. She regularly partakes in SHOWstudio's discussion panels alongside fashion luminaries like Lisa Armstrong, Hilary Alexander and Colin McDowell. See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
Se faire du mal pour se faire du bien Qu’est le BDSM ? Une suite de lettre qui apporte un cadre à des pratiques sexuelles définies ? Un univers magique composé de personnages costumés et joyeux, s’abandonnant au plaisir de l’autre dans une relation de confiance contractuelle ? Une porte à franchir pour un autre monde ? Un parcours initiatique ponctué par des degrés d’évolution de la jouissance ? Ou au contraire une perversité où la souffrance règne en maîtresse ? Les curieuses se posent des questions et écoutent les réponses de Marie de l’Erosticratie (accompagnée de sa Chose, oui, oui !) pour qui le BDSM est une forme de sexe créatif. Sans oublier Cécile qui nous parle de Bettina Rheims et nous enchante avec une lecture d’Histoire d’O, Rachel qui dessine, Claire qui tweete, La Chose qui masse les pieds de sa maîtresse. Joe mène cette drôle de danse et évoque Rousseau et ses confessions sur la fessée. Une émission découverte sur un univers plus complexe qu’il n’y paraît. Au fait, dit-on BDSM ou BDsSM ? Avec : Joe, Cécile MARTIN et Claire ALQUIER (#CCFSuper8). Invitée : L’Albatrice, Marie de l’Eristocratie ECOUTER L’EMISSION Références : Culture Q : Les femmes dans l’œil de Bettina Rheims, exposition jusqu’au 27 mars à la Maison Européenne de la Photographie – chronique à lire ici aussi ! La lecture qui fait du bien : un extrait de Histoire d’O, de Pauline Réage. Merci à Greg et à Sophie pour leurs témoignages. Suivez les « voyages » de Sophie et de son Maître sir Adriel sur leur blog : www.lesnuitsdesophie.fr. Merci à Rachel pour ses dessins. Découvrez ses papiers peints érotiques sur Erosticks ! En apprendre plus sur Sacher-Masoch Musiques : Dusty Springfield – You don’t own me Nina Simone, I put a spell on you
Avec Philippe Dagen et Bettina Rheims.
En 1979, le travail de la jeune photographe est repéré par Helmut Newton dans la revue "Egoïste". S'en suivra une longue amitié et de nombreuses discussions autour de leurs travaux dont Bettina Rheims se fait ici l'écho.
En 1979, le travail de la jeune photographe est repéré par Helmut Newton dans la revue "Egoïste". S'en suivra une longue amitié et de nombreuses discussions autour de leurs travaux dont Bettina Rheims se fait ici l'écho.
Geht nicht zu Bettina Rheims, rät unser Trendschnüffler Jasper Jones diesmal. Empfohlene musikalische Perlen sind "Girl Talk", und der hier noch unbekannte "Rodriguez" mit seinem legendären Album "Cold Fact". Weitere Tipps von Sick Sinus, Gero und Michael Meyer, ... Na, seht selbst....