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Dans le cadre des conférences du jeudi de l'UTL-TB, Françoise COSTE, spécialiste des Etats-Unis, nous présente le BILAN ACTUEL DE LA PRÉSIDENCE TRUMP.Un incident technique nous prive des premières minutes de cette conférence.Dans quinze jours, Françoise Coste nous parlera de l'Amérique de Trump, du trumpisme.Consultez la page des PODCASTS de l'UTL-TB : https://www.utl-tb.info/page/2238064-rubriques-radioHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, la reprise se confirme : la demande de logement a augmenté de 20 % sur un an au mois de septembre. Yann Jéhanno, président du réseau des agences immobilières Laforêt, nous décrypte les raisons de cette remontée relativement homogène sur l'ensemble du territoire. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'équipe de Court N°1 débat autour du tennis actuel qui manque de saveur. Le sport à la petite balle jaune est-il devenu ennuyeux ? Un circuit sans relief et une certaine lassitude se font ressentir. Alcaraz et Sinner tuent-ils la concurrence ? Le tennis perd-il son attrait ? Où sont les stars charismatiques ? Débat avec Anthony Rech, Eric Salliot et Florent Serra.
durée : 00:07:34 - L'invité de 6h20 - par : Mathilde MUNOS - Alors qu'une nouvelle vague de Covid se confirme, la prochaine campagne de vaccination n'a pas encore commencé. Anne-Claude Crémieux, infectiologue à l'hôpital Saint-Louis à Paris et présidente de la commission technique des vaccinations de la Haute Autorité de Santé, est notre invitée à 6h20. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Invité : -Dominique Rizet, pour le livre L'affaire Jubillar, un crime parfait ? aux éditions Fayard Chroniqueurs : -Fabien Onteniente -Sarah Saldmann -Gauthier Le Bret -Éric Revel Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La deuxième heure en intégralité de l'émission « Rothen s'enflamme », le rendez-vous qui vous plonge dans un vestiaire de foot. Tous les soirs, des anciens joueurs professionnels analysent et débattent autour de l'actualité du foot. Jérôme Rothen anime des
Dans cet épisode exceptionnel, Marc Auburn, auteur de 0,001% – L'expérience de la réalité, nous livre un regard unique, dérangeant et lucide sur le monde actuel. Il affirme être d'origine reptilienne. Et aujourd'hui, il vient briser la loi du silence. Dans un contexte mondial troublé, marqué par des tensions géopolitiques, des manipulations médiatiques et un chaos grandissant, nous explorons des questions essentielles : Que voit un être non humain dans notre société humaine ? Quels sont les agendas cachés derrière les événements que nous vivons ? L'humanité est-elle encore libre de ses choix ? Et surtout… que veut dire être humain, vu de l'extérieur ? Marc Auburn partage ici sa vision profonde, critique et sans filtre : une plongée au cœur du réel… et de l'invisible.
ITSS et contraception: sommes-nous trop moralisateurs? Entrevue avec Laurence Desjardins, sexologue qui a travaillé pendant 10 ans à la Clinique médicale l’Actuel. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
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RO 051 25, c'est le numéro du copieux dossier sur lequel les juges de la haute cour militaire du palais de justice de la Gombe vont devoir se pencher. « Une étape judiciaire inédite », raconte le site d'informations Les volcans news, fruit d'une procédure enclenchée par le parquet général militaire après la levée de son immunité parlementaire par le Sénat en mai dernier. Car Kabila est sénateur à vie, un titre qui lui permettait de passer entre les gouttes de la justice jusqu'à ce que le pouvoir en place en décide autrement et que ses collègues sénateurs ne votent en ce sens. Les chefs d'accusation font froid dans le dos : « les plus lourds jamais instruits contre une ancienne figure présidentielle en RDC », poursuit le site d'information Les volcans news, participation à un mouvement insurrectionnel, des crimes de guerre, des crimes contre l'humanité, de la trahison, de l'apologie d'actes criminels, du viol, de la torture, de l'homicide volontaire ou encore de la déportation. Alors que reproche-t-on exactement à l'ancien chef d'État ? « Un soutien présumé à la rébellion de l'Alliance fleuve congo/M23 », détaille la radio congolaise Ouragan et de poursuivre, « le parquet militaire l'accuse de trahison pour avoir entretenu des intelligences avec une puissance étrangère, en l'occurrence le Rwanda ». Celui qui est resté au pouvoir pendant deux décennies se voit désormais accusé d'avoir voulu aider une puissance étrangère à renverser le pouvoir de Kinshasa. « Rien n'indique toutefois que Kabila qui ne s'est pas présenté devant le Sénat lors de la levée de son immunité parlementaire sera présent à son procès », tempère EcoNews RDC. Un procès qui s'inscrit selon le site d'information dans la stratégie affichée du président Tshisekedi de déboulonner le système de son prédécesseur, une promesse électorale désormais concrétisée. Kabila une variable d'ajustement dans les négociations en cours à Doha ? « Il sera pris en charge par l'accord de paix négocié directement entre ses hommes et nous. Nous ne pensons pas lui réserver de traitement particulier », détaille Jacquemain Shabani, vice premier ministre et ministre de l'Intérieur, dans les colonnes de Jeune Afrique. « Ses hommes ? Ce sont ceux de la rébellion AFC/M23 », affirme Jacquemain Shabani. Sur la toile, poursuit EcoNews RDC, les partisans dénoncent le martyr que vit leur leader : « effacer un homme comme Joseph Kabila de la scène publique ne peut se faire ni par la force ni par la manipulation de la justice ». La fin d'une ère conclut le site d'actualité. Reste à savoir si elle ouvre la voie à une démocratie apaisée ou à de nouvelles tensions. À lire aussiRDC: le procès de l'ex-président Joseph Kabila s'ouvre devant la Haute Cour militaire À Madagascar, pas encore de procès, mais une enquête qui permet de lever le voile sur les circonstances de la mort de 32 personnes lors d'une fête d'anniversaire à Ambohimalaza juin dernier. Mais la scène avait tout l'air d'un réquisitoire sur les télévisions malgaches hier soir. Andry Rajoelina avait convoqué ministres, procureurs et représentants de la gendarmerie pour une émission diffusée en direct sur la télévision d'État. Plusieurs heures durant lesquelles, « le secret de l'enquête a été largement dépassé pour laisser place à l'épreuve des faits », décrit L'Express de Madagascar. Et dès le début, le président de la République veut jouer carte sur table : « l'État ne couvre personne dans cette affaire », a-t-il lancé, rapporte le site d'informations AA. Première révélation. La substance toxique utilisée pour empoisonner les victimes est l'atropine, principe actif contenu dans le datura et la belladone. « Deux fleurs présentes à Madagascar », poursuit L'Express. « L'état a défendu sans équivoque la thèse de l'empoisonnement », précise Midi Madagasikara car selon le ministre de la Santé publique, Zely Arivelo Randriamanantany, les autopsies réalisées sur les victimes montrent des symptômes qui ne collent pas avec la thèse du botulisme. Des atteintes au rein, au cœur et au foie qui ne peuvent pas avoir été causées par cette infection. Reste que selon les révélations de RFI, les analyses effectuées par l'institut de médecine légale de Strasbourg n'ont pas pu confirmer la cause des décès. Autres éléments mis en avant lors de ce moment de télévision judiciaire, la principale accusée est passée aux aveux selon le général Andriantsarafara Rakotondrazaka, ministre délégué à la Gendarmerie nationale qui évoque un acte de vengeance en raison d'une dispute familiale. « Des conversations téléphoniques et des SMS compromettants ont été découverts durant l'enquête », précise L'Express de Madagascar. Huit personnes sont sur les bancs des accusés dans cette affaire. Cinq en contrôle judiciaire et trois femmes en détention dont la suspecte principale. À lire aussiMadagascar: des sources médicales contestent l'empoisonnement défendu par les autorités lors du drame d'Ambohimalaza
RO 051 25, c'est le numéro du copieux dossier sur lequel les juges de la haute cour militaire du palais de justice de la Gombe vont devoir se pencher. « Une étape judiciaire inédite », raconte le site d'informations Les volcans news, fruit d'une procédure enclenchée par le parquet général militaire après la levée de son immunité parlementaire par le Sénat en mai dernier. Car Kabila est sénateur à vie, un titre qui lui permettait de passer entre les gouttes de la justice jusqu'à ce que le pouvoir en place en décide autrement et que ses collègues sénateurs ne votent en ce sens. Les chefs d'accusation font froid dans le dos : « les plus lourds jamais instruits contre une ancienne figure présidentielle en RDC », poursuit le site d'information Les volcans news, participation à un mouvement insurrectionnel, des crimes de guerre, des crimes contre l'humanité, de la trahison, de l'apologie d'actes criminels, du viol, de la torture, de l'homicide volontaire ou encore de la déportation. Alors que reproche-t-on exactement à l'ancien chef d'État ? « Un soutien présumé à la rébellion de l'Alliance fleuve congo/M23 », détaille la radio congolaise Ouragan et de poursuivre, « le parquet militaire l'accuse de trahison pour avoir entretenu des intelligences avec une puissance étrangère, en l'occurrence le Rwanda ». Celui qui est resté au pouvoir pendant deux décennies se voit désormais accusé d'avoir voulu aider une puissance étrangère à renverser le pouvoir de Kinshasa. « Rien n'indique toutefois que Kabila qui ne s'est pas présenté devant le Sénat lors de la levée de son immunité parlementaire sera présent à son procès », tempère EcoNews RDC. Un procès qui s'inscrit selon le site d'information dans la stratégie affichée du président Tshisekedi de déboulonner le système de son prédécesseur, une promesse électorale désormais concrétisée. Kabila une variable d'ajustement dans les négociations en cours à Doha ? « Il sera pris en charge par l'accord de paix négocié directement entre ses hommes et nous. Nous ne pensons pas lui réserver de traitement particulier », détaille Jacquemain Shabani, vice premier ministre et ministre de l'Intérieur, dans les colonnes de Jeune Afrique. « Ses hommes ? Ce sont ceux de la rébellion AFC/M23 », affirme Jacquemain Shabani. Sur la toile, poursuit EcoNews RDC, les partisans dénoncent le martyr que vit leur leader : « effacer un homme comme Joseph Kabila de la scène publique ne peut se faire ni par la force ni par la manipulation de la justice ». La fin d'une ère conclut le site d'actualité. Reste à savoir si elle ouvre la voie à une démocratie apaisée ou à de nouvelles tensions. À lire aussiRDC: le procès de l'ex-président Joseph Kabila s'ouvre devant la Haute Cour militaire À Madagascar, pas encore de procès, mais une enquête qui permet de lever le voile sur les circonstances de la mort de 32 personnes lors d'une fête d'anniversaire à Ambohimalaza juin dernier. Mais la scène avait tout l'air d'un réquisitoire sur les télévisions malgaches hier soir. Andry Rajoelina avait convoqué ministres, procureurs et représentants de la gendarmerie pour une émission diffusée en direct sur la télévision d'État. Plusieurs heures durant lesquelles, « le secret de l'enquête a été largement dépassé pour laisser place à l'épreuve des faits », décrit L'Express de Madagascar. Et dès le début, le président de la République veut jouer carte sur table : « l'État ne couvre personne dans cette affaire », a-t-il lancé, rapporte le site d'informations AA. Première révélation. La substance toxique utilisée pour empoisonner les victimes est l'atropine, principe actif contenu dans le datura et la belladone. « Deux fleurs présentes à Madagascar », poursuit L'Express. « L'état a défendu sans équivoque la thèse de l'empoisonnement », précise Midi Madagasikara car selon le ministre de la Santé publique, Zely Arivelo Randriamanantany, les autopsies réalisées sur les victimes montrent des symptômes qui ne collent pas avec la thèse du botulisme. Des atteintes au rein, au cœur et au foie qui ne peuvent pas avoir été causées par cette infection. Reste que selon les révélations de RFI, les analyses effectuées par l'institut de médecine légale de Strasbourg n'ont pas pu confirmer la cause des décès. Autres éléments mis en avant lors de ce moment de télévision judiciaire, la principale accusée est passée aux aveux selon le général Andriantsarafara Rakotondrazaka, ministre délégué à la Gendarmerie nationale qui évoque un acte de vengeance en raison d'une dispute familiale. « Des conversations téléphoniques et des SMS compromettants ont été découverts durant l'enquête », précise L'Express de Madagascar. Huit personnes sont sur les bancs des accusés dans cette affaire. Cinq en contrôle judiciaire et trois femmes en détention dont la suspecte principale. À lire aussiMadagascar: des sources médicales contestent l'empoisonnement défendu par les autorités lors du drame d'Ambohimalaza
Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Pascal Praud et ses invités débattent de la canicule et des mots du président à ce sujet.Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Séverin Lüthi a connu la période dorée du tennis suisse avec notamment les vingt titres en Grand Chelem de Roger Federer, les trois de Stan Wawrinka et la victoire en finale de la Coupe Davis en 2014 à Lille. Miguel Bao l'a rencontré, en marge du tournoi de Wimbledon, pour évoquer avec lui l'état de santé du tennis suisse actuel et l'évolution du rôle d'entraîneur.
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durée : 00:24:07 - 8h30 franceinfo - Le climatologue Christophe Cassou et le maire de Bures-sur-Yvette Jean-François Vigier étaient les invités du "8h30 francenfo", vendredi 20 juin 2025. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Send us a textVoici mon épisode solo un peu tardif du printemps 2025.Ça fait plusieurs semaines que j'attendais de démystifier et concrétiser mon diagnostique de double facsite plantaire.Le voici et le voila.Beaucoup de potins en rafale pour les fans et crinqués du podcast!Merci pour les bons mots!C'est tellement précieux pour moi!Bonne écoute!Bon 10e anniversaire de Gaspésia et bon Marathon de Mégantic!
Nous avons parfois l'impression que le climat actuel est anxiogène. Les crises se succèdent et nous ne savons plus comment y répondre. Dans cette épisode, Joan et Stéphane prennent le temps de réfléchisse sur l'état de notre monde et explorent différentes avenues qui nous sont offertes pour demeurer sain d'esprit. Site internet: https://questiondecroire.podbean.com/ ApplePodcast: https://podcasts.apple.com/us/podcast/question-de-croire/id1646685250 Spotify: https://open.spotify.com/show/4Xurt2du9A576owf0mIFSj Contactez-nous: questiondecroire@gmail.com Notre commanditaire: L'Église Unie du Canada Moncredo.org * Musique de Lesfm, pixabay.com. Utilisée avec permission. * Photo de Sander Sammy, unsplash.com. Utilisée avec permission. Bonjour, bienvenue à Question de croire, un podcast qui aborde la foi et la spiritualité, une question à la fois. Cette semaine, comment survivre dans le climat actuel? La tentation d'offrir des trucs pour survivre aux crises actuelles Un jour, quand mes trois enfants étaient toutes petites, la période la plus épuisante de ma vie, (et d'ailleurs je fais un clin d'œil à toutes celles et ceux qui se retrouvent dans cette situation maintenant), je m'en étais ouverte à un prof de la fac de théologie que je connaissais. Il était du côté catholique, mais on était ensemble dans plusieurs projets de réflexion théologique œcuménique. Il m'avait donné un précieux conseil. Écoute bien Stéphane, ça peut te servir. Il était allé en retraite spirituelle dans je ne sais quel monastère formidable, sûrement avec une très belle vue et puis régulièrement des offices. Il m'avait expliqué qu'il était un peu pressé par les différentes tâches académiques et les problèmes liés à sa paroisse, parce qu'il était aussi prêtre en paroisse. Et puis, tiens-toi bien, une de ces personnes consacrées dans la vie du monastère lui avait donné le truc et astuce suivant : « quand je mange, je mange, quand je marche, je marche, quand je lis, je lis ». Il lui avait donc conseillé de ne faire qu'une chose à la fois et de la faire bien et en pleine conscience. Alors, un peu épatée, j'avais regardé ce monsieur de plus de 45 ans, célibataire, prêtre, prof de fac, qui me disait ça à moi. Et j'avais dit, écoute : quand je mange, je donne à manger à quelqu'un. Quand je marche, je pousse une poussette et je tiens quelqu'un d'autre par la main. Quand je parle au téléphone, une autre personne m'interrompt tout le temps et me parle constamment. Et quand je dors, quelqu'un décide de ne pas dormir et donc je ne dors plus. C'est un petit peu la même chose maintenant; il y a un climat particulièrement difficile et des fois quand je scrolle sur Instagram ou autre et que je vois des tas d'astuces : mettre les jambes contre le mur, faire de la méditation et tout, je repense à ces bons conseils qu'on peut donner aux gens pour aller bien, alors que c'est le chaos total autour d'eux. Les crises qui prennent trop de place dans nos vies Oui, je trouve qu'il y a une certaine sagesse dans le conseil que tu as donné dans le sens d'essayer de ne pas trop se faire envahir et que le contexte actuel prenne toute la place dans nos vies. Mais en réalité, c'est difficile parce que le climat actuel a des répercussions partout dans tout ce qu'on fait. Au moment où on enregistre cet épisode, nous sommes au Canada dans cette crise avec les tarifs d'importation exportation avec les États-Unis. Les États-Unis sont quand même le premier partenaire commercial du Canada. On peut dire, bon, c'est une crise, les marchés fluctuent et tout et tout, mais ça a des répercussions à l'épicerie. Il y a des gens qui sont soit à la retraite ou qui planifient leur retraite. Toutes ces variations de marché, ça a un impact réel. Il y a des gens qui perdent leur emploi. Donc, c'est facile de dire ah, j'élimine ça dans ma tête, je me concentre sur moi-même et ma petite chose. Mais c'est difficile de dire ça à quelqu'un qui a peur de perdre son emploi, qui se demande comment il-elle va faire pour nourrir ses trois enfants. Ça peut être très envahissant, ça peut être très angoissant. Et on en parle un peu, mais on a très peu de choses à offrir pour aider ces personnes-là. Que peut faire l'Église dans le climat actuel Finalement, nous, d'un point de vue de l'Église, d'un point de vue des religions, comme tu dis, qu'est-ce qu'on a à offrir ? C'est vrai que j'étais assez surprise la première fois qu'une stagiaire avec laquelle j'ai parlé il y a quelques années, une stagiaire que j'avais dans mon staff dans une Église à Strasbourg, m'a parlé très franchement de ses problèmes de santé mentale. Et c'était un peu la première fois dans un contexte d'Église en France; elle venait un petit peu de l'extérieur puisqu'elle faisait un stage plutôt orienté, je ne me rappelle plus très bien, mais c'était un peu secrétariat ou quelque chose comme ça. Elle en parlait super librement, là où finalement c'était très, très, très rare dans mon milieu d'Église d'origine qu'on parle de santé mentale. D'ailleurs, on a consacré tout un épisode avec l'ami Olivier sur ces questions-là. D'un autre côté, ces derniers temps, je me suis rendu compte qu'il y a beaucoup de bon dans le fait de pouvoir poser des diagnostics, quelque chose qui permet aux gens de comprendre certaines de leurs réactions, certaines de leurs pseudo-inadéquations avec les situations. En même temps, je me demande si, par certains aspects, ça ne nous rajoute pas un poids supplémentaire, dans le sens où on se dit « bon, moi j'ai eu le diagnostic de ci ou ça, ou bien moi je me sens comme ceci, et donc je n'arriverai pas à faire ça, ou ce n'est pas pour les gens comme moi, ou alors si on aménage, je ne sais pas, je n'y arriverai pas ». Avant, on avait un peu cette espèce d'utopie qu'avec un peu de bonne volonté, on arrivait à tout faire. Et maintenant, on est presque parti dans l'autre sens, on se dit que tout est devenu si compliqué qu'on ne va probablement pas réussir à le faire. Et ça, c'est quelque chose qui m'inquiète aussi par bout. Du coup, en Église, je trouve que ce qui pourrait devenir de plus en plus notre force, c'est d'être accessible à tous et à toutes, d'avoir des activités qui peuvent parler à un maximum de personnes, avoir des lieux où tu peux choisir ou de parler ou de te taire, de t'asseoir sur un banc ou de t'allonger sur un banc. On pourrait finalement développer encore plus le fait qu'on peut être des lieux de refuge, qu'on peut être des sanctuaires dans lesquels peuvent se vivre un certain nombre de choses et d'interactions, peu importe finalement nos besoins, nos spécificités, nos diagnostics. J'espère que comme ça, on arrivera à contribuer à quelque chose d'un peu plus sain dans le climat actuel. Je me rappelle que finalement, Jésus avait des fois un petit comportement autistique, si on y pense un peu. Après, je ne veux pas faire un diagnostic sauvage sur Jésus, mais quand d'un seul coup il disait aux uns et aux autres « j'en peux plus, je suis sursaturé d'informations, je vais me mettre là-bas, là-bas, où on me fout la paix ». Quand il prend cette décision ultra radicale d'aller au désert, on sent vraiment qu'il est en surstimulation et qu'il a besoin qu'on lui foute la paix, qu'on lui laisse un grand espace devant lui. Dans nos sociétés, on a de plus en plus de mal à couper. Je suis la première à être sur les réseaux sociaux, je suis la première à m'intéresser à plein de choses. Récemment, j'ai vu un documentaire qui rapportait que certains jeunes passent jusqu'à 12 heures par jour sur les réseaux sociaux; 12 heures ! Peut-être que mes filles en font un peu partie, j'espère que non. Alors bien sûr, il y a aussi les gamers qui font quand même aussi des trucs d'interaction sociale. Ce n'est pas juste scroller. Il y a toutes sortes de façons d'être sur Internet ou les réseaux sociaux. Il n'y en a pas qui sont meilleures ou moins bonnes, il y a juste différentes façons d'y être. Et quelles sont nos possibilités de nous couper un peu de toute cette agitation du monde? Moi, j'ai tendance à espérer que dans les Églises, on cultive ce genre de choses. J'ai beaucoup d'admiration pour mes collègues qui partent trois, quatre, dix heures en forêt avec des enfants, avec des jeunes, avec des adultes et qui leur proposent de couper. Il me semble que c'est ce qu'on a à offrir. Prendre soin de soi Certaines personnes s'attendent à ce que les Églises soient ce lieu de résistance au climat actuel. Oui, peut-être. Mais en même temps, un peu comme tu l'as soulevé, il faut prendre soin de soi. L'exemple que j'utilise souvent, c'est ce qu'on appelle ici les aidants naturels; ces personnes qui prennent soin de parents âgés ou d'enfants qui ont des problèmes spécifiques, ce qu'ils font par amour, mais ça demande beaucoup de temps, ça demande beaucoup d'énergie. Et on leur dit : si vous vous épuisez, on n'aura pas seulement entre guillemets un problème, mais deux problèmes. On va avoir une personne en perte d'autonomie et une autre personne en épuisement. Donc, il faut faire attention à soi pour ne pas se brûler. Et c'est vrai qu'on est constamment confronté à des problèmes qui semblent immenses, qui semblent trop gros pour nous, ça peut être décourageant. On peut se demander, mais moi, je ne suis qu'une seule personne. Comment puis-je changer la façon dont les systèmes internationaux fonctionnent? Peut-être une façon, c'est de revenir à soi, un peu comme tu dis. J'ai arrêté d'écouter les téléjournaux parce que c'était trop difficile émotivement, et arrêté d'avoir des conversations avec des gens qui ne sont pas là pour échanger, mais pour débattre et gagner un argument, des gens, ce que j'appelle, endoctrinés. Souvent on dit, ah, il faut garder les canaux de communication ouverts avec les gens différents. Peut-être, mais est-ce qu'on est vraiment obligé d'être en contact avec des gens nocifs, des gens toxiques, des gens qui ne veulent rien savoir de nos points de vue qui sont juste là pour régurgiter la propagande, régurgiter ce qu'ils croient être parole d'évangile et qu'il ne l'est pas? Donc, il faut prendre soin de soi, il faut faire attention à soi et ce n'est pas se désengager, c'est juste de dire : il y a des moments où il faut être dans la bataille et il y a des moments où il faut se protéger. Connaître ses limites Il n'y a pas longtemps, l'une de mes filles a vécu un événement un peu fort dans sa vie. Elle m'appelle et me dit « Maman, je ne vais vraiment pas bien, je ne sais pas quoi faire aujourd'hui pour aller bien ». Je lui ai dit « Écoute, je te suggère de faire une liste de choses qui te font du bien, des choses qui sont réalistes, que tu peux faire là tout de suite, des choses pour lesquelles il faut que tu t'organises un petit peu.» C'est toujours pareil, le court, le moyen, le long terme. Et puis des listes de choses qu'on pourrait imaginer ensemble, où il faut un peu de budget, un peu de temps, un peu d'organisation. Alors elle a fait cette liste, et de temps en autre, je lui rappelle de se référer à cette liste. Je me fais aussi cette liste mentale. Par exemple j'ai besoin d'aller régulièrement au spa. J'adore les bains, les bulles, le hammam, le sauna, mes copines… passer du temps avec mes copines, elles me racontent leurs histoires, du temps dans le jardin avec mon mari, la louange et la prière. Clairement, ce sont des moments où j'oublie un peu tout ce qui m'habite et où je vis cet instant présent, où je me marre, où je profite, où j'admire la nature. D'un seul coup, je suis juste dans ce moment-là qui me rend heureuse et en vie. Et parfois aussi, je m'autorise à regarder en face les pressions. Voilà, les pressions, soit que j'assume, soit que je subis. Et parfois aussi, je le dis aux gens. D'ailleurs, je le dis ces derniers temps, je le dis un peu plus aux gens. Je leur dis, écoutez, je suis au maximum de mes compétences. J'ai changé de pays, j'ai changé d'Église, j'ai changé un peu de métier, parce que je ne suis plus pasteur de paroisse, je ne suis plus ministre en paroisse. Et je suis arrivée au maximum de mes possibilités de surcompensation, d'adaptation. Je déçois probablement, on estime que je devrais faire plus, et ça je l'entends, mais je n'y arrive pas. Si je vais plus loin, c'est ma santé mentale qui va devoir prendre le relais, ou en tout cas je vais devoir chercher quelque part où ce n'est pas bon d'aller chercher. Donc je regrette de décevoir, moi je ne peux pas en faire plus parce que je connais mes limites. Les gens sont souvent frappés que l'on connaisse ses limites, ça c'est quelque chose qui me saute aux yeux quand je dis aux gens, par exemple, écoutez, moi je fais toujours une sieste au milieu du jour et c'est comme ça que je m'en sors. Je fais toujours un goûter vers 4-5 heures et c'est comme ça que je peux bosser le soir. J'explique un peu que j'ai mis en place une certaine hygiène de vie pour pouvoir continuer à travailler dans l'Église, à bosser le soir, le week-end, les jours fériés. Ça m'a demandé de mettre en place une hygiène de vie particulière, adaptée à ce que ma vocation demande en termes d'emploi du temps. Et j'encourage chacun et chacune à oser dire ce genre de choses, non pas pour dire « je suis plus spéciale que toi, j'ai tel ou tel besoin », mais pour dire en fait « je sais que pour pouvoir mener à bien le moins imparfaitement possible ma mission, je mets en place un certain nombre de choses et ça m'amène des fois à dire non ou ce n'est pas possible ou à dire plus tard, et c'est comme ça que je m'en sors. Remettre les crises dans le long terme Une autre chose qu'on peut faire, c'est prendre un pas de recul et retourner dans notre tradition en tant que croyante, en tant que croyant. Par exemple, dans la première lettre de Jean, chapitre 2, verset 17, on dit « Et le monde passe, et sa convoitise aussi, mais celui qui fait la volonté de Dieu demeure éternellement. » Les choses passent et Dieu demeure. On a cette chance, en tant que chrétien, d'avoir une histoire sur le long terme. Dans le Premier Testament, on a tous ces prophètes qui font face à des crises terribles et quelque part, le peuple de Dieu continue à survivre. Ce n'est pas facile, ce n'est pas plaisant, mais d'être capable de mettre ça dans du long terme, de dire que ça fait partie de l'expérience humaine, ça fait partie de l'expérience du peuple de Dieu, de faire face à de grands défis. Les gens ont su conserver une certaine forme d'espoir. Les croyants ont conservé la foi malgré toutes les épreuves. Malgré tout, on n'est pas seul dans tout ça. Ce n'est pas juste notre génération qui est attaquée. On a toute cette communion des saints, si je peux utiliser du langage théologique, toutes ces personnes-là qui sont avec nous. Tous les croyants à travers le monde sont avec nous et Dieu demeure avec nous. Ça peut aider, pendant quelques secondes, de se rappeler de tout ça et de se dire que peut-être ça va bien aller dans le fond, sur le long terme. Se souvenir de ceux et celles qui nous ont précédés Pour moi, c'est vraiment exactement ça, c'est totalement réconfortant de penser à la nuée des témoins. Certains vont associer la nuée des témoins à nos contemporains, d'autres vont partir dans des choses un peu plus mémorielles. Du côté réformé, on est moins à l'aise sur des questions comme ça, mémorielles. Du côté luthérien, on pratique plutôt une forme de tolérance ou de compréhension. Du côté catholique on est totalement à l'aise, décomplexé, pas de problème. Mais néanmoins, moi, c'est le souvenir de ce pour quoi une grande partie de mes ancêtres proches, les générations les plus proches ont lutté. Je me rappelle quand même cette grand-mère, grand-mère Madeleine, qui a perdu une jambe dans la Résistance, dans la Deuxième Guerre mondiale. Je l'ai toujours connue unijambiste, alors qu'en fait, c'était une gamine qui ne savait pas trop où aller et qui a vu un endroit où il y avait de la soupe si on filait un coup de main. Maintenant, on appelle ça de la grande résistance. Mais enfin, quand même, elle était résistante. Elle a résisté. Et bien sûr, penser aussi au côté espagnol, celles et ceux qui ont voulu résister à la dictature avec plus ou moins de succès. Se rappeler qu'en fait, ils ont lutté, ils ont eu des vicissitudes. Il ne faut pas comparer, chaque génération est différente. Des choses ont quand même touché leur chair. Mais ils ont lutté pour que moi, je puisse continuer à exercer une forme de liberté d'expression, d'autodétermination. Le soin des plus vulnérables, c'est quelque chose qui est très présent dans mes lignées paternelles et maternelles. Je me rappelle ma grand-mère qui me parlait de son grand-père, donc ça fait loin en arrière, et qui disait, tu sais, mon grand-père, c'était celui du village qui ne battait pas les enfants. Et ça, ça l'a guidée toute sa vie, d'avoir un grand-père qui pensait que ce n'était pas normal de battre les enfants, en tout cas qui ne battait pas les chiens, ni ses petits-enfants. Parfois, on a des ancêtres dont on peut être à la fois fière et puis aussi dont on se dit, j'ai une parole à porter et j'ai une spécificité à apporter et je peux m'appuyer là-dessus, sur cet héritage. Ensuite, il y a des héritages symboliques. Quand on n'est pas tout à fait à l'aise avec son arbre généalogique, ça peut arriver aussi, on n'en est pas responsable. On peut aussi s'inscrire dans des lignées symboliques, des courants de pensée forts qui nous structurent et qui nous permettent de trouver là des idées saines. Ça, c'est quand les idées sont saines. C'est vrai qu'il y a aussi tout plein d'idées malsaines et on ne peut pas toujours évacuer le fait qu'elles aient parfois de la popularité. Conserver sa dignité pendant les crises Tu parles de la Deuxième Guerre mondiale. Mon premier diplôme universitaire, c'est en histoire. Et je me souviens, j'ai lu des trucs sur la Shoah, sur l'Holocauste. Encore une fois, je ne compare pas ce qui s'est passé là avec notre climat actuel. Le lien que je fais, c'est une des grandes questions, pourquoi les Juifs n'ont pas résisté à la solution finale? Et bon, il y a eu des actes de résistance. Oh oui. Dans les forêts polonaises, il y a eu plein de petits îlots, mais pas quelque chose de généralisé, quoi. Un des arguments que je n'avais pas vu venir, c'était que peut-être une des grandes résistances, c'est la survie. C'est vrai. Et je fais toujours aussi le lien avec la bande dessinée Maus, une très grande bande dessinée où l'auteur raconte l'histoire de l'Holocauste à travers son père. Et cette scène que j'ai trouvée troublante et puissante à la fois où son père est dans les camps de la mort et il va se laver dans la rivière. Les autres disent « Mais qu'est-ce que tu fais là? » Et moi, j'ai vu ça comme un acte de dignité. « Je suis un être humain, j'ai le droit d'être propre. » Ça n'a rien changé, malheureusement, dans le grand ordre des choses. Mais cette résistance-là, dans un mouvement qui essaie de déshumaniser des êtres humains, de dire « Je suis un être humain, et rien de ce que vous pouvez faire va changer le fait que je suis un être humain tant ou si longtemps que je vais vivre. C'est d'une puissance magistrale et ça inspire. Ne pas se couper des réalités actuelles Avant, on parlait de rester déconnecté à certains moments, d'essayer de se protéger aussi de tout ça. Mais c'est compliqué parce qu'une partie de la vie sociale se passe maintenant sur les réseaux sociaux. Et donc, du coup, on est tous et toutes en train d'essayer de gérer notre lien aux réseaux sociaux, d'y être quand même assez pour être informé. Moi, par exemple, je travaille beaucoup avec la jeunesse, donc je ne voudrais pas me couper d'un certain nombre de choses. En même temps de ne pas y être trop, pour ne pas d'abord s'épuiser les yeux, la tête, puis pour ne pas voir trop de choses terribles. Mais par contre, ce qui nous prend par le revers, et je crois que tu as vu toi aussi les chiffres, c'est ce regain de religiosité auprès des jeunes. Des jeunes qui finalement trouvent sur les réseaux sociaux un certain nombre de choses qui les attirent concernant la religion, et qui finissent dans leur vingtaine par retourner à l'Église, tant et si bien qu'il y a plus de pratiques auprès des vingtenaires qu'auprès de leurs parents. C'est épatant, hein? Oui, j'ai vu il y a quelques jours. Vous qui écoutez, ce sera peut-être de vieilles nouvelles, mais c'est la société biblique en Grande-Bretagne qui publie un article expliquant une augmentation de la présence au culte de 50% au cours des six dernières années. Certaines gens ont dit : est-ce que ce sont des gens qui déclarent aller à l'Église ou des gens qui sont vraiment à l'Église? Parce qu'il y a toujours cette nuance-là dans les enquêtes. Lorsqu'on creuse un peu, c'est une augmentation réelle, surtout chez les jeunes hommes de moins de 35 ans. Et lorsqu'on est sur les médias sociaux, on comprend aussi ce que ça veut dire. Parfois, on peut faire des liens. Ces jeunes hommes sont souvent beaucoup plus conservateurs moralement. Ils sont souvent adeptes d'une certaine masculinité toxique, à la Andrew Tate, ce qu'on appelle ici « bro » masculinistes. Si on regarde ça statistiquement, on se dit « Ah, c'est merveilleux, on a enfin des jeunes qui viennent à l'Église, enfin de jeunes hommes qui viennent à l'Église ». Mais si on comprend ce qui se passe sur ces médias sociaux là, comment ce sont des vecteurs de radicalisation, de masculinité toxique, et que ces jeunes hommes-là viennent à l'Église pour une espèce de modèle d'homme qui domine la famille, une espèce d'image d'un patriarcat d'une autre époque, on se pose des questions. Et c'est ça que je disais plus tôt : il faut se protéger, mais il faut rester aussi informé. Moi j'ai un fils de 15 ans, je ne suis pas au-dessus de son épaule, mais plusieurs fois je lui demande ce qu'il consomme sur Internet. C'est vrai. Parce que je sais que ça existe. Je ne veux pas nier cette existence-là. Je ne veux pas dire, moi, je n'aime pas ça, ça n'existe pas. Non, il faut être au courant pour justement dire aux personnes autour de nous, il y a un problème là. Ce n'est pas banal, mais encore une fois, on s'expose à du contenu toxique et comment peut-on s'informer sans se laisser affecter? C'est toujours un jeu d'équilibre très difficile. Prendre le temps de se poser Comme on a dit que c'était trop facile, les petits trucs et astuces, je vais terminer avec un truc et astuce. On a dit en début d'émission que c'était vraiment la voie de la facilité, donc il y aura un peu d'autodérision. La première astuce : j'ai lu quelque part que Jean-Sébastien Bach, avant de commencer toute chose, toute partition, toute création, commençait par dire « Jésus vient-moi en aide ». Et il écrivait en haut de sa partition « Jésus sauve ». Donc se poser, se dire « Jésus viens-moi en aide », et puis « Jésus sauve ». Se rappeler qu'en fait, on a été sauvés. On a été sauvés par grâce, on vit de la grâce. C'est vrai qu'on aimerait faire de grandes œuvres. On aimerait que nos projets réussissent, on aimerait bien que les gens nous aiment bien en plus. Plein de trucs compliqués à la fois. Que notre podcast soit très populaire. Puis gagner un peu de sous de temps en temps aussi. Bon bref, pour pouvoir aller au spa justement. Bref. Et puis, à la fin, quand Bach avait terminé, il ne savait jamais trop, finalement, si ça allait plaire. On ne sait pas trop, je n'en sais rien, moi je n'ai jamais composé d'œuvres, mais il doit y avoir un énorme moment de doute, terrible. Il notait aussi Solo dei gloria, SDG. Ça, c'est une discipline que je commence à m'appliquer un peu, parce que ça me permet de me poser et de me rappeler ce pourquoi je suis là. Deuxième astuce : j'ai un collègue qui travaille dans le milieu des aumôneries, qui aussi est manager d'équipe. Il nous a expliqué en réunion de managers d'Église que trois fois par jour, il fait de la cohérence cardiaque, et que depuis qu'il fait ça, il se sent beaucoup plus relax. Avant, il sentait sa tension monter. Maintenant, trois fois par jour, il fait de la cohérence cardiaque. Je me dis : finalement, les pressions ne vont pas baisser, en tout cas pour la plupart d'entre nous. Les pressions mondiales non plus. Comme tu dis, il y a le climat politique, il y a les masculinistes, l'inflation, que sais-je encore. Mais nous, notre corps, la façon dont on traite notre corps, les respirations qu'on prend, la façon dont on regarde vers Jésus dans les moments de notre journée. On a ça pour le moment, on en a encore le contrôle. C'est un recentrage qui permet ensuite de donner au reste du monde. Alors voilà, j'ai terminé sur une note d'autodérision avec deux astuces. Et toi, est-ce que tu as des trucs et astuces ? Tout simplement, ne rien faire. Parfois, c'est un acte de résistance parce qu'il faut être productif, il faut faire plus, et tout, et tout, et tout… Parfois, ouvrir la télévision. Oui, je sais, je suis de ma génération, j'écoute encore la télévision. Et écouter un film stupide, et ne rien en tirer, mais juste être là et ne pas trop penser et accepter que je viens de perdre deux heures d'un point de vue productif, mais j'ai peut-être gagné deux heures de santé mentale quelque part. Ouais, c'est excellent. J'adore. Conclusion Merci, Joan. J'espère que ce podcast a été un moment où vous avez pu décrocher un peu. Merci pour la conversation, Joan. Merci, Stéphane. Et on vous rappelle que vous pouvez nous écrire si jamais vous avez le goût d'entrer en communication avec nous pour échanger, pour des sujets, pour des suggestions, parce que vous n'êtes pas d'accord, surtout si vous n'êtes pas d'accord, on veut vous entendre : questiondecroire@gmail.com Merci à l'Église Unie du Canada, notre commanditaire, qui a un site Internet moncredo.org, qui explore aussi des questions de foi et de spiritualité. À très bientôt, Joan. À très bientôt.
Découvrez comment briser la routine et réenchanter votre vie professionnelle dans cet épisode de Happy Work ! ✨ Saviez-vous qu'il faut généralement 3 ans pour maîtriser un poste, mais que cela peut aussi conduire à l'ennui et au "bore-out" ?
La confiance en soi est le carburant de votre succès et bien-être au travail. Elle influence chaque aspect de votre performance, des dynamiques d'équipe à la culture de votre entreprise. Mais soyons honnêtes, ce sentiment peut fluctuer même au cours d'une seule journée (aaaaah la nature humaine !!!).
Michel Binette passe à CIBL 101,5 FM, à l'émission Les Aurores Montréal le 29 mai 2025. Extrait de l'émision.Pour l'émission compète;https://www.cibl1015.ca/les-aurores-montrealSupport the show
Ce dimanche 1er juin, Baptiste Lambert et Frédéric Brebant analysent la situation actuelle autour des médias qui sont confrontés à des contraintes financières et à la concurrence du numérique.
Actuel patron des activités de Stellantis en Amérique du Nord, Antonio Filosa a été nommé pour succéder à Carlos Tavares à la tête du constructeur automobile né de la fusion entre PSA et FCA, dont il devra piloter le redressement après une année noire. Ecoutez L'angle éco avec Marie Guerrier du 29 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Actuel patron des activités de Stellantis en Amérique du Nord, Antonio Filosa a été nommé pour succéder à Carlos Tavares à la tête du constructeur automobile né de la fusion entre PSA et FCA, dont il devra piloter le redressement après une année noire. Ecoutez L'angle éco avec Marie Guerrier du 29 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bonjour à tous et bienvenue dans ce 26ème épisode de "Potentiel 2 Manager". Aujourd'hui, je vous embarque dans les coulisses d'un débat animé avec mes étudiants autour d'une question brûlante : faut-il faire évoluer les pratiques managériales ? Avec des chiffres éloquents sur le burn-out et le stress, ce nouvel épisode questionne la nécessité de repenser les modes de management face au mal-être grandissant des salariés. Entre arguments pour le changement, risques associés et importance de trouver le juste équilibre, je vous partage des pistes concrètes et des exemples inspirants pour transformer, en douceur mais avec intelligence, nos façons de manager. Prêts à ouvrir le débat et à imaginer le management de demain ? Installez-vous, c'est parti !
Du 10 mai au 8 juin 2025, le Centre d’art DRAC Art Actuel à Drummondville présente l’exposition « Fragments de nous ». Une expo collective qui révèle le talent de 23 finissant·es en arts visuels du Cégep de Drummondville. Pour en parler, on a reçu la directrice du DRAC, Catherine Lafranchise.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Conférence-débat à l'église Saint-André de l'Europe (Paris) avec: - Caroline Roux, directrice adjointe d'Alliance Vita - Mère Maylis, prieure de l'Abbaye de Faremoutiers - Père Philippe de Maistre, auteur de "Mourir vivant" (éditions Le Laurier 2021) - animée par Louis Lecomte, journaliste au Figaro
Je suis sûre que je ne suis pas la seule à trouver que le monde fait un peu flipper en ce moment. Est-ce que c'est une distorsion de la réalité ? Est-ce que notre monde trop connecté vient jouer sur nos plus grandes peurs ou est-ce qu'il y a vraiment un problème en 2025?Si vous êtes une mère féministe et engagée comme moi, alors je crois que vos doutes sont légitimes.Mais aujourd'hui j'ai aussi envie de vous parler d'espoir malgré la situation. C'est quoi l'espoir d'abord ? L'espoir c'est le fait d'attendre avec confiance la réalisation de quelque chose. Moi j'ai espoir, j'ai espoir que ces temps instables viennent en fait mettre en évidence notre force et notre puissance. J'ai espoir que le travail que l'on effectue au quotidien vienne se révéler au grand jour dans le futur. Parce que oui votre travail de parents, qui vous prend un temps fou, qui vous anime, qui vous questionne, aura un impact sur les générations futures.Liens utiles : l'épisode 192https://parisianavores.paris/livres-anti-sexistes-enfants-3-ans-4-ans/ Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Marion Kaplan est naturopathe fonctionnelle spécialisée en micronutrition, auteure, conférencière et créatrice du Vitaliseur.https://vitaliseurdemarion.frhttps://www.instagram.com/marion.kaplan/https://www.youtube.com/@UCIBx5dQYsM4yh8Y8XR76pMg CHAPITRES0:00 Introduction3:17 Exploration du Microbiote8:50 Les Irrigations Coloniques17:58 L'État Actuel du Microbiote31:29 Les Biais de Perception40:26 L'Impact des Céréales et du Gluten46:30 Les Perturbateurs Endocriniens50:57 L'Importance de l'Écoute du Corps55:30 Conclusion et Réflexions Finales1:13:06 Sagesse et Alimentation1:13:52 Les Gènes et Leur Impact1:15:13 Approche Holistique de la Santé1:22:07 Glucides et Énergie1:30:21 Alimentation et Performance Sportive1:37:56 Mythes et Réalités sur les Glucides1:45:25 Jeûne et Équilibre Alimentaire1:52:36 Sensibilité Alimentaire et Adaptation2:00:41 Techniques de Cuisson Optimales2:07:46 Méthodes de Récupération de la Flore IntestinaleLIENS PODCASTS• Spotify : https://open.spotify.com/show/1yqDTNuuLcagrP3Z0jwBzz• Apple Podcasts : https://podcasts.apple.com/fr/podcast/biom%C3%A9canique/id1456142727• Youtube : https://www.youtube.com/@UCQlJ8F6VtTThflbkhdJmXWA LIENS RÉSEAUX SOCIAUX & SITE• Instagram : https://www.instagram.com/biomecaniquepodcast/• Facebook : https://www.facebook.com/BiomecaniquePodcast/• Tiktok : https://www.tiktok.com/@biomecaniquepodcast• Discord : https://discord.gg/EAe8aKRJ9N• Webite : https://biomecaniquepodcast.com• Newsletter : https://biomecaniquepodcast.com/Lettreyt Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Alexandre Cormier-Denis, chroniqueur et militant nationaliste québécois, est le Fondateur d'Horizon Québec Actuel et de la chaîne YouTube NomosTV. Il défend des idées souverainistes et anti-immigration, et il a accepté notre invitation pour un entretien sur notre fauteuil rouge pour parler de sa vision de la France qu'il a outre-Atlantique ! Soutenez-nous sur frontieresmedia.fr et frontieresmedia.fr !
Chaque jour, écoutez le Best-of de l'Afterfoot, sur RMC la radio du Sport !
Actuel 2e du classement, le skipper Varois a indiqué vendredi matin avoir perdu sa voile d'avant et concédé deux heures au leader Charlie Dalin.
Un nouvel entraîneur : Sérgio Conceição. Une victoire en Supercoupe d'Italie : succès 3-2 face à l'Inter au Al Awwal Park Stadium de Riyad. 50e trophée dans l'histoire du club. Actuel huitième de Serie A : l'ère Conceição peut-elle ramener le club au sommet ? Matteo Cioffi nous dira tout. Matchs de « gala » : trop, c'est trop ?Trophée des Champions, Supercoupe d'Espagne et d'Italie… Ces rencontres prestigieuses disputées hors des terres nationales divisent. Question du jour : une tendance qui s'essouffle ou un format à repenser, ou ne faudrait-il pas tout simplement les supprimer ?La belle histoire : Al-Hilal et Florent IbengeFlorent Ibenge, entraîneur congolais, est à la tête du club soudanais Al-Hilal Omdurman, premier qualifié pour les quarts de finale de la Ligue des Champions africaine. Omdurman, un club en exil, symbole « unique » dans le football africain. Florent Ibenge s'est confié au micro de Thomas de Saint Léger.Pour en débattre autour d'Annie Gasnier, nos consultants du jour : Ludovic Duchesne, Franck Simon et Cherif Ghemmour – Production : David Fintzel – Réalisation : Laurent Salerno.
Un nouvel entraîneur : Sérgio Conceição. Une victoire en Supercoupe d'Italie : succès 3-2 face à l'Inter au Al Awwal Park Stadium de Riyad. 50e trophée dans l'histoire du club. Actuel huitième de Serie A : l'ère Conceição peut-elle ramener le club au sommet ? Matteo Cioffi nous dira tout. Matchs de « gala » : trop, c'est trop ?Trophée des Champions, Supercoupe d'Espagne et d'Italie… Ces rencontres prestigieuses disputées hors des terres nationales divisent. Question du jour : une tendance qui s'essouffle ou un format à repenser, ou ne faudrait-il pas tout simplement les supprimer ?La belle histoire : Al-Hilal et Florent IbengeFlorent Ibenge, entraîneur congolais, est à la tête du club soudanais Al-Hilal Omdurman, premier qualifié pour les quarts de finale de la Ligue des Champions africaine. Omdurman, un club en exil, symbole « unique » dans le football africain. Florent Ibenge s'est confié au micro de Thomas de Saint Léger.Pour en débattre autour d'Annie Gasnier, nos consultants du jour : Ludovic Duchesne, Franck Simon et Cherif Ghemmour – Production : David Fintzel – Réalisation : Laurent Salerno.
durée : 00:25:02 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Dans l'émission "Match "le 30 décembre 1975, Jean-Louis Bory et Jean Cau débattaient sur les notions de conformisme et d'anticonformisme. Le débat était mené par Thierry Garcin. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Jean-Louis Bory Ecrivain, journaliste, critique cinématographique et scénariste; Jean Cau Écrivain, journaliste (1925-1993)
Aujourd'hui, Jean-Loup Bonnamy, Barbara Lefebvre et Didier Giraud débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes de Valérie Darmon. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.
Tous les samedis et dimanches, dans Europe 1 matin week-end, Alexandre Devecchio, rédacteur en chef du service débats du Figaro, livre son édito.
Presque trois après sa prise de fonction le Premier ministre Michel Barnier et son gouvernement seraient face à un risque de censure.
Send us a textDre Lyne Desautels est médecin de famille depuis plus de 27 ans et pratique principalement sur la Rive-Sud de Montréal ainsi qu'en Estrie. Elle a fondé le CMIE en 2012, un réseau de cliniques médicales privées, qui compte maintenant 9 points de service à Brossard, à Saint-Bruno-de-Montarville, à Saint-Jean-sur-Richelieu, à Granby, à Magog, à Laval, à Québec, à Val-David et à Montréal.L'approche de médecine fonctionnelle, son bagage antérieur en microbiologie et des études graduées en recherche sur le cancer (génétique moléculaire) lui ont permis de développer une pratique basée sur les principes de LIVING LAB (recherche clinique basée sur l'observation documentée et appliquée en clinique).Elle prône les approches de santé globale et de médecine intégrative travaillant ainsi en collaboration avec différents professionnels de la santé, et ce afin de personnaliser ses plans de traitements et répondre aux besoins de ses patients. Cette approche lui a permis de développer des champs d'expertise en hormonothérapie bio-identique et médecine de longévité et de précision, en cannabis médical ainsi qu'en maladie de Lyme.Le volet éducationnel est très important pour Dre Desautels. Elle participe à la rédaction de plusieurs articles sur différents sujets de santé. Conférencière reconnue, ses sujets de prédilection sont l'hormonothérapie et le cannabis médical ainsi que tout ce qui touche la médecine préventive.Pour Dre Desautels, l'avancement de la science et des technologies est primordial à sa pratique médicale qui se veut actuelle, préventive et personnalisée.00:00 Intro07:51 La prévention & L'éducation18:09 Considérer l'individu20:13 Réflexions à faire pour notre système de santé23:59 La "Science" & les données probantes31:11 Le Cannabis médical35:27 La médecine fonctionnelle & évolution de la médecine38:45 Changements environnementaux & climatiques39:55 Importance de la Vision Globale43:03 Maladies chroniques47:37 Conclusion & message de Dre DesautelsDre Lyne Desautels, MDhttps://drlynedesautels.com/Clinique et Réseau CMIE:https://www.clinique-cmie.com/fr/accueil/Plateforme Ma Santé Mes Hormones:http://masantemeshormones.com/Dr Maxime Lavoie, chiropraticien - MAX Wellness Podcast:https://www.maximelavoie.caUnytii.com | 15% de rabais sur tous vos achats | Code: MW15 Boncharge.com - Lunettes Lumière Artificielle & Plus! - Code "LAVOIE" pour 15% de rabais Suivez-moi/Abonnez-vous sur YouTube:www.youtube.com/@maximelavoieSuivez-moi sur Instagram: @maximelavoiedchttps://www.instagram.com/maximelavoiedc/Suivez-moi sur Facebook:https://www.facebook.com/MAXWellnessPodcastSupport the show
Episode 136 Sun Ra and Stockhausen—An Imaginary Encounter in Electronic Music Playlist Time Track Time Start Introduction –Thom Holmes 14:28 00:00 Karlheinz Stockhausen, “Es (It)” (1969) from Aus Den Sieben Tagen (from the Seven Days) (1973 Deutsche Grammophon). Composed by, electronics (Filters, Potentiometers), spoken voice, technician (Sound Direction), liner notes, Karlheinz Stockhausen; Elektronium, Harald Bojé; Piano, Aloys Kontarsky; Drums, Percussion (Tam-tam, Flexatone, Guero, Bamboo Flute, Jew's Harp, Rolf Gehlhaar; Drums, Percussion (Tam-tam, Flexatone, Guero, Jew's Harp, Alfred Alings; Viola, Johannes G. Fritsch. The Elektronium was an electronic instrument in the form of an accordion, invented by Hohner in 1952. From the cycle of compositions entitled Aus den Sieben Tagen. Es (10th May 1968). This is the complete cycle for the work consisting of 7 albums recorded at the Georg-Moller-Haus (Loge) in Darmstadt, from the 26th to 31st August 1969. This is different than the earlier recordings from Cologne that were released separately. Comes in a sturdy box together with a tri-lingual 20-page booklet. Each record is packed in its own cover. 23:04 14:30 Sun-Ra and his Astro Infinity Arkestra, “Space Probe” (1969) from My Brother The Wind Vol. 1 (2017 Cosmic Myth Records). Moog Modular Synthesizer solo, two keyboards, Sun Ra; Moog programming and mixing, Gershon Kingsley.” Recorded at Gershon Kingsley's New York studio before Sun Ra had acquired a prototype Minimoog from Bob Moog the following year. 17:45 37:30 Sun-Ra and his Astro Infinity Arkestra, “The Code Of Interdependence” (1969) from My Brother The Wind Vol. 1 (2017 Cosmic Myth Records). Moog Modular Synthesizer solo, two keyboards, Sun Ra; Moog programming and mixing, Gershon Kingsley; Drums, Danny Davis, John Gilmore; Oboe, Marshall Allen; Tenor Saxophone, John Gilmore. Recorded at Gershon Kingsley's New York studio before Sun Ra had acquired a prototype Minimoog from Bob Moog the following year. 16:50 55:16 Opening background music: Sun Ra and his Solar Myth Arkestra, “Seen Three Took Four” from The Solar-Myth Approach Vol. 1 (1970 Actuel). Piano, Minimoog, Electric Organ, Clavinet, Sun Ra; Tenor Saxophone, Percussion, John Gilmore; among a huge host of others. Introduction to the podcast voiced by Anne Benkovitz. Additional opening, closing, and other incidental music by Thom Holmes. My Books/eBooks: Electronic and Experimental Music, sixth edition, Routledge 2020. Also, Sound Art: Concepts and Practices, first edition, Routledge 2022. See my companion blog that I write for the Bob Moog Foundation. For a transcript, please see my blog, Noise and Notations. Original music by Thom Holmes can be found on iTunes and Bandcamp.
MISES EN SCENE le mercredi et vendredi à 9h30 et 18h30. Chronique théâtrale animée par Sonia Jucquin ou Géraldine Elbaz qui traite de l'actualité des pièces de théâtre. Cette semaine, Géraldine nous parle de la pièce musicale "Les Raisins de la Colère" au Théâtre Actuel La Bruyère. Oklahoma, 1929. Comme des millions d'autres « okies » et travailleurs démunis victimes de la crise économique qui frappe l'Amérique durant la Grande Dépression, la famille Joad guidée par « Ma » Joad, décide de tenter sa chance en Californie. Elle se lance ainsi dans un long périple semé d'embûches à travers la route 66, persuadée qu'elle y sera bien accueillie. Mais les espérances se transforment vite en désillusions. Grand classique de la littérature américaine, récompensé d'un prix Pulitzer en 1940, ce roman de John Steinbeck a connu une renommée mondiale avec son adaptation cinématographique réalisée par John Ford avec Henry Fonda. Xavier Simonin s'empare de cette œuvre et en signe la première adaptation scénique française. Ces dernières années, le public a également pu retrouver au théâtre des adaptations du roman Des souris et des hommes, autre grand succès de Steinbeck. Renseignement : https://tpa.fr/pieces-theatre-paris/les-raisins-de-la-colere © PhotoLot Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Jérôme Rothen se chauffe contre un autre consultant, un éditorialiste ou un acteur du foot.
Un acteur du monde du foot est l'accusé du soir. Il est ensuite défendu avant le verdict du juge
Quand le doyen du collège des cardinaux annonce à la foule réunie place Saint-Pierre qu'un nouveau Pape vient d'être élu, il indique le nom sous lequel il a choisi d'être connu.Il s'agit de son « nom de règne », qui, en principe, restera le sien jusqu'à la fin de sa vie. Au début, il semble que les Papes conservaient leur vrai nom, même si aucune source ne nous permet d'en être vraiment sûr.Puis, peu à peu, les Papes changèrent de nom. Le premier souverain pontife pour lequel un tel changement de nom est attesté est un certain Mercurius, en 533, qui, pour éviter un patronyme d'origine païenne, décide d'adopter le nom de Jean II.Le choix d'un nom de règne procède de raisons très variées. Il peut être notamment motivé par le désir de se placer sous l'invocation d'un saint ou d'un précédent Pape.Le premier du nom n'a pas besoin de numéroComme celui des souverains, le nom des Papes est suivi d'un numéro, pour les distinguer les uns des autres Ainsi, les derniers Papes, avant le souverain pontife actuel, s'appelaient-ils Benoît XVI, Jean-Paul II ou encore Paul VI.Aussi, quand le 13 mars 2013, le cardinal argentin Bergoglio, ancien archevêque de Buenos Aires, choisit le nom de « François », beaucoup pensent que le nouveau Pape s'appellera « François Ier ».En effet, il est le premier à avoir choisi ce nom, porté notamment par saint François d'Assise. Or, le porte-parole du Vatican fait vite savoir que le Saint-Père se fera simplement appeler François, sans l'adjonction d'aucun numéro.Il ne faisait là que se conformer à un usage général. En effet, il n'est nul besoin de faire suivre d'un numéro le premier Pape titulaire d'un nom. Cette formalité ne deviendra nécessaire que si un second Pape décide de l'adopter.Ainsi pourra-t-on alors distinguer un futur Pape portant le nom de François II du Papeactuel, qui deviendra alors, de manière rétrospective, François Ier. Il est à noter, cependant, qu'en prenant le nom de Jean-Paul Ier, le cardinal Luciani, élu en 1978, ne respecta pas cet usage. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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