Podcasts about Robert Doisneau

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Robert Doisneau

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La Story Nostalgie
Robert Doisneau et ses instants volés (Episode 1)

La Story Nostalgie

Play Episode Listen Later Nov 3, 2025 6:40


Depuis que je raconte des histoires à la radio, j'ai souvent eu l'occasion de me rendre compte que s'il y a des détenteurs d'anecdotes incroyables du show bizness, ce sont les photographes. Ainsi on connaît tous ou presque le formidable Jean-Marié Périer, témoin de l'époque bénie des yéyés et des débuts du rock britannique. Mais il faut bien le reconnaître, peu d'autres noms sont passés à la postérité alors qu'ils ont approché les plus grands dans leur exercice et bien souvent, ont assisté à ce que personne ne voit : la création d'un disque, les coulisses d'un concert, les voyages promos.Le nom de grands témoins belges comme Guido Marcon, Philippe Carly ou Paul Coerten ne vous dit peut-être rien et pourtant, de Jacques Brel à U2, en passant par Queen, Bob Marley et Claude François, ils les ont tous photographiés et fréquentés de leurs débuts au sommet de leur gloire. Et justement, nous avons cet automne et cet hiver l'occasion d'aller admirer en Belgique, à La Boverie, à Liège, les photos du plus célèbre des témoins de l'ère du noir et blanc : Robert Doisneau.Vous venez sans doute, à l'évocation de son nom, de vous la projeter dans votre tête, sa légendaire photo du baiser de l'hôtel de ville ! Doisneau, c'est rien moins que le photographe le plus célèbre du XX° siècle. Et donc, le plus connu de tous les temps. Pas seulement parce qu'il a laissé 450.000 clichés, à une époque où, bien évidemment, on ne trimballe pas un appareil en permanence dans sa poche. Mais surtout parce que ces instants captés majoritairement dans les rues de Paris, sont de véritables témoignages historiques d'une vie quotidienne aujourd'hui disparue. On dit de Robert Doisneau qu'il voyait le monde tel qu'il est mais en soulignant le merveilleux, et tout ça avec la magie du noir et blanc. Et si au départ, ces photos étaient destinées à illustrer l'actualité dans de nombreux et prestigieux magazines français et américains, elles ont, avec la notoriété croissante de Doisneau, fini par constituer une bibliothèque d'images qui montre la vie des gens des années 30 à 80, qu'ils soient riches, célèbres, pauvres, défavorisés. Car c'est ça aussi Doisneau : à la fois le photographe de Vogue et de Life, correspondant permanent pour l'Amérique de la vie parisienne, mais aussi l'homme qui parcourt inlassablement et tranquillement les rues de sa ville pour capter le bon moment quand il se présente. Était-il conscient, à ses débuts, qu'il était occupé à découper le temps en lamelles fines pour les générations à venir ? Probablement pas, du moins à ses débuts. On a du mal à imaginer de nos jours où nous prenons des milliers de photos digitales dont l'espoir de vie est d'ailleurs bien maigre, un Robert Doisneau transformant la salle de bains familiale en chambre noire, en laboratoire de développement, avec les négatifs et les tirages qui pendent, accrochés à une corde. L'oeuvre de l'artiste qu'il était, c'est la vision d'un monde qui n'était pas meilleur qu'aujourd'hui et pourtant, quand on visite son expo ou qu'on feuillette un de ses livres, on n'y voit que des gens aimables, montrant que oui, un monde meilleur existe. La preuve : Doisneau l'a photographié.

La Story Nostalgie
Robert Doisneau et ses instants volés (Episode 2)

La Story Nostalgie

Play Episode Listen Later Nov 3, 2025 6:26


On a tous des scènes de notre enfance bien ancrées dans notre mémoire. Ce n'est pas un hasard si ce sont celles que nous avons pris l'habitude d'évoquer quand il s'agit de raconter des souvenirs de cette époque où le monde nous paraissait beaucoup plus grand. Mais à présent, si je vous demande de chercher dans les coins de votre mémoire d'autres scènes que celles-là, des banales de votre quotidien quand vous étiez mômes, comme disaient les Parisiens. Tenez, vous l'entendez sonner, la cloche de la récréation, vous la reconnaissez. Vous vous voyez en train de courir quand la porte s'ouvre et crier en vous élançant dans la cour de l'école. Et tous ces rires, et puis les jeux avec vos camarades. Vous jouiez à quoi d'ailleurs ?Une chose est sûre : ceux qui ont vécu leur enfance dans les années d'avant et après-guerre, disposent d'images de ces instants incroyables que furent leurs jeux durant l'enfance. Grâce à Robert Doisneau, l'homme du baiser de l'hôtel de ville qui a autant profité de la fabuleuse notoriété acquise par cette photo qu'elle en cache les 450.000 autres. Car ce que Doisneau a photographié le plus, ce sont les enfants qui, à l'époque, jouaient dans les rues et les terrains vagues de la capitale française. Ainsi en 1944, sa photo d'un groupe d'enfants courant et sautant en criant au pied de la Tour Eiffel est aussi passée à la postérité. Comment ne pas être sensible à cette explosion de jeunesse, cette joie de tout découvrir et expérimenter, de former un chouette groupe, aussi. Doisneau dira que pour être bien lisible, une image doit avoir la forme d'une lettre. La Tour Eiffel est ici un “I”, c'est une évidence, quant à la nuée d'enfants à ses pieds, elle ressemble à une vague déferlante de lettres. Et quand on sait que Doisneau a perdu son job chez Renault car il était toujours en retard et trafiquait l'heure de son arrivée sur ses cartes de présence, s'il est devenu un artiste, c'est probablement parce qu'il était resté l'enfant qu'il cherchait en vain dans le regard des adultes photographiés pour ses magazines.Des photos, il a commencé à en prendre dès l'adolescence. Il préfère ça de loin à la profession que tentent de lui imposer ses parents. Apprends d'abord un métier, entend-il quand il leur montre fièrement ses premiers clichés. C'est vrai, ils sont tous d'accord dans la famille : les photos de Robert, c'est de la pellicule gâchée. Ça coûte cher, un film ! Je m'en fous, confie Doisneau, à sa plume et son cahier de brouillon, je continuerai quand même. Un jour peut-être quelqu'un y verra autre chose que de la pellicule Kodak gâchée.

La Story Nostalgie
Robert Doisneau et ses instants volés (Episode 3)

La Story Nostalgie

Play Episode Listen Later Nov 3, 2025 6:09


On a tous en nous quelque chose de Robert Doisneau. De ce baiser de l'hôtel de ville qu'une copine avait en poster dans sa chambre ou un pote dans son kot, une affiche sur un mur, une couverture de farde de cours. Cette image a fait plus que le tour du monde, c'est un vrai tube, celui qui a fait connaître le nom d'un artiste dont la destinée n'est justement pas d'être connu de tous. Tout a commencé au printemps 1950 quand le magazine américain Life demande à Doisneau un reportage photo sur l'amour à la parisienne. Car c'est bien connu, les Américains le savent, que les Français ont une façon de vivre qu'ils n'imaginent pas, qu'on ne tolérerait pas aux Etats-Unis. Les hommes et les femmes n'hésitent pas à s'embrasser dans la rue, mieux, ou pire, personne n'y prête attention. Et donc dans ce numéro de Life qui, croyez-moi, va faire grand bruit et circuler partout suscitant fantasmes et envie de voir Paris, bref qui va créer un véritable mythe, on voit donc en grand sur la page de gauche, un homme et une femme s'embrasser sur un escalier, au milieu de la foule. Ah non, ce n'est pas le fameux baiser de l'hôtel de ville. Lui, il partage la page suivante avec d'autres clichés dont celui des amants qui se bécottent sur un banc public sous le regard d'une vieille dame en noir, bien en évidence. Non, coincé entre deux photos en haut de page, et recadré, ne permettant pas de reconnaître l'hôtel de ville, ce cliché ne ressort pas du lot de toutes ces images réalisées par Doisneau et qui ont fait rêver ou choqué plus d'un Américain. Et puis on oublie tout ça dans les années 60, 70, jusqu'à ce qu'un éditeur, en 1985, demande à Robert Doisneau, les droits pour en faire un poster. Doisneau signe mais quand même, il doute que ça marche. Des milliers et des milliers de cartes postales, affiches et une foule de produits dérivés plus tard, sa fortune faite et tombée du ciel sans prévenir, Doisneau profite de cette notoriété mondiale inattendue et sur le tard, quand un couple lui intente un procès, lui reprochant d'avoir utilisé leur image. Mais devant le tribunal, c'est un Robert Doisneau bien embêté qui vient leur dire qu'ils se trompent, ce n'est pas eux qu'il a photographié 40 ans plus tôtmais deux comédiens du cours Simon auxquels il avait proposé de poser pour 500 francs de l'époque. Françoise, la modèle, vient d'ailleurs confirmer à la barre, tenant dans les mains un tirage original signé par l'artiste. Le procès remporté par Doisneau casse un peu le mythe. Mais il est bien la preuve que l'artiste avait raison de recourir à deux modèles pour illustrer le Paris romantique cher aux Américains. Il n'avait pas le droit d'exploiter l'image de deux personnes à leur insu. Et demander le consentement des gens dans la rue aurait autant brisé la spontanéité. Le fait que vous n'ayez probablement pas entendu parler de cette affaire judiciaire illustre parfaitement la totale réussite de cette image, le mouvement, l'attitude des passants impassibles qui, eux, n'étaient pas dans le coup. Dernière preuve, s'il en faut : en novembre 2015, on a vu s'afficher Place de la République en réponse aux attentats qui venaient de blesser Paris, la photo du baiser de l'hôtel de ville avec cette légende : Même pas mal !

La Story Nostalgie
Robert Doisneau et ses instants volés (Episode 4)

La Story Nostalgie

Play Episode Listen Later Nov 3, 2025 7:41


Au printemps 1945, il y a du monde au Louvre, aujourd'hui. Les visiteurs ont tous revêtu leur tenue du dimanche pour venir au grand musée. On n'imagine plus ça, aujourd'hui. Ils sont venus voir, entre autres, mais principalement elle, La Joconde, évidemment. Une Joconde placée sur un chevalet, de sorte que le public puisse faire le tour du tableau. On n'imagine plus ça, non plus.Pourquoi je vous raconte ça ? Et bien parce qu'un jeune photographe de 32 ans s'y trouve pour un reportage et qu'il va prendre une photo comme on le fait encore rarement, sinon jamais. En effet, au lieu de prendre l'image de Mona Lisa, ce qui n'aurait pas manqué d'intéresser les lecteurs de publications, il photographie le public, six personnes en plan rapproché, trois hommes, deux femmes et un enfant dont on devine l'émotion dans le regard ébloui, interpellé, fasciné, pris dans son flash. Sans doute faut-il voir dans ce coup de génie, la trace d'un homme qui connaît aussi bien les gens, le public qu'il capte à toute heure dans les rues, que les peintres. Certains des plus grands plus d'entre eux sont d'ailleurs ses voisins, à Montrouge. Et oui, bien avant qu'on y entende résonner la voix du jeune Jean-Jacques Goldman, à Montrouge, cette localité collée à Paris, au-delà du périphérique parisien, abrite l'atelier de photographie de Robert Doisneau, originaire d'une commune voisine. Et de l‘atelier du célébrissime Fernand Léger, il passera à celui de Picasso avec des portraits qui ne manquent pas d'humour, l'incroyable Giacometti au milieu de ses statues longilignes, Niki de Saint Phalle, à table entre deux de ses monumentales nanas ou encore le dessinateur Sempé qui projette sur le mur et lui-même une de ses foules innombrables de petits personnages qui tentent de monter dans le même bus. Ami de Jacques Prévert, Robert Doisneau est un artiste qui aime les artistes. Cela lui permet d'approcher tout le monde, même avant la starification comme la jeune Brigitte Bardot encore mannequin, 16 ans, mais déjà la coqueluche d'un magazine féminin. Resplendissante en tenue de bal, elle contraste avec un Orson Welles gouailleur, un ballon à la main au comptoir d'un bistrot. Le bistrot est un incontournable chez Doisneau, comme pour la majorité des Parisiens de l'époque, la pièce supplémentaire de tous les appartements du quartier, comme il aimait à le dire. Alors, quoi de plus normal de prendre une photo de la jeune et rebelle Isabelle Huppert se faisant servir un canon de rouge au comptoir, sous le regard de tous ces messieurs autour d'elle. Ou la même année 1985, et toujours en noir et blanc, la merveilleuse Sabine Azéma, buvant à la paille à la terrasse de chez Gégène. D'ailleurs, c'est simple, si vous aviez voulu croiser Robert Doisneau, à l'époque, il suffisait de vous pointer en fin de journée au café Chez Fraysse, rue de Seine, à St Germain. C'est là qu'il retrouvait quelques amis écrivains dont Jacques Prévert mais aussi Robert Giraud, frère d'argot de René Falet et Michel Audiard. Et puis des peintres, un patron de presse, un prof des Beaux-Arts, l'école est juste en face. Et tout ça, discute, boit le coup, Doisneau qui n'a jamais fini sa journée sortira plus d'une fois son appareil pour prendre des clichés d'une époque où on savait encore vivre ensemble. On terminera le parcours avec un splendide cliché de la grande Simone de Beauvoir, seule à table, sur la moleskine d'une banquette du Café de Flore, à l'époque où il était encore exclusivement le rendez-vous d'artistes. On veut cette époque authentique, elle nous appelle, dommage qu'on n'y ait pas plus prêté attention à l'époque, et heureusement qu'il y avait des gens comme Doisneau pour l'immortaliser en soulignant le merveilleux qui planait dans l'air.

La Story Nostalgie
Robert Doisneau et ses instants volés (Episode 5)

La Story Nostalgie

Play Episode Listen Later Nov 3, 2025 6:09


Un homme et son chien. Un gros Briard noir frisé dont les poils hirsutes cachent le regard bravement couché au pied de la chaise de son maître assis à la terrasse d'une buvette parisienne. L'homme porte le costume cravate et chapeau classique comme tout le monde après-guerre mais il se tient légèrement avachi face à son verre de guignolet, la clope au bec et le regard dans le vide. On devine que son esprit est perdu dans une probable inspiration, assemblant des phrases et des rimes puisque l'homme en question se nomme Jacques Prévert, immédiatement reconnaissable, il est le poète le plus connu de sa génération.Dialoguiste d'une vingtaine de classiques du cinéma des Enfants du Paradis aux Visiteurs du soir, en passant par Quai des brumes et Drôle de drame… (bizarre, bizarre), Prévert a été chanté avec succès par son ami Yves Montand, Les feuilles mortes, et puis par Juliette Gréco, Serge Reggiani, et même Serge Gainsbourg qui lui rend hommage dans un superbe titre … Un Prévert qui à Paris, a longtemps préféré vivre à l'hôtel ou dans des meublés. Et quand il s'installe enfin dans un appartement, c'est derrière le Moulin Rouge, dans une rue en cul-de-sac, avec pour voisin de pallier, Boris Vian …L'homme qui prend cette photo sous les platanes d'un trottoir parisien, c'est bien évidemment Robert Doisneau. Prévert et lui se sont rencontrés grâce à son frère Pierre qui bosse dans un cabaret. Prévert et Doisneau se sont très vite trouvés. Je devrais dire, reconnus car ils partagent l'amour des petites gens : tu dois mettre dans le rectangle les laissés pour compte envoyés par le hasard pour en faire un bouquet, dit le poète au photographe. L'exposition de photos montées sur des planches dans ledit cabaret est un succès éclair puisque l'acteur Anthony Quinn, star d'Hollywood, Zorba le Grec et Quasimodo de Notre-Dame de Paris, achète toutes les photos. Il avait raison, Prévert. C'est autrement plus passionnant et enrichissant de cadrer les gens du peuple dans leur quotidien que d'aller photographier les têtes couronnées pour une couverture de magazine ou la nouvelle Renault pour une pub. Alors quand son ami Prévert, dont l'âme poétique accorde une importance particulière au nom des rues, l'appelle pour lui dire : Tu sais qu'il existe une rue des cinq diamants ? Viens, on va la photographier. Il est fréquent pour les Parisiens de croiser Prévert et Doisneau, dans l'improbable rue du Pont-aux-biches, comment auraient-ils pu louper ça, ou en train de flâner rue du Dessous-des-Berges ou encore au Passage de la Main d'Or. On ne croit donc pas au hasard de cette photo mythique de Prévert à la terrasse de La buvette du pont, sous les platanes, avec des tractions sur la rue en arrière-plan, les deux amis se complétaient à merveille, l'un faisait danser les mots, l'autre donnait une vie rêvée aux images.

Les histoires de 28 Minutes
Vincent Message / 20 ans après la mort de Zyed et Bouna, la banlieue toujours en état d'urgence ?

Les histoires de 28 Minutes

Play Episode Listen Later Oct 27, 2025 45:53


L'émission 28 minutes du 27/07/2025 Ce thriller écologique nous plonge dans le monde foisonnant des océans À la fois auteur et enseignant en littérature comparée à l'université Paris 8, Vincent Message, publie "La Folie Océan" aux éditions du Seuil. L'écrivain, accoutumé à aborder des sujets de société complexes (capitalisme, écologie) par le biais de la fiction, se jette, une nouvelle fois, dans l'immense océan de la crise écologique actuelle. Ce roman contemporain mêlant la double vie amoureuse de Maya, biologiste spécialisée dans le plancton, et de son amant, Quentin, plongeur pour une réserve naturelle, devient un thriller lorsque l'activisme de Quentin lui vaut des menaces de mort. Il est notre invité de ce soir.  20 ans après la mort de Zyed et Bouna, la banlieue est-elle toujours en état d'urgence ?Il y a 20 ans, le 27 octobre 2005, Zyed Benna, 17 ans, et Bouna Traoré, 15 ans, sont morts électrocutés dans un transformateur EDF alors qu'ils cherchaient à fuir un  contrôle de police à Clichy-sous-Bois. Leur ami, Muhittin, 17 ans, gravement brûlé, a survécu et a été le premier à alerter sur ce qui s'est passé avant que les secours n'arrivent Le soir même, la ville de Clichy est le théâtre d'émeutes urbaines, avant d'être suivie par d'autres villes dans le pays. Une tragédie qui a enflammé les banlieues françaises et le pays. 20 ans après, jour pour jour, après la mort de Zyed et Bouna, une cérémonie d'hommage a été organisée ce lundi midi à Clichy-sous-Bois, près de la stèle située devant le collège Robert Doisneau où ils étaient scolarisés. Enfin, Xavier Mauduit profite de l'interpellation de deux suspects dans l'affaire du cambriolage du Louvre, pour revenir sur l'histoire du vol des joyaux de la couronne en 1792. À l'occasion du lancement de la Transat Café l'Or, Théophile Cossa nous relate le fonctionnement de la plus longue et prestigieuse des courses à la voile en double.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 27 octobre 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio

Les histoires de 28 Minutes
[DÉBAT] 20 ans après la mort de Zyed et Bouna, la banlieue est-elle toujours en état d'urgence ?

Les histoires de 28 Minutes

Play Episode Listen Later Oct 27, 2025 23:38


L'émission 28 minutes du 27/10/2025  20 ans après la mort de Zyed et Bouna, la banlieue est-elle toujours en état d'urgence ?Il y a 20 ans, le 27 octobre 2005, Zyed Benna, 17 ans, et Bouna Traoré, 15 ans, sont morts électrocutés dans un transformateur EDF alors qu'ils cherchaient à fuir un  contrôle de police à Clichy-sous-Bois. Leur ami, Muhittin, 17 ans, gravement brûlé, a survécu et a été le premier à alerter sur ce qui s'est passé avant que les secours n'arrivent Le soir même, la ville de Clichy est le théâtre d'émeutes urbaines, avant d'être suivie par d'autres villes dans le pays. Une tragédie qui a enflammé les banlieues françaises et le pays. 20 ans après, jour pour jour, après la mort de Zyed et Bouna, une cérémonie d'hommage a été organisée ce lundi midi à Clichy-sous-Bois, près de la stèle située devant le collège Robert Doisneau où ils étaient scolarisés. On en débat avec Driss Ettazaoui, vice-président de l'Association des Maires Ville & Banlieue de France, Fabien Truong, sociologue, spécialiste des quartiers populaires et de la jeunesse et Nassira El Moaddem, journaliste à Arrêt sur images.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 27 octobre 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio

Un Jour dans l'Histoire
Robert Doisneau ,plus que les bonheurs minuscules ?

Un Jour dans l'Histoire

Play Episode Listen Later Oct 15, 2025 38:26


Nous sommes en 1939, à Boulogne-Billancourt, dans la proche banlieue parisienne. Après cinq années de bons mais aléatoires services, Robert Doisneau, âgé de 27 ans, est licencié des usines Renault où il officiait comme photographe industriel. Le jeune homme trop souvent en retard avait tenté de truquer sa carte de pointage. Il l'avouera plus tard. Ce licenciement n'aura pas que des effets fâcheux puisqu'il va permettre à l'indiscipliné d'accéder au statut convoité de photographe indépendant. Le déclenchement de la Deuxième Guerre mondiale mettra un frein à ses projets, mais ces années perdues ne l'empêcheront pas de se faire un nom, une fois la paix retrouvée. Et quel nom ! Robert Doisneau est l'un des photographes les plus célébrés au monde. Ses images iconiques comme celle des « Amoureux de l'hôtel de ville » sont reproduites à l'infini. En 1990, dans la revue « Entre Vues », il déclare « Le monde que j'essayais de montrer était un monde où je me serais senti bien, où les gens seraient aimables, où je trouverais la tendresse que je souhaite recevoir. Mes photos étaient comme une preuve que ce monde peut exister. » Mais derrière ces photographies des « bonheurs minuscules » comme on les a souvent décrites, se cache parfois un monde plus inquiet, celui de celles et ceux qui vivent sur le fil. Redécouvrons encore une fois Robert Doisneau… Avec nous : Anne Hustache, historienne de l'Art. Sujets traités : Robert Doisneau, photographe, célèbre, Amoureux, Paris, Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les Experts France Bleu Béarn
Fait-on encore le tirage papier des photos de nos portables ?

Les Experts France Bleu Béarn

Play Episode Listen Later Sep 5, 2025 23:29


durée : 00:23:29 - On s'en parle en Béarn Bigorre - A l'occasion de l'exposition du célèbre photographe Robert Doisneau au musée des Beaux-Arts de Pau en ce moment, on se pose la question de savoir si nous continuons à faire le tirage papiers de nos propres photos ? Le photographe palois Eric Traversier nous conseille. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

TOKIO RADIO
#5 Hans Silvester, Photographe

TOKIO RADIO

Play Episode Listen Later Sep 5, 2025 64:45


Hans Silvester, un nom qui parle plus par son regard que par sa signature, et c'est précisément cela qui définit son héritage.Né en 1938 à Lörrach, il devient photographe presque naturellement dès l'adolescence, sa passion s'épanouissant à l'école de Fribourg. Dès 1960, la Camargue le marque. Sa première œuvre, Camargue, magnifiée par un texte de Jean Giono, lui ouvre les portes d'un monde qui l'absorbe.En 1962, plantant sa tente en Provence, il devient globe-trotter. Hans a photographié dans plus de 70 pays, et pourtant, son œuvre reste intimiste, lente, humaniste. Il est un voyageur sans folklore, qui refuse l'exotisme, et cherche le lien plus que l'image.En 1965, il rejoint RAPHO, l'agence photographique mythique française et entre dans la lignée des plus grands photographes humanistes. RAPHO a représenté des des légendes telles que Robert Doisneau, Willy Ronis, Sabine Weiss, Janine Niepce, Édouard Boubat. Et plus tard Hans Silvester, Marc Riboud, François Hers,..En 1977, il devient un fondateur visuel de l'aventure éditoriale de GEO, le magazine référence de la photographie-reportage et réalise la couverture du numéro 0.Dès les années 70, Hans Silvester dénonce La déforestation en Amazonie, La pollution des rivières françaises, La surexploitation forestière en Amérique du Nord. Il fait œuvre militante avec des images sensibles, éloignées du spectaculaire et fidèles à sa sobriété.Puis, dans les années 2000, l'Éthiopie. Sa fascination pour les peintures corporelles des peuples de la vallée de l'Omo le pousse à s'y immerger. Il documente ce que personne d'autre n'a su photographier ainsi, en prenant le temps de vivre avec eux, souvent accompagné de sa femme Dora.Son travail est un témoignage exceptionnel de ces arts vivants, éphémères et habités, comme une empreinte du lien entre l'homme et la nature. Il n'a pas photographié les guerres, mais un autre type de fragilité, celle des Peuples Racines, des cultures en voie de disparition, de ces formes d'expression immatérielles.Cette quête, silencieuse et respectueuse, est la quintessence de son regard.En 2022, il est couronné du Prix International Planète Albert Kahn, honneur rare rappelant la portée historique et sensible de sa carrière.Hans Silvester, c'est un photographe hors mode, hors frontières, un témoin aux aguets, qui documente plus qu'il ne capture.Ses images nous racontent autre chose que des histoires.Elles nous rappellent qui nous sommes, et ce qui importe.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Reportage culture
Le musée Maillol consacre au photographe Robert Doisneau sa plus grande rétrospective depuis 20 ans

Reportage culture

Play Episode Listen Later May 31, 2025 3:21


L'exposition Instants données est à retrouver au musée Maillol, à Paris, une exposition touchante et exhaustive, réalisée en collaboration avec ses deux filles de Robert Doisneau, Annette et Francine, et la société belge Tempora. Au fil de 400 clichés, on redécouvre la capitale française à travers le regard du photographe, comme un souffle d'humanité en noir et blanc. « Le baiser de l'Hôtel de Ville »: deux amoureux s'embrassent devant une terrasse de café, à deux pas de l'Hôtel de Ville de Paris. C'est probablement cette photo qui vous vient en tête lorsque vous entendez le nom de Robert Doisneau, l'un des photographes les plus emblématiques du XXème siècle et du courant humaniste.Pendant plus de 50 ans, Robert Doisneau a arpenté les rues de Paris à la façon de celui qu'il aimait décrire comme « le patient passant » : celui qui attend des heures pour immortaliser ces instants de vie qui laissent les autres indifférents, jusqu'à ce que son appareil photo les rende éternels.Francine Deroudille, l'une des deux filles du photographe – qui a fondé avec sa sœur l'atelier Robert Doisneau , où sont conservées toutes ses photos – est aujourd'hui l'une des commissaires de cette exposition : « On a voulu montrer toute une séquence qui s'appelle "Gravité", où on voit les photos des gens à qui la vie n'a pas fait de cadeaux, explique-t-elle. Que ce soit les prostituées des halles ou des mineurs à Lens qui vivent dans des conditions épouvantables. Robert Doisneau a fait des photos qui peuvent être très dures, mais le regard qu'il porte sur les gens n'est jamais dur. »La solidarité : une valeur chère au cœur de Robert Doisneau. Une solidarité sans distinction, sans hiérarchie. C'est ce que l'on ressent en se baladant dans les allées du musée Maillol. Une exposition de plus de 400 photos, en noir et blanc la plupart du temps, qui représentent des enfants qui jouent dans les rues ou au pied de la tour Eiffel, des amoureux qui dansent un soir de 14 juillet, mais aussi les banlieues parisiennes. Des banlieues dans lesquelles il aimait passer son temps libre, il fut d'ailleurs l'un des premiers à les photographier : Les gens de la banlieue, peut-être parce que le décor sert de repoussoir, je les trouve très attendrissants. La jeunesse en banlieue prend une valeur, un caractère ... « De nos jours, les banlieues sont très photographiées, retrace Francine Deroudille. Au moment où il le faisait, ce n'était pas du tout [le cas]. Tous les objectifs s'étaient détournés de cette photographie sociale. Il va montrer des photographies qui vont pouvoir étayer un propos de révolte sociale. »Connu pour son côté provocateur, Robert Doisneau était aussi un grand conteur. Il n'aimait pas qu'on le réduise à un simple témoin du réel. Et pourtant, Doisneau c'est une histoire de rencontres et de récits de vie. Lorsqu'il rentrait chaque soir, ses filles se souviennent qu'il aimait leur raconter ses aventures parisiennes. Des histoires qui se rejoignent toutes en un point : un regard profondément bienveillant. Un regard qui serait précieux aujourd'hui, comme le souligne sa fille : « Je pense qu'en ce moment où la société est rude et où les rapports des gens sont violents, il aurait été content de représenter la liberté, la fraternité et l'égalité. Ce n'est pas un homme qui cherchait à représenter un message en particulier, mais il y a quand même un message de paix dans son travail. »La désobéissance, c'est la lutte contre l'autorité. Quand des gens représentant l'autorité, la force publique, vous disent 'circulez, il n'y a rien à voir', c'est là qu'il faut impérativement s'arrêter et regarder. C'est là qu'il se passe des choses. ► Une exposition à découvrir jusqu'au 12 octobre 2025 au musée Maillol. À lire aussiLe photographe franco-brésilien Sebastião Salgado est mort à l'âge de 81 ans

Reportage Culture
Le musée Maillol consacre au photographe Robert Doisneau sa plus grande rétrospective depuis 20 ans

Reportage Culture

Play Episode Listen Later May 31, 2025 3:21


L'exposition Instants données est à retrouver au musée Maillol, à Paris, une exposition touchante et exhaustive, réalisée en collaboration avec ses deux filles de Robert Doisneau, Annette et Francine, et la société belge Tempora. Au fil de 400 clichés, on redécouvre la capitale française à travers le regard du photographe, comme un souffle d'humanité en noir et blanc. « Le baiser de l'Hôtel de Ville »: deux amoureux s'embrassent devant une terrasse de café, à deux pas de l'Hôtel de Ville de Paris. C'est probablement cette photo qui vous vient en tête lorsque vous entendez le nom de Robert Doisneau, l'un des photographes les plus emblématiques du XXème siècle et du courant humaniste.Pendant plus de 50 ans, Robert Doisneau a arpenté les rues de Paris à la façon de celui qu'il aimait décrire comme « le patient passant » : celui qui attend des heures pour immortaliser ces instants de vie qui laissent les autres indifférents, jusqu'à ce que son appareil photo les rende éternels.Francine Deroudille, l'une des deux filles du photographe – qui a fondé avec sa sœur l'atelier Robert Doisneau , où sont conservées toutes ses photos – est aujourd'hui l'une des commissaires de cette exposition : « On a voulu montrer toute une séquence qui s'appelle "Gravité", où on voit les photos des gens à qui la vie n'a pas fait de cadeaux, explique-t-elle. Que ce soit les prostituées des halles ou des mineurs à Lens qui vivent dans des conditions épouvantables. Robert Doisneau a fait des photos qui peuvent être très dures, mais le regard qu'il porte sur les gens n'est jamais dur. »La solidarité : une valeur chère au cœur de Robert Doisneau. Une solidarité sans distinction, sans hiérarchie. C'est ce que l'on ressent en se baladant dans les allées du musée Maillol. Une exposition de plus de 400 photos, en noir et blanc la plupart du temps, qui représentent des enfants qui jouent dans les rues ou au pied de la tour Eiffel, des amoureux qui dansent un soir de 14 juillet, mais aussi les banlieues parisiennes. Des banlieues dans lesquelles il aimait passer son temps libre, il fut d'ailleurs l'un des premiers à les photographier : Les gens de la banlieue, peut-être parce que le décor sert de repoussoir, je les trouve très attendrissants. La jeunesse en banlieue prend une valeur, un caractère ... « De nos jours, les banlieues sont très photographiées, retrace Francine Deroudille. Au moment où il le faisait, ce n'était pas du tout [le cas]. Tous les objectifs s'étaient détournés de cette photographie sociale. Il va montrer des photographies qui vont pouvoir étayer un propos de révolte sociale. »Connu pour son côté provocateur, Robert Doisneau était aussi un grand conteur. Il n'aimait pas qu'on le réduise à un simple témoin du réel. Et pourtant, Doisneau c'est une histoire de rencontres et de récits de vie. Lorsqu'il rentrait chaque soir, ses filles se souviennent qu'il aimait leur raconter ses aventures parisiennes. Des histoires qui se rejoignent toutes en un point : un regard profondément bienveillant. Un regard qui serait précieux aujourd'hui, comme le souligne sa fille : « Je pense qu'en ce moment où la société est rude et où les rapports des gens sont violents, il aurait été content de représenter la liberté, la fraternité et l'égalité. Ce n'est pas un homme qui cherchait à représenter un message en particulier, mais il y a quand même un message de paix dans son travail. »La désobéissance, c'est la lutte contre l'autorité. Quand des gens représentant l'autorité, la force publique, vous disent 'circulez, il n'y a rien à voir', c'est là qu'il faut impérativement s'arrêter et regarder. C'est là qu'il se passe des choses. ► Une exposition à découvrir jusqu'au 12 octobre 2025 au musée Maillol. À lire aussiLe photographe franco-brésilien Sebastião Salgado est mort à l'âge de 81 ans

Les Nuits de France Culture
Robert Doisneau : "Je crois que la qualité d'un photographe doit être l'espoir du miracle contre toute logique"

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later May 9, 2025 29:55


durée : 00:29:55 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Dans "Agora", Robert Doisneau évoquait son premier appareil, ses années aux usines Renault. Il parlait du mouvement et de l'immobilité, du hasard, de l'attente, de la bonne distance du photographe, du noir et blanc, de la couleur... Il parlait de la photographie comme d'un art funéraire. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Robert Doisneau Photographe

Culture en direct
Critique expo : "Robert Doisneau, instants donnés", le musée Maillol fait revivre "le merveilleux dans Doisneau"

Culture en direct

Play Episode Listen Later May 8, 2025 15:41


durée : 00:15:41 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - À travers un choix de près de 400 photographies, le musée Maillol propose de (re)découvrir le photographe Robert Doisneau qui, à travers ses clichés du quotidien, livre un regard unique sur Paris et sur le monde. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Joseph Ghosn Directeur adjoint de la rédaction de Madame Figaro; Philippe Azoury Journaliste, critique et auteur

Culture en direct
Critique expo : "Robert Doisneau, instants donnés" et "Le Paris d'Agnès Varda, de-ci de-là"

Culture en direct

Play Episode Listen Later May 8, 2025 27:07


durée : 00:27:07 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Au programme du débat critique, deux expositions : "Robert Doisneau, instants donnés" au musée Maillol et "Le Paris d'Agnès Varda, de-ci de-là" au musée Carnavalet. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Philippe Azoury Journaliste, critique et auteur; Joseph Ghosn Directeur adjoint de la rédaction de Madame Figaro

Encore!
Robert Doisneau: Photographer behind one of the world's most romantic images honoured in Paris

Encore!

Play Episode Listen Later May 1, 2025 11:41


In this edition of arts24, we explore a major retrospective in Paris dedicated to legendary French photographer Robert Doisneau, best known for his iconic image "Le Baiser de l'Hôtel de Ville" ("The Kiss by the Hôtel de Ville"). The exhibition celebrates his poetic vision and timeless moments captured on film.

Advanced French
Advanced French 437 - World News, Opinion and Analysis in French

Advanced French

Play Episode Listen Later Apr 30, 2025 6:36


Tunisie : l'inquiétante dérive autoritaire du président Saïed Entre tristesse et frustration, l'Argentine pleure son pape Le succès mondial d'un chocolat déstabilise le marché de la pistache Attractivité économique : les investisseurs boudent la France Le photographe Robert Doisneau mis à l'honneur au Musée Maillol

SBS Portuguese - SBS em Português
O espanto nas fotografias de Doisneau

SBS Portuguese - SBS em Português

Play Episode Listen Later Apr 24, 2025 4:31


Robert Doisneau nunca – ao longo de 62 anos a fotografar (dos 20 aos 82) deitou fora uma película. Guardou tudo numa parte da moradia que comprou em Montrouge, nos arredores de Paris. E esse tudo são mais de 450 mil fotografias. 400 delas estão agora em exposição no Museu Maillol, em Paris.

RTL Matin
TOUT SAVOIR SUR - CULTURE - "Robert Doisneau, instants donnés" : que vaut l'expo sur ce photographe qui a su sublimer le quotidien ?

RTL Matin

Play Episode Listen Later Apr 18, 2025 13:28


Pour la première fois depuis 20 ans, le musée Maillol à Paris présente plus de 350 clichés de Robert Doisneau, un maître de la photographie. Intitulée "Robert Doisneau. Instants Donnés", cette rétrospective couvre 50 ans de son travail, incluant photos, objets et archives. L'exposition met en lumière la capacité du photographe à capturer l'extraordinaire dans le quotidien, pour le plus grand plaisir des visiteurs. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le journal RTL
TOUT SAVOIR SUR - CULTURE - "Robert Doisneau, instants donnés" : que vaut l'expo sur ce photographe qui a su sublimer le quotidien ?

Le journal RTL

Play Episode Listen Later Apr 18, 2025 13:28


Pour la première fois depuis 20 ans, le musée Maillol à Paris présente plus de 350 clichés de Robert Doisneau, un maître de la photographie. Intitulée "Robert Doisneau. Instants Donnés", cette rétrospective couvre 50 ans de son travail, incluant photos, objets et archives. L'exposition met en lumière la capacité du photographe à capturer l'extraordinaire dans le quotidien, pour le plus grand plaisir des visiteurs. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Focus
CULTURE - "Robert Doisneau, instants donnés" : que vaut l'expo sur ce photographe qui a su sublimer le quotidien ?

Focus

Play Episode Listen Later Apr 18, 2025 13:28


Pour la première fois depuis 20 ans, le musée Maillol à Paris présente plus de 350 clichés de Robert Doisneau, un maître de la photographie. Intitulée "Robert Doisneau. Instants Donnés", cette rétrospective couvre 50 ans de son travail, incluant photos, objets et archives. L'exposition met en lumière la capacité du photographe à capturer l'extraordinaire dans le quotidien, pour le plus grand plaisir des visiteurs. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Laissez-vous Tenter
EXPO - Rétrospective du photographe Robert Doisneau au musée Maillol

Laissez-vous Tenter

Play Episode Listen Later Apr 18, 2025 3:15


Le musée Maillol à Paris accueille une rétrospective exceptionnelle de Robert Doisneau, dévoilant plus de 350 clichés du célèbre photographe. Intitulée "Robert Doisneau. Instants Donnés", l'exposition explore 50 ans de l'œuvre de Doisneau, mettant en lumière sa capacité unique à capturer l'extraordinaire dans le quotidien. Ecoutez Laissez-vous tenter - Première avec Laurent Marsick du 18 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Laissez-vous Tenter
TOUT SAVOIR SUR - "Robert Doisneau, instants donnés" : que vaut l'expo sur ce photographe qui a su sublimer le quotidien ?

Laissez-vous Tenter

Play Episode Listen Later Apr 18, 2025 13:28


Pour la première fois depuis 20 ans, le musée Maillol à Paris présente plus de 350 clichés de Robert Doisneau, un maître de la photographie. Intitulée "Robert Doisneau. Instants Donnés", cette rétrospective couvre 50 ans de son travail, incluant photos, objets et archives. L'exposition met en lumière la capacité du photographe à capturer l'extraordinaire dans le quotidien, pour le plus grand plaisir des visiteurs. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

RTL Soir
TOUT SAVOIR SUR - CULTURE - "Robert Doisneau, instants donnés" : que vaut l'expo sur ce photographe qui a su sublimer le quotidien ?

RTL Soir

Play Episode Listen Later Apr 18, 2025 13:28


Pour la première fois depuis 20 ans, le musée Maillol à Paris présente plus de 350 clichés de Robert Doisneau, un maître de la photographie. Intitulée "Robert Doisneau. Instants Donnés", cette rétrospective couvre 50 ans de son travail, incluant photos, objets et archives. L'exposition met en lumière la capacité du photographe à capturer l'extraordinaire dans le quotidien, pour le plus grand plaisir des visiteurs. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

RTL Midi
TOUT SAVOIR SUR - CULTURE - "Robert Doisneau, instants donnés" : que vaut l'expo sur ce photographe qui a su sublimer le quotidien ?

RTL Midi

Play Episode Listen Later Apr 18, 2025 13:28


Pour la première fois depuis 20 ans, le musée Maillol à Paris présente plus de 350 clichés de Robert Doisneau, un maître de la photographie. Intitulée "Robert Doisneau. Instants Donnés", cette rétrospective couvre 50 ans de son travail, incluant photos, objets et archives. L'exposition met en lumière la capacité du photographe à capturer l'extraordinaire dans le quotidien, pour le plus grand plaisir des visiteurs. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Matin Première
Le Conseil supérieur de l'audiovisuel a présenté mardi son rapport annuel

Matin Première

Play Episode Listen Later Apr 16, 2025 7:08


L'actu culture-médias de ce mercredi 16 avril : À Paris, une vaste exposition retrace à partir de ce jeudi l'œuvre du photographe Robert Doisneau. Sarah Siré a été nommée directrice générale et artistique du Théâtre des Martyrs. Le Conseil supérieur de l'audiovisuel a présenté mardi son rapport annuel. Le premier volet de la saga ‘Star Wars'/'La Guerre des étoiles”, sorti en 1977 va ressortir dans sa version originale. Une version que le réalisateur George Lucas voulait bannir à tout jamais des écrans. Présenté par Nicolas Bogaerts. Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Vertigo - La 1ere
ACTU CULTURELLE

Vertigo - La 1ere

Play Episode Listen Later Apr 15, 2025 2:27


1. Le Vatican souhaite canoniser lʹarchitecte catalan Antoni Gaudi. 2. Plus de 350 photographies de Robert Doisneau exposées au musée Maillol. 3. Le dernier film du réalisateur Laurent Cantet, décédé en 2024, fera l'ouverture de la Quinzaine des cinéastes lors du 78e Festival de Cannes.

Du grain à moudre
Les jeunes sont-ils plus exposés que les autres aux fausses nouvelles ?

Du grain à moudre

Play Episode Listen Later Mar 21, 2025 39:43


durée : 00:39:43 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Les jeunes grandissent dans un monde saturé d'informations où les réseaux sociaux sont devenus une source majeure d'actualité. Sont-ils plus vulnérables aux fausses nouvelles ou, au contraire, mieux armés qu'on ne le pense ? - réalisation : François Richer - invités : Virginie Sassoon Enseignante à l'Institut français de presse, sociologue des médias, vice-présidente du Club XXIe siècle; Céline Beaury Journaliste indépendante, membre du collectif La Friche qui accompagne des processus de création documentaires collaboratifs et des projets d'éducation populaire aux médias. ; Zélie Santus Elève en première du lycée Jacques Prévert de Taverny (Val d'Oise).; Léna Saidani Elève en terminale du lycée Robert Doisneau de Corbeil-Essonnes (Essonne).

France Culture physique
Les jeunes sont-ils plus exposés que les autres aux fausses nouvelles ?

France Culture physique

Play Episode Listen Later Mar 21, 2025 39:43


durée : 00:39:43 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Les jeunes grandissent dans un monde saturé d'informations où les réseaux sociaux sont devenus une source majeure d'actualité. Sont-ils plus vulnérables aux fausses nouvelles ou, au contraire, mieux armés qu'on ne le pense ? - réalisation : François Richer - invités : Virginie Sassoon Enseignante à l'Institut français de presse, sociologue des médias, vice-présidente du Club XXIe siècle; Céline Beaury Journaliste indépendante, membre du collectif La Friche qui accompagne des processus de création documentaires collaboratifs et des projets d'éducation populaire aux médias. ; Zélie Santus Elève en première du lycée Jacques Prévert de Taverny (Val d'Oise).; Léna Saidani Elève en terminale du lycée Robert Doisneau de Corbeil-Essonnes (Essonne).

Panajou
#26 // Laurent Pidancet, Leica Akademie France Manager

Panajou

Play Episode Listen Later Dec 6, 2024 98:14


Laurent Pidancet, Leica Akademie France Manager : « Le plus important en photo, c'est l'instant décisif, le sujet, le cadre et l'intention. » Leica, à l'amour, à la vie, tel pourrait être le dicton de Laurent Pidancet, photographe passionné par la marque allemande pour laquelle il travaille depuis plus de 15 ans. Leica Akademie France Manager, Laurent Pidancet a une longue histoire d'amour avec Leica, lui qui a eu son premier M4 à l'âge de 19 ans. Déjà léger, résistant, solide, ce petit trésor photographique donne le ton voulu par la marque allemande, expert en optique, et partenaire de longue date de Panajou. L'épurien franc-comtois raconte son parcours. L'optique, à l'état pur avec Leica « Avec Leica, on est dans l'optique pure et même si on est passé au numérique, c'est l'optique qui fait l'image, qui écrit, qui fait le capteur, qui fait la lumière », ajoute le responsable de Leica Akademie. Laurent Pidancet s'attarde aussi sur l'importance de prendre son temps en photo à l'heure où tout va trop vite. Et d'affirmer qu'on peut le faire avec le numérique. Il cite le photoreporter Yann Morvan, féru Leicaiste, qui avait toujours son appareil Leica autour du cou mais qui ne prenait pas des photos tous les jours. Leica, inventeur indétrônable Laurent Pidancet évoque aussi l'histoire passionnante et riche de la marque allemande, experte en création de lentilles, et de ses gammes d'optiques. De 1923 avec le Leica 0 puis la première vraie commercialisation en 1925 avec le Leica 1 sans télémètre et sans objectif interchangeable . Sans oublier le Leicaflex, appareil de prédilection de Robert Doisneau et Salgado, qui a permis de regarder exactement ce que l'on allait prendre en photo, avec la conception de nouvelles optiques. Tout est raisonné chez Leica qui invente le meilleur pour votre œil et l'instant T car, de l'avis de l'expert Laurent Pidancet, « le plus important en photo, c'est l'instant décisif, le sujet, le cadre et l'intention. » Avec Leica, vous goûtez à la photo posée, tout est introspectif. Inutile de mitrailler et les Leica M, dont on fête les 70 ans de la monture M, permettent ce miracle : créer une image parfaite grâce à des optiques d'exception, en prenant le temps… Bienvenue chez Leica. Dévouvrir L'univers Leica sur Panajou.fr Retrouvez Laurent sur instagram Deftom ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠https://deftom.com/⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠ ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠https://www.youtube.com/@deftom⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠ ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Panajou.fr⁠⁠⁠⁠⁠⁠

il posto delle parole
Gabriel Bauret "Robert Doisneau. Trame di vita"

il posto delle parole

Play Episode Listen Later Oct 21, 2024 36:05


Gabriel Bauret"Robert Doisneau. Trame di vita"Mostra fotografica al Filatoio di Caraglio (Cuneo)Fino al 23 febbraio 2025Fondazione Arteawww.fondazioneartea.orgLa traduzione della conversazione è a cura di Manuela Vico - Alliance Française.La mostra Robert Doisneau. Trame di vita ripercorre l'opera di colui che è considerato, insieme a Cartier-Bresson, il padre fondatore della fotografia umanista francese e del fotogiornalismo di strada: oltre 100 immagini provenienti dalla collezione dell'Atelier Robert Doisneau esplorano mezzo secolo della sua ricchissima produzione, in un percorso che coniuga perfettamente la visione di un mondo quotidiano con l'espressione del meraviglioso.Ribelle, poetico, anticonformista, Doisneau nei suoi scatti racconta la Parigi della Liberazione e del Dopoguerra, le banlieue, i giochi dei bambini, i bistrot, ma anche la dura e complessa realtà del lavoro all'interno delle fabbriche. In perfetto dialogo con l'anima e con gli spazi dell'antico setificio che la ospitano, la mostra presenta, per la prima volta, alcuni scatti tratti dal reportage del 1945 sulla celebre manifattura di Aubusson che documentano il lavoro degli artigiani e le varie fasi della catena di produzione degli arazzi.Tra i capolavori esposti, anche Le baiser de l'Hôtel de Ville del 1950, il ritratto iconico di una giovane coppia intenta a baciarsi davanti al municipio di Parigi incurante della gente e del traffico che li circonda.Particolarmente significativa, in virtù dell'edificio che lo ospita – il Filatoio è uno dei più antichi setifici d'Europa, mirabile esempio di protoindustria – è una serie inedita di fotografie tratte dal reportage realizzato nel 1945 nella manifattura tessile di Aubusson, parte dell'area tematica dedicata al progetto con cui Doisneau documentò l'evoluzione del mondo produttivo nella sua Francia del Secondo Dopoguerra, testimoniando l'attività nelle fabbriche e le condizioni lavorative di quegli anni. L'itinerario di visita, aperto dal primo scatto realizzato a soli diciassette anni nel 1929, svelerà inoltre ai visitatori volti e luoghi delle periferie parigine, conducendo in quella dimensione a lui, residente nella banlieue di Montrouge, particolarmente cara: frammenti di vita quotidiana e gente di strada furono infatti il suo soggetto preferito, come in mostra evidenziano le foto nei bistrot, quelle di bambini che giocano o le scene dei momenti di festa e di innamorati, fra cui il celeberrimo scatto Baiser de l'hotel de ville.“Robert Doisneau. Trame di vita” è un progetto della Fondazione Artea, realizzato in collaborazione con l'Atelier Robert Doisneau il Comune di Caraglio, con la curatela di Gabriel Bauret e Chantal Bauret, è visitabile giovedì e venerdì dalle ore 15 alle 19, sabato, domenica e festivi, dalle ore 10 alle 19.Gabriel Bauret"Robert Doisneau. Il mondo del lavoro / Le monde du travail"Dario Cimorelli Editorewww.dariocimorellieditore.itSe c'è una parte dell'opera di Robert Doisneau (1912-1994) che non è quasi più necessario presentare, ce n'è un'altra meno conosciuta: quella degli anni prima e subito dopo la guerra, durante i quali Doisneau fu dapprima un dipendente della Renault prima di diventare indipendente e rispondere agli ordini di riviste politicamente impegnate. Il volume presenta in maniera accurata tre aspetti del mondo del lavoro grazie a tre reportage...IL POSTO DELLE PAROLEascoltare fa pensarewww.ilpostodelleparole.itDiventa un supporter di questo podcast: https://www.spreaker.com/podcast/il-posto-delle-parole--1487855/support.

Ces chansons qui font l'actu
La chanson des grands photographes

Ces chansons qui font l'actu

Play Episode Listen Later Oct 13, 2024 5:25


durée : 00:05:25 - Ces chansons qui font l'actu - par : Bertrand DICALE - Alors que le biopic de Lee Miller vient de sortir en France, un peu d'exploration dans la mémoire de notre musique populaire nous rappelle l'importance majeure du photographe Robert Doisneau.

Les Nuits de France Culture
Robert Doisneau : "Je crois que la qualité d'un photographe doit être l'espoir du miracle contre toute logique"

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later Aug 24, 2024 29:55


durée : 00:29:55 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Dans "Agora", Robert Doisneau évoquait son premier appareil, ses années aux usines Renault. Il parlait du mouvement et de l'immobilité, du hasard, de l'attente, de la bonne distance du photographe, du noir et blanc, de la couleur... Il parlait de la photographie comme d'un art funéraire. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Robert Doisneau Photographe

Les Nuits de France Culture
Robert Doisneau : "Je crois que la qualité d'un photographe doit être l'espoir du miracle contre toute logique"

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later Aug 24, 2024 29:59


durée : 00:29:59 - Les Nuits de France Culture - Dans "Agora", Robert Doisneau évoquait son premier appareil, ses années aux usines Renault. Il parlait du mouvement et de l'immobilité, du hasard, de l'attente, de la bonne distance du photographe, du noir et blanc, de la couleur... Il parlait de la photographie comme d'un art funéraire. - invités : Robert Doisneau Photographe

Les Nuits de France Culture
Robert Doisneau : "Jean Lurçat était fraternel, il créait un élan, il prenait des risques"

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later Jul 21, 2024 60:04


durée : 01:00:04 - Les Nuits de France Culture - On doit au peintre et créateur de tapisserie Jean Lurçat (1892-1966) la renaissance de la tapisserie française. En 1992, l'émission "Profils perdus" propose deux numéros dans lesquels cette personnalité hors du commun est racontée par ses proches, dont le photographe Robert Doisneau. - invités : Jean Lurçat Peintre, céramiste et créateur de tapisserie; Robert Doisneau Photographe; Ginette Raimbault Pédopsychiatre et psychanalyste

Apprends le français avec Madame à Paname (French)
S7 E12. Les Français adorent ce photographe (et tu dois le connaitre)

Apprends le français avec Madame à Paname (French)

Play Episode Listen Later Mar 22, 2024 29:52


Aujourd'hui, on parle du photographe préféré des Français : Robert Doisneau ! Vous le connaissez ? Saison 5 épisode : Paris, une photo légendaire ("Le baiser de l'Hôtel de Ville" - Robert Doisneau) : https://open.spotify.com/episode/0j6SdK5T8qtZ2vC0LWRQdb?si=NrYcnevKR2mcFIurVu_3hg Attention ! Il y a du vocabulaire nouveau dans cet épisode ! Devenez membre PODCAST PREMIUM : ⁠⁠https://french.madameapaname.com/⁠⁠ 

Le goût de M
#117 Le chef étoilé Pierre Gagnaire : « Enfant, j'avais les ailes coupées, je ne comprends pas comment j'ai pu m'en sortir »

Le goût de M

Play Episode Listen Later Feb 8, 2024 44:10


Le chef, âgé de 73 ans, qui dirige aujourd'hui une vingtaine d'établissements, dont trois à Paris, nous reçoit chez lui dans le 16e arrondissement à Paris.Pierre Gagnaire évoque une enfance contrariée à Apinac dans la Loire puis à Val-d'Isère auprès de parents restaurateurs. Très jeune, il s'intéresse au jazz et à la lecture. Il commence à travailler la cuisine sans aimer véritablement ce qu'il fait et reprend difficilement l'adresse de son père avant de se lancer seul. Il développe alors sa propre approche avec un souci du geste et la volonté de proposer une assiette généreuse et sincère. Et rencontre le succès. Il continue de se passionner pour de nouvelles saveurs et aborde la situation complexe des campagnes aujourd'hui, encourageant au dialogue entre des gens qui ne pensent pas pareil.Il revient longuement sur son amour de la photo. « J'ai pris le parti de collectionner des œuvres qui tournent autour de la table. C'est un univers où il n'y a pas tant de choses que ça. Chez les photographes, j'aime Sarah Moon, William Klein, Robert Doisneau – que j'ai rencontré –, Marc Riboud. »Depuis cinq saisons, la journaliste et productrice Géraldine Sarratia interroge la construction et les méandres du goût d'une personnalité. Qu'ils ou elles soient créateurs, artistes, cuisiniers ou intellectuels, tous convoquent leurs souvenirs d'enfance, tous évoquent la dimension sociale et culturelle de la construction d'un corpus de goûts, d'un ensemble de valeurs.Un podcast produit et présenté par Géraldine Sarratia (Genre idéal) préparé avec l'aide de Diane Lisarelli et Johanna SebanRéalisation : Emmanuel BauxMusique : Gotan Project

John Vargas Fotografia
Instantes Robados La Vida a través del Objetivo de Robert Doisneau

John Vargas Fotografia

Play Episode Listen Later Feb 5, 2024 11:35


Instantes Robados La Vida a través del Objetivo de Robert Doisneau Bienvenidos a un viaje fascinante a través de la vida y obra de Robert Doisneau! En este video, desentrañaremos los misterios de sus primeros años, su contexto histórico, y cómo forjó su camino en la fotografía. Prepárense para descubrir el legado único de este icónico fotógrafo francés. Robert Doisneau, nacido en Gentilly, Francia, el 14 de abril de 1912, fue un fotógrafo humanista que capturó la esencia de la vida cotidiana en la Francia de posguerra. Sus imágenes, llenas de humor, poesía y ternura, se convirtieron en íconos de la época y le ganaron un lugar entre los grandes maestros de la fotografía. Hashtags: #RobertDoisneau #Fotografía #Biografía #ArteVisual #HistoriaFotográfica #IconoFotográfico #Premios #EstiloFotográfico #Contribuciones #FotografíaMundial Undercover Vampire Policeman de Chris Zabriskie tiene una licencia Atribución 4.0 de Creative Commons. https://creativecommons.org/licenses/by/4.0/ Fuente: http://chriszabriskie.com/uvp/ Artista: http://chriszabriskie.com/ Para suscribirse al canal https://www.youtube.com/c/JhonVargasFotografia Mis Equipos Camara Sony Alpha A6000 Camara Sony Alpha A7RIII Flash Elinchrom D-Lite RX 4/4 Softbox 60 x 60 Exposimetro Sekonic L-308S-U Grabadora Zoom H4n Pro Microfono Audio Technica ATR3350iS Lavalier Micrófono de solapa Pagina WEB www.johnvargasfotografia.com Email info@johnvargasfotografia Celular 3005051036 Sígueme en mis redes Facebook https://www.facebook.com/johnvargasfotografo Instagram https://www.instagram.com/johnvargasfotografia/ Pinterest https://es.pinterest.com/Johnvargasfoto/pins/ 500px https://500px.com/jhonvargas Canal que Busca promover la fotografía como un elemento cultural y artístico. Ademas que el Publico conozca de este fascinante mundo de la Fotografia en Colombia y el mundo. Aquellas personas que deseen participar del Canal favor ponerse en contacto conmigo para hacer un mundo de mejores fotógrafos. --- Send in a voice message: https://podcasters.spotify.com/pod/show/john-vargas-foto/message

Fazit - Kultur vom Tage - Deutschlandfunk Kultur
"Kuss am Rathaus": Die Dame und das ikonische Paris-Foto von Robert Doisneau

Fazit - Kultur vom Tage - Deutschlandfunk Kultur

Play Episode Listen Later Jan 4, 2024 9:02


Leupold, Matthiaswww.deutschlandfunkkultur.de, Fazit

Fazit - Kultur vom Tage - Deutschlandfunk Kultur
"Kuss am Rathaus": Die Dame und das ikonische Paris-Foto von Robert Doisneau

Fazit - Kultur vom Tage - Deutschlandfunk Kultur

Play Episode Listen Later Jan 4, 2024 9:02


Leupold, Matthiaswww.deutschlandfunkkultur.de, Fazit

Le club de l'été
Découvrez la rétrospective qui tire le portrait de Robert Doisneau au Musée de la photographie de Nice

Le club de l'été

Play Episode Listen Later Dec 26, 2023 7:00


Chaque jour, deux chroniqueurs présentent les infos indispensables à connaître en matière de culture : les dernières actus musique, les sorties littéraires ou cinéma, les nouvelles pièces de théâtre et les séries à ne pas manquer… C'est ici !

Culture médias - Philippe Vandel
Découvrez la rétrospective qui tire le portrait de Robert Doisneau au Musée de la photographie de Nice

Culture médias - Philippe Vandel

Play Episode Listen Later Dec 26, 2023 7:02


Chaque jour, deux chroniqueurs présentent les infos indispensables à connaître en matière de culture : les dernières actus musique, les sorties littéraires ou cinéma, les nouvelles pièces de théâtre et les séries à ne pas manquer… C'est ici !

Littérature sans frontières
Jean Rouaud, écrire avant et après le prix Goncourt

Littérature sans frontières

Play Episode Listen Later Nov 3, 2023 29:00


Parution en 1990 des Champs d'honneur qui obtient le prix Goncourt. Suivent quatre livres qui constituent, avec le premier, le cycle du « Livre des morts ». Comédie d'automne termine le troisième cycle, intitulé « La vie poétique », qui retrace un parcours entièrement tourné vers l'écriture et son ancrage dans un moment donné de son histoire. Parallèlement, l'auteur a développé un autre cycle qu'il intitule « La pensée magique », qui mêle réflexion et récit. « Comédie d'automne constitue le sixième et dernier épisode de « La vie poétique ». Je travaillais au kiosque quand « le tournant de la rigueur » nous a précipités dans une course à l'argent. Parmi les habitués, se trouvait un homme d'une soixantaine d'années, Albert, dont j'appris au fil du temps qu'il était rentier, d'où son intérêt pour la seconde édition du Monde et des cours de la Bourse. Spécialiste de Stendhal, il sera mon premier lecteur, et un conseiller avisé. Il est un des trois personnages centraux du livre. Avec ma mère qui ne vit pas d'un bon œil la parution des Champs d'honneur, et encore moins l'attribution à son fils du prix Goncourt. Ce qui nous amène à cette « comédie d'automne ». On pourrait croire que le prix récompense le seul mérite d'un livre. Ô naïveté, les arcanes de l'édition ne fonctionnent pas sur des critères aussi élémentaires. C'est oublier les intérêts économiques, les rivalités, les ambitions, de sorte que les jurés du prix, dont la probité aux yeux de la presse était sujette à caution, furent très contents de pouvoir l'attribuer à un innocent n'ayant rien à voir avec le milieu, qui plus est auteur d'un livre paru aux très austères et vertueuses Éditions de Minuit. L'entreprise de blanchiment était parfaite. Le troisième personnage crucial, car c'est par lui que le livre existe, c'est l'éditeur. Moins détaché qu'il n'y paraît. Et le narrateur ? Tout d'abord spectateur, venant d'une époque où ce genre de prix était discrédité, il assiste depuis son kiosque à cet étrange ballet de journalistes, de curieux, de rumeurs, de caméras de télévision, sans se sentir vraiment concerné. Le moment venu, ce ne sera pas aussi simple. Mais c'est bien grâce à ce livre qu'il fit la connaissance de deux hommes merveilleux : Bernard Rapp et Robert Doisneau. Ensuite, ce n'est plus la même histoire. »J.R.Site de l'écrivain.BONUSÀ lire également : « Le Paris des Goncourt », de Robert Kopp."Ayant hérité de quelques rentes, Edmond et Jules de Goncout décident « de ne rien faire » et entrent en littérature par le journalisme. Dans L'éclair et Paris, ils veulent « chaque matin éveiller Paris » avec quelques nouvelles fraîches sur la vie des théâtres, des caf'conc, des restaurants courus. Faire le portrait des silhouettes à la mode, de la lorette, de la partageuse, de la lionne, de la grisette. Rapporter la rumeur de la rue. Ils parcourent sans cesse les rues de ce Paris qu'Haussmann transforme sous leurs yeux, pour prendre des notes. Ils font des portraits au vitriol de la bourgeoisie louis-philipparde, de la bohème littéraire du Second Empire, des lupanars… Et, tout au long de leur vie, ils tiendront un Journal, qui est à la République des lettres ce que sont les Mémoires de Saint-Simon à la cour de Versailles :  une dénonciation d'une rare méchanceté des intrigues de la ménagerie humaine, préfigurant les batailles du Prix qu'ils ont fondé." (Présentation des éditions Alexandrines)À lire également : "120 ans de Prix Goncourt" de Catherine Valenti et Jean-Yves Le Naour"L'année 2023 marque le 120e anniversaire du prix littéraire créé par Edmond de Goncourt par voie de testament : le premier prix Goncourt a en effet été attribué le 21 décembre 1903 à John-Antoine Nau pour son roman Force ennemie. Il paraissait donc pertinent de célébrer cet anniversaire par un ouvrage s'attachant à retracer l'histoire de ce prix qui s'est rapidement imposé comme le plus prestigieux et le plus convoité des prix littéraires français." (Présentation des éditions Omnibus/Perrin)

Les Nuits de France Culture
Robert Doisneau : "Jean Lurçat était fraternel, il créait un élan, il prenait des risques"

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later Sep 24, 2023 60:04


durée : 01:00:04 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - On doit au peintre et créateur de tapisserie Jean Lurçat (1892-1966) la renaissance de la tapisserie française. En 1992, l'émission "Profils perdus" propose deux numéros dans lesquels cette personnalité hors du commun est racontée par ses proches, dont le photographe Robert Doisneau. - invités : Jean Lurçat Peintre, céramiste et créateur de tapisserie; Robert Doisneau Photographe; Ginette Raimbault Pédopsychiatre et psychanalyste

Les Nuits de France Culture
Alexandre Chemetoff : "Je suis rentré dans la ville et dans l'architecture par la porte du paysage"

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later Jun 25, 2023 46:59


durée : 00:46:59 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En 2012, au micro de Laure Adler, Alexandre Chemetoff évoquait sa manière de penser et d'exercer son métier d'architecte, urbaniste et paysagiste. On y entendait également les voix de Francis Ponge et Agnès Varda. Chemetoff Père &Fils "Bon sang ne saurait mentir" ou "il a de qui tenir", serait-on tenté de dire à son sujet. Un grand-père paternel, qui comme lui s'appelait Alexandre Chemetoff, qui exerçait ses talents d'illustrateur sous le nom de Chem. Un grand-père maternel qui s'appelait Philippe Soupault**,** et un père, Paul Chemetov architecte et urbaniste, comme il le devint lui-même en ajoutant à ces deux qualités celle de paysagiste. Formé à l'École nationale supérieure d'horticulture de Versailles, Alexandre Chemetoff s'intéresse avant tout à l'identité des territoires, aux paysages. Installé sur un côteau de la Bièvre à Gentilly , dans ce paysage de banlieue, photographié par Robert Doisneau et décrit par Huysmans et Ronsard, l'architecte est sensible au tissage entre histoire et géographie. "Je suis rentré dans la ville et dans l'architecture par la porte du paysage. Il y a dans la culture du paysage, quelque chose qui rassemble tout en un seul lieu, comme si tout était réuni. Cette discipline-là elle est celle qui ne divise pas les choses mais qui parle de la façon dont elles interagissent les unes avec les autres. " L'architecte et urbaniste évoque ses réalisations à Bordeaux et Saint-Etienne, avec toujours l'idée d'un changement positif pour les habitants." Il y a une part de rêve ou de liberté qui est donnée très paradoxalement par une grande attention au lieu, comme si, en faisant un projet, c'est-à-dire en construisant quelque part, en transformant même radicalement un endroit, on apprenait du lieu dans lequel on construisait." Alexandre Chemetoff dit son admiration pour Francis Ponge que l'on entend, dans une archive de 1988, lire La Fenêtre. "Et ça pose assez justement la question du style, une question que l'on se pose quand on dessine un immeuble, une rue : comment faire ouvre d'une manière à la fois libre et retenue (...) de nature à créer une émotion. On voit bien que c'est très compliqué. Cela suppose une forme d'élan et de retenue en même temps (...) Francis Ponge représente pour moi très exactement ce qui m'intéresse, ce que j'admire chez lui, c'est à dire cette manière de se saisir d'une certaine forme de banalité (.) et en même temps d'arriver à faire que cette banalité devienne véritablement de l'art. Dans une archive du 29 juin 1998, Agnès Varda racontait avec humour ses contradictions : vivre entre le bonheur de l'instant présent et une mélancolie chronique. Elle disait son besoin de capter "la matière et la texture de la vie" dans ses films. Une perception du monde qu'Alexandre Chemetoff partage : " Je me reconnaissais dans cette façon de parler de la réalité. La difficulté à la saisir et cette façon de jouer avec le réel, d'une façon assez libre, effectivement un peu comme un chat, qui est dehors et dedans, comme elle le dit si bien." Ecouter l'intégralité des archives de la Nuit rêvée de Caroline Champetier Par Laure Adler  Réalisation Didier Lagarde et Brigitte Bouvier Hors champs - Alexandre Chemetoff (1ère diffusion : 09/10/2012) Indexation web : Véronique Vecten, Documentation Sonore de Radio France

Ancestral Findings (Genealogy Gold Podcast)
AF-746: Robert Doisneau: The Great Artists

Ancestral Findings (Genealogy Gold Podcast)

Play Episode Listen Later Apr 27, 2023 8:16


Robert Doisneau is an artist who sought to portray life as he wanted it to be. Learn more about his history and philosophies that went into his art here! Podcast Notes: https://ancestralfindings.com/robert-doisneau-the-great-artists   #Genealogy #AncestralFindings #GenealogyClips  

The Object
48: Bonus episode: When a Kiss is Just a Kiss

The Object

Play Episode Listen Later Feb 6, 2023 17:37


In 1950, Robert Doisneau takes one of the most iconic photographs of Paris—a young couple kissing on the street—that eventually becomes a global symbol of romance, spontaneity, joie de vivre. But the real story is only now coming to light, a story about the world as it is and the world as we wish it to be. You can see the photograph in question here, in the collection of the Minneapolis Institute of Art, but be sure to listen before you buy a ticket to Paris: https://collections.artsmia.org/art/11815/le-baiser-du-trottoir-robert-doisneau

Apprends le français avec Madame à Paname (French)
S5 E04. Paris, une photo légendaire !

Apprends le français avec Madame à Paname (French)

Play Episode Listen Later Jan 27, 2023 28:57


Aujourd'hui, je vous parle du "Baiser de l'Hôtel de Ville", la célèbre photo de Robert Doisneau. Découvrez la photo ici et écoutez l'épisode pour découvrir son histoire insolite ! https://media.timeout.com/images/103443148/1536/864/image.jpg

Epistolar
Carta de amor de Enzia Verduchi (Lee María Merlino)

Epistolar

Play Episode Listen Later Jul 13, 2022 8:14


Enzia Verduchi es editora, periodista y poeta. Nació en Italia, pero cuando tenía sólo cuatro años su familia se mudó a México. Y se siente, lo dijo en varias entrevistas, una escritora mexicana. Sus poemas fueron traducidos al inglés, francés, hindi y polaco, entre otras lenguas. Uno de sus libros se llama “Cartas de usurpación”, que pese al nombre no es un libro epistolar sino un bellísimo poemario. Para el episodio de hoy elegimos, por supuesto, una carta. Aquí Enzia deja la poesía, el género que mejor maneja, para escribir, simplemente, una carta de amor. Para acercarse a la maravilla del beso, el silencio, los abrazos cruciales y escribir las formas en las que, punto a punto, se va tejiendo la complicidad entre dos. Lee la actriz María Merlino. *** Urbi: Esta mañana regué las plantas de la casa, observé cómo en algunas macetas han brotado hojitas minúsculas que alegre y desesperadamente buscan la luz. Como un milagro, las violetas florecen en invierno. Luego, a sorbitos, empecé a tomar el café y recordé que me esperaban cuartillas por corregir. Tomé el plumín rojo. Mi intención era retomar la cotidianidad, ser la persona de hace un mes, inútil. Soy como las violetas en medio del frío, tras la ventana, los botones asoman lentamente a través de los días y despuntan en tonalidades cárdenas, rosas y granas. Con el plumín en una mano y un cigarro en la otra, empecé a leer, a revisar las trescientas y tantas planas… ¿Sabías que el cuerpo humano aproximadamente tiene 650 músculos?, ¿y en un beso se utilizan sólo 34? Por supuesto me refiero a esos besos con los que te sube la presión sanguínea y el pulso se acelera a 150 pulsaciones, eso es lo que indica el libro de fisiología que estoy revisando. El músculo orbicularis oris es el más importante para besar. Pienso en el póster de “El beso” de Robert Doisneau que tenemos colgado en la habitación. Doisneau retrató la perfecta utilización de 34 músculos, inmortalizó el orbicularis oris. Hace unos años me enteré que fue una puesta en escena del fotógrafo para la revista America's Life, esa imagen es tan bella que qué importa. Deberíamos tener esa imagen en nuestras casas, en la oficina o llevarla en la cartera. Con el tiempo las parejas se besan menos y, sin embargo, gente que apenas conoces te orilla instintivamente para que la beses en la mejilla. Es una convención social que no entiendo. El beso es el inicio de todo, el principio de la intimidad y el deseo, cuando buscas con apremio rozar los labios y la piel del otro. El beso lleva a la caricia. ¿Te besé en la mejilla cuando nos conocimos? Estoy casi segura que no. Sabemos que la capacidad de la memoria es relativa, que tus cien mil millones de neuronas y cien billones de interconexiones pueden disentir o conciliar con las mías sobre un momento preciso, una misma experiencia compartida. La certeza es que hemos sido amigos de tantas maneras, hemos reído, guardado silencio y abrazado en momentos cruciales. Es extraño pero la vida nos une en momentos decisivos, con naturalidad volvemos a una conversación donde la última frase se verbalizó unos años antes, volvemos, quizá con distinta madurez, bordando nuestra complicidad. Quisiera recordar todo tal cual sucedió-sucede, Urbi, persistir en la premura del primer beso, la suavidad de la primera caricia. El olor de tu nuca en la funda de la almohada, el modo de tomar la taza del café, las maneras de acomodarte en el sillón cuando lees, esa forma peculiar de decirme: “Ven…”. Mientras escribo esta carta, me percato nuevamente de que las violetas han floreado en invierno sin evocar la alegoría de la primavera y no por ello el color de sus pétalos son menos intensos y su forma perfecta. Mientras escribo, escucho tu llave girar en la cerradura, me percato que amo al que conocí, amo al que estoy conociendo y entra en la casa. Enzia